Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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L'auberge du Coucher de Lune / Re : Un fantasme vraiment bizzard... (PV-> Nyoras Club)
« Dernier message par Nyoras Club le samedi 20 avril 2024, 12:20:56 »
Ce petit jeu de rôle est vraiment très plaisant, en plus d’être payé ! J’aurais couché avec elle-même sans ça, c’est sûr et certains. Mais c’est un peu le plus du club : pouvoir prendre du bon temps tout en gagnant de l’argent pour ça. Et là, du bon temps, j’en prends beaucoup !

D’ailleurs, j’en prends tellement que je sens déjà l’orgasme pointer le bout de son nez. C’est que le fait d’avoir deux pénis en elle d’un coup rend les choses bien plus intenses, d’autant qu’ils sont maintenant aux portes du paradis… et que ça la met aussi dans tous ses états. Je ne doute pas un instant que de l’autre côté du miroir, le client a déjà dû se lâcher ou ne va pas tarder lui aussi.

« O-OUI je vais… te… aaaah… ! »

… te remplir. Mais je suis trop occupée à le faire en poussant des petits cris de plaisir pour le dire, et étant en plein orgasme elle ne doit sans doute pas trop m’écouter non plus ! Toujours est-il qu’avec deux pénis, c’est deux fois plus vite que le sperme coule à flot en elle jusqu’à finalement déborder de son antre si délicieusement chaude. Malgré la première éjaculation qu’elle m’a offerte au réveil, j’avais encore de quoi lui rendre hommage…

« Aaaah… fabuleux… il faut vraiment… que tu quittes l’autre pour venir t’installer ici… »

Je la laisse reprendre un minimum le contrôle d’elle-même, consciente que son orgasme a dû la mettre dans tous ses états elle aussi, et l’enveloppe tendrement dans mes bras quand elle vient m’embrasser. Si avec ça le client n’est pas satisfait, je ne sais pas ce qu’il lui faut !

« Tu as assuré ma belle… ! »

Je lui dis à la fois ça pour notre petit scénario et pour la partie de jambe en l’air exaltante que nous venons de nous offrir. Toutes les employées du club ne peuvent pas se vanter de pouvoir encaisser autant, mais elle doit peut-être ça à son côté nyora.
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One Shot / Re : Une offrande de paix [PV]
« Dernier message par Tenshi Kazama le samedi 20 avril 2024, 09:43:19 »




Eladriel avait bien entendu, le cri de douleur de l’une de ses compatriotes. Elle commence à avoir un frisson qui parcourt l’ensemble de son corps pendant qu’elle fait face à son propre géant. Elle essaye de ne pas prêter attention à ce qui se passe en dehors de la tente surtout qu’elle sait pertinemment que elle aussi. Elle va passer à la casserole, il vient lui donner l’ordre de lui montrer l’ensemble de son corps, et elle rougit encore avant de passer à côté de lui pour se mettre assise sur ce qui semblait être un lit énorme couverte de nombreuses fourrures. Intérieurement se poser sur ce genre de couverture, semble réveiller une certaine excitation chez elle. Puis elle l’écarquille, les yeux lorsqu’elle voit l’énorme bite qui se dresse devant elle, elle vient poser sa main devant sa bouche pour retenir son petit cri de surprise, surprise alors qu’elle écarte les jambes en même temps pour lui montrer sa chatte imberbe, qui semble fortement appétissante

Oh…mon dieu…han… C’est tellement tellement gros … je vais mourir avec ça…

C’était une réflexion légitime, mais elle ne se doute pas une seconde seconde du potentielle sexuelle qu’elle avait sachant que personne n’avait pu lui faire découvrir la magie de son corps. En étant une elfe et qui plus est de son noble. Personne ne lui avait expliqué les propriétés qu’elle pouvait avoir dans ce genre de situation. Elle détourne la tête avec culpabilité, et beaucoup de honte, avant de reporter de nouveaux son regard sur sa queue qui vient étrangement. la faire se cambrer, et elle pouvait sentir sa chatte commencer à mouiller. Dans cette position, il pouvait clairement voir ses gros seins qu’il avait pu claquer avant et pincer pour lui extirper des gémissements de douleur et de plaisir. Car là aussi elle n’était pas consciente qu’un côté masochiste pouvait dormir au fond d’elle.

Elle commence à danser lascivement sur les couvertures de fourrures, sa grosse poitrine remue au rythme avec sa gestuelle sensuelle, alors qu’elle se mordille la lèvre avant de venir remettre sa main devant ayant pris conscience de ses gestes, elles détournent de nouveau le regard, ne comprenant pas pourquoi un barbare comme lui pouvait allumer une flamme qui ne va cesser de grandir à chaque instant, à partir de maintenant

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One Shot / Re : Re : Re : Loup y es tu? [PV Tenshi]
« Dernier message par Tenshi Kazama le samedi 20 avril 2024, 09:32:22 »






Haaaaa…mmmmmh… Sois rassurée. Je suis confuse, car je n’ai jamais ressenti autant de plaisir qu’avec toi…

Elle regarde dans les yeux, et les caresses qu’ils pouvaient lui fournir sur sa tête entre ses oreilles, vont devenir ses préférées, si on ne compte pas ses attentions lubriques. Elle ouvre grand la bouche pour commencer à enfoncer sa queue dans sa bouche. Elle essaye de pousser le plus possible pour la mettre au fond de sa gorge. C’était la première fois qu’elle faisait ce genre de pratique. Elle devait donc retenir sa respiration pour pouvoir s’habituer à la taille qui déforme les parois.

Elle respire fortement par le nez. Il pouvait sentir toute sa salive, qui dégouline autour de sa queue, avant qu’elle remonte doucement, et qu’elle retire la bite de sa bouche pour le regarder, la langue pendant

Haaaaan… J’ai l’impression que je le suis oui…haaaaa… J’espère que ça ne te déplaît pas

Elle vient lui sourire tendrement, et pendant qu’elle est en train de lui répondre, elle faisait frotter ses gros seins contre lui. Puis elle se penche de nouveau pour recommencer à la prendre dans sa gorge. Et cette fois-ci elle se met à faire des va-et-vient pendant que ses lèvres étaient en train de faire des bruits de ventouses, et qu’elle essaie de passer sa langue sur chaque partie de sa grosse bite, en espérant que c’était la bonne chose à faire



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Centre-ville de Seikusu / Re : De l'autre côté de l'écran (PV Tenshi Kazama)
« Dernier message par Tenshi Kazama le samedi 20 avril 2024, 09:24:41 »




La jeune femme était tellement curieuse de pouvoir sentir cette grosse bite, qu’il avait déjà bien surprise en l’apprenant avec autant de passion et d’intensité. Cité qu’elle n’avait pas imaginé chez un switch car c’était son tout premier il fallait dire, mais c’était plutôt des agréables surprises. Cette fois-ci, elle voulait vraiment la voir dans l’autre orifice pour voir le sentir, écarter les parois de son cul et c’est d’ailleurs ce qu’il était en train de faire lorsqu’il s’enfonce les gémissements qu’il pouvait pousser ne faisait qu’exciter. La femme infidèle, elle jette sa tête en arrière, la langue pendant et tourne la tête après quelques va-et-vient pour lui montrer son visage rempli de luxure et de plaisir

Haaaaaa…oui… fais-moi jouir grâce à mon cul…haaaaaa… mon lapin…c’est tellement bon haaaaaa…

Il y avait aucune culpabilité dans son hangar, bien évidemment et bien le contraire. Lorsqu’il vient lui tirer les cheveux, elle met sa tête en arrière alors que sa grosse poitrine vient s’écraser sur le matelas pour bien relever son cul et lui permettre de continuer des va et viens puissants. Les coups de pénétration étaient bien bruyants que sur les voisins pourraient entendre les cris et le grincement du lit qui vient cogner de temps en temps contre le mur pour signifier que la baise était vraiment torride.

Elle halete comme une bonne chienne en chaleur qui ne pourrai jamais jamais arrêter cette activité. Pour rien au monde, elle en avait trop goûté et devait avouer qu’elle était complètement complètement. Accro et nymphomane. Pour le plus grand plaisir de Camille. Sacha t’étais en train de dégouliner encore une fois et il pouvait le sentir lorsque ses couilles, ils viennent claquer son intimité, dès qu’ils se retrouvent au plus profond de son cul, et après plusieurs longues minutes, dont elle ne saurait dire la durée , elle vient alors le prévenir qu’elle ne peut plus se retenir, et qu’elle voulait jouir sur ses couilles, bien collée contre sa chatte, avec sa grosse queue, bien au fond

Elle attend qu’il donne un coup sec pour être collé contre son bassin pour jouir sur lui et pour son plus grand plaisir, elle pouvait le sentir à son tour se déverser. En même temps. Le souhait qu’il voulait était désormais exaucé. C’était tellement grisant comme sensation d’avoir les orgasmes en même temps.

Haaaaaaa… Je vais devenir folle à la longue

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One Shot / Re : Re : Une ange de compagnie [PV NUHM]
« Dernier message par Tenshi Kazama le samedi 20 avril 2024, 09:16:50 »






Sariel pouvait sentir le sperme bien inonder sa chatte et de manière intense au point que ça déborde, même de son intimité et n’avait jamais ressenti ça de toute sa vie. si ça n’avait pas été une ange, elle aurait pu lui sortir qu’elle avait atteint le paradis. Elle ne comprenait pas pourquoi ce genre de pratique était considéré comme un péché. Sûrement que le plaisir ne doit pas être autorisé. C’était finalement absurde comme idéologie. Elle se rend compte maintenant qu’elle avait eu ce goût de trop peu.

 Elle continue toujours de se se déhancher sur lui en gémissant, alors qu’elle avait passé ses bras autour de son cou, pour profiter de la chaleur et du corps, parfait de son nouveau maître . Mais très vite, il voulait tout de même lui rappeler la réalité de la situation. Alors qu’elle était bien cambré, il vient lui montrer une partie de ses ailes. SARIEL écarquille les yeux, car elle ne savait même pas rendu compte de les avoir sorti et ne pensait pas les retrouver. Après ce que Lucifer lui avait fait, mais le plus des boulant dans l’histoire, c’est de voir la couleur qu’elles avaient désormais noir, elles avaient perdu leur pureté significative.

Mes…mes…ailes, mes belles ailes blanches sont…

Elle avait les yeux larmoyants face à cette situation, elle n’avait plus de retour en arrière possible pour espérer regagner le paradis afin de porter secours à michel. Elle retient bien évidemment ses larmes qui rencontre partie. Elle avait reçu l’expérience la plus significative de son évolution interne. Elle cache son visage avec ses mains prise par une honte, et pourtant son corps continue, de se déhancher sur lui, pour bien faire remuer sa queue dans sa chatte, encore une fois comme si elle avait l’impression que ce n’était pas suffisant

Haaaan…je…je…suis…déchue… que Dieu me pardonne…haaaaa

Désormais, elle n’avait plus d’entrave de pouvoir plaire à ses semblables ou à son père. Elle était comme on pourrait dire libre comme Lucifer, mais sans obligation de gouverner à royaume des enfers. Elle essaye de se rappeler de ce qu’elle avait pu voir en observant les humains copuler, et elle vient soulever son bassin pour retirer sa queue qui fait d’ailleurs un bruit ventouse lorsqu’elle sort de sa sa chatte, et la petit ange continue de gémir avant de glisser à genoux devant lui. Elle plaque ses gros seins contre ses couilles avant de se mettre à lécher la longueur de sa queue venant de temps en temps sucer le gland comme elle pouvait en essayant d’être le moins maladroite possible.



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Centre-ville de Seikusu / Re : Je fais que passer (PV |-| Manea Haruka)
« Dernier message par Souta et Janus le samedi 20 avril 2024, 07:46:58 »
Cette seconde éjaculation est aussi puissante et généreuse que la précédente. De toute façon c'est toujours le même topo lorsque je me rattrape après un petit moment sans m'envoyer en l'air. Dans ce genre de cas il me faut à minima 5 ou 6 éjaculations pour pouvoir me calmer véritablement. Ce second soulagement directement effectué dans cette petite chatte qui continue de me comprimer malgré le traitement que je viens de lui faire subir dure un petit moment pour me voir me retirer très lentement pour que l'on puisse admirer tous les deux le spectacle. Chaque centimètre de ma bite s'échappe de ce piège mortel en étant recouvert de cyprine et de sperme malgré l'aspiration de son vagin qui ne semble pas vouloir de cette séparation forcée.

- C'est assez rempli pour toi ?

Ma queue semble être dans la même état d'excitation qu'à notre arrivée car elle ne me donne pas l'impression d'avoir perdue en vigueur ou en dureté. Il lui arrive même de remuer de bas en haut toute seule alors que je finis par me tenir légèrement au-dessus d'elle maintenant que je me suis entièrement séparé d'elle alors que je lui balance la question pour savoir si j'ai assez bien bossé à ses yeux.

C'est alors que je me rapproche en ouvrant suffisamment les jambes pour ne pas me coincer contre les contours du fauteuil. La pression retombe doucement pendant que j'essuie ma queue crade sur le ventre et les seins de Manea dans un premier temps. En même temps je l'avais déjà bien souillée de ce côté dans la cabine d'essayage et l'odeur de mon sperme ne doit plus vraiment la déranger maintenant.
En tout cas je ne ramollis toujours pas et mon gland a vite fait de revenir, comme guidé par sa propre volonté, au niveau de son menton.

- J'sais pas pour toi, mais j'ai besoin de boire un truc.

Tous ces grognements avaient asséchés ma gorge et cela peut s'entendre dans ma voix qui est plus rêche. Le regard plongé dans le sien pendant quelques secondes alors qu'un sourire béat déforme mon visage, je finis par m'éloigner d'elle en me remettant debout tout en effectuant quelques pas en arrière. La température semble être toujours aussi élevée.

Mes jambes me guident en direction d'un petit réfrigérateur posé sur un meuble dans lequel je récupère deux bouteilles d'eau fraiche. Un frisson me parcoure tout le corps à la première gorgée. Comme si on venait de me balancer de la neige dans la face alors que j'étais en pleine traversée du désert. Tout mon corps se met à trembler sans que je ne m'y attendre et cela me fait un bien pas possible.
Je dépose ensuite ma bouteille sur un meuble pour tendre l'autre à Manea.

- T'as soif ?

J'attends sa réponse tout en revenant finir ma bouteille d'une traite pour ensuite la balancer sur un meuble en me disant qu'on pensera au recyclage plus tard. Le fait de m'être hydraté me permet de retrouver un peu mes esprits qui avaient été obscurcis par un tsunami de plaisir en entrant dans cette chambre des déviances.

Il faut dire qu'ici on a de tout en regardant bien. Un espace chambre à coucher classique avec un lit géant, une douche et une baignoire en fonction des envies, une collection assez conséquente de films pornos, des sextoys, des costumes avec et sans perruques et même des équipements numériques pour ceux qui aiment se filmer. Autant dire que l'on ne va pas s'ennuyer aujourd'hui.
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Prélude / Re : Myrella - Le Bijou d’un Royaume [Vanéalidée !]
« Dernier message par Souta et Janus le samedi 20 avril 2024, 07:13:27 »
Bienvenue dans le coin.

J'espère juste qu'il y aura assez de place sur sa carte d'identité pour écrire son nom complet.  ::)
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Centre-ville de Seikusu / Quand Camille rencontre Camille
« Dernier message par Camille Sawal le samedi 20 avril 2024, 06:36:32 »
Cette histoire commence par une belle journée d'automne.
Loin des poncifs du japon printanier recouvert de fleurs de cerisiers, l'automne étale ses couleurs de façon plus subtile sur Seikusu en ce début de septembre.
Les érables se sont parés de rouges, oranges et jaunes et c'est sous l'un de ceux ci que nous retrouvons Camille, assise dans le parc du temple Kanzenji en fin d'après midi. L'air est frais, les chaleurs de l'été sont passées depuis deux semaines, aussi celle-ci remonte sa pèlerine rouge sur ses épaules avec un léger frisson. Autour d'elle, son sac à dos ouvert comme une corne d'abondance dévoile une partie de sa vie: son petit smartphone dans sa coque à oreilles de chat, quelques livres et cahiers de cours, une trousse gribouillée de messages et un roman de Fritz Leiber. Son casque bluetooth diffuse un morceau de Trip-Hop dans ses oreilles, probablement du Portishead, et le reste de son attention est accaparé par son journal intime.

Camille arbore un petit sourire ravi, témoin d'une journée qui s'est passé aussi bien qu' elle l'aurait pu. Alors certes, il en faut peu à Camille pour s'enchanter des petits plaisirs de la vie, car si l'on met de côté la sévérité de son père, il faut quand même avouer que sa vie est particulièrement facile à vivre. Ses résultats scolaires sont excellents, ses amies sont loyales, elle ne subit pas de harcèlement. Bien que sa famille ne roule pas sur l'or, la petite maison ou elle habite reste confortable et elle n'a jamais connu la faim.

Si Camille est heureuse aujourd'hui cependant, elle le doit à un événement qui n'arrive qu'une fois par an: la photo de classe.
Elle avait spécifiquement choisi ses vêtements pour l'occasion: un petit chemisier blanc a long col, une jupe plissée noire pas trop courte et des longues chaussettes montantes blanches par dessus ses souliers vernis noirs. L'alternance de tons collait à merveille avec la teinte sombre de sa peau délicate bien que sans s'en rendre compte, l'ensemble paraissait annoncer à qui la regardait: "je suis une jeune fille modèle". Elle avait brossé ses cheveux de manière à ce que ses boucles prennent un volume conséquent et un petit noeud rouge venait parfaire le tableau.
Elle avait opté pour le strict minimum de maquillage et le seul bijou qu'elle portait était la petite croix en argent qui avait appartenu à sa mère qu'elle portait plus en souvenir que par conviction.

Si la journée était déjà enchanteresse pour Camille, c'est pourtant un très bref instant qui avait rendu cette séance photo si particulière.
Un regard et un sourire au moment de la photo individuelle. Elle n'était pas tout à fait sûre de la signification de ce sourire d’ailleurs, mais elle se plaisait à penser que c'était plus que de la simple politesse.
Car elle avait flashé sur le photographe. Elle n'était pas non plus très sûre que ce soit un photographe, et ses amies étaient même persuadées que c'était une femme.
Mais cela n'avait pas d'importance pour Camille, de toute façon il y avait peu de chance qu'elle le revoie et la différence d'age rendait toute relation peu probable.
Avec un petit soupir de satisfaction, elle referma son journal, réunit ses affaires en ajusta son sac à dos sur une épaule.
Elle préférait rentrer avant que le soleil ne soit trop bas sur l'horizon.
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Prélude / Re : La petite voix dans la tête d'Alix [Valicidée !]
« Dernier message par Alix et Nox le samedi 20 avril 2024, 05:59:31 »
Il est à peine 6h du mat et j'ai les chakras en bataille, à peine remise de la soirée de la veille.
Alors voilà je me réveille et me dit, "Bon, je vais bumper cette fiche histoire de trouver un nouveau RP pour Alix"
Attention, il n'y a pas eu de réponse à ce sujet depuis au moins 120 jours.
Sans déconner! Ça fait bientôt 7 ans que je n'étais pas venue ici.
Je suis là, comme une conne en nuisette sur mon canapé alors que je relis la fiche et ses messages. Le dernier message m'emmerde, surtout le petit piège que j'avais destiné au prochain à poster.
Si j'avais imaginé à l'époque que c'est moi qui serait obligée de placer ces trois mots, ben j'me serais abstenue tiens..
Va falloir que je revoie un peu ces règles.
Bref, tout ça pour dire qu'Alix s'ennuie toute seule dans son bar et qu'elle est prête à sauter (sur) tout ce qui bouge, fut-ce un pokémon.
Si vous êtes en recherche de RP, vous savez ce qu'il vous reste à faire (et n'hésitez pas à regarder mes autres persos, la plupart sont aussi rouillés qu'Alix mais aussi impatients qu'elle de repartir à l'aventure)
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Centre-ville de Seikusu / Timidité apparente (PV Manea Haruka)
« Dernier message par Camille l'ambigu(e) le vendredi 19 avril 2024, 23:54:27 »
Tu aimerais que ce soit moi qui te suive ?”, voilà une phrase que je n’avais pas prévue ! Ca me déstabilise complètement. La bienséance invite à nier, car ce ne sont pas de nobles agissements, mais je ne semble pas maîtriser la réponse qui sort de ma bouche : “Oh oui, j’aurais aimé…” hélas suivi de “mais je ne t’aurais sans doute pas séduite”.

Je réalise à quel point j’ai le bonheur d’avoir une jeune femme si délicieuse face à moi, un visage absolument radieux, et un chemisier qui suggère très fortement, même si ses mains cessent de “m’offrir” sa poitrine. A part la curiosité, qui était peut-être même de l’agacement de prime abord, que peut-elle me trouver pour ainsi m’offrir de son temps ?

A peine lui réponds-je, les yeux dans les yeux, soutenant enfin plus ou moins son regard, que mon propre regard redescend vers ces deux globes, dissimulés par le léger chemisier beige, mais dont les tétons m’envoient comme un signal. Ma modeste expérience, en matière féminine, me dit qu’ils témoignent d’un certain trouble. Les regarder, aussi discrètement soit-il, maintient dans une certaine forme la bosse qui distend mon pantalon. L’essentiel est de maintenir cet état, pas plus car ce serait la catastrophe, pas moins car ce serait regrettable.

Peut-être qu’en cessant d’être obnubilé par ses tétons, je découvrirais un certain apaisement. Qu’elle ait relâché sa position à faire pigeonner cette belle poitrine, pourtant bien dissimulée sous un très élégant chemisier, contribue à me rendre sérénité et maîtrise.
Hélas, la question qui me taraude à la suite, à savoir si elle a un soutien-gorge ce dont je doute de plus en plus, me renvoie une percutante décharge dans le bas-ventre, et s’assortit d’une pulsion dans mon sexe de plus en plus à l’étroit.

Comment peux-tu être seule, alors que tu es si…”, ma phrase reste en suspens, cisaillée par une attaque imprévue;
Je croyais qu’elle se positionnait mieux sur sa chaise, mais je sens son pied apparemment nu contre ma chaussure, et, plus fou encore, glisser contre mon pantalon, remonter.
Je ne sais si le mot apoplexie correspond à mon état, mais je la regarde d’abord stupéfait “Oh!” de cette audace, ensuite tremblant “Euh” de ce frôlement, à nouveau stupéfait mais sans onomatopée, quand ses doigts si fins et agiles déboutonnent un bouton au haut de son chemisier, offrant dans l'entrebaillement du tissu une plus flagrante vision de la raie entre ses seins.
Une fraction de seconde, je croise son regard ; elle me toise, elle me provoque, elle me défie. Mais, plus fort encore, mes yeux redescendent vers l’échancrure, qui m’offre désormais un léger aperçu des rondeurs dissimulées.

Je dois paraître complètement bêta à sortir des onomatopées et à être obnubilé. J’en aurais presque oublié son pied remontant au long de mon pantalon, si celui-ci ne s’aventurait pas dangereusement sur ma cuisse.
Rien qu’imaginer qu’elle pourrait être en jupe, et que celle-ci s’ouvrirait de plus en plus par ce geste, n’est pas pour me calmer.

J’essaie de surnager dans cet océan de sensations.
Euh non, tu n’es pas charmante, tu es… euh… irrésistible”.

Moi, c’est Camille. Et toi, c’est…”. Un signal rouge, un gyrophare bleu, une sirène hurlante, tout ça vient de lancer l’alerte dans ma tête.
Idiot ! Comment vas-tu lui dire que tu connais son prénom ?”.
Pourvu que, vu la chaleur du moment, elle n’ait pas prêté attention à ce qui ressemblait davantage à une affirmation qu’à une question.

Oui, il fait chaud dans cette salle, et même la clim n’y changerait rien. J’étais simple admirateur d’une très belle jeune femme, et me voilà pris à mon propre piège, dans ec qui ressemble à un jeu de sa part.
Pourtant, ma méfiance initiale s’est un peu estompée. Je songe moins à un pari entre copines, vu que je ne vois plus les donzelles en question. Je dirais même que, vu les clients encore présents, nous sommes comme à l’écart.

Son pied est encore plus haut désormais, et, si cette caresse est délicieuse, elle se rapproche fortement de cette bosse qu’elle a sans doute vue.
Je devrais prendre l’initiative, mais je suis coincé, coincé par cette caresse indécente qui me barre toute échappatoire, coincé par mes yeux fixant cette poitrine pourtant à peine révélée, et même simplement coincé parce que la position debout trahirait une bosse qui, si elle était du trouble au tout début, est désormais de l’excitation.
Dans cet océan d’incertitudes m’apparaît cependant une certitude ; si son doux peton monte si haut, sans que je ne parvienne à déceler quelque pantalon ou autre legging, c’est qu’elle porte une jupe a priori évasée, voire courte pour lui laisser cette amplitude.
J'aimerais tellement en savoir davantage ! Dans un geste qui me surprend moi-même, je passe la main sous la table, allant directement à ce qui monte inexorablement vers la bosse matérialisant mon état d'émoi, espérant peut-être inconsciemment parvenir à ralentir ce qui monte sur moi, pour maîtriser ce qui monte en moi, à moins qu'au contraire je n'aie quelque audace nouvelle pour la guider là où j'aimerais qu'elle pose son peton, même s'il n'y a nul doute qu'elle a déjà cette idée en tête.
Un contact à la fois doux et chaud ; même si le contact de sa main sur la mienne m'avait traversé de mille étincelles, celui-ci est différent, peut-être parce que plus coquin.
Mon esprit divague, ma lucidité vacille, mon imagination court. Ce pied délicat n'est que l'extrémité d'un chemin qui mène vers bien d'autres trésors, et rien que cette suggestion me transporte.

Relevant enfin mes yeux vers elle, découvrant alors son regard comme métamorphosé, comme si la douceur initiale avait cédé la plage à deux étranges lueurs, je lui murmure, vraiment pas trop fort pour que nul n’entende :
Tu es incroyable, je ne me suis jamais senti aussi bien”.
Ca fait un peu benêt cette phrase, mais parler ainsi, un rien intimement, n’est ni mon fort ni mon expérience.
Oui, c’est ça ; je suis bien avec toi, et je voudrais que ça continue encore et encore”.
Je me décompose, elle joue et se joue de moi, dans un lieu public où je ne me serais pas imaginé ainsi.
"Ce n'est pas dangereux d'être comme ça, tous les deux ici ? On pourrait nous voir et se demander."
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