Le Grand Jeu

Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Dictature d'Ashnard => Discussion démarrée par: Princesse Alice Korvander le lundi 05 mars 2012, 23:01:54

Titre: Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 05 mars 2012, 23:01:54
Tout système un tant soit peu civilisé se devait de comprendre une institution judiciaire efficace et solide. Sylvandell n’y faisait pas exception, et disposait de prisons et de tribunaux, ainsi que d’un système judiciaire qui était assez particulier, mélangeant la justice ashnardienne et la justice sylvandienne. Comme dans chaque système judiciaire, il se composait de plusieurs niveaux. Tout en bas, soit au niveau de chaque baronnie, ainsi que de la ville-basse de Sylvandell, on trouvait un tribunal, dont la composition des juges mélangeait des dignitaires sylvandiens uniquement. Il y avait néanmoins possibilité de faire appel des jugements auprès, soit de la Cour royale de Sylvandell, dans la ville haute, soit auprès de la Cour impériale d’Ashnard. Selon certaines infractions, on pouvait toutefois directement devant passer devant la Cour royale de Sylvandell. De manière exceptionnelle, il existait aussi une troisième instance, la Haute Cour royale, qui ne se réunissait généralement que pour des cas de trahison. Toute l’organisation judiciaire était codifiée dans un livre poussiéreux qu’on trouvait dans toutes les bibliothèques des baronnies, le « Code de l’organisation judiciaire de Sylvandell », avec les autres textes de lois. Parmi les multitudes de dispositions de ces textes, on trouvait notamment toute une section sur l’administration pénitentiaire. Une disposition ancestrale de cette section prévoyait la possibilité pour le Roi et sa famille, soit son héritier, de visiter « à tout moment » les prisons. D’autres dispositions faisaient du Roi de Sylvandell et du Prince les juges ultimes, disposant à cet effet d’un pouvoir de grâce instantané pour une certaine catégorie de délinquants.

Aujourd’hui, Alice avait décidé, eu égard à ce que la loi permettait, de visiter la prison centrale de Sylvandell, celle qui se trouvait dans la ville basse, et dans laquelle on convoyait la totalité des criminels de Sylvandell, ainsi que les délinquants de la basse-ville. Il y avait bien entendu des établissements pénitentiaires dans les baronnies, mais on n’y acceptait que des délinquants. La prison de Sylvandell était une immense prison taillée dans la roche, dans les profondeurs de la montagne. On y accédait par la caserne militaire de la ville basse, à travers une porte en bois close menant dans des couloirs et des escaliers exigus et sombres. La lumière provenait de torches dans des grottes qui avaient généralement été travaillés par l’homme. Une bonne partie des prisons étaient, comme l’indiquait l’expression, « à ciel ouvert », ce qui revenait à dire qu’on avait vue sur le vide. On y mettait généralement les délinquants, et c’est cette section qu’Alice visitait en premier. C’est comme s’il manquait un mur à ces cellules, donnant sur Sylvandell, avec des parois extrêmement raides. A moins d’être une araignée, il était impossible de les escalader, et la chute était mortelle.

Il ne fallut à Alice que quelques secondes pour détester les prisons. De nombreux courants d’air se répandaient dans les interminables couloirs, répandant des espèces de gémissements le long des parois.

« Suivez-nous, Princesse, lança l’un des gardes, un immense homme chauve et massif.
 -  C’est sinistre ici, tu ne trouves pas ?
 -  Hodor ! confirma le demi-géant qui accompagnait Alice se tenant dans son dos, ses épaules massives frôlant parfois contre les parois.
 -  C’est une prison, Majesté. Ce n’est pas le genre de lieu qui est ouvert au tourisme.
 -  Il paraît que ces galeries permettent de mener à la ville haute de Sylvandell… lâcha Alice. C’est ce que j’ai entendu dire une fois…
 -  A vrai dire, il y a tout un réseau souterrain à partir d’ici, mais toutes les entrées ont été condamnées… Croyez-moi, Princesse, je plains le malheureux détenu qui cherchait à s’échapper par là. Il doit sûrement y avoir des entrées annexes, mais les profondeurs sont remplies de monstres… »

Le garde se retint d’ajouter qu’il arrivait parfois que certains monstres, notamment des graveirs, attaquent des grottes la nuit, et dévorent certains prisonniers. Ça ne faisait pas très bon à dire, lors d’une inspection. Alice s’approcha d’une petite cellule sur la droite, avec des barreaux rouillés. C’était vraiment une cellule minuscule, avec un homme retenu par les bras et les pieds à des sangles en acier. Il avait l’air d’avoir été battu, et saignait à plusieurs endroits.

« Qui… Qui est-ce ?
 -  Un voleur », maugréa le bourreau.

Le voleur ouvrit soudain les yeux.

« Princesse ! Princesse ! Ceci est une erreur judiciaire, je…
 -  Ta gueule ! » répliqua le bourreau.

Il appuya sur un levier, et des sangles se tirèrent d’en haut et d’en bas, comme pour écarteler le voleur, qui se tortilla en hurlant. Alice sursauta, et ordonna au bourreau d’arrêter ce spectacle. Ce dernier obéit, et Alice, perturbée, poursuivit son inspection. Ils approchèrent finalement des prisons avec un mur ouvert. Des barreaux permettaient de voir, mais un vent glacial se répandait. Certains prisonniers étaient parfois enchaînés, notamment un curieux individu, qui était attaché par les pieds et les jambes. C’était… Un Inu. Alice s’arrêta en le regardant, fronçant légèrement les sourcils, s’humectant les lèvres.

« Qu’est-ce qu’il a fait ? »

L’homme aspira de l’air pour répondre, mais Hodor poussa alors un éternuement à réveiller les morts, un cri terrible qui fit sursauter Alice.

« Hodor !
 -  Hodor ! Un peu de discrétion, que diable ! »

Le bourreau tenta à nouveau de répondre, mais on entendit soudain des cris de fureur à proximité. Probablement un prisonnier. Soupirant, le bourreau dut s’absenter, et Alice en profita pour regarder le mystérieux Inu.

« Comment tu as pu te retrouver ici, toi ? Tu n’as pourtant pas l’air bien dangereux… »

Pour cette sortie, Alice portait une petite cape avec des bottes et un pantalon blanc, ainsi qu’un manteau. Elle avait également des gants, et un petit bonnet sur la tête, le tout pour la protéger du froid qui régnait ici.
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le mardi 06 mars 2012, 15:23:59
Theorem était installé sagement dans sa cellule. Il ne la partageait avec personne et c'est tout seul qu'il cuvait un peu la colère d'avoir été enfermé ici. Il avait espéré un jugement ou quoi que ce soit qui lui aurait permit de s'expliquer, mais rien... On l'avait jeté dans cette geôle sans plus de procès que d'explication, dépouillé de ses biens. Il attendait calmement de purger une peine, s'il en avait vraiment une. C'est avec un repas par jour d'eau croupie et de pain sec qu'il occupa ses journées à réfléchir sur son cas. Enchaîné aux chevilles, n'ayant plus son armure, il était recroquevillé sur lui-même. Son ample chevelure rouge était sale, mais il n'avait rien pour y remédier. Quand un jour il entendit une voix féminine, il leva les yeux.

« Comment tu as pu te retrouver ici, toi ? Tu n’as pourtant pas l’air bien dangereux… »

Le jeune Inu se releva un peu dégageant des cheveux de devant son visage. Il observa la personne venue le voir sans savoir exactement qui c'était. Dans le vent il avait entendu une personne l'apeller Princesse. Elle devait donc être importante.

"J'étais de passage dans une ville d'Ashnard qui fut attaquée par votre armée. Je n'ai pas cherché à combattre, je voulais simplement fuir. On m'a capturé et c'est sans un mot qu'on m'a jeté ici. Depuis... J'attend qu'on écoute un peu ce que j'ai à dire, en vain."

Il s'approcha doucement, ne se montrant pas hostile.

"Je veux juste partir d'ici... On me garde sans explication depuis un mois je crois... Dur à dire."
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 07 mars 2012, 02:20:35
Le jeune Inu sembla se réveiller quand Alice lui avait parlé. Il n’avait pas l’air bien dangereux, et il s’approcha de la Princesse. Elle entendit vaguement le garde pousser des rugissements en frappant sur quelqu’un, et éprouva une brève once de pitié pour ce dernier. Sa longue chevelure rouge était sale, comme s’il n’avait pas pris un bain depuis longtemps.

« J'étais de passage dans une ville d'Ashnard qui fut attaquée par votre armée. Je n'ai pas cherché à combattre, je voulais simplement fuir. On m'a capturé et c'est sans un mot qu'on m'a jeté ici. Depuis... J'attend qu'on écoute un peu ce que j'ai à dire, en vain. »

Alice fronça les sourcils. Il y a un mois environ, Sylvandell avait en effet attaqué une grande ville, chef-lieu d’une seigneurie qui avait décidé de trahir l’Empire. Le siège avait été sanglant pour les assiégés, les envahisseurs ayant réussi avec succès à incendier la ville, et à rentrer. Les dragons de Sylvandell étaient particulièrement dangereux, et avaient ouvert la voie à d’innombrables légions. Alice avait entendu les rapports de la bataille, et, comme pour chaque bataille, on avait fait des prisonniers de guerre. Cet Inu devait probablement être l’un de ces prisonniers. Alice doutait qu’il serait jugé. Juridiquement, un prisonnier de guerre n’avait aucun droit à proprement parler, et sûrement pas le droit à un procès. C’était injuste, mais on était à Ashnard, après tout. L’Empereur ne devait la justice qu’au nom de ses sujets, et un prisonnier de guerre était assimilable à un esclave, soit un être vivant qui n’était pas vraiment une personne juridique.

L’Inu s’approcha des barreaux, et Alice ne se recula pas. Il n’était vraiment pas effrayant, le pauvre… Dans le fond, il n’était pas impossible qu’il ne soit pas un rebelle. Sûrement quelqu’un qui s’était trouvé au mauvais endroit au mauvais moment, mais, dans le fond, il pouvait s’estimer chanceux de n’être que prisonnier. On ne l’avait visiblement pas violé, ni mutilé, et il était au moins toujours en vie.

« Je veux juste partir d'ici... On me garde sans explication depuis un mois je crois... Dur à dire.
 -  Je vois… » répondit rapidement Alice.

Le garde n’était toujours pas revenu, et la Princesse lui donna donc des explications.

« L’Empire a demandé, ou ordonné plutôt, à Sylvandell d’attaquer une ville qui ne respectait pas les ordonnances impériales. Une enquête avait établi la duplicité des dirigeants de cette ville à l’égard de l’Empire. Ils ont refusé de se soumettre, et Sylvandell a du attaquer… J’ai bien peur qu’on t’ait pris pour un rebelle. Juridiquement, tu es un prisonnier de guerre, ce qui revient à dire que tu n’as aucun statut, et aucun droit, même pas celui à un procès. Le plus probable est qu’on te vendra au marché aux esclaves… Du moins, normalement… »

La Princesse connaissait bien le droit de Sylvandell. N’ayant jamais vraiment reçu une éducation physique digne de ce nom, en raison de sa constitution, elle avait éduqué son esprit, et avait donc de nombreuses connaissances. Le droit était une chose indispensable, si on voulait être une Princesse. Elle décida rapidement de rassurer l’Inu.

« Tu n’as pas l’air dangereux, et je crois que tu ne me mens pas… En tant que Princesse de Sylvandell, je dispose du pouvoir de te gracier. Comme tu n’as commis aucune infraction grave, mon pouvoir peut s’appliquer sans nécessiter un avis de la Haute cour de Sylvandell. Mais tu dois savoir que mon pouvoir se contentera de te libérer des geôles, mais tu resteras officiellement un esclave. Seul mon Père dispose du pouvoir de faire toi un individu libre. Tu seras donc sous mes ordres. »

La Princesse énumérait à l’Inu ses différentes options, mais elles étaient à vrai dire restreintes. Il avait en somme le choix entre croupir ici et mourir, ou être revendu comme esclave, ou être le serviteur d’Alice.

« Je ne peux toutefois pas te gracier sans ton accord… Alors, c’est à toi de voir… Si tu tiens à redevenir libre, je pourrais toujours intercéder auprès de mon père, mais je ne peux rien te promettre… »

Entre-temps, le garde était revenu, et avait jeté un œil mauvais sur l’Inu.

« Il vous importune, Madame ? demanda ce dernier.
 -  Non… Non, pas du tout… Je me demandais juste combien de temps il allait encore rester là…
 -  Comme vous le savez, la grande foire approche. Nous vidons nos prisons à cette occasion des prisonniers de guerre pour les revendre. Bien sûr, ils peuvent toujours choisir de devenir gladiateurs, mais je crois que ce bout de cul-là n’ira jamais se risquer dans l’arène…
 -  Il me semble qu’il reste aussi le droit de grâce…
 -  Le droit de grâce ? Envers ce sauvageon ?! »

Le garde préféra en rire, tant l’idée semblait absurde, mais il se calma en voyant le regard sérieux de la Princesse. Elle préféra tourner sa tête vers l’Inu.

« C’est une option que j’envisage… »
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le mercredi 07 mars 2012, 11:06:41
Theorem écouta les options proposées par la princesse de Sylvandell. Il passa sa main dans ses cheveux sales mais quand il rencontra plusieurs noeuds, il s'arrêta. Qu'est-ce qu'il aurait aimé prendre un bain. Ici on n'avait fait que le battre, ce qui expliquait les quelques bleus qu'il avait sur lui. Il en avait surtout sur l'abdomen, faute de faire souffrir son bras droit et ses deux jambes qui étaient artificielles. On ne l'avait pas violé non plus car quand un garde semble intéressé par lui, croyant avoir à faire à une femme, il eut une douche froide instantanée en tirant sur sa culotte et découvrir son vrais sexe. Depuis les gardes le laissait tranquille. Pour le moment il ne portait sur lui que des bas et des gants ainsi qu'une longue écharpe dans laquelle il avait entouré son corps. Malgré l'usure de ces derniers, il ne semblait n'avoir que ça sur lui.

La possibilité d'une grâce l'émerveilla. Ainsi, on pouvait le faire sortir d'ici sans plus qu'un mot de la personne en face de lui ? Ses options étaient limitées. Il pouvait croupir ici jusqu'à la fin de ses jours... ce qui n'arriverait jamais vu qu'il avait été rendu immortel par le dieu Hunder. Il pouvait combattre dans les arènes, certainement face à des machines à tuer et sans arme pour rendre le spectacle plus sanglant à la foule, ou encore être vendu au marché aux esclaves et tomber sur bien pire qu'une jeune princesse se souciant de son état.

"Princesse... Je vous fait le serment de vous servir comme chevalier esclave. Je vous défendrais et vous servirait jusqu'au retour de mes status auprès de votre autorité. Je suis à votre service sur votre seul mot. Graciez-moi et je passerais un long moment de ma vie à vous aider et vous servir... Ici je suis condamné, vous seule pourrait me sauver."
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 07 mars 2012, 18:13:13
Alice était très sérieuse, et le garde le sentit. Gêné devant un regard si autoritaire, il ne savait pas quoi dire, d’autant plus qu’on n’était pas habitué à lire une telle assurance chez la Princesse héritière, qui avait plutôt la réputation d’être une jeune fille patoche qui passait son temps à sauter sur tout ce qui bouge. Or, son regard acéré et déterminé témoignait qu’elle était bien une Korvander. L’Inu finit ensuite par agir.

« Princesse... Je vous fait le serment de vous servir comme chevalier esclave. Je vous défendrais et vous servirait jusqu'au retour de mes status auprès de votre autorité. Je suis à votre service sur votre seul mot. Graciez-moi et je passerais un long moment de ma vie à vous aider et vous servir... Ici je suis condamné, vous seule pourrait me sauver. »

Un sourire victorieux éclaira les lèvres d’Alice, qui croisa les bras.

« Alors ?
 -  Soit… J’imagine que la visite se termine ici…
 -  Ce que j’ai vu est déjà suffisamment édifiant, confirma Alice. Maintenant, libérez-le. »

Bien sûr, ce ne fut pas aussi simple. La Princesse se rendit auprès du bureau de l’officier responsable de la prison, afin d’obtenir un formulaire de libération. L’Inu y donna son nom, Theorem, restant à proximité d’Hodor. Massif, ce dernier observait curieusement l’Inu, mais n’agissait pas, ne sentant chez lui aucune menace. Alice signa, de même que Theorem, . Il restait encore à homologuer ce document par un juge. Alice et Theorem, accompagnés par Hodor, sortirent de la prison. Theorem n’avait pas encore ses effets personnels, qui étaient dans les entrepôts royaux. Alice comptait aller les chercher plus tard.

« Nous allons aller au palais… Je crois que tu as besoin d’un bon bain, Theorem… »

Entre-temps, Alice se demandait encore dans quelle situation sa pitié l’avait mise. Son père ne serait sûrement pas heureux d’apprendre qu’elle avait gracié un Inu, ce qui annonçait de sévères réprimandes. Et, quand son père donnait de la voix, Alice se sentait extrêmement mal à l’aise, se rappelant quand elle était petite, et qu’il la grondait quand elle faisait des bêtises… Alice n’était certes plus une petite fille, mais son Père avait ce don inouï de l’infantiliser rapidement. Il était plutôt du genre massif ! Quoiqu’il en soit, la Princesse ne pouvait plus revenir en arrière. Il lui fallait également trouver quoi faire de cet Inu. Elle le voyait mal en tant que garde dans les coursives du Château…

*Bon, j’y réfléchirai après…, se résolut-elle. J’ai d’autres soucis en tête pour le moment…*

La Princesse sortit dans la ville-basse, et avança sur un point d’observation montrant toute la ville. Elle s’étalait en hauteur, et, depuis ce parapet, on pouvait voir les montagnes.

« Voici Sylvandell, Theorem ! Je t’aurais bien fait visiter, mais je crois qu’il vaut mieux s’occuper de ta chevelure crasseuse… Le Château est en hauteur… »

Étant accompagné par Hodor, Alice n’avait pas utilisé son cheval, Éclipse, pour venir ici. Ils avancèrent donc dans les rues, certains serfs saluant la Princesse au passage, qui leur répondit en souriant et en les saluant de la main. Elle avança à travers des rues filant sous les roches, avec des maisons taillées dans les murs, jusqu’à être surprises par plusieurs jeunes, qui se pressèrent contre elle en poussant des cris de plaisir.

« Princesse ! Princesse ! paillèrent-ils. (b]Je veux un bisou de la Princesse ![/b] »

Souriant, Alice souleva l’un des bambins, et l’embrassa sur la joue avant de réussir à s’isoler, son cœur battant la chamade. Il était bon de voir ces sujets heureux ! Sylvandell était un royaume qui n’avait pas vraiment à craindre une sédition ou une révolte civile. Les baronnies étaient productives, les terres fertiles, l’air était bon, et la sécurité assurée. Ce n’était pas un hasard, dans le fond, si la population de Sylvandell croissait de plus en plus.

« Félicitations pour votre mariage, Princesse ! entendit-on.
 -  Merci ! »

Hodor, de son côté, observait tout ce monde, et sentit une bonne soeur émaner d’une fenêtre ouverte. Curieux, le demi-géant glissa sa tête massive dans la fenêtre ouverte, et aperçut de la viande en train de rôtir au feu.

« Hodor !
 -  Hey! Du vent, toi ! rugit la femme en attrapant un torchon, et en frappant Hodor sur le nez.
 -  Hodor ! » protesta ce dernier en battant en retraite.

Sa tête heurta le plafond de la fenêtre, et il tomba à la renverse, s’écrasant sur le sol, provoquant les soupirs et les rires des habitants. Alice se permit en tout cas de glousser. Après ces quelques péripéties, ils réussirent à rejoindre l’ascenseur les amenant vers la partie haute de la ville.

On pouvait voir, au loin, le château qui se découpait, et les grandes places publiques de la partie haute étaient remplies de caravanes et d’estrades, convoyant les marchands dressant leurs étables pour la grande foire qui approchait. La dernière fois qu’Alice y avait été, elle avait trouvé sa femme… Qui sait ce qu’elle trouverait à la prochaine ? Le trio avança jusqu’à rejoindre le grand pont menant au Château.

« Voici le Château ! » annonça-t-elle.

A l’intérieur, elle conduisit l’Inu vers les bassins.

« Voilà… Débarbouillez-vous un peu, Theorem… »
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le samedi 10 mars 2012, 11:41:39
Theorem fut vraiment heureux de quitter cette prison infâme. C'est une fois dehors à respirer de l'air frais qu'il se sentit enfin libre. D'abord éblouis par le soleil, il leva une main vers lui pour protéger ses yeux de son éclat. Puis bien vite, tout redevint normal. Il observa autour de lui avant de suivre la princesse qui visiblement était appréciée du peuple. Theorem servait lui aussi une reine aimée du peuple. Khvallibolga, la reine des Inu dans les contrées lointaines du nord où le froid existe en permanence, était probablement la reine la plus juste. Il était partit retrouver son paternel plongé dans l'exil et toute cette aventure avait commencé.

Calmement, il rejoignit le château en évitant de finir sur la route du semi-géant. Il n'avait pas du tout envie de trop s'en approcher. Il était assez faible comme ça pour se mettre dans les pattes d'une créature aussi gigantesque. Enfin, ils montèrent pour embrasser de la vue toute la ville de Sylvandell. Theorem regardait calmement le spectacle, bien trop épuisé pour en profiter pleinement. Il fallut monter encore et encore avant de rejoindre enfin le château en question. Une fois dans une salle d'eau, Theorem entendit la reine lui annoncer qu'enfin il allait pouvoir se laver.


"Un grand merci, princesse. Je vais faire de mon mieux pour être aussi propre que quand j'ai quitté le Royaume de Gora Moroz dans ma jeunesse."

Il s'inclina un peu avant de se retrouver seul. Calmement, il entra dans le bassin d'eau face à lui. Aussitôt la poussière accumulée se retira. Enfin, il plongea sous l'eau et se mouilla intégralement. Il retira sa culotte en toile d'asmoïd, matériaux semblable à du latex mais issus de la récolte de la toile d'une araignée géante. Puis ce fut ses gants et ses bas qui suivirent. Theorem était nu comme un ver à présent et on put voir ses prothèses. En effet, ses deux jambes et son bras droit avaient des allures de golem, étant des membres artificiels.

Il commença sa toilette, démêlant ses cheveux avec un peigne. Puis il fit un shampooing, gémissant de plaisir en pouvant enfin se le faire. Il resta un moment dans l'eau chaude, comme en méditation, rechargeant ses batteries de douce chaleur... Puis enfin il se leva hors de l'eau. Ce qui pouvait aussi être intéressant sur le corps svelte et jeune de Theorem, c'était son double pénis, ayant deux sexes masculins superposés l'un au dessus de l'autre, mais aussi un long tatouage parcourant tout son flanc gauche. Une fois séché dans une étoffe, il fouilla pour de nouveaux vêtements. Heureusement ce bassin était juste à côté des uniformes neufs, en stockage, pour permettre aux serviteur d'en changer de suite. Le jeune Inu eut par chance ou malchance, un uniforme de maid faute d'avoir autre chose...

Il enfila donc sa culotte à nouveau, puis ses bas et ses gants avant de mettre une courte robe noire arrivant mi-cuisses en éventail. Le haut montrait pas mal le dos et Theorem enfila un tablier blanc bordé de dentelles. Il lissa sa tenue avant de sortir de la salle de bain, habillé et tout propre.


"Comment me trouvez-vous, princesse Korvander ?"
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 10 mars 2012, 17:26:17
« Un grand merci, princesse. Je vais faire de mon mieux pour être aussi propre que quand j'ai quitté le Royaume de Gora Moroz dans ma jeunesse. »

Gora Moroz ? Alice ne dit rien, et laissa Theorem prendre son bain, s’isolant. Où est-ce qu’elle avait entendu ce nom, déjà ? Gora Moroz ne lui disait pas grand-chose, et elle se concentra, faisant les cent pas en réfléchissant. Gora Moroz… Elle l’avait sûrement lu dans une encyclopédie. Alice se tapota les lèvres, faisant appel à ses souvenirs. La mémoire finit heureusement pas revenir… Un royaume d’Inus… Elle ne savait toutefois pas énormément de choses sur Gora Moroz, si ce n’est que la famille royale avait connu une tragédie. Gora Moroz affrontait des attentats terroristes puissants, ce qui lui rappela une conversation de son père, lorsqu’un dignitaire ashnardien était venu. Si elle se souvenait bien, cet homme avait essayé de se servir des Commandeurs pour commettre des actes terroristes, mais Tywill avait refusé. Tout cela remontait à loin… Elle soupira.

*Mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de lui ? C’était une folie… Ma bonté me perdra… Il va falloir que je trouve une solution… Et cesser de m’en faire autant. Je n’ai rien fait de mal, après tout ! Alors, pourquoi est-ce que je suis si nerveuse ? Heureusement que mon père n’est pas au royaume en ce moment…*

Tywill était parti au cœur d’Ashnard, afin de voir l’Empereur, pour des raisons militaires. L’Empereur planifiait une campagne militaire, et les dragons de Sylvandell étaient requis. La Princesse était donc plus ou moins libre, mais elle doutait qu’il apprécie qu’elle ait gracié un prisonnier… Il avait eu du mal à accepter que Sakura devienne sa femme, même si cette dernière avait été choisie par le dragon d’Or. Alors, quand il verrait Theorem… Alice se refusa à nouveau d’y penser, préférant se concentrer sur les solutions. Il fallait trouver une occupation pour Theorem, de manière à légitimer son insertion au sein du Château royal. La seule question qui restait en suspension était donc de savoir ce qu’il fallait faire de l’Inu.

Elle était plongée dans ses pensées lorsque la porte s’ouvrit. Alice était dans un couloir, assise sur un banc, jambes croisées, et tourna la tête… Avant de sursauter légèrement en voyant la nouvelle tenue de Theorem. Une tenue de… De femme de ménage ! Stupéfaite, la Princesse remarqua alors qu’elle l’avait emmené dans le bassin qui était justement réservé aux domestiques ! La boulette ! Elle en rougit confusément.

« Je… Je suis… tenta-elle de bredouiller.
 -  Comment me trouvez-vous, princesse Korvander ? » lâcha subitement Theorem.

Surprise, Alice le fixa avec de grands yeux ronds, ébahis. Il n’avait pas l’air d’être très gêné par cette tenue, et elle en devint encore plus écarlate, remuant les lèvres, comme si elle cherchait à dire quelque chose, mais sans parvenir à trouver l’inspiration.

« Euh… Et bien… Hum, je, euh… bafouilla-t-elle, passant une main dans ses cheveux. C’est… C’est très joli, Theorem, mais, mais… Si tu veux porter autre chose, enfin… Bon… Hum… I-Inutile de m’appeler ainsi… Tu peux m’appeler Alice, tout simplement, hum… Je suis désolée, je… Dans la précipitation, je n’ai pas vu que je t’avais emmené dans le bassin réservé aux femmes… »

Elle bredouillait, cafouillant, et se sentit idiote. La Princesse tourna la tête, essayant de reprendre son souffle. Theorem était dans une tenue qui lui allait plutôt bien… Il avait un corps assez efféminé, à vrai dire. Oui, la tenue lui allait plutôt bien, et elle n’était pas sans ignorer qu’il y avait des hommes qui aimaient bien s’habiller comme des femmes. Theorem rentrait peut-être dans cette catégorie ? Néanmoins, ça ne résolvait pas toutes ses interrogations, notamment sur savoir ce qu’il fallait faire de cet Inu. Alice continuait à y réfléchir, et décida d’en savoir plus sur lui. Reprenant son trouble, elle se racla la gorge à plusieurs fois, et lui parla alors.

« Bref… Quoiqu’il en soit, Theorem, il… Il faut que je sache en quoi vous êtes compétents, afin de savoir ce que je peux vous donner comme tâche dans le Château… Oh, et… Je… Je vais vous présenter ta chambre aussi… »

La Princesse se mit en marche. La chambre de Theorem était dans la partie du Château réservée aux domestiques. Il y avait plusieurs chambres, assez spartiates par rapport à celle d’Alice. Des dortoirs communs. Il existait aussi des chambres privées et plus luxueuses, mais, pour l’heure, c’était tout ce à quoi Theorem pouvait prétendre, au regard du protocole en vigueur dans le château. Au moins, les lits étaient propres et biens faits.
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le vendredi 30 mars 2012, 15:55:10
-HJ- Je me remet au RP après une baisse de créativité, ne me blâme pas si c'est trop court -HJ-

Theorem avait pourtant apprécié cet uniforme. Il faisait fille, certes, mais il était pratique pour le métier de maid. Une fois placé dans la chambre qu'il partageait avec d'autres personnes. Il espérait qu'un jour il puisse profiter d'une chambre à lui tout seul. C'était mieux qu'une cellule en tout cas. Le jeune Inu travestit prit calmement le lit inoccupé le plus proche, déposant son sac contenant ses affaires. Une fois qu'il prit possession de la chambre, il se tourna vers Alice, faisant une petite révérence.

"J'ai de nombreux talents, Princesse. Je connais le protocole par coeur. Je sais cuisiner et mettre la table ainsi que nettoyer. Ma dévotion est sans limite. Mais j'ai également comme talent de manipuler le feu et la glace."

Pour le démontrer, il prit doucement un verre qu'il remplit d'eau. Le tenant fermement dans ses mains, il fit bouillir l'eau un instant avant de la geler, en faisant un petit cube de glace. Bien sûr, ce n'était qu'un petit tour. Il savait faire mieux que cela. Avec un tel pouvoir, il espérait avoir bien plus de valeur.

"Cela vous aiderait-il ?"
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 30 mars 2012, 21:59:42
Voir un homme dans une tenue de maid, c’était assez perturbant, même pour Alice ! La Princesse l’observait silencieusement, reprenant son souffle et ses esprits. Tomber face à un travesti ne la dérangeait en soi pas vraiment. Certes, c’était assez perturbant, mais elle redoutait surtout que son Père le trouve dans une telle tenue. Le connaissant, il ne risquait pas d’être aussi ouvert qu’Alice.

*Heureusement qu’il ne l’est pas… Il va falloir que je trouve quelque chose, moi…*

Theorem posa ses affaires sur le lit, avant de se retourner pour lui parler, et lui présenter ce qu’il savait faire. Sur ce point, il anticipait les questions d’Alice. Il se présenta comme un parfait homme à tout faire, et finirait donc probablement dans les quartiers de l’intendance, où on avait toujours besoin de quelqu’un, d’un domestique en plus. Theorem enchaîna toutefois en lui disant avoir le pouvoir de « manipuler le feu et la glace », ce qui fit toquer Alice. Un magicien ? Sans laisser le temps à Alice de dire quoi que ce soit, il lui fit une petite démonstration en prenant un verre d’eau, faisant s’en évaporer une partie, avant de geler ce qu’il restait.

*Un magicien ? Non, plutôt un ESPer, s’il ne sait faire que ça… songeait Alice. Voilà qui devrait rendre les choses plus intéressantes…*

La Princesse ne répondit pas sur le coup à la question de l’homme, plongée dans ses pensées, et finit par redresser la tête. Oui, le mieux serait sans doute de lui donner un poste à faire aux cuisines.

« Bien ! Nous allons aller voir aux cuisines, alors, si le chef-cuisinier a besoin de quelqu’un… »

Comme il n’avait pas manifesté son désir de changer de vêtements, Theorem devait probablement être à l’aise là-dedans. Ayant l’esprit ouvert avec tous les livres qu’elle avait lu, elle se borna à ne faire aucune remarque. Père voyait fort peu les cuisiniers. Avec un peu de chance, quand il reviendrait de sa campagne, il ne verrait pas ça. Alice s’aventura à travers différents couloirs jusqu’à atteindre les grandes cuisines seigneuriales. Elles étaient sombres et chaudes, avec des fourneaux. Cependant, en plein milieu d’après-midi, le service était réduit. On nettoyait les plats, on vérifiait l’inventaire, et on faisait du café. Le chef-cuisinier, ou l’intendant responsable des cuisines, était de son côté sur une table, en train de boire une bière. Il avait un corps assez massif, de longs cheveux gris, quelques rides, et un début de barbe, et passait son temps à donner des ordres. Un homme assez bourru, qui profitait de sa position pour lorgner sur les derrières des servantes passant sous son regard. Lorsqu’il vit Alice, il hocha la tête.

« ’Jour, M’dame. Vous voulez un peu de gâteau ?
 -  Non, Messire l’intendant. Je… Je viens soumettre à votre office un nouveau cuisinier.
 -  On a déjà assez de cuisiniers comme ça, répliqua le chef. Et il est où, ce cuistot, hein ? »

Alice rougit légèrement en regardant Theorem. Le chef fronça les sourcils, commençant à comprendre, et grogna.

« Et que dit le Roi de tout ça, hein ?!
 -  En son absence, j’assure la régence du Château, et mon pouvoir me permet de soumettre de nouveaux domestiques aux différents services…
 -  … Sous réserve de leur acceptation par les intendants généraux, répliqua le chef-cuisinier. J’connais le règlement, ma p’tiote.
 -  C’est un cuisinier compétent ! Vous n’avez qu’à le soumettre à une épreuve quelconque, et vous verrez bien par vous-même ! »

Le chef-cuisinier ne répondit pas sur le coup, préférant finir sa chope, puis se redressa d’un coup. Il rota un bon coup, puis regarda le jeune Theorem. Il y avait en lui l’allure d’un vieux flibustier des mers. A l’origine, il était un marin, qui s’était retrouvé sans qu’on ne sache trop comment des galères militaires d’Ashnard à Sylvandell.

« Okay, mon gars. La p’tiote a le nez pour ce genre de choses, alors, même si t’es peinturlurée comme un échappé d’cirque, je vais te laisser tenter ma chance, ouais mon gars ! Si t’es aussi bon cuistot que la p’tiote le prétend, tu vas lui faire un gâteau. Je te laisse concevoir ledit gâteau, et, si la p’tiote l’apprécie, alors je t’engagerais.
 -  Merci beaucoup.
 -  Ouais, tu parles… Ma chope est vide… Toi, là ! fit-il en désignant un page. Va me chercher d’quoi la remplir un coup, mon gars, j’ai la gorge qu’est sèche comme un cul de poulet en plein désert. »

Alice rougit à nouveau. Le chef-cuisinier n’était pas du genre très poli. Un autre héritage de ses expériences sur les galères ashnardiennes. Elle espérait juste qu’il n’embêterait pas trop Theorme avec ses récits, vu que c’était l’une des grandes passions de ce chef : raconter comment il avait survécu aux tempêtes sur les galères ashnardiennes. A chaque fois qu’un cuisinier se plaignait de la fumée dans les yeux à cause des fourneaux, il rétorquait qu’il avait du cuisiner pour toute une garnison en ayant de l’eau dans les bottes à cause de trous dans la cale, avec un bateau qui tanguait de gauche à droite, « comme le foutu cul d’une bonne femme quand on la secoue », ainsi qu’il le disait lui-même.

« Je t’attendrais dans mes appartements, Theorem… Un garde ou une servante te conduira là-bas sans problème quand tu auras terminé ton gâteau… Je suis sûre que je vais l’adorer. »
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le dimanche 01 avril 2012, 19:45:54
Theorem se fit tout petit. Il espérait que ça passe bien. Sinon, restait plus qu'une option qui s'offrait à lui : attendre qu'on lui retrouve ses affaires et s'éclipser à l'anglaise. Cependant, c'était d'une part risqué, et il avait besoin de se reposer encore. Il n'avait pas encore la force suffisante pour passer les remparts de la ville et disparaître dans la forêt. Il savait le faire, mais il savait aussi sa limite. Bref, ce n'est que face à Rakham le Rouge version Miton qu'il dût prouver sa valeur. Autrement qu'avec une épée, c'est à la fourchette qu'il allait devoir s'imposer dans ce château. Ah ce cuistot malotru semblait ne pas croire en lui. Grossière erreur... Car déjà Theorem ne répondu pas et fit un regard déterminé. Quand la princesse s'éclipsa et que le cuisinier tourna le dos pour siroter encore de l'alcool, le jeune Inu ne perdit pas une nano seconde.

*Bien, je dois les impressionner. Il est temps pour moi de faire ma spécialité issue de mon héritage et que ma mère m'a apprit après l'avoir reçus de sa mère qui l'obtenu de sa mère avant elle...*

Casseroles et plats furent mit à contributions. Seul dans la grande cuisine, il rapporta les ingrédients nécessaires à la création de ce gâteau très spécial. Un peu coûteux certes, il se concentra sur l'utilisation des meilleures graines de cacao à sa disposition. En plus d'une heure de préparation intensive, un fumet délicat et chocolaté emplissait déjà les cuisines. Des curieux vinrent voir Theorem qui jonglaient entre les casseroles sans qu'aucun feu ne soit activé, contrôlant à la perfection la cuisson des plats. En enfin, le démoulage s'opéra... Même le cuisinier allait en perdre sa chique.

"Messieurs... Le Frrozen Haut Chocolate !"

L'imposant gâteau au chocolat, d'une raffinerie incomparable, à la saveur aussi délicieuse qu'en narines... L'aspect majestueux de ce gâteau avait de quoi en faire un dessert royal. Sa garniture soignée, sa finition laquée agréable... Oui, pas de doutes, c'était un gâteau d'exception que le travestit prit doucement sur un chariot, disposant assiettes à dessert avant de le recouvrir d'une cloche. Il fut conduit à la chambre de la princesse par un garde qui sentait de là l'odeur délicieuse du gâteau... Mais il était réservé à la princesse ! Une fois à l'intérieur, il s'inclina devant Alice avant de soulever la cloche.

"Princesse Alice, voici le gâteau que vous m'avez demandé. C'est une spécialité familiale, le Frrozen Haut Chocolate. Apprécié les 24 graines de cacao différentes qui le compose et son fumet unique."
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 02 avril 2012, 01:26:28
Retournant dans ses appartements, Alice profita de son temps libre pour s’occuper de toute la paperasse administrative. La foire approchait, et elle devait délivrer des autorisations administratives, signant de sa belle plume et donnant un coup de tampon. Elle profita de ce laps de temps pour écrire l’ordonnance royale concernant Theorem. L’ordonnance censée le délivrer n’était pas de son ressort, même si elle devrait la signer après l’homologation judiciaire. Elle écrivit consciencieusement, se rappelant les mots à employer, puis trempa la plume dans l’encrier.

*Voilà une chose de faite…*

S’étirant légèrement, elle sortit de son bureau, et contempla brièvement la chambre à coucher. Elle était vide. Sakura n’était pas là. Cette dernière suivait un entraînement rigoureux, afin que des esclavagistes ne puissent plus jamais la capturer, et, à cette heure-là, Ayano était probablement en train de suivre une instruction. Même les nekos que les Karistal lui avaient donné n’étaient pas là, profitant sûrement du beau temps pour se promener dehors. Alice était seule, et se rendit sur le balcon. L’air frais lui fit du bien, et elle l’huma, regardant les dragons. Combien de fois, au cours de son existence, s’était-elle permise de tels moments de paix, en compagnie des dragons et du mugissement du vent ? Elle entendit le rugissement lointain d’un dragon, en vit un cracher du feu, puis s’éloigna. Elle retourna vers son bureau, hésitant. Normalement, elle avait encore du travail à faire, des autorisations à accomplir, que ce soit pour la foire, ou pour les quêtes des Commandeurs, ou pour tant d’autres activités.

Elle préféra toutefois lire son roman, s’asseyant sur son fauteuil, et c’est ainsi qu’on devait la retrouver lorsqu’un garde toqua à la porte. La Princesse alla naturellement voir qui venait la déranger.

« Le… Le repas est arrivé, Majesté… »

Le repas ? Quel repas ? Alice fut tentée de dire qu’elle n’avait rien commandé, quand elle se rappela qu’elle avait effectivement commandé à Theorem de lui cuisinier quelque chose.

*La gourde ! Bon, tant pis, ce n’est pas bien grave… Je n’ai pas spécialement faim, mais je ne peux pas les repousser…*

Se reprenant, elle ne tarda donc pas à dire

« Très… Très bien. Faites-le entrer ! »

Alice ouvrit la porte du vestibule de ses quartiers, et Theorem ne tarda pas à entrer, poussant un chariot avec, au milieu, un gros plat en argent. La porte se referma derrière lui, et Alice sentit un délicieux fumet monter jusqu’à ses narines. Est-ce que ça venait du plat de Theorem ? Oui, naturellement. Ça ne pouvait venir que de là ! Elle regarda ce dernier avec curiosité, mains dans le dos, le suivant, jusqu’à ce qu’il ouvre le plat, révélant ce qu’il appelait être un… Un « Frrozen Haut Chocolate ». C’était une espèce de gros gâteau au chocolat qui avait l’air très riche et très bien fait. Elle regarda le sourcil en écarquillant les sourcils, réellement surprise. Ça avait l’air… Terriblement bon ! Elle en avait le souffle coupé, ne sachant plus quoi dire.

« C’est… Et ben, c’est… Ça a l’air… Ça a vraiment l’air… Excellent ! » commenta-t-elle.

Retrouvant son calme, elle alla près de sa table à manger, qu’elle utilisait assez rarement. Elle s’en servait surtout pour le déjeuner, en compagnie de Sakura. L’odeur lui montait à la tête, et son estomac se mit à gargouiller. Elle sortit deux assiettes, en posant une pour elle et une pour Theorem.

« A Ashnard, la tradition veut que le cuisinier soit le premier goûteur de sa plat, lâcha-t-elle en souriant. Installe-toi donc… »

C’était surtout une tradition pour lutter contre l’empoisonnement, mais il était inutile d’en dire les raisons. Alice ne croyait pas que Theorem voulait la tuer, mais c’était surtout par politesse. Elle se voyait mal manger seule face à quelqu’un pour la regarder. Elle s’assit donc, et commença à manger, découpant proprement le gâteau, commençant à l’enfourner dans sa bouche.

« Hum… Tu es un vrai cordon bleu, Theorem ! J’avais peur que tu ne saches pas te débrouiller avec tes mains, mais je constate que tu as bien des talents. Mes félicitations ! »

Elle n’exagérait pas. Ce gâteau était vraiment divin !
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le jeudi 19 avril 2012, 12:12:13
Visiblement, son gâteau avait juste sublimé la belle princesse qu'il devait servir. Elle était aux anges, avec ce chocolat, si riche en dopamine qui mériterait de rendre toutes les femmes folles de désir à la seule cuillerée. Après tout, ce n'est pas compliqué pour les femmes de se faire plaisir et le chocolat est une de leurs armes. Calmement, Theorem reprit le service après le goûter terminé. Il eut le droit à la première bouchée, afin de lui prouver l'absence de poison puis enfin elle lui avoua qu'elle n'était pas certaine de son talent de prime abord, mais maintenant c'était réglé. Cependant, le corps de Theorem était taillé pour d'autres choses... Il pouvait aussi offrir du plaisir !

"Il n'y a pas qu'en gâteau que je suis bon..."

Le jeune Inu hésita à lui en parler, mais sous le regard d'Alice, il ne put s'empêcher? Lentement, il se mit à genoux face à elle. Comme ça, habillé dans cette robe de maid, il ne payait pas de mine. En fait, beaucoup de monde l'aurait confondu avec une femme et c'est tant mieux, si ce n'est son absence de poitrine.

"Princesse... J'ai longuement voyagé. Je suis bien plus vieux que mon corps le laisse présager. Je suis sous ces traits juvéniles depuis une bonne décennie. J'ai tout essayé en ce monde, mais je sais pour quoi je suis fait..."

Il releva les yeux vers elle, plein de désirs face à une femme de pouvoir comme Alice.

"Je suis destiné à répandre le plaisir ! En vérité, Princesse,... Je suis masochiste. Si vous désirez de moi comme Mignon, ou encore comme esclave sexuel comme on dit dans le reste du monde... je saurais vous combler. Je porte admirablement bien le latex et suis bon danseur... De plus, je serais réceptif au moindre de vos ordres et de vos pulsions. Laissez-vous aller par mon profil bisexuel, vous ne le regretterez pas."

Tout était dit... certainement que maintenant, c'était le cunni ou le coup de pieds aux fesses pour retourner en prison... Au moins il avait été honnête.
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 19 avril 2012, 18:38:46
Alice goûtait avec un plaisir évident à ce bon gâteau, mais s’arrêta lorsque Theorem lui annonça être doué pour d’autres choses. Intriguée, elle le vit alors s’agenouiller devant elle, et haussa les sourcils, intriguée.

*Mais qu’est-ce qu’il fabrique ?!*

Subitement nerveuse, Alice l’entendit parler, et rougit au fur et à mesure que l’Inu lui expliquait que, ce qu’il recherchait, c’était... Et bien, si Alice avait bien compris, c’était avoir une Maîtresse pour le dominer. Il se présenta comme un « masochiste » avec un goût prononcé pour le « latex ». La Princesse l’écouta silencieusement, sans savoir quoi répondre. Qu’était-elle censée répondre ? Ce n’était pas tous les jours qu’on venait se mettre à ses pieds en lui disant qu’on voulait être un esclave sexuel !

Ne sachant pas quoi dire sur le coup, Alice se racla la gorge en se dandinant sur son fauteuil, en ayant pour le coup oublié le gâteau au chocolat. Elle n’avait pas spécialement le profil d’une Maîtresse, selon elle. Ça serait même plutôt le contraire... La logique aurait donc voulu qu’elle dise à Theorem de se reprendre, et d’oublier ça... Mais elle ne le fit pas. Au lieu de ça, elle se contenta de le fixer d’un air assez distrait, non pas tant parce qu’elle trouvait sa demande absurde, mais plutôt parce qu’elle se demandait si elle serait... De taille.

*Je suis une Korvander... Une Korvander, pas une paysanne... Ceci revient à dire que je fais partie de la race des seigneurs, des dragons, de ceux qui dominent le ciel et la terre... Si je fuis devant un seul homme qui courbe l’échine devant moi, je crois que je n’arriverais jamais à prendre mes responsabilités...*

Alice se massa la nuque, ayant tout d’un coup très chaud. Elle réalisait progressivement qu’être une femme autoritaire ne la dérangeait pas, même si c’était un peu contre-nature, mais elle avait surtout peur de ne pas être à la hauteur. Elle soupira lentement, et hocha la tête, avant de finir par dire :

« Et bien... Soit, Theorem... Mais tu dois savoir que... Je n’ai jamais eu d’esclave sous mon ordre jusqu’à présent... »

Alice avait bien des servantes, mais, quand elle les avait eu, elle était encore un bébé. Difficile d’avoir de l’autorité sur une femme qui avait changé vos couches... Alice reprit ensuite ses explications :

« Mais bon, j’ai du sang de dragon dans les veines... Ça devrait aller... Par contre, il y a quelque chose que je souhaite savoir... »

Alice le regarda alors en fronçant les sourcils, très sérieuse :

« C’est quoi, le ‘‘latex’’ ? »

Alice n’avait jamais porté sur son corps de latex, mais elle avait déjà entendu certaines servantes en parler. Mieux valait savoir ce que c’était, si elle voulait faire plaisir à Theorem...
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le jeudi 26 avril 2012, 13:24:42
Theorem avait visiblement obtenu ce qu'il désirait. Une jeune fille de pouvoir voulait de lui comme servant personnel, comme esclave sexuel même... Il l'avait voulu et c'était risque à le demander. Maintenant qu'il avait obtenu ce qu'il désirait, le jeune Inu cacha sa surprise, mais aussi son plaisir d'avoir été accepté. Il avait ce qu'il désirait, mais sa maîtresse semblait quelque peu... ignorante sur le fétichisme. Il fallait donc lui montrer ce que ça donnait. Il devait lui montrer ce que c'était le latex. Prenant sur lui, Theorem acquiesça.

"Je vais vous montrer..."

Lentement, il releva sa courte jupe de maid. Ses jambes furent exposées plus correctement, montrant ses bas en latex. Sa culotte aussi était en latex, bien moulante et féminine. Quant à ses gants, arrivant jusqu'à ses épaules, étaient en latex. A proprement parlé, ce n'était pas du latex, mais de la toile d'asmoïd. Peu importe. Il resta un moment exposé face à elle, montrant ses sous-vêtements, vulnérable.

"Voyez... C'est un matériaux noir, brillant au soleil, moulant et faisant corps avec le porteur... Je suis tout à vous comme ça maîtresse... Laissez-moi vous servir, faite de moi ce que vous voulez... Je ne suis pas doué qu'avec mes mains, mais aussi... avec ma langue..."

Il avait le souffle court et les joues empourprées. Comment allait réagir la maîtresse ?
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 26 avril 2012, 16:14:23
Au moins, Alice dormirait moins idiote ce soir. Elle vit donc ce qu’était le latex. Une texture, tout simplement. Theorem en portait, et Alice l’écouta. Ça avait l’air de coller au corps... N’avait-il pas peur d’être étouffé ? Quand elle mettait un corset et le serrait trop fort, Alice en avait les poumons comprimés, mais, visiblement, Theorem semblait à l’aise dans sa tenue en latex...

*Sauf que je n’ai pas de latex dans ma garde-robe, moi... Hum... Pourquoi pas, après tout ?*

La Princesse se mit à s’imaginer avec cette tenue noirâtre sur le corps... Sur le coup, elle trouvait cette tenue... Bizarre... Elle était une Princesse ; elle préférait plutôt porter de longues robes, et les vêtements qui la serraient, elle ne les mettait que pour l’équitation, ou les rares fois où on voulait l’entraîner à se battre. Mais, après tout... Elle n’avait jamais porté de latex sur elle... Un léger sourire éclaira ses lèvres suite à l’aveu de Theorem, qui lui confia être doué avec sa langue.

« Vraiment ? glissa, taquine, Alice. Une Princesse ne peut pas croire quelqu’un sur parole, tu sais ; j’ai besoin... De preuves... »

Elle lâcha ce dernier mot sur un murmure, rapprochant sa tête de son oreille pour cela, avant de se redresser. Avec un léger sourire, la Princesse se dirigea vers sa chambre.

« Je vois ce qu’est le latex, mais, malheureusement, je n’en ai pas en stock... Pas encore, du moins... Il y a un grand marché demain... On y trouvera sûrement du latex... »

Alice alla s’asseoir sur l’un de ses fauteuils. Des pans de sa robe s’écartèrent négligemment, révélant ses longues bottes blanches.

« Montrez-moi donc vos talents buccaux, Theorem... Et, si vous êtes suffisamment performant, alors peut-être aurez-vous demain le plaisir de poser votre langue et vos délicats doigts sur mes formes recouvertes de latex... Mes pieds n’attendent que votre langue... »

La Princesse était aussi nerveuse qu’excitée. Elle se convainquait que ce n’était pas vraiment de l’esclavage, dans la mesure où Theorem était volontaire. Partant de là, elle ne faisait qu’accomplir ce que lui désirait. Quant à elle... Et bien, la perspective de voir quelqu’un lécher ses pieds excitait délicieusement la Princesse, même si elle se voyait mal le crier sous les toits... A vrai dire, il n’y avait que Sakura qui savait ça, vu qu’Alice, quand elle était transformée en neko par cette dernière, s’amusait constamment à lui lécher les pieds... En y repensant, les joues d’Alice rougirent, et elle se reprit, impatiente.
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le dimanche 29 avril 2012, 18:00:20
Alice commença à jouer avec elle. Elle semblait aimer ce rôle, jouer la dominante, comme lui avait demandé Theorem. Au final, elle lui fit presque la promesse que dès demain, ils iraient se procurer des vêtements de latex. Sûrement qu'une princesse n'aurait aucun mal à acheter des vêtements parfois couteux. En plus Theorem en portait, mais il s'agissait d'un latex spéciale. Il portait cela sous son armure et devait donc en faire un vêtement protectrice. La toile d'asmoïd issus des araignées géantes permettait de faire des étoffes noires brillantes moulantes mais aussi résistantes ! Mais ce n'était pas le moment de parler de ça.

"Bien maîtresse. Je vais faire rutiler vos bottes..."

Il approcha doucement son visage des bottes blanches de la princesse. Doucement, il tira la langue, ayant encore quelques hésitations... Puis il glissa doucement sa langue sur le cuir de ces bottes, laissant une traînée humide qui faisait briller la matière. Doucement, il lécha encore mes pieds de sa maîtresse. Cela prit quelques minutes, mais au bout d'efforts et de crampes à la langue, faisant abstraction du goût, il arriva enfin à lustrer les deux bottes de sa maîtresse sans se risquer de voir sa culotte.

"V... Voila maîtresse... Elles sont toutes propres et brillantes."
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 29 avril 2012, 22:09:13
Et il commença à lécher, se mettant à genoux. Alice sentit un frisson le parcourir. De plaisir ? D’effroi ? Un peu des deux, sûrement…

*Mais qu’est-ce que je fais ? Si jamais ma femme me voyait… Sakura ne comprendrait pas. Mais c’est ce qu’il a demandé, après tout.*

Avant de s’attaquer à ses bottes, Theorem avait semblé hésiter. A moins que ça ne soit l’imagination de la Princesse ? Difficile de le savoir, mais il s’attaqua ensuite à les lécher, et elle ne dit rien. Il n’y avait en soi rien de physiquement excitant là-dessus, et Alice sentit ses joues s’empourprer. Elle avait envie de lui dire d’arrêter ça, d’arrêter ce cirque, mais elle sentait des frissons la parcourir. Elle était une Princesse, après tout, une femme de la haute noblesse. Elle sentait ainsi de délicieux frissons la parcourir en voyant cet Inu prostré devant elle, à promener sa langue le long de ses bottes, le faisant avec un certain engouement.

La Princesse comprit alors qu’elle ressentait des frissons de fierté, des bouffées d’orgueil qui remontaient le long de son corps, faisaient palpiter son cœur. Elle serra les poings, se mordilla les lèvres, poussant un léger soupir. Elle avait furieusement chaud, dans cette scène surréaliste. Un silence assez pesant s’installa, n’étant troublé que par les soupirs et gémissements de Theorem quand il promenait sa langue le long des deux bottes d’Alice. Il baissait scrupuleusement les yeux, évitant de regarder au-delà de ses bottes et de ses collants, renforçant son rôle d’esclave volontaire. Le gros problème, c’était qu’Alice ne voyait pas du tout comment le satisfaire.

Au bout de plusieurs minutes, Theorem arrêta de lécher. Quand il l’appela « Maîtresse », elle en frémit, se mordilla les lèvres, et réalisa qu’elle était en train de mouiller. Ce qui accrut légèrement sa chaleur. Ne disant rien, elle se racla la gorge, reprenant ses esprits, et, dans les tréfonds de son esprit, une idée ne tarda pas à émerger. Alice commença à promener ses mains le long des agrafes discrètes, des lacets, et des bretelles complexes de sa robe, sans rien dire, et cette dernière finit par tomber sur le sol, quelques pans touchant la tête de Theorem.

« Très bien lâcha-t-elle d’une voix assurée. Regarde ma culotte, maintenant, mon petit chien. »

Elle se refusait à l’appeler « esclave ». Ce mot était trop péjoratif à son sens, sa femme étant une ancienne esclave. Comme il était un Inu, « petit chien », ça faisait pour elle un bon substitut. Elle attendit que les yeux de Theorem soient fixés sur son sous-vêtement, un boxer blanc (http://www.lingerie-slip-calecon.com/wp-content/uploads/2009/08/boxer.png). Il pouvait sans doute voir le nombril d’Alice, et deviner ainsi que la Princesse portait un corset, mais elle voulait qu’il fixe son bassin. Elle posa alors l’une de ses mains sur sa culotte, et reprit, les joues toujours aussi rouges, son cœur battant la chamade.

« Vois dans quel état tu mets ta Maîtresse, petit chien. »

La Princesse caressa sa culotte, à l’emplacement de son intimité. Elle portait de longs gants blancs, et ses doigts filèrent ensuite sous le boxer, s’enfonçant dedans. Elle se caressa alors sous les yeux de l’Inu, soupirant et frissonnant, avant de pousser quelques gémissements, légèrement exagérés. Elle aurait pu se caresser en silence, mais, vu qu’elle avait du public, il fallait bien se mettre un peu en scène.

« Hmmm… Oh oui, haaa… C’est… Aaaah… »

Alice sortit ses doigts après un certain temps. On voyait sur le tissu sa mouille, et elle l’approcha des lèvres de Theorem.

« Lèche, petit chien, goûte à la belle mouille de ta Maîtresse. »

Elle enfonça ses doigts dans sa bouche, puis attrapa ensuite sa chevelure, approchant la tête de Theorem de son boxer.

« Lèche mon sous-vêtement, petit chien. Mais uniquement mon sous-vêtement. Si ta langue touche ma peau, je serais mécontente ! »
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le dimanche 29 avril 2012, 22:50:52
Quand les bottes de sa maîtresse furent correctement nettoyées avec sa langue, il sentit qu'elle retira sa robe. Les pans de cette dernière se retirèrent facilement. Il vit alors sa maîtresse s'affichée devant elle en culotte et soutient gorge, avec un corset. Elle portait aussi des bas et des longs gants. Vu la petite tâche humide entre ses cuisses, elle semblait bel et bien excitée par tout ça. Elle était si belle, si parfaite... Enfin il fallait qu'il regarde, vu les ordres de sa maîtresse. Il observa son corps avant qu'elle ne s'asseois devant elle. Doucement, elle entra sa main gantée dans sa culotte et se toucha.

"Vous êtes si belle, maîtresse..."

Theo se sentait excité par tout cela. Une femme si belle se touchait devant lui... La culotte faisait une barrière occultante, l'empêchant de voir ce magnifique spectacle qu'était une femme qui se touche. Elle exagérait un peu ses gémissements, mais elle retira ses doigts recouverts de mouilles qui se glissèrent doucement dans sa bouche. Il suça ses doigts, récoltant la cyprine sur ses doigts gantées de blanc. Quel goût délicieux, un peu sucré... Elle avait un nectar délicieux. Il aurait tant aimé glisser sa langue dans son sexe... Mais elle colla sa tête contre son sexe caché par une culotte. Il tira sa langue et lécha entre ses cuisses recouvertes de tissus. Il gémissait, regardant sa maîtresse. Il mémorisait bien son visage... celui de la maîtresse qui allait régir sa vie ! Sa langue léchait ce tissus humide, sentant la fente intime dessous, sans espoir de la pénétrer... Frustrant et excitant à la fois !
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 30 avril 2012, 00:34:13
Elle sentit la langue de Theorem de manière diffuse. Le boxer était un morceau de tissu qui empêchait un contact direct entre la langue de l’Inu et son intimité. Avec sa main, Alice plaquait entre ses cuisses sa tête, et le laissa lécher pendant un certain temps, soupirant et frémissant de plaisir. Sa mouille glissait désormais de son boxer, coulant le long de ses jambes. Ce que c’était bon ! Avoir un petit chien à son service ! Elle en sentait de longs frissons de plaisir et de fierté. Elle le laissa agir pendant dix bonnes minutes, avant de subitement tirer sur sa tête, l’envoyant tomber sur le dos, au sol. Soupirant, Alice hésita à le laisser s’enfoncer en elle. Une brève hésitation, à laquelle elle répondit bien vite, en se disant que ce serait peut-être mieux sans…

« Bien… Tu as une très belle langue, petit chien. J’aurais bien continué à laisser cette dernière s’exprimer, mais l’heure du repas approche… Et tu m’as mis dans un triste état, vilain insolent. Je suis toute trempée à cause de toi ! »

Elle lui parlait sur un ton de reproche, et enchaîna :

« Tu vas aller aux cuisines, mon petit chien. Faire tes tâches… Tu dormiras dans une chambre à part, proche de mes quartiers… De jour comme de nuit, maintenant, tu m’appartiens, mon délicieux chien. Si je veux que tu marches à quatre pattes, tu le feras. Si je veux que tu viennes au beau milieu de la nuit pour me lécher, tu le feras. Et, pour l’heure, j’ai besoin que tu ailles aux cuisines. »

Ceci dit, Alice resta un peu seule, pour réfléchir… Et aussi pour se soulager. Elle descendit ensuite dans la salle du banquet. Elle y apprit que l’armée de Sylvandell était enlisée dans un siège qui restait encore de s’éterniser sur plusieurs mois. Les dragons de Sylvandell avaient été appelés en renforts dans une région intérieure, le long des bordures de l’Empire, dans des régions verglacées, où des rebelles contestaient la légitimité de l’Empire.

« Il faut inspecter chaque village, chaque grotte, expliquait le messager. Une foutue région… »

Dans un sens, cela rassurait Alice. Mieux valait que son Père tarde à revenir… Rien n’était secret dans le Château, et elle ne pouvait que craindre ses réactions s’il apprenait que sa fille entretenait un esclave sexuel. Sakura accompagnant Tywill, elle redoutait aussi la réaction de sa femme. Mais il était de toute façon trop tard pour reculer. La Princesse réfléchissait donc, et fut particulièrement silencieuse pendant le repas.

Ce dernier terminé, elle se rendit dans son antre, dans son lit, tout en ordonnant à Loãra, une servante noire qui avait entre trente et quarante ans, de déposer l’Inu dans une chambre individuelle, ce que cette dernière fit avec un léger sourire. Loãra était une servante fidèle, et, alors qu’elle était remontée dans la chambre d’Alice pour allumer le feu, la Princesse, en rougissant légèrement, lui demandant si elle pouvait aller acheter demain du…

« Du latex ? s’étonna la servante en se retournant.
 -  C’est… C’est un tissu noirâtre et brillant qui…
 -  Je sais parfaitement ce qu’est le latex, ma chère enfant répondit la femme avec un léger sourire, mais ce n’est pas vraiment le genre de vêtements qui sied sur une Princesse… »

Alice rougit confusément. Loãra l’éduquait depuis qu’Alice était un bébé. Elle avait ce don inné de mettre la Princesse mal à l’aise, et cette dernière inventa le premier mensonge qui lui venait à l’esprit, en sachant pertinemment que la servante saurait immédiatement qu’elle ne disait pas la vérité.

« Je… J’ai envie d’essayer de nouveaux vêtements… »

Loãra ne répondit rien, se contentant de la regarder, et Alice n’entendit plus que le crépitement des flammes émanant de l’âtre de la cheminée. Se mordillant les lèvres, elle entendit ensuite Loãra s’approcher, imaginant cette dernière avec son sourire en coin. La femme noire s’assit sur le rebord du lit.

« Ça ne serait pas lié à… A ce nouveau cuisinier ? »

Alice rougit encore plus, et baissa la tête. C’était une réponse, et elle sentit alors la main de Loãra se poser sur sa joue, tournant délicatement son visage. Leurs regards se croisèrent, et, à la surprise totale d’Alice, la servante l’embrassa. Un tendre baiser, très agréable, mais Alice sursauta, comme si elle avait reçu un choc électrique.

« Qu’est-ce que… ?!
 -  Ma pauvre Alice… sourit Loãra. Je sais très bien pourquoi vous voulez porter du latex, tout comme je sais que cet Inu que vous avez récupéré aux cellules n’est pas vraiment un simple cuisinier.
 -  Je…
 -  Chut, Princesse, fit Loãra en posant un doigt sur ses lèvres. Je vais te dire tout ce qu’il y a à savoir… Mais, avant ça… »

Loãra alla alors l’embrasser, et Alice gémit, tenta faiblement de résister, avant de se laisser aller.

*
*  *

« Tu… Tu es sûre ? Je ne savais pas que…
 -  Hum-hum…
 -  Mais… Et si jamais ils… Ils se montrent violents envers… ?
 -  Vous êtes la Princesse, Princesse.
 -  Oui, mais quand même… Je…
 -  Ose me dire que ça te choque… »

*
*  *

La nuit fut assez longue pour Alice, et elle se réveilla seule, dans son lit. Le marché avait lieu, mais elle entendait du bruit dans ses appartements. Se redressant, Alice ouvrit la porte de sa chambre, et sursauta en voyant plusieurs servantes, qui avaient environ la vingtaine et étaient toutes relativement belles, rigolant entre elles en observant des tenues noirâtres et moulantes…

« Bonjour, Princesse !
 -  Mais… Mais… Qu’est-ce que c’est ça ?!
 -  Ça ? Du latex ! Comme vous l’avez demandé ! Je pense d’ailleurs qu’il va falloir que nous vous habillons un peu…
 -  Il faut d’abord qu’elle prenne un bain », objecta une autre servante.

Alice n’eut pas vraiment la force de s’opposer à ces dernières, et reçut donc un bain, avant qu’on ne l’habille avec du latex. Elle avait ainsi de longs gants noirs (http://ecx.images-amazon.com/images/I/51Wh7ZmRxgL._SL500_AA300_.jpg), avec une longue et élégante tenue (http://farm4.static.flickr.com/3214/2996884000_3b8a31db97.jpg) ayant comme particularité d’avoir deux fermetures Éclair.  Sur cette tenue, la combinaison remontait jusqu’à hauteur de ses seins pour former un décolleté assez plongeant.

« Et ben…
 -  Différent d’une robe, n’est-ce pas, Princesse ? lâcha une femme en rigolant.
 -  Très… » confirma la Princesse.

Les servantes, de leur côté, entreprirent également de se vêtir en latex, l’ensemble formant une espèce de gang qui fit rougir confusément Alice. Elles commençaient à s’embrasser, et Alice ordonna qu’on aille chercher l’Inu.

« Votre petit chien, vous voulez dire ?
 -  Co… Comment le savez-vous ?!
 -  Princesse… » s’exclama une femme sur un ton de reproche.

Deux gardes allèrent chercher l’Inu, et entrèrent dans le salon de l’appartement, déposant l’Inu, qui fut jeté sur le sol.

« Reste à genoux, mon petit chien… Vous, restez là » ordonna-t-elle aux gardes.

Loãra lui avait beaucoup parlé, et elle laissa à Theorem le soin de voir toutes ses femmes qui parlaient entre elles, gloussant parfois, ou même commençant pour certaines à s’embrasser.

*Si jamais mon père l’apprend, je suis morte ! Heureusement qu’il est à l’autre bout de l’Empire…*

Alice regarda Theorem en croisant les jambes.

« Comment trouves-tu ta Maîtresse, petit chien ? »
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le lundi 30 avril 2012, 14:19:42
Theorem avait lécher le boxer de sa maîtresse pendant une dizaine de minutes. Son muscle rose avait caressé ce sexe recouvert de tissus avec expertise. Enfin, elle repoussa vivement sa tête en arrière, le faisant tomber au sol. Il hésita à se relever de suite, alors il resta au sol le temps qu'il écoute ses décisions. C'était désormais un jouet, son esclave. Il travaillait dans la cuisine, mais il serait aussi sa chose. Il partit juste après ses ordres et alla travailler. Le soir il put prendre une chambre voisine aux quartiers de la reine. La nuit se passa et enfin il se réveilla au petit matin. Après avoir enfilé son uniforme, il alla au boulot dans les cuisines. Ce n'est qu'après quelques minutes que les gardes vinrent le conduire devant la reine.

Aah ces gardes... Theorem serait bête de ne pas dire qu'ils étaient beaux. Tous avec de magnifiques tablettes de chocolat, étaient grands et avaient une armure stylisée. Il fut mené devant la reine, jeté à ses pieds. Quelle surprise ! La reine et plusieurs servantes fort jeunes étaient là, devant lui. Il en perdit son latin, mais une fois la question posée, il répondit honnêtement.


"Vous êtes superbe, maîtresse. Vous et vos femmes de compagnies sont belles dans ces vêtements... Le latex vous va très bien."
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 01 mai 2012, 01:36:42
C’était une réponse qui avait l’air honnête. La Princesse se surprit à rougir légèrement en voyant les regards lubriques des gardes. Les servantes se mirent à pouffer entre elles, et l’une se pencha dans le creux de l’oreille d’Alice, chuchotant quelques mots. Les yeux d’Alice s’écarquillèrent légèrement, et elle tourna la tête vers elle, portant un doigt sur ses lèvres. La servante se contenta de lui faire un clin d’œil, et Alice sembla réfléchir.

*Pourquoi pas, après tout…*

Elle regarda les gardes. Ces derniers ne semblaient avoir qu’une envie : sortir pour se soulager. Loãra ne l’avait pas trompé… Ils n’oseraient jamais faire quoi que ce soit sans autorisation de la Princesse. Les gardes du Château étaient après tout disciplinés, même si, en l’espèce, ils avaient des regards assez lubriques. Alice sortit un bandeau noir assez épais.

« Très bien, mon petit chien… Nous allons jouer…
 -  Vous voulez que je lui mette autour des yeux, Princesse ?
 -  Je t’en prie, Suzanne. Ça m’évitera d’avoir à le faire. »

Avec un sourire, Suzanne marcha. Elle glissa le bandeau autour des yeux de Theorem, serrant fort, mettant un nœud assez solide. Elle avait eu comme père un marin. Suzanne, comme bien des servantes, était une esclave que l’armée avait récupéré lors de campagnes, et elle avait eu la chance de servir au Château. Elle avait été capturée quand elle avait seize ans, et elle n’avait du son transfert ici qu’au fait qu’elle n’était pas vierge, ayant été refilée à Tywill, qui avait décidé de la refourguer à l’entretien de sa fille.

« Comme ta langue est ta meilleure arme, mon petit chien, tu vas l’utiliser pour lécher les intimités des premières femmes que tu croiseras en marchant à quatre pattes… A travers leur vêtement, bien sûr. Tu devras alors déterminer si c’est celle de ta Maîtresse ou pas. Si tu te trompes… Si tu te trompes, tu seras puni en circonstance. »

C’était Loãra qui lui avait « soufflé » ce jeu. Les femmes se mirent alors à se déplacer, afin que Theorem ne puisse pas suivre Alice en se fiant au bruit. Plusieurs servantes étaient en train d’embrasser et de cajoler avec tendresse les gardes. Ils étaient en effet la « punition » de Theorem, si ce dernier échouait dans sa mission.
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le mardi 01 mai 2012, 14:36:35
Le boxer en dentelle blanche qu'Alice portait hier avait laissé passer un peu de mouilles à travers les mailles de ce tissus. Il avait goûté à ses fluides même sur les doigts de sa dominatrice et en plus, il avait put respirer l'odeur de son vagin... Il allait réussir ce test, il le sentait bien ! Une fois les yeux occultés, il marcha à quatre pattes vers la personne qu'il sentait la plus proche. Habillé en maid, sa courte jupe désignant ainsi sa petite culotte relevée par sa queue d'Inu bougeait de droite à gauche. Le jeune Inu caressa les cuisses de la fille la plus proche et il monta pour lécher. Theorem ressentit que c'était une culotte que la fille portait, ce n'était donc pas Alice. De plus sa saveur n'était pas pareille. Il lécha néanmoins assez pour apprécier cela.

"Tu n'es pas Alice, mais tu goûte très bon..."

Le jeune Inu redescendit, suivant les traces de pas la plus proche. Le travestit en uniforme de latex approcha d'une autre femme. Il lécha de nouveau son sexe. Oh un micro bikini cette fois. Il caressa la douce fente uniquement recouverte par le latex, la bougeant du bas vers le haut.

"Tu n'es pas Alice non plus... Mais tu as un petit goût sucré et ton micro bikini doit être trop mignon..."

Calmement, il s'approcha d'une autre femme. Ses léchouilles commençèrent et Theo insista longuement. Oh... Cette saveur là était familière. Et puis ce bas était déjà mouillé.

"Je t'ai déjà lécher... Tu es celle du début..."

Il passa à une autre et une autre... Enfin, il lécha un boxer de latex, insistant de plus belle. Il caressa amoureusement les cuisses de la jeune femme. Oui... Ce délicieux goût, cette odeur... Aucun doute... Il avait retrouvé sa maîtresse. Il avait réussit son test.

"Hmmm... Maîtresse Alice... C'est vous..."
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 01 mai 2012, 20:05:50
Alice se sentait partagée entre la nervosité et l’excitation. Elle se raccrochait à cette idée que son Père n’était pas là, de même qu’une partie de l’armée, ce qui lui permettait quelques folies. Loãra lui avait avoué qu’on ne la surnommait pas le « Joyau » pour rien, et les regards que les servantes lui offraient la gênaient autant qu’ils l’excitaient. Tout comme la présence des gardes. Les gardes du Château étaient généralement beaux et musclés, triés sur le volet. Ils regardaient Theorem en souriant, probablement en l’enviant, avant que les servantes ne tournent leur visage pour les embrasser, et caresser leurs membres.

Theorem commença à s’appliquer, léchant des bassins. Il glissait sa tête entre les jambes, et posait sa langue à l’emplacement de l’intimité, devant lécher à travers les pantalons. Le petit salon d’Alice était très chaleureux. Il y avait des fauteuils, des coussins, de beaux rideaux, des couleurs chaudes qui attrapaient la lumière, et on pouvait entendre les servantes glousser et murmurer entre elles, tandis que Theorem s’appliquait à lécher tout ce qu’on lui proposait. Avec sa longue chevelure et sa belle tête, il ressemblait vraiment à une femme. Si Alice ne connaissait pas ce sexe, elle aurait même pu s’y tromper.

Après quelques essais, Theorem finit par atteindre l’intimité de la Princesse, sans faire aucune erreur, ce qui, Alice devait l’admettre, l’impressionnait. Il atteignit donc son intimité, et s’y attarda longuement. Alice se mordilla les lèvres, retenant un gémissement et une servante l’embrassa sur les lèvres, afin qu’elle ne dise rien. La Princesse gémit dans sa bouche, se mettant à lentement mouiller. Les joues toutes rouges, elle était réellement au comble du bonheur. Theorem retira ses lèvres, et annonça que c’était elle, sa Maîtresse. En souriant, Alice rompit le baiser avec sa servante, et ne tarda pas à le confirmer.

« Tout à fait… C’était bien la mienne, mon petit Inu. Que dirais-tu de lécher mes jambes, hum ? Toi qui voulait tant voir ta Maîtresse avec du latex… Ne t’inquiète pas, ta récompense va venir bien vite. Si tu aimes les sucettes, elle devrait te plaire… »

En effet, l’un des deux gardes était de plus en plus excité, et la servante, avec ses mains expertes, s’amusait à le déshabiller un peu, à lui ôter son armure. Le garde (http://img2.animeartbooks.net/shunya/23.jpg) était très élégant, mais la Princesse estimait cela normale, dans le fond. Sa petite cape tomba sur le sol, ainsi que ses vêtements, jusqu’à exhiber son sexe. Il avait une belle érection, et avant d’agir, la Princesse laissa encore Theorem s’amuser un peu avec ses jambes. Elle regarda ensuite une servante, et baissa légèrement la tête en fronçant les sourcils. Comprenant ce signe, cette dernière sortit un autre objet qui avait été acheté au marché, une laisse avec un collier, et l’ensemble fut mis autour du cou de Theorem, interrompant ses succions. Alice récupéra la laisse, et tira dessus, en éprouvant la solidité.

« Approche, Joshua…
 -  Ma… Madame… » réussit à dire ce dernier.

Son sexe avait l’air de l’élancer, ce qu’Alice pouvait comprendre. Il s’approcha d’elle. Joshua était surnommé « Le Dix-Neuvième », car son père, comme son grand-père, son arrière-grand-père, et jusqu’au début de la lignée, s’appelaient tous Joshua. La tradition, affirmait Joshua, qui était au service du royaume depuis dix ans. C’était un ancien chevalier, qui faisait maintenant partie de la Garde royale. Alice l’embrassa sur les lèvres, alors que le sexe de l’homme se glissait dans les longs cheveux rouges de Theorem, caressant son oreille.

« Joshua… Mes servantes m’ont dit que tu avais plusieurs fois prononcé mon nom au moment de jouir avec certaines de leurs amies… »

Joshua en frémit lentement. Impossible de cacher quoi que ce soit à des femmes qui vivaient dans le Château depuis plus d’une quinzaine d’années. En l’occurrence, il arrivait assez souvent à Joshua d’aller dans les maisons closes de Sylvandell, et, quand il faisait l’amour avec des femmes blondes, il lui arrivait d’hurler le nom d’« Alice » au moment de s’abandonner en elles.

« Je… Princesse… lâcha ce dernier, visiblement mal à l’aise.
 -  Chut, Joshua… lâcha Alice en posant un doigt sur ses lèvres. Certaines princesses se familiariseraient que tu les confondes avec des prostituées, mais moi, je trouve ça plutôt excitant… Je peux peut-être même t’offrir mon corps… Pour ça, je veux que tu mettes ton sexe dans la bouche de mon petit Inu, et que tu le prennes avec toute cette rage qui t’habite… Plus tu tarderas à jouir, et plus je te récompenserai ensuite. T’en sens-tu capable ? »

Joshua rougit en regardant Theorem. Voir un homme rougir, ça valait tous les trésors du monde. Alice l’embrassa alors, un tendre baiser, qui réveilla l’homme. Il attrapa Theorem par les cheveux, afin de relever sa tête, et Alice lui donna ses instructions :

« Voici ta récompense, mon petit chien. Une belle grosse queue rien que pour toi et cette langue avide ! »

Et le garde alla la fourrer entre ses lèvres.
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le mercredi 02 mai 2012, 11:34:29
Le jeune travestit, ayant toujours son bandeau sur les yeux, fut amené quelque part. Un collier avec une laisse fut mit autour de son cou et c'est par ce moyen qu'il fut amené devant quelqu'un. Vu son odeur et surtout sa voix, Theorem était face à un garde. Ce dernier fut charmé par la princesse qui visiblement avait une idée derrière la tête. Soudain elle sortit le pénis de son pantalon, vu l'odeur qui se dégageait de ce sexe, il se touchait souvent et était un vrais queutard. Cette odeur forte fit tourner la tête de Theo un moment avant de sentir deux mains saisir ses cheveux. Il lâcha un petit couinement et entendit la petite phrase d'Alice. Il devait donc sucer cette queue !

"Oui Maîtresse..."

Puis ce gros gland se glissa dans sa bouche. Theo avait ouvert sa bouche en grand et accueillit cette queue avec expertise. Son goût fort et l'odeur forte de sueur emplissant ses narines le fit gémir de plus belle. Il gémissait de plus belle quand une des servantes se mit à genoux derrière Theo, caressant sa poitrine plate en glissant sa main gantée sous son tablier. Son autre main se glissa derrière la tête de Theorem et lui imposa le rythme rapide et effréné de cette pratique. Le pénis se glissait entièrement, le nez de Theo s'écrasant dans ses poils pubiens et contre son bas ventre. Puis il était tiré en arrière à la limite du gland pour être aussitôt repoussé au maximum, le pénis de l'homme frappant le fond de sa gorge avec force. Le travestit se faisait tout simplement baiser la bouche et il gémissait avec force, de la salive coulant en quantité déraisonnable sur son menton et tombant au sol. La servante derrière lui abandonna son tétons percés d'anneaux pour se glisser sous sa jupe, dans sa culotte. Deux doigts entrèrent dans son petit cul alors qu'il suçait toujours le garde. Theo lâcha un cri étouffé... par le sperme du garde ! Theorem dût accueillir ce sexe tout en lui alors qu'il suffoquait presque sous cette grosse queue. Du sperme plein la bouche s'écoula dans sa gorge et quand la servante recula enfin le visage de Theo, il avait la bouche grande ouverte, du sperme encore dedans... Il referma sa bouche et quand il la réouvrit, aucune trace de jus blanc était encore présent.

"Han... Han... Han... J'ai... réussis ?..."
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 02 mai 2012, 19:19:42
Joshua, à la base, n’était pas un homosexuel. Et, même si Theorem était très efféminé, il restait un homme. Pour qu’il jouisse en lui, fallait donc aider un peu Joshua, ce qu’Alice fit avec l’aide d’une servante en caressant son torse nu et en l’embrassant, caressant et grattant avec une tendresse infinie sa peur, susurrant des paroles doucereuses dans ses oreilles. Alice était relativement polie, mais la servante était, elle, bien plus vulgaire dans ce qu’elle dit :

« La Princesse veut un homme qui soit monté comme un cheval, Joshua, quelqu’un qui l’enculera comme il faut. Alors, baise la gueule de ce petit chien, montre-lui à quel point tu es fort. »

Joshua frémit, et Alice avait rougi de honte et de plaisir devant de telles phrases. Elle n’aurait jamais soupçonné que ses servantes puissent être aussi perverses ! En même temps, Sylvandell avait des mœurs assez relâchés. L’Ordre ne s’était jamais installé ici, ou, en tout cas, s’il l’avait fait, il en était reparti. L’Ordre n’avait donc pas apporté ce qu’il avait glissé partout ailleurs : des mœurs sexuelles, le sacrement du mariage... La Princesse embrassa Joshua sur la joue, tandis qu’une autre servante allait s’attaquer aux fesses de l’Inu, parlant de manière relativement grossière également :

« Ce petit chien adore sucer des queues... Tu aimes ça, hein, mon petit ? Sentir cette grosse bite bien chaude dans ta gorge, hum ? Et mes doigts, tu aimes les sentir... Là... Diable ! Ton cul est bien serré, petit Inu... Il va falloir qu’une autre queue vienne faire un peu de place là-dedans... N’aimeriez-vous pas ça, Princesse ?
 -  Euh... fit-elle, toute rouge.
 -  Si vous rougissez, c’est que oui, Princesse ! Imaginez donc... De toute façon, c’est comme ça qu’on fait l’amour avec les chiens, non ? On les encule. Et quelque chose me dit que ça ne le dérangerait pas. Il en banderait. C’est une vraie pute au masculin ! »

Alice se mordilla les lèvres, et Joshua alla alors l’embrasser, posant une main sur ses fesses.

« Princesse...
 -  Laissez-vous aller, Joshua… Il n’y a pas de honte à ressentir du plaisir, que ce soit avec un home, ou avec une femme. Et puis... Je trouve ça assez excitant, à vrai dire, de vous voir faire l’amour avec un autre homme.
 -  Princesse... » soupira Joshua avec un regard fiévreux.

Tournant sa tête, il attrapa Theorem par la bouche, et jouit avec force dans sa bouche, optant pour une gorge profonde, et s’abandonna avec un certain plaisir à un bel orgasme. Alice avait alors une main qui caressait ses poils pubiens, et elle sursauta à chaque fois, ayant presque l’impression de le sentir jouir à chaque fois que son corps était agité d’un soubresaut. Joshua soupira ensuite longuement, et retira son sexe. Theorem avala le sperme, visiblement ravi, et la servante retira ses doigts de son derrière.

« Retirez-lui son bandeau... »

La servante obtempéra, redonnant à Theorem la vue. Alice posa alors son pied sur son épaule, et s’en servit pour le pousser, l’envoyant se coucher sur le sol.

« Dans quel état est-il ? »

Une servante alla caresser les deux verges de l’homme, et releva la tête en haussant les épaules.

« Excité... Sans réel plus. »

Alice sourit lentement. Elle ignorait si c’était vrai ou pas, mais elle s’en moquait.

« Dans ce cas... Veuillez l’attacher par les bras devant mon lit, je vous prie. »

Les servantes obtempérèrent, et la Princesse embrassa avec tendresse Joshua, avant de faire signe à l’autre garde de venir, et de l’embrasser à son tour. Les gardes hésitèrent un peu, mais, comme on ne pouvait rien refuser à Alice, ils le firent. Le baiser se prolongea un peu, Alice les forçant, appréciant ce contact. Deux beaux hommes en train de s’embrasser... Elle se promit que, lorsqu’elle serait Reine, elle ordonnerait à ses gardes de se faire l’amour entre eux de temps en temps.

Revenant à la réalité, Alice conduisit les deux hommes dans sa chambre. Theorem avait été en partie déshabillé, révélant son curieux sexe, comprenant deux verges. Sûrement une malformation génétique... Ou une expérience magique qui avait mal raté. Peu importe, dans le fond. Il était attaché par les bras, ces derniers étant suspendus en l’air. Des sangles le retenaient, et étaient naturellement solides, reliés par des chaînes en acier à des attaches au plafond. Les servantes gloussaient entre elles, et Alice alla s’asseoir sur le lit, rapidement entourée par les deux gardes, et balança à Theorem son nouveau jeu :

« Je suis contente de toi, mon petit chien, et c’est pour ça que tu vas avoir droit au plus merveilleux des spectacles. Vois-tu, ces deux soldats rêvent depuis des années de me faire l’amour. Je vais leur laisser l’occasion de me baiser avec force, et tu auras l’immense chance de voir ce spectacle merveilleux. Pendant ce temps, deux de mes servantes iront s’occuper chacune d’une de tes verges, tandis qu’une troisième explorera ton popotin. Si tu réussis à te retenir jusqu’à ce que j’atteigne un orgasme, je te laisserai lécher une partie de mon corps... Au choix. Si tu n’arrives pas à te retenir... Tu auras droit à une nouvelle surprise. »

Ayant donné ses instructions, elle commença, assise sur le lit, avec les jambes qui ressortaient, à répondre aux baisers des deux hommes. La Princesse n’allait pas du tout simuler. Ces deux gardes la tentaient, et elle avait toujours eu des désirs pervers, voyeuristes... S’imaginer faire l’amour en étant observée par ses amies d’enfance était à la fois dérangeant et très excitant.
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le vendredi 04 mai 2012, 11:33:08
Theorem se remettait à peine de cette importante fellation qu'il avait subit pour devoir subir un nouveau jeu. Ce dernier était un peu moins épuisant pour le travestit, mais il allait devoir subir une autre attaque d'autant plus psychologique. On lui retira son bandeau et c'est avec le clignement des yeux qu'il put ajuster sa vue, voyant alors sa maîtresse. La belle Alice fit s'embrasser les deux gardes. Halala... Il avait envie de devenir garde de Sylvandell tout à coup... Mais il ne pouvait pas changer de rôle pour le moment. Calmement, on l'attacha à des fers en l'air. Ses frêles jambes (en apparence car elles étaient en wolframite et cobalt) reposaient sur le sol, mais ses bras eux étaient hissés en l'air. Deux servantes encadrèrent Theorem qui se mirent à le masturber alors qu'il pouvait voir Alice coucher avec ses deux gardes.

"Han... Vous êtes si belle maîtresse..."

Il tendit la bouche sur le côté et embrassa une des servantes. C'était la perverse de tout à l'heure qui avait forcé sa fellation. Elle le masturbait doucement alors que deux doigts entrèrent dans son petit cul. Elle semblait bien obsédée par l'anal celle-ci. Il couina de plus belle en gémissant alors que son regard se posa sur Alice, prise en sandwich par les deux gardes. Elle faisait face à lui, donc impossible pour lui de voir le sexe d'Alice. Après tout, il n'avait pas le droit de voir son joli sexe et son petit cul mignon...

"J'adorerais vous embrasser, maîtresse..."
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 04 mai 2012, 16:57:34
Joshua l’embrassa, et Alice ferma les yeux. Elle avait les joues rouges, terriblement excitée. La Princesse était relativement perverse, bien plus que ce que son Père pouvait croire, et cette perversion était en train de s’exprimer. Alice frémissait en sentant le corps de Joshua contre le sien. L’autre soldat, Matthieu, était dans son dos, caressant ses épaules, son dos, l’embrassant dans le cou. Elle tourna la tête vers lui, et, alors que Joshua allait l’embrasser sur la joue, elle embrassa le brave Matthieu. De simples échanges buccaux, pour le moment, afin de réveiller la virilité de Joshua, mais ce dernier ne tarda pas à retrouver cet argument qui le rendait si intéressant. Une belle virilité qui se mit à titiller l’intimité d’Alice.

« Brave Joshua, vous êtes incorrigible !
 -  Je pourrais en dire autant de vous, noble Princesse… » répliqua ce dernier en l’embrassant dans le cou.

La Princesse sourit, et retourna l’embrasser, et commença à le déshabiller, avant de le pousser pour l’envoyer s’étaler au milieu du lit. Se déplaçant rapidement, elle se rapprocha du bord du lit, soit en étant très proche de Theorem, si proche que les deux verges de ce dernier pouvaient presque frôler le postérieur d’Alice, et elle tira sur le pantalon de Joshua. Ce dernier l’avait remis après avoir joui dans la bouche de Theorem, mais il ne tarda pas à partir, révélant sa virilité. Alice alla alors la prendre dans sa bouche, lui offrant une belle fellation, qui fit gémir Joshua. Ses fesses heurtèrent alors pour de bon les deux verges du brave Inu.

Ce dernier était de plus en plus excité, étant littéralement submergé par les servantes. Deux s’occupaient de ses verges. Celle qui lui avait glissé des doigts dans les fesses avait recommencé, léchant sa joue et l’embrassant, tandis qu’une autre s’était mise à genoux, et embrassait et léchait sa verge entre ses doigts, sans jamais la prendre en bouche. Une autre caressait et grattait le dos de l’Inu, léchant l’autre côté de sa tête, enfonçant ses seins contre son dos.

*Si tous les esclaves étaient traités comme lui, je crois que les esclavagistes seraient perçus comme des anges...*

Matthieu entreprit également de se déshabiller, et Alice ne tarda pas à être prise entre les deux hommes, ces derniers la laissant dans sa tenue en latex, mais tirant sur les fermetures Éclair permettant d’accéder à son intimité. Ils s’en servirent pour la pénétrer, et Alice ne tarda pas à pousser des hurlements de plaisir. Quant aux servantes, suite à la supplication de Theorem, elles abattirent sèchement leurs mains sur ses fesses, le giflant.

« Petit chien insolent... Insinuerais-tu que nos lèvres ne te tentent pas ? lâcha une servante.
 -  Il est vrai que nous n’avons pas des lèvres princières, mais elles ont embrassé bien des bouches, et pas que ça... renchérit une autre.
 -  Observez-là, glissa une servante dans son oreille. Entendez-là remuer, hurler, se débattre, sentez à quel point elle est heureuse... N’est-ce pas un spectacle fascinant pour le cœur ? Ne rêveriez-vous pas d'être à leur place, de glisser vos queues en elle, de la baiser avec toute la puissance de votre corps ? De rentrer dans son cul bien chaud et ferme pour la faire hurler ? »

Elles le mettaient à l’épreuve, l’aguichaient, l’excitaient, afin qu’il craque encore plus facilement. Qui a dit que les femmes étaient des anges ?
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le samedi 05 mai 2012, 17:33:15
En tant que soumis et travestit, Theorem ne pouvait qu'apprécier cette magnifique blonde se donner du bien, s'offrir à deux mâles en rut qui firent tout ce qu'ils désiraient à son corps magnifique. Elle se faisait pénétrer en anal et en vaginal, laissant le jeune Inu de côté. De côté certes, mais en de bonne compagnie. La servante perverse le doigtait toujours avec vigueur. Deux doigts dans son petit cul remuaient doucement, alors qu'il gémissait en regardant Alice. L'autre servante avait décidé de lécher son pénis inférieur sans pour autant le sucer, caressant son corps. La troisième qui vint se rajouter se colla à son dos, le pelotant et léchant son cou tout en écrasant sa poitrine contre son dos.

"Han... Han... C'est... C'est très agréable... Merci ! Merci !"

Il couina plusieurs fois. Certes il ne faisait pas du bien à Alice directement, mais elle prenait déjà bien son pieds... Et puis Theorem était pas mal non plus entre ces trois filles. Il adorait ce qui lui arrivait. Certainement que plus de bonnes choses l'attendait... Allait-il devenir une pute ? Il faut dire il était tellement excité que c'était bien possible... Il aurait pas dit non en tout cas !

"... Encore... Encore, s'il vous plait..."
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 05 mai 2012, 21:27:40
L’Inu était visiblement heureux, et, dans le fond, c’était bien tout ce qui comptait. Alice l’était aussi. Joshua la pénétrait avec force, tandis que Matthieu écartait l’ouverture, enfonçant ses doigts dans le petit cul de la Princesse. Ils avaient beaucoup d’expériences avec les femmes, suffisamment pour savoir qu’il valait mieux préparer la sodomie, plutôt que d’y aller d’un seul coup. Alice avait beau avoir des accès de perversion, elle avait aussi ses limites. Joshua était donc le mieux loti, car la Princesse pouvait sentir en elle son membre imposant, et elle se devait bien d’admettre que c’était très bon.

« Haaaa !!! Oh, ohhh, Joshua, bordel !!! Aaaah, encore, oui, oui, oui, encore, là, là, làààà ! »

Joshua était emporté par les cris de plaisir de la Princesse, compliquant la tâche de Matthieu. Une servante lui tendit une espèce de produit permettant de lubrifier son sexe, afin de ne pas faire trop souffrir leur Princesse. Il n’eut néanmoins pas l’occasion de devoir se servir du produit, car Alice retourna soudain Joshua, s’empalant sur lui. Le brave homme poussa un soupir en se retrouvant sous Alice, et la jeune femme s’empara du sexe de l’autre garde, commençant à lui faire une fellation. Par rapport à Theorem, ils étaient de profil, lui offrant donc en direct la vue d’une fellation.

L’intimité d’Alice, sa petite fleur, commençait à devenir très humide. Theorem, quant à lui, continuait à être subjugué par toutes ces femmes qui lui tournaient autour. Les servantes s’amusaient énormément, et celle qui léchait son sexe commença à le prendre en bouche, le mordillant, commençant à remuer sa tête. Des mains allèrent pincer les tétons de Theorem. Les servantes avaient de jolis ongles, et ces derniers s’exprimaient.

« Tu aimes ça, hein, petit chien ?! poursuivit l’une des servantes, dans son oreille. Retire tes doigts, Misha, et sers-toi de ça... »

Misha tourna la tête, et vit la jeune femme tenir un sex toy, en l’occurrence un pénis artificiel. Une belle verge, à défaut d’avoir un troisième homme. Souriant, elle enfonça alors l’objet dans le fessier de Theorem, ponctuant le tout par une gifle sur ses fesses.

« Les chiens aiment se faire enculer, commenta Misha.
 -  Et ils adorent lécher, aussi... Comme du latex... »

Joignant le geste à la servante, une servante glissa ses doigts dans la bouche de Theorem, tirant sur sa lèvre inférieure, avant de chercher sa langue.

« Lèche, petit Inu, toi qui es si doué avec ta langue... »

Pendant ça, Misha s’occupait des fesses de Theorem, les claquant. Elle n’utilisait pas un fouet, ni même une cravache, se contentant d’utiliser ses mains pour donner des tapes qui claquaient et résonnaient dans la pièce, au milieu des craquements du lit. Le corps de la Princesse remuait en effet, faisant trembler le lit.
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le dimanche 06 mai 2012, 15:53:19
Theorem était toujours offert à ces jeunes femmes. On peut dire qu'il était à leur merci pleine et entière. Il ne pouvait pas faire grand chose. Suspendu les bras en l'air et les pieds reposant à peine au sol, il se mit à gémir de plus belle. Il pouvait sans mal voir Alice de profil, se faisant pénétrer en vaginal alors qu'elle suçait un des gardes. Grrr, quels chanceux... Theorem ne pouvait pas avoir cela, mais en retour, il est vrais qu'il avait du plaisir autre part. Les doigts de la servantes se retirèrent. Elle lui offrit par la suite un gode qui se glissa entre ses petites fesses serrées. Le jeune travestit couinait de plus belle. Il transpirait et ses vêtements étaient devenus humides comme sa peau. Il soupira avant de sentir des doigts pénétrer sa bouche. Il ouvrit en grand les yeux avant que sa langue ne soit saisit entre les doigts gainés de latex de la servante qui le dominait.

"han han... 'e fe'ait d' monh mieux, ma'ame ! ' aime ça..."

Il s'abandonnerait sans mal à ce plaisir... Oh oui. Il pouvait sans difficulté devenir un esclave sexuel. Travailler en maison close, dans une ambiance feutrée, à sucer des mâles, lécher le sexe des femelles, ou autre chose... Sa double verge serait aussi un atout primordial et en plus il avait un physique assez androgyne pour laisser les mâles le prendre. Une vie de sexe et comme il était immortel... Il pouvait bien passer des années comme membre de cette maison close, comme le seul travestit de cette ville et donc son succès serait certainement limité à un groupe, mais populaire tout de même.
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 06 mai 2012, 16:55:16
Elle sentit les mains solides de Matthieu caresser sa tête, veillant à bien la plaquer contre son membre. Il était plutôt bien équipé. Joshua n’était également pas en reste. Le soldat soupirait de plaisir, soufflant lentement. Il ressemblait à une espèce de buffle, ses cheveux balançant des myriades de gouttes de sueur, ses joues rubicondes témoignant le plaisir, mais aussi l’effort intenses qu’il ressentait. Même couché, sous la femme, c’était fatigant ! Outre cela, il était également au comble du bonheur. Il rêvait secrètement depuis des années de faire l’amour avec le « Joyau de Sylvandell », une Princesse surprotégée, qui n’était quasiment jamais seule, et qui se promenait généralement en compagnie d’un gros monstre qui n’encourageait pas forcément les gens à se rapprocher. Hodor avait en lui cette puissance de repousser n’importe quel prétendant, et ce même s’il était aussi inoffensif qu’un oisillon... Tant qu’on ne commettait pas l’erreur de s’en prendre à sa protégée.

« Mmmmh... Mmmmmh, mmmmmmmmhhhhmmmmm... »

Les soupirs d’Alice, étouffés par cette queue qu’elle suçait, semblaient envahir les oreilles des deux hommes, comme d’insoutenables cris de plaisir. Le lit continuait tendrement à craquer, et, pendant ce temps, les servantes s’amusaient. L’une retira ses doigts de la bouche de Theorem, caressant ensuite son menton, et embrassa sa joue. Theorem avait baragouiné, mais les servantes n’avaient pas compris grand-chose, et il ne tarda pas à se recevoir une autre gifle sur les fesses.

« On ne parle pas la bouche pleine, vilain Inu ! » lança une servante sur un ton de reproche.

Une autre servante ne tarda pas à enchaîner, cessant de lécher le membre de Theorem :

« Et on nous dit pipelettes...
 -  Je ne crois pas que les cuisines soient vraiment l’endroit où ce petit Inu pourrait le mieux s’épanouir... Ne pensez-vous pas, Maîtresse ?
 -  Mmmh ? »

Alice retira sa bouche du sexe de Matthieu, qui soupira. Un peu de salive se mit à couler sur son membre tendu, et elle tourna la tête vers ses servantes.

« Et à quoi pensez-vous, ma chère ? » demanda-t-elle avec un grand sourire.

Le sexe de Matthieu caressait sa joue, et elle le prit dans sa main, y déposant quelques baisers, tandis que la servante enchaîna, suivant son idée :

« Comme vous le savez sûrement, il existe une maison close dans la basse partie de Sylvandell... Et l’une des femmes qui le tient est une bonne amie... Je suis sûre qu’elle serait enchantée de compter un petit Inu comme ça parmi son personnel...
 -  Ah oui ? Mais... Ne faut-il pas aimer les deux sexes pour faire partie du personnel ?
 -  Vu comment notre Inu est content, je crois que la question de son attirance pour les femmes est réglée... Quant à celle pour les hommes... Ce que nous lui avons enfoncé dans son petit cul n’a pas l’air de lui déplaire. Croyez-moi, Princesse, Theorem est un homme, mais il adore qu’on le traite comme une salope ! »

Alice soupira, mais n’ajouta rien, sentant Joshua remuer sous elle. Baissant la tête, elle tendit une main pour caresser ses joues.

« Mon brave Joshua... Vous m’avez l’air sur le point d’exploser... Matthieu !
 -  Ma... Madame ?
 -  Enfoncez votre membre dans les petites fesses de notre cher petit chien... Je veux... Hum... Oui, Joshua, c’est bien... Je veux que vous l’enculiez comme vous baiseriez l’une de nos prostituées, et l’entendre couiner comme un chien ! »

Devant ces termes assez crus, Matthieu rougit, mais, même dans cette situation, un ordre était un ordre. Pour l’encourager, Alice lui lâcha alors :

« Si vous vous débrouillez bien, vous aurez la chance de fouiller un autre cul par la suite... »

Comprenant l’allusion, Matthieu hocha la tête, et s’éloigna du lit. Alice, de son côté, décida de changer un peu de position, s’inspirant d’un des livres que sa chère femme avait ramené de Terre. Elle se mit donc avec Joshua dans la position de la déesse (http://media.notrefamille.com/images/amour-sexo/kamasutra/484x320/la-deesse-o9273.jpg), enroulant ses bras autour de son cou, et commença à remuer son bassin, sentant Joshua caresser avec sa langue ses seins recouverts par son latex, tandis que ses mains palpaient ses fesses. Matthieu, de son côté, alla derrière Theorem, avec son sexe bien lourd. Les servantes l’aidèrent, écartant les fesses de Theorem, et glissèrent :

« N’hésitez pas à le frapper ou à l’insulter ; il adore ça ! »
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le lundi 07 mai 2012, 10:05:37
Le traitement que ce jeune Inu en robe de maid subissait s'était nettement intensifié depuis quelques minutes. Voila qu'il était sodomisé par un jouet et nettement humilié devant sa maîtresse Alice. Comme si on avait lu dans ses pensées, la servante qui le martyrisait le plus précisa à la princesse que sa place était dans une maison close...Il se doutait bien qu'à Sylvandell, il y avait de ces lieux. Il y en avait même dans les cités les plus "développée". Theorem ne voyait pas un travail là bas comme une peine... Non, plutôt comme une chance.

"M... Maîtresse... Vous voulez vraiment... me placer dans ce genre d'endroits ?..."

Puis par la suite, Alice demanda au dénommé Mathieu de s'occuper du cas Theorem. Le jeune Inu ouvrit en grand les yeux, à bout de souffle. Il se glissa dans son dos, et les servantes écartèrent ses fesses. Le petit cul imberbe de Theorem, occupé par le gode, s'ouvrit devant Mathieu. Une des servantes lui retira le jouet, laissant la vue sur un orifice déjà pas mal ouvert, prêt pour l'emplois.

"Han... Vous êtes mon troisième amant garçon depuis longtemps... Soyez gentil avec moi..."

Il se rappelait du sexe tendu d'un client de l'auberge qui avait été un amant particulièrement fougueux avec une autre maid... Mais là, Mathieu était du genre musculeux avec la tablette de chocolat... Il le dépassait nettement en taille... Theorem ne pouvait que bander en imaginant tout ce qui allait arriver, fermant doucement les yeux...
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 07 mai 2012, 20:13:23
« Ce genre d’endroits »... Alice ne lisait pas dans les pensées, mais, vu la manière dont il en parlait, cet « endroit » ne semblait pas pour lui déplaire. Les maisons closes de Sylvandell étaient généralement agréables, et, même si Alice n’y avait jamais mis les pieds, elle savait que son Père l’avait fait. Tout dépendait de la maison close, évidemment. Il en existait plusieurs à Sylvandell, certaines se trouvant dans les baronnies, mais la plus réputée était celle de la basse ville. Pour le coup, il n’en existait qu’une, Sylvandell n’étant, après tout, pas une ville particulièrement grande. Un agréable bordel, bien entretenu, et tenu par des matrones autoritaires. Elles ne verraient assurément aucun problème à employer Theorem. Alice lui répondit donc en souriant, caressant les cheveux du bienheureux Joshua :

« Je crois que ce serait le meilleur endroit pour former un petit chien comme toi, non ?
 -  Les dames du sexe détermineront bien plus facilement que nous quels sont les fantasmes de notre petit Inu... »

Alice hocha la tête pensivement, tout en continuant à caresser le dos de son soldat, remuant son bassin pour accueillir son imposant membre. Le garde semblait sur le point de jouir, et se forçait en réalité pour ne pas s’abandonner. Il avait tellement attendu ce moment qu’il se voyait mal s’abandonner aussi rapidement au plaisir sexuel ! Plus le plaisir serait long à venir, et plus ce serait bien ! Joshua soupirait donc longuement, palpant le cul de la Princesse, y donnant des gifles. Voyant que les claques la faisaient frémir, il en donnait de nouvelles, un peu plus fortes, et aurait bien continué ainsi. Sa tête était plongée contre les seins de la Princesse.

Matthieu, quant à lui, observait avec une envie un peu hésitante ce postérieur. Certes, la Princesse avait promis qu’il pourrait rentrer dans son fondement, et, certes, Theorem ressemblait plus à une femme qu’à un homme, physiquement parlant, mais il restait malgré tout un homme ! Les servantes durent donc un peu hésiter, parlant avec ce ton aguicheur comme elles savaient si bien le faire quand elles étaient en groupe :

« Nous vous avons connu bien plus viril que ça, Sire Matthieu... Ce petit Inu vous terroriserait-il ?
 -  Écoutez-le, pourtant ; il vous nargue. Hein, petit chien ? Tu aimes défier les gardes royaux de Sa Majesté ? Seriez-vous un eunuque, Messire Matthieu ?
 -  Ou peut-être que vous avez peur de ne plus savoir comment vous en sortir ? Rassurez-vous, ce cul est propre. »

Comme pour le prouver, une servante glissa l’un de ses doigts dedans, gratta, et le lécha ensuite, son regard fixant Matthieu. Son sexe se redressa, le garde soupira. Lutter contre une femme, c’était déjà dur, alors quand elles étaient un troupeau, autant s’abstenir ! S’avouant donc vaincu, le garde posa ses mains sur les hanches de Theorem. Les femmes lui montraient son anus, et il n’eut aucune difficulté à y entrer. Le cul était bien serré, et on relâcha les fesses de l’Inu.

« Allons, Sire Matthieu, êtes-vous un paysan ivre qui rentre chez lui pour fourrer sa femme, ou un garde royal ?
 -  Vous êtes... De vraies foutues salopes... grogna-t-il.
 -  Et vous voudriez nous punir ? Comment comptez-vous nous faire couiner, si vous n’êtes même pas capable de faire hurler ce petit chiot ? »

Le garde poussa un cri de colère, n’aimant visiblement pas qu’on remette en doute sa virilité, et commença à donner des coups de butoir, sans ménager Theorem. Il attrapa les rebords de ses fesses, et poussa des cris en s’enfonçant en lui, devenant assez grossier.

« Aaaah... Raaaah... Prends ça, salope ! Aaaah, tu aimes qu’on t’encule comme une chienne ? M’vais bien te satisfaire comme qu’y faut, moi ! Aaaah ! Saloperie ! PUTAIN ! »

Le garde s’enfonçant en lui avec violence, et les servantes gloussèrent entre eux. Le corps de Theorem se mit à remuer, sous l’impact des coups, d’avant en arrière. Matthieu était après tout un garde royal de Sylvandell, soit quelqu’un qui avait de l’énergie à revendre. Cette puissance se manifestait sur le tendre petit fessier de Theorem, malmenant ce dernier. Il n’y allait pas de main morte, et ce spectacle faisait énormément plaisir à la petite Princesse, bien vicieuse aujourd’hui !
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le vendredi 11 mai 2012, 21:51:40
Les filles étaient terribles... Elles motivaient de leur mieux , et ceci par la provocation, le cher Mathieu. Ce dernier semblait comme forcé de prendre Theorem car sinon, sa masculinité allait prendre du plomb dans l'aile. Quelque part, il devenait gay en se faisant Theorem, ou bi, donc sa masculinité en prenait un coup tout de même. Mais il serait plus terrible que les filles racontent à toute la ville que Mathieu n'avait pas été à la hauteur lors d'une partie de jambes en l'air. Il ne serait pas près de se refaire une fille après une telle réputation. Theorem n'allait pas s'en plaindre car il allait avoir une baise digne de ce nom par un amant des plus... Rrrrr !

"Hmmm... Tu es carrément gay si tu ne me prend pas... Je suis féminin, non ?"

Le jeune travestit se laissait faire, en voulant plus... Heureusement son amant craqua sous ces assauts répétés et décida de pénétrer Theorem. Son sexe, si gros et bien lubrifié, entra dans son petit cul avec force ! Il lâcha un couinement mais il adorait ça ! Il se sentait remplit. Bon sang qu'il était doué cet étalon ! Il n'osa plus parler, se prenant ce beau mandrin dans son derrière avec puissance, gémissant de plus belle. Ses petites fesses rebondies devinrent rouge sous les claques de son amant.

"Han oui ! Jouis en moi Mathieu ! C'est super !"
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 12 mai 2012, 14:41:01
Theorem était emporté, et il en allait de même pour Matthieu, qui soupirait. Malmener ce petit cul était très difficile pour lui. C’était un orifice bien serré, un solide petit cul. Matthieu devait forcer le passage pour pouvoir glisser son membre, et était en sueur. Le brave garde donnait de grosses claques pour se motiver, ne pensant sur le coup même plus à Alice. Theorem tentait de l’encourager, mais l’entendre parler ne faisait qu’énerver encore plus Matthieu. Comme si ça ne suffisait pas, les servantes d’Alice continuaient à le titiller. Maudites femmes ! Sa virilité blessée était malmenée par ces dernières, et, même s’il savait très bien qu’elles l’utilisaient, le fait est que Matthieu était énervé. Comme il ne pourrait jamais battre ces femmes sans s’attirer le courroux de la Princesse, il se défoulait plutôt sur Theorem.

« Hum... Princesse, votre cher Inu a l’air d’aimer l’idée de se faire tringler comme une chienne... Oh oui, il adore qu’on lui défonce le cul !
 -  Je... Haaaaan... Oh, je n’en ai jamais douté, hum... Mon beau Joshua... »

Alice sourit envers son chevalier, et elle le poussa. Joshua s’allongea sur le dos, poussant un petit cri, mais c’en était assez pour la garde. Il se retourna soudain, s’étalant sur sa Princesse, s’allongeant sur elle, et la laboura, faisant pousser à cette dernière des cris de plaisir. Son ventre était couchée sur le latex qui recouvrait le corps de la Princesse. C’était tout simplement délicieux ! Pour lui comme pour Matthieu.

Matthieu continuait à baiser le cul de Theorem, et finit par éjaculer. Il soupira longuement, les servantes le caressant au niveau des joues, l’embrassant. Impossible de lutter contre elles, tout comme de lutter contre le derrière de l’Inu, qui était bien rouge, à force de se recevoir des claques et de se faire bourrer. Matthieu jouit longuement, répandant son sperme dans le corps de ce dernier.

« Ohhhh !!
 -  Divin, non ? Hum… Mais vous m’avez l’air épuisé, Matthieu !
 -  Lai... Laissez-moi le temps de... De-de me... »

Un doigt se posa sur ses lèvres, l’incitant à se taire, et Matthieu se retrouva assis sur un fauteuil. Tout son corps suait, et il respirait comme un buffle, son corps laissant s’échapper de grosses gouttes de sueurs.

« Et comment va notre petit chien ? »
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le samedi 12 mai 2012, 19:59:38
Ca avait été divin... Le cul de Theorem était débordant de semence... Le sperme de ce bel amant coula le long de sa cuisse gainée de latex. Le jeune Inu avait prit cher et ça avait été réellement intense. L'anus dilaté par une baise aussi forte et haletant, toujours attaché par les poignets, il couina un peu pour qu'on le détache. La suite des évènements fut un peu flou... Theorem s'était certainement assoupis. Il se réveilla dans la salle de bain, nettoyé par une des servantes. Elle avait bien prit soin de lui, et Theo lui répondit par un grand sourire et une bise. Il fut par la suite mené à cette fameuse maison close. Tout de suite, le pauvre Inu eut un peu peur. Ce lieu semblait être un véritable lieu de perdition et il allait en devenir membre à part entière ! Une fois dedans, et bien c'était assez intéressant. Il y avait des beautés exotiques, des humaines, des bombes sexuelles pour la plupart et certaines pour remplir des fantasmes bien précis. On retrouvait donc des grosses, des plates, des très jeunes, des plus vieilles...

Il y avait des transsexuelles et Theo fut menée vers elles. Il allait faire partit des représentants du troisième sexe. Pour cela, la maquilleuse commença par s'occuper de Theorem, lui faisant un maquillage un peu outrancier mais sympathique. Le tour de ses yeux en noir, du fard à paupière mauve et pour conclure du rose sur les pommettes. Un gloss rose sur les lèvres compléta le tableau. Il eut par la suite accès à la garde robe. Un porte-jarretelle en vinyle, un string en latex rose, une courte jupette en vinyle rose, un haut de bikini en vinyle rose aussi et enfin un top en filet rose plus foncé par dessus. De longs gants en latex rose terminaient sa tenue. Habillé, coiffé et maquillé comme une pute, il fut mit dans la salle principale, non loin de la chambre qu'il lui était réservé. Dès qu'une demande de sexe avec un garçon efféminé venait, ou une pipe du tonnerre, il devait y aller.

Sa nouvelle vie de prostitué commençait. Ce soir là, il venait de se faire deux clients au glory hole. Le jeune Theorem, Tasha de son nom de scène, alla boire au bar un cocktail sans alcool afin de faire passer le goût du sperme de ces deux hommes à l'hygiène douteuse... Il se demandait bien ce qui allait venir par la suite... Au moins il gagnait bien sa vie maintenant.
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 12 mai 2012, 21:43:00
« Comme on dit... Tout est bien qui finit bien, non, Princesse ?
 -  Comme on dit » répondit cette dernière d’une voix assoupie.

Alice prenait son bain du soir, et l’une de ses servantes la massait. La journée n’avait pas été de tout repos ! Loin de là, même. Après que Theorem se soit effondré, la Princesse n’avait pas tardé à jouir, et on avait appelé l’une des matrones tenant la maison close de Sylvandell. Un bel établissement, respectable et sérieux, qui avait constamment écrasé ses concurrents, pour s’instaurer comme la seule véritable maison close. L’histoire de la prostitution à Sylvandell s’articulait toute entière autour de ce qu’on appelait « l’ordonnance rose », à savoir l’une des ordonnances prises dans la fin de vie du Premier Roi, Erwan Korvander. Une ordonnance très courte, lapidaire, qui tenait en quelques mots : « A Sylvandell, la prostitution est interdite. Néanmoins, le sexe est autorisé. Sylvandell devra toujours avoir au moins une maison close. » De cette ordonnance a priori contradictoire, on en avait compris qu’Erwan interdisait formellement tout ce qui s’apparentait au racolage, soit à la prostitution publique, au « trottoir », préférant que tout ça se fasse dans des maisons closes.

Le racolage avait pourtant existé, et « l’ordonnance rose » avait été précisée par bien des décrets. Dans l’état actuel de la législation, toute fille surprise à faire du racolage était présentée aux matrones du bordel. Si ces dernières n’en voulaient pas, alors, selon l’état financier de la femme, soit elle devenait une esclave, soit elle subissait une forte amende. Dans tous les cas, le problème ne se posait pas vraiment pour le petit Inu. Les matrones avaient accepté de le prendre. Elles ne voulaient de toute façon pas heurter la sensibilité du royaume en refusant quoi que ce soit. Les subventions publiques étaient un plus qu’aucune entreprise ne pouvait se permettre de négliger.

« Et bien quoi, Princesse ? Maintenant que Theorem ne fait plus partie de l’établissement du château, votre père ne sera pas au courant de cette histoire !
 -  Oui, oui... Je suis juste... Fatiguée...
 -  Je croyais les Korvander insensibles à la fatigue… Le sang du dragon…
 -  Alors, je dois être l’exception.
 -  Ce n’est pas la fatigue qui vous travaille, Princesse ! C’est bien autre chose !
 -  Ah oui ?
 -  Hin-hin, confirma la servante avec un sourire espiègle.
 -  Et quoi donc, je te prie?
 -  Ben... Vous avez pris bien du plaisir aujourd’hui, Princesse. Avec vos gardes et tout ça... Et, ce faisant, je crois que vous ressentez un peu de remords, car vous avez laissé quelqu’un sur la touche.
 -  Oh... Je n’avais pas vu les choses sous cet angle... Mais pourquoi pas, après tout ? »

Alice voyait très bien où la servante voulait en venir, et un sourire assez amusé éclaira alors les lèvres de la jeune femme. Elle avait une idée derrière la tête, et elle entreprit de finir rapidement son bain.

La maison close de Sylvandell était facilement reconnaissable la nuit Beaucoup de lampions éclairaient sa façade. C’était un bâtiment assez grand avec un petit mur autour. On y entrait par un portail où deux videurs montaient la garde. Deux hommes-tigres. On laissa passer sans difficulté Alice, qui, pour l’occasion, avait renfilé une robe. Grande et agréable, la maison close comprenait une espèce de restaurant sexuel faisant office de bar, où les serveuses, sans être totalement nues, étaient dans des formes assez encourageantes.

Alice ne s’engagea pas dans la foule, afin qu’on ne puisse pas croire qu’elle était une cliente. Elle était une Princesse, tout de même ! Mais elle amenait avec elle un client... Pas n’importe lequel, puisque sa masse permettait sans peine de le reconnaître. La Princesse apprit ainsi que Theorem se faisait appeler Tasha, et faisait partie des quelques transsexuels de l’établissement.

« Dame Layla hésite même à lui faire injecter ces produits qui permettent de modifier provisoirement les organes génitaux… confia la prostituée.
 -  Hein ? Ça existe ?! s’étonna la Princesse.
 -  Tout existe sur Terra, Majesté ! rigola la femme. Alors, si j’ai bien compris, c’est lui que vous comptez offrir à notre brave Tasha ?
 -  D’après ce que j’ai cru comprendre, Tasha aime bien les grosses sucettes, et Hodor aime plus qu’il ne le dit qu’on s’occupe de ses basses parties.
 -  Et ben... Si son appareil est aussi bien foutu que le reste de son corps, ça promet ! »

Sur ce point, il n’y avait pas d’inquiétude à avoir. Hodor était un demi-géant, et tout allait en proportion. Si les géants n’étaient généralement pas très sexys, leurs organes génitaux étaient... Et bien, gigantesques, tout simplement. Hodor ne faisait pas exception à la règle, et Alice se retira, laissant la prostituée guider Hodor vers Tasha.

« Tasha ? Tu as un nouveau client, ma grande ! »

Hodor semblait assez surpris par tout ce qu’il voyait, et son regard oscillait sur les poitrines qui se déplaçaient, faisant rougir ses grosses joues. Être séparé d’Alice n’était pas pour lui plaire, mais il savait qu’elle était à l’abri ici... Et, s’il n’était pas un génie, il comprenait au moins que cet endroit avait des fonctions assez intéressantes.

« Hodor ! » s’exclama-t-il donc.
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le lundi 14 mai 2012, 15:24:56
Theorem termina son cocktail avant d'être appelé par la matronne de la maison close. Visiblement, un client venait d'arrivé et recherchait quelqu'un comme Theorem. Enfin, généralement c'est ce qui se passait. Il y avait bien plus de monde qui voulait des travestit qu'on ne le pense. Certains voulaient des shemale ou des futanari, mais ça retirait quelque chose à un corps androgyne, callé entre les deux genres sans pour autant pencher vers la féminité unique. Theorem se redressa, allant dans le salon privé qui lui était désigné. Quelle ne fut pas sa surprise en voyant Hodor !

"T... Toi ?!"

Même le plus gros des canapés avait à peine supporté le poids du semi-géant. Maintenant, Theorem savait à quoi s'en tenir. Cette créature était énorme et son sexe devait l'être tout autant. Une fellation à un engin pareil relevait du défit. Son client allait avoir un dialogue bien limité, alors autant se mettre au boulot s'il voulait gagner son argent. Doucement, il s'installa à quatre pattes. Décalant le pagne du demi-géant, Theorem fit sortir le sexe de son partenaire qui lorgnait sur les danseuses non loin.

"Wow, énorme..."

Son sexe devait bien faire 35 cm de long ! Il était monté comme un cheval. Impossible de le prendre en gorge profonde et certain que Theo ne pourrait prendre que son gland dans la bouche. Ce demi-géant allait être un véritable défi. Doucement, il lécha ses testicules avant de remonter sa langue le long de cette hampe tendue. Sa langue fit plusieurs vas et vient le long de ce membre avant de sucer ce gland, au du moins une partit. Il suçotta au niveau de son méat avant d'en prendre un peu plus, prenant la moitié de ce gland dans sa bouche en caressant les testicules du géant...

"Hmmm... Hmmm... Tu en a une si grosse Hodor..."
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 15 mai 2012, 14:01:59
« Hodor ? Hodor !
 -  Oui, oui… Tais-toi, et suis-moi… Ta Princesse te fait un cadeau, tu ne vas pas le refuser ! »

Hodor avança lourdement sur le sol, ses pas et sa taille faisant retourner les clients. La femme choisit de le conduire dans un salon privé, et non dans une chambre. Mieux valait étroitement surveiller Hodor ! On se rendit donc dans un salon isolé, une sorte de salon sexuel où des danseuses tortillaient leurs corps dans des poses provocantes, tandis que des clients faisaient l’amour en public, sans se soucier qu’on puisse les gêner. C’était, en quelque sorte, un salon V.I.P., où un simple client lambda n’était pas admis. Néanmoins, Hodor, avec sa carrure, était connu dans tout Sylvandell, et tout le monde savait qu’Hodor était l’individu parfait pour conserver des secrets.

Theorem, en tout cas, semblait relativement surpris. Il y avait effectivement de quoi ! Hodor était un véritable monstre, et la Princesse était assez amusée. C’était une sorte de cachotterie princière, en quelque sorte... Dans le salon privé, on avait Hodor à retirer son pantalon et son caleçon, révélant sa matraque. Les femmes eurent tous des sourcils écarquillés en voyant... Ce truc. C’était bien un sexe, avec une seule verge et deux testicules, mais c’était une verge assez longue, solide et dure ! Hodor n’avait pourtant pour le moment aucune érection, mais son sexe au repos concurrençait déjà n’importe quel membre.

« Et ben, mon coco... Il faudra une véritable guerrière pour te chevaucher, toi… commenta l’une des dames de plaisir.
 -  Commençons par le préparer...
 -  Hodor... » gémit ce dernier.

Les femmes commencèrent à le masturber, et le corps d’Hodor se mit à trembler. Ses joues rougirent, ses mains remuèrent, et son membre finit par durcir assez rapidement. Une belle pièce ! Theorem commença alors à s’en occuper, et Hodor se mit à gémir et à soupirer. Le demi-géant serra les poings, mais les femmes l’empêchaient d’attraper la tête de Theorem. Il ne fallait pas que, dans un excès de plaisir, Hodor vienne lui pulvériser la boîte crânienne !

Voyant ce spectacle, certains clients regardèrent Theorem avec curiosité. Ce fut notamment le cas d’un habitué, qui était l’un des pages d’un des barons de Sylvandell,  et qui était en train de caresser le dos d’une femme dansant sur lui. Il murmura dans le creux de son oreille, et cette dernière esquissa un léger sourire amusé, avant de lui faire un clin d’œil. La femme se rapprocha alors de Theorem, qui s’attaquait à la pièce d’Hodor, et frappa ses fesses.

« C’est vrai que Tasha a un petit cul des plus tentants... »

Le page avait une belle érection, et on déshabilla Tasha, afin d‘exhiber son postérieur. La prostituée prépara le terrain en glissant ses doigts dans sa bouche, les glissant dans l’anus de Theorem, afin que l’ensemble soit un peu dilaté, permettant ensuite au sexe du beau page, un jeune éphèbe, de s’enfoncer à l’intérieur.

« Voilà qui devrait motiver notre jeune recrue à faire une belle fellation... »
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le jeudi 17 mai 2012, 15:50:54
Alors que Theorem devait faire du bien au sexe gigantesque d'Hodor, léchant sa hampe et suçant son large gland. Heureusement, des prostituées retenaient les bras de Hodor en détournant son attention. Et oui, avec sa force démesurée, il aurait put baiser la bouche de Theo au point de lui déboîter la mâchoire... Il prenait donc ses précautions et finalement, alors qu'il léchait et suçait son gros sexe, le travestit sentit les mains habiles d'une danseuse se poser sur son croupion. Elle releva sa jupette de latex avant de baisser sa culotte, montrant ainsi ses fesses et donnant accès à son anus serré.

"Hmmm... Oui, mon petit cul est tout rebondit et serré... Profitez-en..."

Et c'est ce qu'elle fit. Lubrifiant son anus avec de la salive alors que Theo suçait cette grosse verge... C'était un véritable plaisir ! Se faire doigter tout en suçant était une chose, mais ce qui allait suivre était le pêché mignon de ce jeune Inu. Dans peut de temps, le client venus mater la danseuse, un bel homme, s'approcha. Sa verge tendue, il posa ses mains sur les hanches de Theo avant de se glisser dans son petit cul serré. Sucer tout se faisait sodomiser, autrement dit un gang bang, était vraiment une expérience unique. Défoncé, il gémissait de plus belle tout en suçant ce gros sexe.

"Hmmm... Han... Oui... Plus fort... C'est super bon !"
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 17 mai 2012, 22:41:06
L’heureux client n’allait pas se priver. Le petit cul de Theorem était bien comme ce dernier le présentait : rebondi et serré. Que demander de plus ? Il s’enfonça en lui, faisant remuer le corps de l’Inu, tant et si bien que sa bouche glissait sur le sexe du demi-géant. L’heureux Hodor gémissait et soufflait, les joues rouges, son corps tremblant de plaisir. Savait-il que Theorem était un homme ? A moins qu’il s’en fiche totalement... Il était difficile de savoir ce qu’Hodor pensait, mais son érection, au moins, permettait d’affirmer une chose : il aimait ça. C’était tout simplement délicieux pour lui.

« Hum... C’est délicieux ! Raah putain ! »

Les prostituées pouffèrent entre elles, observant la scène. Theorem était pris entre deux hommes, mais le demi-géant fut le premier à craquer. A son corps défendant, il fallait bien dire qu’il n’avait que rarement l’occasion d’avoir des érections. Avec quelqu’un d’autre. Il était le seul demi-géant de Sylvandell. Hodor soupira et gémit, grognant, montrant ses dents, tandis que l’autre homme s’enfonçait allégrement. Ce petit cul délicieux le faisait rêver.

« Ne parle pas, Tisha, lâcha l’une des femmes. Contente-toi de ressentir ce qu’on te fait. Parler est inutile dans ce domaine. »

On l’encourageait, on le guidait. Il fallait bien le faire, après tout, vu qu’il était récent ici. Qu’il apprécie aussi facilement la sodomie confirmait en tout cas que la maison close n’avait pas été lésée en l’acceptant. Tant mieux ! Hodor continuait à gémir, et finit par jouir. Son sperme jaillit hors de sa verge, en proportion avec la taille. Il en lâcha donc une bonne giclée, mais Theorem n’eut pas vraiment le temps de se remettre de ses émotions, car une autre queue ne tarda pas à rentrer dans sa bouche. Elle n’émanait pas d’un client, mais d’une des femmes, une hermaphrodite, qui l’enfonça dans sa gorge, permettant ainsi à l’Inu de revenir à une taille normale.

« Prépare-toi pour une longue nuit, ma belle ! »
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le vendredi 18 mai 2012, 13:43:40
Theorem suçait cette queue gigantesque avec expertise quand soudain, ce dernier sentit que son client allait jouir. Hodor n'était pas très endurant, huhuhu. Celui qui le sodomisait semblait bien plus en forme et il le ramonait avec hargne et volonté. Les vas et vient intenses donnait un plaisir croissant, s'ajoutant à chaque mouvement de plus en plus. Les fesses du travestit, sortant de sous sa jupe relevée, étaient toutes rouges. Theorem retira sa bouche juste avant la giclé d'Hodor. La violence du jet aurait été trop dangereuse pour lui et c'est une véritable soupe blanche qui retomba sur sa face. Il en avait sur le haut du crâne et le dos, et son visage n'avait pas été épargné. Aussitôt, une queue entra dans sa bouche et le jeune Inu reprit sa fellation, la prenant aussitôt en gorge profonde, son nez s'écrasant sur le bas ventre imberbe et parfumé de la prostitué.

"Hmmmm... <3~..."

Le regard vert émeraude de l'Inu fut légèrement troublé... Oh oui... Ca y est... Theorem avait lâché pied. Il tripait ! Tout son être lui en réclamait, encore et encore ! Le plaisir sexuel naviguait en lui par vague et ça le paralysait presque. Oh non pas son corps, mais son esprit ! L'attention de Theorem se focalisait sur le seul plaisir sexuel ! Il eut un frisson, qui démarra de ses cuisses et remonta le long de son corps jusqu'à son crâne où ce frisson prit une importance plus grande ! Oh oui, les deux pénis de Theo tout dur et dressés contre son bas ventre voulait bien dire son état... Il était devenu une bitch !

Vorace de sexe, le jeune Inu totalement drogué par ces sensations qu'il avait ignorés aussi puissantes, suça cette queue en remuant ses hanches pour accepter le sexe du client avec plus de volonté. Même si Hodor allait être raccompagné dehors, Theorem avait totalement zappé sa présence. seul avait d'importance son client et la prostitué qu'il suçait. Il était dur de savoir si Theorem allait revenir à la normale un jour, mais là il était bien loin... Son esprit était déconnecté et branché sur la seule chaîne sexuelle. Il leva des yeux pleins de larmes mais aussi d'envie perverse sur l'hermaphrodite, gémissant et suçant sa queue à fond. Très certainement que... la volonté de Theorem s'était brisée aujourd'hui.
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 19 mai 2012, 00:15:13
Le brave Inu ne ressemblait plus à rien. Avec le sperme d’Hodor sur le visage, il était méconnaissable, et plusieurs prostituées ne tardèrent pas à venir le lécher, buvant le sperme du demi-géant. Hodor, lui, fut promptement raccompagné. Le cadeau avait été bref, mais Hodor avait déclenché quelque chose qu’il n’avait pas spécialement compris, et dont il se moquait bien. Theorem, quant à lui, était au comble du plaisir, et les prostituées le virent même pleurer, tandis qu’il avait une solide érection... Ou, plutôt, une double érection. Le client, quant à lui, continuait à s’enfoncer en lui, giflant parfois ce beau petit cul. Il était aussi doux et rebondi que celui d’une femme, et superbe. L’homme se régalait, tout comme la prostituée hermaphrodite, qui veillait à ce que le jeune homme ait bien de nombreuses gorges profondes, ses bourses cognant contre ses lèvres.

« Qu’est-ce qu’elle est affamée... »

Les prostituées rigolèrent de concert.

« Une vraie salope ! confirma l’une des femmes. Peut-être devrions-nous appeler Litzie...
 -  C’est une idée, oui... »

L’une des prostituées choisit de se retirer. La maison close de Sylvandell n’était pas une maison où les filles de joie étaient sous pression. Dans la mesure où elle était la seule maison close de la ville, on pouvait se permettre d’être assez légère. Litzie, elle, était une « maîtresse ». Elle ne s’appelait pas vraiment Litzie, mais son véritable nom était un peu trop compliqué. Elle était dans ce bordel depuis plusieurs jours, en visite. Litzie n’appartenait pas au personnel, mais on aurait été fou de ne pas l’accepter.

La femme était dans une chambre, en train de se faire lécher les bottes par deux hommes qui étaient dans une position guère encourageante. Quand on lui parla d’un homme avec deux verges, Litzie se releva. La femme portait une longue cape noire avec un intérieur rouge, de longs cheveux argentés avec des yeux rouges, de délicieux gants noirs, et de belles bottes. Litzie (http://img78.xooimage.com/files/1/b/3/lady-botorovia-34a8b65.jpg) était en réalité une vampire qui faisait du tourisme, et elle rejoignit la pièce. Quand elle vit ce spectacle, elle eut un léger sourire. Le sang de l’Inu battait de manière anormale, ce qui était, à n’en pas douter, un véritable régal pour la vampire, qui avança vers l’Inu. Elle caressa avec le manche de sa cravache son dos, consultant le client qui était en train de le sodomiser, et parla d’une voix douce, ferme, et à la fois autoritaire.

« Je t’interdis de jouir rapidement, humain... »

Celle qui semblait sur le point de jouir, c’était plutôt la prostituée qui avait son sexe enfoncé dans la bouche de l’Inu. Réalisant cela, Litzie fit claquer ses talons, caressant avec ses doigts gantés les seins de la femme, avant de frapper avec sa cravache son petit cul, la faisant rougir.

« C’est... Haaa, c’est si bon !
 -  Ne jouis pas si vite...
 -  Mais...
 -  Répands ta semence, mais ne jouis pas… »

Litzie tendit une main pour caresser la bouche de la jeune femme. Elle était en réalité une dame, une Lady, mais elle préférait la compagnie des bons bordels à celles des châtelains. Elle fouetta ensuite le dos de Theorem, et la prostituée répandit sa « semence ». Ce n’était pas du sperme, ni de la cyprine, mais une autre substance, plus... Plus poisseuse. Litzie était aussi une magicienne ayant quelques talents dans les arcanes rouges, et elle s’évertua à pratiquer ce talent sur la prostituée qui avait sa queue dans la bouche de l’Inu. Pour cette dernière, ce fut comme si elle jouissait sans jouir. Elle pissait, tout simplement, sans pouvoir s’arrêter.
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le mardi 29 mai 2012, 11:09:17
Quelque part entre la sauvagerie sexuelle et la violence du masochisme, le jeune Inu s'était totalement oublié. Il se moquait déjà bien de son nom et de ce qu'il avait vécu avant... Il n'était plus que l'ombre de lui-même. Le chevalier fier et droit qu'il était venait de s'évanouir au profit de quelque chose de plus instinctif, de plus sauvage... accroc à quelque chose de beaucoup moins noble que le code de chevalerie tatoué sur son flanc gauche. Oui, en ce moment précis, Theorem était tout simplement une salope, une nympho. Sa condition de garçon n'y changeait rien et il venait de rentrer dans cette abîme qu'il s'était refusé d'atteindre. Maintenant, la question de s'il parviendrait à remonter à la surface n'avait pas de réponse.

"Hmmm... Encore ! Encore !"

L'arrivée de cette vampire aux cheveux argentés était encore nébuleux dans l'esprit de Theorem, mais dans ces conditions, il ne pouvait que vénérer une créature pareil, une personne qui pouvait lui apporter ce dont il avait besoin là maintenant, dans ses instincts primaires. Il voulait servir quelqu'un sexuellement, jusqu'à la mort s'il le faut... Oui, en ce moment, il était perdu. Sa flamme céleste devait vaciller quelque peu. Il capta la moitié des ordres que demanda la vampire à l'hermaphrodite qu'il suçait. Elle plaqua cependant ses mains derrière son crâne et se lâcha. Une saveur étrange et un fluide en continu s'échappa du méat de ce sexe masculin porté par une femme. Bien enfoncé au fond de sa gorge, il ne pouvait qu'avaler en continu, les yeux grands ouverts alors que son petit cul se faisait ramoner encore et encore par le sexe du client qui lui donnait des claques de temps en temps.

*Hmmm~~ <3 *

Theorem plissa les yeux d'envie. Ca y est, il avait touché le fond des abysses du sexe... Du moins pour lui. Il ne faisait plus de distinctions, devenant pansexuel. N'importe quoi pouvait lui arriver, il en tirerait toujours du plaisir. ce gâchis n'allait pas en s'arrangeant car maintenant, il leva ses yeux plein d'envies perverses vers Litzie. Elle lui faisait tellement envie... Une belle vampire de la sorte...
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 29 mai 2012, 20:31:11
Cette espèce de Terranide était un véritable festin sexuel, enivrant les désirs de Litzie. Si elle s’était trouvée dans l’un de ses manoirs, il est probable qu’elle l’aurait mordu jusqu’à boire la dernière petite goutte de son précieux nectar, mais elle n’était pas chez elle. Et, même si elle n’avait que très peu de considération pour les humains, qui constituaient pour elle une sous-espèce, elle ne voulait pas risquer d’esclandres à Sylvandell. Elle aimait bien ce royaume, et en être bannie la déplairait. Pour autant, elle comptait bien faire quelques prélèvements sanguins. La noble vampire utilisait la magie qu’elle avait acquis il y a des siècles, afin d’amener l’hermaphrodite à jouir en continu dans la bouche. Enfin, « jouir »... A uriner, plutôt ! Car ce que l’hermaphrodite relâchait, alors que Litzie caressait ses belles fesses, ce n’était pas du sperme, mais un liquide plus jaune, plus poisseux et écœurant.

La vampire, qui dirigeait les opérations, s‘était attendue à ce que l’Inu recrache ça... Mais, au lieu de ça, elle le sentait encore plus excité, ce qui la troubla légèrement. Elle n’avait pas utilisé sa magie sur lui...

« Un vrai pervers... lâcha-t-elle. Il boit ta pisse comme du petit lait, ma salope...
 -  Aaaah... C’est... C’est boooooonnn !
 -  Évidemment que c’est bon, de lui pisser dans la gueule ! »

Litzie remarqua le regard de l’Inu, envieux. Il la désirait, mais c’était normal, après tout. L’hermaphrodite continuait à pisser, en pleurant presque, et Litzie tourna autour de l’Inu, faisant claquer ses talons sur le sol. Elle retourna près de la prostituée, et frappa ses fesses avec sa cravache, la faisant hurler Les canines de Litzie pointèrent alors, et elle embrassa la femme, caressant avec l’une de ses mains gantées l’un des seins de la pute, avant de dériver vers son cou pour la sucer, avalant son sang. La prostituée gémit lentement, jusqu’à finir par jouir, et s’écarta ensuite, épuisée. Elle s’affala sur un fauteuil, et Litzie se tint devant l’Inu, avant de fléchir les genoux, et d’attraper son menton entre ses mains gantés, pour que leurs regards se croisent :

« Ta nuit ne fait que commencer, toi... »

L’homme qui le sodomisait poussa un dernier soupir, et jouit également. Litzie lui fit signe de se retirer, mis ne laissa, à l’Inu, pas vraiment le temps de se reposer. De ses doigts, des tentacules noirs jaillirent, et vinrent s’enrouler autour de son corps. L’un roula autour de son ventre, le serrant, tandis que deux autres vinrent chacun agripper ses deux verges, les remuant. Un autre s’enfonça dans son postérieur, et le dernier retourna dans sa bouche. Litzie n’eut qu’une poussée de la main à faire, et l’Inu se retrouva soulevé en l’air, à la merci du regard de toute la salle.

« Je vais te tailler une réputation digne de ce nom, petit chien. »
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Theorem le vendredi 01 juin 2012, 17:41:57
Theorem était devenu tellement acro au sexe que son esprit ombragé par les pulsions ne lui avait pas permit de calculer ce qui arrivait en ce moment même. Pourtant, c'est une authentique vampire qui vient croquer le cou de la prostitué qu'il suçait depuis plusieurs minutes et qui s'était lâchée dans sa bouche. Elle la mordit et en plus de ça, elle lui donna un orgasme rien qu'avec ça. Le sperme coula à flot dans la bouche de Theo qui avala le tout en gémissant, un peu de sperme coulant sur son menton tant il y en avait... Le client qui avait assisté au spectacle ne tarda pas à juter dans le cul de Theo qui lâcha un couinement audible.

"Han... Je suis tellement pleine..."

Il parlait même de lui au féminin. Pour lui c'était devenu une belle salope ! Mais alors que le client se retira, de gros tentacules entourèrent son corps. Surprit et un peu choqué, soudainement tiré de sa torpeur... Serré à la taille, un tentacule masturba doucement ses deux pénis tendu depuis le début. Un tentacule se glissa dans son anus qui débordait encore de la semence du client alors qu'un autre s'enfonça dans sa bouche. Violer ainsi, il fut levé dans les airs, gémissant de plus belle en voyant que tout le monde pouvait le voir ! Couinant de plus belle, il était à la merci de Litzie.
Titre: Re : Une dette de vie [Theorem]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 01 juin 2012, 19:13:27
Dans les airs, Theorem devint rapidement le spectacle du moment. Dans le salon privé, les clients le regardèrent, curieux et étonnés, avant de regarder l’origine des tentacules. En voyant la belle femme, certains eurent des envies, et Litzie se mit à regarder ce silencieux public. Ils avaient tous des femmes sur leurs jambes, et elle sentait le sang qui palpitait dans les veines de chacun. Elle eut alors une nouvelle idée, et retira ses tentacules. L’Inu tomba de plusieurs mètres, s’écrasant sur l’une des prostituées. Litzie avança vers lui, attendant qu’il se relève, et un autre tentacule alla s’enrouler autour de son cou.

« Reste à quatre pattes, petite chienne, et suis-moi. »

Litzie avança vers les différents clients assis. Ils avaient tous une érection plus ou moins prononcé. La vampire s’amusait, tout simplement. Dans ses veines, le sang de la prostituée accroissait sa perversité, et elle resta avec le tentacule autour du cou, s’en servant comme d’une espèce de laisse. Elle regarda las différents individus, qui tous les regardaient.

« Tu es ma chienne lança-t-elle, ma petite salope pour la soirée. Tu feras ce que je t’ordonne de faire, et tu parleras quand je te l’ordonnerai. »

Voilà qui était clair, et personne n’aurait le courage de s’opposer à la vampire. Litzie dégageait cette arrogance naturelle si propre aux vampires, si typique de leur race. Elle amena Theorem devant un homme, dont le pantalon était toujours là, et qui avait sur les genoux une femme à la couleur basanée, presque entièrement nue. Litzie lui fit signe de s’écarter, et on put voir l’érection de l’homme.

« Tu vas sucer la queue de tous les hommes de cette pièce. Mais, avant, je veux que tu lèches mes bottes. »