Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Les contrées du Chaos / Re : Le crime ne paye pas ! [Fang & Marguerite]
« Dernier message par Nyoras Club le Aujourd'hui à 01:13:12 »
Oh, elle connaît du monde dans la région. C’est logique pour une paysanne dans un sens. Il doit y avoir les habitants de son village, peut-être une paroisse ou un truc du genre… et tout ça ne doit pas être si loin d’ici. En tout cas je l’imagine mal partir en expédition cette petite. Quant à ce que les gens penseraient…

« Je suppose que ça pourrait être embêtant pour vous. J’en déduis que la sexualité dans votre village est un sujet assez tabou… ? »

En bref, que ce village a l’air terriblement ennuyant. Ou que beaucoup jouent les prudes alors qu’ils ne le sont pas. En tout cas en la voyant elle, je suis sûre que beaucoup dans son village ont envie de lui passer dessus. Mais pour une fois je suis de bonne humeur alors je lui accorde son souhait, qui n’a de toute manière rien de gênant si ce n’est de repousser notre partie de jambe en l’air d’à peine quelques minutes.
Et… elle vient de m’embrasser ? Ok, là je suis surprise. C’est très rare que quelqu’un m’embrasse, sans doute parce qu’en général je prends ce qu’on refuse de me donner… je lui souris, et me met donc à la suivre dans un coin qu’elle juge plus sûr. Je crois que je n’ai jamais eu une partenaire sexuelle aussi enjouée. J’en suis à me demander si je ne vais pas l’embarquer avec moi cette petite… surtout qu’elle parle sans détours.

« Vraiment ? Il va falloir rendre ce moment mémorable alors, que vous vous en souveniez longtemps… »

Maintenant qu’elle a trouvé le coin parfait pour nos ébats, elle prend position. Aucune subtilité ici : elle se met à quatre pattes, m’offrant une vue splendide sur ses fesses et un accès direct à son intimité que je meurs d’envie de combler. Je me mets à genoux derrière elle, et pose mon membre raidit entre ses fesses. Mes mains se posent sur celles-ci et les écartent, et je me déhanche lentement pour me masturber avec. Quelle douceur… et les fluides du mimic aident clairement, lubrifiant ses instruments du plaisir.

« Vous avez un corps magnifique. Irrésistible même. Dans d’autres circonstances, j’aurais tout fait pour coucher avec vous aussi. »

Avec ou sans son consentement, mais ça c’est un détail. Du moins pour moi. Mais puisqu’aujourd’hui je l’ai pour moi seule et qu’elle est plus que volontaire, je vais me montrer un minimum tendre. Je recule mes hanches et fait glisser mon pénis contre ses lèvres intimes, appuyant lentement… et ce, jusqu’à commencer à la pénétrer. L’intérieur est chaud, très chaud même, sans doute grâce à l’aphrodisiaque. Mais il est aussi très accueillant, et je m’y glisse avec une certaine facilité malgré ma taille.
Mes mains tenant désormais ses hanches, je murmure avec amusement :

« Vous avez raison, je ne le regrette vraiment pas… »
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Royaume Terranide / Re : Communion avec les feuilles et les fleurs (Nyoras Club)
« Dernier message par Nyoras Club le Aujourd'hui à 00:52:52 »
Comme je le suppose, ma présence prend de court la jeune terranide. Difficile de lui en vouloir, il y a quelques secondes elle était en pleine masturbation… et le spectacle était vraiment sublime. Je ne doute pas un seul instant qu’il ne doit pas y avoir que de l’eau sur ses belles cuisses, et qu’un feu doit encore l’animer suite à cette interruption… mais malgré tout ça, elle accepte que je vienne moi aussi me baigner.

« Merci, c’est bien aimable mademoiselle. »

Et je continue donc sur ma lancée, enlevant ma chemise. Ne portant rien en dessous, elle pourrait voir mon torse musclé… si elle regardait dans ma direction. Elle semble se l’interdire pour le moment, même si moi je ne perds pas une miette de son joli corps. Ou, vu qu’elle me tourne le dos, de ses fesses qui me semblent des plus douces !
J’arrête de la regarder durant un instant pour enlever le bas, révélant bien des choses qu’elle ne voit à nouveau pas… elle aurait pu constater l’effet que son petit spectacle m’a fait, même si j’ai la sensation que la tension ne va pas redescendre tout de suite. Je l’entends marmonner quelques mots à propos de l’eau, qui est effectivement assez fraîche malgré le temps ensoleillé. C’est qu’avec toute la végétation, il y a beaucoup d’ombre !

« Oui, mais ça devrait faire du bien quand même… c’est qu’on a sacrément chaud non ? Enfin, que j’ai chaud. Après toute cette marche. »

Et peut-être que je sous-entends qu’elle aussi a l’air d’avoir chaud, mais pour d’autres raisons. La voilà d’ailleurs qui tourne la tête dans ma direction, me voyant donc… et bien, nu. La pudeur et moi ça fait deux, alors je ne cherche pas à lui cacher quoique ce soit. Déjà que j’hésite à lui proposer de l’aider à finir ce qu’elle a commencé… !
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Centre-ville de Seikusu / Re : Néon Musique. - pv
« Dernier message par Nyoras Club le Aujourd'hui à 00:36:35 »
« Je crois qu’elle s’est évanouie. »

Ada constate sans plus de détour l’état de l’étrange créature dont la tête repose sur sa poitrine. Certains paieraient cher pour être à sa place, mais aucune de nous n’a le cœur de faire cette blague. Maintenant qu’elle est calmée, nous arrivons un peu mieux à voir à quoi elle ressemble. On pourrait croire que c’est une sorte d’elfe, mais pourtant certains attributs physiques ont l’air d’être bien trop différents de ceux-ci. La maintenant toujours contre elle pour qu’elle ne tombe pas, Ada échange un regard avec moi et Yor. Cette dernière finit d’ailleurs par briser le silence :

« Encore une belle nana qui finit exténuée dans tes bras Ada… »

Nous nous mettons à rire toutes les trois, avant de nous décider à nous occuper d’elle. C’est qu’en plus d’être évanouie, ses pieds sont toujours dans un sale état ! Avec l’aide de Yor, Ada se pose sur le canapé et pose la tête de la jeune femme sur ses jambes toujours dénudées, ne s’embarrassant pas d’une tenue pour le moment. De mon côté je viens me placer au niveau des pieds tailladés, constatant que malgré la panique les blessures ne sont pas trop profondes.

« Bon voyons voir ça… »

Je commence à nettoyer les plaies avec un désinfectant, aussi délicatement que possible. Pendant qu’Ada continue de gentiment caresser les cheveux de la belle aux bois dormants, Yor file du côté du club dans une robe légère histoire de ne pas laisser les clients sur leur faim.

« Et maintenant, des bandages… »

Ça risque d’être compliqué pour elle de marcher, mais je fais au mieux pour panser ses blessures. Maintenant, il ne reste qu’à la laisser se réveiller… avec une belle vue, la poitrine d’Ada se trouvant juste au-dessus de son visage.
4



Spoiler: Sa tenue (cliquer pour montrer/cacher)





Évidemment, qu’elle voulait appâter le jeune homme et elle savait très bien. Comment faire sa pratique était indéniable. Elle n’avait pas besoin de se rassurer là-dessus, car sa plastique déjà faisait un très gros travail. Elle voit qu’il ne fuit pas le contact et bien au contraire elle pouvait sentir l’entrejambe bien se gonfler pour laisser entrevoir, et sentir que la bite qui avait sous le pantalon était vraiment très grosse, la femme au foyer, se mordit la lèvre avec impatience et excitation alors qu’elle continue de se rocher contre lui, pour bien sentir les contours, prendre forme bien plus qu’il n’en faut

TENSHI : « haaaaaa… je le connais par cœur. Il va en avoir pour la soirée il ne viendra pas de sitôt et quand il aura fini, il va tomber et s’endormir me laissant dans un tel état…»

Ce qui sous-entend bien évidemment, qu’elle espère que son Voisin prenne par à la combler, et c’était plutôt en très bonne voie. Elle se cambre contre lui avant de le sentir ce pencher sur elle, après avoir libéré sa grosse queue qui vient se frotter contre ses fesses car sa jupe était maintenant bien relevée Pour dévoiler son string en dentelle rouge. Elle jette un peu sa tête en arrière lorsqu’il vient, lui murmurer à l’oreille, ses intentions et elle tourne légèrement la tête quand il l’embrasse à la commission des lèvres pour attraper la chemise de celui-ci avec une main pour le maintenir près d’elle.

Elle le tire de nouveau vers elle, pour venir l’embrasser à pleine bouche, en jouant avec sa langue de manière vulgaire, lui montrant bien son appétit qui n’était pas culinaire, elle continue de ce déhancher contre la grosse queue, cette fois qu’elle pouvait bien sentir longue, épaisse et chaude. Comme elle les aime, elle continue de jouer avec sa langue, avant de se défaire du baiser pour laisser un filet de bave, séparer lors de langue. Elle respire fortement en le regardant dans les yeux.

TENSHI : « haaaaaa… Mangez-moi. Je serai votre repas ce soir…»

Elle ne se fait pas prier, et lui non plus alors qu’il vient se mettre à genoux derrière elle. Elle vient suer deux de ses doigts, passant sa langue autour avant de sentir celle de Bando qui commence à explorer son gros cul avant de finir par écarter le string pour lécher sa chatte qui avait l’odeur et un goût de fraise, ce qui devait être assez inédit pour lui. Elle met sa main devant la bouche pour étouffer l’é gémissements qui veulent s’échapper de ses lèvres pulpeuses. Sa chatte commence à dégouliner sur sa langue et dans sa bouche elle écarte bien ses cuisses pour libérer l’accès. En voilà une vraie rencontre constructive. Elle descend une de ses mains pour venir jouer avec son clito qui continue de l’exciter.

TENSHI : « haaaaaa… c’est tellement pour moi. Surtout ne t’arrête pas bien que ça serait pas suffisant pour me satisfaire vu ce que tu as entre les jambe…haaaan je sens qu’elle va tellement écarter ma chatte…»

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Gentaro & Tenshi

Je me sens comme un roi, dominant Tenshi de toute ma virilité. Sa soumission m'excite davantage, alimentant le feu ardent qui brûle en moi. Chaque gémissement qu'elle émet, chaque mouvement de son corps sous mes assauts, ne fait que renforcer mon désir insatiable. Je m'enfonce en elle avec une brutalité maîtrisée, savourant chaque instant de plaisir partagé. Alors qu'elle se cambre sous mes coups, offrant son corps avec une dévotion totale, je sens mon contrôle sur elle se renforcer. Ses mots suscitent en moi un sentiment de pouvoir et d'accomplissement, alors que je la regarde avec une lueur de satisfaction dans les yeux. Mais même dans cet état d'extase, je reste attentif à ses désirs et à ses besoins, prêt à la satisfaire au-delà de ses attentes. « Le plus beau jour de ta vie... pour l'instant... ! » Je décide de ralentir le rythme, savourant chaque moment de cette union charnelle. Mes gestes deviennent plus doux, plus sensuels, alors que je m'abandonne à la passion qui nous consume. Je veux prolonger cet instant de plaisir intense, explorer chaque recoin de son corps avec une tendresse inattendue.

Je la regarde avec admiration alors qu'elle monte sur moi, prenant le contrôle de notre danse sensuelle. Sa silhouette ondulant au-dessus de moi, sa chatte engloutissant ma queue avec une voracité insatiable, cela éveille en moi un désir indomptable. Je la laisse mener la cadence, savourant chaque instant de cette symphonie charnelle. Ses gros seins dansent au rythme de nos ébats, une invitation charnelle à la luxure la plus décadente. Je les prends en main, les pétrissant avec une avidité dévorante, me délectant de leur douceur et de leur fermeté. Ils sont une symphonie de chair, un trésor sensuel entre mes doigts. Nos lèvres s'unissent dans un baiser affamé, nos langues s'entremêlant avec une férocité insatiable. La bave s'écoule entre nos bouches, témoignant de notre désir brûlant. Pendant que nos corps s'embrasent dans une étreinte passionnée, je pilonne l'anus de Tenshi avec une ardeur dévorante, mes hanches ondulant avec une intensité sauvage.

« T'es douée dis-moi... HUM... pour une femme au foyer qui se fait chier... ! Ce sont les gars qui vont être contents... !! »

Je la basculai sur le côté, la forçant à suivre mes mouvements sans résistance. D'un geste brusque, je lui écartai la jambe, exposant son cul offert à mes désirs. Sans attendre, je m'enfonçai en elle, ma queue trouvant un passage étroit mais accueillant dans son anus bien écarté. D'une poigne ferme, j'empoignai son sein, le malaxant avec avidité tout en m'abreuvant de ses gémissements. Dans cette transe animale, nos corps se mêlaient dans une danse sauvage, leurs mouvements synchronisés par un désir ardent. Chaque contact, chaque coup de reins, était un cri de passion brûlante, un écho de nos pulsions les plus profondes. Je me nourrissais de l'odeur de sa peau, de la moiteur de ses soupirs, perdant toute notion de temps et d'espace dans cet élan primal. Nous étions deux bêtes en rut, en quête d'une satisfaction totale. Chaque baiser était un assaut, chaque étreinte un combat pour la domination. Rien n'importait excepté cette frénésie charnelle qui nous consumait, nous propulsant vers des sommets de plaisir inexplorés.

« Rhan... ! Tenshi ! HUM... ! »

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Elle ne savait plus où donner de la tête. Tellement que les coups de bite venez en elle de manière brutale pour bien lui montrer qu’en fait elle n’avait pas vraiment le choix de se soumettre à la volonté du démon. Elle avait bien la langue pendant le regardant, tout en continuant de crier de plaisir, et ces moments-là qu’elle se dit que heureusement que son mari n’arrive pas à la satisfaire, car elle serait passer à côté d’une opportunité qui ne se présente qu’une seule fois, et bien évidemment, elle n’allait même pas pouvoir s’inventer car elle doit garder une certaine discrétion, même si elle sait très bien qu’avec les quatre garçons et leur tempérament excessif et possessif elle devra se plier à chacun chacune de leur volonté, et si elle devait s’exhiber, elle n’aurait pas le choix à un certain moment.

TENSHI : « haaaaaa… je ferai tout ce que tu voudras, et où tu voudras…»

Alors qu’elle était dans une de ses positions favorites, elle se retrouve de nouveaux à quatre pattes sur le lit venant bien écraser ses gros seins sur le matelas alors que cette fois-ci il se retire de sa chatte bien dégoulinante pour se planter dans son cul, la sensation et l’épaisseur de la grosse bite la fait instantanément jouir malgré elle pour venir tremper le drap. Elle n’avait même pas eu le temps de prévenir l’inondations que c’était parti tout seul sous le plaisir immense de recevoir cette sodomie, mais ce n’est pas pour autant qu’elle ne se défait de lui. Elle pouvait maintenant pleinement profiter et sentir de nouveau, la chaleur de son corps, continuer à la consumer, à chaque fois qu’il vient faire claquer son bassin contre le sien et les couilles, ils viennent fouetter son clito et sa chatte.

Elle est bien sa tête en arrière pour bien lui montrer sa soumission alors qu’elle avait le cul bien relevé vers lui. L’idée de le chevaucher pour lui montrer comment son corps réagit à sa bite, le regarder dans les yeux pour bien j’intègrerai que ce n’est pas un rêve. D’après lui elle serait une reine et être sur le trône au pieds des 4 hommes la fait dégouliner de plaisir. Elle vient rouler pour le faire s’allonger et monte à califourchon sur lui pour revenir descendre sur sa queue son cul s’écarte et s’enfonce profondément elle pose ses mains sur son torse et se penche pour l’embrasser montant descendant sur sa qu’yeux écrasant ses seins contre son torse puissant

TENSHI : « haaaaaa… cest le plus beau jour de ma vie …Gentaro …»

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Le parc et son sous-bois / Re : L’avocat qui vivait à côté de chez moi (PV Tenshi Kazama)
« Dernier message par Bando le jeudi 28 mars 2024, 21:05:13 »
Puisqu’elle devait passer le plus clair de son temps seule dans cette grande maison, tandis que son mari était toujours par monts et par vaux, je n’aurais pas été surpris d’apprendre que la sublime Tenshi Kazama avait un amant, ou deux. Belle comme elle était, pour ne pas choisir un autre adjectif moins flatteur, elle n’aurait eu, c’est sûr, aucun mal à se trouver quelqu’un.

Je ne m’attendais cependant pas à ce que ce quelqu’un puisse être moi et encore moins alors que son mari n’était qu’à quelques mètres de là. Qu’elle puisse se sentir délaissée en l’absence de son mari est une chose… vouloir le tromper alors qu’il est à côté, c’en est une autre. Tenshi n’était donc pas seulement une femme délaissée : elle était également insatisfaite.

« Mmmmh… »

Venant de m’annoncer très clairement ce dont elle avait envie là maintenant, la belle rousse s’était d’un coup faite pressante et très directe. S’étendant en avant comme l’aurait fait un félin, avec grâce, mais sans aucune pudeur toutefois, elle en venait à écraser son buste tout contre le comptoir de la cuisine… et se mettait à onduler des hanches.

Son cul appuyant fort contre mes hanches, elle frottait ma grosse bite tout contre sa raie. Bien vite, elle fit remonter sa jupe, découvrant le bas de son corps comme pour rendre plus explicite sa requête… des fois qu’il reste comme un doute. Voilà un spectacle inattendu… mais bigrement torride.

Incapable de bouger, je jetait des coups d’œil à droite à gauche, priant pour que son mari ne remonte pas de son bureau pour nous surprendre dans une telle position.

« Oh… j-je… waw. Je pense pas qu’on devrait… »

C’était la réponse la plus attendue, la plus normale qui soit dans une situation comme celle-ci, avais-je supposé. Seulement, quand bien même je venais de prononcer ces mots, il restait dur… très dur, de résister à une telle proposition. La vue que m’offrait Tenshi sur son corps était sans pareille… à couper le souffle… et à réveiller les morts.

Ainsi frictionné entre ses deux grosses fesses moelleuses et chaudes, il ne fallut évidemment pas longtemps à mon sexe pour se mettre à raidir et à gonfler, jusqu’à doubler de volume.

À l’étroit dans mon pantalon, tout contre son gros cul, j’aurais eu du mal à lui faire croire qu’elle ne m’intéressait pas.
La situation était tellement… bizarre, tellement soudaine, qu’il me fallut tenter de détendre cette atmosphère si chargée, en cherchant à blaguer.

« Cela dit… si c’est comme ça, alors je vous offrirai des fleurs plus souvent. »

Je lui adressais un sourire amusé alors qu’elle s’était tournée vers moi, sexy et soumise, ne demandant qu’à se faire sauter par derrière sur ce comptoir… mais ce n’était pas pour autant comme si je me refusais à elle. Je crois bien que j’avais envie de le faire, parce ç’aurait été la bonne chose à faire sans doute… mais à la voir comme ça… comment ne pas sauter sur pareille occasion ?

Bandant comme un taureau sous mon pantalon, la queue posée sur son gros cul jusque dans le milieu de son dos, je me mis à me frotter à elle à mon tour, tamponnant ses fesses en douceur, comme pour mimer la levrette qu’elle devait espérer.

Arquant le dos, je me penchais au-dessus d’elle, une main sur le comptoir, et dégageait une mèche de son oreille pour murmurer.

« J’en ai très envie aussi. Mais… et votre mari ? »

Déposant un baiser dans son cou, je me mis à y souffler chaudement, alors que j’imposais plus encore ma massive érection tout contre son gros postérieur. Je venais je crois, d’accepter ses avances, mais le plus dur restait encore à venir… nous retenir assez pour ne pas éveiller les soupçons d’Itake qui travaillait en bas.

Résolu à prendre du plaisir, mais à en donner surtout, l’une de mes mains vint enfin se poser sur le cul de Tenshi, l’attrapant fermement.

Comme si je venais de mettre la main sur l’un des plus beaux trésors que compte cette planète, je me mis à masser langoureusement sa grosse fesse, traçant de grands cercles dessus, la pétrissant avec envie.

« S’il ne vous satisfait pas comme il faut… alors je vais le faire. Assumer la charge de ses devoirs conjugaux… à la place de votre mari. »

Penché plus encore, je déposais mes lèvres au coin de siennes, puis m’écarta à peine pour me mettre à genoux derrière elle, le visage face à cet énorme cul que la plantureuse femme au foyer ondulait toujours.

« Votre cul est parfait… »

Humant la douce odeur de fraise émanant d’entre ses cuisses, j’en vins à me mordre les lèvres d’envie.

Attrapant son gros cul, j’enfonçais ma tête contre sa raie et me mettais à couvrir son postérieur de baisers, de coups de langues envieux.

Et, tirant doucement sur la ficelle de son string, je découvrais enfin son sexe. Sortant ma langue de ma bouche, je lui assénais alors une grande léchouille du bas vers le haut… puis recommençais, m’apprêtant à brouter sa belle petite chatte.
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Centre-ville de Seikusu / Re : All hail the kings. [ft. Nyora's Club]
« Dernier message par Astral Bonds le jeudi 28 mars 2024, 20:11:56 »

Roy & Yõkai & Jun & Gentaro & Han

Yôkai, animé par une montée de désir irrépressible, se laissa submerger par l'élan passionné qui aiguisait l'atmosphère. Sa langue avide explore avec une précision sans faille les contours de l'intimité brûlante de Jun, chaque mouvement calculé pour susciter des vagues de plaisir débordant de son être. Il savoura le parfum enivrant qui émane de sa chair délicieuse, laissant ses sens se développer sous l'emprise d'une excitation intense. Ses doigts agiles caressent chaque centimètre de son intimité, traçant des chemins de désir qui font frémir Jun de plaisir. Avec une maîtrise experte, il s'attarde sur son clitoris, le stimulant avec une fermeté délicieuse qui fait monter en elle des vagues d'extase incontrôlables. « Sucer quatre chibres ? Dis donc, c'est que tu m'intrigues... » Je sens mon désir monter en flèche alors que je la sens se mouvoir contre moi, nos corps s'harmonisant dans une danse sensuelle. Sa mouille abondante rend chaque mouvement plus fluide, chaque pénétration plus profonde. Je la tiens fermement, l'embrassant avec passion tandis que nous nous perdons dans le tourbillon de plaisir qui nous enveloppe. Je me laisse emporter par la pulsation de nos corps en fusion, mes hanches se mouvant avec une détermination sans faille.

Gentaro, témoin du tourbillon de passion qui embrasait le groupe, se sentit lui aussi happé par la fièvre ardente du désir. Son regard brûlant de convoitise se fixa sur Jun, son souffle haletant trahissant l'urgence de ses pulsions. Son membre dressé pulsait encore avec une fébrilité incontrôlable, impatient de recevoir les caresses expertes de la jeune femme. Il se laissa alors envahir par l'excitation grandissante qui le consumait, ses mouvements devenant plus impérieux, plus avide alors qu'il se perdit dans les délices promis par cette rencontre torride. D'un geste impérieux, il saisit les cheveux soyeux de Jun, les guidant avec une fermeté dévorante vers son membre tendu à l'extrême. « Rhan... put...AIN ! » Une lueur de désir brûlant embrasa ses prunelles, illuminant son visage d'une passion dévorante. Un frisson de plaisir intense parcouru son échine lorsque la chaleur humide de la bouche de Jun enveloppa son sexe, lui arrachant un gémissement rauque de satisfaction. Ses sens explosèrent sous l'effet de cette caresse délicieuse, chaque mouvement de sa langue lui procurant une sensation exaltante.

« Je pense... Qu'on va tous craquer en même temps ma belle, j'suis désolé pour toi... »

Il sentait monter en lui une idée audacieuse. Son esprit vif et calculateur s'activait, cherchant la meilleure manière de pousser le plaisir à son paroxysme. Sans avoir à communiquer verbalement ses intentions aux membres du groupe, tous comprirent. C'était ça, des millénaires de cohabitations. Dans un mouvement presque instinctif, Roy s'allongea sur le dos, offrant son corps à Jun dans un geste de désir et de consentement tacite. Il l'invita à se positionner au-dessus de lui pour qu'elle bloque son dos contre le torse musclé du leader, créant ainsi une scène suggestive où leurs corps se pressaient l'un contre l'autre dans une passion débordante. Pendant ce temps, Han se positionna entre les jambes de Jun avec une détermination palpable, prêt à satisfaire ses propres désirs ardents. De chaque côté du visage de la jeune femme, Gentaro et Yôkai prirent place, encadrant Jun dans un cercle de désir. « T'as pas fini de nous sucer, c'est moi qui te le dis... » Dans une simultanéité presque parfaite, Gentaro et Yôkai s'approchèrent de Jun, leurs queues fièrement dressées comme des étendards de désir. Pendant ce temps, Roy, animé par une envie dévorante, guida sa bite vers l'entrée serrée de l'anus de Jun, prêt à la pénétrer. Han, ne voulant pas être en reste, s'avança et enfonça juste le gland en elle, provoquant un gémissement de plaisir intense qui résonna dans la pièce.

« A ton signal ma p'tite professionnelle... »
________________

« Roy »
« Yõkai »
« Han »
« Gentaro »
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Spoiler: Sa tenue (cliquer pour montrer/cacher)







Alors qu’elle était bien concentré sur son bouquet de fleurs, et pour le sentir derrière elle, ils étaient vraiment très proches l’un de l’autre bien collés comme il faut, et elle pouvait sentir les contours d’une énorme bite, qui n’était pas encore bien dressée pour témoigner qu’elle pouvait lui plaire. Mais le seul petit défaut de la jeune jeune femme, c’est qu’elle ne supporte pas l’idée qu’on ne puisse pas la désirer. Alors qu’il essaye d’être réglo et plutôt courtois en lui demandant de se décaler ou de faire quelque chose pour qu’il puisse passer sans encombre. Elle en avait vraiment décidé autrement.

Elle vient leur tourner la tête vers lui pour le regarder par-dessus son épaule en venant se mordiller la lèvre, puis elle se cambre un peu plus faisant alors écraser ses gros seins contre le plan de travail. Ils étaient presque à la limite de déborder alors qu’elle est bien plus penché pour lui montrer la naissance de son gros cul et sa chatte bien moulée dans le string puis elle commence à se déhancher lentement, contre lui, faisant frotter le string sur la longueur de sa queue, lentement, pour qu’il puisse bien sentir la chaleur qui se dégage, malgré les nombreux couches de tissus qu’il y avait entre eux

TENSHI : « mmmmh… vous êtes vraiment sûre de vouloir vous décaler… en tout cas moi je n’ai pas vraiment l’intention de bouger. Je pense être à la place qui me convient. Le mieux… »

C’est mauvais, penchant, était en train de faire surface alors qu’elle sait très bien que son mari était dans le bureau juste en dessous leur pied. Elle vient alors mettre un de ses coudes sur le plan de travail pour commencer à mordiller l’index toujours en soutenant  son regard avant qu’une main ne vienne caresser son gros cul pour descendre jusqu’au niveau de son string, qu’elle fait envoler autour de son doigt pour le tirer légèrement, ce qui fait entrer le bout de tissu dans sa chatte qui était en fait déjà bien mouillée.

TENSHI : « je vous avoue que je n’ai pas encore très faim et le plat n’est pas prêt d’être bien cuit. J’ai été plutôt distraite… durant …ma …douche… donc j’ai dû le mettre au four un peu trop tard avant votre arrivée…»

Si il a l’occasion de mettre son nez contre sa chatte, il pourra clairement sentir une odeur de fraises après que ce soit hydrater les lèvres intimes avec sa crème préférée, car elle sait très bien que les hommes en raffole car elle peut donner ce goût fruité à cette partie intime.



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Gentaro & Tenshi

Alors que Tenshi se délecte de chaque instant avec une excitation palpable, je ressens une satisfaction profonde en la voyant succomber à mes avances. Son désir ardent de s'abandonner à la passion me conforte dans l'idée que cette liaison sera intense et inoubliable. Sa volonté de ne pas connaître les détails des ébats des autres membres du groupe me laisse perplexe, mais je comprends son besoin de se sentir exclusive. Je continue à la baiser avec une ferveur dévorante, savourant chaque gémissement qui s'échappe de ses lèvres pulpeuses. Ses réactions à mes mouvements brusques et précis alimentent le feu qui brûle en moi, me poussant à lui donner toujours plus de plaisir. Ses paroles empreintes de désir et de désespoir me stimulent davantage, renforçant mon désir de la satisfaire au-delà de ses attentes. « T'as pas à savoir où trempe nos bites ma belle... » Dans un élan de passion incontrôlable, je m'abandonne complètement à la fusion de nos corps nus, cherchant à intensifier chaque sensation. Mon souffle s'accélère, mes mouvements deviennent plus erratiques alors que nous nous perdons tous les deux dans un tourbillon de plaisir insatiable.

« Mais tu peux être sûre que tu seras comme une reine avec nous, notre reine qu'on s'amusera à soumettre jours et nuits...  ! »

Dans cette posture obscène, Tenshi est à ma merci, son corps plié en deux, offrant chaque parcelle de sa chair pour ma jouissance. Mes mains avides agrippent ses hanches, la maintenant fermement pendant que ma queue, dure et affamée, s'enfonce en elle avec une brutalité délicieuse. Chaque coup de rein est un acte de domination, chaque pénétration un cri de luxure étouffé par le désir. Sa chatte trempée accueille ma queue avec une voracité insatiable, ses gémissements emplissant la pièce de la symphonie de notre passion débridée. Dans cette position, je la baise comme une bête en rut, son cul cambré vers moi me supplie de la posséder encore plus profondément. Chaque mouvement est un écho de notre désir déchaîné, chaque instant est une fusion de luxure et de plaisir intense. « Rhaaan... Bordel de... ! »

Dans un élan de désir animal, ma langue glisse hors de ma bouche, tracant un chemin humide sur ma lèvre inférieure. La vision de Tenshi, offerte et avide, alimente le feu qui crépite en moi, et ma salive s'écoule en un torrent irrépressible. La bave coule entre nous, un lien visqueux et enivrant qui témoigne de notre passion dévorante. Mes lèvres se posent sur les siennes, dévorant sa bouche avec une avidité incontrôlable, mêlant nos souffles et nos fluides dans une danse sauvage et sensuelle. Dans un élan de domination, je décide de changer de position. La luxure me consume, et je veux goûter à l'interdit, à la profondeur du plaisir anal. Je la prends en levrette, ses courbes offertes à ma convoitise, mais cette fois-ci, mon désir est de la posséder d'une manière plus sauvage. Sans attendre, ma verge palpitante trouve son chemin vers son intimité la plus secrète, et je la pénètre avec une fougue indomptable. Ses gémissements se mêlent à mes grondements bestiaux, chaque coup de reins résonnant dans la pièce alors que je la prends avec une force inébranlable.

Je la saisis par les hanches, mes doigts s'enfonçant dans sa chair tandis que je la tire brutalement vers moi, accentuant la profondeur de la pénétration. D'une main, je lui claque le cul, sentant la chaleur de la fessée se propager sur sa peau. De l'autre, je lui tire les cheveux avec une fermeté irrépressible, la ramenant vers moi pour que nos souffles se mêlent dans une danse ardente de luxure et de désir.

« Alors ?! Alors ?! T'as intérêt de me chevaucher après ça... ! »

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