Une exhibitionniste prise la main dans le sac… enfin presque… (Père Carmody)

Ma journée type quand j’allais au lycée Mishima : levée 7h, douche, petit-déjeuner, laver les dents, métro, cours, récréation, cours, métro, déjeuner, métro, cours, récréation, cours, métro, devoir, dîner, dodo… voilà ma journée type depuis que j’étais au lycée. Mais j’avais envie de changer les choses et quoi de mieux que de sécher le cours de sport pour faire de l’exhibitionnisme dans les couloirs du dernier étage des salles de cours ? Rien… ce sera la première fois que je sécherais le cours, mais la professeure de sport ne m’en voudrait pas.

Ce jour-là, les cours s’étaient échelonnés comme d’habitude pendant la matinée puis j’avais été mangé chez moi, puis j’avais pris une douche avant de revenir à l’école. Et non, je n’étais pas nue, je m’étais rhabillée, même si j’avais omis de remettre des sous-vêtements. Ce fut avec un grand sourire que je retournais en cours. J’étais au premier rang dans la classe. La professeure qui nous faisait cours ne pouvait pas ne pas voir que je ne portais pas de culotte. Mais apparemment, elle ne fit aucun commentaire, ni pendant le cours, ni à la récréation. Ensuite vint le cours de sport. Je fis semblant de refaire mes lacets et dit aux autres de continuer, que j’arrivais tout de suite.

Je restais en arrière, non loin de la classe puis à la sonnerie, je montais sur le toit, me déshabillant totalement. Je restais ainsi pendant un moment, laissant l’air parcourir mon corps. Puis je mis mes vêtements dans mon sac de sport et descendit dans les couloirs du dernier étage, les classes étaient vide puisque les élèves étaient en cours de sport. Je pensais être tranquille pour toute l’heure…

En tant que professeur de théologie, d'histoire et d’ésotérisme, je faisais parti du corps enseignement depuis maintenant un an. Je commençais à bien connaitre les lieux et je m’étais même fais des amis parmi les enseignants. J'avais également eu quelques aventures avec certaines professeurs. Il fallait dire que mon corps bien bâti, mes yeux bleus et mes cheveux blonds courts en faisait craqué plus d'une, même parmi les élèves.

Je m'habillais toujours d'un costume sombre avec une chemise blanche ou bleu marine, une cravate de temps à autre et des chaussures noirs ou brunes. Mais il arrivait que je m'habilles avec ma tenu de prêtre exorciste ou même mon ancienne tenue de militaire avec les grades et médailles qui allaient avec. Ces cours étant fait pour fait pour comprendre aux élèves leur engagement envers leur patrie. Lors de ces cours, j'arborais mon béret de la légion étrangère vert. plus mon insigne doré de parachutiste et de nageur de combat sur la partie gauche de mon treillis. Pour mes récompenses : la croix militaire avec 5 citations, Officier de la légion d'honneur, la médaille des évadés, la médaille des blessés de guerre par 3 fois, plusieurs médailles liés à des campagnes : Yougoslavie, Rwanda, Côte d'Ivoire, Irak; Afghanistan, Birmanie, Colombie et enfin la médaille du courage.

La première fois que je m'étais présentais à la classe j'étais venu, en tenu militaire. Et depuis, bizarrement, tout le monde me respectait; peut être avait entendu parler des  têtes brulés de la légion étrangère Française. J'avais même donné des cours de discipline au prof de sport ainsi qu'a d'autres.

Ce jour la, je portais une chemise bleu clair à manches longues, ainsi qu'un pantalon noir et des chaussures de la même de couleur. Je me baladais dans les couloirs, tranquillement, avant de descendre les escaliers. J'arrivais ainsi au 1 er étage et c'est alors que je vis une jeune femme dans le couloir. Encore mieux que cela, elle était totalement nue !

Encore une de ces petites vicieuses. Je la suivais discrètement, avant d'emprunter les escaliers et de courir jusqu’à l'arrivée. je les descendais avant d'attendre la jeune femme, caché derrière un coin. Je la laissais passé, regardant son jolie cul nu. Puis j'attrapais la jeune femme,par le  bras.

- Dites donc mademoiselle, vous ne trouvez pas que cette tenue soit inapproprié pour l'occasion ?

Je la plaquais contre un mur avant de regarder son corps. Puis, j'ouvrais la porte d'une salle de classe avant de rentrer à l’intérieur avec la jeune femme.Je refermais la porte derrière moi, avant de regarder la jeune femme de haut en bas.

- Eh bien, eh bien, voila que des jeunes femmes se dénudent à l’intérieur même de l'établissement ! C'est inacceptable, je vais devoirs en référé au directeur.

Je marchais nue avec mon sac et mes affaires dans les couloirs du lycée, ne me doutant pas une seconde que j’allais rencontrer quelqu’un. Mais le hasard ou peut-être le destin, je ne sais pas en voulu autrement… alors que je descendais les escaliers pour prendre un nouveau couloir et que je venais à peine d’entrer dans le celui-ci, je fus brusquement saisie par le bras. Je me retournais pour voir un professeur. Je devins rouge pivoine.

_ « Dites donc mademoiselle, vous ne trouvez pas que cette tenue soit inapproprié pour l'occasion ? »

Je rougis encore plus  tandis qu’il me plaquait contre un mur avant d’observer mon corps. Mes tétons pointèrent immédiatement vers lui, me faisant rougir comme une pivoine. Il ouvrit la porte d’une salle de classe avant d’y entrer et de m’y emmener à l’intérieur. Il referma la porte tandis que je baissais les yeux, décidément, je me faisais prendre à chaque fois… ou presque. Je crois que je vais arrêter de m’exhiber dans l’école, ou alors… le soir, il y aura moins de monde. Le problème, c’était que c’était beaucoup moins excitant quand il n’y avait pas de danger.

_ « Eh bien, eh bien, voilà que des jeunes femmes se dénudent à l’intérieur même de l'établissement ! C'est inacceptable, je vais devoir en référé au directeur. »

Je relevais la tête, inquiète. Car là, je risquais d’être virée du lycée. La peur devait se lire sur mon visage, ainsi que l’inquiétude.

_ « Euh… ne dites rien, professeur, s’il vous plait… »

Mon cœur battait la chamade et ma poitrine se soulevait doucement, même si mes tétons étaient toujours dressés, je me demandais ce qu’il allait me faire faire. Si c’était une fellation, pourquoi pas… mais questions de faire l’amour. Je rougis toujours attendant la réponse du professeur.

_ « euh… je ferais ce que vous voudrez… »

Je frottais mes cuisses l’une contre l’autre tout en baissant  encore la tête. Peut-être qu’il voulait des excuses ? Et pourquoi m’avoir emmenée dans une classe ? Au lieu de m’emmener directement à la direction ? Ce n’était pas logique…

la jeune demoiselle exhibitionniste me demanda de ne rien révéler au directeur. Elle essayait même de m'attendrir, me proposant de faire ce que je voudrais. La situation était tentante, car elle était plutôt mignonne.

- Mais c'est du marchandage que tu me fais maintenant ? Sa te prend souvent de te balader à poil dans le lycée ?

Je continuait de la reluquer sans ménagement, Je ne me gênais pas pour lui donner une tape sur les fesses. Elles étaient fermes et bien rebondies.

- Mais on peut toujours s'arranger...

Mes mains entourait la jeune femme, m'appuyant contre le mur, ne lui donnant aucun moyen de s'échapper. Je m'approchais d'elle, avant de déposer un baiser sur ses lévres.

- Ce serait dommage ne pas profiter de ce moment pour faire plus ample connaissance...

Je la regardais avec envie, ayant bien l'intention de profiter du joli corps de la jeune femme. Je commençais à caresser ses seins de mes deux mains, pinçant les tétons déjà dur.

- Mais c'est qu'en plus, tu aimes ça, tes seins pointent déjà, Oh la vilaine fille !

Je sentais déjà mon membre durcir dans mon pantalon, formant bien vite une bosse difficile à cacher. Je prenais plaisir à frotter mon entrejambe contre ses cuisses, histoire de l'exciter. Elle devait sentir ma verge dur à travers le tissu. Je déboutonnais mon pantalon, baissant ensuite ma braguette. Puis je sortis mon sexe de mon caleçon à moitié en érection. On me disait souvent que j'étais bien monté, un sexe de 26 cm, nervuré et assez large avec des bourses de la taille de gros abricots.

- Il va falloir que tu t'occupes de cela, tu me fais de l'effet. J'espère que tu aimes les grosses queues !

Je regardais le professeur, je me demandais ce que le professeur allait me demander… j’espérais simplement qu’il ne me demanderait pas coucher avec lui, pas que je sois encore vierge, vu que je ne le suis plus, mais je n’avais pas envie de faire ça…

_ « Mais c'est du marchandage que tu me fais maintenant ? Ça te prend souvent de te balader à poil dans le lycée ? »

Il me regardait toujours et me donna une tape sur les fesses tandis que je secouais la tête pour dire non tout en rougissant et en mouillant doucement.

_ « Mais on peut toujours s'arranger... »

Ses mains m’entouraient tandis qu’il s’appuyait contre le mur. Il m’empêchait de m’échapper… il s’approcha de moi et déposa un baiser sur mes lèvres, je rougis mais je le laissais faire.

_ « Ce serait dommage ne pas profiter de ce moment pour faire plus ample connaissance... »

Je le vis me regarder avec envie, je voyais bien qu’il voulait profiter de mon joli corps. Il commença à me caresser les seins de ses deux mains, pinçant mes tétons déjà durs. Je ne pus m’empêcher de gémir sous ses mains, mon intimité mouillant doucement. Mes tétons pointaient encore plus sur ma menue poitrine en forme de poire.

_ « Mais c'est qu'en plus, tu aimes ça, tes seins pointent déjà, Oh la vilaine fille ! »

Je rougis quand je vis la bosse dans son pantalon. Il frottait son entrejambe contre mes cuisses, je me sentais toute drôle, son membre était très gros. Puis il déboutonna son pantalon puis défit sa braguette et enfin sortit son sexe de son caleçon. Celui-ci était à moitié en érection, ce n’était pas la première fois que je voyais un sexe d’homme, mais celui-ci était vraiment gros, plus de vingt-cinq centimètres.

_ « Il va falloir que tu t'occupes de cela, tu me fais de l'effet. J'espère que tu aimes les grosses queues ! »

S’occuper de son membre ? Mais il était si gros… je rougis en regardant le membre, je le pris dans mes mains.

_ « Je veux bien vous faire une fellation… mais pas plus… »

Je me mis à caresser le sexe en érection d’une main tout en léchant la base, tandis que mon autre main lui massait doucement les bourses. Je continuais ainsi pendant quelques minutes, avant de prendre le membre viril en bouche doucement et en passant ma langue sur son prépuce tout en le branlant toujours. J’espérais que cela suffirait pour qu’il ne dise rien au proviseur ou bien aux autres professeurs. Je retirais son membre de ma bouche.

_ « Ça vous plait ? »

Puis je me remis à ma fellation très doucement et d’une manière assez maladroite, même si ce n’était pas ma première, je n’en avais pratiquer que quelques unes…

J'avais hâte de goûter à son petit abricot, rien que d'y penser sa me faisait bander encore plus. Si elle se montrait entreprenante, je pourrais moi aussi me montrer gentil et lui offrir une récompense en lui faisant du bien.

- Oui tu te débrouilles bien, continue

Elle s'attelait à sa tâche, visiblement impressionné par la taille de mon engin qui palpitait entre ses mains. Je suis sur que la petite cochonne mouillait d'excitation. Je la regardais me lécher le sexe avec un grand sourire. Je décalottais mon sexe, laissant apparaitre mon gland turgescent. Il était propre car je prenais une douche tous les jours.

- Voila comme ça, prends le bien en bouche et fais jouer ta langue dessus

Elle massait mes bourses qui pendaient tout en faisant des mouvements de va et vient avec sa bouche. Elle était à croquer et je ne sais pas si j'allais me tenter que d'une fellation. Elle m'avait dit que ce serait tout, mais à bien y regarder, ce serait dommage de s'arrêter la et de ne pas en profiter. Je ne disais rien pour le moment, profitant du moment.

bien entendu, elle ne pu avaler mon membre en entier, mais sa n'était pas grave, du moment qu'elle m'excitait et qu'elle léchait bien le bout, c'était le principal. Je commençais à gémir, ondulant mes hanches pour accompagner doucement ses mouvements de va et vient.

- Tu peux te masturber en même temps si tu veux, cela n'en sera que plus excitant et puis il n'y a pas de mal à se faire du bien.

De temps en temps elle me regardait avec ses grands yeux rouges très mignons ou je pouvais y lire un certain désir. Je sentais le plaisir monter graduellement et je la guidais au fur et a mesure, voyant qu'elle était encore débutante en la matière.