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Vacances à Okinawa [Célia Sky]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Vacances à Okinawa [Célia Sky]

vendredi 07 décembre 2012, 23:17:42


De tous les endroits de la Terre, bien des gens s’accordaient à dire que l’archipel d’Okinawa était l’un des endroits les plus beaux de la planète. Les Français et leur Corse pouvaient honteusement se rhabiller, disait-on, devant la splendeur naturelle de ce vaste archipel. Comprenant une dizaine d’îles habitées, l’archipel Okinawa était un haut lieu touristique, qui avait conservé toute la beauté de l’ancien Japon. Aucun immeuble en béton armé, aucune tour de verre et d’acier, aucun building. Il n’y avait généralement que de petites maisons à un étage, ou des hôtels le long de la côte. Tout était fait pour préserver le biosystème okinawaïen. Alice avait beaucoup entendu parler de cet archipel, et, dans la mesure où elle visitait la Terre, elle avait finalement réussi à obtenir un billet d’avion, ainsi qu’un séjour de plusieurs jours dans un hôtel.

Malheureusement, sa femme n’avait pas souhaité venir, éprouvant toujours autant de réticence à l’idée de revenir sur Terre. Alice était donc partie seule, ou presque. L’un de ses Commandeurs l’avait également suivi, veillant de loin sur elle. Elle était dans un bel hôtel au bord de lamer. Il faisait chaud, et elle observait la mer, sentant un léger vent frais remuer sur ses cheveux. Elle s’étira, bâillant, et prit une rapide douche. Elle passait ses journées à la plage, et ne tarda pas à sortir de sa chambre, ayant des vêtements plus que simples : une culotte noire en guise de maillot de bain, un soutien-gorge noir, et un tee-shirt. Elle descendit le long d’un escalier en bois se situant à l’extérieur, et sentit rapidement sous ses pieds du sable fin. Il y avait bien une route à proximité, mais elle était sortie du côté de la plage, s’avançant le long de bungalows, de terrasses en bois. Elle avançait pieds nus, et suivit le petit chemin menant à la plage.

Pour vaincre sa phobie de l’eau, rien de mieux que de se baigner ! Alice suivait avec entrain cette sage philosophie. Étant une montagnarde, l’eau lui faisait toujours un peu peur. Elle n’avait pas envie de finir noyée, et, la première fois qu’elle avait vu la mer, elle avait eu la peur de sa vie, craignant que des monstres aquatiques ne jaillissent des profondeurs aquatiques pour la dévorer. Les dragons n’aimaient pas l’eau. Ils préféraient l’étendue du ciel, cette immense liberté qui s’offrait à nous quand on volait dans les airs. Qui aurait envie de se baigner ? C’était idiot ! Néanmoins, Alice ne supportait pas sa peur contre l’eau. Elle luttait donc contre cette dernière, et s’en sortait de mieux en mieux.

*Je vais essayer de m’avancer un peu plus ce matin...*

Il y avait bien des touristes, et Alice descendait le long du chemin ensablé, prudente. Elle voyait surtout des couples, des familles, et quelques adolescents... Ces derniers préféraient toutefois des versants plus animés de l’île, où il y avait de hautes vagues. A l’idée d’être aplatie par des vagues si puissantes, Alice se sentait sur le point de faire un malaise. L’eau douce la paniquait déjà suffisamment comme ça. La petite Princesse s’avançait lentement, et marcha, sans faire exprès, sur une branche de bois partiellement recouverte par du sable.

« Aïe ! » s’exclama-t-elle.

Elle sentit une vive douleur dans le pied, et tomba sur le sol, se tenant ce dernier. Une écharde s’était enfoncée sur sa plante, et elle sentit une vive douleur, très désagréable, émaner de son pied.

« Que vous arrive-t-il, Madame ? demanda un homme.
 -  J’ai mal au pied ! »

L’homme se gratta la tête. C’était un obèse moustachu. Un remède antisexe parfait. Un petit attroupement commençait à se former autour de la Princesse meurtrie.

Célia Sky

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Re : Vacances à Okinawa [Célia Sky]

Réponse 1 samedi 08 décembre 2012, 13:49:55

Connaissez vous very bad trip? Non...C'est bien bizarre. C'est l'histoire d'une bande de copain qui après une fête monumentale se réveille je ne sais où avec un immense trou de mémoire. L'opus numéro 3 n'étant jamais sorti je pense que j'aurais été parfaite pour jouer la fille de la bande. Un affreux mal de crane, une chambre sans dessus dessous je me réveillai en pensant à ce bon vieux film qui m'avait fait tant rire. J'étais allongée sur le sol, de la chantilly plein sur les épaules habillée d'une petite nuisette noire mon premier réflexe fut de prier dieu pour que j'ai encore sur moi ma petite culotte et dieu merci elle était là et elle était bien sec. Je me levai baillant comme jamais je n'avais baillé, je contemplais le désastre. La chambre n'en était plus une, c'était devenu un vrai bordel et le pire était que je ne pouvais normalement pas me payer ce genre d'endroit mon compte devait surement être a sec à l'heure qu'il était et il le sera encore plus une fois que les propriétaires auront vu le carnage.

Je ne suis pas trop le genre de fille à me casser la tête ce qui est fait est fait, je me dirigeai donc vers la douche pour retirer cette odeur de nourriture et de condiment que je portais sur moi. Propre comme un sous neuf et habillée je me décidai donc enfin d'aller voir où j'étais en espérant ne pas m'être trop éloigner de Seikasu, quoi que plus j'étais loin moins j'avais de risque d'avoir fait un truc de préjudiciable à mon métier et à ma vie monotone et sans souci à laquelle je tenais tant. Je descendis au hall d’hôtel, il était somptueux. Assez beau pour loger les plus grands de ce monde et moi: la petite infirmière de lycée qui n'a dans ce compte que dix mois de salaire avait put se payer une chambre dans un hôtel pareil:j'ai dut contracter un prêt pendant mon délire pensais je.

Pardon Mademoiselle mais puis je savoir où nous sommes?

Vous êtes à l’hôtel Costa à Okinawa pourquoi?

Non non ... Rien merci mademoiselle.


Okinawa... C’était affreusement loin d'où j'habitais, j'avais surement pris l'avion pour venir jusque là et cette idée m'effrayait. J'ai toujours eu peur de l'avion et de tout ce qui volait, un traumatisme subvenu avec ma perte de mémoire le médecin m'ayant informé que j'avais fait une grande chute d'au moins deux étages. Je devais donc retourner chez moi par bateau, ou en me droguant et en prenant à nouveau l'avion mais pour à ce moment je n'avais pas d'autre idée que d'aller visiter ce bel endroit à l'allure paradisiaque.

De toute les situations bizarres dont lesquels je m'étais mise celle ci était ma préférée. L'endroit était juste somptueux, je n'avais encore jamais vu des ruelles et des panoramas aussi beaux. Je me pavanais en respirant l'aire frais légèrement salé, je m’arrêtai à un distributeur de billet où je fus agréablement surprise j'avais encore assez d'argent pour faire un peu de shopping. J'allai acheté un maillot gardant le reste pour un peu plus tard et me dirigeant vers la plage.Habillée de mon bikini je m'allongeai sur le sable chaud, portant mes lunettes de soleil et écouteur dans les oreilles je faisais ma feignasse et bronzais bien calmement. Bien entendu les petits garnements vinrent quelques fois me déranger envoyant sans le faire exprès du sable dans mon haut un peu trop serré ou dans une partie un peu plus dérangeante mais cette journée était agréable. Et puis finalement je commençai à m'ennuyait, le coté des jeun's était beaucoup plus mouvementé mais était ce bien cela que je voulais, pour me remettre les idées aux claires je décidai d'aller faire trempette.

 En me dirigeant vers la mer je remarquai une petite blonde tout ce qu'il y a de plus mimi, un corps fin des cheveux d'or et une bouille qui aurait fait craquer n'importe quel monstre. J'aurais tant aimé l'aborder mais j'étais bien trop timide pour cela et puis elle devait être très jeune. Rougissante je plongeai la tête la première dans l'eau allons faire quelques brasses sans me retourner.L'eau était bonne, en faite tout était parfait sur cet île un petit déménagement vers ici ne me ferait pas de mal. Soudain un bruit de panique me fit tourner la tête vers le bord, une masse de gens s'était rassemblée autour d'un gros chauve very very laid.. Une victime de l'insolation peut être avec une masse pondéral comme celle qu'il avait il devait suffoquer à un temps pareille.

Je me mis à nager vers la foule et en m'approchant je remarquai la petite blonde craquante allongée sur le sable. Ce serait donc elle la victime de malaise ... Je sortis de l'eau rapidement remettant mes cheveux en arrière pour ne pas être gênée. Je bravi la petite foule qui était autour elle répétant par ci par là que j'étais infirmière et que je saurais quoi faire quand j'arrivai devant le gros moustachu.

Mademoiselle vous zetes infirmieeere? Je saiis pas ce qu'elle a ... Elle dit qu'elle a mal au peton ...


Euuh d'accord monsieur vous pouvez *je le poussais quelques peu de coté avec ma main* AHh beurrkk mais vous suez ... AHHHH nan mais c'est pas possible je suis enduis de votre sueur ...

J'étais mais ... Dégoûtée, pensant un moment à me couper la main. Le chauve s'en alla la tête basse ce qui me fit un peu de peine mais c’était vraiment ignoble que de le toucher. Je souris à la blonde me penchant un peu vers son pied, je l'attrapai délicatement y remarquant finalement l'écharde. Je me redressai en souriant la fixant du regard:

Ne t’inquiète pas c'est juste une écharde ... Rien de bien grave. *Je me tournai vers un jeune père de famille* Vous pourriez m'aider et la soulever juste la bas j'ai un peu d'alcool sur moi et en cas où je pourrais lui faire un bandage..

Aussitôt dit aussitôt fait, le jeune homme la souleva en souriant à sa femme qui le fusilla du regard ce qui me fit bien sourire. Nous fîmes quatre mètres ensemble avant qu'il ne la dépose sur ma serviette. Je sortis la bouteille d'alcool chirurgical de mon sac et je déposai les deux genoux au sol me mettant à quatre pattes pour pouvoir mieux entrevoir l'écharde.

Ça va un peu piqué ma belle ...

En une fraction de seconde je retirais le petit bout y appliquant directement l'alcool je lui jetai par la suite un nouveau regard en rigolant:

Ca te fait toujours mal? Ou était ce juste ta peur de l'eau qui te bloquait?

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Vacances à Okinawa [Célia Sky]

Réponse 2 mercredi 12 décembre 2012, 21:25:07

C’était comme si quelque chose était enfoncé dans son pied, la faisant souffrir. Alice espérait que son père ne le saurait jamais. Lui qui se battait sur le champ de bataille, et avait reçu des coups d’épée... S’il apprenait qu’une simple écharde suffisait à terrasser sa fille, elle se ferait sûrement gronder. La Princesse ne s’imaginait toutefois pas marcher, et rougit faiblement en voyant cet attroupement. Elle supposait qu’on devait surtout chercher à voir la consistance de sa poitrine. Même avec son tee-shirt, on devinait aisément la forme alléchante de ses seins. Le pire, c’était ce gros type devant elle, qui lui occultait la vue, et l’oppressait à moitié. Elle tenta de dire quelque chose, mais vit alors une superbe femme se rapprocher. Elle avait une poitrine très attirante, et le rougissement d’Alice ne fut pas que lié à sa situation. Elle ne dit rien, mais se sentit transportée, et se retrouva sur une serviette.

Une écharde... Elle avait hoché la tête quand la femme lui avait expliqué ce qu’elle avait, sans rien dire de plus. Ça faisait mal ! Alice était vraiment une petite Princesse... Fleur bleue jusqu’au bout des ongles. La jeune femme à la belle chevelure bleue sombre lui annonça que ça allait piquer... Tout en l’appelant « ma belle#, faisant rougir à nouveau Alice, qui poussa alors un petit cri de douleur.

« Hî ! »

Effectivement, ça piquait ! Mais ce fut assez bref, et elle sentit ensuite un vif soulagement. Elle remua son pied endolori, et un sourire éclaira son visage. Sa sauveuse l’avait soigné ! Son pied allait bien mieux maintenant. Sur la serviette, Alice avait ses jambes tendues, et releva la tête vers la femme.

« Ca te fait toujours mal ? Ou était ce juste ta peur de l'eau qui te bloquait ? »

La Princesse rougit à nouveau, de honte, et secoua la tête.

« J’ai pas peur de l’eau ! » s’exclama-t-elle d’une voix véhémente.

D’une certaine façon, c’était la meilleure manière d’indiquer que l’eau la terrorisait. La Princesse se mordilla les lèvres, et baissa la tête, avant de se reprendre. Son regard dériva vers l’eau. Elle voyait des enfants bondir dedans, s’amuser à sauter, à se battre, à s’éclabousser, à se couler... Pauvres inconscients ! L’eau était terrifiante. Alice regarda à nouveau sa sauveuse, et ses yeux dérivèrent sur sa belle poitrine. Son regard s’y perdit pendant plusieurs secondes, avant que la Princesse ne réalise ce qu’elle faisait. Elle se racla alors la gorge, et entreprit de se relever.

« Je vous remercie pour ce que vous avez fait, lâcha-t-elle. Cette vilaine écharde m’a surprise... Je m’appelle Alice. Et toi ? »

Alice était passée rapidement du vouvoiement au tutoiement. Elle s’était redressée, et ôta alors son tee-shirt. Il faisait chaud ici, et elle le posa sur la serviette. Debout, elle se mit à contempler la belle mer au loin.

*Une Princesse ne doit pas avoir peur d’une chose aussi puérile...*


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