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L'amour de la chanson [Lynn Minmey]

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Anna Mercury

L'amour de la chanson [Lynn Minmey]

vendredi 07 décembre 2012, 23:15:02

Le concert se terminait sous une véritable ovation. Depuis le toit, Anna observait la scène, un peu médusée. Il y avait tellement de monde... Elle observait toujours ces scènes d’hystérie populaire en étant très intriguée. Là d’où elle venait, il n’y avait quasiment plus de concerts, à part des concerts virtuels, sans grand intérêt. Depuis le toit, ombre invisible, elle entendait les ovations. Les fans hurlaient, bondissant sur place, tandis qu’une belle femme avec des gants roses et une minijupe se tenait sur scène, saluant visiblement son public. Anna se redressa, et se mit à avancer le long du toit. Elle se tenait juchée au-dessus du stade de Seikusu, un endroit où on organisait généralement les compétitions sportives. Assez long, le stade se situait en-dehors de la ville, et comprenait plusieurs parkings, bondés. Il y avait des voitures de police dehors, et de nombreux agents de sécurité. Lynn Minmey venait d’organiser un concert très attendu, qui avait fait carton plein. On l’applaudissait, on la sifflait de joie, on la couvrait d’admiration, on la photographiait, et Anna avançait le long du toit.

Il fallait dire qu’elle était plutôt une bonne chanteuse, voire même très bonne. Anna avait vu l’un de ses clips par hasard en se trouvant au Japon. Elle était tombée sous le charme, et avait décidé de profiter de son congé pour en savoir plus sur elle, pour l’étudier, l’observer, se rapprocher d’elle... Cette enquête l’avait conduite ici, sur le toit du stade, en pleine nuit, à chercher un moyen de descendre pour s’approcher des loges, où la chanteuse se rendrait avant de retourner chez elle. C’était un plan complètement farfelu, mais l’agente avait envie de la voir de plus près.

*Les artistes sont tellement rares dans mon monde...*

Elle cherchait à se justifier, et parvint à trouver un moyen de descendre. La chanteuse s’était entre-temps repliée, quittant la grande salle pour rejoindre les loges. Anna, de son côté, pénétra dans les escaliers extérieurs des tribunes. Elle avait bien du chanter devant des dizaines de milliers de spectateurs. Ce spectacle était troublant, et elle voyait certains fans rebrousser chemin. Anna partit sur la droite, suivant un couloir, et enclencha son camouflage optique. Il y avait plusieurs agents de sécurité devant, mais, dans le tintamarre qu’on entendait à proximité, elle n’eut aucune difficulté à passer devant eux sans qu’ils ne remarquent rien. Elle put ainsi se rendre dans des accès interdits, au-dessus des vestiaires où, généralement, les équipes sportives se rendaient.

Anna avançait dans des couloirs sobres et propres, entendant les bruits de la foule. Néanmoins, plus elle avançait, plus les bruits étaient sourds, distincts. Les murs devaient être insonorisés. Continuant à s’avancer, Anna grimpa un escalier, et entendit des agents de sécurité parler entre eux.

« Sacrée performance... commenta l’un des deux.
 -  J’ai obtenu un autographe d’elle. Ma fille l’adore, elle se passe en boucle son album tous les soirs.
 -  Je crois qu’elle n’est pas la seule à l’adorer. »

Les deux hommes se mirent à rigoler. Anna resta dans le coin, prudente, tandis qu’ils se mettaient à fumer. Elle en profita pour passer, et remonta le long du couloir, un léger sourire sur les lèvres. Ils étaient dans la salle de repos, et elle ne tarda pas à voir une porte avec une inscription provisoire : « LOGE. NE PAS DÉRANGER. » Un sourire victorieux se dessina sur les lèvres d’Anna, qui s’approcha de la porte, et toqua doucement dessus, désactivant son brouilleur. Elle sentait son cœur tambouriner lentement dans sa poitrine, sous l’effet de l’excitation.

*Je reste quand même une grande gamine...*

Lynn Minmey

Humain(e)

Re : L'amour de la chanson [Lynn Minmey]

Réponse 1 lundi 10 décembre 2012, 17:46:08

[HRP : c'est bon c'est comme je veux ^^ ]

Le concert avait été un vrai plaisir pour moi, mes fans étaient tous au rendez-vous et scandait mon nom… j’étais très heureuse d’avoir chantée durant les deux heures du concert… je m’approchais de l’estrade et approcha le micro de mes lèvres…

_ « Merci d’être venus pour me voir… je vous aime tous ! Et en exclusivité, je vais vous chanter ma dernière chanson intitulée « Ai Oboete Imasuka » ! Te souviens-tu de l’amour ! »

Et je me mis à chanter ma nouvelle chanson…


« Ima anata no koe ga kikoeru                     (Maintenant, j'entends ta voix)
« Koko ni oide » to                               (Dire « viens ici pour moi »)
Samishisa ni makesouna watashi ni                 (Juste au moment où il semblait que ma solitude m'avait battu)
Ima anata no sugata ga mieru                      (Maintenant, je te vois)
Aruite kuru                                       (Marcher vers moi)
Me wo tojite matte iru watashi ni                 (Je ferme les yeux et je t'attends)

Kinou made namida de kumotteta                    (Jusqu'à hier, il ne semblait être remplis que de larmes)
Kokoro wa ima...                                  (Mais maintenant mon cœur est... )

Oboete imasu ka me to me ga atta toki wo          (Te souviens tu ? De l'époque à laquelle nos yeux se sont rencontré ?)
Oboete imasu ka te to te ga fureatta toki         (Te souviens tu ? De l'époque ou nos mains se sont touchés ?)
Sore wa hajimete no ai no tabidachi deshita       (C'était la premiere fois que j'étais sur la route de l'amour)
I LOVE YOU SO                                     (I LOVE YOU SO)

Ima anata no shisen kanjiru hanaretetemo          (En ce moment, je peux sentir ton regard)
Karada-juu ga atatakaku naru no                   (Même si tu n'es pas ici avec moi)
Ima anata no ai shinjimasu                        (Et dans mon corps une chaleur commence à briller)
Douzo watashi wo                                  (En ce moment, je crois en ton amour)
Tooku kara mimamotte kudasai                      (Alors s'il te plait, veille sur moi, même de si loin)

Kinou made namida de kumotteta                    (Jusqu'à hier, il ne semblait être remplit que de larmes)
Sekai wa ima...                                   (Maintenant le monde est...)

Oboete imasu ka me to me ga atta toki wo          (Te souviens tu ? De l'époque à laquelle nos yeux se sont rencontré ?)
Oboete imasu ka te to te ga fureatta toki         (Te souviens tu ? De l'époque ou nos mains se sont touchés ?)
Sore wa hajimete no ai no tabidachi deshita       (C'était la premiere fois que j'étais sur la route de l'amour)
I LOVE YOU SO                                     (I LOVE YOU SO)

Mou hitoribotchi ja nai                           (Je ne suis plus seule)
Anata ga iru kara...                              (Maintenant que tu es ici avec moi)

Oboete imasu ka me to me ga atta toki wo          (Te souviens tu ? De l'époque à laquelle nos yeux se sont rencontré ?)
Oboete imasu ka te to te ga fureatta toki         (Te souviens tu ? De l'époque ou nos mains se sont touchés ?)
Sore wa hajimete no ai no tabidachi deshita       (C'était la premiere fois que j'étais sur la route de l'amour)
I LOVE YOU SO                                     (I LOVE YOU SO)

Mou hitoribotchi ja nai                           (Je ne suis plus seule)
Anata ga iru kara...                              (Maintenant que tu es ici avec moi)

Mou hitoribotchi ja nai                           (Je ne suis plus seule)
Anata ga iru kara...                              (Maintenant que tu es ici avec moi)

Mou hitoribotchi ja nai                           (Je ne suis plus seule)
Anata ga iru kara...                              (Maintenant que tu es ici avec moi)




Je fis signe au public puis leur fis une révérence et leur dis : _ « Merci à vous tous ! Je vous aime ! »

Puis je quittais la scène pour me retrouver dans les vestiaires, je fis un signe aux agents, l’un d’eux me demanda un autographe pour sa fille de cinq ans, je le lui signais volontiers… je n’étais jamais avare de mes autographes, comme certains chanteurs ou célébrités… je leur fis un grand sourire puis j’entrais dans ma loge provisoire où je m’enfermais…

Tout en me déshabillant pour me changer, j’étais bien heureuse que tout ce soit très bien passé… j’étais en petite tenue, soit un soutien-gorge en dentelle blanche et en petite culotte de la même dentelle quand on frappa à la porte de ma loge…

_ « Un instant, Kaïfun, je ne suis pas encore visible ! Fis-je à travers la porte… »

Même si c’était mon cousin, je n’allais pas lui ouvrir dans une tenue plus que légère… je m’habillais rapidement d’un mini-short très court, d’un t-shirt vert et d’un petit haut rose… puis j’allais ouvrir la porte… je fus surprise de voir une belle jeune femme rousse magnifique… je rougis en la voyant…


_ « Bonjour… qui êtes-vous ? Que faites-vous ici ? Comment vous avez passé les agents de la sécurité ? »
« Modifié: mardi 11 décembre 2012, 15:40:04 par Lynn Minmey »

Anna Mercury

Re : L'amour de la chanson [Lynn Minmey]

Réponse 2 mercredi 12 décembre 2012, 21:23:40

Derrière la porte, Anna pouvait entendre la chanteuse se dépêcher, se presser. Anna aurait tout à fait pu ouvrir la porte, mais elle avait choisi d’être polie, et de respecter l’intimité de cette femme. C’est fou, parfois, ce qu’on osait faire, quand on n’était pas dans sa propre dimension... Chez elle, Anna n’aurait jamais osé s’infiltrer dans les loges d’une chanteuse pour aller la voir... Mais il fallait aussi admettre que, chez elle, la sécurité était nettement plus relevée. Elle entendit la femme s’approcher, et la porte s’ouvrit. Anna, qui s’attendait à la voir dans sa tenue d’artiste, fut aussi surprise que la chanteuse, quand elle réalisa qu’elle avait eu le temps de changer... Ou peut-être moins surprise, car elle ne rougit pas.

Lynn avait remplacé son espèce d’uniforme d’écolière par un minishort en jean très court, une espèce de débardeur vert, et une sorte de léger pull rose. L’ensemble lui allait plutôt bien, et Anna loucha sur les superbes jambes fuselées de la jeune femme. Elle avait de belles cuisses, un corps fin et solide. Le seul défaut de son corps était peut-être son menton un peu trop pointu, mais, nonobstant ce léger détail, elle était superbe.

« Bonjour… qui êtes-vous ? Que faites-vous ici ? Comment vous avez passé les agents de la sécurité ? »

Sortant de sa surprise, la chanteuse semblait reprendre contenance. Anna eut un bref regard vers le couloir. Les agents étaient toujours à l’autre bout du couloir, et elle se mordilla les lèvres rapidement, comprenant qu’elle devait faire vite pour que la femme ne panique pas. Après tout, il était légitime qu’elle se mette à paniquer, dans la mesure où elle n’avait jamais vu Anna.

« Je viens en paix, lâcha-t-elle prudemment, histoire de calmer le jeu. Je m’appelle Anna Mercury, et j’ai entendu vos chansons par hasard. J’ai été... Intriguée par votre voix, et je voulais vous voir en personne pour vous féliciter. »

C’était un résumé rapide et honnête. Anna décroisa les bras, essayant d’adapter une posture amicale. Elle tint à préciser le fond de sa pensée :

« Je ne viens pas vous harceler, ou quoi que ce soit... Je voulais juste un peu de temps en votre compagnie. »

Chacun s’occupait de son temps libre comme il l’entendait. Pour Anna, il s’agissait de passer du bon temps avec les autochtones locaux. L’agente n’excluait en effet nullement pas de passer plus de temps que prévu avec Lynn, qui, vue de près, était encore plus attirante que vue de loin.

« Vous me laissez entrer ? Si je vous voulais le moindre mal, je n’aurais pas frappé à la porte... Sachant que je n’ai aucune difficulté à contourner les agents de sécurité, le fait que je me présente à vous devrait logiquement éclaircir vos doutes. »

Anna, délibérément, n’avait pas répondu à ses interrogations sur la manière dont elle avait réussi à pénétrer ici. C’était confidentiel, tout simplement, car elle ne devait pas dire qu’elle avait sur elle un camouflage optique, et venait d’une autre dimension... Pas aux inconnues, en tout cas.

Lynn Minmey

Humain(e)

Re : L'amour de la chanson [Lynn Minmey]

Réponse 3 lundi 17 décembre 2012, 12:44:51

Je vis la jeune femme à la crinière flamboyante loucher sur mes jambes fuselées… j’attendais sa réponse tandis qu’elle eut un bref regarde dans le couloir puis se mordilla les lèvres discrètement…

_ « Je viens en paix… Je m’appelle Anna Mercury, et j’ai entendu vos chansons par hasard. J’ai été... Intriguée par votre voix, et je voulais vous voir en personne pour vous féliciter. »

Par hasard ? Comment peut-on entendre mes chansons par hasard ? Ça faisait trois ans que j’étais chanteuse et qu’on m’acclamait… en la regardant, je voyais bien qu’elle semblait dire la vérité… mais je n’étais pas encore rassurée… elle décroisa les bras qu’elle venait de croiser puis elle continua : _ « Je ne viens pas vous harceler, ou quoi que ce soit... Je voulais juste un peu de temps en votre compagnie. »

Je rougis… encore une qui aimait la compagnie des femmes, je dois bien dire qu’elle n’était pas mal du tout… avec sa tenue de latex noire, elle me faisait penser à ces femmes sadomasochiste… elle avait bien vingt-cinq ou trente ans… elle était attirante…

_ « Vous me laissez entrer ? Si je vous voulais le moindre mal, je n’aurais pas frappé à la porte... Sachant que je n’ai aucune difficulté à contourner les agents de sécurité, le fait que je me présente à vous devrait logiquement éclaircir vos doutes. »

Je clignais des yeux… ce qu’elle venait de dire n’était pas dénouer de justesse, si elle me voulait du mal, elle l’aurait déjà fait… je m’écartais pour la laisser entrer dans ma loge puis refermait ma porte… je lui souriais… oui, j’aime les femmes, mais j’aime aussi les hommes…

_ « Alors comme ça, vous avez entendu mes chansons par hasard ? C’est bizarre… ça fait trois ans que je chante et que je suis célèbre… mais vous m’avez pas répondu… »

Je lui souriais toujours en appréciant ses formes, qui était largement plus accentuées que les miennes… plutôt grande, faut dire que c’était pas très difficile d’être plus grande que moi, avec mon mètre cinquante-huit… elle ne me semblait pas me vouloir du mal…

_ « Je suppose que vous voulez un autographe ? »

Je sortis un flyer de ma tournée et le signait rapidement… puis le tendis à Anna.

_ « Kaïfun ne devrait pas revenir avant quelques minutes… »

Anna Mercury

Re : L'amour de la chanson [Lynn Minmey]

Réponse 4 mercredi 19 décembre 2012, 00:36:33

La chanteuse semblait sceptique, ce qu’Anna pouvait aisément comprendre. Ce n’est pas tous les jours qu’on tombait sur une femme dans une tenue noire moulante devant sa porte. La chanteuse semblait peser le pour et le contre, et la laissa passer. Souriant légèrement, Anna entra, et la porte se referma derrière elle. Elle se sentait bien ici, dans cette petite pièce, avec cette belle femme. C’était superbe, pour un lieu de vacances. Du moins, surtout pour l’autochtone. Le décor en lui-même n’était pas terrible. Elle remarqua alors que Lynn faisait plus petite que ce qu’elle avait vu. Ça ne la dérangeait pas particulièrement. Cette dernière la matait, ce qu’Anna, en tant qu’agente professionnelle, pouvait aisément remarquer. Elle en eut un léger sourire en coin, avant de se retourner vers elle.

« Je suppose que vous voulez un autographe ?» demanda-t-elle.

Anna ne répondit rien, se contentant d’un énigmatique sourire. Un autographe... Pour commencer. Mais ce n’était pas vraiment ce qu’elle avait en tête. Elle vit Lynn sortir une espèce de tract, signant dessus rapidement. Anna le contempla, sans trop comprendre l’intérêt de ce truc. Qu’était-elle censée faire de ce bout de papier ? Encore l’une des particularités dimensionnelles auxquelles elle n’était pas habituée. Elle le contempla silencieusement, surprise.

« Kaïfun ne devrait pas revenir avant quelques minutes… » rajouta alors la femme.

Elle ignorait qui était ce Kaïfun, mais supposa qu’il devait s’agir d’un agent de sécurité. Quelques minutes, c’était bien peu pour ce qu’Anna avait en tête. En soi, son statut d’agente lui autorisait quelques exceptions avec le règlement. Si les voyages dimensionnels étaient soigneusement réglementés dans son univers, rien, concrètement, ne s’opposait à ce qu’elle emmène une voyageuse avec elle. Elle eut un léger sourire. Quelques minutes... C’était amplement suffisant pour faire un saut dans une autre dimension. Le temps ne s’écoulait pas de la même manière d’une dimension à une autre.

Anna y réfléchit sérieusement.

« J’ai envie de vous récompenser... Si j’ai entendu votre voix par hasard, c’est parce que je ne suis pas vraiment d’ici... Mais je ne pense pas que vous me croirez si je vous disais d’où je venais. »

Anna avait pu noter une certaine réticence de la plupart des autochtones dimensionnels à croire ce dont elle était capable. Son expérience lui montrait que, parfois, une démonstration empirique était préférable à une simple explication théorique. Elle s’avança un peu vers Lynn.

« En revanche, je peux vous montrer d’où je viens... Si vous n’avez pas peur de vous laisser guider. Ce ne sera pas long, et vous n’avez rien à craindre. Encore une fois, si je vous voulais du mal, je l’aurais déjà fait. Je veux simplement vous récompenser... »

Elle lui tendit la main, comme pour que Lynn l’accepte, et qu’elle puisse l’emmener faire une visite gratuite d’une dimension qu’elle devrait logiquement, vu la tournure de ces chansons, apprécier. Cependant, Anna ne tenait pas à la forcer. Elle laissait à Lynn son libre-arbitre, l’opportunité ou non d’accepter son offre.

Lynn Minmey

Humain(e)

Re : L'amour de la chanson [Lynn Minmey]

Réponse 5 samedi 29 décembre 2012, 16:33:51

Je regardais Anna en lui souriant, elle semblait réfléchir en regardant mon autographe… je me demandais à quoi elle pouvait bien réfléchir… elle était si belle… si elle voulait vraiment me tuer, elle l’aurait fait depuis longtemps…

_ « J’ai envie de vous récompenser... Si j’ai entendu votre voix par hasard, c’est parce que je ne suis pas vraiment d’ici... Mais je ne pense pas que vous me croirez si je vous disais d’où je venais. »

Me récompenser ? Pour un autographe ? Je clignais des yeux quand elle me dit qu’elle n’était pas d’ici… d’où ? D’une autre ville ? D’un autre pays ? Elle pensait que je n’allais pas la croire… elle s’avança vers moi, je reculais instinctivement en rougissant un peu… qu’est-ce qu’elle me voulait exactement ?
 
_ « En revanche, je peux vous montrer d’où je viens... Si vous n’avez pas peur de vous laisser guider. Ce ne sera pas long, et vous n’avez rien à craindre. Encore une fois, si je vous voulais du mal, je l’aurais déjà fait. Je veux simplement vous récompenser... »

M’emmener pour voir d’où elle venait ? Mais Kaïfun ne devrait plus tarder maintenant… elle me tendit sa main que je regardais… et puis mince, je lui pris la main en rougissant de plus bel…

_ « D’accord… allons-y… mais ça va prendre combien de temps ? Et c’est où ? »

Je regardais autour de moi, je ne voyais pas comment elle pourrait me faire quitter ma loge improvisée comme cela… j’avais le sentiment que j’allais voir des choses qui m’étaient totalement inconnues… et pourtant mon esprit avait du mal à comprendre comment cela pouvait être possible… je lui souriais gentiment.

_ « Je peux peut-être vous paraitre naïve… mais j’aimerais bien comprendre d’où vous venez… »

Je la regardais droit dans les yeux…

Anna Mercury

Re : L'amour de la chanson [Lynn Minmey]

Réponse 6 dimanche 30 décembre 2012, 00:59:29

Rien de tout cela n’était foncièrement conforme au protocole. Anna n’avait théoriquement pas le droit de rencontrer des autochtones, dans le but évident d’éviter des paradoxes dimensionnels. De même, il lui était logiquement interdit de présenter aux autochtones les autres dimensions. Néanmoins, l’irrespect de ces règles n’était assujettie à aucune réelle sanction. Anna était une agente célèbre, qui avait arrêté beaucoup de diminels, et mis fin à bon nombre de trafics. Elle pouvait bien s’accorder quelques plaisirs, de temps en temps. Anna sentait la chanteuse dubitative, hésitante, mais, comme l’agente s’y attendait, sa curiosité prit le dessus. Sa douce main se posa dans celle d’Anna, alors qu’elle se mettait à rougir. Anna ne dit rien, se contentant, pour l’heure, d’un sourire rassurant :

« D’accord… allons-y… mais ça va prendre combien de temps ? Et c’est où ? »

Anna se voulait  rassurante, mais ne dit rien. Avec son autre main, elle appuya sur quelques touches de son boîtier, programmant un nouveau saut dimensionnel, un nouveau boomerang. Rien de difficile à faire. Pendant ce temps, Lynn renchérit, visiblement peu rassurée :

« Je peux peut-être vous paraitre naïve… mais j’aimerais bien comprendre d’où vous venez… »

L’agente dimensionnelle regarda la belle chanteuse, et tendit son autre main, venant tendrement caresser l’une de ses joues. Elle fourra ses doigts dans les longs cheveux de la petite femme, et se pencha alors, l’embrassant sur les lèvres. Ce fut totalement improvisé, totalement inattendu, mais elle était convaincue que ce baiser ne déplairait pas à Lynn. Elle le prolongea donc pendant quelques secondes, avant de retirer ses lèvres. Ce baiser n’avait été qu’un simple frottement des lèvres, permettant à Anna de s’assurer d’une chose :

« Tu as aussi bon goût que ta voix le laisse présager... »

C’était un compliment. Son boîtier se mit à émettre une série de bips, se préparant à un passage dimensionnel.

« Nous allons ailleurs... Tout en restant ici. Pour nous, ça durera une éternité, mais, pour les autres, ça ne prendra que quelques secondes. Quand tout sera terminé, tu auras l’impression d’avoir vécu un rêve merveilleux. Maintenant, cesse de poser tes questions, et cramponne-toi fermement à moi. »

Il était important qu’elle ne la lâche pas. Anna programmait un voyage sécurisé, mais, durant le voyage interdimensionnel, si Lynn la lâchait, il pourrait être compliqué de la récupérer. L’agente passa donc une main sur la tête de Lynn, et enclencha le dispositif. Le décor autour d’elles se modifia alors, se transformant, semblant se fondre dans le paysage. Le sol se déroba sous leurs pieds, et elles se mirent à nager dans un abîme noirâtre. A droite, à gauche, au-dessus, en-dessous, on pouvait apercevoir d’énormes failles blanches. Elles menaient à d’autres dimensions, et elles semblaient infinies. Les deux femmes semblaient tomber dans le vide. Aucun son ne filait ici. On n’entendait rien, ne percevait rien. Le temps lui-même filait. Anna voyait néanmoins une faille grossir de plus en plus, et maintenait fermement Lynn contre elle. La faille blanche finit par totalement les envelopper, les amenant dans une autre dimension.

Lorsque l’agente rouvrit les yeux, Lynn n’était plus entre ses bras, mais allongée sur le sol. Le premier voyage était toujours un peu chaotique. Le corps avait du mal à s’y habituer, et Anna courut rapidement vers Lynn, sortant une seringue spéciale de sa sacoche. Elle n’avait aucune pointe, et elle la plaqua contre le cou de Lynn, envoyant un produit qui se répandit rapidement dans ses veines.

« Il t’empêchera de vomir. »

Une vive lumière blanche les enveloppait, donnant à la zone une allure de glace. Elles se tenaient bien sur de la glace, mais cette dernière, tout en étant froide, n’était pas non plus glaciale. Une immense, colossale, et indescriptible boule énergétique blanche, flottait en l’air. Un océan se trouvait devant elles, et ce soleil blanc les réchauffait, tout en transformant cette planète en banquise. C’était un spectacle féérique, irréel.


Anna se retourna vers Lynn, un sourire sur les lèvres.

« Vous vouliez savoir d’où je viens ? Vous avez votre réponse. Je viens d’une autre dimension. Ce n’est pas celle-ci, bien sûr. Ce monde que vous voyez autour de vous est une variante de la Terre, dans un univers où les règles sont différentes. »

Ce qui flottait dans le ciel était une sorte de naine blanche. Anna la regarda à nouveau, tout en se doutant bien que Lynn aurait un peu de mal à admettre se trouver dans une autre dimension.

Lynn Minmey

Humain(e)

Re : L'amour de la chanson [Lynn Minmey]

Réponse 7 mardi 01 janvier 2013, 16:57:32

Je vis Anna me regarder tandis son autre main, venant tendrement caresser ma joue. Elle fourra ses doigts dans mes longs cheveux, et se pencha pour m’embrasser sur les lèvres. Je rougis mais je répondis à son baiser d’une manière douce et sensuelle. Ce baiser durant pendant un certain temps avant qu’elle ne retire ses lèvres des miennes.

_ « Tu as aussi bon goût que ta voix le laisse présager...
_Merci, fis-je en rougissant… tu as bon goût aussi… »

Un boîtier se mit à émettre une série de bips... je supposais que ce devait être ce qui lui permettait de voyager…

_ « Nous allons ailleurs... Tout en restant ici. Pour nous, ça durera une éternité, mais, pour les autres, ça ne prendra que quelques secondes. Quand tout sera terminé, tu auras l’impression d’avoir vécu un rêve merveilleux. Maintenant, cesse de poser tes questions, et cramponne-toi fermement à moi. »

Ailleurs et ici ? Durer une éternité ? Je rougis… ne comprenant toujours pas ce qu’elle voulait dire à part qu’on allait peut-être prendre du bon temps ensemble… enfin je le supposais… je me cramponnais à elle tandis qu’elle passait sa main sur ma tête…

Soudain, le décor autour de nous changea, se transformant… je fermais les yeux car ma tête me tournait et j’avais l’impression que je n’étais plus sur le sol que je tombais dans un abîme bien que je me cramponnais à Anna. Quand je me retrouvais à nouveau sur le sol, je m’écroulais sur celui-ci, ma tête me tournait totalement, j’avais envie de vomir. Je sentis qu’on m’injectait un produit dans le cou qui se répandit dans mes veines.

_ « Il t’empêchera de vomir. »

De fait, l’effet de vertige s’estompa et je ne vomis pas. Je me relevais doucement, sentant la glace froide mais pas glaciale. J’ouvris les yeux puis les refermais rapidement sur la vive lumière blanche nous enveloppait, donnant à la zone une allure de glace. Je le rouvris doucement, prenant le temps de m’habituer à la lumière. Une immense, colossale, et indescriptible boule énergétique blanche, flottait en l’air. Un océan se trouvait devant elles, et ce soleil blanc les réchauffait, tout en transformant cette planète en banquise. C’était un spectacle féérique, irréel. Je vis Anna se retourner vers moi, un sourire sur les lèvres.

_ « Vous vouliez savoir d’où je viens ? Vous avez votre réponse. Je viens d’une autre dimension. Ce n’est pas celle-ci, bien sûr. Ce monde que vous voyez autour de vous est une variante de la Terre, dans un univers où les règles sont différentes. »

Une autre dimension ? C’était quoi ce truc ? Je regardais autour de moi, mais je n’étais plus dans ma loge, ce qui voulais dire qu’elle me disait la vérité… je lui souris.

_ « Je vois… c’est un monde très beau… mais froid… n’y a-t-il pas un monde plus accueillant ? Verdoyant… ou nous n’aurions pas à craindre du froid ? »

Je frissonnais un peu, il faut dire qu’un mini-short, un t-shirt vert et d’un petit haut rose, ainsi que des baskets, ce n’était pas la tenue la plus appropriée pour se balader sur de la glace.

Je regardais autour de moi, le magnifique spectacle qui s’offrait à moi, si j’avais su cela avant, j’aurais pris un caméscope pour filmer le paysage… voir autre chose. Je rougis en pensant à la vidéo que les jumelles Kimura détenaient… même si j’en avais une copie chez moi…

Puis je regardais Anna, elle avait bien six ou sept ans de plus que moi et devait avoir de l’expérience  à ce niveau-là… plus que moi surement.

_ « Vous savez que je vous trouve très belle ? »

Anna Mercury

Re : L'amour de la chanson [Lynn Minmey]

Réponse 8 mardi 01 janvier 2013, 20:38:18

Elle le prit beaucoup mieux que ce à quoi Anna se serait attendue. Tant mieux. Elle ne s’était pas trompée sur son compte. Lynn regarda autour d’elle, observant attentivement ce beau soleil blanc, cette boule d’énergie, une masse stellaire indescriptible. Cet endroit était vide, inhabité. Rien ne pouvait pousser ici. Rien ne vivait donc. Pour autant, l’atmosphère était respirable. Anna restait près de Lynn, debout, tandis que la chanteuse reprenait ses esprits, et commençait à frissonner. Il est vrai qu’elle n’avait pas la constitution d’Anna, ni sa combinaison étanche, qui, mine de rien, lui tenait bien chaud.

« Je vois… c’est un monde très beau… mais froid… n’y a-t-il pas un monde plus accueillant ? Verdoyant… ou nous n’aurions pas à craindre du froid ? »

Anna se contenta d’un léger sourire. Ce genre de monde hésitait, mais elle avait tenu à en choisir un qui était particulièrement original. Ici, il faisait toujours nuit, sans pour autant faire nuit. On pouvait tout à fait lire à la lueur de cet immense astre. Anna ne lui répondit pas sur le coup, constatant effectivement que Lynn se refroidissait beaucoup. Le Japon avait un climat plutôt chaud, et elle sortait d’un long concert. L’une des mains d’Anna se rapprocha lentement de la jambe de la belle Lynn. L’agente savait que la chanteuse était loin d’être insensible à son charme, que ce soit par ses rougissements, ou par les baisers qu’elle avait fourni.

« Vous savez que je vous trouve très belle ? » lança-t-elle.

La question fit sourire Anna, qui haussa les épaules. Elle fléchit les genoux, se glissant à côté de Lynn, une main caressant sa longue jambe. Elle était glaciale, en effet. L’agente approcha son visage de celui de Lynn, mais sans l’embrasser.

« J’ai eu une légère intuition, oui... Je ne t’aurais pas emmené ici, si ce n’était pas le cas. »

Elle retourna alors l’embrasser, tendrement, et glissa l’une de ses mains le long de la joue de Lynn, la laissant glisser dessus, et poussa lentement cette dernière, l’envoyant s’allonger totalement sur le sol. Anna caressa alors les hanches de la chanteuse, glissant vers son minishort, ses doigts gantés explorant son corps. Ce fut Anna qui, progressivement, s’étalait sur le sol, et finit par guider Lynn sur elle. Anna était plus grande qu’elle, et posa une main sur le bassin de la jeune femme, la posant sur ses fesses, s’en servant pour la soulever, et ainsi l’allonger sur elle. Ce fut l’occasion d’un nouveau baiser entre les deux femmes, les doigts d’Anna remontant le long du dos de Lynn.

« Nous visiterons d’autres dimensions, mais les voyages dimensionnels ne fonctionnent pas si simplement... Ilfaut encore attendre un peu, ma belle... Et, si tu as froid, je pense que tu sais comment te réchauffer... »

L’agente voulait lui faire l’amour, et elle savait que Lynn, également, le désirerait. Elles échangèrent un long et tendre baiser, Anna y mêlant progressivement sa langue, sa main venant presser tendrement l’un des seins de la chanteuse, le caressant à travers ses vêtements, en éprouvant la douceur et la fermeté. Il était délicieux.
« Modifié: mardi 01 janvier 2013, 20:50:37 par Anna Mercury »

Lynn Minmey

Humain(e)

Re : L'amour de la chanson [Lynn Minmey]

Réponse 9 lundi 07 janvier 2013, 14:02:35

Anna sourit en haussant les épaules, je la vis fléchir les genoux pour se glisser à mes côtés, sa main me caressant la jambe, je frissonnais de plaisir. Elle approcha son visage du mien. Je rougis un peu.

_ « J’ai eu une légère intuition, oui... Je ne t’aurais pas emmené ici, si ce n’était pas le cas. »

Je lui souris tandis qu’elle m’embrassait tendrement, une main caressant ma joue, tout en m’allongeant sur le sol froid, j’en frissonnais… elle me caressa les hanche, ses mains glissant sur mon minishort, je frissonnais à la fois de froid et plaisir. Je la vis s’étaler sur le sol à mes côtés avant qu’elle ne me guide sur elle, une main sur mes fesses. Elle m’allongea sur elle, ma poitrine touchant la sienne, mes tétons se durcirent instantanément tandis qu’elle m’embrassait et me caressait le dos.

_ « Nous visiterons d’autres dimensions, mais les voyages dimensionnels ne fonctionnent pas si simplement... Il faut encore attendre un peu, ma belle... Et, si tu as froid, je pense que tu sais comment te réchauffer... »

Je rougis en comprenant ce qu’elle voulait dire, je passais mes mains sous son haut de cuir pour lui caresser les seins tandis qu’elle me caressait un des miens…  me faisant gémir doucement. Je l’embrassais fougueusement tout en me mettant à la caresser de mes mains, mon intimité frottant la sienne à travers nos vêtements, je cherchais à lui retirer son en même temps. Je finis par trouver ce que je chercher, et ouvrit la combinaison de cuir.

Je m’attelais à embrasser ses seins à travers son soutien-gorge, tout en lui caressant le visage d’une main et que je mettais ma main dans son pantalon pour aller caresser son intimité.

Anna Mercury

Re : L'amour de la chanson [Lynn Minmey]

Réponse 10 jeudi 10 janvier 2013, 17:24:00

Les voyages dimensionnels... Anna allait sans doute breveter la méthode pour réussir à séduire les jeunes femmes. Bien sûr, Anna savait que son corps était aussi un argument on négligeable, qui avait fait mouche dès que la chanteuse l’avait vu, mais elle était convaincue que son voyage avait achevé de la convaincre. Lynn devait probablement avoir l’impression d’être dans une espèce de rêve éveillé. Une main sur ses fesses, Anna en appréciait la consistance, remuant lentement ses doigts gantés, et finit par écarter l’autre, afin de ne pas gêner les mouvements de Lynn. Sa seconde main se posa sur le sol, et elle sentit alors la chanteuse se mettre à caresser ses seins, durcissant ces derniers. Anna poussa un petit soupir, sentant le plaisir grimper en elle. Elle était venue voir Lynn pour se rapprocher d’elle, en savoir plus sur le monde de la chanson, et, de ce point de vue, son objectif était plutôt bien réussi. Les deux femmes se serraient l’une contre l’autre, et Anna remuait ses doigts sur le fessier de Lynn, filant sous son minishort, tirant légèrement sur sa culotte, ou s’appuyant sur sa fesse, afin de la tirer d’un côté.

Elles continuaient à s’embrasser, délicieusement, Lynn se laissant aller, sa langue filant dans la bouche d’Anna, qui l’accueillit avec envie, tout en se mettant, avec son autre main, à lui caresser les cheveux. Gémissant faiblement, l’agente dimensionnelle remuait son corps, et elle sentit Lynn tenter de lui déboutonner le haut de sa combinaison. Elle ne portait aucun vêtement en-dessous, à part ses sous-vêtements, et la laissa faire. Ses seins ne tardèrent pas à apparaître, recouverts par un soutien-gorge noir. Elle se mit à les embrasser, caressant son visage, et glissa son autre main sous son pantalon, devant forcer le passage, les ceintures retenant l’ensemble.

« Hum... On dirait que ce froid excite plutôt bien tes désirs, ma belle Lynn... »

Lynn cherchait en effet la fente intime d’Anna, qui se mit à légèrement écarter les jambes, en facilitant l’accès. Elle continuait à caresser les fesses de la jeune femme, son autre main continuant à jouer avec ses cheveux, alors qu’elle remuait encore son corps, afin de mieux s’allonger. Elle sentait Lynn continuait à jouer sur son soutien-gorge, et, de son côté, se mettait à tirer sur sa culotte, afin de pouvoir mieux lui caresser son beau petit cul. Anna jouait lentement avec le corps de cette belle femme. Elle était, à vrai dire, très attirante, et Anna prenait son temps. Son autre main se désintéressa de ses cheveux, pour venir également caresser le postérieur de la jeune fille.

« Tu as un très beau cul, en tout cas... J’adore le caresser ! »

Autant l’exciter un peu plus, elle avait cru comprendre que Lynn était légèrement timide.
« Modifié: jeudi 10 janvier 2013, 17:33:30 par Anna Mercury »

Lynn Minmey

Humain(e)

Re : L'amour de la chanson [Lynn Minmey]

Réponse 11 jeudi 31 janvier 2013, 15:50:37

Je cherchais à entrer sous son pantalon, je dus forcer mais j’y arrivais pour pouvoir lui caresser son intimité tout en lui embrassant les seins.

_ « Hum... On dirait que ce froid excite plutôt bien tes désirs, ma belle Lynn...
_ Appelles-moi, Minmey, je préfère… c’est pour me réchauffer, ma belle Anna… »

Elle écarta les jambes pour me faciliter l’accès à ses lèvres intimes. De ma main libre, je commençais à lui dégrafer son pantalon, tandis qu’elle me caressait les fesses d’une main alors que l’autre me caressait mes cheveux. Elle remuait son corps pour mieux s’allonger, je lui fais un petit sourire avant de me remettre à lui embrasser les seins. Je n’avais, jusqu’à présent fait l’amour qu’avec les jumelles Kimura… elles étaient bien mignonne, mais n’avait pas le charme d’adulte d’Anna. Elle se mit à tirer sur ma culotte de dentelle blanche pour me caresser les fesses, je souris.  Sa main qui me caressait les cheveux vint se mettre mon cul.

_ « Tu as un très beau cul, en tout cas... J’adore le caresser ! »

Je rougis un peu tandis qu’elle me caressait de plus en plus.

_ « Merci, tu as de très beaux seins, j’aime les embrasser… »

Je retirais ma main de sa culotte pour aller finir de déboutonner son pantalon que je fis glisser légèrement sur ses cuisses avec sa culotte. Je me plaçais au-dessus d’elle, montrant mon popotin à la belle Anna. De là où elle se trouvait, elle pouvait voir ma poitrine retenue par mon soutien-gorge de la même dentelle, mon t-shirt étant bien trop grand pour moi.

_ « Si tu aimes mon cul, caresses-le plus fort… pendant ce temps, je vais m’occuper de tes lèvres intimes… »

Je me baissais tout en lui caressant sa perle d’amour d’une main et ses cuisses de l’autre.

Anna Mercury

Re : L'amour de la chanson [Lynn Minmey]

Réponse 12 vendredi 01 février 2013, 11:31:03

Allongée sur ce sol froid, Anna poussait des soupirs de plaisir, heureuse. La petite Lynn Minmey était de toute beauté, son corps allant à merveille avec sa belle voix. Il n’était pas étonnant qu’elle rencontre un tel succès. Le pire, c’est que, quand Lynn reviendrait dans sa propre dimension, il ne serait écoulé que quelques secondes. Elle se réveillerait sur le canapé, et Anna ne serait plus pour elle qu’un vague et lointain souvenir, que la réalité effacerait bien vite, interprétant ce qu’elle avait vécu comme un rêve. Dans un sens, c’était injuste, mais c’est ainsi que les choses devaient se passer. Dans la mesure du possible, Anna devait éviter que les informations relatives aux dimensions parallèles croissent. Elle laissait la femme la déshabiller un peu, tirant sur les boucles et les ceintures de son pantalon, tandis que l’agente continuait à lui palper ses fesses, manifestant dès lors son intérêt pour le corps de la femme. Son pantalon glissa jusqu’à mi-chemin de ses cuisses, et ses fesses se posèrent directement sur le sol froid, provoquant un curieux frisson. Elle n’avait pas froid, loin de là.

Lynn se redressa alors, se tournant face à Anna, lui offrant une vue très attirante sur sa croupe. Avec un léger sourire, l’agente commençait à comprendre qu’elle avait excité la jeune femme, et qu’elle commençait à éprouver des envies perverses.

« Si tu aimes mon cul, caresses-le plus fort… pendant ce temps, je vais m’occuper de tes lèvres intimes… »

Anna sourit, trouvant cette idée très intéressante :

« Je ne vais pas refuser une telle offre, ma jolie. »

La chanteuse pencha vers ses lèvres intimes, et les mains d’Anna se posèrent sur les fesses de Lynn, écartant son vêtement, afin de faciliter l’accès à son postérieur. Elle se redressa un peu, penchant la tête, et lécha avec sa langue le tissu séparant ses deux fesses, avant de les embrasser, puis de les frotter fermement. Anna écarta les jambes, afin de faciliter l’accès de la femme vers ses lèvres intimes, et se mit à pousser de longs soupirs de plaisir.

« Hummm... Ahhhh, encore... »

Elle se mit à presser ses fesses, les malaxant vigoureusement, appuyant dessus, tout en commençant à remuer son bassin de droite à gauche. Cette femme était délicieuse, et s’attaquer à son postérieur la tentait plus que de raison. Pour être entièrement honnête, Anna adorait ça, sentir ce contact, et ne se privait pas pour le faire comprendre. Ses mains caressaient longuement le cul de Lynn, rien d’autre ne comptant alors aux yeux de l’agente... Si ce n’est la forte excitation qu’elle ressentait au niveau des jambes. C’était une délicieuse expérience, une petite parenthèse volée à la ligne naturelle de l’espace-temps.

« Aaaah, Minmey, encore, ma belle, encore... Plus fort, hunnn... »

Lynn Minmey

Humain(e)

Re : L'amour de la chanson [Lynn Minmey]

Réponse 13 jeudi 21 février 2013, 16:15:29

_ « Je ne vais pas refuser une telle offre, ma jolie. »

Je me mis à lécher ses lèvres intimes tandis que les mains d’Anna se posèrent sur mes fesses, écartant mon mini-short. Je la sentis se redresser un peu lécha avec sa langue ma petite culotte qui séparait mes deux fesses, avant de les embrasser, puis de les frotter fermement. Je gémis tandis qu’Anna écartait ses jambes, afin de me faciliter l’accès vers ses lèvres intimes, et elle se mit à pousser de longs soupirs de plaisir.

_ « Hummm... Ahhhh, encore... »

Elle me malaxait vigoureusement mes fesses tout en remuant mon bassin. Elle me caressa longuement mon popotin. Je ne restais pas inactive, léchant et suçotant sa perle d’amour tout en lui caressant les cuisses et en lui enfonçant un doigt en elle pour explorer sa grotte d’amour

_ « Aaaah, Minmey, encore, ma belle, encore... Plus fort, hunnn... »

Je souris et lui mordillais son bouton rose tout en enfonçant un second doigt, continuant mon exploration, je gémissais aussi.

_ « Tu as des jouets ? Les miens sont restés dans ma loge… »

Je rougis un peu tout en continuant de lui donner du plaisir avec ma bouche, ma langue et mes doigts. Je me réchauffais un peu en faisant ce que nous faisions. J’étais excitée, ma petite culotte devenait humide.

Anna Mercury

Re : L'amour de la chanson [Lynn Minmey]

Réponse 14 mardi 26 février 2013, 10:01:32

Les autochtones étaient vraiment des individus fascinants, parfois. C’était largement le cas pour la chanteuse. La petite femme était une bonne chanteuse, et, visiblement, son romantisme se couplait avec une sorte de délicieuse perversion. Elles continuaient à se lécher et à se caresser, jusqu’à ce que Lynn lui demande si elle n’avait pas avec elle des objets :

« Tu as des jouets ? Les miens sont restés dans ma loge… »

Des jouets ? Anna mit quelques secondes avant de réaliser à quoi le terme « jouets » pouvait bien faire allusion... Sûrement pas à un camion de pompiers et à des figurines, plutôt à des objets mâtures, ce genre de jouets qu’il ne fallait pas mettre entre toutes les mains. Anna ne répondit pas sur le coup, réfléchissant. Évidemment, elle ne partait pas en mission avec ces trucs, et ce n’était pas sur une planète vierge qu’on risquait d’en trouver. Néanmoins, si cette dernière voulait quelque chose de plus technologique... Il devait bien y avoir un moyen de la satisfaire. Anna écarta lentement Lynn, et alla se placer au-dessus d’elle, l’embrassant sur les lèvres. Elle avait senti, sur ses lèvres, l’intimité de cette dernière en train de s’égoutter, laissant filtrer cette délicieuse mouille dont on raffolait tant. Elle l’embrassa sur les lèvres, tendrement, en soupirant, puis s’écarta un peu, et se releva, avant d’inspecter son appareil.

« Je n’ai pas de ‘‘jouet’’ sur moi, mais je connais des endroits où nous pourrons en trouver... »

L’inconvénient, c’était qu’Anna ne pouvait pas voyager à sa guise entre les dimensions. Il y avait des lois à respecter, et, si elle partait pour une autre dimension, il faudrait encore attendre un peu plus longtemps, avant que Lynn ne retourne sur Terre. Ceci n’aurait concrètement aucune incidence sur l’écoulement du temps dans sa propre dimension, où, quand elle reviendra, Lynn n’aura passé, tout au plus, qu’une dizaine de secondes dans cet « ailleurs ». Ce serait comme un rêve, dont le souvenir s’estomperait progressivement. Redressée, Anna était en train de configurer l’appareil pour un nouveau saut dimensionnel.

« Accrochez-toi à moi, nous allons ailleurs. »

Elle ne configurait pas que la dimension de destination, mais aussi le lieu, sachant précisément où se rendre. Dans une Terre futuriste. Elle sentit la délicieuse Lynn se blottir contre elle, et, quelques instants plus tard, le sol disparut, de même que le décor, et les deux corps se retrouvèrent à nouveau à flotter dans le vide, dans un abîme noirâtre insondable, entouré de halos blancs qui dansaient, impossibles à toucher, des images indescriptibles, perpétuellement mouvantes, se former. Elles étaient dans le tronçon des réalités, l’autoroute des dimensions, avec un nombre interminable de sorties. Anna maintenait fermement Lynn, et les deux femmes furent avalées par un portail, et se retrouvèrent, non plus à l’air libre, mais dans une pièce plongée dans la pénombre, où l’air légèrement lourd indiquait clairement un bâtiment.

« On est arrivées... »

Anna relâcha la jeune femme, et s’écarta d’elle, se dirigeant vers les voyants contre un mur, actionnant le générateur du bâtiment. Immédiatement, on entendait la ventilation se mettre discrètement en marche, tandis que des lumières d’ambiance s’enclenchaient, révélant une pièce aux murs sombres, bleus. Il y avait plusieurs tables, ainsi que des armoires métalliques. Se mettant à marcher, Anna ouvrit l’une d’entre elles, et en sortit plusieurs objets, dont une curieuse ceinture contenant un sexe masculin artificiel, ou, plus simplement, un gode.

« Nous sommes dans une ancienne boîte de sexe fermée, dans un monde alternatif et légèrement futuriste. En attente de la destruction de cet établissement, une bonne partie du matériel est restée. »

Elle déposa la ceinture sur une table, et préféra sortir une simple culotte en latex, tandis que, près de Lynn, une table transparente se dressa, à la verticale, légèrement penchée en arrière, avant de se mettre à l’horizontale.

« Déshabille-toi, et installe-toi sur cette table, nous allons commencer les choses sérieuses. »


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