Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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- Non… Ne me touche pas…

-Chhhhchhhchhhtt … Il faut bien que je découvre avec quoi je vais me faire plaisir …

Cette poitrine semblait cacher un secret ! Plus il la tripotait, plus il trouvait étrange la sensation sous ses doigts. Elle semblait très ferme et pourtant, elle n’avait pas l’air de faire autant de sport que ça … Peut être aura-t-il une réponse lorsqu’il la mettra à nu sans ce fichu tissu qui l’empêchait de profiter pleinement de sa poitrine.

- T-ton quoi-ah…

-Oui … Continue de gémir ! Tu fais des sons magnifiques !

Il en ricanait. Maintenant qu’il avait la main sur son intimité pour l’exciter et faire réagir son corps, il s’en donnait à cœur joie ! Surtout avec des bruits si appétissants qui sortait de ses lèvres. Il ne ménageait pas ses efforts, venant prendre son clitoris entre ses doigts tout en laissant ceux-ci glisser sur ses lèvres intimes qui s’humidifiait lentement.

- Pitié arrête !…

-Tu agis comme une petite vierge … Ne me dis pas que tu l’es ? … Miaaaoummm

Un sourire s’élargissait alors sur le visage de Tani rien qu’à cette idée, laissant Alice observer l’envie monter dans le regard de son prédateur. Il s’en léchait même les lèvres, exprès devant elle pour qu’elle soit témoins de la pression qui animait Tani, pas seulement par son pantalon qui ne demandait que de se déchirer, mais par l’envie de la dévorer.

Alors qu’elle était face contre cette table, il collait sa verge encore prisonnière de son pantalon contre ses fesses, ne manquant pas de bouger son bassin pour simuler des va et vient, frottant bien sa verge contre ses formes pour rester bien en forme et lui faire ressentir physiquement son impatience ! Ayant remonter son haut et enlevé son soutien-gorge en même temps, il constatait dès à présent ce qui le gênait tout à l’heure … des bandes ?

-Qu’est-ce que tu fiches avec ça ? Tu as peur qu’on te prenne pour une vache laitière si tu les avais plus gros ?! Je vais te retirer ça !

Sans plus attendre, il agrippait alors ces bandes, laissant ses griffes sortir et doucement déchirer celle-ci en tirant légèrement dessus. Il laissant ses griffes passer entre ses deux obus, laissant celle-ci se dévoiler et il attrapait ce qu’il restait des bandes pour les jeter au loin ! Bon débarras !

Cependant, elle ne semblait pas prête à choisir l’orifice par lequel elle voulait commencer et pire, elle se débattait alors qu’il libérait son sexe avec une seule idée en tête, la pilonner de la plus sauvage des manières ! Et lorsqu’elle avait finit son cirque, elle tombait sur les genoux en face de sa verge bien droite, dévoilant la taille qui allait la traverser de part en part. Elle joignait ses deux mains ligotées dans l’espoir que dieu lui vienne en aide ?

- Je t’en supplie laisse moi… Laisse moi et je n’en parlerais à personne. Je… Je ferais ce que tu voudras.

-Tu te débas … tu ne réponds pas à ma simple question … La seule chose que tu as en étant étudiante c’est ton corps ! Alors …

Il posait sa main sur la tête d’Alice, la lui caressant avant de lui caresser avec une tendresse inexpliquée la joue, comme pour lui donner la preuve que la douceur pouvait exciter dans leur échange si elle y mettait du sien …

-Si tu m’obéis enfin, je serai doux avec toi … Alors maintenant, comme ton visage est la … Suce moi du mieux que tu peux pour me montrer ton obéissance … et ce sera moins sauvage pour la suite … Utilise ton corps pour vider mes bourse … en toi !

Sa main qui lui caressait la joue remontait lentement dans une douce caresse jusqu’à son nez. Il lui pinçait alors celui-ci pour la forcer à respirer par la bouche et quand elle ouvrit la bouche, il engouffrait son gland entre ses lèvres avant de relâcher son nez. Il lui caressait à nouveau la tête et en même temps lui cacher un peu la vue. Il en profitait pour sortir son téléphone de son autre main de sa poche et il actionnait la caméra, retirant sa main pour avoir un joli plan de sa queue entre ses lèvres.

-Rassures toi … C’est pour m’assurer que tu t’assagisses … Ce qui est filmer restera entre toi et moi si tu m’offre ton corps … Accepte et commence à drainer ma semence … Refuse et … Tu sais ce qui arrivera n’est-ce pas ? … Oh … et ne mords pas, ce sera considérer comme un refus …

De la pré-semence d’écoulait déjà de son gland sur la langue de Alice…
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Spoiler: Sa tenue (cliquer pour montrer/cacher)



Cela faisait un petit moment qu’elle avait aménagé avec son mari, dans ce quartier présidentiel, entre luxe et normalité, car la jeune femme n’est pas vraiment m’as-tu vu, contrairement à son mari, qui aime exhiber sa fortune, encore un point sur lesquels ils étaient diamétralement opposés. Mais elle avait reçu gain de cause pour pouvoir aménager dans ce petit pavillon qui a quand même son côté chic, elle ne connaissait pas grand monde dans le quartier, hormis son voisin qui était bien collé à leur maison, car son mari avait pu entretenir des liens relationnels, voire peut-être amicaux.

Tenshi avait pu le croiser certaines fois et ne pouvait s’empêcher de se dire que c’était vraiment frustrant d’avoir un voisin aussi beau et d’être mariée avec quelqu’un de quasiment passif en terme de luxure par rapport à leur début quand ils se sont rencontrés et qu’ils se sont mariés. Ce n’était pas qu’il ne voulait plus d’elle, mais simplement son travail lui prenait énormément de temps et que son ambition n’avait pas de limite. Lorsqu’il n’était pas là la femme au foyer, profite pour mettre en machine tous ses habits les plus pervers érotiques qu’elle utilise dans ses vidéos et les fait sécher sur la terrasse, ne se doutant pas naïvement que son voisin pouvait carrément les voir et laisser son imagination, travailler, surtout qu’il savait pertinemment lorsque le mari était là ou pas, car l’une de ses fenêtres donne, sur l’allée de la maison où la voiture est généralement garée.

Cette semaine, elle n’était pas toute seule et pour essayer de casser un peu cette routine. Après deux trois coups de bassin à droite à gauche pour profiter du corps de sa femme dont il était bien conscient que c’était une chance inouïe pour lui d’avoir décroché le gros lot. Le mari Itake invite alors leur cher Voisin, à se joindre à un repas dans la soirée. Tenshi était heureuse intérieurement de le revoir et de pouvoir laisser sa vue, se délecter d’un tel Apollon. Surtout qu’elle lui avait déjà dit qu’il était plus ou moins attirant et très sexy, mais n’avait eu de retour ou d’écho. Elle pouvait donc penser que ce sentiment n’était pas forcément partagé. Mais au fond d’elle, elle essaye de se persuader qu’elle se faisait des films et que les hommes qui ne la désire pas, était plutôt rare, voir qu’elle n’avait jamais été confronté à ce genre de situation, ce n’est pas une femme capricieuse qui veut tout ce qu’elle désire, mais c’était un peu vexant de ne pas savoir et de s’imaginer que quelqu’un puisse la repousser, ou ne pas être affecté par le charme de ses courbes au minimum.

Elle avait passé la journée derrière les fourneaux pour préparer et mettre les petits plats dans les grands leur arrive enfin, et elle finalise la mise en place de la table avant de filer dans la salle de bain pour mettre sa tenue. Itake va donc ouvrir la porte et saluer son cher voisin, avec une grande table dans le dos et le remercier pour la bouteille qui lui est offert. Il le fait bien évidemment entrer.

ITAKE : « Bando…mon ami… je t’en prie, mets toi à l’aise tu peux déposer ton manteau sur les crochets et retirer tes chaussures. Je peux te dire que l’on va se régaler ce soir. Ma femme a préparé un plat tu m’enverras des nouvelles elle est vraiment formidable, et je la soupçonne de bien cuisiner pour que je prenne quelques kilos. Tellement que je m’acharne sur sa nourriture… »

Les deux hommes étaient donc dans le salon, Tenshi enfin décide de se montrer les jours un peu rouge par rapport à ce qu’elle venait de porter, et que son mari avait bien évidemment approuvé car il était muni d’un ego surdimensionné et que montrer la femme qu’il a était une fierté en soi, ne voyant pas le danger qui menace. à force de voler, trop près du soleil tout comme Icare, on peut se brûler les ailes

TENSHI : « Bando… je suis si contente que vous ayez accepté l’invitation. Mon mari n’arrête pas de me parler de vous. Je suis donc contente de pouvoir vous rencontrer réellement plutôt que de se croiser. Quand l’occasion se présente. Je vous en prie, installez-vous au salon. On va pouvoir prendre l’apéritif…»

Tenshi se permet alors de venir lui déposer un baiser sur la joue. Ce qui fait bien évidemment écraser ses gros seins contre lui. Elle se cambre doucement dans une gestuelle habituelle pour elle puis elle accompagne les deux hommes dans leur salon assez luxueux mine de rien, elle avait tout préparé les verres, les bouteilles, et puis les amuse-bouche, lorsque les deux hommes étaient assis, elle se penche, j’ai entendu vers la table pour commencer à attraper les plats pour les tendre. Vu cette tenue Bando pouvez clairement apercevoir le début d’un magnifique string en dentelle de couleur rouge, alors que sa poitrine est légèrement caché par un décolleté plutôt tentateur

TENSHI : « alors, dites-moi, tout ça fait longtemps que vous êtes dans le quartier ? Je suis vraiment heureuse que mon mari ait pu vous rencontrer, car c’est un homme qui a besoin d’avoir une sphère amicale assez fournie et le fait que nous ayons déménagé l’a un peu rendu solitaire, et le plonge bien trop souvent dans son travail…»


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Tenshi : « vous ? Vous voulez dire le reste du groupe je devrais vous servir à vous quatre et les autres. Qu’est-ce qu’ils en pensent ils sont d’accord ils ils n’ont pas de petites copines ils…  »

Tout était en train de prendre forme de manière excessivement rapide. Elle ne savait pas où donner de la tête en essayant de gérer émotionnellement le fait qu’il soit devant elle, à cet instant, puis se rapproche encore une fois, elle pouvait clairement voir sa plastique qui a fait défaut à de nombreuses femmes avant elle, elle lâche un petit gémissement quand il va écarter ses cuisses pour qu’elle lui dévoile sa chatte qui commence à être bien mouillée à l’idée qu’elle puisse l’exciter.

Avant qu’elle ne lui donne la réponse, il vient l’embrasser de manière vulgaire et intense. Elle vient poser ses mains sur son torse pour jouer avec sa langue soutenance ce baiser qu’elle n’avait jamais imaginé pour voir lui délivrer un jour. Elle continue de gémir contre lui, alors que ses jambes étaient bien écartées, son kimono ne couvre plus ses épaules et laisse bien sortir ses gros seins qui viennent de s’écraser contre son torse, pouvant lui confirmer que ses tétons étaient bien durs. C’était une opportunité pour elle de dire un grand merde à son mari, qui ne la regarde plus ou qui ne promet plus le temps pour elle, et que quatre beaux gosses puissent la prendre jour par jour quand ils le désirent. Cette idée ne fait que l’exciter. Mais qu’est-ce que ça implique réellement il y avait-t-il des conditions y avait-il des règles ?

Tenshi : « haaaan… vous savez que je suis marié, et que, lorsque mon mari est à la maison, il est difficile pour moi de me libérer sans éveiller de soupçons…  »

Tenshi pense que pour elle, elle se ferait baiser à droite à gauche pendant quelques temps avant que cela ne leur passe, et qu’il puisse trouver une autre groupie qui pourrait susciter davantage leur intérêt et pour le moment autant prendre ce qui est gagné, elle vient alors passer ses bras autour de son cou, et bien écraser ses gros seins contre lui, avant de mettre une jambe autour de son bassin jusqu’à descendre l’une de ses mains sur l’entrejambe de Gentaro.

Elle vient à gémir contre célèbre et avec dextérité. Retire le haut du pantalon pour découvrir par le toucher, que sa bite était énorme, quelque chose qu’elle n’avait jamais vu auparavant. Elle arrête le baiser pour regarder cette grosse bite et se mordiller la lèvre. Elle se cambre davantage avant de s’asseoir sur le bureau, posant une de ses mains dessus, et l’autre la gardant autour du cou de l’homme, ce qu’il oblige à se coller contre elle, elle se met à lui lécher les lèvres de manière perverse avant de se déhancher pour frotter sa chatte contre sa queue et appréhender tous les contours et la longueur qui ne font que l’exciter et la faire mouiller

Tenshi : « Mon dieu… je n’aurais jamais imaginé que vous ayez une si grosse bite…haaaa… elle a complètement écarter, ma chatte… »



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Le quartier de la Toussaint / Re : Le Fruit d'une obsession [Pv]
« Dernier message par Alice Makai le jeudi 28 mars 2024, 13:34:07 »
“A demain !”

C’étaient les dernières paroles qu’Alice lâcha à ses collègues avant de quitter Le Paradis, leur faisant un signe d’au revoir alors qu’ils s’occupaient de la fermeture de l’établissement. A ce moment-là, elle ne savait pas encore qu’elle ne les reverrait sans doute pas de si tôt.

Elle sortait d’une soirée de travail pour le moins assez calme la concernant. Pour une fois elle n’avait eu qu’un client, un habitué avec ses envies très calculées, presque rituelles. Pas une fois lors de ses venues au club n’avait-il changé ses requêtes, aussi savait-elle toujours exactement quelle tenue, quelles mimiques ou quelles positions prendre pour le satisfaire. Autant dire que ce n’était pas le plus compliqué à gérer. Parfois, elle se sentait triste pour lui. Ce n’était pas un mauvais bougre, et elle se disait qu’il serait peut-être mieux pour lui de se trouver une compagnie officielle plutôt que de dépenser son argent avec une inconnue pour ce genre de plaisir. Enfin elle ne devrait pas forcément se soucier de ça, après tout, elle pouvait considérer sa solitude comme son gagne-pain.

Enfin, tout ça pour dire que malgré l’heure plus qu’avancée dans la nuit, elle était loin d’être fatiguée, surtout que la douche imposée par l’établissement après chaque client lui avait redonné un peu plus d’énergie encore. Autant dire qu’elle était sur le qui-vive sur le chemin du retour. En réalité, c’était presque un impératif pour elle. Malgré le standing certain du Paradis, les quartiers proches faisaient partie des plus malfamées de la ville. Des dealers et autres brigands à chaque coin de rue, pas le genre de personnes dans les griffes de qui vous aimeriez tomber, et Alice ne faisait pas exception. Heureusement, à force de faire le trajet, elle avait appris les passages sûrs pour éviter les mauvaises rencontres.

Elle devait être à la moitié du chemin quand elle passa devant une énième ruelle qu’elle savait sûre en cette nuit, car les habituels badauds qui y zonaient se réunissaient un peu plus loin dans le quartier de temps en temps. Aucun risque donc. Ou le pensait-elle…

Car avant qu’elle n’ait le temps de réagir, une main lui attrapa le bras et la tira sans la moindre douceur dans la ruelle sombre, lui arrachant un cri de surprise, enfin pas que quelqu'un s’en souciait outre mesure dans ce genre de quartier. Puis dans un mouvement trop fluide et puissant pour qu’elle ne puisse réagir, elle se retrouvait plaquée face à un mur, glacial. Elle allait ouvrir la bouche, tenter de se débattre, se plaindre, mais la voix de son agresseur la figea sur place.

Sans surprise au vu du poids qu’il faisait peser sur son dos pour l’immobiliser, c’était un homme sans doute d’âge moyen et en pleine possession de ses moyens. Un frisson lui parcourut l’échine quand son ricanement se glissa dans son oreille, et cet état ne s’arrangea pas lorsqu’il rouvrit la bouche, lui avouant à demi-mot qu’il la surveillait, qu’il avait prémédité cet assaut, qu’elle devinait par ses paroles être motivé par ses atouts physiques.

Merde, qu’est-ce qu’il allait lui faire ? Alice avait une vague idée de ce qu’il avait en tête, mais elle n'avait pas spécialement envie d’avoir la moindre confirmation à ce sujet. Appuyant de son bras libre sur le mur pour tenter de se dégager, elle lui lança, essayant de cacher la crainte dans sa voix.

“Qu’est ce que vous me voulez ? Si vous cherchez à tirer votre coup, vous n’avez que l’embarras du choix dans le coin ! Alors fichez-moi la paix !”

Elle espérait intérieurement que son invective suffirait à le faire fuir, mais une petite voix lui disait que ce serait loin d’être suffisant.
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Alice n’avait toujours aucune idée de ce qu’elle avait ingéré exactement, mais sa tête lui tournait de plus en plus. L’air un peu absente, elle essaya de lever le regard en direction de Tani qui se rapprochait alors d’elle, et ses yeux se posèrent bien malgré elle sur son entrejambe.  Une sacrée bosse s’y dessinait et, bien qu’elle ne soit plus en état de réfléchir aussi rationnellement qu’elle le voudrait, elle l’était assez pour comprendre ce qui animait le jeune garçon, et ce qui l’attendait. Et ça, elle n’en avait pas le moins envie du monde.

- Non… Ne me touche pas…

C’est tout ce qui parvint à sortir de sa bouche alors que son camarade de classe s’agenouillait à son niveau avant de poser une main sur sa poitrine sans la moindre gêne, tentant de la titiller au travers du tissu. Elle essayait de se débattre, mais si sa tête le voulait, son corps refusait d’obéir.

- Rien de bien méchant … Juste de quoi te faire tenir toute la nuit pour que tu puisses tenir mes assauts. Cela fait un bout de temps que j’attend de t’avoir rien que pour moi … J’ai du m’abstenir pour te réserver le meilleurs … Avec la dose que je t’ai donné, tu dois être prête … ou presque. Peut-être vas-tu jouir sous mon taser ?
- T-ton quoi-ah…

Avant même que la moindre information ne parvienne à monter à son cerveau, la main de Tani avait quitté son sein pour glisser sur son ventre puis sous ses vêtements pour arriver au niveau de son intimité. Il commença à la caresser. A nouveau la jeune fille tenta de se débattre, mais tout ce qu’elle fit, c’est laisser échapper des gémissements, son corps n’écoutait toujours pas. Puis tout à coup, une sensation étrange s’empara d’elle. Un stimulus qu’elle ne comprenait pas, mais qui la fit gémir plus fort, alors que son bas ventre était agité de légers soubresauts. Elle voulait fuir son regard mais le jeune homme n’était pas de cet avis, la forçant à tourner la tête dans sa direction alors qu’elle perdait le contrôle. Il approcha de son oreille, lui murmurant avant de lui lécher l’oreille.

- Tu as deviné ce que nous allons faire ? … J’ai même envie d’essayer tous tes orifices.
- Pitié arrête !…

Bien sûr qu’elle avait compris ce qu’il allait faire d’elle. Il faudrait être idiote pour ne pas avoir compris à ce stade, mais elle n’en avait aucune envie, ou en tout cas son cerveau, car son corps était bien trop réactif et attiré par ces sensations… Fichue drogue !

Il finit enfin par retirer sa main de ses vêtements, mais il était loin d’en avoir fini avec elle. Récupérant une des cordes de plus tôt, il s’en servit pour entraver ses mains avec des nœuds excessivement solides avant de la traîner vers la table. Et la voilà face contre le meuble, les poignets attachés attachés sous son propre corps, incapable de voir son bourreau qui se glissait derrière elle. Elle sentait sa verge encore prisonnière de son pantalon se coller à ses fesses alors qu’il se penchait sur elle pour relever son uniforme, dévoilant son soutien-gorge et sa poitrine bandée, et elle n’avait aucune envie de la sentir davantage que cela. Il descendit ensuite la culotte blanche de l’étudiante, sans lui retirer totalement, se laissant une entrave supplémentaire pour limiter ses mouvements.

- Peut-être auras tu le cran de choisir … Par quel orifice je commence Alice ?

Non, elle ne pouvait pas le laisser faire, elle ne pouvait pas se laisser faire. Puisant dans tous ses retranchements pour reprendre un minimum de contrôle, elle réussit à se redresser assez pour se soulever de la table et retomber à genoux sur le sol, pile à la hauteur de… de son sexe qu’il libérait sous ses yeux. Le monstre de chair était plus qu’impressionnant, impossible qu’il n’entre en elle sans la détruire. Elle leva un regard suppliant vers Tani, joignant ses mains liées comme pour une prière.

- Je t’en supplie laisse moi… Laisse moi et je n’en parlerais à personne. Je… Je ferais ce que tu voudras.

Elle se sentait sale.. Elle était littéralement à ses pieds, en train de supplier qu’il épargne ce qu’il lui restait de dignité, mais elle n’avait rien à lui offrir en échange de son indulgence…
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Évidemment il n’allait pas lui laisser le plaisir de fuir et de ruminer sur son double échec toute seule. Oh que non, l’enseignant lui pris la copie des mains sans plus de cérémonie et a en juger par son regard, elle s’en était tout sauf bien tirée, la façon dont il le repose ne laisse aucun doute là dessus, de même que le ton de sa voix.

- Non, en effet, c'est très loin d'être suffisant.

Alice déglutit. Le soupir de son professeur en disait long, de même que son langage corporel. Il était dépité au plus haut point, et elle aurait souhaité être une petite souris pour disparaître sans demander son reste et se faire oublier. Sa crainte transparaît même dans le pas en arrière qu’elle fait instinctivement lorsqu’il se lève de son bureau. Il mesurait sans doute une bonne tête de plus qu’elle, et elle ne préférait pas imaginer la différence de force entre eux non plus, à en juger par sa musculature, autant dire qu’elle n’en menait pas large à côté de lui.

- Je ne pensais pas devoir en arriver là. Mais tu ne me laisses pas le choix. Je ne peux pas laisser la moyenne de la classe chuter à ce point.
- Pardon Monsieur, je...

Mais la jeune fille ne finit pas sa phrase, coupée par le mouvement de son professeur qui, sans dire un mot de plus, contourna bureau et élève pour passer derrière elle. Elle le suivit du regard, l’observant repositionner sans le moindre effort les bureaux, d’une manière presque rituelle. Intérieurement, elle essayait de comprendre son but dans ce réarrangement, mais elle ne se serait aucunement permise de dire quelque chose sur les agissements de son professeur, pas tant qu’il semblait l’avoir dans le nez. Elle resta donc muette, la gorge nouée, jusqu’à ce que l’homme se retourne vers elle une fois son manège terminé.

- Enlève ton haut !
- H-Hein quoi ?...

Elle l’avait bien entendu là ? Nan ce n’était pas possible, elle devait se tromper, n’est-ce pas ? Elle lui lança un regard interrogateur, mais le professeur ne cilla pas. Pire, il reprit la parole d’une voix tout aussi neutre.

- Tu vas avoir droit à un cours de rattrapage d'une heure pour aujourd'hui. Et tu le passeras sans porter ton haut. Ca te poussera sans doute à plus te concentrer sur ce que je dis.
- P-Pardon ?!...

C’était une blague c’est ça ? Une caméra cachée ? Ah ah très drôle. Alice regarda autour d’elle, comme pour vérifier qu’elle n’était pas victime d’une mauvaise farce d’un de ses camarades, qui aurait mis le professeur dans le coup d’une manière ou d’une autre. Elle espérait du fond du cœur que quelqu’un sorte de derrière l’armoire du fond de la classe pour lui faire “Ahah on t’as eu !” Mais non, rien du tout, c’était la réalité et la jeune fille n’aurait pas osé opposer un refus à l’armoire à glace face à elle. Déglutissant, elle finit par s'exécuter. Tournant le dos à l’homme, elle retira son gilet et déboutonna lentement son chemisier, espérant encore qu’il lui dise d’arrêter, mais sans succès. Elle déposa ses habits sur le dossier du pupitre qui trônait désormais seul au milieu de la salle de classe, avant de s’y asseoir, ne gardant que son soutien-gorge comme protection.

Face à elle, l’homme ne commenta pas, et une fois son élève installée, il commença son cours, comme s’il se tenait devant n’importe quelle salle de classe des plus normales. Sauf qu’il n’y avait rien de normal dans la situation actuelle ! Il était seul devant une élève à demi-nue ! Qui pourrait rester stoïque ainsi ? Pas Alice en tout cas. Elle essayait de se faire violence, de suivre les explications de son professeur du mieux qu’elle pouvait en passant outre son accoutrement imposé, mais c’était difficile quand elle sentait le regard de l’homme s'arrêter pour, du moins elle l’interprétait ainsi, reluquer sa poitrine. Instinctivement, elle essayait de la cacher de son bras gauche, détournant le regard, les joues rouges. Comment pouvait-il penser que ça allait l’aider à se concentrer ?

Puis enfin, le cours prit fin.

- Bon, ça ira pour aujourd'hui. Tu reviendras me voir tous les autres jours de la semaine pour commencer.
- Tous.. les autres jours ?... Son visage se décomposa. Elle allait devoir revivre ça ? Quel enfer… Pourtant elle hocha docilement la tête. Bien Monsieur.

Esquivant soignement son regard, elle se leva de sa chaise et remit ses habits, lui présentant toujours autant que possible son dos, avant de prendre congé d’un aussi poli que possible Au revoir Monsieur.. Une fois rentrée, la demoiselle se précipita sous la douche, le lavant et frottant avec insistance sur les zones sur lesquelles elle avait cru voir son professeur loucher, comme si cela pouvait effacer ce qu’il avait pu voir. Elle ne toucha pas un seul mot de la situation à son frère, gardant pour elle ce qui s’était passé.

¤¤¤¤¤

La journée de cours suivante se passa sans encombre, et bien trop rapidement, la cloche sonna le dernier cours de la journée. D’un pas lent, Alice se dirigea vers la salle de cours de M. Tanaka. Au moins elle avait pris ses précautions, pas question de lui laisser de quoi mater. Dans ce but, elle avait remplacé ses sous-vêtements habituels par des versions plus “sportives”, une brassière bien fermée et opaque assortie d’un boxer, rien de bien appétissant à se mettre sous le regard, en théorie. Une fois face à la porte, elle cogna deux coups pour annoncer sa présence, priant dans son fort intérieur que l’homme soit finalement occupé et qu’elle puisse ainsi échapper à ce cours supplémentaire.
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One Shot / Re : Un Noël en enfer [PV]
« Dernier message par Alice Makai le jeudi 28 mars 2024, 13:29:30 »
La tension dans l’air était palpable. Yuki ne quittait pas le bandit des yeux, la colère se lisait sur son visage. S’il avait pu se lever, il aurait très certainement bondit sur l’homme, arme ou pas arme, tant il était inquiet pour le reste de sa famille. Emiko, qui jusqu'à présent restait près de la matriarche, elle-même bien sereine mais bien plus sur le qui-vive qu’elle ne le laissait paraitre, lança en direction de son neveu d’une voix ferme.

Yuki, il suffit !
Mais Tata…

Le regard strict de sa tante suffit néanmoins à contenir le garçon qui se contenta de fusiller l’homme du regard, encore plus quand le ventre de ce dernier se manifesta et que tous le virent déguerpir en direction de la cuisine. Le bon repas préparé par Emiko… Il paraissait si loin maintenant… Et puis, tout le monde avait l’appétit coupé en pensant aux membres de la famille absents. D’ailleurs, toujours aucune trace de Ai… Les deux garçons présents s’inquiétaient de plus en plus de sa disparition. Est-ce qu’elle avait réussi à s’enfuir, ou bien était-elle encore dans la maison ? Est-ce que le plus jeune des cambrioleurs avait mis la main dessus ? Une partie de son petit frère avait envie de demander, mais il savait aussi qu’il serait idiot pour eux de révéler que sa soeur était potentiellement encore en liberté. Aussi il se contenta de fixer à nouveau le geôlier quand il revint.

L’homme semblait les observer tour à tour. Il put voir Suzume se penchait sur sa fille qui s’endormait malgré la position précaire ou Emiko qui tentait de se rapprocher de son neveu pour le calmer. Daisuke lui continuait de fixer l’homme du regard, essayant de ne pas laisser transparaître son inquiétude pour sa petite amie, alors qu’il s’approchait du plus jeune garçon, son arme toujours à la main.
 
C'est pas de moi que tu dois avoir peur pour ta mère . Mais si elle est intelligente elle saura s'en sortir
Qu’est ce que votre ami va lui faire ?…
Emiko demanda, les yeux légèrement embués à imaginer ce que sa soeur vivait actuellement.

¤¤¤¤¤

Très bien Natsumi. Sage décision

Sage, elle ne savait pas si ça l’était, mais est-ce qu’elle avait vraiment le choix ? Qu’est-ce que ce pervers aurait fait si elle s’était refusée à lui ? une larme roula sur sa joue, mais elle serrait les dents, elle devait être forte et surtout ne rien laisser paraître. Shenjo revint vers elle avec un sourire satisfait, aidant la mère de famille à se redresser avant s’accroupir face à elle. Bien évidemment, la tentation lui passa de profiter de la différence de hauteur pour lui retourner un coup de pied bien senti, mais elle ferma les yeux pour souffler un bon coup et chasser cette idée de son esprit. Qu’est-ce qu’elle aurait fait après ? Ils étaient enfermés dans cette pièce et il restait armé, elle n’avait aucune chance de s’échapper.

Alors qu’elle tentait de se faire une raison, elle sentit la main du jeune homme caresser sa jambe au travers du collant. Par un réflexe purement mécanique, elle se raidit et tapa le talon au sol. Une action involontaire mais qui risquait de lui attirer le courroux de son bourreau, aussi détourna-t-elle la tête rapidement en se confondant en excuses.

Je suis désolée, ça ne se reproduira pas…

Néanmoins, l’homme ne sembla pas s’en formaliser plus que nécessaire, trop occupé à la dévorer du regard sans doute.

Tu ne m'as pas dit ton âge mais je suppose que c'est par coquetterie . Mais peu importe , tu es largement bandante et je vais me régaler avec toi. Si tu joues le jeu, non seulement rien n'arrivera aux autres, mais en plus personne ne saura rien .

Natsumi eut un haut-le-cœur (et sa fille aussi). La façon dont il parlait d’elle, ça avait quelque chose d’écoeurant, comme si elle n’était rien de plus qu’une marchandise dont il allait pouvoir profiter. Et qu’il en parle ou non n’y changera rien, le reste de la famille ne sera pas dupe, ne serait-ce que par le temps qu’ils mettent à revenir, le fait qu’il reviendra sans butin, et elle probablement dans un état peu reluisant… Il n’y aurait pas besoin de faire A+B pour comprendre le sacrifice que la mère de famille aura accepté de faire. Et quand bien même tous l’ignoreraient, elle, elle ne pourrait jamais oublier.

N'oublie pas que de ta conduite dépend beaucoup de choses pour ta famille. Et arrête de pleurer ça ne changera rien .

D’un geste dénué de compassion, il essuya les larmes d’angoisse qui avaient coulé sur les joues de la blonde avant d’enfin la défaire de ses liens à l’aide d’un couteau. Une arme de plus… Puis, avec une certaine impatience, il vint s’asseoir à côté d’elle, ses mains reprenant leurs caresses sur ses cuisses, ses jambes… Elle échappait pour le moment au contact direct. De ses lèvres et de sa langue, il venait dévorer son cou, et dans son esprit passa une pensée presque puérile, priant de toutes ses forces qu’il ne la marque pas à cet endroit… ou à aucun autre d’ailleurs. Elle de son côté restait particulièrement passive, refusant de lui donner plus que le minimum.

Pitié… Dépêchez-vous de faire votre affaire… qu’on en finisse…

Elle ne tirait aucun plaisir de ce moment, et gardait les yeux clos pour ne pas voir son tortionnaire et s’autoriser à imaginer son mari à la place, serrant les dents. Dans sa cachette, Ai continuait d’observer la situation avec un certain malaise dans le ventre. Surprendre ses parents au lit, c’est déjà pas la meilleure expérience du monde, mais surprendre sa mère forcée à coucher avec un autre homme, c’est encore plus difficilement soutenable. Mais surtout elle continuait d’attendre un moment opportun pour agir, même si vu la situation, elle craignait de devoir attendre que l’homme soit trop concentré dans son acte pour réagir.
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Centre-ville de Seikusu / Re : De nouveaux horizons [PV Nyoras Club]
« Dernier message par Alice Makai le jeudi 28 mars 2024, 13:18:18 »
Alice soufflait intérieurement. Les entretiens, ce n’avait jamais été son truc.Ce sentiment de se mettre à nue, au sens figuré bien entendu, devant un inconnu, ce besoin de trouver l’équilibre entre ce que la personne veut savoir et ce qu’il vaut mieux éviter d’aborder… Elle avait l’impression de marcher sur une corde raide et de chercher le sans faute, quelle pression. Pourtant elle ne devrait pas mais… les habitudes… Heureusement face à elle, Aya se montrait des plus encourageantes, commentant son expérience.

- C’est une très bonne chose, ça me fait plaisir d’apprendre que tu as déjà ce genre d’expérience. C’est plus rare que tu ne le crois… en général, nos postulantes mettent en avant leur physique mais ne connaissent pas grand-chose à tout ce qu’il y a d’autres à gérer dans un club…

Elle avait marqué des points on dirait. Un sourire passa sur le visage d’Alice, reflété très vite sur le celui d’Aya alors qu’elle poursuivait en parlant de ses autres expériences. Elle trouvait ça un peu particulier de parler de ce genre de chose lors d’un entretien, mais le langage corporel de la jeune femme face à elle la mettait assez en confiance pour parvenir à se dévoiler. Elle écoutait, sans interruption, c’était tout ce qu’il fallait à Alice.

- Merci d’avoir partagé tout ça avec moi Alice. Pour être parfaitement honnête, vous me plaisez beaucoup. J’adorerais travailler avec vous.
- V-Vraiment ?

Le rouge revint très aisément aux joues de la demoiselle. Elle ne s’était pas attendue à une réaction aussi franche. Est-ce que cela signifiait qu’elle était engagée, ou bien seulement qu’elle avait l’approbation d’Aya en particulier. Un léger doute passa sur son visage à cette idée alors que la beauté aux cheveux ébènes continuait.

- Puisque tu connais un minimum le métier, et pas que celui d’escort-girl, sache que tu n’auras pas d’obligations en ce qui concerne tes relations sexuelles avec la clientèle. Je veux dire que tu pourras gérer le bar et sa salle avec moi ou Xia, et ne te proposer pour le reste que si tu le désires. Ça ne changera bien sûr rien à ta paye.

Un soupir de soulagement échappa à Alice en entendant cela. L’idée de ne pas avoir certaines obligations vis-à vis des clients lui retirait un immense poids de l’estomac. Bien sûr, si elle avait dû s’y plier, elle l’aurait fait sans rechigner, mais si cela pouvait lui être épargné, autant s’en réjouir. Et puis, si elle pouvait se former en aidant au bar, c’était tout bénéfice, autant essayer d’ajouter un maximum de cordes à son arc. Bien sûr ça ne confirmait toujours pas à 100% sa situation mais…

C’est alors qu’elle sentit le doigt d’Aya effleurer sa main avant de remonter sur son avant-bras, déclenchant un agréable frison qui remonta tout son corps, avant qu’elle ne repose le regard sur son interlocutrice qui murmurait.

- Pour ce qui est de ton expérience avec les femmes… soit sûre que nous serons très heureuses de passer du temps avec toi pour te faire découvrir ces plaisirs que ton corps ignore encore. Il ne faudra pas hésiter à demander, d’accord ? Ca ou d’autres choses, si tu as la moindre question ou demande…

Un instant, est-ce qu’elle lui proposait de ?... Nooon ! Ou… peut-être ? Alice scruta le visage d’Aya avec attention, essayant d’y déceler l’aveu d’une boutade, d’une sorte de bizutage à son encontre. Mais rien du tout, la jeune femme semblait, dans toute sa bienveillance, extremement sérieuse quant à cette proposition. Mais dans ce cas… Elle devait en avoir le cœur net.

- Dois-je comprendre que… je suis engagée ?

La question semblait peut-être puérile, mais elle avait besoin de se tranquilliser l’esprit à ce propos. Mais elle enchaina bien rapidement.

- Je… Enfin… Je… Désolée, j’ai tellement peur d'interpréter de travers. Mais je… je serais ravie… d’expérimenter… de nouvelles choses… Enfin, si ça ne vous dérange vraiment pas…

Ses yeux regardaient le doigt d’Aya qui continuait sa promenade le long de son bras, n’osant plus la regarder dans les yeux, son cœur battant à un rythme irrégulier de crainte de ne dire une bêtise..


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Gentaro & Tenshi

Elle m'a reconnu, et ça me donne un sacré coup d'adrénaline. Savoir qu'elle sait qui je suis, que mes performances avec les Astral Bonds ont marqué son esprit, ça me fait chaud au cœur. Tenshi est vraiment magnifique, même plus que dans mes fantasmes les plus fous. Je me sens flatté qu'elle me remarque, qu'elle s'intéresse à moi de cette façon. En la regardant se cambrer contre le bureau, je ne peux m'empêcher d'admirer sa beauté et son charme. Elle a quelque chose d'irrésistible, quelque chose qui m'attire comme un aimant. Mes intentions sont claires, mais je veux qu'elle le comprenne. Je m'approche d'elle avec douceur, lui assurant que je suis là pour elle, prêt à lui offrir tout ce dont elle a besoin. Quand elle prononce mon nom, je sens une étincelle d'excitation dans ses yeux. « Tu sais ce dont je veux parler, rouquine. » Dis-je d'une voix rauque, mon regard brûlant d'intensité. Je ne peux pas m'empêcher de la dévorer des yeux, attiré par son charme envoûtant. Je veux qu'elle comprenne que je suis là pour assouvir ses désirs les plus profonds, pour la faire vibrer comme jamais auparavant.

Je dévoile mon torse musclé et tatoué, laissant entrevoir une parcelle de ma virilité. Mon regard brûle d'un feu ardent alors que je m'approche d'elle avec une assurance féline. Elle est là, devant moi, offerte sur ce bureau, sa chevelure rousse tombant en cascade autour d'elle. D'un geste possessif, j'écarte doucement ses jambes, révélant davantage son corps désirable. Mes mains avides se posent sur son visage, capturant sa beauté avec une délicatesse féroce. Mes doigts encerclent ses joues, exprimant à la fois mon désir ardent et ma volonté de la protéger. Son souffle chaud caresse ma peau alors que nos regards se croisent, brûlants d'une passion inextinguible. Dans cet instant suspendu, je me sens prêt à la posséder, à l'aimer avec une intensité sauvage. « Et bien ces groupies, oublies les. J'suis là pour toi aujourd'hui, tu m'obsèdes putain... » Alors, mon visage se rapprochant du sien avec une détermination palpable. Une lueur de désir brille dans mes yeux sombres alors que ma langue pointue glisse sensuellement le long de son cou. Sa peau sous ma caresse est douce et tiède, et chaque contact enflamme davantage mes sens.

« Dans cette vie de famille, t'es qu'une pauvre paumée sans but. Alors que moi, j'peux t'en donner un concret. Et vu que tu fais déjà la belle devant tes caméras, tu seras pas trop dépaysée avec moi. Enfin, avec nous... »

Mes gestes sont empreints d'une férocité contrôlée, exprimant à la fois mon envie irrépressible et ma volonté de la faire vibrer de plaisir. Je me délecte de chaque réaction, de chaque frisson qui parcourt son corps sous mon toucher. Dans cet instant de communion intense, je suis déterminé à la faire succomber à mes charmes, à lui offrir un plaisir dont elle se souviendra éternellement. Ma main s'aventure entre ses cuisses, explorant avec audace le territoire de son intimité. Ses lèvres intimes sont déjà humides, trahissant le désir qui brûle en elle. Pendant ce temps, mon autre main saisit délicatement sa gorge, exerçant une pression mesurée qui exprime à la fois ma dominance et ma protection. Ses réactions ne font que renforcer mon assurance. Je sens la chaleur de son corps sous mes doigts, son souffle s'accélérant au rythme de ses pulsations. Elle est à moi, et je savoure chaque instant de ce pouvoir qu'elle me confère. Dans cet échange torride, je me sens plus puissant que jamais, conscient de l'impact que j'ai sur elle, et déterminé à la combler de plaisir jusqu'à l'extase ultime.

« Alors... ? Tu penses pouvoir continuer à vivre ce quotidien emmerdant, ou tu veux embrasser une vie de luxure jusqu'à la fin des temps ? »
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Alors qu’elle était en train de se faire tripoter dans tous les sens, avec la bave du gros porc sur ses tétons qui ne cesse de les faire durcir. Elle continue ses gémissements en venant s’agripper vers lui. Le kimono dénude parfaitement ses épaules. Mais sept sensations de recherche, du plaisir qu’il soit s’est passé vite lorsque sans crier égard, elle me pénètre dans la pièce, ils sensations pesantes s’installe. Il était grand très musclé avec de nombreux tatouages visibles sur le visage et le cou, mais très vite la femme de foyer reconnu qui s’était…Gentaro des Astral Bond… qu’est-ce qu’il fait ici ? comment ça se fait ? pourquoi ?

Tellement de questions se bousculent dans sa tête, surtout lorsqu’il vient attraper à la gorge, le gros porc. Tenshi pose sa main devant sa bouche pour contenir un petit cri de surprise et de terreur à la fois. Enfin, est-ce que c’était vraiment de la terreur se retrouvait devant l’une de ses idoles qui plus est était en train de mener à mal un gros porc dont elle n’avait pas spécialement d’attirance… il n’avait aucune difficulté à le soulever. Par le coup, sa voix était lourde et en même temps mielleuse quelque chose d’irrésistible qui commence à la fare bien plus mouiller que ce que le « candidat » était en train de lui faire.

Elle se recule contre le bureau qui était devant la fenêtre avec les rideaux fermés. Elle regarde la scène en silence, tétanisée avec un mélange de surprise et de soulagement. Gentaro projette l’homme avec une facilité déconcertante, qui, d’ailleurs, prend la fuite sans demander son reste, ses habits dans les mains pour sûrement les remettre une fois bien loin de cette menace. Gentaro fini par se retourner vers elle, pour s’avancer d’un pas assez lent et de gestuelle qui voulait tout dire sur ses intentions.

Elle était encore une fois étonnée, qu’il puisse connaître son nom. D’autant plus que la proposition qui suit laisse s’envoie la femme au foyer qui se cambre contre le bureau. Le kimono toujours ouvert qui laisse simplement apparaître ses tétons bien durs encore mouillés, par la salive de l’autre homme.

Tenshi : « Mon dieu…vous êtes…Gentaro… comment m’avez-vous trouvé ? Qu’est-ce que vous faites ici…pourquoi…qu’est ce que … Vous servir à tout le groupe, qu’est-ce que vous entendez par-là…  »

Tenshi n’était pas stupide. Elle savait très bien. De quel secteur d’activité il pouvait parler mais elle voulait plutôt en avoir la confirmation si elle avait bien entendu les propos de l’homme qui se tient devant elle ou plutôt du démon, ce qui rajoute une variante en plus à cette situation, improbable. Elle se mordit la lèvre en le regardant de haut en bas, et la manière dont il était habillé. Laisse clairement voir que son charisme et sa carrure était aussi jouissive que lorsqu’elle les regarde à la télé.

Tenshi : « si c’est bien ce que je crois, vous devez savoir que je suis Marie ma présence ici n’est que quelque chose de ponctuel et comment est-ce que vous savez que ma vie est merdique je ne suis qu’une simple femme au foyer perdu dans un quartier résidentiel, alors que vous avez autour de vous tellement de groupies qui mouille sans cesse chaque soirs lors de vos représentations…  »

En disant cela elle se vend sur le fait qu’elle les suit de loin le ciel n’a jamais été à l’heure de leur concert et se contentent de fantasmer et de se masturber à travers un écran

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