Le Grand Jeu

Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Dictature d'Ashnard => Discussion démarrée par: Princesse Alice Korvander le dimanche 08 janvier 2012, 01:29:03

Titre: [FINI] La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 08 janvier 2012, 01:29:03
Image d’illustration (http://img72.xooimage.com/files/6/4/a/sylvandell---b-b-dragon-3060edd.jpg)

« Hooodoooorr !! » s’exclama la voix enjouée du colosse, malgré les multiples branches d’arbres qu’il se recevait sur la figure.

Alice se retourna vers lui. Hodor semblait particulièrement enjoué, et elle pouvait, à vrai dire, aisément le comprendre. L’immense colosse avait passé son enfance en forêt, et, même si c’était une forêt bien différente de celle-ci, avoir l’occasion de s’y promener devait lui rappeler son enfance, quelque chose de bien différent de la ville de Sylvandell, avec ses collines escarpées, ses pentes difficiles, ses nuits glaciales, ses étés parfois brûlants, quand le soleil tapait fort. Pourtant, Alice et Hodor n’étaient guère éloignées de la ville, et étaient toujours dans le royaume, mais au pied des montagnes, le long des multiples baronnies qui étaient sous la protection de la Commanderie et du royaume.

Contrairement à la ville de Sylvandell, les baronnies comprenaient surtout des forêts, des plaines, et des champs agricoles. On y trouvait de paisibles hameaux, de petits villages pittoresques, et quelques forteresses, ainsi que de multiples cavaliers. Chaque baronnie avait sa propre armée, après tout, même si aucune ne parvenait à égaler celle de Sylvandell. Alice avait aujourd’hui tenu se à promener dans les baronnies. Simple curiosité passagère, simple envie d’explorer les bas-fonds de son royaume. Terme assez péjoratif pour désigner cet étalage naturel, ces délicates cascades, ces mares d’eau, ces lacs, ces rivières et ces affluents découlant de l’immense lac se trouvant dans les hauteurs de la montagne, mais, après tout, ici, il était rarissime de voir des dragons. Pour Alice, ce n’était donc pas un lieu très attirant, même si elle devait reconnaître que se promener dans de belles forêts était assez paisible…

… Du moins, ça aurait pu l’être, sans la présence d’un gros balourd derrière lui qui ne cessait de heurter avec ses pieds les racines des arbres, de se faire cravacher le visage par des branches d’arbres, et rouspétait à chaque fois. Difficile de croire que ce grand nigaud avait pu passer des années dans une forêt encore plus sauvage que celle-ci. Ses pas de géants faisaient généralement fuir tous les oiseaux, de même que ses « Hodor » exubérants, seul et unique mot que le géant connaissait.

« Calme-toi, Hodor, essaya de l’encourager Alice.
 -  Hodor », répliqua simplement ce dernier en s’approchant d’un arbre, y voyant quelque chose d’invisible au commun des mortels.

Elle continua sa marche, tandis qu’Hodor continuait à fouiner autour de l’arbre, ses sourcils froncés.

« Hodor, hodor, hodor, hodor… » répétait-il inlassablement.

Se retournant, Alice le voyait chercher des choses autour de l’arbre. Difficile de dire si c’était là l’un de ses nouveaux caprices, une nouvelle fantaisie, ou s’il avait réellement vu quelque chose, Hodor pouvant parfois se montrer surprenant. Elle s’approcha de lui.

« Qu’as-tu, Hodor ?
 -  Hodor » répondit tout simplement ce dernier.

Il s’approcha d’un caillou, et Alice soupira, manquant perdre patience, avant de noter quelque chose d’étrange sur le sol. Elle vit les grosses mains d’Hodor pousser des cailloux, et s’abaissa en voyant des espèces de fragments éparpillés sur le sol. Elle en récupéra un entre ses doigts gantés, et l’inspecta prudemment.

*Je reconnais cette texture…*

Elle regarda autour, et ne tarda pas à trouver le reste de l’œuf, soit le bas, le haut ayant éclaté. Elle le prit délicatement, et constata qu’il était totalement vide, le jus natal ayant disparu. Elle regarda l’œuf, et comprit qu’il s’agissait effectivement d’un œuf de dragon.

« Qu’est-ce qu’un œuf de dragon fabrique ici ? demanda-t-elle à l’attention d’Hodor.
 -  Hodor », répondit-il.

Alice soupira, secoua la tête, et se releva, tenant l’œuf entre ses mains. Quantité de scénarios étaient envisageables : un œuf égaré lors de la portée, subtilisé par mégarde ou intentionnellement… Dans tous les cas de figure, il était sacrilège de voler l’un des œufs de dragon de la colonie du dragon d’Or, mais elle laissa ça de côté pour le moment, préférant se focaliser sur quelque chose de simple : retrouver le bébé dragon, qui, dans une telle forêt, devait aisément trouver à se nourrir. Elle regarda Hodor, et se rappela que ce dernier, même pour un demi-géant, avait des facultés sensorielles exceptionnelles. Elle lui tendit l’œuf.

« Essaie de pister son odeur, Hodor, l’encouragea-t-elle.
 -  Hodor ?
 -  Ne fais pas l’idiot, s’impatienta-t-elle. Je sais que tu peux le faire. »

Hodor sembla malgré tout hésiter, avant de prudemment renifler l’œuf. Il ferma ensuite les yeux, marmonnant plusieurs « hodor » discrets, analysant et traitant les odeurs qu’il percevait, surprenant encore une fois Alice. Hodor était un véritable enfant-sauvage, fort heureusement aussi inoffensif qu’un agneau. Il finit par rouvrir les yeux, et se mit à marcher précipitamment, finissant par atteindre ce qu’Alice recherchait au bout de plusieurs minutes : une petite mare desservie par une délicate cascade avec des rochers. Un coin paradisiaque, et elle s’arrêta en voyant, sur un rocher, la forme verdâtre d’un minuscule dragon regardant son reflet, agitant ses microscopiques ailes.

« Ho… commença ce dernier.
 -  Chut, gros balourd ! répliqua Alice en lui mettant un doigt sur les lèvres. Ne va pas l’effrayer ! »

Hodor se tut, et Alice reporta son attention sur le bébé dragon. Si petit, il devait sûrement chercher à voler, mais, sans ses parents, ce serait relativement difficile. Le bébé dragon grommela, tandis que, pendant ce temps, descendant de son arbre, une délicate araignée semblait voir en le gros nez d’Hodor un excellent endroit où se poser. Tandis qu’Alice réfléchissait sur la manière d’aborder le bébé dragon, la petite araignée finit par se poser sur le nez d’Hodor. Les yeux du demi-géant louchèrent sur cette forme noire, jusqu’à ce qu’il l’aperçoive, que son cerveau comprenne ce qui se passait, et…

« HOOOOOOOOOOODDDDDOOOOOOOOOOOORRRRRRRRR !!!! » tonna-t-il en se redressant subitement, si rapidement qu’il heurta un arbre, provoquant un boucan de tous les diables.

Le pauvre Hodor en fit tomber une branche d’arbre, qui s’abattit sur son visage.

« Hodor hodor hodor HODOR !! » s’exclama-t-il en portent sa main sur sa tête endolorie.

Sous ce bruit, le bébé dragon avait bondi sur place, avant de partir le long de ses petites jambes. Furieuse, Alice se retourna vers Hodor.

« Mais vas-tu te taire, bougre d’âne ?! »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le dimanche 08 janvier 2012, 11:52:32
L’elfe  soupira un long moment,  cela faisait plusieurs heures qu’elle travaillait sur l’administratif du harem, elle  devait donc comme chaque jour  répondre aux dizaines de lettres que les esclavagistes de tous les coins du pays écrivaient.   Le plus souvent, c’était la même chose, on lui proposait des hommes vigoureux de toutes les espèces mais cela ne l’intéressait pas.  Elle jeta donc  toutes ces offres promotionnelles  et continua par la gestion des comptes.  Ce fut d’ailleurs la que cela qui inquiéta l’elfe,  depuis un certain temps, le harem n’avait eut aucune rentrée d’argent.  Certes Krystal maitrisait parfaitement cela en  jonglant avec les différents postes de dépense mais il allait falloir quelques rentrées d’argent pour continuer à entretenir ce lieu.

Elle réunit donc aves ses amantes de la situation actuelle.  La décision fut alors prise, comme d’habitude, elfe fabriquerait des artefacts magiques en rapport avec son domaine de prédilection pour pouvoir les vendre à la noblesse fortuné et renflouer les caisses du lieu.  Mais pour réaliser ce genre de chose, il lui fallait divers plantes et autres éléments essentiels.  Il lui faudrait donc s’absenter du harem durant quelques temps.  Ce fut cependant la seconde partie du discours qui étonna le plus les filles.  En effet, l’elfe proposa à Lorna, de venir durant ce voyage.   En effet, l’elfe savait que celle-ci n’avait absolument aucune formation dans la maitrise des armes mais elle estimé que cela faisait bien longtemps que les deux femmes n’avaient pas eut la chance de passer un moment ensemble.  Hors cela était essentiel pour Lorna.  La pauvre kitsune n’eut qu’un petit rougissement, son amour pour l’elfe n’avait de secret pour personne et c’était pour cela que la jeune kitsune avait le droit d’être plus proche de l’elfe que les autres.


Cela faisait maintenant plusieurs heures que l’elfe et la kitsune voyageait ensemble, discutant de tout et de rien.  Ce genre de moment que la maid adorait car finalement à cet instant, elle avait l’elfe pour elle toute seule.  Elle adorait chaqu’une des amantes de son amour mais… Mais Tinuviel était la seule qui avait fait battre son petit cœur d’esclave.  Elle prit doucement la main de l’elfe lui souriant doucement,  l’elfe lui rendit son sourire avant de l’embrasser doucement. 
Ce petit manège dura pendant une bonne partie du trajet, permettant ainsi à ce que le voyage ne soit pas trop ennuyeux. Au bout de deux heures l’elfes  proposa à la kitsune de faire une petite pose, elles n’étaient plus loin d’ashnard et elle pouvait entendre d’ici le bruit d’un fleuve, sans doute dans la forêt se trouvant à coté de leurs positions. .  La servante accepta avec joie, elle n’avait pas l’habitude de ses longues marches et ses pauvres pieds lui imposaient une douleur monstrueuse.  La mage rouge porta donc son amante durant les quelques mètres qui la séparait de la rivière, plongeant la kitsune dans un rêve éveillé. 

La kitsune plongea ses pieds dans l’eau fraiche, heureuse d’être enfin arrivé. En effet l’elfe lui avait annonçait que ce qu’elle recherchait se trouvait ici.  Mais son attention fut rapidement  attiré par autre chose,  la mage ne termina même pas sa phrase plaçant ses doigts sur la bouche de la kitsune et lui montrant du  doigt la petite forme qui se dirigeait vers elle.   La kitsune ayant déjà vu Task devina immédiatement, un dragon… Cette petite créature était un dragon.    Elfe se demandait cependant ce qu’il faisait ici, La forêt était trop dense pour qu’un adulte puisse s’y poser et donc était impropice  à la ponte d’une femelle.   Si sa mère n’était pas là, alors…  Et bien elle ne donnait pas chère de se petit bout.   Certes les elfes et les dragons étaient en guerre depuis des années, mais cela ne l’empêchait pas de penser que ce petit bout n’avait rien à faire là dedans.  Elle tira donc de son sac un peu de viande séchée et s’approcha doucement.  A cet âge, il ne pouvait pas encore cracher du feu, et devait à peine commencer à battre des ailes pour muscler celle-ci et ne représentait pas donc un grand danger.   Elle s’assit tranquillement laissant la créature s’avancer d’elle-même pour  manger.    Lorsqu’il fut assez prêt, l’elfe  commença doucement à s’approcher,  elle voulait voir si avec son armure en écaille de dragon,  il allait la prendre pour un  de ses siens. 
L’individu se laissa faire,  il n’était pas bien sauvage et manquait sans doute de quelqu’un pour s’occuper de lui.   Elle lui gratta doucement le haut du crâne produisant ainsi une espèce de ronronnement.

L’elfe savait que ce qu’elle était entrain de faire était mal, car elle ne pourrait pas s’occuper de lui. Elle avait déjà de nombreuses choses à faire, mais elle pouvait au moins prendre soin de lui pour quelques heures.  Elle entama un chant dans sa langue natale, l’elfique solarien était sans doute une des plus belles langues aux mondes. La kitsune ne pouvait s’empêcher de regarder ce spectacle émerveillée,  sa maitresse ayant sur les genoux une des créatures les plus dangereuses au monde et chantant une divine mélodie…  Elle ne regrettait pas d’appartenir à une femme si extra ordinaire.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 08 janvier 2012, 15:51:16
« Espèce d’imbécile ! s’énervait-t-elle, furieuse. Quoi, tu as eu peur d’un moustique ?! C’est pour ça que tu as fait tout ce boucan ? Tu as fait FUIR le dragon, espèce de bourricot !
 -  Hodor », murmura faiblement ce dernier.

Il était assez rare qu’Alice s’énerve auprès d’Hodor, ou même s’énerve tout court, mais ses joues étaient ici empourprées par la colère et la frustration. Ce n’était pas tant l’acte d’Hodor qui l’embêtait, que de savoir le bébé dragon parti. La forêt n’était pas des plus petites, et le retrouver tiendrait probablement du miracle. Un si pauvre dragon… En soi, la forêt n’était pas dangereuse que d’autres forêts, mais on y trouvait tout de même des loups, des renards affamés, des chiens sauvages errants, et un petit dragon ne pourrait rien faire contre eux.

Alice avait repris sa marche, recherchant les traces du dragon. Secoué, Hodor n’était plus en mesure d’utiliser ses capacités sensorielles, et Alice lui en voulait trop pour le lui demander. Elle avait compris qu’un insecte avait du lui tomber sur le nez, pour l’effrayer à ce point, et n’oserait jamais avouer que, si jamais une araignée avait également du se poser sur son nez, elle aurait aussi poussé des rugissements hystériques.

Après plusieurs minutes, Alice, frustrée, tapa avec sa botte sur une motte de terre, soupirant.

« On l’a perdu, résuma-t-elle simplement. Tu peux être fier de toi, Hodor !
 -  Hodor », répondit-il simplement en regardant à droite et à ta gauche, avant d’hausser les épaules.

Elle soupira, et continua à avancer entre les arbres, ne voyant rien d‘autre que des arbres autour d’elle. Même le début de la montagne, le versant rocailleux qui partait, était difficile à voir d’ici. Au moins pouvait-elle apercevoir le soleil.

*Je ne partirais pas d’ici avant d’avoir trouver ce dragon, quitte à organiser une battue*, se décida-t-elle, faisant dans sa tête son petit caprice princier.

Alice s’assit sur un rocher le long d’un délicat ruisseau, fermant les yeux, inspirant lentement. S’énerver sur Hodor ne l’aiderait pas à trouver le dragon, même si c’était agréable. Alice n’était pas une Princesse pour rien, après tout. Elle réfléchit rapidement, mais ne voyait aucun moyen de retrouver le dragon, ce qui, paradoxalement, l’énervait encore plus. Ce fut à peu près-là qu’elle commença à percevoir les curieuses notes d’une mélopée galopant dans ses oreilles.

Tournant la tête vers l’origine du son, elle rouvrit les yeux, et crut avoir rêvé, n’entendant rien de plus. Néanmoins, quand elle vit qu’Hodor regardait fixement dans la même direction, elle réalisa qu’elle n’avait pas imaginé. Même si Hodor était le roi des imbéciles, il avait après tout une ouïe de géant, et, s’il y avait une mélopée, il avait du plus facilement l’entendre qu’Alice. Qui irait chanter en pleine forêt ? Des amoureux transis cherchant un buisson pour s’honorer mutuellement ? Un barde récitant ses notes ? Dans tous les cas, Alice décida de s’y rendre, n’ayant après tout rien d’autre à faire. Elle marcha vers l’origine du bruit, et entendit les sons, mélodieux, venir à nouveau. Une voix de femme, qui chantait dans une langue qui n’était aucun des dialectes rocailleux de Sylvandell et de sa région. N’arrivant pas à identifier cet accent, elle s’avança un peu plus, suivie par Hodor, cherchant à être discrète, afin de ne pas effrayer la femme qui chantait, et se tourna soudain vers son demi-géant, mettant les choses au point avec lui.

« Un bruit, un mouvement de travers, Hodor, et tu dormiras dans le foin ce soir !
 -  Hodor », répondit piteusement ce dernier, ce qu’elle interpréta comme un acquiescement.

La chanson était succulente, rappelant à Alice combien des airs similaires lui manquaient à Sylvandell. Dans la Cour de Sylvandell, il y avait parfois de la musique, mais elle n’avait rien de gracieuse. C’était une musique tonitruante, qui rugissait, électrisait les sens, et rendait généralement Alice aphone. Celle-ci était mélodieuse, rêveuse, enchanteresse, et correspondait mieux à l’idée qu’Alice se faisait d’une voix féminine que des sauvages hystériques qui aboyaient en chantant à Sylvandell.

Elle rejoignit et découvrit ce curieux spectacle par le haut. Une petite cascade coulait le long de plusieurs rochers, roulant entre les arbres, rejoignant d’autres petits ruisseaux, jusqu’à former une autre chute qui était le point de départ d’une rivière peu profonde. Alice se tenait sur un rocher en hauteur, et s’allongea prudemment, afin qu’on ne la remarque pas rapidement. Ce qu’elle vit était fascinant. Le bébé dragon était lové contre les genoux d’une femme succulente dans une armure rouge qui semblait être faite à partir d’écailles, qui portait de longues oreilles pointues, et chantait une langue mystérieuse, mais très belle à entendre. Alice remarqua alors que cette femme était accompagnée par une autre femme, qui semblait l’observer avec une lueur d’admiration dans le regard. Cette seconde femme portait une chevelure blonde, mais c’était la plus longue chevelure qu’Alice ait jamais vu, mais elle était aussi de toute beauté, et portait également des oreilles pointues, mais aussi poilues.

*Je n’ai jamais rencontré de telles créatures ici…*

Se rappelant ce qu’elle avait lu, Alice finit par identifier la femme qui caressait le bébé dragon comme une elfe, ce qui était assez curieux. D’après ce qu’on lui avait expliqué, les elfes n’aimaient pas les dragons. Les dragons brûlaient les forêts, et les elfes adulaient ces dernières. Quant à l’autre femme… Elle l’analysa comme une espèce de neko, avant de réviser son jugement en voyant la forme des oreilles. Plutôt une kitsune… Incroyable ! Qu’est-ce qu’une elfe et une kitsune fabriquaient ici ?! Alice était très curieuse à l’idée de leur parler, mais avait peur de les déranger, de leur faire peur.

Aussi prudente qu’elle désirait l’être, Alice n’était toutefois pas très discrète, du moins pour des oreilles agiles. Ses mains recourbés sur le rebord égratignèrent le roc, et des graviers tombèrent, sans qu’elle s’en rende compte, dans l’eau, provoquant des éclaboussements à plusieurs reprises.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le dimanche 08 janvier 2012, 21:33:11
La kitsune profitait de ce moment avec l’élue de son cœur.  Elle posa doucement la tête sur l’épaule de l’elfe qui continuait doucement sa berceuse.  Le jeune dragon  s’était entre temps roulé en boule  et somnolait tranquillement dans un demi-sommeil.  Elle s’arrêta à la fin de sa chanson.   Caressant l’épaule de la jeune kitsune et les écailles brillantes du dragonnet.  Hum, elle avait l’impression d’être observait, et cela se confirma bien rapidement quand  elle entendit le bruit de la roche.  Elle eut un petit sourire, quiconque était cet intrus il était bien trop bruyant pour être un guerrier de formation.  Elle reprit donc ses chants en gardant cependant sa fidèle lance prêt d’elle. 
Le chant elfique était cette fois si bien plus  profond,  bien plus lent  et pour dire vrai bien plus triste.  Ce chant,  Lorna le connaissait par cœur,  il était en effet le préféré de l’elfe et elle l’avait appris dans le langage commun,  Tinuviel lui ayant expliqué le sens de ces paroles si pleine de mélancolie mais de beauté.


- Mon cœur est chargé de peine, car je suis loin des miens.  Cette peine qui est mienne, hante à jamais mes pas.  Chaque jour je continue à me battre contre un destin sans pitié.  Je suis loin des miens et je continue de pleurer.   Le soleil chaque jour se lève mais il fait nuit dans mon cœur.   Le soleil ne se lève plus dans mon cœur car je suis loin de ma terre.

Lorna s’arrêta doucement, sachant que l’elfe avait fini.  Ce chant était plus long, mais c’était tout ce que l’elfe avait bien voulu lui traduire.  Mais comprendre le reste n’était pas difficile. Il suffisait d’entendre la voix de l’elfe, remplie de regret et de douleur. Elle termina enfin son chant.  Ses yeux légèrement brouillés.  Elle en avait presque oublié qu’elles n’étaient pas seules et il ne fallait pas qu’on puisse la voir en condition de faiblesse.  Elle  quitta finalement cette peine et prit le jeune dragonnet qu’elle plaça sur les genoux de lorna en prenant garde à ne pas le réveiller.  Elle  se leva tranquillement et  se dirigea vers celui ou celle qui se dirigeait vers son amante et elle. 

Elle mit quelques minutes avant d’être au niveau d’une jeune femme très mignonne d’ailleurs.  Elle était assez grande pour une femme de cette région.  Une chevelure couleur blé, des yeux couleurs océans.  Oui, cette femme devait vraiment avoir de nombreux prétendants et peut être déjà quelques amantes. Elfe lui fit un grand sourire avant de lui dire.


-Je pensais que vous viendriez de vous-même, mais  vu que vous ne vous décidiez pas, j’ai décidé de venir de moi-même.  Je m’appelle TInuviel Lastrim. Maitresse du Harem qui porte mon nom.  Mage rouge de premier Ordre et ancienne elfe du soleil.

Elle avait sans doute oublié quelques petits détails, mais le plus important y était.  SI la jeune femme avait un peu voyagé, elle saurait que le dit harem était une véritable institution. Au départ secret, il  avait prit au fils des années une importance de plus en plus forte.   Les rumeurs parlaient de cet endroit comme d’un lieu ou les gens  sans espoirs retrouvaient l’envie de vivre mais seules les femmes y étaient acceptées plus que le temps d’une journée.   Beaucoup  de celles qui y étaient parties en étaient sorties transformées parfois même physiquement.
Les pouvoirs que l’on donnait à la maitresse des lieux frôlaient même le divin.  Mais tout cela n’était que des rumeurs car non, elle n’était pas une déesse, elle ne croyait d’ailleurs même pas aux dieux.
Elle se contenta d’un petit sourire amical avant de tendre la main à la jeune femme.


-Il est étrange qu’une jeune femme telle que vous  se balade dans des contrées aussi inhospitalière que celle-ci.  Vous n’avez aucune arme,  et je ne vois personne pour veiller sur vous.  Vous êtes donc une proie facile pour les monstres, humains comme locaux. Quoi qu’il  en soit plutôt que de rester caché pourquoi ne pas descendre, cela sera toujours plus agréable que votre piédestal et dite à votre garde de venir elle aussi, car je suppose que vous n’êtes pas seule.

Elle avait un petit sourire, non cette jeune femme n’était sans doute pas seule.  Elle n’était pas une esclave, cela se voyait à sa tenue. Elle devait être riche,  sans doute la fille ou la femme d’un  marchand ou d’un noble.  Hum…  Plutôt la fille d’ailleurs, car sinon elle ne serait sans doute pas dehors.  Mais qui était-elle vraiment.  Et bien, cela l’elfe le serait   si cette jeune femme venait la rejoindre.  En effet, elle quitta littéralement la jeune femme, retournant s’assoir sur l’herbe à coté de son amante et du dragonnet.  Elle  ne pouvait pas laisser son amante seule pour l’instant.   La kitsune n’était sans défense et elle ne se  pardonnerait jamais si il lui arrivait malheur.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 09 janvier 2012, 00:24:17
La kitsune se mit alors à chanter, et Alice, subjuguée, se crut revenir dans sa petite enfance, à cette époque où un barde itinérant avait affirmé pouvoir bercer les nuits agitées d’Alice. Ses chants mélodieux avaient réussi le miracle de calmer Alice, et le barde était resté de longues années, la berçant de succulentes musiques. Mais le chant que la kitsune prononça était, même s’il était beau et mélodieux, emplie d’une tristesse, d’une forte nostalgie, qui la fit délicatement soupirer. Elle imagina à travers ses paroles le sort de ce pauvre dragonnet abandonné des siens, perdu dans la forêt, loin de la Terre des Dragons. Elle en soupira un peu plus, tandis qu’Hodor restait curieusement relativement éloigné, tapi dans l’ombre, attitude qui ne lui ressemblait pas.

Elle s’y désintéressa en écoutant à nouveau les chants, trouvant dans la position de ces deux étrangères une singulière beauté. La kitsune se blottissait tendrement et délicatement contre l’elfe, indiquant clairement le rapport d’autorité entre les deux, y cherchant du réconfort, sans pour autant aller jusqu’à la gêner. Elle crut même voir les yeux de l’elfe s’embuer, et hésita encore à venir. Elle avait peur de faire fuir le dragonnet, qui semblait si bien sur les genoux de l’elfe. Alors, sans prévenir, l’elfe s’empara délicatement du dragonnet, qui remua ses ailes, arraché d’un commencement de sommeil, pour finir sur la femme qui accompagnait l’elfe, qui marcha alors… Vers Alice !

*Comment est-ce qu’elle m’a repéré ? Oh mince !*

L’elfe monta tranquillement la petite butte menant vers Alice, qui regarda Hodor, toujours recroquevillé au milieu des arbres.

« Hodor, fais quelque chose ! » l’implora-t-elle.

Hodor resta obstinément silencieux, se ratatinant sur place. L’avait-elle sermonné trop fort ? C’était difficile à croire, sachant qu’il était une véritable tête de mule, mais elle préférait ne pas trop présumer… Hodor était particulier. La femme vint vers elle, et Alice entreprit de se redresser, rougissant légèrement. Elle se présenta comme Tinuviel Lastrim, avec les titres pompeux que cela impliquait. Quand elle parla d’un harem, Alice fronça les sourcils, se rappelant une conversation de deux Commandeurs à ce sujet, décrivant l’endroit comme un véritable paradis, même s’il avait apparemment une politique assez discriminatoire envers les hommes, ce que la belle elfe avoua sans ombrages.

*Une magicienne elfe ? On dit qu’elles ont de grands pouvoirs… Mais qu’est-ce qu’une femme d’une telle importance vient faire au beau milieu d’une forêt de Sylvandell ?*

Elle fut tentée de lui dire qu’il n’y avait aucune population elfique ici, se demandant si elle ne venait pas chercher des esclaves, mais elle enchaîna. Elle décrivit ces contrées comme « inhospitalières », ce qui amusa Alice. Si elle savait… Mais, parfois, l’aperçu était trompeur par rapport à la réalité. Inhospitalière, Sylvandell l’était ; dangereuse, pas vraiment. Sylvandell avait une telle réputation que le brigandage était rare, et, tant qu’on n’avait aucune velléité particulière envers le royaume, et qu’on respectait les règles, on ne craignait rien… Ou presque. Alice accepta toutefois l’invitation, et finit par retrouver l’usage de sa langue, si bien pendue selon son père.

« Je… Je viens… » parvint-elle à dire, assez estomaqué.

La belle elfe dans sa superbe armure se retira, et Alice alla près des arbres, allant voir ce fichu Hodor.

« Mais à quoi est-ce que tu joues, bougre d’âne ?
 -  Hodor, gémit ce dernier.
 -  Il n’y a pas d’Hodor qui tienne ! Écoute, je n’aurais pas du m’emporter ainsi contre toi, Hodor, mais tu n’as aucune raison de t’en vouloir. Tu sais que je t’aime, non ? Ne te l’ai-je pas montré à Tekhos, grand dadais ? »

Et elle l’embrassa sur la joue, et essaya de le tirer par un bras. Hodor rouspéta, mais consentit à se laisser faire, se mettant à marcher. Alice soupira, puis s’approcha de Tinuviel et de sa kitsune, tandis qu’Hodor avançait timidement derrière elle, les joues rouges. Son regard dériva sur l’elfe, mais il baissa rapidement la tête, n’osant pas la regarder plus avant. Ne tenant pas compte de ce comportement particulier, Alice se mit à parler.

« Je comptais bien venir vous voir, noble elfe, mais votre chant rêveur m’a emporté dans d’agréables songes… Quoiqu’il en soit, je tiens à vous rassurer pour ma sécurité. En tant que Princesse de ces lieux, je pense ne craindre absolument rien des gardes ou des monstres, et j’ai de toute manière Hodor pour me protéger. »

Dans cet état, Hodor devait être plus curieux et ridicule qu’autre chose.

« Hodor hodor, dit-il soudain en posant ses mains sur les épaules d’Alice, qui se retourna furieusement.
 -  Ça suffit maintenant, Hodor ! Assieds-toi, et compte tes doigts. Tout de suite ! »

Le ton ne souffrait aucune réplique, et Hodor obtempéra, s’installant lourdement sur le sol, entreprenant la difficile tâche consistant à compter ses doigts. La Princesse s’approcha lentement des deux femmes, ne voulant pas les effrayer, mais ne voulant surtout pas effrayer le dragonnet.

« Je m’appelle Alice Korvegan, et je me promenais dans cette forêt… Parce que j’aime m’y promener, jusqu’à ce que je réalise que ce petit dragon s’était perdu de sa portée. Malheureusement, j’ai craint de ne plus jamais le retrouver, jusqu’à ce que vos angéliques chants me guident jusqu’ici, expliqua-t-elle, avant d’incliner avec respect la tête. Je tiens pour cela à vous remercier. »

Elle fixa ensuite un peu plus attentivement les deux femmes. Si Tinuviel était la gérante d’un harem, alors cette petite kitsune devait être l’une de ses employées, ce qui laissait supposer qu’elle était… Alice rougit en réalisant qu’elle avait probablement affaire à une prostituée de luxe, et baissa les yeux sur ses bottes, avant de se reprendre. Les prostituées de Sylvandell n’avaient rien d’élégantes, rien de ce charme innocent et enfantin qui semblait se dégager de Sylvandell. Les prostituées n’aguichaient pas les clients en leur parlant de manière suave, mais plutôt en leur lançant des provocations du style : « Hey, toi, l’eunuque ! Tu as envie de prouver que tu as une grosse, mais je suis là pour te montrer que le seul truc qui soit gros chez toi, c’est ton bide ! ». Elle imaginait mal cette kitsune faire preuve de tant de vulgarité, et se mordilla les lèvres, avant de reprendre.

« Votre chant était vraiment superbe, Mesdames. Si je n’avais pas été aussi nerveuse pour le bébé dragon, je me serais sans doute allée à verser quelques larmes, mais je suis rassurée de voir comme il a l’air heureux entre vos mains. »

C’était un fait indéniable. Il aurait été un chat qu’il en aurait vibré comme un séisme, mais sa tête se frottait tendrement contre le corps de la kitsune. S’approchant d’elles, Alice s’assit sur une pierre, à distance assez respectable.

« Pardonnez ma curiosité, mais je ne peux m’empêcher de me demander ce qu’une elfe comme vous fait à Sylvandell, qui est éloignée des routes commerciales majeures. Cherchez-vous quelque chose de précis à Sylvandell ? Ce ne serait qu’honorer la dette de mon royaume d’avoir retrouvé l’un de nos dragons que de vous satisfaire dans la mesure du possible. »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le lundi 09 janvier 2012, 11:31:40
En réalité le dit chant n’était pas inspiré du dragonnet, mais de l’histoire de l’elfe et de beaucoup de ses amantes. En effet toutes celles qui étaient restées au harem n’avait aujourd’hui le plus souvent, plus de famille ou alors avait perdu toutes traces de celle-ci.  Mais il était vrai que le jeune dragon était dans la même condition, cela expliquait peut être pourquoi ce chant trouvait écho à cette situation.    Elfe repris doucement sa position, observant son amante qui retrouva sa place sur l’épaule de son amour.   Cette relation bien qu’à sens unique convenait à la pauvre kitsune car elle savait que sa maitresse ne la quitterait jamais, que jamais elle ne serait vendu et que l’elfe serait toujours la pour elle.  Celle-ci lui expliqua rapidement qu’elles allaient avoir de la visite ce qui fit sourire la jeune kitsune. Même dans le plus parfait des déserts, l’elfe était capable de trouver une femme et cette loi ce vérifia encore.

La kitsune observa donc le drôle de cortège, il y avait un homme de grande taille, bien plus grand que les hommes qu’elle avait vu jusqu’à présent et son comportement semblait étrange.  On aurait dit un enfant,  oui, il avait les mêmes réactions qu’un jeune enfant, comme quoi, il ne fallait pas se fier aux apparences. Elfe quand à elle, comprit qu’elle n’avait pas à faire à un humain, mais plutôt  comme un demi-géant.  Cette espèce n’était pas réputée comme particulièrement intelligente et cela semblait se confirmer avec cet individu, pourtant, il ne semblait pas dangereux et était moins bestiale que ceux de sa race puisque il était capable de communiquer avec des humains.  En temps normal, l’elfe aurait sans doute  eut le réflexe de l’embrocher immédiatement mais pas cette fois ci, elle l’aurait cependant à l’œil, au cas où.

Elle remarqua l’autorité dont la jeune femme fit preuve pour « dompter le géant », cela la fit d’ailleurs sourire, cette jeune femme avait de la poigne et savait ce qu’elle voulait. Elle irait sans doute loin.  Par contre, le fait qu’elle regarde son amante puis rougisse après la réflexion sur le harem.  Penser que Lorna n’était qu’une vulgaire employer, une fille de joie, c’était clairement se mettre à dos elfe.  Non, la kitsune n’était absolument pas un objet que l’elfe utilisait à sa guise. Mais cela, elle lui expliquerait tout à l’heure. En effet, elle se rattrapa en parlant du dragon,  ainsi celle-ci semblait savoir qu’il risquait ses écailles en étant ici.  Elle soupira doucement avant de répondre à chaqu’une des interrogations de la jeune femme, comprenant que cela pouvait paraitre bizarre que l’elfe et la kitsune se trouvent ici.


-Oui, nous somme ici pour une raison assez particulière. Nous recherchons certaines plantes ne poussant que dans ses contrés reculées.  Ces végétaux doivent me servir à la création d’artefact. C’est pour cela que nous n’avons pas fait le voyage sur des chemins plus traditionnels, les fleurs poussent rarement sur les chemins trop fréquentés.

Elle se tourna en direction du petit dragon, soupirant doucement, il était clairement condamné en effet,  elle ne pouvait pas le garder et seul, il ne tarderait sans doute pas à se faire dévorer par un prédateur.  C’était dommage d’en arriver là, car les dragons étaient de magnifiques espèces, mais  elle ne pouvait rien faire de plus. Elle soupira donc doucement avant de lui dire.[/i]

- Oui, mais j’ai bien peur que son avenir soit déjà compromis.  Il est trop jeune pour pouvoir se débrouiller seul et nous ne pouvons malheureusement pas le prendre avec nous.  Le harem n’est pas un environnement convenable pour un dragon. Il a besoin d’espace et ma tour ne le permet pas.  Et si personne ne s’occupe de lui, il est condamné, c’est certain.

Elle soupira doucement, c’était presque triste pour lui. Il n’était pour l’instant qu’une innocente créature et malgré le fait que les elfes et les dragons  ne s’appréciaient pas, elle ne pouvait pas laisser mourir une pauvre créature.  Mais que faire…  Bon, pour l’instant il y avait d’autre question à se poser.  Elle caressa doucement la joue de sa si jolie amante.  Elle était bien avec le corps de la kitsune collait contre elle.


- Donc vous êtes  la princesse de la région n’est ce pas.  Cela ne m’étonne à vrai dire que peu, vous n’avez pas la garde-robe pour passer pour une simple femme du peuple. Enfin, si vous voulez mon avis.  Mais il est étrange de voir un géant dans cette région si du monde.   Surtout qu’il semble ne semble pas être trop barbare.  Enfin,  pourquoi pas.  Il y a cependant une question que j’aimerais vous poser. Pourquoi vos dragons ?  Disons que je connais une certaine dragonne qui ne serait pas vraiment  d’accord avec vous. Les dragons sont des créatures libres. Et qui déteste appartenir à quelqu’un.

Mais cela à vrai dire n’était qu’un petit détail.  Après tout, elle n’était pas la pour parler de dragon non ?

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 09 janvier 2012, 21:47:58
Tinuviel ne tarda pas à donner ses explications, et Alice l’écoutait, tout en regardant de temps en temps ce que faisait Hodor. Hodor agissait de façon assez curieuse, même s’il était assez étrange de penser cela, dans la mesure où Hodor avait toujours été un être spécial. Les belles femmes ne lui faisaient généralement pas peur, mais il regarda l’elfe comme s’il en était littéralement terrorisé, n’osant jamais croiser son regard, alors que tout ce qu’elle inspirait à Alice était le réconfort. Elle semblait digne de l’image qu’on se faisait des elfes : belle et noble, empreinte d’une espèce d’assurance naturelle, qui conduisait généralement les elfes à mépriser les autres espèces, mais elle ne semblait pas distinguer un tel mépris chez Tinuviel. Certes, la kitsune semblait indiscutablement relever, çà ses yeux, d’une espèce d’esclave, mais elle se comportait avec elle de manière très douce, et il suffisait de voir le regard épanoui de la belle femme pour comprendre que, si elle était soumise, c’était une soumission on ne peut plus volontaire… Un peu comme Hodor, dans une certaine mesure. Il était difficile, à les voir, de croire que le demi-géant était soumis à Alice, mais c’était pourtant le cas.

« Oui, nous somme ici pour une raison assez particulière, expliqua la belle elfe, arrachant Alice de ses pensées. Nous recherchons certaines plantes ne poussant que dans ses contrés reculées.  Ces végétaux doivent me servir à la création d’artefact. C’est pour cela que nous n’avons pas fait le voyage sur des chemins plus traditionnels, les fleurs poussent rarement sur les chemins trop fréquentés. »

Une mystérieuse fleur… Alice comprit assez rapidement de quoi il s‘agissait. On trouvait de tout dans les forêts des baronnies : de l’ellébore, des pétales de myrte blanc, de la chélidoine, tout ce qui faisait rêver les alchimistes et les spécialistes en botanique, mais les fleurs que Tinuviel recherchait étaient les rares et précieuses fleurs qui poussaient dans les vallées, au Sanctuaire des Dragons. On disait qu’il y avait là des fleurs uniques, comme une variante spéciale de l’edelweiss, qu’on appelait, non pas « étoile d’argent », mais « étoile des dragons ». Tinuviel ne pouvait venir que pour ces fleurs. Dans ce cas, sa rencontre avec Alice et le bébé dragon relevait d’une bénédiction, car jamais la Commanderie n’aurait autorisé une elfe à rejoindre la terre sacrée des Dragons.

« Oui, mais j’ai bien peur que son avenir soit déjà compromis.  Il est trop jeune pour pouvoir se débrouiller seul et nous ne pouvons malheureusement pas le prendre avec nous.  Le harem n’est pas un environnement convenable pour un dragon. Il a besoin d’espace et ma tour ne le permet pas.  Et si personne ne s’occupe de lui, il est condamné, c’est certain. »

Tinuviel enchaîna en évoquant le dragon, arguant qu’il était condamné, ce qui la fit sourire. L’elfe ne devait visiblement pas connaître grand-chose de Sylvandell, ou ne pas avoir pensé à des choses assez évidentes. L’affection dont les deux femmes faisaient preuve envers le dragonnet était sincèrement touchante, mais elle n’aurait au moins pas de difficulté à le remettre aux dragons. L’affaire aurait été autrement plus difficile si Tinuviel avait désiré le conserver avec elle. Alice fut bien tentée de parler, mais elle préférait laisser l’elfe finir, sentant qu’il y avait en elle quelque chose d’infiniment solennel et majestueux. Elle se sentait toute petite face à cette femme, et probablement un peu jalouse aussi ; une elfe inconnue avait réussi à apprivoiser un dragonnet, alors que la Princesse héritière de Sylvandell s’en était montrée incapable.

Il y avait de quoi se sentir frustré, non ?

« Donc vous êtes  la princesse de la région n’est ce pas.  Cela ne m’étonne à vrai dire que peu, vous n’avez pas la garde-robe pour passer pour une simple femme du peuple. Enfin, si vous voulez mon avis.  Mais il est étrange de voir un géant dans cette région si du monde.   Surtout qu’il semble ne semble pas être trop barbare.  Enfin,  pourquoi pas.  Il y a cependant une question que j’aimerais vous poser. Pourquoi vos dragons ?  Disons que je connais une certaine dragonne qui ne serait pas vraiment  d’accord avec vous. Les dragons sont des créatures libres. Et qui déteste appartenir à quelqu’un. »

Ce fut après cette dernière tirade qu’Alice se sentit en droit d’intervenir, enchaînant assez rapidement, ses beaux yeux reflétant son intense surprise par rapport à la manière dont Tinuviel interprétait les traditions de Sylvandell.

« Je vous en prie, belle elfe, ne redites jamais cela devant mon Père, l’encouragea-t-elle. Il interpréterait cela comme un sacrilège, et vous bannirait à vie de Sylvandell… Nous… Nous savons très bien que les dragons sont des créatures libres, et nous ne les enchaînons pas. Ce serait irréalisable, et contraire à toutes nos croyances. »

Pour Alice et le peuple de Sylvandell, les dragons n’étaient pas que de simples animaux, mais descendaient de l’essence des Dieux.

« Nous les respectons et les vénérons, protégeons leur terre, mais nous ne les dominons pas, nuança-t-elle. C’est… Ah, comment vous expliquer… Nous nous rendons mutuellement service, tout simplement. Les dragons de Sylvandell ne nous vénèrent pas, naturellement, mais ils savent qu’ils peuvent compter sur nous. »

Même un dragon n’était pas invincible, et il existait des créatures terrifiantes qui rendaient les dragons impuissants, et qui nécessitaient le recours des hommes. Des créatures enfoncées dans les profondeurs de ce massif montagneux, des êtres terrifiants, des démons qui faisaient les légendes les plus noires de Sylvandell.

« Quoiqu’il en soit, vous pouvez remercier la Providence de m’avoir rencontré. Vos fleurs sont dans un endroit interdit pour ceux qui ne font pas partie de la Commanderie, dans le Sanctuaire des Dragons. Mais, comme vous avez sauvé un bébé dragon, je pense que Père devrait vous autoriser, avec mon assistance, à y aller pour récupérer vos fleurs. Vous pourrez alors y déposer le dragonnet ; sa place est auprès des siens. »

Sans relever l’ironie des propos de Tinuviel, qui critiquait Sylvandell pour soumettre les dragons, alors qu’elle-même le faisait avec sa kitsune, Alice poursuivit.

« Hodor ne vient pas de cette région, confirma-t-elle. Il a été retrouvé par des hommes de mon père dans les ruines d’un ancien village, au fin fond d’une forêt. Il coupait du bois pour sa mère, mourante, et nous supposons que ce village était sous l’autorité d’un géant, et a été rasé par une communauté d’elfes. »

Rien de bien surprenant ; bien des elfes étaient retors et hostiles envers les autres peuples, un peu comme Sylvandell avec son lieu de culte. Le village avait du être implanté dans un lieu important pour ces elfes, comme un sanctuaire, et ils avaient fini par tous les tuer, ne laissant en vie qu’Hodor avant de partir de cette forêt désolée.

« Hodor a été ramené à Sylvandell, et s’est attaché à moi… Ne lui en tenez pas rigueur, dame Elfe, mais je pense que vous voir doit lui rappeler les traumatismes de son enfance, ce qui explique pourquoi il… Pourquoi il a peur de vous. Mais rassurez-vous, rajouta-t-elle précipitamment, il est incapable de faire le moindre mal. »

Elle regarda ensuite la kitsune, se mordillant les lèvres. Pour certains propriétaires, parler à leurs esclaves, si tant est qu’on pouvait considérer la kitsune comme une esclave, était une offense personnelle. Néanmoins, le dragon était auprès de la kitsune, et elle se mit à parler d’une voix un peu plus douce. Cette kitsune semblait tellement renfermée et innocente qu’elle avait peur de l’effrayer.

« Tu auras le droit de conserver le dragon avec toi jusqu’à ce que nous arrivions au Sanctuaire », dit-elle, la tutoyant sans s’en rendre compte.

C’était plus fort qu’elle ; cette femme lui évoquait une délicieuse fleur couvée à protéger, enfermée dans une bulle de délice et de plaisir. Comment vouvoyer telle créature ? Alice ne rêvait que d’une chose : s’enrouler autour de son interminable queue poilue.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le lundi 09 janvier 2012, 22:44:01
L’elfe  se contenta d’écouter, il fallait dire que la jeune femme venait de lui donner de nombreuses informations.  La première fut que dans ce pays les homme et les dragons cohabitaient.  Elle trouvait cela disons assez étrange.  Pour elle, un elfe du soleil et un dragon ne pouvait pas cohabiter.  Il fallait dire que le passé entre les deux espèces était désormais trop chargé pour que cela change.  La guerre des orbes. Un projet insensé, mais qui expliquait la haine viscérale entre les dragons et les elfes,  en effet les elfes eurent le projet fou de vouloir dominer les mères des couvées. Cela provoqua la destruction de la capitale elfique et la mort de milliers d’innocents, voila pourquoi de puis le temps les elfes et les dragons se livraient une guerre sans merci. 
Il n’y avait qu’un cas qui faisait que l’elfe appréciait ses dragons.  Ceux qui avaient choisi une forme humaine plutôt que leurs formes draconienne. En effet, certain dragon une fois leur majorité atteint choisissait de devenir des êtres humains pour un temps donné. Ou du moins des êtres humanoïdes.  A ce moment là, elle pouvait commencer à les apprécier.
Elle réprima un soupire lorsque la jeune femme lui proposa de lui servir d’escorte.  Elle était une elfe, le monde n’avait donc pas de frontière pour elle.  Et il était assez facile de tromper les sens des humains.  Mais elle aurait perdu du temps en faisant cela. Hors, elle ne pouvait pas se le permettra. Elle allait donc accepter.  De toute façon, il n’y en avait que pour quelques heures, alors cela ne devrait pas poser de problème. Elle  ne dit rien, acceptant pour l’instant le fait qu’elle n’était pas dans une position de force.  Elle  laissa donc la jeune princesse continuer.   Ainsi ce géant était à moitié humain. Cela expliquait sans doute bien des choses.  Et honnêtement l’attitude des elfes ne l’étonna pas.   Il suffisait de voir comment  ils s’étaient comportés avec elle.   Il fallait aussi savoir de quel race d’elfe on parlait. En effet, s’il avait eut la malchance d’être tombé sur des sylvains…
Elle laissa faire la jeune princesse,  discuter avec lorna n’avait absolument aucune conséquence chez l’elfe au contraire.  Elle senti donc son amante se relever avant de fixer la jeune princesse et de lui répondre avec un grand sourire.


-Ne vous en faite pas, je ne comptais pas le garder vous savez.   Mais je peux le sentir, il a besoin d’une présence.  Pour l’instant…  Il manque de ce que seule une mère peut lui donner.  De l’amour.

Elfe se contenta de masquer un petit sourire, Lorna était loin d’être une frêle fleur, non elle était au contraire une femme remplie d’amour, de bonté et toujours de bonne humeur.  Elle  était celle qui arrivait toujours à voir un point positif même si le ciel lui tombait sur la tête.  En un mot, elle incarné à elle seule l’amour.  L’amour dans le sens le plus global du terme.  Elle ne pouvait pas se mettre en colère et  pouvait toucher n’importe qui.  Pourtant, il n’y avait que l’elfe qui avait réussit à gagner son cœur.
Elfe eut un petit sourire avant de répondre doucement.

-Elle  est loin d’être aussi fragile que vous pouvez le penser.   Je dirais même qu’elle est sans doute plus forte encore que moi.  Mais ce n’est pas cela que je voulais vous dire.

Elle réfléchi quelques instants avant de lui dire.

- Les elfes et moi y compris sont des créatures relativement peu tolérantes.  D’après la description que vous me faite et en vu de la localisation de son village, je dirais qu’il est tombé sur des elfes sylvains.  Autant vous dire qu’il a eut de la chance.  Il s’agit d’une des espèces les plus sauvages après les drows.  Il est impossible de raisonner un sylvain si l’on touche à ses terres et  le fait que votre compagnon soit encore en vie tien du miracle.

Elle hocha doucement la tête, oui, ce géant était né sous une bonne étoile, c’était certain.  Enfin.  Elle termina par la dernière information.


-Bien, nous acceptons de vous suivre. Quelqu’un qui connait le terrain et qui peut nous servir de guide est un avantage considérable. Cependant, je souhaite vous prévenir.   Les elfes n’ont pas de frontière ainsi, si nous avons besoin d’une ressource, rien ne pourra nous empêcher de l’obtenir.

Elle était certes abrupte, mais d’un autre coté, elle pouvait sentir que cette princesse n’était pas quelqu’un de fragile.  Elle consacrait sa vie à aide les faibles, mais elle avait besoin de ces plantes si elle voulait que cela continue.  Elle fit un petit signe de tête à la kitsune qui se leva doucement avant de prendre le dragon dans les bras, comme s’il s’agissait d’un gros chat.  Elfe se leva ensuite, récupérant sa lance.  Elles étaient maintenant prête à repartir.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 10 janvier 2012, 00:52:01
Lorna s’exprimait d’une voix douce et tendre, agréable à entendre. Alice l’écoutait tranquillement, avant que Tinuviel ne s’exprime à nouveau, lui parlant des elfes sylvains. Cela ne disait pas grand-chose à Alice. Oh, bien sûr, elle savait qu’il existait plusieurs types d’elfes différents, mais, à Sylvandell, on avait coutume de simplifier les choses. Si ça a les oreilles pointues, et que ça pète plus haut que son cul, il ne faut pas chercher plus loin, ça ne peut être qu’un elfe ! L’analogie était simpliste, mais on aimait simplifier, à Sylvandell. Qu’Hodor soit encore en vie était toutefois un mystère pour tout le monde. Les Commandeurs avaient supposé une attaque elfe, car c’était le plus probable, mais bien des mystères avaient entouré cet épisode, qui faisait de toute façon maintenant partie du passé d’Hodor. Tinuviel lui donna ensuite une dernière information qui amena Alice à froncer les sourcils.

« Les elfes n’ont pas de frontière ainsi, si nous avons besoin d’une ressource, rien ne pourra nous empêcher de l’obtenir. »

Répéter une telle phrase devant Père, c’était prendre le risque de l’énerver, vu ce que cette phrase impliquait. Essayant de faire preuve de sagesse féminine, Alice se redressa, et se mit à parler.

« Je conçois tout à fait que des notions comme la souveraineté ou l’État soient des sornettes pour un peuple aussi indépendant et libre que le vôtre, dit-elle, bien conscient qu’il n’y avait rien de plus fier qu’un elfe en ce monde, mais vous dirigez un harem, et vous avez sous votre aile plusieurs femmes qui ont de l’intérêt pour vous, et qui en ont visiblement autant à votre égard. Si le concept de ‘‘souveraineté’’ ne vous évoque rien, poursuivit-elle, je pense que celui de ‘‘propriété’’ signifie quelque chose. »

La propriété… Pour Alice, c’était une notion fondamentale, et même les elfes connaissaient cette notion. Après tout, même les animaux la connaissaient. Il suffisait de voir comment certains animaux défendaient avec bec, ongles, et griffes, leurs territoires, pour réaliser toute l’importance que revêt la propriété à leurs yeux. Et, si Tinuviel dirigeait un harem, elle ne devait pas y être insensible non plus.

« Si nous devions vous ravir Lorna ou une autre de vos agréables comparses, ne vous sentiriez-vous pas offusquée ? Il en est de même pour nous si vous prenez quelque chose qui nous appartient… Et le droit de passage dans la Terre des Dragons de Sylvandell est nôtre depuis l’alliance faite entre Erwan Korvander et le dragon doré. »

Consciente qu’elle pouvait passer comme une donneuse d’ordres aux yeux de l’elfe, ce qui était généralement la meilleure façon d’encourager un elfe à faire précisément ce qu’il ne fallait pas faire, et n’ayant pas non plus envie de se mettre à dos une si belle elfe, Alice précisa rapidement.

« Je vous le précise, car mon Père ne rigole pas avec ces choses-là, et je ne tiens pas à ce que les choses aillent mal… Il… Il est si rare que des êtres si exceptionnels viennent dans notre contrée… » avoua-t-elle en rougissant légèrement.

Elle tourna la tête, n’ajoutant rien de plus. Hodor entreprit de se relever, restant à une distance raisonnable de Tinuviel, et Alice se mit à marcher.

« Nous allons donc aller à Sylvandell. Avec ce dragon que votre comparse tient entre ses bras, il ne sera pas difficile d’y rentrer. »

Alice espérait juste que son père ne les surprendrait pas, car il n’aimait jamais voir des étrangers entrer dans le Territoire, surtout s’il s’agissait d’aller au Sanctuaire, un lieu ô combien sacré. Alice marcha, remontant la rivière, jusqu’à atteindre les plaines et les sentiers, se dirigeant vers les montagnes. Il y avait plusieurs façons de rejoindre la ville de Sylvandell, mais elle marcha vers une petite ville nichée dans un canyon, d’où des sentiers serpentaient le long de la montagne pour directement y conduire.

« J’espère que vous conserverez une bonne image de Sylvandell, avoua-t-elle. En tout cas, ceux qui ont été dans votre établissement en ont été ravis. »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le mardi 10 janvier 2012, 19:08:41
L’elfe  fallit répondre au quart de tour. Comment cela si on prenait son amante elle ne serait pas contente, a entendre cette princesse, on dirait que Lorna lui appartenait, ce qui sur le plan juridique n’était pas faux. Mais elle était loin d’être une simple esclave, une simple propriété. Non, elle était une des amantes de Tinuviel, un membre de sa famille et surtout, elle était libre de partir quand elle le souhaitait.  Elle n’était pas une chose. 

La kitsune eut le bon réflexe de calmer son amour, elle imposa doucement  sa queue sur l’épaule de l’elfe, avant de lui faire signe que cela n’était pas la peine. Elle ne voulait pas être une source de conflit surtout que celui-ci pourrait avoir de fâcheuse conséquence sur la suite des événements.  L’elfe soupira estiment qu’elle aurait du cependant remettre à sa place cette gamine qui se croyait être son égale alors qu’elle n’avait rien vécut.  Elle continua donc la marche,  mais ne pus s’empêcher de penser que cette pseudo alliance, arrangeait surtout les humains. Car les dragons n’avaient absolument aucune raison de s’allier avec eux.  Par contre les humains eut gagnaient ainsi un droit sur des terres qui ne leurs appartenaient pas.  Elle répondit simplement.

-La terre comme ce qui y pousse appartient à tout le monde.  Une fleur  ne choisi pas l’endroit ou elle pousse et à ce titre je ferrais ce que je dois faire pour aller à elle, puisqu’elle ne viendra pas à moi.   Mais si maintenant les Hommes se pensent même maitre des fleurs, alors je me demande ce que deviendra ce monde.

La même chose que la terre sans doute,  elle s’y était rendu une fois, et il n’y avait plus grand-chose hormis  du gris.  Du gris partout, dans le ciel comme sur le sol.  C’était triste à en pleurer, surtout pour elle qui même si elle était une elfe du soleil, c'est-à-dire une créature bien plus urbaine que forestière  avait quand même des affinités avec les plantes et les animaux.
Elle continua le voyage suivant cette  jeune princesse,  malheureusement pour elle, elle fit une seconde gaffe.  Une gaffe encore plus lourde  que la précédente.  Effectivement, elle  avait semblait dire que l’on passait un bon moment dans son établissement.  Le sous entendu était que celui-ci n’était qu’un endroit de passe. Chose que l’elfe prit mal…  Très mal.


-Il y a deux choses que je ne supporte pas ma demoiselle et vous avez fait les deux.  La première c’est que l’on considère Lorna ou n’importe qu’elle autre de mes amantes comme un esclave ou pire un objet,  ce que vous venez de faire.  Sachez qu’elle est libre de me quitter quand elle le veut, et que si elle reste avec moi, c’est de son plein grès. Votre  réflexion est donc insultante pour moi, mais aussi et surtout pour elle.   La seconde chose c’est de penser que mon Harem n’est qu’un endroit de passe.  J’ai extrêmement de mal à  digérer ce genre de chose.  Il a justement était interdit au homme pour cela. Et même si je ne cache pas avoir eut de nombreuse amante le but de ce lieu est surtout de redonner de l’espoir à ceux  qui n’en n’ont plus.  Un peu comme les citoyens d’ashnard qui sont obligé de mourir de faim ou de froid s’ils veulent revoir leurs familles un jour.

Elle avait beau avoir une voix relativement calme, elle avait dans les yeux une colère des plus significatives.  Autant dire que la jeune humaine s’était mise à dos une puissante magicienne.  Il y avait cependant le moyen de faire en sorte que cela s’arrange si l’humaine reconnaissait ses torts.  Alors, l’elfe serait sans doute capable de lui pardonner cet écart de conduite, puisque celle-ci n’avait aucune idée de l’endroit ou l’elfe habité ni les relations qu’elle entretenait avec ses amantes.


-  J’espère que nous sommes bientôt arrivé, je ne pense pas que le petit dorme encore bien longtemps.

Elle n’était toujours pas de bonne humeur, mais elle pensait d’abord au dragon avant elle.  Elle soupira longtemps.  Oui, les paroles de l’humaine l’avait vraiment blessé. Elle pouvait penser ce qu’elle voulait d’elle, cela lui passait outre, mais dire cela de ses amantes, jamais elle ne le tolèrerai.


-Une dernière chose.  Ce que vous dirons les hommes sont faux.  Je choisi mes amants sur le volet et pour l'instant, il n'y en a eut aucun venant de cette région qui m'as comblé.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 10 janvier 2012, 19:53:46
Alice ignorait quasiment tout des elfes, et sa connaissance sur eux s’appuyait uniquement sur les préjugés et ce qu’on en disait. De ce qu’elle savait, sa rencontre avec Tinuviel lui permettait de confirmer que les elfes étaient très fiers. Comment expliquer autrement la susceptibilité des elfes ? La Princesse n’avait nullement désiré vexer Tinuviel, mais c’est ce qu’elle avait fait, et elle se sentit toute confuse à cette idée. Alors que la ville approchait, elle se retourna vers elle, et décida de prendre son courage à deux mains. Elle s’approcha de l’elfe, voyant bien le regard colérique que cette dernière lui versait, et attrapa chacune des mains de Tinuviel, la regardant, l’expression sincère de ses yeux espérant refléter son honnêteté.

« Pardonnez-moi, noble elfe, si je vous ai offensé. Je ne le désirais nullement, et je ne peux que vous demander d’accepter mes excuses pour ce fait. »

Elle relâcha les mains de Tinuviel, et regarda Lorna, puis regarda à nouveau Tinuviel.

« Je n’ai jamais dit qu’elle était votre esclave, et je… Si c’est ce que vous avez cru, alors… »

Elle secoua la tête, cherchant ce qu’elle pouvait dire, ne trouvant rien, rougissant, et appela Hodor. Le demi-géant hésita à venir, mais Alice insista, et il finit par venir, tout en baissant les yeux, prêt à partir en courant. Elle lui prit la main, puis regarda Tinuviel.

« Hodor n’est pas mon esclave. Pourtant, il me suit et accomplit si fidèlement mes souhaits que n’importe qui pourrait le prendre ainsi. J’abhorre l’esclavage, noble elfe, j’abhorre la soumission forcée des gens envers d’autres, mais ce serait être niais que de considérer que toutes les relations se fondent sur un sentiment égalitaire. Hodor a besoin de moi, tout comme j’ai besoin de lui, mais je suis sa principale raison de vivre. Ne me demandez pas pourquoi, mais Hodor ne pourrait pas vivre sans moi, et on me considère généralement comme sa Maîtresse. Je… Peu importe, abrégea-t-elle, avant de chercher comment finir ce qu’elle avait dit. Je sais que Lorna n’est pas votre objet, mais le regard qu’elle vous jette… »

Alice regarda alors Lorna, emportée, oubliant Hodor, qui en profita pour se reculer, et elle parla à l’amante.

« Ne voyez-vous pas Tinuviel comme votre raison de vivre ? »

Cette question n’attendait pas forcément de réponse, et Alice parlait sur un ton excité, fiévreux, sans qu’il ne soit possible de déterminer si elle était en colère, ou simplement nerveuse. Son regard se porta à nouveau sur Tinuviel, et elle reprit, estimant qu’il n’était pas nécessaire de poursuivre dans cette voie-là.

« Et je n’ai jamais considéré votre harem comme un endroit de passe ! Mais peu importe… Je ne sais même pas ce que c’est, je ne sais même pas ce que vous y faites. »

La Princesse secoua à nouveau sa belle tête, et retourna près d’Hodor. Toute sa colère agissait sur le dragon, qui commençait à s’agiter, mais la Princesse fulminait de colère. La dernière saillie de Tinuviel de Sylvandell sur la qualité des hommes de cette région avait marqué Alice plus qu’elle ne l’aurait cru, même si ce n’était pas spécialement méchant. Les hommes de Sylvandell n’étaient pas des bourreaux des cœurs, et préféraient se rire des romantiques et des rêveurs. Plus généralement, à travers les phrases de Tinuviel, Alice percevait les sous-entendus habituels qu’on formulait à l’encontre de Sylvandell, en faisant un lieu de débauche et de sauvagerie perpétuelle, un endroit tyrannique et cruel, où nul ne souriait. L’image était relativement fausse.

« Mais, puisque mon royaume et mes ‘‘hommes’’ semblent tant vous écœurer, nous allons aller derechef chercher vos fleurs, afin que votre joli petit cul d’elfe ne soit pas plus importuné par l’air malsain de la région ! » trancha-t-elle.

Énervée, Alice ressemblait un peu à son Père, quant au choix des mots utilisés. Elle se mit à marcher vers la ville, les joues rouges, ravalant dans sa langue la myriade de jurons que son père aurait sans doute proférés. Difficile de déterminer comment son esprit avait pu dériver de phrases assez polies au début pour en finir par songer à un chapelet d'insultes.

« Hodor ? demanda le demi-géant.
 -  Suis-moi, gros nigaud ! On retourne dans les montagnes !
 -  Hodor ! » s’exclama ce dernier, ravi.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le mardi 10 janvier 2012, 21:35:43
L’elfe écouta les explications de la jeune femme avec attention, il était drôle de voir que celle-ci s’enfonçait encore et encore un peu plus à chaque fois qu’elle tentait d’aligner trois mots. Mais d’un autre coté, elle voulait bien faire et cela l’elfe l’avait remarqué.  Elle passerait donc l’éponge cette fois ci, et était prête à continuer la route avec la jeune femme.  Du moins, c’était ce qu’elle pensait car  apparemment la jeune princesse n’était pas de son avis.  La situation venait de changer du tout au tout.  Et c’était maintenant la jeune femme qui était à la place de l’elfe.  Effectivement,  cette fois ci c’était elle qui était en tord, elle avait eut exactement la même réaction que la jeune humaine quelques temps plus tôt. 

Celui lui fit tirer un sourire.  Alors… Et bien qui sait,  peut être que cette jeune femme avait du sang elfique dans les veines, dans tout les cas, Tinuviel  apprécier ce genre de comportement, même si elle était impulsive, elfe aimait que l’on se passionne pour une cause et c’était sans doute  le cas de cette femme pour son royaume.  Elle ferrait une bonne princesse le jour venue,  la mage rouge n’en doutait pas.  Elle se contenta juste de sourire avant de lui répondre d’une voix assez forte.


- Il me semble que je vous dois également des excuses.

Entendre une elfe prononcer ce genre de mot était tout simplement extrêmement rare. Surtout venant de la part de Tinuviel,  elle qui était encore plus que les autres, d’une fierté hors normes.
Elle eut juste un petit sourire et dit à la jeune princesse réalisant qu’en réalité leurs places n’étaient pas si différente l’une de l’autre.  En effet la ou la princesse devait gérer un pays elle, elle devait s’occuper d’un harem.  Elle devait s’occuper de l’économie, du bien être de ses résidents,  bref  c’était un pays en miniature.



-Il faut croire que comme moi, tu as tendance à partir au quart de tour lorsque l’on s’attaque à un sujet qui t’es chère.  Je pense que mieux que  quiconque tu es donc capable de voir combien mon harem me tien à cœur.  Il est  l’équivalent de ton pays, la taille en moins.   Et pour te répondre, sache qu’un  lieu de passe est un bordel.   Ce que beaucoup de gens pense lorsqu’il s’imagine ce qu’il se passe chez moi.  Hors, mon corps comme celui de mes amantes est loin d’être à vendre.

Elle soupira doucement laissant la jeune femme se calmer, et elle aussi.  Elle continua doucement, alors que la kitsune lui caressait doucement la joue, sachant que l’elfe avait besoin d’amour lorsqu’elle était comme cela.


- Je…  Je suis désolé…
 
Elle chassa rapidement ses mots,  elle ne pouvait pas rester sur des excuses, c’était déjà en demander beaucoup pour l’elfe. Elle passa donc sur la place de Lorna.  Elle se contenta de dire avec peine.

-Vous avez raison sur un point.  Je suis  sa raison de vivre.  Elle ferrait tout pour que je sois heureuse, et fait le plus grand sacrifice de sa vie.  Elle à décidé de me donner son cœur,  elle à fait de moi son âme sœur, alors qu’elle sait que je ne lui rendrais jamais totalement cette amour.  Elle sait que je ne peux lui être fidèle et car mon cœur appartient au harem.  Je serais donc toujours la femme de plusieurs amantes.  Pourtant,  elle l’accepte, et fait tout ce qu’elle peut pour m’épauler, pour me protéger, pour prendre soin de moi.  Elle pourrait maudire son destin,  ne trouver plus aucun réconfort à vivre et pourtant non.

Elle caressa doucement la joue de la créature, l’embrassant doucement sur ses lèvres.  La demoiselle rougit légèrement avant de  se laisser faire totalement.  Elle était totalement dévouée à l’elfe et lui donnerait sa vie.


- Reste encore un dernier point.  Ne pensez pas que je haïs les hommes. Ce n’est pas le cas. Mais je me dois de protéger mes amantes.  La plus part on étaient violentées, violées ou torturées par des hommes.  Voila pourquoi je me dois être impitoyable avec eux. Si je n’avais pas cette poigne de fer, je vous laisse imaginer ce qu’il se passerait si je ne laisser que 5 hommes seuls avec mes amantes.


Elle était sans doute dure, mais cela pouvait s’expliquer facilement, elle venait de le faire.  Par contre, cela avait tendance à la rendre trop dur avec les hommes même s’ils n’étaient pas mauvais.  Elle s’en rendait compte, mais  elle ne pouvait pas faire autrement.  Elle ne pouvait pas se permettre de gâcher des années de travail par un incident de ce type.  Elle resterait sans doute comme cela durant le reste de sa vie.  Elle se moquait de ce que l’on pouvait penser d’elle tant qu’elle protégeait ses amantes.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 10 janvier 2012, 22:38:54
En colère, Alice était décidée à rapidement satisfaire Tinuviel, et puis bon débarras ! Hodor pouvait sentir sa crise de colère, son petit caprice, et ne disait rien, tandis qu’elle avançait le long d’un sentier menant à la ville. Tinuviel dit alors quelque chose qui fit s’arrêter Alice, la surprenant au plus haut point.

« Il me semble que je vous dois également des excuses. »

A cette phrase, Alice se retourna, les joues rouges, sentant sa colère, qui lui semblait inébranlable et solide, s’effondrer rapidement. Alice en oublia pour le coup totalement la ville, et laissa Tinuviel parler. L’elfe lui donna sa version des faits, et à la fin de son discours, Alice ne savait plus trop quoi dire. Le baiser entre les deux femmes avait été un moment assez délicieux à regarder, qui, s’il n’éveilla pas réellement de sensualité dans le corps d’Alice, exprimait toute l’affection mutuelle qu’elle se portait. Tinuviel semblait avoir une relation assez particulière avec ses « amantes », et Alice supposa que sa fermeté était nécessaire, pour permettre à ses amantes d’avoir foi en elle, si elle leur était aussi indispensable.

*Tout le contraire de moi, en somme*

Dénuée d’autorité, Alice aurait comme prédécesseur, quand elle dirigerait la Commanderie, Lord Tywill Korvander, considéré comme l’un des Commandeurs les plus imposants et les plus autoritaires depuis Erwan. Elle aurait aimé pouvoir avoir au moins un dixième de cette autorité naturelle que semblait dégager Tinuviel. Plus elle y réfléchissait, plus elle se disait qu’elle ne pourrait régner sur Sylvandell qu’en essayant d’amener ses hommes à l’aimer, à voir en elle une source d’inspiration pour se battre, mais cela lui paraissait irréalisable, utopique. Les Commandeurs étaient des guerriers itinérants, et la Commanderie Noire le ciment de Sylvandell. Le rôle d’un Korvander consistait essentiellement à diriger la Commanderie, et, depuis Erwan, la Commanderie avait toujours comme Lord un Korvander, et ce Korvander devait être le plus dangereux des Korvander. Malheureusement, Alice, si elle était bien une Korvander, était bien la moins dangereuse de la lignée, ce qui impliquait une nouvelle forme de gouvernance.

Elle oublia cela en se concentrant sur le moment présent, et retourna voir l’elfe. Alice l’embrassa sur la joue rapidement, savourant le contact de sa délicieuse peau.

« Oublions ce malentendu, alors, avoua-t-elle en souriant. Mais ne soyez pas inquiète pour votre amante ; il ya des lois à Sylvandell, et il est interdit de toucher au moindre de vos cheveux. »

Alice s’écarta un peu, et reprit sa marche. Elles atteignirent assez rapidement la ville. Il y avait un petit mur en pierre autour d’une grande porte d’entrée en bois, qui était ouverte. Des chevaux y entraient, et deux gardes se tenaient à l’entrée.

« Madame », salua le garde en baissant la tête.

Le long du mur, il y avait quelques archers, mais qui semblaient s’ennuyer. Hodor rentra le premier, et ils ne tardèrent pas à aller sur une place publique au centre du village, avec des gradins en bois, faits à partir de rondins. On y organisait généralement les spectacles, et Alice vit, sur un poteau, une image vantant un spectacle musical ce soir, mais, pour l’heure, seuls des enfants s’amusaient, riant en courant. Alice les vit passer devant eux, et l’un la heurta sans la voir, tombant sur le sol. Elle tenta de l’aider à se redresser, mais il l’oublia, sans même probablement réaliser qu’il venait de bousculer la Princesse, courant avec les autres.

*Aurais-je aimé avoir une vie comme ça ?* se demanda-t-elle.

Le fonctionnement des baronnies de Sylvandell était bien différent de la capitale. Dans les baronnies, les serfs vivaient généralement en étant heureux et sereins. Alice vit une délicieuse auberge, assez grande, où des individus discutaient tranquillement entre eux sur des tables. Les grillades à l’entrée de l’auberge étaient fermées, et Alice aperçut, au loin, les ascenseurs permettant de rejoindre Sylvandell sans passer par les escaliers. Elle fut tentée de proposer à ses convives de les emprunter, mais elle vit qu’une petite fille en robe verte regardait l’elfe avec des yeux ronds, se mettant devant elle.

« Vous êtes une elfe ? lui demanda-t-elle. Comme dans les contes ?! »

Sans vraiment attendre la réponse de l’elfe, elle tourna la tête vers sa compagne, et ses yeux s’écarquillèrent en voyant le bébé dragon.

« Un DRAGON ! » s’exclama-t-elle alors.

En entendant cette phrase, certains des habitants tournèrent la tête, et réalisèrent alors qu’il y avait trois femmes pas banales ici : la Princesse de Sylvandell, que les habitants reconnurent, une elfe en armure rouge dont la beauté était à se damner, et une kitsune, portant dans les bras un petit dragon. Les adultes restèrent à bonne distance, murmurant entre eux, mais d’autres enfants vinrent, formant une espèce de cercle autour de Tinuviel et de sa compagne.

« D’où venez-vous ?
 -  Vous êtes trop belles !
 -  Qui êtes-vous ?
 -  Vous pouvez être ma Maman ?
 -  A qui appartient ce dragon ?
 -  Où l’avez-vous eu ?
 -  Comment vous appelez-vous ? »

Les questions fusèrent dans tous les sens. Alice trouvait les enfants adorables, et se mordilla les lèvres, même si quasiment aucun enfant ne vint la voir. Elle espérait juste que Tinuviel ne se montre pas trop abrupte.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le mercredi 11 janvier 2012, 18:34:12
Elfe se contenta d’acquiescer  lorsque la jeune femme proposa d’oublier ce genre de chose,  il était sans doute mieux pour la suite du voyage que les deux femmes oublient cet incident.   Elles continuèrent leurs marches, se demandant ou cette jeune humaine allait bien les conduire.  Elle semblait totalement perdu dans ses pensées d’ailleurs, si bien qu’elle ne remarqua pas le jeune chenapan qui lui rentra dedans.   
L’elfe eut un petit sourire, ces enfants avaient de la chance, ils pouvaient vivre en paix, et cela n’était pas donné  à tout le monde.  Elle était dans ses pensées et ce fut les paroles d’une petite fille qui la tira de celles-ci.  Elle ne comprit pas vraiment tout, mais en moins d’une dizaine de seconde, elle se retrouva entourée par une dizaine d’enfant, et au loin, elle pouvait voir les adultes sans doute des parents discuter entre eux.  Elle  ne pouvait pas entendre ce qu’il se disait, mais  c’était sans doute en lien avec sa nature, ou bien les fréquentations de la future princesse des lieux.  Elle eut donc un petit sourire, s’accroupissant pour être à la même hauteur que les enfants et leur dit doucement.


-Oui, je suis bien une elfe, une vrai de vrai avec des oreilles pointues et des pouvoirs magiques.  Je m’appelle Tinuviel Lastrim, et j’habite dans un pays lointain au plein cœur d’un endroit dangereux, les landes dévastées.  Je vous déconseille d’ailleurs d’y aller ce n’est pas un endroit propre pour les enfants.  Et je vous présente ma compagne.  Lorna,  elle, elle vient de Nexus, une ville commerciale ne se trouvant pas loin.  Elle est moi, nous sommes des amoureuses. Vous comprenez ?  Bien, pour en revenir à  notre ami le dragon, et bien, c’est lui qui nous à trouver, nous devons le ramener chez lui.

Elle  caressa doucement le visage du  jeune garçon qui lui avait demandé si elle pouvait être sa mère.  Non, elle ne briserait pas une famille, c’était contre ses principes. Elle-même avait eut beaucoup de mal à en retrouver une et savait ce que cela voulait dire de perdre ceux qui vous sont chers.


-Mon garçon, croit tu que ta maman accepterait de voir son fils partir ?  Je ne pense pas,  alors non, je ne peux pas être ta maman.  Par contre vous tous,  soyez toujours gentil avec votre famille.  Il n’y à rien de plus important dans votre vie que l’amour de vos parents. 

Elle eut un  petit sourire, non, ils ne la comprendraient sans doute pas, mais qui sait, peut être qu’il en resterait quelques choses le jour ou ils seraient adultes et ce jour la, ils comprendraient. Elle remonta doucement,  laissant les enfants reprendre leurs jeux avant de caresser la joue de son amante. Ce qu’elle venait de dire n’était pas faux, dans un sens.  En effet chaqu’une des amantes de l’elfe étaient comme une  âme sœur. C’était donc extrêmement compliqué, mais la jeune kitsune savait que sa maitresse ne la laisserait jamais.
Les enfants retournèrent jouer,  et elle, elle  retourna voir la jeune princesse. Maintenant, elle ne savait pas qu’elle était la prochaine étape de la jeune femme.  Si ce sanctuaire était encore loin, le plus simple serait peut être de rejoindre  demain et de passer la nuit à l’auberge.  Et puis, cela permettrait peut être à la kitsune et à l’elfe de se rejoindre pour une nuit qui s’annonçait courte.  Elle  exposa doucement son idée à Lorna qui rougie avant d’acquiescer. Elle demanda donc à la jeune princesse.

- Si le sanctuaire se trouve encore loin, nous aimerions si possible  prendre un bain et nous reposer à l’auberge.  Le trajet fut long et relativement dur et une bonne nuit de sommeil ne nous ferrait pas de mal.  Cependant si le sanctuaire n’est pas loin, nous pouvons attendre. Cela ne pause pas de soucis.

Elle avait en réalité une autre chose en tête, les deux femmes  passeraient une nuit courte si le programme était celui qu’elles avaient déjà décidé. L’elfe souriait doucement, étrangement, quelque chose sonnait faux dans cette histoire de fatigue, mais bon. 
Elle  attendait la réponse de la jeune princesse, se demandant à quoi celle-ci avait put penser.  Elle se demandait également si ce pays avait conscience que l’amour n’était pas une histoire de race, de sexe ou bien de religion.  Elle avait voulu faire passer cela à ses enfants, qui sans doute plus tard  serait eux aussi amoureux.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 11 janvier 2012, 20:22:52
Bras croisés sous sa poitrine, petit sourire aux lèvres, Alice observait l’elfe se débrouiller avec les enfants. Elle fléchit les genoux, et se mit à leur parler, se présentant, tandis que les enfants l’écoutaient attentivement. Les parents discutaient entre eux à voix basse, et Alice ne surprit qu’une simple et brève conversation.

« C’est quand même frustrant, de voir qu’une simple elfe arrive à retenir l’attention de ma fille, quand il faut que je lui fasse un gâteau pour la rendre aussi sage… »

Alice pouffa légèrement, et décida de reprendre son sérieux. Que la Princesse vienne dans les baronnies n’était pas très surprenant ; n’importe qui savait qu’elle aimait bien les baronnies, même si on n’y voyait aucun dragon. Tinuviel continua à parler, s’adressant au jeune homme qui avait désiré l’avoir comme Maman, caressant doucement son visage avant de lui répondre.

« Oh, fit ce dernier en haussant les épaules, ma mère n’arrête pas de me menacer de m’abandonner dans la forêt si je continue à revenir trempé de boue… »

Tinuviel tâcha ensuite de se désintéresser des enfants, mais elle dut surtout sa délivrance à l’intervention des parents, qui leur conseillèrent d’aller jouer ailleurs, plutôt que d’embêter la Princesse de Sylvandell. Ces derniers n’eurent aucune réelle difficulté à obtempérer, et Tinuviel s’entretint un peu avec sa compagne, sans qu’Alice ne soit en mesure de savoir ce qu’elles disaient. Ce qu’elle pouvait noter de Tinuviel, c’est qu’elle ne semblait pas avoir le même sens de l’humour que les humains, ou le même esprit immature inhérent à ce peuple. En soi, rien de bien surprenant ; Tinuviel semblait plus âgée qu’elle ne le faisait croire, et les Commandeurs ne disaient pas que les elfes avaient ‘‘un balai coincé dans le cul’’ pour rien… Phrase qui, aussi péjorative qu’elle pouvait sembler, était généralement, dans la bouche des Commandeurs, un compliment eux-mêmes ayant une conception, si ce n’est réduite de l’humour, au moins très particulière.

L’elfe retourna voir son hôte, et lui demanda si elles pouvaient passer la nuit à l’auberge. Alice regarda donc à nouveau l’auberge. Pittoresque, elle était bâtie près d’un petit parc, et avait tout d’une délicieuse auberge romantique. La nuit, des lampions devaient délicatement l’éclairer, et un peu de lierre avait poussé à plusieurs endroits. C’était une très belle auberge, qui s’intitulait, fort justement, « A la Halte de Sylvandell ».

« Sylvandell, la ville, se trouve tout là-haut, fit-elle en désignant d’une main les hauteurs insondables d’une montagne. Des monte-charges nous conduiront en hauteur, sauf si vous tenez à passer des heures à grimper sur les sentiers, mais, même après cela, nous devrons suivre un sentier pour atteindre la ville basse, et continuer à marcher, jusqu’à atteindre la ville haute, puis la Terre des Dragons, et le Sanctuaire. Or, vous avez du beaucoup marcher, alors, se reposer à l’auberge me semble un plaisir qui ne serait pas du luxe. Venez. »

Alice approcha de l’auberge, et rentra à l’intérieur. Un feu de cheminée brûlait dans un âtre, des serveuses et des serveurs nettoyaient les tables, et elle s’approcha de l’aubergiste.

« Madame, soyez la bienvenue dans mon humble établissement.
 -  Merci, aubergiste, répondit-elle. Nous désirions deux chambres, poursuivit-elle, une pour moi, et une pour nos convives. »

L’aubergiste regarda les deux femmes, et sembla blêmir.

« Ah, euh, oui, bien sûr… Hum… Deux chambres, vous dites ? Bien sûr, oui, deux chambres, ah…
 -  Un problème ?
 -  Et bien… Oui et non… confessa-t-il. Voyez-vous, l’auberge est plutôt bien remplie ces temps-ci. L’auberge se compose deux étages, le premier étage, comprenant des cellules, et le second étage, comprenant des appartements un peu plus… Confortables. Et je ne peux décemment pas autoriser une elfe ou notre Princesse à dormir dans les salles du premier étage, qui sont réservées aux… Aux… Enfin, à ceux qui ont de petits revenus, comme les pèlerins…
 -  Il n’y a plus de chambres au second étage ?
 -  Une », avoua piteusement l’aubergiste.

Les grandes chambres du second étage devaient aisément contenir au moins trois personnes, et Alice se tourna vers Tinuviel, rougissant légèrement. Elle n’était pas aveugle ; la kitsune et Tinuviel étaient toutes les deux belles. Or, comme son père aimait à le dire, quand elles étaient seules, deux belles femmes qui se regardaient avec des yeux de merlan frit ne pouvaient faire qu’une seule chose. Elle se mordilla les lèvres.

« Je… Je ne veux pas vous déranger, alors… »

Elle n’acheva pas, visualisant dans sa tête les corps nus des deux femmes, et préféra se retourner, essayant de se calmer. l’elfe avait l’air si sérieuse, si rigide… Alice se mit à l’imaginer en train d’hurler de plaisir, et se mit à rougir confusément. Ne voulant pas qu’on la surprenne, elle se replia.

« Je… Je reviens ! »

Alice se précipita vers les lieux d’aisance, afin que sa rougeur subite disparaisse, et revint une ou deux minutes après, se sentant un peu mieux.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le mercredi 11 janvier 2012, 21:35:31
Elfe eut un petit sourire discret lorsque la jeune femme accepta qu’elles passent une nuit à l’auberge.  La nuit s’annonçait donc particulièrement plaisante pour les deux jeunes femmes.  Elle écoutait d’une oreille discrète ce qu’il se disait. Si elle avait  vu juste, d’ici demain elles seraient sans doutes au sanctuaire.  Cela était une bonne chose, effectivement, plus vite elle aurait fini cette cueillette plus vite elle pourrait construire ces objets et plus vite les caisses du harem seraient remplies.
Elfe était effectivement plus âgé que son apparence ne pouvait le laisser croire.  Elle avait environs 250, peut être 270 ans.   Elle ne comptait plus les années désormais mais croire qu’elle n’avait aucun sens de l’humour, voir qu’elle avait un ballais dans le cul, était une très, très grosse erreur. Cela, la jeune princesse allait le comprendre. Elle était justement une des femmes les plus ouvertes de son royaume.  Elle collectionnait les aventures, les amantes et malgré le fait qu’elle ait un caractère des plus étrange, était relativement tolérante et compréhensive.  Elle se laissa conduire, observant cette auberge qui semblait des plus propices à ce qui allait se passer.  Oui, cette petite bulle de romantisme était tout ce qu’il fallait pour l’elfe et la kitsune.  Elles s’échangèrent quelques regards complices.  Mais cela changea rapidement,  il n’y avait qu’une seule chambre de disponible.  Ce qui voulait dire que  les deux femmes devraient sans doute partager la même chambre que la princesse.

Celle-ci sembla d’ailleurs avoir un flash.  Elle rougit et s’absenta rapidement.
Les deux créatures se regardèrent comprenant que leur soirée serait sans doute bien moins agréable que ce qu’elles avaient cru. Même si la jeune princesse  ne voulait pas déranger, elles ne pouvaient pas le faire en publique.  Cela ne dérangeait absolument pas l’elfe.  Mais par contre la kitsune elle, était bien trop timide pour cela.  Et elle ne laisserait personne d’autre la caresser. Son corps comme sœur cœur n’appartenait qu’à l’elfe.   Elfe eut un petit sourire avant de regarder l’aubergiste et de lui dire
.
-Nous allons la prendre.
Elle déposa quelques pièces d’or avant de voir la jeune femme revenir.  Elle était encore légèrement rouge.  Et cela fit rire l’elfe qui lui demanda.[color=red]
-Sérieusement , vous pensiez vraiment que nous allions à l’auberge pour prendre du repos ?  Je ne pensais pas vous étiez encore si naïve ma belle.   Bon, ce n’est pas grave, nous en profiterons au retour, n’est ce pas ma belle.[/color]

Elle caressa doucement la  nuque de la jolie créature qui ne put que faire un petit hochement de tête.  La kitsune patienterait donc.

-Heureusement que je n’ai pas invité tout mon harem.  Nous aurions était dans une drôle de situation avec vingt cinq jeunes femmes dans la même chambre.  Remarquez, cela n’aurait pas vraiment changé grand-chose à ce qu’il se passe au harem.

Elle avait un petit sourire, oui, l’elfe n’était pas vraiment coincé contrairement à ce que les préjugés pouvaient dire sur sa race.  Elle termina finalement sur une note plus sérieuse, reprenant son statut d’elfe  à la fois sérieuse et  relativement fermée.


-Je nous ai prit la chambre.  Cependant je me permets de vous demander si oui ou non votre compagnon va nous rejoindre.  Cela risque d’être alors relativement compliqué.  Lorna et moi pouvons dormir dans un même lit.   Vous dormirez dans le second et Hodor dans le troisième. Sauf, si vous avez une meilleure idée.   Et ne vous en faite pas, nous sommes capable de nous maitrisez, vous n’aurez donc pas de problème pour dormir cette nuit.

*Ce qui est bien dommage d’ailleurs.*

Elle eut un petit sourire avant de tendre les clés à la jeune femme avant de lui dire.


- par contre, je vous demanderais de bien nous laisser la salle de bain en premier. Nous avons besoin de nous rafraichir un peu. La marche fait que nous somme en sueur, et de l’eau chaude nous ferra le plus grand bien.

Elle commença donc à monter les escaliers accompagnés de son amante et du jeune dragon.  Elles étaient maintenant devant la porte, attendant que la princesse se décide à la rejoindre à l’étage. Autant dire qu’elle ne laissait pas le choix à la jolie princesse. Elle passerait la nuit dans la même pièce que les deux jeunes femmes.


-Il y a une chose que vous devez savoir. Je ne suis absolument pas pudique, j’espère que cela ne vous dérange pas ?
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 11 janvier 2012, 23:02:11
Alice s’était passée de l’eau sur le visage, délicatement, afin de retrouver ses esprits. Lorsqu’elle retourna dans l’auberge, retrouvant Tinuviel, cette dernière lui avoua, de but en blanc, que son intention était bel et bien d’offrir à sa kitsune, et de s’offrir à elle, une chaude nuit de plaisir. Qu’elle l’avoue de but en blanc fit toussoter l’aubergiste, mais Alice ne manifesta aucune gêne supplémentaire, même si s’entendre traiter de personne « naïve », quand bien même c’était vrai, n’était pas pour lui plaire. Néanmoins, sachant qu’il valait mieux éviter de nouveaux incidents diplomatiques, elle la laissa parler. Alice, à vrai dire, se sentait surtout gênée, ayant l’impression de passer pour un boulet auprès de l’elfe et de la kitsune. Voilà en plus qu’elle le prenait pour une jeune timide !

*Ça, c’est le comble ! C’est moi qui vais passer pour la coincée de service !*

Il y a encore quelques mois, on aurait tout à fait pu considérer Alice comme une petite jeune femme naïve n’y connaissait rien au sexe, mais cette approche était maintenant très en-deçà de la réalité. Elle n’eut cependant pas le loisir de l’expliquer à Tinuviel, dans la mesure où cette dernière lui demanda si Hodor comptait dormir avec elles. L’idée était tellement incongrue qu’Alice ne put répondre, décontenancée. Elle n’eut pas encore l’occasion de répondre, Tinuviel lui offrant les clefs, qu’Alice saisit. L’aubergiste comptait les pièces d’or, signe que Tinuviel avait du payer.

*Au temps pour mes devoirs d’hôtes, il va falloir que je me rattrape ailleurs… Moi, naïve… ‘T’en foutrais, des naïves, oui !*

Elle récupéra la clef, et s’empressa de les rejoindre. Tinuviel enfonça le clou en lui disant qu’elle n’était pas du style pudique, et, cette fois-ci, Alice entreprit de répondre.

« Écoutez… Vous devez savoir qu’à Sylvandell, nous n’avons pas tous ces problèmes que les autres peuples semblent généralement avoir sur Terra… Je ne parle pas pour vous, bien entendu, mais sachez que le mariage n’est pas quelque chose de couramment admis à Sylvandell. »

Plus exactement, le mariage était une aberration, qui était mal vue. Erwan Korvander l’avait rigoureusement proscrit pour les Korvander, et le peuple y était très peu enclin, malgré certains courants religieux sous-jacents qui perlaient difficilement dans les baronnies. Pour la plupart des gens, le mariage impliquait de ne pouvoir coucher qu’avec une seule femme ou un seul homme, ce qui était tout simplement horrible pour la plupart des Sylvandiens.

« Le sexe n’est pas DU TOUT un problème pour moi ! poursuivit la jeune Princesse, enfonçant rageusement les clefs dans la serrure, la faisant tourner. Si je me sens si gênée, c’est juste parce que je crains de vous empêcher de passer une belle nuit d’amour, et de passer pour un boulet ! »

Alice arrêta alors de remuer la clef dans la serrure, et tourna la tête vers elles.

« Mais, si vous n’êtes pas pudique, je pense que vous ne devriez avoir aucune difficulté à faire l’amour à votre si belle kitsune sous mon nez. Me rincer l’œil, ça me plaît, à moi aussi… »

Comme le disait si bien son Père, le sexe, ce n’était rien de plus que deux corps nus baisant comme des sauvageons, quelque chose qui existait depuis l’aube des temps. Si on se scandalisait pour une paire de couilles et deux bosses qui pendaient, comme il le résumait, où allait-on ? Alice ouvrit la porte, qui donnait sur une coquette chambre, avec un grand lit, un balcon ouvert donnant sur la forêt et la scène de concert, ainsi que sur une porte avec une chambre à part, et une autre porte donnant sur une salle de bains. Alice entra, et se retourna subitement, se rappelant du cas d’Hodor.

« Quant à Hodor… On a déjà essayé de le faire dormir dans une chambre, mais il tremble et remue tellement quand il dort qu’il dégommait généralement nos lits. Et puis, il n’aimait pas dormir avec une couverture sur les épaules. Je pense qu’il dormira dans la forêt, ou dans une grange… »

Il n’était pas étonnant qu’Hodor dusse prendre une bonne douche chaque jour, quand on y pensait. La Princesse se retourna vers les deux femmes, un peu calmée.

« Oh, et j’oubliais… Je ne suis pas spécialement tournée non plus sur la pudicité… Vous savez, pour mon père, ma beauté est la meilleure qualité, et je ne connais pas beaucoup d’autres moyens de l’utiliser comme il se doit, autrement que dans un lit, et avec d’autres superbes créatures nues… Mais bref… Quoiqu’il en soit, je ne veux pas vous embêter, vous en avez déjà fait tellement pour moi, pour Sylvandell, en retrouvant ce dragon… Écoutez, si vous y tenez, je sortirais ce soir. Il y a un concert dehors, alors, pendant ce temps, vous pourrez… »

Elle fut tentée de dire un raccourci, puis décida de parler franchement, afin de bien montrer à Tinuviel qu’elle était loin du stéréotype habituel de la Princesse coincée. Timide, ça, Alice l’était sur certains domaines, mais il ne fallait pas non plus oublier qu’elle avait vécu avec des Commandeurs, passé son enfance au milieu des dragons.

« Coucher ensemble », termina-t-elle.

Sa première tentation avait été de dire le mot « baiser », mais elle l’avait, pour le coup, trouvé un brin trop vulgaire. Les insultes et les obscénités, de son point de vue, changeant selon ses humeurs, ne sonnaient pas très bien dans ses lèvres.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le jeudi 12 janvier 2012, 13:03:29
Elfe eut un petit sourire, alors comme cela, ce pays était bien plus ouvert et porté sur le sexe que les autres régions de terra.  Hum, il était étrange de voir que l’ordre Immaculé, religion désormais dominante sur une grande partie de ces régions désertiques n’ait ici pas court. Mais cela ne dérangeait absolument pas l’elfe qui au contraire, voyait cet endroit d’un œil de plus en plus intéressé.   Le fait que la jeune princesse se révèle également plus frivole que ce que son rang  laissait supposait  fini de séduire l’elfe. Oui, cet endroit était extrêmement intéressant, elle n’en doutait pas.  Par contre, elle réfléchit sur le fait que le géant dormirait dehors.  Et bien, cela évitait donc d’avoir à se préoccuper des lits.   Elle eut un petit sourire en voyant que la princesse aimait jouer les voyeuses.  Elle  glissa quelques mots à l’oreille de la jeune kitsune qui rougit avant de hocher la tête. 
L’idée que lui avait soumise l’elfe n’avait pas l’air de déplaire à la kitsune qui avait donc accepté.  Il fallait maintenant  proposer cela à la jeune femme.  L’elfe s’approcha doucement de celle-ci, lui caressant le visage avec douceur avant de plonger son regard dans celui de la jeune princesse.

-  Il existe de multiple facon de se servir de sa beauté autrement que dans un lit ma jolie, mais vous l’apprendrez plus tard sans doute.   Bien,  plutôt que de jouer les mateuses, je vous propose une petite chose.   Pourquoi ne pas jouer avec nous ? 

Elfe caressa doucement la joue de la jeune princesse avant de se retirer, elle  tentait clairement de la draguer, et il était probable que la princesse réagisse tel qu’elle le souhaitait, c'est-à-dire qu’elle réagisse  a la proposition de la jeune elfe.  Elle   eut cependant un petit sourire avant de  continuer.


-Il y a cependant une condition, interdiction de Toucher ne serait ce qu’un poil de Lorna.  C’est cette condition qui vous permettra de jouer avec nous.  Vous avez donc le choix maintenant.

Elle avait un petit sourire, la porte étant ouverte, l’elfe  pénétra dans la chambre remarquant qu’il y avait deux lits. Un simple à une place et un autre double. Il était probable que le lit simple ne serve à personne ou bien au dragon de lorna tenait encore dans ses bras. Dans tous les cas, le lit double serait occupé par l’elfe et la kitsune, Kitsune qui venait de rejoindre l’elfe dans la chambre déposant sur le sol le petit dragon qui en profita pour  se dégourdir un peu les pattes.  La jeune kitsune s’assit doucement sur le lit double, alors que l’elfe, elle passa directement dans la salle d’eau pour  mettre en place un bain capable d’accueillir les trois jeunes femmes.  Même si la jeune princesse n’avait pas encore acceptait, l’elfe savait que cela ne tarderait pas, voila pourquoi elle mettait cela en place maintenant. 
Si la jeune princesse pensait avoir un bon niveau dans le domaine de la luxure, l’elfe elle, était juste au maximum ou presque de cet art. La magie rouge lui permettait de modifier la puissance, le corps, ou bien les hormones produites par elle et ses amantes. Elle était capable d’un simple mouvement de doigt de vous conduire au nirvana, ou bien de vous  laisser languir durant des heures entières.
Autant dire que le programme risquait d’être très lourd pour la jeune princesse et que si celle-ci voulait entrer dans la danse, elle y laisserait peut être des plumes.  Mais ce serait une expérience qui ne se présentait pas deux fois.  La jeune kitsune étant maintenant seule, c'était peut être le moment si la princesse voulait en savoir plus sur l'elfe avant que celle ci ne revienne.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 12 janvier 2012, 13:49:13
Curieuse, cette manière de l’inviter à prendre part à leurs ébats. L’idée avait naturellement germé dans l’esprit d’Alice, mais elle n’avait pas osé la demander, afin de ne pas paraître comme une gêne. Tinuviel parla brièvement avec la kitsune, et vint vers Alice, la caressant délicatement, la faisant frémir. Il n’y avait pas de doutes à avoir ; cette elfe était loin d’être chaste. Alice fut tentée de répondre à sa proposition, mais Tinuviel assortit les ébats d’une condition, ce qui fit froncer les sourcils d’Alice.

« Il y a cependant une condition, interdiction de Toucher ne serait ce qu’un poil de Lorna.  C’est cette condition qui vous permettra de jouer avec nous.  Vous avez donc le choix maintenant. »

Elle ne répondit rien sur le coup, et Tinuviel se désintéressa d’elle. Au moins, connaissait-elle maintenant le nom de sa kitsune. Alice les écouta vaguement remuer, un peu refroidie par cette condition. De son point de vue, faire l’amour, c’était avant tout honorer la vie, la liberté, et les plaisirs sensoriels. L’inviter en l’interdisant de faire quelque chose agaça Alice.

*Quoi ? s’agaçait-elle mentalement. Elle a peur que je lui abîme sa précieuse chérie ?! De quel droit est-ce qu’elle m’interdit, à moi, une Korvander, de faire ce que j’ai envie de faire ?*

La Princesse entendit vaguement l’eau de la baignoire couler, mais n’avait toujours pas changé de place. Son regard oscilla sur le corps de Lorna. Ça, elle était belle, mais pourquoi l’inviter à jouer avec elles, si elle devrait faire attention à chacun de ses mouvements ? C’était grotesque ! Alice avait l’impression de passer pour une espèce de bouche-trou, et elle finit par regarder la porte. Elle se mordilla les lèvres, puis se décida à parler.

« En définitive, trancha-t-elle, je m’en voudrais de gâcher vos retrouvailles en effleurant par mégarde votre précieuse Lorna. C’est que je remue beaucoup, moi, dans ce genre de situations. Je vous souhaite un agréable séjour », termina-t-elle sur un ton amer.

Sans dire autre chose, la Princesse sortit de la chambre de l’auberge, les nerfs à nouveau en pétard.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le jeudi 12 janvier 2012, 18:40:28
L’elfe attendit que la jeune femme se décide,  réglant l’eau de telle façon à ce que celle-ci soit à la chaude mais supportable.  La baignoire était remplie et il s’en échappé quelques fumeroles lorsque la jeune princesse se décida à les rejoindre.
Elle semblait apparemment furieuse que l’elfe ne lui donne pas l’autorisation de toucher au corps de son amante et la colère aux joues.  L’elfe se contenta de soupirer,  si la princesse avait claqué la porte, elle aurait eut une scène typique d’une gamine a qui on interdit de toucher à un nouveau jouet.  En réalité, l’elfe avait l’impression que oui, cette princesse s’était comportée comme une gamine.  Elle soupira donc avant d’aller voir Lorna et de lui indiquer de se rendre dans la baignoire si elle voulait profiter de l’eau chaude et qu’elle la rejoindrait après avoir discuté avec la  jeune princesse.
Elle en profita avant de sortir pour déposer son amure dans la chambre et se mettre un peignoir sur le dos. Celui-ci, moulait ses formes de telle façon à dévoiler un peu de ses formes à la jeune princesse. 
Elle alla doucement la rejoindre avant de la regarder droit dans les yeux.[
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-Il y a une chose, que j’aimerais vous dire.  Si au lieu de vous mettre en colère vous m’aviez demandé la raison d’une t’elle condition, je vous aurais répondu que lorna ne supporte pas d’être toucher sur ses zones intimes car elle considère que ce serait trahir sa parole. C’est pour cela qu’ Il n’y a qu’avec moi qu’elle l’accepte, car elle m’a fait don de son cœur et de son corps.  Sachez que d’ailleurs, c’est elle qui a insisté pour vous intégrer à nos jeux pour que vous ne soyez pas  seule ce soir. Elle pensait vous faire plaisir, mais si c’est cela la façon que vous avez de la remercier, vous avez raison de ne pas vouloir venir.  Je tenais juste à vous dire que le bain est prêt et que si vous voulez nous y rejoindre, c’est toujours possible.   Et un petit conseil.  En tant que future reine, apprenez à comprendre les peurs et les désirs de chaqu’un.  Cela vous permettra de gouverner sans avoir besoin de violence  et sans difficulté.[/color] 

Elle la laissa tranquille, allant rejoindre la chambre.  Elle laissa doucement le peignoir tomber à coté du lit avant de rejoindre la baignoire ou l’attendait son amante.  Elle se glissa dans l’eau, laissant la chaleur du liquide la détendre.  Elle  pensait que le jeune humain aller venir les rejoindre dans peu de temps.   Si ce n’était pas le cas, et bien la princesse louperait un bon moment et c’était tant pis pour elle.  L’elfe  réfléchissait doucement au comportement de l’humaine.  Elle aurait put être une elfe du soleil, elle avait  cet égo si caractéristique des gens de sa races.  Mais il lui manquait cependant quelque chose pour faire une véritable princesse.  Hum, peut être… Oui, c’était cela, il lui manquait une aura.  Le genre d’aura qui séduit les foules et les rends facilement malléable.  Ce genre d’aura qu’avait l’elfe habituellement.  Habituellement, car ces derniers temps, elle était bien trop occupée pour penser à séduire quelqu’un,  ses pensées se tournaient vers son harem et les conséquences si celui-ci fermait.  Elle savait que la majorité de ses amantes ne pourraient pas se débrouiller seules donc il fallait que celui reste ouverte coute que coute.

Ce fut un bruit qui la tira de ses rêveries.  Il y avait deux personnes qui pouvaient en être à l’origine,  le dragon  ou bien la princesse.  Celle-ci s’était peut être décidée à revenir, aller savoir ?
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 12 janvier 2012, 20:12:33
Dans le couloir, Alice était toujours aussi furibonde, mais sa colère ne dura que quelques secondes. Elle finit par soupirer, et secoua la tête, devant l’escalier, avant de se coller contre le mur. Le sang du dragon, le sang bouillonnant des Korvander…C’était probablement une chance qu’Alice soit née femme. Homme, elle aurait sans doute été encore plus irascible que son père, vu sa manière à partir au quart de tour. Elle était animée de pensées contradictoires envers l’elfe, partagée entre l’envie de revenir, mais aussi par celle de les laisser entre elles. Elle avait tantôt peur que l’elfe interprète cela comme un acte de lâcheté, ou de stupidité. Les elfes, si hautains eux-mêmes, aimaient toujours moquer les accès d’ego des hommes. C’est tout du moins ce qu’on racontait dans les contes, mais le peu qu’elle connaissait de Tinuviel semblait confirmer cela. L’elfe était relativement hautaine, sans pour autant être méprisante, mais Alice était incapable de dire ce qu’elle ressentait pour elle… Ou plutôt, elle le savait, mais se refusait à l’admettre. La manière dont Lorna la contemplait, la manière dont elle se faisait respecter d’elle, sans avoir besoin d‘hausser le ton, ni même presque avoir besoin de parler, comme si un fil invisible les reliait… Oui, elle était jalouse de ce pouvoir de fascination que l’elfe semblait exercer, et elle rougit à de telles pensées.

*De quoi aurais-je besoin d’être jalouse ? se fustigea-t-elle, s’emportant contre elle-même. Je suis une Korvander, Princesse héritière de Sylvandell, et le sang du dragon d’Or coule dans mes veines.*

Le fait est qu’Alice manquait de confiance en elle. Un Commandeur, c’était autre chose que Lorna. Elle ne se ferait pas obtenir d’eux en les caressant du plat de la main, et, si un Commandeur était libre, il n’empêche qu’elle aurait besoin d’eux en cas d’ost. Comment se faire obéir, comment obtenir leur serment de loyauté ? Elle était tellement plongée dans ses questions qu’elle sursauta en sentant quelque chose s’approcher.

Sortant brutalement de ses pensées, Alice tourna brusquement la tête, et vit l’elfe, dans un peignoir assez élégant. La vue de sa poitrine suffit au moins à ôter à Alice pendant plusieurs secondes toutes ses hésitations. Elle se mit à craindre que l’elfe ne vienne la gifler, mais ce n’était pas dans le tempérament de cette dernière, qui se mit à lui parler. La Princesse l’écouta soigneusement, mais n’eut pas le temps de répondre grand-chose que Tinuviel repartait déjà, laissant Alice pantoise.

Il est vrai qu’il existait des contrées sur Terra où on liait intimement le sexe et l’amour. Encore une fois, Alice était bien tentée de répliquer à Tinuviel qu’on ne dirigeait pas Sylvandell comme un harem, et que des conseils politiques de la part d’une femme qui avait décidé de régler son harem en bannissant les hommes lui étaient à peu près aussi utiles que des conseils mathématiques, mais elle ne tenait pas à compliquer encore plus ses relations avec Tinuviel. Elle resta donc dans le couloir, partagée entre des avis contradictoires. Sa fierté princière lui intimait de partir, de ne pas s’abaisser à aller vers elles, mais elle se disait qu’agir ainsi reviendrait à confondre fierté et arrogance, ou, comme le répétait volontiers l’un des conseillers personnels du Roi, à ‘‘confondre les étoiles reflétées par une mare et une nuit étoilée’’. Elle hésita donc, se mordillant les lèvres, se rappelant la forme galbée des délicieux seins de Tinuviel, secoua la tête, trépigna sur place, regretta l’absence d’Hodor, car elle lui aurait naturellement crié dessus, puis soupira, capitulant.

*Je crois que j’ai besoin de me détendre… Et de ne pas penser à Sylvandell et aux Commandeurs…*

Suivant cette pensée, Alice rouvrit donc la porte. La chambre était vide, à part le dragon, qui dormait paisiblement, et, pendant un bref instant, elle le regarda, souhaitant être à sa place. Oh, bien sûr, pas d’être abandonnée en pleine forêt, mais de vivre sereinement, loin de tout, dans la Terre des Dragons, où ses problèmes de gouvernance ne se poseraient pas. Elle referma délicatement la robe, vit le peignoir de Tinuviel qui traînait par terre, et se déshabilla à son tour, retirant tout ce qu’elle avait sur le dos, puis s’approcha de la salle de bains.

Effectivement, la baignoire était grande. En forme circulaire, elle faisait plutôt penser à une petit bassin qu’à ces petites cuves qu’on appelait ‘‘baignoires’’, et qu’elle avait pu apercevoir ailleurs, hors de Sylvandell. Elle resta sur le palier pendant quelques secondes, voyant Tinuviel, sereine, allongée dans l’eau, ses deux seins ressortant de l’eau, comme deux délicieuses tentations, et s’en rapprocha. Alice resta sur le rebord de la baignoire. Après la discussion, plonger comme ça dans l’eau lui paraissait un peu… Incongrue, et elle préféra donc commencer par prendre l’une des mains de Tinuviel, l’embrassant délicatement, fléchissant les genoux. Au moins, les contes ne mentaient pas ; Tinuviel avait cette peau douce et soyeuse propre aux elfes, et elle l’embrassa tendrement, avant de la relâcher, et de s’éclaircir la gorge.

« Je… Je dois vous prévenir que, même si je comprends les raisons de Lorna, et même si j’essaierai de ne pas la choquer, en respectant vos coutumes, je risque sûrement de la toucher, ou de ne pas pouvoir me retenir de la caresser ou de l’embrasser. »

Il s’agissait bel et bien pour elle de coutumes bizarres, car, à Sylvandell, ou, en tout cas, chez les Korvander, on liait bien plus difficilement l’amour et le sexe. Alice estima néanmoins nécessaire de rajouter quelque chose.

« Mais je ne veux pas que vous m’acceptiez dans votre élan de tendresse par pitié. Si j’ai envie de faire l’amour avec quelqu’un, il me suffit de toquer à une porte ; je pense que la plupart des couples de ce village seraient enchantés de pouvoir m’avoir dans leur lit. Si j’ai envie de faire l’amour avec vous, c’est parce que je vous trouve attirantes… »

Elle n’était pas spécialement sûre de cette comparaison, mais elle savait très bien que les baronnies aimaient voir Alice, plutôt que Tywill. Elle était plus belle que son père, plus conciliante, et bien des Commandeurs lui avaient dit que la plupart des barons rêvaient de l’avoir dans son lit. Il devait fatalement en être de même pour les simples serfs, non ? Alice attendit la réaction de Tinuviel et de Lorna, au bord du bassin, après avoir posé ses propres conditions.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le jeudi 12 janvier 2012, 21:48:15
Effectivement, la jeune princesse eut bien raison de ne rien dire, car l’elfe lui aurait répondu que si, c’était exactement la même chose.  Le harem était un pays, devant commercer avec les autres, elle devait le protéger des invasions,  soigner ses habitantes, apprendre à les connaitre, a les comprendre, a faire avec les besoin et les envies de chaqu’une mais cela la princesse était peut être encore un peu jeune pour le comprendre, après tout, elle n’avait qu’une vingtaine d’année, la ou l’elfe avait déjà plusieurs siècles d’existence.

Elfe eut un petit sourire lorsque la jeune femme se décida à les rejoindre, alors comme cela, elle avait fini par laisser son égo de coté. Bien, alors oui peut être que la nuit pouvait commencer pour elles trois.  Elle l’entendit entrée se qui lui tirra un petit sourire,  elle ne bougea cependant pas, laissant sa poitrine flotter au grès de l’eau.  Lorna quand à elle pouvait observait sa maitresse et la nouvelle venue.  L’elfe laissa doucement l’humaine s’emparer de sa main,  ainsi elle était venue malgré ce que elle lui avait dit.  Non, l’humaine ne regretterait pas son choix.  Elle ouvrit doucement ses yeux, laissant se perdre dans ceux de la jeune femme,  elle écouta avec attention ce que la jeune femme lui disait, et la jeune kitsune faisait la même chose.   Elfe se contenta de sourire en écoutant ce que disait la jeune femme.   Elle se savait belle, mais cela faisait toujours plaisir de se l’entendre dire, quand à Lorna, elle se contenta de rougir doucement.  Elfe se retourna, laissant son regard ardent se plonger dans l’ame de la jeune princesse.  Elle lui dit simplement.


- ce n’est pas à moi de vous répondre, mais à elle.  C’est elle qui  décidera ou non d’accepter vos caresses.   Et même si ces traditions peuvent vous paraitre étrange, peut être un jour, vous comprendrez ce qu’elles veulent dire.

La jeune elfe claqua des doigts,  créant une gigantesque boule de feu  en lévitation. La boule de flamme  incandescente  prit peut à peu la forme d’une humaine,  puis d’une terranide,  puis d’une sirène.   A la fin, il y eut plus d’une trentaine de jeune femme, de créature, d’androïde dont la boule de feu avait prit la forme.  Elle s’arrêta enfin sur le visage de Lorna.  Elfe était à l’origine de ce phénomène des plus étranges,  les flammes ne brulaient pas, à vrai dire, elles avaient la température d’un corps humain.   Ce qui rendait cette chose plus étrange encore.  Mais pourtant de chaqu’un de ses portrait sortaient une finesse, une délicatesse, une chose hors du commun.  Elfe eut un petit sourire.

-Tu as eut l’occasion de voir chaqu’une de mes amantes, toutes celles qui partage ma vie et on marqué mon cœur.  Tu n’as peut être pas eut encore l’occasion de rencontrer celui ou celle qui ferra battre ton cœur, mais lorsque cela arrivera, tu comprendras alors, ce que cela fait d’avoir un cœur qui bat en harmonie avec le tien. 

Elfe se tourna vers la jeune lorna,  il lui suffit d’un regard pour comprendre.  La jeune kitsune acceptait donc de faire l’effort d’accepter les caresses de la jeune femme, tant que celle-ci ne restait que délicatesse.  Dès lors que la princesse se montrerait violente, lorna arrêterait tout.  C’était cela ou rien.  Elfe eut un petit sourire avant de caresser les lèvres de l’hybride, elle retourna donc vers la jeune femme avant de lui dire.


-Viens avec nous, Lorna accepte que tu la rejoignes.  Elle acceptera tes caresses tant que celle-ci reste aussi douce que ta peau.  Maintenant rejoins nous.


La jeune elfe attendit quelques instants que la jeune princesse se décide à les rejoindre.  L’elfe lui fit une place, de tel facon à ce qu’elle se retrouve entre lorna et Tinuviel.  Elfe eut un petit sourire, passant ses mains dans le dos de la jeune femme.  L’agilité elfique n’était pas une légende et ce massage était tout simplement divin.  Il fallait dire que l’elfe était au même titre que les succubes, une incarnation du désir.  C’était  de la magie rouge qui coulait dans ses veines.  De la Luxure, mais également des sentiments.    La boule de feu se fit plus petite, éclairant la pièce d’une lumière tamisait.  L’ambiance était maintenant plus adéquate à ce qui allait sans doute se passer.

-Puis je te demande quelque chose princesse ?  J’ai vu dans tes yeux que tu étais préoccupé,  qu’est ce qui à ce point peut t’inquiéter ?

Comment l’elfe l’avait sut,  et bien c’était relativement simple, l’habitude.  L’elfe avait eut à faire à cela tant de fois. Des situations plus compliqué les unes que les autres.  Ce que la jeune princesse ressentait, elle-même le vivait chaque jour.  La peur de ne pas pouvoir être assez forte pour tenir le poids de toutes ses responsabilités sur ses épaules.  Elle caressa doucement la nuque de la jeune femme lui glissant à l’oreille.


-Si tu veux discuter quelques instants,  nous pouvons prendre notre temps.  Si tu as l’esprit embrumée, tu ne seras pas dans les conditions optimum pour profiter de cette soirée.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 12 janvier 2012, 22:57:06
Un curieux ballet magique eut lieu devant les yeux d’Alice, qui vit une boule de feu prendre des multitudes de formes. Elle se contenta de les observer, peinant à comprendre ce que cela signifiait, jusqu’à ce que cela s’arrête, et que Tinuviel lui explique qu’il y avait là toutes ses amantes. On pouvait dire que ça faisait un bon paquet, et l’elfe lui expliqua qu’elle trouverait peut-être un jour un cœur qui danserait avec le sien. Autres cultures… C’était déjà le cas, mais ce cœur s’appelait « dragon », et dansait en rythme dans ses veines. Elle se retint également de remarquer qu’en l’occurrence, ce n’était pas qu’un seul cœur qui semblait battre avec celui de Tinuviel, mais plutôt toute une profusion.

*Un véritable chœur…* songea-t-elle pensivement, fière de son jeu de mots.

Elle avait vu un portrait de belles femmes, mais, ne leur en déplaise, elle les oublia relativement vite. Il ne s’agissait que de flammes dansantes, et elle préférait se concentrer sur les deux morceaux de choix qui se trouvaient là, face à elle. Lorna et Tinuviel s’entretinrent ensemble, et Tinuviel lui affirma que Lorna acceptait qu’Alice vienne, tant qu’elle ne faisait pas preuve de violence.

« Rassure-toi, Lorna, on ne m’affuble pas du qualificatif de ‘‘Poupée’’ pour rien à Sylvandell. »

Elle entra ensuite dans l’eau, qui était chaude et bonne, et se glissa entre les deux corps nus de Lorna et de Tinuviel. Adressant un petit sourire vers Lorna, elle évita de la toucher, refroidie dans ses ardeurs à son égard avec toutes les recommandations qu’on lui avait fait, et préféra se tourner vers Tinuviel, se blottissant un peu contre elle, avant de sentir les mains de l’elfe parcourir le dos de la Princesse, qui sentit des frissons de plaisir la parcourir. C’était un plaisir assez différent de ce à quoi elle s’attendait initialement, mais elle aurait été de mauvaise foi en disant que ça lui déplaisait. Les mains de l’elfe étaient aussi tendres qu’expertes, témoignant d’un savoir s’exprimant, non pas en années, mais bel et bien en siècles. Ses délicieuses mains la relaxaient, et elle en poussa un petit soupir, promenant, quant à elle, ses mains sur le corps de Tinuviel, visant notamment ses hanches et le haut de ses jambes.

L’elfe lui parla ensuite de ce qui la préoccupait. Ses angoisses étaient-elles si visibles à ce point ? Alice ne tenait pas vraiment à en parler, mais Tinuviel semblait insister. Réfléchissant, Alice s’humecta les lèvres, et posa l’un de ses doigts sur les lèvres de Tinuviel, caressant délicatement la commissure de ses lèvres.

« Votre beauté suffit à éclipser tout à ce quoi je pourrais penser, belle elfe… Je ne dois sans doute pas être très originale en vous le disant, mais vous avez vraiment un superbe corps… »

Et, ne pouvant se retenir plus longtemps, elle lui offrit un délicieux baiser sur les lèvres, avant de ramener ses lèvres, pour reprendre, consciente que l’elfe n’était pas du genre à abandonner si facilement.

« Quant à mes soucis… Et bien, disons qu’une Princesse qui n’a pas de soucis n’est pas une vraie Princesse. Je ne tiens nullement à gâcher ce moment avec mes préoccupations, alors, ne vous en faites pas… Croyez-moi quand je vous dis que je ne penserai à rien d’autre que votre beauté… Je suis une humaine, après tout ; nous sommes très attachés, nous les humains, à la beauté physique. Mais, si vous y tenez vraiment, alors, après, je vous en ferais part… Parole de Princesse. »

Elle ponctua cette assertion par un baiser sur le cou de l’elfe.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le vendredi 13 janvier 2012, 15:41:46
Ce n’était pas  de ce cœur là que la jeune femme parler, cette princesse avait beau avoir du sang de dragon dans les veines, elle trouverait sans doute un jour quelqu’un qui ferrait battre son cœur comme son cœur à elle battait pour des dizaines de femme.  Certes le cas de l’elfe était particulier, mais d’un autre coté,  peu de monde pouvait se venter d’avoir eut comme maitresse, une succube et une dragonne.   Autant dire que l’histoire de la maitresse du harem n’était pas de tout repos, et cela ne risquait pas de s’améliorer avec le temps.
L’elfe avait put voir le regard de la jeune princesse sur son amante.  Elle  savait qu’elle avait envie de  toucher cette femme, de la prendre dans ses bras, de l’honorer de  par ses actes.  Mais  elle ne le pouvait pas et avait donc choisi de se rabattre sur l’elfe qui elle, appréciait grandement les caresses de la jeune femme. Elle se rapprocha doucement de celle-ci,  et l’observait doucement, elle était superbe cette princesse quand elle ne se mettait pas en colère, mais bon, c’était sans doute le sang bouillant des dragons qui coulait dans ses veines.  L’elfe pouvait le sentir d’ici.   Le sang  des dragons avaient une odeur caractéristique,  que l’elfe avait appris à reconnaitre à la suite de ses longs entrainements avec la maitresse des dragons rouges. 

Elfe eut un petit sourire, ses mains se posèrent doucement sur le corps de la jeune femme, caressant ses cottes, elle prenant le temps de connaitre cette charmante  créature, bientôt les mains de la jeune kitsune, s’ajoutèrent à celle de la maitresse ce fut ainsi que commença une  symphonie quatre main dont le corps de la princesse était l’instrument principale.   Elfe eut un petit sourire, se laissant embrasser, avant de répliquer avec la même arme.  Elle s’approcha doucement des lèvres de la jeune princesse avant d’y déposer les siennes, caressant maintenant la nuque de la jeune femme de ses doigts fins.   Elle caressant doucement son cou avant de couper court au baiser et de lui dire.


- Très bien, je te fais confiance.  Profitons donc de cet instant. Belle princesse.

Elle reprit doucement place sur les lèvres de la jeune femme, ne lui laissant plus le choix. Sa langue forçait maintenant les lèvres de la jeune femme, l’embrassant avec douceur.  Les deux langues se recherchaient maintenant l’une à la rechercher de l’autre.

Penser que Lorna était inactive durant  ce temps  aurait était une grave erreur. Non, la kitsune caressait maintenant de le corps de la jeune femme avec une tendresse et une lenteur rare, ses gestes n’étaient que sensualité.  Elle laissait doucement de petit baiser dans le cou de la jeune princesse  alors que sa queue caressait maintenant la jambe de la jeune femme. La kitsune  était l’apogée de la douceur et de la tendresse, et pourtant cela se révélait sans doute aussi excitant que les caresses de l’elfe.  A elle deux, elles représentaient les deux faces de l’amour, le passionnée et le tendre et la jeune princesse serait la seule à en profiter.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 13 janvier 2012, 22:45:43
Le baiser avec Tinuviel était onctueux et délicieux. L’elfe pouvait parfois être assez hautaine envers Alice, elle n’en restait pas moins une femme qui avait un corps littéralement magnifique, de quoi faire rêver n’importe qui, et avoir l’occasion de l’honorer suffisait amplement à Alice pour oublier tous ses petits désagréments, y compris Lorna. Alice était comme ça, une humeur de Princesse, du genre à changer perpétuellement d’avis. Elle se délectait du corps parfait de l’elfe, se blottissant contre elle, s’étalant dans l’eau chaude, l’embrassant tendrement, remontant ses mains pour les glisser le long du cou de la magicienne rouge, l’enlaçant.

Mentalement, elle se satisfaisait que Tinuviel n’ait pas demandé à en savoir plus sur elle. Chaque chose en son temps, après tout, et embrasser l’elfe, goûter à ses lèvres délicieuses, à sa superbe langue, dans cette eau chaude, c’était tout ce que demandait Alice. Elle était absorbée par le goût de l’elfe, par les exhalaisons de son corps, par cette douceur incroyable, par ses mains parcourant son corps, qu’elle ne sentit pas Lorna approcher, étant presque sur le point d’oublier cette dernière. L abouche de Tinuviel était tellement délicieuse, et, à chaque fois qu’Alice retirait ses lèvres pour respirer, c’était pour mieux y revenir.

Elle sentit donc en sursautant très légèrement les mains de Lorna se poser sur son corps. Des mains douces, timides, hésitantes, qui se promenèrent sur son corps. Lorna se dressa un peu au-dessus d’elle, comprimant la belle Alice entre ses deux corps parfaits. C’était une sensation particulièrement tendre. Elle sentait la poitrine de Lorna s’enfoncer tendrement contre son dos, et ceux de Tinuviel contre sa poitrine, tandis que la bouche de Lorna lui embrassa le cou, la faisant frissonner. Tous ses muscles étaient satisfaits sous ce câlin de tendresse, ce plaisir féminin ô combien délicieux. Proie de l’elfe et de son amante, Alice était au paradis.

« Hnnn… finit-elle par soupirer longuement. Vous êtes si, si… Merveilleuses, toutes les deux… » avoua-t-elle.

Lorna promenait sa queue touffue sur ses jambes, et Alice se déroba des lèvres de l’elfe pour lui embrasser la joue, et glissa sur son cou. Elle embrassa cette belle chair, et remua légèrement, se sentant presque comme anesthésiée sous le bonheur intense, tendre, et délicat, que ces caresses lui procuraient. Oui, c’était quelque chose de réellement fabuleux, un massage d’une qualité rare. Elle en frissonnait, et réalisa qu’elle agissait sans doute de manière égoïste. L’idée lui traversa l’esprit alors qu’elle alla embrasser à nouveau les délicates lèvres de Tinuviel.

Après tout, l’objectif initial des deux femmes était de pouvoir se faire l’amour entre elles, et Alice avait envie de voir si Lorna était si « timide » que ça. N’était-elle pas en train de la caresser, de l’embrasser ? A entendre Tinuviel, Lorna semblait être une espèce de nonne dont la vie sexuelle se résumait à Tinuviel, et qui refusait tout contact charnel. Or, il ne lui avait fallu que quelques secondes pour caresser Alice, et l’embrasser. La princesse était tout simplement curieuse de voir comment Lorna se comporterait si elle avait l’occasion d’être embrassée et câlinée par son amante. Oh, Alice n’escomptait pas pouvoir aller jusqu’à titiller les parties intimes de la kitsune, mais elle se demandait si elle pourrait au moins finir par l’embrasser. La Princesse était la première à savoir combien le sexe pouvait avoir d’effets étranges sur les personnes, pouvant transformer la frigide en nymphomane convaincue.

En somme, après un nouvel échange buccal avec Tinuviel, Alice remua un petit peu, entreprenant de se libérer des deux femmes, tout en délivrant quelques explications.

« Je ne voudrais pas monopoliser tout votre plaisir… Et j’ai très envie de voir comment deux femmes qui s‘aiment si passionnément s’embrassent… »

Elle savait qu’il valait mieux argumenter avec Tinuviel, et elle s’écarta un peu, de manière à finir en réalité sur le côté de l’elfe. Elle embrassa son épaule, caressant son ventre, glissant sur l’un de ses seins, et attrapa avec délicatesse l’une des doucereuses mains de Lorna. Tinuviel lui avait interdit de la toucher, mais Lorna l’avait fait, donc Alice en revenait à une conception plus restrictive : ne pas trop toucher, ou, du moins, rien qui s’apparente à une partie intime. Elle ne connaissait pas grand-chose des kitsunes, mais la Princesse supposait que la main ne faisait pas partie des zones intimes. Délicatement, elle souleva cette main, la caressant, et embrassa le bout des doigts, avant de la relâcher.

« Tu as des mains de fée, Lorna », la complimenta-t-elle.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le samedi 14 janvier 2012, 15:36:08
L’elfe avait un certain caractère mais c’était dans son sang et puis, malgré cela, elle était quelqu’un d’extrêmement généreuse quand on en avait besoin,  mais cette part la, la mage rouge ne le montrerait  pas.  La princesse avait tout pour elle,  la beauté, la jeunesse, et surtout une famille.  Mais bon, pour l’instant cela n’était pas très important. 
Le baiser entre l’elfe et la mage était délicieux, oui cette princesse était délicieuse, une véritable sucrerie.  Ce ballet linguale était délicieux, la bouche de la jeune femme ayant un petit gout sucrée que l’elfe  appréciait.  Mais  elle devait quand même avouée que  les lèvres de la kitsune avaient un gout des plus paradisiaques.  Ce que la jeune princesse ne pouvait sans doute pas comprendre. 
L’elfe eut un petit sourire lorsque la jeune princesse  leurs demanda de s’embrasser,  cette jeune princesse serait elle une voyeuse ?  Hum, cela ne la dérangeait absolument pas.  Elle laissa doucement la jeune femme se retirer avant de  venir voir sa jolie amante.  Elle s’approcha doucement du corps de la kitsune avant de lui caresser doucement le visage et de lui dire doucement.
-Ma belle, je sais que ce n’était pas vraiment ce que nous avons l’habitude de faire. Mais ne t’en fais pas, je  ne changerais pas nos petites habitudes.

Elfe eut un petit sourire, avant de se  rapprocha doucement de la kitsune avant de caresser doucement son visage.   Ce petit geste provoqua un frisson incontrôlé  sur le corps de la jolie demoiselle.  Celle-ci, plaça doucement  sa main sur les hanches de la jolie elfe, caressant doucement celle-ci.  Leurs lèvres se rapprochèrent doucement. Les deux femmes fermèrent les yeux aux mêmes moments avant que leurs bouches ne se rejoignent finalement.  Ainsi commence une ode a la beauté, la passion des jeunes femmes s’expriment à travers de douces caresses. Leurs mains se croisent, leurs doigts se lient.  Au final il n’en ressort qu’une impression de douceur, d’envie, d’amour.  Voila comment les jeunes femmes vivent se moment.  Leurs lèvres se séparent maintenant, avant de  se rejoindre à nouveau. Leurs corps se rapproche doucement tant que la queue de la kitsune se rapproche avant délicatesse des jambes de la jeune femme,  elle caresse maintenant la cuisse de l’elfe.

La main de la renarde quitte désormais celle de l’elfe avant de rejoindre les oreilles de celle-ci.  Elle caresse maintenant cette partie si sensible de l’elfe, lui offrant des caresses divines.  Elle semble même reproduire les caresses qu’aurait put subir un membre d’homme, ce qui ne laisse pas l’elfe indifférente, elle en gémit même doucement.  Ce n’est pas de grand cri, mais cela  signifiait que l’elfe était déjà relativement excitée, sans doute parce qu’on l’observait.  En effet, l’elfe n’avait aucun remord à s’exhiber comme cela. 

La kitsune embrassait maintenant l’elfe dans le cou, le mordillant de temps en temps alors que la maitresse elfique elle, caressait doucement la queue de la jeune femme.  Le spectacle était tout simplement  hypnotisant et la jeune princesse aurait sans doute envie de rejoindre la dance.  Les respirations se faisaient plus courtes et le véritable jeu commencerait bientôt.  En effet, les mains de l’elfe et celle de la kitsune descendait maintenant,  caressant  chaqu’une les courbes de l’autre.  Il n’y avait cependant aucune violence.  Non, tout n’était que tendresse et sensualité.

L’elfe eut un petit sourire.  Elle continuait à caressait doucement le corps de son amantes,  mais  elle avait réfléchit à une chose.  Elle  modelait encore une fois la boule de feu.  Rentant celle-ci bien moins chaude.   La température d’un corps humain.  L’elfe  plongea maintenant la boule de feu dans l’eau.  Il n’y eut aucun changement de température, aucune fumerole de fumée.  Mais pour l’instant  la jeune princesse n’avait absolument rien vue, en effet elle était sans doute trop consacré sur ce que les deux femmes était entrain de faire. 

Elle put sentir doucement un doigt sur sa bouche.  Un doigt composé de flamme.  Pourtant, celui-ci ne provoqua aucune brulure.   L’elfe  eut un petit sourire,  alors qu’elle caressait la kitsune, elle allait montrait son domaine de prédilection à la princesse, le pouvoir de la magie rouge.

Le cou de la jeune princesse fut bientôt rejoins par des lèvres de la même couleur que le doigt.  Elle était couverte de baiser chaud et doux.  Une seconde main vient se poser doucement sur la poitrine de la jeune femme.  Si celle-ci venait à se retourner,  celle qu’elle ferrait sans doute.  Une seconde Lorna.  Une Lorna uniquement composée de flamme. Un brasier vivant, qui la caressait maintenant d’une main de maitre.  Elfe venait de créer une entité alliant à la fois la beauté de son amante mais également la passion dévorante du feu.    C’était une expérience unique que la mage rouge offrait à la princesse.

L’elfe se laissait doucement caressait, mais eut un petit sourire avant de se tourner vers  la jolie princesse et lui dit doucement.

- Ces flammes…. S’occuperont un peu  de vous.   

Elle reprit doucement  ses occupations.  Les flammes elles se faisaient de plus en plus entreprenantes, caressant maintenant  les cuisses de la jeune princesse alors qu’elles l’embrassaient encore une fois.  Cette langue n’était pas désagréable. Mais l’elfe attendait à voir le résultat  qu’aurait sa petite création sur la jolie princesse.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 14 janvier 2012, 18:23:55
Alice s’écarta assez légèrement, jusqu’à laisser un peu d’espace entre elle et les deux délicieuses femmes. Difficile de déterminer laquelle était la plus belle, et Alice fut littéralement subjuguée par ce qu’elle voyait. Muette, la jeune Princesse n’osait pas bouger, ni formuler le moindre son de nature à gâcher cet instant magique. Lorna s’allongea sur Tinuviel, et lui offrit de délicieuses caresses, de merveilleux baisers, ses lèvres et son corps merveilleux ondulant sur celui de Tinuviel. C’était d’une splendeur indescriptible, d’un charme et d’une élégance qui ne donnaient nullement à Alice l’impression d’être une petite voyeuse n’ayant rien à faire à celle-ci, mais plutôt d’être une spectatrice observant l’art de la passion. Elle réalisa ô combien l’amour entre femmes était plus délicat, plus calme, et plus sensuel qu’avec un homme. Pas forcément mieux, mais indéniablement différent, et si semblable à la fois… Muette, Alice les observait, ses grands yeux ouverts, voyant la main de l’elfe se promener sur la longue queue poilue et trompée de la kitsune, qui, elle, frottait ses oreilles, faisant délicieusement gémir sa maîtresse et amante.

Tout était si beau, tellement captivant, qu’Alice ne songeait même pas à caresser son intimité, alors que voir un tel massage avait de quoi l’émoustiller. La Princesse ne vit donc pas Tinuviel faire plonger une boule de feu magique dans l’eau, se contentant de voir les deux belles bouches se promener les unes contre les autres. Elle sentit vaguement une chaleur autour d’elle, mais, à peine réussit-elle à en prendre conscience, qu’un doigt se posa sur ses lèvres. Alice sursauta, et sentit quelque chose de tendre se coller contre elle. Le doit était en feu, mais elle ne brûla pas, et, plus étrange encore, il ne disparaissait pas avec l’eau. Elle comprit alors avoir affaire à la magie rouge de l’elfe, et en rougit. Elle fut tentée de la remercier de veiller à s’occuper d’elle, mais elle sentit des lèvres se poser sur son cou, se promener le long de sa peau, et elle sentit une main se promener sur sa poitrine, la faisant gémir.

La Princesse entreprit alors de se tourner, et aperçut un corps enflammé et délicieux. Elle regarda cette forme, et y vit une espèce de clone en feu de Lorna. Un spectacle fascinant. La Lorna la saisit dans ses bras, et Alice promena ses mains le long des hanches du clone. Elle entendit Tinuviel lui parler, alors que les flammes léchèrent sa peau. La Lorna de feu l’embrassa. Un contact très curieux, à la fois tendre et enflammé, et Alice y répondit, glissant sa langue dans celle de Lorna, promenant également ses mains sur son corps, serrant les fesses de la Lorna de feu, avant de l’embrasser avec tendresse.

« Qu’est-ce qu’elle est belle… Et tendre… murmura Alice. Vos pouvoirs sont fascinants, Tinuviel. »

Elle embrassa à nouveau le clone de feu, et se laissa plonger dans les flammes ardentes qui constituaient sa chair. Quand bien même le corps était en feu, il avait une texture solide, et elle pouvait caresser ce qui ressemblait à de la peau. La sensation était indescriptible, tant elle était originale, mais elle embrassait bel et bien un corps, un corps constitué d’une magie intense et superbe, mais un corps malgré tout. Ses lèvres embrassèrent ce visage enflammé, les flammes lui pourléchant le visage, titillant ses narines, mais ne la dérangeant nullement. La Princesse se plongea dans le cou de cette Lorna surréaliste, caressant sa longue queue.

« Les Korvander aiment le feu… » nota-t-elle.

Elle faisait littéralement l’amour à un banc de flammes, prisonnière de ce brasier ardent. Alice se blottit un peu plus, baignant au milieu des flammes, et se décida à voir à quel point ce clone était réaliste, en allant embrasser ses seins.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le dimanche 15 janvier 2012, 01:06:53
L’elfe bien qu’occupée à caresser son amante eut un petit sourire en écoutant la réflexion de la jeune femme,  la magie rouge était une magie au potentiel illimité si l’on avait de l’imagination. Hors, l’elfe du soleil n’en manquait pas et elle réservait d’ailleurs quelques autres surprise à la jeune princesse.  Elle avait beau être casse pied,  cette princesse était surtout jeune et l’elfe savait qu’une fois qu’elle aurait quelques années de plus, elle aurait une grande place sur la scène international. Mais il lui fallait encore un peu de temps pour maturer, pour devenir plus sage. 
Elle fit brutalement coupée de ses pensées par une caresse de son amante, en effet celle-ci avait prit en main une partie de sa poitrine et s’amusait maintenant à la maltraité grâce à sa si belle queue, autant dire que la kitsune avait la façon de faire, elle caressait avec son appendice caudale  la jeune elfe qui frissonnait maintenant de plus belle, totalement soumise au caresse de la jeune hybride. Tinuviel ne trouva que la force de dire.


-Tu triche, et tu le sais…  C’est…. Hum… C’est…  C’est interdit… Mais…   Continue…

Elfe, à la fois si puissante et si forte était totalement impuissante contre la kitsune qui connaissait chaqu’une de ses faiblesses.  Si la jeune princesse y faisait attention, alors peut être qu’elle comprendrait se que voulait dire l’elfe quand elle disait qu’il était possible de contrôler n’importe qui quand l’on connaissait ses petites faiblesse.  Elfe gémit doucement avant de prendre place sur la kitsune, lui souriant doucement et l’embrassant. 
Les caresses devaient de plus en plus tendre, mais également de plus en plus précise, les mains des deux amantes se frôlant  souvent sur un bout de sein, sur une gorge ou sur un bras.  Elfe ne tarda pas à lancer une contre attaque, mordillant désormais avec délicatesse infinie le cou de la jeune femme. Mais cela, la jeune princesse ne le remarquerait sans doute pas,  il serait  d’ailleurs assez peu probable que la jeune femme prête attention à ce qui aller se passer avec la créature qui jouait maintenant avec elle.  En effet  la jeune princesse avait déclenché une vague de chaleur…  En s’approchant doucement du téton de la créature en flamme, elle avait éveillé la passion des flammes. 
La créature laissa la jeune femme faire, la laissant s’emparer de sa poitrine.  Le téton de l’esprit du feu réagissant comme celui d’une vraie personne, le seule avantage s’était que ses flammes fournissaient des milliers de petites caresses sur la peau de la jeune femme.   Elle en voulait plus, et prit donc délicatement des deux mains le visage de la princesse qu’elle dirigea vers son téton gauche.   Elle ne pouvait pas prononcer un mot, puisqu’elle n’était après tout, qu’une vulgaire boule de feu. Mais  son regard, il disait plusieurs chose, il éprouvait le désir qu’exprimé la créature. Il exprimait son envie d’aller plus loin avec elle.  Il exprimait  également une envie. L’envie d’aller plus loin avec la jeune femme.  Oui, si elle voulait bien jouer avec cette poitrine, alors cette entité de flamme lui ferrait vivre une des nuits les plus chaudes qu’elle  vivrait.  D’ailleurs, la queue de braise commençait maintenant à caresser les lèvres intimes de la jeune princesse alors qu’à coté les deux amantes n’en étaient qu’aux caresses  presque innocentes.  Mais contrairement à l’originelle, elle, elle était bien moins patiente et elle voulait jouer avec la créature de chaire.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 15 janvier 2012, 10:56:59
Absorbée dans une espèce de rideau de feu, Alice était bien en peine de savoir ce qui se passait à côté, de voir que les caresses et les baisers de Lorna et de son amante commençaient doucement à évoluer. Quand bien même tournait-elle la tête qu’elle ne voyait que des flammes la lécher, surtout maintenant qu’elle se trouvait à hauteur des seins de la Lorna de feu. Dès qu’elle avait commencé à en toucher un, elle avait compris que ce clone magique comprenait ce qu’on pouvait appeler des zones érogènes. Les flammes gagnèrent en intensité, s’enroulant autour de la peau de la Princesse, répandant d’étranges caresses qui excitèrent sa peau.

Elle sentit les mains de la Lorna de feu se poser sur son visage, le tirant pour l’amener vers l’autre sein. Comprenant que cette Lorna-là n’était qu’un atome de plaisir, elle s’empressa de la satisfaire, levant une main pour attraper le sein, et pouvoir le prendre entre ses lèvres, l’aspirant, sentant des langues de feu se glisser entre ses lèvres. Sa langue titilla le téton, décrivant des cercles autour, le léchant, tandis que ses dents se posèrent sur le banc de feu, emprisonnant le téton. La Princesse était incapable de dire de quoi ce truc était fait, et la seule façon qu’elle avait de résumer ça, c’était de considérer avoir affaire à une boule de feu et de chair. Ses doigts s’enfonçaient contre son corps, dansant parmi les flammes, et elle devait assez souvent fermer les yeux, afin de ne pas être éblouie.

Dans cette situation, voir le petit jeu auquel Lorna et Tinuviel se livrait relevait du prodige, et la Lorna de feu manifesta son désir en approchant le bout de sa longue queue qui circulait entre les jambes de la Princesse vers son intimité. Alice tenta d’écarter les cuisses, et, comme pour inciter la Lorna de feu à y entrer, glissa l’une de ses mains vers ce qui lui servait de sexe, glissant un doigt dans le feu. La Lorna de feu ne poussa aucun son, mais les réactions de son corps indiquaient tout le plaisir qu’elle ressentait, et, quand bien même Alice était en train de faire l’amour avec quelque chose qui n’existait pas réellement, ce n’est pas pour autant qu’elle n’y trouvait pas un certain plaisir.

Elle tira sur le téton, relevant un peu le sein, avant de le lâcher subitement, et se dirigea vers l’autre, lui offrant le même traitement, tout en retirant sa main de l’intimité de la Lorna enflammée pour la poser sur ses fesses, les serrant, bien décidée à exciter dans toutes les mesures possibles la femme, afin d’en faire un véritable volcan ardent. Elle entreprit ainsi de se redresser, positionnant son visage à hauteur de celui de la Lorna de feu. L’une de ses mains remonta pour caresser la joue du clone, avant qu’elle ne lui offre un délicieux baiser, appuyant ses deux mains sur chacun des seins de la femme enflammée, les pressant tendrement.

« Hmmmmm… » gémit-elle dans la bouche de Lorna, reflet du plaisir qui s’élevait en elle.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le dimanche 15 janvier 2012, 13:14:13
La chaleur augmentait lentement mais surement du coté de l’elfe et de la kitsune.  Les mains frôlaient maintenant des zones plus sensibles, les respirations étaient plus courtes, mais surtout de petits gémissements sortaient maintenant des lèvres des deux amantes.  Les deux femmes étaient collées l’une contre l’autre, se caressant mutuellement la poitrine, s’embrassant de temps en temps,  le spectacle n’étant qu’une ode à la sensualité et à l’amour.  Mais cela, la jeune princesse devait bien s’en moquer, trop occupé à s’occuper de la jeune braise qui lui servait à ce moment d’amante.  Elfe eut un petit sourire,  elle savait que cette clone correspondrait plus à ce que voulait la jeune princesse.  Elle avait  que celle-ci correspondrait plus à ce que voulait la jeune princesse.  En ce moment, on ne pouvait pas vraiment dire que la kitsune était une none, vu comment elle dévorer les seins de son amante.  Elle cajolait les monts de chaire d’une main experte.  L’elfe elle, n’était pas en reste et malaxait avec tendresse les fesses de la demoiselle.

Les flammes quand à elles, en voulaient plus.  Toujours plus.  Ce qu’avait fait la jeune princesse les avaient laissées totalement insatisfaites.  Elle  soupira doucement lorsque la jeune femme s’introduisit dans son antre.  Elle ressentait le plaisir, mais ne pouvait pas l’exprimé.  Après tout, elle était flamme et sexualité.  La princesse d’une création de magie rouge.    Mais les caresse de la jeune femme faisaient surtout ressortir la seconde partie de la demoiselle.
Elle caressa de sa langue celle de la jeune femme, alors que sa queue continuait doucement de jouer avec les lèvres gorgées de désirs de la jeune princesse, les poils enflammés de la jeune créature, caressant avec de plus en plus d’insistance sur les lèvres de la demoiselle.  Elle  se blottit doucement contre la jeune femme, et  commença doucement à lui mordiller l’oreille tant dit que ses mains caressaient maintenant le dos de  la créature de chaire.
La demoiselle griffait maintenant le dos de la demoiselle de ses longs ongles.  En effet, les flammes se modifiaient selon la volonté primaire de l’incarnation magique.   Le but était simple, était d’évacuer cette chaleur, hum, c’était si bon de griffer une peau si belle et si douce.  Elle eut un petit sourire avant de prendre en mains ses deux seins, les caressant  les deux monts de chaire avec une certaine envie et surtout une certaine sauvagerie. En effet, les flammes en voulaient plus.  D’ailleurs la queue se faisait de plus en plus insistante sur le  brasier de la jeune humaine, quoi de plus normale pour une créature des flammes.  Elle  fini finalement par s’introduire dans le sexe de la demoiselle, laissant doucement les flammes lécher l’antre intime.  Il  ne s’agissait pas de chose  désagréable, au contraire même.  Les flammes étaient pratiquement  l’équivalent de millier de doigts fouillant avec délicatesse  l’antre de la jeune femme.  Voila pourquoi elle avait un petit sourire.  C’était  des expériences des plus unique que lui offrait l’elfe, et elle espérait que la jeune princesse en avait conscience.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 15 janvier 2012, 14:33:08
Le feu l’englobait, et Alice ne savait pas trop si la chaleur qu’elle ressentait émanait de l’eau chaude, de ce corps enflammé, ou du plaisir intense qu’elle ressentait Sans doute un mélange des trois. Quoiqu’il en soit, même si ce clone ne parlait pas, et n’émettait pas le moindre son, les mouvements de son corps, la manière dont sa langue s’immisçait en elle, témoignaient du vif plaisir que cette Lorna factice éprouvait. Distraitement, Alice jeta un coup d’œil vers les deux femmes, et, entre des flammes incandescentes, vit les mains de Tinuviel palper le derrière de sa kitsune.

*Au moins, elles ne s’ennuient pas…* songea Alice.

La Princesse retourna à ses occupations, embrassant la créature enflammée, tout en la sentant s’immiscer dans son intimité, faisant naturellement mouiller la Princesse, qui laissa son nectar se répandre, jaillissant sous les caresses des poils de la Lorna enflammée. Si on lui avait dit qu’elle se retrouverait à faire l’amour avec du feu… La vie était pleine de surprises ! Alice ne put s’empêcher de pousser de petits cris quand la Lorna enflammée griffa tendrement son dos. Cette créature, après tout, n’avait été invoquée que pour le sexe, ce qui amena Alice à se demander dans quelles autres circonstances Tinuviel avait pu créer des formes magiques similaires. Son imagination se déchaîna en imaginant des bancs de flammes ondulant et de corps nus, mais elle chassa cela bien rapidement, en se décidant à satisfaire comme il convenait la Lorna de feu.

Délaissant donc ses lèvres, Alice entreprit de remuer. Sentir la queue de la kitsune en elle était un grand plaisir, et elle ne tenait pas à ce que ça change, mais elle voulait aussi satisfaire cette Lorna enflammée, même si, pour le coup, il pouvait paraître un peu absurde de désir satisfaire quelque chose qui n’existait pas vraiment, et qui disparaîtrait dès que ce câlin serait terminé. Elle s’extirpa un peu du corps de Lorna, remuant, et commença à se retourner, se dressant au-dessus d’elle, lui présentant son corps trempé. L’eau tomba sur le corps de la femme en feu, et Alice plaça ses mains sur les fesses de la femme enflammée, les pressant, se penchant vers son intimité, et attrapa avec une main la longue queue poilue et torsadée. Elle se débrouilla pour la faire passer par sa nuque, et la faire glisser le long de son corps, ayant ainsi un accès libre à l’intimité de la jeune femme. Elle voulait continuer à sentir sa queue en elle, mais tenait aussi à offrir à la Lorna enflammée des plaisirs suffisants pour n’avoir pas à sentir ses griffures.

Elle se pencha donc vers son intimité, ses jambes heurtant le rebord du bassin. Elle les plia, et abaissa son bassin sur son visage, désireuse de sentir, non seulement les multiples flammèches qui sortaient de la longue queue poilue de l’invocation, mais aussi sa langue. Elle lécha de son côté son intimité, baignant à moitié dans l’eau, savourant le contact délicieux de cette intimité, attendant de voir la réponse à une question existentielle que la Princesse posait dans sa petite tête blonde : est-ce que cette forme mouillait ? Et, si oui, quoi ? C’était une question fondamentale !
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le dimanche 15 janvier 2012, 19:43:27
Non, les deux jeunes femmes ne s’ennuyait pas, loin de la même, et désormais les gémissements étaient de plus en plus présent. En effet, les deux femmes étaient face à face, leurs sexes collaient l’un contre l’autre, leurs poitrines  comprimées l’une contre l’autre.  Il suffisait de quelques mouvements de la part de l’une ou  provoquait une sensation.  L’orgasme était encore loin, mais déjà les premiers signes d’excitation étaient déjà visibles.   Mais cela n’était pas vraiment important.  En effet,  la jeune princesse ne pouvait vu sa position que entendre les cris de plaisirs des deux jeunes femmes, cri qui renforcerait encore les pulsions de la créature de feu.   Les attouchements de la jolie princesse la rendaient de plus en plus incontrôlable.  Elle avait vraiment du mal à résister et à demeurer disons raisonnables. En effet, la créature  sentait maintenant les effluves de plaisir de son amante d’un soir.  D’un soir car elle disparaitrait sans doute  à la fin de la nuit.  Elle savait que c’était sa destinée, mais elle ne mourait pas, non, elle réapparaitrait lorsque la mage rouge aurait de nouveau besoin d’elle.  Après tout,  elle était juste  la magie de l’elfe, il y avait bien pire que de passée des nuits entières avec des personnes différentes avant de retrouver le sommeil.

La forme de feu prit doucement la tête de la jeune femme et la poussa doucement vers son intimité.  Elle en voulait encore et toujours plus.  Sa queue s’aventurait de plus en plus profondément dans l’antre de la jeune femme.  Ses flammèches se faisaient de plus en plus nombres et surtout de plus en plus insistante. Oui, ses  petites flammèches   feraient sans doute un des plus puissants brasiers.  Elle  poussa encore un peu plus la bouche de la jeune femme dans son intimité.  Elle  commençait maintenant à produire ce petit liquide propre à sa forme.  Ce liquide de couleur ambrée avait un gout sucré, un gout délicieux et extrêmement fin.  Un peu comme l’elfe,  mais contrairement à celui de la mage rouge, ce liquide ci était un très puissant aphrodisiaque.  Un  concentré de magie rose.  Un concentré de sentiment.  Un concentré de plaisir à l’état brute.  Voila,  ce que produisait la créature en feu. Et le pire, c’était que ce produit enflammé les sens et les esprits.  Autant dire que oui, la jeune princesse  ne ressortirait pas de cette expérience  sans une grosse dose de fatigue, mais  cela en fallait la peine.  Le pire c’était que la mage rouge  avait déjà une autre idée en tête.  Elle hésitait cependant… Hum et pourquoi pas.
Elle avait dans l’idée de lancer un autre  clone.  Et elle le fit,  ce second clone avait son aspect et s’était désormais collé au dos de la jeune femme, léchant doucement ses  cuisses. C’était là ou la langue experte de l’elfe  rentrait en jeu. En effet, les clones avaient les mêmes particularités physiques que le modèle d’origine mais absolument pas le même caractère.  Les doigts du clone de l’elfe caressaient maintenant avec lenteur les cuisses de la jeune femme remontant doucement, lui offrant un  massage au combien  érotique. Elle remontait doucement le long de la colonne vertébrale, exerçant des pressions  dignes des plus grandes masseuses.   Oui, la jeune princesse serait bientôt au septième ciel. Mais les clones de feu semblait décidaient à laisser le plaisir diffuser dans le corps de la jeune femme.  Il était probable que la jeune demoiselle  ait encore de longues minutes à languir avant de pouvoir en profiter.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 15 janvier 2012, 21:13:17
La Lorna de feu était passablement assoiffée, et Alice entendait vaguement les cris de plaisir des deux femmes à côté d’elle. Elle en sourit légèrement, heureuse de savoir que tout le monde se faisait plaisir ici, et entreprit de continuer à lécher cette intimité, ce à quoi la Lorna de feu l’y invitait, en plaçant ses mains sur sa tête, l’enfonçant entre ses cuisses. La tête dans le feu, Alice lécha et suçota ce qui avait la forme d’une intimité, et sentit un liquide en jaillir. Il avait la couleur liquide du feu, et un goût assez particulier, qui sembla brûler dans le corps d’Alice, assoiffant sa soif de sexe, tout en renforçant cette impression qu’elle avait d’être infatigable. L’adrénaline pulsait dans ses veines, et elle lécha avec avidité, glissant sa langue aussi loin que possible, cherchant le clitoris de la Lorna de feu, afin de lui faire atteindre des sommets de plaisir.

Néanmoins, la Princesse fut dérangée en sentant un autre clone s’approcher. Elle retira ses lèvres, et rougit délicatement en voyant un clone qui avait désormais les formes de Tinuviel, et qui se placer sur elle, près de ses cuisses. Le clone de Tinuviel se glissa sur elle, le long de son dos, emprisonnant Alice dans un mur de flammes, et fit de délicates et torrides caresses près de ses cuisses.

« Hnnnnnnnnnnnn !!! » soupira langoureusement Alice sous ses caresses.

Tinuviel était en train de la gâter, et la Princesse se promit mentalement de la remercier plus tard, et de veiller à ce qu’elle obtienne les fleurs qu’elle recherche sans encombre particulier. Mais, pour l’heure, elle se concentra sur les deux clones enflammés. Les caresses du clone de Tinuviel semblaient refléter tout le talent de cette femme. Si elle vivait depuis des siècles, elle devait connaître sur le bout des doigts les multitudes de zones érogènes d’un corps, et savoir comment les exciter au mieux. La Princesse ne se faisait aucun doute qu’elle saurait très bien la faire jouir rien qu’en la caressant, et le massage se poursuivit. La Tinuviel de feu remonta le long de sa colonne vertébrale, exerçant de tendres et irrésistibles pressions.

« Hmmmm… C’est si bon, si relaxant… » finit par dire Alice.

Elle n’exagérait pas, mais elle se rappela qu’il n’y avait pas qu’un seul clone en elle, et elle décida de faire plaisir à Lorna. Elle plaça l’une de ses mains à hauteur de son intimité, et la doigta, alternant entre sa langue et ses doigts, les remuant tendrement, léchant la mouille qui s‘en échappait. Lorsque le visage de la Tinuviel de feu s’approcha du sien, Alice ne put que l’embrasser, et, même si le geste semblait un peu inutile, elle caressa avec ses doigts trempés par la mouille de feu de Lorna les lèvres de la Tinuviel enflammé, l’embrassant férocement, glissant ses mains dans sa chevelure de flammes, afin de lui restituer ses lèvres, pour retourner s’occuper de l’intimité de Lorna de feu.

Parallèlement, son nectar s’échappait de plus en plus abondamment de son intimité. Heureuse, ça, Alice l’était. Elle en avait oublié toutes ses crises princières avec Tinuviel, redevenue une jeune femme satisfaite, qui n’avait aucune raison de rouspéter. Il fallait bien reconnaître que la Princesse ne s’était pas du tout attendue à ça, mais ce qu’elle vivait était loin d’être désagréable ; c’était même tout le contraire. Elle adorait littéralement ce qu’elle était en train de vivre.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le lundi 16 janvier 2012, 10:34:35
A cet instant, elfe et la kitsune se livrait à des caresses de plus en plus osées et de plus en plus jouissives, les mains, les corps,  il n’y avait plus vraiment deux corps à cet instant, mais plutôt une seule et unique entité poussant désormais des cris de plaisir.  Oui, elfe et la kitsune  étaient entrain de jouir en même temps ce qui semblait renforcer les idées des clones de feu. En effet, ce qu’avait fait la princesse ne leurs donnaient qu’une seule idée, continuer encore.  Elles en voulaient toujours plus, et c’était à la princesse de subir ces pulsions.
La lorna de feu, adorait les caresses que lui faisait subir, la jolie demoiselle, elle adorait sentir ses doigts contre son intimité bouillante, mais la langue de la princesse avait cependant sa préférence, et  Elle lui fit rapidement comprendre en pressant encore une fois, la tête de la princesse contre son intimité où perlé encore des  goutes de son ambre de feu.    Elle sortie finalement sa queue trempée de la jeune femme avant de remonter doucement, laissant sur le corps de son amante du jour, une longue trace de ses propres fluides.  Sa queue caressait maintenant la poitrine de la jeune femme, allant et venant sur celle-ci, ne lui laissant absolument pas de répit. Elle embrassait la tête de la jeune princesse avait un petit sourire, elle adorait les princesse de la blonde, et sentait que celle-ci était de plus en plus réceptive au liquide qu’elle produisait.
Le clone de l’elfe, lui se contenta de redescendre doucement le long de la colonne vertébrale, avant d’arriver surs les fesse de la demoiselle, qu’elle malaxa durant quelques secondes.  Elle se posa finalement sur le pubis de la demoiselle, avant d’entrer ses longs doigts fins dans l’antre intime de celle-ci. Elle commença quelques va et vient  juste de quoi chauffer un peu plus la jeune femme.
Le clone de tinuviel, se décida enfin, elle commença à soulever le bassin de la jeune femme avant de s’installer sous lui.  Elle commença doucement, à caresser les lèvres rosées de la jeune femme de sa langue si adroite, laissant à celle-ci le temps de comprendre ce qu’il était entrain de se passer.  Lorsque ce fut le cas, elle s’enfonça avec une délicatesse et une précision peut commune.  C’était comme si l’elfe connaissait chaque muscle, chaque centimètre de peau de l’intimité de la jeune princesse et agissait en conséquence. 
Sa langue entoura finalement son petit bouton, preuve d’une agilité que seul les elfes pouvaient prétendre, mais c’était surtout dut au fait que la magie rouge coulait dans ses veines.   Quoi qu’il en soit, la langue de la créature de feu  exerçait de délicieuse pression sur le petit rubis de la princesse. L’elfe, la vrai, qui observait du coin de l’œil la scène,  estimait qu’elle toucherait le septième ciel dans environ…  deux minutes,  et encore…  Et encore c’était si la jeune femme était expérimentait,  car entre la langue, la queue de lorna, et maintenant les mains de l’elfe qui malaxait avec vigueur les fesses de la demoiselle, la fin était très facilement prévisible.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 16 janvier 2012, 21:42:30
Le sensuel et magique câlin auquel Alice avait droit continuait à se poursuivre, et à l’électriser. Il n’y avait pas de cris ardents, comme quand elle sentait un membre masculin se glisser en elle. Le plaisir féminin était, de ce point de vue, bien moins grandiloquent, mais non moins intense. Elle était plutôt submergée par un plaisir tendre et délicat qui la faisait délicatement soupirer, qui faisait tendrement trembler son corps comme une petite feuille. La Lorna de feu sembla manifester un vif intérêt pour sa langue, et Alice, qui n’était pas d’humeur à s‘opposer à cela, décida de s’occuper exclusivement de l’intimité de ce clone enflammé avec sa langue, retournant placer ses mains sur son derrière, le malaxant tendrement dans l’eau. L’eau léchait le visage d’Alice, mais sans l’empêcher de respirer, même si elle sentait ses mèches de cheveux se disperser au contact de l’eau chaude, l’enveloppant comme une tendre couette. Elle fourra sa langue dans le trou de plaisir de la Lorna de feu, et le suçota autant que possible, l’enfonçant aussi loin que possible, raclant avec sa langue les parois particulièrement humides, devant alors fermer les yeux.

La Tinuviel de feu retourna vers son bassin, poursuivant ses caresses, s’occupant du postérieur trempé d’Alice, qui se raidit un peu en sentant les délicieux doigts de l’elfe caresser cette partie de son corps. Le traitement, insoutenable, se poursuivit quand la queue de la Lorna de feu quitta son intimité pour se promener le long de son corps, ses flammes répandant toute la mouille d’Alice, avant de terminer près de ses seins. La queue se frottait contre son corps, et elle sentait les flammes danser sur ses tétons durcis, sur ses seins dressés, la faisant soupirer. Le résultat de tout ce traitement fut que ses dents raclaient parfois la peau de braise de Lorna, la Princesse, jeune et frivole, ayant bien du mal à contrôler ses pulsions.

Sentir les mains divines de Tinuviel sur son postérieur lui faisait oublier qu’elle avait affaire à un clone. Elle ignorait exactement en quoi consistait ce sort magique, mais elle savait que la Tinuviel enflammée, comme la Lorna, devaient probablement être, de près ou de loin, liées à leur modèle initial. Cette Lorna-là semblait être le modèle extraverti de la kitsune d’origine, alors que la Tinuviel de feu avait avec elle tout le doigté et tout le savoir de Tinuviel dans ce domaine. Mine de rien, l’imagination d’Alice, reflet de son esprit jeune et immature, s’emballa à nouveau, essayant d’imaginer dans quelles circonstances Tinuviel avait pu concevoir ce clone extraverti de Lorna. Pour encourager Lorna ? Pour faire avec elle des choses que Tinuviel n’aurait jamais osé faire avec le modèle d’origine ? A sa place, Alice aurait probablement conçu un tel clone dans ce sens, mais comprendre les pensées elfiques était bien plus compliqué que ce qu’on pouvait penser.

La Tinuviel de feu coupa court à ses rêveries roses en promenant sa langue dans l’intimité d’Alice, qui sentit un pic de plaisir remonter tout le long de son corps. Elle en poussa un gémissement étouffé par les cuisses de Lorna, et retourna la lécher rapidement, tout en sentant le plaisir irradier en elle. Tinuviel avait de véritables doigts de fée, une langue merveilleuse, qui parvenait à exciter la Princesse comme jamais ! La brave ne résista guère longtemps sous un tel choc, n’ayant après tout qu’une expérience sexuelle assez faible. Sa mouille continua à se répandre, jusqu’à ce qu’elle finisse par jouir. Alice pinça alors les fesses de Lorna, et appuya sa tête contre ses flammes, avant de remuer le corps, sa cyprine se déversant de son intimité, humectant les lèvres de Tinuviel, se répandant sur les flammes de Lorna, se diluant dans l’eau. Alice répandit sa cyprine à chaque mouvement de son corps, en poussant de longs soupirs. Elle finit par relever la tête, quand elle se sentit vidée, et la tourna vers l’elfe rouge.

« Vos clones sont divins, Tinuviel…, avoua-t-elle. J’ai bien peur de n’être pas suffisamment entraînée pour leur résister durablement… »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le mardi 17 janvier 2012, 17:52:53
L’elfe se contenta d’un petit sourire, elle était dans les bras de la kitsune embrassant avec passion les lèvres de sa jeune suivante.  Ces lèvres délicieuses  exerçaient une telle attirance sur l’elfe que l’on aurait put les croire enchantées et pourtant non, ce n’était pas cela.  Elle embrassa encore une fois la jeune kitsune  quand la jeune princesse vient finalement.  Elle ne s’était pas trompée, ses deux amantes n’avaient  pas mit plus d’une dizaine de minute pour la faire finalement venir.  Elle eut un petit sourire.  La scène qui se déroulait maintenant était effectivement des plus sensuelles. 
Les deux demoiselles de flammes semblaient maintenant  apaisées comme si l’orgasme de la princesse les avait également touchées.   Elles la soulevèrent doucement,  la récupérant avant de faire en sorte que la jeune princesse soit de nouveau dans une position plus  propre à sa position.  De chaque coté, les couchée doucement contre elle,  lui caressant les hanches et lui embrassant le cou.  Le tableau avait de quoi ranimer tous les brasiers.  Et l’elfe le savait, il était probable que la jeune princesse ait  bientôt de nouveau envie de jouer avec elles,  pourtant  ces deux demoiselles devraient bientôt repartir.  En effet, elles ne pouvaient restées éternellement, mais surtout, elfe avait d’autre plan pour la jeune princesse.  Elle eut un petit sourire aux mots de la jeune femme et lui  répliqua doucement.


-Je suis heureuse que cette expérience te plaise.  A vrai dire, c’est la première fois que je me sers de  cette combinaison de magie.  Mais  il est probable que tu sois la seule à  profiter de leurs soins.  Tu sais, la magie rouge réagit en fonction des désirs les plus profonds, les plus sauvages de chaque individu.  Ainsi, ce n’est pas mes créations, mais les tiennes. 

Elle avait un petit sourire, en effet, elle n’avait fait que créer le sortilège, les désirs inconscients de la jeune femme avaient fait  le reste.  Elle se contenta d’un petit sourire et  termina enfin  en se rapprochant de la jolie princesse.  Elle lui fit doucement signe de venir vers elle, alors que les deux clones commençaient maintenant à disparaitre en une myriade d’étincelles.   La dernière image, fut un petit clin d’œil de la clone de lorna.  Il ne resta enfin plus rien d’autre.  Rien d’autre que les trois jeunes femmes.
-  Je t’ai réservé quelques autres surprises.  Mais pour l’instant, profite de cette petite pause, tu en aura besoin pour la suite, si tu veux tenir la cadence.  Car ce que t’on montré les clones, est bien loin du plaisir que nous pouvons t’offrir.

Elle eut un petit sourire, autant dire que oui, le programme allait être très intéressant pour la jeune princesse qui une fois encore donnerait sans doute de sa personne. [/i]
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 17 janvier 2012, 19:08:38
Après son orgasme, Alice sentit les clones enflammés la remuer un peu, et elle se retrouva allongée le long du bassin, dans une position un peu plus confortable, l’un des clones lui servant de lit, en étant sous elle, l’autre allongé sur elle. Elle tourna la tête vers la magicienne qui avait créé ces deux apparitions et vers sa petite Lorna. Elles continuaient à s’embrasser et à se caresser avec une tendresse qu’Alice aurait trouvé exaspérante il y a quelques minutes. La Princesse était, sexuellement parlant, assez rapide à exciter, et, dans cet état, son désir prenait une place de plus en plus prépondérante, l’empêchant de faire preuve de retenue.

Les clones continuaient à tendrement la caresser et à l’embrasser, et elle répondait aux baisers du clone du dessus, qui était Tinuviel, l’embrassant sur les lèvres quand elle le pouvait. Ses mains étaient les proies des caresses de la Lorna enflammée, et Alice se laissait faire. Avoir eu un orgasme ne signifiait pas qu’elle en avait terminé, que sa libido était pleinement rassasiée. Elle était même encore assez éloignée d’un tel résultat.

Tinuviel lui parla alors, lui expliquant les subtilités de son sortilège :

« Je suis heureuse que cette expérience te plaise.  A vrai dire, c’est la première fois que je me sers de  cette combinaison de magie.  Mais  il est probable que tu sois la seule à  profiter de leurs soins.  Tu sais, la magie rouge réagit en fonction des désirs les plus profonds, les plus sauvages de chaque individu.  Ainsi, ce n’est pas mes créations, mais les tiennes. »

Alice fut flattée de savoir qu’elle avait été un genre de cobaye, tout en s’étonnant que ces clones soient issus de son imagination. Tinuviel avait-elle lu dans ses pensées pour découvrir ses pensées profondes ? Ou est-ce que la magie l’avait fait toute seule ? Personne ne doutait, à Sylvandell, des facultés de la magie, et c’était bien pour ça que les Commandeurs n’étaient pas que de simples guerriers équipés d’épées en verredragon, et d’armures conçues à partir des écailles des dragons, mais disposaient de pouvoirs magiques puissants, qu’ils n’utilisaient qu’en dernier recours. Tinuviel sembla une puissante magicienne, et, quand elle fit signe à Alice de s’approcher d’elle, cette dernière n’hésita pas, allant se blottir à côté d’elle, à hauteur d’un de ses bras.

Pendant ce temps, les deux clones de feu disparurent dans des volutes de feu, des flammèches et des myriades d’étincelles. Alice rougit délicatement en voyant le clone de Lorna lui faire un clin d’œil, puis reporta son attention sur Tinuviel, l’une de ses joues posées sur l’une des mains de l’elfe. Tinuviel recommença à parler, pour la rassurer sur un point : la séance n’était pas encore terminée.

« Je t’ai réservé quelques autres surprises.  Mais pour l’instant, profite de cette petite pause, tu en aura besoin pour la suite, si tu veux tenir la cadence.  Car ce que t’on montré les clones, est bien loin du plaisir que nous pouvons t’offrir.
 -  D’accord… » répondit Alice.

Elle se retourna dans l’eau, et embrassa lentement la main de Tinuviel, se reposant ainsi. Elle attrapa avec chacune de ses mains le pouce et le petit doigt de l’elfe, et alla suçoter chacun de ses doigts, frottant sa langue dessus, déposant ici et là des baisers, tandis que sa poitrine se soulevait et s’abaissait lentement.

« Il n’empêche, ajouta-t-elle, je suis heureuse et fière de t’avoir rencontré, Tinuviel. Le fait que ce soit par le biais d’un dragon m’inciterait presque à y voir là une volonté supérieure… »

Elle ne s’avança pas trop dans cette théorie. Superstitieuse en ce qui concernait les dragons, du fait de sa foi pour eux, Alice, comme tous les Korvander, avaient toujours fait attention aux messages émis par les dragons, et ceux qui n’en avaient pas tenu compte avaient généralement connu une fin tragique.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le jeudi 19 janvier 2012, 20:29:50
Elfe eut un petit sourire, décidément, les peuples étaient bien différents.  Chez les elfes du soleil, les dieux et le destin n’existaient pas.  Il n’y avait que la science et la magie,  bien que la magie fût chez eux une science à part  entière.  Elle  eut un petit sourire avant de lui expliquer doucement, que non, cela n’était pas une volonté divine, mais plutôt  une  chose logique.

-Je suis désolé de te décevoir.  Mais nous ne croyons pas au destin.   Pour nous, il n’existe pas de hasard.  Concernant ce dragon,  il est normal qu’il soit venu vers nous.   En effet il à dut me prendre pour un congénère.  L’armure que je porte est de l’écaille de dragon véritable et comme si cela ne suffisait pas,  je suis le disciple d’une dragonne.  Cela s’explique donc simplement parce que j’avais le look  mais également l’odeur du dragon sur moi.  Il est encore trop jeune, c’est donc l’instinct qui l’a  poussé vers nous.   Il à d’ailleurs eut de la chance d’être aussi jeune, c’est uniquement pour cela qu’il est encore en vie.  Les elfes et les dragons se livrent une guerre qui durent depuis des siècles et des siècles…

Il n’y avait que peu de personne qui se souvenait de l’origine exacte de ce conflit,  et il y en aurait de moins en moins avec le temps.  Elle,  elle avait eut la chance d’être mise dans la confidence par sa tutrice, la mère des rouges.  En effet, les différents vols  étaient nés à peu de temps d’intervalle,  et le nombre de races bien plus important que ceux que l’on pouvait penser.   Il était normal que l’elfe en sache quelques peu sur ces espèces ou ces sous espèces.  On dit souvent qu’il faut connaitre l’ennemi mieux que soit même si on veut le vaincre, et cela, les elfes l’avaient compris.  Elle   eut un petit sourire avant de regarder la  jeune humaine et lui glissa doucement.


-Je pourrais t’apprendre bien des choses sur les dragons.   Mais pour l’instant ce n’est pas la question.  Je sens, que les clones ont fait leurs travaux.  Maintenant, c’est à moi de reprendre le jeu ou elles l’ont laissé.

Elle eut un petit sourire, passant doucement sa main gauche sur le flanc de la jeune femme,  et fit de même avec sa main d’autre sur ses cottes encore épargnées.   Pour l’instant, il n’y avait rien de très extra ordinaire.  Mais bientôt la jeune princesse comprendrait que les mains de la jeune femme n’étaient pas que des simples mains,  mais des instruments de plaisir  et de douce torture.  En effet,  la main droite de la jeune femme, chauffait doucement mais surement la  peau de la jeune femme, provoquant de douce sensation de chaleur comme un aphrodisiaque qui se distille lentement mais surement,  la gauche elle, avait la froideur de la glace, faisant frissonner le corps de la jeune femme.  Et ses mains variées, laissant parfois le froid refroidir la chaleur, ou bien la chaleur remplacer  le froid.

Elfe faisait preuve de patience,  et de tendresse pour refaire en sorte que  le désir remonte doucement.  C’était sans doute la toute la force de l’elfe rouge,  elle n’avait pas besoin de violence,  pas besoin de s’imposer.  Non, elle laissait faire le désir naturelle,  cette pulsion de vie,  cette part d’animal qui dors en chaqu’un de nous.
Elle laissait doucement la jeune princesse apprécier toutes la puissance de ces simples petites caresses.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 19 janvier 2012, 22:25:43
Tinuviel s’évertua à lui expliquer que leur rencontre n’était que le fruit du hasard, et Alice soupira légèrement, lui mordillant délicatement l’un des doigts. Alice se doutait bien que ce n’était pas en soi la volonté du bébé dragon qui avait amené Tinuviel et la Princesse à se croiser, mais se le voir rappeler de manière aussi terre-à-terre malmenait un peu son côté romantique et idéaliste. Alice avait grandi dans un monde d’imagination, le monde tous les possibles, celui des livres. Elle avait certes lu des traités mathématiques, des œuvres rigoureuses qui avaient développé son esprit critique, une rigueur certaine, mais quel enfant préférerait lire un traité philosophique complexe, quand il avait l’occasion de lire les aventures d’une compagnie de guerriers hétéroclites affrontant un Roi mégalomane dans des régions enchanteresses ? Sûrement pas Alice.

Elle n’interrompit pas Tinuviel, conscient que c’était une elfe, et qu’elle le prendrait mal, et préféra continuer à jouer avec la main de l’elfe, jusqu’à ce qu’elle se mette à la caresser délicatement.

« Je pourrais t’apprendre bien des choses sur les dragons », lui assena-t-elle.

La Princesse ne dit rien, mais il y avait relativement peu de chance que Tinuviel ait un jour l’occasion de l’instruire. Alice n’avait jamais été une élève très studieuse, et ses mestres avaient eu bien du mal à essayer de lui inculquer quelque chose. De plus, elle était nue, avec deux belles femmes, venait d’avoir un orgasme, et l’idée d’une leçon sur les dragons ne la séduisait pas. En contrebas, on pouvait entendre, filant à travers le vent, les quelques notes des chanteurs ambulants qui délivraient une musique dans le village. L’ambiance était festive.

« Mais pour l’instant ce n’est pas la question, se ravisa l’elfe, ce qu’Alice ne pouvait que confirmer.  Je sens, que les clones ont fait leurs travaux.
 -  Ça, tu peux le dire !
 -  Maintenant, c’est à moi de reprendre le jeu ou elles l’ont laissé.
 -  Mon corps est sans défense… »

Tinuviel promena ses mains sur son corps, Alice lui rendant leur usage. Elle croisa ses bras devant sa tête, s’en servant comme d’un reposoir, détendant tout son corps dans l’eau, sentant les délicats et tendres doigts de Tinuviel frotter sa peau humide et sensible. Alice s’impressionna encore une fois des mains ô combien douces de l’elfe. Tous les elfes étaient-ils ainsi ? Non, l’elfe rouge était sûrement une exception, ce qui, naturellement, ne la rendait qu’encore plus désirable.

« Aaaaah… soupira délicatement Alice. M’en voudrais-tu, si je me mettais à jalouser ton doigté ? plaisanta la Princesse. Tu pourrais me faire ça pendant des heures sans que je ne m’en lasse pas…. »

C’était le sentiment initial de la Princesse, mais, plus les caresses se prolongeaient dans le temps, plus son cœur battait lourdement la chamade, et plus son désir montait. C’était une chose assez curieuse, le désir. Plus il montait, plus l’insatisfaction liée à ce désir montait, donnant ainsi à Alice le désir d’en avoir plus. Un délicieux cercle vicieux, qui commençait à faire effet. Les caresses et les doigts de Tinuviel étaient comme les souffles qu’on appliquait sur un feu de cheminée pour écarter les braises, et offrir aux flammes la possibilité de respirer à nouveau afin de brûler.

L’une des mains de l’elfe était chaude, et l’autre froide, et les deux la caressaient avec une tendresse infinie.

*Est-ce là ce que les jeunes enfants éprouvent quand leur mère les caresse ? C’est tellement agréable…*

Alice n’avait jamais vraiment connu ce plaisir, celui d’avoir une mère. La sienne s’était suicidée sans qu’elle ne la connaisse, et les seuls câlins qu’elle avait reçu, étant enfant, émanaient de ses servantes, mais ça n’avait assurément rien à voir avec ceux d’une mère… Non ? Quoiqu’il en soit, elle savourait pleinement ce qu’elle ressentait, ne pouvant s’empêcher de se demander Tinuviel avait pu recevoir un tel talent. Était-elle née avec de tels doigts de fée ? Alice aurait tant aimé pouvoir en faire ainsi avec ses mains… Mais cela nécessitait du calme et de la patience, deux éléments que la jeune Korvander n’appliquait que peu.

« Hmmmm… soupira-t-elle. C’est… C’est très agréable, peut-être même… Peut-être même trop, hum… »

Elle se mordilla les lèvres, remuant légèrement son corps, et tourna la tête vers Tinuviel, les joues rouges. Le simple fait d’être caressée sur le corps, sans même s’attaquer à ses parties sensibles, suffisait à l’exciter. Elle rougit légèrement, et soupira une nouvelle fois.

*Est-ce que c’est normal ? Ou est-ce que c’est moi qui suit à ce point en manque ?*
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le dimanche 22 janvier 2012, 15:02:20
L’elfe eut un petit sourire en voyant la jeune princesse totalement  soumise à ses caresses, elle continuait lentement mais surement à faire en sorte que le désir de la jeune femme monte,  monte encore et toujours plus ,  sans avoir besoin de toucher une quelconque zone sensible.  Le but de l’opération était de faire que le corps entier de cette jeune femme ne devienne qu’une seule et unique zone érogène,  et cela sans magie,  juste grâce à son légendaire doigté.  Elle embrassa avec tendresse la jeune femme alors que ses main  passait doucement dans son dos,  libérant des vagues successives de chaud et de froid sur la colonne vertébrale de la jeune femme.  Les deux langues se recherchaient  tentant de se rejoindre dans cette danse folle qu’imposait la mage rouge à la pauvre petite princesse.  Elle lui laissa quelques secondes de répits avant de lui dire doucement.

-Jalouse mon doigté autant tu le souhaite, mais surtout profite de cet instant pour l’amour peut prendre de bien nombreuses formes.

Elle continua doucement remontant ses mains le long de son dos,  jusqu’à son visage, qu’elle continuait à caresser,  la jeune femme lui offrait effectivement de l’amour.  De l’amour tendre et délicat, un amour pour l’instant simple et sans aucun autre ne but que celui-ci.  Le plaisir viendrait c’était vrai, mais pas maintenant,  pas encore.   Elle pouvait effectivement sentir que la jeune femme avait besoin d’un peu d’affection,  d’un peu de tendre,  de quelqu’un qui vous offre ses bras le temps que quelques heures.   Elle redescendit encore un peu, caressant maintenant son jolie ventre sur lequel elle dessiné des motifs étranges et mystérieux sur son ventre.  Laissant juste le contraste entre le chaud et le froid faire tout le travail.  Elle embrassa doucement le front de la jeune femme avant de lui dire doucement.


- Laisse moi  faire de ton corps entier une ode au plaisir.  

Elle retourna doucement caresser les cuisses de la jeune femme, lui souriant doucement,  peut être qu’à la fin de leurs jeux, la  jeune femme comprendrait ce que voulait dire avoir un cœur qui bat à l’unisson avec le votre.  Elle souriait doucement avant de remontait doucement, laissant son souffle se perdre dans le cou de la jeune femme.  Elle lui laissait le temps de se perdre dans les limbes du désir.  SA bouche descendit maintenant  caressant la gorge de  ses  douces lèvres.  Ce que la jeune elfe faisait à la kitsune,  la jeune princesse était maintenant entrain de le ressentir ?  Est-ce que cela l’énervé toujours ?  Ou bien,  se laissait elle convaincre par les façons de faire de la jolie créature ?
Elle dévorant maintenant sa gorge  léchant celle-ci avec minutie et patience.  Tôt ou tard, la jeune princesse succomberait aux méthodes de l’elfe pour son plus grand plaisir.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 23 janvier 2012, 00:25:45
De délicieux soupirs de plaisir s’échappaient effectivement des lèvres d’Alice, de délicats gémissements exprimant tout le désir qu’elle éprouvait. Comme c’était agréable ! Elle sentait les mains de Tinuviel se promener tout le long de sa colonne vertébrale. Sa moelle épinière se trouvait là, raccordant tout son système nerveux, et, par on ne sait quel miracle, les caresses de Tinuviel se répandaient sur tout son corps, le long de toutes ses fibres. Elle gémit, et son gémissement fut coupé par le baiser délicieux de Tinuviel. Les joues d’Alice rougirent de plaisir, et son soupir se perdit dans la bouche de l’elfe. La Princesse laissait délicieusement faire, et écarta les lèvres, sentant la langue de Tinuviel se glisser dans sa bouche. Alice répliqua en tendant la sienne, levant sa langue, et la frotta contre celle de Tinuviel. Le baiser se prolongea pendant des secondes bien trop brèves pour elle. Tinuviel avait indéniablement pris la direction des opérations, mais ce n’était pas pour gêner la Princesse, qui avait désormais acquis l’intime conviction que l’elfe était plus douée qu’elle. Ce n’était que logique de la laisser faire.

Ses baisers, ses caresses… Tout était tendre et fulgurant chez cette elfe, et Alice, sous le plaisir jaillissant qu’elle ressentait, se surprit à mordiller parfois les lèvres de l’elfe, après avoir promené sa langue curieuse et assoiffée dessus. Cette femme la rendait folle, et Alice devait de plus en plus faire d’efforts pour ne pas lui sauter dessus.

« Oui, murmura-t-elle quand Tinuviel l’incita à profiter de cet instant, ne t’en fais pas pour ça, ce que tu me fais ressentir est… Divin. »

Le mot ne lui semblait  pas trop fort. Les doigts parfaits de l’elfe se glissèrent alors sur son ventre, et Alice sursauta, sentant les doigts se promener dessus, comme si elle s’amusait à tracer des lettres dessus. Un frisson parcourut Alice, qui se mordilla les lèvres pour ne pas glousser. Le contact des doigts de Tinuviel sur cette partie de son corps, le frottement de ses ongles, lui provoquait des frissonnements de rire, comme si on cherchait à la chatouiller. Tinuviel l’embrassa alors sur le front, et Alice lui répondit en essayant de se serrer un peu contre elle.

Elle glissa l’une de ses mains le long des cotes de l’elfe, et posa l’autre sur sa nuque, approchant sa bouche pour l’embrasser dans le cou, avant de lui répondre.

« Le plaisir… Ow, je ne demande que ça, Tinuviel… »

Elle sentit la main de l’elfe continuer à se promener sur son corps, atteignant ses cuisses, et Alice écarta instinctivement ses jambes, espérant secrètement que les doigts de l’elfe glisseraient pour s’approcher d’une partie sensible. Ayant une main posée sur sa nuque, elle s’en servit pour approcher son visage du sien, bien décidée à rendre à l’elfe la monnaie de sa pièce, en quelque sorte. Si elle ne l’embrassa pas, elle préféra frotter le bout de son nez contre le sien, enfonçant ce dernier contre le nez elfique, le promenant le long des narines, glissant sur cette espèce de petit toboggan de chair et de douceur, s’amusant ensuite à l’approcher des lèvres de l’elfe, pour le remonter. C’était un moment d’une grande tendresse, de son point de vue, comme seules deux femmes pouvaient le faire. Est-ce ce que Lorna ressentait, quand Tinuviel s’occupait d’elle ? Alice ne savait exactement comment décrire ce qu’elle ressentait. C’était tendre et délicieux, et elle aurait pu passer des heures ainsi, si elle en avait la patience. Tout aussi calme et délicieux, la Princesse sentait les pulsions de son corps continuer à battre en elle, et devait de plus en plus se forcer pour ne pas imposer un changement de rythme.

La tête de l’elfe se mit à descendre, et Alice soupira et gémit à nouveau en la sentant s’approcher de sa gorge, la léchant et mordillant sa peau. Tendrement, Alice releva ses jambes, les enroulant autour des hanches de Tinuviel, ses pieds à hauteur du fessier de l’elfe, tout en promena tses mains dans la longue chevelure de la femme.

« Humm… » soupira tendrement Alice, fermant les yeux.

Encore une fois, des frissons remontèrent le long de son corps, alors qu’elle sentait les seins de l’elfe s’enfoncer contre sa peau. Ses jambes se serrèrent un peu autour de sa taille, sans qu’elle ne s’en rende vraiment compte, et elle glissa ses doigts dans la chevelure soyeuse de Tinuviel. Elle glissa ensuite chacune de ses mains vers les oreilles de Tinuviel. Chez les nekos, comme elle l’avait remarqué avec Sakura, cette zone était une zone très sensible, bien plus que chez les humains. Était-ce aussi le cas pour les elfes ? Alice était curieuse de le savoir, et ses doigts se promenèrent sur ces morceaux de chair, les caressant délicatement.

Dans sa tête, elle eut une vague pensée pour Lorna, se demandant comment la kitsune devait réagir devant un tel spectacle. Fort heureusement, elle avait l’air plus patiente qu’Alice. A sa place, cette dernière n’aurait jamais pu rester en place !

« Han, soupira-t-elle, c’est… C’est délicieux ! Je… Hum… Je ne sais pas si j’arriverais à me retenir, sous ce traitement, belle elfe. J’ai bien peur de ne pas avoir l’endurance de tes amantes. »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le mardi 24 janvier 2012, 19:02:34
L’elfe souriait doucement à chaqu’un des petits soupires de la jeune femme,  elle pouvait sentir que l’esprit de la jeune princesse était de plus en plus embrumé,  de plus en plus demandeur de caresse et d’attention, et qu’elle résistait avec peine aux caresses que lui infligeait l’elfe. 
Cette humaine et elle le reconnaissait, était bien moins entrainée que ses amantes,  mais cela viendrait avec le temps.  Elle lui sourit doucement, caressant doucement son petit nombril avant de lui répondre d’une voix pleinement satisfaite par ce qu’elle était entrain de lui faire subir.  Elle  soupirait également cependant,  les caresses sur ses oreilles ne la laissait pas de marbre, cette zone étant bien plus sensible que chez les humains.


-Hum… Tu te débrouille bien…  Mais il te faudrait de l’entrainement…    Bon,  je pense que lorna, tu peux venir jouer avec nous si tu le veux.  Mais quand à toi princesse, soit une gentille fille, ou alors, je serais obliger de te punir,  par contre, si tu te tiens bien,  je pense que je pourrais te faire connaitre de nombreuses choses, te faire vivre tes plus fous fantasmes par exemple… 

Autant dire que le message qu’était entrain de lui faire passer l’elfe avait de quoi motiver la jeune femme pour que  celle-ci ne touche pas trop à la kitsune. Elle ménagerait ainsi son amante et la princesse.  Permettant à chaqu’une de passer un bon moment.  Bon, il était maintenant temps d’abréger doucement mais surement les  supplices que vivait la jolie petite princesse.  Elle trouvait presque cela dommage, après tout, elle était tellement mignonne comme cela. 
En attendant que la jeune elfe se décide,  la kitsune elle, n’était pas inactive, elle embrassait maintenant le front de  sa maitresse tendit que sa longue queue touffu s’amusait maintenant avec les jambes de l’humaine.    Il fallait reconnaitre une chose,  les clones, bien qu’extrêmement ressemblant ne rivalisait pas avec la douceur de la queue de la jeune femme,   s’était, comme être sur un nuage de coton.  Comme une plume qui  joue sur votre peau à la suite d’une petite brise.   Oui, la kitsune avait vraiment des talents cachés. 


Elfe se décida enfin, souriant doucement avant de prendre  les deux seins de la demoiselle en main.  Etrangement, elle n’avait aucun mal à manipuler ceci malgré le bonnet relativement appréciable de la demoiselle.  Autant dire qu’elle avait l’habitude, c’était certain même en vu des caresses qu’elle  imposait maintenant à la poitrine de la jeune femme. 
En effet, elle caressait celle-ci, par de légères pressions sur les seins,  ses doigts passant entre les mamelons.  Les pressions étaient donc uniquement sur les monts de chaire, ne touchant jamais la pointe.  Pourtant, avec ce que la  mage rouge avait fait,  les caresses auraient sans doute le même effet. En effet,  si la jeune elfe avait prit son temps avec la princesse cela n’était pas pour rien,  chaqu’une de ses caresses  avaient permis à la peau de la jeune femme, d’être plus réceptive  à l’envie et donc au plaisir une fois que celui-ci viendrait, ce qui était désormais le cas.

Elfe avait doucement son petit sourire, caressant maintenant les lèvres de la jeune avec son habile langue. Elle lui fit un petit clin d’œil avant de lui glissait doucement à l’oreille.
-Prête petite  princesse.  Les choses sérieuses commencent maintenant.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 24 janvier 2012, 22:07:49
Soumise aux délicieuses mains de Tinuviel, la Princesse de Sylvandell se laissait faire sans opposer la moindre résistance, se contentant de soupirer de plaisir, ses muscles tremblant. Tinuviel devait sûrement le sentir, vu que l’elfe semblait dotée d’un sixième sens pour cela… A moins qu’elle n’ait juste un toucher bien plus sensible que chez les humaines comme elle. Quoiqu’il en soit, elle finit par proposer à Lorna de venir, tout en recommandant à Alice de se contrôler, sous peine de sanctions. L’elfe ignorait que la Princesse était justement du genre à provoquer ceux qui la menaçaient, mais, fort heureusement, la Princesse était en ce moment un peu trop excitée pour songer à contredire les ordres de Tinuviel, Lorna alla se placer de telle sorte qu’elle pouvait embrasser sa Maîtresse et amante, tout en utilisant sa queue poilue pour la glisser entre les jambes d’Alice, les emprisonnant dans un cocon de plaisir, ce qui ne pouvait que lui faire plaisir. La Princesse avait toujours aimé se sentir emprisonnée, ligotée. Si elle connaissait la pratique du bandage, elle aurait sans doute fait des folies, tant elle aimait cette sensation !

Tinuviel alla ensuite promener ses mains sur les deux seins d’Alice, qui en poussa de brefs cris. Là encore, utilisant ses mains expertes, l’elfe se débrouilla pour ne jamais toucher les tétons de la femme, se contentant de promener ses doigts comme une masseuse l’aurait fait, les glissant sur la masse tendre de chair, sur les deux belles bosses d’Alice, sans jamais aller jusqu’à toucher les zones sensibles. Diable ! Comme c’était excitant ! L’une de ses mains alla délicatement se promener sur le dos de Lorna. Cette dernière glissait bien sa queue entre ses jambes, après tout. Ce n’était donc que justice qu’Alice lui rende pareille. Elle veilla naturellement à ne pas descendre trop bas, préférant frotter son dos, grattant sa fine et délicate peau. La sensation était bien différente des clones en feu, mais non moins délectable. Elle gratta le dos de Lorna.

« Pa… Pardonne mon doigté, Lorna, je n’ai pas les talents de ta hummmm… De ton amante. »

Elle soupira à nouveau, continuant à sentir les mains de Tinuviel sur ses seins, et elle frissonna quand la langue de l’elfe se promena sur ses lèvres. Elle frémit de plaisir, et utilisa son autre main pour la placer sur les fesses de Tinuviel. Si elle ne pouvait pas toucher les zones trop érogènes du corps de Lorna, c’en était bien différent pour l’elfe rouge, et elle malaxa son joli petit cul. Tout semblait parfait avec cet elfe. Son corps était une ode à la beauté, et elle pinça le postérieur de l’elfe rouge, gémissant tendrement.

Tinuviel lui offrit ensuite un clin d’œil, et elle sourit, lorsqu’elle lui annonça que les choses sérieuses allaient pouvoir commencer.

« Oh, mais je n’attends que ça, belle elfe ! »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le samedi 28 janvier 2012, 14:06:54
L’elfe n’avait pas de sixième sens, juste une expérience hors du commun.  Elle passait chaque nuit avec une femme  parfois plusieurs, elle savait donc comment pouvait réagir une femme et surtout elle savait comment faire pour se montrer convaincante.   L’elfe avait analysé chaque mouvement que faisait la princesse et s’était aperçut que depuis que lorna la  maintenait, la jeune princesse semblait plus réceptive.  Elfe eut un petit sourire.  Laissant faire  La princesse alors qu’elle caressait le dos de lorna, et malaxait ses fesses avec une vigueur très appréciable.  Elle  posa doucement ses lèvres sur la jeune femme, lui prenant délicatement les mains,  avant dire doucement.
-Lorna, tu pourrais faire en sorte que notre invité ne bouge pas trop.  Je n’aimerai pas qu’elle fille. 
Elle posa doucement un baiser sur lorna, qui se plaça de telle manière à retenir les mains de la jeune princesse, ses jambes toujours enfermé dans le cocon de fourrure de sa queue,  le corps totalement offert à l’elfe qui  allait sans doute en profiter.  La kitsune, regarda doucement la jeune princesse avant de lui répondre.

-Ne vous en faite pas,  vous avez juste besoin d’expérience chère princesse, mais en attendant,  laissez ma maitresse prendre soin de vous. 

L’elfe se rapprocha doucement, laissant ses doigts courir sur le corps de la jeune femme, sachant que celle-ci ne pourrait  absolument rien faire contre ses caresses,  elle remonta lentement vers la poitrine de la jeune femme, caressant maintenant avec adresse ses tétons.  Elle savait que la jeune princesse ne résisterait pas longtemps à ce genre de chose,  effectivement ses deux monts de chaire étaient déjà fièrement dressés comme un appel à la déesse de la beauté, et  durs comme deux agates.  Autant dire la jeune princesse semblée déjà bien troublée par les caresses de plus en plus  précise de l’elfe.
Lorna quand à elle, bien que hors d’atteinte, continuait à maintenir la jeune femme  dans une douce étreinte,  et commençait même à se faire un peu plus entreprenante. En effet, ses mains étaient maintenant sur la nuque de la jeune femme de ses longs ongles.  Il n’y avait rien de violent, c’était même plutôt le contraire, ses caresses était encore bien plus douces que celle de l’elfe.  Car on pouvait toujours sentir dans les caresses de la mage, cette certaine forme de  sauvagerie,  une patte dans un gant de velours, chose absente chez la jeune terranide.  Le duo se complétant à merveille.
Elfe ne disait rien, se contentant de masser avec vigueur la poitrine de la jeune femme. Le grand finale commencerait, bientôt,  très bientôt.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 28 janvier 2012, 20:16:40
Le câlin se poursuivait délicieusement, au plus grand plus plaisir d’Alice, qui sentait des petits frissons la parcourir, lorsque Tinuviel l’embrassait. Les lèvres de l’elfe étaient terrifiantes, mais la Princesse était de plus en plus excitée. Tinuviel prenait énormément de temps, ce qui agissait de manière paradoxale sur Alice, lui plaisant et lui déplaisant à la fois. Le plaisir montait parallèlement avec une dose d’insatisfaction, d’impatience, de plus en plus prononcées. Les plaisirs sexuels étaient des plaisirs bien compliqués, fonctionnant de manière illogiques, car contradictoires, liant entre eux des sensations qui étaient normalement conçues de manière opposée, comme la douleur et le plaisir. Tinuviel maîtrisait cela à la perfection, donnant à Alice l’impression de n’être qu’une petite gamine, et frémit quand cette dernière s’adressa à nouveau à Lorna.

« Lorna, tu pourrais faire en sorte que notre invité ne bouge pas trop.  Je n’aimerai pas qu’elle fille.
 -  Il n’y a rien ici qui puisse me faire fuir, bien au contraire », objecta rapidement Alice.

Elle se demandait comment interpréter cette phrase, et sentit Lorna remuer derrière elle. Alice lui offrit toutefois ses mains, les glissant dans son dos, sentant la queue de Lorna les attacher également, les tirant tendrement en arrière, relevant un peu le beau ventre de la Princesse, qui eut à nouveau droit aux insupportables caresses de l’elfe rouge. De nouveaux frissons la parcoururent, alors que son intimité commençait à légèrement mouiller sous les caresses qu’elle recevait. Lorna se mit alors à lui parler :

« Ne vous en faite pas,  vous avez juste besoin d’expérience chère princesse, mais en attendant,  laissez ma maitresse prendre soin de vous.
 -  Je ne demande qu’à être expérimentée » répliqua cette dernière.

Elle se retint d’ajouter qu’elle ne voyait pas spécialement en quoi une femme qui ne pouvait être embrassée quasiment nulle part avait plus d’expérience qu’elle, ne voulant pas faire preuve de cet esprit sarcastique si typique des humains, et qui avait généralement tendance à fatiguer les autres espèces. Elle se comportait actuellement plus ou moins en soumise, mais était-il possible de faire autrement ? L’impatience gravit encore quelques échelles quand elle sentit les doucereuses mains de Tinuviel s’emparer de ses deux monts de chair, les serrant avec douceur et tendresse, non sans une certaine forme de fermeté. Alice était littéralement leur prisonnière, ne pouvant quasiment plus remuer, tous ses membres emprisonnés dans la grosse queue de Tinuviel, et elle ne put que faiblement tourner la tête quand les mains de Lorna s’approchèrent de sa nuque, caressant ce point sensible, cette concentration de nerfs. Alice en frémit, son corps remuant faiblement.

« Han, Tinuviel… Toutes les deux, vous… Oh, oh bon sang, vous allez me rendre folle ! »

Son intimité mouillait tendrement, et elle regarda à nouveau l’elfe rouge, qui palpait ses seins. Elle avait commencé doucement, mais ses mains s’accéléraient, pétrissant sa poitrine, la faisant vibrer, et Alice se mordilla les lèvres, ses joues rougissant du bonheur vif qu’elle ressentait. Ce plaisir devenait de plus en plus insoutenable, et elle continuait à remuer, à se tortiller faiblement, son intimité la faisant de plus en plus gémir.

« Par les Dragons, Tinuviel, j’i… J’ignore ce que vous… Ce que désires me faire, mais, bon sang, fais-le ! »

Elle était au bord de la rupture, sentant ses seins être compressés et remués dans tous les sens par cette terrifiante elfe.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le samedi 28 janvier 2012, 20:48:27
Oui, l’elfe pouvait être terrifiante  car ce qu’elle était entrain de faire était  semblable à de la torture, une torture psychologique  car elle ne ferait jamais de mal à quelqu’un sans son accord.  Mais cela était une autre histoire et l’elfe n’avait aucune  raison de faire  mal à la jeune princesse qui ne semblait pas vraiment adepte de ce genre de  pratique. Le visage de la jeune princesse était particulièrement radieux, enfin,  selon l’elfe.  Le fait que la jeune femme soit radieuse selon l’elfe était dut en grande partie au plaisir,  oui,  une femme proche de la jouissance était particulièrement séduisante.
L’elfe lâcha maintenant ses seins,  lui glissant doucement à l’oreille.


-Ma chère petite princesse,  si je vous dis ce que je souhaite vous faire cela ne vous avancera pas plus.  Mais je peux sous assurer que cela vous  apportera une jouissance particulièrement puissante.  Faite moi confiance, ma chère princesse.

Ses mains caressaient avec tendresse le visage de la jeune femme, les joues de la jeune princesses étaient maintenant la cible des douces mains,  rafraichissant doucement les  joues de la demoiselle.  Le froid  ferrait  encore une fois des merveilles, mais cela la jeune femme ne s’en rendrait pas compte,  pas tant que les mains de l’elfe seraient  sur le visage de la demoiselle.  Elle laissa finalement le visage,  laissant ses doigts descendre finalement sur l’aine de la demoiselle.  Elle  laissant doucement ses doigts sur cet endroit si sensible, voulant dire que  le supplice de la demoiselle toucherait à sa fin.
Elfe eut un petit sourire, et glissa doucement à la jeune princesse.


-Bien, maintenant je vais  m’occuper de vous.  Lorna,  Ma petite chérie,  tient bien notre princesse.  Elle risque d’avoir  quelques mouvements involontaires.

Elfe posa doucement sa bouche là ou se trouvait ses doigts autrefois.  Déposant quelques petits baisers sur cet endroit,  les lèvres charnues de l’elfe  s’avancèrent doucement de celle de la jeune femme.    Posant finalement celle-ci sur  les lèvres de la jeune femme,  lui faisant un baiser d’un type particulier.  Elle  sentait que la jeune femme ne restait pas de marbre face à ces caresses.  Elle lui laissa doucement un petit baiser,  avant de reprendre ses caresses.  Elle ne faisait que toucher les nymphes de la jeune femme.  Elle lui laissait  encore et encore monter l’excitation. 
Elle termina cela, prenant doucement le petit rubis de la demoiselle entre ses doigts.  Elle caressait doucement celui-ci avec une patiente infinie.  Elle  ne laisserait pas  la princesse atteindre la  jouissance si rapidement,  non cela serait bien trop facile.  Elle  s’occupait donc de  laissait redescendre le plaisir de la jeune femme.  Avant de le refaire monter.  Créant ainsi un cercle  vertueux,  du moins, de son point de vue,  car ce ne serait sans doute pas celui de la princesse.
Elle termina finalement,  caressant avec une grande dextérité le rubis, ses doigts dansant sur cette boule de plaisir.  Elle souriait, voyant la jeune femme se tordre de plaisir, maintenue avec difficulté par son amante.


-Alors petite princesse,  que pense tu de ma maitrise ?
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 29 janvier 2012, 01:21:31
Oh, il ne faisait aucun doute qu’Alice faisait confiance à Tinuviel. Le problème était ailleurs. Elle avait naturellement confiance en les capacités de Tinuviel à la faire jouir, mais elle avait aussi confiance en les capacités de Tinuviel à la faire souffrir, et Tinuviel pratiquait un savant mélange des deux. Sa Lorna immobilisait Alice, l’empêchant de se libérer, et c’est assez involontairement qu’elle tirait parfois pour essayer de libérer ses membres, afin de se caresser, tant la tension qui s’emmagasinait dans son corps était forte. Tinuviel finit par relâcher ses seins, et lui caressa les joues.

Alice frissonna, sentant les tendres doigts de la terrible elfe se promener sur ses dernières, les remuant, faisant remuer sa tête, continuant à la faire souffrir. Elle tendait sa langue pour frotter les pouces de Tinuviel quand ils s’approchaient, et ses yeux exprimaient, reflétaient le désir qui bouillonnait dans le corps de la Princesse, un désir prêt à rugir au moindre signal. Alice sentit alors les mains de Tinuviel relâcher ses joues, la laissant dans un état assez indescriptible. Tout résonnait dans sa tête, et elle sentait son cœur battre dans sa poitrine, tandis que les doigts de Tinuviel se posèrent sur son aine, une partie très sensible.

« Han ! » s’exclama d’un coup Alice.

L’elfe rouge encouragea ensuite Lorna à tenir la Princesse, et elle sentit la queue se resserrer, la faisant encore soupirer. La Princesse écarta les lèvres, et sentit le corps de l’elfe se rapprocher du sien, se collant doucement. L’eau dans laquelle elle baignait continuait à être tiède. La bassine disposait d’un système permettant de la réchauffer, continuant à maintenir Alice dans un état d’excitation perpétuel. Les lèvres parfaites de Tinuviel se posèrent sur la peau d’Alice, près de ses lèvres, faisant délicatement claquer sa joue. Le souffle précipité de la Princesse rebondissait sur le cou de l’elfe, et elle répondit avec envie au baiser de la femme, avant de sentir ses doigts glisser de son aine vers son trou de plaisir.

« Hnnnnnnnnnnnnnn ! » gémit à nouveau Alice, dans la bouche de Tinuviel.

Elle sentit les doigts experts de Tinuviel caresser son intimité, se faufilant à l’intérieur, heurtant son clitoris, son bouton de plaisir, répandant des sensations de plaisir intenses dans son corps. Elle se sentit se tendre, se mettant à mouiller, mais, alors que le plaisir montait, Tinuviel se débrouilla pour retirer ses doigts, cessant brièvement ses caresses, avant de recommencer, arrivant, presque comme par magie, à savoir quand Alice allait craquer pour arrêter son traitement, continuant à la rendre folle. Le corps de la Princesse se tordait contre la queue de Lorna, cette dernière peinant à se contrôler, des gouttes de sueur coulant le long de son visage, son corps remuant de plus en plus rapidement, comme pour se libérer de la queue de Lorna, alors qu’elle soupirait et trembler.

« Ah….
 -  Alors petite princesse,  que pense tu de ma maitrise ?
 -  Ah, ah, aaaaaahhhh… ! C’est… Oh, c’est… Hum… C’est horrible ! Je… Tu vas me rendre complètement folle, Tinuuuuu… »

Elle ne put achever, poussant un long soupir, avant de la regarder à nouveau, continuant à remuer. Son corps la démangeait, mais elle ne pouvait qu’admettre que la « maîtrise » de Tinuviel continuait à la surprendre. A chaque fois, cette dernière prouvait qu’elle était encore plus douée que ce qu’elle pensait.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le mercredi 01 février 2012, 20:04:19
L’elfe avait à présent, un grand sourire,  signifiant qu’elle prenait un malin plaisir à torturer ainsi la jeune princesse.  Cette méthode  était sans doute bien plus efficace que la douleur, mais l’elfe n’avait pas pour habitude  de s’en servir pour obtenir des informations.  Non, cette méthode élaborée par ses soins et après des années de pratique  avait pour but de récompenser les bons comportements.
Elle reprit quelques secondes ses caresses sur les joues de la petite princesse, regardant celle-ci, transpirante et  totalement à sa merci.  La jeune femme aurait sans doute fait tout ce qu’elle voulait si elle promettait de mettre fin à sa souffrance.  Mais cela aurait était bien trop facile. Non, elle allait faire en sorte que la jeune princesse se souvienne à tout jamais de ce que l’elfe allait lui offrir.  Cette expérience, la comblerait sans doute pour un bon moment.  Elle descendit encore une fois sa main, caressant avec vigueur les tétons de la pauvre princesse prisonnière de la douce lorna.  Lorna, qui en profita pour réclamer un baiser, que lui accorda la maitresse.  La princesse était maintenant prise en sandwich entre les deux jeunes femmes qui se bécotaient. Recevant de temps en temps quelques  caresses pour ne pas que sa libido ne redescende.

Elle lui glissa à ce petit moment, cette phrase au combien vrai.


-Te rendre folle oui,  mais cette folie n’est pas  dangereuse chère princesse.  Laisse-moi te faire visiter cette étrange sensation, cette part de ton esprit à la limite de la folie.
Elle lui remit doucement une mèche de cheveux en place.  Lui caressant la joue avec tendresse et  cruauté.  L’elfe pouvait être inquiétante,  dangereuse  et pourtant sa douceur et sa tendresse  faisait oublier cela.  C’était d’ailleurs le but. Faire découvrir à la princesse que le pouvoir ne se  résume pas à se faire craindre. 
Inconsciemment, la jeune princesse en retirerait peu être quelque chose.  Peut être pas,  mais une chose était sur,  elle en saurait sans doute un peu plus sur elle-même à la fin de cette séance de plaisir.

La mage rouge repris doucement ses  caresses,   transformant ses doigts en de longues plumes à la fois douces et chaudes.  Elle offrait des sensations des plus étranges et des plus agréables.   Enrobant la jeune princesse dans son royaume de douceur.   La princesse ne pourrait sans doute pas comprendre  la  transformation de la jeune femme et sans doute s’en moquerait elle.  En effet, ces plumes  étaient encore bien plus performantes que les doigts de la jeune femme d’une certaine façon.  Alors la princesse n’allait pas s’en  plaindre non ?  Et le pire était que ses plumes  s’avançaient doucement mais  surement vers l’antre des plaisirs de la jeune princesse.  Autant dire que celle-ci passerait un très bon moment dans les secondes à venir.
Elle glissa doucement à l’oreille de la jeune princesse.


-Alors ma chère tu es prête  pour  un aller simple au septième ciel ?
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 01 février 2012, 22:33:51
C’est un plaisir difficilement quantifiable qui s’abattait sur les frêles épaules d’Alice. Immobilisée par Lorna, cette dernière était dans l’impossibilité de bouger, et était toute soumise à Tinuviel. Elle ne pensait pas que Lorna pourrait faire preuve d’une telle résistance. Peu importe ce que la Princesse tentait de faire, les poils de Lorna continuaient à se serrer sur elle, l’immobilisant sensiblement. Tinuviel continuait à lui caresser des joues, mais ce qui suivit fut encore plus insoutenable. Les deux femmes se regardèrent, et Tinuviel se pencha vers Lorna, l’embrassant avec tendresse, compressant Alice entre les deux. C’était dur ! Très dur ! Elle n’était pas étouffée, bien sûr, juste comprimée dans un cocon de douceur, entendant dans ses oreilles le bruit de leurs mastications, de leurs lèvres se caressant, de leurs langues se frôlant, de leurs soupirs, de leurs corps remuant contre le sien. Elle tenta d’hurler son supplice, mais sa tête était coincée entre les seins de Tinuviel, tandis que l’elfe rouge, utilisant l’une de ses mains, titillait l’un de ses tétons.

« HMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM !!! » gémit Alice, sous la pression de ses seins.

Elle remua lentement la tête, et sentit la pression des poils de Lorna se refermer sur ses bras, continuant à l’immobiliser, à la tirer lentement en arrière, la faisant frémir. Tinuviel et Lorna finirent par cesser ce baiser insupportable, tant il était délicieux. Alice ne pouvait s’empêcher de les jalouser, et vivait une série de sentiments contradictoires. Colère, frustration, jalousie, bonheur, désir, impatience, impuissance… Ils se mélangeaient tous dans sa tête pour la rendre dans un état pathétique, mais elle sentait bien que Tinuviel n’en avait pas encore fini avec elle, avec son corps délicieux.

Tinuviel alla alors lui parler dans le creux de l’oreille :

« Te rendre folle oui,  mais cette folie n’est pas  dangereuse chère princesse.  Laisse-moi te faire visiter cette étrange sensation, cette part de ton esprit à la limite de la folie. »

Elle en frémit, et répondit, sur un ton essoufflé.

« Je… Je suis incapable de t’en empêcher… »

Les doigts de Tinuviel changèrent alors de forme, prenant la forme de belles et fines plumes qui se promenèrent sur le corps d’Alice, la faisant à nouveau gémir. Elle continuait à mouiller, sentant sa cyprine rouler sur ses jambes pour se diluer dans l’eau qui l’entourait. Alice redevint ce qu’elle était depuis… Depuis combien de temps ? Dix minutes ? Une heure ? Elle avait l’impression d’être prisonnière de Tinuviel depuis des années, ne se rappelant que difficilement comme elle s’était retrouvée là, tant elle se sentait ailleurs. Elle poussa des soupirs et des gémissements en sentant les plumes la caresser. Au lieu de la chatouiller, ces dernières étaient si douces qu’elles excitaient encore plus la Princesse, ou, plutôt, l’aidaient à maintenir son niveau de plaisir.

Alice continuait à tirer sur les liens de Lorna, ayant de plus en plus mal à penser à autre chose que son trou. Elle voulait BAISER, et ce mot commençait à prédominer sur tous les autres. Le sang du dragon explosait dans ses veines, et elle secoua la tête, continuant à tirer sur les liens, avant de sentir des frissons quand les plumes s’approchèrent de son intimité. Elle serra les lèvres, afin de ne pas dire d’injures, les serrant si fort que des larmes de frustration roulèrent sur son visage rouge. Elle avait l’impression que son intimité allait exploser sous cette torturé qu’elle subissait. Elle entendit alors Tinuviel lui murmurer dans le creux de l’oreille une phrase qui lui fit l’effet d’une bombe :

« Alors ma chère tu es prête  pour  un aller simple au septième ciel ?
 -  Oh ouuuiiii, ouiiii, ouiii, OUI ! Mille fois oui, je t’en prie, j’en… Oh, j’en peux plus, si tu savais comme… Oh, allez, dépêche-toi ! »

Elle ignorait où Tinuviel voulait en venir, ce qu’elle voulait lui faire comprendre par là. Réfléchir était un luxe qu’Alice ne pouvait vraiment se permettre.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le jeudi 02 février 2012, 12:04:03
L’elfe avait en son pouvoir la jeune fille et elle devait avouer que cela était très agréable pour elle,  sans doute moins pour la princesse qui languissait déjà depuis une  bonne dizaine de minutes, même si selon elle, cela devait faire des heures.   Elle pouvait également sentir, grâce à la magie rouge, que la pauvre princesse était en ce moment prise dans un flot de sentiments  contradictoires.  Elle était à la fois  heureuse de ce qu’elle était entrain de vivre, et pourtant  elle en pleurer de frustration,  de colère et d’envie. 
L’elfe, se savait sadique à cet instant, extrêmement sadique même,  mais pourtant, elle allait encore continuer un peu ce jeu  auquel la princesse n’était qu’à moitié consentante.  Elle  posa doucement sa main gauche sur la nuque de la jeune femme, laissant ses doigts reprendre la place des plumes.  Elle ne dit rien, se contentent  de rester comme cela.   Sa main gauche sur la nuque de la jeune femme,  et ses plumes droites  sur l’aine de la jeune demoiselle qui remuait encore et toujours  alors que Lorna avait de plus en plus de mal à la gérer correctement. 
Il était temps de calmer la dragonne sauvage et indomptable qui s’était réveillée.  Sa main caressait avec tendresse la nuque de la jeune femme, calmant peu à peu le sang de dragon.  Elle ne  calmait cependant pas le plaisir, mais plutôt, la partie sauvage qui en demandé plus.  Elle voulait qu’à ce moment,  la princesse découvre que l’amour ne se résume pas à une simple baise bestiale. Mais plutôt à un moment bien plus fort encore de tendresse, de patience et de plaisir.
Elle lui embrassa doucement le front, avant de  laisser glisser ses doigts le long de la colonne vertébrale de la jeune femme,   laissant ses doigts enflammer encore une fois ses sens, alors que les plumes de rapprochait de plus en plus des lèvres intimes de la jeune princesse, qu’elles caressaient maintenant avec  douceur et délicatesse.

Elle s’arrêta quelques secondes, laissant la princesse reprendre ses esprits,  ou dut moins le peu qu’il lui restait.   

Elle  embrassa encore une fois la jeune princesse, alors que les plumes duveteuses  caressaient maintenant  le petit bouton rosé de la jeune femme,  provoquant des  décharges de plaisir  dans le corps de la Petite Alice qui en voudrait sans doute plus.  En effet, cela n’était qu’un avant gout d’un orgasme qui, lorsqu’il se déchainerait aurait la même puissance qu’une tempête dans l’esprit de la jeune femme.  Oui,  mais pour cela, il faudrait que l’elfe accepte de le libérer,  et apparemment, elle n’y était pas décidé.    Elle regardait le visage rougie d’envie de la pauvre princesse,  comprenant qu’elle avait maintenant dépassée la limite de ce qu’elle pouvait supporter.  Maintenant, elle devait vraiment lui accorder ce  qu’elle lui promettait. Sinon,  la princesse allait vraiment sombrer dans la folie.

Elle  retransforma finalement sa main   en un organe plus adapté à ce qu’elle allait faire,  prenant maintenant le clitoris de la jeune princesse entre deux doigts experts. Le comprimant avec  une certaine puissance, juste ce qu’il fallait pour faire monter peu à peu le plaisir.    Elle pratiquait véritablement un massage sur cette zone si sensible,  heureusement d’ailleurs qu’elle le faisait à travers la peau protectrice de ce petit bijoux,  sinon…
Sinon la jeune princesse aurait déjà touché le septième ciel.  Hors, pour l’instant, l’elfe lui laissait le temps de se rendre compte de ce qu’elle était entrain de faire.  Elle lui laissait prendre le plaisir dont elle avait besoin.     Enfin … Pour le moment.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 02 février 2012, 13:33:39
Ce que ces elfes pouvaient être pénibles ! Alice comprenait mieux les préjugés et les rumeurs qu’on disait sur eux. Qu’attendait donc Tinuviel pour la satisfaire ? Loin de vouloir offrir à Alice ce qu’elle estimait avoir dûment mérité, l’elfe rouge continuait à délicieusement la torturer. Alice n’en pouvait tout simplement plus, et sentir les plumes caresser sa nuque lui faisaient l’effet d’un extincteur tentant courageusement d’éteindre le feu de forêt qui se mettait à envahir son esprit. Elle frémissait d’impatience, soupirant. On ne la battait pas, son corps ne souffrait pas d’ecchymoses ou de contusions, mais elle avait pour autant mal, et grognait et grommelait. Les plumes de Tinuviel étaient posées sur son aine, une zone sensible, et, loin de la calmer, de réfréner ses ardeurs, tout ce que faisait Tinuviel ne contribuait qu’à assoiffer encore plus Alice. Tout ce qu’elle retenait, pour le moment, c’était de ne plus coucher avec des elfes, vu leur propension à faire impatienter au-delà de ce qui est admis les autres espèces. Oui, Alice était capricieuse et impatiente, et oui, elle en voulait logiquement à Tinuviel de la mettre dans un tel état. Elle se sentait frustrée et humiliée, et ressentait deux pensées contradictoires : celle de gifler Tinuviel en partant, et celle de la supplier de cesser de tourner autour du pot. Pour oser mettre une Princesse dans cet état, il fallait quand même avoir du culot.

Elle sentit Tinuviel l’embrasser, la faisant frémir, alors qu’elle continuait à tirer sur la queue de Lorna, maudissant plus que jamais son corps faible, son absence de muscles. Si elle avait les mêmes muscles que son Père, elle aurait pu se libérer aisément, au lieu d’être prisonnière. Le baiser se rompit, et Alice poussa un autre soupir, avant de finalement sentir Tinuviel, après une éternité, daigner la caresser là où il fallait.

Alice sentit deux doigts de Tinuviel se glisser en elle, jouant avec son bouton de plaisir, son clitoris impuissant, et elle sentit des frémissements la parcourir. Des larmes de plaisir roulèrent alors sur ses joues, et elle se détendit d’un coup, basculant sa tête en arrière dans un long soupir, heurtant du coup le corps de Lorna à hauteur de sa poitrine. Tinuviel ne se contentait pas de simplement faire des vas-et-viens, utilisant ses savants doigts pour masser cette zone, provoquant des décharges électriques dans le corps de la Princesse.

« Ah… Aaaaah, hum… Comme c’est… Hannnnnn… Oh oui », dit-elle d’une voix assoupie, absente.

Son intimité se mit à nouveau à mouiller, alors qu’elle avait le sentiment de flotter sur un nuage, et laissa sa tête contre le corps de Lorna, se sentant absente, loin, perdant peu à peu pied avec la réalité, sentant vaguement ses membres prisonniers. Tout son corps en rut se soulageait et se détendait, et un sourire épanoui se dessina sur ses lèvres.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le jeudi 02 février 2012, 18:17:54
L’elfe était entrain de jubiler,  la jeune princesse  sauvage et fière était totalement à sa merci et elle en profitait d’ailleurs un peu.  Au certes, elle n’avait maintenant plus aucune illusion sur ce que retiendrait la princesse de cette expérience des plus étranges mais au moins elle  se souviendrait sans doute à jamais de cette expérience comme l’une des plus frustrante et donc des plus plaisantes qu’elle vivrait.
Elle avait vu la petite larme du au plaisir  et à la joie couler sur son visage mais elle ne s’en préoccupait pas,  non cette larme n’était pas de la peine ni de la souffrance, alors elle n’avait pas besoin de la lui lever, au contraire, elle parait magnifiquement la jeune princesse.  Maintenant totalement  calme.  Elle eut un petit sourire,  embrassant doucement le front de cette  jeune demoiselle alors qu’elle continuait avec  douceur ce petit massage sur son bouton d’amour. Elle  pouvait voir dans la voie tremblante de la jeune femme tout le plaisir qu’elle était entrain de prendre par celui-ci.  Et surtout, elle pouvait voir que la frustration qu’elle lui avait infligé jusqu’à présentant était entrain de disparaitre preuve qu’il n’y avait rien de mieux qu’un bon massage pour faire disparaitre les tentions.
La main, sur la joue de la jeune femme était maintenant revenue sur sa poitrine plus dure que le roc, caressant avec  une certaine  envie celle-ci.  Le geste était précis, vigoureux et  puissant.  Il n’était pourtant pas  violent ni sauvage.  Non,  elle était une elfe et cela voulait dire qu’elle était capable de se maitriser,  mais on pouvait voir que la mage rouge s’était prise au jeu, et la voix gémissante de la princesse y était surement pour quelque chose.
Elle déposa finalement sa tête sur l’antre intime de la jeune princesse.  Se saisissant de son bouton d’un geste  au combien excitant,  elle enroula sa langue autour de celui-ci, faisant maintenant varier les sensations au  rythme des caresses linguales qu’elle imposait à sa prisonnière.  Oui,  si elle ne trouvait pas le chemin pour le septième ciel maintenant, alors c’était que sa résistance était sur humaine. Car personne ne pouvait résister à cette botte spéciale.  Elle  savait que d’ici quelques secondes, la princesse   viendrait…   Mais combien de temps pouvait-elle encore tenir ?
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 03 février 2012, 16:51:16
C’était bon. Bon et doux, parfait et délicieux. Alice se sentit s’évader, soupirant et gémissant. Elle sentit Tinuviel l’embrasser sur son front, et poussa un autre long soupir. Des frissons traversaient son corps, et elle murmurait.

« Oh, comme c’est bon, Tinuviel… Oh oui… Hummm… »

Une main se pressa sur l’un de ses seins, et Alice poussa un nouveau soupir, long et langoureux, remuant faiblement. Elle ne cherchait plus à se libérer, tant elle se sentait apaisée et soulagée, et se cala confortablement contre le corps de Lorna, baignant dans l’eau, sentant la mage rouge caresser avec une douceur infinie son intimité, titiller ce bouton rose de plaisir, l’excitant follement.

Finalement, la mage rouge retira sa main, et Alice se mit à craindre qu’elle ne cherche à nouveau à la faire souffrir. Elle en rouvrit les yeux, mais sentit le corps de Tinuviel se glisser sur le sien. Sa tête finit entre ses cuisses, et Alice poussa un petit cri de plaisir, qui se mua en un cri plus violent. Son corps se détendit d’un coup, car elle sentait la langue de Tinuviel jouer avec son clitoris.

« Haaaaaa !!! » soupira Alice.

Sa tête bascule à nouveau en arrière, et elle sentit son corps se tendre. Il ne fallut que quelques myriades de secondes, moins d’une minute à vrai dire, pour qu’Alice ferme les yeux et s’abandonne enfin à son plaisir suprême, son extase. Elle en pleurait de soulagement, alors qu’elle sentait tout son corps se relâcher, toute la tension s’évacuer. Sa mouille explosa au visage de l’elfe rouge, alors qu’Alice sentit son cri final se muer en un soupir. Son bassins e tendit en avant, son corps se cambrant, et elle jouit, crachant sa mouille, remuant lentement son corps, au fur et à mesure qu’elle se sentait s’abandonner, voler au loin. L’ensemble ne dura que quelques secondes, mais ce fut si intense pour Alice qu’elle se sentit presque renaître, sentant toute la frustration que Tinuviel avait provoqué en elle disparaître, ce désir insatisfait contribuant à la rendre heureuse et sereine. La Princesse flottait sur un nuage de félicité, se sentant loin, heureuse, heureuse, si épanouie, tellement épanouie.

« Oh, je me sens bien… finit-elle par soupirer. Comme… Comme c’est agréable… »

Comment avait-elle pu se sentir mal ? Comment avait-elle pu se plaindre de ce qu’elle subissait ? Lorna la collait, la blottissait dans un cocon de plaisir, tandis que l’elfe rouge était près d’elle. L’eau était chaude, tellement chaude, et elle se sentait rassérénée. Un sourire enfantin éclairait son beau visage.

« Je dois être au Paradis… » songea-t-elle.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le vendredi 03 février 2012, 18:26:30
L’elfe  était  étonnamment  surprise du temps qu’il avait fallut pour la jeune princesse pour jouir.  Presque une minute, le score était tout à fait honorable vu l’état dans laquelle elle se trouvait.  Elle ne broncha pas lorsque le liquide de plaisir de la jeune femme  se retrouva sur son visage,  preuve que la jeune princesse avait reçut un orgasme des plus plaisants.  Elle se retira des cuisses de la princesse, laissant la jeune princesse reprendre peu à peu connaissance.
Elle  eut un petit sourire, contemplant la jeune femme,  avant de faire un peu de toilette récupérant un peu d’eau dans la baignoire et se la passant sur le visage,  nettoyant ainsi les traces de la jouissance de la  noble.  Elle avait fait du bon travail vu l’expression béate qu’avait la petite princesse en ce moment,  elle devait se sentir  heureuse et surtout  entière.  Elle  était bien plus mignonne comme cela, oui, maintenant elle était comme il le fallait.  Elle eut un petit sourire,  caressant doucement le visage de la jeune femme encore sur son nuage,  déposant un  petit baiser sur  le front de la princesse,  la laissant redescendre à son rythme.
L’elfe fit un signe à la jolie kitsune, qui relâcha finalement son étreinte. Elle  passait cependant sa queue sur la jambe de la princesse comme un signe d’affection.  L’elfe prit doucement la jeune princesse dans ses bras, lui caressant les cottes alors que celle-ci semblait de nouveau apte à la répondre correctement au question que lui poserait la jeune elfe.  Elle commença  par une petite question toute simple.  Le genre de chose dont elle connaissait déjà la réponse, enfin normalement la réponse.


-Alors ma petite princesse, que pense tu de mes talents ?  J’espère que notre petit jeu ne t’a pas paru trop long. Cependant, je voulais te montrer que parfois l’attente peut avoir du bon.  Bien, maintenant que tu es de nouveau sur pied et que tu es enfin  redescendue de ton petit nuage, est ce que tu m’en veux toujours d’avoir fait durer le plaisir, ou est ce que tu comprends que cela peut être également  profitable ?
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 04 février 2012, 12:10:56
Apaisée, c’était effectivement l’état dans lequel Alice se trouvait. Extrêmement soulagée, elle flottait légèrement, et sentit vaguement Lorna la relâcher. Retrouvant l’usage de ses membres, elle ne se sentit qu’encore plus libérée. Elle sentit Tinuviel l’embrasser sur le front, mais parler lui semblait alors être un exercice particulièrement difficile. L’elfe rouge attendit patiemment, avant de finalement saisir entre ses bras parfaits le corps d’Alice, qui se blottit contre elle, posant une main sur l’un des très attirants seins de Tinuviel, et l’autre sur sa nuque. Elle se sentait inexplicablement bien entre les bras de l’elfe rouge, et celle-ci lui parla alors, de sa voix douce et sensuelle, lui demandant, non seulement si Alice admirait ses talents, une question relativement rhétorique, de son point de vue, mais aussi si elle ne lui en voulait pas. La Princesse ne se souvenait pas d’avoir injurié Tinuviel pendant cette séance. Il était probable qu’elle ait réagi comme bien des amants de Tinuviel. Faire l’amour avec cette femme était quelque chose d’éprouvant, non pas sur le plan physique, mais sur celui du plaisir lui-même. Elle lui sourit donc légèrement, relevant ses jambes pour les enrouler autour du bassin de l’elfe, à hauteur de ses belles fesses, massant l’un des seins de la mage rouge.

« Je crois que c’est une constante, chez les elfes, de se faire autant haïr qu’aimé. »

Elle embrassa Tinuviel sur la joue, restant collée à elle.

« Je ne te cacherai pas avoir éprouvé des pensées meurtrières à ton sujet, mais, maintenant, je me dis que ce n’était qu’une réaction de Princesse capricieuse, avoua-t-elle, continuant à tendrement l’embrasser. Je crois que j’envie et adore tes talents, sans savoir ce qui est le plus fort. Mais une chose est sûre : toi, je t’adore. »

Disant cela, Alice embrassa Tinuviel sur les lèvres, un tendre baiser, savourant le contact de ses lèvres. Elle replia alors ses jambes, et préféra glisser l’une de ses mains vers le postérieur de l’elfe, caressant son joli dos, avant de finir sur l’une de ses superbes fesses, à l’image de son corps. Elle la caressa lentement, interrompant son baiser pour lui parler.

« Et toi, Tinuviel ? A moins que je n’ai raté un épisode, tu… Tu n’as pas eu droit à ta jouissance, glissa-t-elle. Ce n’est pas parce que tu es une elfe que le droit à la jouissance t’est retiré. »

La Princesse embrassa à nouveau Tinuviel, continuant à la caresser. Elle avait beau avoir joui, elle ne tenait pas encore à aller se coucher. Elle se sentait relativement bien dans ce bain, avec Lorna qui avait glissé sa queue sur son corps, et Tinuviel qui la serrait contre elle.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le samedi 04 février 2012, 18:20:11
L’elfe se contenta d’un petit sourire alors que la jeune princesse se laissait doucement  aller dans les bras de la jeune femme.  Elle semblait être vidée par l’expérience qu’elle venait de vivre.  Cela, elfe le comprenait, elle savait que  généralement ses amants et amantes avaient du mal à supporter une telle torture.  Elle se contenta donc  de lui sourire, entendant avec un certain plaisir que la jeune princesse avait adoré ce savoir faire comme elle l’adorait elle.  Elle se contenta de  la laisser faire,  de lui offrir un petit moment de tendresse après cette expérience si  puissante d’après ce qu’elle avait put en percevoir.

Elle eut un petit sourire en voyant la jeune princesse se préoccuper d’elle.  C’était gentil de sa part, mais cela n’était pas réellement ce qui importait pour elle,  si elle voulait jouir, elle aurait put le faire cinquante fois déjà. Mais non,  ce n’était pas son but.  Elle remercie cependant la jeune princesse de s’inquiéter de cela, en l’embrassant doucement sur la bouche,  souriant ensuite d’un air taquin, et lui glissant doucement à l’oreille.


- Le fait que tu es voulu me tuer, ne m’étonne pas.  Tu n’es pas la première d’ailleurs,  mais bon toi au moins tu n’es pas passé à l’acte.

Elle eut un petit sourire, oui, une bonne partie de ses amantes avaient déjà  tenté de lui trancher le cou, ou bien de la transpercer.  Mais cela ne l’empêchait pas de les adorer.  Enfin, c’était très compliqué, et la jeune princesse aurait sans doute besoin de  rentrer dans le harem si elle voulait comprendre cette histoire.  Elle continuait à caresser les courbes harmonieuses de la jeune demoiselle, prolongeant quelques temps encore le moment ardant qu’elle venait de passer.
Elle lui posa doucement l’index sur la bouche et lui susurra avec sensualité.

- Ma jouissance n’est finalement qu’une  chose secondaire.  Je suis capable de me contenter de ce que j’ai vécut à travers toi.   Tu peux me voir comme une espèce de succube… Hormis le fait que je n’en ai pas besoin pour vivre.   Bien, repose-toi… Tu  as encore besoin d’un peu de calme, le temps que ton corps récupère.

Elle avait un petit sourire, lui offrant doucement  une petite caresse.
Elle espérait que la demoiselle comprenait ce qu’elle voulait dire mais cela n’était peut être pas important que la  jeune demoiselle ne le comprenne pas.  Elle lui expliquerait en temps voulu.  Pour l’instant, il y avait de nombreuses autres choses à faire. Notamment se reposer un peu. Elle sourit doucement avant de  la tirer contre elle. Lui offrant encore quelques minutes de tendresse.   La princesse ne comprenait pas encore toute l’importance de l’après acte.  Mais peut être qu’un jour, elle   vivrait elle aussi le bonheur d’être aimé comme lorna l’aimait elle…
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 04 février 2012, 20:01:07
Ça avait été épuisant. Alice devait au moins reconnaître que Tinuviel ne se trompait pas sur le diagnostic qu’elle faisait de son corps. Jouir avait été terrible. Bien pire qu’avec Cirillia. La femme n’avait pas cherché à faire autant patienter Alice quand elle lui avait ôté sa virginité, mais Tinuviel, elle, avait agi de manière bien plus… Sadique ? Professionnelle ? Expérimentée ? Elfique ? Alice ne saurait vraiment dire quel terme qualifier le mieux son comportement, mais elle était au moins convaincue qu’elle ne tenait pas à renouveler l’expérience de sitôt. Bizarrement, Tinuviel refusa la proposition de la Princesse de l’aider à succomber au plaisir, affirmant que l’avoir vu jouir avait été un plaisir suffisamment immense pour qu’elle se passe de son orgasme. Dubitative, Alice n’insista pas. On disait les elfes étranges, on ne se trompait pas énormément. La Princesse haussa les épaules.

« Comme tu veux, Tinuviel… Je ne te forcerai pas, j’en serais bien incapable… »

Avant de se retirer, et de les laisser seules, la Princesse tint néanmoins à préciser un détail, et, continuant à rester proche de l’elfe rouge, elle poursuivit donc, posant également un doigt sur les belles lèvres de la mage rouge, les caressant, en développant.

« En revanche, la prochaine fois… Je veux que ce soit moins… Que tu sois moins dominatrice. C’est que j’ai toujours eu envie de goûter à la mouille des elfes, moi », glissa-t-elle sans ombrages.

Elle s’écarta un peu, se défaisant, presque à regret, de la chaude étreinte de Tinuviel, et se releva. En se redressant, elle eut un petit vertige. Se tenir sur ses jambes… Elle en avait des espèces de fourmis dans les pieds, et elle se retira du bassin. Avisant Lorna, elle prit délicatement l’une des mains de la kitsune, se rappelant très bien qu’elle ne devait pas trop l’embrasser, et se contenta de poser ses lèvres sur le dos de sa main.

« Je vous remercie pour ce très agréable et très éprouvant moment, autant toi, Lorna, que toi, Tinuviel Lastrim. La petite Princesse que je suis est maintenant assez fourbue, et je pense qu’il es temps pour moi d’aller m’occuper du bébé dragon, et de vous laisser un peu entre vous. »

Sur un humble sourire, Alice se redressa, se retourna, et marcha vers une serviette, s’enroulant dedans, puis s’éloigna. En soi, elle n’allait pas très loin, allant dans la chambre d’à côté… Pour constater que le bébé dragon ne s’y trouvait pas. Un son diffus vint alors à ses oreilles. Retournant dans le salon, elle vit, près de la baie vitrée close la silhouette du dragon, sur une table. Souriant légèrement, Alice se rapprocha, ses pas feutrés mouillant le sol. Par la fenêtre, elle aperçut le spectacle musical, en contrebas. « Muscial » était un peu réducteur. Il y avait bien de la musique, mais aussi des danseurs, des acrobates, des lanceurs de feu, qui se mêlaient à une petite foule. Depuis les balcons et les fenêtres, des parents observaient, tandis que les enfants couraient dehors, observant là un cracher de feu répandre une longue flamme. Le bébé dragon tentait parfois de faire de même, mais son regard oscillait surtout vers les imposantes montagnes qu’on observait. Un bref sourire aux lèvres, la Princesse caressa l’échine du bébé dragon.

« Ne t’en fais pas, petit dragon, tu retrouveras tes parents dehors. »

Le bébé dragon poussa un petit grognement, un miaulement qui devrait sûrement, un jour, ressembler à un grondement. Elle prit le bébé dragon, inoffensif, entre ses mains, mais ce dernier ne tarda pas à agir tout seul. Elle sentit les griffes de la créature s’enfoncer doucement dans sa peau, la faisant sourire, et il se cala à hauteur de son épaule. Avec ce curieux passager, Alice s’affala dans le lit qui traînait sur le salon. Elle aurait bien voulu aller dehors, mais elle était trop fatiguée. Tinuviel l’avait complètement tué, et dormir devint très tentant. Elle tenta de s’emmitoufler dans les couvertures, mais finit par fermer les yeux, et n’eut bientôt même plus la force de les rouvrir.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le samedi 04 février 2012, 21:34:18
Dire que l’elfe avait agit de manière sadique aurait était un peu fort,  non, elle avait juste était elle-même, c'est-à-dire quelqu’un de relativement dominant.  Cela pouvait plaire, comme cela pouvait être vécut comme une torture,  mais généralement même si les expériences étaient relativement dures,  personne ne s’était jamais plain de leurs conclusions.   Et son comportement n’avait rien d’étrange.  En effet, cette fois si, elle était relativement rassasié de ce coté.  Oui, l’elfe avait déjà fait le plein de magie rouge,  le plaisir, elle l’avait ressentit dans ses veines,  rechargeant son potentiel magique comme s’il coulait dans ses veines.  Elle était plus forte que jamais, prête à affronter les pires des adversaires. 
Mais aujourd’hui, il n’y avait rien à combattre.  Non,  elles passeraient la nuit à l’abri dans une petite auberge, chose qui mine de rien, était reposant.
L’elfe eut un petit sourire, lorsque la jeune princesse lui dit qu’elle aimerait gouter à sa mouille,  cela pourrait peut être s’arranger à leurs prochains petits jeux.  Qui sait, il se pourrait même que l’elfe, dominatrice de son état se révèle être une soumise tout à fait agréable.
Elle eut un petit sourire, en pensant cela. Laissant la princesse s’occuper du jeune dragon. Elle, elle devait s’occuper de Lorna, qui jusqu’à présent, n’avait eut le droit qu’à un amuse gueule.  Elle aussi, elle voulait que l’elfe s’occupe d’elle. Elle avait déjà attendue trop longtemps et même si elle avait passé un très bon moment avec la jeune princesse. Elle voulait vraiment que l’elfe passe un moment plus intime avec elle. Elle se rapprocha doucement de l’elfe, avant de lui glisser à l’oreille ce qu’elle aurait voulu faire. 
Elfe se contenta d’un petit sourire, faisant apparaitre une longue bande de tissue avec laquelle elle bâillonna la jeune femme.  Durant plus de deux heures, l’elfe s’acharna sur la pauvre kitsune.  Le tissu suffisant à peine à atténuer les cris de plaisir que la jeune Lorna avait poussé durant  toutes la séance.  Durant deux heures, l’elfe avait utilisé des techniques à faire rougir les plus puissants succubes.  Pourtant, elle n’avait pas eut  recourt à la violence, elle n’avait pas eut recourt à la douleur. Non, juste de la tendresse et son savoir faire.    La pauvre Lorna qui semblait si timide et si prude, était dans le plaisir, une autre femme.  L’elfe le savait bien mais bon cela ne regardaient qu’elles.

Au bout des deux heures,  la jeune femme relâcha finalement la jeune kitsune.  Elle était déjà à moitié endormie,  épuisée par les jouissances successives que l’elfe lui avait imposées.  Celle-ci, la nettoya donc rapidement, histoire d’effacer en partie les traces de plaisir qui ornait la jeune femme. Et la  porta délicatement vers un des lits.  Elle la borda doucement, lui embrassa le front.  La pauvre Kitsune s’endormie immédiatement.   Puis, l’elfe  partie voir la jeune princesse et le dragonneau. 

la scène avait quelque chose de mignon.  Le bébé et la jeune femme dormait d’un sommeil lourd et profond.    Elfe eut un petit sourire,  récupéra une couverture que la jeune femme avait sans doute fait tombée et lui placa sur le dos. La jeune femme devait avait froid nue comme cela.  Elle  l’observa quelques secondes avant de  préparer le petit déjeuné pour le matin suivant.   Elle ne savait pas si on la livrerait et même si c’était le cas, cela ne la déranger pas.  Les deux femmes auraient besoin de beaucoup manger.
L’elfe termina finalement.  Il était tard mais cela ne la dérangeait pas plus que cela.  Elle posa finalement un dernier coup d’œil sur l’extérieur.  Les étoiles brillaient  avec tellement de  force C’était splendide.    Elle  resta cinq bonnes minutes à les contempler.  Et partie finalement se coucher.   Il était relativement tard  lorsqu’elle fut réveillée par un bruit.  Elle se réveilla d’un bond, ne sachant pas d’où il venait…  Mais une chose était sur,  ce bruit n’était pas normale.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 04 février 2012, 23:27:23
Alice trouva assez facilement le sommeil, mais se réveilla de temps en temps, ou eut du moins la sensation de se réveiller. Elle entendit vaguement les soupirs et les gémissements des deux femmes occupées dans la baignoire, mais se rendormait généralement assez vite, si tant est qu’elle ne se souvint de pas grand-chose. La Princesse se contenta de dormir, sentant le dragon lové sur elle, sa tête posée entre ses seins, soufflant lentement sur l’un de ses seins. Elle ne sentit pas plus Tinuviel la recouvrir. Quand cette dernière en eut fini avec Lorna, le concert était terminé, et on n’entendait plus grand-chose dehors. La nuit s’était abattue, et un ciel étoilé brillait fièrement dans le firmament. La Princesse, elle, dormait paisiblement, et sentit le dragon remuer sur elle. Il se redressa, et mordilla la peau d’Alice. Aucune réaction notable. Le dragon souffla, et recommença à la mordre. Dans l’escalier, quelqu’un montait lentement, veillant à ne pas faire trop de bruit, dans la pénombre. Le dragon mordit encore.

« Hunn… » soupira faiblement la jeune femme.

Le dragon sentait quelque chose qu’Alice ne sentait pas, une menace indicible, et mordit à nouveau la douce peau de la Princesse, un peu plus fort. Celle-ci poussa un petit cri en se redressant légèrement.

« Mais qu’est-ce… ?!
 -  Kssss… !
 -  Mais où est-ce que je suis ? » songea Alice.

La mémoire lui revint rapidement, et elle secoua la tête, étouffant un bâillement. Le dragon la mordit à nouveau, et elle protesta.

« Veux-tu arrêter tout de suite ! le réprima-t-elle.
 -  Kssss ksss ! continua ce dernier, têtu.
 -  Mais qu’est-ce que tu as ? soupira-t-elle. Nous irons demain matin dans les terres des dragons. Maintenant, dors, vilain dragon, et laisse-moi me reposer », murmura-t-elle.

Alice bâilla à nouveau, mais le dragon continuait à sautiller sur le corps de la Princesse, dressant ses prémices d’ailes en grommelant. La porte s’ouvrit alors très légèrement, et le dragon bondit, bondissant si fort qu’il chut sur le sol.

« Arrête ça tout de suite ! » siffla la jeune Princesse.

La porte s’ouvrit alors pour de bon, et la Princesse tourna la tête. Un reflet lunaire éclaira la lame d’une dague, et elle réprima un cri de terreur en voyant deux hommes entrer.

« V’là ce putain de dragon… marmonna l’un des deux.
 -  Et une poupée au passage… »

Les deux hommes s’avancèrent silencieusement, en ricanant. Les voyant, le bébé dragon se mit à grogner, et Alice essaya de se calmer.

« Qui… Qui êtes-vous ?
 -  On vient pour le dragon, expliqua l’un des hommes. Le Drow nous a d’mandé de le récupérer, mais j’crois qu’on va bien s’amuser avec toi… »

La panique monta dans l’esprit de la Princesse, qui n’en laissa toutefois rien paraître, et décida de parler d’une voix claire, alors que la moitié de son corps nu était visible, vu qu’elle était redressée sur le lit. Elle ne pouvait pas le savoir, mais ces deux hommes faisaient partie d’une bande de mercenaires, des raiders, des pirates qu’on trouvait généralement dans les contrées sauvages. Néanmoins, compte tenu de la proximité de Sylvandell avec ces régions hostiles, il arrivait parfois que des raiders passent par des dédales isolés pour entrer dans les baronnies. Le Drow, soit un elfe noir, était le responsable de ses opérations, consistant à voler un œuf de dragon. S’infiltrer dans la terre des dragons était un exercice particulièrement difficile, et dérober un dragonnet tout autant, mais il avait réussi. Les Drow étaient connus pour réussir à s’infiltrer dans les endroits difficiles, mais il n’avait pas réussi indemne. Les dragons l’avaient repéré, il y avait eu une poursuite, et il avait lâché le bébé dragon, réussissant à survivre en passant par le lac de Sylvandell. Le bébé dragon était parti dans l’eau, atterrissant dans la forêt, où il avait fini par éclore. Tout cela, Alice l’ignorait, et, tout ce qu’elle voyait, c’était deux mercenaires. Le premier portait une arme blanche, et le second une arme à feu, un pistolet tekhan.

« Je vous conseille de vous rendre ! »

Les deux hommes rirent à cette idée, et elle vit le canon de l’arme pointé sur son visage. La détermination brûlait dans ses yeux, la peur hantait son cœur.

« J’crois pas, nan, ma poulette…
 -  Je vous aurais prévenus… riposta-t-elle.
 -  Chope le dragon, je surveille la poulette… »

L’homme avait son arme braquée sur la tête d’Alice, et l’autre s’approcha du dragon. Alice serrait nerveusement les poings, et le dragon bondit alors, le mordant au doigt. L’homme poussa un cri de surprise et de douleur, si bien que celui qui tenait le pistolet tourna furtivement la tête. Alice en profita pour bondir, tentant de renverser l’homme avec le couteau, mais elle se reçut une gifle de sa part, qui l’envoya, dans un hurlement, s’écraser sur le sol. Elle le vit avancer vers elle, avec la dague qui luisait.

« J’crois qu’il va falloir te dresser un peu, ma mignonne… »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le dimanche 05 février 2012, 00:32:00
L’elfe était réveillée maintenant, sachant pertinemment que ce qu’elle avait entendu n’était pas normale.  Elle ne se leva cependant pas,  en restant comme cela, dans la pénombre, on pouvait la croire endormie et cela lui donnait un précieux avantage.   Sa vision plus sensible que des yeux humains, lui permettait de voir  les contours des objets  mais sans plus. En effet, les hauts elfes avaient depuis longtemps déjà perdu une bonne partie de leurs capacités à voir dans le noir car  ils n’en avaient plus besoin.  La magie permettait de compenser ce genre de chose.  Par contre, ses oreilles, elles étaient toujours aussi sensibles que celles de ses ancêtres sauvages.  Elle écouta donc ce qu’il se disait, comprenant ce qu’il était entrain de se passer.
Un groupe d’intrus apparemment composé d’après les pas qu’elle pouvait entendre de deux ou trois personnes   avaient réussi à s’introduire dans l’auberge  et était maintenant dans leurs chambres.  Et apparemment,  il avait réussit à attraper la jeune princesse ainsi que le dragonnet.   S’en prendre à des civils sans arme  était une des rares choses que l’elfe ne supportait pas.  Et cela, ces bandits allaient l’apprendre à leurs dépends.  Elle se leva,  marchant avec précaution vers la jeune humaine. Elle  s’était mise dans un angle mort,  ce qui lui permettait d’observer avec plus de précision la situation.

Elle vit la jeune princesse, face contre terre. Apparemment, il n’y avait que deux personnes.  Deux hommes.  Elle soupira doucement, se disant qu’elle ne pourrait même pas  tentait de les remettre sur le droit chemin. Bon, il était maintenant temps pour elle d’agir, si elle ne voulait pas avoir sur sa conscience le viol de la jeune princesse.

L’elfe  sorti doucement de sa  planque. Nue comme au premier jour.  Elle allait doucement, d’un pas lent et sensuel.  Le but était de faire en sorte qu’on la considère comme une faible femme.   Et au vu du regard qu’avaient les deux hommes, elle venait de réussir. Bien,  elle tenta une dernière fois de les résonner, mais elle savait déjà que ce qu’elle allait dire ne servirait à rien.  Elle  dit cependant d’une voix calme en direction des deux malfrats.


-Messieurs,  si vous partez d’ici maintenant,  je ne vous ferrais rien.  Mais c’est votre dernière chance de vous en tirer sans problème.  Vous avez compris ?  Je ne vais pas me répéter. Laissez le dragon, laissez la fille,  et je ne vous ferrez aucun mal.

Les deux hommes se regardèrent,  et éclatèrent de rire.  Comme une jeune femme nue,  sans arme et sans aucune  aide pouvait venir à bout de deux mercenaires comme eux.  Impossible…    Cette petite crise de rire fut relativement courte. En effet, l’homme armé  pointa son arme au niveau de la jeune femme.   Autant dire que cette fois,  la jeune elfe était dans un sacré pétrin. Pourtant, cela ne semblait pas vraiment l’apeurée. Non, ces deux hommes n’étaient que des simples trouffions de base. Elle ne risquait donc rien.  L’homme armé de l’arme blanche  lui cracha.

-Aller, on arrête de rire, t’es seule, sans arme et totalement nue.  Non, si toi tu fais ce que l’on veut, on te promet de te laisser en vie.  Et si tu te laisse faire, on pourrait même te laisser en un seul morceau… Ahah.

Elfe eut un  soupire blasé, elle avait encore une fois vu juste.  Elle ne fit aucun signe, se contentant de se concentrer sur les armes de leurs assaillants.  La température du métal augmentait en flèche, si bien qu’au bout de quelques secondes, les deux hommes ne purent faire autrement que de lâcher leurs armes. Lorsque l’arme à feu tomba sur le sol, le coup partit,  la balle alla directement se ficher dans la jambe de l’elfe qui se contenta de grimacer.   Elle avait vraiment un mal de chien.  Mais ne pouvait pas le montrer. Son honneur en dépendait.  Cependant, cela ne l’aurait pas étonné si la balle avait en partie touchée l’os.

Elle ne pouvait plus les laisser partir désormais.  Et eut recourt à la magie rouge,  provoquant dans le cerveau de ces assassins une violente monté de plaisir.  Une très brusque et puissante bourrasque, qui les fit jouir, encore et encore.  Les pauvres hommes étaient condamnés à jouir.  L’elfe les avait immobilisés comme cela.  Sachant que cela les occuperaient  durant un très long moment vu la dose qu’elle leurs avait donnée.  Elle boita vers la princesse, l’aidant à se relever. 


-Ca va ?  Tu va bien ?  J’ai vu le coup qu’il t’a donné.  Normalement, tu ne devrais pas avoir quelque chose de casser. Mais il faudra vérifier cela.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 05 février 2012, 01:15:30
Alice entreprit de se relever, quand Tinuviel intervint. Perturbée, paniquée, Alice n’était pas loin de céder à la panique, mais l’intervention de l’elfe eut le mérite d’occuper les deux malfrats. Pendant ce temps, Alice vit le bébé dragon se réfugier sous le lit, et elle tenta de se relever, tandis que l’elfe rouge prit dans son pouvoir les deux hommes, les condamnant à devoir astiquer leurs membres, jouissant sans arrêt. Elle était au moins fixée sur le domaine de la magie rouge : le sexe, la sensualité, les plaisirs charnels. Elle entreprit de se redresser, et s’appuya sur le lit. Tinuviel vint alors vers elle, s’inquiétant, et Alice sourit, pensant à une espèce de mère qui s’inquiétait pour son enfant.

« Ne t’inquiète, ce… »

La Princesse n’eut toutefois pas le temps d’achever, car une ombre immense jaillit alors depuis le balcon, coupant les rayons lunaires. Alice tourna la tête, et vit un être gigantesque, une véritable montagne, jaillir. L’être pulvérisa la baie vitrée comme sic ‘était du beurre, et, dans un rugissement, s’empara dans l’une de ses mains osseuses de la tête d’un des hommes.

« HOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO…. »

Soulevant l’homme, il l’envoya voler à travers la fenêtre qu’il venait de briser, le balançant comme un fétu de paille. Dans un hurlement, l’homme traversa le parapet, et s’écrasa sur le sol, au milieu de la place publique, tandis que le demi-géant, qu’Alice reconnut, attrapa avec son autre main l’autre homme, et le balança en avant. L’homme poussa un bref hurlement, et traversa la porte en bois, l’arrachant de ses gonds, pour s’écraser contre le mur.

« …DOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOORRRR !!!! »

Les yeux d’Hodor fulminaient de rage, et il se mit à marcher vers le second malfrat, ses pas de géant faisant trembler le sol, quand la Princesse s’interposa. Elle plaça ses mains sur le corps d’Hodor, qui avait du sentir la jeune femme en danger, et avait immédiatement réagi. Ses yeux furieux semblaient prêts à lancer des éclairs, ses mains prêtes à briser n’importe quel cou. Il était un demi-géant, après tout.

« Hodor ! Arrête tout de suite !
 -  Hodor ! Hodor ! Hodor ! Hodor ! »

Le brave Hodor répondit en frappant violemment du pied sur le sol, provoquant des vibrations, mais son regard croisa celui d’Alice, avant de retourner sur l’homme. Sous la violence du choc, le sortilège de Tinuviel semblait avoir réveillé les fonctions cérébrales du malheureux, qui tentait vainement de comprendre quel trente-six tonnes l’avait balancé le long de l’appartement, tandis qu’on entendait des cris, et que des lumières s’allumaient. La garde ne tarderait pas à arriver, et Alice vit soudain l’homme se redresser, et partir.

*Ils en voulaient à ce pauvre dragon… Je ne dois pas les laisser s’échapper comme ça, il faut que je découvre comment ces deux minables ont réussi à embêter un bébé dragon…*

Elle regarda à nouveau Hodor, qui n’avançait plus. Alice n’avait nullement la force physique de le retenir, mais son autorité morale face au demi-géant était indiscutable.

« Empêche-les de s’enfuir, Hodor. Allez, dépêche-toi ! »

Grognant, le demi-géant se retourna, et s’approcha du balcon. Il sauta, atterrissant en contrebas, et attrapa par le col l’homme qui avait été balancé sur le vide. Celui qui tentait de s’enfuir débarqua brutalement devant lui, et sortit vainement son arme, la pointant vers Hodor.

« Lâ… Lâche-moi, le… Le monstre ! Fous le camp, ou je tire ! » couina faiblement le raider.

Hodor relâcha l’autre criminel, et plongea ses yeux dans celui du raider. Comme il pouvait paraître intimidant ! Difficile de croire qu’Hodor était aussi gentil qu’innocent, mais, quand il était en colère, toute la rage naturelle, la bestialité intuitive des géants, s’exprimait.

« HOOOOOOODOOOOOOOOOOOOOOOORRRRRRRRRR !!!! » rugit-il.

Le raider déglutit, lâcha son arme, et les miliciens arrivèrent alors. Depuis le balcon, Alice se mit rapidement à parler, ayant enfilé une chemise de nuit.

« Gardes ! Je vous ordonne d’arrêter ces hommes ! Ils ont tenté d’attenter à la vie de votre Princesse ! »

Des fenêtres s’ouvraient, des badauds ensommeillés surgissaient, et Alice réalisa alors quelque chose. Terrorisée, elle regarda sous le lit, mais ne vit plus aucune trace du bébé dragon. Elle se redressa rapidement, regarda à gauche, à droite, mais ne vit rien.

« Le dragon… Le dragon, le dragon ! Où est-il passé ? »

Elle tourna à nouveau la tête, le cherchant encore, mais comprit rapidement qu’Hodor, avec son entrée fracassante, avait du le faire fuir. Paniquée, Alice retourna sur le balcon, et crut alors apercevoir, fugitivement, sur un toit, une silhouette noirâtre avec de longs cheveux blancs battant dans le vent. Un Drow, mais qui disparut aussi vite qu’il était apparu, à tel point qu’elle aurait pu croire avoir une hallucination. Sa petite blessure suite au coup de l’un des deux raiders lui parut soudain assez anecdotique, et, tandis que la ville se réveillait.

« Le dragon ! Vite, il faut le retrouver !
 -  Hein ? Quel dragon ? »

Surpris, les gardes regardèrent vers le ciel, mais ne virent personne voler dans le ciel, rien qui indique la présence d’un dragon. Se mordillant les lèvres, Alice ne tarda pas à comprendre qu’il avait probablement du s’enfuir au milieu des arbres, terrorisé par l’arrivée d’Hodor. La jeune Princesse se retourna vers Tinuviel.

« Il faut le retrouver ! » s’exclama-t-elle, paniquée.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le dimanche 05 février 2012, 12:20:38
L’elfe ne comprit pas vraiment ce qu’il s’était passé dans la dernière minute, tout c’était passé bien trop vite.  Elle tenta donc de faire le point, se remémorant ce qu’il venait de se passer.  Elle eut dut mal à remettre les événements dans le bon ordre. La première chose, fut l’apparition du demi-géant, qui  fracassa une partie de la fenêtre pour s’en prendre aux malfrats.  A partir de là, cela devenait plus compliqué.   Le géant avait rompu son sortilège permettant ainsi, aux deux hommes de s’enfuir, bien que ceux-ci n’en ait pas eut le temps.   En effet, la milice du coin alertée par tout le raffut venait prêter main forte au géant.

L’elfe eut un petit sourire, se disant que maintenant que tout cela était fait, il n’y aurait plus grand-chose pour couper sa nuit.  Elle pourrait donc retourner au pays des rêves, envieuse du fait que Lorna elle, n’avait tout simplement pas  était dérangée par tout ce bouquant.  Il fallait dire que vu l’état dans lequel elle l’avait mise quelques heures plus tôt, cela n’avait rien d’étonnant.
Cependant, ses projets de sommeil furent rapidement  annulés.  Elle comprit rapidement que le dragon avait disparut.  S’il avait prit la fuite seule, il ne devait pas être loin, et le retrouver ne serait pas vraiment un problème.  Non, le problème était il y avait un éventuel troisième homme ?  Si c’était le  cas, alors cela deviendrait  beaucoup plus compliqué.  Elle grimaça une seconde avant de boiter vers la princesse  marmonnant au passage dans sa barbe quelques insultes envers les dragons.  Elle avait beau ne rien avoir contre  ce jeune en particulier, elle n’en restait pas moins une elfe du soleil. Et a ce titre, les relations entre les deux espèces étaient légèrement tendue.
Elle soupira donc un instant avant de dire à la jeune princesse.

-On va le retrouver votre dragon.  Il ne peut pas être allé bien loin, il est trop jeune encore pour pouvoir voler.   Sauf, si bien sur on lui a donné un coup de main.  Bien,  est ce que vous avez vu quelque chose capable de nous dire ou  ce dragon aurait bien put aller.  Y a t’il une forêt, un bosquet ou quelque formation végétale assez dense se trouvant à vingt minutes à pied d’ici ? Ce serait l’endroit le plus probable ou l’on peut trouver un jeune terrorisé.     Mais si,  il y avait un troisième membre dans cette affaire, cela sera bien plus compliqué.   Bien, laisse-moi le temps de remettre mon amure, et on va aller le rechercher.

Elle grimaça encore une fois,  allant dans sa chambre,  récupérer l’amure en écaille de dragon.  Elle en profita également pour refermer sa plaie.  La balle se trouvait encore dans sa jambe, mais elle ne pouvait pas perdre du temps en  l’extrayant.  Non, chaque seconde était précieuse et elle ne pouvait donc pas se le permettre.
Elfe passa rapidement son armure, déposant un baiser dans le coup de son amante  et lui glissa doucement à l’oreille.

-Je reviendrais vite ma belle, ne t’en fais pas.

La jeune kitsune se contenta de  lui caresser le visage avant de retomber dans un sommeil plus profond. Elle fonça dans la salle principale,  ignorant la douleur que provoquait son articulation probablement  fissurée.  Elle se retourna vers la jeune princesse.   Attendant que celle-ci puisse lui indiquer si elle avait vu quelque chose, ou bien si il y avait une cachette probable pour ce jeune terrorisé.  Elle  se demandait presque, si c’était elle qui était maudite, pourquoi fallait il qu’a chaque fois qu’elle parte rechercher trois fleurs,  il fallait que le monde s’écroule ?  Elle soupira donc un long moment, se disant qu’un jour, elle laisserait tout tomber, et qu’elle ne s’occuperait plus des problèmes des autres. Cela lui ferrait un peu des vacances et honnêtement, elle estimait les avoir  mérités depuis le temps.  Elle  eut juste un petit sourire, rassurant la princesse en lui passa la main sur la joue.


-On va le retrouver, ne t’en fais pas.   De toute façon, il est trop jeune pour que l’on se sert de son cuir, cela veut dire qu’ils ont besoin  de lui vivant.  Il ne lui feront donc pas de mal.

Normalement..
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 05 février 2012, 15:26:51
Alice remarqua que Tinuviel semblait boiter, mais n’eut pas le temps de lui en demander plus qu’elle était déjà retournée dans sa chambre. Réalisant alors qu’elle était en tenue assez légère, la Princesse alla rapidement s’habiller également. Les étoiles brillaient dans le firmament, mais elle était désormais convaincue qu’elle avait bel et bien vu un Drow. Il n’était pas bien difficile de comprendre ses motivations. Les écailles d’un dragon étaient des choses précieuses, et, même outre cela, le simple fait d’avoir un dragon était prestigieux. Bien des collectionneurs les achetaient à prix d’or, et le sang du dragon était souvent une base alchimique précieuse, permettant de réaliser des élixirs de forte qualité. On ne manquait donc pas de raisons pour expliquer pourquoi un Drow s’intéressait à un jeune dragon, mais, de ce qu’elle savait des elfes noirs, ils étaient relativement dangereux. Elle se dépêcha donc de s’habiller, enfilant des chaussettes, des bottes, un pantalon, des gants, une chemise et une veste. Ainsi parée, elle vit Tinuviel revenir. Cette dernière essaya naturellement de la réconforter, de lui dire qu’ils retrouveraient le dragon. Il était tentant de le dire à la populace, mais ils feraient trop de bruits. De plus, la présence du Drow inquiétait Alice, et risquait tout simplement d’affoler la population.

« Je suppose que le dragon a du se faufiler dans la petite forêt à proximité. Ce n’est pas le retrouver qui m’inquiète… Je crois que ces deux malfrats n’étaient pas les seuls, et… »

On entendait des bruits de pas, et trois miliciens surgirent alors.

« Princesse ! Vous allez bien ? s’exclama un soldat, avant de voir l’elfe. Qui êtes-vous ?! fit-il d’un ton menaçant.
 -  Elle m’a sauvé la vie ! Vous ne comptez tout de même pas la menacer ?!
 -  Oh… Pardonnez-moi, Majesté, mais… »

Une clameur monta soudain depuis la rue. Les bruits enflèrent, et Alice vit alors des volutes de fumée s’échapper depuis une partie du village. Des sirènes se mirent alors à résonner. Les cloches avertissant un incendie. Il n’y avait pas de dragons dans le ciel, et il était de toute manière rarissime qu’un dragon vienne incendier une chaumière. Les fumées noirâtres suggéraient l’incendie d’une maison, et on entendit bien les habituels cris de panique.

« Au feu ! Au feu ! »

Les gardes qui avaient débarqué dans l’appartement hésitèrent, et Alice, retrouvant son sang-froid, agit rapidement.

« Enfermez les deux vauriens en cellule,  puis allez éteindre l’incendie. Allez, dépêchez-vous ! »

Bredouillant, les gardes se déplacèrent rapidement, sortant de la chambre. Alice sentait le sang bouillonner dans ses tempes. Dix minutes à peine, elle dormait profondément, et voilà qu’elle se retrouvait avec un dragon disparu, un incendie criminel, et des bandes de mercenaires cherchant un bébé dragon. Ça faisait un peu trop de coïncidence. Le Drow qu’elle avait vu avait sûrement décidé d’incendier une maison éloignée, afin d’éloigner les badauds, et pouvoir ainsi rechercher plus facilement le bébé dragon.

*Je ne le laisserai pas faire !* décida Alice, résolue.

Elle récupéra un autre objet, indispensable : sa dague en verredragon, qu’elle emportait toujours avec elle. Une petite épée, dont la lame était parsemée de quelques rubis. C’était avant tout une arme décorative, Alice ne sachant pas vraiment manier une épée, mais, si besoin est, elle pouvait trancher n’importe quoi. Elle regarda à nouveau Tinuviel, qui avait remis son armure.

« Je… Je ne veux pas vous forcer, mais… Ton aide serait appréciée. Je crois avoir aperçu un… Un Drow, et je pense que tes pouvoirs magiques seront plus qu’utiles si jamais il décide de se manifester. Je ne peux pas compter sur Hodor, car il ferait encore fuir le bébé dragon… »

Dans l’absolu, Hodor représentait en effet un garde du corps idéal contre n’importe quel ennemi, mais il était excité, en colère, et guère prompt à se contrôler. Ses pas de géant feraient indiscutablement fuir le bébé dragon, et Alice ne tenait pas à ce qu’il s’en aille. Elle l’imaginait paniqué, terré dans les bois, recherchant sa mère, s’éloignant de l’agitation que l’incendie allait provoquer. Alice se dépêcha de quitter la chambre, dévalant l’escalier, n’accordant qu’un bref regard à l’aubergiste, en robe de chambre, un œil refusant de s’ouvrir, tentant vainement de comprendre ce qui se passait. Il tenta de lui parler, mais elle fila rapidement, et ordonna à Hodor de surveiller les deux raiders. Ce dernier obtempéra difficilement, car cela revenait à se séparer d’Alice, mais l’ordre qu’elle lui avait donné était clair. Hodor se mit donc à marcher, près des deux raiders.

Après les avoir regardé, Alice avança vers la forêt. Elle n’était pas très grande, mais suffisamment profonde pour permettre au dragon de s’y cacher. N’ayant pas spécialement le temps de s’amuser à le chercher, elle décida d’opter pour une méthode un peu plus radicale. Elle sortit la dague de son fourreau, et en approcha la pointe de sa paume. Après quelques hésitations, elle alla s’entailler la paume de la main, frissonnant sous la légère douleur, et se dépêcha d’utiliser le sang qui s‘en échapper pour le glisser sur les rubis qui incrustaient la lame de la dague. Les rubis se mirent à luire dans la nuit. Le sang d’Alice avait été béni par le dragon d’Or, et ses rubis étaient des rubis magiques, qui venaient du Territoire des Dragons. Elle appuya sur ces derniers, et des ondes jaillirent tout autour d’elle, se répandant sur une courte superficie, vu qu’elle n’avait mis que quelques gouttelettes. Ce sort permettait d’appeler les dragons, envoyant dans l’air des phéromones que seuls les dragons pouvaient recevoir, et qui les amenaient à venir vers la personne. Bien sûr, tout dépendait de la quantité de sang utilisée, et ça ne fonctionnait pas avec n’importe quel sang. Il fallait aussi tenir compte du dragon, mais, pour un dragonnet, ce ne serait pas trop difficile.

Tout ce que la Princesse avait à espérer, c’était que le dragonnet se trouverait dans le champ d’action des phéromones que les rubis envoyaient. Dans le ciel, les belles étoiles étaient progressivement recouvertes par de longs nuages grisâtres. Des vagues de froid s’abattaient fugitivement, et la neige ne tarderait sûrement pas à tomber, désormais.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le dimanche 05 février 2012, 19:11:51
L’elfe se contenta d’attendre les réponses à ses questions.  Elle ne connaissait pas le terrain et donc, elle ne pouvait donc pas  faire grand-chose de plus sans qu’Alice lui indique si oui ou non, il y avait une  forêt dans le coin.  C’était d’après elle le cas. Et apparemment, les deux individus n’étaient pas seuls. Hum, cela compliquerait donc la tache. En effet, si le troisième homme n’était pas un humain, il risquait d’avoir quelques problèmes. Tôt ou tard.   Elfe se contenta de soupirer lorsqu’elle vit ces espèces de milicien la menacer.  Normalement, elle aurait enchainée sur une réplique acerbe mais elle n’en avait ni le temps, ni l’envie.   Non, ce qu’elle voulait c’était retrouver ce fichu dragon pour retrouver son lit.  Il  faudrait cependant qu’elle extrait cette balle à un moment ou un autre.  Elle n’avait fait que repousser le problème le temps que la situation aille mieux. Mais  si cette balle restait dans la chaire trop longtemps, il y aurait un risque assez important pour que celle-ci provoque une infection.
Elfe eut un petit sourire lorsqu’elle entendit le feu.  Ce sourire n’était pas parce qu’elle était joyeuse du fait que les maisons  brulent. Mais plutôt parce que l’hypothétique troisième larron venait officiellement de déclarer sa présence. Et surtout de dire qu’il avait besoin de temps.  S’il avait déjà eut entre ses mains le dragon,  il n’aurait eut qu’à fuir.  Hors, là, il recherchait à gagner du temps preuve que son travail n’était pas terminer.
La princesse lui dévoila ainsi l’identité du troisième homme : Un elfe noir.   Hum, c’était une bonne chose mine de rien. En effet, le temps était avec eux.  Si c’était effectivement un elfe noir, il devrait se retirer rapidement  après les premières lueurs de l’aube sous peine de devenir  aveugle.  Elle savait cela car une de ses amantes étaient une ancienne elfe noire qui avait perdu la vue à la suite d’une exposition au rayon du soleil. Il existait cependant des moyens de s’en protéger, mais cela coutait chère et ce n’était donc pas  pour un simple mercenaire.  L’elfe  en écoutant la demande de la jeune femme, se contenta d’un petit sourire.   Et lui dit tranquilement.

-Je savais que vous ne pourriez plus vous passer de mes talents.   

Elle suivit la jeune princesse,  ayant cependant du mal à suivre la cadence que celle-ci imposait. En effet, là ou la princesse  pouvait courir, l’elfe elle était condamnée à  boiter.  Pourtant, elle s’imposa à suivre la  marche, faisant fit de la douleur.  A ce moment, elle eut une petite pensée pour les entrainements de Task, se disant que sans la dragonne, elle aurait sans doute dut prendre le temps  de se soigner.   
Durant le trajet, elle réfléchi à la décision de la jeune princesse. Elle trouvait effectivement que c’était une bonne chose d’avoir laissé le géant en dehors de cette histoire. Mais, elle ne comprenait pas pourquoi celle-ci avait prit un presse papier de ce genre.  Ce genre de dague n’était effectivement absolument pas son style. Elle préférait une lance solide  en acier  ou dans un autre minérale plus rare encore tel que l’élémentium.
Ce ne fut qu’une fois arrivée dans la forêt que l’elfe comprit l’utilité de la dague.  En  la combinant avec du sang de dragon,  elle émettait une espèce de phéromone  attirant ceux-ci.  L’idée était brillante.  Elfe   elle aussi sentait l’influence des phéromones.  Il fallait dire que l’armure en peau de dragon avait des effets sur son utilisateur.  Elfe avait accès à sa force, mais d’un autre coté, l’armure avait une influence sur l’elfe.
Elle soupira tentant de contrôler cette partie d’elle-même qui se dirigeait vers la dague.    Au final, elle n’était pas la seule.  En effet il fallut plusieurs minutes, mais au final, une petite ombre de la taille d’un chat vient finalement rejoindre la jeune princesse. 
L’elfe eut un petit sourire en voyant une créature bien connue.  Finalement le jeune dragon était bien là,  à leurs pieds.  Cependant, il n’était pas seul.  En effet, il ne fallut que quelques minutes pour qu’un indésirable rejoigne la fête.  Un indésirable à la peau  charbon.    Elfe eut un petit sourire avant de lui cracher.

-tiens, je ne savais pas que les espèces inférieures avaient le droit de venir à la surface.  Mais d’un autre coté, cela ne m’étonne pas. Les vers ont toujours tendance à avoir peur du soleil.

Elfe n’était pas tendre envers cet homme. Au contraire même.  Mais  il fallait savoir que elfe et elfe noir  ne se supportait pas.  Il y avait une haine viscérale entre ces deux peuples. Sans doute pire encore qu’avec les dragons.  Et cette haine était encore accentuée par le fait que l’homme avait gâché sa nuit, l’avait blessée indirectement,  et surtout à cause du fait que ces assassins s’en étaient pris à la princesse et auraient put blesser son amante. Et cela, c’était tout simplement  inadmissible.  Oui,  rien que pour cela l’homme allait mourir.  Mais pour l’instant elle voulait des informations.  Et elle allait les avoirs.


- Tu ne peux pas être seul dans ce coup.  Dit moi avec qui tu travail et pourquoi tu veux le dragon. Et je te  ferrais rapidement mourir. Dans le cas contraire. Ta mort sera lente et affreuse.

Elle ne plaisantait pas.  Non,  Sa voix était bien trop sérieuse pour cela.  Autant dire que le pauvre homme risquait de souffrir s’il ne crachait pas le morceau.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 05 février 2012, 21:57:51
Bizarrement, Tinuviel traînait à la rejoindre. Faire l’amour avec Lorna l’avait-elle si épuisé que ça ? La princesse aurait volontiers incité Tinuviel à aller se coucher, mais, comme l’elfe l’avait justement remarqué, ses « talents » n’étaient pas pour la déranger, bien au contraire. Elle avait besoin d’elle, mais elle éprouvait quand même des remords à utiliser l’elfe rouge. Elle semblait fatiguée, éreintée, épuisée, et boitait, peinant à se rapprocher d’Alice, qui se sentait au contraire pleinement réveillée. L’adrénaline, le froid, la douleur dans sa paume… Tout la maintenait éveillé, et elle avançait à travers cette petite forêt, s’éloignant du village, jusqu’à entendre des mouvements entre plusieurs buissons. La Princesse de Sylvandell tourna subitement la tête, et ne tarda pas à apercevoir une petite forme timide s’approcher, sautillant entre les branches, avant de se coller contre les jambes d’Alice.

« Te revoilà enfin, toi, mon pauvre dragon… »

Fléchissant les genoux, Alice le récupéra, le serrant entre ses bras en souriant. Elle lui caressa la tête, et s’apprêtait à repartir, quand Tinuviel se mit à parler d’une voix forte. Alice sursauta, mais le dragon ne partit pas, anesthésié par les phéromones magiques, et par le corps d’Alice. Elle parlait au Drow, et un frisson de panique se mit à monter dans la gorge d’Alice. Où était-il ? Elle ne le voyait pas ! Elle regarda autour d’elle, mais ne voyait nulle trace de ce dernier. Tinuviel avait-elle eu une vision ? Non, le Drow devait plutôt se cacher, et Tinuviel finit par le menacer. D’après ce qu’Alice en savait, les Drow étaient les ennemis jurés des autres elfes. Ils vivaient sous Terre, dans les profondeurs, dans des cités sinistres, et vénéraient des divinités maudites, comme Lloth, la Reine-Araignée. Un peuple dangereux, très austère. Le Drow se mit à ricaner devant les provocations de l’elfe, et sauta de son arbre, atterrissant sur une petite butte à côté des deux femmes.

La neige se mettait alors à tomber lentement, par petits flocons. Le Drow avait une belle chevelure blanche, et deux épées glissées au niveau des jambes, deux autres qui partaient de ses poignets, filant derrière ses bras, et deux longues dagues dans chaque main.

« Tes menaces pathétiques sont tout juste bonnes à effrayer un pathétique humain, elfe rouge. Tinuviel Lastrim… Ta magie rouge est sans effet sur moi. Donnez-moi le dragon, et je vous épargnerai.
 -  Que lui voulez-vous ? » demanda Alice.

Le bébé dragon s’agitait, grognait, sifflait, ses yeux fixant nerveusement le Drow. Ce dernier se contenta de fixer Alice, et haussa les épaules.

« Je n’ai pas le choix, finit-il par avouer. Donnez-le moi, ou je devrais vous le prendre de force. »

Le Drow fit mine de s’avancer, et Alice recula nerveusement.

« Seuls les lâches n’ont jamais le choix ! »

Un ricanement mauvais secoua la gorge du Drow, qui répliqua rapidement.

« La vie n’est pas aussi simple que ça… Quant à vous, Lastrim, vous pouvez peut-être masquer votre état devant une humaine, mais, devant un Drow, c’est illusoire. Vous êtes blessée à la jambe. Plus le temps passera, et plus votre concentration faiblira. Partant de là, vos réactions physiques, votre concentration magique, vont s’atténuer. Et, si vous pensez pouvoir trafiquer mon système hormonal comme vous l’avez fait avec ces deux raiders, c’est que votre prétention est à la hauteur de l’arrogance classique des ljósálfar . »

Alice tiqua à ce terme, un terme ancien, un dialecte très vieux pour désigner les elfes qui ne vivaient pas dans les profondeurs de la terre, ceux qu’on appelait, par opposition, les « elfes blancs ». Le Drow regarda à nouveau Alice.

« Je ne veux pas te faire du mal, petite, mais je n’ai pas le choix.
 -  Pourquoi ça ? répliqua Alice, nerveuse.
 -  L’Outreterre n’est pas un endroit très vivable, et le peuple des Ilythiiri a envie de retourner à la surface, expliqua le Drow. Malheureusement, revenir à la surface n’est pas quelque chose de simple. Rares sont les Ilythiiri qui peuvent survivre à la lumière du soleil, et nous devons commencer par résoudre ce problème.
 -  En quoi est-ce que les dragons vous intéressent ?
 -  J’ai mené mes recherches. J’ai cherché un traitement susceptible de permettre à la pupille des Drow de s’adapter à la lumière du soleil, et j’ai fini par tomber sur de mauvaises personnes. Des individus mauvais, à n’en pas douter, qui m’ont contraint à devoir trouver un bébé dragon, afin de faire des expériences pour dessus pour inventer une toxine capable de contaminer et de tuer les dragons.
 -  Qui donc ? demanda Alice, pressentant toutefois de connaître la réponse.
 -  La Horde de la Montagne », assena le Drow, confirmant ce qu’Alice redoutait.

Dirigée par un ancien Commandeur, Gregor Clegane, la Horde de la Montagne désignait une bande de mercenaires et de tueurs sans scrupules, dont le chef, Gregor, était une masse, un véritable colosse, qu’on appelait la « Montagne ». La Horde était l’un des grands ennemis de Sylvandell.

« Ils m’ont capturé, et leurs alchimistes ont implanté un poison dans mon organisme. Si je ne leur rapporte pas le bébé dragon, ils ne m’administreront pas leur antidote. C’est un poison qui vient de jungles lointaines, et aucun des alchimistes que j’ai contacté n’a pu me soigner. Je n’ai donc pas le choix, petite. »

Un tel récit semblait un peu tiré par les cheveux, mais compréhensible. Un Drow ne travaillait que pour un autre Drow. Or, pour rejoindre le Territoire des Dragons en toute discrétion, il fallait, soit avoir l’acharnement et la chance insolente d’une Cirillia, soit avoir les talents d’un explorateur drow.

« Maintenant, petite, donne-moi le dragon ! »

Faisant jaillir l’une de ses lames, le Drow, sans tenir compte une seule seconde de Tinuviel, s’élança vers la Princesse.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le lundi 06 février 2012, 16:24:42
Elfe écouta le discours du Drow,  cela l’aurait presque émue.  Le pauvre petit Drow était la victime d’une méchante entité de vilain méchant.   Sauf qu’il y avait une chose,  une chose que tout elfe savait.  Il ne fallait, jamais. Jamais faire confiance à un Drow,  ce peuple était le plus manipulateur et le plus fourbe qui soit.  Le mensonge était la première chose que l’on apprenait chez les elfes noirs.  Tuer,  la seconde.  Autant dire que l’elfe ne se ferrait pas prendre au piège par ce mélodrame.  Et même si elle aurait put le laisser en vie,  elle ne pouvait pas lui pardonner ce qu’il avait fait à la jeune princesse et ce qu’il aurait put faire à sa petite Lorna.  Il Comprendrait pourquoi personne n’osait l’affronter elle, sur terra.

Elfe  étudia les mouvements de son adversaire pendant que celui-ci discutait avec la princesse, analysant le fait qu’il avait deux armes avec lui. Il était donc un ambidextre et devait avoir bien d’autre coup retord dans sa besace.  En effet, les armes des drows étaient le plus souvent empoisonnées et ces insectes transportaient toujours avec eux différentes armes de pleutres destinées à tuer furtivement un adversaire.

Elle  soupira lorsque les premiers flocons tombèrent, elle était plus faible avec cette température,  la magie rouge ayant également une part de pyromancie.   Car oui, la magie rouge était bien plus que de la simple magie rose.  Elle permettait de  déclencher le désir, déclencher des sentiments,  mais également  de maitriser les flammes   mais aussi de pouvoir modifier son corps à volonté.  Autant dire que le pauvre Drow aurait quelques surprises et elle comptait bien en profiter pour  avoir la peau de cette espèce de crevure.

LE drow se lança sur la princesse,  ne faisant pas attention à la mage rouge et ce fut sa première erreur,  bien que blessée, elle bondit en direction de la princesse, se trouvant  maintenant  devant la trajectoire de la lame.  Trajectoire qu’elle dévia grâce à la queue de dragon rouge encore présent sur la cuirasse qui l’habillait.
Elle sourit un petit moment en voyant la face déconfite de l’elfe qui recula d’un coup.

-  Laisse tombé, ce combat se déroulera entre toi et moi.   Tu pensais vraiment qu’une simple blessure comme celle-ci suffirait à me rendre incapable de me battre ?   Amateur. Mais tu as raison sur un point cloporte, je dois m’occuper de te finir rapidement.

Elle ne bougea pas.  Gardant des forces pour la contre attaque du Drow qui ne tarderait sans doute pas.  A cette distance, elle ne pouvait rien faire sans tenter de mettre le feu à la forêt, chose qu’elle aurait quand même voulu éviter.   De plus, elle pouvait le battre sans utiliser la magie.  Elle en était pratiquement certaine.  Mais le problème était qu’elle n’avait pas d’arme.   Enfin pour l’instant. Heureusement qu’elle avait rechargé ses batteries quelques heures avant.  Elle eut un petit sourire avant de créer une boulle de flamme. Qu’elle étira jusqu’à ce que celles-ci mesurent deux mètres de longueur,  voila.  Maintenant les flammes avaient la  consistance d’un solide et surtout la forme d’une lance.  Cette apparition ferrait sans doute douter l’elfe noir.  Mais il était maintenant trop tard pour que celui-ci recule.  Elle eut un petit sourire, se mettant en position.  La lance étant prête à transpercer son adversaire à la moindre  faute de sa part.

-Tu vois, tu m’aurais demandé gentiment, je me serais occupée de ton cas.  La magie rouge me permet de soigner les plaies mais également de soigner les empoissonnements.  A supposé que tu sois bien  empoisonné comme tu le prends actuellement.  Mais tu t’es attaqué à mes amantes,  et cela, c’est un acte que je ne peux pas tolérer.  Je vais donc abréger tes souffrances.  Mais je te laisse une chance de mourir en guerrier.

Elle fit quelques tours devant elle, la lance relâchant des gerbes de flammes   destiné à éblouir l’elfe noir.  Et l’elfe  passa à l’attaque.  Elle fit deux trois enchainements, juste histoire de se chauffer.  Enchainant les divers coups, l’elfe donnait la dance.  Le drow serait obligé de combattre si il ne voulait pas se faire transpercer par une colonne de feu.    Et pendant ce temps, elfe faisait en sorte que la princesse gagne du temps.  Elle pouvait maintenant fuir avec le petit dragon, dans le cas ou elle serait effectivement tuer par ce mercenaire.  Même si cela lui paraissait hautement improbable.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 06 février 2012, 23:58:38
L’attaque du Drow fut coupée court par l’intervention de Tinuviel, qui utilisa son armure pour parer son attaque. Le Drow bondit en arrière, adoptant une posture presque féline, lames brandies. Tinuviel se contenta de le narguer, alors que le Drow se mit à avancer de droite à gauche, dans une posture mauvaise, prêt à fondre au moindre mouvement. L’armure en écaille de dragons de Tinuviel semblait résistante, et, même si elle était blessée à la jambe, cette dernière semblait prête à se battre avec acharnement. Alice ne doutait pas une seconde de la puissance de cette femme, pas plus que le Drow, vu qu’il hésitait à attaquer. Tinuviel en profita pour le narguer, et le Drow semblait jeter sur elle des regards meurtriers, tandis qu’Alice, serrant solidement le bébé dragon, veillait à rester sous la protection de l’elfe rouge. Elle fit venir une lance enflammée, et le Drow haussa les sourcils, visiblement surpris, avant qu’un rictus mauvais ne se dessine sur ses lèvres.

« Ta magie rouge, Lastrim ? la railla-t-il. Je n’ai pas menti ; je suis réellement empoisonné, mais ce n’est pas un poison ordinaire. Un Drow n’obéit à personne d’autre qu’un Drow, tu devrais le savoir. J’ai fait des recherches avant, que crois-tu ? J’ai été voir un puissant alchimiste, j’ai menacé d’égorger ses filles s’il ne voulait pas me soigner, je les ai torturé pour l’inciter à faire des expériences… Il a échoué… Il en a payé le prix fort… Ce qu’il m’a appris, c’est que la toxine, outre être extrêmement rare, est aussi animée par de la magie noire. Ta magie rouge, Tinuviel, est une sous-branche de la magie élémentaire. Les théories magiques sont claires sur ce point : seule la magie blanche peut lutter contre la magie noire. Mais… Bah, peu importe, dans le fond. Tu es forte, Lastrim, je le reconnais, mais tu ne peux pas manier le feu ici. La neige te gêne, ta blessure t’handicape, et tu ne peux utiliser pleinement ta magie sans incendier la forêt. »

Le Drow avait établi un diagnostic assez simple, mais il ne pouvait tout de même pas trop s’approcher de la lance enflammée. Il fit quelques tentatives rapides, afin d’éprouver les réflexes de Tinuviel, bondissant vers elle, avant de sauter en arrière à chaque fois que l’elfe rouge attaquait avec sa lance. Tinuviel attaqua ensuite avec rapidité, tentant de pourfendre le Drow, mais ce dernier parvenait à esquiver les attaques sans trop de difficulté, et Alice, prudente, évitait de trop se rapprocher. Le Drow finit par bondir sur une branche d’arbre, et envoya une dague vers la Princesse. La queue de dragon de Tinuviel agit à nouveau, effleurant Alice si près que cette dernière tomba à la renverse sur le sol. La dague s’envola dans les airs, et le Drow réagit rapidement. Un filament noirâtre sortit de la paume de sa main pour attraper la dague, et le renvoyer tout droit sur Tinuviel. La dague effleura la joue de cette dernière, et le Drow bondit presque automatiquement, et atterrit derrière Tinuviel. Sa lame heurta les écailles, mais il se reçut la queue du dragon, le renversant sur le sol. Il en lâcha une lame, et vit la lance enflammée fondre sur lui. Le Drow se rétablit rapidement, et évita le coup.

Il bondit sur la gauche, à l’aide d’une roulade, et vit la lance le poursuivre. Pour se protéger, le Drow planta ses mains dans le sol, et des racines jaillirent subitement, retardant suffisamment la lance pour permettre au Drow de s’en échapper. Il utilisa son autre main pour envoyer des flammes noirâtres vers Tinuviel, une langue de feu qui fondit sur cette dernière.

« Tu n’es pas la seule à savoir manier la magie, Lastrim, sourit le Drow, avant de regarder la Princesse. Inutile de songer à t’enfuir, petite. Lastrim est arrogante, comme toutes les elfes, mais elle se contente de péter plus haut que son cul. »

Le Drow lui fit un sourire mauvais, et décida alors de passer aux choses sérieuses. Sa main se promena sur sa lame, et cette dernière se recouvrit d’une calotte de glace. Il attaqua à nouveau, et frappa la lance enflammée avec toute sa force. Glace contre feu, le duel était lancé. En tant que Drow explorateur, celui-là maîtrisait aussi bien les arcanes magiques que le combat, et disposait même de sorts de magie noire. Néanmoins, la magie noire était à utiliser avec parcimonie, vu qu’elle piochait directement dans l’âme de l’utilisateur, et pouvait, si on l’utilisait trop, rendre fou n’importe qui, à l’exception des démons. Le Drow continua à attaquer rapidement Tinuviel, se déplaçant par le biais de pas de côtés, de roulades rapides, attaquant d’estoc, multipliant les feintes.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le mardi 07 février 2012, 13:47:12
Elfe eut un petit sourire lorsque le drow lui expliqua que cette fameuse toxine était issue d’une puissante de magie noire et d’extraits organiques.   Et bien, quelle ironique qu’un elfe noir soit condamné par sa magie de prédilection.  Oui, c’était tout simplement délicieux pour l’elfe qui avait de la peine pour ne pas sourire,  enfin.  Cela fut vrai  jusqu’à ce qu’elle réalisa le fait que pour obtenir cette information, il avait menacé des innocents et avait brisé une famille.  Elle avait beau bien connaitre les drows, cela l’écœura,  et elle se promit de  faire en sorte que ce salaud d’elfe paye son crime de son sang.
Elle  reprit sa position, et le combat recommença,  elle ne pouvait cependant pas s’empêcher de penser que l’elfe avait raison,  la neige et le terrain lui était défavorable et de surcroit elle était blessée.  Mais il en faudrait bien plus pour   qu’elle abandonne.  La mort était la seule chose qui pourrait la faire renoncer. Et elle ne comptait pas mourir.  Pas encore.
Elfe   ne pouvait cependant que  constater les réflexes de son adversaire.  Il n’était pas qu’un simple explorateur, il avait suivit un entrainement de guerrier, cela était évident,  il fallait donc qu’elle analyse chaqu’un de ses coups.
Lorsqu’elle vit la dague foncer sur la jeune princesse,  l’elfe  du encore une fois compter sur son armure pour dévier l’arme.   La jeune princesse avait eut de la chance cette fois ci,  mais si elle ne voulait pas recevoir un coup perdu, elle devrait s’éloigner. 
Cette pensée couta chère à l’elfe qui  à quelques millimètres prêt aurait put y passer.  Elle  n’avait pas vu qu’au dernier moment ce projectile, elle ne serait plus de ce monde.   Elle réalisa d’ailleurs que le drow était lui aussi un magicien, ce qui compliquerait encore une plus la tâche.  L’elfe profita d’un moment de doute de la jeune femme, pour tenter de l’égorger, mais la seule chose qu’il reçut,  ce fut un violent coup de queue qui le fit tomber au sol.  L’elfe profita de cette occasion, elle tenta de l’embrocher, de le faire rôtir comme s’il n’était qu’un vulgaire bout de poulet.  Mais elle était plus lente à cause de sa blessure.  Cela, elle le réalisait  et elle comprit rapidement que le drow esquiverait chaqu’un de ses coups.
L’opération n’était cependant pas si mauvaise que cela.  Le drow n’avait maintenant plus qu’une seule épée sur les deux qu’il avait initialement et en plus, il avait du dévoilé une partie de son potentiel magique pour pouvoir résister à l’assaut de l’elfe du soleil. 
Tinuviel se prépara à la contre attaque,  elle fut surprise de voir la langue de feu foncer sur elle à une vitesse vertigineuse et eut à peine le temps de dresser un bouclier de feu.  Le bouclier ne tenue d’ailleurs pas,  mais permit à l’elfe de ne recevoir que quelques légères blessures superficielles,  rien de grave.  Enfin, si elle survivait au combat.
Elle observa l’homme enchanter son arme,  voyant la glace  couvrir désormais la lame de l’homme.  Et le combat repris encore,  elle avait l’avantage sur la glace en elle-même.  Car celle-ci fondait rapidement à cause de la chaleur du feu.  Mais l’eau provoqué alors  commençait à éteindre doucement mais surement la lance  ce qui voulait dire que l’elfe avait besoin d’encore plus d’énergie pour maintenir son sortilège.  Le pire, était que  l’homme lui, avait une arme solide. Ce qui voulait dire que si ses réverses d’énergies magique venait à s’épuiser, il pourrait toujours avoir son arme ce qui n’était pas le cas de l’elfe.  Elle  était vraiment dans la panade, et cela, le Drow l’avait vu.  Il s’en servait maintenant,  l’elfe ayant de lui en plus de mal à suivre les nombreuses esquives,  feintes et autres bottes du Drow.   Il était lentement mais surement entrain de prendre l’avantage sur une elfe qui était de plus en plus fatiguée.   

La mage rouge eut alors une idée.  Cela était réellement dangereux.  Pire Cela était vraiment suicidaire.  Mais qu’importe,  quitte à mourir, elle emporterait avec elle ce cloporte.  Elle eut un petit sourire,  et placa son épaule gauche  devant la lame de son adversaire alors que celui-ci  plaça un coup d’estoc.   La glace gela alors les chaires prenant l’épée de l’homme dans  un  véritable piège de glace.  La manœuvre surprit l’elfe maléfique, qui ne réalisa pas la lance de feu qui lui tombait dans le cœur.  L’elfe  vida littéralement son énergie dans cette attaque.  La lance avait la température d’un volcan ce qui carbonisa le  Drow en moins d’une demi seconde.  Elle eut un petit sourire… Et s’écroula.  Les yeux à demi ouverts.


-Je ne pete pas plus au que mon cul… Cloporte…

Elle avait un petit sourire regardant la princesse qui était entrain de foncer sur elle.  Elle lui dit tranquillement.

-Il en faut plus pour me tuer… Mais tu aurais une … une couverture…  j’ai… Froid…

En effet, l’épée continuait à geler lentement mais surement  le corps de l’elfe.  Le peu de magie rouge qui restait encore dans le corps de l’elfe suffisait à peine à ralentir les effets du sortilège.  Si elfe ne recevait pas bientôt des soins,  il était fort probable qu’elle ne survive pas.  Elle se contenta de lui dire doucement.

-Si jamais… Je devais y rester… Prends soin… Prends soin d’elles…

L’elfe faisait bien sur référence à ses amantes. Elle donnait leurs charges à la princesse elle devait périr.  Enfin,  ce n’était qu’une éventualité. En effet, elfe avait déjà connu bien pire comme situation et s’en était toujours relevée.  Enfin…  Pour trouver pire, il fallait vraiment rechercher cette fois si.

 
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 07 février 2012, 16:53:34
Alice observait la scène, nerveuse. Dans sa tête, une voix lui ordonnait de fuir rapidement, de détaler, en insistant sur la présence inutile et risquée de la Princesse ici. Non contente de devoir se défendre contre le Drow, Tinuviel devait aussi se battre pour protéger Alice. Cette dernière était donc plus une gêne qu’autre chose, mais ses jambes se refusaient à partir. Elle était une Korvander, pas une lâche, et le dragon d’Or l’avait désigné pour agir. Elle ne pouvait se résoudre à fuir, à partir, à agir comme une lâche, et il était toujours possible qu’elle parvienne à aider l’elfe rouge. Comment ? Elle l’ignorait, car le combat qui se suivait sous ses yeux était une bataille difficile à suivre, et impressionnante. La lame de glace du Drow heurtait la lance enflammée de Tinuviel, dans une danse éblouissante et hypnotique. La glace, à chaque fois qu’elle heurtait la lance de feu, se craquelait un peu, mais, en retour, les flammes faiblissaient, forçant chacun des deux adversaires à utiliser un peu plus de magie. Le Drow se battait en forçant Tinuviel à prendre appui sur sa jambe blessée, mais l’elfe rouge parvenait tant bien que mal à résister, et à contrer. A plusieurs reprises, la Princesse retint son souffle en voyant la garde de Tinuviel être percée, mais elle parvenait à chaque fois à s’en sortir, soit à l’aide d’une esquive, d’une feinte, ou d’une parade rapide, contre-attaquant furieusement, acculant le Drow, qui parvenait in extremis à s’en sortir, avant de repartir de plus belle. Une danse impressionnante.

*Qu’est-ce que je me sens nulle… soupira Alice, avant de serrer le bébé dragon. Il faut que je reste stoïque. Je suis armée, après tout, peut-être parviendrais-je à aider Tinuviel… Si mes jambes n’étaient pas paralysées…*

Les flocons continuaient à s’abattre. La Princesse se mit à craindre une tempête de neige, tempête d’autant plus surprenante qu’il avait fait très beau. Mais c’était typique de la région de Sylvandell, où on observait parfois des chutes brutales de température quand les tempêtes des montagnes arrivaient rapidement. Alice sentit un nouveau fracassement des lames, un nouvel entrechoquement. Des étincelles orangées jaillirent, et le Drow s‘acharna avec rage, tentant de venir à bout de Tinuviel. Alice sentit un cri mourir dans sa poitrine quand la lame du Drow parvint à s’enfoncer dans l’armure de Tinuviel, atteignant et transperçant sa peau. Cette dernière parvint néanmoins à bloquer l’insaisissable Drow, et sa lance l’éventra. Le cri du Drow s’étouffa dans un crachement d’un sang violet noirâtre, alors que sa vue se brouillait. Les flammes jaillirent comme par magie autour de sa plaie, broyant son corps, et il se tortilla dans des hurlements de douleur sur le sol.

Alice n’eut cependant guère le temps de s’y intéresser, et courut vers Tinuviel, qui chancelait. Elle alla l’épauler, empêchant cette dernière de tomber, alors qu’elle se mit à balbutier. Alice ne sut pas quoi dire, tandis qu’elle voyait la lame s’enfoncer dans sa poitrine, givrant progressivement le corps de l’elfe rouge. Son cœur se mit à battre frénétiquement dans sa poitrine, alors que Tinuviel commençait à divaguer.

« Te ne mourras pas ! s’exclama Alice. Nous allons te soigner, alors accroche-toi à la vie ! »

Sentant un nouvel élan la saisir, Alice se mit à marcher, portant Tinuviel. L’elfe était plus lourde qu’elle, ne serait-ce qu’avec son armure, mais la Princesse se contentait de la soutenir, et avançait rapidement, se dirigeant vers le village, le bébé dragon les suivant prudemment, tournant autour de l’elfe rouge en grognant, sentant probablement qu’elle souffrait. La Princesse mit un temps qui lui sembla infini avant d’apercevoir les lueurs du village. L’elfe rouge continuait à sombrer, et était de plus en plus lourde. Alice tenta d’appeler les villageois, mais réalisa que sa gorge était enrouée. Elle toussota, et les appela à nouveau.

« Ohé ! Oh !!! J’ai besoin d’aide ! »

Les villageois ne lui répondirent pas, trop occupés par le feu qu’ils essayaient d’endiguer. La Princesse tenta à nouveau de marcher, mais son pied heurta une racine, et elle bascula sur le sol, chutant avec Tinuviel. L’elfe rouge tomba sur le flanc, et roula sur le dos. Alice se redressa rapidement, et essaya de soulever Tinuviel, mais sans vraiment y parvenir. Son corps devenait violet, et la Princesse se mordilla les lèvres.

« Réveille-toi, bordel, réveille-toi. Allez, Tinuviel ! AU SECOURS ! »

Alice se pencha vers elle, lui faisant du bouche-à-bouche, et essaya de retirer la lame. Elle posa ses mains sur le pommeau, mais hésita. Si elle se mettait à la retirer, ne risquait-elle pas de déclencher une hémorragie ? Alice hésita, sentant la panique l’envahir, et tapota l’une des joues de Tinuviel, recommençant à lui faire du bouche-à-bouche. Naïvement, la Princesse tenta à nouveau d’appeler à l’aide, quand elle entendit des bruits de pas venant de la gauche. Tournant la tête, elle vit une forme immense jaillir entre les arbres, et sentit son cœur fondre de joie en voyant le demi-géant marcher devant elle.

« Hodor ?
 -  Vite, Hodor ! enchaîna Alice, sans attendre plus longtemps. Il faut l’amener au manoir de Letterfinlay. Porte-là délicatement, dépêche-toi !
 -  Hodor… »

Hodor souleva délicatement Tinuviel, posant une main sur sa tête, et l’autre sur ses jambes, la soulevant comme une plume, puis marcha rapidement. Il rejoignit le village, et Alice le suivit rapidement en courant. L’incendie était maîtrisée, il n’y avait pas de blessés, et Alice s’empressa de rejoindre des soldats. Elle leur expliqua la situation, et un cavalier partit rapidement, Hodor le suivant. La Princesse, de son côté, décida, avant de les suivre vers le manoir de Letterfinlay, à proximité du village, d’aller voir Lorna pour l’informer de ce qui s’était passé. Mieux valait que ce soit elle qui lui annonce ce qui s’était passé, plutôt qu’un vigile.

Tenant le bébé dragon, elle retourna dans la chambre, et choisit d’attacher son cou à une laisse. L’auberge était réveillée, mais aucun soldat n’était rentré dans la chambre, car Lorna continuait à dormir. Alice parvint, malgré la situation, à s’en sentir amusée. La jeune kitsune dormait si paisiblement qu’elle avait presque du remords à la libérer de ses rêves, mais il fallait bien l’informer. Et puis, la présence de Lorna ne pourrait qu’aider Tinuviel à aller mieux. Alice rentra donc dans la chambre, et s’assit sur le rebord du lit, posant doucement une main sur l’épaule de Lorna, la secouant très légèrement.

« Lorna ? Lorna ?! Lorna, tu dois te réveiller! Il… Nous avons été attaqués, et… Tinuviel m’a sauvé la vie, mais elle a été blessée… Elle a été transférée d’urgence dans le manoir du baron local… La blessure n’est pas mortelle, mais… Enfin, je pense que ta présence serait la bienvenue… Réveille-toi, Lorna, allez… »

La Princesse continua à parler, secouant un peu Lorna.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le mardi 07 février 2012, 18:53:17
La glace voyait sa progression ralentie,  la mage rouge bien qu’inconsciente continuait à employer ses dernières forces contre ce fichue sortilège,  il s’agissait d’une question de survie.    Elle pouvait se basait d’un bras,  d’une épaule,  mais ce n’était pas le cas des organes vitaux qui recevait le maximum de chaleur actuellement, ce qui expliquait pourquoi le cerveau de l’elfe était actuellement en mode repos.  Il fallait épuisée le moins de force vitale que possible. Toutefois, si elfe avait  était consciente, elle aurait sans doute  appréciée le bouche à bouche que la princesse tentait de lui faire.  Enfin, cela était une autre histoire,  et elle était pour l’instant dans un autre monde.  Un monde froid,  vide,   et noir. Une seconde de ce sommeil et c’était des heures qui passaient dehors alors que l’on tentait désespérément de la soigner. 

Lorna quand à elle, avait dut mal à dormir.  Son sommeil avait beau être calme, elle ressentait, une absence.  Il y avait quelque chose différent de d’habitude, même dans ses rêves et elle était inquiète.  Et cela fut confirmé lorsque la jeune princesse la réveilla.    Elle ne comprit pas tout de suite, cherchant sa maitresse du regard.   Plus, les paroles que la jeune femme prononçait, prirent corps dans son esprit.  Elle ne savait pas qui.  Mais quelqu’un avait réussit à blesser sa maitresse et cela était dut à cette espèce de princesse.  La kitsune se leva d’un bond.  Jetant un regard des plus noirs sur la pauvre humaine qui devait  déjà suffisamment culpabiliser comme cela. La   renarde  se contenta d’aller rechercher ses affaires en vitesse.  S’habillant le plus rapidement que possible. Ne disant absolument rien à l’humaine. Puis lorsque ce fut le cas,  la demoiselle fixa la princesse et lui dit.


-Je ne te tuerais pas puisque si ma maitresse est bléssée  d’après ce que tu m’as dit c’est pour te protéger.  Mais sache une chose.  Je  ne te le pardonnerais jamais si  elle ne s’en sortait pas.  J’espère que tu m’as comprise ?

La jeune kitsune a cet instant était tout simplement effrayante, il n’y avait absolument aucun autre mot pour la décrire.  C’était comme si on l’avait remplacé par un clone d’elle-même mais en version maléfique.     Pourtant, c’était bien la même jeune femme qui quelques heures avant était si timide et si  douce.   
En réalité, la kitsune avait tout simplement peur,  peur que sa déesse ne soit dans un état critique.  Elle avait peur et elle était en colère.  Elle était en colère contre cette princesse qui  n’avait pas put se protéger elle-même.    Elle lui dit  rapidement.



-Bon, qu’est ce que tu attends,  conduit moi jusqu’à elle.  Tu  ne pense pas que tu as fais assez de mal pour
aujourd’hui pour me faire patienté ?


La kitsune ne se rendait même pas compte de ce qu’elle était entrain de dire.  Elle ne le faisait pas spécialement exprès, mais en réalité, elle était morte de peur pour  l’elfe.  Le reste du voyage se produisant sans un mot.  La kitsune  épluchait toutes les divinités des différents panthéons qu’elle connaissait pour que ceux-ci aide l’elfe.   Autant dire que vu le nombre de religion représentait au harem, il y   avait du travail.   Finalement les deux jeunes femmes furent guidées dans le manoir dans la salle ou l’elfe rouge recevait des soins.  La Jeune kitsune  se précipita vers sa maitresse lui caressant doucement la joue alors que celle-ci était entrain de pleurer. Elle n’était pas idiote et elle savait que la dague placée dans l’épaule de l’elfe était entrain de produire de la glace. 
Elfe ouvrit doucement les yeux, voyant que sa petite protégée était entrain de pleurer.  Elle passa doucement sa main  encore utilisable sur le visage de la jeune femme lui souriant confiante.


-Chut… je ne suis pas encore morte…  Alors ne pleure pas… J’ai encore… Quelques tours dans mon sac….    

Elfe avait du mal à rester éveillée.  Elle était faible et son corps luttait contre le poison glacée qui coulait dans ses veines.  Elle savait que seule, il n’y avait que peu de chance pour qu’elle s’en sorte.  Mais si la jeune princesse avait des soigneurs à son service,  son pronostique final serait peut être différents.    Pour l’instant, il fallait surtout arrêter ce fichue sortilège de glace,  sinon, elle finirait en esquimau avant même d’avoir put faire ses adieux.  Elfe eut un petit sourire faisant signe à la princesse de venir.  Elle se contenta de lui dire.
-N’en veux pas …  trop à Lorna…  Elle est sur… les dents… quand je saute… un repas,  alors cela doit être difficile pour elle… De me voir… comme cela… Mais bon. En attendant…  Si tu as un mage… a porté de main… j’aimerais bien… Qu’il arrête… Ce … Fichu… Sor…ti… Le…ge…

Elle avait du mal à prononcer les derniers mots,  cela lui demandait beaucoup d’énergie de discuter.  Mais elle devait rassurer sa jolie amante et la jeune princesse.  C’était au moins le minimum. Surtout que lorna serait sinon totalement folle.  L’elfe  clignait parfois des yeux, luttant contre un sommeil qui se faisait de plus en plus présent.  Elle ne devait pourtant… Surtout… ne … pas … DORMIR……..
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 08 février 2012, 08:28:41
Alice prit instinctivement peur, craignant que Lorna ne veuille la tuer sur place. Elle lui lança un regard meurtrier, glacial, haineux, et Alice en frémit. La Princesse se mordilla les lèvres en reculant, mais Lorna se contenta de s’habiller.

« Je… » tenta de dire Alice, avant de se raviser.

Lorna n’avait visiblement pas envie de discuter, ce que la Princesse pouvait aisément comprendre. Elle se tut, s’asseyant sur une chaise dans un coin, baissant la tête, serrant les poings. La Princesse se sentait effectivement responsable de ce qui était arrivé. Elle avait incité Tinuviel à la suivre, à se mêler d’une histoire qui ne la concernait pas, et, même si elle n’avait pas physiquement attaqué l’elfe rouge, elle se sentait bel et bien coupable de ce qui était arrivé. Lorna finit par l’invectiver, lui ordonnant de la conduire à Tinuviel.

« Oui, suis-moi… » répondit la Princesse rapidement, baissant les yeux.

En d’autres circonstances, Lorna aurait pu être flagellée sur la place publique pour ce qu’elle disait. Si son père l’avait surpris, il l’aurait sans doute fait, même en fonction de ces circonstances particulières, mais Alice n’était pas comme son père, et se sentait particulièrement responsable de ce qui était arrivé. Elle sortit précipitamment de l’auberge, et grimpa sur un cheval, laissant à Lorna un autre cheval. Alice s’empressa alors de rejoindre le manoir de Letterfinlay, passant par la grand-rue. Le manoir se trouvait à la sortie du village, près d’une forêt. En s’approchant, Alice put voir les lumières allumées, et approcha de la cour. Elle déposa précipitamment son cheval près de deux garçons d’écurie endormis.

« Où a été emmenée l’elfe rouge ?
 -  Dans le salon principal, Madame », répondit le garçon en prenant les rênes d’Éclipse, son cheval.

Hochant la tête, Alice rejoignit la grande porte d’entrée, et l’ouvrit. La neige continuait délicatement à tomber, et elle traversa le vestibule, atterrissant devant un escalier d’intérieur en marbre, avec de multiples chandeliers qu’on avait rallumés. Un page ne tarda pas à arriver, tenant dans une main une bougie sur un couvert en argent.

« Majesté ?
 -  Conduisez-nous immédiatement à l’elfe rouge, ordonna Alice.
 -  Si Votre Majesté daigne bien me suivre… »

Le page avança le long d’un couloir. Le manoir était relativement grand, comprenant de nombreuses portes et couloirs, et Alice tâcha de s’enquérir un peu plus des choses qui étaient arrivées. Le page étant sa seule source d’informations pour le moment, elle lui demanda des éclaircissements, ce que ce dernier ne tarda pas à divulguer.

« L’elfe rouge a été déposée dans le salon principal. Un lit a été dressé pour l’occasion. Elle est à côté d’une cheminée. Dès que le Baron a su ce qui se passait, il a mandé son guérisseur attitré, qui est aussi un excellent alchimiste. Ce dernier a ausculté brièvement Tinuviel, avant de se retirer dans son laboratoire pour confectionner des élixirs et des potions. »

Alice hocha silencieusement la tête. Le page finit par les conduire dans le salon. On avait rapidement mis un lit, et Tinuviel était allongée dans les couettes. Son armure lui avait été ôtée, et trônait sur une table à côté. Dans un coin, Hodor, assis en tailleur, observait la situation, et plusieurs pages et autres domestiques se pressaient autour de l’elfe rouge. Alice s’approcha, mais ne put retenir Lorna, qui bondit vers Tinuviel. Silencieusement, la Princesse aperçut Letterfinlay. Le Baron avait tout juste eu le temps d’enfiler un peignoir, et on pouvait voir un début de barbe sur son menton, alors qu’il bâillait de temps en temps, étouffant ses bâillements en plaçant sa main devant sa bouche. Son regard s’anima quand il aperçut Alice.

« J’apprécie vos agréables surprises, Princesse, même au beau milieu de la nuit…
 -  Je vous remercie de bien vouloir nous aider… »

Interrompant la conversation, Alice s’approcha de Tinuviel quand cette dernière lui fit signe de venir. La Princesse tâcha de lui signaler qu’elle ne devait pas en vouloir à Lorna. La Princesse haussa les épaules, et Tinuviel continua, demandant l’assistance d’un mage. Alice lui offrit un petit sourire.

« Lorna est juste amoureuse de toi. Je ne peux pas lui tenir rigueur de s’inquiéter pour toi… Et puis, c’est en partie de ma faute, après tout… Pour le mage, je…
 -  Les mages, c’est démodé ! » lâcha soudain Letterfinlay en se rapprochant d’elles.

Le Baron tenait dans une main une tasse de chocolat chaud, la buvant soigneusement.

« Un mage blanc, c’est bon pour éviter de se faire blesser. Quand on est déjà blessé comme vous, un mage blanc, c’est inutile… Rassurez-vous, mon alchimiste est sur le coup. Il a injecté dans votre corps des produits de première nécessité, ce qui vous a permis de retrouver suffisamment de force pour parler. Nous devons également extraire la balle dans votre jambe avant qu’elle ne s’infecte. »

Le Baron continua à parler, mais fut soudain interrompu par la venue de l’alchimiste, un homme qui semblait tout droit sorti d’un cliché de conte pour enfants. Il avait une longue cape qui flottait derrière lui, et se posa devant Tinuviel.

« Place, place, je vous prie ! Laissez la patiente respirer ! fit-il, avant de voir Lorna. Je n’avais jamais vu une autochtone de si près… Intéressant… »

L’alchimiste se pencha vers Tinuviel. Il portait un long chapeau pointu, ainsi qu’un curieux monocle. Il l’utilisa pour inspecter la plaie. Alice frémit en le voyant retirer la couverture. Toute la zone entourant la lame de Tinuviel était violette, et Alice remarqua alors que le froid se propageait à hauteur de son cou.

« Hum… L’infection se répand… L’élixir que j’ai inoculé a brièvement retardé la diffusion, mais… Hum… Diagnostic simple… Symptômes faciles à comprendre… Pourquoi le cœur ne s’est pas arrêté ? Hum… »

Continuant à soliloquer, l’alchimiste ouvrit son grimoire, tourna plusieurs pages, et hocha la tête.

« Poison mortel ? Non… C’est un sort fait pour faire souffrir, et qui utilise le cœur pour répandre le froid dans tout le corps… Belle résistance, vous devriez déjà être morte… Augmentez le feu, vous autres, allez ! Plus il fera chaud, plus nous gagnerons de temps. »

L’alchimiste posa l’une de ses mains sur la poitrine de Tinuviel, réfléchissant rapidement, cherchant des réponses. Il s’humecta les lèvres, et se replongea sur l’étude du corps, suivant une ligne mystérieuse partant du cœur de la femme vers l’une de ses mains.

« Je vois, je vois… Premières impressions confirmées, diagnostic confirmé. »

Il se releva subitement, et posa sa main sur le pommeau de l’épée.

« C’est un sortilège qui affecte directement le système sanguin. Pour le guérir, l’approche primaire consiste à ôter l’épée, et à ce que le sang contaminé se retire. Malheureusement, faire cela reviendrait certes à annuler le sortilège, mais aussi à vous tuer. Nous allons donc… Faire autre chose. Je ne vous demanderais pas de rester calme. Il faut au contraire que le sang se diffuse rapidement dans votre corps. »

L’alchimiste tenait dans son autre main une espèce de fiole, et retira d’un coup, sans prévenir la lame. Il la jeta au sol, et le sang ne tarda pas à s’échapper de la plaie. Agissant très rapidement, l’alchimiste décapsula la fiole, et la glissa dans la plaie.

« Ne pas l’inoculer par la bouche… La mixture doit directement atteindre le cœur… Amenez des bandages, vite ! »

Un assistant jaillit, et, tandis que l’alchimiste répandait les dernières gouttes, il se redressa, et plaça une espèce de baume autour de la plaie, posant une main sur ledit trou, afin d’éviter que le sang ne s’échappe, et utilisa le bandage fourni par l’assistant pour fermer la plaie, en profitant pour faire plusieurs points de suture. Tinuviel semblait vaseuse, et son corps ne tarda pas, par le biais de ses muscles, à remuer rapidement sur son lit. Sans attendre plus longtemps, l’alchimiste sortit une espèce de seringue, et l’enfonça dans le cou de l’elfe rouge, l’endormant, détendant son corps.

« Il faut s’occuper de sa jambe maintenant, extraire la balle… Un peu de chirurgie, en somme… »

L’alchimiste alla s’effectuer, sortant la belle jambe de l’elfe, et utilisa des instruments chirurgicaux pour l’ôter, avant de fermer la plaie à l’aide de points de suture. Il soupira ensuite, et regarda son assistance, prenant son pouls.

« Elle vivra… Mais elle a besoin de dormir… »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le mercredi 08 février 2012, 18:00:32
L’elfe  avait du mal à ne pas fermer les yeux, se disant que tant que le mage ne serait pas là,  elle ne devait pas dormir.  Elle réfléchissait avec le peu d’énergie qui lui restait,  se disant que cette fois si, elle avait  trouvé plus fort qu’elle.  Son seul regret, était le fait qu’il neigeait à gros flocon,  elle aurait préférait un autre linceul que cette fichue pellicule blanche.   Oui, elle haïssait la neige, le froid en général d’ailleurs, c’était une des rares choses qui pouvait l’empêcher de sortir et cette haine était sans doute dut à son affinité naturelle avec le feu.
Elfe   se contenta de rester à moitié consciente,  tentant de se taire pour économiser le peu de force qu’il lui restait.  Elle  réfléchissait, se demandant comment tout cela allait finir.  Elle se demandait si oui ou non, il existait des lieux qui accueillaient les âmes  des morts,  et si cela était le cas  dans lequel de ces lieux elle serait condamnée à passer le reste de son existence.  Elfe avait beau garder les yeux ouverts,  elle ne comprenait plus rien de ce qu’il se disait,  elle n’entendait qu’un bruit relativement confus.  Un bruit de fond couvrant tous les autres.  Son seul réconfort était de savoir que Lorna était près d’elle à ce moment la.  Au moins,  la jeune
Ce fut à ce moment que l’alchimiste du baron fit son entrée en scène.  Pendant un moment,  elfe se demanda  si cet homme était vraiment son sauveur,  ou s’il ne s’agissait pas plutôt d’une mise en scène de la mort elle-même pour récupérer plus facile son âme.  Elle  se laissa faire,  de toute facon, elle n’avait plus la force de se battre.  Elle était totalement passive,  totalement épuisée.   La seule source de pouvoir dont elle pouvait encore se servir, était maintenant hors d’atteinte.  Trônant avec majesté sur la table du salon.  Elfe se sentait vraiment nue sans elle,  elle avait toujours l’habitude de la garder sauf si elle était en compagnie d’une amante ou d’un amant.  Ce n’était pas le cas ici, voila pourquoi la jeune femme se sentait si nue.  Elfe  tenta d’articuler quelques mots  mais rien ne sortie de sa bouche.  Elle n’en avait maintenant plus la force.   

L’alchimiste continuait son diagnostic pendant que lorna prenait soin comme elle le pouvait de sa maitresse.  Caressant doucement le visage de sa maitresse.   Si elle ne  s’en tirait pas,  elle aurait vraiment tué la jeune princesse et ceci  sans aucun regret,  la mort, elle s’en moquait,  elle vivait pour l’elfe.  La mage rouge était la seule et unique raison de vivre de la jeune kitsune.  Sans elle, sa vie n’avait absolument plus aucun sens.  Alors autant en finir le plus vite que possible et si cela était possible, en causant le plus de mal à ce pays de misère. 

Le diagnostic était maintenant fini et l’homme pouvait maintenant  commencer le traitement de la jeune elfe.  Il commença par ôter la lame de l’épaule de l’elfe.   Celle-ci poussa un cri déchirant.  Elle ne s’y était pas préparée et en plus,  cela avait était fait à vif.  La douleur circulant dans ses veines était sans doute plus  mauvais encore que le poison en lui-même.  Elle avait mal, terriblement mal, mais le pire était sans doute la suite.  Elle savait qu’éliminer le poison qui restait encore dans ses veines lui couterait sans doute encore de nombreuses larmes. Mais si c’était le prix à payer pour continuer son œuvre…

Lorna quand à elle était folle.  Elle fallait d’ailleurs étrangler le mage si deux des  curieux qui assistait à la scène ne s’étaient pas jetés sur elle pour pouvoir la maitriser.  Et encore, ces deux puissants gaillards avaient du mal à maintenir en place une kitsune totalement  hors de contrôle.  Le changement était tout simplement spectaculaire, personne n’aurait put penser qu’une créature en temps normale si douce et sensible pouvait cacher un tel démon.   C’était tout simplement hors de toute conception normale.

L’elfe elle continuait  à se tortillait à la suite du traitement. Elle  fini finalement par s’endormir et la kitsune    se calma.  Elle pleurait toutes les larmes de son cœur, voyant sa maitresse dans un état tellement proche de la mort.   Malgré le fait que le magicien  disait qu’elle allait s’en tirer, elle se sentait responsable de ce qu’il était entrain de se passer.  Au lieu de dormir, elle aurait dut être la pour sa maitresse.  Elle   resta à coté d’elle durant le reste de la journée.
L’elfe resta durant près d’un jour et demi dans le coma.  Durant ce temps, la kitsune ne la quitta pas un seul instant.  Elle ne buvait plus,  ne mangeait plus,  ne dormait plus.  Elle restait là, à attendre que la  mage rouge se décide enfin à se réveiller malgré tous les conseils des gens qui se succédèrent dans cette salle.   Restant et touchant avec patience la peau de la jeune elfe du soleil.

La kitsune contribuait au rétablissement de la jeune elfe. En faisant cela, elle transmettait à l’elfe une partie de ses sentiments,  chose qui était également une partie de la magie rouge.  Oui, la magie rouge ne se limitait pas au sexe  ou au feu,  il y avait également une haute part sentimentale,  une chose que le drow n’avait sans doute jamais connue.  Et la magie de l’elfe contribuait  à la soigner, en effet cette magie avait le divin avantage de pouvoir modifier les corps, mais également leurs rendre leur forme d’origine.

Elfe se réveilla enfin,  elle sentit la tête de la jeune kitsune contre elle.  Elle eut un petit sourire,  voyant la  jeune femme qui dormait contre elle.  Elle devait avoir veillait jusqu’au dernier moment, mais le sommeil avait sans doute eut raison de  sa détermination.
Elle posa doucement sa main sur la joue de la jeune femme.  La réveillant doucement, avant de chuter lourdement lorsque la jeune femme se jeta sur elle.  Elle eut un petit sourire et se contenta de lui dire.


-Merci.

Les mots  étaient superflus.  Elles  n’en avaient pas besoin pour se comprendre.  Les deux femmes étaient maintenant dans les bras l’une de l’autre.  Qu’importe qui pouvait venir,  maintenant rien n’empêcherait la jeune kitsune de profiter de son amante.  Juste, juste être dans ses bras et profiter.  La mort l’avait pour l’instant épargnée mais cela ne serait peut être pas  le cas pour l’éternité.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 08 février 2012, 22:19:18
Vu la manière dont Lorna avait réagi pendant que l’alchimiste la soignait, Alice autorisa qu’on la laisse avec Tinuviel. Inutile d’essayer de la retirer. De même, les gardes hésitèrent à s’approcher d’elle, prenant peur qu’elle ne les attaque. Seul l’alchimiste et ses assistants, durant les heures qui suivirent, purent s’approcher de l’elfe rouge, afin de veiller au rétablissement de son corps. Malgré ses efforts, Alice finit par s’endormir sur le fauteuil où elle s’était assise, et le Baron, lui, retourna rapidement se coucher. On posa une petite couverture sur le corps d’Alice, qui dormit dans un coin. Lorna refusa rigoureusement de manger ou de boire, et toute tentative de l’inciter à manger résultait en des sifflements et des coups de queue. Alice, de son côté, resta dans le manoir, ce qui n’était nullement pour déplaire à Letterfinlay, mais envoya des lettres à destination du royaume de Sylvandell. Elle ne doutait pas une seule seconde des capacités de rétablissement de l’elfe, et les propos de l’alchimiste étaient en ce sens assez encourageants. Le poison diminuait, son corps se réchauffait, et elle était après tout une elfe puissante. Alice se chargea donc d’envoyer des lettres pour informer le royaume de ce qui se passait, mais aussi pour leur signaler que Tinuviel voulait récupérer des fleurs.

Un coursier vint le jour même, et déposa dans un vase des fleurs précieuses, cueillies dans le Territoire des Dragons, Alice espérait qu’il y aurait tout ce que Tinuviel cherchait. C’était une bien maigre consolation pour ce qu’elle avait vécu. A plusieurs reprises, la Princesse hésita à venir parler à Lorna, avant de se ravir, se disant que la kitsune lui en voudrait sûrement trop pour accepter, ne serait-ce que de la regarder. Fort heureusement, la convalescence de Tinuviel n’excéda pas une journée, et, quand cette dernière émergea, Alice se trouvait dehors. Le manoir comprenait de petits jardins donnant sur un lac, et elle observait la surface de l’eau en soupirant. C’était le crépuscule, le soleil se couchait, et la neige qui s’était abattue avait recouvert le paysage. Le lac n’avait pas encore gelé, et elle fut sortie de ses réflexions par la venue d’un page, lui annonçant que Tinuviel était rétablie.

Quand elle revint, Tinuviel serrait Lorna dans ses bras, et Letterfinlay se trouvait là, l’observant silencieusement, tandis que l’alchimiste était à côté de lui.

« Il faudrait… Diagnostiquer dans quel état elle est… Risques de rechute… Nécessité de vérifier si le poison a été neutralisé, si les anticorps fonctionnent…
 -  Le problème, c’est pas tant Tinuviel, que la kitsune qui l’accompagne…
 -  Femme amoureuse… Dangereuse, poilue… Douce et furieuse quand on touche à ce qu’elle aime… Hum… Prudence, prudence… »

Alice soupira, et récupéra le vase contenant les fleurs, et s’approcha des deux femmes. Elle se racla la gorge silencieusement, restant à côté d’elles, tentant le vase comme une espèce de bouclier.

« Je… J’ai envoyé quelqu’un mander vos fleurs… J’espère qu’il y a ce que vous voulez ici… »

La Princesse rougit faiblement, et s’écarta un peu, posant le vase sur la table de chevet.

« Si… Si vous voulez quelque chose d’autre, il… Il suffit de le dire… Votre… Votre armure est sur la table… »

Se mordillant les lèvres, elle se retourna et s’éloigna. Elle ne voulait pas déranger Lorna et Tinuviel dans leurs retrouvailles, et alla s’asseoir sur un fauteuil à côté du lit, tendant ses mains près de l’âtre de la cheminée, afin de réchauffer ses doigts.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le jeudi 09 février 2012, 11:24:57
Lorna ne quittait pas les bras de son amante,  restant à coté de celle-ci, comme si sa vie en dépendait.  Elle  caressait doucement le visage de l’elfe, alors que la mage rouge faisait la même chose, se livrant à un spectacle au combien érotique en plein milieu d’une salle remplie  de monde. La pudeur n’était pas une chose dont l’elfe s’embarrassait et Lorna était trop heureuse de  retrouver sa maitresse pour dire quoi que ce soit.   Cependant, elfe était consciente que cela n’irait pas plus loin cette fois ci,  en effet, elle était encore bien trop faible pour se livrer à toute autre activité que quelques  caresses.
Elles furent cependant arrêtées par dans leurs activités par une jeune princesse.  Elfe se contenta d’un petit sourire lorsqu’elle vit Lorna qui foudroyait littéralement des yeux la jeune princesse.  Elle avait déjà faillit tuer son amour, et en plus celle-ci se permettait de les déranger dans leurs retrouvailles.  Elle allait vraiment la tuer, il n’y avait pas d’autre  solution,  surtout qu’elle les dérangeait pour  des fleurs.
La kitsune sentit doucement la main de l’elfe sur sa nuque,   et chaqu’une de ses pensées s’évanouit dans le néant.  Elle se contenta de  laisser faire l’elfe,  toutes ses  tentions s’étant évacuées en moins de cinq seconde.  La jeune femme allait mieux,  voila,  maintenant cette jeune  était redevenue la jeune femme qu’elle était. Cela voulait donc dire  qu’elle était de nouveau  calme et paisible.  Du moins, pour l’instant.  L’elfe se contenta d’un petit sourire et dit tranquillement.
-C’est fort gentil à vous Alice et je vous remercie d’avoir pensé à nous.  Pour les fleurs, je pense que cela devrait suffire.  Bon. Maintenant, allons voir cette armure.

Elle mit du temps à se relever et se dirigea encore faible vers son armure.  Elle refusa d’ailleurs toute aide. Il s’agissait d’une question d’honneur pour elle que de se débrouiller seule.  Elle se déplaça donc, totalement nue et livrée aux divers regards de l’assistance, avant de remettre son armure, constant avec horreur, le fait que l’épée avait franchi la protection en écaille de dragon.  Ce Drow il avait vraiment pourri la vie.  Elle soupira donc, passant ses doigts sur le trou qui se reforma.  Heureusement que cette armure était le prolongement de son corps, et qu’elle avait était  enchantée pour réagir tel qu’elle. Elle pouvait donc utiliser la magie rouge pour les réparations,  et eut un petit sourire avant de se diriger vers la jeune princesse.


- Laissez un peu de temps à Lorna,  elle a été choquée  mais elle retrouvera bientôt sa douceur et son optimiste habituelle.  Quand à vous,  ne vous tourmentez pas trop.  Je sais les risques que je prends à chaque combat et je les aie acceptés  en connaissance de cause. 

Elle eut un petit sourire, avant de s’assoir sur le canapé, suivit de prêt par la kitsune qui se plaça sur ses genoux.   Elle avait beau avoir encore un peu froid,  elle se sentait mieux, la chaleur de l’âtre se rependait doucement dans son corps et cela était une bonne chose.  La kitsune elle, se montrait déjà plus calme et même si elle  continuait à ne pas adorer la jeune princesse, elle n’avait déjà plus envie de la tuer, consciente qu’elle était également responsable de la survie de sa maitresse.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 09 février 2012, 15:36:26
Le regard de Lorna était toujours aussi glacial. Alice essaya de ne pas en tenir compte. Néanmoins, ce regard n’échappa pas à celui des gardes, qui serrèrent leurs mains sur leurs armes. Fort heureusement, Tinuviel parvint à détendre Lorna, et la Princesse s’isola dans un coin, se réchauffant près du feu. Tinuviel lui affirma que les fleurs furent suffisantes, et Alice se sentit idiote. Lui apporter des fleurs… C’était d’un ridicule ! Bon, il est vrai que Tinuviel était venue jusqu’ici pour trouver des fleurs, mais elle ne s’attendait probablement à être blessée. Se sentant naïve, Alice se concentra sur les flammes, jusqu’à ce que Tinuviel tente de se relever. Lorna tenta de l’aider, et quelqu’un suggéra de lui mettre une espèce de robe pour la couvrir, mais le regard acéré de Lorna le dissuada. Se relevant, Tinuviel marcha faiblement vers la table, et inspecta son armure. Elle était fêlée, et le Baron intervint.

« Les forgerons et les alchimistes pourront gratuit… »

Le Baron se tut quand Tinuviel posa sa main sur l’armure, réparant instantanément cette dernière. Le Baron Letterfinlay s’humecta les lèvres, et haussa les épaules.

« Je n’ai rien dit… »

Nue, Tinuviel suscitait naturellement quelques regards. Alice la regardait, trouvant qu’elle était effectivement belle. Se trouvant près des flammes, elle avait eu une vue du dos de l’elfe, de son tendre postérieur. Elle avait un corps ferme et solide, un corps de guerrière et de combattante, très élégant et robuste. Des hanches parfaites. Elle songea qu’elle avait le profil parfait du corps d’un Commandeur. Tinuviel se retourna ensuite vers elle, et lui dit de ne pas s’inquiéter sur Lorna. Alice sourit faiblement, tandis que Tinuviel, affaiblie, allait s’asseoir sur un confortable canapé. Alice se releva, mais el Baron intervint à nouveau.

« Ce n’est pas que le spectacle soit déplaisant, mais se promener le cul à l’air, ce n’est pas très recommandé, surtout pour une blessée. Allez lui chercher des vêtements chauds », ordonna-t-il à un page.

Le page hocha la tête, et s’éloigna. Alice récupéra une couverture, et la jeta sur Tinuviel, sans vraiment attendre son avis.

« Vous devez vous couvrir, Tinuviel, insista-elle. Il fait froid, et, même si je ne doute pas de vos capacités à lutter contre le froid, je me dois de veiller à votre bon rétablissement ! »

Elle parlait sur un ton relativement intransigeant, et se releva, après avoir mis la couverture. Elle regarda ensuite Lorna, et se mordilla les lèvres. Les caresses qu’elles avaient faites… En apparence, elles ne signifiaient rien, mais Alice, après avoir partagé un bain avec elles, savait pleinement que les caresses de Tinuviel n’étaient que de simples élans de tendresse, mais comportaient aussi une part d’érotisme. La Princesse réfléchit donc brièvement, puis parla une nouvelle fois.

« Si vous le désirez, Tinuviel, vous pourrez bénéficier d’une chambre ici… Je ne doute pas que le Baron vous offrira l’une de ses chambres…
 -  Pour deux beautés comme ça, confirma Letterfinlay, je peux même vous laisser ma propre chambre et dormir dans le salon ! Mais on ne veut pas vous forcer à quoi que ce soit. Enfin, peu importe… Il fait froid dehors, mais les baronnies, sous la neige, c’est un joli spectacle… L’attaque de ce Drow était relativement exceptionnelle. Une enquête est toutefois en cours. Il est possible qu’un Commandeur vienne vous interroger pour en savoir plus sur ce qui s’est passé. »

Alice devint écarlate. Sous l’angoisse, elle avait complètement oublié d’alerter les autorités sylvandiennes ! Jeune petite Princesse naïve… Heureusement, le Baron avait pris ses dispositions, envoyant un courrier au royaume. Le Drow, ou plutôt, ce qu’il en restait, avait été amené dans le laboratoire de l’alchimiste, qui inspectait les restes du corps calciné. Le Commandeur en question devait sûrement se trouver au village pour le moment, enquêtant sur l’incendie.

« Je comprendrais que vous n’ayez plus envie de rester à Sylvandell lâcha Alice. Si vous avez besoin d’une calèche pour retourner dans votre harem, je me chargerais de vous en fournir un. »

Tinuviel avait beau tenter de la rassurer sur Lorna, Alice était sûre que, si l’elfe n’était pas là, elle l’aurait déjà étranglé dans sa queue. La Princesse soupira, et retourna près du feu, frissonnant légèrement.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le jeudi 09 février 2012, 18:23:31
La mage rouge se contenta de soupirait lorsqu’on lui demanda de se mettre quelques choses.  Son armure avait besoin de repos et elle ne portait rien d’autre depuis des années hormis celle-ci.  Il était d’ailleurs plus que probable qu’elle ne porte plus jamais rien d’autre.  Elle était comme cela,  et il ne fallait pas trop lui en demandé. Elle accepta tout de même la couverture, considérant que cela n’était pas un vêtement, et se servit de la longue et douce que de lorna pour compléter cela. Voila, elle ne risquait pas de mourir de froid avec cela.  Et se contenta de sourire.
- Vous savez que je ne porterais rien d’autre, alors pourquoi déranger ce pauvre page ?  Surtout que mon corps n’est pas si moche non ?   Dans tout les cas, je me dois  de vous remercier baron ainsi que votre alchimiste.  Je ne serais sans doute plus en vie à l’heure actuelle sans votre intervention et je sais que je ne serais sans doute plus de ce monde.    Il me semblait donc normal de vous remercier.

Elfe se retourna doucement vers lorna qu’elle embrassa doucement d’un petit baiser tendre.  Il n’y avait rien d’autre que  de l’amour dans ce geste et elle lui dit à elle aussi.

-Je suis désolé ma chérie de t’avoir causé tant de soucis.  Je ferrais attention désormais. 
Elle eut un petit sourire en voyant la réaction de la jeune kitsune.  Elfe se contenta de la réembrasser, laissant clairement à l’assistance comprendre ce qui était déjà évident. Certes, l’elfe n’avait pas le même amour que Lorna avait pour elle, mais cela n’empêchait pas leurs relations d’être particulièrement forte.  Elfe  écouta avec patience les informations qu’on lui avait données entre temps.  Hum, rester ici. Pourquoi pas,  effectivement cela pourrait être une bonne chose surtout qu’elle ne se sentait pas de faire le voyage en sens inverse.  Et les chevaux ne pourraient pas la déposer au harem, celui-ci se trouvant en plein désert, c’était tout simplement impossible.  Elle eut donc un petit sourire avant de répondre.

-Je m’en voudrais d’abuser de votre hospitalité monsieur le baron,  mais j’accepte de rester ici, au moins quelques nuits le temps  de reprendre des forces.  Le harem étant en plein désert, les bêtes ne pourrons nous y conduire.   Et honnêtement, je préfère encore voyager à mon rythme.  Mais ne vous inquiétez pas pour nous.  Nous dormirons dans une chambre de servante.   Enfin… Si nous dormons bien sur.

Elfe eut un petit sourire, elle faisait planer le doute,  le mystère était une des choses qui faisait en sorte qu’une femme belle devienne indispensable.  Enfin,  dans son cas, le mystère n’était que relatif, mais elle savait qu’elle pouvait se permettre ce genre de petite allusion ici.  Elle eut même une petite pique pour la jeune princesse.

- Si les nuits dans votre pays sont froides, je connais la meilleure facon de les réchauffer et peut être que  la princesse de ce charmant royaume voudra elle aussi en profiter vu comme elle grelote.  Allons,  venez près de moi, la couverture est assez grande pour trois.  Et Lorna ne vous ferra aucun mal, vous en avait ma parole.

Elle laissa la princesse réfléchir à cette proposition, demandant au baron.

-Et vous, Baron, n’avez-vous pas quelqu’un pour vous tenir chaud la nuit ?  J’ai du mal à croire qu’un homme de votre trempe soit seul.  Enfin, je me mêle de chose qui ne me regarde pas remarqué.
Elle savait pourtant le pouvoir de séduction que pouvait avoir ce genre d’homme sur les femmes,  ou sur les autres hommes  après tout. Elle n’allait pas s’en plaindre si s’était le cas,  cela ferrait plus de demoiselle susceptible de la rejoindre.   
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 09 février 2012, 20:46:56
Sagement, Tinuviel leur expliqua qu’elle ne comptait porter rien d’autre que son armure, et Letterfinlay soupira, disant au page de déposer des vêtements en laine sur la table. Le Baron s’approcha ensuite près du feu, réchauffant ses mains près de l’âtre de la cheminée, les caressant. Tinuviel insista alors sur le fait qu’elle devait remercier le Baorn, puisqu’il avait sauvé cette dernière.

« Vous me remerciez de faire mon devoir ? sourit-il. En tant que baron, il m’incombe, non seulement de veiller sur la santé de mes serfs, mais aussi des invitées de marque. Et, même si vous n’êtes pas rentré en grande pompe, une elfe rouge qui démonte un Drow, sauve un dragon, et a un aussi beau corps que moi, ça mérite bien quelques égards. »

Tinuviel alla ensuite embrasser Lorna, deux tendres et longs baisers. Les gardes détournèrent le regard, et Letterfinlay les congédia. Le fauve Lorna était visiblement calmé, sa grosse queue s’enroulant. Le Baron était massif et élégant. Il n’était pas vraiment vieux, ni plus très jeune, mais assez bien bâti. Il se retourna vers Tinuviel quand celle-ci suggéra de dormir dans une « chambre de servante », balayant cette idée d’un revers de la main.

« Une… Non, deux belles femmes, ça dort dans une belle chambre, c’est une question de logique ! Mais vous n’avez pas votre mot à dire, c’est moi qui suis le propriétaire du manoir, et qui décide des affectations de chacun ! »

Le Baron s’éloigna de la cheminée, et Alice remarqua alors un tableau se trouvant au-dessus de la cheminée. Il avait sûrement été peint par l’une des filles de Letterfinlay. De tous les barons, il était le plus coureur de jupons, et on ne comptait plus le nombre de servantes ou de simples femmes de son village qu’il avait engrossé. Bien des rumeurs circulaient ainsi sur Letterfinlay, qu’on avait parfois retrouvé ivre mort dans le foin, ou en train de commettre un adultère avec la femme de l’aubergiste. L’histoire avait remonté jusqu’à Sylvandell, une anecdote fameuse, dans laquelle le baron était surpris au petit matin dans le lit de la femme de l’aubergiste, une femme assez belle. L’aubergiste s’était contenté de les regarder, les yeux ronds, et Letterfinlay avait sorti une phrase restée célèbre : « Mon brave, si tu t’occupais de remplir un peu plus ta femme, et un peu moins tes verres, je n’aurais pas à te remplacer au lit ! » Même Alice avait ri. Letterfinlay, pas plus que l’aubergiste, n’avaient jamais confirmé cet anecdote. Le Baron n’avait jamais violé quelqu’un, mais il était difficile de lui résister. Charmeur et beau, il avait une longue chevelure noire, et un regard espiègle.

Tinuviel expliqua alors qu’elle connaissait un bon moyen de se réchauffer la nuit, ce qui fit délicatement rougir Alice. L’elfe avait l’air suffisamment en forme pour faire preuve de son esprit érotique, et elle vit le Baron en sourire, visiblement très amusé. Tinuviel parla alors à Alice, l’invitant à se mettre près d’elle, et cette dernière rougit. Timide, elle regarda Lorna, mais ne vit aucun signe indiquant qu’elle comptait la tuer. Alice obtempéra alors, se posant sur le canapé, se lovant un peu contre Tinuviel, et l’embrassa sur l’épaule, assez gênée qu’on puisse la voir ainsi.

« Je… Je ferais tout ce que je peux, Tinuviel, pour que tu restes au chaud… » finit par confesser Alice.

Elle continua à embrasser son épaule, évitant pour le moment de toucher des parties trop sensibles, jusqu’à ce qu’elle parle au baron, multipliant ses allusions. Ça, Tinuviel avait effectivement l’air réveillé, et le baron se permit de rire.

« Ah, ça, je vois que vous savez enfoncer les points sensibles ! Ma libido a été plus que satisfaite depuis que je suis baron. Vous savez, on dit souvent que, pour un noble, le mariage ne sert qu’à avoir des alliances politiques. A Sylvandell, les baronnies sont réparties depuis des siècles, et un mariage politique ne saurait rapprocher deux baronnies. Partant de là, je ne me suis jamais marié, ce qui m’offre l’opportunité de pouvoir céder à toutes les tentations… Et Dieu sait qu’elle s’offre à moi… »

Letterfinlay avait même été une fois jusqu’à embaucher toute une troupe de prostituées pour faire office de servantes dans son manoir, organisant des orgies. Avec l’âge, il s’était assagi, et n’organisait des orgies que pour de grandes occasions, notamment son anniversaire, où son bon peuple était naturellement invité. Il était l’archétype des barons du bas royaume : insouciant, frivole, sans aucune responsabilité… Les baronnies vivaient en paix, protégées des menaces extérieures par les dragons, et protégées des menaces intérieures… En théorie, du moins. Sylvandell avait déjà été envahie, et, dans certains hivers rugueux et difficiles, les barons trop frivoles et oisifs avaient du affronter des soulèvements populaires. Les guerres entre barons, si elles étaient rares, n’étaient pas pour autant inexistantes, et toute une partie de la loi sylvandienne traitait justement de cette question, prévoyant un tribunal spécial pour connaître des litiges entre les seigneurs. Mieux valait se battre dans un tribunal, que dans les plaines.

« Malheureusement, cela fait plusieurs jours qu’aucune femme n’a encore partagé ma couche… Et j’ai un grand lit, vous savez. Vous êtes au moins trois à vouloir dormir ensemble, alors il me semble que je serais mieux dans un petit lit, et vous dans un plus grand. Même si j’ai peur d’avoir froid, en étant seul, la nuit… » ajouta-il distraitement.

Alice rougit en comprenant le sens caché de ces paroles. Elle ne dit toutefois rien, se contentant de caresser Tinuviel, nerveuse, ne sachant pas où se mettre. Letterfinlay… Elle avait déjà fantasmé sur lui, jadis, quand il venait au Château manger avec les nobles. Jeune, il avait toujours eu une longue chevelure noire, et parlait toujours de manière poli avec elle. Quoiqu’il en soit, elle laissait à Tinuviel le plaisir de continuer son petit jeu de sous-entendus ou pas. Letterfinlay restait debout face à elles., manifestement amusé.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le jeudi 09 février 2012, 21:33:21
L’elfe avait un petit sourire, lorsque la jeune princesse se décida enfin à venir avec elle,  lorna  ne dit rien, continuant à embrasser sa maitresse de doux baisés.  Elfe avait elle, prit le temps de regarder son hôte,   alors qu’elle répondait aux caresses de lorna.  Il n’y avait pas à dire, il était pas mal.  Bien battit, et relativement  bien conservé.  Il avait ce charisme naturel que peu pouvait se venter d’avoir,  et c’était sans doute cela qui faisait que toutes les femmes tombaient à ses pieds.  Elfe  se contenta de hausser les épaules alors que le  baron lui expliquait qu’il était le seul à décider qui dormirait où, elle n’allait pas le contrarier, au contraire même.
La jeune princesse lui avoua qu’elle ferrait tout pour qu’elle reste au chaud, alors qu’elle caressait maintenant le bout de l’épaule de l’elfe.  Hum, elle voulait, peut être continuer ce qu’elles avaient commencé à l’auberge.   Elfe se contenta de sourire en écoutant la position du baron sur le mariage. C’était un choix qu’elle respectait,  même si  elle trouvait cela dommage. Elle agissait cependant pareille,  enfin en partie.  Elle se  contenta de répondre à celui-ci.


-Je peux comprendre votre position.  Moi-même, je sais que je ne pourrais pas me marier.  Lorna en souffre énormément je le sais, mais j’aime chaqu’une de mes amantes.  Cependant, cela ne m’empêche pas de l’aimait elle aussi.  Le cœur est un organe des plus puissants, capables des plus belles choses.   Enfin,  ce n’est que mon avis.   J’ai était formée par une succube,  ce qui à fait de moi une éternelle insatisfaite encore que… C’est sans doute aussi dans mon tempérament.  Mais si je sais toute la puissance et toute  la beauté d’une passion.  Celle qui se nourrit de sentiment est sans doute la plus belle.   Votre pays est bien moins prude que Nexus ou Asnard et c’est une bonne chose mais je reste convaincu que le mariage issu d’un amour réciproque est sans doute la plus belle des choses.

Elfe repensa un instant aux paroles du baron,  puis elle regarda Alice, elle pouvait voir dans ses yeux que la jeune femme avait autrefois eut  des envies pour le baron, c’était aussi visible que des yeux aux milieux de la figure. Chose qui l’amusa d’ailleurs beaucoup.  Elle se contenta de dire en réponse au noble.

- Hum, vous savez,   dormir dans le même lit que moi, n’est pas difficile.  Non, c’est le reste qui l’est plus.  Mais si vous posiez la question à Notre chère petite princesse.  Je suis sur qu’elle  serait ravie de vous aider à  ne pas avoir trop froid. 
Elfe  était entrain de se moquer gentiment de la jeune princesse,  mais elle savait que si elle ne le faisait pas, il était probable que la jeune femme ne dise rien.  Elle avait beau être une femme pleine de ressource, elle avait encore du mal à s’imposer au niveau sentimental, dut moins, le pensait elle.  Cela changerait peut être avec le temps, mais en attendant elle aurait du travail.  Elfe termina  enfonça encore une fois le clou, discutant avec le baron.

-  Hum,  je trouve presque dommage que  notre petite alice soit destinée à devenir la reine de ce Pays,  si cela ne tenait qu’à moi, je l’aurais déjà intégrée à mon harem.  Mais je suppose que votre royaume en a plus besoin.  Dommage.  Enfin, et vous monsieur le baron, dit moi, qu’elle est votre type de femme ?   Moi, j’avoue avoir un petit faible pour les femmes d’exceptions.  C’est  sans doute ma plus grande faiblesse.   Qu’importe qu’elle soit centaure,  lycanthe ou même ange.   En parlant des anges,  ne vous laissez pas avoir par leurs pseudo innocences. Cela, reste entre nous, mais elles sont sans doute les plus volcaniques d’entre toutes.

Elfe se contenta de sourire, dans cet endroit, elle était particulièrement à l’aise. Peut être parce que au fond, elle et le baron était relativement semblable.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 10 février 2012, 01:24:42
Trônant dans le canapé, Tinuviel prenait ses aises, flirtant avec Letterfinlay, et continuant à s’amuser avec Alice. Cette dernière se faisait toute pitié. Tinuviel l’avait certes invité à venir, mais, et même malgré ses encouragements, elle avait toujours peur de Lorna. Comment ne pas continuer à avoir peur, après le regard de haine qu’elle lui avait lancé ? Si Tinuviel n’avait pas été là, Alice aurait déjà fui en ordonnant qu’on rapatrie Lorna à son harem. Tinuviel complimenta les mœurs sociales de Sylvandell, notamment au regard des éléments sexuels. Alice eut un léger sourire, ayant elle-même pu constater ce point en se promenant dans les autres régions de Terra. Elle continua à embrasser la douce peau de Tinuviel, qui poursuivit sa conversation en parlant désormais d’elle. La Princesse se sentit rougir à nouveau, et mordilla tendrement l’épaule de Tinuviel, comme pour la punir de ses sous-entendus. Letterfinlay se contenta de sourire, s’approchant des femmes, caressant avec l’une de ses mains les cheveux d’Alice.

« Rassurez-vous, belle elfe, je le sais déjà… Elle est une vraie chaudière au lit…
 -  Je… fit-elle, enfouissant sa tête contre l’épaule de Tinuviel.
 -  Allons, ce n’est pas un défaut, très chère, sourit Letterfinlay, avant de regarder Tinuviel. Je n’ai pas eu la chance d’avoir sa virginité, mais j’ai eu droit à un joli spectacle… N’est-ce pas ? fit-il, continuant à caresser ses cheveux.
 -  O-Oui… » répondit Alice, toujours aussi rouge.

Letterfinlay l’embrassa sur le sommet du crâne en souriant, puis se releva. Ayant terriblement chaud, la Princesse, réalisant qu’elle s’écrasait sur Tinuviel, se releva un peu. Sans pouvoir vraiment se l’expliquer, parler de ses anciennes aventures sexuelles avec d’autres la mettait dans un état assez… Rouge. Elle ne savait pas si elle en avait honte, ou si elle en était fière, mais elle n’arrivait pas à en parler correctement, rougissant furieusement. Elle qui était si douce, si calme d’habitude, devenait au lit complètement déchaînée. Elle avait peur que cette image d’elle-même, surexcitée, ne nuise à sa réputation de Princesse. Que diraient les autres nobles et monarques s’ils savaient que la future Reine de Sylvandell devenait une véritable nymphomane au lit ? Elle se reprit lentement, mais on continua plus à moins à parler d’elle.

Tinuviel la complimenta en disant au Baron qu’elle voudrait l’avoir comme membre dans son harem. Alice se mordilla les lèvres, et embrassa Tinuviel dans le creux du cou. Alice n’était effectivement pas à vendre, mais ils ‘agissait d’une forme de compliment. De plus, elle doutait que Lorna accepte un jour de l’avoir comme concubine. Tinuviel changea de sujet, demandant à Letterfinlay quel était son type de femme. Elle lui donna le sien, lui disant de se méfier des anges, et un sourire éclaira les lèvres de Letterfinlay.

« Ma foi, c’est une question à laquelle il me paraît difficile de répondre, répondit Letterfinlay. Je n’ai que rarement eu la chance de goûter aux plaisirs des Terranides, alors je dirais que les femmes qui me font fantasmer sont… Les originalités. Celles à qui je n’ai pas encore goûté. Je pars du principe que la vie n’est qu’un immense bouquet de fleurs, qu’elles soient belles ou épineuses. Certaines sont si belles que je ne peux m’empêcher de les désirer sans arrêt, fit-il en regardant la Princesse, et d’autres ont l’air tellement exquis que le pauvre homme que je suis ne peut s’empêcher de vouloir essayer de ressentir leur nectar » poursuivit-il en regardant désormais Tinuviel.

Le baron avait toujours été un beau parleur, sachant parfaitement manier les mots. Il n’avait pas été spécialement difficile pour lui de courtiser Alice, une fois que cette dernière, par le biais de Cirillia, avait découvert les plaisirs que le corps pouvait procurer, et pourquoi son père ne cessait de lui dire qu’Alice pourrait être la plus puissante de toutes les Korvander depuis l’époque d’Erwan quand elle serait Reine.

« Mais vous, chère elfe, quel est donc votre type d’hommes ? Je n’ose imaginer qu’une femme de votre goût puisse se contenter d’une seule partie de cette merveilleuse chose qu’est le genre humain. Et, même si cela devrait me briser le cœur, je comprendrais aisément que vous ne soyez attirée que par le beau sexe. Par expérience, je sais que les femmes peuvent faire preuve d’une prouesse telle en certaines circonstances que même les plus valeureux guerriers se sentent infiniment petits et timorés face à cette… Passion. Alice est indéniablement une femme de passion. Et, quand on en rencontre une, on n’a plus envie de la quitter… N’est-ce pas ? » fit-il en regardant Lorna, avant de délicatement sourire à l’intention de Tinuviel.

Letterfinlay s’était tranquillement rapproché des trois femmes.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le vendredi 10 février 2012, 16:22:06
Lorna pourtant, n’en voulait déjà plus à la jeune femme,  elle avait retrouvé son amour et c’était tout ce qui lui importait.  La princesse n’était maintenant plus  un gros problème à ses yeux.  Elfe avait ce pouvoir.  Elle pouvait faire en sorte que des gens n’ayant rien en commun  se retrouvent auprès d’elle et que tout cela soit… Normal.  Oui,  car la scène n’avait absolument rien de dérangeant.  Qui aurait put penser que cette jeune blonde qui   était dans son cou était une princesse,  et que la jeune terranide qu’elle était entrain d’embrasser   aurait voulu, il y a moins de cinq minute tuer la dite blonde.  Personne,  et ce cas là était entrain plus vrai dans son harem.  Alors oui, on pouvait parler de pouvoir, même si ce n’était pas vraiment le cas.  Elfe eut un petit sourire en voyant la réponse du baron. Ainsi, celui-ci avait le gout de l’exotisme.  Il était aussi beau parleur que l’elfe et cela, elle devait l’avouer, lui plaisait.  L’elfe sourit doucement avant de lui répondre d’un air taquin.

-  Vous savez, J’ai eut le l’occasion de  connaitre aussi bien les hommes que les femmes.   Et même si j’avoue sans complexe que ce sont ces demoiselles qui ont ma préférence,  je ne  suis pas contre les hommes.  Certaine femme du harem, en ont cependant peur, ce qui explique ma position relativement autoritaire et violente par rapport à eux, mais contrairement à ce que disent les rumeurs, il m’est arrivé d’avoir un ou des hommes dans ma couche.  Que ce soit des Hommes… Ou bien autre choses… 

L’elfe caressait maintenant le dos de la princesse, laissant doucement mais surement celle-ci  reprendre quelque peu pied dans l’étrange situation  dans laquelle elle se trouvait actuellement.  L’elfe  se faisait de plus en plus instante,  elle avait besoin de recharger ses batteries, et le meilleur moyen de guérir était encore de se soigner avec de la magie rouge, mais pour cela, il lui faudrait un peu de bonne volonté. Et apparemment, la kitsune,  le baron et la jeune princesse semblait en avoir.  Elle se contenta donc de sourire avant de terminer.

-Quand au terranide mon cher Baron, je regrette mais lorna ne sera sans doute pas disposée à s’occuper de vous.   Elle ne supporte que mes caresses, cependant, j’aurais peut être le moyen de vous faire passer une nuit ardente  avec deux splendides jeunes femmes  pendant que je m’occupe de votre petite princesse et de ma chère amante.  Ou bien, c’est une  autre possibilité si vous arrivez à vous contrôler. Vous  pourriez passer la soirée avec nous.  Cela voudrait dire certes que vous ne pourrez pas toucher à Lorna, mais deux femmes j’en suis sur pourrais vous combler.  A vous de voir si cela vous intéresse.

La réponse était des plus évidentes et honnêtement si le baron refusait cette proportion, l’elfe se serait sans doute  poser des questions sur ce séducteur.  Enfin, il y avait cependant une question que la jeune elfe se posait. Ce pays  disposait il oui ou non, de moyen de protection, ou devrait elle rendre stérile le temps d’une nuit le baron.  Cela, il ne le remarquerait même pas. Mais elle devait quand même le savoir.  Elle  eut donc un petit sourire en disant.

-Les femmes de passion sont les plus extraordinaires,  il n’y a pas d’autre mot en effet.  Cependant je me demande comme votre peuple aux mœurs si plaisantes ne subit pas plus de maladie.  J’ai beaucoup de partenaire. Mais la magie rouge me permet de ne pas avoir de problème. Mais c’est quand même un cas relativement  restreint. Enfin, tant que je ne tombe pas enceinte, cela ne me dérange pas… C’est un autre avantage de l’amour entre femme…

Elle  termina sa phrase sur ceux-ci,  laissant finalement le baron  faire.  Elle n’avait de toute façon, plus grand-chose à dire.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 10 février 2012, 22:17:24
Letterfinlay ne se démonta pas après les explications de Tinuviel, qui avoua préférer les femmes au lit, tout en  n’excluant pas certains hommes. Alice, elle, sentit la main de Tinuviel se promener tendrement sur son dos, caressant sa peau. La Princesse remonta ses lèvres pour embrasser Tinuviel dans le creux du cou. Elle était toujours aussi confuse, mais se détendait progressivement. Face à une elfe aussi belle, il était dur, dans le fond, de ne pas se sentir à l’aise. L’elfe rouge poursuivit ses explications, expliquant au baron qu’il ne pourrait pas profiter de sa kitsune. Ce dernier ne dit rien, se contentant de croiser les bras, tandis qu’Alice, souriant lentement, embrassait l’elfe sur la joue. Maintenant qu’elle avait vu dans quel état Lorna pouvait se trouver, elle était personnellement plutôt bien disposée à ne plus la toucher. Tinuviel encouragea Letterfinlay à savoir agir avec calme, à réfréner ses ardeurs, s’il voulait profiter des corps d’Alice et de Tinuviel.

*Quel intérêt de faire l’amour avec un homme, si ce n’est pas pour qu’il se lâche ?* songea Alice.

Elle garda sa réflexion pour elle-même, et commença à se tourner un peu, fixant Letterfinlay. L’homme avait un demi-sourire en coin, visiblement amusé par la situation, Il finit par hausser les épaules.

« Je pense pouvoir suffisamment me contenir pour me contenter des deux beautés qui daigneront s’offrir à moi… En espérant que vous vouliez toujours de moi, Princesse ? lui demanda-t-il.
 -  Pourquoi ne voudrais-je pas ? » parvint à répliquer cette dernière.

Le baron sourit, révélant ses belles dents blanches, et Tinuviel lui demanda alors comment le peuple survivait face aux maladies sexuelles. Le baron répondit assez rapidement.

« Sylvandell a des mœurs légères, c’est un fait. Partant de là, nous protéger est essentiel. Vous n’avez pas à en faire, belle elfe. Nos alchimistes, nos mages, nos herboristes, ont conçu des potions spéciales, des injections pour les hommes et les femmes, tant pour éviter une grossesse imprévue que pour éviter la transmission d’infections. Vous n’avez donc pas à en faire pour cela. »

Alice ne pouvait que confirmer. Elle était plusieurs fois tombée enceinte après avoir fait l’amour avec des hommes, mais elle prenait, dès qu’elle le constatait, un produit spécial, assez amer, mais qui détruisait rapidement les spermatozoïdes et les ovules qui s’étaient rencontrés entre eux. Alice avait du le faire avec Gauvain, tout comme avec Letterfinlay. Elle ne pouvait avoir qu’un seul enfant, eu égard aux règles royales sur Sylvandell, et, en conséquence, la Princesse réservait ce moment pour plus tard. Elle se retira un peu de Tinuviel, se retournant pour regarder le baron, continuant à avoir une main posée sur le corps de l’elfe rouge. Elle se tenait en somme de profil, plutôt que couchée sur l’elfe rouge.

« Je pense que vous ne verrez du coup aucune objection à vous reposer dans ma chambre ? Peut-être désirez-vous la voir ? Je me ferais un plaisir de vous guider, et je tiens à vous assurer d’une chose. »

Il ajouta rapidement.

« Dans la ville, sur le champ de bataille, ou face à mes sujets, je suis peut-être un baron, mais, dans un lit, face à une belle femme, je ne suis rien de plus qu’un pauvre homme, privé de son armure et de ses armes. N’est-ce pas, Alice ?
 -  Ce… Peut-être… » poursuivit-elle en rougissant, baissant les yeux.

Le baron s‘approcha d’Alice, et se mit à tendrement caresser chacune de ses joues avec ses mains. Il avait des mains assez agréables, et elle se mit à frissonner entre ces dernières.

« Ne sois pas si timide, petite… C’était agréable, non ? »

Alise se contenta d’hocher la tête.

« Au point de vouloir recommencer ? »

Nouvel hochement de tête. Letterfinlay libéra les joues de la Princesse, et sans plus attendre, attrapa l’une des mains de Tinuviel, fléchissant l’un de ses genoux pour élégamment l’embrasser.

« Des mains elfiques… commenta-t-il. Vous devez avoir un formidable doigté, à voir comment ils sont élégants et bien entretenus. »

Le baron se releva légèrement, et sourit légèrement à l’intention de Lorna. Il ne la connaissait pas, mais il espérait qu’elle n’était pas du genre jalouse ou protectrice. Sachant combien elle avait été difficile à contrôler… Elle avait plusieurs fois manqué d’attaquer son alchimiste, et, sans la présence d’Alice et ses demandes insistantes, il aurait sans doute congédié Lorna, ne serait-ce que parce qu’il était déconseillé d’opérer en présence d’un proche. La Princesse avait néanmoins tenu à ce que Lorna reste ici. Si on avait du la sortir, il aurait sûrement fallu la battre, et l’enchaîner dans les cachots. Si Tinuviel avait appris que sa Lorna avait été mise aux fers, la situation se serait encore plus compliquée.

*Enfin, pensons pas à cela… Tout ira bien, maintenant…*
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le samedi 11 février 2012, 01:25:06
L’ingéniosité des humains était une des rares choses qui pouvait étonner l’elfe.  Oui, cette race n’avait pas des prédispositions en magie,  elle n’était pas puissante physiquement et pourtant leurs ingéniosité leurs avaient permit de dépasser tout cela.  Les humains deviendraient la race dominante enfin, cela était possible car les dieux avaient encore bien des ressources mine de rien.  Elle ne laissa cependant rien paraitre de ses divagations. Il n’y avait qu’un  léger sourire qui se dessinait sur ses lèvres alors que la mage.   Elle se contenta d’observait la scène de discutions entre le baron et la jeune femme.   Les deux amants ne semblaient pas à leurs coups d’essais  et cela faisait bien sourire l’elfe.  Enfin,  puisque l’Homme semblait comprendre qu’il ne pourrait toucher qu’à son corps à elle,  elle ne voyait absolument aucun problème   à passer la nuit en compagnie d’Alice et du baron.   Lorna elle, l’accompagnerait sans doute encore. 

Elle eut un petit sourire lorsque le baron l’embrassa et prit doucement ses doigts en main. Elfe se contenta de lui répondre avec toute sa franchise naturelle.


-Disons que personne ne s’est pour l’instant ne s’en est jamais plaint mais vous aurez le temps de les essayer, mon cher baron.  Mais ce n’est pas ma seule arme sur ce genre de champs de batail.  Non,  j’en ai d’autres biens plus efficaces et dangereux. Mais je reste surprise par l’inventivité dont vous pouvez faire preuve quand la situation l’exige. Cela ferra sans doute de votre race,  celle qui survivra le plus longtemps.   Et qui sait,  vous pourriez peut être même arrivé un jour à dépasser les dieux.  Aller savoir.   Mais laissez ces histoires futiles pour l’instant.   Bien, je ne voudrais pas  casser ce moment des plus érotiques,  mais j’aimerais cependant avant toute chose,  manger un peu et prendre une bonne douche.  

elfe avait toujours ce petit sourire,  effectivement, cela faisait maintenant deux jours qu’elle n’avait pas prit de douche,  et surtout  qu’elle  n’avait rien manger. Hors, elle se sentait mal couper court à leurs jeux à cause d’un estomac en manque de nourriture.   Elle pourrait d’ailleurs refaire ses forces et cela permettrait donc quelques petits  tours de magie rose.  Oui, cela serait tout bénéf si elle avait le temps de se ressourcer. Et puis, cela permettrait au deux amoureux qu’était l’homme et la jeune princesse, enfin si l’on pouvait considérer leurs relations comme cela,  de renouer un peu avec leurs passés.  Elle eut un petit sourire, se dirigea vers la table, y prenant un fruit dans lequel elle croqua. Avant de sourire tranquillement à  la jeune alice et au baron.


-Ne vous en faite pas pour nous, et commencer,  nous ne tarderons pas à vous rejoindre le moment venu. 

Elfe   était satisfaite. Elle savait ce qu’elle faisait.  Elle était entrain de faire patienter à la fois l’homme et la princesse.  Hors, en faisant cela, elle laissait aussi montrer le taux excitation.  Tout n’était qu’une danse, un savant jeu, ou l’art était de se retirer au bon moment pour y re entrer plus tard.  Et la, il était temps de se retirer pour l’instant.

Elfe arriva donc dans la salle de bain, ou elle se fit couler un grand bain avant d’y être rejoins par sa fidèle servante se demandant comment son absence était perçut la bas.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 11 février 2012, 12:42:04
De simples aventures sexuelles, la discussion faillit déborder sur l’évolution des espèces et des civilisations. C’était en effet un autre tout débat que de pronostiquer sur l’avenir. Considérer que les humains dépasseraient un jour les dieux, c’était flatteur pour l’ego des humains, mais c’était un raisonnement bien trop poussé pour Alice. Avant de songer à gouverner Terra, il lui fallait déjà réussir à diriger cette petite terre qu’on appelait Sylvandell, et qui, un jour, serait son royaume. Terra n’était pas dans ses préoccupations. Tinuviel expliqua toutefois qu’elle comptait manger et prendre une douche.

« Oh, bien sûr, bien sûr, répondit rapidement Letterfinlay. Garçon ! Allez, allez, veuillez conduire notre invitée dans les bains, et lui préparer de quoi se restaurer. Vous n’avez pas mangé depuis plus d’une journée, après tout. »

Tinuviel devait sûrement avoir un corps fatigué, et, même si faire l’amour semblait conseillé comme méthode curative pour elle, c’était un exercice qui, en tant que tel, nécessitait d’être endurant. Pour repousser le virus, l’organisme de Tinuviel avait du s’épuiser. Elle se retira du canapé, toujours aussi nue, invitant Letterfinlay et Alice à commencer sans elles. La Princesse en rougit légèrement, et se releva. Le serviteur que Letterfinlay avait appelé fit signe à l’elfe de le suivre, la regardant brièvement, une brève lueur de désir dans le regard. Il resta fort heureusement assez professionnel. Alice resta debout pendant quelques secondes, regardant le départ des deux femmes, jusqu’à ce que le Baron soupire légèrement.

« Je ne m’attendais pas à te revoir dans de telles circonstances, Alice… glissa-t-il.
 -  Moi non plus, Olivier, répondit Alice, l’appelant par son prénom. Mais nous avons au moins l’occasion de nous revoir… »

Ils marchèrent, montant un escalier, grimpant vers la chambre du baron.

« On m’a dit que ton entourage proche s’était adjoint d’une nouvelle personne, Alice… Cette femme qui a attaqué un dragon… Cirillia, je crois… »

A son nom, Alice baissa les yeux. Parler de Ciri’ n’était pas une chose très intelligente, sachant combien cette femme agissait de manière paradoxale sur la Princesse. Elle éluda rapidement ce sujet d’interrogations, jusqu’à ce que Letterfinlay atteigne ses appartements. Un délicieux feu brûlait dans l’âtre. En tant que noble, Letterfinlay logeait dans une belle et grande chambre, son lit étant près d’un bureau. C’était un grand lit à baldaquin, et, depuis les fenêtres, on pouvait voir les jardins du manoir. Les jardins s’articulaient à l’entrée d’un grand lac, et on voyait, au loin, une série de montagnes escarpées éclairées par le soleil. La neige avait tout peint en blanc, et Alice les observa silencieusement.

« Je te connais depuis que tu es toute petite, Alice, poursuivit le baron. Je me souviens encore quand tu t’amusais avec les autres garçons du village en leur balançant des boules de neige à la figure… »

Dans les jardins, de jeunes enfants prenaient en effet des boules de neige pour s’attaquer dans une longue et tumultueuse bataille, rappelant naturellement à Alice des souvenirs. Elle l’avait fait, jadis, pendant des années, et avait déjà arrosé une fois par mégarde un baron. Un sourire amusé de dessinait sur ses lèvres. Sans pouvoir se l’expliquer, elle se mit en tête d’imaginer Ciri’ se recevoir une boule de neige dans la figure. Sans doute voudrait-elle la tuer, ou l’étouffer sous la neige… C’était donc une expérience à tenter. Elle se retourna, contemplant Olivier, qui avait retiré son manteau et ses gants. Il avait de longs doigts fins et délicats, et les réchauffa dans l’âtre de la cheminée. Elle se rappela à nouveau sa séance avec lui, et se mordilla les lèvres. Olivier alla s’asseoir sur un fauteuil. Dieu, qu’elle le trouvait beau… Il y avait une forte part de subjectivité là-dedans. Elle l’avait effectivement connu quand elle était petite. Letterfinlay était alors un écuyer, qui était devenu baron quand elle avait environ dix ans, parvenant à réussir toutes les épreuves imposées par son père pour prendre le pouvoir. Le Roi avait confirmé cette position, envoyant des lettres et des cachets pour la publier. Coureur de jupons avant d’être baron, sa nouvelle position n’avait fait que le confirmer là-dedans.

« Mon Dieu, Alice, tu es vraiment une femme magnifique… je comprends pourquoi ton père t’a tant surprotégé, et continue à te protéger…
 -  Toute la protection de mon père ne m’a pas sauvé hier… objecta Alice, faisant la moue.
 -  C’est parce que tu l’as rejeté… Tu as congédié ce monstre qui t’accompagne, cette espèce de brute en puissance…
 -  Hodor n’est pas une brute, ni un monstre ! siffla Alice.
 -  C’est ce que mes hommes ont consigné dans leurs rapports, pourtant… Je crois surtout que tu ne réalises pas à quel point tu rends fous les autres… »

La Princesse rougit une nouvelle fois, secouant la tête.

« Je…
 -  Ce n’est pas un défaut, loin de là. Bien au contraire, Alice… Tu sais, ton père parvient à diriger par l’exemple, par la force, en montrant à ses hommes qu’il n’est pas un faible, ni un couard. Mais toi, ma belle, tu ne peux compter, ni sur ton courage, ni sur ta force. Je te connais suffisamment pour savoir que ce sujet t’a toujours complexé, mais tu dois maintenant commencer à réaliser que tu disposes d’une force bien plus grande que celle de savoir manier une épée.
 -  Mon corps ? lâcha cette dernière, sceptique.
 -  Ta beauté, oui… Avoir un soldat puissant, c’est une bonne chose. Avoir un soldat puissant qui se bat pour une cause, c’est encore mieux. Tu connais le dicton, non ? ‘‘La foi soulève les montagnes(/i]’’ ? En se débarrassant du contexte religieux, tu comprendras que ta beauté incitera bien des hommes et des femmes à faire l’impossible pour toi. Ton bilan en tant que pré-Reine s’annonce assez bien, pour le moment. Ce chevalier errant qui s’est battu pour toi au tournoi… »

Gauvain. Le pauvre avait voulu la demander en mariage, et elle en rougit légèrement, se rappelant de ce moment. Le baron s’était rapproché d’elle, et retournait caresser la tête d’Alice, au niveau de sa joue, promenant ses doigts dessus. Un sourire amusé éclaira les lèvres d’Olivier.

« Tu t’es beaucoup renseignée à mon sujet… nota-elle.
 -  Je me renseigne toujours sur ce qui mérite qu’on s’y intéresse, répliqua-t-il, charmeur, se rapprochant d’elle.
 -  Au moins, tu sais parler aux femmes…
 -  Oh, je crois qu’il n’y a pas que ça que je sais faire… »

Il la prit par les mains, la soulevant lentement. Yeux dans les yeux, Alice sentit son cœur battre faiblement dans sa poitrine, alors que l’homme allait l’embrasser, posant ses lèvres sur les siennes, lui offrant un baiser merveilleux. La Princesse en ferma les yeux, goûtant à la salive de cet homme. Ses lèvres étaient toujours aussi belles et attirantes, délicieuses. Son menton était bien rasé, et, même s’il était bien moins doux que celui de Tinuviel, elle s’amusa à jouer avec les résidus de poils, frottant son menton sur le sien, très légèrement, continuant à l’embrasser, titillant ses lèvres avec sa langue.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le mardi 14 février 2012, 21:29:57
L’elfe et la jeune kitsune suivait maintenant le jeune page vers la salle d’eau.  L’elfe avait encore  un peu de mal à tenir debout, mais cela devrait d’ici peut de temps se terminer.   Elle  n’avait qu’une seule envie, se débarrasser de cette odeur de sang qui lui collait à la peau.  Cette odeur était pour l’elfe horrible. Elle n’aimait pas le sang,  elle savait se battre,  pouvait tuer quand cela était nécessaire. Mais elle n’aimait pas cela,  elle n’était pas une sadique de nature.  D’ailleurs,  elle avait presque eut un petit pincement au cœur lorsque ce Drow avait rendu son dernier souffle.  Cependant, elle savait bien que cette fois ci, elle ne pourrait pas le raisonner.  Il était un danger, et  s’il était resté en vie, il aurait encore tenté de s’en prendre à la jeune princesse ou pire encore à Lorna par vengeance.
Non, elle avait prit la bonne décision.  Par contre la lueur dans le regard du jeune page lui tira un petit sourire,  elle se savait belle, malheureusement pour ce jeune homme, ce ne serait pas ce soir qu’il pourrait avoir sa chance avec elle.  Non, elle avait déjà de plus gros  poisson sur le feu.
Elfe   s’enferma avec la kitsune dans la salle de bain, laissant couler l’eau chaude pendant qu’elle  aidait Lorna à retirer sa tenue de maid qui lui allait si bien.  Elle se contenta de se lécher les lèvres  avant finalement de porter la jeune  demoiselle jusqu’à la baignoire, l’embrassant  au passage. Elle glissa finalement la demoiselle dans l’eau  avant de l’y rejoindre,   observant ses si beaux yeux.  Elle eut un petit sourire avant de dire à la jeune kitsune.


-Maintenant que nous sommes seules, il y a une question que j’aimerais te poser. De toi à moi. Comment trouve tu cette jeune princesse,  elle est mignonne non ?
La kitsune   la regarda étonnée avant de lui répondre.
- Je ne comprends pas vraiment votre question, mais… Elle est mignonne effectivement. Certes pas autant que vous maitresse mais elle est mignonne ?  Pourquoi cette question ?
Elfe se contenta d’un petit sourire avant de  tirer doucement la jeune kitsune vers elle, et de lui glisser au coin de l’oreille.

-Parce que je te connais Lorna,  je sais qu’elle représente ce qu’il te plait.  Peut être pas au niveau physique,  mais mentalement,  c’est une leader, quelqu’un d’exception, à la fois charismatique et puissant même s’il lui manque encore un peu d’assurance.  Et surtout, si elle ne te plaisait pas, tu n’aurais jamais accepté de jouer avec elle.  Même si  c’était relativement soft. 
La jeune kitsune rougit immédiatement,  elle savait qu’elle ne pourrait pas longtemps le cacher à sa maitresse, mais de la à ce que ce soit aussi flagrant…  Elle avait pourtant tout fait pour, se montrant à la fois froide et agressive  a l’encontre de la jeune princesse. elfe se contenta de la regarder avant de lui dire doucement.
- Allons,  ne soit pas si gênée,  je sais que tu me resteras toujours  fidèle. Mais  je voulais juste savoir si j’avais raison.  Bien,  ne te fais pas de soucis, cela restera entre toi et moi.   Cependant ma belle, ce n’est pas un péché d’avoir parfois envie de quelqu’un d’autre.   Enfin, bon, maintenant que cela est dit, je te laisse le choix. Tu peux rentrer au harem, ou bien, choisir de  rester avec moi durant quelques heures encore.  Sache que cela ne me dérange pas si tu choisi de rentrer,  je sais que  je t’en ai beaucoup demandé durant ces derniers jours, tu  mérite de prendre enfin du repos.
-S’il vous plait.

Elfe eut un petit sourire, en sachant pertinemment qu’il s’agissait en réalité d’une façon détournée pour ne plus voir la princesse.  Elfe la connaissait et savait que la jeune kitsune pourrait se sentir coupable de  désirer une autre femme que l’elfe.  Oui, dans un pays comme  celui ou pouvait vivre la jeune princesse, cela pouvait sembler débile, mais pour la kitsune, il n’y avait rien de pire.  C’était trahir la promesse de n’aimer que l’elfe.  Et cela, cela la faisait souffrir. 
Elfe termina son bain avec la jeune femme, avant  de réfléchir.  Elle ne pouvait normalement pas utiliser de portail de téléportation. Cependant, elfe avait prévus le coup.  Elle avait prit l’équivalent d’un parchemin pour le retour. En effet, les fleurs étant relativement fragiles, elles ne pouvaient pas     se permettre de mettre autant de temps qu’à allée.  Elfe se contenta d’embrasser la jeune kitsune avant de lui dire.


-Bien,  je te charge donc de t’occuper des fleurs et d’avertir les autres que j’aurais un peu de retard.  Une dernière chose ma chérie.  Tu sais que je ne vous quitterais jamais.  Vous m’importez plus que n’importe qu’elle princesse, reine ou même un dieu.  Vous êtes ce qui m’est de plus chère.  Aller,  il est temps de sortir d’ici. 

Elfe prit  le temps de  s’essuyer et d’essuyer sa compagne, embrassant encore une fois celle-ci, avant de la rhabiller et d’aller rechercher le fameux parchemin.  Elle le trouva à l’endroit ou elle l’avait laissé, c'est-à-dire dans son armure, observant au passage les deux tourtereaux entrain de se bécoter avec une ardeur non feinte. Elle eut un petit sourire que personne ne remarqua d’ailleurs puisque il était fort peu probable que les deux jeunes gens la remarque.  Elle retourna donc dans la salle de bain, les fleurs et le parchemin dans les mains. 
La suite fut rapidement, la kitsune quitta sa maitresse dans un  éclair de couleur blanche, tant dit que l’elfe retourna vers le salon.  Elle avait un petit sourire aux lèvres, contente de savoir que sa belle kitsune    ne risquait désormais plus rien.

-Je suis désolée de vous avoir fait tant attendre, mais je suis prête désormais.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 15 février 2012, 00:40:31
Pendant que Tinuviel et Lorna discutaient, Alice et Letterfinlay s’embrassaient chaudement. Le léger baiser était devenu de plus en plus vorace, sous l’impulsion des lèvres d’Olivier. Alice frissonnait en sentant ce menton légèrement poilu. Olivier se rasait, il n’avait pas une grande barbe, mais, pour un homme, être imberbe à ce niveau-là semblait totalement impossible. Il avait de légers poils qui, loin d‘irriter Alice, l’amusaient, lui rappelant combien elle aimait, petite fille, jouer avec le duvet de son père en lui faisant la bise. Elle gémit lentement, se relevant du fauteuil, continuant à embrasser Olivier, dans le silence le plus complet, silence uniquement rompu par leurs soupirs, surtout celles de la Princesse. Stoïque, Olivier se contentait de l’embrasser, plaçant galamment ses mains sur ses hanches, hésitant à s’aventurer dans les parties plus intimes du corps d’Alice… Ou pour la frustrer. Elle se pressa un peu contre lui, et tendit ses mains vers sa veste, la déboutonnant rapidement, continuant à l’embrasser, avant de glisser ses lèvres pour l’embrasser sur le menton, la joue, soupirant.de plaisir, glissant ses mains vers son pantalon.

« Quelle fougue, Princesse ! soupira-t-il.
 -  Bien différent de la première fois, hein ? répliqua-t-elle en lui mordillant l’oreille.
 -  J’en conviens… »

Elle retourna l’embrasser, lui ôtant sa veste, la laissant choir sur le sol. L’homme l’attrapa alors par la tête, la soulevant, et la plaqua contre le mur avec force. Elle sentit le membre tendu de l’homme frotter contre ses cuisses, et en rougit. Il avait déjà une belle érection, confirmant ce que certaines des servantes d’Alice disaient sur lui, à savoir que, secrètement, Olivier Letterfinlay avait toujours aimé et désiré Alice plus que n’importe quelle autre femme. Elle sentit les mains de l’homme se promener sur sa robe, ôtant les bretelles, et fit tomber cette dernière. Alice portait, outre des gants blancs et des collants de la même couleur, un délicat corset qu’il se mit à caresser à hauteur des hanches, remontant près des lacets, avant de descendre sur sa culotte, pinçant l’une de ses fesses. Alice en gémit, et fut alors soulevée par les bras puissants de l’homme, atterrissant sur une commode. Il poussa d’un revers de main les bibelots entassés dessus, et l’embrassa langoureusement, fougueusement, tandis qu’elle serrait ses jambes contre son torse, dégrafant sa cape, tirant et empoignant sa chemise. Elle ne vit pas Tinuviel venir, toujours aussi nue, avant de s’éclaircir la gorge et de parler.

Olivier se retira en premier, restant toutefois enlacé par Alice, et se retourna, la maintenant, une main sur la nuque, l’autre sur les fesses. Alice se rétablit, libérant ses jambes, et se retourna, rougissant, tant de honte que de plaisir, en voyant le ravissant corps nu de Tinuviel, avec ses cheveux trempés. Elle leur annonça être prête. Le regard qu’Olivier lui fit en la dévisageant frôlait l’indécence, mais exprimait au moins le désir, sincère, honnête, qu’il ressentait. Encore un peu, et il en serait probablement sur le point de remercier les Dieux pour ce sublime double cadeau qu’on lui offrait.

« For… Formidable, parvint-il à dire dans un léger sourire. Ma foi, je sens que ça va être épuisant… Mais inoubliable… »

Il attrapa tendrement l’une des mains de l’elfe rouge, l’approchant de son corps, et, sans plus d’hésitation, alla l’embrasser. Un long et tendre baiser, tandis que ses mains caressaient le dos de l’elfe. Un tendre baiser, plein de désir, auquel Alice ne tarda pas à se joindre, se glissant pour cela dans le dos de Tinuviel, caressant ses hanches, glissant ses mains sur l’estomac plat de l’elfe rouge. Lorsqu’Olivier interrompait son baiser, Alice avançait la tête pour le remplacer, tandis que le Comte descendait ses lèvres pour l’embrasser dans le cou.

« Ma foi, je suis heureuse de voir que vous ne semblez pas aussi réfractaire aux hommes que toutes ces cinglées extrémistes qu’on trouve à Tekhos. Certaines sont aussi belles que bornées, c’est le pire des supplices ! »

La torture ultime pour Olivier était de lui miroiter une belle femme sous le nez en lui affirmant qu’il n’aurait jamais le droit de la toucher. Bien des gens de Sylvandell plaisantaient à ce sujet, en affirmant que, pour le faire parler lors d’un interrogatoire, il ne fallait pas l’électrifier ou le fouetter, mais simplement le mettre en cure d’abstention sexuelle, et l’interroger par la plus belle des femmes qui soit, une femme torride et sensuelle. Il embrassait avec plaisir chaque parcelle de la peau de Tinuviel.

« Mon Dieu… Ça va être éprouvant ! » commenta-t-il pour lui-même.

Alice, de son côté, avait remarqué l’absence de Lorna. Elle craignait d’avoir choqué cette dernière, de l’avoir trop énervé, mais se retenait de le dire. A aucun moment, il ne venait à la Princesse que cette colère envers Alice dissimulait sûrement autre chose. Non pas une colère à l’idée d’avoir contribué à mettre Tinuviel en danger, mais une rancœur à l’idée de ce qu’Alice provoquait, soit une tentation irrésistible pour Lorna. Alice ne pouvait pas penser à cela, ni même réussir à le comprendre, et décida donc de se forcer à ne pas y penser. Elle se sentait coupable envers Lorna, et aurait bien voulu trouvé un moyen de se faire pardonner auprès d’elle, mais qu’importe… Elle était avec Olive, et avec Tinuviel.

Que demander de plus ?
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le mercredi 15 février 2012, 20:16:25
Elfe se contenta de sourire lorsque la jeune princesse libéra enfin son amant, celle-ci était a moitié nue,  enfin, juste assez pour que la jeune elfe   comprenne qu’elle venait sans doute de briser un moment qui semblait être relativement agréable pour le baron et pour la jeune princesse.  Celle-ci eut un petit sourire avant de dire.
-On dirait que j’arrive au mauvais moment…  Remarquez, je suis sur que je peux me faire pardonner.
 Elle se contenta de regarder malicieusement le baron y trouvant  du désir, de l’envie,  certes, ce n’était pas le regard qu’il réservait à la princesse, mais cela lui convenait, elle  ne le voyait en tout honnêteté qu’un simple amant, qu’elle ne reverrait jamais.  Cette situation lui convenait, et il ne fallait pas lui en demander plus.  Par contre,  elle regretterait sans doute de ne pas pouvoir suivre les progrès de la jeune princesse.  Oui, elle s’annonçait particulièrement prometteuse,  et elle aurait eut  sa place parmi ses amantes.  Lorna aurait d’ailleurs sans doute appréciée cela,  enfin.
Elle eut un petit sourire lorsque l’homme parla de l’extrémisme typique des Tekhane. Elle n’appréciait pas leurs méthodes.  Même si dans leurs sociétés les femmes étaient des meneuses,  les hommes y étaient réduits  à la même place que les  femmes dans Nexus.  Elfe  lui caressa doucement le torse, laissant doucement ses deux mains glisser sur ce viril et puissant abdomen.

-Je ne cache pas mon attirance pour les femmes.  Cependant je ne cautionne pas les attitudes de ces femmes.   Un homme a le droit au même respect que les femmes.   Le harem est effectivement interdit aux hommes, cependant je l’ai fait pour préserver mes protégées et non parce que j'ai des préférences...

Elle termina doucement ses caresses sur le torse, remontant doucement le long de la colonne vertébrale de l’homme, laissant son  pouce griffer juste ce qu’il  fallait celle-ci pour faire sortir un peu de sauvagerie.  Elle avait vraiment l’art d’y faire, il n’y avait pas à dire.  Elfe était bien une femme  ayant l’habitude des contacts charnelles.  Elfe pouvait cependant  observer dans les yeux de la jeune princesse, un moment d’absence.  Il était probable que la demoiselle ait remarqué l’absence de Lorna.  Si c’était cela, elle ne devait pas s’inquiéter pour son absence.  Elfe s’avança doucement vers la jeune femme, roulant un peu des hanches pour le baron. Elle embrassa la jeune princesse avec une passion certaine. Elle s’arrêta finalement, avant d’aller mordiller l’oreille de la demoiselle.   Cela lui permettait de lui dire discrètement.


- Lorna est retournée au harem pour se reposer,  cependant ne vous en faite pas trop pour elle. Je pense que sa colère envers vous  n’est  plus qu’un souvenir.
Elle voulait ainsi, que la princesse ne pense uniquement à la nuit qu’elle allait vivre.  Lui sortir de la tête  tout ce qui pourrait l’empêcher de  prendre son pied. Ne serait ce que en partie.
Elle se contenta de rire doucement, alors que le baron  se plaignait déjà de l’éprouvante nuit qu’il allait passer.  Elfe   posa doucement  ses doigts sur la nuque de celui-ci, alors que l’autre se plaça sur le ventre de la jolie princesse.


-Et bien, mon cher Baron, j’espère que vous n’êtes pas déjà fatigué.  Moi qui voulais vous réserver quelques surprises, je suppose que je devrais attendre… Hum, c’est tellement dommage.  Surtout que  mademoiselle Alice peut témoigner que la magie rouge à un gout particulier… N’est ce pas Alice?

L’elfe faisait bien sûr référence au gout de la cyprine des clones de feu.  Cette première avait semblait concluante, et il était sur que l’elfe y ait recourt lors d’une prochaine situation.  Mais en attendant,  elle n’avait montré qu’une très légère des possibilités infinies que lui offrait la magie rouge.  Elle attendait cependant la réaction de la princesse et du baron, commençant à caresser les deux amants de deux types de caresses.   Des sauvages pour l’homme, et des douces pour la femme.  De quoi réveiller, doucement mais surement la libido déjà bien présente de ses deux partenaires.


Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 15 février 2012, 22:12:33
Préoccupée, Alice ne pouvait cacher qu’elle l’était. La disparition de Lorna l’inquiétait, et ce même si elle se refusait à y penser. C’était quelque chose de plus fort qu’elle. Tinuviel s’approcha d’elle, et lui fit un tendre baiser, plein de passion. Oubliée, la fatigue de l’elfe rouge. Elle semblait pleinement réveillée, pleinement prête à satisfaire autant que possible son plaisir et ceux de ses amants, menant déjà la danse, presque instinctivement. Alice se sentit fondre sous ce contact, et glissa ses mains sur les hanches de Tinuviel, fermant les yeux en soupirant. Oh oui, elle avait vraiment des lèvres formidables, une bouche délicieuse. Tinuviel rompit le baiser, et murmura dans le creux de l’oreille d’Alice qu’elle n’avait pas à en faire pour Lorna, lui expliquant que cette dernière était partie se reposer au harem. La Princesse n’en croyait pas un mot, sachant qu’il y avait d’autres raisons plus profondes à cela, mais le moment n’était pas bien choisi. Elle embrassa donc Tinuviel dans le cou.

« Je ne me laisserai plus préoccuper par ça, promit-elle. Tu n’as pas à t’en faire pour cela, ma beauté. »

Tinuviel alla ensuite les caresser respectivement, promenant chacune de ses mains sur le corps des amants. Olivier en avait profité pour retirer quelques-uns de ses vêtements, conservant son pantalon, mais ayant ôté sa chemise, révélant un torse imberbe et bien entretenu. Il laissait Tinuviel tendrement caresser son torse, avant d’attraper cette dernière, et de l’approcher de ses lèvres, suçotant et léchant ses doigts, avant de lui répondre.

« Nous verrons bien jusqu’où je suis capable de tenir face à votre corps et à votre magie », répondit-il, mystérieux, avant de relâcher la main de Tinuviel.

Le membre du Baron était bien tendu, ressortant de son pantalon, et il ne faisait rien pour le cacher. En voyant ce membre tendu, Alice rougit, se rappelant comment ça avait commencé avec lui… Une danse classique, mais où elle avait progressivement senti le membre tendu contre ses jambes, en se collant contre le Baron. Elle en avait rougi, et s’était réfugiée dans les toilettes, pour se remettre. Le Baron l’avait prudemment rejoint, pensant avoir mal agi, mais avait été surpris de voir qu’Alice se touchait. Tout était parti de là… Elle sentit ce flashs ‘évanouir, et alla embrasser Tinuviel sur la joue, Letterfinlay retournant s’occuper de ses lèvres. Leurs lèvres glissèrent alors, et Alice embrassa à nouveau Olivier, se collant contre lui, sous le regard de Tinuviel, dont les bras pouvaient les enlacer. Elle gémit contre lui, frottant ses seins contre sa peau, tandis que lui s’attaqua aux nœuds de son corset, commençant à en défaire quelques-uns, avant de retourner caresser les superbes hanches de la Princesse. Il finit par rompre le baiser, et invita Alice à aller embrasser Tinuviel, ce que cette dernière fit, leurs corps restant serrés les uns contre les autres, se rapprochant lentement du lit.

Alice et Tinuviel finirent par tomber dessus, la Princesse restant blottie contre le corps de l’elfe, tandis que le Baron retirait ses derniers vêtements, finissant nu comme un ver, avec son membre fièrement dressé. Il entreprit de se glisser sur le lit, à hauteur des jambes de Tinuviel, et commença à masser ses beaux pieds, les relevant pour les embrasser et les suçoter, notamment à hauteur des doigts de pied, embrassant, mordillant et léchant la plante de ses pieds, tout en se mettant à parler.

« Honnêtement, je ne vois pas ce que j’ai de si effrayant… soupira-t-il entre plusieurs baisers, s’occupant également des pieds d’Alice, tirant un peu sur ses collants, la faisant frémir. Les elfes sont vraiment paradoxaux… »

Letterfinlay avait en effet du mal à saisir la logique de Tinuviel, qui, tout en affirmant que les hommes avaient droit « au même respect que les femmes », interdisait l’entrée de son harem aux hommes. Pour bien des humains, c’était sans doute la preuve la plus flagrante de la nature ambivalente des elfes : « Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais », en d’autres termes. Letterfinlay laissa passer son scepticisme, car il devait bien admettre que cette elfe était tout simplement exquise, et que, pour le moment, il se moquait comme d’une guigne de l’avis de Tinuviel sur la gent masculine.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le jeudi 16 février 2012, 17:39:05
L’elfe se contenta d’un petit sourire, certes le baron ne se trouvait peut être pas  effrayant, mais il ne se mettait pas à la place des jeunes femmes qui durant des années et des années s’étaient faites violées par  parfois une bonne dizaine d’homme.  C’était pour cela  qu’elle ne tolérait pas les hommes, car certaines de ses protégées étaient totalement traumatisées par ces expériences.  Cela, était la raison de ce refus.  Et personne au harem ne s’en était jamais plains, en effet, l’elfe avait différentes petites techniques pour comblées celle qui le voulait.  Après l’elfe n’en avait rien à faire de ce que l’on puisse penser de sa politique. Son harem  était un lieu de repos, et  aucune de ses amantes ne s’en était jamais plainte.  Les hommes eux non plus quand il avait la chance de  ne pas représenter une menace, mais cela était une autre histoire.
-Mes propos sont contradictoires, mais si un jour vous étiez dans ma position, vous comprendriez peut être ma politique… Je me dois d’agir non pas pour moi, mais dans les intérêts d’une … d’une vingtaine de femme.    Parfois plus, si nous… abritons d’anciennes esclaves ou bien des jeunes femmes ayant fuient un mariage forcé… Maintenant. Je vous laisse libre de vous faire une opinion.

Elfe se rapprocha doucement mais surement du corps de la jeune femme,   elle eut un petit sourire avant de  plonger ses doigts dans la chevelure de la jeune femme.  l’elfe était simplement entrain de lui caresser la nuque de sa main encore libre, elle laissait doucement monter la température. Il ne servait  à rien d’aller trop vite, au contraire.   Toutefois l’elfe  ne put s’empêcher de penser que le baron  avait était  particulièrement bien aidé par la nature.  Oui,  son membre n’était pas extrêmement  grand, comparée à certaine futa qu’elle avait eut la chance de connaitre,  mais était de taille respectable, et il était séduisant, il n’y avait pas de mot.  Oui, cet homme avait tout pour plaire, et elfe ne s’étonnait pas de son succès auprès des femmes.

La mage rouge, s’avança doucement,  caressant maintenant la jolie poitrine de la jeune princesse, lui tirant au passage quelques gémissements.  L’elfe eut un petit sourire, avant de faire signe au baron de les rejoindre sur le lit.  L’elfe semblait décidé à passer aux choses plus sérieuses.  Continuer les préliminaires c’était certain, mais en présence du baron, celui-ci devrait arrêter de caresser les pieds des deux jeunes femmes pour venir s’occuper d’autres choses. Et cela sans doute pour le plus grand plaisir d’Alice qui semblait totalement sous le charme du baron.   Elfe elle, continuait à caresser les deux monts de chaire de la jolie noble qui semblait de plus en plus émoustillée par ce que l’elfe était entrain de faire
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Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 16 février 2012, 19:45:48
Un sourire amusé traversa les lèvres du Baron. Ces elfes étaient vraiment curieux ! Lui devait diriger des centaines de serfs, et tous n’étaient pas des natifs. Des émigrés ayant fui des tyrans, il y en avait beaucoup. La population de Sylvandell ne cessait de croître. Certes, le royaume n’avait rien de ce « paradis » flottant qu’était Caelestis, si tant est qu’on pouvait considérer un lieu raciste comme paradisiaque, mais il était amplement préférable aux terres sauvages qui jouxtaient Sylvandell. S’il avait du bannir tous les hommes à cause des femmes violées de sa baronnie… Il n’ajouta toutefois rien, guère soucieux de rentrer dans un débat politique, préférant s’occuper des jambes des femmes. Le Baron admettait volontiers être soumis au lit face aux femmes, préférant les exciter avant de se plonger en elles, adorant tout simplement les entendre gémir, sentir leur corps se tortiller de plaisir, frissonner d’impatience… Du point de vue de l’homme, c’était la plus belle chose qui existe. Il n’avait de plus pas à rougir de ses performances sexuelles, ayant la prétention de croire qu’aucune de ses partenaires n’avait simulé avec lui, vu qu’il veillait toujours, ou presque, à s‘assurer qu’elles soient très excitées avant de se glisser en elles.

Loin de là, Alice frissonnait en effet sous les caresses de Tinuviel, l’embrassant tendrement, posant ses mains sur son corps, les aventurant près des délicieux seins de Tinuviel. Elle était encore la seule habillée, mais savait que ça ne durerait pas, et prolongeait avec Tinuviel de longs baisers, Lorna s’évanouissant de son esprit. Elle frémissait en sentant les mains de l’elfe rouge se poser sur ses seins, les caressant, et alternait entre la bouche tendre de sa partenaire pour son cou, léchant et mordillant sa peau parfaite, tandis que cette dernière fit signe au Baron de venir près d’elle. Ce dernier ne se le fit pas prier, et se glissa à côté de Tinuviel, en profitant pour caresser avec une main ses fesses, son membre tendu frottant contre son derrière. Il ne comptait nullement la pénétrer… Pas pour le moment, en tout cas. Ses lèvres posèrent sur la joue de Tinuviel, et il se mit à caresser l’un des seins de la femme, Alice s’occupant de caresser l’autre, leurs lèvres embrassant le visage de l’elfe rouge, l’emprisonnant entre les deux amants.

« Vos désirs sont des ordres, Tinuviel, répliqua Letterfinlay. Les préjugés sur la légendaire beauté des elfes ne peuvent que se confirmer avec vous… »

Il goûta à nouveau à la saveur de ses lèvres, et tendit ses lèvres vers son sein, l’embrassant, aspirant son sein. Le suivant, la Princesse embrassa l’autre sein de Tinuviel, répandant probablement en elle des torrents de plaisir. Du moins, Alice l’espérait. Tinuviel lui avait offert un plaisir extrême hier. Elle espérait bien lui rendre la pareille. Olivier finit néanmoins par se redresser, et incita Alice à s’allonger sur l’elfe, ce que cette dernière fit, tandis qu’Olivier allait jouer avec les lacets de son corset, les défaisant tranquillement, embrassant parfois Alice dans le creux du cou. Son membre tendu frottait contre le haut de la jambe d’Alice, tandis que cette dernière était partie dans un nouveau baiser, une nouvelle danse avec sa langue, savourant le corps ô combien sublime de Tinuviel. Elle rougit en sentant le membre de Letterfinlay caresser ses fesses, s’enfonçant contre sa peau, et rompit son baiser pour parler à Tuni’, caressant délicatement ses lèvres.

« Je crois que le membre de notre cher hôte souffre de la solitude dans laquelle nous le plongeons, tu ne crois pas ? » demanda-t-elle rapidement.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le vendredi 24 février 2012, 23:12:38
L’elfe se contenta de sourire, cet homme savait charmer les femmes, oui, il avait l’art des mots et cela expliquait sans doute  pourquoi il avait tant de charme, en plus de son physique très agréable. Il était pour compléter le tableau un amant relativement attentionné, le genre de qualité qu’elle appréciait particulièrement que ce soit chez les hommes ou les femmes.  Oui, elle ne regretterait sans doute pas cette nuit avec le baron et la princesse. De toute façon, elle se serait occupée personnellement de changer cela si le baron n’avait pas était à la hauteur.

Elle eut un petit sourire en sentant la jeune princesse s’occuper de sa poitrine, c’était tellement bon, tellement bon,   elle  sentit ensuite les lèvres du baron sur les siennes,  embrassant avec passion cet homme  alors que la princesse elle, ne se faisait pas prier pour dévorer avec  une certaine  envie.  Elfe était tout simplement prise entre deux feux et il lui était difficile de résister avec une telle amante occupée  à téter sa poitrine et un amant qui dévorer sa bouche. 
Le reste se produisit rapidement, le baron laissant la place à la jeune princesse, reprenant  ce délicieux ballet.  Leurs langues se recherchant dans une frénétique ode à la passion,  les corps se touchant parfois, pour reprendre ainsi un peu de distance, puis pour revenir se frôler.  Cela, faisait bien sur parti du jeu.  L’intimité de l’elfe se faisait déjà un peu plus humide.   En si peu de temps, cela était relativement rare, en effet, il en fallait généralement bien plus pour que l’elfe  soit émoustillée. Mais les efforts conjugués de ses deux amants  venaient progressivement à bout de la légendaire résistance de l’elfe.
Elle se contenta de sourire en écoutant les paroles de la jeune princesse, se décollant de celle-ci, avant finalement de caresser le visage du baron regardant au passage ce membre qui semblait si désireux d’en savoir plus sur les capacités de la dame rouge.


- Hum, ma chère Alice, je pense que vous avez raison. 

Elle descendit doucement ses mains sur le torse du Baron,  laissant ses mains  répandre un peu de chaleur humaine  dans le torse de l’homme.  Elle recommença ensuite sa descente,  laissant ses mains embrasser sa peau.  Jouant un peu avec le nombril de cet homme de pouvoir.  Finalement, elle prit place sur son pubis,  allant rechercher les bourses de l’homme, les caressant avec une certaine dextérité.    Elle jouait littéralement avec ces deux beaux présents.  Terminant finalement le calvaire qu’elle était entrain de faire vivre à l’homme, en déposant doucement sa main droite sur la hampe de l’homme et commença doucement à caresser celle-ci.  Elle ne faisait pas encore de va et bien, non elle se contentait juste de  le chauffer un peu. De lui laisser un peu languir,  c’était finalement sa marque de fabrique et la jeune princesse pouvait en témoigner. Mais croire que l’elfe avait oublié la jeune princesse aurait était une  grossière erreur,  non.   De sa main libre, elle caressait maintenant le ventre de la jeune femme. 
Elle eut un petit sourire, descendant rapidement sur les cuisses de la princesse, caressant celle-ci a travers le bout de tissus qui restait.  Elle n’était certes pas encore déshabillée, mais cela viendrait, d’ici peut de temps, les trois  amants  seraient sur un pied d’égalité.  Elle eut un petit sourire, contemplant  du coin de l’œil son œuvre.
Elle attendait la contre attaque, que ce soit de la jeune princesse ou bien du baron, se disant et l’espérant d’ailleurs, que ce qu’elle venait de faire permettrait au jeu de passer à la vitesse supérieur.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 25 février 2012, 00:29:56
La brave Tinuviel, l’elfe rouge inépuisable, se laissait progressivement séduire par les efforts conjugués d’Alice et d’Olive. Elle se mettait à mouiller, ce qu’Alice nota avec plaisir et fierté. Il n’était après tout pas facile d’humidifier Tinuviel à cet endroit de son corps, et, ça, Alice avait pu le comprendre en une journée. Cette dernière rejoignit la proposition de la Princesse de s’occuper du baron. Prudemment, ce dernier s’assit sur le lit, écartant les jambes, son sexe se dressant fièrement, alors que Tinuviel se mit à caresser son ventre.

« Des mains de fées… Non, d’elfes ! se reprit le Baron. Aussi douces qu’expertes… Ah, on se damnerait pour de tels doigts ! »

Délicatement, la Princesse se mit à sourire, et se rapprocha de Tinuviel, qui se mit à faire ce qu’elle savait faire de mieux : remuer ses doigts. Exercer de tendres et douces caresses, divines et lentes, langoureuses et agréables. Alice avait beau savoir que de telles caresses pouvaient devenir terribles, ça n’empêcha pas son corps d’apprécier les caresses de la beauté à hauteur de son ventre, tandis qu’elle descendait lentement vers le membre du Baron. Ce dernier en frissonnait, tandis que les doigts de Tinuviel se faisaient de plus en plus audacieuses, caressant ses cuisses, frottant sa culotte.

« C’est toujours aussi agréable, Tinuviel… » commenta la Princesse en l’embrassant dans le creux du cou.

Elle promena ses lèvres, posant de son côté une main sur le bas du dos de l’elfe, empoignant son derrière, malheureusement moins experte que cette dernière. Elle l’embrassait dans le creux du cou, remontant parfois sa bouche pour l’embrasser sur les lèvres, tandis que le Baron soupirait en sentant son sexe être emprisonné entre les doigts de Tinuviel. C’était un commencement de masturbation assez original, et il le ressentait bien. Son désir était manipulé entre les doigts longs et fins de Tinuviel, et, à travers le désir, c’est lui qui était écrasé, soumis à cette dernière, sans possibilité de pouvoir s’opposer. Bientôt, il ne tarderait pas à ressentir ce qu’Alice avait ressenti dans la baignoire, et celle-ci se rappela alors de quelque chose.

Sans plus attendre, elle tendit une main vers l’entre-jambes de l’elfe, et la caressa un peu, récupérant la mouille de l’elfe, et alla la suçoter, avant de frotter ses doigts contre la bouche de Tinuviel.

« J’ai toujours été curieuse de savoir quel goût la mouille d’une elfe avait… se justifia-t-elle. Et je dois admettre que c’est… Plutôt bon. »

Alice sourit, et embrassa à nouveau Tinuviel, ponctuant ainsi sa phrase. Elle écarta légèrement ses jambes, restant à genoux sur le lit, alors qu’Olivier, lui, était plutôt allongé, savourant cette main, tendant ses propres mains pour caresser l’elfe rouge. Letterfinlay avait l’air relativement heureux, et le voir ainsi faisait naturellement sourire Alice. Elle retira alors la main de Tinuviel, et la porta à ses lèvres, déposant quelques baisers dessus.

« C’est toi la convalescente, Tinuviel… C’est à moi de m’occuper de toi… »

Joignant le geste à la parole, la Princesse se glissa dans le dos de Tinuviel, et, tout en embrassant ses épaules, glissa l’une de ses mains vers l’entre-jambes de l’elfe. Elle ne se glissa pas dans son trou de plaisir, mais écarta deux doigts, frottant autour, grattant avec ses ongles, son autre main se posant à l’emplacement de son aine. Elle remonta ses lèvres pour lécher son tendre cou, glissant sur ses oreilles.

« Laisse-toi aller, Tinuviel… Il faut bien que je me fasse pardonner pour t’avoir involontairement blessé, après tout… »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le samedi 25 février 2012, 10:51:55
L’elfe   eut un petit sourire après la réflexion de la jeune princesse, effectivement ce genre de caresse n’était sans doute pas le plus efficace toutefois, elles constituaient une excellant entrée en matière pour réveiller des braises de désir latente.  Elle souriait tranquillement, continuant ses petites caresses sur le ventre mais également sur les bijoux de famille du baron, prenant un certain plaisir à jouer avec cette partie si sensible du désir masculin.  Étrangement, elle pourrait le faire languir, durant encore des heures et des heures, cependant, ce ne serait pas le cas. Non, elle n’avait pas envie de  faire en sorte que le baron craque. Et elle se contenterait donc de jouer encore un peu, avant de passer aux choses sérieuses.  Elle sentait  les douces lèvres de sa jeune amante dans son cou,   se disant que elle et lorna avait la même façon d’embrasser plus ou moins. Une façon de faire délicieuse et délectable, dont elle ne se lassait pas, elle devait l’avouer.
Elle fut tirée de ses pensées en sentant un doigt se glisser dans son intimité. Elle eut un petit sourire en écoutant la justification de la jeune princesse et  lui dit doucement.


-Et plus tu la gouteras, et plus tu la trouveras meilleure.

La phrase pouvait paraitre relativement énigmatique, mais l’elfe rouge avait depuis longtemps déjà amélioré son corps en l’enchantant avec divers sortilèges de magie rouge.  Ainsi elle avait par exemple   renforcé sa résistance au plaisir en échange de plus grandes sensations durant l’orgasme,  mais elle avait aussi fait en sorte que son jus intime ne soit jamais désagréable pour une personne et mieux encore, qu’il s’adapte progressivement à la dite personne jusqu’à finalement en devenir un met fin et raffiné. Enfin, la jeune princesse avait encore de la marge avant d’en arriver la, mais qui sait, peut être que si elles se recroissaient. Elle eut un petit sourire lorsque la jeune femme  lui dit que c’était à elle de s’occuper d’elle.  Cette princesse lui faisait vraiment penser à Lorna,  elles étaient finalement un peu pareilles, et  elle comprenait donc très bien ce que la jeune kitsune pouvait ressentir.  Elle eut un petit sourire avant de lui dire doucement.

-Je me laisserais faire princesse, prenez soin de moi comme il vous plaira.
Elle se contenta de soupirer lors des caresses de la jeune princesse, malgré son jeune âge, elle savait y faire. Oui, c’était tout juste démoniaque comme façon de s’occuper de quelqu’un.   La jeune elfe avait d’ailleurs du mal à rester calme, et avait un peu plus de mal à respirer lentement.  Elle payait sans doute l’épisode de la baignoire, mais cela, elle s’en moquait royalement. Elle eut un petit sourire et dit doucement à la jeune princesse
.
- Princesse, vous êtes… Hum, vous êtes délicieuse…  Continuez, je vous prie, c’est tellement bon.

Elle se laissait faire, caressant maintenant la poitrine de la jeune femme,  effleurant avec une certaine délicatesse les deux petits monts de chaire de la jeune princesse.  Son autre main elle, jouait encore avec le sexe du baron. Elle vit un petit va et viens, juste de quoi faire sortir cette merveille  sanguine de son écrin.  Caressant celui-ci de ses doigts.  De la pulpe bien sur,  elle ne se serait jamais amusée à griffer cette partie si sensible de l’intimité masculine. Encore que chez certaine personne.  Elle se contenta de sourire,  laissant doucement le baron prendre conscience du plaisir. Sa main encore présente sur la poitrine de la jeune femme se fit un peu plus instante, massant littéralement la jolie poitrine de son amante du soir. Elfe n’en avait pas fini avec la jeune princesse loin de la, c’était pour cela qu’elle s’amusait avec les deux tétons de celle-ci,  les caressant successivement de telle manière à ne pas les rendre jaloux.  Il fallait bien qu’elle rende un peu la pareille à cette jeune princesse non ? Elle ne devait pas être la seule à s’occuper de son corps, la réciproque devait être vraie.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 25 février 2012, 15:59:22
Un sourire ravi  éclaira les lèvres d’Alice. Tinuviel avait visiblement l’air de plutôt bien apprécier son traitement, ce que la Princesse pouvait assez facilement comprendre. Alice n’avait pas l’expérience de l’elfe rouge, loin de là, mais elle faisait du mieux qu’elle pouvait pour lui faire plaisir, et sans doute aussi pour se venger un peu de l’épisode de la baignoire. Alice n’avait bien entendu pas oublié dans quel état Tinuviel l’avait mis dans la salle de bains, et dire qu’elle ne lui en tenait pas rancœur était un peu exagéré. Elle avait ici l’occasion de se venger, sentant que l’elfe était fébrile. Sa mouille avait effectivement un goût assez délicieux, différent de celle qu’elle avait déjà eu l’occasion de goûter. Elle se disait qu’il s’agissait probablement d’un autre sort magique de l’elfe, à moins que ce ne soit commun aux elfes… Il faut bien dire qu’on ne trouve pas vraiment ce genre d’informations dans les encyclopédies.

« Aaaaah aaaah ! s’exclamait le Baron. Ventredieu, vous allez me… Haaa… Oh, Seigneur… »

Assez bruyant, Letterfinlay sentait son plaisir monter en flèche, au fur et à mesure des caresses de la brave elfe rouge, des caresses assez appuyées sur sa verge, excitant le Baron, qui y succombait sans hésitation. Avait-il pensé qu’il était possible d’obtenir un plaisir si grand par un simple doigté ? Cette elfe était décidément une merveilleuse et terrifiante sorcière, le Baron s’en rendait bien compte, et se laissait dompter par elle. Alice, de son côté, alla se positionner devant Tinuviel, les longues jambes du Baron filant entre les deux, afin qu’elle puisse caresser ses seins. La Princesse en poussa de petits gémissements, tandis que, dans sa bouche, elle avait le goût de la cyprine de l’elfe.

Elle continua à remuer ses doigts autour du trou de plaisir de l’elfe, approchant parfois ses lèvres pour embrasser la belle poitrine de la femme, sentant dans son dos l’une des mains du Baron la caresser, la faisant frissonner de plaisir. La main du Baron était moins douce et experte que celle de Tinuviel, une main d’homme, plus solide, plus grosse. Elle poussa un nouveau soupir, sentant également sa zone sensible s’humidifier rapidement, quelques gouttes se mettant à glisser sur ses cuisses.

« Je crois que ton nectar manque à mes lèvres, Tinuviel… Me permettrais-tu d’aller le goûter ? »

Force était pour Alice de reconnaître qu’elle était moins talentueuse que l’elfe rouge. Elle avait dans la bouche le goût de sa cyprine, et ne désirait qu’une chose : y retourner. Tandis qu’elle s’amusait à caresser le corps de l’elfe, autour de son sexe, ne s’aventurant que peu sur ce dernier, elle finit par avoir soif, et commença à faire lentement glisser son visage, embrassant le corps de Tinuviel en descendant vers son nombril. De là, elle se retourna, sentant les jambes du Baron s’enfoncer dans son dos, comme deux longues barres, et entreprit de changer de position. Rapidement, Alice alla se glisser à nouveau derrière l’elfe rouge, et passa sa tête entre ses jambes, évitant ainsi le contact avec celles du Baron.

« Voilà qui est mieux comme ça… »

Sous Tinuviel, elle amena sa langue pour la glisser dans le délicieux trou de cette dernière, tout en plaçant ses mains sur le bas du dos de Tinuviel, les glissant parfois sur ses fesses, s’en servant pour s’appuyer, sa tête disparaissant sous les jambes repliées de Tinuviel. Dans cette position, la Princesse se sentait terriblement bien, tandis que, de son côté, le Baron continuait à sentir le plaisir monter, jusqu’à inviter Tinuviel à approcher ses lèvres.

« Je… Je crois que vous avez merveilleusement bien préparé le terrain, Dame rouge. Hum… Je mentirais en disant que ça n’est qu’agréable ; ce p’tit bâton sait… Haaa... Sait se rappeler à moi quand il le faut… »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le samedi 25 février 2012, 18:39:59
L’elfe se contenta de sourire,  le baron semblait des plus réceptifs à ses caresses  et il serait bientôt prêt à passer au reste, enfin qu’importe. Elle se demandait si la jeune princesse allait oui ou non replonger dans son antre pour y rechercher encore un peu de ce si plaisant liquide. Surtout que  cela ne la dérangeait absolument pas, non au contraire.  Elle eut un petit sourire lorsque la jeune femme, lui demanda l’autorisation de boire encore un peu  de son nectar. Elle se contenta de caresser doucement la joue de cette charmante  lui disant doucement.

-Viens boire à ma source, viens apaiser ta soif jeune princesse.
 
Elle caressa doucement les lèvres de la demoiselle, avant que celle-ci ne se décide  à glisser doucement sous elle,  sa tête glisser entre ses cuisses.  C’était délicieux, ces petites caresses provoquant un  effet relativement important sur la jeune femme. C’était tellement… Elle  poussa doucement la tête de la jeune femme sur son sexe, incitant la jeune femme à lécher cet endroit si plaisant. Elle souriait doucement, c’était vraiment délicieux.
Elle s’approcha doucement des lèvres du baron, lui accordant un petit baiser avant finalement de lui dire.

-Et bien, mon cher baron, laissez moi  faire en sorte que  cela ne vous dérange plus.   Après tout, vous aurez bien le temps de nous rendre la pareille n’est ce pas.

Elle commença doucement un petit mouvement de va et viens sur ce membre si dur,  caressant celui-ci avec une lenteur inhumaine. Du moins, c’était le cas les premières secondes. En effet, elle  augmenta progressivement la cadence offrant finalement au baron une vraie masturbation dans les règles de l’art. Elle avait un petit sourire,   peut être que cela était dut au fait que la jeune princesse la travaillé au corps depuis quelques minutes maintenant ou bien, peut être parce qu’elle se sentait finalement bien comme cela.  Il n’y avait pas toujours besoin de  raison. Elle caressait doucement la  tête de la jeune princesse caressant celle-ci avec une certaine tendresse et une délicatesse. Elle appréciait vraiment la petite attention de la jeune princesse, notamment sentir cette langue dans son antre humide. Elle eut un petit sourire avant de lui dire doucement.


- Hum, tu es vraiment douée Alice.  Tu me fais un bien fou, ma belle.

Elle  incitait bien sur la jeune princesse à continuer, caressant doucement  la joue de celle-ci, jouant un peu avec une jolie mèche blonde de celle-ci.    Elle était si délicieuse cette  princesse, avec ces si beaux yeux bleus et  ce beau visage.  Oui, il était vraiment dommage qu’elle ne puisse pas  rejoindre son harem, mais un jour qui sait peut être aurait elle assez de sa vie au pouvoir.  Elle trouverait sinon peut  quelqu’un pour s’occuper d’elle. Qui sait,  après tout ce n’était pas parce que le mode de vie de ce pays était relativement libre qu’elle ne pouvait pas trouver l’amour.  Elle eut un petit sourire à cette pensée.  Enfin, pour l’instant, elle devait s’occuper également de la princesse pour lui rendre un peu ce qu’elle était entrain de faire.  L’elfe était entrain de masser son cuir chevelu, lui offrant sans doute une bien maigre compensation, mais c’était la seule chose qu’elle pouvait faire vu la position de la jeune princesse.
Elle continuait doucement ses caresses sur la verge du baron, sentant que celui-ci ne tarderait sans doute pas à venir, c’était normal, naturelle même et le baron n’avait pas à rougir de sa performance, il avait tenu un peu plus longtemps que la moyenne. Mais cela ne faisait que commencer et l’elfe lui réservait bien d’autre choses.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 26 février 2012, 00:00:03
Tinuviel se laissait faire, encourageant même Alice à aller, comme elle le disait si bien, « boire à la source ». La Princesse ne s’en privait naturellement nullement, s’appuyant sur les jambes de l’elfe rouge, la forçant à s’écraser sur elle, emprisonnant sa tête dans un cocon de chaleur et de tendresse. Oh, que c’était agréable ! Divin, même ! Alice se délectait de cette mouille qui glissait sur ses lèvres, en oubliant même jusqu’à la présence du Baron. Tinuviel l’enfermait entre ses cuisses, la plaquait contre le lit, et la Princesse sentait des bouffées de chaleur importantes dans son corps. Elle sentait son excitation exploser, se cramponnant aux jambes de l’elfe, sentant cette dernière caresser ses cheveux, tirer délicatement dessus. De son côté, sa langue continuait à se promener dans son antre, dans cette belle grotte, s’enfonçant à l’intérieur, remuant. Ses dents frottaient parfois contre la peau, alors qu’elle cherchait le déclencheur du plaisir, ce bouton rose. L’elfe mouillait de plus en plus, et c’était pour Alice le plus beau régal à avoir, l’emplissant de fierté. Avec ses mains, elle se mit à palper son beau fessier, caressant ses fesses, glissant ses doigts dessus pour les écarter l’une de l’autre, avant de les ramener, remuant lentement ses jambes sur la couverture, commençant à sentir sa propre intimité répandre des vagues de chaleur et de désir dans son corps.

« Hum hum… » se contenta-elle de dire lorsque Tinuviel lui annonça qu’elle était très talentueuse.

La Princesse retrouvait un peu le sentiment que Tinuviel se sentait supérieure à elle, mais elle ne s’en sentait nullement gênée. Tinuviel était plus expérimentée qu’elle, après tout. La Princesse avait néanmoins cette sensation persistante que Tinuviel la traitait un peu comme son espèce de fille, ou comme les dames qu’elle éduquait et protégeait dans son harem, lui faisant des compliments, des délicates caresses. Le ton y était. Il ne manquait plus qu’elle remplace « Alice » par « ma fille », et on s’y méprendrait.

*Bah, elle doit être comme ça avec tout le monde… C’est une elfe, après tout ! Tant que je lui fais plaisir, c’est tout ce qui m’importe… Oh oui, ce que c’est bon…*

Alice faisait rudement plaisir à sa gorge, buvant cette cyprine sans la moindre hésitation. De son côté, le brave Baron se mettait à serrer les couvertures, fermant les yeux, tout son corps semblant comme assommé par la main de Tinuviel concentré sur son sexe. Décidée à lui faire plaisir, elle pratiquait maintenant une vraie masturbation, tout en ayant rappelé à Letterfinlay que sa virilité ne se reposerait pas beaucoup, ce que ce dernier ne tarda pas à confirmer.

« Il… Il faut que j’entraîne ce membre… Quoi de mieux que la pratique pour… Pour ça, hein ?! »

Les mouvements de Tinuviel s’accéléraient, et Alice le sentait dans la manière dont le bassin de l’elfe bougeait légèrement, continuant à l’écraser. Avec ses yeux, elle regardait son beau ventre, avant de remonter pour voir la superbe poitrine de Tinuviel, ses seins fermes et impérieux. C’était plutôt une belle vue, alors que le Baron, lui, ne tarda pas à succomber. Il n’avait sans doute jamais joui aussi vite avec une femme, sans aucune pénétration préalable, mais on pouvait le comprendre. Il n’avait pas honoré la beauté féminine depuis plusieurs jours, soit une éternité pour lui, et, de plus, il faisait tout de même avec une elfe rouge et son amour d’enfance. Il ne tarda donc pas à éjaculer, entre les doigts de Tinuviel. Son sexe cracha son sperme en l’air, quelques gouttes heurtant les doigts de l’elfe rouge, tandis que d’autres giclaient en l’air, retombant sur le poignet de l’elfe rouge et sur le bassin du Baron, qui en soupira longuement.

« Divin… » soupira-t-il, fermant les yeux pour profiter de ce moment.

Letterfinlay resta ainsi quelques secondes, son sexe perdant son volume, l’érection étant satisfaite. Pour autant, Olivier n’avait pas encore dit son dernier mot avec ces deux beautés, et il ne tarda pas à se redresser, s’appuyant sur ses bras, et, sans attendre, se mit à lécher et à sucer les doigts de Tinuviel mouillés par son sperme.

« Permettez que je vous nettoie un peu, noble elfe… Ce liquide-là n’est pas fait pour aller sur les doigts… »

Tendrement, Olivier nettoya les doigts de Tinuviel, avant d’embrasser la paume de sa main, remontant ainsi jusqu’à pouvoir à nouveau attraper ses lèvres, se serrant contre elle. La Princesse sentit quelque chose d’humide titiller son nez, et vit, outre sa vision se réduire, deux espèces de ronds se poser sur ses yeux. Elle ne tarda pas à comprendre qu’il s’agit du machin d’Olivier, son sexe, qui caressait sa tête. Alice, fort heureusement, n’en était pas étouffée, et soupira lentement, mais cela ne découragea nullement le Baron, qui se mit à embrasser l’épaule de Tinuviel, faisant glisser ses lèvres sur sa douce peau, avant de lui parler.

« Dites-moi, belle elfe… Est-ce que vos pouvoirs magiques auraient la faculté de rendre ma libido… De me rendre insatiable ? Vous savez, le problème de cet engin-là, c’est qu’il s’épuise vite, alors, si vous aviez un tour permettant de résoudre ce problème… Je… Je vous satisferai comme vous le méritez, belle elfe. »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le dimanche 26 février 2012, 10:43:54
Tinuviel avait effectivement tendance à considérer ses amantes comme cela, elle était protectrice, cela faisait partie de son tempérament surtout lorsqu’elle avait tendance à apprécier quelqu’un, ce qui était le cas avec la jeune princesse.  L’elfe  avait sans doute l’impression que cette jeune femme aurait put être sa fille, ou bien l’une des membres de son harem, et c’était donc pour cela qu’elle agissait comme cela. Il fallait juste espérer que la  jeune demoiselle ne lui en veuille pas trop.  En attendant, et vu comme elle dévorait l’antre intime de l’elfe, cela ne semblait  pas être le cas.  Tinuviel avait du mal à se contrôler, son corps produisait de plus en plus de cyprine que la jeune femme se faisait un plaisir de boire immédiatement produisant ainsi un cercle vicieux.

La phrase du Baron lui tira également un sourire, mais elle se doutait bien qu’il ne pourrait plus tenir trop longtemps et effectivement,  il vient quelques secondes plus tard.  L’elfe ne sembla pas outrée de recevoir aussi bien sur les doigts que sur le poignet une partie du jus intime du baron. Au contraire, elle  avait eut d’ailleurs une période de sa sexualité, ou elle aurait demandé plus,  cependant elle était revenue à des choses moins  extrême.  Elle apprécia cependant la petite attention du baron, en effet il était rare que les hommes prennent le temps  de nettoyer leurs dégâts. Elle eut un petit sourire, avant de répondre favorablement au baiser du baron et elle en profita d’ailleurs un peu pour gouter à cette liqueur blanche.  Elle devait avouer que son sperme n’était pas mauvais, même s’il manquait un peu de finesse. Enfin…
Elle caressa doucement la joue du baron, avant de se retirer de cette étreinte laissant doucement la jeune alice, la bouche dans le vide,  elle eut un petit sourire. Avant de dire au baron.


-Ce n’est pas compliqué, loin de la rassurez vous. Toutefois,  je pense qu’il est injuste que je  sois la cible de toutes les attentions.  Je  vous demanderais ainsi quelques secondes, le temps de trouver une position plus appropriée à ce que j’ai en tête.
Elfe eut un petit sourire avant de se placer au niveau du sexe du baron, caressant celui-ci, et y insufflant sa magie.   Le baron, durant une heure ne pourrait pas déraidir. Sauf s’il était satisfait sur le plan psychique. Autant dire que l’heure suivante serait sans doute relativement ardente encore.
Elle caressa quelques secondes cette si belle lance de chaire, avant de reprendre place au niveau des lèvres de la jeune princesse, caressant celle-ci de ses doigts tout d’abord avant de l’embrasser relativement sauvagement.  Elle   s’arrêta au bout d’une vingtaine de seconde d’un baiser torride et passionné.  Souriant doucement à la princesse,  avant de lui dire doucement.


-  Je préfère cela, au moins, je peux également profiter de ton beau visage.
Elle caressa doucement celui-ci,  avant de la prendre sur elle, laissant l’accès libre au baron, certes la princesse n’aurait plus que la poitrine de l’elfe pour s’occuper, mais cela ne semblait pas être un gros problème non ?
Elle avait quand à elle, un libre accès au dos de la jeune femme, mais également à sa poitrine dans une moindre mesure, souriant doucement alors qu’elle commençait déjà à caresser les tétons de la jeune princesse. Sachant qu’elle était capable que celle-ci ait un orgasme uniquement comme cela.
Voyant que le baron ne se décidait finalement pas à prendre la mage rouge, celle-ci se contenta de lui  dire.

- J’attends toujours mon cher baron, que vous veniez me satisfaire, et cette tache sera ardue,  alors je  vous conseille de commencer des maintenant, si vous ne voulez pas que le sort arrive à expiration avant cela. 

Il y avait peu de chance que cela arrive en réalité, mais cela était plutôt destiné à ce que le baron se décide enfin. Il fallait dire que la performance de la princesse l’avait sacrément émoustillée. Elle eut un petit sourire  avant de se tourner vers la princesse et de lui dire le plus naturellement du monde.
-Embrassez moi princesse, je veux sentir vos lèvres sur les miennes.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 26 février 2012, 21:58:53
Tinuviel finit par libérer sa fente, et, pendant quelques secondes, les lèvres d’Alice s’agitèrent dans le vide, alors qu’elle sentait une pression se libérer de ses lèvres. Elle s’écarta un petit peu, voyant Tinuviel s’approcher du monceau de chair tendu du Baron, de son sexe qui semblait baisser la tête. Elle se rapprocha de lui, ses mains s’illuminèrent, et le Baron soupira, alors que son sexe se dressait fièrement, avant de se tendre.

« Aaaahhh… Oh oui, hum… Aaaaah, excellent ! » commenta le Baron.

Sa virilité retrouvée, un sourire se dessina sur ses lèvres, alors que Tinuviel lui expliquait que l’effet de son enchantement ne pourrait durer qu’une heure.

« Il va falloir agir vite, alors ! »

Un léger sourire éclaira les lèvres d’Alice. Elle connaissait suffisamment le Baron pour savoir que ce dernier concevait le meilleur des mondes comme un monde où les hommes n’auraient aucune panne sexuelle, et où le monde se résumait à une immense orgie continue. Tinuviel désirait toutefois se mettre en place, et Alice se laissa faire, finissant allongée à côté d’elle. Le lit du Baron était suffisamment grand pour contenir au moins cinq personnes en plus de l’occupant. Il n’était pas bien difficile d’imaginer ce dernier en compagnie de cinq servantes, à succomber sous leurs charmes pendant de longues nuits. Alice se laissa donc faire, et commença par embrasser la poitrine de Tinuviel, ayant encore dans ses lèvres le goût de sa mouille, se mettant plus ou à moins à quatre pattes sur le lit, offrant également à l’elfe rouge un accès à ses seins. Alice en profita pour se déshabiller pour de bon, ses vêtements ne la gênant que de trop, et se sentit bien plus libre sans ces derniers, les jetant au sol.

Tinuviel s’adressa ensuite au Baron, faisant ce qu’une femme savait généralement faire de mieux : narguer un homme.

« J’attends toujours mon cher baron, que vous veniez me satisfaire, et cette tache sera ardue,  alors je  vous conseille de commencer des maintenant, si vous ne voulez pas que le sort arrive à expiration avant cela.
 -  Et bien oui, Baron, renchérit Alice, n’est-il pas impoli de faire attendre les dames ? »

Un sourire espiègle éclaira les lèvres de Letterfinlay.

« J’anticipais ce moment, se justifia-t-il. Soixante minutes de baise sans avoir à craindre que le pneu se dégonfle, ça laisse rêveur », poursuivit-il.

La Princesse se contenta de soupirer, avant que Tinuviel ne lui ordonne un baiser, et elle s’empressa de la satisfaire, tandis que le Baron entreprenait de s’allonger sur le corps de l’elfe, ses yeux rêveurs exprimant de manière dénuée d’équivoque le plaisir immense qu’il éprouvait à la regarder, et le plaisir encore plus virulent qu’il allait éprouver sous peu. Alice s’en mordilla les lèvres, avant de retourner embrasser Tinuviel, lui offrant un long baiser, endiablé et profond, glissant sans hésitation sa langue, tandis que le Baron s’écrasa sur Tinuviel, enfonçant en elle son membre pointu.

Alice sentit le corps de Tinuviel se tendre légèrement, et le Baron soupira longuement, avançant son membre dans cette intimité humide, glissant une main pour la poser sur le postérieur de Tinuviel, s’y appuyant, avant de mettre l’autre sur la nuque d’Alice, et commença à remuer son corps. Massif et imposant, le Baron était après tout un chevalier qui, en tant que tel, avait suivi une éducation chevaleresque. Son corps était bien bâti, et il ne s’en était jamais plaint. C’était bien plus utile, pour séduire les dames. Il se mit à pénétrer assez rapidement Tinuviel, soupirant de plaisir, faisant craquer le lit. Son érection magique étant assez surprenante pour lui, il eut une nouvelle éjaculation, assez rapide, et se permit un léger rire.

« Ah… Ah, Tinuviel, s’il en existait dix comme vous, je… Ah, cette guerre stupide entre Nexus et Ashnard n’aurait jamais eu lieu ! »

Et il repartit de plus belle, ondulant en elle, accélérant ses mouvements, son membre toujours aussi tendu. Il approcha sa tête du cou de Tinuviel, et l’embrassa ici, avant de glisser sa main de la nuque de la Princesse pour la poser sur l’un de ses seins, se serrant contre elle, avant de fermer les yeux, et de continuer.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le mardi 28 février 2012, 18:02:53
L’elfe avait cependant oublié un petit détail, en effet ce genre de sort avait généralement un contre coup, dans le cas du baron, cela serait son âme… Non, je plaisante, en réalité le baron sentirait à la fin de ce sortilège une profonde fatigue. Il n’y aurait rien de grave, mais c’était le contre coup d’une libido sans faille pour un être n’utilisant pas la magie rouge comme une source d’énergie.   Cependant après une bonne nuit de sommeil le baron serait de nouveau d’attaque pour une de ses folles orgies.
L’elfe laissa le baron reprendre sa place entre ses jambes alors que la jeune princesse elle,  continuait de l’embrasser avec toute la passion dont elle pouvait faire part. Elfe  caressait doucement la poitrine de la jeune femme alors que le baron  lui continuait ses coups de reins avec une puissance  appréciable.  Elfe gémissait légèrement à chaqu’un de ses coups de reins. Toutefois, elle fut déçue de voir que le baron vient aussi rapidement. Heureusement que son sortilège faisait effet, ce qui permettait  à celui-ci de continuer encore.
Elle tira la princesse contre elle, avant de l’embrasser comme une bête sauvage, elfe faisait ressortir la louve qui était en elle,  la bête sauvage  caressait sans ménagement la demoiselle.  Elle avait un petit sourire avant de dévorer le cou de la jeune princesse sous une série de petite morsure. Elle  s’acharnait, mordillant doucement la nuque, les oreilles et le cou de la demoiselle. 
Le baron quand à lui avait repris ses coups de reins laissant des gémissements de plus en plus présent sortir de la bouche de l’elfe.  Elle se contenta d’un  petit sourire. Avant de répondre au baron entre deux gémissements.



- Je n’appartiens à personne monsieur le baron. Nexus ou Ashnard. Ce genre de  querelle ne m’intéresse pas.

Elle reprit doucement, laissant son corps réagir aux assauts de l’homme.  Ce petit manège dura encore plusieurs minutes avant de l’elfe  se décide à plaquer la jeune princesse contre elle, et à commencer à la caresser avec une  bestialité peu commune. L’elfe avait besoin de faire sortir cette d’elle. Elle était bien plus réactive. Mais  elle n’était pour autant pas dominatrice, non ce n’était pas cela.   Elle était juste plus sauvage, plus animal.  Elfe avait d’un petit sourire pour le baron, peut être celui-ci avait l’habitude d’avoir des amantes plus douces et soumises, mais cela n’était pas le cas de elfe quand elle était dans cet état.

Elfe embrassa doucement le cou de l’homme avant de remonter doucement sur ses lèvres alors que les ongles de l’elfe rouge caressaient la poitrine de la demoiselle. Elle  espérait que cela ne dérange pas trop l’homme. Enfin bon, c’était une autre histoire.  Et puis, cela  réveillerait peut être la partie animale de la jeune princesse, elle avait effectivement envie de voir cela.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 28 février 2012, 22:49:28
Sentir Tinuviel trépigner de plaisir sous elle était pour Alice un véritable plaisir. Le Baron la pénétrait sans vergogne, de la sueur commençant à couler de son corps, mais sans que ça ne l’arrête. Iln’en était pas encore au point d’haleter, mais ses joues étaient bien rouges. Néanmoins, Letterfinlay était au comble du bonheur. Après son éjaculation rapide, il se sentait mieux, baignant dans un mélange de sperme et de cyprine, sa grosse queue s’enfonçant dans les profondeurs de l’intimité de l’elfe rouge sans relâche, en faisant une espèce d’automate, tandis que Tinuviel devenait de plus en plus excitée. Elle s’attaqua avec envie au visage d’Alice, la griffant presque, mordant sa peau, son cou, faisant soupirer Alice, qui se sentit mouiller sous les tentations de cette dernière, sous l’excitation palpable qui animait le corps de l’elfe rouge. Les minutes passèrent, ponctuées par les  soupirs de désir du Baron, qui, avec une main, pressait l’un des seins de Tinuviel, cette dernière se déchaînant sur Alice, exictant furieusement cette dernière, qui sentait sa perversité se réveiller sous le contact de Tinuviel.

L’elfe rouge finit par embrasser Tinuviel, et Alice choisit alors de légèrement s’écarter d’eux, afin que Letterfinlay puisse s’écraser sur elle, ce qu’il fit sans hésitation, s’enfonçant contre son corps, se couchant sur elle, embrassant ses lèvres et son cou, glissant une main dans ses cheveux, et l’autre sur son dos, la pénétrant toujours aussi vigoureusement. Se redressant un peu sur le lit, Alice se contenta d’observer ces corps enchevêtrés, la passion brûlante qui semblait se dégager de cette intense danse. Le corps du Baron s’enfonçait sans s’arrêter dans celui de Tinuviel. Leurs soupirs, leurs baisers, leurs caresses… La Princesse en sentit son cœur battre faiblement dans sa poitrine, alors que l’une de ses mains allait caresser on intimité.

« Que vous êtes beaux… » murmura-t-elle simplement, ébahie.

Le Baron embrassa Tinuviel dans le creux du cou, continuant à se mouvoir en elle, jusqu’à se retourner. Le Baron se retrouva ainsi allongée sur le dos, Tinuviel sur lui, et l’une des mains du Baron saisit du bras d’Alice.

« Ne… Ne reste pas inerte, ma… Ma belle… »

Souriant, Alice atterrit sur le corps du Baron, et l’embrassa, tandis que Tinuviel se dressait sur l’homme, s’empalant sur son membre. Alice sentait le plaisir dans le corps fébrile du Baron, la difficulté que ce dernier avait à se concentrer tant il était heureux et excité. Alice se positionna afin de se mettre sur lui, se mettant à quatre pattes, repliant les jambes en les écartant pour ne pas gêner Tinuviel, son bassin et ses fesses frottant contre le corps de l’elfe rouge, alors qu’elle embrassait le Baron, griffant son torse.

« Oh, Baron, vous avez l’air… Très heureux ! sourit-elle.
 -  Oh… Oh ça oui, ma petite Alice… soupira ce dernier, lui caressant les cheveux, lui offrant un gros baiser.
 -  Alors, laissez-vous aller, noble Baron, répandez votre semence dans son corps. »

Alice l’encourageait en l’embrassant, frottant ses seins contre son torse, et elle sentit les mains du Baron se crisper. Il tira sur les cheveux d’Alice, lui griffant le dos, arrachant à cette dernière des frissons de sourcil, alors que le Baron se mit à soupirer, avant de progressivement s’abandonner. Même pour lui, résister aux efforts conjugués d’Alice et de Tinuviel était un exploit olympique, et il finit par éjaculer, pendant de longues secondes, soupirant à chaque fois, envoyant sa semence dans les profondeurs du corps de l’elfe rouge, se calmant pendant plusieurs secondes, avant de cracher de nouvelles giclées, soupirant longuement.

« Oh, si c’est bon…
 -  Ça se lit sur ton visage, mon beau…
 -  Dis… Dis-moi, Tinuviel, ne crois-tu pas qu’il faudrait aussi s’occuper d’elle ? Je sens que notre petite Princesse se languit de ma grosse queue. »

Alice rougit légèrement devant une telle vulgarité, mais se mordilla les lèvres, n’exprimant aucun refus. Il est vrai que son sexe avait l’air d’être une belle pièce, surtout avec le sortilège de Tinuviel.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le mercredi 29 février 2012, 14:56:34
L’elfe  se contenta d’un petit sourire, effectivement les va et vient du baron était tout simplement délicieux, il était juste presque dommage que la jeune princesse n’en profite pas également.  Certes la jeune elfe aurait bien put faire mumuse avec la jeune princesse,  elle aurait put  devenir une futa  voir même une hermaphrodite,  cependant,  le baron ne serait pas forcement  ravi de ce genre de chose.  Dommage d’ailleurs, mais ce n’était pas une  grande perte, la mage rouge avait effectivement d’autre carte à jouer.  Elle   embrassa doucement  les lèvres de la jeune femme avant de reprendre  ses petites caresses et lui mordilla doucement la poitrine.

Elle se laissait  aller. S’empalant avec plaisir sur le membre du baron alors que celui-ci  se répandait en elle une fois encore.   Sentir  ce liquide en elle renforçait encore  son envie.   Peut être cela était dut à la combinaison entre la douceur de la princesse et la vitalité du baron.  Elle ne se contenta de sourire lorsque le baron lui dit que la jeune princesse    avait également besoin de sentir cette grosse queue en elle,  l’elfe se contenta d’approuver cela  en répliquant doucement.


-Oui, mon cher baron, notre petite princesse a elle aussi le droit de sentir votre si gros jouet en elle.  Toutefois, je ne suis pas sur qu’elle  le supporte. Je vais donc devoir m’occuper d’elle si vous ne voulez pas la blesser.  Qu’en pensez vous mon cher baron, est ce que j’ai votre approbation ?

Elle se contenta d’un petit sourire,  à vrai dire, il ne s’agissait qu’une d’une phrase rhétorique, l’elfe allait  faire en sorte que la jeune princesse passe un bon moment avant que le baron n’entre en scène.  Sa main se rapprochait doucement mais surement de la jeune princesse, elle caressait doucement  l’aine gauche de la jeune demoiselle, remontant doucement  mais surement vers son pubis,  avant de caresser  avec tendresse les jolies lèvres de la demoiselle.  Elle fit un petit va et viens,  avant de continuer doucement. Elle glissa ensuite un second doigt, apparemment la jeune princesse semblait apprécier cela.  Pourtant, cela n’était pourtant pas fini pour la jeune princesse qui allait gouter à une petite technique développée par elfe.  Elle continua ses va et viens,   caressant en même temps le petit bouton de plaisir de la jeune princesse.  Cette technique permettait de combiner à la fois  le plaisir des deux genres de caresses. Elle se contenta de lui glisser un petit  baiser avant de dire doucement à la jeune princesse.


-Alors, ma petite princesse,  tu aime ?  Mon cher baron, je pense que notre petite princesse est désormais prête pour vous accueillir.  Je vous laisse donc faire maintenant.

Elle avait un petit sourire, se retirant doucement,  laissant le sexe du baron  à la vue de la jeune princesse.  La suite semblait relativement intéressante. Enfin   à son avis bien sur.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 29 février 2012, 22:07:49
« Oui, mon cher baron, notre petite princesse a elle aussi le droit de sentir votre si gros jouet en elle.  Toutefois, je ne suis pas sur qu’elle  le supporte.
 -  Hey ! tenta de protester l'intéressée, qui n'était pas spécialement de cet avis.
 -  Je vais donc devoir m’occuper d’elle si vous ne voulez pas la blesser.  Qu’en pensez vous mon cher baron, est ce que j’ai votre approbation ? »

Le Baron se contenta d'un léger sourire, avant de regarder Alice. Il savait qu'elle serait du genre à le supporter, mais il ne voulait pas décevoir Tinuviel. Cette dernière semblait avoir envie, et on pouvait la comprendre, de s'occuper de la Princesse. Le Baron haussa donc les épaules en embrassant une Alice un peu irritée sur le nez. Cette dernière était loin d'être novice dans ce domaine, et Letterfinlay lui sourit.

« Mais je vous en prie, belle elfe... La Princesse ne demande que ça, n’est-ce pas ?
 -  Bien sûr... »

Néanmoins, la mauvaise humeur d’Alice disparut assez rapidement, au fur et à mesure que Tinuviel la caressait. Elle se mit à soupirer de plaisir, fermant les yeux sous les caresses de l’elfe, se tortillant sur le lit, lui rappelant plus ou moins la séance de la baignoire, à cette différence près qu’Olivier ne la maintiendrait pas comme Lorna l’avait fait. Alice se mit à soupirer longuement, frémissant de plaisir. Encore une fois, Tinuviel faisait preuve de son doigté légendaire sur le corps d’Alice, et cette dernière était incapable de la repousser. Elle en ferma le syeux, se mettant à mouiller, jusqu’à ce que Tinuviel incite le Baron à venir. Elle s’écarta, et Alice vit le gros membre de Letterfinlay, ce dernier se mettant à sourire. Il s’approcha d’elle.

« Ah, Alice... »

Olivier l’embrassa tendrement, et elle en frémit, fermant les yeux en soupirant. Ce contact lui rappelait quand il lui avait fait l’amour, et elle en mouilla à nouveau à cette idée. Lentement, Letterfinlay amena Alice à s’allonger sur le lit, et il la pénétra rapidement. Elle en poussa un hurlement vif, sentant Olivier se déplacer en elle, la pénétrant violemment, faisant craquer le lit. Le Baron y alla rapidement, sans hésitation, étant déjà bien excité.

« Haaa... Ha, Alice !
 -  Ohhhh... Oh, Olivier ! Oh oui, ha... En... Encore, Olive, encore, encore, ENCORE ! »

Elle se mit à hurler de plaisir, griffant le dos d’Olivier, son corps se mettant à rougir, alors qu’Olivier gémit sous les impacts de ses ongles. La Princesse se laissa transporter par le désir de Letterfinlay, et les minutes défilèrent rapidement, le sexe de l’homme nageant aisément dans son intimité. Alice était furieusement excitée par ce qu’elle ressentait, et les deux ne tardèrent pas à jouir dans de longs soupirs. Alice eut alors un flash, une idée subite alors qu’elle sentait son corps s’abandonner et se vider. Soupirant longuement, Alice repoussa Olivier, et attrapa Tinuviel par la main, la tirant vers elle, afin que l’elfe tombe sur elle. Alice l’embrassa tendrement avant de murmurer quelque chose dans le creux de son oreille.

« Dis-moi, Tinuviel... Est-ce que ta magie te permettrait de... De me greffer un sexe masculin ? demanda-t-elle après une légère pause. Je veux qu’Olivier et moi te fassions l’amour en même temps. »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le jeudi 01 mars 2012, 11:18:04
Elfe se contentait de regardait la scène, la trouvant au combien érotique, il fallait dire que les gémissements de la princesse était des plus délicieux.  Elle en arrivait même à se caresser doucement pour ne pas faire redescendre l’excitation qu’elle était entrain d’avoir.  Ce moyen était certes un peu égoïste mais pour l’instant le baron et la jeune princesse semblaient occupés à bien autre chose et  cela l’elfe le comprenait parfaitement.  Ainsi,  elle se faisait du bien en attendant que les deux amants viennent  sachant que cela ne devrait pas tarder au vu des doux cris qui sortaient de la gorge des deux amants.
Vient ensuite l’explosion,  un moment qui semblait extrêmement intense que ce soit pour le baron ou pour la jeune princesse, oui l’elfe aurait bien voulu en faire partie, toutefois elle avait déjà eut sa part et cela elle le savait.  Cependant…

Cependant elle n’eut pas le temps de  réfléchir à la suite,  en effet elle se fit doucement attraper par la jeune princesse avant de se faire embrasser,  baiser qu’elle accepta avec joie y répondant avec fouge et sauvagerie.  Elfe eut un petit sourire en écoutant la demande de la jeune femme.   Elle ne pensait pas que la jeune princesse était comme cela, toutefois l’idée était sacrément tentante.  L’elfe hocha doucement la tête avant de caresser doucement le visage de la jeune princesse et répondit.


- Et bien, c’est  une demande particulière, mais  cela ne posera pas de problème ma chère princesse,  cependant il faut que je te prévienne. Ca peut faire un peu mal sur le coup, mais cela ne durera pas.  Bien tu es prête ma belle ?

Elfe  passa doucement sa main sur son antre intime récupérant un peu de cyprine,  elle devait être précise,  si elle en mettait trop, cela pourrait être définitif, hors cela ne devait pas être le but.  En effet, l’elfe supposait que la jeune princesse ne voulait pas devenir une futanari pour le reste de sa vie, du moins, le pensait elle.   Bien, la dose devait être suffisante pour réaliser le sortilège sans que celui-ci soit définitif.  Elle  entama finalement le sortilège.  Comme celle-ci l’avait dit,  celui-ci produisit une légère douleur au niveau de la zone intime de la jeune femme,  une douleur qui laissa finalement la place à une intense chaleur et une violente excitation.  Cela était nécessaire si la jeune princesse voulait se servir immédiatement de son nouveau jouet sur elle.   Toutefois elfe était satisfaite de son sortilège, en effet la jeune princesse était maintenant dotée  d’une  belle verge de quinze centimètres. 
Alors certes ce n’était pas une taille très importante, et l’elfe aurait put faire bien mieux, mais elle estimait que ce serait largement suffisant,  après tout, il ne s’agissait pas d’une épreuve de force. Non, elfe voulait simplement passer un bon moment avec ces deux amants. Elle  eut un petit sourire avant dire  doucement à la jeune princesse.


-Maintenant, il va falloir essayer cela princesse.  J’espère que celle-ci vous convient,  moi je pense que je vais bien m’amuser.   Maintenant, c’est à vous de jouer.

L’elfe se plaça sur le coté, laissant  au baron et à la princesse le total accès à son corps, oui pour une fois l’elfe se laisserait faire, elle serait totalement soumise.  Après tout, elle avait elle aussi le droit de se laisser aller de temps en temps.  Hors cette fois ci,  ce serait le cas.  Oui, elle  avait beau être dominante la plus part du temps,  elle aimait aussi être soumise de temps en temps, cela n’était pas contradictoire avec sa position.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 01 mars 2012, 19:30:44
Tinuviel décida de satisfaire Alice. Un délicat sourire avait traversé les lèvres du Baron à cette idée. Il n’av ait rien dit, se contentant d’attendre, se disant que ce n’était pas tous les jours qu’il voyait une femme avec un sexe masculin. Malheureusement pour lui, il n’avait jamais eu l’occasion d’en voir une... Du moins, jusqu’à maintenant. De toute manière, Letterfinlay ne savait pas trop comment réagir avec une femme de ce style. L’avantage physique de l’homme, c’était tout de même d’avoir cette petite pointe de chair. Si les femmes en étaient dotées, les hommes ne servaient plus à rien ! Le raisonnement était limité, certes, mais Olivier n’était pas vraiment en forme de réfléchir. Son membre continuait à l’élancer, et il regardait les deux femmes se rapprocher. Tinuviel promenait ses mains à hauteur de l’intimité d’Alice, qui, yeux clos, en frissonnait. Elle ignorait totalement ce qui se passerait, mais sentait, sans pouvoir se l’expliquer, que c’était une idée géniale. Elle sentit quelque chose se pousser, et la douleur vint.

Sur le coup, la Princesse se crispa contre le corps de Tinuviel, gémissant légèrement, se mordillant les lèvres, sentant soin bassin la démanger. La magie affluait, modifiant ses veines, la formation de son bassin, et elle sentit sa peau évoluer, se tendre, grossir, se modeler, jusqu’à former une verge. Alice en sentit deux larmes couler, poussant et poussant, jusqu’à ce que Tinuviel lui annonce que la verge était formée. Baissant la tête, la Princesse tendit une main pour la caresser, en frissonnant. C’était... C’était une sensation difficile à expliquer. Elle la serra entre ses doigts, la remua, et sentit des frissons la parcourir. Comme c’était curieux ! Fascinant, même. Alice regarda ce morceau de chair, tandis que Tinuviel l’encourageait à l’essayer. Ce sexe, cette... Cette verge lui faisait mal. Elle la sentait tirer, s’impatienter, forcer sur elle, et elle la pressa entre ses doigts, se sentant immédiatement soulagé, tout en l’étant pas... Elle en demandait encore plus, et elle sentit alors une main se poser sur son membre, la secouant solidement.

« Haaa !
 -  Il est bien plus humide que le mien, commenta Olivier en souriant, avant d’embrasser ce sexe, faisant rougir Alice. Je crois qu’il a soif...
 -  S-Soif... ? répéta Alice, surprise.
 -  Fort heureusement, je crois que la bouteille dans laquelle ce sexe se glissera est à proximité », sourit Olivier.

La tête d’Alice se tourna vers Tinuviel, et la Princesse en rougit. Oh oui, elle en avait envie, terriblement envie, mais...

« Je... Je ne sais pas comment faire... avoua-t-elle en rougissant. C’est... Ce, ce truc est...
 -  Ce truc ? s’esclaffa-t-il. Ce truc n’a pas besoin d’un mode d’emploi pour fonctionner. Allez, cesse de faire ta pudique ! dit-il en lui donnant une tape sur les fesses.
 -  Hey !
 -  Ne vois-tu pas que notre chère elfe s’impatiente ? »

Alice rougit en voyant le corps nu, couché sur le côté, de Tinuviel. Cette dernière leur offrait son corps, et la perspective de faire simultanément l’amour à Alice et à Letterfinlay semblait lui plaire. Alice avança donc à quatre pattes, sur le lit, vers elle, et l’embrassa voracement, tandis qu’Olivier se glissait dans le dos de Tinuviel, embrassant tendrement cette dernière sur les épaules, approchant son membre de son postérieur, tendant ses mains pour les caresser, frottant ses deux morceaux de chair bien ronds.

« Merci, Tinuviel... Il est temps de te récompenser comme tu le mérites... »

Olivier approcha son membre du fessier de Tinuviel, tandis qu’Alice en fit de même, et les deux amants la prirent en même temps, à peu de choses près. Alice en ferma les yeux, avant de se presser contre l’elfe rouge, sentant l’une des mains d’Olivier jaillir pour se poser sur son fessier, l’incitant ainsi à remuer, ce que la Princesse ne tarda pas à faire, son sexe plongeant dans l’intimité humide de l’elfe rouge.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le vendredi 02 mars 2012, 12:18:42
La réaction du baron envers le nouveau sexe d’Alice n’était pas étonnante, en effet la majorité des hommes  ne trouvait  pas cela normal, surtout que la majeur partie du temps  leurs performances étaient bien supérieures à celle de n’importe qu’elle mâle, sauf peut être un minotaure en rut, et encore.  Enfin, elle n’allait cependant pas se plaindre, le baron était un amant fort attentionné et fort appréciable.  Peut être même que si plus d’homme était comme lui, elle n’aurait pas eut besoin de fonder le harem. Enfin,  elle laisserait finalement  ce genre d’idée au placard, profitant du bon moment qu’elle allait passer avec le baron et la princesse occupés à la satisfaire.
Elle  laissa faire le baron, après tout il était l’Homme de la situation non ?  Qui mieux que lui pouvait guider la jeune princesse avec ce nouveau jouet,  personne. Surtout que le baron était de bien bon conseille, oui l’elfe n’attendait que cela.  Elle n’attendait qu’une chose, que la princesse se décide enfin à tester son nouveau jouet, qu’elle se décide enfin  à faire de doux va et viens en elle,  qu’elle vienne doucement  éteindre le brasier qui coulait entre ses jambes. 
Finalement la jeune princesse se décida enfin, suivit de près par le baron,  ses deux amants se glissant en elle, la remplissant de bonheur.  L’elfe  avait bien sur pratiquer de nombreuses fois la sodomie, cependant cela n’était pas son acte favori, en effet, elle trouvait cela dommage de ne pas pouvoir profiter des lèvres de ses amantes en plein acte.  Cependant, elle devait avouer que cette fois ci c’était différent,  les efforts conjugués de Alice et d’Olivier la rendaient totalement folle,  elle en voulait plus,  encore et toujours plus,
Elfe gémissait,  dévorant les lèvres de la jeune princesse,  caressant son corps de ses longs doigts fins,  elle  avait dut mal à rester calme,  sa respiration étant de plus en plus courte, et les draps de plus en plus humide preuve incontestable que l’elfe prenait un plaisir fou. 

-Hum… C’est… C’est…  Si Bon….  Continuez… Encore…

Elle aurait bien voulu en dire plus, mais elle ne le pouvait pas, l’excitation était bien trop grande et vu la vitesse à laquelle elle augmentait, il ne lui faudrait sans doute plus longtemps avant que celle-ci ne touche le septième ciel mais elle ne le ferrait pas toute seule.  En effet, elle avait beau être dans l’incapacité de parler correctement, cela ne l’empêchait pas de  prendre soin de la jeune princesse.  Ses mains caressant doucement la poitrine de celle-ci.   Mais elle savait bien que cela ne serait sans doute pas suffisante, et qu’elle viendrait sans doute la première.    Elle se contenta donc d’un petit avertissement.


-Je vais… je vais… Bientôt… VE… Nir…


Les deux amants avaient donc le choix, dans un premier cas, ils pouvaient ralentir la cadence pour faire languir encore un peu l’elfe,  qui ne leurs en voudrait sans doute pas trop et dans le second, elle serait comblée.  Que demander de plus alors ?
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 02 mars 2012, 21:49:53
Spécial… Alice ne savait pas comment décrire avec exactitude ce qu’elle ressentait, alors le meilleur terme qui semblait s’imposer était « spécial ». Ce qu’elle ressentait était effectivement très originale. S’appuyant sur Tinuviel, elle essayait de faire des vas-et-viens en elle, ne sachant pas du tout si elle se débrouillait comme il faut, tout en se disant que, dans le fond, il n’y a pas non plus trente-six méthodes. Elle remuait son bassin, donnant à ce dernier des impulsions en s’aidant de ses jambes, s’appuyant avec ses mains sur le corps de l’elfe, et, plus Alice augmenta les mouvements, plus cela lui semblait, non seulement aisé, mais aussi indispensable. C’était bon. Très bon. Elle ne savait pas trop comment comparer ce plaisir à celui qu’elle ressentait en étant femme, mais c’était d’autant bon qu’elle avait ici un rôle actif, et que son sexe lui faisait atrocement mal. Ce gros membre la démangeait, l’irritait, comme s’il avait quelque chose en lui qui le gênait, quelque chose qui le faisait souffrir, et ne demandait qu’à l’expulser. Alice remuait donc afin de retirer cette chose, gémissant sous l’effort, grognant, sentant le plaisir monter, Tinuviel le travaillant en la caressant et en l’embrassant. L’elfe rouge semblait être très excitée, ce qu’elle ne tarda pas, entre des soupirs, à dire.

« C’est… C’est si bon !! » lâcha  Alice.

Elle avait l’impression que tout son corps n’était qu’un atome de souffrance et d’impatience qui se soulageait. C’était en somme assez similaire à ce qu’elle ressentait en tant que femme. L’intimité d’Alice mouillait également, mais de manière plus diffuse, l’essentiel de son liquide intime étant un sperme qui grouillait dans sa verge. Le Baron, de son côté, était au comble du plaisir. La sodomie était quelque chose qu’il appréciait, en tant que noble, et en tant que mâle, mais il était rare de trouver des femmes sodomites. Ça faisait mal au cul, après tout. Fort heureusement, Tinuviel semblait avoir une solide expérience sexuelle, et son joli cul était à la hauteur du reste de son corps : merveilleux. Le Baron s’y mouvait avec plaisir, embrassant le corps de l’elfe, à hauteur de ses épaules et de sa nuque, tout en continuant à la pénétrer avec un plaisir intense. Ce que c’était bon ! Pour rien au monde, il ne comptait s’arrêter.

« Je vais… je vais… Bientôt… VE… Nir… » lâcha soudain Tinuviel.

*Chouette ! songea Alice. Ça doit vouloir dire que je me débrouille bien !*

La Princesse sentait également le plaisir croître rapidement en elle, et le Baron se contenta d’un râle, avant de réussir à formuler quelques mots.

« A… Abandonnez-vous, belle elfe… »

La Princesse redoubla alors d’effort. Dans sa tête, il ne lui venait nullement à l’esprit de faire impatienter Tinuviel. Contrairement à l’elfe rouge, elle n’avait pas l’expérience ou la perversion nécessaire pour priver ses partenaires de leurs plaisirs, et c’était d’ailleurs, manquant de confiance en elle, la seule chose qu’elle visait en faisant l’amour avec ses partenaires : s’assurer qu’ils puissent atteindre le plaisir suprême. Elle persévéra donc, sentant de toute façon qu’elle n’allait pas non plus tarder à jouir. C’était la première fois qu’elle disposait d’une verge, après tout, et il fallait bien admettre que, même si c’était un organe assez encombrant, c’était aussi particulièrement grisant.

« Mmmhh… Oh, j’adore ! J’ai le sentiment que je pourrais faire ça… Pendant des heures ! »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le lundi 05 mars 2012, 23:05:35
Elfe passait un très bon moment en compagnie du baron et de la jeune princesse.  Celle-ci était si enthousiaste avec son nouveau jouet et elle lui faisait tant de bien.  Oui, elle allait se laisser aller, laisser son corps toucher enfin le septième ciel et ce grâce  aux efforts conjugués du baron et de la jeune princesse.  Elle en salivait déjà d’avance.  Oui, elfe prenait un plaisir obscène à recevoir ses deux puissantes queues dans son fondement mais à cet instant, elle s’en fichait totalement de la morale.  Elle prenait juste un plaisir sans nom.  Un plaisir grisant et dont elle souhaitait que jamais celui-ci ne cesse et pourtant.  Et pourtant.
Elfe fini finalement par venir,  le dernier coup de queue de la jeune princesse étant plus que ce qu’elle ne pouvait supporter. Son corps se tendit comme la corde d’un arc avant de se lâcher, laissant la jeune elfe  totalement  grogit.  Elle était juste entrain de planer alors que ses deux amants continuaient leurs jeux.  C’était bon,  tellement bon… 

Ce ne fut que au bout de quelques minutes que la maitresse elfique effaça de son visage ce sourire béat. Elle eut un grand sourire et se contenta de dire à haute voix. 


-Je vous remercie… Je vous remercie Alice, et vous aussi Olivier…  Mais maintenant, c’est à vous de  recevoir la pareille mes chers.

Elfe continuait à caresser la verge de la jeune princesse, sachant qu’elle ne pouvait rien faire pour le baron pour que celui-ci  fût dans son dos… Dut moins… directement.  L’elfe se concentra quelques secondes avant de créer une de ses clones de feu.   La jeune créature de flamme, prit naissance derrière le baron et contrairement aux dernières, celle ci avait la forme voulue par l’elfe.  Elle était d’ailleurs assez fière de sa création. Se disant que le baron n’allait surement pas regretter cette soirée.

Dans son dos, la créature de flamme, commence doucement un petit massage des testicules du baron ses mains, fines et agiles comme l’elfe faisant merveille sur ses parties si sensibles.  Ses tétons, durs caressant le dos du baron, alors qu’elle ce colle à celui-ci.  Oui, cette créature est un parfait exemple de l’habilité de l’elfe à provoquer l’érotisme et le pire, c’est qu’elle disparaitra dès que le baron aura atteint la jouissance.   
Elfe, elle se contente de jouer avec la jeune princesse, touchant doucement la poitrine de celle-ci,  embrassant la jeune princesse d’un baiser long et sensuel.  Elle sourit doucement, jouant un peu avec une des mèches de cheveux…

Elle sent en elle, le sexe de la jeune princesse qui commence, doucement mais surement à la tirer, à remuer en elle.  Signe qu’elle ne va pas tarder à venir.   Une première sans doute pour la princesse.  Et elfe est d’ailleurs assez fière de se dire qu’elle sera sans doute la première mais également la dernière à recevoir en elle, la princière semence de la la royale fille du royaume.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 06 mars 2012, 01:45:15
Comment avait-elle pu être aussi craintive au début ? La Princesse se laissait délicieusement aller, sans aucune retenue, trouvant que c’était une sensation merveilleuse. Son membre se glissait rapidement en Tinuviel, et elle se pressait contre elle, sentant des vagues de chaleur la traverser. Diable, que c’était bon ! Des sensations merveilleuses se diffusaient dans tout son corps, l’inondant de joie, et elle était d’autant plus heureuse qu’elle n’avait qu’à ouvrir les yeux pour voir le corps de Tinuviel être envahie par le plaisir le plus intense. Ça, c’était vraiment un spectacle magnifique ! Des images qu’Alice rêvait de graver à jamais dans sa mémoire : voir Tinuviel succomber sous le plaisir, voir Tinuviel se transformer en une véritable bête de sexe ! Elle en aurait ri de plaisir, si elle n’avait pas été dans un tel état. Au lieu de ça, Alice se contentait d’haleter et soupirer de plaisir, grognant. Elle sentait le corps de Tinuviel glisser, tout en se persuadant que c’était surtout lié au Baron, car elle n’avait pas l’impression de beaucoup bouger. Elle essayait de s’appuyer à l’elfe rouge pour remuer son corps, mais elle avait en face d’elle Letterfinlay. Elle se mit à concevoir cette scène comme une curieuse partie de ping-pong, chacun se renvoyant la « balle », la balle étant, en l’occurrence, une superbe elfe.

Olivier sentit Tinuviel approcher du point névralgique. Il couchait suffisamment avec les femmes pour savoir cela. Le plus difficile, pour un homme, était de réussir à penser au plaisir de l’autre femme, et Olive devait admettre qu’il lui avait fallu une bonne expérience pour réussir à passer outre le besoin impérieux de son sexe pour songer à celui de sa partenaire. Letterfinlay, après tout, était un gentleman ! Il sentit donc Tinuviel approcher, et se débrouilla alors pour enfoncer son membre aussi loin que possible, tout en poussant Tinuviel contre Alice, s’appuyant sur ses fesses, afin qu’elle puisse venir plus facilement. Alice sentit quelque chose de chaud glisser sur son sexe, le recouvrant, et en frémit, se retenant de jouie.

Tinuviel venait de jouir, et Alice sentit l’une des mains de l’elfe se poser sur la base de sa verge, provoquant en elle des frissons. L’elfe rouge se mit à doucement caresser son sexe, reprenant ses esprits après avoir joui. Alice exultait. Elle avait réussi ! Elle avait réussi à faire jouir Tinuviel Lastrim ! Haha ! Elle se sentait du coup particulièrement fière, et cette fierté influa sur sa libido, tandis que l’elfe rouge avait invoqué un clone de feu, une Tinuviel enflammée, pour se presser contre Olivier. Celui-ci eut légèrement peur de prendre feu, mais constata que les flammes se contentaient de le lécher.

« Oh, vous êtes une femme pleine de surprises ! soupira le Baron. Vos sorts sont bluffants ! »

Olivier tourna sa tête vers la créature de feu, qui l’embrassa, et il sembla apprécier le contact, mais ne pouvait pas faire grand-chose d’autre, ayant son membre dans le postérieur de Tinuviel. Et l’homme ne compta pas encore jouir, oh ça non ! Il comptait faire prolonger ce moment, et avait une plus forte résistance qu’Alice, qui se sentit en effet voler au loin. Elle ferma les yeux, gémit sous les assauts de douceur de Tinuviel, et poussa un cri.

« AAAAHHH ! Haaaaaa… Haaaaaaaaaaannnnnn » finit-elle par soupirer, sentant son membre se vider dans l’intimité de Tinuviel.

Elle sentit des giclées partir, et se sentit d’un coup entièrement vide, comme si elle avait tout donné… Ce fut néanmoins une brève sensation de vide, et elle soupira longuement. Alice sourit ensuite, et embrassa tendrement Tinuviel, se serrant contre elle.

« Oh, Tinuviel, je suis si heureuse ! C’est si bon, oh… »

Olivier, de son côté, était sous l’assaut d’un véritable bouquet de feu, à tel point qu’il semblait disparaître entre des flammes qui devenaient de plus en plus rouges et oppressantes. Elle l’entendit vaguement pousser de longs gémissements, et il finit également par se vider, jouissant assez longuement dans son postérieur, tandis que les flammes l’entourant se mirent à disparaître.

« Aaaaah, Tinuviel ! »

Il se pencha vers elle, et l’embrassa sur les lèvres.

« Ce que je vis est formidable, belle elfe rouge… Mais, dites-moi… Vos lèvres ne s’ennuieraient-elles pas ? A moins que vous n’ayez encore d’autres sorts en stock… »

Alice pensait comprendre ce qu’Olivier demandait, et elle approcha ses lèvres du visage de Tinuviel, embrassant tendrement ce dernier là où elle le pouvait, en compagnie des lèvres du Baron.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le samedi 10 mars 2012, 20:33:52
Elfe embrassait avec passion la jolie princesse.  Ce baiser risquait d’être le dernier car malgré le plaisir qu’elle prenait avec ces deux personnes, elle devait maintenant rentrer au harem.  Oui, on l’attendait et  elle avait déjà prit du retard sur son planning.  Toutefois, elle ne regrettait absolument pas cela.
Elle avait rencontré une formidable femme, et  il était probable que celle-ci s’annonce comme une dirigeante hors du commun.  Oui, elle aimerait la revoir d’ici une petite dizaine ou une quinzaine d’année.  Ce serait un rendez vous qu’elle ne louperait pas.  Elfe se contenta d’un petit sourire, caressant doucement la joue de la jeune princesse.

Son clone enflammé, elle, était maintenant entrain de disparaitre. Toutefois, il lui restait encore assez de temps pour une dernière action.  Elle prit doucement la tête du baron, la faisant tourner vers elle, avant de déposer un petit baiser sur les lèvres de l’homme disparaissant  maintenant dans une gerbe d’étincelle.   Sa vie bien que brève n’était pas des plus déplaisante, surtout qu’elle reviendrait peut être, selon le bon vouloir de l’elfe.
Celle-ci reprenait doucement mais surement des forces, laissant ses deux amants du moment faire de même, elle se contentait d’un petit sourire béat qui  lui allait d’ailleurs extrêmement bien. 
Elfe se retira en douceur laissant finalement le membre du baron et celui de la jeune princesse seule. Elle avait un petit sourire avant de leur dire avec tendresse.


-J’ai passé un très bon moment. Toutefois, il est temps pour moi de songer à partir.  J’ai déjà trop négligé mes devoirs en tant que maitresse.   Cependant, il me rester assez de temps pour  prendre une bonne douche avec mes amants.  Je vous laisse donc le choix.  Voulez vous m’accompagner pour  ceci ?  Si cela ne vous dit pas, sachez que je suis une grande fille et que je suis largement capable de me débrouiller seule… Mais  j’avoue que j’aimerai autant être accompagnée.

L’elfe  fit un léger clin d’œil. Elle avait eut le temps de repérer la salle de bain quand elle avait dut y passer et se contenta de se lever, fixant doucement les deux jeunes humains.   Et leurs fit un petit signe de main,  avant de leur dire.

-Je vous attendrai, si vous vous décidez bien sur…

A vrai dire elfe n’avait que peu de doutes sur le fait qu’on la rejoigne. Oui, elle était pratiquement sur que l’on viendrait, ne serais ce que pour lui dire a dieu, encore qu’elle l’avait déjà dit, cela ne serait qu’un au revoir. 
Elfe se rendit rapidement dans la salle d’eau du manoir, laissant couler une large cuve capable d’accueillir deux ou trois personnes.  L’eau chaude  créant quelques fumeroles de vapeur.   Elfe les contempla quelques instants avant finalement de se plonger dans l’eau, voulant se changer les idées.  Elle réfléchissait, tant d’idée se pressaient dans sa pauvre tête d’elfe…  Elle  savait qu’elle devait rentrer, mais hésitait  à le faire tout de suite… Elle se disait que peut être elle pourrait continuer son œuvre, mais  d’un autre coté, cela faisait bien trop de temps qu’elle négligeait chaqu’une  de ses chéries… Elle devait passer un peu plus de temps avec elle… Mais  elle ne pouvait pourtant se le permettre car  elle devait s’assurer d’être la première à reconstituer un  ancien artefact…  Bref, que d’idée pour une seule petite tête…

Elle plongea dans l’eau, laissant la chaleur effacer chaqu’une de ses interrogations.    La porte s’ouvrit à cet instant,  elfe n’y prêta cependant aucune attention, trop détendu pour le remarquer. Non, il faudrait que la personne s’annonce…

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 11 mars 2012, 12:43:21
Soulagée, Tinuviel finit par se libérer de l’étreinte d’Alice et d’Olivier, leur expliquant qu’elle devrait partir sous peu. Le harem devait être loin… Ou peut-être que les femmes à l’intérieur manquaient tout simplement à l’elfe rouge. Alice hésitait, de son côté. Si toutes les femmes de Tinuviel étaient comme Lorna, elle hésiterait beaucoup à s’y rendre… De plus, vu l’intérêt que l’elfe vouait à la Princesse, il n’était pas totalement exclu que la Princesse ne parvienne plus à quitter le harem… Pourtant, l’opportunité de revoir Tinuviel, Lorna, et les autres femmes de l’elfe rouge, était très alléchante. La Princesse décida de ne pas y penser, restant allongée sur el lit, alors que l’elfe rouge se relevait, expliquant qu’avant de partir, elle comptait prendre un bain.

*Oh non ! Pas encore…* soupira Alice dans sa propre tête.

Il fallait bien avouer que la dernière fois qu’Alice avait été dans un bain avec Tinuviel, elle en avait vu des vertes et des pas mûres. La perspective de retourner faire un bain avec elle était donc aussi jouissive que redoutable, et la Princesse en devint légèrement anxieuse. Olivier, de son côté, ne voyait pas le problème que rester dans un bain poserait, et regardait avec une passion indéniable le joli fessier de Tinuviel, ainsi que sa coulée de reins, le glissement de son dos, ses longs cheveux… Ah ! Le brave Olivier avait de quoi en devenir fou ! Il dut même regarder ailleurs pour ne pas directement lui sauter dessus. Son sexe continuait à le faire souffrir, alors qu’il s’était déjà soulagé à plusieurs reprises, et plutôt même bien soulagé, au vu de son expérience et de ses critères personnels.

Tinuviel se retira, et Olivier tourna la tête vers Alice, allant l’embrasser.

« Je crois que je vais adorer tes amies, Alice…
 -  Je… Je me doutais bien qu’elle te plairait… » répondit-elle, répondant à ses baisers.

La main d’Olivier Letterfinlay glissa vers son ventre pour caresser le membre d’Alice, l’empoignant ensuite assez fermement, faisant gémir cette dernière.

« Je crois que nous devrions la poursuivre… Non pas que ce membre ne me déplaise, mais je trouve que ça fait un détail anatomique en trop sur ton corps…
 -  Ah-ah bon ? Sur le coup, ça… Ça m’a semblé être une bonne idée…
 -  Oh, mais je ne prétends pas le contraire, Princesse ! Mais, sur le long terme, je préfère quand même avoir en face de moi un trou me permettant de glisser ceci…fit-il en frottant son sexe contre la cuisse d’Alice.
 -  Je… Il… Il y a d’autres trous dans…
 -  Oui, mais j’ai une légère préférence pour celui-ci », insista-t-il.

Letterfinaly embrassa à nouveau Alice, libérant son sexe, avant de se relever, tenant Alice par la main, afin de l’inciter à se redresser. Cette dernière obtempéra, et eut une curieuse sensation en se tenant sur ses jambes, sentant les testicules de son sexe magique frotté contre sa peau. Elle se mit à marcher délicatement, ayant peur d’enserrer ses testicules entre ses jambes et de se faire mal.

« Alice ! soupira Letterfinlay. Tu feras le clown plus tard !
 -  Mais… » rougit-elle.

Letterfinlay l’attrapa autoritairement, et marcha. Alice le suivit, essayant de marcher normalement, mais sentant à chaque mouvement de son bassin son  sexe qui rebondissait… Ce dernier était de plus en érection, ce qui compliquait légèrement les choses…

« Aaaah… Mais comment les hommes font pour marcher avec ce truc ? » protesta-t-elle.

Olivier ouvrit la porte de manière assez théatrâle, se dirigeant vers les salles de bains… Pour rapidement tomber sur une servante qui portait dans un bac du linge propre. Cette dernière avait la tête plongée dans ses pensées, et sursauta en voyant le corps complètement nu du Baron. Ses grands yeux ébahis avaient largement de quoi faire rire le plus endurci des dépressifs.

« Mais, mais, mais, mais… Mais qu’est-ce que vous faites ?! s’écria-t-elle.
 -  Ce que je fais ? répéta Olivier d’une voix forte. Parbleu, j’accomplis mes devoirs seigneuriaux, voilà ce que je fais ! Et je vous suggère d’en faire autant de votre côté ! »

Alice pouffa légèrement, mais Olivier continua à la tirer, avançant en redressant le nez, sous le regard incrédule de la servante. Ce n’était pas un spectacle qu’on voyait tous les jours, effectivement. Letterfinlay avança vers la porte de la salle de bains où Tinuviel s’était rendue, et l’ouvrit en grand. La porte claqua, et il y vit une espèce d’épais nuage de vapeur sortant d’une eau qui avait l’air chaude.

« Rien de mieux qu’un bain après avoir fait un peu d’effort ! Pas vrai, Alice ?
 -  Olive, euh… »

Letterfinlay se retourna vers elle, un sourire ravi aux lèvres.

« Ne me regarde pas comme ça, Olivier ; je sais ce que tu manigances quand tu… Héééé ! »

Soulevant Alice par les épaules et les jambes, il s’approcha du bassin en souriant.

« Tu es plus légère qu’une plume, Alice ! »

Et, disant cela, il balança Alice dans l’eau, avant de refermer la porte. Maudissant Olivier, Alice jaillit hors de l’eau, pour se retrouver presque collée contre Tinuviel. Sa gêne passagère disparut rapidement.

« Je… Nous, hum… Nous tenions à te souhaiter un bon retour vers ton harem, Tinuviel… »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le dimanche 11 mars 2012, 19:09:44
L’elfe  fut rapidement sortie de ses pensées, en effet le fait que la  jeune princesse soit jetée dans son bain  permit à la jeune elfe de sortir de cette transe provoquée par l’eau.  L’elfe devait avouer qu’elle attendait la jeune princesse et son amant.  Dire le contraire aurait était faux et hypocrite cependant ce n’était pas pour passer du bon temps qu’elle était heureuse de les voir. Non, elle voulait juste discuter un peu avec ses deux amants.  Cependant, s’il devait se jouer des prolongations, cela ne la dérangerait absolument pas,  elle ne disait jamais ou pratiquement jamais non à un petit moment de plaisir en compagnie de si charmantes personnes.
Elfe caressa doucement la joue de la jeune princesse avant de sourire et de dire doucement.

-Tu es venue me dire au revoir, ou bien il y a autre chose…  Enfin, rassure toi, je ne te torturerais pas comme la dernière fois… Encore que, était ce vraiment une torture ?

Elfe se contenta de faire un petit signe de la main du baron, l’invitant à la rejoindre. Elle espérait que l’homme se décide lui aussi  à venir dans l’eau chaude.  Elle  enfin, s’il ne le voulait pas cela n’était pas très grave. Elfe se retourna vers la jeune princesse avant de lui dire.

- Détend toi, profite de l’eau chaude. Je te laisserais cette fois si plus tranquille mais si tu veux bien me frotter le dos, cela serait avec plaisir bien sur. 
Elfe eut un petit sourire, cela était plus pour plaisanter qu’autre chose, encore que, cela ne l’aurait nullement dérangée que la princesse lui frotte le dos, en effet c'était l'un de ses petits plaisirs secrets, se faire frotter le dos par l'une de ses amantes.  Enfin pour l’instant il y avait d’autre chose dont la jeune elfe voulait discuter.  Il fallait qu’elle mette au clair certaine chose avec la jeune humaine, puis elle pourrait repartir.
 
-Je voudrais savoir une chose  Alice, qu’as tu prévu pour la suite ?   Je veux dire, comment t’imagines-tu dans une dizaine d’année ?  Je pense que d’ici quelques temps, tu pourrais devenir une des grandes puissances de ce monde.   Une  femme dotée de grand pouvoir et j’espère que tu n’oublieras pas  que ton rôle est de t’occuper du mieux que tu peux de ton peuple. 

Elfe ne lui faisait pas la morale, loin de la, elle était juste inquiète. Elle espérait que la jeune princesse ait les épaules assez larges pour résister à la pression qui lui arriverait dessus  toutefois, elle semblait être relativement bien entourée ce qui était une chance pour elle.  Elfe continua ainsi  son petit monologue lui disant avec un petit clin d’œil.

- Dans tout les cas, si tu as besoin de venir te ressourcer un jour, sache que mon harem te sera ouvert.  Je pense d’ailleurs que ta venue fera plaisir à Lorna.  Elle t’aime bien… Plus que bien même.  C’est en partie pour cela qu’elle   s’est montrée si agressive…  Mais cela, c’est une autre histoire.  Enfin,  voila, si jamais tu as besoin  de faire un break, sache que je serais ravie de te présenter mon monde.

Elfe attendait encore la décision du baron, celui-ci avait il envie de la rejoindre ou bien souhaitait il rester dehors.  Au vu des proportions plus que respectable de l’engin du baron, elfe penchait pour la première solution. Mais  après tout, le baron avait peut être d’autre plan.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 11 mars 2012, 21:03:30
« Encore que, était ce vraiment une torture ? »

Sur le coup, Alice détourna le regard en rougissant. Elle ne savait pas comment répondre à cette question…

*Oui !
Non !
*

Les voix contradictoires explosèrent dans sa tête, mais Tinuviel passa à autre chose, lui demandant un massage. Alice sourit lentement à cette idée, et hocha rapidement la tête.

« Mais bien sûr ! Le massage est l’une des choses que je sais faire », confirma Alice avec un sourire.

Certes, elle n’était pas vraiment une masseuse, mais elle avait reçu une formation de la part de ses instructeurs. Alice aida Tinuviel à lui offrir son dos, cette dernière s’allongeant donc sur le ventre, s’appuyant contre le rebord à l’aide de ses mains. Alice commença alors à promener les siennes sur le dos de Tinuviel, sur ce dos parfait, promenant ses mains sur cette peau particulièrement douce, utilisant parfois ses ongles, glissant jusqu’aux hanches de l’elfe rouge, remontant ensuite sur son dos, glissant le long de ses reins, empoignant parfois ses fesses pour des caresses appuyées. Ce n’était pas un massage ordinaire… Mais Alice ne comptait pas offrir à Tinuviel un massage quelconque, écartant ses fesses, avant de remonter sur son dos, glissant ses mains le long du cou de l’elfe, utilisant ses pouces pour frotter sa nuque. C’était une zone particulièrement sensible, le raccordement de tout le système nerveux de l’elfe rouge. Elle enfonça ses pouces, décrivant de légers cercles, tandis que Tinuviel lui parlait.

L’elfe rouge lui posa une question assez vaste, tout en évoquant également Lorna et le harem. Sur le coup, Alice fut assez surprise, lorsque Tinuviel se mit à sous-entendre que Lorna, loin de la détester, pouvait au contraire éprouver pour Alice un amour assez fort. Alice se demanda bien ce que Lorna pouvait lui trouver… A cause d’elle, Tinuviel avait failli mourir, mais elle n’allait pas remettre en compte le jugement de l’elfe rouge. Elle savait sûrement mieux qu’elle. Alice se mordilla les lèvres, réfléchissant, avant de lui répondre, recommençant doucement à la masser.

« Je… Je ne parie pas sur l’avenir, Tinuviel… Je ne peux pas te dire comment je serais dans dix ans, mais il est sûr que mon amour pour mon peuple ne s’en ira jamais. J’ai été éduquée ainsi, pour apprendre le sens et l’importance du devoir, de la patrie, de l’honneur… J’ignore si je ferais une bonne Reine, mais… Enfin, ce n’est pas comme si j’avais le choix, de toute façon. Mais j’y arriverais, j’en suis sûre… »

Alice était en réalité bien moins sûre, mais elle décida de ne pas laisser montrer son trouble.

« De toute façon, je ne pense pas que mon père sera mort dans dix ans… Tant qu’il lui restera un souffle de vie, à moins qu’il ne devienne totalement gâteux, il sera toujours le Roi.
 -  Tywill gâteux ? lâcha Olivier. Fasse le dragon d’Or que cela n’arrive jamais ; nous serions la risée de tout l’Empire ! »

Un sourire amusé éclaira les lèvres d’Alice. Son père était une véritable montagne d’autorité, de puissance, et de fermeté. L’imaginer gâteux, c’était comme imaginer que Tinuviel puisse un jour perdre tout sex appeal. Autant dire que c’est inconcevable, mais le fait d’imaginer son Père dans un fauteuil roulant, avec la tête qui penchait et la main qui tremblait sous l’effet de l’arthrite fit pouffer Alice.

« Oui, c’est ridicule… En tout cas, j’espère que mon massage te plaît, Tinuviel… lâcha-t-elle. Je ne dois sans doute pas être aussi douée que les femmes de ton harem, mais je fais de mon mieux. Et je serais ravie de découvrir ton monde, Tinuviel… Le peu que j’en vois me fait très envie, acquiesça-t-elle en l’embrassant sur l’épaule.
 -  Et si vous auriez une petite place pour moi, n’hésitez pas… Même dans un placard, je suis sûr qu’un voyage dans votre univers, Tinuviel, doit être particulièrement inoubliable. »

La Princesse se permit de sourire, et continua son massage, attrapant une espèce de lotion à proximité, un simple savon, et l’appliqua sur le dos de Tinuviel, promenant ses mains sur son corps.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le dimanche 11 mars 2012, 21:46:16
Le massage que lui prodiguait la jeune princesse était tout simplement divin, oui elfe  appréciait réellement ce petit moment de détente.  Elle se laissait faire, totalement détendue, écoutant cependant avec une certaine attention ce que lui disait la jeune princesse.  Ainsi, elle   était éduquée depuis toute jeune à  faire passer son peuple et ses responsabilités avant ses désirs.  Oui, c’était un dur travail que celui d’être une princesse, toutefois elfe en avait un avant gout avec son harem. Elle-même n’était pas réellement libre, mais pourtant, elle n’échangerait pour rien au monde sa place.
De toute façon,  elle avait raison, son père devait encore longtemps avoir le pouvoir. Elfe  en avait eut des échos et il était considéré comme une force de la nature.  Ainsi, sauf événement exceptionnel il ne devrait pas y avoir de soucis de pouvoir tout de suite.   Elfe hocha doucement la tête avant de dire doucement.


-Si tu savais Alice, le bien que tu me fais.  Rassure toi, ton doigté est très appréciable…  Je pourrais même y prendre gout et faire de toi ma masseuse particulière… Hum… Je ne suis pas sur que ce soit une bonne idée.  Enfin,   tu sais que tu es  la bienvenue dans mon monde et ceci quand tu veux.  La porte te sera  toujours ouverte.

Elfe ferma les yeux, frissonnant doucement à cause du massage de la jeune princesse, hum, c’était juste délicieux et il faudrait faire attention car les zones que la jeune princesse  caressait étaient des zones extrêmement sensibles.  La libido de l’elfe pourrait donc refaire des siennes… Bien que celle-ci était quand même capable de se contrôler un minimum. 


-Hum, quand à vous mon cher Olivier… Pourquoi pas, après tout, vous ne seriez plus le seul homme à entrer dans le harem.  Je ne fais que protéger mes amours et vous n’êtes pas un danger.  Donc, tant que vous respectez leurs volontés, je ne suis pas contre  le fait que vous nous rejoignez.

La politique de l’elfe pouvait être condamnable, cependant elle savait quand même faire la part des choses.  Tant que l’homme ne représentait pas une menace, il était accueilli parfois même pour plusieurs jours.  Cependant l’elfe s’était créée une réputation de diablesse, justement pour éviter aux hommes trop ambitieux de s’en prendre à ses chéries.  En se montrant froide et autoritaire envers eux, elle savait que personne ne pourrait remettre son autorité et ses compétences en doutes sous peine de se dire qu’il en subirait les représailles.  Et jusqu’à présent, cela avait plutôt bien fonctionné.
Enfin, pour l’instant, elle devait rassurer la jeune princesse, depuis le temps, elle savait que ce genre de poids n’était pas facile à porter. Elle se contenta donc de lui dire doucement.


- Rassure toi, tu seras une bonne reine, je n’en doute pas. N’oublie juste jamais d’être juste et compréhensive  avec lui.   Je pense que se sont les deux plus grandes qualités si tu veux être à la tête d’un groupe.   Enfin, si tu le veux bien, masse-moi encore un peu le dos…
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 12 mars 2012, 01:18:16
Faire d’elle sa masseuse… L’idée fit sourire Alice, qui continua sans hésitation son massage. Elle avait adoré se faire masser par ses servantes, et c’était d’ailleurs elles qui lui avaient montré comment faire des massages. Y aller avec douceur et fermeté. On lui avait montré les zones érogènes communes du corps humain. Chaque individu avait certes ses spécificités, mais il existait généralement des endroits sensibles, soit les zones où il y avait des regroupements nerveux importants, notamment le long du dos. Alice promenait donc ses mains, et c’était d’autant plus agréable que Tinuviel avait un corps magnifique. Une peau douce et superbe. Oui, si ses servantes avaient été à sa place, elles auraient raffolé de ce dos. L’excitation ambiante aidant, les mains d’Alice se faisaient légèrement baladeuses, se glissant sur le ventre de Tinuviel pour titiller ses seins, et glisser ensuite sur ses fesses. Elle retourna les masser, souriant lentement.

« J’espère bien que tu y prends goût… répliqua-t-elle. Car moi, j’y ai déjà pris goût… » glissa-t-elle en souriant.

De son côté, Olivier Letterfinlay souriait, trempant ses pieds dans l’eau.

« Ma chère Tinuviel, vous avez bien du comprendre que je ne suis pas le genre d’hommes qui soit capable d’imposer sa volonté sur de belles femmes… »

Alice sourit en coin. Letterfinlay était indiscutablement un bel amant, mais un bien mauvais baron. Fort heureusement, dans les baronnies, on ne demandait pas aux bons barons d’être des nobles ambitieux et autoritaires. L’inverse était même plutôt tentant. Olive n’aurait jamais été capable de prendre des décisions courageuses et influentes. Mais ça n’empêchait pas Alice de l’apprécier en tant qu’ami. Alice continuait à masser tendrement le don de l’elfe rouge, continuant ainsi, sentant son sexe continuer à frotter contre les jambes de l’elfe.

« Dis-moi, Tinuviel, je ne sais pas plus si tu me l’as déjà dit, mais… Comment est-ce que ce sexe va se retirer ? »

Il y avait plusieurs autres choses dont Alice avait envie de lui parler, notamment Lorna, mais elle préférait ne pas remuer le couteau dans la plaie. Et puis, ce gros sexe handicapant, c’était la seule chose qui la préoccupait. Elle se mit à embrasser les épaules de l’elfe rouge, tandis qu’Olivier les observait, visiblement fasciné par un tel spectacle. Alice redescendit ses mains, frottant le postérieur de Tinuviel, lui grattant le bas du dos, posant ensuite ses mains sur son ventre, caressant son estomac avec ses doigts, autour de son nombril.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le lundi 12 mars 2012, 10:26:51
Elfe se contentait de soupirer son plaisir, elle ne savait pas qui elle devait remercier pour avoir formé la jeune princesse  et honnêtement elle s’en fichait, non le plus important était le plaisir que l’elfe ressentait en ce moment.  Il y avait cependant autre chose,  en effet, si les mains de la jeune princesse continuaient à caresser sa poitrine et son dos comme cela, il y avait de forte chance pour que la libido de l’elfe se fasse totalement incontrôlable.  Il fallait dire que les gestes de la jeune princesse étaient tout simplement délicieux.

D’ailleurs, celle-ci ne semblait  pas non plus insensible aux charmes de l’elfe, en effet le sexe provisoire que celle-ci avait entre les jambes semblait lui aussi excité.  Cependant, ce bout de chaire semblait inquiéter la princesse.  Elfe réfléchi alors qu’elle instant, avant de lui dire doucement.


- Rassure toi, il va bientôt disparaitre.  Bientôt, il va commencer par se contracter, puis il se résorbera de lui-même.  L’opération n’est pas douloureuse cependant  ta libido risque d’être un peu plus basse durant quelques heures, c’est le contre coup pour avoir put gouter durant quelques instants à ce que cela fait d’être une futa.   Enfin…  Il n’y a rien d’autre  qui te travail ?  Je ne sais pas, mais j’ai l’impression que tu voudrais m’entretenir d’autre chose.
Elfe n’était pas dupe,  il y avait autre chose qui tracassait la jeune princesse. Il était probable que Alice pense encore à Lorna, la mage rouge ne voulait pas remuer le couteau dans la plaie.  Cependant  il était préférable que l’elfe lui explique maintenant la cause de l’hostilité de Lorna, cette jeune femme  d’habitude si douce et si calme.  Mais d’un autre coté, si la jeune princesse ne voulait pas en parler, elle ne pouvait pas la forcer à en discuter. Elle se retourna en direction du baron souriant doucement

- Je n’en doute pas, et c’est pour cela que je vous autorise à rester au harem.  Hum… Il faudrait d’ailleurs… Mais j’y réfléchirais plus tard…

Elfe se contenta d’un petit sourire, laissant finalement la jeune princesse continuer son massage. Oui, à ce moment, elle était entrain de réfléchir. Elle devait trouver un moyen d’agrandir les lieux. En effet, l’elfe  avait la mauvaise habitude d’accueillir de nombreuses personnes dans son harem, mais la tour elle n’était pas extensible et il lui faudrait à un moment ou un autre faire des travaux pour l’agrandir.  Il n’y avait qu’un seul souci, ou trouver quelqu’un capable de ce genre de prouesse, après tout, construire un bâtiment supplémentaire en plein désert, c’était de la pur folie. Non, il fallait mieux pour l’elfe que ce soit elle qui s’occupe de ce genre de chose.  Enfin, elle aurait le temps d’y réfléchir une autre fois.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 12 mars 2012, 14:15:40
Alice sourit lentement, heureuse de savoir que ceci allait disparaître… N’en déplaise à ces messieurs, elle préférait quand même ne pas avoir un bout de chair entre les jambes. C’était bien mieux sans ! La Princesse continua donc son lent massage, promenant ses mains sur son dos, sans s’arrêter. Oh oui, elle sentait que Tinuviel cédait lentement au plaisir, succombant avec toute la volonté d’Alice. Tinuviel avait néanmoins bien senti qu’Alice avait quelque chose d’autre sur la confiance. Se rappelant le regard de Lorna, Alice hésita, mais elle devait bien la vérité à cette femme…

« Je… Hum… Et bien, je… Ne te mets pas en colère, Tinuviel, mais je ne partage pas ton point de vue sur… Sur Lorna… Elle… »

Alice soupira, avant de trouver un peu de courage, et reprit.

« Quand tu étais dans le coma, Tinuviel, et quand j’ai… Quand j’ai été réveillée Lorna, elle… J’ai cru qu’elle allait me tuer, a-alors… Enfin, je ne veux pas dire qu’elle soit mauvaise ou quoi que ce soit ! Elle semblait plutôt triste, mais… Ces yeux… Je… Je ne crois pas qu’elle m’aime à ce point… A vrai dire, je suis persuadée du contraire… »

Elle se tut, baissant les yeux, assez confuse, et ce fut Olivier qui se racla la gorge, comme pour essayer de parler d’autre chose.

« Confidence pour confidence, ma chère Tinuviel, j’ai comme l’impression que vous avez-vous aussi une idée derrière la tête. Ah ! Je connais suffisamment les femmes pour savoir quand elles me cachent quelque chose ! Allez, n’hésitez pas à vous confier, c’est l’heure des confidences ! »

Le regardant,  Alice se mit à parler.

« Et qu’attendez-vous pour nous rejoindre, cher baron ?
 -  Hum… Et bien, elle a l’air assez chaude…
 -  Vous vous plaindrez plus tard, Olivier ! »

La Princesse attrapa l’homme par la main, le tirant. Il tomba dans l’eau en poussant un léger cri, éclaboussant Alice, qui gloussa, tandis que Letterfinlay sortait la tête de l’eau. Se sentant un peu mieux, la Princesse reprit son massage avec lenteur et douceur. De son côté, Olivier secoua la tête, avant de se mettre contre le rebord à côté de Tinuviel.

« Vu de près, vous êtes encore plus belles, toutes les deux… »

Souriant poliment, Alice reprenait un massage de plus en plus érotique, insistant sur les zones érogènes de Tinuviel. Elle voulait la faire céder, une forme de vengeance princière.

« Là, Tinu’… Détends-toi ma belle, je m’occupe de toi et de ton corps parfait… »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le lundi 12 mars 2012, 14:54:40
Elfe se laissa faire,  après tout, qui avait il de mal à se faire  chouchouter cependant le fait que la jeune princesse s’acharne sur ses zones érogènes  n’aidait pas l’elfe à réfléchir.  Enfin,  elle n’allait pas  se plaindre non plus, loin de là.
Enfin, la réaction de la princesse était normale. Oui, Lorna avait tenté de la tuer, même si elle ne l’aurait sans doute jamais fait mais en réalité oui, la jeune kitsune avait un faible pour la princesse.  Elfe  la connaissait et elle était sur de ce qu’elle allait dire.   La kitsune avait été éduqué  pour être à l’écoute de personne comme la princesse,  et elfe connaissait les fantasme de chaqu’une de ses amantes hors la princesse était le genre de femme que la kitsune aimait.  Elle savait aussi que Lorna lui en voudrait sans doute si elle disait cela à la jeune princesse, mais d’un autre coté, elle n’aurait sans doute pas le cran pour le dire elle-même. Alors oui, elfe allait suivre les conseils du baron.
Elle se contenta d’un petit sourire avant de lui dire doucement.


- Je  sais que la réaction de Lorna a été violente. Toutefois, je la connais, et je sais que ce que je dis. Il faut que tu sache que Lorna a été éduquée pour  être l’esclave de la haute noblesse.  Une hybride parfaite.  Je sais aussi que tu es son type Alice…   Maintenant, je vais te poser une seule et unique question.  Dans qu’elle état d’esprit serait tu si comme elle une femme te faisait de l’effet, alors que tu as promis d’être fidèle à une seule et unique femme.  A cela tu rajoute de l’inquiétude et tu comprendras peut être pourquoi ma chérie a fait ce qu’elle a fait. Je ne recherche pas à lui rechercher des excuses.  Je te demande juste d’être un peu indulgente avec elle.

Elle savait que ce qu’elle était entrain de dire risquait de ne pas plaire à sa protégée, mais si cela pouvait lui permettre de faire la paix avec la jeune princesse et donc  de ne pas se  sentir trop coupable. Enfin.  Autant profite de ce massage.
Elfe se laissa faire, espérant que cette révélation ne soit pas trop dur à digérer pour la jeune princesse.

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 13 mars 2012, 00:14:27
Les explications de Tinuviel avaient effectivement le mérite d’être surprenantes. Alice essaya de ne rien laisser paraître de son trouble, continuant à masser le corps de l’elfe, mais elle n’avait effectivement pas songé à envisager les choses sous cet angle.

« Je crois…, commença-t-elle, hésitant sur ce qu’il fallait répondre. Je crois que j’aurais peur. »

Peur… Oui, si Alice devait choisir entre deux femmes, elle aurait sans doute peur, mais il lui était assez difficile de se mettre dans la peau de Lorna, pour la simple et bonne raison que, pour l’heure, elle n’avait jamais rencontré l’amour. Elle ne parlait pas de ses romances épisodiques avec Letterfinlay. Elle éprouvait de l’affection pour le baron, oui, mais ce n’était indéniablement pas de l’amour. Elle avait suffisamment lu de livres sur la question pour savoir qu’Olivier ne l’obsédait pas comme un amoureux pourrait le faire.

« Rassure-toi, Tinuviel, reprit la Princesse. Je ne lui en veux pas. Elle n’a rien fait d’offensant, mais… Et bien, je ne pensais pas qu’elle cherchait m’éviter à cause de ça…
 -  La modestie te rend aveugle, ma petite Princesse, lâcha Olivier. J’ai beaucoup d’expérience dans ce domaine, et je dois bien admettre, sans vous offenser, ma chère elfe, que tu es l’une des femmes qui m’a le plus fait fantasmer. »

Alice rougit jusqu’aux oreilles.

« Olivier, arrête de dire n’importe quoi ! protesta Alice.
 -  Que le dragon d’Or me pourfende si je mente ! lâcha le baron. Tu es une Korvander exceptionnelle, Alice… Avant toi, tous les Korvander étaient des bourrins virils, et pas spécialement beaux, même les Reines… »

Olivier se redressa, et embrassa Alice.

« Si tu arrives même à faire craquer l’une des amantes de Tinuviel, Alice, alors, tu seras capable de faire de grandes choses… Comme accomplir le plus grand rêve de Sylvandell… »

La Princesse ne lui répondit pas, se mordillant les lèvres. Elle recommença son massage, afin de penser à autre chose. Le plus grand rêve de Sylvandell… Alice savait de quoi il s’agissait, naturellement, mais Olivier disait n’importe quoi ! Perturbée, son massage fut un peu moins appliqué, et un peu plus porté sur les seins de Tinuviel. Alice finit par les empoigner fermement, par réflexe, et sentir les tétons de l’elfe rouge parvint à l’aider à se contrôler. Elle reprit son massage, sans répondre à Olivier, et alla embrasser le corps de Tinuviel.

« J’ai encore envie de profiter de toi, Tinuviel… finit-elle par souffler. De toi et de ton corps fabuleux… »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le mardi 13 mars 2012, 11:57:16
L’elfe se contenta d’un sourire,  la peur était un sentiment relativement faible mais elle avait une idée de ce que Lorna était entrain de vivre et surtout, elle avait comprit pourquoi la jeune kitsune l’évitait.  C’était déjà une bonne chose car si il devait y avoir une prochaine rencontre, la princesse serait au courant de l’attraction qu’éprouvait la kitsune à son égare. 
L’elfe ne fut nullement vexé par la phrase du baron, après tout si il préférait une humaine c’était son choix. Elle n’allait pas  piquer une crise de jalousie par rapport à cela, cependant  même si la beauté de la jeune princesse était indéniable, l’elfe espérait également pour le baron, qu’il y avait d’autres raisons à ceci. Après tout, cette jeune princesse avait de nombreuses qualités dont une modestie à toute épreuve.
Le baron dévia sur quelque chose qui intrigua énormément l’elfe.  Le plus grand rêve de Sylvandell.  Il  en parlait comme ci cette chose était connue de tous, hors l’elfe n’étant pas du coin, cela n’était pas son cas.  Elle pensa immédiatement à une chose ayant un rapport avec les dragons. Après tout, quand l’on sait la place qu’avait ces fichus lézards dans ce pays. A moins que ce ne soit la fin de la guerre entre Nexus et Ashnard, une chose impossible selon elle. 
Oui, l’elfe était curieuse, mais c’était dans sa nature, en effet, s’il lui restait une chose propre aux elfes du soleil, c’était bien  leurs curiosités quasi maladive.  Enfin,  l’elfe n’eut pas le temps de poser la question que les caresses de la jeune princesse se firent bien plus directes.  Provoquant chez l’elfe des frissons.
La jeune princesse en voulait plus, cela pouvait se sentir, mais ce fut sa phrase qui leva tous doutes possible.  L’elfe lui sourit doucement avant de lui répondre d’un air taquin.


-Hum, écoute, dis moi en un peu plus sur ce fameux grand rêve, et je pourrais peut être faire quelque chose pour toi ma belle.
Une forme de chantage, pas vraiment, en effet l’elfe n’avait pas attendu la réponse de la jeune demoiselle pour commencer à jouer avec elle.  Elfe avait déjà commencé un petit mouvement de va et vient sur le nouveau jouet de la demoiselle,  il s’agissait juste de la mettre en appétit, elle espérait que ce genre de petit traitement plaisent à la jeune princesse car il était fort probable que l’elfe lui fasse gouter bien d’autre douceur pour peu que la jeune princesse se montre un peu coopérative.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 13 mars 2012, 15:12:53
Le temps passait lentement dans cette salle de bains. Alice appréciait fortement le contact de Tinuviel. A bien choisir, elle aurait sûrement voulu que Tinuviel reste avec elle. Dans un sens, il était dommage qu’elle ait ce harem, car cela signifiait qu’elle ne pourrait pas la voir autant que possible… La Princesse en était certes chagrinée, mais elle comprenait les raisons de l’elfe rouge. Elle continuait à pétrir tendrement son corps, reprenant peu à peu ses esprits. Olivier se contentait de les observer, un sourire sur le coin des lèvres, profitant probablement de l’eau chaude. Alice préféra se concentrer sur le dos de l’elfe rouge. Elle sentait que cette dernière allait bientôt céder, et Alice, pour être honnête, n’attendait que ça. Néanmoins, l’elfe, dont la curiosité avait été titillée, demanda de lui parler du « grand rêve », recevant en échange quelque chose… Voilà qui avait de quoi susciter la curiosité d’Alice !

« Et bien… Je ne vais pas te faire un cours d’Histoire, Tinuviel, mais, ce que tu dois savoir, c’est que, pour créer Sylvandell, mon ancêtre et ses successeurs ont du demander l’aide de l’Empire. Construire un royaume dans les montagnes est ambitieux, mais aussi très onéreux. Et l’Empire n’est pas du genre à offrir gratuitement ses services.
 -  L’Empire a accepté d’aider Erwan quand les forces impériales ont vu que les Korvander influaient sur les dragons dorés de la région. Or, avoir un dragon doré dans une armée, ce n’est pas un facteur négligeable, comme vous devez vous en douter. »

De tous les dragons, on disait en effet que les dragons dorés étaient les plus puissants, et les différentes classifications dragoniques faisaient de ceux aux écailles dorées les plus puissants. Leurs écailles étaient des ingrédients alchimiques sans pareille, permettant de confectionner les élixirs les plus stables et les plus efficaces.

« Le grand rêve de Sylvandell, c’est de réussir un jour à devenir vraiment autonome, et à se débarrasser de l’influence de l’Empire, mais ce n’est qu’une utopie… Et puis, être sous la coupe d’Ashnard, ça n’a pas non plus que des avantages… Un jour viendra où l’Empire règnera sur tout Terra. L’intérêt de mon royaume ne réside pas dans la sécession avec Ashnard. Disons que c’est un rêve indépendantiste, mais personne n’y porte foi.
 -  La réalité est un brin plus complexe que ça, mais… C’est un bon résumé. »

Alice sourit, et embrassa Tinuviel dans le creux du cou, sentant cette dernière exciter son membre, répandant des effluves de plaisir dans le corps de la Princesse.

« Alors, Tinuviel… Je sens que mon massage vous procure à la fois beaucoup de plaisir… Mais aussi un peu d’insatisfaction, non ? C’est très gratifiant pour moi, mais… Que voulez-vous me dire, alors ? Je crois bien être aussi curieuse que vous, si ce n’est plus… »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le jeudi 15 mars 2012, 12:18:38
Elfe se contenta d’un petit sourire, elle avait eut les informations qu’elle souhaitait et pour l’instant sa légendaire curiosité était relativement satisfaite. Certes, il restait des zones d’ombre et l’elfe aurait voulu avoir quelques détails supplémentaires mais dans l’ensemble, elle avait eut ce qui lui fallait.   La liberté,  une des motivations majeures de nombreux peuples.  Ainsi, ce jeune royaume pensait pouvoir avoir accès à l’indépendance, il leur faudrait bien du courage car il était probable d’Ashnard refuse de ce passer d’une force de frappe tel que celle-ci. Et même si le peuple prenait son indépendance par la force, il s’en suivrait de violente, très violente. La situation était donc des plus complexe pour ce jeune pays,  le mieux étant de mener des négociations avec ashnard pour tenter peu à peu de neutraliser son influence sur ce pays. Toutefois, cela serait long et il faudrait que Synvadell ait les moins, à la fois économique et militaire de se passer de cela.
-Je comprends mieux, en effet  Ashnard détient un pouvoir sur vous relativement important, cependant je suis sur que cette situation peut être changée, oui je pense comme le baron. Tu as le potentiel de  mener ton peuple à l’indépendance, même si cela ne se ferra pas du jour au lendemain et surtout que ce sera dur. 

Après ce petit élan patriotique, elfe reprit doucement sa position, laissant finalement un peu plus de place pour que la jeune femme puisse s’occuper d’elle, après tout, le massage était entrain de dériver  pour le plus grand plaisir de l’elfe d’ailleurs. Cependant, cela risquait de la mettre en retard, bha au diable la ponctualité, Lorna était au courant et il était fort probable que celle-ci comprenne qu’elle en ait encore pour plus de temps que d’habitude, de toute façon, la fleur était à l’abri.


- Et si,ma chère alice, tu reprenais ton massage.  

Elfe elle, avait reprit ses doux mouvement de va et viens sur le nouveau sexe de la jeune princesse, elle espéré ainsi que la jeune alice comprenne ce qu’elle avait en tête. Cependant, elfe se fit une petite promesse, ce serait le dernier round, en effet  elfe devait bientôt partir, et elle ne faisait que ralentir inéducable. Elle devait retourner au harem,  c’était une évidence, mais cela ne l’empêchait pas de prendre encore un peu de temps pour elle.
Oui, c’était peut être  égoïste mais pour une fois, elfe avait une amante royale et elle n’avait pas envie de s’en  séparer tout de suite.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 15 mars 2012, 14:19:31
« Et si,ma chère alice, tu reprenais ton massage. »

Une proposition intéressante, mais Alice se mit à réfléchir rapidement. Mains posées sur le superbe dos de l’elfe, elle  tapota ce dernier. Sentant l’excitation revenir, la Princesse n’avait toutefois pas oublié quelque chose que Tinuviel lui avait promise : dire quelque chose, en échange de ses révélations. En soi, que l’Empire apprenne que Sylvandell pouvait avoir des velléités indépendantistes, ce n’était pas gênant. Le Roi Tywill l’avait déjà lâché en face de l’Empereur : « Sylvandell serait bien mieux avec ses dragons qu’avec vos incapables de soldats ! » Parfois, cela pouvait poser des frictions diplomatiques, mais Alice savait tout le bien que Sylvandell tirait de l’Empire. Outre sa relative protection, il y avait aussi d’autres avantages, non négligeables.

« Je le pourrais, oui, mais… Il me semble que tu as promis de me faire quelque chose… »

Alice cessa alors de la masser, retirant ses mains, et croisa les bras au-dessus de sa poitrine, adoptant la posture typique des femmes de son rang : la Princesse qui attendait qu’on satisfasse son caprice. La Princesse était tout simplement curieuse de voir ce que Tinuviel avait eu en tête. Avoir une amante royale, ça n’avait pas que des avantages.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le jeudi 15 mars 2012, 22:26:15
Elfe eut un petit sourire à la vue de la position princière de son amante, ainsi, elle voulait quelque chose. Oh, mais elfe allait lui servir et cela risquerait même de peut être modifié l’avis qu’avait la petite princesse sur ce membre qui la gênait tant.  Elfe se contenta dans un premier temps d’embrasser la princesse avant de la regarder et de l’embrasser doucement sur les lèvres.  Elle la regarda ensuite d’un petit  air surpris, lui disant.

-Cela ne suffit pas ? Hum…  il semble que notre petite princesse soit  finalement plus perverse que ce que je ne le pensais, mais cela n’est pas pour me déplaire je dois dire. J’ai toujours aimé les vilaines filles…
L’elfe jouait un rôle, en effet, dans la réalité, elle préférait passé un moment tendre en compagnie d’une amante  mais  il ne lui était nullement interdit de temps en temps de   jouer un role le temps d’une heure ou deux.  Elfe avança doucement mais surement ses fines lèvres en direction du sexe provisoire de la jeune princesse.  Oui,  le baron comprendrait sans doute ce que la maitresse elfique allait faire. Et la jeune princesse également même si elle n’avait jamais eut l’occasion de le  vivre. Oui, elfe allait lui offrir sa première fellation.    Et autant dire que celle-ci s’annonçait particulièrement  puissante. 
Elfe s’allongea sur le corps de son amante, sa bouche face à cette virilité encore relativement flasque. En effet, même si  ses précédentes caresses avaient  commencé le travail.  Le reste se produisit  sans surprise, la jeune femme prit en bouche le sexe de la princesse, le faisant doucement mais surement reprendre du volume grâce à quelques caresses de la langue.  Une fois que celui-ci eut retrouvé sa taille normale, elle le laissa  doucement frotter contre son palais,   puis le repoussa d’un coup de langue totalement  maitrisée.  Elle chatouillait maintenant le gland de divins baisés,  avant de le flatter par de petites caresses linguales.  Oui, elfe savait y faire c’était certain. La bonne question était combien de temps pourrait résister. Vu son manque d’expérience et surtout l’absence totale de modération dont faisait preuve l’elfe, il était probable que la jeune princesse ne tarde pas à venir. Si c’était le cas, elfe se ferait un plaisir de gouter à cette liqueur  blanchâtre.  Sinon, elle recommencerait encore et encore ses divines caresses.   Oui, l’elfe était douée en langue et elle le prouvait encore une fois.
Entre deux mouvements de langues l’elfe prenait le temps de caresser doucement la poitrine de la jeune princesse. Lui faisant découvrir à quel point cette zone pouvait être sensible si l’on était capable de doser la puissance de ses mains…

Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 15 mars 2012, 23:32:26
Alice retint un sourire quand Tinuviel l’embrassa. Le massage avait fait son office, excitant suffisamment l’elfe rouge pour qu’elle passe à l’action. Se retournant, Tinuviel se redressa pour l’embrasser, et Alice en gémit, son sexe frottant contre le ventre de l’elfe rouge. La bouche de cette dernière était toujours aussi agréable. Et encore, « agréable » semblait être un faible mot par rapport à ce qu’elle ressentait. Son cœur s’emballa rapidement, bondissant dans sa poitrine. Elle en trembla rapidement, avant de sentir la tête de l’elfe se baisser… Initialement, Alice crut qu’elle allait se contenter d’embrasser sa poitrine, mais, au lieu de ça, sa tête continua à baisser, filant vers…

*Mais… ?! Elle ne va quand même pas… ?! Oh, oh, non !*

Alice se sentit basculer en arrière, et vit le sourire amusé du Baron, tandis que Tinuviel l’amenait à s’allonger le long du bain. Lentement, la tête d’Alice heurta le carrelage, alors qu’elle sentit Tinuviel prendre entre ses lèvres son sexe, et commencer une fellation. Alice, qui avait déjà bien des fois fait une fellation à un homme, fut donc de l’autre côté du miroir. Elle s’était après tout toujours demandée ce qu’un homme ressentait quand elle jouait avec son membre. Elle comparait cela à une espèce de grosse sucette bien juteuse, et, le plaisir résultait chez elle, outre du caractère éminemment dégradant et pervers du geste, chez le plaisir qu’elle procurait chez l’autre, un plaisir qui était palpbale. Elle sentit ce plaisir exploser chez elle, sentant à quel point la libido d’un homme pouvait ressembler à une espèce de montagne russe. Les mains d’Alice frappèrent violemment l’eau, alors qu’Olivier regardait la scène en souriant.

« Dur, hein ?
 -  Aaaaaah… Oh… Hum… C’est… Oh, c’est si bon !
 -  Et c’est bien ça qui est terrible… Résister… »

Résister, c’était bien le mot. Alice s’en sentait incapable. Son sexe la démangeait, et elle finit par jouir. C’était bien trop difficile, bien trop fort. Son plaisir était une véritable chute dans laquelle elle était tombée, et elle sentit son membre se vider rapidement dans la bouche de Tinuviel. Elle avait offert une prestation assez pitoyable, de son point de vue, mais il suffisait de voir son visage pour qu’on ne doute pas du plaisir qu’elle avait reçu, plaisir qui avait été d’autant plus fort que, comme pour s’assurer qu’elle aurait bien son orgasme, elle avait été jusqu’à jouer avec ses seins. Toute rouge, Alice la regarda en baissant les yeux.

« Je… J’espère que ce n’était pas… Pas trop infect… »

Alice, de son point de vue, se devait bien d’avouer que le sperme n’avait pas le même goût que la cyprine.

« Je sais que je vais enfoncer une porte ouverte en le disant, mais c’était délicieux ! »
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Tinuviel Lastrim le vendredi 16 mars 2012, 00:04:07
Elfe avait donc raison, la princesse ne résista pas longtemps face à sa langue inquisitrice.   Le plaisir submergea rapidement la demoiselle, qui ne tarda pas à venir dans la bouche de l’elfe qui n’en sembla nullement dégoutée.  Elle accepta la semence de la jeune femme avec plaisir.  Elle se redressa doucement,  avant de boire celle-ci avec une certaine  sensualité. Oui, même ce geste qui pouvait paraitre obscène, elfe arrivait à lui donner une certaine beauté.  Finalement, elfe se contenta de passer sa main devant sa bouche, effaçant doucement à la fois le gout mais également le reste de semence, après tout, la jeune princesse et son amant n’était peut être pas spécialement attirés par le gout si particulier de ce liquide ivoire.

Elfe lui fit un petit clin d’œil avant de lui dire doucement.

- Qui te dit que c’était infect ? Tu sais Alice, même si je préfère les femmes,  je ne suis pas dut genre à ne pas apprécier ce genre de chose…  La semence masculine, à certes un gout particulier, mais c’est un gout que j’apprécie…      Et puis, le tient était particulièrement  savoureux.

Elle se contenta d’un petit sourire, avant doucement de reprendre sa  place dans le bain.  Elle avait maintenant passez assez de temps ici et il fallait vraiment qu’elle reparte, même si cette expérience était particulièrement agréable.


-Il est bientôt l’heure pour moi de repartir,  mon harem m’attend et même si je me suis bien amusée, il est temps pour moi de retrouver toutes mes responsabilités.   Je me répète, mais vous êtes et vous serez toujours les bienvenues.  Et si cela vous intéresse, sachez que certaine  de mes amantes sont d’anciennes  soldats d’ashnard.  Elles pourraient donc vous donner des informations utiles sur leurs méthodes de combat.

Elfe se leva doucement,  sortant de la baignoire, avant de se sécher d’un claquement d’un doigt.  Oui, maitriser la pyromancie avait quelques avantages.  Elfe  sortit finalement de la salle de bain, avant de récupérer son armure et de la  remettre, elle retourna finalement vers la salle de bain, se contentant d’un petit sourire et dit doucement.


-C’est maintenant l’heure des adieux…  Alice,  je vous l’ai déjà dit, mais je me répète encore, vous ferrez de grandes choses, j’en suis certaine.  Quand à vous, Olivier, prenez soin d’elle…

Que dire de plus, de long discours, non cela n’était vraiment pas le genre de l’elfe. Elle qui détestait les adieux… Elle préférait en finir rapidement.
Titre: Re : La belle elfe et le dragon [Tinuviel Lastrim]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 16 mars 2012, 01:26:03
Ce qui devait bien arriver finit par arriver. Tinuviel annonça qu’elle devait retourner dans son harem, en profitant pour dire qu’elle avait, au sein de son harem, d’anciennes soldates d’Ashnard, afin de leur fournir des tactiques de combat. Alice ne releva pas. Inutile de dire à Tinuviel que Sylvandell avait la prétention de détenir les soldats les plus puissants qui soit, les membres de l’Ordre de la Commanderie. Alice ne dit rien, et Tinuviel sortit de l’eau, se séchant instantanément.

« je devrais apprendre ce sort un jour ; mes servantes en pleureraient de joie… » ne put s’empêcher de plaisanter Ollivier.

Soupirant légèrement, Alice nagea rapidement, afin de sortir du bain, et passa une serviette autour de son corps. Elle secoua la tête, sentant l’eau s’égoutter de ses cheveux. Elle voulait se presser avant que Tinuviel ne parte, mais cette dernière vint les voir. Alice releva la tête, alors qu’elle enroulait sa serviette à l’aide d’un nœud, et vit cette dernière s’approcher, pour les ultimes salutations. Distraitement, la Princesse nota qu’elle avait perdu son appendice masculin.

« Attends… »

La Princesse s’approcha de Tinuviel, restant près d’elle, et finit par lui parler rapidement.

« Je… Je te remercie pour ce que tu as fait, Tinuviel… Que ce soit le bébé dragon ou… Le reste. Mais, tout à fait entre nous, murmura-t-elle dans son oreille, je ne compte pas trop sur Olivier pour me défendre… »

Elle reprit ensuite sur un ton plus normal, souriant, afin de montrer à l’elfe rouge, qui avait tendance à s’inquiéter, qu’il ne s’agissait que d’une plaisanterie.

« Rassure-toi, nous nous reverrons… Et, si jamais tu as besoin d’aide pour quoi que ce soit dans la gestion de ton harem, n’hésite pas. Sylvandell sera ravi de t’aider, toi et tes merveilleuses femmes…
 -  Prenez soin de vous et d’elles, Tinuviel… Au moins jusqu’à ce que j’arrive ! »

Alice lui sourit, et lui fit un câlin en toute amitié, avant de l’embrasser sur la joue.

« Je vous escorterais bien, mais je crois que vous n’en avez pas besoin… Alors, porte-toi bien, ma belle elfe. »

La Princesse s’écarta un peu, afin de la regarder une dernière fois. Le départ de Tinuviel la rendait nostalgique, mais, l’avantage qu’il y avait à être une Princesse, c’est qu’on avait rarement l’occasion de s’appesantir sur son propre sort.