Le Grand Jeu

Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Dictature d'Ashnard => Discussion démarrée par: Maëlys le lundi 03 décembre 2012, 10:46:02

Titre: Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Maëlys le lundi 03 décembre 2012, 10:46:02
(-HRP-)
Ce sujet fait suite à celui-ci (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=8204.0), et se déroule plusieurs mois plus tard.
(-HRP-)

Le corp enveloppé dans quelques etoffes de soies blanches, qui ne couvraient qu'une légère partie de mon anatomie, et qui étaient de toute façon si fines qu'elles laissaient aisément transparaître le restes des courbes élégantes de mon corps, j'étais nonchalamment allongée sur mon lit à baldaquin, dans la chambre que ma Maîtresse m'avait accordé. Installée sur le ventre, mes pieds battant doucement dans les airs, j'essayais tant bien que mal de m'endormir, malgré les nombreuses pensées qui se bousculaient dans ma tête. Comme souvent, je repensais à la vie que je menais avant, avant ce jour où Mélinda se l'appropria, me captura et me fit sienne, je me souviendrais probablement toute ma vie, de ce jour-là... J'y repense parfois avec une touche de nostalgie, mais au fond, je ne regrettais absolument pas qu'Elle m'ai prise sous son aile, et ai changé ma vie pour ce qu'elle est devenue aujourd'hui...

C'est alors que j'entendis quelqu'un frapper à la porte, me tirant de mes pensées. Je tournais la tête, pour apercevoir une charmante petite neko sur le pas de la porte, venue me délivrer un message.

* De la part de Maîtresse !

Elle déposa le papier sur la commode près d'elle, s'inclina poliment et s'en alla aussi vite qu'elle était venue, peut-être par timidité ? Ce qui me fit sourire. Au sein du harem de notre Maîtresse, on apprenait bien vite à passer outre notre gêne ou notre timidité. Impatiente de savoir ce qu'Elle me voulait, je bondis hors du lit et m'empara de son message, que je m'empressai de lire.

Mes yeux s'ecarquillèrent légèrement, et les battements de mon coeur s'emballèrent. Non, je ne revais pas, c'était bel et bien écrit noir sur blanc. Ma Maîtresse m'invitait à passer la nuit avec Elle... C'était presque trop beau pour être vrai ! Elle aimait souvent passer ses nuits en compagnie de ses esclaves, des nuits que l'on racontait fabuleuses, mais depuis mon entrée dans le harem, je n'avais encore jamais eu l'occasion de passer la nuit avec ma Maîtresse. Non pas qu'Elle ne m'appréciait pas, car Elle chouchoutait toutes ses esclaves, sans exceptions, mais Son harem était si fourni qu'il était très difficile de s'y faire une place, et d'attirer Son attention...

Mais ce soir, c'était mon jour de chance ! J'en exultais presque, j'étais si excitée ! Je me précipitais sur le miroir, vérifiant ma coiffure. Parfait. Un coup d'oeil sur ma tenue, légère et séduisante, et j'étais fin prête. Ah, non ! J'ouvris l'un des tiroirs, et y pris un petit flacon doré. Psssht, psssht. Me voilà entourée d'une entetante aura, un délicat parfum à l'odeur fruité, qui, je l'espérais, allait plaire à ma Maîtresse.

D'un pas vif, les pieds nus sur les tapis de velours qui tapissaient les couloirs du manoir, je me dirigeais vers la chambre de ma Maîtresse, la respiration saccadée.
* Du calme ma belle... inspire... expire... * Prenant mon courage à deux mains, je frappais à la porte, avant de l'ouvrir.

* Maîtresse désirait-elle me voir ?

Un sourire éclairait mes lèvres, et mes joues rondes prirent une légère teinte rosée. Elle m'attendait, assise sur son immense lit, telle une reine siégeant sur son trône. Je m'approchais, d'un pas lent et sensuel, sans la quitter des yeux, sans abandonner mon sourire. J'arrivais au pied de son lit, sur lequel je bondis avec une grâce presque féline, et m'avançais alors, à quatre pattes, ma poitrine ballotant doucement sous moi.

* Ma Maîtresse...

Je lui étais soumise, totalement. Avec une extrême délicatesse, je pris l'un de ses pieds entre mes mains, et y déposai de respectueux baiser. Pendant que je l'embrassai, mon regard était levé vers Elle, un regard ardent, où l'on pouvait voir toute la dévotion, tout l'amour, que je lui portais. J'étais sienne. Et c'était avec un plaisir infini que, ce soir, je m'offrais à elle...
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Mélinda Warren le mardi 04 décembre 2012, 23:57:42
Gérer un harem comme le sien n’était pas une sinécure. Mélinda ne dirigeait pas une petite entreprise provinciale, mais l’un des harems les plus en vue d’Ashnard, un établissement qui avait su s’imposer aux yeux des autres rivaux. Le sexe ne connaissait pas la crise, et son activité était florissante. Elle avait de plus en plus d’esclaves à gérer, de clients, et donc de problèmes qui l’occupaient. Même avec toute une équipe la secondant, elle passait de plus en plus de temps à s’occuper de tâches administratives. Inversement, elle passait donc de longues et réconfortantes nuits en compagnie de ses esclaves, et avait décidé d’inviter ce soir l’une de ses récentes acquisitions : une petite Terrienne qui, d’après ce qu’elle savait, la vénérait. Il était donc temps de lui offrir sa récompense. Dehors, le soleil se couchait, annonçant la nuit... Soit la poursuite des affaires, car, pour Mélinda, un être vampirique, soit nocturne, la nuit n’était que le commencement d’autre chose. Elle était à l’image de son harem, qui, jamais, ne fermait.

Elle avait donc décidé d’offrir à Maëlys un cadeau, une récompense. Généralement, Mélinda dormait avec plusieurs esclaves, mais elle avait choisi d’offrir à Maëlys une soirée, rien que pour elle. Elle envoya donc l’une de ses nekos la chercher. Mélinda portait son habituelle robe dorée avec quelques lignes vertes, et se tenait sur le lit quand Maëlys entra. Elle l’avait senti approcher, avec son sang, et perçut également la discrète et fine odeur qu’elle avait mis autour de son cou. Un léger sourire éclaira les belles lèvres de la vampire, alors que son esclave entrait chez elle.

« Maîtresse désirait-elle me voir ? demanda-t-elle de sa voix fluette.
 -  Hum... Entre autres choses, oui... »

Elle lui fit signe de la main d’approcher, s’allongeant un peu sur son énorme lit. Ce dernier était très grand, pouvant permettre d’avoir au moins une dizaine de personnes dessus, si on se serrait bien. La chambre de Mélinda était plutôt grande, et elle vit Maëlys se mettre sur le lit, avant d’avancer à quatre pattes, et de lécher l’un de ses pieds. Mélinda la regarda, soupirant lentement devant ce contact. Elle remua ses petits doigts de pied, les frottant sur le bas du visage de son esclave, sentant les lèvres de cette dernière glisser sur sa peau, sa langue la caresser, ses doigts la gratter... Son regard était empli de soumission et d’adoration. Elle l’adulait, Mélinda pouvait le sentir. Les esclaves dont elle avait la charge depuis qu’elles étaient de petits bébés la regardaient toujours ainsi. La différence, avec Maëlys, était que cette dernière n’était là que depuis quelques mois seulement.

Maëlys embrassait son pied avec passion, faisant soupirer Mélinda, qui remuait lentement sur le lit, savourant ce contact, ce geste volontaire de soumission. La manière dont cette dernière l’appelait Maîtresse, avec un soupçon d’érotisme et de soumission, était magnifique pour les oreilles. Un véritable régal. Mélinda continua à la laisser faire pendant plusieurs minutes, remuant son autre jambe. C’était de cette manière qu’elle aimait qu’on la salue. Elle se redressa alors, lentement, et tendit une main pour caresser les cheveux de Maëlys. Elle avait une belle et fine chevelure, prenant soin de son corps pour être la plus belle possible. Elle savait combien sa Maîtresse aimait ça. Mélinda se pencha alors vers elle, glissant son autre main sur sa tête. Elle caressait l’une de ses joues, et s’en servit pour écarter lentement son visage, l’amenant à s’allonger sur le dos.

« Hum... Tu es vraiment une femme délicieuse, ma petite Maëlys... »

Mélinda l’aida à s’allonger, s’allongeant également sur elle, se blottissant sur la gauche de son corps. L’une de ses mains vint jouer avec l’un des seins de Maëlys. Elle portait une robe très fine et transparente, et elle put donc, à travers le fin tissu la recouvrant, presser son téton. Elle agrippait son sein droit, et l’embrassa tendrement dans le cou, mordillant sa belle et douce peau.

« J’ai noté l’adoration que tu me portes, cette dévotion... Alors, j’ai décidé qu’il était temps de t’offrir une récompense. »

La vampire pinça alors son sein, et rajouta, rapidement :

« Comme tu as du le savoir, généralement, je dors avec plusieurs esclaves... Mais j’ai décidé de t’offrir cette nuit. Rien que toi et moi... Nous allons faire l’amour toute la nuit, mon ange... Toute la nuit, ma petite esclave. »
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Maëlys le mardi 11 juin 2013, 18:50:25
J'embrassai les pieds de ma Maitresse, pendant de longues minutes encore. Mes lèvres parsemaient sa peau de respectueux baiser, sa peau froide mais si douce, tandis que je faisais remonter mes mains sur sa jambe, caressant son mollet. Je poursuivais, dans l'attente d'un signe de la part de ma Maitresse qui indiquerait qu'elle soit satisfaite, sans me montrer impatiente le moins du monde. J'aurais pu rester comme ça aussi longtemps qu'elle le voulait, à quatre pattes et prostrée à ses pieds, à les lui embrasser, à les lécher... les petits pieds de ma Maitresse...

* Hum... Tu es vraiment une femme délicieuse, ma petite Maëlys...

Mes joues s'empourprèrent, gênée d'entendre un aussi beau compliment de la part de ma Maitresse, et je lui souris, ravie. Elle se redressa alors, caressant ma joue, geste auquel mon corps répondit par un léger frisson, et je suivis son mouvement, m'allongeant sur le lit, à ses cotés, nous blottissant l'une contre l'autre. Je fus très contente d'apprendre que ma Maitresse voulait m'offrir une récompense ! J'étais curieuse de savoir ce que ce serait, mais je n'eu pas le temps d'exprimer ma satisfaction, sa main qui jouait lentement avec mon sein pinça subitement mon téton, pas assez fort pour que ce ne soit douloureux, mais suffisamment pour me faire gémir.

* Mmmh ! ...

Je la regardais, dans les yeux, soumise, la laissant s'exprimer, et finit par me mordiller la lèvre lorsqu'elle eut terminer. Une folle nuit d'amour avec ma Maitresse, c'était une offre que je ne pouvais certainement pas refuser ! Cette perspective me réjouissait, beaucoup, m'excitait même. Je sentais le rouge me monter au joue, et lui adressais un sourire coquin. J'enlaçais tendrement la vampire dans mes bras, les glissant contre ses hanches, rapprochant son corps contre le mien, me frottant à elle. Tandis que mes mains descendirent le long de sa cambrure, glissant jusque ses fesses, mes lèvres happèrent les siennes, avide de pouvoir les embrasser, ma langue se glissant entre elles pour rejoindre et enlacer sa consœur. Mon corps ondulait doucement contre le sien, ma cuisse se frottant contre la sienne, pendant que je partageais avec elle ce tendre baiser. Je le rompis ensuite, une petite minute plus tard, sans quitter du regard ses yeux émeraudes, mes mains pressèrent fermement ses fesses, et je lui demandais, joueuse et taquine, un sourire aux lèvres.

* Ça veut donc dire que Maitresse est toute à moi, ce soir ?

L'allusion à cette inversion des rôles n'était bien sûr qu'une taquinerie, mais je ne pouvais m'empêcher de me sentir flattée d'avoir un tel privilège, si bien que cela me montait un peu à la tête. Je me sentais d'ailleurs également très perverse, ce soir... y était-elle pour quelque chose ? Probablement, après tout Mélinda était une femme fascinante, et j'avais la ferme intention de profiter au mieux de cette soirée...
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 12 juin 2013, 21:27:43
Sur le corps de Maëlys, Mélinda se sentait aux anges. Quiconque aurait résumé la relation entre Mélinda et ses filles d’une relation d’esclave à esclavagiste aurait commis une simplification outrancière des choses. Mélinda, en effet, ne voyait pas ses filles comme de simples esclaves à former, à dresser, puis à vendre. La manière dont elle se blottissait contre Maëlys en témoignait, tout comme la manière dont elle laissait Maëlys lui parler, et même agir. Sans aucun ordre, Maëlys alla l’embrasser avec passion, et, sans protester, Mélinda lui répondit. Elle l’embrassait avec un certain talent. Mélinda savait que Maëlys était une femme pleine de passion avec elle. Leurs langues jouèrent ensemble, et la vampire poussa quelques gémissements, se tortillant lentement contre le corps de son amante. Elle sentit les mains de cette dernière glisser le long de son dos, la faisant frémir, avant qu’elle ne sente les mains de la jeune femme se poser sur ses fesses, les pressant. Mélinda soupira, sursautant légèrement, et plaqua son ventre contre celui de Maëlys, se détendant, en sentant une série de frissons remonter le long de son corps. Le baiser se rompit, et Mélinda avait ses mains sur les épaules de son esclave, l’observant silencieusement, la laissant jouer avec ses fesses. Elle savait que Maëlys était une femme qui appréciait beaucoup la sodomie, et Mélinda n’y était pas pour rien. Elle l’avait sodomisé à de nombreuses reprises, jusqu’à ce qu’elle finisse par apprécier ça.

« Ça veut donc dire que Maitresse est toute à moi, ce soir ? » demanda Maëlys de sa belle voix.

Cette interrogation dépassait clairement les limites d’une relation entre esclave et esclavagiste. Le sang montait dans le corps de Maëlys. Ses yeux pétillaient de bonheur, à l’idée de passer une nuit intégrale avec sa Maîtresse. Mélinda pencha la tête sur le côté, puis se redressa encore un peu, et frotta le bout de son nez contre le sien, avec une tendresse et une délicatesse qui tranchait assez avec la sauvagerie dont elle pouvait faire preuve... Mais c’était ainsi que fonctionnait Mélinda, après tout. Un monstre dans le corps d’un ange, une femme qui avait tué sa mère en naissant au monde, massacré son père, et torturé son frère aîné pendant des années pour en faire une machine humaine, un grand-frère protecteur qui assumerait enfin son rôle... Une femme qui capturait de jeunes femmes, les violait, les séquestrait, les torturait, les humiliait, mais faisait aussi preuve à leur égard d’une bienveillance particulièrement attentionnée, tout en les protégeant de manière forte.

L’un de ses doigts vint caresser de gauche à droite les lèvres roses de Maëlys. Elle remua son ongle pointu le long de la commissure de ses lèvres, et frotta son nez contre son cou, avant de remuer son bassin, l’enfonçant contre celui de Maëlys, afin de mieux sentir ses mains sur son petit derrière.

« Hum... Ma belle petite Maëlys... »

Elle l’embrassa dans le creux du cou, puis releva ensuite sa tête, et lui fit un baiser sur les lèvres, en posant chacune de ses mains sur ses joues. Dans ce nouveau baiser, bien plus court que celui que Maëlys lui avait fait, elle n’aventura pas sa langue, mais avala sa lèvre inférieure, tirant un peu dessus, provoquant un claquement sonore, avant de la relâcher, l’observant avec un léger sourire. En les voyant de loin, on aurait pu croire que Mélinda était la fille de Maëlys, car elle était plus petite qu’elle. Le bout de ses pieds glissait le long des genoux de Maëlys. Sa petite taille jouait en sa faveur. Les filles avaient plus confiance en elle, que si elle mesurait plus de deux mètres.

« Avec mes filles, je joue le rôle d’une mère pour elles, car elles sont chez moi dès leur plus jeune âge... Elles me voient comme la mère que je n’aurais jamais, et je les vois comme les enfants que mon corps ne pourra jamais procréer. Mais toi... Toi, tu es particulière... »

Encore une fois, elle vint frotter son nez, avant d’exprimer le fond de sa pensée :

« Toi, tu ne me vois pas comme une mère de substitution, non... Tu me vois comme une Maîtresse, mais aussi comme une amante... Je sais ce que tu ressens, ma petite chérie... Je sais combien tu jalouses celles qui ont l’honneur de partager ma couche... Et j’aime que tu les jalouses, Maëlys, j’aime que tu te couches la nuit en te caressant et en pensant à moi, j’aime que tu m’appelles dans tes soupirs, j’aime que tu penses à moi tous les jours, j’aime que tu lèches mes pieds avec amour, et que tu sois si contente de me voir... »

Elle l’embrassa à nouveau, puis enfouit encore sa tête dans son cou, mordillant très légèrement sa peau.

« Maîtresse a décidé de te récompenser pour ton amour, Maëlys. Car c’est ce que je veux, c’est ce que j’attends de mes protégées : qu’elles m’aiment, qu’elles ne peuvent pas se passer de moi... Comme toi, ma Maëlys. C’est ton amour que je vais récompenser ce soir. Nous allons faire l’amour, ma beauté, et ce sera... Ce sera doux, bon, élégant, mais sauvage, et terriblement bestial... Crois-moi, Maëlys, tu te souviendras pendant des mois de cette nuit, car je vais te montrer pourquoi les clients dépensent tant de milliers de pièces d’ors pour avoir la chance de coucher avec moi quand je décide de me prostituer. »
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Maëlys le jeudi 13 juin 2013, 18:59:39
J'écoutais religieusement ma Maitresse, blottie tendrement dans les bras l'une de l'autre, nous couvrant mutuellement de douces et délicieuses caresses. Je l'écoutais avec attention, envoutée par son élocution, j'avais beaucoup d'admiration pour son talent à si bien manier les mots, et j'avais là encore le preuve de ses talents oratoires, qui me tenaient suspendue à ses lèvres et qui me donnaient d'étranges frissons.

Mes joues se parèrent d'un teint rouge vif lorsqu'elle mentionna mes activités nocturnes et solitaires, moi qui pensait qu'elles étaient secrètes ! Rien ne semblait échapper à l'attention de ma Maitresse. Je me sentais un peu rougir de honte, mais, elle avait belle et bien raison, je me masturbais souvent en pensant à elle. Combien de fois ne m'étais-je pas imaginée, n'avais-je pas rêvé de faire l'amour à ma divine maitresse ? Pas plus tard que la veille, cachée sous mes draps, je m'étais passionnément pénétrée, m'imaginant que le gode qui me labourait délicieusement les fesses n'était autre que ma maitresse qui me sodomisait avec amour. Mmmhh...

Je ne m'attendais pas à cette révélation, mais cela n'avait finalement pas grande importance. N'était-ce pas pour elle que je faisais cela ? J'étais bien trop heureuse de partager cette nuit avec elle, une nuit qui s'annonçait fabuleuse, intense. Rien que d'y penser, j'en devenais déjà follement excitée ! J'enlaçais tendrement ma Maitresse, nouant mes bras autour de son cou, l'embrassant brièvement, avant de roulé-boulé sur le coté, profitant de toute l'espace de son large lit. Je me retrouvais en dessous d'elle, allongée entre ses jambes, bloquée contre son corps, la vue en contre-plongée sur son visage d'ange. Ma lourde poitrine était parvenu à s'extirper de sa légère prison de soie, (c'est un peu dans ce style vestimentaire (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?action=profile;u=2330) là ^^), et ballotait librement sous ses yeux, se soulevant au rythme de ma respiration. Le désir qui m'étreignait se faisait de plus en plus ardent, mes mains descendirent lentement, caressèrent son dos, glissèrent sur ses hanches, pétrirent ses belles petites fesses rondes.

* Han, maitresse...

Je n'y tenais plus, une multitude d'idées toutes aussi perverses et coquines les unes que les autres s'entremêlaient dans mon esprit, des images, des sons, des sensations, indécentes, excitantes. Mais, avant de me laisser aller...

* Maitresse... je, j'aimerais vous offrir cela, avant d'entamer cette nuit...

Je penchais alors la tête sur le coté, mettant en évidence la chair tendre de mon cou.

* Servez-vous, maitresse, buvez de mon sang...

Aussi solennelle qu'une offrande à une déesse... un rang que ma maitresse méritait amplement. Je lui appartenais corps et âme, et c'était avec plaisir que je m'offrais à elle. Même si... même si je devais bien avouer que ce n'était pas un geste complètement désintéressé. Deux choses pouvaient exciter ma maitresse, le sexe et le sang, et sur ce dernier point, j'avais pu constater que le mien lui plaisait tout particulièrement. Alors, oui, c'était ma propre hémoglobine que je lui offrais, avec joie, mais si cela renforçait son excitation, je n'allais tout de même pas m'en plaindre. ♥
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Mélinda Warren le samedi 15 juin 2013, 14:17:08
C’était un curieux couple. Un étranger ne connaissait pas l’endroit aurait pu dire que, des deux, Maëlys était celle qui dominait. La petite tête adorable de Mélinda se nichait entre les confortables seins de Maëlys, d’épais mamelons très doux. Au sein de ses filles, Mélinda faisait bien évidemment du favoritisme. Elle avait ses chouchoux, ses préférées, et elle savait que Maëlys avait encore une mentalité très terrienne. Oh, bien sûr, elle ne l’avouait pas, mais, dans un environnement composé à 98% de filles, il était difficile de le masquer. Elle avait encore une philosophie terrienne, ce rapport dualiste du sexe. Un rapport curieux, incompréhensible pour Mélinda, qui avait plutôt une approche ashnardienne des choses. Elle ne concevait pas l’amour comme quelque chose d’exclusif à deux personnes, mais admettait que plusieurs personnes puissent l’aimer, et même l’adorer. L’orgueil de la vampire n’était en aucun cas quelque chose dont il fallait douter, et son narcissisme l’amenait volontiers à accepter un amour sincère de la part de ses filles. Elle savait que la jalousie de Maëlys témoignait de l’amour qu’elle ressentait pour elle. En d’autres circonstances, un tel comportement aurait tout à fait pu justifier de sévères punitions, mais, concrètement, elle n’avait pas à se plaindre de sa petite protégée. Elle était aussi sage que perverse, et formait une excellente prostituée.

Elle jouait avec les beaux seins de Maëlys, qui avait un peu remué sur le lit, pour rester sous le corps de sa Maîtresse. Une position que Mélinda aimait bien. Elle aimait être dessus. Du fait de sa petite taille, elle avait ainsi, avec des filles plus grandes qu’elle, un excellent oreiller quand elle venait de leur faire l’amour. Le vêtement fin qui recouvrait le corps de son esclave s’écartait lentement, révélant ses parties intimes. Elle glissait ses doigts pour libérer un peu plus ses seins, léchant ses tétons, les embrassant goulument. Le sang de cette jeune femme l’enivrait. Mélinda ignorait qui elle était, mais elle savait que le sang était un indicateur fiable. Et celui de Maëlys était bon... Trop bon pour être simplement celui d’une simple petite humine. Au sein des vampires, il existait des pratiques de saignée chez les esclaves, afin de purifier leur sang, en mettant du sang de bébé dans leurs veines. Maëlys n’avait jamais été sevrée ainsi, et, pourtant, son sang avait la pureté et la fraîcheur d’un nouveau-né.

« Servez-vous, maitresse, buvez de mon sang... » lui proposa alors Maëlys.

Mélinda releva la tête, et esquissa un léger sourire. Elle avait penché sa tête sur le côté, s’offrant gracieusement à elle. Une véritable image de beauté, magnifique et pure, qui lui donnait de plus en plus l’impression d’avoir été, dans le passé, une sorte de dévote. Cette dévotion était une arme à double tranchant. Mélinda n’avait pas le droit à l’échec, ou Maëlys pouvait passer de l’adoration au plus primaire des rejets. Mais Mélinda, en réalité, n’était pas inquiète. Son ego ne lui permettait pas. Elle promena sa langue sur ses canines, et délaissa les seins de la belle Maëlys pour lui caresser la nuque avec ses mains, ses griffes jouant légèrement sur sa belle peau claire.

« Voilà une offre que je ne saurais refuser, ma petite Maëlys... »

La vampire se pencha alors un peu. Son pouls battait légèrement dans sa poitrine. Le sang... Elle savait ce que le sang lui faisait, surtout celui de Maëlys. Elle se rapprocha donc lentement, et embrassa sa nuque. Ses canines s’avancèrent, se posèrent sur la peau chaude et tendre de Maëlys, douce comme celle d’un bébé... Et Mélinda écarta alors ses lèvres, comme pour la narguer.

« Tu as vraiment envie que je tringle comme une grosse pute, hein ? glissa-t-elle alors. Gourmande... »

Et, après cet aveu, Mélinda planta ses crocs d’un coup sec. Ses canines s’enfoncèrent rapidement dans la peau de Maëlys, et atteignirent sa veine, les bouts de ses canines la frôlant, ce qui eut pour effet d’ouvrir très légèrement la veine. Alors, Mélinda put retirer ses canines, et inspirer, le sang filant dans sa gorge. Il gicla contre ses dents, sa langue, continuant sa course dans la gorge de Maëlys... Immédiatement, le corps de la vampire se crispa, et ses griffes vampiriques jaillirent, s’enfonçant dans l’une des couvertures, la déchiquetant, formant une espèce de son de déchirure. C’était de la soie, mais Mélinda était riche. Et elle ne voulait pas éplucher la petite Maëlys.

« Huuuum-huuuumm !! »
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Maëlys le mardi 18 juin 2013, 17:03:45
Je gémissais à ses caresses, mon corps frémissant doucement contre le sien, la chaleur de ma peau douce contrastant avec l'éternel fraicheur de la sienne. Je restais immobile, le cou tendu, offerte avec plaisir à ma ravissante maitresse. Et je frémissais, encore, dans l'attente de cet instant où ses crocs s'y planteront. Mais la vampire était joueuse, et elle resta un long moment à taquiner ma peau, à l'embrasser doucement, y laisser glisser ses canines pour me faire languir. Je grattais avec tendresse le dos de ma maitresse, tout en sentant son souffle chaud effleurer mon cou. Je me languissais, j'étais impatiente, et mon coeur battait plus rapidement que d'habitude, mais je ne la brusquais pas, et attendais sagement qu'elle vienne d'elle-même se servir de moi lorsqu'elle le désirerait.

* Tu as vraiment envie que je te tringle comme une grosse pute, hein ? Gourmande...

Je me reconnu dans ces mots crus, ce qui me fit sourire, un peu honteuse, mes joues prenant subitement une belle teinte rouge à croquer. Mais je n'avais aucun complexe avec ma Maitresse, les limites morales telles que je les connaissais avaient disparu, c'était un mode de vie complètement diffèrent de ce que j'ai pu connaitre durant ma précédente vie. Je m'y étais rapidement habituée, et je m'en portais pas plus mal de ce changement radical, même si j'avais encore quelques difficultés à m'adapter à certaines choses... comme par exemple le fait que ma Maitresse me délaissait parfois pour aller s'amuser avec d'autre femmes. Cela ravivait toujours une vive jalousie en moi, qui se transformait en un bref mais lourd chagrin, et que j'avais du mal à refréner. Mais, c'est comme tout, je m'y ferais. Et puis elle était notre maitresse, nous n'étions clairement pas sur le même pieds d'égalité, je n'avais pas de conditions à formuler. Depuis que j'avais rejoins son harem, j'étais également devenue beaucoup plus épanouie, surtout sexuellement, mais pas seulement. Je lui répondis, taquine, frottant son dos avec douceur.

* Je suis toujours TRÈS gourmande, quand il s'agit de ma Maitresse, hihi !

C'est alors que je sentis soudain les crocs de la vampire percer ma peau, s'abreuver de mon sang.

* AAAHH ! criais-je subitement, involontairement.

Mmmh, c'était... mon dieu ! Ses crocs se plantèrent profondément dans ma chair, avant de se retirer, tandis que Mélinda suçait avec gourmandise la blessure, de laquelle mon sang perlait abondamment, un sang chaud, délicieux, vivifiant. J'adorais les morsures de ma maitresse, que je trouvais étrangement excitantes. Sentir ses crocs, ses suçons, la douleur, le plaisir, l'excitation... ce ballet de sensations, c'était intense ! Mon bras remonta et ma main vint se caler tendrement derrière sa tête pendant qu'elle se nourrissait, pendant que mon autre bras enlaçait ses hanches, et la serrait contre moi. Il fallait bien le reconnaitre, la morsure était douloureuse, mais c'était une douleur supportable, je dirais même assez plaisante... Ce qui n'était pas un concept si anodin, en réalité, bien que cela me semblait un peu étrange. La sodomie aussi était douloureuse, par exemple, et pourtant les sensations qu'elle offrait pouvaient être si délicieuses !

Je la laissais boire mon sang, et en éprouvait une certaine satisfaction. J'étais heureuse d'avoir l'occasion de la satisfaire, même si cela revenait à lui servir de repas. Heureuse, oui, c'était le mot... J'étais également un peu excitée, trouvant les suçons de ma Maitresse sur mon cou assez érotique. Mais, surtout, je commençais à être effrayée. Bloquée sous son corps, elle se crispa, et s'agita au dessus de moi, balançant des coups de griffes acérées à droite à gauche. Elle déchirait littéralement les draps, avec une facilité effrayante, et je sentais ses ongles m'effleurer de juste quelques millimètres.

Je déglutis faiblement, tétanisée.

Nul doute qu'elle m'aurait dangereusement écharpée si elle l'avait voulu. Ce qui risquait d'ailleurs d'arriver si elle perdait le contrôle... Mais, je restais soigneusement immobile, me contentant de la serrer un peu plus fort dans mes bras, de caresser ses doux cheveux. Elle pourrait me balafrer, oui, mais j'avais confiance en ma Maitresse, je savais qu'elle ne me ferait pas de mal... Je la câlinais doucement, la laissant s'abreuver de mon sang, et attendant patiemment que la vampire se calme, jusqu'à ce qu'elle soit repue.

* Héhé, Maitresse aussi est gourmande. lâchais-je alors, pour la taquiner.

J'en profitais ensuite pour enrouler mes jambes autour de ses hanches, m'enfoncer dans le lit moelleux et la serrer contre moi, mes mains posées sur ses épaules. J'étais quasiment nue maintenant, les larges bandes de soies ayant pour la plupart quitté ma peau, tandis que celles restantes ne cachaient maintenant plus grand chose de ma nudité.

* Et il est vrai que j'adooore quand Maitresse me défonce avec amour et passion...

Si la perspective de faire l'amour toute la nuit avec ma maitresse était des plus réjouissantes, celle de me faire baiser furieusement par sa grosse queue était quant à elle follement excitante. Et je sentais bien que derrière sa robe commençait à poindre son membre hermaphrodite, ce qui ne pouvait que m'exciter davantage. Elle exagérait à peine lorsqu'elle me traitait de salope, j'étais devenue très perverse à ses cotés, mais le pire était surement que j'adorais ça. Je croisais mes chevilles derrière ses fesses, et appuyait dessus, le bas de mon bassin se mit à se frotter au sien, cherchant le contact avec son sexe, et même
ses sexes, tandis que mes mains descendirent lentement sur sa poitrine, que je pressais entre mes doigts, jouant avec au travers du tissus. Je soutenais son regard, et arborais un sourire ostensiblement coquin, pendant que je défis lentement les cordelettes qui maintenait le haut de sa robe, avant de fondre à nouveau sur ses beaux seins dénudés, les massant avec passion, tout en continuant à me déhancher lentement, à me frotter sensuellement à elle, à presser doucement contre son membre.

* Maitresse... soupirais-je. Je meurs d'envie de sentir votre grosse queue plus... profondément...

J'étais toujours très excitée, comme en témoignait mon sexe soigneusement épilé qui luisait de ma cyprine, même si j'avais tout de même toujours la tête sur les épaules, du moins pour le moment. Ma maitresse avait le don de m'exciter comme rarement je pouvais l'être, et je mouillais comme une folle à chaque fois...
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 20 juin 2013, 21:47:03
Le silence ambiant n’était rompu que par les discrets gémissements de Maëlys, et par les soupirs de Mélinda. Elle buvait tendrement, avec appétit. Son sang était vraiment délicieux... La vampire aimait y goûter, aimait sentir le sang filer dans sa bouche. Pour elle, il n’y avait rien de meilleur, rien de plus bon, et, tandis qu’elle buvait, elle avait du mal à contrôler ses pulsions. Ses griffes étaient entièrement déployées, et, à moins d’avoir un autre vampire contre soi, elle pouvait tuer un être humain... Une erreur qui, mine de rien, arrivait assez fréquemment. En effet, dans cette situation, il était tentant de caresser le corps de l’autre, de se frotter tendrement contre lui, mais, quand c’était un sang aussi bon, elle découperait le corps de la belle. Mélinda se contrôlait donc, et sentit Maëlys poser une main sur sa tête, veillant à blottir le corps de sa Maîtresse contre elle. Se contrôler... C’était vraiment dur ! Si elle continuait ainsi, elle risquait tout simplement de la tuer, en buvant trop de sang... Mais c’était tellement bon ! Aaaah, comment diable y résister ? Comment retenir cette pulsion ? Mélinda n’y arrivait pas, et continuait donc à boire, tendrement. Elle dut presque se faire violence pour écarter ses lèvres, en respirant longuement, se forçant à ne pas y retourner. Ses dents claquaient lentement les unes contre les autres, observant ce cou, avec deux trous rouges.

« Héhé, Maitresse aussi est gourmande » la titilla Maëlys.

Ses jambes s’enroulèrent autour des hanches de Mélinda, qui frémit de plaisir, en sentant ses chevilles heurter ses fesses. Maëlys avait vraiment fait de gros progrès, par rapport à cette fois où elle avait été violée dans son manoir. La jeune fille faussement résistante avait subi une sorte de puissant syndrome de Stockholm, devenant maintenant une délicieuse esclave, une grande perverse... Mais qui n’était pas aussi soumise qu’on le penserait. Oh, elle voyait bien en Mélinda sa Maîtresse, ce fait ne posait pas de problème, mais elle avait du mal à en accepter les effets. Maëlys avait une vision très fusionnelle et terrienne, ce qui était comme une arme à double tranchant. Si Mélinda avait décidé de lui faire l’amour en étant que deux, c’était aussi pour montrer à Maëlys qu’elle était digne d’importance, et qu’elle ne devait pas se sentir négligée... Mais cette séquence pouvait aussi avoir les effets inverses.

Lentement serrée contre le corps de Maëlys, Mélinda sentit les mains de cette dernière jouer amoureusement avec ses seins. Elle tremblait et frissonnait, mouillant. Boire du sang, surtout du bon sang, la laissait toujours dans cet état, en manque... Comme si ses hormones venaient de se dérégler. Et Maëlys faisait tout pour que cette envie ne disparaisse pas. La vampire se mit à sourire, bien décidée à s’occuper convenablement de sa partenaire. Leurs ventres se frottaient l’un contre l’autre, et elle posa ses mains sur les épaules de Maëlys, avant de se concentrer. Maëlys avait ôté la corde noire qui retenait la robe, rendant cette dernière beaucoup moins résistante. Mélinda souleva son corps, afin de laisser un espace de quelques centimètres, et utilisa ses mains, ainsi que des coups de bassin, pour écarter sa robe. Son sexe pointa alors, déformant son sous-vêtement, et tapa contre les cuisses de Maëlys. Dans les yeux de la Maîtresse, une vive lueur de désir brûlait, forte. Elle souriait, et ses griffes recommencèrent à s’enfoncer, très légèrement, dans la peau de son esclave.

Mélinda déglutit, puis déplaça l’une de ses mains, et tira sur son sous-vêtement noir, afin de l’écarter. Sa verge la démangeait. Elle secoua lentement la tête, et pénétra alors, sans plus attendre, Maëlys. Quand son membre s’enfonça en elle, il y eut comme un bref et intense frisson. Une onde qui remonta le long de tout son corps, une intense onde de satisfaction. En buvant ce sang, Mélinda avait accumulé beaucoup d’énergie, une énergie qu’elle allait devoir évacuer.

« Haaaa... »

Elle se mordilla les lèvres, puis remua son bassin, sentant les jambes de Maëlys la suivre, soulevant son corps, avant que Mélinda n’enfonce profondément son bassin, d’un coup sec, ses mains s’appuyant encore sur les épaules de son esclave. En enfonçant son membre, la vampire ferma les yeux, frissonnant, puis souleva encore son bassin, le plus loin possible, jusqu’à sentir le bout de sa queue manquer dépasser, sortir du confortable trou humide de Maëlys, avant qu’elle ne l’enfonce encore. Un geste simple, facile, en deux temps, mécanique au possible, mais intense et terrible.

Son corps se mettait ainsi à rebondir lentement contre celui de Maëlys, leurs ventres se caressant, les chairs claquant sous l’effet de la sueur. Le rythme était de plus en plus rapide, tandis que le corps de Mélinda, sous l’effort, commençait à se recouvrir ici et là de belles plaques rouges.

« Huuummm... Huuummmmm, haaaa... C’est si boon... Huuuummmm !!! Si bon, ma... Ma charmante pute... »

Ses paroles étaient entrecoupés par de profonds soupirs. L’effort physique qu’elle devait déployer était assez intense.
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Maëlys le vendredi 06 septembre 2013, 13:17:23
Dieu que je mourrais d'envie de faire l'amour à ma Maitresse ! De me laisser baiser par sa belle queue ! Je la sentais, épaisse et tendue, se frotter contre mes cuisses au travers du tissus, attiser mon désir, me laisser languir, haletante, à me trémousser doucement sous le corps de la séduisante vampire. Sa peau était si douce, si fraiche, c'était plaisant, mais cela ne parvenait pas à calmer mes ardeurs. Les lèvres entre-ouverte à chacun de mes soupirs, je frissonnais agréablement au contact de ses ongles sur ma peau, me griffant légèrement, me chatouillant.

* Hum, oh ma Maitresse...

J'accompagnais doucement ses mouvements, mes doigts glissaient sur sa peau, caressaient son corps à mesure qu'elle se soulevait, qu'elle ôtait la robe que j'avais pris soin de dénouer. Le libérant ensuite du tissu qui le maintenait à l'étroit, son sexe se dressa vigoureusement devant moi, impérieux. Mon dieu... Je me mordillais la lèvre inférieure, me contenant difficilement devant une vision aussi excitante.

* Aaah...HAAAAN !!

Moult envies perverses me trottaient dans la tête, mais elles disparurent bien vite lorsque ma Maitresse enfonça sa queue entre mes cuisses, laissant une vague de plaisir s'accaparer mon esprit. Les parois chaudes et humides de mon sexe se pressaient contre le sien, se frottaient délicieusement l'un l'autre, et c'était la seule chose à laquelle je parvenais à penser pour le moment, cette savoureuse sensation qui accompagnait chacune de ses pénétrations. C'était... mmmmh ! C'était tellement bon ! Je glissai mes mains derrières ses épaules, m'aidant à me maintenir contre elle, à mieux supporter ses profonds coups de reins qui me faisaient vibrer. Nos corps claquaient l'un contre l'autre, se balançaient en rythme. J'accompagnais ses mouvements de gourmands déhanchés, intensifiant encore nos ébats. Je posais sur elle de langoureux regards emplis d'envie et de plaisir. J'haletais, la respiration saccadée, je soupirais, je gémissais, à l'unisson avec les râles de satisfaction de ma maitresse. C'était si bon de faire l'amour à ma divine Maitresse !

* Han oui ! Mmmmh ! Déf...anh ! Défoncez-moi Maitresse, j'adore !

Profitant d'un instant de lucidité au milieu de cet océan de plaisir, j'entrepris de m'occuper quelque peu de ma Maitresse elle aussi. Relâchant les épaules de la vampire, je me retrouvais à me balancer plus férocement contre le lit, propulsée à chacune de ses vives pénétrations. Elle ne me ménageait pas, mais dieu que c'était bon ! Je tendis alors mes mains en direction de son fessier, l'une glissant sur son dos, l'autre se faufilant entre nos deux corps nus. La première caressa ses fesses avec fermeté, je me permis même de lui administrer quelques belles fessées, avant de glisser encore plus loin, cherchant du bout de l'index son étroit orifice, caressant son contour. J'y fis lentement pénétrer la première phalange, et entama une série de cercles plus en plus large, accompagnée de léger va-et-vient. La seconde main, quant a elle, vint à l'assaut de la paire de bourse qui claquait contre moi à chaque mouvement, l'agrippant et la massant doucement entre mes doigts.

Je pu rapidement sentir que mes caresses avaient certains effets secondaires pas déplaisant du tout. Notamment le sexe de ma Maitresse qui avaient notablement pris du volume pendant qu'elle me baisait, et c'était... WAW ! La sentir gonfler en moi, écarter mes chairs, tout en me pénétrant fougueusement, m'avait littéralement rendue folle d'excitation. Mon bassin s'agitait vivement, s'empalant sur sa queue quand elle s'enfonçait, se retirant en même temps qu'elle. J'avais du mal à me contrôler... en fait non, je ne me contrôlais même plus du tout, mon excitation avait finalement eu raison de moi.

Étreinte par une gourmandise perverse et insatiable, j'accélérais le rythme de nos ébats. Mes halètements se muaient en couinements excités, tandis que les siens se faisaient plus rauques, plus épuisés. Qu'à cela ne tienne, d'un bond nos corps roulèrent dans les draps, changeant de place, et je profitais de cet instant pour embrasser ma maitresse, un baiser intense et sensuel, ma langue s'enroulant avec passion autour de la sienne.

* Mmmh..Rhaaah ! Aaaaah...

Ayant retrouvé son membre, mon bassin s'empala rapidement dessus, en un râle de plaisir qui descella nos lèvres, sa queue trempée de ma cyprine coulissant avec aisance dans mon intimité toute aussi humide. Posant mes mains sur les épaules de Mélinda, j'agitais mes hanches avec fureur, guidée par le plaisir qui hantait mon esprit. Mes mouvements étaient aussi vifs et puissants que mes forces me le permettaient, la queue de ma maitresse me pénétraient intensément, si dure et si épaisse, elle me comblait, c'était tellement bon !

* Haaaan, maitresse ! Aaaaah ! Je n'en peux plus, c'est trop booooon !

Malgré le plaisir, mon désir faiblissait à peine. Encouragée par celui-ci, je poursuivais avec ardeur, variant les déhanchés, sentant son sexe frotter contre les moindres recoins de mon intimités. Mais la fatigue m'avait peu à peu rattrapée, bien avant la satisfaction. Haletant fortement, je ralentis le mouvement, qui restait toutefois soutenu. Un sourire sur les lèvres, tout en me penchant légèrement vers elle, je murmurais à mi-voix, coquine.

* Ma Maitresse... trouve-t-elle la chatte de sa petite pute... à son gout ? ... chaude, humide, et confortable ... huhuhu...
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 06 septembre 2013, 15:09:08
Dire que, à la base, Maëlys avait été une arrogante petite humaine qui avait refusé de voir la chance immense qu’elle avait eu quand Bran avait décidé de la capturer pour en faire son nouveau jouet. Oui, sa petite esclave avait bien changé depuis. Il n’y avait même pas eu besoin de la droguer pour ça, seulement de l’ouvrir au sexe. Maëlys était maintenant une esclave dévouée, qui, malgré ses quelques défauts, restait l’une des plus belles perles de Mélinda. Elle méritait bien que sa Maîtresse lui consacre entièrement l’une de ses nuits. Les deux femmes se faisaient l’amour, et c’était à la fois tendre et brutal. Tendre, car il s’agissait après tout de deux femmes belles, aux formes voluptueuses et désirables, mais brutal, car elle la prenait aussi fort qu’elle le pouvait. Sa constitution vampirique lui permettait de tenir Maëlys, ce qui n’était pas un mince exploit, car son esclave, comme beaucoup d’autres de ses esclaves, était plus grande qu’elle. Ses mains s’enfonçaient dans sa chair, à hauteur de ses jambes, remontant parfois pour s’appuyer sur ses fesses, se pressant dessus. La sodomie était la grande passion de Mélinda, et cette passion était contagieuse avec ses esclaves, comme Maëlys.

Son membre glissait en elle, s’enfonçait dans une cavité trempée et gluante. C’était toujours la même litanie, toujours les mêmes gestes, mais Mélinda n’arrivait pas à s’en lasser. En même temps, comment se lasser, quand on couchait avec des femmes aussi belles que sa Maëlys ? De plus, Maëlys avait pour elle de faire preuve de cette inventivité et de cette rapidité d’adaptation qui caractérisaient les humains. Ainsi, tout en se faisant pénétrer, elle continua à aiguiser le feu qui brûlait dans le corps de sa Maîtresse. Elle la gifla sur les fesses, ce qui fit frémir Mélinda, qui poussa un petit couinement, avant d’aller sucer l’un des gros seins de Maëlys. Étant plus petite qu’elle, sa tête était directement nichée dans ses seins, et elle eut donc juste à la déplacer pour s’attaquer voracement à son téton, pinçant le bout de son sein entre ses lèvres et ses dents, veillant à ne pas la mordre, tandis que sa langue allait jouer avec le téton, comme si c’était un bouton sur lequel il fallait appuyer. Elle le léchait, remontant sa langue sur cette surface ronde. Le doigt de Maëlys s’enfonça alors dans son fondement, et, avec son autre main, elle s’avança pour caresser les testicules du sexe masculin de Mélinda, faisant gémir cette dernière. Désormais, c’était elle seule qui supportait le poids de Maëlys, et elle devait également remuer son corps. En sentant les doigts jouer avec ses testicules, la verge de Mélinda sembla grossir encore plus. Comme elle n’était pas naturelle, il était possible d’accroître sa taille ou pas. Concrètement, Mélinda aurait pu la faire pousser sur un bon mètre, mais elle trouvait cela ridicule, et c’était également très épuisant pour le corps. Cependant, sa verge grossit encore un peu, continuant à perforer le corps de la petite Maëlys, cette humaine rebelle, soumise, mais qui avait plus tendance à considérer Mélinda comme une amante dominatrice que comme sa Maîtresse et supérieur naturelle.

Elle la laissait donc s’amuser, galvanisée par les cris, les soupirs, et les gémissements de sa petite pute. Sa main alla également gifler les fesses de Maëlys, mais, contrairement à l’humaine, Mélinda y alla plutôt franco. Malgré sa petite taille, elle avait une force importante, du fait de sa nature vampirique. Par conséquent, le coup se fit sentir, résonnant dans la pièce, faisant vibrer les doigts de Mélinda, qui pressa ensuite cette fesse, tout en allant lécher le creux entre ses seins. Sa langue remuait, avide, tandis qu’elle gémissait et soupirait. Son membre avait bien durci, et il devenait douloureux, même pour elle. Elle soupirait et grognait, serrant les dents, et ce fut à cet instant que Maëlys la poussa. Les deux femmes s’étalèrent sur le grand lit, au milieu des draps.

« Ha ! » s’exclama Mélinda.

Son sexe glissa hors du corps de Maëlys, et elle se rua sur elle. Sous le corps de Maëlys, Mélinda répondit fiévreusement à son baiser, remuant lentement ses jambes sur les draps, tout en levant sa main, afin de la gifler fermement, sur le bas du dos, puis sur les fesses. Son autre main, elle, saisit la nuque de son esclave, et elles s’embrassèrent ainsi, leurs langues jouant ensemble, leurs seins se pressant l’un et l’autre. Les fines couvertures collaient, les entourant, renforçant cette chaleur qui s’installait entre eux. Ah, Maëlys... ! C’était un comble de le dire pour une vampire, mais Mélinda était bel et bien aux anges, sous les charmes de sa petite pute adorée. Énergique, Maëlys était très heureuse ici, et c’était la plus belle des choses à voir pour Mélinda : une esclave qui acceptait pleinement son statut, qui acceptait avec joie d’être son inférieure... Enivrée à cette idée, Mélinda préférait se dire que Maëlys était enjouée à l’idée de coucher avec sa Maîtresse, plutôt que par celle de coucher avec son amante.

Maëlys se redressa donc, et s’empala sur le sexe de Mélinda, glissant rapidement. Son vagin étant déjà bien lubrifié, elle put ainsi l’enfoncer dans son corps, et Mélinda se tortilla, poussant un long cri de plaisir.

« Haaaaaaaaaaaaaaaa.... !! Huuuummm !! »

Le lit, solide, ne craquait pas, et Mélinda posa ses mains griffues sur les hanches de Maëlys, la regardant avec un sourire ravi sur ses belles lèvres. Maëlys se laissait aller, en proie à une espèce de danse électrique, tout son corps dansant au-dessus du sien. Elle était épuisée, de la sueur s’échappait de ses cheveux, et ses belles joues rouges semblaient inviter Mélinda à la mordre encore. Elle avait déjà bu de son sang, et elle ne pouvait donc pas se permettre de recommencer... Mais c’était tentant ! Seulement, si elle le faisait, Maëlys serait bonne pour dormir, et elle ne pourrait plus profiter de son corps...

*Pourquoi la Nature est-elle aussi cruelle pour me soumettre à de tels choix ?*

Maëlys dansa pendant plusieurs minutes, une danse si magnifique que Mélinda ne pouvait que l’observer. Sa verge était mise à rude épreuve, et, alors que le mouvement décroissait, elle finit par jouir. Ses mains se serrèrent un peu plus, ses dents se crispèrent en une sorte de rictus, et elle se laissa aller, sentant son sperme jaillir, explosant dans le corps de la femme. Elle se mit à soupirer de plaisir devant cette scène, yeux clos, son corps tressautant à chaque giclée de sperme. Elle jouit ainsi pendant trente secondes, avant de rouvrir les yeux. Son érection n’avait quasiment pas diminué, un autre avantage d’être un vampire, et de disposer d’une constitution surnaturelle, ainsi que d’un contrôle des flux sanguins.

« Parfait... Si j’avais la capacité d’enfanter, Maëlys, tu... Hum... Je crois que tu porterais notre fille dans ton ventre... »

Elle savait que cette idée ne pourrait que lui faire plaisir. Et, à dire vrai, si Mélinda avait trouvé un moyen de lutter contre sa stérilité, elle aurait probablement fait à Maëlys l’honneur d’être sa porteuse.

« Est-ce que tu es déjà épuisée, ma belle ? » demanda alors la vampire en se redressant.

Elle alla lécher l’un de ses seins, avant de frotter le téton avec son nez, glissant ce dernier sous le sein, soulevant ainsi cette belle bosse.

« La nuit ne fait pourtant que commencer, Maëlys... Tu as voulu être ma petite pute pour toute la nuit, et c’est ce que tu vas faire... Je vais te baiser pendant des heures, jusqu’à ce que le jour se lève...Tu baigneras dans mon sperme, et je vais tellement te latter le cul que tu ne pourras même plus mettre une culotte dessus. »

Autant lui annoncer le programme, c’était toujours plus excitant... Non ?
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Maëlys le dimanche 08 septembre 2013, 20:03:31
C'était si bon, tellement bon ! Je m'empalais soigneusement sur le chibre de la vampire, accueillant son épée de chair dans mon humide fourreau, m'électrisant de plaisir à chacun de ses frottements. Emportée par la passion, je ne cessais qu'après avoir senti l'orgasme de ma maitresse poindre en moi, ces puissantes giclées de liquide chaud me remplir en abondance, pendant de longues secondes. Étreignant le corps frissonnant de Mélinda, me frottant lentement à elle, tandis qu'elle soulageait son excitation en moi, je m'imaginais recouverte de sa semence, douce et chaude sur ma peau, c'était... mmmmh, follement excitant. ~

Haletante, je m'allongeais tendrement sur elle, remuant ma jambe contre elle, ma cuisse caressant la sienne, tandis que ma poitrine se trouvait à portée de ses lèvres, m'arrachant un soupir à chacune de ses caresses. Je maintenant toujours précieusement son membre dans mon intimité, toujours aussi dur après avoir autant joui, ce qui m'excitait beaucoup. La nuit ne faisait que commencer. ~

Hmmm... dans l'état actuel des choses, la perspective de devenir enceinte et de tripler de volume, avec toute les conséquences que cela impliquait, ne me plaisait que moyennement en fait, et j'en venais à remercier le ciel que cela ne soit pas possible. Même si, au fond, je concevais que ce serait un considérable honneur que de porter l'enfant de ma maitresse ! C'est alors qu'une idée insolite me vint à l'esprit. Et si... et si je devenais moi aussi une vampire ? Je cesserais d'être considerée comme une simple humaine, et je pourrais rester avec ma maitresse sans plus craindre les ravages de l'âge... Oui ! Il fallait que je lui en parle ! Je gardais donc cette idée dans un coin de ma tête.

* Epuisée ? En si bonne compagnie ? Mes lèvres s'étirèrent en un sourire. Oui, comme toujours, ô Maitresse, mais c'est si bon que j'en redemande...

Accompagnant mes mots, je me blottis plus fort contre elle, l'enlaçant entre mes jambes, la caressant de tout mon corps. Je respirais fort, et elle devait bien le sentir vu comme ma poitrine se soulevait à chacune de mes inspirations, mais j'avais encore de la ressource ! Hors de question que je laisse filer cette douce nuit avec ma maitresse, quitte à ce que je tombe raide d'épuisement dans ses bras !

J'écoutais attentivement, posant mon regard sur elle, ses mots... ses mots me donnaient d'agréables frissons. Et me faisait follement envie. Avançant doucement mon bassin, je me cambrai sous ses yeux, et libérai son sexe de mon emprise, tout en persistant à jouer avec et à y frotter les lèvres de mon intimité.

* Hoooo... Maitresse est-elle sûre de pouvoir assumer une telle promesse ? lâchais-je, avec une légère pointe d'insolence et de défi.

Ce faisant, je m'éloignais d'elle, reculant doucement tout en lui souriant, avant de faire demi-tour et de lui présenter deux belles fesses rondes, encore rouges des fessées qu'elle m'avait administré. A genoux, cambrée, les épaules contre le lit, je tendis mes mains en arrière et me mit à tripoter mon propre fessier sous ses yeux, tentatrice, les massant et les écartant, libérant le passage vers un étroit orifice qui n'allait pas tarder à être en feu... mais j'adorais ça, et ma Maitresse aussi !

* Mmmh ? lançais-je alors avec défi, l'observant par dessus mon épaule d'un regard gorgé de désir.
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Mélinda Warren le mardi 10 septembre 2013, 02:16:33
Ah, cette femme ! Délicieuse et appétissante créature que voilà ! Mélinda aimait beaucoup sa petite Maëlys (bien qu’elle soit plus grande qu’elle), et, après son énumération, la vampire eut le plaisir de sentir le sang de Maëlys battre dans ses veines. Étalée sur le lit, sous le corps tendre, doux et chaud de sa petite esclave, Mélinda se sentait au mieux. À dire vrai, le corps de Maëlys serait parfait pour dormir, et Mélinda s’imaginait très bien dormir sur elle, la tête nichée sur ses seins... Mais pas tout de suite. Non, pour l’heure, Mélinda comptait s’amuser. Se retrouvant au-dessus de sa Maîtresse, Maëlys se permit même de jouer avec elle, faisant sourire la vampire.

« Hoooo... Maitresse est-elle sûre de pouvoir assumer une telle promesse ? »

La vampire fronça légèrement les sourcils, sans rien dire, mais ses ongles se tendirent légèrement, commençant à former des griffes. Maëlys était heureuse, mais Mélinda n’aimait pas l’insolence... Pas de la part de ses esclaves. C’était sûrement de l’humour, mais la vampire était bien placée que l’humour avait toujours un fond de vérité. Elle se redressa en voyant Maëlys lui tendre son fessier, provocatrice. Les dents de Mélinda montrèrent des canines, et elle se releva lentement, toujours silencieuse. Elle se mit à son tour à quatre pattes, et se releva ensuite, se mettant debout sur le lit. Son membre masculin était toujours là, mais, au lieu de l’enfoncer dans le corps de son esclave, elle fit autre chose.

Mélinda leva son pied droit, et le posa sur les fesses de la femme.

« Hum... Tu me parais bien présomptueuse, ma petite Maëlys... Ton cul est à moi, c’est moi qui décide quand je le prends ! »

Elle appuya alors, et poussa Maëlys, l’envoyant hors du lit. Mine de rien, le petit corps de Mélinda abritait une force insoupçonnable. Elle bondit sur le sol, atterrissant sur une belle moquette chaude et confortable.

« Ne te relève pas. Reste à terre, à quatre pattes, comme une chienne, c’est ta place. »

Mélinda s’avança un peu, et promena ses griffes sur le corps de Maëlys, remontant vers sa nuque, glissant ses doigts sur ses cheveux, les fourrant à l’intérieur.

« Je crois que tu mérites une petite correction, avant que je ne te défonce ton petit cul de salope... Je vais devoir t’apprendre l’obéissance, ma jolie... Une esclave ne provoque pas sa Maîtresse. »

La vampire marcha un peu, dans le dos de Maëlys, et farfouilla dans ses affaires. Elle trouva rapidement ce qu’elle cherchait : un élégant fouet noir qu’elle remua un peu, avant de se retourner. Avant de la fouetter, elle attrapa un collier avec une laisse, et le mit autour du cou de Maëlys. Il était important de rappeler à sa petite pute qu’elle était sa chienne docile et obéissante. Elle passa le collier autour du cou de Maëlys, se remettant dans son dos. À dire vrai, elle ne se faisait guère de soucis, et elle se demandait même si elle ne jouait pas le jeu de Maëlys en agissant ainsi. Elle savait que Maëlys était très soumise, elle devait donc raffoler des châtiments corporels. Mélinda ne comptait pas la décevoir.

Elle attrapa le bout de la laisse en se glissant dans le dos de la jeune femme, et tira dessus, venant soulever le haut de son corps, ce qui eut pour effet de creuser son dos. Le fouet cingla ici, dans la chute de reins, mordant la peau dans un claquement sonore délicieux. Mélinda releva le fouet, le faisant tournoyer brièvement, avant de l’abattre sur ses fesses. Le fouet claqua ensuite à nouveau, crachant son venin. La vampire ne frappait pas excessivement fort, car elle savait que les humains étaient plutôt sensibles à la douleur.

« Qui est ta Maîtresse, hein ?! hurla Mélinda en la fouettant à nouveau. Qui donne les ordres, hum ?! Tu m’as pris pour ta poupée, c’est ça ?! Tu n’es... Qu’une... MAUVAISE FILLE !! Une sale petite chienne !!! »

Et le fouet claqua à nouveau. Mélinda le retint alors, brièvement, le temps de dire :

« Je veux que tu t’insultes pendant que je te punis. Montre-moi à quel point tu as honte de ton comportement, et à quel point tu as envie de m’être docile... Allez, allez !! »
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Maëlys le mercredi 11 septembre 2013, 23:13:04
* Hoo ouiiiiii !! * Ma maitresse s'était levée, me laissant en proie à une folle excitation. J'étais si impatiente de sentir son chibre épais et si dure labourer mes belles fesses de salope ! Pour peu je m'en serais doigtée sous ses yeux, affalée sur le lit en une pose des plus indécentes, la croupe à l'air, mais je préférai ne rien faire et éviter de gêner ma maitresse, laissant le champs libre à ses envies. Doux jésus, l'attente de sentir sa grosse queue me combler à la force de ses déhanchés était une torture délicieuse...

Toutefois, il en fût autrement. M'attendant à recevoir un coup de rein, je fus diablement surprise de recevoir un violent coup de pied dans le derrière, m'envoyant voltiger en contrebas, chutant de son lit avec fracas.

* AAAAHH ! hurlais-je, tant de surprise que de douleur.

Mais... qu'est ce... qu'est-ce qu'il lui prenait... ? Jetée à terre sans vergogne comme une vulgaire poupée, je levais les yeux vers elle, le regard mitigé entre doute, peine, désillusion et lamentation. L'expression "tomber des nues" prenait tout son sens dans ce contexte, et je m'en retrouvais boulversée.

* Mais... mais, Maitresse... ? bredouillais-je, plaintive.

Mais ses injonctions me refroidir aussitôt, me poussant à acquiescer silencieusement, à quatre pattes et penaude, comme une chienne se faisant gronder par sa maitresse. Je ne bougeais même plus, terrorisée. Ce soudain changement d'attitude... et dire qu'il y a deux minutes, je l'étreignais tendrement dans mes bras, la voilà fâcheusement irritée ! Je prenais conscience d'avoir un peu dépassé les bornes... peut-être même beaucoup. Ce privilège accordé m'était monté à la tête, j'en ai même bafoué, du moins à moitié, la relation de Maitresse à esclave établie entre nous deux ! Je baissais les yeux, un peu gênée, à quatre pattes et assise sur mes talons, la laissant me tourner autour en évitant de croiser son regard. Je sentais ses griffes contre ma peau, m'arrachant des frissons, ces même griffes qui pouvaient si facilement s'enfoncer dans ma chair...

* Je... je suis vraiment désolée Maitresse ! Je n'avais nullement l'intention de manquer au respect dû à ma sublime Maitresse !!

Une laisse se retrouva nouée autour de mon cou, laisse inhérente à ma condition d'esclave, d'objet sur lequel la propriétaire avait tous les droits, et dont j'avais pleinement accepté les conséquences. Et cela me faisait réellement mal au coeur de savoir qu'elle était mécontente de moi !

* Je suis une sale chienne, Maitresse, votre chienne obéissante et dévouée !

De toute façon, qu'importait mes paroles, j'allais recevoir une bonne leçon. Comme le prouva le cinglant coup de fouet qui s'abattit sur mon dos, cambré à mon insu, tout en accompagnant le claquement de son instrument d'un bref mais puissant cri de douleur.

* AAH !

Punaise ! La morsure du fouet irradiait ma peau d'une intense et douloureuse chaleur, je voulais caresser la blessure, en atténuer les sensations, mais je n'étais pas en position de tenter quoi que ce soit. Pire, un nouveau coup de fouet claqua, suivie d'un cri plus intense, tandis qu'une longue marque rouge vif se se dessinait sur mes fesses.

* AAAHH !! Je suis désolée Maitresse ! La seule poupée ici c'est moi, la poupée de la plus extraordinaire des vampires !

Pourquoi... Pourquoi n'y arrivais-je pas ? Je voulais lui dire d'arrêter, l'en supplier même, qu'elle cesse de me fouetter, mais je n'y parvenais pas... Pourtant, ses coups de fouets étaient terribles ! Je sentais bien qu'elle n'y mettait pas toute son ardeur, et heureusement pour moi ! Mais elle étaient tout de même d'une force surhumaine, et subir la morsure de son fouet était un supplice ! Pourtant c'était comme si une partie de moi-même acceptait son traitement... en redemandait, même. Étrangement, outre la douleur, je me sentais toute drôle à me faire fouetter ainsi, le corps tendu par la laisse tirée et qui m'étouffait à moitié...

Chaque coup de fouet me raidissait, m'obligeant à crier pour extérioriser la douleur, tandis que mon corps tentait inconsciemment d'esquiver ses assauts, se tortillant comme il pouvait, s'éloignant d'elle avant l'impact du fouet. Mais chaque coup de fouet faisait aussi croitre en moi ce désir contradictoire de me laisser aller, je dirais même de m'ouvrir à la douleur, de la savourer. Un paradoxe auquel mon cerveau ne pût trouver de solution, tiraillé entre mon excitation qui atteignait des sommets et transformait mon vagin en fontaine de mouille, mes remords d'avoir outragé ma Maitresse, les zébrures rouges sur ma peau qui me faisait l'effet de blessures incandescentes, trop, trop, trop, c'en était trop pour ma pauvre tête !

* Oui Maitresse ! Punissez la sale chienne qui vous a manqué de respect ! AAAHH !! Cette grosse pute bonne qu'à se faire baiser ! AAAHH !! Cette chienne en chaleur prête à tout pour avoir une bite dans le cul ! AAAHH !! Cette trainée qui ne mérite même pas d'être le sac à foutre de sa Maitresse ! AAAHH !! Je vous demande pardon Maitreeeeesse !

Mon corps tentait toujours désespérément de se soustraire à ses coups de fouets, comme un réflexe de survie destiné à le préserver, mais à chaque fois je tendais aussitôt mon corps vers elle, malgré la douleur, prête à recevoir le châtiment que je méritais...
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Mélinda Warren le mardi 17 septembre 2013, 01:21:13
Maëlys n’était pas une mauvaise esclave... Du moins, pas au sens classique du terme. Elle ne s’était jamais révoltée contre sa Maîtresse depuis que cette dernière l’avait kidnappé, séquestré, et violé à de nombreuses reprises. Elle n’avait jamais cherché à s’évader, trouvant son accomplissement personnel au service de sa belle Maîtresse. De même, elle n’avait jamais contesté l’autorité innée et naturelle de sa Maîtresse. Elle était extrêmement soumise à Mélinda, bien trop soumise pour oser se révolter, mais l’était tellement qu’elle vénérait Mélinda, la voyait comme une sorte de divinité... Dans le fond, ce n’était pas totalement exagéré. Du fait de leurs capacités surnaturelles, des vampires pouvaient tout à fait, auprès d’humains ignares et superstitieux, se faire passer pour des Dieux. En l’état actuel des choses, Maëlys était naturellement très enjouée à l’idée d’être la privilégiée de sa Maîtresse, ce qui était normal. Mélinda ne pouvait pas lui reprocher son engouement, car il était justifié par sa servitude... Mais elle pouvait la punir. Elle s’était de toute façon doutée qu’il faudrait qu’elle batte Maëlys... Et, de manière générale, elle aimait bien la battre. Mélinda n’était pas sadique pour rien, et le sexe ne se constituait pas que de plaisir, mais aussi de douleur. Une douleur que Maëlys allait ressentir.

Le fouet claquait sur son corps, produisant des bruits délicieux quand il heurtait la peau nue, tendre et douce de l’esclave. Elle poussait des hurlements en se tortillant, partagée entre un désir de survivre, de s’éloigner de la douleur, et un autre, celui qui avait fini par faire d’elle l’esclave servile de la vampire : sa perversion. Le fouet claquait, et, à chaque fois, le corps de Maëlys tirait sur la laisse, avant de se détendre, et Mélinda pouvait à nouveau la fouetter. Le fouet claquait comme un serpent, revenant à chaque fois sur le corps délicieux et ferme de Maëlys, la vampire se délectant des hurlements de cette dernière. Ses doux cris renforçaient son érection, faisant tendre son membre.

« AAAHH !! Je vous demande pardon Maitreeeeesse ! » haletait sa petite pute.

Mélinda la fouetta une ultime fois, et arrêta alors, un sourire sur les lèvres. Cette situation l’excitait beaucoup, et il était temps de passer à d’autres choses. Le petit cul tendu de Maëlys était une délicieuse offrande qui lui était offerte. Elle relâcha son arme, qui tomba sur le sol, et, en deux pas, rejoignit Maëlys, à quatre pattes, le corps parcouru de frissons, le dos couvert de plaques rouges à force d’avoir reçu des coups de fouets. La main de Mélinda se posa sur la croupe de son esclave, la caressant tendrement, alors qu’un sourire amusé venait éclairer ses belles lèvres.

« N’aie pas honte de toi, Maëlys, tu restes l’une de mes petites putes préférées... Et il est temps de te récompenser... Tu es en position, tu as la laisse... Et je sens que ton cul m’appelle... »

Joignant le geste à la parole, Mélinda glissa l’un de ses doigts dans son fondement, remuant tendrement ce dernier. Elle percevait les frissons sur le corps de Maëlys, elle sentait tout cela, tout comme elle percevait les ondulations subtiles et raffinées de son sang. C’était quelque chose de magnifique, et la vampire continua à remuer son doigt d’avant en arrière, avant d’en glisser un second, dilatant ainsi les parois internes de sa pute. Elle ne voulait pas la pénétrer immédiatement, afin qu’elle n’ait pas trop mal, et qu’elle puisse vraiment profiter de sa sodomie. Mélinda poursuivit donc ce spectacle pendant plusieurs minutes, laissant ainsi le soin à Maëlys de se remettre des multiples coups de fouets qu’elle avait reçus. Il fallait bien être une Maîtresse attentionnée, après tout.

Après quelques instants, Mélinda retira ses doigts, puis fléchit les genoux, et vint lécher le fondement de Maëlys. Elle posa chacune de ses mains sur ses fesses, s’en servant comme appui, utilisant ses pouces pour les écarter. Ce faisant, elle pouvait ainsi glisser sa langue, et lécha la croupe de la femme, frottant son nez contre sa peau, remontant ainsi pour atteindre son fondement, qu’elle titillait avec sa langue, remuant dessus, donnant des petits coups, enfonçant l’extrémité dans ce trou minuscule, creusant lentement. Elle se contentait surtout de jouer, d’impatienter Maëlys... Avec ses petites chéries, la frustration sexuelle était, à bien des égards, plus redoutable encore que la punition physique. Elle passa donc de nombreuses secondes ainsi, à lui lécher les fesses, avant de finir par se relever, son sexe venant s’enfoncer contre ses fesses.

« Je vais te défoncer le cul, maintenant, annonça-t-elle, pour mieux l’exciter. Et, entre tes hurlements, tu vas aboyer... Comme si tu étais une chienne. Aboie comme si tu étais un petit animal qui ne demande qu’à se faire enculer par moi. Et je vais t’enculer fort, ma petite pute, car je vois bien que ton cul se languissait de moi... »

Et Mélinda ne résistait jamais à l’appel d’un joli fessier n’attendant qu’elle. Elle posa sa main sur son membre, bien tendu, le pressant entre ses doigts, et le rapprocha du fondement de la jeune femme. Il était évidemment assez étroit, mais elle allait rapidement le dilater, à sa manière. Lentement, elle le rapprocha, le bout de son sexe titillant l’extrémité de l’anus de Maëlys. Mélinda dut forcer le passage, crispant ses dents, en sentant une sorte de résistance s’effacer progressivement, la peau de son esclave s’élargissant, pour laisser progressivement rentrer ce membre.

« Aaaaah... !! »

Mélinda sentit la douleur traverser son membre, et gifla sèchement Maëlys, sur les fesses, pour se motiver.
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Maëlys le mercredi 18 décembre 2013, 14:30:09
Inlassablement, le fouet cinglait, et cinglait, et cinglait, sans faiblir un seul instant. J'avais beau me tortiller, essayer d'échapper à cette lancinante sensation par un inconscient réflexe de survie, il parvenait toujours à claquer douloureusement sur ma peau. Bon sang, c'était terrible ! Je n'en pouvais plus, je criais sans cesse, impuissante face à ses coups de fouets qui me rendait folle ! Et lorsque enfin ses morsures cessèrent, je me retrouvais haletante, le souffle aussi court que si j'avais couru un sprint, les empreintes rouges et douloureuses du fouet en supplément.

* Haaa...haaa...han maitresse...

Je me détendis, m'affalant sur les coudes, restant toujours à quatre pattes sur le sol. Ce fut tellement... intense ! Bien que cela avait cessé, mon corps en frémissait encore ! Je reprenais peu à peu mes esprits, et sursautai lorsque ses mains se posèrent sur mes fesses. Elle les caressa tendrement, soulageant par la douceur la douleur que j'y ressentais, j'en gémissais carrément de satisfaction tant cela me faisait du bien.

J'acquiesçais silencieusement de la tête, frissonnant du désir que son doigts contre mon anus éveilla en moi. Je me mordillais la lèvre inférieur, savourant les caresses de ma maitresse. L'effervescence de mes blessures s'estompait doucement, ma respiration reprenait peu à peu un rythme normal, mais était ponctuée des profonds soupirs qu'elle parvenait à me soutirer. Ses doigts me dilataient le fondement avec douceur, et sa langue...han, elle était si douce, si sensuelle, à me lécher ainsi, c'était trop bon ! J'étais follement détendue, mon orifice s'ouvrait de lui-même sous ses caresses buccales, que j'accompagnais de longs soupirs et d'intense frissons. J'aurais pu rester comme ça pendant des heures, si l'envie brulante d'en avoir encore plus ne m'étreignait pas autant ! Et ce n'est pas sa promesse de me culbuter avec ardeur qui me calma, loin de la.

* Han oui Maitresse ! S'il vous plait, mon cul ne demande que ça ! Défoncez-moi, Maitresse !

Mélinda frottait langoureusement son sexe contre mon orifice, me faisait cruellement languir. C'était terrible, je n'en pouvais plus d'attendre cette alléchante sodomie ! J'agitais lentement mes hanches, de sorte à ce que son pénis se frotte contre mes fesses. J'étais terriblement tentée de m'empaler dessus, j'en mourrais d'envie, mais je me contentais de retenir mes pulsions et de me déhancher sagement, ce n'était en effet pas à moi d'en décider. Heureusement, ma Maitresse ne tarda pas à s'exécuter...

* AAAAHH !!

Je me mis à hurler en sentant son énorme bite tenter de s'enfoncer entre mes fesses. Si grosse, elle était si grosse ! Le passage en était délicat, malgré l'agréable préparation que j'avais reçu. Oh mon dieu ! Je me cambrais sous l'effort, serrant les dents, haletante, tandis que j'essayais tant bien que mal d'accueillir l'épais braquemart de ma Maitresse en moi.

* Gnnnn-mmmmmh !

Tout mon corps se raidissait, mon orifice dilaté à l'extrême pendant que ma Maitresse forçait peu à peu le passage, s'enfonçant graduellement, centimètre par centimètre, de plus en plus profondément dans mon cul. Je n'en étais pas à ma première sodomie, loin de là même, Mélinda en raffolait tellement que j'y avait déjà eu droit d'innombrables fois, à tel point que j'y avais pris gout aussi. C'était divin, surtout avec elle ! Mais malgré tout mon corps ne semblait pas s'y être adapté... à moins que je ne sois condamnée à garder un cul étroit et serré ? Elle gifla subitement mes fesses, m'arrachant un cri animal, suivant les ordres qu'elle m'avait donné.

* WAF, WA-AAAAH-WAF !

Je la sentais entrer, écarter mes chairs pour se frayer une place en moi, mon orifice douloureusement tendue. C'était certes douloureux, mais y aller progressivement rendait la tension plus supportable. Je me sentais si étroite, si remplie, percevant la queue de ma Maitresse chaude et dure palpiter dans mon fondement, c'était fabuleux, j'adorais !

* Han oui, enculez moi fort, WOOF ! C'est si bon de sentir votre grosse queue ! Baisez-moi comme une chienne, Maitresse ! WOOF, WOOF, WOOF !
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Mélinda Warren le samedi 21 décembre 2013, 02:07:51
« Han oui, enculez moi fort, WOOF ! C'est si bon de sentir votre grosse queue ! Baisez-moi comme une chienne, Maitresse ! WOOF, WOOF, WOOF ! »

La Maîtresse ne put qu’émettre un léger sourire. Sa petite pute n’avait, sur ce point, guère à s’inquiéter : c’était bien là tout ce que Mélinda comptait lui faire subir. Les sodomies s’enchaînaient sur les fesses de Maëlys autant que les morsures sur son cou. Mélinda était aussi bien amatrice du sang de ses délicieux esclaves, que de leurs croupes. Or, celle de Maëlys avait pour elle d’être toujours aussi serrée que si ça avait été sa première sodomie. Un détail anatomique que Mélinda ressentait de plus en plus, et qui rendait ses fesses très attirantes. Sentir cette espèce de rigidité au bout de sa queue céder progressivement, s’enfoncer lentement, progressivement, dans le corps de son esclave, c’était une sensation divine, exquise. Mélinda en avait mal, elle aussi, car elle devait forcer le passage, en donnant de forts coups de reins, mais c’était tellement... Tellement bon qu’elle s’en accommodait fort aisément, se motivait en giflant les fesses de Maëlys. Ses claques résonnaient dans la pièce, et elle se délectait également des aboiements excités et frénétiques que Maëlys poussait en se dandinant devant Mélinda, à quatre pattes sur le sol.

Comme elle était loin, maintenant, cette époque où sa belle et jeune esclave tremblait quand Mélinda devait s’en prendre à ses fesses. À force de sodomiser de jeunes femmes effrayées, Mélinda avait fini par accueillir une certaine méthode, une certaine procédure. Elle entamait assez rarement une sodomie brutale et rapide, préférant généralement préparer le terrain, attiser le feu, réveiller les braises en soufflant dessus, jusqu’à ce que le terrain soit bien mûr pour déclencher un feu de cheminée. Avec Maëlys, c’était le schéma qu’elle avait fini par instaurer, qu’elle faisait initialement pour rassurer et exciter cette dernière, et qu’elle employait maintenant pour le plaisir de la frustrer un peu. Si le corps de Maëlys restait toujours aussi beau et laissait s’échapper une impression délicieuse d’innocence, l’esprit de sabelle esclave, lui, avait magnifiquement mûri, pour se tourner de plus en plus vers la débauche, la dépravation, et les plaisirs sexuels honnis par les prescriptions religieuses.

« Hummm... Ton cul est... Haaa... C’est si étroit, hmmm !! »

L’effort physique exigé dessinait des plaques rouges sur le corps de Mélinda, qui suait de plus en plus. Elle continuait à s’enfoncer, et donnait des coups de reins de plus en plus puissants, son sexe lui donnant l’impression d’être un atome de sang, entièrement rouge, à force de se frotter contre les parois de l’intéressée. À aucun moment, il ne sortit complètement de sa croupe. Mélinda le faisait tout simplement glisser à l’intérieur, déformant peu à peu le conduit anal de la jeune femme, douleur et plaisir se confondant sous la recette de la luxure dans un même ensemble jouissif. Les minutes se diluaient, fondant comme neige au soleil sous l’activité physique intense que cet exercice requérait.

« HAAAAN !! HAAAAAANN !! Salope, haaaaa !! HAAAAAAAAANN !! Petite pute !! »

Entre plusieurs soupirs, Mélinda insultait copieusement son esclave, rythmant également les ébats par quelques gifles supplémentaires généreusement distribuées sur sa croupe. Comme elle le lui avait dit, la vampire n’envisageait nullement d’être tendre avec elle, de l’épargner. Elle l’humiliait, la rabaissait au simple rang de jouet sexuel, et se donnait du courage en l’insultant, laissant les obscénités s’échapper de ses belles lèvres.

Peu à peu, défoncer le cul de Maëlys devenait de plus en plus agréable, comme si elle avait traversé une zone de turbulences, avant de finalement atteindre une situation plus paisible. Les parois se dilataient, s’écartaient, facilitant le glissement. Ce n’était pas rapide, et il fallut attendre de nombreuses minutes, persévérer pendant un certain temps, pour que Mélinda puisse alors respirer, et pleinement enfoncer son sexe dans le fondement de Maëlys, accentuant ses coups de reins. La vampire haletait, les mains moites, et continuait à gifler les fesses de Maëlys de temps en temps. Son sexe se perdait dans le corps de sa belle, et ses ongles pointus glissaient le long des fesses de la femme.

C’est dans ces conditions que Mélinda eut son premier orgasme en sodomisant la femme. Elle laissa s’échapper une série de profonds soupirs, fermant les yeux en sentant la vague venir des tréfonds de son corps, se concentrer à hauteur de son chibre, avant de s’expulser par jets successifs dans le corps de la femme. Le sperme acheva de dilater le cul de Maëlys, tandis que le reste des spermatozoïdes inféconds de Mélinda se faufilèrent dans le ventre de son esclave. Naturellement, son sexe restait toujours aussi tendu, l’avantage d’être une femme membrée disposant d’un sexe d’origine magique, et elle continua donc sa sodomie.

Elle n’allait pas s’arrêter en si bon chemin, après tout.
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Maëlys le samedi 19 novembre 2016, 06:05:02
[HRP] Trois ans plus tard... :-[



C'était tout naturellement que j'offrais ma croupe à ma Maîtresse adorée, et très franchement je ne le regrettais absolument pas ! Il est vrai que son membre massif de futanari, enfoncée entre mes fesses, était assez douloureux, me poussant à souffler ou à serrer les dents par moment... mais mon cul avait été bien préparé, grâce aux longues minutes passées à le doigter et le lécher. Et puis ma Maîtresse prenait également soin de moi pendant l'acte, s'enfonçant lentement en moi pour que mon corps puisse s'habituer à la largeur de son sexe. Une délicate attention, qui rendait cette sodomie beaucoup plus agréable.

En un sens, c'est comme si Melinda me faisait tendrement l'amour. J'étais aux anges !

* Mmmmhh... han, j'adore sentir la belle queue de Maîtresse en moi... c'est si bon d'être votre petite chienne, WOOF ! ~♥

Malgré ses lentes pénétrations, mon orifice restait étroitement serré autour de son membre. Oh, il s'adaptait, bien sûr, mais légèrement, juste assez pour ne pas avoir à trop forcer le passage. Je crois que c'est ce qui lui plaît chez moi, hihi, peu importe le nombre de fois où elle m'a sodomisée, ou les journées entières passées avec un godemiché entre les fesses, mon anus restait toujours aussi étroit que celui d'une pucelle. Et, au fond, ce n'était pas si mal... Ça me pousse certes à faire plus d'effort pour l'accueillir en moi, mais sentir mes chairs s'écarter à chacune de ses pénétrations, et se resserrer autour du chibre tendue de ma Maitresse... hum, c'était si bon que j'en étais accro ! 

Pendant que Mélinda prenait son temps, moi je prenais mon pied, mais je savais que ça n'allait pas durer. Non, ce n'était qu'un avant-goût de ce qui allait arriver. Elle avait d'ailleurs déjà commencé a accélérer la cadence de ses coups de reins. Et mon corps était prêt à les recevoir. Je tournais la tête et regardais ma Maîtresse par dessus mon épaule, pendant que ses hanches claquaient contre mes fesses. Je la regardais droit dans les yeux, me mordillant la lèvre, gémissant à chaque pénétrations. Un regard plein de sous-entendu, qui pouvait tout aussi bien révéler ma gratitude -"Merci Maîtresse"-, mon plaisir -"C'est si bon, Maîtresse"-, ou ma supplication -"Encore, s'il vous plaît Maîtresse, encore plus fort"-.

* Ah ah ah ! Woof ! Woof !

Ses insultes résonnaient comme des mots doux, et ses fessées comme des caresses, auxquelles je répondais joyeusement par des aboiements, comme la bonne chienne que j'étais. Ses coups de reins devenaient de plus en plus fort, à mesure que mon orifice s'ouvrait à elle. Ils étaient si violents que je ne parvenais plus à maintenir ce contact visuel avec ma Maîtresse. Ses pénétrations étaient vives, profondes, et faisait trembler mon corps à une cadence effrénée. J'essayais tant bien que mal de maintenir mes appuis sur le tapis de fourrure, mais rester concentrée était difficile tant cette sodomie me rendait folle de plaisir. Si bien qu'à un moment, ma main glissa, et le coup de bassin suivant me propulsa par terre, la joue contre le sol. Mélinda ne ralentissait pas, et continuait à me pilonner le cul avec ardeurs. Ho et puis au diable la concentration ! Je me laissais aller, m'offrant complètement à la sodomie. Mes aboiements étaient devenues des cris de plaisirs, purs et involontaires, rythmés par ses délicieux va-et-vient entre mes fesses.

* Maitreeeeeesse !!

Et c'est ainsi que ma Maîtresse venait de me donner mon premier orgasme. Intense ! Cependant, elle ne s'arrêtait pas. Elle n'avait pas encore eu le sien après tout. Des giclées de cyprine avaient éclaboussé ses cuisses et les miennes, coulant chaudement le long de nos jambes, ajoutant des sons humides aux claquements de nos corps. Mes jambes flageolaient, j'étais haletante, et avais du mal à résister aux assauts de Mélinda, mais j'essayais tant bien que mal de tenir bon. Heureusement, il n'y avait que mon cul qui prenait cher. La situation aurait été différente s'il s'agissait de mon vagin, qui serait devenu trop sensible après l'orgasme pour pouvoir continuer... L'un des avantages de la sodomie.

Mélinda continuait donc sa sodomie, pour son plus grand plaisir, et le mien. J'avais l'esprit encore embrumé par cet orgasme, et de sentir les pénétrations vigoureuses de ma Maîtresse me défoncer les fesses... mmmhh ! A peine eus-je le temps de redescendre sur Terre qu'un deuxième orgasme, fulgurant, vint m'emporter au septième ciel.

* AAAAAHHH !

Cette fois je ne parvenais plus à me tenir sur les genoux. Toute frémissante, encore plus haletante, je me laissais tomber par terre, allongée sur le ventre, le chibre de ma Maîtresse toujours chaudement enfoncée entre mes fesses. Ces deux orgasmes si rapprochés m'avaient rincées ! Et elle n'allait pas tarder à jouir elle aussi. Elle continua à me sodomiser encore un moment, jusqu'à ce que de puissantes giclées ne viennent inonder mon cul de sa semence chaude. Han, c'était tellement bon ! Tellement, que je fût happée par un troisième orgasme, qui finit par m'achever. J'étais à bout de souffle, le corps crispé, du sperme qui parvenait presque miraculeusement à couler de mon orifice, malgré le large membre autour duquel il était encore étroitement serré.

La soirée venait à peine de commencer, et cette première sodomie m'avait déjà complètement épuisée... mais passer une folle nuit d'amour avec ma Maîtresse était trop beau pour que je laisse filer une telle occasion ! Je n'avais pas dit mon dernier mot, et comptait bien en profiter du début à la fin, jusqu'à la dernière minute. Reprenant mes forces, je parvins à me relever lentement, et à me tourner vers elle, chuchotant doucement.

* Oh, maitresse...

Alors que je me relevais davantage, rapprochant mon visage du sien... la porte de la chambre s'ouvrit, et l'une des femmes du harem entra timidement.

* Euh... m-maitresse Mélinda ?

Non mais vraiment ? Ça ne lui est pas venu à l'esprit qu'elle dérangeait un moment important là !? Très contrariée, je répondis brusquement, avant que Melinda ne puisse le faire.

* Au cas où ça ne se voit pas, Maîtresse est occupée là, alors tu serais gentille de repasser demain.

J'ajoutais, en balayant l'air avec ma main.

* Allez !
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Mélinda Warren le lundi 21 novembre 2016, 23:04:29
Mélinda, en réalité, aimait énormément sa petite Maëlys. Elle était, outre très belle et très soumise, également très perverse. La vampire savait combien de temps elle passait à se préparer, à muscler ses petites fesses pour pouvoir recevoir le vit de sa Maîtresse. Mélinda était donc là, sur le lit, à la sodomiser brutalement, sans pouvoir se calmer, ni se retenir. Elle accéléra progressivement le rythme, en sentant, comme à chaque fois, la raideur de ce beau cul. Les fesses de Maëlys avaient du mal à se dilater, ce qui faisait que chaque sodomie était un sport brutal avec elle. Il fallait se donner à fond, et c’était bien là tout ce que Mélinda allait faire. Sa verge heurta donc son cul étroit, ce fin trou, et elle dut se reculer, crispant ses mains sur ses hanches, puis retourna en avant, tapant encore contre ses fesses. Elle sentit le petit trou se dilater progressivement, et grogna encore, soupirant et gémissant profondément, tout en commençant à sentir ses joues s’empourprer sous l’effort.

Le cul de Maëlys se détendit progressivement, et Mélinda fonça donc en elle, la pénétrant rudement. C’était là toute la force de la vampire, car, maintenant qu’elle avait enfin réussi à se dégager un agréable passage, dans lequel sa queue allait et venait, s’enfonçant jusqu’à la garde, elle ne jouit pas. Elle aurait pu, mais retint son orgasme, et fit durer le plaisir, se délectant des hurlements et des gémissements de Maëlys. Cette femme était vraiment particulière. Outre son corps, la vampire adorait aussi boire son délicieux sang, très savoureux, et qui lui avait fait comprendre que la femme n’était pas une humaine. Elle avait un sang trop bon, trop pur, pour être une simple humaine, même si Mélinda n’avait pas encore déterminé qui elle était vraiment.

Et, en l’état, ça ne l’empêchait nullement de lui prendre le cul, et de la bourrer joyeusement.

« Hmmm... Hmmmmmmm... !! »

Elle sentit Maëlys avoir son premier orgasme, ce qui la stimula davantage. Les orgasmes anaux avaient souvent quelque chose de magnifique, et ce n’était pas pour rien que Mélinda adorait la sodomie. Là, dans ce cul étroit, elle avait dû batailler pour pouvoir placer sa verge, à coups de trique, de gifles, d’ongles griffant sa douce chair moelleuse. Et, maintenant, Mélinda savourait, avec cette énergie insatiable qui la caractérisait si bien. En ce moment, elle ne cherchait pas à battre un record, c’était tout simplement une sodomie « normale « avec Mélinda, soit quelque chose de particulièrement long et d’intense. Peu à peu, Maëlys n’avait plus la force d’aboyer, et se contentait de hurler, puis, ensuite, de gémir et de soupirer. Les minutes filaient à toute allure, sans que rien ne semble la calmer.

Mélinda soupirait longuement, encore et encore, poursuivant ses efforts. Ses reins tapaient contre le corps de la belle Maëlys, qui finit par partir vers l’avant, courbant son corps, soulevant son délicieux cul. Mélinda sourit. Elle sentait de la sueur commencer à couler le long de ses joues, et résista à la tentation d’agripper les cheveux de Maëlys pour la relever, et pouvoir continuer à la baiser avec force et envie.

*Ton sang bouillonne toujours aussi fort, Maëlys...*

La nuit ne faisait que commencer, de plus... Il était donc dans l’intérêt de Maëlys de reprendre du poil de la bête, car la belle vampire était encore loin, bien loin, d’en avoir fini avec elle.

« Hrrrmpfff... Allez, haaaa... Allez, ma petite pute, on se réveille ! »

Mélinda continuait sans interruption. Elle n’allait pas s’arrêter pour si peu ! Au moins, comme ça, le cul de son amante s’était redressé contre son mât, qui continuait à la labourer. Encore, encore, encore ! Mélinda finit néanmoins par diminuer un peu sa vitesse, au profit de puissants coups de matraque, retirant sa queue presque totalement, avant de s’enfoncer dans un coup sec, provoquant de délicieux claquements de chair quand sa peau heurtait la sienne.

« O-Oui, haaaa... Hmmmm, Maëlys, haaaaaa... »

Sous ce traitement puissant, son esclave la gratifia d’un troisième orgasme, recouvrant les draps du lit de mouille, tandis que Mélinda finit enfin par atteindre le point de rupture. Tout son corps sembla se figer, et elle retint un soupir, sa tête basculant vers l’arrière, son dos voûté se redressant, pour lui permettre d’expulser tout ce foutre... Et là, tandis qu’elle jouissait, sa main agrippa les cheveux roses de son esclave, et les tira vers l’arrière, soulevant son lourd corps, tandis que, avec son autre main, elle donna de grosses gifles sur le beau postérieur de la jeune femme, se répandant en elle.

Un orgasme magnifique, qui fut à l’image de cette sodomie : long, et intense. Pendant une bonne minute, sa queue se mit à tressauter dans le doux cul de Maëlys, la remplissant de son nectar.

« HMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM... !!! »

Lèvres closes, Mélinda soupirait, et les ouvrit ensuite, les figeant dans un silencieux cri de plaisir, fermant les yeux en sentant les vagues revenir en elle. Dieu, c’en était si bon qu’elle en avait même mal ! Elle expulsa encore du foutre, ayant l’impression que sa queue était en train de grossir démesurément à chaque fois, pour finalement se décharger totalement. Sa main relâcha les cheveux de Maëlys, et sa servante s’effondra ensuite sur le lit, Mélinda se retirant à son tour, finissant assise sur les fesses, en sueur, et la respiration haletante.

« Haaaa... Haaaaa... Pfffffiouhhh... !! »

Il s’écoula un petit moment. Mélinda oscillait entre son sexe, recouvert d’un liquide blanc, poisseux, qui semblait s’être collée à sa verge, et le cul de Maëlys, ouvert comme un boulevard, avec son foutre qui en sortait... Puis son esclave remua un peu, et se retourna. Elle se mit à quatre pattes, toujours aussi magnifique à voir... Et même encore plus maintenant, avec ses cheveux légèrement dséfaits, son corps en sueur, ses lourds seins remuant de gauche à droite, et ce regard de désir profond brûlant dans ses tendres yeux. Elle s’approcha d’elle comme pour l’embrasser, et Mélinda commençait déjà à entrouvrir ses lèvres...

...Quand la porte s’ouvrit brusquement sur une servante.

Presque immédiatement, le désir, dans les yeux de Maëlys, se mua en une pointe d’agacement, et d’un geste de la main, elle congédia l’inopportune. Mélinda fronça alors les sourcils, et se racla la gorge, tandis que l’esclave, troublée, ne savait plus quoi faire.

« Non, entre ! »

La jeune femme hocha la tête, et s’approcha. Ses talons claquèrent sur le sol, et elle tenait, dans une main, un plateau comprenant plusieurs verres abritant un liquide carmin, très vif et très sombre. La jeune femme s’appelait Azura (http://img110.xooimage.com/files/6/8/9/azura-50f15c2.jpg), et portait deux oreilles de lapine, d’élégants collants, une minijupe noire très courte, un débardeur blanc du même acabit, et portait un vibromasseur dans les fesses, terminé par un pompon blanc.

« Voici votre rafraîchissement, Maîtresse ! »

Elle se rapprocha donc, et posa le plateau sur la table de chevet, puis se redressa. L’odeur de sexe était très perceptible, et son regard oscilla entre la queue de sa Maîtresse, recouverte de foutre, et le beau cul de Maëlys, qui laissait du sperme suinter. Ses joues s’empourprèrent alors, et Mélinda sourit.

« Bien... Azura, assieds-toi sur le lit, à droite de moi... »

Maëlys était à sa gauche, et Azura obtempéra, puis la main de Mélinda caressa le visage de la jeune Azura. Les deux étaient maintenant à hauteur de ses jambes, et elle caressa le visage de Maëlys avec son autre main.

« Maëlys... Je t’aime énormément, tu sais ? Tu es une esclave incroyablement talentueuse, à la peau très douce, très servante, et terriblement perverse. Tu as de nombreuses qualités, ma chérie, mais... Car tu te doutes qu’il y a un ‘‘mais’’... Tu as beau m’appeler ‘‘Maîtresse’’, ma puce, et faire l’objet de mes sévices sexuels, tu n’as toujours pas compris cette notion, et ce qu’elle signifie vraiment. »

Comme pour l’empêcher de donner sa réponse, Mélinda posa son pouce sur les lèvres de la jeune femme, et l’enfonça dedans.

« Être ta Maîtresse signifie que je te suis supérieure, car tu es mon esclave. À ce titre, tu m’es donc inférieure, c’est-à-dire que je peux faire tout ce que je veux sur toi. Et toi, tu aimes ça. Je le sais, ma chérie, car tu es amoureuse de moi, tout comme l’est Azura... Mais, chez toi, cet amour s’accompagne d’une forme de jalousie qui signifie que, si tu aimes être mon inférieure, quelque part en toi, tu te vois comme mon égale. Et ça, ma puce, je ne peux pas l’accepter. Mais je refuse de me séparer de toi, car je t’aime tout simplement trop... À la manière dont une Maîtresse aime son esclave. Alors, si j’ai convié Azura, c’est pour te perfectionner, et pour que tu acceptes pleinement d’être vraiment une esclave. Tu comprends, ma chérie ? Notre nuit d’amour, c’est aussi ça... À la fin, je veux que tu sois une bonne esclave. Autrement... Autrement, tu te heurteras à ma communauté. Chaque fois que je couche avec quelqu’un d’autre, et que tu es là, je sais que tu es jalouse. Oh, j’aime ça, et c’est même normal, en un sens, car une esclave veut toujours les faveurs de sa Maîtresse, mais... Tu l’es juste un peu trop. Alors, on va lutter contre ça, mon bébé, et, quand nous en aurons terminé, tu participeras avec joie à mes orgies, et je pourrais enfin faire de toi une courtisane de luxe ! »

Mélinda retira son pouce, non sans l’avoir remué dans la bouche de la femme, à la recherche de sa langue, puis lui sourit.

« Maintenant, commençons par un test... Azura ! Viens me sucer la queue ! Et toi, Maëlys, je veux que tu regardes cette fellation, et que tu me dises ce que tu ressens ! Ne t’avise pas de me mentir, je le saurais ! »

Azura, sans attendre plus longtemps, se rapprocha du sexe de sa Maîtresse, le caressant avec sa main, puis le prit en bouche, et commença à le pomper...
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Maëlys le mardi 22 novembre 2016, 17:33:36
* Non, entre !

Quoi ? Mais, mais non ! Pourquoi Melinda l'invitait à rentrer, nous étions si bien rien que toutes les deux ! Je la suivais des yeux, les sourcils froncés. En soi je n'avais rien contre Azura, c'était une femme adorable. Seulement, là, j'étais en pleine nuit d'amour avec ma Maîtresse, et elle débarquait comme un cheveu sur la soupe. Alors, forcément, ça me mettait de mauvais poil.

Je me tenais à genoux, près d'Azura et face à Mélinda. Pendant qu'elle m'expliquait les raisons de sa présence ici, je sentais mon anus béant frétiller, et du sperme encore chaud couler sur mes chevilles, puis sur les draps. Je souriais, et mon regard s'illuminait, non pas à cause de l'état dans lequel elle avait ravagé mon cul, mais avec tout les jolis compliments qu'elle m'adressait. J'étais très heureuse de savoir qu'elle m'aimait tant... enfin, je le savais un peu, mais de l'entendre comme ça de la bouche de ma Maîtresse, ça me touchait beaucoup !

Malgré tout, je comprenais bien qu'au fond, elle me grondait. Et elle avait ses raisons. Mais moi aussi ! Alors que je m'apprêtais à lui expliquer que j'avais conscience de ces défauts, et que si je n'étais pas aussi parfaite, c'est justement parce que je l'aimais tellement... elle me fit taire, et poursuivit. Je ne bronchais pas, et l'écoutais religieusement, tout en lui léchant tendrement le pouce qu'elle avait glissé dans ma bouche.

Elle mentionna alors un test, pour jauger mes réactions. La première pensée qui me traversa l'esprit, c'était ô combien la belle verge de Maîtresse était appétissante ! Belle, grosse, et bien tendue droit devant, encore chaude de notre sodomie, et couverte d'une luisante couche de sperme. J'aurais adoré la lécher, et la sucer ! Mais bon, c'était Azura qui s'en chargeait...

* Ça... ça ne me pose aucun problème, Maitresse...

Ce qui était vrai. Un peu. Au fond, cette envie de fellation, c'était surtout un caprice de gourmande. Et, en l'occurrence, quelqu'un d'autre profitait de la friandise. Un peu frustrant, certes, mais rien d'insurmontable. En tout cas, j'y croyais...

Au début, ça ne me dérangeait pas trop de la regarder faire.  Mais, au fur et à mesure que le temps passait, Azura la suçait avec une ferveur croissante, et Mélinda semblait y prendre de plus en plus de plaisir. Et ça commençait à me mettre de plus en plus mal à l'aise. Je dirais même à carrément m'irriter ! Mais je restais calme, enfin plus ou moins. Pour ça je dû détourner le regard de cette scène, me mettant à fixer le mur avec un soudain intérêt, tout en croisant les bras, soulevant mon opulente poitrine. Ce faisant, mes sourcils se froncèrent et mes joues gonflèrent légèrement, réflexe involontaire typique lorsque je boudais.

* Je...

Je savais que Maîtresse attendait une réponse, et évidemment honnête, mais il me fallu un petit moment avant d'y parvenir. L'entendre prendre du plaisir, juste à côté de moi, mais sans moi, c'était...

* C'est pas juste ! Nous étions supposées passer une folle nuit d'amour, rien que Maitresse et moi, et je ne veux pas partager Maitresse avec Azura ! Et puis, et puis je suis tout à fait capable de prendre soin de Maitresse, et de lui procurer tout le plaisir qu'elle réclame, toute seule, Maitresse n'a pas besoin d'elle ! Je vous aime, Maitresse, et je veux pouvoir satisfaire à tous vos désirs ! Et je ne comprends pas pourquoi vous voulez qu'elle vous suce la queue alors que je pourrais certainement la sucer bien mieux !

Voilà. J'avais débité ça très rapidement, comme si je tenais une patate brûlante dont je voulais me débarrasser au plus vite. Mais au moins, c'était dit. Je voulais Maitresse rien qu'à moi. Je me rendis alors compte que je n'étais pas toute seule. Même si Azura avait la bouche pleine, elle pouvait quand même m'entendre... Je m'empressais alors d'ajouter.

* Mais, hum, ne le prends pas mal Azura, hein.
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Mélinda Warren le mardi 22 novembre 2016, 18:53:44
Mélinda pouvait lire dans Maëlys comme dans un livre ouvert. Au début, sa belle esclave réussit à se maîtriser. Azura, malheureusement pour elle, n’était pas une esclave inexpérimentée. Comme un bon nombre d’esclaves, Azura avait pour mère une esclave de Mélinda, et était donc née au harem. Elle avait été offerte à Mélinda, et était donc née esclave. Elle avait donc eu des années pour s’expérimenter, et était, par conséquent, redoutable. Le pluganal qui remuait dans son fondement ne la dérangeait nullement, et elle suçait sa queue avec appétit, gémissant, soupirant, la recouvrant de sa salive, filant d’avant en arrière dessus. Douée, elle prenait tout son temps, et Mélinda se mit peu à peu à soupirer, crispant sa main sur le visage d’Azura, enfonçant ses doigts dans ses cheveux, son autre main se crispant sur la joue de Maëlys.

« Haaa... Haaaannnn... Hnnnnn... »

On pouvait entendre les onctueux gémissements et soupirs de la Maîtresse, qui décomposèrent peu à peu Maëlys. Azura se retirait, permettant ainsi de voir, le long de ses lèvres, la hampe de chair de la vampire grossir et enfler. Un spectacle difficile à soutenir, et Maëlys, les joues rouges, croisa alors les bras, tournant la tête. Mélinda retira alors sa main, et l’observa, un sourire amusé perlant sur ses lèvres.

*Même quand elle boude, elle est irrésistible !*

Cinq minutes s’étaient écoulées depuis qu’Azura avait commencé à s’attaquer à son membre, et Maëlys n’en pouvait plus. Son sang tambourinait furieusement dans son corps, et elle finit par observer à nouveau sa Maîtresse, puis exprima enfin toute sa jalousie. Azura en sursauta légèrement, mais il en fallut plus pour la stopper. Elle continua donc à sucer le chibre de sa Maîtresse, longuement, creusant ses joues en aspirant l’air entre ses lèvres, puis continuait à s’enfoncer dessus, jusqu’à sentir ce vit taper contre sa gorge.

Maëlys parla donc, puis s’excusa ensuite auprès d’Azura. Mélinda se racla alors la gorge, et tira sur les oreilles de lapine d’Azura, qui se redressa, libérant la verge de Mélinda. Une belle queue, bien droite, maintenant, et recouverte de salive. Une magnifique glace, très appétissante à voir. Azura haletait profondément, tout en clignant des yeux, les joues rouges, son cœur semblant sur le point d’hurler dans sa poitrine.

« Ai-je bien entendu ce que tu as dit, Maëlys ? Laisse-moi te citer... ‘‘Je ne veux pas partager Maîtresse avec Azura’’... ‘‘Pas. Partager’’. »

La vampire soupira alors, en regardant Maëlys.

« Depuis quand suis-je quelque chose que TU partages avec d’autres, hm ? »

Mélinda bondit alors sur Maëlys, et la coucha sur le lit. Elle avait beau être plus petite qu’elle, Mélinda était très forte, car disposant de sa nature vampirique. Sa main pinça alors douloureusement l’un des tétons de Maëlys, pendant qu’Azura s’était relevée, et allait chercher divers outils.

« Je suis TA Maîtresse, Maëlys ! C’est MOI qui TE partages avec d’autres, sale chienne, pas l’inverse ! Voilà pourquoi la jalousie est une graine dont il faut se méfier, car, quand elle se développe, elle inverse les choses. La jalousie est le fruit de l’amour, mais elle le corrompt progressivement, comme un cancer nocif. Tu dis que je suis ta Maîtresse, mais tu agis comme si j’étais ton jouet, que tu devais partager avec d’autres ! »

Elle se redressa ensuite, se mettant à califourchon, et pinça l’autre sein de Maëlys, avec sa seconde main.

« Je t’aime énormément, Maëlys, au risque de me répéter, mais je ne peux pas tolérer ce genre de comportements. Il n’y a pas que ton amour que je veux, mais aussi ta soumission. Si c’est mon plaisir de coucher avec toi et avec d’autres personnes, de quel droit oses-tu remettre cela en considération, petite catin ? Il est temps que je te rappelle que, avant toute autre chose, tu n’es rien d’autre que mon esclave, ma petite PUTE ! »

C’était une punition, mais elle ne faisait que commencer. Mélinda se redressa alors.

« Azura va t’attacher pendant que je me prépare pour te punir, Maëlys. Et, quand j’aurais fini de te punir, tu seras une belle petite esclave obéissante, et non plus cette mégère jalouse et aigrie que tu commences à devenir. »

Des mots durs, assurément, mais, aussi aimante que soit Mélinda, Azura était bien placée, là aussi, pour savoir que sa Maîtresse ne plaisantait pas avec la discipline. Elle ne disait donc rien, mais fit signe à Maëlys de la suivre. De fait, elles n’allèrent pas bien loin, quittant juste le lit, puis Azura lui manda de se relever, et attacha ses poignets à des chaînes qui pendouillaient en hauteur, tout comme ses jambes. Maëlys se retrouva ainsi accrochée par les poignets et par les chevilles, jambes légèrement écartées, pendant que Mélinda s’habillait, enfilant une tenue plus appropriée pour la punition qui allait venir. Un ensemble noir en latex (http://img110.xooimage.com/files/4/5/9/284-50f2bc1.jpg), comprenant un corset, de longs gants noirs, des jarretelles, et une culotte. Elle attrapa ensuite un fouet, et se rapprocha de Maëlys, en étant dans son dos.

« Je vais te fouetter dix fois, Maëlys. Et, à chaque coup, tu me diras que tu es une traînée, et que tu es désolée d’être jalouse, et que tu me supplies de bien vouloir te pardonner. Tâche d’être convaincante, ou je te punirai vraiment, en sodomisant Azura sous ton nez ! »

Mélinda crispa sa main sur la manche du fouet, puis arma ce dernier, amenant son bras vers l’arrière...  Et partit vers l’avant, emmenant le fouet avec elle. Le long projectile décrivit un sifflement, puis le bout du fouet franchit le mur du son, provoquant un fort claquement sonore en atteignant le cul de Maëlys, mordant sa fesse droite.

*TCHAAAACC !!*
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Maëlys le mercredi 23 novembre 2016, 14:24:00
Je ne me rendis pas tout de suite compte de la boulette que je venais de dire, mais Mélinda ne tarda pas à me le faire remarquer.

* Ai-je bien entendu ce que tu as dit, Maëlys ? Laisse-moi te citer... ‘‘Je ne veux pas partager Maîtresse avec Azura’’... ‘‘Pas. Partager’’. Depuis quand suis-je quelque chose que TU partages avec d’autres, hm ?

* Euh, bah, je...

Eh bah je bafouillais, c'est tout. Je me sentais un peu honteuse, et assez gênée. Elle avait raison, c'est vrai que ça n'était pas très correct de dire ça à propos de Maitresse. Il était bien présomptueux de penser que je n'avais ne serait-ce qu'un moindre mot à dire sur ce que Maitresse aimait faire. En y réfléchissant, c'était une attitude qui était davantage digne de la petite amie jalouse que de l'esclave obéissante. Ne sachant trop quoi lui répondre, je me contentais de baisser les yeux, comme une fautive s'étant faite prendre la main dans le sac et n'ayant pas d'excuses, et d'avouer simplement.

* Oui, vous avez raison Maitresse...

Mélinda me sauta dessus, assez forte pour me maitriser sans difficulté -non pas que j'oserais lui résister-, et s'assit sur moi. J'eu alors droit à un long sermon, sur mon attitude, et mon insubordination, pendant qu'elle me pinçait fortement les tétons, pour s'assurer que je comprenne bien qu'elle ne plaisantait pas. Impuissante, les coudes près du corps et les mains au niveau de mes épaules, je poussais un long cri et me tortillais de douleur, soulevant le corps de la vampire avec mon bassin. Le supplice était terrible, je gémissais à chacune de mes expirations, tout en regardant ma Maitresse, une lueur de soumission et de regret dans les yeux. J'écoutais ses paroles, et la perspective de recevoir une punition me glaça le sang, bien plus que d'avoir les tétons pincés. Je me souviens encore de ma première fois avec Mélinda, avant que je ne devienne son esclave, et de son sarcophage aux pointes acérées qu'elle appelait la Vierge de Fer. Bon, je n'y ai jamais eu droit, et je ne pense pas qu'aujourd'hui cela changera, mais rien que d'y penser était une menace suffisante en soi. Mélinda ne plaisantait pas avec ce genre de chose...

J'acquiesçais, et souffla de soulagement lorsqu'elle relâcha enfin la pression de mes tétons, que je massais pour atténuer la douleur. Je déglutissais faiblement, n'ayant aucune idée du châtiment qui m'était réservée, et m'attendant au pire. Je suivis tout de même Azura, à quelques pas de là, et la laissa m'attacher comme Maitresse l'avait demandé. Je n'essayais même pas de l'amadouer, ayant trop peur qu'elle ne s'énerve et rende la punition pire encore. C'est alors qu'elle me l'annonça.

* Je vais te fouetter dix fois, Maëlys. Et, à chaque coup, tu me diras que tu es une traînée, et que tu es désolée d’être jalouse, et que tu me supplies de bien vouloir te pardonner. Tâche d’être convaincante, ou je te punirai vraiment, en sodomisant Azura sous ton nez !

Dix coups de fouets... Bon je ne me faisais pas d'illusions, j'allais passer l'un des pire quart d'heure de ma vie, mais en soi ça allait, non ? Enfin, c'est ce que je pensais, naïvement.

* Ou-oui, maitresse...

Je serrais les dents, prête à recevoir la punition de ma Maitresse. Mais même en étant prête, je n'étais pas très douée pour supporter la douleur. Et lorsque le coup de fouet cingla sur mes fesses...

* AAAAAHHH !!

... il m'arracha un hurlement de douleur ! Mon corps entier se crispa, cambré, pour m'éloigner le plus possible du fouet. C'était une réaction somme toute assez inutile, étant attachée et à la merci dudit fouet, mais cela tenait davantage du réflexe qu'autre chose. Je criais, me tortillais. Et, aussi, bizarrement, je mouillais.

Je ne savais pas si j'avais toujours eu ça en moi, ou si ça venait de l'éducation que j'ai reçu de Mélinda... mais les coups de fouets avait cet étrange effet sur moi. C'était un peu comme une sensation en trois phases. Au début, il provoquait une douleur insupportable, et très vive. Puis, cela s'estompait un peu, pour laisser place à une sensation plus agréable. La douleur était toujours là, irradiante, mais atténuée, plus supportable, et étrangement excitante. Enfin, celle-ci s'estompait aussi, pour ne plus laisser qu'une cicatrice cuisante, que l'on a envie de masser avec de la pommade, comme un dur retour à la réalité.

Ainsi, aussi douloureux soit-il, le fouet de Mélinda parvenait à éveiller mon excitation. Même si j'étais trop occupée à gémir et à la supplier pour en profiter.

* Han, han, je suis désolée maitresse, je suis vraiment désolée, je ne suis qu'une PUTE et je n'aurais jamais dû vous parler comme ça ! HHAAAAA !!

Un deuxième coup claqua, me faisant bondir et m'arrachant un nouveau hurlement. Le pire n'était pas la douleur du claquement de fouet en lui-même, le pire était que cette douleur venait s'ajouter à celle encore toute fraiche de la précédente. C'était terrible ! Cependant je ne pouvais pas m'empêcher d'en éprouver une petite dose de plaisir... petite, mais suffisante pour me faire mouiller de plus belle.

* Gnnnh ! Pardon maitresse, pardon pardon pardon ! La SALOPE que je suis n'est là que pour recevoir les coups de bite de sa Maitresse, pas remettre en question son autorité, j'ai bien compris la leçoooOOONN !

Les coups de fouets s'enchainaient, encore et encore, suivit de mes hurlements, tandis que je sautillais et me tordais de douleurs. Mes excuses étaient sincères, mais la punition suivait son cours. Six longues marques rouges vifs zébraient maintenant la peau blanche de mes fesses rondes, et des filets de cyprines gouttaient le long de mes cuisses. Allez, Maëlys, courage, plus que quatre à supporter...

* GYYYAAAAAAHH !!

Le septième coup claqua, et me fît craquer. Malgré la douleur intense qui me brulait presque littéralement le cul, mon corps avait atteint un tel niveau d'excitation que je venais de jouir sous les coups de fouets de ma Maitresse. J'avais encore du mal à saisir un tel paradoxe, entre mon esprit qui criait intérieurement sous la douleur, et mon corps qui parvenait à en tirer du plaisir. En tout cas, le fait est qu'une flaque de cyprine s'étendait entre mes jambes flageolante.

* Pitié, maitresse, je ne recommencerais plus... j'ai été trop possessive envers vous, et je le regrette... Je serais une bonne esclave, plus jamais je ne ferais de remarques déplacées...

C'était quand même une sacrée promesse que je faisais là. J'avais bien conscience que je ne pouvais pas changer mes sentiments pour ma maitresse du jour au lendemain, et que ça allait demander beaucoup de temps et de travail. Mais éviter les remarques et tenir ma langue, ça, c'était déjà un peu plus envisageable. Et puis c'était un bon début, non ?

* S'il vous plait, Maitresse... plus de coup de fouet... je ne recommencerais plus...

Après cet orgasme, mes jambes ne parvenait plus à me supporter, et je pendais aux chaines, me balançant doucement. Une pensée me traversa alors brièvement l'esprit. Ce devait être un sacré spectacle que je donnais à Azura. Mais j'étais trop occupée à gérer mes propres émotions et sensations pour m'intéresser à ce qu'elle pouvait penser de moi en ce moment. Tout ce que j'espérais, c'était que Mélinda écoute mes supplications, et pose ce fouet. J'avais déjà enduré beaucoup, et c'est vrai qu'il ne me restait plus que trois coup de fouets au compteur. Mais je n'en pouvais plus, et à ce stade, même pour seulement trois, ça demandait de gros effort...
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 23 novembre 2016, 18:52:15
C’était l’heure de la punition. Une correction nécessaire. Mélinda savait que sa petite Maëlys était une fine fleur fragile, et que sa délicate peau supportait mal des douleurs supérieures aux fessées, mais Mélinda avait plutôt bien musclé son cul. Elle la fessait régulièrement, tout en la sodomisant également. Autrement dit, le cul de son esclave s’était endurci à la douleur, ce qui devrait atténuer un peu sa souffrance... Et puis, dans le cas contraire, il fallait bien qu’une punition en reste une, après tout. Mélinda, en tout cas, ne ressentirait aucune gêne à l’idée de la punir ainsi. Certes, Maëlys avait longuement attendu cette nuit, mais il y avait une finalité derrière tout ce que la vampire faisait en ce moment. Les coups de fouet étaient là pour marquer le coup, et pour que la belle esclave aux cheveux roses comprenne que, cette fois-ci, elle avait dépassé les bornes.

Le fouet repartit donc, et, tandis que ce serpent de cuir repartait dans sa tanière, tout en s’apprêtant à siffler de nouveau, Mélinda sourit en percevant les oscillations sanguines de son esclave entre ses cuisses.

*Petite traînée... J’étais quasiment sûre que ça t’exciterait.*

Elle sourit donc, et abattit à nouveau le fouet, en poussant un petit cri d’accompagnement, et l’arme mordit l’autre fesse, faisant encore hurler Maëlys, son corps rebondissant d’avant en arrière, provoquant le cliquètement métallique des chaînes. Un concert délectable de bruits. Azura, elle, était aux premières loges pour assister à ça, car elle s’était mise devant Maëlys. Elle avait donc une vue impeccable, voyant le magnifique corps de la jeune femme, ses lourds seins, son ventre tendu, sa bouche s’ouvrant, ses lèvres s’arquant en un magnifique cri de souffrance, la sueur coulant de ses mèches, ses belles joues rouges, ce mélange de douleur et de plaisir se dessinant dans la prunelle de ses yeux... Oh oui, tout ça était magnifique ! Elle en souriait joyeusement, se mordillant les lèvres, sentant des frissons la parcourir.

Quand le fouet claqua encore, Azura se mordilla les lèvres, détournant les yeux, oscillant des jambes, approchant l’une de ses mains de sa minijupe, et se caressa donc, enfonçant ses doigts dans sa chatte, sa mouille glissant également. Comme Maëlys, Azura adorait ce genre de sévices corporels, même si, contrairement à elle, elle l’admettait sans ombrage. Maëlys, tout en se faisant punir, n’oubliait pas de satisfaire aux conditions de sa Maîtresse. Elle parlait d’une voix forte, laissant parler son imagination et son instinct. Il n’y avait pas de manipulation, pas de : « Je-dis-ça-pour-lui-faire-plaisir ». La douleur et l’excitation formaient un savoureux cocktail qui noyait ce genre de mensonges. Maëlys parlait tout simplement avec son cœur, et, en ce moment, Mélinda la croyait sincère, même si elle ignorait jusqu’à quand Maëlys aurait la philosophie de la bonne esclave.

En attendant, elle la fouettait, encore, sentant, peu à peu, au fur et à mesure que le fouet remontait et descendait, l’adrénaline monter en elle. Ses coups s’accentuèrent un peu, meurtrissant son beau petit cul, et elle soupirait, mouillant elle aussi. Elle adorait entendre Maëlys crier, de sa belle petite voix douce et fluette, l’entendre dire des insanités, elle qui avait l’air si « pure », et savoir qu’elle était en train de mouiller, c’était comme une pointe finale à son excitation.

*Je peux la pousser jusqu’à l’orgasme, il suffit juste de... Frapper un peu plus fort...*

Sa main se serra davantage sur la poigne de son fouet, et elle donna un nouveau coup, plus puissant encore, qui claqua durement dans la pièce, et fit hurler sa jeune et belle esclave. Cette fois, sa cyprine était visible, glissant le long de ses jambes, formant une petite flaque qui s’épaississait sur le sol, et que Mélinda regardait avec appétit, oscillant entre cette flaque et le cul de la jeune femme, bien rouge, zébré de lignes rouges. Le fouet repartit encore, la vampire acquérant la conviction que Maëlys allait jouir avant la dizaine de coups... Et frappa encore.

*TCHAAAAAACC !!*

Le fouet mordit à nouveau, tandis que Maëlys, cessant de s’excuser, promit de ne plus jamais être jalouse,  tout en jouissant. Son corps s’affaissa sur place, et, sans les chaînes pour la retenir, la jeune femme serait probablement tombée. Elle respirait lourdement, et frissonnait sur place, le fouet étant reparti en arrière. Mélinda, néanmoins, ne l’abattit pas, mais ne dit rien non plus, comme si elle réfléchissait, et les secondes s’étirèrent, se multiplièrent, rompues par les quelques sanglots étouffés que la douce beauté émettait.

Sept coups de fouet, donc...

*Pas mal, je l’ai bien formée, mine de rien...*

Maëlys était épuisée, et la vampire marcha alors, faisant claquer ses talons... Et relâcha son fouet, qui tomba doucement sur le sol. Elle se rapprocha alors, et posa ses mains sur les fesses de Maëlys, sentant cette dernière frémir.

« Hmmm... Je suis dure, Maëlys, mais je suis juste. »

Elle l’embrassa alors dans le creux du cou.

« Malheureusement, ton petit cul n’est plus bon à rien pour la nuit... Et j’ai encore très envie de t’enculer bien fort, ma chérie. Alors... Je vais aller chercher un baume, qui soignera tes fesses, ma chérie. »

Néanmoins, avant de partir, Mélinda mordilla un peu le cou de la femme, et déplaça ses mains. Maëlys put alors sentir les mains gantées de sa Maîtresse pincer tendrement ses tétons, tandis que, contre ses fesses, le mât érigé de la virilité de Mélinda tapait dans sa croupe, heurtant son magnifique popotin. Oui, Mélinda n’allait pas pousser la punition ainsi. Maëlys ne méritait pas de souffrir inutilement, car la vampire ne lui avait pas menti. Elle adorait beaucoup sa belle esclave, et, même si elle savait qu’il faudrait plus que sept coups de fouet pour éteindre sa jalousie, elle espérait au moins avoir franchi un premier pas significatif.

Elle termina par un baiser sur la joue de la jeune femme, et quelques mots dans le creux de son oreille :

« Et la prochaine fois, tu jouiras en cinq coups, ma puce... »

Mélinda s’écarta alors, faisant encore claquer ses talons, et ouvrit une porte. La plupart des chambres du harem comprenaient une salle de bains privée, et elle se rendit dans la sienne, cherchant un baume curatif venant d’un guérisseur ashnardien. Azura, de son côté, décroisa les bras, et se rapprocha de Maëlys, puis lui sourit tendrement, en caressant sa joue d’une main, l’autre venant masser l’un de ses seins.

« Tu sais... Je t’envie, Maëlys. Et pas parce que tu as des seins énormes, et une peau très douce, mais... »

Azura se mordilla les lèvres, avant d’ajouter :

« Moi, je suis née esclave, je connais Maîtresse depuis bien plus d’années que toi, mais, quand elle dort avec ses esclaves, elle parle souvent de toi. Elle aimerait bien dormir avec toi normalement, mais elle avait peur que ta jalousie ne provoque des situations bloquantes. »

Des situations nerveuses, oui, car, quand Mélinda dormait, c’était toujours avec trois esclaves. L’une à gauche, l’autre à droite, et la plus chanceuse sous elle, son corps lui servant d’oreiller. Le rôle des trois esclaves était de la faire dormir, et de s’assurer, par moult câlins, baisers, et caresses, que leur Maîtresse dormirait paisiblement.

« Maîtresse t’aime vraiment beaucoup, Maëlys... Peut-être est-ce pour ça qu’il y a une partie de toi qui voudrait la conserver juste pour toi... Mais ce n’est pas comme que ça marche, ma belle. La première chose qu’il faut admettre quand on sert Mélinda, c’est qu’on lui est inférieure, parce qu’elle est notre Maîtresse. Je sais qu’elle t’a sodomisé avant que je ne vienne, et je sais que ça a dû te rincer... Mais elle, elle était prête à continuer pendant longtemps. Elle s’est retenue pour toi, Maëlys, pour que tu te reposes, et puisses repartir ensuite... Notre Maîtresse est comme ça, elle nous pousse jusqu’à nos limites, alors il faut bien être plusieurs pour pouvoir la contenter, non ? Et puis... »

Azura sourit alors, et se rapprocha davantage, venant déplacer sa main du sein de Maëlys jusqu’à son autre joue, et l’embrassa tendrement sur les lèvres.

« Tu sais... Si tu veux de moi ce soir, je te révélerai comment faire plaisir Maîtresse quand elle se réveille, et qu’elle dort sur toi... Crois-moi, c’est une méthode infaillible ! »
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Maëlys le samedi 26 novembre 2016, 09:10:58
* Han... han...

Un silence pesant envahissait la pièce, que seul mes halètements rompaient. A force de crier et de me tortiller, j'avais fini par être à bout de souffle. Et l'orgasme que je venais d'avoir n'avait vraiment pas arrangé les choses. Je restais muette, donc, et attendais, l'estomac noué, la réaction de Maitresse...

C'est alors que je l'entendis s'avancer, ses talons claquant derrière moi. Allait-elle poursuivre ma punition ? J’espérais que non, mais je sentais que ces espoirs étaient vains. Mélinda était dure, et intransigeante, et si elle estimait que je méritais dix coups de fouets pour mon insolence, ce n'était pas des supplications qui allaient la faire changer d'avis. Quelle cruche j'étais, pourquoi est-ce que je l'avais supplié !

Maitresse posa alors délicatement ses mains sur mes fesses meurtries, provocant chez moi un vif sursaut, un peu de surprise mais surtout car la douleur était encore cuisante. Cependant, son baiser, le doux contact de ses gants, et la gentillesse de ses mots m'apaisèrent. Je ne m'étais pas encore remise de mes émotions, et ne répondis pas tout de suite, mais j'étais aux anges. Alors c'était fini ? Maitresse n'allait plus me fouetter !? J'acquiesçais silencieusement, heureuse. Ho oui, mes fesses avaient grand besoin d'un peu de soin. Surtout si je voulais continuer à servir Maitresse, car comme elle-même l'avait précisé, et comme son sexe en érection témoignait, la nuit était loin d'être terminée. Je comptais bien lui offrir encore mon cul, autant de fois qu'elle pourra y jouir, dedans ou dessus.

* Et la prochaine fois, tu jouiras en cinq coups, ma puce...

Sa remarque me fit rire, un rire nerveux qui dura le temps d'un soupir. Reprenant ma respiration, je parvins à me redresser lentement, les joues rouges et des mèches de cheveux collées ici et là par la sueur. Il faut bien avouer que jusque là, la nuit avait été plutôt intense ! Je lui adressais un regard plein de gratitude, et la suivit des yeux, pendant qu'elle se dirigeait vers la salle de bain.

Azura en profita pour me prendre à parti, elle qui n'avait pas manqué une miette du spectacle. J'écoutais ses propos, tout en appréciant ses caresses. Je doutais que la peau de mes fesses soit si douce maintenant, mais il était vrai que ma poitrine était généreuse, d'ailleurs mon sein ne tenait même pas dans sa main. Cela dit les siens étaient pas mal non plus, une poitrine volumineuse et harmonieuse. Arriverais-je à les prendre toute entière dans mes mains ? Cette pensée me fit sourire. Je jetais un bref coup d'oeil vers la porte, impatiente de retrouver ma Maitresse, avant de reporter mon attention sur ma consoeur. Et ce qu'elle confessa me laissa sans voix.

Mon sourire s'effaça un peu, pour prendre une expression penaude. Je n'y avais jamais songé sous cet angle, en fait...

Je savais qu'elle passait toujours ses nuits avec quelques femmes du harem, pour une tendre séance de caresses avant de s'endormir. Cependant, j'ai toujours cru que, si Maitresse ne m'y avait jamais convoquée, c'était parce qu'elle ne me jugeait pas digne, qu'elle préférait la compagnie d'autres esclaves. Je n'aurais jamais imaginé non plus que Maitresse puisse parler de moi aux autre femmes. Autant dire que cette révélation était bouleversante ! Et elle remettait en perspective beaucoup de choses... Il me fallu un certain moment pour appréhender la nouvelle, et réaliser que c'était ma jalousie qui en quelque sorte sabotait notre relation, entre Maitresse et moi.

Alors que j'étais plongée dans mes pensées, un tendre baiser d'Azura me ramena à la réalité, un baiser auquel je répondis affectueusement. Elle était adorable ! Je savourais ces instants de douceurs, en remuant doucement au bout de mes chaines.

* Je... je ne sais pas quoi dire... je ne savais pas. Hum, merci d'avoir partagé ça avec moi...

Une petite pause, pour réfléchir, et un nouveau coup d'oeil vers la salle de bain, avant de reprendre.

* Et bien, pour être franche, oui, ça m’intéresserait beaucoup ! Comme tu le sais, je n'ai encore jamais dormi avec Maitresse, du coup je ne sais pas exactement comment ça passe. Quand on y pense ce serait un peu comme ma première fois, hihi. Si tu as des conseils à me donner, pour que ça se passe bien, et que Maitresse soit contente, ce serait vraiment super ! Tu pourras même me montrer cette fameuse technique aussi ! Je t'en serais vraiment reconnaissante.
Titre: Re : Une nuit... de folie ? ( Pv )
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 27 novembre 2016, 18:02:34
Azura lui sourit, et l’embrassa encore sur les lèvres, tout en continuant à masser sa généreuse poitrine. La belle femme avait posé chacune de ses mains sur les seins de Maëlys, et, effectivement, l’esclave disposait d’une poitrine opulente, solide et ferme. Tandis qu’elle les massait, et qu’elle pinçait les tétons, elle souriait, en songeant que, pour l’exercice auquel elle pensait, le corps de Maëlys serait parfait. Elle hocha donc la tête, et embrassa encore Maëlys.

« Je comprends pourquoi Maîtresse aime tant tes lèvres, Maëlys, elles sont si douces... Oh oui, crois-moi, tu vas adorer ce que je vais te proposer, c’est le meilleur réveil possible ! Et, avec tes seins, Maîtresse va pouvoir se servir... Nous ne somme spas des rivales, Maëlys, tu vois ? Seul compte le bonheur de Maîtresse. Si elle n’est pas heureuse, nous ne pouvons pas l’être non plus, tu n’es pas d’accord ? Alors, il faut tout faire pour qu’elle le soit ! »

Ce fut sur ces dernières paroles qu’Azura se tut, non sans une lueur malicieuse brûlant dans son regard, car Mélinda revint de la salle de bains. Elle tenait une fiole, une bouteille qu’elle avait acheté chez un guérisseur ashnardien, et se rapprocha, ses talons claquant encore sur le sol. Elle avait attrapé un chiffon, et l’imbiba avec le liquide, puis commença à masser les fesses de Maëlys.

« Ça va piquer un peu, au début... Aide-là à passer la douleur, Azura, joue avec ses seins... »

Il ne serait pas nécessaire de réitérer cet ordre. La belle esclave aux cheveux bleus se précipita sur les lourds obus de Maëlys, retournant les presser, et approcha sa bouche de l’un d’eux, venant le lécher, mordillant le téton, tirant dessus, faisant preuve de toute son expertise. Son corps permettait aussi de faire contrepoids, permettant à Mélinda de bien masser ses fesses. C’était un simple geste médical, mais la vampire lui donnait clairement une connotation sexuelle, et pouvait entendre les cordes tirer et craquer quand le corps de sa servante remuait lentement, d’avant en arrière. Elle était enivrée par ça, par ce contexte sonore, que ce soit le craquement des cordes, ou, encore plus excitant, les baisers d’Azura sur ses seins, les soupirs de Maëlys, tout ce plaisir qui était en train de monter entre elles.

Mélinda massait donc ses belles fesses, sans relâche, pendant de longues minutes, afin que, peu à peu, le plaisir n’éloigne la douleur. Azura, de son côté, suçait les seins de l’esclave aux cheveux roses, allant sur l’un, puis sur l’autre. Sa langue filait sur le téton, appuyant dessus, et elle se contentait parfois de juste déposer une série de baisers sur cette bosse moelleuse et tendre.

« Il est important d’entretenir les fesses de Maëlys, Maîtresse aime beaucoup ton petit cul... »

La vampire malaxait son fessier, tout en déposant une série de baisers dans le cou de la femme, et elle en profitait pour venir narguer son esclave, mordillant sa chair en caressant le bas de son dos avec sa queue. Son membre tapait sur le haut de ses fesses, avant de remonter le long de la chair de Maëlys, sa queue se coinçant entre le ventre de Mélinda et le dos de Maëlys, s’appuyant sur sa chair, avant que Mélinda ne reparte en arrière. La vampire jouait ainsi avec son corps, et, pour ne rien arranger, Azura alla finalement glisser l’une de ses mains entre les cuisses de sa partenaire. Ses doigts se posèrent sur sa fleur intime, et elle les enfonça doucement, nichant deux doigts, glissant d’avant en arrière, souriant en sentant le liquide de plaisir suinter le long de ses doigts, et mordilla un peu plus le sein dont elle était en train de s’occuper.

Ainsi prisonnière, Maëlys se tortillait d’avant en arrière, et ce traitement dura encore un certain nombre de minutes. Mélinda malaxait son beau petit cul, qui restait toujours un peu rougi, mais la souffrance devait avoir disparu. Elle avait d’ailleurs cessé d’utiliser des chiffons, optant pour ses mains. Ses gants glissaient sur les fesses de la femme, tandis qu’elle continuait à l’embrasser, léchant son cou.

« Je crois n’avoir encore jamais utilisé le latex sur toi... J’espère que tu aimes ça, Maëlys, car moi, c’est mon petit fantasme... Et il faut bien que je le partage avec toi... Mais, pour l’heure, maintenant que ton petit cul va mieux, je crois que, pour faire définitivement passer le souvenir des coups de fouet, il mérite bien de regoûter à ma queue, non ? »

Azura sourit en retour. Qui irait refuser une sodomie de Mélinda ? Elle ne demandait même pas à Maëlys son avis, lui posant une question purement rhétorique, et enfonça ensuite l’un de ses doigts dans le fondement de la jeune femme, le faisant tournoyer, y adjoignant rapidement un second, et sembla satisfaite, l’anus de Maëlys étant encore très dilaté. Cependant, tandis qu’elle faisait ça, Azura s’était écartée, délaissant enfin les seins de Maëlys, qui étaient maintenant bien tendus, et fourra ses doigts dans sa bouche, léchant ainsi le fin nectar qu’elle avait récupéré dans la fontaine de son amante. Tout en faisant ça, elle retira sa culotte, et on put alors observer, sans trop de surprise, que sa source s’était également abreuvée. Elle se caressa alors, venant se masturber énergiquement, posant son autre main sur son sein, le pinçant à travers son décolleté. Ses joues rougirent rapidement, sous l’effet dui plaisir, et elle se masturba encore, en gémissant.

« Haaaa... »

Voir la belle Azura se faire plaisir, c’était un spectacle magnifique. Avec ses lunettes qui glissaient le long de son nez, et ses oreilles de lapine qui remuaient, elle était très mignonne... Mais le cou du spectacle vint quand, à force de se masturber, elle fit sortir de son sexe une épaisse verge. Recouverte de mouille, sa virilité se dressait, et Azura respirait lourdement, en reprenant des forces.

« Hmmmm... Pffff... Haaaaaa...
 -  Allez, Azura, nous avons assez fait attendre Maëlys ! Elle a dit quelques bêtises, mais elle avait néanmoins raison... C’est SA nuit. Alors... Ne la faisons pas attendre plus que nécessaire, hein, ma chérie ?
 -  O-Oui, Maî... Maîtresse... »

Azura rejoignit donc Maëlys, avant de lui sourire, son membre en érection caressant sa peau.

« Offre-nous de beaux hurlements, Maëlys, ça fait des semaines que j’attends de pouvoir te pénétrer, ma chérie... »

Elle posa une main sur sa queue, et la guida en elle, puis déplaça ensuite ses deux mains, et les posa sur chacune des fesses de Maëlys. Mélinda, elle, posa les siennes sur les moelleux seins de Maëlys, et pinça les deux tétons...

...Puis, ensemble, harmonieusement, elles la prirent fort, et commencèrent à la baiser.