Une nouvelle vie qui commence (PV Shani Stevens)

Le docteur Kemp était de plus en plus fatigué. il respirait maintenant difficilement et il savait que son cancer qui le rongeait se métastasé, touchant de plus en plus d'organes. Il ne tiendrait plus très longtemps. Il savait qu'il n'avait plus qu'une seule et unique solution : Se transformer en cyborg. Au départ il penchait plus pour un corps humain doté d'implants cybernétiques avec le transfert de son cerveau. Une opération risqué, mais qu'il avait déjà réalisé avec succès. Cependant, un corps humain n'était pas immortel et à un moment donné, il devrait en changer. De plus, le risque que son cancer ressurgisse le hantait. C'est pourquoi, il avait décidé de se fabriquer un corps totalement mécanique et de transférer ensuite son cerveau  dans ce dernier avec l'aide de ses robots médecins. Rassemblant les meilleurs composants qu'il pouvait trouver, il venait de le terminer.

N'ayant plus le choix et surtout plus beaucoup de temps devant lui, il se devait de réaliser l'opération de transfert, tant que son cerveau ne soit atteint par la maladie. Il enregistra alors les dernières informations nécessaires à l’intérieur de l'ordinateur central de son laboratoire. Ce dernier supervisait les opérations. Il commanda ensuite à son assistant de laboratoire cyborg les dernières recommandations, avant de s'allonger sur la table d'opération. Il regarda son nouveau corps allongé sur une table a coté de lui, avant de soupirer. Il avait apporté une dernière amélioration récemment, d'une grande importance. Il avait réussît à implanter des cellules souches de ses testicules sur le cyborg. L’expérience avait réussi et il pourrait dés lors se reproduire et inséminé des femmes. Il savait cependant que le fait de devenir un cyborg avait un pris, il ne sentirait plus jamais de plaisir ni de douleur; ni faim, ni soif, ni fatigue, ni aucun autre sentiment ou sensation.

- Fais ton office, C 8 !

Le cyborg assistant qui se chargeait de l’opération s’exécuta et il apposa un masque à oxygène sur le visage du docteur qui s'endormit. Puis il injecta un produit au docteur, avant de découper le haut du crâne de son maitre et d'en prélever le cerveau. pendant ce temps, divers robots préparait le corps cybernétique du docteur. L’androïde plaça délicatement le cerveau du docteur à l’intérieur de la boite crânienne du cyborg avant de faire les connexions, aidé pour cela de deux autres robots chirurgiens. L’opération se déroulait dans une chambre stérile et elle dura plusieurs heures. Cela fait, le docteur ouvrit les yeux, une dizaine d'heures après l’opération. Il ne ressentait plus rien et cela lui parut étrange. Il se releva, regardant ses membres et les faisant fonctionner puis il se mit debout. Il effectua quelques pas, avant de rapidement prendre de l'assurance.

- Bien, très bien, l’opération à réussit, je suis a présent délivré de mon enveloppe mortelle.

Il prit un bloc de métal, avant de le perforer de la main, comme une simple feuille de papier. Il se sentait investit d'une nouvelle puissance invincible. Il se dirigea vers les capsules qui maintenait les cyborgs en hibernation. Il appuya sur le bouton d'ouverture des sarcophages. Ceux çi s'ouvrirent lentement, révélant les deux cyborgs. C 13 était habillé d'un pagne et sa peau synthétique était grise. il était grand, musclé et il avait une natte venant sur son épaule. Il était un parfait cyborg de combat. L'un des meilleurs du docteur Kemp. C 10 quand à elle, car il s'agissait d'un androïde femelle, portait un pantalon et un haut de couleur rouge. Sa peau synthétique était déjà beaucoup plus développé, révélant de vrai cheveux partant vers l'arrière. Son bras gauche à nu, totalement cybernétique, trahissait cependant sa nature, mais ses fonctions ne pouvait permettre un recouvrement.

- Réveillez vous

Les cyborgs ouvrirent les yeux avant de sortir de leurs capsules. Ils écoutèrent ensuite leurs ordres de mission. Ils devaient se rendre au centre ville de Seikusu et ramener une proie femelle, car le docteur aurait bien voulu satisfaire des désirs refoulés.

C 13



C 10



Les cyborgs obéirent et ils quittèrent le laboratoire situé dans les montagnes en s'envolant. Ils arrivèrent dans la ville, regardant autour d'eux, avant de repérer finalement une proie qui satisferait les besoins du docteur. L'endroit n'était pas très fréquenté et les deux cyborgs attendaient que la proie ne passent devant eux. Elle n'avait pas le choix si elle voulait continuer. N'étant pas des simples machines sans intelligence, C 13 se dissimula dans l'ombre, laissant C 10 prendre les devants. Quand, la jeune femme arriva prés de la cyborg, cette dernière l'interpella.

- Bonsoir, excuse moi de te déranger, mais tu n'aurais pas du feu ?

La cyborg avait pris soin de sortir une cigarette, acheté dans un tabac du coin.

« Non, non, noooooon... Et meeeerde ! »

Le juron était sorti tout seul, alors que Shani, pliée en deux, regardait le tramway filer rapidement, sans un regard pour elle, laissant la station plongée dans la pénombre. Elle vit le petit wagon s’en aller au loin, et s’assit sur le banc, essoufflée. Elle reprit lentement son souffle, et constata que, sous sa cours effrénée, plusieurs des boutons de sa chemise s’était détachés. Elle les contempla silencieusement, râlant une nouvelle fois, et les remit en place, avant de fermer les yeux, et de réguler son rythme cardiaque, en attendant que le prochain tram revienne. Il était tard, et elle avait traîné un peu au lycée. Beaucoup traîné, même, puisqu’il était plus de 22h. Elle n’avait rien prévu, et elle avait fait ce qu’elle savait faire de mieux pour tuer le temps : s’amuser avec l’un des responsables du lycée, l’un de ceux qui siégeaient au conseil d’administration. Elle lui avait fait l’amour dans son bureau, ayant un violent orgasme en le sentant arracher son chemisier pour s’attaquer à ses seins.

Maintenant, elle payait les contrecoups de ce plaisir fugitif. Elle était seule, à une heure où il n’était pas franchement recommandé pour les jeunes femmes d’être seule. Alors qu’elle se reposait, les remords, comme d’habitude, revinrent. Faire l’amour ainsi n’était vraiment pas bien, elle en avait conscience, mais... Comment dire... C’était plus fort qu’elle ! Elle avait flashé sur cet homme, sur son élégant costume trois-pièces, sur sa montre en or, sur son élégant sourire. Elle avait bien vu les regards qu’il lui avait lancé, et avait succombé.

*Moralité de l’histoire : ne couchez pas avec un homme si vous pensez que ça vous fera louper votre métro...*

Pour ne rien ajouter, elle commençait à avoir faim. Elle avait envie d’une bonne pizza. Elle se rappela alors qu’il y avait une pizzeria à proximité, et décida de s’y rendre.. Elle espérait juste ne pas tomber sur de sales types, des gangsters ou des personnages de ce genre. Elle sortit de la station, et vit alors une forme sombre se rapprocher lentement. hani sentit un éclair de panique la traverser, et s’empara de son sac à main, l’ouvrant. A l’intérieur, il y avait une bombe lacrymogène, ce genre de trucs qu’on voit dans les séries américains, et qu’on balance aux yeux d’un agresseur.

Elle ne vit qu’une seule femme s’approcher, et se détendit un peu. Elle était... Elle était plutôt bien roulée, même si elle avait l’air d’avoir, dans le regard, une absence de vie. Ses yeux étaient vides, inexpressifs, et, surtout... L’un de ses bras... L’un de ses bras semblait fait en acier ! Elle cligna des yeux, de stupeur. C’était un genre de cosplay ? Diable, c’était sacrément bien réussi, en tout cas ! Elle voyait des espèces de tuyaux oranges qui rentraient dans la peau de cette femme.

*Euh... C’est peut-être même un peu trop réussi pour un cosplay ! Bordel, c’est quoi, ce délire ?*

Shani vit la femme se rapprocher d’elle, se tenant à moins d’un mètre. Elle devait faire attention pour ne pas céder à la tentation de lui balancer son poivre à la figure.

« Bonsoir, excuse moi de te déranger, mais tu n'aurais pas du feu ? »

Elle avait sorti une cigarette, et Shani sentit la panique monter, sans pouvoir se l’expliquer. Ce regard totalement dénué d’expression, et ce bras en acier... Elle avait l’impression d’être devant une espèce de robot sorti d’un remake douteux de Star Trek, et secoua la tête assez rapidement :

« Non, désolée, je ne fume pas... Mais il y a un tabac pas loin... Par là, fit-elle en désignant l’endroit d’où elle venait. Vous y trouverez tout ce que vous voulez. Bonne soirée ! »

Et, sur ces faits, elle s’écarta rapidement, se forçant à ne pas regarder derrière elle.

L'ordinateur central situé dans les sous sols du laboratoire du docteur Kemp centralisaient toutes les données recueillies par les cyborgs. L'ordinateur coordonnait également les les actions des androïdes. C 10 laissa la jeune femme s'éloigner, la regardant partir en écrasant la cigarette. Elle eut un petit sourire avant de lui emboiter le pas. C'est alors que C 13 apparut devant la jeune femme, lui bloquant le passage. Il devait bien faire presque trois têtes de plus qu'elle et il la regardait d'un air indifférent.

- Merci, mais je crois que j'ai trouvé ce que je cherchais. C'est toi que l'on veut !

L'autre cyborgs arriva derrière elle. Elle aurait du mal à faire le poids face a eux, surtout que C 13 était l'un des cyborgs les plus puissants que le docteur Kemp avait crée. Seul C 16 le dépassait en puissance. Le cyborg leva la main, avant d'asséner un coup du tranchant de la main sur la nuque de la jeune femme. Il avait dosé sa force pour ne pas la tuer, mais il avait mis suffisamment de puissance pour l'endormir. Puis le cyborg prit la jeune femme inconsciente et il la déposa sur son épaule.

- Allons y, le docteur sera satisfait de celle ci.

Les deux androïdes s'envolèrent, avant de prendre la direction du laboratoire dans les montagnes. Il ne leur fallu pas plus de dix minutes pour arriver au labo en volant à grande vitesse. La lourde porte en métal s'ouvrit, reconnaissant les deux cyborgs. Après avoir traversé le premier laboratoire ils empruntèrent l’ascenseur pour arriver au premier sous sol. Le docteur Kemp était occupé à tester son nouveau corps. Il se battait au corps à corps contre un cyborg de combat. Les deux combattants se battaient dans une grande arène aménageait pour cela. Les parois étaient presque indestructible. Ses yeux lancèrent un fin rayon laser rouge qui transperça le mur derrière le robot. Puis après avoir facilement esquivé les attaques du robot, il décapita le robot d'un revers de main. Deux autres robots arrivèrent  attaquant le docteur qui les repoussa facilement en déployant son aura d'énergie. Puis il envoya un rayon d'énergie de sa main qui réduisit les robots en cendres.

- Parfait, c'est encore mieux que ce a quoi j’espérais.

Le cyborg C 10 alerta le docteur de son retour. le docteur regarda le bureau de contrôle situé au dessus de l'aréne. Il sortit du dôme, avant de remonter jusqu'au laboratoire principal. Il y avait également deux autres cyborgs femmes, C 14 et C 15. Ces deux androïdes  étaient humains mais leurs corps avaient été modifié et transformé en cyborgs.

C 14



C 15



- Docteur, nous avons comme prévu ramené une jeune femme qui correspondra a vos attentes.

C 13 déposa a terre la jeune femme encore inanimé. Le docteur la regarda de bas en haut.

- Oui, elle est mignonne, attachait la à la table d'études.

C 13 l'amena jusque la table en métal, avant d'emprisonner ses poignets et ses chevilles dans des liens en acier. Puis il renversa la table, afin de la mettre à la vertical. La jeune femme était ainsi attaché à la table de métal, les bras et les jambes écartés faisant face au docteur et aux cyborgs. Puis le docteur réveilla la jeune femme, avant de reculer, lui laissant le temps de reprendre ses esprits.

- Je sens qu'on va s'amuser.

C 14 amena une tablette sur laquelle était soigneusement aligné plusieurs instruments de chirurgie. C 15 retira la veste de la jeune femme, avant de deboutonner son haut et de l'ouvrir. Elle palpa la poitrine de la jeune femme.

- Sa poitrine est ferme et bien garnie...

[HRP – Beau remix’ des persos de Dragon Ball !]

Shani s’écarta rapidement, pressant le pas. Elle avait un très mauvais pressentiment, l’impression que la situation allait se dégénérer. Cette femme avec ses tuyaux dans les bras était terriblement angoissante, et avait donné à Shani une mauvaise intuition, ce sentiment que les choses, irrémédiablement, allaient mal tourner. Elle s’avança rapidement, quand une énorme forme sombre apparut devant elle. Un être avec des pectoraux gros comme ses propres cuisses, une peau grisâtre, et un air impassible dans le visage.

*Un golem ?* s’étonna Shani.

Elle eut à peine le temps de pousser un hurlement que quelque chose la frappa à la nuque. Sans plus de résistance, la frêle femme sombra, sentant une vive douleur à l’arrière de son crâne. Elle s’écroula comme une pierre.

Lorsqu’elle ouvrit les yeux, elle n’avait plus vraiment mal au crâne, et paniqua pendant un bref instant. Ses yeux s’ouvrirent lentement, au début, puis assez rapidement, quand elle prit conscience qu’elle ne se trouvait pas dans son lit, mais sur quelque chose de métallique, de dur, et de froid. Elle prit conscience dans le même temps qu’elle était attachée, et se trouvait dans une espèce de salle assez froide et sombre, sexy et métallique. Son regard se porta alors sur la curieuse assistance qui l’observait. Elle reconnut la femme avec les tuyaux dans le bras, et vit le géant de pierre qui l’avait assommé, le golem. Elle reconnut aussi trois autres personnes : deux autres femmes, dont une qui avait une peau bleuâtre et une longue chevelure rousse, et, au centre du groupe, un papy avec une énorme moustache blanche, des vêtements démodés, et un grand casque noir sur la tête. Elle était trop interloquée, sur le coup, pour dire quoi que ce soit, et cligna des yeux à plusieurs reprises.

Était-ce un rêve ? Si c’était le cas, c’était un rêve sacrément réaliste !

« Je sens qu'on va s'amuser » lâcha alors le docteur.

Le plus troublant, c’était le visage impassible de ces types. Elle se rappela ce film autrichien, Funny Games, où les deux tueurs avaient la même allure. Des meurtriers psychopathes dénués de la moindre passion, qui agissaient froidement, sans aucune excitation dans le timbre de la voix. Elle se mit à déglutir, alors qu’elle voyait l’une des trois femmes apporter une tablette métallique avec un attirail d’instruments chirurgicaux. Un frisson la parcourut.

« Qui... Qui êtes-vous ?! s’exclama-t-elle. Qu’est-ce que vous me voulez ?! »

C’était un peu trop sexy et trop... Informatisé pour être l’œuvre d’un psychopathe qui voulait la découper en rondelles. Elle voyait des machines et des ordinateurs un peu partout en tournant la tête, et se mit à remuer, alors que la femme avec la longue chevelure s’approchait d’elle. Vainement, Shani tentait de se libérer. Les liens étaient en acier, solides et fermes. Impossible de se libérer. Elle vit les mains de la femme s’approcher d’elle.

« Mais qu’est-ce que c’est ?! Ne me touchez pas ! Non, au secours !! »

Elle réalisa, dans sa tête, qu’elle agissait comme la victime typique des films d’horreurs : appeler à l’aide en espérant, fort inutilement, que quelqu’un, non seulement l’entendrait, mais foncerait à son secours. L’influence ridicule des comics, sans aucun doute. Elle sentit la femme lui retirer sa veste, et commencer à la déboutonner. Shani regarda les instruments chirurgicaux, se mettant à craindre d’être tombée sur des scientifiques fous qui lui mettraient des tuyaux dans le corps.

« Arrêtez, arrêtez !! » s’écria-t-elle à nouveau, sentant la panique l’envahir.

On lui ôta quelques boutons, suffisamment pour avoir un bon décolleté, et elle sentit alors les solides mains de la femme se mettre à lui caresser les seins. Elle... Elle la tripotait ?! Shani n’y comprenait plus rien !

« Sa poitrine est ferme et bien garnie... » nota la jeune femme, sur un ton neutre.

Shani se mit à cligner des yeux, effrayée.

« Je vous en prie, pitié... Ne me faites pas de mal... » minauda-t-elle, d’une voix faible et apeurée.

La jeune femme se réveilla, se débattant et essayant de se détacher, mais avec les liens en acier qui la maintenait, elle n'avait aucune chance. C 15 indiqua à la jeune femme de se calmer, posant un doigt sur ses lèvres avant de caresser ses cheveux.

- chut...calme toi voyons, on ne va pas te faire de mal, juste s'amuser un peu.

Sur ses mots elle embrassa la jeune femme sur la bouche en malaxant ses seins. Le docteur retira son chapeau noir, révélant sa longue chevelure blanche et son large front. Il avait de la chance de ne pas être chauve. La cyborg retira sa langue de sa bouche et le docteur prit la parole.

- Je me présente, je suis le docteur Kemp, spécialiste en biologie, robotique, informatique et cybernétique. toutes les personnes que tu peux voir ici, sont mes créations : des cyborgs, des êtres parfaits qui ne connaissent ni la peur, ni la fatigue, ni la vieillesse et la maladie. Certains sont entièrement cybernétique comme C 10 et C 13 que tu as rencontré tout à l'heure. d'autres sont des humains amélioré comme C 14 et C 15 ici présentes.

Il indiqua les cyborgs à la jeune femme avant de reprendre la parole.

- Je suis moi même depuis peu de temps un cyborg, seul mon cerveau et certaines parties ont été gardé et greffé sur un corps cybernétique. C'est un vieux rêve de quête de l'immortalité qui se réalise et c'est pourquoi j'ai voulu fêter cela.

Le docteur se rapprocha de la jeune femme.

- Dis moi, quel est ton nom ?

Pendant ce temps, C 14 vint également vers la jeune femme, prenant un scalpel très aiguisé, elle vint effleuré le ventre de la jeune femme avec la lame, avant de couper le soutien gorge de la prisonnière. Elle coupa également le bas, laissant la jeune femme en string. Le docteur appuya sur un bouton et une trappe s'ouvrit au plafond. Des bras mécaniques en sortirent se terminant par des sortes de godes en caoutchouc, des tentacules ou d'autres choses du genre. Le docteur vint caresser les seins de la jeune femme.

- c'est vrai qu'elle est bien garnie cette poitrine !

Il vint les lécher, alors que les deux autres femmes commençaient à s'embrasser et à se déshabiller, en la regardant.

La femme bleue tenta de la rassurer, mais Shani avait toutes les raisons du monde de ne pas être rassurée. Que ce soit les scalpels, ou ce lieu, tout la terrorisait. Elle faillit lui répondre, mais, au lieu de ça, la femme vint l’embrasser. A la verticale, Shani ne pouvait rien dire, et se mit à gémir faiblement, savourant ce contact. Les yeux de la femme restaient toujours aussi inexpressifs, et les joues de la secrétaire se mirent à rougir, alors que le baiser se prolongeait, et que les mains de la femme vinrent caresser sa poitrine. Shani, effectivement, commença à légèrement se détendre, écartant les lèvres, sentant la langue de la femme s’enfoncer en elle. Elle envoya également la sienne, jouant avec, savourant ce contact. Il finit par se rompre, et elle porta son attention sur le vieil homme, qui avait ôté son long chapeau, révélant une longue chevelure blanche. Shani réalisa qu’elle était excitée.

Il se présenta comme un docteur spécialiste en plusieurs trucs, ce qui ne surprit pas vraiment Shani, vu le décor. Elle regarda les personnes l’entourant. Des cyborgs ? On se croirait dans un livre de science-fiction ! Shani n’en croyait pas ses yeux. Celle qui l’avait embrassé avait de très belles lèvres... Ceci devait expliquer leur regard inexpressif. Celle qui l’avait embrassé s’appelait C15. Curieux nom, mais il ne s’agissait pas vraiment d’une humaine, après tout. L’homme continua à se présenter, indiquant être un humain ayant réussi à se greffer dans le corps d’un cyborg. Elle cligna des yeux, surprise.

« Dis moi, quel est ton nom ? » s’enquit-il alors.

Se mordillant les lèvres, elle se mit à répondre :

« Sha... Shani... »

L’autre cyborg, C14, se rapprocha alors, et Shani vit le scalpel, sentant un frisson la parcourir. Elle se bloqua contre la table, en sentant le scalpel glisser sur son corps, découpant ses vêtements, sans l’entailler. Les doigts du cyborg ne tremblaient pas, faisant preuve d’un calme qui, pour le coup, était surhumain. En quelques instants, Shani se retrouva quasiment nue. Il n’y avait plus que son sous-vêtement, un string, qui protégeait son corps. Elle se mit à frissonner, exposée ainsi devant tous ces êtres. Pouvait-elle les qualifier de pervers ? Ils n’étaient supposés ressentir aucune émotion, vu qu’il s’agissait de machines... La réalité devait être plus complexe.

*Si ce sont, à la base, des humains, il est possible que certaines émotions aient été conservées...*

Shani n’était pas encoure au bout de ses surprises, et en prit conscience lorsqu’elle entendit des trappes s’ouvrir. Elle vit alors des espèces de longs tentacules métalliques, quasiment semblables à ceux du Docteur Octopus, s’approcher en descendant. A leur extrémité, elle reconnut les formes effilées de verges, et se posa quelques questions sur la perversion de cet homme. Elle le vit alors s’approcher de lui, et ses mains se posèrent sur ses seins, la surprenant. Elle poussa un petit cri de surprise, avant de commencer à gémir.

« C'est vrai qu'elle est bien garnie cette poitrine ! commenta l’homme.
 -  Haaaa.... Humm, Docteur... »

Il se pencha vers elle, lui embrassant les seins, et elle gémit, remuant faiblement son corps, emprisonnée par les liens qui l’entravaient. Elle comprit qu’elle allait être la victime (plus ou moins consentante) du plaisir sexuel d’un homme qui avait du passer des années à faire ses cyborgs, et n’avait pas eu le temps de se soulager. Tournant la tête, elle vit C14 et C15 s’embrasser tendrement, tout en se déshabillant. Gémissant, Shani parvint à poser une question :

« Je... Haaa... Co... Comment se fait-il, Docteur, que vous et vos... Vos créations... Comment pouvez-vous ressentir du désir ? »

Sur le coup, Shani voulait tout de même en savoir plus. Elle espérait que montrer qu’elle était curieuse conduirait l’homme à ne pas se montrer brutal envers elle.

La prisonnière se poser des questions. Normal, après avoir entendu le discours du docteur. Peu de monde était au courant des ses recherches, car voila bien longtemps qu'il avait été banni de la communauté scientifique pour ses recherches jugés souvent douteuses, dangereuses ou à l'éthique discutable. Sans parler des rumeurs qui tournaient autour de lui : des disparitions, des allers et venus durant la nuit, des corps qui disparaissaient dans les morgues, voir des cobayes vivants pour ses expériences qui se soldaient par la mort des patients. En fait la plupart étaient fondé, il avait ainsi mis à mort des dizaines de personnes pour tester des expériences. La recherche de l'être parfait était pour lui, la priorité absolue, faisant fi de la vie humaine. Lorsque la vérité avait éclaté au grand jour, il s'était fait passé pour mort. Le coup avait bien réussi, puisqu'on l'avait oublié. Il était ainsi libre de continuer ses expériences. Pour les matériaux et l'argent, il les volaient, tout simplement.

- Pour moi, c'est simple, j'ai réussi à greffer mon cerveau et certaines parties de mon corps sur un corps d’androïdes. Le désir, la peine et la joie sont donc toujours des émotions que je peux ressentir. Par contre, je ne ressens pas de douleur et donc, malheureusement pas de plaisir, car je n'ai plus de nerfs.

Le docteur se tourna ensuite vers ses deux splendides créations qui les regardaient en se caressant.

- Pour ses deux la, c'est un peu particulier, elles m'ont demandé pas mal de temps, mais j'ai finalement gardé leurs corps humains, après avoir remplacé les organes naturels par de l'artificiel cybernétique. J'ai également renforcé les os et la peau, les rendant presque indestructible. Le cœur et le cerveau sont artificielles, mais j'ai cependant gardé les nerfs. J'ai cependant réussi à diminuer les sensations de douleur. Et puis, elles savent ce que les humains aiment et ce que moi j'aime...

Il était satisfait de ses créations, personne n'avait encore été aussi loin dans la recherche sur les androïdes, peut être parce qu'il se fichait pas mal de l'éthique et sur la recherche sur être être vivant.

- J'ai tout un tas de cyborgs différents : C 10 et C 13 sont spécialisé dans le combat. C 13 est le plus puissant, capable de lancer des vagues d'énergie destructrices. Il pourrait faire sauter la moitié de la planète avec sa puissance.

Il y avait également C 16, mais il était imparfait, car trop puissant et désobéissant. Bien sur, le docteur pouvait également lui parler d’expériences qu'il avait effectué sur des femmes comme elle et qui se trouvait dans des cuves au dernier sous sol de son laboratoire, mais ce n'était pas nécessaire. Au pire si elle ne se montrait pas docile, voir des femmes qu'il avait mis enceinte et qu'il transformait en androïdes en état de stase, pourrait avoir son effet.

Les deux cyborgs femelles se mirent nues. elle étaient bien faites, leurs corps possédant des formes la ou il fallait. Elles vinrent vers la Shani et l'une d'elle compara sa poitrine à celle de la jeune femme. L'autre, la rousse, caressa son entrejambe. Un bras mécanique armé d'une seringue, piqua la prisonnière, au niveau du cou, directement dans la carotide, injectant un aphrodisiaque qui ferait rapidement son effet.

Puis, la cyborg brune, retira la veste du docteur, avant de déboutonner sa chemise et de la retirer. La peau artificielle de son corps imitait parfaitement la vrai. Il avait pris soin de ne pas trop changer la stature de son corps, le réalisant à la même taille, prenant la forme 'une homme ayant la quarantaine. Il était bien fait de sa personne.

- Je ne suis pas mécontent de mon nouveau corps. Il était temps, a 80 ans passé, je n'en avais plus pour longtemps...

Le temps des explications était arrivé, et Shani ne serait pas contre. Ce qui se passait autour d’elle la déstabilisait totalement, mais elle avait du mal à concentrer toute son attention sur le Docteur Kemp. Dans son dos, les deux cyborgs féminins se déshabillaient, faisant preuve d’un doigté et d’une passion qui étaient très contagieux. Shani avait les joues rouges. Quasiment nue, elle sentait son intimité qui la démangeait de plus en plus, comme si quelque chose brûlait dans sa chatte. Kemp lui expliqua que son corps n’impliquait aucun système nerveux. Si elle se souvenait bien de ses cours, les nerfs sont des neurones ayant pour fonction de transmettre des signaux au cerveau. Ils étaient responsables de la transmission de la douleur, le faisant par le biais de messages électriques... Malheureusement, les compétences de Shani étaient très sommaires, et elle n’était pas vraiment en état de faire fonctionner ses capacités scientifiques. Kemp lui présenta ensuite ses cyborgs, les décrivant comme des individus surpuissants, capables de pulvériser la planète. Shani n’y croyait pas trop, mais elle n’allait pas le contredire. Elle ne doutait en revanche pas que ces cyborgs aient la capacité de la pulvériser, elle, et, en l’état, c’était la seule chose qui importait.

C14 et C15 se déshabillèrent entièrement, et Shani loucha sur leurs corps, sans rien dire, alors qu’elles se rapprochaient. C14, celle qui ressemblait le plus à une humaine, compara la taille de ses seins avec ceux de Shani, qui était toujours attachée. L’autre, avec les longs cheveux, glissa ses doigts le long de son vagin.

« Haaan... » gémit Shani, se mettant à mouiller.

Elle serra ses poings, son corps étant toujours entravé par les liens mécaniques. Elle ne se sentait plus vraiment en danger, ayant surtout l’impression d’être une espèce de bête de sexe que Kemp avait amené pour fêter sa réussite. Shani comprit qu’il valait mieux ne pas essayer d’être trop intelligente devant lui, car elle voyait en lui le cliché du docteur fou, prétentieux et arrogant, qui avait passé des années dans sa grotte à travailler sur ses projets. Il n’avait pas du avoir l’occasion de faire l’amour avec une femme depuis longtemps, et ce manque avait suffisamment du le marquer pour que, même en sachant qu’il ne ressentirait aucun plaisir physique, il capturerait une femme. Tout était possible avec cet homme, si ce terme s’appliquait toujours. Shani comprit surtout qu’elle allait devoir se surpasser, car elle imaginait mal Kemp se remettre en cause si cette séance ne serait pas à la hauteur de ce qu’il espérait... Et elle imaginait très bien l’homme la tuer par frustration. Quand on avait une haute opinion de soi-même, se remettre en cause frôlait l’impossible.

Shani y songeait, alors qu’elle vit un tentacule métallique se rapprocher d’elle, tandis que C14 venait dans le dos de Kemp, et le déshabillait. Un fou avec des esclaves sexuelles... Ce n’était rien de plus que ça, finalement. Shani sentit la nervosité monter, et vit une seringue sortir du tentacule. Elle frémit, n’ayant jamais appelé les piqûres, et sentit cette dernière s’enfoncer rapidement dans sa nuque, cherchant la veine, afin d’y répandre un aphrodisiaque. Elle poussa un petit gémissement de douleur en sentant la seringue, mais perçut rapidement les autres effets. Son corps se mit à s’agiter nerveusement, des spasmes le secouant, et elle mouilla un peu plus, rougissant furieusement, de désir, tandis que Kemp se retrouvait torse nu. Il était plutôt bien musclé pour un vieil homme.

« Je ne suis pas mécontent de mon nouveau corps. Il était temps, a 80 ans passé, je n'en avais plus pour longtemps... »

Il avait de beaux muscles, et Shani se mit à rougir, ses seins se mettant à pointer. Elle gémit faiblement, n’arrivant plus à se contrôler, et dit ce que le Docteur cherchait probablement à entendre :

« Prenez-moi, pitié... Je... Je veux être votre... Votre petite pute que vous bourrez bien profond... »

On sous-estimait bien trop l’appétit sexuel des intellectuels, surtout quand ils étaient âgés. 80 ans... Elle n’avait jamais fantasmé sur les vieux papys, mais il se portait plutôt bien, pour un octogénaire.

Le docteur avait pris soin d'incorporé plusieurs implants prés de son cerveau, multipliant ainsi ses capacités déjà très développes. Il pouvait ainsi détecter les sentiments des humains d’après les signes biologiques qui se dégageaient d'eux. Le mensonge, était l'un des aspect les plus fréquents et des plus utiles à détecter. C'est ainsi que le docteur qui se rapprochait de la jeune femme, avant de se tenir devant elle, lui tint ce discours.

- Hmmm, je vois. Cependant, tu es une bonne actrice, car cela fait très exactement 1mn et 45 secondes que je t'ai injecté l’aphrodisiaque et celui ci n'agit qu'au bout de 3 mn. Tu aurais du attendre un peu avant de jouer la comédie car ton discours sonne faux !

C 14 la belle brune pinça fortement ses seins qui pointaient et C 15 lui assena un puissant coup de poing dans le ventre. La dessus, le docteur appuya sur un bouton, libérant l’étreinte de la jeune femme, ayant désormais les poignets et les chevilles reliés par des chaines. Il pouvait contrôler la longueur des chaines et ainsi les mouvements de la jeune femme.

La substance fortement aphrodisiaque, continuait cependant de faire son effet. La jeune femme avait suffisamment de liberté pour se mouvoir comme elle voulait et faire ce qu'elle veux de son corps. Ses seins pointaient et sa fente devenait humide, du liquide séminal commençant à s'en échapper.

La cyborg C 14 se rapprocha du docteur caressant son corps, avant de l'embrasser. Puis elle défit le bas de ses vêtements, dévoilant un sexe long et large de bel taille, dont la peau était recouvert de sortes de petites bosses à certains endroits. En fait il s'était fait injecté des sortes de perles entre la peau et le muscle, créant ainsi des bosses. Le sexe du docteur comportait quelques cicatrices à certains endroits, signes de certaines modifications. Il avait également une paire de bourse qui pendait en dessous de sa verge. La cyborg commença à le masturber; faisant encore grossir le sexe du docteur déjà bien gros.

- Un sexe améliorer mais qui me permet également de me reproduire !

Le docteur se rapprocha de la jeune femme avant de la saisir par les cheveux. Puis il arracha son string dévoilant son intimité. C 15 ne put s'empêcher de commencer à jouer avec, introduisant deux doigts directement.

- Ta peau est très jolie, je pourrais te transformer en androïde comme C 14 et C 15. A moins que tu ne me serves pour me reproduire. Oui, tu sembles parfaite pour accueillir ma progéniture.

Sur ces mots, il caressa le bas ventre de la jeune femme. Pendant ce temps, C 14 prenait le sexe du docteur en bouche, le suçant avec vigueur, puis elle le laissa à l'air libre, touchant presque la fente de la prisonnière. Elle continua à le masturber, caressant ses bourses.

« Hmmm, je vois. Cependant, tu es une bonne actrice, car cela fait très exactement 1mn et 45 secondes que je t'ai injecté l’aphrodisiaque et celui ci n'agit qu'au bout de 3 mn. Tu aurais du attendre un peu avant de jouer la comédie car ton discours sonne faux ! »

Shani ne simulait pas, pourtant. Elle voulait bien croire que, chez un vieux papy, il fallait un peu de temps pour que l’aphrodisiaque fonctionne, mais chez elle, c’était un peu plus rapide. Elle était bel et bien excitée, mais ce n’était pas lié qu’à l’aphrodisiaque. On l’avait frappé, kidnappé, et menacé, mais Shani était une femme qui avait de grandes faiblesses sexuelles. C’était plus fort qu’elle, tout simplement, et elle n’avait jamais pu surmonter ses pulsions.

« Je... Je suis plus précoce que la moyenne, alors... » réussit-elle à baragouiner, tentant bien inutilement de se justifier.

Elle craignait que le docteur ne se fâche, et vit C14 s’approcher, avant de lui pincer les seins. Shani poussa un petit cri, et les entraves qui la plaquaient contre la table se retirèrent, la faisant tomber sur le sol. Elle ne se fit pas mal, mais cligna des yeux, en se relevant. Des chaînes la reliaient, mais elles étaient longues, et pas vraiment étouffantes. En se relevant, elle vit C14 se rapprocher du docteur, et le déshabiller. Ces types étaient tous de joyeux drilles, une bande de fous furieux, mais elle n’avait pas le choix. Shani se demandait encore ce qu’elle fichait ici, mais le plaisir qu’elle ressentait, lui, était bien sexuel. Il restait juste à espérer que Kemp ne soit pas un de ces vieux docteurs fous fascinés par la chirurgie.

C14 le déshabilla, révélant un corps musclé, décoré ici et là par quelques cicatrices, et disposant d’un sexe assez conséquent. C14 commença à masturber le docteur, ses doigts glissant sur sa verge, tandis que Shani, les joues rouges, observait cette scène, médusée. Il finit par lui avouer que ce sexe était modifié, permettant... La reproduction ?

*Euh... Oui, d’accord, mais c’est-à-dire que...* songea Shani.

Kemp s’approcha d’elle, l’attrapa autoritairement par les cheveux, et lui arracha son sous-vêtement, la laissant toute nue. Voilà, en tout cas, qui confirmait que ce type n’était pas vraiment galant. Elle poussa un petit couinement, et sentit ensuite C15, la femme à la peau bleue, se glisser dans son dos, pour la pénétrer avec ses doigts. Shani poussa de petits soupirs, tout en voyant C14 faire une fellation au docteur. La scène était très excitante, ce qui était relativement paradoxal, car elle faisait l’amour avec des robots, de vulgaires machines.

« Ta peau est très jolie, je pourrais te transformer en androïde comme C 14 et C 15. A moins que tu ne me serves pour me reproduire. Oui, tu sembles parfaite pour accueillir ma progéniture. »

Aucune des deux options, à vrai dire, ne la convenait. Tout en se tortillant, elle gémit, et parvint à articuler quelques mots :

« Une... Une descendance ? Hum... Ré... Réfléchissez-y, Docteur, ce... Ce n’est pas forcément recommandé, haaaa... »

Shani se retourna alors, faisant glisser le sexe de l’homme contre ses fesses, et embrassa à pleine bouche l’androïde, lui caressant les cheveux. C’était tellement réel. Cette peau était chaude et douce, comme aurait pu l’être celle d’une humaine normale. C’était bluffant, tout simplement ! Néanmoins, la perspective d’avoir un enfant, et de devoir rester neuf mois ici, était relativement effrayante. Elle essayait d’amener Kemp à changer d’idées, en optant pour des arguments susceptibles de faire mouche. Éduquer un enfant dans un tel endroit n’était pas forcément propice à son épanouissement...

*Ou au mien...*

La jeune femme ne semblait pas vraiment d'accord avec les idées du docteur. Cela il s'en fichait, car c'était lui qui commandait et il n'avait d'ordre a recevoir de personne. De gré ou de force il obtiendrait ce qu'il voudrait.

- Tu crois pouvoir me faire changer d'avis ? Tu as tort, je suis têtu comme une mule et je ferais ce que bon me plaira avec toi. Mais je n'ai pas encore décidé. Il faudra être tenace ou très persuasive pour me faire changer d'avis.

Pour qui elle se prenait, il n'avait de conseil à pendre de personnes, car après tout, il était bien  l'un des plus grands génies que la terre ait porté ! Il en ferait donc une poule pondeuse, un nouveau cyborg ou une assistante...a voir suivant son humeur et ses besoins.

- Eh pourquoi sa ne serait pas recommander, hein ? Tu sembles avoir toutes les caractéristiques pour et mes données indiquent que tu seras très prochainement féconde. Je ne vois pas pourquoi je me générais. De toute façon si tu as un enfant, je m'en occuperais. Il pourrait grandement servir dans mes recherches

Les modèles les plus perfectionnés étaient les modèles C 14 et C 15. Ils étaient très puissants, modulables à souhaits et ils comprenaient les humains. De parfaits cyborgs pour infiltrer les humains.

Le docteur passa derrière la jeune femme avant de se rapprocher d'elle, son sexe  frottant entre ses jambes, contre son sexe. Puis il le dirigea vers l'entrée de son sexe pour la pénétrer d'un coup sec. Bien sur, il ne ressentait aucun plaisir, c'était la l'aspect le plus dommageable pour un androïde, surtout lorsqu’il s'agit d'humains transformés en cyborgs.  Cela, il l'avait bien compris et il préférait donc  se passait de sensations et devenir une sorte d’immortel afin de continuer ses recherches. Il voulait voir la jeune femme prendre son pied et le reconnaitre comme son nouveau maitre.

Il commença à aller et venir en elle, son membre raclant les parois internes de la jeune femme, grâce aux protubérances qui parsemé son sexe. Il la tenait fermement par les hanches, laissant  plus de longueur de chaines pour qu'elle puisse prendre appui à quatre pattes. C 14 se rapprocha de la jeune femme, avant de lui tirer les cheveux, lui relevant la tête pour venir lui rouler un patin. Elle appuya sur un bouton, faisant apparaitre un canapé qui arrivait du plafond. Puis, elle s'assit face à elle, écartant les jambes.

- Vient me lécher, petite chienne !

L'autre androïde vint s'assoir sur C 14 et les deux cyborgs se caressèrent mutuellement.

Comme elle s’y attendait, Kemp était visiblement hostile à l’idée de ne pas procréer. Quelle chance ! Shani avait du mal à réfléchir, car elle était excitée. Son cerveau embrumé fonctionnait difficilement, mais elle savait qu’elle ne voulait pas tomber enceinte... Surtout pas de la part d’un cyborg âgé ! Avoir un enfant n’encourageait nullement Shani, et Kemp lui avoua être en pleine réflexion. Il faudrait trouver des arguments pertinents... Ce qui serait difficile, vu l’état d’excitation dans lequel Shani se trouvait. De plus, elle ne pouvait pas tout simplement faire valoir son refus, car il l’avait capturé, et se moquerait bien de son avis. Elle devait trouver des arguments différents, plus constructifs, ce qui était difficile.

« Eh pourquoi sa ne serait pas recommander, hein ? Tu sembles avoir toutes les caractéristiques pour et mes données indiquent que tu seras très prochainement féconde. Je ne vois pas pourquoi je me générais. De toute façon si tu as un enfant, je m'en occuperais. Il pourrait grandement servir dans mes recherches. »

Shani rougit follement, essayant de mettre de l’ordre dans ses pensées, tandis que le docteur se glissa dans son dos, et la força à se mettre à quatre pattes. Shani n’opposa aucune réaction, serrant les poings sur le sol froid, et sentit alors la queue de l’homme s’enfoncer dans son sexe. Il la prenait en levrette, et ses doutes sur sa fécondation disparurent rapidement, au fur et à mesure que l’homme la prenait avec passion. Il était sauvage et brutal, et elle se mit à gémir, remuant sur le sol, ses genoux glissant par terre. C’était froid. Cependant, il la prenait avec une telle force qu’elle ne pouvait s’empêcher d’être excitée. Les mains du Docteur l’agrippaient fermement, et elle se mit à pousser des petits cris.

« Haaaaa... Haaaaaaaaaa... Docteuuur, haaaaaaaaa ! »

Que pouvait-elle dire de plus ? Yeux clos, elle le laissait s’enfoncer en elle, incapable de réfléchir. Elle se faisait baiser avec voie, et, en rouvrant les yeux, Shani vit C14 se rapprocher d’elle. Elle la souleva par les cheveux, faisant faiblement gémir Shani, qui répondit ensuite au baiser cette dernière, fourrant sa langue dans sa bouche. Ce fut un baiser assez bref, tandis qu’un confortable canapé apparut derrière C14, qui s’assit dessus. Le membre, gros, continuait à remuer en elle, la faisant souffrir de plaisir, et elle vit C15, la belle dame à la peau bleue, se rapprocher également.

« Vient me lécher, petite chienne ! » ordonna C14 à Shani, qui rougit de plaisir.

C15 s’assit également sur le canapé, et les deux femmes se mirent à se caresser. Ne pouvant guère trop relever la tête, elle s’attaqua à la seule partie du corps de C14 qui était disponible : ses jambes. Elle tendit l’une de ses mains, agrippant la peau synthétique et chaude, gémissant et haletant, et lécha son pied, obtempérant silencieusement, tandis que les deux cyborgs se faisaient un long et tendre câlin. Shani lécha le pied de la cyborg, mordillant un peu sa peau, ayant du mal à se concentrer, avec ce sexe qui lui bourrait les fesses.

« Haaan haaaaan... Haaaalleeeezz, Doc... Dooocteur ! »

La jeune femme ne montrait pas de résistance et le docteur s'en félicitait. Cela montrait au moins qu'elle était intelligente, une raison de plus pour la féconder. Même si évidemment, elle était loin de d'égaler ou même d'approcher son génie. Cela, il l'avait calculer grâce à son cerveau, directement relié à l'ordinateur central qui lui transmettait les dernières données qu'il récupérait. Le docteur pouvait vivre sans l'ordinateur, mais ce dernier lui permettait d'obtenir des données plus rapidement. Quand aux autres cyborgs, si l'ordinateur central était détruit, ils resteraient avec les mêmes données, mais toujours aussi dangereux. Si la jeune femme était sage, il lui montrait peut être son cyborg le plus puissant. Depuis sa rébellion, il ne l'avait réanimé qu'une seule fois, après bien des modifications et il était totalement obéissant, excepté quelques dernière améliorations à effectuer. Depuis lors, il les avaient réalisé.  C 16 était le cyborg le plus puissant qu'il n'ait été d'exister sur Terre ! Il surpassait même C 13, pourtant déjà très puissant.

Il continuait de bourrinait le vagin de la jeune femme avec sa nouvelle queue, sans ménagement. Sa main droite vint caresser ses seins, avant de venir caresser son cou et sa bouche? Il introduisit ensuite un doigt dans sa bouche afin qu'elle le suce comme une vulgaire nymphomane en manque de sexe. Il fit un signe au géant C 13 qui observait la scène sans sourciller. Normal, vu qu'il n'avait pas de sexe comme C 10. Le cyborg appuya sur un bouton qui actionna un tentacule. Ce dernier, terminé par une seringue, injecta une nouvelle dose d'aphrodisiaque encore plus puissant que la dernière fois. Avec cette dose, elle allait agir comme une droguée en manque de sexe, une véritable dépravée. C'est pourquoi le docteur se retira, laissant un filet de mouille relier son sexe au vagin de la jeune femme.

 Il se releva avant de venir s'assoir prés des deux jeunes femmes. C 14 vint le sucer, avalant le mélange de pré sperme et de mouille qui enduisait son membre.

- Maintenant, je veux voir la salope qui est en toi ! Je te préviens, je ne m'occuperais de toi que si tu sais te montrer convaincante. Sans cela, tu ne pourras que compter sur tes doigts.

Le docteur embrassa C 15 qui caressait son torse alors que l'autre cyborg lui faisait une fellation, regardant la jeune femme. Le docteur avait descendu les chaines et il libéra même son emprise, la laissant libre. Mais même libre, elle ne pourrait aller bien loin. Le docteur lui même, était bien assez fort pour l'empêcher de partir.

- Tu es libre maintenant, fais ce qu'il te plait !

Le docteur aimait faire du mal aux autres et surtout à ses partenaires. Il avait toujours était un dominateur sans partage, sadique et humiliateur à souhait. I adorait être maître du jeu et voir sa victime le suppliait de faire des actes sales envers elle. Oui il était plus que perturbé : paranoïaque, antisociale, sadique, psychopathe...bref un vrai génie du mal. Mais jusqu'ici, personne n'avait pu rivaliser avec son génie polymathe.

Shani léchait la jambe de la cyborg, sans trop pouvoir se contrôler. Le sexe du docteur en train de lui défoncer la chatte était une expérience douloureuse et jouissive. Shani mouillait, indiscutablement. Non seulement Kemp l’avait drogué, avec son aphrodisiaque, mais elle se trouvait dans une situation assez grisante. Certes, cet homme était dangereux, à moitié fou, mais elle savait aussi qu’il était fort. Fort, dans le sens où il était intelligent, et où l’intelligence était l’une des plus grandes qualités de ce monde. Bien qu’elle ne soit que secrétaire, Shani savait cela. Elle était volontiers du genre à regarder le sage quand celui-ci, du doigt, montrait la Lune. Pour elle, il était plus intéressé de se rapprocher du sage que de la Lune. Et, dans cette situation, Kemp était le sage. Fou, détraqué, pervers, mais puissant... Et cette perversion, alliée à sa puissance, était grisante, excitante. Elle se plaisait à être sa soumise, même si être enceinte ne la tentait pas. Et Shani savait que, si elle ne le voulait pas, elle ne serait pas enceinte. C’était ainsi. Mais elle préférait ne pas le dire à l’homme pour le moment.

Elle haletait et gémissait, et sentit l’homme se rapprocher d’elle, pelotant ses seins, avant de remonter vers sa bouche. Sa queue était grosse et tendue, et elle ouvrit la bouche, sentant l’un de ses gros doigts vieux et durs s’enfoncer en elle. Elle referma ses lèvres dessus, fermant les yeux en le suçotant goulûment, et vit alors un tentacule se rapprocher d’elle, et la piquer à nouveau.

« Huuuuuuuuuuuuuuuuuuuu... !!! » gémit lourdement Shani.

Yeux clos, elle sentit une bouffée de sexe l’envahir, et resta à quatre pattes, baissant les yeux, sentant l’homme se retirer de son intimité. De la mouille en coulait toute seule, et elle se tenait à quatre pattes sur le sol, tremblant comme une feuille. Une nouvelle dose avait excité ses hormones, la rendant encore plus folle de désir. La secrétaire remua lentement la tête, se mordillant les lèvres, tandis que Kemp vint s’asseoir devant elle, sur le canapé. C14 se mit alors entre les jambes de l’homme, faisant une fellation à ce dernier. Clignant des yeux, elle reprenait lentement ses forces, ayant du mal à se contrôler. Shani gémissait, sentant une envie phénoménale de baiser s’instaurer en elle. Ça la démangeait, la dévorant de l’intérieur, tel un feu ardent qui brûlait tout son corps.

Kemp l’avait drogué, et elle avait les joues rouges, gémissant en relevant la tête. Le docteur se mit alors à lui parler, d’une voix forte et autoritaire :

« Maintenant, je veux voir la salope qui est en toi ! Je te préviens, je ne m'occuperais de toi que si tu sais te montrer convaincante. Sans cela, tu ne pourras que compter sur tes doigts. »

Elle rougit, comprenant ce que l’homme voulait : la traiter comme une pute. Elle était tellement excitée qu’elle avait du mal à se contrôler. Elle mouillait abondamment, et se caressait intensivement, enfonçant deux doigts dans son intimité, pleurant presque, tant le sexe lui manquait. C15, de son côté, était assise sur le canapé, embrassant de temps en temps le docteur. Shani restait à quatre pattes, et vit, dans un coin, le géant gris, C13, celui qui l’avait assommé. C’était lui qui avait fait venir le tentacule, et Shani cligna des yeux. Elle regarda ensuite le Docteur, puis C15, et s’avança vers elle, le sexe en feu. Elle continuait à mouiller, et attrapa la jambe bleue de C15. Elle n’avait, bien sûr, nullement la force de forcer cette dernière, mais voulait offrir au docteur le spectacle qu’il voulait.

Shani amena ainsi C15 à s’asseoir à côté du docteur, et adopta plus ou moins la même position que C14. Elle fourra sa langue entre les cuisses de la femme bleue, tout en posant ses mains sur chacune de ses fesses, léchant amoureusement son intimité. Elle remuait faiblement son bassin, et continua à lécher la cyborg, avant de tourner la tête vers le docteur, le suppliant presque :

« Pi... Pitié, Docteur... Je... Vos tentacules... En moi... »

Ça lui faisait tellement chaud ! La pauvre n’en pouvait plus, elle voulait tellement se faire prendre !

Le docteur pris plaisir a voir la jeune femme se doigté, la langue a moitié pendante avant de se diriger vers le cyborg C 13. Celui ci la regarda sans rien dire, sans affirmer aucune émotion. Puis elle se rapprocha de C 15, venant lécher son intimité. La cyborg souria et appuya la tête de la jeune contre son entrejambe.

- Mets y de l'entrain ! Sinon, tu vas déguster !

Pendant ce temps, l'autre cyborg se releva avant de venir chevaucher le docteur. Elle dirigea le membre du docteur vers l'entrée de son sexe, avant de s'empaler dessus, gémissant au passage. Puis elle commença à aller et venir, alors que le docteur léchait ses seins.

- C'est sa que tu veux ? C 13, amène les tentacules remplit cette garce !

Les tentacules arrivèrent prés de la jeune femme et l'un d'entre eux rentra dans la bouche de la jeune femme, se terminant par ce qui ressemblait à une phallus. trois autres vinrent caressaient le corps de Shani alors qu'un autre s'introduisit dans son vagin. Un dernier qui se terminait par des sortes de boules, vint pousser contre son anus afin d'y rentrer trois boules de geishas. Le tentacules enserraient les seins de la jeune femme et laissaient des sortes de traces de liquide collants et chauds sur son corps. Les tentacules pouvaient émettre une sorte de semence artificielle sucré.

- Quel beau spectacle !

Le docteur appuya sur un bouton et un deuxième tentacule rentra dans le vagin de la jeune femme. Deux autres boules de geishas, plus grosses rentrèrent dans son cul et le tentacule qui était dans sa bouche emit quelques jets de semences au fond de sa gorge. Pendant ce temps, la cyborg rousse se dirigea vers la jeune femme et elle se laissa pénétrer par les tentacules, suçant l'un d'eux et introduisant deux d'entre eux dans son vagin.

Le docteur vira la jeune femme, se relevant, la queue toujours en érection. Il se dirigea vers la jeune femme. Il plaça la jeune femme sur le dos, relevant son bassin vers le haut. Les deux tentacules sortirent de son  antre et il fourra son membre en elle.

- Tu vas devenir mon vide couille !

Il la pilonna pendant un moment, avant de ralentir et de jouir en elle. Il déversa une quantité impressionnante de semence, remplissant son utérus et son vagin. Son foutre débordait de la chatte de la jeune femme, coulant le long de ses cuisses et de son pubis. Puis, il resta un peu en elle, avant de se retirer. Un long filet de sperme épais reliait son gland à l'entrée de son vagin. Un dernier jet vint tapisser la poitrine de la jeune femme. Les deux tentacules revinrent remplirent le vagin de la jeune femme, faisant gicler la semence qui était à l’intérieur.