Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Maëlys le mercredi 28 mars 2012, 21:01:02

Titre: [FINI] Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Maëlys le mercredi 28 mars 2012, 21:01:02
Laissez moi tranquille ! Je vous l'ai dit, je n'ai pas d'argent sur moi ! S'il vous plait, laissez moi partir !

Ce n'est jamais plaisant, d'avoir affaire à des vauriens, encore moins lorsque l'on est une femme, leurs cibles préférées. Ils nous pensent faible, fragile, émotive... Bon, c'est tout de même parfois vrai, j'ai conscience d'etre un petit peu comme ça, mais ce n'est pas une raison pour s'en prendre à une innocente ! Surtout que je ne roulais pas sur l'or, pas vraiment, et que je n'avais pas d'argent sur moi... ce que mon agresseur ne semblait pas comprendre ! Si j'en avais, je le lui aurais donné, j'aurais bien aimé qu'il me laisse partir en paix ! Mais visiblement, il ne me croyait pas... c'était bien ma veine !

Ironie du sort, le soleil ne s'était toujours pas couché... Comme quoi, les voleurs semblaient devenir de plus en plus audacieux, ils commençaient à quitter la discrétion de la nuit pour accomplir leur méfait, et ce n'était pas un bon présage du tout ! Mais, d'un autre coté, cela voulait aussi dire qu'avec un peu de chance, un passant allait pouvoir me venir en aide ? Je l'espérais de tout mon coeur, en tout cas. La compagnie de ce vaurien me mettait de plus en plus mal à l'aise, sa nervosité naissante, ses grands gestes, le ton de sa voix qui montait... Et s'il devenait violent ? Je ne pourrais rien y faire, et cette pensée m'effrayait beaucoup.


Hé, toi là ! T'as pas honte de t'en prendre à une femme ?

Une voix forte et autoritaire, masculine, s'éleva derrière nous. Quelqu'un était enfin venu à mon secours. Mes prières ont été entendues, quelle soulagement ! Voyant qu'il n'allait pas pouvoir parvenir à ses fins aussi facilement qu'il l'espérait, mon agresseur détala comme un lapin. Quelle lâcheté. Mais qu'importe, j'allais bien, et c'était tout ce qui importait à mes yeux. Après l'avoir chaleureusement remercié, je m'apprêtais à retourner chez moi, mais au dernier moment, ce dernier me retint par la main. Tiens, que pouvait-il bien me vouloir ?

Après avoir échangé quelque politesse, il me proposa de venir boire un verre dans sa demeure, en tout bien tout honneur. Comme il l'avait souligné, on ne pouvait pas vraiment dire que les rues étaient sûre, et je serais davantage en sécurité si je profitais de sa compagnie. Et puis, cela me permettrait de me remettre de mes émotions, ce dont j'avais grand besoin ! C'est ainsi que je suivis cet homme jusque chez lui, sans vraiment me méfier de ce qu'il pourrait se passer. Pourquoi le ferais-je, il venait de me sauver la vie ?
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 29 mars 2012, 00:17:46
Observant le feu crépiter dans l’âtre de la cheminée, Mélinda buvait un verre de sang… Et elle ne le trouvait pas très bon. Le sang, c’était important pour Mélinda. Sacré, même. Or, celui-là, qui provenait de ses réserves personnelles, n’était pas très bon. Elle fit la moue, et ne le recracha pas. On ne recrache tout de même pas du sang. Elle claqua néanmoins des doigts.

« Bran ! Bran ! Braaaaannnn !! » glapit-elle sur un ton hystérique.

Ce dernier ne tarda pas à venir. Bran était le grand frère de Mélinda, un homme musclé, qui avait, quand Mélinda était encore jeune et sans défense, longuement battu et humilié cette dernière. Juste retour des choses, il était maintenant son esclave servile. Ce fut en buvant ce sang de basse qualité que Mélinda décida de modifier sa tranquille soirée à regarder un film.

« Je suis énervée, Bran… Je pourrais encore te battre, mais ce n’est plus drôle. Je t’ai tellement battu et fait souffrir que tu es trop endurant, maintenant. »

Bran ne dit rien, ne parla pas. Il savait que, dans ces situations-là, mieux valait ne pas parler. L‘homme était, comme Mélinda, un vampire, mais il lui était servile. Il fallait bien dire que Mélinda avait déployé sur son frère toute la haine et la fureur dont elle était capable, faisant de lui un mouton docile. Son corps cicatrisait vite, et c’était tant mieux. On pouvait toutefois voir sur son dos les marques de griffures et de morsures qui le constellaient, infligées tant par les crocs et les griffes de Mélinda que par d’autres créatures, comme des chiens enragés. Malheureusement, Mélinda ne pouvait plus que difficilement jouer avec Bran. Pour le faire souffrir, il fallait vraiment développer des raffinements de cruauté exemplaires, et elle s’en sentait incapable.

« Va me chercher quelqu’un. Quelqu’un avec un bon sang. »

A aucun moment, elle ne s’était donnée la peine de le regarder. Bran obtempéra, et s’en alla. Son exploration de la ville l’avait ainsi amené à croiser cette mystérieuse femme. Vampire, il avait utilisé ses intuitions sanguines pour sentir celle qui était le plus susceptible de plaire à sa sœur et maîtresse. Son exploration l’avait ainsi conduit vers cette jeune et belle femme. Il l’avait espionné silencieusement, réfléchissant à la meilleure manière de l’approcher, et avait trouvé une solution en allant voir un jeune homme, et en lui demandant d’effrayer cette femme, et de partir quand il viendrait. Avec son sang de mauvaise qualité, et cette air sur le visage lui donnant l’air de ressembler à un cadavre sur pattes, en échange de quelques billets, l’homme avait accepté.

Sans difficulté, Bran avait donc pu conduire la jeune femme vers l’antre de sa sœur. Un superbe manoir de style européen. Bran la tenait par la main, sentant à quel point elle était innocente. Belle et douce. Une espèce de petite brebis sur qui Mélinda allait se défouler. Devait-il se sentir coupable de ce qu’elle allait subir ? Bran s’en moquait. La volonté propre de cet homme avait depuis longtemps disparu, et, s’il parvenait à faire illusion, ce n’était qu’une façade.

« Nous y voilà… C’est ici que je vis… Venez, je vais vous offrir du chocolat chaud. Vous… Vous aimez le chocolat chaud, hein ? Ne vous en faites pas, vous serez à l’abri là-dedans. »

En chemin, il lui avait parlé de tout et de n’importe quoi. Il lui avait dit qu’il était un riche étudiant venu s’installer à Seikusu avec sa famille, mais que ces derniers étaient en voyages d’affaires. Elle avait semblé gober cette histoire. Il la conduisit dans le manoir, et l’amena au plus proche salon, une pièce assez chaude avec une grande cheminée.

« Installez-vous sur le fauteuil, Maëlys. Je vais aller vous offrir de quoi vous remonter… »

La pauvre semblait en effet assez perturbée. Mélinda, de son côté, se tenait le long d’un escalier, et Bran lui dit tout ce qu’il y avait à savoir. Une jeune fille avec un sang délicieux. Quand il lui annonça, elle le gifla sèchement. Un coup si sévère que le pauvre en était tombé à la renverse le long de l’escalier, avant que le pied de Mélinda ne s’écrase sur sa gorge.

« J’ai un nez moi aussi, imbécile ! Dis-moi ce que je ne sais pas, abruti ! »

Elle sut son nom. Maëlys. Mélinda retira ensuite son pied, et ordonna à Bran de disparaître de sa vue. Oh oui, ce sang était superbe, et elle en avait littéralement l’eau à la bouche. Ses griffes étaient sorties, pointant dangereusement, et elle entra dans le salon, attendant que Maëlys la regarde pour parler.

« En temps normal, j’aurais pris le temps d’introduire les choses, de te présenter qui je suis, et tout ça… Mais j’ai faim, alors, pour faire simple… Je m’appelle Mélinda, et, à partir de maintenant, et jusqu’à ce que tu en décides autrement, tu es mon esclave. J’ai droit de vie et de mort sur toi… »

Mélinda se déplaça alors presque instantanément devant Maëlys, faisant preuve de ses attributs vampiriques. Elle attrapa la jeune fille à la gorge, et la décolla du fauteuil, la maintenant à bout de bras, et la balança rapidement sur le sol, griffant au passage son cou. Elle contempla d’un air presque hypnotique le sang qui clairsemait ses griffes, et le lécha, en frémissant.

« Voilà pour te montrer que je ne plaisante pas. Bien… Je sais que tu t’appelles Maëlys, et c’est tout ce qui m’importe. Qui tu es, ce que tu es, ce que tu veux, je m’en contrefous. Ce soir, tu es ma poupée, et je vais commencer par boire ton sang… Car ton sang est délicieux ! »

C’était une entrée en matière assez brutale, et Mélinda risquait sûrement de passer pour une illuminée, mais elle était une vampire en manque. Et, dans ces cas-là, la jeune vampire pouvait devenir légèrement irascible.
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Maëlys le jeudi 29 mars 2012, 17:49:52
Après une longue marche en compagnie de cet homme, durant laquelle j'appris qu'il était issu d'une famille très aisée financièrement, nous arrivions enfin en vue de son "modeste" manoir.

Ouahou... !!

Il était splendide, magnifique ! J'ouvrais de grands yeux émerveillés à la vue de sa demeure, elle était énorme ! Il ne plaisantait pas, lorsqu'il disait être riche !  C'était beau, en plus... Ça me changeait carrément de mon studio ridicule, près du campus universitaire.
Il me fit entrer, et m'emmena dans le salon, ou plutôt l'un d'entre eux, sans doute, et me pria de m'installer. Jetant mon dévolu sur l'un des fauteuils moelleux, le plus proche de la cheminée, je m'asseyais tout en acquiesçant à mon interlocuteur.

Un chocolat chaud, oui, ça me conviendrait tout à fait. Merci !

Au fait, je vous ai donné le mien mais je ... ne connais toujours pas votre prénom...


L'homme s'était déjà retourné et avait quitté la pièce avant que je n'ai fini de parler, sans porter attention à ce que je disais, me laissant terminer ma phrase dans un murmure inaudible et gênée... Peut-être ne m'avait-il tout simplement pas entendu, voilà tout ? J'attendais patiemment son retour, laissant mon regard voyager de meuble en meuble, admirant la richesse des décorations. Je me demandais ce que faisaient ses parents, dans la vie... jusqu'à ce qu'une présence inattendue ne me tire de mes pensées. Une jeune femme attendait, près de l'entré de la pièce. Qui était-ce ? Peut-être la petite amie de ce jeune homme ?

Oh, bonjour !

Lançais-je gaiment, un sourire aimable aux lèvres. Je m'apprêtais à me lever, à aller à sa rencontre, mais sa réponse m'arrêta net dans mon élan, et me fit vraiment froid dans le dos...

En temps normal, j’aurais pris le temps d’introduire les choses, de te présenter qui je suis, et tout ça… Mais j’ai faim, alors, pour faire simple… Je m’appelle Mélinda, et, à partir de maintenant, et jusqu’à ce que tu en décides autrement, tu es mon esclave. J’ai droit de vie et de mort sur toi…

Esclave, vie, mort, mais qu'est-ce qu'elle pouvait bien raconter !? Je la regardais d'un air perplexe, et de plus en plus effrayé. Les battements de mon coeur s'accéléraient. Est-ce que je venais de me faire kidnapper ? Dans quel pétrin est-ce que j'avais bien pû m'empêtrer, encore.

Soudain, je compris ce qu'il se passait ! Elle voulait me faire une blague, sans doute pour détendre l'atmosphère ! Elle devait être un peu gênée face à une inconnue, surtout chez elle, dans son salon, c'était compréhensible.

Hihihi, vous m'avez bien eu, j'ai failli vous croire !

Dis-je avec le sourire, pour montrer que je ne lui en voulais pas d'avoir tenté de m'effrayer. Mais elle ne montra aucun signe de sympathie à mon égard, et mon sourire s'effaça bien vite...

En un instant, je me retrouvais suspendue en l'air, tenue à bout de bras par cette inquiétante Mélinda. Ça s'était passé si vite, je n'avais rien vu venir ! C'est dans ces moments là que l'on se rend compte que l'être humain n'est ni plus ni moins qu'un animal... Pendant un bref moment, je perdis le contrôle de mon corps, agissant par pur réflexe, je n'étais plus que le reflet -ou plutôt le pantin- de mon instinct de survie. J'agitais les bras et les jambes en tout sens, chaotique, dans une manœuvre vaine et pathétique pour m'extirper de son étau. Malgré mes coups de pieds au ventre, mes coups de poings sur ses bras, elle ne semblait même pas ciller. Je pense même qu'à un moment, mon doigts a "malencontreusement" fini dans son oeil. J'étais si faible que ça !? Ce constat n'arrangeais pas mon état, je paniquais de plus en plus...

Elle me jeta ensuite au sol, aussi aisément que si j'avais été une simple peluche !
Ouille ! criais-je, involontairement. J'ai lourdement atterris sur les fesses, c'était quand même douloureux ! Mais pas autant que la vilaine griffure qu'elle me laissa au cou, je sentais que je saignais pas mal. Maintenant que j'étais libérée, le moment de panique était passé, mais j'étais toujours aussi inquiète pour mon futur, et mon coeur battait la chamade... Elle était franchement inquiétante, surtout lorsqu'elle lèchait avec gourmandise mon sang qui perlait sur ses doigts. Qu'est ce qu'il se passait, à la fin !?

Je suis désolée ! Je.. Ne me faites pas de mal, s'il vous plait !

Elle ressemblait à la psychopathe cruelle et sadique que l'on peut parfois voir dans les films d'horreur... J'étais terrorisée, j'avais l'impression que mon coeur voulait à tout prix s'échapper de ma poitrine. Nouveau moment de panique, je ne tenais plus, j'avais vraiment peur ! Ignorant mon agresseur, je marchai à quatre pattes sur le sol et partis me cacher sous la table basse qui se trouvait près de moi, me soustrayant ainsi à son regard. Je faisait de mon mieux pour trouver la protection et le réconfort qu'il me fallait avec ce que j'avais sous la main, c'est à dire avec pas grand chose. J'étais prise au piège... Mon dieu, qu'est ce que j'allais devenir ?
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 29 mars 2012, 21:42:27
« Je suis désolée ! Je.. Ne me faites pas de mal, s'il vous plait ! »

Mélinda se contenta de grogner. Une petite peste, et bien énergique… Elle l’avait frappé à plusieurs reprises, heurtant même l’un de ses yeux. Des tapes qui ne l’avaient nullement blessé, loin de là, mais qui l’avaient émoustillé. Un léger sourire se dessin sur ses lèvres, alors qu’elle vit Maëlys se réfugier à quatre pattes sous une table. Lentement, Mélinda s’approcha vers la table, sa langue caressant ses lèvres.

« Petite souris… sourit-elle. Tu as beau te soustraire à ma vue, j’entends ton soufflé paniqué, mais, surtout… Je ressens ton sang, ton délicieux sang batter dans tes veines… Si tu savais comme tu me donnes faim ! »

Mélinda posa sa main sur la table, et la souleva d’un coup, l’envoyant s’écraser contre le sol, à plusieurs mètres à proximité. Un sourire sadique éclairait les lèvres de la vampire, dont le regard oscillait entre la gorge et la belle poitrine de Maëlys. Aussi belle que bonne. Elles allaient effectivement passer un très bon moment ! Pour Mélinda, en tout cas… Pour elle, c’était un peu plus discutable. La brave avait l’air complètement terrorisé. Ça ne faisait que la rendre plus désirable. Mélinda la laissait ramper et la supplier, s’approchant lentement d’elle, et l’attrapa à nouveau par le cou, allant la plaquer contre le mur. La vampire se plaqua contre le corps tendre et chaud de la femme, et ses dents frôlèrent son cou.

« Si je ne voulais pas te faire du mal, je n’aurais pas demandé à mon bon-à-rien de frère de t’amener ici, expliqua-t-elle simplement, ses canines heurtant la peau fraîche de cette dame. Normalement, je devrais attendre encore un peu, mais tu me rends folle… Alors, je vais commencer par boire ton sang… Pas trop, rassure-toi, j’ai besoin que tu sois debout quand je m’amuserai avec toi. »

La vampire pointa alors ses dents, et les enfonça dans le cou de la femme, se plaquant contre elle, la calant contre le mur, posant ses mains sur les hanches de cette dernière. Ses griffes jaillirent, s’enfonçant dans ses vêtements, les découpant, et elle en profita pour atteindre la veine de Maëlys, sa jugulaire. Elle heurta très légèrement cette dernière, afin de ne pas la sectionner et provoquer une hémorragie, et inspira, buvant son sang. Mélinda ne poussa un gémissement de plaisir, des frissons traversant son corps, alors qu’elle se blottit contre Maëlys. Le sang… Le sang, le sang, le SANG ! Ce délicieux nectar ! Dieu, que c’était bon ! Délicieux ! Un véritable régal ! Mélinda sentit ce sang frais s’infiltrer dans son corps, la revigorant, excitant ses pulsions sexuelles, accroissant sa libido. Elle gémit, et but plusieurs litres pendant de longues minutes, avant d’utiliser l’une de ses mains pour déboutonner le chemisier de Maëlys, et caresser avec ses griffes l’un de ses seins. Elle avait légèrement griffé le corps de la femme, et ses griffes étaient teintées de gouttes de sang qui se répandirent sur le sein de la femme, alors qu’elle le frottait et le pinçait, tout en continuant à boire.

Le plus difficile, c’était de s’arrêter. Son sang était vraiment délicieux, reflétant toute la pureté et l’innocence de cette fille, mais, si elle continuait trop, soit cette dernière s’écroulerait sur le sol, soit elle risquait d’être trop fatiguée pour le reste. Mélinda s’arrêta donc, à contre-cœur, et contempla les deux trous. En soi, une morsure n’était normalement pas douloureuse quand on savait s’y prendre. En ne perçant que superficiellement la veine, Mélinda anesthésiait la sensation de douleur. Généralement, ses victimes appréciaient plutôt bien le fait d’être mordus, mais, en la circonstance, Maëlys était si paniquée qu’elle ne devait sûrement pas être très excitée… Mais son état importait peu, dans le fond.

« Ton sang est délicieux… Tu veux le goûter ? »

Mélinda leva ses doigts rougeâtres vers les lèvres de Maëlys, et les caressa, avant de glisser l’un de ses doigts dans sa bouche.

« Suce… Ou mords, comme tu veux… »

Avec son autre main, Mélinda caressa son deuxième sein, pinçant le téton, comprimant sa grosse poitrine.

« En attendant, tu vas réfléchir, et me dire par quoi tu veux commencer : que mon frère te viole, ou que je te batte ? Il te baisera comme une salope, et je te fouetterai comme une chienne ! C’est une bonne manière de commencer la soirée, tu ne crois pas ? »

Avoir bu tout ce sang avait rendu Mélinda un peu plus gentille, puisqu’elle venait de proposer à Maëlys ce qui la tentait le plus. Bien sûr, elle n’allait sûrement pas s’arrêter à un simple viol et à quelques coups de fouets, mais il fallait bien faire durer le plaisir.
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Maëlys le vendredi 30 mars 2012, 10:32:22

Mes mains étaient plaquées sur mes yeux, je n'osais pas regarder la scène. Je ne voulais pas savoir ce qu'il allait se passer, j'étais déjà suffisamment effrayée comme ça. Je ne la voyais plus... Mais je l'entendais. Je l'entendais s'approcher. Je l'entendais susurrer. Mon sang... c'était ce qui semblait lui faire tant envie. J'en avais la chair de poule...

La table sous laquelle je m'étais cachée s'envola, accompagné par un cri de terreur que je n'ai su réprimer. Je relevais lentement la tête, observant la maitresse des lieux. Son regard alléché, son sourire sadique, ne me disaient rien qui vaille. Elle s'approcha lentement de moi et m'agrippa la gorge, assez fermement pour me faire suffoquer, avant de me percuter contre le mur le plus proche, m'arrachant un cri de douleur. Quelle force ! Elle pouvait me tuer d'un simple geste si elle le voulait, j'en étais sure. Je sentais sa poitrine se blottir contre la mienne, son souffle chaud sur mon cou, son regard se poser sur moi et me mettre encore plus mal à l'aise.

Pitié, je vous en prie, ne me tuez pas !

Implorer sa clémence... J'en étais réduite à ça, la supplier, de me laisser la vie sauve, de ne pas me faire de mal. Je ne pouvais pas rivaliser avec elle, elle était bien trop forte...

Loin de vouloir me rassurer, elle confirma même que me faire du mal était dans ses intentions, et qu'elle allait boire de mon sang... Boire mon sang !? Mon coeur manqua un battement, je cru faire une syncope. Avant que je n'ai pu protester, je sentis ses crocs se planter dans la chair tendre de mon cou, et du sang s'écouler de ma blessure. C'était... loin d'être aussi douloureux que je ne le pensais, en fin de compte, et pas spécialement désagréable. Mais flippant, ça oui, ça l'était !

A mesure qu'elle buvait, je sentais peu à peu mes forces me quitter, je me sentais de plus en plus faible. Ses griffes déchirèrent ma tunique en lambeau, y laissant de longues et nombreuses entailles, me dénudant par endroit, mais c'était le dernier de mes soucis. J'avais peur qu'elle ne me boivent la totalité de mon sang, qu'elle m'assèche complètement, qu'elle me laisse pour morte, agonisant sur le sol de son salon. Cette idée m'horrifiait. Et je n'osais plus me débattre, je n'en avais pas la force, et je ne voulais surtout pas éveiller son courroux. Je réfléchissais à toute vitesse, emportée par l'adrénaline et la peur. Peut-etre qu'elle comptait me garder en vie, après tout, faire de moi sa réserve de sang personnelle ?

Ou pour autre chose ? Ses mains avaient réussi à se glisser jusque mes seins, qu'elle massait, caressait, griffait parfois, tout en continuant à s'abreuver de mon sang. Je rougissais, non pas de désir, mais de honte. Jamais personne ne m'avais touchée ainsi... Je semblais beaucoup lui plaire, visiblement. L'idée de lui servir de poupée ne m'enchantait pas vraiment, mais je me disais que c'était toujours mieux que de mourir d'anémie. Mon destin était toujours entre ses mains, et je ne savais pas du tout ce qu'elle comptait faire de moi, du moins pas encore...

Elle glissa son doigts couvert de mon sang entre mes lèvres, m'obligeant à y gouter. Ce gout acide, c'était répugnant ! Mais je n'osais pas la contrarier, alors je le suçais, pour lui faire plaisir, je le léchais, évitant avec peine de ne pas grimacer de dégout. Son autre main continuait de s'amuser avec mes seins, les pinçant et les griffant selon ses envies, me faisant rougir de plus belle. Le manque de sang me faisait un peu tourner la tete...

En attendant, tu vas réfléchir, et me dire par quoi tu veux commencer : que mon frère te viole, ou que je te batte ? Il te baisera comme une salope, et je te fouetterai comme une chienne ! C’est une bonne manière de commencer la soirée, tu ne crois pas ?

J'avais tout de même assez de lucidité pour comprendre ce qu'elle venait de me dire. Et mes yeux s'écarquillèrent, incrédule. Elle était sérieuse !? Oui, vu ce qu'elle m'avait fait, il n'y avait pas de doute la dessus, elle en serait surement capable. C'était atroce ! Que faire, que choisir ? Le viol ou la torture... un choix inhumain.

Je... Je...

Ma voix se brisa, et des larmes perlèrent sur ma joue. Je tombais à ses pieds, cherchant du regard un quelconque signe de pitié dans le sien... mais elle ne sembla pas revenir sur sa décision. Le choix était rude, vraiment. Mais après tout, quitte à souffrir, autant chercher à y prendre un peu de plaisir, non ? Enfin, faire en sorte que ce soit le moins désagréable possible...

Je... je ne veux pas être fouettée...

Les mots ne voulaient pas sortir telle quelle. Accepter de vouloir être violer, c'était tomber bien bas dans l'échelle de la dignité...

Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 30 mars 2012, 22:00:36
[HRP – Maintenant que j’y pense, Bran est le mec à gauche (http://nsa21.casimages.com/img/2012/01/26//120126060415868053.jpg) sur cette image !]

Parfois, la manière forte était plus efficace que la manière douce. Quand il s’agissait de soumettre des esclaves, Mélinda devait souvent user d’intelligence et de dialogue, la violence étant, selon les sujets, contreproductive. Avec Maëlys, la question ne semblait pas vraiment se poser. Elle était complètement terrorisée, et, dans sa peur panique, se mit à docilement obéir à Mélinda, suçotant sans hésitation son doigt, ses petits yeux essayant de trouver une quelconque once de clémence dans ceux de Mélinda. Pour Mélinda, Maëlys était semblable à une espèce d’insecte. Quand un enfant écrase une fourmilière, prend-il en compte l’avis des résidents ? Pour Mélinda, Maëlys appartenait à une race inférieure, les humains. Elle, elle était une vampire ; l’avis personnel de Maëlys importait peu… Et puis, la voir terrorisée était de toute manière un véritable régal pour Mélinda, qui sentait des relents de sadisme la parcourir.

*Méfiance, tout de même… Un individu paniqué est par nature incontrôlable. Si j’y vais trop fort avec elle, je risque de ne plus pouvoir m’amuser comme je le souhaite…*

Mélinda s’amusait, en effet. Pour elle, jouer à un jeu vidéo, regarder un film pour se détendre, ne la satisfaisaient que moyennement. En revanche, torturer quelqu’un, l’humilier, le briser, c’était bien plus gratifiant. Elle retira son doigt de la bouche de Maëlys, satisfaite, et cette dernière s’écroula sur le sol, sur le point de pleurer, semblant réfléchir à l’indécente proposition de la vampire. Se faire torturer, ou se faire violer ? Le fouet ou l’épée ? Mélinda s’impatientait.

« Je... Je... balbutiait-elle, ce qui fit soupirer Mélinda.
 -  Si tu ne te décides pas, tu auras droit aux deux en même temps ! » s’énerva la vampire.

La jeune fille se mit à pleurer, ce qui fit lentement sourire la vampire, mais elle avait fini par prendre sa décision.

« Je... je ne veux pas être fouettée... » lâcha-t-elle d’une petite voix.

Mélinda secoua la tête en signe d’acquiescement, et tourna la tête vers la porte d’où elle était venue.

« Bran ! Braaaaannnn ! » s’exclama-t-elle.

Son frère aîné ne tarda pas à arriver. C’était l’homme qui avait été cherché Maëlys.

« Oui, Maîtresse ? demanda-t-il servilement, sans un seul regard pour Maëlys.
 -  Baise-moi cette traînée ! Allez, dépêche-toi ! »

Le regard de Bran se porta alors sur Maëlys, glissant de sa belle tête vers ses seins attirants. Sans ajouter quoi que ce soit, l’homme commença à se déshabiller, retirant son débardeur, montrant un torse glabre et musclé. Bran avait un physique qui aurait normalement du, dans une autre vie, en faire un parfait légionnaire ashnardien. Il était depuis le faire-valoir et le souffre-douleur préféré de Mélinda, et entreprit de totalement se déshabiller. D’un air complice, Mélinda s’agenouilla à côté de Maëlys.

« Tu vois, ma belle, tu n’as pas à te plaindre… Regarde qui va te baiser ! »

C’était indéniable : Bran était plutôt beau, pour peu qu’on aime les hommes musclés. Un long tatouage ornait son bras gauche, ainsi qu’une partie de son abdomen, et il fit glisser son pantalon noir ainsi que son sous-vêtement, finissant totalement nu. Bran avait une belle érection, et Mélinda attrapa Maëlys par les cheveux, afin de la soulever, et la balança vers Bran. Ce dernier l’attrapa solidement par les bras. La vampire, de son côté, alla s’asseoir sur une table, croisant les jambes, avant d’attraper une pomme pour la croquer en les regardant. Bran leva une main, et gifla sèchement Maëlys, afin de lui montrer qu’elle ne devait pas respecter. Le coup était si puissant que la jeune femme en tomba sur le sol, s’écrasant sur un tapis rouge. Bran fondit sur elle, et entreprit de la déshabiller, tirant sur sa jupe, l’arrachant à moitié. Il était, après tout, également un vampire, et déchira sa jupe, montrant son joli cul, ses belles fesses. Le morceau de tissu qui constituait son sous-vêtement partit également assez rapidement.

Maëlys avait atterri juste devant les pieds de Mélinda, qui croquait sa pomme.

« Comme tu as un sang délicieux, je te laisse choisir par quel trou tu veux qu’il te prenne : ton cul, ou ta fleur. Mais je te conseille d’agir rapidement. Face aux belles femmes, mon frère n’est pas du genre à patienter longtemps, et je crois que ton cul le fascine… »
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Maëlys le samedi 31 mars 2012, 19:23:41
Bran ! Braaaaannnn !

Oui, Maîtresse ?

Baise-moi cette traînée ! Allez, dépêche-toi !

Je revis l'homme qui m'avait emmenée ici, l'homme qui m'avait piégée, livrée à sa soeur cruelle et tyrannique, je le revis, nu devant moi, prêt à me violer. Cette perspective me fit frissonner de la tête au pied, déclenchant l'instant d'après des sanglots incontrôlés. Je pleurais à chaude larme, prise de spasme, articulant avec peine un "Pitié...". C'était un cauchemar, une illusion, le fruit de mon imagination, ça ne pouvait pas être vrai, ça ne pouvait pas se passer comme ça, non... Bientôt j'allais me réveiller, dans mon appartement, dans mon lit, sans vampire ni violeur à mes cotés, j'allais pouvoir apprécier à nouveau le lever du soleil, et continuer ma vie...

Une vive douleur me ramena à la réalité. Mélinda me tira par les cheveux, me trainant de force devant le sexe dressé du jeune homme, dont la simple vue empourpra rapidement mes joues. C'était la première fois que j'en voyais un, enfin, en vrai je veux dire, en dehors des représentations sur les bouquins d'anatomies des cours de biologie. Étrangement, je n'arrivais pas à défaire mon regard, qui restait fixé dessus, ça me gênait un peu, et je commençais à sentir une douce chaleur m'envahir au niveau de mon ventre...

Une violente gifle s'abattit sur ma joue, m'arrachant un cri. Je levai mon regard, tout en massant ma joue endolorie, encore humide de larme, et je fut surprise -enfin, pas vraiment- de remarquer qu'il n'y avait aucune lueur d'émotion dans ses yeux, qu'il n'avait visiblement aucun état d'âme. Je déglutis avec peine, encore angoissée à l'idée de ce qu'il allait m'arriver. J'allais me faire violer, sous les yeux amusés de cette persécutrice, profitant de mon supplice comme s'il s'agissait un spectacle ordinaire...

Comme tu as un sang délicieux, je te laisse choisir par quel trou tu veux qu’il te prenne : ton cul, ou ta fleur. Mais je te conseille d’agir rapidement. Face aux belles femmes, mon frère n’est pas du genre à patienter longtemps, et je crois que ton cul le fascine...

Je me trouvais nue, à quatre pattes devant elle, soumise à sa volonté. Et je ne pouvais rien y faire... D'un simple claquement de doigts, elle avait la possibilité de faire de ma vie un enfer, un enfer bien pire que ce qu'elle a été jusqu'ici. Ce n'était pas une femme qu'il fallait contrarier... Je me remis à sangloter, encore, pleurant des larmes de frustration, et d'impuissance. Pourquoi, pourquoi moi...

Je...

Je ne pouvais prendre une telle décision, c'était au dessus de mes forces. Je ne voulais pas avoir un quelconque lien avec tout cela, je ne voulais pas y participer, avoir une part de responsabilité. Qu'ils choisissent, je m'en fichais. De toute façon, je n'aurais pas le choix...
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le samedi 31 mars 2012, 22:35:56
« Je... »

Mélinda soupira à nouveau. Guère patiente, elle se mordilla les lèvres, et regarda Bran. Le désir commençait à se lire dans son corps, alors que son sexe se frottait contre les fesses de Maëlys. Visiblement, cette dernière était dans l’incapacité totale de choisir par quel trou elle voulait se faire prendre, préférant pleurer. Qu’est-ce qu’elle était difficile ! Elle allait faire l’amour avec un homme dont le corps suffisait à déclencher le fantasme de toutes les pimbêches dans son genre ! Il lui suffisait de fermer les yeux pour l’imaginer crochée au téléphone, à discuter avec une amie, à parler des beaux garçons, et à s’imaginer les avoir dans son lit. Mélinda lui offrait juste l’opportunité d’assouvir ses fantasmes. Dans le fond, pour l’heure, la vampire ne considérait vraiment pas qu’elle était en train de punir Maëlys, mais plutôt de lui offrir une récompense, un cadeau.

« Il me semble que l’émotion l’empêche de parler. Quel est son trou qui t’intéresse le plus, Bran ?
 -  Son… Son cul, Maîtresse… »

Les mains de Bran appuyaient en effet sur les fesses de Maëlys, dont la position, à quatre pattes, la mettait clairement prête à une sodomie. Souriant, Mélinda se laissa tomber de sa table, fléchissant les genoux devant Maëlys, et glissa ses mains pour caresser avec tendresse ses joues, avant de l’embrasser sur le nez.

« Je veux que tu pleures, Maëlys, lui lâcha alors Mélinda. Tu veux que je te dise ? J’adore faire sangloter les belles petites femmes comme toi… Tu ne veux pas saisir ton bonheur, voir la chance que je t’offre ? Très bien… Alors, je veux que tu chiales, et je serais aux premières loges pour te voir souffrir… Je veux que tu y ailles sans hésitation, Bran. Défonce-moi le cul de cette salope ! »

Bran grogna, et écarta ses fesses avec ses pouces, afin de montrer son anus. Mélinda, quant à elle, avait pris entre ses solides mains la tête de Maëlys, afin de relever sa tête, et pouvoir la voir. Elle la regardait avec un sourire pervers et ô combien mauvais sur les lèvres, et Bran s’enfonça alors dans son cul, sans se donner la peine de la préparer. Il en gémit de douleur et de plaisir.

« Han ! Son… Ce cul est divin !
 -  Alors, savoure… Savoure bien, et prends ton temps. »

Bran obtempéra sans hésitation. Posant ses mains sur les fesses de la femme, il la pénétra sauvagement, s’enfonçant douloureusement en elle, soupirant et grognant, décrivant, ou essayant de décrire, des mouvements de vas-et-viens, essayant surtout de forcer le passage pour écarter les parois internes de la femme. Frustré de peiner à s’enfoncer, frustré de souffrir, il la gifla violemment. Les claques résonnèrent, s’abattant sur son cul, et Mélinda, de son côté, continuait à sourire en voyant le visage tordu de douleur de Maëlys.

« Allez, salope ! Hurle, pétasse, hurle ! Je veux t’entendre hurler ta douleur ! Dis que tu es une pute, hurle-le, hurle que tu veux qu’on te prenne comme une salope, et peut-être qu’on délaissera ton cul ! Allez, allez, je veux que tu le dises, que tu l’hurles ! Hurle ! »

Emportée, Mélinda gifla alors sèchement la joue gauche de Maëlys. La claque résonna, et fit vibrer ses doigts, tandis que Bran continuait à la baiser sans aucune retenue, son sexe s’enfonçant toujours un peu plus en elle. La douleur devait probablement être horrible… Mieux valait qu’elle la hurle, qu’elle la retire… Si elle laissait la douleur en elle, elle risquait de devenir folle. Une sodomie, sans préparation préalable, ce n’était réservé qu’à quelques rares femmes particulièrement endurantes et masochistes, mais elle doutait fort que Maëlys en fasse partie. Mieux valait qu’elle exprime rapidement sa douleur pour pouvoir être en forme pour la suite des évènements.

Naturellement, Mélinda ne comptait nullement interrompre Bran dans sa sodomie, mais, ça, Maëlys n’avait pas besoin de le savoir.
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Maëlys le dimanche 01 avril 2012, 10:02:25
Je restais à quatre pattes, impuissante, et soumise. J'étais perdue, je ne savais plus que faire. M'échapper ? Non, j'en étais bien incapable, encore moins dans cette situation. Subir, oui, subir, c'était la seule possibilité qui s'offrait à moi. Subir ses caprices, offrir me cul, me faire baiser sous ses yeux, en espérant, en priant pour qu'elle se calme... et peut-être me laisser partir ? Je n'y croyais pas trop, mais je n'avais pas le choix. C'était le seul espoir qu'il me restait de pouvoir m'échapper de cet enfer.

Mélinda s'approcha de moi, me caressa la joue, susurrant avec une tendresse malsaine qu'elle aimerait me voir pleurer, me voir souffrir. Je sanglotais, involontairement. Au moins, voilà la moitié de son souhait exaucé. Je n'avais aucune idée de ce qui allait bientôt m'arriver...

Je veux que tu y ailles sans hésitation, Bran. Défonce-moi le cul de cette salope !

Bran empoigna fermement la chair tendre de mes fesses, les écartant, glissant ses pouces dans mon fragile anneau rectale. J'en frissonnais de dégout... mais pas seulement. Je devais bien avouer que ce contact était plutôt agréable. Pendant qu'il jouait avec mon cul, Mélinda s'empara à deux main de mon visage, m'obligeant à la regarder droit dans les yeux. Le sourire sadique qui étirait ses lèvres en disait long. Elle voulait absolument me voir souffrir, sans en perdre une miette. Et c'est là que tout bascula...

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH !!!

La verge épaisse et impétueuse de Bran se glissa d'un geste brutal entre mes fesses, dilatant cruellement mon orifice, suivi de près par une deuxième pénétration, plus brutale encore ! Cette souffrance... c'était atroce ! Bran me pilonnait comme un forcené, jubilant de plaisir, sa queue bien au chaud dans mon cul étroit qui souffrait le martyr. De chaudes larmes commençaient à couler sur mes joues, grimaçant de douleur. Je me mordillais la lèvre, pour ne pas crier, pour garder le peu de dignité qui me restait, mais c'était impossible, la douleur était trop intense.

AAAAHH !! AAAAHH !! PI..PITIÉ !! STOP !! AAAAAAAAHHH !!

Mon corps se soulevait à chacun de ses assauts, ma poitrine ballotait follement, au rythme des coups de boutoirs qui me défonçait littéralement le cul. Mon supplice commençait à peine, et je n'en pouvais déjà plus. Je la sentais parfaitement, cette verge imposante, se glisser à l'intérieur de mon anus, écarter mes chairs pour se frayer un chemin, c'était insupportable. Qu'elle s'en aille, bon dieu, qu'elle s'en aille ! Cette intruse qui me torturait, qui jouissait de mon supplice ! Je n'en pouvais plus, c'était trop, j'en arrivais à un stade où ma dignité n'avait plus aucune importance. La douleur me faisait perdre la tête, m'empêchant de penser à quoi que ce soit, seule la douleur de cet instant restait perceptible dans mon esprit. Je ne désirais qu'une chose, qu'il retire son mandrin de là, peu importe ce qu'il se passera ensuite, je m'en fichais éperdument, je voulais simplement que tout cela cesse au plus vite...

AAAAHH !! JE SUIS U..UNE GROSSE SALOPE !! BAISE MOI !! MON SEXE N'ATTENDS QUE ÇA !!

Hurlais-je, devenue presque folle par les vagues de douleurs incessantes qui déferlaient dans tout mon corps.

Mais, pitié, laisse un peu de répit à mes pauvres fesses, je t'en supplie... - pensais-je.
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le lundi 02 avril 2012, 01:34:22
Maëlys avait l’air… De souffrir. Mélinda le sentait dans ses hurlements, mais, loin d’avoir pitié d’elle, elle en était au contraire follement excitée. Ses hurlements étaient divins, tout simplement ! Elle adorait l’entendre rugir, la voir perdre son contrôle… Dans le fond, n’était-ce pas ce qu’on recherchait en faisant l’amour ? Perdre le contrôle de soi-même ? Voir ses inhibitions s’envoler ? Maëlys était en train de vivre ça, et ne tarda pas à hurler que, oui, elle était une salope. Mélinda aurait alors pu lui demander n’importe quoi, elle l’aurait fait. La douleur devait être terrible… Et Mélinda réalisa qu’elle en avait la culotte légèrement humidifiée. Voir Maëlys ainsi était très excitant, oh ça oui ! Et Mélinda ne comptait s’arrêter pour rien au monde. Elle regardait Maëlys, son beau visage constipé par la douleur, et allait parfois l’embrasser sur les joues.

« Oh, ma belle… Tu l’as entendu, Bran ? Elle veut se faire défoncer comme une grosse salope… Alors, défonce-là bien ! »

Bran acquiesça en grondant. Yeux mi-clos, il continuait à se remuer violemment en elle, afin d’engouffrer son membre dans les profondeurs de son fessier. Il gifla à nouveau sèchement le cul de Maëlys, abattant sa main à plusieurs reprises. Les fesses de cette femme étaient belles, tendres, mais aussi bien fermées, et ça, ça, c’était vraiment excitant ! Bran adorait ce cul étroit, et avait l’une de ses plus belles érections. Il déployait toute son énergie dans ce cul, et se souciait bien que Maêlys souffre. A vrai dire, qu’elle apprécie ou pas sa sodomie, seule Mélinda avait le pouvoir de l’arrêter, mais la vampire, naturellement, ne comptait nullement l’arrêter. Elle continuait au contraire à embrasser et à lécher le visage de la jeune femme, sans vraiment s’attarder sur ses lèvres, préférant plutôt s’attaquer à ses joues humides.

« Là, là, ma belle… disait-elle sur un ton bas. Pleure… Continue à pleurer, allez… Allez, pleure, pendant qu’il te baise comme une grosse vache ! »

Bran poursuit sa sodomie, gémissant et grognant, son membre finissant par s’enfoncer en entier dans ce cul. Il était toujours étroitement serré dans cet anus explosé, mais tout était dedans. Il remua alors d’avant en arrière, afin de faciliter ses mouvements, continuant à écarter, non sans offrir à Maëlys de vives douleurs, ses parois. Bran avait toujours aimé les sodomies, et Mélinda le savait mieux que quiconque, vu qu’il l’avait déjà violé ainsi, à cette époque où elle n’était qu’une simple servante. On avait l’impression que ça ne finirait jamais… Mais, fort heureusement pour la jeune esclave, Bran finit par succomber, et jouit. Il en soupira longuement, et se vida en elle, répandant son sperme dans ses fesses. Il ponctua chaque giclée de sperme d’une petite gifle, avant de longuement soupirer, et éjacula sans se retenir. Son sperme remplit les fesses de la jeune fille, et Bran resta ensuite en elle, savourant ce moment. Son sexe était bien au chaud. Que demander de plus ?

Mélinda, de son côté, s’était relevée, laissant un peu Maëlys en paix, le temps d’aller chercher dans un tiroir une laisse et un collier qui traînaient par là. Elle noua la laisse autour du collier, qui portait un pendentif sur le devant, avec deux lettres : « MW ». Mélinda Warren. La vampire retourna ensuite voir Maëlys, en profitant pour gratter avec une tendresse insoupçonnée le dos de Bran, s’attardant toutefois sur les cicatrices de ce dernier. Elle enroula ensuite le collier autour du cou de Maëlys, et tira sur la laisse pour relever la tête de cette dernière, et éprouver la solidité du collier. Un sourire aux lèvres, Mélinda se tourna ensuite vers Bran.

« Tire-toi de là », lâcha-t-elle sur un ton froid.

Son frère obéit, s’extirpant des fesses de Maëlys, ce qui sembla soulager cette dernière.

« Tu peux t’allonger par terre, Maëlys. J’ai plusieurs choses à t’expliquer. Repose-toi, ma belle, allez… Tes fesses doivent te faire souffrir, après tout… Allonge-toi, allez, couche-toi sur le flanc, ma belle. »

Jambes fléchies, elle caressait d’une main les hanches de la femme, comme si elle s’adressait à un animal de compagnie. Mélinda se releva ensuite, afin de donner des éclaircissements. Les deux femmes étaient seules. Bran était parti, et le feu continuait à crépiter dans la cheminée.

« Comme tu as du le comprendre, tu es maintenant mon esclave. Ceci revient à dire que j’ai sur toi de droit de vie et de mort, donc, partant de là, tous les droits. Ton corps m’appartient. Tu m’appartiens. »

Tout en disant cela, Mélinda avait mis ses pieds devant la tête de Maëlys.

« Lèche mes pieds, maintenant. Prouve que tu es une bonne chienne… Sinon, tu passeras ta première nuit dans  mes cachots. Lèche et embrasse mes pieds, et dis que tu es mon esclave. Ma petite chienne. Que tu feras tout ce que je veux sans rechigner, et avec plaisir. Ah, et dis aussi que tu adores qu’on te prenne par le cul, car tu n’es qu’une salope qui veut qu’on la traite comme une salope. DIS-LE ! »
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Maëlys le lundi 02 avril 2012, 19:00:47
Je hurlais ma douleur, sans retenue, je hurlais, je pleurais à chaude larme, mes joues devenue rouges luisaient d'un triste éclat. Mes cris résonnaient dans toute la pièce, accompagnant les grognements de mon violeur et les bruits de ses hanches claquant mes fesses. J'aurais fait n'importe quoi pour que cela cesse, n'importe quoi... Je le suppliais de délaisser mon cul endolori, de glisser son sexe imposant dans ma belle chatte, chaude et accueillante, de me baiser comme une salope. Comme sa salope. Mais rien n'y fit. Bran continuait ses pénétrations, brutales et incessantes, sous le regard amusé de Mélinda, qui prenait visiblement un plaisir fou à me voir souffrir.

Le contraste entre sa tendresse, la douceur de sa voix, ses caresses sur ma joue, et les sensations extrêmes de cette sodomie bestiale, étaient une véritable torture en soi. Cet étrange mélange, cette pointe de tendresse qui me rappelait la sérénité dont cette toute cette violence me privait, cette frustration que cela créait, je commençais à en devenir folle, c'était de plus en plus insupportable. Je la regardais, l'implorant du regard, comme une chienne battue et maltraitée, mon corps se balançant avec fougue au rythme que ce sexe m'imposait, je la suppliais silencieusement de le faire s'arrêter, de me sauver de cette enfer...

Soudain, un long râle de plaisir s'éleva derrière moi, je constatais avec un immense soulagement que ses pénétrations se faisait moins profonde, et je sentis de longue giclé de sperme se déverser en moi. Après ce que mon anus venait de traverser, sentir ce liquide chaud se rependre à l'intérieur de mes fesses était presque un plaisir réconfortant. Le cul toujours relevé, mes épaules s'écroulèrent, posant ma joue au sol, j'haletais comme une chienne. Mais je ne m'en souciais pas. C'était fini, enfin...

Bran s'en alla ensuite, tandis que Mélinda s'approchait de moi, une laisse à la main. Elle me l'accrocha autour du cou, mais je ne bougeais pas, haletant toujours, le regard vide, fixant un objet lointain. Je sentis un touché agréable sur mes hanches, qui me fit frissonner. Ses mains, ses caresses, elles étaient si douces...

Je n'écoutais qu'à moitié ce qu'elle disait, comprenant de ce dont il s'agissait, mais n'y prêtant pas attention, je préférais profiter pleinement de ce répit qui me semblait divin. Selon elle, je lui appartenais... Lui obéir ? Je lui serais dévouée corps et âmes, si cela pouvait m'éviter d'avoir à souffrir autant. Cette affreuse sodomie... c'était la pire des choses qui me soient arrivées dans la vie. Et j'avais la désagréable sensation que je n'avais encore rien vue...

* Bien, maitresse.

J'esperais que cette petite marque de respect lui plaira. Je relevais mon visage, regardant avec une certaine appréhension le pied qu'elle me tendait... mais je devais le faire, elle ne me laissait pas le choix. La prenant délicatement entre mes mains, je m'attelais à la tache.

* Mon corps vous appartiens, je suis toute à vous...

Je déposais respectueusement un baiser sur son pied.

* C'est avec plaisir que je m'offre à vous, prête à satisfaire chacun de vos désirs...

Auquel vint s'ajouter un second baiser.

* Traitez moi comme une salope, car c'est tout ce que je suis, une salope... VOTRE salope...

Suivi par un troisième baiser.

C'en était fini, ma dignité s'était finalement envolée, laissant l'instinct de survie prendre le dessus. Courber l'échine devant cette femme, c'était mon seul moyen de survivre. Je me mis à caresser respectueusement le haut de son pied, du bout de la langue d'abord, puis avec un peu plus d'entrain, la léchant carrément, comme une chienne. Je n'osais relever les yeux, croiser son regard... Je me mis ensuite à lui lécher les orteils, à les suçoter, avec dévotion. Je lui étais entièrement soumise...

D'une main, je tâtais délicatement mon orifice littéralement défoncé, du bout des doigts, me rendant compte des dégâts causé, mon cul était complètement ravagé... Soudain, une vive douleur s'y fit sentir, me faisant sursauter, et je mordis accidentellement son orteil. Oh, ce n'était pas grand chose, mon geste n'avait rien d'hostile, mais.. c'était une raison plus que suffisante pour la mettre hors d'elle. Du moins, je le pensais. Elle me paraissait effrayante, cruelle, imprévisible...

Je relevais alors la tête, affichant un air gêné, et vraiment apeuré.

* Oh, je, je suis vraiment désolée !


Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le mardi 03 avril 2012, 01:28:35
« Traitez moi comme une salope, car c'est tout ce que je suis, une salope... VOTRE salope... »

Dieu, ce que cette phrase faisait plaisir à entendre ! C’était un bel acte de soumission ! Si Maëlys avait un jour eu de l’amour-propre, cette simple sodomie avait suffi à la faire envoler. Ne disant rien, Mélinda la laissa s’occuper de son pied. Il y avait au départ eu quelques baisers timides, avant que la jeune femme ne commence à y prendre goût, léchant et embrassant, se cramponnant à ses pieds. Mélinda avait toujours été fétichiste envers ses esclaves ! Tout simplement parce que c’était l’une des plus belles preuves de soumission qui existe ! Quand on en arrivait là, à lécher les pieds de quelqu’un, c’est qu’on était prêt à tout. Ou presque… Ce soir, Mélinda verrait jusqu’à quel point Maëlys était dévouée, et prête à lui servir. Oui, elles n’en étaient qu’au début… Mléinda ne comptait pas la laisser se reposer, car, pour elle, elle avait offert à Maëlys un cadeau en ordonnant à Bran de lui défoncer le cul. Elle vit que cette dernière caressait ses fesses. Oui, comme elle devait souffrir… C’était encore plus gratifiant !

Ce fut à cet instant que Maëlys mordit son orteil. Mélinda grinça des dents, sans en avoir nullement mal, et baissa les yeux, mécontente. Semblant paniquée, elle fixa Mélinda avec un regard apeuré.

« Oh, je, je suis vraiment désolée ! »

Elle avait l’air sincère, mais ça n’empêcha pas Mélinda de le frapper dans le ventre avec son pied. Un bon coup sur son estomac.

« Être désolée ne suffit pas, petite insolente ! Couche-toi sur le dos, tout de suite ! TOUT DE SUITE ! »

Mélinda se mit à tonner, et attendit que Maëlys s’allonge sur le sol pour la frapper à nouveau avec son pied, mais désormais sur sa joue droite. Sa tête tourna d’un bond sur la gauche, et elle se reçut un autre coup de pied, avant que Mélinda n’aille se mettre sur Maëlys. L’un de ses pieds s’enfonça dans son ventre, l’écrasant douloureusement, et un autre alla sur sa tête, écrasant son nez, la plante de sa pied heurtant ses lèvres.

« Recommence encore une fois, volontairement ou non, à porter la main sur mon corps parfait sans autorisation, et… Hum… Je vais te montrer à ce quoi tu auras droit si tu recommences. Il faut que tu comprennes que la discipline est importante, fondamentale. Je ne te parle pas de me respecter, car je me fous du respect d’une sous-espèce comme toi ! Non, je veux que tu me craignes, que tu m’adores, que tu m’adules, comme si j’étais ta divinité ! Est-ce qu’on blesse sa divinité quand elle demande à ses esclaves de lui lécher les pieds, HEIN ? Tu es désolée ! Désolée ?! Tu crois que c’est suffisant, d’être désolée ! »

L’une des mains de Mélinda saisit Maëlys à la gorge, la soulevant, et la balança sur le sol. Elle l’attrapa ensuite par les cheveux, et la traîna sur le sol, avant de la relâcher dans le couloir, la tirant désormais par la laisse.

« Mets-toi à quatre pattes, et suis-moi ! Je vais te montrer ce que je fais aux vilains esclaves comme toi ! »

Elle s’approcha d’un escalier en colimaçon qui descendait, et avança. Elle ralentit un peu le rythme qu’elle avait fait en traversant le manoir pour rejoindre cet escalier, afin que Maëlys ne dégringole pas le long des marches. Mélinda alluma un interrupteur, et de faibles lumières s’allumèrent sur le plafond, n’éclairant que très faiblement les marches. La vampire commença à descendre, tirant toujours Maëlys, jusqu’à atteindre un couloir sombre et poussiéreux, où elle alluma des lumières centrales.

« Nous voici dans les oubliettes de mon manoir ! »

Le manoir de Mélinda avait été conçu sur des grottes souterraines, qui avaient été réaménagées.  On pouvait voir des cadavres déconfits dans certaines cellules, dont certains avaient vainement tendu les mains vers l’extrémité des cellules. Leur peau se décomposait, dans une odeur de putréfaction et insupportable, mais il y avait des prisonniers vivants, qui gémissaient depuis les profondeurs des cachots, le long de galeries annexes particulièrement sombres.

« Pitié, mugit faiblement une voix au loin. Faim… J’ai si faim ! »

Dans une cellule, un homme s’était coupé sa propre main pour pouvoir manger, et était mort, baignant dans son propre sang.

« Je me rends rarement là… C’est le principe d’une oubliette, n’est-ce pas ? Contrairement à ce que tu pourrais croire, ces gens ne sont pas de pauvres victimes… Ce sont des dealers, des cannibales, des fous, des cinglés, des violeurs… De mon point de vue, ils méritent de finir là, mais, quand j’ai affaire à de petites esclaves rebelles comme toi, il m’arrive de les laisser quelques jours dans une oubliette… Alors, voilà comment ça va se passer, Maëlys… Porte encore une fois tes dents sur moi, sans mon accord, et je t’enferme dans une oubliette… En revanche, si tu es sage, tu auras droit à une confortable chambre, peut-être même à dormir avec moi… Est-ce clair ? Bien… Continuons… »

Mélinda traversa les cachots, et ouvrit une lourde porte en bois, allumant des lumières pour apercevoir une salle circulaire. Il y avait des cages, des établis avec divers instruments, et d’autres tables. C’était une salle de torture, tout simplement. Il y avait même une vierge de fer. Au centre, il y avait une table en bois avec des crochets pour immobiliser les membres.

« Monte là-dessus… »

Elle attacha Maëlys sur la table, et la déshabilla un peu plus, exhibant sa belle poitrine, et commença à caresser son corps, avant de l’embrasser sur les lèvres. Elle lui fit un tendre et long baiser, en profitant pour caresser son corps, notamment ses tétons. Elle les toucha, les pinça, les pressa, tirant sur ces derniers, puis releva sa tête en souriant.

« Bien… Il est dommage que tu n’aies pas apprécié la sodomie, car elle était faite pour que tu ailles bien… Je vais donc m’occuper de toi… »

Mélinda s’approcha d’une armoire, et en sortit un curieux appareil produisant de l’éclair. Elle en sortit deux pinces, et les posa sur les tétons de Maëlys. Elle lui sourit, lui caressant alors les cheveux, puis retira ses mains, et enclencha la machine, envoyant des arcs électriques sur les seins de Maëlys.

« Est-ce que tu as mal ? » lui lâcha-t-elle avec un sourire pervers.
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Maëlys le samedi 26 mai 2012, 12:54:18
Toujours à genoux, aux pieds de ma maitresse, je levais un regard vraiment inquiet en sa direction, cherchant à y déceler quelles seraient ses intentions. Et le mécontentement que je lisais dans ses yeux me fit froid dans le dos...

J'attendais sagement, n'osant même pas respirer de peur de briser le silence, en espérant que cela lui passera vite... jusqu'à ce qu'un violent coup de pied ne viennent percuter mon ventre de plein fouet. Le souffle coupé, je poussais un hoquet de douleur, silencieux. Bon sang ! Je m'écroulais à terre, me tenant le ventre, recroquevillée sur moi même. Je suffoquais, haletante, tentant tant bien que mal de reprendre ma respiration malgré la vive douleur qui me lancinait. Je ne disais mot, je savais bien que je l'avais un peu mérité...

* Couche-toi sur le dos, tout de suite ! TOUT DE SUITE !

D'un signe de tête, j'acquiesçais en silence, m'allongeant sur le dos, à ses pieds. Je tentais d'oublier la douleur, les bras posés sur mon ventre endolori, soulevant et mettant en valeur mon opulente poitrine qui avait été sauvagement dénudée. Je n'avais aucune idée de ce qui m'attendait... Soudain, son pied me gifla avec une force incroyable, mon visage valsa de droite à gauche, et à peine eus-je le temps de poser une main sur ma joue que Mélanie se posa sur moi, m'écrasant le ventre de tout son poids. Un puissant cri de douleur brisa alors mon mutisme, un cri à moitié étouffé par le manque d'air, avant que le pied de la vampire ne viennent heurter mon visage. Mais qu'ai-je fais pour mériter autant de violence !? C'était un accident, je ne l'avais pourtant pas fais exprès !

* Je suis désolée... p-p-pardon... - formulais-je avec peine, en un murmure presque inaudible.

Elle semblait outrée, furieuse de mon attitude. Je ne l'avais pas traitée comme elle le souhaitais...
comme une divinité. J'avalais avec peine ma salive, mon coeur battait la chamade, on aurait dit qu'il voulait s'extirper de ma poitrine, et fuir, loin d'ici... mon dieu, ce que j'aurais aimé fuir loin d'ici, moi aussi... loin de cette furie. Elle se fichait bien de mes excuses, de mes supplications. Ce qu'elle voulait... en réalité, j'ignorais ce qu'elle attendais de moi exactement, et c'était justement ce qui m'effrayait le plus. Je n'avais aucune idée de ce qui m'attendais, et j'étais à la merci du moindre de ses caprices...

Elle retira enfin ses pieds, me permettant d'avaler de grande goulée d'air malgré que je toussais beaucoup. Ma douleur au ventre était à la limite du supportable, et celle de ses coups me laissait une cuisante sensation sur la peau... Je me surpris d'ailleurs à penser que cette sensation n'était pas si déplaisante que ça, après tout. Je voulais toucher ces zones endolories, voir jusqu'à quelle point elles me feraient mal... ressentir à nouveau ces sensations... un peu comme après cette sodomie... Bon sang, mais à quoi est-ce que je pouvais bien penser ! Le temps passé auprès de cette vampire, et son traitement un peu spécial à mon égards, commençait surement à me rendre folle !

Tirant sur ma laisse, elle me traina jusqu'à une sombre allée, visiblement abandonnée depuis très longtemps. J'avançais à quatre pattes, nue et à ses cotés, j'avais l'impression de n'être qu'un simple animal de compagnie, une chienne qu'elle tenait en laisse... Après une brève présentation des lieux, qui me fit frissonner d'effroi, elle m'emmena plus loin encore, plongeant dans les profondeurs de l'obscurité, mal éclairée mais suffisamment pour pouvoir apercevoir les victimes qui gisaient dans ces cachots... c'était une vision d'horreur, terrifiante...

A force d'avancer dans cette position, sur l'inconfort des dalles de pierres froides et rugueuses, mes genoux et la paume de main commençaient à s'écorcher un peu. Ça me piquait de plus en plus, et je ne serais pas étonnée de voir que je saignais à ces endroits. Mais ce n'était pas le plus important, je devais suivre Mélinda... Sans savoir où elle allait m'emmener.

Nous finîmes par arriver dans une grande salle, que je n'eus pas le loisir d'observer. Elle m'ordonna de monter sur la table qui se trouvait devant moi, et j'obéis tout naturellement, sans rechigner. Serrant les jambes pour ne pas dévoiler mon intimité, et conserver le peu de pudeur qu'elle m'avait laissé, je grimpai sur la table et m'y allongeai sur le dos. Ma poitrine était néanmoins complètement à sa merci, et elle ne se priva pas pour jouer avec celle-ci, laissant ses doigts maltraiter avec rudesse mes seins tandis que la douceur de son baiser parvenait presque à me faire oublier le statut que j'avais à ces yeux... Je frissonnais un peu, un début de chair de poule, c'était assez agréable comme situation...

Après m'avoir attachée les chevilles et les poignets, elle apporta une étrange machine près de moi, muni de deux pinces métalliques dont j'ignorais complétement l'utilité. Et j'aurais préféré ne jamais le savoir... Elle s'en servit pour me pincer les tétons, ce qui me fit légèrement gémir de douleur, mais je serrais les dents, et essayait de la surmonter... pour l'instant.

* AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH !!

La machine se mit en marche, délivrant de puissantes décharges électriques qui me traversèrent le corps, je tressautais sur la table, prise de spasmes. Chacun de mes muscles se contractaient et se relâchaient violemment, avec frénésie, les rendant de plus en plus douloureux, me poussant à hurler pour espérer extérioriser cette souffrance.

* Est-ce que tu as mal ?

Hooo oui, et l'intensité de mes cris devaient être suffisamment éloquent pour le lui prouver... Mes tétons étaient en feu, ma respiration devenait chaotique, je transpirais, j'haletais, je hurlais, c'était atroce... J'étais piégée, impossible pour moi de m'échapper, ni même de pouvoir parler, c'était terrible. Je ne pouvais rien faire, si ce n'étais hurler ma souffrance, sous le regard amusé de mon bourreau...
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le samedi 26 mai 2012, 15:00:09
Maëlys se mit à piailler sans relâche. Impassible, Mélinda la voyait souffrir, la voyait se tortiller sur la table, en proie à une souffrance qui avait l’air forte. Les hurlements que Maëlys poussait, s’ils étaient délectables pour les oreilles de Mélinda, laissaient toutefois supposer qu’elle ne souffrait pas tant que ça. Autrement, elle n’aurait même plus eu la force de crier. Se mordillant les lèvres, Mélinda la regardait ainsi. Elle avait un corps de rêve, cette femme, des seins énormes, des formes sublimes, et une peau à la douceur infinie. Mélinda comptait initialement la tuer. Maëlys ne devait être qu’un simple plaisir passager, pour se défouler. Elle comptait ainsi, au début, terminer la soirée en buvant tout le sang de cette femme, jusqu’à la dernière petite goutte, mais, plus la soirée se déroulait, et plus Mélinda hésitait. Des esclaves, on en avait jamais assez, et celle-ci semblait particulièrement docile, ainsi que masochiste... Même si elle ne l’admettait pas, Mélinda sentait les petits infléchissements de ses battements sanguins. Ils étaient en partie motivés par la peur, en grande partie même, mais elle semblait quelques infléchissements sanguins vers son intimité, la faisant légèrement sourire.

La vampire continua à la laisser ainsi, tournant autour d’elle pendant des secondes qui durent devenir extrêmement longues pour Maëlys, jusqu’à ce que Mélinda revienne devant l’appareil, et l’éteigne, mettant fin aux arcs électriques qui fusaient dans le superbe corps de la femme. Mélinda laissa s’écouler plusieurs secondes, un sourire amusé sur le visage, et s’assit sur le rebord de la table, en regardant la jeune femme :

« Tu aimerais sans doute que je te dise que je fais tout ça par nécessité quelconque, pour essayer d’obtenir quelque chose de toi, mais ce serait un mensonge. En réalité, Maëlys, je te fais souffrir uniquement parce que j’adore ça. Et il y a une chose que j’adore en particulier sur les belles femmes comme toi... »

Mélinda se pencha alors sur le corps de Maëlys, s’allongeant à moitié sur elle, plongeant son regard dans le sien, quelques mèches de cheveux tombant sur le corps souffrant de sa prisonnière. Se mordillant les lèvres, elle approcha sa bouche de celle de la femme, soufflant dessus, et continua à se pencher sur elle, s’approchant de son oreille :

« Je veux que tu pleures, Maëlys... Verse tes larmes, ou je vais à nouveau t’électrocuter. Laisse tes larmes s’écouler de ton corps. Je sais que tu as mal, et que tu as peur, alors ne retiens pas tes larmes. Écrase-toi. »

Elle se redressa ensuite, retournant observer le visage de Maëlys, tendant ses mains pour caresser les joues de la jeune femme. Mélinda s’était allongée sur elle, et la caressait avec une tendresse qui contrastait furieusement avec la manière dont elle l’avait torturé. Une belle femme comme ça qui pleure, ça l’excitait... Pour la vampire, c’était même presque une espèce de fantasme.

« Maintenant... Pleure ! »
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Maëlys le samedi 26 mai 2012, 19:35:41
L'intensité du courant électrique qui traversait mon corps ne semblait pas perdre en intensité. Pas plus que celle de mes cris, qui relevait plus d'une réaction involontaire que d'une envie de m'éreinter la voix... Mais la douleur était belle et bien là, pesante, importune, insupportable. Décuplée par la sensation de fatigue, j'avais l'impression d'être complètement anéantie, c'était affreux... Mon corps tout entier vibrait de spasmes convulsifs, impuissant, offrant à la vampire un spectacle qui devait lui sembler des plus jouissifs. Elle tournait lentement autour de moi, un sourire amusé sur le visage, me regardant agoniser sous la torture... Mais qu'est ce qu'elle attendait pour éteindre cette machine ! Cette sensation, elle me rendait folle, je n'en pouvais plus...

Soudain, la machine s'arrêta. Les éclairs cessèrent de fuser, et je pu enfin m'allonger paisiblement sur la table. Dieu merci, c'était fini... Ma tête tomba lourdement sur le coté tandis que je tentais de reprendre ma respiration, ma poitrine se soulevant et oscillant légèrement. La pointe de mes seins en était encore douloureuse, mais la satisfaction d'en avoir terminé avec cette machine était assez forte pour l'occulter complétement.

Je regardais Mélinda s'asseoir à mes cotés, souriante, visiblement satisfaite de ma prestation... Et c'est là qu'elle me donna enfin un début d'explication à tout ces supplices. Sa seule motivation, c'était donc son sadisme. C'était aussi simple que ça... La cause de toute cette souffrance était son propre plaisir. C'était écoeurant... et je l'aurais sans doute détestée, de tout mon être, si je n'étais pas aussi harassée par cette éprouvante journée.

Je ne tenais pas à m'embourber dans de vains reproches, ce n'était pas le moment, non, je voulais juste à profiter de ce moment de répit... Elle s'approcha de moi, s'allongeant même à moitié sur mon corps, créant une sorte d'intimité complice entre nous deux, malgré notre relation... et ce n'était pas du tout déplaisant. Mélinda savait faire preuve de beaucoup de douceur, quand elle le voulait...

* Je veux que tu pleures, Maëlys... Verse tes larmes, ou je vais à nouveau t’électrocuter. Laisse tes larmes s’écouler de ton corps. Je sais que tu as mal, et que tu as peur, alors ne retiens pas tes larmes. Écrase-toi.

Pleurer ? Ou finir électrocutée... le choix était vite fait !

* O-oui, maitresse, je pleurerais, je pleurerais pour vous...

Pendant quelques secondes, j'essayai de pleurer, j'y mettais toute ma conviction, mais pas la moindre larme ne parvint à couler. Il m'arrivait fréquemment de pleurer, pourtant, mais il semblerait que là ce ne soit pas le moment... La poisse ! Je regardais la vampire, un peu anxieuse. Qu'est ce que j'allais bien pouvoir faire !? Elle allait surement devenir furieuse... Hors de question que je la laisse me faire du mal à nouveau, en tout cas ! Mais comment... Je déglutis avec difficulté, effrayée en pensant au conséquence... Une petite idée me traversa alors l'esprit. A contrecoeur, je me dis que la solution pour parvenir à pleurer, c'était de souffrir... Et puis, que quitte à souffrir, autant que ce soit le moins insoutenable possible, non ?

Je posais donc ma main sur ma poitrine, et fit doucement rouler mon téton endolori entre mes doigts. Une vive douleur se fit certes sentir, mais cela n'était pas assez fort pour me faire pleurer... J'appréhendais beaucoup la suite des évènements, mais je n'avais plus beaucoup le choix... Ma seconde main se joignit à la première, sur mon autre sein, et pinçaient cette fois un peu plus fort.

* AAH !

Ça faisait vraiment mal ! Comme d'appuyer sur une plaie qui n'avait pas encore cicatrisé. Je grimaçais de douleur, tout en les triturant malgré tout, j'en avais des frissons... Des larmes réussirent enfin à perler, roulant sur mes joues légèrement rougies, je battais même des cils, pour en faire couler davantage, qu'elle couvrent leur passages de leur humidité luisante. J'espérais vraiment que Mélinda sera satisfaite de moi...

Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 27 mai 2012, 16:15:18
Pleurer sur commande n’était visiblement pas facile, et Maëlys en semblait sur le coup incapable, si tant est que Mélinda lut dans son regard une espèce de franche panique, à l’idée de décevoir sa Maîtresse, et, surtout, de se faire encore battre. Mélinda avait en effet été claire ; que Maëlys ne s’attende pas à avoir de la pitié. Pour Mélinda, la jeune femme n’était rien de plus qu’une espèce d’insecte, la représentante d’une sous-race. Alors, pour se forcer à pleurer, Maëlys choisit de se faire mal. Silencieuse, la vampire se mit à califourchon sur elle, afin de la regarder faire. Elle se pinça les tétons, avec hésitation, les doigts tremblants, malmenant ses plaies déjà malmenées, ce qui l’amena finalement à pousser quelques cris de douleurs, et à laisser des larmes éclairer son visage.

Avec un large sourire de contentement, Mélinda retourna s’allonger sur le corps chaud et doux de son esclave, et observa la coulée de larmes sur ses joues. Elle glissa une main dans son dos, attrapant ses fesses, afin de les pincer, tout en ordonnant, impérieuse :

« Encore ! Chiale comme un gros bébé ! Allez, dépêche-toi ! »

Elle observa la coulée de larmes, et entreprit alors d’agir. Sa langue remonta le long de sa joue, filant le long de la coulée de larmes, avant de redescendre, son nez frôlant la joue rouge de Maëlys, et de remonter avec sa langue. Mélinda poursuivit ce petit ménage pendant un certain temps, pinçant toujours un peu plus douloureusement le cul de l’esclave. Il n’y avait en soi aucun plaisir à sexuel à lécher des joues trempées, mais la vampire trouvait ça délicieusement pervers. Elle poussa de petits soupirs, sentant son propre désir monter rapidement,. Elle termina le tout en embrassant les yeux de Maëlys, se déplaçant d’un œil à l’autre, cessant ainsi de malmener ses fesses pour prendre entre ses mains sa tête, caressant avec ses griffes ses belles joues.

Mélinda baisa les yeux de la femme pendant une petite minute, avant de se remettre à califourchon sur son corps, et de tendre lentement une main pour caresser son cou, ses ongles glissant sur l’emplacement de sa veine, l’endroit précis où mordre. Les canines de Mélinda pointèrent alors, et sa langue se promena dessus, avant qu’elle ne lui fasse un grand sourire.

« En théorie, ma belle, je devrais planter mes crocs dans ta gorge, et te vider de la moindre goutte de sang, ce qui, naturellement, te tuerait. Néanmoins... Tu me plais, ma belle. Et je ne suis pas du genre à sacrifier inutilement des esclaves précieuses. Alors, je vais t’offrir une chance de vivre. Non, ne dis rien, fit-elle alors en mettant un doigt sur la bouche de Maëlys, tu auras l’occasion de parler, ma petite beauté... Tout comme j’aurais amplement l’occasion de boire ton sang. »

Mélinda écarta alors son doigt, et se déshabilla. Elle ôta sa longue robe, n’ayant plus que sa culotte. Mélinda poussa alors Maëlys, l’envoyant s’écraser par terre. Elle lui présenta alors ses pieds, et n’eut aucune difficulté à faire pointer son sexe dans sa culotte, son pénis formant une belle bosse déformant son sous-vêtement.

« Garde la tête baissée, chienne, et lèche-moi les pieds... Remonte vers ma culotte, et, avant de l’enlever, tu la lècheras. Tu utilises ensuite tes petites dents pour la glisser, et tu suceras ce que tu trouveras. Et, pour te motiver... »

Mélinda avait récupéré un chat à neuf queues (http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/0/09/Cat-o'-nine-tails_(PSF).jpg/220px-Cat-o'-nine-tails_(PSF).jpg), et l’abattit d’un coup sec sur le dos recourbé de son esclave. Un nouveau sourire de plaisir éclaira ses lèvres, renforçant son érection. Chaque fois qu’elle sortait son sexe masculin, le plaisir qu’elle ressentait était décuplé.
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Maëlys le mardi 29 mai 2012, 10:09:00
La souffrance, cette torture que je m'infligeais à moi-même, était insupportable. Mais nécessaire, si je voulais échapper à pire supplice encore... A la merci des désirs les plus pervers de la vampire, je triturais mes seins douloureux, ce qui m'arrachait de petits couinements, et des larmes qui lui plaisaient tant. Des larmes qu'elle se mit à lécher, allongée sur mon corps, avec beaucoup de satisfaction. Elle adorait me voir pleurer, cela se lisait clairement dans son sourire, elle adorait faire preuve d'un sadisme profondément pervers... et quelque chose me disait que j'étais encore loin d'avoir tout vu... Vivre des choses pire que ce que je venais de traverser ? Rien que d'y penser, j'en avais des frissons...

Elle me pinça les fesses, assez fort pour me faire couiner de plus belle, m'ordonnant de pleurer davantage. Ce que je pu faire sans trop de difficulté... Je sanglotais, littéralement, le corps tremblotant, le flot de larmes qui s'écoulait sur mes joues s'accentuant, pour le plus grand plaisir de ma maitresse.

Elle se releva ensuite, caressant mon cou du bout de ses griffes, ses crocs de vampire mis en évidence. Allait-elle me mordre ? La panique commençait peu à peu à me gagner... La simple idée de servir de festin à cette vampire me faisait tourner de l'oeil. Sentir ses crocs se planter dans ma gorge, me pomper tout mon sang... brrr ! Heureusement, elle ne comptait pas s'abreuver, du moins pas tout de suite. Ce qui me laissait un peu de répit, suffisamment pour lui faire changer d'avis, lui montrer que je mérite un petit peu de clémence ? Peut-être, après tout... J'avais vraiment peur, cette Mélinda me terrifiait...

Bien qu'étant un tout petit peu calmée, je sanglotais toujours, et ma maitresse me poussa sans ménagement de la table, me faisant lourdement tomber à terre. Je ne pu certes pas réprimer un petit cri de douleur, mais je ne bronchais pas. Je ne pouvais pas me le permettre... Elle se positionna alors devant moi, et ôta l'ensemble de ses vêtements, ne conservant qu'une simple culotte, culotte dans laquelle l'on voyait clairement se profiler la forme... la forme d'un phallus !? Moi qui pensait que plus rien ne pouvait me surprendre, voilà que je faisais face à une femme dotée d'un sexe d'homme, on croirait rêver... mais la douleur que j'ai ressenti jusqu'alors était bien réel, ce qui ne laissait aucun doute quant à l'authenticité de ce que je voyais.

* Garde la tête baissée, chienne, et lèche-moi les pieds... Remonte vers ma culotte, et, avant de l’enlever, tu la lècheras. Tu utilises ensuite tes petites dents pour la glisser, et tu suceras ce que tu trouveras. Et, pour te motiver...

Avant que je ne pu faire quoi que ce soit, un violent coup de fouet s'abattit sur mon dos, y laissant une succession de longues traces rouges, dont la couleur contrastait énormément avec la blancheur de ma peau.

* AAH !!

Me cambrant sous la douleur, je ne pu m'empêcher de pousser un puissant cri, bref mais intense, à l'image de ce coup de fouet, aussi sec que redoutable. Je me remis à sangloter... non pas à cause de la douleur, même si elle était effectivement cuisante, mais tout simplement parce que psychologiquement aussi, je n'en pouvais plus. Pourquoi était-elle si cruelle !? Qu'avais-je fait pour mériter un tel traitement !? Etait-ce donc mon destin, de finir ma vie en tant que poupée de chair, à servir d'exutoire à tout les plaisirs malsains et pervers de cette vampire ? Cela faisait beaucoup, pour mes frêles épaules... mais, elle ne me laissait malheureusement pas le choix.

* Ou-oui, Maitresse... - chuchotais-je, entre deux sanglots.

Obéissante, je pris délicatement le pied de ma maitresse entre mes mains, et commença à le lécher, tout doucement. Je passais ma langue au dessus, la laissant glisser sur sa peau, douce et si froide... Je me concentrais sur ma tâche, essayant d'oublier la douleur qui irradiait mon dos. Je léchais son pied avec application, montant de la base de ses doigts jusqu'aux chevilles, à plusieurs reprises. Puis je montais doucement le long de sa jambe, me glissant un peu sur le coté intérieur. Je léchais son mollet, effectuant plusieurs aller-retour dessus, passais ma langue dans le creux de son genoux, remontais tout le long de sa cuisse. Je léchais ses jambes, comme une chienne... Oui, c'était ça, j'étais devenue sa chienne... je me sentais si soumise, si insignifiante...

Arrivée à bout de mon ascension, ma langue s'arrêta à la limite de la culotte de la vampire. Ce qui se cachait derrière... même porté par un homme je n'en avais jamais approché une d'aussi près, avant aujourd'hui. Je n'en avais même d'ailleurs jamais vu... et je devais la sucer ? J'avais quelques vagues connaissances théoriques à ce sujet, du même niveau que "comment on fait les bébés", mais sans plus. J'espérais que ça suffirait, que je ne la décevrais pas... Néanmoins, je ne pu m'empêcher de rougir, je le sentais clairement, cette légère chaleur qui envahissait mes joues à l'idée d'approcher cette instrument du désir masculin. Ne sachant par où commencer, j'approchais timidement mes lèvres de son tissu, y déposant un baiser... je sentis alors sa verge frémir à l'intérieur, ce qui me fit reculer d'un bond, deux pas en arrière. Un mauvais réflexe, qui me fit un petit peu paniquer.


* Je-je suis désolée !  Maitresse ! Je... c'est la première fois que... que je fais ce genre de chose... - bredouillais-je, la regardant avec des yeux de chiot battu, avant de les baisser, un peu honteuse.
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le mardi 29 mai 2012, 20:31:47
Dressée, Maëlys s’approcha des jambes de Mélinda, qui la regarda, hésitant à abattre à nouveau son arme sur son joli dos. Sa belle peau blanche était striée de zébrures rouges, de fines et délicates lignes qui devaient la faire souffrir. Il était tentant de continuer, de lever le chat, et de frapper à nouveau, de se délecter des hurlements de souffrance de cette dernière, mais quelque chose disait à Mélinda que, si elle persévérait dans cette voie, son esclave allait tout simplement craquer. La vampire la sentait en effet extrêmement fébrile, prête à craquer. Elle semblait psychologiquement à bout de nerfs, sur le point de s’effondrer, et Mélinda tenait à éviter cela. Le chat se contenta donc de caresser le dos de Maëlys, les lanières en cuir glissant sur son corps tremblant, comme une silencieuse et froide menace. Un sourire sur les lèvres, Mélinda la sentait promener ses lèvres sur ses pieds. Sa petite chienne se débrouillait très bien avec ses pieds.

*Elle est faite pour être une esclave... Bran est peut-être un imbécile, mais il a un réel talent pour me trouver de belles petites femmes... Je peux le sentir... Lire son sang... Elle a peur, oui, mais elle est aussi très excitée. Petite perverse...*

Un sourire sur les lèvres, Mélinda continuait à promener son chat, sentant la tête de Maëlys remonter le long de ses joues. Elle en mouillait, tant c’était bon ! Le fétichisme, c’était l’un des fantasmes de Mélinda, indiscutablement. Elle remontait le long des belles et longues jambes de Mélinda, de sa Maîtresse, jusqu’à atteindre sa culotte. Elle eut un temps d’hésitation devant le sous-vêtement gonflé de Mélinda. Sa verge en sortait partiellement ; elle était trop grosse pour rentrer dans un sous-vêtement fait pour une femme. La culotte la serrait, et Mélinda, pour être honnête, ne serait pas fâchée d’en être débarrassée.

Maëlys embrassa alors le tissu, ce qui fit remuer la queue de la vampire, et elle eut un sursaut en la sentant remuer, ce qui l’amena, effrayée, à bondir en arrière. Un peu surprise, Mélinda sortit brutalement de l’espèce de rêverie dans laquelle la langue de Maëlys l’avait plongé, et la regarda en fronçant les sourcils.

« Je-je suis désolée !  Maitresse ! Je... c'est la première fois que... que je fais ce genre de chose... »

La vampire ne dit rien suite à cette excuse, et se releva lentement, posant ses deux pieds sur le sol, s’extirpant de la table. Sa culotte glissa pour de bon, révélant son membre en érection. C’était un pénis complet, incluant, outre la verge, deux testicules, ne laissant que très peu de place pour l’intimité de la femme, pour sa fente. Mélinda regarda Maëlys, sans rien dire, et s’écarta alors d’elle, s’approchant d’une espèce de meuble noir et poussiéreux, qu’elle ouvrit.

« Ceci, chienne, c’est une vierge de fer. Je suppose que tu connais son utilité, non ? »

La vierge de fer était une espèce de cellule hérissée de bouts pointus, de lames tranchantes. La victime enfermée à l’intérieur souffrait pendant des heures. Mélinda laissa à Maëlys le temps de comprendre, mais, comme elle sentait la panique croître en elle, elle décida de préciser :

« Ce que je te fais subir, je le fais pour te dresser, esclave... Pour te dresser et pour m’amuser. Tu sais ce qui t’attend si je décide un jour de te punir. Mets-toi à quatre pattes, maintenant. »

Mélinda se rapprocha du corps de la femme, et récupéra un fouet. Elle tourna autour du corps nu et soumis de Maëlys, sa queue frottant contre sa peau, et alla se placer derrière elle, enfonçant son membre contre ses fesses. La vampire la gifla alors, frappant son cul avec le plat de sa main. Elle approcha ensuite son sexe de son anus, caressant sa croupe, faisant glisser sa verge le long de cette partie de son corps.

« C’est la première fois que tu vois une queue, alors ? J’en déduis donc que tu es vierge... Rassure-toi, tu ne le seras plus ce soir, car je vais te baiser comme jamais. Je te baiserai pendant des heures, et tu hurleras. Je me nourrirai de ton sang pour continuer à te baiser. Car, après tout, tu n’es rien d’autre qu’une pute doublée d’une chienne. Or, les femmes comme toi ne sont nées que pour être baisées et enculées. »

Mélinda s’écarta alors du postérieur de Maëlys, et la fouetta en plein milieu du dos. La vampire alla se positionner devant Maëlys, son sexe caressant son nez et ses joues.

« Être désolée ne suffit pas ! trancha-t-elle, impérieuse. Avoir peur d’une queue, c’est ridicule ! Regarde-là ! En quoi ma bite peut-elle t’effrayer, hein ? Elle n’a pas de crocs, pas de griffes, elle ne te tranchera pas les dents ! »

Un nouveau coup de fouet claqua alors sur le dos de Maëlys, tandis qu’elle enfonçait son sexe contre la joue de la femme.

« Et un coup de queue, ça ne fait pas mal, n’est-ce pas ? C’est même plutôt agréable... Maintenant, tu vas prendre ce sexe dans ta bouche, et tu vas le sucer. Et je jouirai dans ta chaude gorge, et tu boiras mon sperme. Ensuite... Ensuite, nous irons dans ma chambre, ma petite chienne. Allez... Allez, viens sucer ma queue, ma salope. »
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Maëlys le mercredi 30 mai 2012, 20:13:43
Le visage baissé, les joues empourprées par la gêne, je m'attendais à recevoir le châtiment de ma maitresse d'une minute à l'autre... à sentir de nouveau les lanières de cuir de son fouet me flageller... J'en frémissais d'effroi rien que d'y penser. Mais, non, à ma grande surprise, elle ne s'énerva pas du tout, se contentant de se lever pour se placer près d'un espèce d'énorme coffre. Une agréable surprise, et je n'allais pas m'en plaindre !

Elle m'expliqua ensuite l'utilité de ce coffre. Une vierge de fer... Un instrument de torture barbare, et terriblement cruel, utilisé il a plusieurs siècles. Je déglutis avec difficulté, très anxieuse. J'avais tout à fait conscience que tout ce que j'avais enduré jusqu'ici n'était que de gentilles caresses, en comparaison à ne serait-ce qu'une minute de ce supplice... Qui sait quelles atrocités cette Mélinda avait déjà commis ? Sa cruauté semblait sans limite...

Suivant les ordres de ma maitresse, je me mis à quatre pattes près d'elle, à ses pieds, attendant sagement de voir ce qu'elle attendait ensuite de moi. Je sentis sa queue frôler ma peau, je restais silencieuse, aussi impassible que possible, mais ce contact me faisait frissonner de dégout ! Enfin, de dégout... cela restait tout de même des caresses, ce n'était pas désagréable non plus... Mais à quoi pouvais-je bien penser ! Cette Mélinda, elle me faisait perdre la tête...

Bien malgré moi, je frissonnais davantage, lorsque son sexe se plaqua contre mes fesses. Le souvenir de ma précédente sodomie était toujours présente, et les séquelles encore perceptible... Je sentis les battements de mon coeur s'accélérer, lorsqu'elle me dis que je n'étais qu'une femme bonne à être enculée. Mon dieu... Au fond de moi, je priais pour qu'elle laisse mon cul tranquille, qu'elle n'ai pas l'idée de reproduire la scène de la dernière fois. Elle avait beau être une femme, c'était une vampire, une vampire sadique même, et le résultat serait selon moi terriblement douloureux...

* AAAAHH !! - criais-je de douleur.

Le coup de fouet s'était abattu sur mon dos, sans prévenir. Moi qui me pensais sauve, j'avais tout faux ! La douleur était cuisante, m'obligeant à me cambrer sur le coup, le visage relevé. Bon sang ! Elle était aussi dangereuse qu'imprévisible... Elle se plaça devant moi, tandis que je baissais les yeux, par respect, mais aussi pour ne pas croiser du regard la verge contre-nature qu'elle me présentait... Un nouveau coup de fouet me lacera le dos, m'arrachant un nouveau cri de douleur, dont profita Mélinda pour glisser de force sa queue entre mes lèvres. Beurk ! Je fermais machinalement les yeux, et réprimais avec une certaine difficulté un haut le coeur (dont les conséquences auraient été fatales pour moi...).

Malgré tout... j'avais peur, j'avais terriblement peur, peur de mal faire, d'éveiller son courroux, de subir ses cruels châtiments... Oui, elle me dressait. J'étais devenue sa chienne, sa chienne soumise et docile, et elle me dressait. A lui obéir. A lui sucer la queue. Tout simplement. J'étais tombée tellement bas... Mais cela n'avait plus d'importance, désormais. Je rouvris lentement les yeux, m'efforçant de faire face à mon destin, et me soumis au désir de ma maitresse. Comme la chienne obéissante qu'elle voulait que je sois.

Du bout de la langue, je titillais cette intruse qui s'était glissée dans ma bouche, je la sentais tendue, bien dure. Je commençais tout doucement à réaliser des va-et-vient, mais assez bref. Je me sentais un peu mal à l'aise, c'était vraiment bizarre comme sensation... Néanmoins je ne cessais d'offrir à ma maitresse la fellation qu'elle me demandait, m'efforçant de sucer sa queue avec suffisamment de vivacité. Petit à petit, autrement dit une fois l'appréhension des premiers instant passée, je me sentais plus confiante, mes mouvements devinrent plus audacieux, plus soutenus. Mes lèvres coulissaient avec sensualité le long de son membre, à un rythme de plus en plus fougueux, tandis que ma langue frottait sans cesse son gland. De temps à autre, je lançais des regards intimidés à ma maitresse... pour voir si cela lui plaisait, si elle était satisfaite de ce que je faisais...
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 31 mai 2012, 15:19:19
Maëlys était dressée, domptée, vaincue. Elle accueillit le membre de sa Maîtresse sans oser protester, sachant très bien ce qu’elle risquerait. Mélinda tendit une main pour attraper les longs cheveux de la superbe femme, afin de bien veiller à ce que cette fellation ne se termine pas. Le fouet était dans son autre main, et elle sentit des frissons de plaisir la traverser. Son pénis, quand il était sorti, était une zone érogène de haut niveau, quelque chose de fort et de très puissant. La vampire en gémit de plaisir, tremblant sur place. Des frissons traversèrent tout son être, et elle avait les yeux clos, gémissant lentement.

« Haw, qu’est-ce que c’est bon ! Haaannn... »

Mélinda savourait ce moment, et le plaisir initial qu’elle ressentit, et qui l’avait presque anesthésié, s’atténua, lui permettant ainsi de réaliser que sa petite esclave ne faisait pas grand-chose. Elle était comme sclérosée, attendant tout simplement que la vampire agisse. Le sexe de la vampire remuait dans sa bouche parce que Mélinda remuait les jambes, et non parce que la jeune femme agissait. Son esclave était terrorisée, indéniablement, ce qui l’empêchait d’agir. Mélinda soupira de frustration. Elle était expérimentée dans ce domaine, et son fouet claqua à nouveau sur le dos de Maëlys.

« Je t’ai demandé de me sucer, salope, pas d’attendre que le temps passe ! Si tu aimes rien faire, peut-être devrais-je te foutre tout de suite dans la vierge de fer ?! »

La vampire parlait d’une voix forte, autoritaire, afin que Maëlys se réveille un peu. Naturellement, la vampire ne désirait nullement la mettre dans la vierge. Si elle faisait ça, elle n’avait aucun doute : Maëlys en mourrait, et, si, par un miracle incroyable, elle survivait, son esprit, lui, serait brisé. Elle ne tirait plus rien d’elle. La menacer était toutefois le meilleur moyen de la rendre coopérative. Mélinda, avec sa queue toujours enfoncée dans la bouche de son esclave, caressa alors sa nuque, avec une tendresse et une douceur insoupçonnables.

« Remue ton corps... Utilise tes genoux pour ça, et sers-toi de tes mains... Allez, allez ! Si tu veux être une bonne pute, et satisfaire ta Maîtresse, tu dois apprendre à te servir de ton corps ! »

Mélinda enfonça son membre dans la bouche de Maëlys, caressant sa gorge, le glissant si loin que, pendant quelques secondes, les lèvres de l’esclave tapèrent contre les bourses de Mélinda. Son pénis avait quelques poils pubiens à hauteur des testicules, et elle retira ensuite son sexe assez légèrement, afin de ne pas l’étouffer. La Maîtresse attrapa alors l’une des mains de Maëlys, et la mit derrière elle, vers ses fesses.

« Sache que ta Maîtresse adore qu’on s’occupe de son joli cul ! Appuie-toi sur mes fesses pour ne pas tomber, et pouvoir remuer ton corps. Vas-y, allez ! Allez, ma petite pute ! Et utilise ton autre main pour jouer avec mes bourses ! Hum, vas-y... »

La vampire sourit, et retourna caresser les cheveux de Maëlys.

« En tout cas, tu as une belle bouche... Tes lèvres sont faites pour sucer des queues, et la queue de Maîtresse est bonne, non ? Oh oui, tu aimes la quête de ta Maîtresse, ma petite pute, alors, occupe-t-en bien ! »
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Maëlys le lundi 04 juin 2012, 15:26:02
Son fouet claqua, laissant ses innombrables lanières zébrer mon dos de vives traces rouges. La douleur était intense, cuisante, réveillant par la même occasion celle de ces précédents coups de fouets. Bon sang ! Je voulu hurler, mais seul un gémissement étouffé parvint à s'échapper d'entre mes lèvres, je sentais une chaleur lancinante envahir ma peau, se répandre à travers mon corps, provoquant en moi des spasmes de frissons incontrôlées. Mon corps se cambrait sous l'effet de ses coups, comme pour tenter de se soustraire à la douleur... en vain. Mélinda avait un contrôle absolu sur moi, sur mon corps, elle avait la possibilité de faire ce qu'elle voulait de moi, sans que je n'ai mon mot à dire... Tout ce que je pouvais faire, c'était lui faire passer l'envie de me punir, de me faire souffrir, tenter au mieux de la satisfaire...

* Je t’ai demandé de me sucer, salope, pas d’attendre que le temps passe ! Si tu aimes rien faire, peut-être devrais-je te foutre tout de suite dans la vierge de fer ?!

Visiblement non, moi qui pensais bien faire, je me trompais lourdement au sujet de cette fellation. Cela ne lui plaisait pas assez, malgré les efforts que je faisais pour surmonter ma peur, la peur de souffrir, que le fouet qu'elle tenait entre les mains me rappelait sans cesse, ainsi que mon appréhension envers ce sexe masculin, cette épée de chaire frétillante, inquisitrice, s'étant glissée de force entre mes lèvres et réclamant de moi des soins tous particuliers... ce sexe qui me remplissait la bouche, ne me laissant d'autre choix que de le sucer, correctement, de satisfaire les désirs de ma maitresse, d'utiliser mes lèvres pour la stimuler, lui procurer du plaisir, sans faiblir, jusqu'à ce qu'elle jouisse, qu'elle inonde ma gorge de sa semence... Ce que je semblais très mal faire, et les conséquences n'avaient d'ailleurs pas tarder à s'en faire ressentir.

Ma Maitresse voulait que je sois une bonne pute, et que je la satisfasse... Sans prévenir, sa queue s'enfonça profondément dans ma bouche, son gland essayant de se frayer un chemin à travers ma gorge, m'étouffant par la même occasion. C'était vraiment désagréable, j'avais l'impression d'avoir la nausée, que j'allais régurgiter, et son membre qui me remplissait la bouche, me faisait suffoquer... je ne bronchais pas, prenant mon mal en patience, malmenée pendant quelques secondes, avant qu'elle ne se retire légèrement, me laissant respirer à nouveau. Si je devais espérer la satisfaire, je devais y donner du mien, utiliser davantage mon corps... J'allais essayer, même si je ne voyais pas vraiment comment je pourrais m'y prendre... Elle s'empara ensuite de mes mains, posant l'une d'elle sur ses fesses, et l'autre sur ses bourses, elle voulait que je joue avec, que je m'en serve pour lui donner encore plus de sensation, pendant je lui suçais la queue comme une petite pute, avec autant d'appétit que s'il s'agissait d'une délicieuse sucette... oui, elle n'avait encore rien vu, j'allais bien m'occuper d'elle, et lui sucer la queue comme une belle salope...

Fermant les yeux, ne me concentrant plus que sur ce sexe que je tenais entre mes lèvres, je m'attelais à la tâche. Ma bouche coulissait tout le long de son membre, que j'accueillais profondément en moi, doucement d'abord, puis de plus en rapidement. Les fesses de Mélinda m'aidait à conserver mon équilibre, je les pressais doucement entre mes doigts, tandis que mon corps tout entier vibrait au rythme de mes va-et-vient savoureux. Je me délectais de sa queue, la suçant avec passion, je me déhanchais aussi, afin de me permettre une plus grande intensité de mouvement, amplifiant grandement le plaisir que ma bouche lui procurait. C'était devenu davantage qu'une simple fellation, c'était comme si tout mon corps se mettait à son service, cherchait à la faire jouir, lui faire atteindre l'orgasme...

Ma langue ne restait pas inactive non plus, profitant de chacun de mes mouvements pour s'enrouler autour de son sexe, l'étreindre, la lécher, lui offrir encore plus de sensations... Je jouais de ma langue, comme si la queue de ma Maitresse était la chose la plus délicieuse qu'il m'ai été donné de gouter. Chacun de mes mouvements était accompagnée de bruits de succions, j'aspirais son sexe, avec une gourmandise folle. Je sentais qu'elle frémissait sous mes traitements, j'avais l'occasion de l'entendre exprimer son plaisir aussi. Mais je me concentrais uniquement sur ce qui occupait ma bouche pour le moment. Et je devais passer à l'étape supérieure...

Tout en ne cessant de masser ses bourses, le rythme de mes lèvres sur son membre s'accentua, je le suçais avec davantage d'ardeur, utilisant mes cuisses pour pousser, et recevoir son sexe encore plus profondément dans ma bouche, là où elle était la plus accueillante. Son gland tapait l'entrée de ma gorge, rentrant brièvement avant de la quitter aussitôt, chacun de ses coups me faisait mal, me donner envie de suffoquer, mais je continuais, la satisfaction de ma maitresse passait avant tout... Des larmes coulaient sur ma joue, pas tellement à cause de la douleur, mais surtout du traitement infligé, des larmes qui perlaient du coin de l'oeil, sur mes joues rosies, jusqu'à finir par s'écraser sur le sol...

Je sentis alors son sexe frémir, plus que d'habitude, délicieusement installé dans ma gorge étroite, et je n'eu pas a attendre longtemps avant de savoir pourquoi. Ma maitresse était en train de jouir, de puissantes giclées jaillirent de son membre, un liquide chaud et visqueux qui s'écoula jusqu'au fond de ma gorge. Ce gout, cette texture, c'était... c'était assez répugnant, mais je tentais de me contrôler, la laissant inonder ma bouche de son sperme... Obéissant à ses désirs, j'avalais chacune de ses giclées, du moins j'essayais, j'avais des haut-le-coeur à chaque fois, si bien qu'au bout d'un moment, je n'en pu plus, et sortit sa queue de ma bouche, recrachant ce qu'il restait de son liquide séminale... Je me rendis alors compte de l'erreur que je venais de commettre, en particulier quand je vis qu'une partie avait coulée sur son pied...

* Je-je suis désolée, Maitresse ! Je vais... je vais arranger ça...

Je m'appliquais alors à lui lécher les pieds, nettoyant en hâte ce qui avait malencontreusement atterri là. Ma langue caressait le haut de son pied, léchant sa peau, lapant son sperme comme une chatte laperait un bol de lait... En espérant qu'elle ai compris que les châtiments n'étaient plus nécessaire, je ne voulais vraiment plus tâter de ses cruels coups de fouets ! Déjà que les douloureuses marques qu'elle m'avait laissé ne s'estomperont pas avant au moins plusieurs jours, je pense...
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le lundi 04 juin 2012, 18:20:51
Il fallait la motiver un peu, cette petite. Elle était belle, mais pas très maligne... Lente à la réaction. Mélinda lui avait dit comment faire, et c’était à elle de se débrouiller. Maëlys suivait une formation accélérée. Elle n’avait pas eu beaucoup de chance. Généralement, Mélinda était un peu plus douce avec ses esclaves potentielles, mis, ce soir, elle était en manque. Restant debout, la vampire laissa le temps à Maëlys de se faire à ce membre. C’était sa première fellation, et elle s’en sortit finalement plutôt bien. La main de Maëlys s’appuyait sur ses fesses, faisant frémir Mélinda, et, peu à peu, la jeune femme apprivoisait le membre bien dur et bien gros de Mélinda.

« Oh, oh, ma belle... Ma belle petite pute, hummm... »

La vampire soupirait, son fouet continuant à frotter le dos de l’esclave, le frottant lentement. Elle ne la fouettait plus. Pas pour le moment. Fermant les yeux, l’autre main de Mélinda caressait la tête de sa chienne, ses doigts se glissant dans ses belles mèches de cheveux, alors qu’elle sentait des vagues de plaisir monter à l’assaut de son corps. Son sexe était si bien dans cette bouche, sa belle queue était bien au chaud, entourée par les lèvres tendres de l’esclave. Sa verge tressautait à chaque caresse de la langue de l’humaine, et Mélinda fut si heureuse qu’elle en laissa tomber son fouet. Ce dernier roula sur le sol, glissant sur le dos meurtri de Maëlys, inoffensif.

Mélinda glissa ses deux mains dans les cheveux de Maëlys, mais elle agissait peu. Elle s’assurait surtout que sa verge resterait bien dans cette belle bouche, et remuait lentement son corps. Mélinda ne vit ainsi pas Maëlys pleurer, étant bien trop heureuse pour songer à s’occuper d’elle. Elle était au comble du bonheur. C’était tellement bon ! Si bon qu’elle ne put s’empêcher de parler à nouveau, entre des soupirs et des gémissements :

« Haaaa... Tu es très douée, ma pute, très talentueuse, haaaan... Tu l’aimes, ma grosse queue, hein ? Oh oui, tu l’aimes, tu l’adores, même ! Et tu auras l’occasion de la goûter encore bien des fois. Haaaaan ! »

La vampire se sentait venir, et retarda le moment de la jouissance autant que possible, afin que cette fellation dure, et que son orgasme soit digne de ce nom. Finalement, la vague la submergea, et elle jouit. Et elle jouit même plutôt bien, lâchant de nombreuses gicles de sperme. Elle commença au fond de la bouche de Maëlys, terminant ainsi sa gorge profonde. Son membre se recula ensuite, et elle eut plusieurs autres secousses, lâchant à chaque fois son sperme, poussant un petit cri à chaque fois. Impossible pour Maëlys de se retirer, les mains de Mélinda étaient comme crispées sur ses cheveux, l’empêchant ainsi de se replier. Ce fut Mélinda qui retira sa queue, en giclant sur la bouche de Maëlys.

Cette dernière cracha néanmoins un peu de sperme, et Mélinda la regarda. Sa queue avait perdu de sa splendeur, et frottait contre la joue de la jeune femme, laissant des traînées blanchâtres sur sa tête. La vampire remarqua alors qu’il y avait des traces de sperme sur son pied, et Maëlys, en paniquant, le nota aussi.

« Je-je suis désolée, Maitresse ! Je vais... je vais arranger ça... »

Maëlys s’appliqua alors à nettoyer le pied de sa Maîtresse, sa langue avalant le sperme. Elle était bien penchée sur son pied, et, silencieuse, la vampire la laissait faire, voyant son pied se faire lécher avec appétit. Maëlys ressemblait à une véritable neko ainsi... Il ne lui manquait plus que les oreilles de chat, la queue, et les ronronnements. Remarquant alors le fouet, Mélinda, qui se sentait apaisée, le récupéra, en contempla le bout, légèrement ensanglanté, observa le dos lacéré de Maëlys... Et le posa sur la table.

Ceci fait, Mélinda retira son pied propre.

« Redresse-toi un peu, ma belle, glissa-t-elle d’une voix douce. Assieds-toi... Comme le ferait une chatte... »

Mélinda fléchit les genoux, se mettant devant Maëlys, et lui fit un innocent sourire. Elle avait les joues barbouillées de sperme, et semblait surtout terrorisée. Alor,s la vampire se pencha vers elle, et l’embrassa sur ses lèvres couvertes de sperme. Un délicieux baiser, où leurs lèvres se collèrent les unes contre les autres. Un baiser de douceur et de tendresse. Mélinda rompit le baiser au bout de plusieurs secondes, et se releva :

« Relève-toi, ma belle. Tu as fait une superbe fellation, et tu as fait beaucoup de plaisir à ta Maîtresse. Alors, je crois que tu as bien mérité une petite récompense. Suis-moi. »

Mélinda s’était relevée, et sortit des cachots, allant vers une autre partie du manoir. Elle remonta dans les étages, et atteignit une salle de bains. La salle était assez petite, jouxtant sa chambre, et elle ouvrit le placard à pharmacie, en sortant une espèce de tube avec un liquide rosâtre à l’intérieur. De sa visite dans les cachots, Mélinda avait conservé une seule chose : son fouet. Il semblait de bien mauvaise augure pour Maëlys.

« Voici ma récompense, Maëlys... Ce liquide rosâtre est un aphrodisiaque très particulier. Vois-tu, le corps humain est animé par deux pulsions contradictoires et complémentaires : la recherche de l’amour et la recherche de la souffrance. Le plaisir et la douleur. Deux sentiments qui sont aussi proches que différents. Nous sommes autant attirés par l’un que par l’autre, même si le plaisir est souvent plus tentant. Cet aphrodisiaque fait pencher la balance d’un côté. Bois-le, ma petite chienne. »

Après cela, Mélinda comptait la fouetter, et voir ce qui se passerait.
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Maëlys le vendredi 08 juin 2012, 21:53:45
* Redresse-toi un peu, ma belle, glissa-t-elle d’une voix douce. Assieds-toi... Comme le ferait une chatte... - m'ordonna-t-elle avec douceur, après avoir retiré son pied que je léchais avec affection.

Obéissante, je me rassis correctement, à genoux, les mains posées au sol, entre mes cuisses. Le visage encore maculé du sperme de ma maitresse, je regardais non sans inquiétude cette dernière, attendant avec appréhension la suite des évènements. Et le sourire innocent qu'elle m'adressa, bien que bienveillant en apparence, ne me rassura pas vraiment. Le fait qu'une idée encore plus sadique que les précédentes en soit la cause n'était pas a exclure, loin de là... Étais-je devenue parano ? Un petit peu, possible... ses sautes d'humeur intempestives et leurs conséquences avaient de quoi rendre folle après tout, non ?

Malgré tout, je fus agréablement surprise de recevoir un tendre baiser de sa part, faisant par la même occasion voler en éclat mon appréhension. La douceur de ses lèvres m'apaisa presque instantanément. Cela faisait longtemps que je n'avais pas reçu autant de tendresse, c'était si bon... Les yeux clos, mes lèvres se scellèrent aux siennes quelques instants, me faisant oublier ma condition... J'en profitais, tout simplement. Il était si rare de la voir éprouver de la gentillesse, ou de l'affection. Elle rompit alors d'elle même le baiser, me laissant un peu sur ma faim. J'aurais aimé que ce moment dure encore un peu plus longtemps...

* Relève-toi, ma belle. Tu as fait une superbe fellation, et tu as fait beaucoup de plaisir à ta Maîtresse. Alors, je crois que tu as bien mérité une petite récompense. Suis-moi.

Elle avait apprécié ce que je j'avais fait ? Je n'irais pas jusqu'à dire que j'étais heureuse de l'apprendre, mais cela m'a tout de même énormément soulagée. Je n'y avais pas pensé pas sur le coup, j'avais été tellement concentrée sur la queue de ma maitresse sévère et exigeante que je n'y ai pas accordé d'attention, mais... bien malgré moi, cela m'avait étonnamment excitée, d'avoir été sa "belle petite pute"... comme en témoigne ma cyprine qui s'était écoulée sur mes cuisses. Qu'étais-je devenue ? Cela ne me ressemblait pas du tout, à croire qu'elle parvenait à me dresser comme elle l'entendait... Je me relevais alors, sans plus me soucier de ma nudité, et suivi ma maitresse avec une certaine impatience. J'allais recevoir une récompense ? Je lui avais donc plu à ce point là ? Je me demandais de quoi il s'agirait, et je ne tarderais pas à la savoir.

Arrivées dans sa salle de bain, elle me présenta une fiole, dont la couleur rosée n'était pas sans rappeler celle de mes cheveux. Selon ses dires, ce serait un aphrodisiaque... du moins, il semblerait. J'ai toujours cru que leur utilité était d'éveiller plus facilement le désir, et d'accroitre le plaisir qui en découlait, mais celui-ci semblait un peu diffèrent. Il affecterait aussi la douleur... la rendant plus plaisante ? Plus supportable ? Je n'avais pas très bien saisi où elle voulait en venir. Mais quoi qu'il en soit, elle voulait que je la boive, et je ne comptais pas la décevoir.

* O-oui, tout de suite maitresse...

Je débouchonnais la fiole, et bu la totalité du liquide d'une traite. Ce n'était pas vraiment mauvais, ni bon, en fait cela avait un gout plutôt neutre. Et puis... je m'attendais à subir un flot de nouvelle sensation, ou au moins sentir mes sens s'exacerbé un petit peu, mais, non. Rien. Cela ne semblait pas avoir eu de quelconque effet, enfin à première vue. C'était un peu étrange... Je regardais alors Mélinda, légèrement étonné, avant de lui confier d'une voix penaude.

* Je... je ne ressens rien de particulier, maitresse...
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le samedi 09 juin 2012, 16:24:14
Obéissant sagement, Maëlys prit la fiole, et la but rapidement. Le goût n’était pas repoussant, mais on ne pouvait pas trop améliore ce dernier, sans porter atteinte à la solution originelle. Cette fiole était un mélange de magie et de chimie. Maëlys la but intégralement, et Mélinda récupéra le flacon, le reposant, observant attentivement les réactions sur le visage de Maëlys. Pour être honnête, c’était la première fois qu’elle testait cette potion. On la lui avait rapporté d’un marche. Le mage qui vendait les fioles affirmait que cette aphrodisiaque permettait de révéler les « passions cachées », une formule bien énigmatique. D’après lui, et d’après ce que Mélinda en avait compris, l’aphrodisiaque faisait voler les plus fortes inhibitions, en permettant aux gens d’exprimer sans gêne leur plus vif désir. Mélinda s’était énormément renseignée sur les pratiques sexuelles, et elle avait compris que le sexe était  parfois assimilé à une espèce de liberté sociale. L’amour était une chose pure, naturelle, et faire l’amour était une manière de briser les conventions que toute société instaurait, de pouvoir laisser parler la violence propre à chaque individu. Une société ne voulait pas de pulsions violentes, car elles étaient antisociales, sauf dans certaines tribus barbares, ou dans les corps d’armées. Et, là encore, la violence était entourée, encadrée par des disciplines strictes. L’amour permettait d’exprimer cette violence innée à chaque individu, mais, même là, cette violence propre aux espèces vivantes était nimbée, drapée dans les voiles du plaisir. Cette potion était supposée permettre de réveiller l’attirance naturelle des individus pour la violence.

Une théorie intéressante, mais, quand Mélinda vit le visage de Maëlys, elle déchanta légèrement. La jeune femme ne semblait avoir rien ressenti, aucune rougeur particulière, et, surtout, aucune inclinaison notable dans son sang. Avait-elle été arnaquée ? Terra était une planète remplie de beaux parleurs, de menteurs et d’escrocs.

« Je... je ne ressens rien de particulier, maitresse... » confia Maëlys.

Mélinda s’humecta les lèvres, laissant flotter quelques instants de silence. La vampire réfléchissait. Il était aussi possible que cette aphrodisiaque ne produise aucun effet immédiat, ou aucun effet visible. Après tout, son objectif n’était pas d’exciter la libido, comme la plupart des aphrodisiaques. Si ça avait été le cas, Mélinda l’aurait senti tout de suite. Ne se décourageant pas, elle s’assit alors sur le rebord de la table. Maëlys était un petit peu plus grande qu’elle, et, de cette manière, elle put enrouler ses jambes autour de la taille de Maëlys, afin de l’embrasser à nouveau. La vampire avait senti, quand elle avait embrassé Maëlys, à quel point cette dernière avait aimé ça. Or, Mélinda ne voulait pas que son esclave croit à une nouvelle manipulation de sa part.

Elle se blottit donc contre elle, pour un nouveau et très tendre baiser. La vampire était capable des pires excès de cruauté et des meilleurs moments de tendresse. L’une de ses mains alla tendrement caresser les mèches de cheveux de son esclave. Maëlys était intelligente, Mélinda le savait. D’ici un certain temps, elle saurait comment se comporter avec elle, comme la plupart de ses esclaves. La vampire n’était pas foncièrement mauvaise, il fallait juste apprendre à la connaître... Et Maëlys apprendrait. Car Mélinda ne comptait pas l’abandonner. C’était une petite perle, cette femme. Elle comptait la garder bien précieusement avec elle.

Finissant par rompre son baiser, la vampire adressa un léger sourire envers Maëlys, caressant avec ses mains les belles joues de cette femme. Maëlys aimait peut-être les baisers, mais elle devait se rassurer sur un point : Mélinda aussi ! La vampire aimait beaucoup de choses. Elle sourit à son esclave, et lui lança :

« Nous allons voir si l’aphrodisiaque a marché... Pour ça, je vais devoir te fouetter à nouveau... Mais ne t’en fais pas, je ne chercherai pas à te punir. Quand je te fouetterai, tu devras me dire ce que tu ressens, si... Si c’est pareil aux précédentes fois. Et tu n’as pas intérêt à me mentir. »

Mélinda ne lui avoua pas qu’elle le sentirait. Le sang ne mentait pas. Elle saurait si Maëlys lui mentirait ou pas, mais elle ne voulait pas que l’esclave le sache. Autrement, elle lui dirait la vérité. C’était une manière de voir si elle pouvait lui faire confiance ou pas. Mélinda caressa à nouveau les joues de Maëlys, comme pour la rassurer, glissant de nouvelles paroles réconfortantes :

« Ne t’en fais pas, ma belle, je ne compte pas te punir... Si tu n’apprécies pas le fouet, j’arrêterai de te battre, et je te ferais l’amour... Toute la nuit. »

Elle l’embrassa à nouveau, comme pour la rassurer, puis descendit alors, et tendit sa main pour que Maëlys la prenne. Mélinda ressemblait presque à sa petite sœur. Sa petite taille était son arme la plus terrible, à n’en pas douter. Comment pouvait-on se méfier d’une fille qui était à la fois petite et si belle, et dont les grands yeux verts ruisselaient de la plus sincère innocence ? Mais Maëlys ne s’y tromperait pas ; Mélinda pouvait être une vraie salope quand elle le voulait.
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Maëlys le lundi 11 juin 2012, 22:52:43
Ma remarque fut accueillie avec un silence des plus pesant. Je restais immobile, bien sagement, dans l'attente d'une réaction de sa part. N'importe laquelle ! Dans le doute, mon esprit s'imaginait les pires atrocités auxquelles cette Mélinda était capable de penser. Pourquoi me punirait-elle ? Simple, elle n'avait pas besoin de chercher bien loin, la moindre broutille lui suffirait, comme par exemple le fait que j'ai apparemment fait échouer ses plans. Je frissonnais légèrement, de peur surtout, mais aussi un peu de froid, étant restée nue depuis assez longtemps maintenant. En plus des fins granulés typique de la chair de poule, la surface de ma peau pâle était couverte de rougeurs diverses, provenant de mes "aventures" de la journée, mais bientôt il ne paraitra plus. Sauf peut-être les cicatrices que m'a laissé son fouet, l'instrument de son sadisme qu'elle utilisait pour me châtier... à cette seule pensée je me mis à frissonner davantage. La cruauté dont j'avais été la victime m'avait indéniablement laissé des traces dans mon esprit. Mais le pire, dans tout ça, c'était la douceur, la tendresse dont elle savait faire preuve, le contraste saisissant entre les terribles épreuves qu'elle me faisait subir, et l'affection qu'elle me portait parfois, que j'appréciais énormément...

Son affection se manifesta d'ailleurs une nouvelle fois, à ma grande stupéfaction. La réaction que j'attendais ne tarda pas, et elle... elle m'embrassa. Encore. Un baiser plein de tendresse, tendresse qui se traduisait également à travers ses caresses, ses jambes autour de mes hanches, ses mains qui glissaient sur mes cheveux, sur mes joues... Tant d'affection, je me sentais aux anges tellement c'était agréable ! Je répondais à son baiser, profitant de chacun des instants où nos lèvres se happaient l'une l'autre, scellées en une délicieuse étreinte. Je fermais les yeux et profitais longuement de ce moment, me rappelant que même en Enfer, il existait un Paradis... avant que ma maitresse ne rompit ce baiser, non sans m'adresser un rassurant sourire.

* Nous allons voir si l’aphrodisiaque a marché... Pour ça, je vais devoir te fouetter à nouveau... Mais ne t’en fais pas, je ne chercherai pas à te punir. Quand je te fouetterai, tu devras me dire ce que tu ressens, si... Si c’est pareil aux précédentes fois. Et tu n’as pas intérêt à me mentir.

Mon visage devint livide, encore plus pâle qu'il ne l'était déjà naturellement. Me fouetter ? Mais pourquoi !? Était-ce justement là sa vengeance, une manière d'extérioriser sa frustration concernant le fait que cela n'ai pas marché, un châtiment enrobé dans un écrin de douceur, de compréhension, et de pardon !? Mon dieu, non... J'étais tellement bien, lorsqu'elle m'avait embrassée, pourquoi a-t-il fallu qu'elle cesse pour m'assener une telle nouvelle... Je ne voulais plus être fouettée. Je ne voulais plus avoir à souffrir. Même s'il ne s'agissait que d'un "test" passager. Comme si j'étais un simple rat de laboratoire... Je chassais ces idées de mes pensées, sachant bien qu'elle ne m'apporterais rien de bon, et acquiesça docilement. La seule chose que je pouvais faire, sans m'attirer des ennuis plus grave encore.

* Oui... oui maitresse, je serais sincère avec vous...

* Ne t’en fais pas, ma belle, je ne compte pas te punir... Si tu n’apprécies pas le fouet, j’arrêterai de te battre, et je te ferais l’amour... Toute la nuit.

Cette alternative me stupéfia, littéralement. Mais à quoi étais-je en train de penser !? Elle ne me considérait pas comme une simple cobaye, je me trompais sur toute la ligne. Ma maitresse m'appréciait, et elle était même prête à me faire l'amour, elle ne me voulait pas de mal... Ou était-ce un stratagème pour me déstabiliser davantage ? Je ne savais pas, je ne savais plus. Difficile de démêler le vrai du faux, sans être lucide. Avoir les idées claires était devenu bien au dessus de mes forces...

Seule ses mots raisonnaient dans ma tête.
*Elle me ferait l'amour... toute la nuit...* Ils sonnaient comme l'annonce d'une libération, comme une délicieuse récompense après avoir patiemment enduré tout ces supplices. Malgré tant de tourments... j'aurais donc enfin droit à un peu de douceur ? Autres que les épisodiques mais néanmoins réconfortants baisers que ma maitresse m'offraient parfois ? Cela me paraissait presque irréel... d'autant plus qu'avant cela, je devais passer une autre épreuve, celle du fouet. Afin de tester les effets de cet aphrodisiaque, d'après ses dire. Au point où j'en étais, de toute façon, ce passage obligé ne faisait plus grande différence... même si je ne cessais malgré tout de trembler, mais légèrement, ressemblant davantage à des spasmes qu'à des frissons, et ce, tout le long du chemin, pendant que la vampire me menait à sa chambre.

Je ne bronchais pas malgré mon appréhension, je m'efforçais d'être la plus sage possible, la plus docile. Éviter d'inutile coup de sang qui me serait relativement fatal. Je ne bronchais pas davantage, lorsqu'elle m'attacha les chevilles et les poignets à des chaines sortant du sol et du plafond. Elles ne se trouvaient pas tout à fait au centre, mais pas non plus près des murs, lui laissant assez de place pour pouvoir en faire le tour. Ces chaines m'obligeaient à me tenir les quatre membres en croix, par manque de mou, tandis que mon dos se cambrait à cause de l'écart entre l'alignement des chaines. J'étais ainsi offerte, prête à subir cet énième sévices. Et j'attendais. J'attendais l'instant fatidique ou le fouet qui pour le moment caressait outrageusement mes blessures finirait par s'abattre... ce qui ne tarda pas.

* AAAAAAAAAAAAAHHHH !!!

Le coup cingla férocement sur mon dos, suivi de près par un second, tout aussi cruel que le précédant. Les lanières de cuir me lacérèrent la peau, suscitant une souffrance aussi vive que celle que j'ai connu, si ce n'était plus. Insupportable ! Mais les choses était néanmoins différentes des autres fois... La douleur était là, bel et bien perceptible, si lancinante que cette effroyable sensation me poussait à cambrer mon corps. Mais il y avait une autre sensation qui l'accompagnait, quelque chose qui s'apparentait, à... à du plaisir ? Au premier coup, la douleur cohabitait avec une douce et agréable sensation, enivrante, assaillant à deux ma sensibilité. J'avais mal, mais au fond de moi j'appréciais cela... Le second coup quant à lui sembla être celui qui fit mouche. Le plaisir que je tirais de cette souffrance semblait être accru, devenir bien plus intense, provoquant en moi des vagues d'excitation. Tant et si bien qu'un léger flot de cyprine s'écoulait de mon intimité... Mais qu'est ce qu'il m'arrivait !? Etait-ce donc les effets de cette mixture ? Désinhibant la sensation de douleur et de plaisir... ?

Je ne savais plus très bien, mais une chose était sûre : je n'acceptais pas cela. J'essayais tant bien que mal de resserrer les cuisses, faire cesser cet honteux écoulement de fluide, je serrais du mieux que je pouvais, mais sans succès, les chaines m'en empêchaient. Ma cyprine continuait de couler, certaines gouttes perlaient le long de mes cuisses, tandis que le reste n'avait d'autre choix que de finir leur parcours au sol, formant une petite flaque entre mes jambes. Je n'arrivais pas à croire ce que je venais tout juste de vivre, j'étais dépassée, je crois que c'en était trop...

Je me mis à pleurer, pleurer à chaude larme. Je me mis même à sangloter, le haut de mon corps s'agitant au rythme de mes spasmes. Pourquoi ? Je ne le savais pas moi même... Mais je ressentais ce besoin de pleurer, un besoin que je ne pouvais plus refouler. Était-ce le coup de fouet de trop ? Peut-être bien... Voire même le fait d'en ressentir du plaisir, avoir été corrompue au point d'aimer mon supplice... Mais aussi, le fait que Mélinda ai vu de ses propres yeux le plaisir que j'en ai tiré, et ça... ça voulait dire qu'à l'avenir, elle n'aurait plus aucune raison de retenir ses coups, le fouet à la main. La perspective de souffrir, encore, et encore, et encore... quand bien même le plaisir s'y joignait, un plaisir des plus pervers que cette vampire semblait m'avoir inculqué, cela m'était insupportable. Je ne voulais pas qu'elle se serve de ce prétexte pour faire de moi l'exutoire de sa violence refoulée, j'avais déjà suffisamment souffert comme ça...

* J-je...je... - balbutiais-je en sanglotant, les larmes aux yeux. Je fis un effort surhumain pour tenter de me calmer, prendre sur moi, et inspirer un bon coup, avant de poursuivre. - Ce n'était pas pareil que les autres fois, m-m-maitresse... Je-j'ai senti une nouvelle chose, d-du plaisir... du plaisir qui s'est mêlée à la douleur ressenti...m-m-mais-m-mais... - incapable de me contrôler davantage, j'éclatais en sanglot. - mais ce n'est pas vrai, je ne veux pas, je ne veux plus avoir à souffrir, pitié... pitié... Je ferais tout ce que vous voudrez ! Je serais votre salope, la plus docile de vos petites putes ! Je serais votre chienne, gourmande ! À quatre pattes, je sucerais votre queue, ou lècherais vos pieds ! Je vous vénèrerais, comme une déesse ! Mais... par pitié...

Abattue, je ne tenais même plus debout, soutenue seulement par mes chaines, mes chaines qui me rappelaient ma condition... Les larmes me brouillaient la vue tant ils abondaient, intarissable. Sous le coup de l'émotion, je ne pu terminer ma phrase... mais elle était assez éloquente pour qu'il n'en fusse besoin.
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Mélinda Warren le mardi 12 juin 2012, 03:38:43
La perspective de se faire à nouveau fouetter ne rassurait pas du tout Maëlys, ce que Mélinda pouvait aisément comprendre. Son dos bien rouge, marqué de meurtrissures et de zébrures, témoignait des coups, multiples, qu’elle avait reçu. Il faudrait sûrement l’emmener chez un guérisseur ashnardien demain pour lui retirer ces vilaines cicatrices. Son corps était bien trop beau, bien trop pur, pour qu’elle le laisse avec de telles marques. Elle conduisit donc une Maëlys anxieuse dans sa belle chambre. Cette dernière comprenait deux grandes fenêtres donnant sur la forêt, des rideaux, une cheminée, un grand tableau qui contenait une aquarelle de Mélinda, et des chaînes sur le plafond et le sol, à proximité du grand lit aux couvertures pourpres. Quatre personnes au moins pouvaient dormir sans problème dans ce lit. Il était tout simplement énorme.

Mélinda attacha Maëlys, devant pour cela bien écarter ses membres. Elle l’embrassa à nouveau, essayant vaguement de la rassurer, mais cette dernière était toujours aussi inquiète... Même si la perspective de faire l’amour toute la nuit avec Mélinda avait, semble-t-il, éveillé chez elle un désir profond. Mélinda eut un léger sourire. Pour une première soirée, c’était très prometteur. Dresser Maëlys pour en faire une parfaite esclave prendrait sûrement des semaines, mais la vampire était sûre d’en faire l’une de ses meilleures esclaves, une femme qu’elle pourrait battre pendant des heures, et la faire jouir à coups de fouets. Mélinda en était intimement convaincue. Récupérant à nouveau son fouet, elle le promena lentement sur le dos de la femme, glissant sur son joli cul, prenant lentement son temps. Ses doigts tremblaient légèrement.

*Mon Dieu, j’adore vraiment la fouetter... Je dois vraiment être une petite sadique ! Mais c’est trop tentant... Son corps est fait pour le vice et la luxure... Tu as raté ta vocation, ma belle, si tu croyais être douée pour autre chose... Tu seras l’une de mes plus belles esclaves, ma petite perle... J’ai plein de choses pour toi !*

Revenant au présent, Mélinda cessa de caresser le dos de Maëlys avec son fouet, et le releva. Il y eut un petit instant de flottement, et le fouet claqua à nouveau, donnant lieu à un hurlement qui ne fut guère surprenant. Le sang se mit à remuer, et Mélinda crut percevoir un infléchissement sanguin dans les cuisses de son esclave. Un léger sourire aux lèvres, elle décida de s’en assurer, et la fouetta à nouveau. Ce qu’elle pensait se confirma bel et bien : le plaisir était en train d’exploser dans le corps de Maëlys, et il y avait une telle activité sanguine qu’elle ne pouvait que mouiller. Ceci arracha un sourire de plaisir sur les lèvres de Mélinda, qui s’apprêta à faire parler le fouet une troisième fois, lorsque son esclave se mit à parler.

Elle pleurait. Mélinda pouvait le sentir, mais ce n’était pas étonnant. Ses nerfs étaient probablement en train de lâcher, car elle devait s’attendre à recevoir une autre correction. Les coups de fouet avaient de plus du réveiller ses blessures, d’où une hausse de douleur. De son long discours, Mélinda ne retint que quelques phrases intéressantes :

« Je serais votre salope, la plus docile de vos petites putes ! Je serais votre chienne, gourmande ! À quatre pattes, je sucerais votre queue, ou lècherais vos pieds ! Je vous vénèrerais, comme une déesse ! Mais... par pitié... »

Mélinda reposa alors le fouet sur une commode, et s’approcha du dos de Maëlys. Elle saignait, et Mélinda posa ses mains sur les seins de l’esclave, et lécha alors ses plaies, avec lenteur et tendresse, avalant son sang, promenant sa langue sur ses plaies tout en caressant ses tétons, les pressant entre ses doigts, écartant son sein gauche du droit, les remuant, continuant à panser ses plaies, frottant ses seins contre son dos. Elle était déjà à moitié courbée, ce qui fait que Mélinda avait le buste penché sur elle, gémissant lentement en gouttant son sang parfait.

L’une de ses mains glissa alors sur le ventre de Maëlys, et alla, sans aucune hésitation, farfouiller son intimité, la doigtant. Elle remonta alors sa langue près de l’oreille de l’esclave, et lécha sa peau, tout en déposant de tendres baisers affectueux sur son cou :

« Hum... Tu vois, tu commences à devenir une parfaite salope, ma belle... Oh oui, tu mouilles beaucoup... Là, laisse-toi aller, laisse le plaisir t’envahir... Les clients aiment bien jouir, mais ils adorent aussi quand les putes jouissent également, ça leur donne l’impression d’être de bons coucheurs. Ne t’en fais pas, je ne vais plus te fouetter, mon ange... Je t’entraînerai à résister à la douleur, et à l’apprécier, et, quand ce sera fini, tu seras une salope merveilleuse, et tu vivras à jamais et pour toujours dans le vice et la luxure. A en donner des pâleurs aux succubes... »

Enfonçant son doigt dans l’intimité de Maëlys, Mélinda continuait à le remuer, ses autres doigts caressant sa peau. Le majeur s’envola en profondeur dans son antre, et Mélinda promena sa langue sur l’oreille de Maëlys, embrassant son corps.

« Ton sang est un véritable festin... Je t’entraînerai petit à petit... Des claques sur ton cul, des coups de cravaches, en montant d’un cran à chaque fois que tu ne te satisferais plus de simples tapes. La prochaine fois que mon fouet frappera ton corps, tu comprendras combien douleur et plaisir sont les facettes d’une seule et même pièce, qu’on appelle vie. »

Son autre main, elle, continuait à jouer sur le sein de Maëlys, et remonta lentement pour caresser ses lèvres. Un autre doigt s’enfonça dans sa bouche, invitant cette dernière à le suçoter, tandis que le sang de Maëlys ressortait lentement de ses plaies, maculant ses seins de tâches écarlates légères.

« Je t’aime, Maëlys. Pourquoi donc crois-tu que je prendrais autant soin de ton éducation ? Mes esclaves sont probablement les esclaves les plus heureuses de tout Terra, car je les aime et je les chéris. Elles sont mes protégées. Je les dresse pour en faire de belles femmes désirables, et non des loques humaines qu’on brise. Crois-moi, avec moi, tu seras heureuse. Ta vie ne sera plus qu’une perpétuelle jouissance, une ode au bonheur constante et perpétuelle. Tu boiras plus de sperme et de cyprine que d’eau durant toute ta vie, et je te ferais aimer bien des plaisirs... »

Elle retira sa main de ses lèvres pour presser les fesses de cette dernière, en serrant une tendrement, avant de poser sa main sur son membre, et de le descendre entre les fesses de la femme, sans pour autant lui faire une sodomie.

« Tu feras l’amour tous les jours... Et je te sodomiserai une fois par jour, jusqu’à ce que tu finisses par raffoler de ça. Je te promets un long mois de plaisirs sans fin entre mes mains. Je dois désormais être pour toi comme une Déesse, comme ta mère, ta femme, ta confidente... Tu dois m’aimer à en mourir, me craindre, et me vénérer. »

Tout en parlant, Mélinda continuait à la doigter, et elle se retira alors. Avec son doigt rempli de cyprine, elle le glissa dans la bouche de Maëlys, pour qu’elle goûte à son propre jus, et lui ôta alors ses chaînes, commençant par celles aux pieds, puis par celles aux bras. Mélinda regarda alors Maëlys dans les yeux, et l’embrassa sur les lèvres, avant de le pousser sur le lit, où elle tomba sur le dos, s’étalant au milieu du lit.

« Il est temps de passer à ta récompense, ma belle... Mais, avant ça, tu dois savoir que j’aime bien faire l’amour à plusieurs... »

Mélinda alla à son tour s’allonger sur le lit, au-dessus de Maëlys, s’étalant progressivement vers elle. Avant de le faire, elle songea toutefois à appuyer sur un discret bouton, appelant deux de ses concubines.

« Nous allons passer une nuit de folie... Généralement, je laisse le choix à celle qui a la chance de se trouver dessous d’être attachée ou pas, mais, comme c’est ta première fois, mon amour, je pense que tu pourras utiliser tes belles mains. »

Lui faisant un sourire encourageant, Mélinda l’embrassa alors sur le visage, son membre masculin glissant sur son bassin, tandis que deux belles autres femmes entraient dans la pièce, répandant leurs parfums enivrants. Avec des sourires, elles s’allongèrent à gauche et à droite des deux femmes, commençant de longs ébats.
Titre: Re : Une rencontre qui tourne mal (Mélinda Warren)
Posté par: Maëlys le mardi 19 juin 2012, 13:21:57
À mon grand soulagement, mes paroles semblèrent avoir eu l'effet escomptée. Les coups de fouets cessèrent peu après, et Mélinda reposa même son fouet, satisfaite, n'y voyant sans doute plus l'utilité après avoir vue que je m'offrais à elle. Et, je me sentais davantage rassurée, maintenant... bien que toujours en état de choc. Mon corps continuait à frémir un peu, et j'hoquetais mes derniers sanglots.

Surprise et assez gênée, j'eus un léger sursaut lorsque ma maitresse s'approcha derrière moi et s'empara de mes seins. Malgré tout, j'appréciais le contact de ses mains, et ce retour à la douceur, après la souffrance de ses coups de fouet, était vraiment des plus agréable... Je fermais les yeux, me laissant bercer par ses caresses, par ses doigts qui manipulaient délicieusement mes tétons, m'arrachant parfois quelques gémissements. Je me laissais un peu aller, les yeux mi-clos. Après ce que je venais d'endurer, cela me faisait tellement de bien...

* Mmmmmmhhh...

Elle se blottit davantage contre moi, et je sentais sa langue effleurer ma peau. Je saignais ? Il semblerait bien, oui. Elle m'avait donc fouettée jusqu'au sang... et se repaissait maintenant de mon sang ? Sa langue qui s'affairait le long de mes cicatrices, s'abreuvant de mon hémoglobine, me rappelait que je n'avais pas affaire à une simple humaine, mais bel et bien à une vampire. Une créature des ténèbres, sanguinaire... je frissonnais, et tentais de chasser ces idées de glauque de mon esprit, me concentrant sur les caresses que Mélinda offrait à ma poitrine, si agréable que je me perdais dans ses bras, oubliant mon environnement, pour ne penser qu'à la tendresse de cet agréable moment. Ses lèvres se posèrent sur mon cou, m'embrassant affectueusement, me faisant frissonner davantage. C'était si bon...

* Hum... Tu vois, tu commences à devenir une parfaite salope, ma belle... Oh oui, tu mouilles beaucoup... Là, laisse-toi aller, laisse le plaisir t’envahir... - me dit-elle, tandis que ses doigts s'était aventurés vers mon intimité ruisselante de cyprine, qu'elle n'hésita pas un seul instant à pénétrer.

* A-AAAAHH !! ...

Je ne pus retenir un cri, trahissant mon excitation, et le plaisir qui m'envahissait. Un cri involontaire, mais néanmoins digne d'une salope. Ce que je semblais être... Au fond, je n'étais qu'une poupée entre ses mains, immobile et impuissante, une poupée de chair avec laquelle elle pouvait s'amuser à loisir, tant pour ses plaisirs sadiques, auxquelles j'eu le malheur de participer, que pour ses plaisirs plus charnels. Comme ses doigts qui me pénétraient, qui s'agitaient en moi, dont chacun des mouvements m'excitaient... La pression sur mon sein ne faiblissait pas, pinçant et agitant mon téton que le plaisir avait durci, pas plus que mes gémissements, qui se faisaient de plus en plus intenses, de plus en plus soutenus. Ses gestes m'excitaient, oui, je ne pouvais le nier, je surpris même mon bassin à se déhancher légèrement, au rythme de ses pénétrations que je désirais plus intense. C'était tellement bon, j'avais l'impression que mes sensations étaient décuplées... Ma respiration était rapide, saccadée, et chacune de mes inspirations se terminaient par un langoureux soupirs. Des soupirs intenses, indécents, que je ne retenais plus. Elle voulait que je me laisse aller, et c'était bien ce que je comptais faire. Profiter des plaisirs que ma maitresse m'offriraient...

* AH !... MMMHH ! ... Je...

J'hésitais un peu, ne sachant pas trop que dire. Elle m'avait affirmé que "les clients" aimaient qu'on leur fasse savoir qu'ils sont doués, et je voulais faire de même, me montrer compétente afin de la satisfaire, et pour cela il fallait que je flatte son égo. C'était facile en soi, je n'avais même pas besoin de mentir, le contact de ses doigts sur les parois de mon intimité m'excitaient follement. Je ne cessais de gémir sous ses caresses, ce qui était explicite, mais j'aurais aimé en dire plus... Les mots ne me venaient pas. Je n'avais pas vraiment l'habitude de ce genre de chose, je devais bien l'avouer... Et sentir sa verge impérieuse se coller à moi, blottit entre la chair tendre de mes fesses, n'était pas pour me mettre davantage à l'aise. Mais c'était vraiment excitant, à en perdre la tête...

* Je...je vous aimerais...maitresse... - soufflais-je, haletante, le souffle court.

Je suçotais sans rechigner ses doigts qu'elle présentait à mes lèvres, les conservant dans ma bouche, savourant ma propre cyprine qui s'était écoulée dessus. Elle avait une saveur douce, un peu salé... c'était la première fois que j'y goutais, et je trouvais ça, délicieusement pervers.
*Mon dieu, mais que ce que je suis en train de faire...* pensais-je, dans un bref moment de lucidité, qui se volatilisa malheureusement bien vite. Peut-être devenais-je folle. Peut-être devenais-je réaliste. Peut-être vendais-je mon âme au Diable. Après tout, peut importe. N'était-ce pas une utopie tant désirée, que de vivre une vie pleine de plaisirs, de bonheur ? N'était-ce pas la conception du Paradis ? Alors, oui, je voulais croquer cette vie à pleine dent, quitte à devoir m'offrir corps et âme à la jeune vampire...

* Je... cette vie que vous me promettez... ses plaisirs, ses jouissances... je veux y gouter... je dirais même que je le désir, ardemment... je m'en remets entièrement à vous... faites de moi votre esclave, je me soumettrais à votre apprentissage... maitresse

Pour la première fois, ce n'était pas sous la contrainte, ou sous la peur, que je l'appelais ainsi, mais bel et bien parce que, dorénavant, je la considérais comme telle. Ma maitresse... Elle me libéra de mes chaines, et m'emmena avec elle, m'allongeant sur son lit avant de grimper sur moi. Sa verge effleurait ma peau, accentuant la douce chaleur qui couvait au creux de mes reins, source d'un désir qui devenait de plus en plus incontrôlable. Son compter cette entêtant parfum qui chatouilla mon odorat, avant que deux superbes femmes ne viennent s'allonger de part et d'autre du lit, près de nous. Je n'avais encore jamais vraiment fait l'amour, et me voilà en compagnie de trois partenaires, séduisante et visiblement bien plus expérimentée que moi, prête à me faire découvrir les plaisirs charnels pour la première fois. Et ce n'était que le début d'une longue formation...