Chantage || PV Cassidy Green

Elle embrassait mon membre sur chaque centimètre, c’était si bon… ses lèvres sur mon membre me faisaient gémir un peu plus fort à chaque fois qu’elles se posaient dessus.

_ « Hmmm... Oui... D'accord. Je veux avoir du plaisir. Je veux prendre mon pied ! Donne-moi du plaisir ! Fais-moi jouir ! »

Je souris à ce qu’elle venait de dire, elle était si excitée par l’idée de faire l’amour qu’elle parlait tout haut… elle cessa sa fellation et me poussa sur le sol, me couchant sur le dos. Je souriais de plus en plus qu’elle une telle initiative, elle avait vraiment envie de perdre sa virginité… j’étais sur le dos en la regardant, posant doucement mes mains sur ses seins tandis que j’avais une vue imprenable sur son intimité rasée alors qu’elle se trouvait sur mon ventre, je passais ma langue sur mes lèvres à nouveau… sentir ses fesses sur mon membre le faisait pulser de plus en plus.

_ « Prends-moi, ma chérie. Prends-moi ! »

Elle se souleva en prenant appui sur mes seins et s’empala d’un seul coup sur mon membre, elle était tellement mouillée que j’entrais en elle comme dans du saindoux… j’avais dépucelée pas mal de mes camarades de collège à Miami, mais aucune ne s’était empalée comme cela dessus… elle avait été si rapide que j’avais failli jouir directement…

_ « Doucement, ma belle… c’est ta première fois, prend le temps de te faire plaisir… »

Je me penchais pour lui caresser les seins, d’abord doucement puis je les lui malaxais carrément, avant de passer mes bras autour de son cou pour la faire s’allonger sur moi afin de l’embrasser à pleine bouche, envoyant ma langue chercher la sienne pour un ballet torride. En même temps, je faisais glisser mon membre dans son intimité…

- Doucement, ma belle… c’est ta première fois, prend le temps de te faire plaisir…

Je ne l'écoutai pas. Tant pis. Je n'avais pas très mal. Après tout, je m'étais déjà doigtée, à de nombreuses reprises. Je n'avais pas envie de recevoir des conseils d'une petite étudiante hermaphrodite de dix-sept ans. Par contre, contrairement à ses paroles, je remarquai avec un sourire coquin que depuis le début de nos ébats, elle ne cessait de me caresser les seins que pour mieux recommencer par après. Cela me plaisait assez, je me sentais plutôt flattée. Remarquez, je la comprenais, et en toute modestie, une belle poitrine comme ça ça ne court pas les rues. Quand je m'étais littéralement empalée sur la hampe de chair de Cassidy, nous avions toutes les deux gémit. À la vérité, même si je n'en savais rien à cet instant précis, elle avait failli jouir d'un coup. Ça aurait été horrible. Me faire mettre enceinte par un étudiant. Qui plus est, par une étudiante ! Prenant conscience de ce fait, je lui demandai si elle avait prévu un préservatif pour ce genre d'activités. Pendant ce temps, je continuais à aller et venir sur son membre. Je ne me sentais pas inutile, notre position faisait en sorte que j'étais celle qui pouvait bouger le plus. Avec force gémissements, je commençais réellement à éprouver du plaisir à faire l'amour avec elle.

Je souris en embrassant son cou tout en la caressant quand elle me demanda si j’avais des préservatifs tout en continuant ses vas-et-viens sur mon pénis. Je gémissais de plus en plus tout en lui caressant les seins.

_ « Oui, j’en ais mais tu ne m’as pas laissé le temps de le mettre… »

Je continuais mes caresses puis la fit basculer sous moi tout en allant l’embrasser à pleine bouche, ma langue allant titiller la sienne dans un ballet torride. Je réduisis sensiblement la vitesse des vas-et-viens en elle, ne voulant pas jouir avant d’avoir mis un préservatif… à moins qu’elle n’en veuille pas…

_ « Tu veux que j’en mette un ? Ou bien ce n’est pas la peine ? »

Je lui souris tout en continuant doucement mes mouvements en elle, tout en lui pinçant délicatement les tétons.

C'était de plus en plus agréable et mes tétons tout érigés étaient mis à l'honneur depuis le début de nos ébats. Je mouillais comme je n'avais jamais mouillé, comme une fontaine, à vrai dire. Ma cyprine coulait abondamment sur le corps de mon amante d'une fois qui me pénétrait avec vigueur en gémissant, je suppose de plaisir.

- Oui, j’en ais mais tu ne m’as pas laissé le temps de le mettre…

M'empoignant avec force, étrange d'ailleurs, je me surpris à.me demander,si son membre gonflé n'était pas le seul témoignage de l'ambiguïté physique dont Cassidy était victime. Peut-être avait-elle été dotée de la force physique d'un homme d'âge mûr... À creuser, en tout cas. Elle échangea donc nos positions, je me retrouvai donc sous elle, alors qu'elle venait m'embrasser d'un baiser langoureux et plein de sensualité. Elle ralentit alors ses coups de rein, me laissant un peu sur ma faim, et par conséquent me faisant reprendre un petit peu plus le sens des réalités. Je me faisais pénétrer par une grosse bite. Voilà la réalité, telle qu'elle était.

- Tu veux que j’en mette un ? Ou bien ce n’est pas la peine ?

- Je... Préfèrerais... Si ce n'est pas trop te demander...

Et puis quoi encore ? Quelle bête question. Déjà qu'elle m'oblige à coucher avec elle, cette petite salope ! Et si elle me mettait enceinte, hein ? Je ferais quoi ? Et si mon enfant devenait comme elle ? Une véritable erreur de la nature, voilà ce qu'elle était ! Un 2 dans un code binaire ! En plus elle me fait un sourire du genre "j'ai eu ce que je voulais, je suis la reine". Je suis son aînée, et j'étais,tout à fait capable de renverser la situation à mon avantage. Mais il fallait d'abord qu'elle soit persuadée,de,m'avoir vaincue psychologiquement... Je lâchai un petit gémissement alors qu'elle me pinçait le téton gauche.

_ « Je... Préfèrerais... Si ce n'est pas trop te demander...
_ Pas de blague, j’ai toujours les photos… »

Je hochais la tête et me retirais d’elle, pris une capote dans la poche de ma jupe. Je déchirais l’emballage, mon membre toujours en érection et me mit le préservatif. Je revins vers elle, lui écartais les jambes et la pénétrais à nouveau d’un seul coup tout en la caressant à nouveau, l’embrassant…

_ « J’aimerais bien prendre aussi ton petit cul… enfin si tu veux… »

J’embrassais ses tétons et les suçotais  avidement tout en recommençant à faire des vas-et-viens de plus en plus rapidement en elle… recommençant à l’exciter de manière à ce qu’elle prenne du plaisir à faire l’amour avec moi. Je sais bien qu’une lesbienne n’aime pas avoir un vrai membre virile en elle, mais j’espérais qu’elle apprécierait le mien… je passais une main sur ses flancs pour la caresser sensuellement, tout en mordillant un peu ses tétons.

_ « Si tu ne veux pas… les photos partiront… »

- Pas de blague, j'ai toujours les photos...

À mon avis, elle ne devait pas faire chanter ses profs tous les jours, cette petite hermaphrodite. Elle n'était pas rassurée et elle me rappelai sans cesse qu'elle avait un moyen de pression sur moi : ces fameuses photographies de la nuit précédente, au Night Jay, où j'avais dansé en topless. Peut-être que la direction m'aurait pardonné ce petit écart. Peut-être aurait-elle comprit qu'avec mon salaire minimaliste, c'était pour moi une réelle nécessité que d'arrondir mes fins de mois... Et puis, c'était toujours mieux que de se prostituer. Bref, cette gamine n'était qu'une débutante, voilà tout. Et je ne comptais plus la laisser bien longtemps faire ses aller-retour en moi. D'ailleurs à ce propos, elle venait juste de se retirer.

Elle alla prendre un préservatif "goût fraise" dans la poche de sa jupe d'étudiante, l'enfila sur son membre en érection d'un geste d'habituée et se rapprocha à nouveau de moi avec un sourire sauvage gravé sur les lèvres. Elle se replongea en moi en gémissant  et en m'embrassant.

- J'aimerais bien prendre aussi ton petit cul... enfin si tu veux...

Et puis quoi, encore ? Heureusement qu'elle me laissait le choix. Et puis, après intense réflexion, je me rendis compte que ce n'étais pas une véritable question... D'ailleurs, ses dires vinrent compléter mes pensées :

- Si tu ne veux pas… les photos partiront…

C'était le moment où jamais. D'une brusque détente, je me jetai sur elle et la plaquai au sol en lui flanquant une gifle dont elle se souviendrait. Toute étourdie par la surprise et la douleur, elle n'eut pas le temps de m'empêcher de me précipiter sur son téléphone portable. Je sélectionnai avec toute la rapidité que je pouvais les photos compromettantes et appuyai sans aucune pitié sur le bouton "Supprimer". Et encore, j'ai été gentille, j'aurais pu le détruire en le jetant avec force sur le sol.

Très fière de moi, je lui tendit l'appareil en reprenant mes sous-vêtements dans mon autre main. Je pris la parole d'une voix heureuse :

- Tiens. Et ne va pas raconter à tout le monde que je t'ai tabassée, sinon le lycée entier saura que tu dissimules un sexe d'homme sous ta jupe. Sans rancune ?

... Lui dis-je en enfilant ma petite culotte. Je n'étais plus du tout excitée, à ce moment-là, et je n'attendais que la réaction de la lycéenne...

Je fus surprise quand elle se jeta sur moi en me plaqua au sol tout en me giflant. Je secouais la tête, les larmes aux yeux tandis qu’elle me prenait mon téléphone portable. Le temps que je me relève, elle avait supprimée mes photos compromettantes. Elle me tendit mon appareil tout en reprenant ses sous-vêtements.

_ « Tiens. Et ne va pas raconter à tout le monde que je t'ai tabassée, sinon le lycée entier saura que tu dissimules un sexe d'homme sous ta jupe. Sans rancune ? »

Elle enfilait sa petite culotte en étant contente. Mais qu’est-ce qu’elle croyait ? Que je n’avais pas gardée des copies sur mon ordinateur ? Elle était vraiment bête, cette prof. Je me rapprochais d’elle.

_ « Vous croyez quoi, Professeur ? Que je suis bête au point de ne pas faire de copie ? J’ai pas terminée avec vous… »

Je me rapprochais d’elle d’une manière lascive, mon membre masculin toujours en érection.

_ « Vous allez m’obéir, sinon, vous risquez de perdre votre emploi… la directrice est déjà au courant pour mon sexe d’homme… tout comme un certain nombre de professeurs et d’élèves… au pire, j’aurais encore plus de succès avec les filles… »

Je la regardais attendant sa réaction.

J'avais terminé d'enfiler mon sous-vêtement et je ramassais mon soutien-gorge sur le sol quand sa phrase m'atteint comme une claque en pleine figure. Des copies ? En si peu de temps ? Alors tout avait été planifié en prenant compte de ma probable rébellion ? Cela me paraissait invraisemblable, cette élève avait beau ne pas être débile, penser à autant de paramètres variables était une impressionnante démonstration de vivacité d'esprit. Mais j'étais encore loin de l'admirer, cette petite salope en herbe ! Je la voyais s'approcher de moi avec un sourire sadique, son manche dressé vers le ciel semblait me menacer d'un doigt accusateur. Je me retins à grand-peine de la frapper une deuxième fois, et tentai de jouer sur son humanité. Bien qu'après ce qui venait de se passer, je doutai qu'elle puisse avoir pitié de moi.

- Sale petite garce... Tu devrais avoir honte. Faire chanter un professeur ? Pour du sexe ? Tu te sens tellement frustrée, tu penses avoir raté ta vie ? Tu n'arrives pas à baiser les filles de ton âge alors il faut t'en prendre à ceux qui sont vulnérables ? Mais de toute façon, si tu me dénonces et que je perds mon emploi, plus rien ne me retiendra de te gratifier de la plus sévère correction que tu as jamais reçu !

Et bim ! Là, j'ai fait jouer plein de sentiments d'un coup ! Sa pitié, sa honte, puis sa peur... Et pourtant elle ne se démonta pas, du moins c'est ce que j'ai cru, parce qu'elle a continué de s'approcher et a prit la parole :

- Vous allez m’obéir, sinon, vous risquez de perdre votre emploi… la directrice est déjà au courant pour mon sexe d’homme… tout comme un certain nombre de professeurs et d’élèves… au pire, j’aurais encore plus de succès avec les filles…

- Peut-être... Mais tous les mecs se moqueraient de toi en permanence, et certaines filles seraient clairement dégoûtées, de même que quelques-uns de tes profs qui te regarderaient toujours avec le même regard méprisant... Si tu caches ton anormalité, il y a bien une raison, alors arrête de faire comme si tu t'en fichais !

Voilà. Là, je pense que j'ai été persuasive. Mais je n'avais pas encore gagné, à mon avis. Toujours est-il que j'ai remis mon soutien-gorge avec un air de défi.

_ « Sale petite garce... Tu devrais avoir honte. Faire chanter un professeur ? Pour du sexe ? Tu te sens tellement frustrée, tu penses avoir raté ta vie ? Tu n'arrives pas à baiser les filles de ton âge alors il faut t'en prendre à ceux qui sont vulnérables ? Mais de toute façon, si tu me dénonces et que je perds mon emploi, plus rien ne me retiendra de te gratifier de la plus sévère correction que tu as jamais reçu ! »

C’était pas faux, ce qu’elle disait, mais j’allais pas me démonter pour cela.

_ « Vous allez m’obéir, sinon, vous risquez de perdre votre emploi… la directrice est déjà au courant pour mon sexe d’homme… tout comme un certain nombre de professeurs et d’élèves… au pire, j’aurais encore plus de succès avec les filles… »

_ « Peut-être... Mais tous les mecs se moqueraient de toi en permanence, et certaines filles seraient clairement dégoûtées, de même que quelques-uns de tes profs qui te regarderaient toujours avec le même regard méprisant... Si tu caches ton anormalité, il y a bien une raison, alors arrête de faire comme si tu t'en fichais ! »

Là, c’était un coup bas. J’aimais faire l’amour autant avec les hommes qu’avec les femmes. Mais beaucoup de garçon du lycée étaient déjà au courant… mais j’avais réussie à ce qu’ils ne rendent pas public ma particularité. Je la regardais… j’avais les larmes aux yeux…

_ « Je vais vous dire pourquoi je caches mon hermaphrodisme… parce que dans mon ancien lycée, quand les filles de ma classe l’ont découvert, elles ont fait de moi leur objet sexuel ! Ça vous ne pouvez pas comprendre ce que c’est que de vivre cela ! Quant aux garçons de ma classe, ils ont laissé faire ! »

Je me tus un instant puis je repris. Des larmes coulaient de mes yeux.

_ « Alors quand je peux baiser avec un mec, j’en profite, car j’ai rarement baisée avec des hommes… mais des femmes… ou des élèves… vous seriez surprise de savoir combien j’en ais eut… même dans la classe, sans compter certains professeurs ici... alors quand je vous ais vue danser en vous déshabillant… j’ai eu envie de vous, professeur… je… j’ai pensée que vous ne l’accepteriez pas en sachant ce que j’étais… »

- Je vais vous dire pourquoi je cache mon hermaphrodisme… parce que dans mon ancien lycée, quand les filles de ma classe l’ont découvert, elles ont fait de moi leur objet sexuel ! Ça vous ne pouvez pas comprendre ce que c’est que de vivre cela ! Quant aux garçons de ma classe, ils ont laissé faire !

Aïe. En effet, ça ne devait pas être très facile à vivre, un tel traitement. Mais je n'aurais pas pitié de cette sale gamine. Elle m'avait quand même "violée", en quelque sorte ! Un peu trop pour que je lui pardonne si vite. Toutefois, preuve qu'elle m'avait touchée, je m'interrompis dans mon rhabillage et restai en sous-vêtements. Elle pleurait. Elle pleurait, et c'était tout simplement impossible pour moi de déterminer si elle était sincère, ou si elle ne l'était pas...

- Alors quand je peux baiser avec un mec, j’en profite, car j’ai rarement baisé avec des hommes… mais des femmes… ou des élèves… vous seriez surprise de savoir combien j’en ai eu… même dans la classe, sans compter certains professeurs ici... alors quand je vous ai vue danser en vous déshabillant… j’ai eu envie de vous, professeur… je… j’ai pensé que vous ne l’accepteriez pas en sachant ce que j’étais…

- Et tu aurais très probablement eu raison. Ou tout au moins sous certaines conditions. Ce n'est pas pour rien si je n'aime pas les hommes. Et même si tu disposes de leur... Attribut, ton apparence féminine aurait pu me donner à penser que tu serais différente d'eux... Ils sont brutaux, ils sont égoïstes, centrés sur eux, et seulement eux ! Et toi, tu,arrives, en tant que femme, tu me fais espérer... Et puis tu me donnes tout ce que je déteste chez eux... Si tu avais été plus douce avec moi tu aurais eu ta chance... Tu as joué, et tu as perdu. Dommage.

Elle me faisait un peu pitié, dans un sens. Mais bon, après le sale coup qu'elle m'avait fait, je ne pouvais décemment lui ouvrir les bras... Et les jambes. De plus, la sodomie, c'était très peu pour moi. Personne n'avait jamais touché à mon cul, et j'espérais bien que ça ne change pas.

Elle s’était arrêtée de se rhabiller tandis que je pleurais doucement, ça me faisait toujours mal de penser à ce qu’il m’était arrivée dans mon ancien lycée à Miami. Mais je voulais continuer de faire l’amour avec elle… je baissais la tête, laissant mes larmes couler de mes yeux.

_ « Et tu aurais très probablement eu raison. Ou tout au moins sous certaines conditions. Ce n'est pas pour rien si je n'aime pas les hommes. Et même si tu disposes de leur... Attribut, ton apparence féminine aurait pu me donner à penser que tu serais différente d'eux... Ils sont brutaux, ils sont égoïstes, centrés sur eux, et seulement eux ! Et toi, tu arrives, en tant que femme, tu me fais espérer... Et puis tu me donnes tout ce que je déteste chez eux... Si tu avais été plus douce avec moi tu aurais eu ta chance... Tu as joué, et tu as perdu. Dommage. »

Je relevais la tête, mes larmes coulaient toujours.

_ « Je… je… m’excuse de vous avoir forcé, professeur… mais… »

Je ne savais plus quoi dire. Elle avait parfaitement raison…

_ « Je… j’aimerais qu’on continue… je ne vous… euh… prendrais plus… mais j’aimerais qu’on continue… s’il vous plait… »

J’étais vraiment sincère, je la trouvais vraiment très belle et très attirante, d’ailleurs, j’étais toujours en érection rien qu’en la voyant ainsi, en sous-vêtements.

Elle continuait de pleurer doucement, laissant s'échapper de brefs sanglots lamentables en me fixant tristement. J'avais beaucoup de peine pour elle. Ce qui lui était arrivé n'était en aucun cas enviable et aurait détruit de nombreuses jeunes filles de son âge. Mais Cassidy, elle, avait su surmonté tout cela et passer à autre chose. Mon intervention lui avait rappelé de douloureux moments, et j'avais un petit peu honte de cela... Mais pas au point de me laisser carrément violer, parce que c'était bel et bien ça, par une de mes élèves ! Dans un souffle, Cassidy murmura :

- Je... Je... M'excuse de vous avoir forcée, professeur... Mais...

Elle balbutia quelques mots inaudibles, puis ouvrit la bouche à trois reprises, mais à chaque fois elle la refermait immédiatement, semblant chercher les mots justes. Les larmes coulaient toujours le long de ses joues, et je me surpris à être attendrie. Elle finit par me dire :

- Je… J’aimerais qu’on continue… Je ne vous… Euh… Prendrais plus… Mais j’aimerais qu’on continue… S’il vous plait…

Et elle ré-endossait sans sourciller son costume de petite chaudasse prête à tout pour baiser. Toute ma compassion et mon empathie disparurent en un clin d'oeil, remplacées par une colère incontrôlable. Mais qu'est-ce qu'elle croyait ? Que j'allais la laisser me faire ce qu'elle voulait et s'en aller juste après, l'air de rien ? Je regardais avec dégoût son pénis toujours dressé en détaillant mes formes, c'est limite si elle ne se léchait pas les babines comme un prédateur !

- Non.

Sur le moment, je n'ai rien dit d'autre parce que je ne trouvais pas les mots. J'avais envie de lui dire à quel point elle se trompait. Que l'amour, ce n'était pas simplement quelqu'un qui pénètre quelqu'un d'autre. Que les sentiments existaient, qu'elle pouvait se faire des amis, tenter de coucher avec les autres après une longue relation, et non pas simplement pour le sexe. Mais je ne parvins pas à lui dire tout ça. C'était trop compliqué, et mon raisonnement était quelque peu embrouillé par son membre chaud, dur et palpitant qui pointait vaillamment vers moi. Une idée assez étrange venait de germer en moi...

- Écoute. Je ne veux pas que tu me fasses l'amour. Et encore moins me sodomiser. Si tu as vraiment besoin de te vider, je peux te servir de "matériel visuel" pour que tu te... Masturbes... Mais je ne veux pas que tu me fasses l'amour. D'accord ?

Je me doutais bien qu'elle serait déçue, mais en même temps je ne pouvais pas lui donner ce qu'elle voulait au mépris de mes propres envies ! Avec un sourire bienveillant, je la couvai du regard dans l'expectative de sa réaction.

_ « Non. »

Ce fut tout ce que dit la professeure… à sa place j’aurais dit la même chose. Mais je voyais bien qu’elle était quelque peu… gênée ? Non, embrouillée, plutôt… surement à cause de mon membre qui pulsait toujours de désir pour elle. Elle était d’une beauté que je ne pouvais pas m’empêcher d’en avoir envie. C’était comme si elle émettait de puissantes phéromones.

_ « Écoute. Je ne veux pas que tu me fasses l'amour. Et encore moins me sodomiser. Si tu as vraiment besoin de te vider, je peux te servir de "matériel visuel" pour que tu te... Masturbes... Mais je ne veux pas que tu me fasses l'amour. D'accord ? »

Me masturber sur elle ? A la place de lui faire l’amour ? Pourquoi pas… mais on pourrait aller un peu plus loin, sans pour autant faire l’amour. Elle pourrait prendre mon membre viril entre ses gros seins… je hochais la tête tout en réfléchissant.

_ « D’accord… mais est-ce que je pourrais me finir entre vos seins ? Je veux dire… »

Je rougissais beaucoup tout en ayant quand même des larmes coulant sur mon visage.

_ « Je veux dire… est-ce que je pourrais mettre mon membre contre vos seins ? Sans aucune pénétration ? Je comprendrais si vous refusiez… »

J’inspirais profondément tout en passant mes doigts sur mes yeux pour essuyer mes larmes…

Cassidy hocha doucement la tête. Sans doute réfléchissait-elle à ma proposition. De toute façon, je ne lui laissais pas le choix, c'était à prendre ou à laisser. Soit elle se branlait en me regardant, ce qui, je l'avoue, me flatterait, soit elle pouvait partir tout de suite. Les yeux toujours baignés de larme, malgré le fait que je lui propose une telle alternative, elle murmura :

- D'accord... Mais est-ce que je pourrais me finir entre vos seins ? Je veux dire...

Elle baissa la tête en rougissant. Et ben, elle n'y allait pas avec le dos de la cuillère. Au moins, j'étais fixée, elle voulait que je m'en occupe. Me laissant dans mes réflexions, elle poursuivit doucement :

- Je veux dire... Est-ce que je pourrais mettre mon membre contre vos seins ? Sajs aucune pénétration ? Je comprendrais si vous refusiez...

Elle comprendrait, elle comprendrait... Facile à dire ! Je voyais bien à sa tête qu'elle aurait du mal à accepter un refus. J'étais bien embêtée, du coup... Elle respira un grand coup et essuya ses larmes alors que j'hésitais, perplexe. Et puis, une fois ma décision prise, je m'approchai lentement d'elle et posai un doigt sur son gland tout chaud, qui me dégoutait un peu... Mais je ne pouvais pas résister à l'air penaud de mon élève...

- Bon... C'est d'accord. MAIS ! J'impose mes conditions. Tu ne fais rien, tu me laisse te branler avec mes seins, et surtout quand tu sens que tu vas venir, tu me préviens, que je m'écarte. Je tiens pas à ce que tu tires ton coup sur mon visage.

Au moins, c'était clair, elle n'avait plus rien à négocier, à demander. J'allais la masturber et une fois qu'elle aurait éjaculé, j'aurais été débarrassée de ce problème. Légèrement intimidée par sa queue imposante, je retirai à nouveau mon soutien-gorge, pris mes deux globes de chair en main, me penchai en avant pour entourer son membre et pressai mes orbes charnels contre sa hampe. Ensuite, je commençai à faire des va-et-vients assez rapides, histoire de la faire jouir assez rapidement. D'autant plus qu'elle devait être au bord de l'orgasme, vu comment elle m'avait prise peu avant... Entre mes seins, son membre tout chaud dégoulinait de pré-sperme, se répandant sur ma poitrine. Ça ne me plaisait pas, loin de là, mais c'était la dernière ligne droite.

Encore un petit effort, et ce serait terminé.

Je venais d’essuyer mes larmes quand elle me répondit.

_ « Bon... C'est d'accord. MAIS ! J'impose mes conditions. Tu ne fais rien, tu me laisse te branler avec mes seins, et surtout quand tu sens que tu vas venir, tu me préviens, que je m'écarte. Je tiens pas à ce que tu tires ton coup sur mon visage.
_ Oui… d’accord, je vous le promets… »

Je hochais la tête, c’était un bon compromis et au moins elle allait me faire une cravate de notaire. Elle s’approcha intimidée, surement à cause de la taille de mon membre. Elle retira son soutien-gorge à nouveau… oh qu’elle avait de beaux seins, même s’il était un peu trop gros, ils me faisaient envie. Elle prit ceux dans ses mains puis se pencha en avant pour entourer mon membre viril. Elle pressa ses seins dessus… les sentir ainsi sur mon pénis était vraiment bon. Puis elle se mit à fait des vas-et-viens rapides sur ma verge en érection.

Je me mis à gémir sous la pression des seins de la professeure sur mon membre, même si c’était sa première fois, elle semblait bien partie pour être douée dans les choses de l’amour. Elle continuait ainsi, je sentais que j’étais proche de la jouissance… pour un peu, j’aurais été jusqu’à jouir sur son visage mais, j’avais promis… et je tenais toujours mes promesses.

_ « Je… han… je vais… jouir, pro… fesseur… »

Je rougis malgré-moi…