Ce gout si particulier je m'en délectais, faisant parcourir la langue tout autours de tes doigts, imprimant un mouvement de succions .J'aurais voulus continuer mais du en décida autrement, je pouvais sentir des main parcourir mon corps de soumise, ta peau si douce, faisant vibrer mon corps, je te désirais, puis tu entra dans un rire sadique, deux doigts en moi, pour le moment je ne ressentais pas de douleur, mais du plaisir. Puis lorsque tu mis un troisième doigts une douleur intense ce fit en moi, je n'avais jamais connu de sirène, que des hommes ou des femmes. De simple être humain. Je pouvais sentir tes doigts s'écartaient pour ce frayer un chemin et ce faire de la place. Je sentais tes ongles griffer l'intérieur de mon vagin. J'aurais voulu replier mes jambes mais elle étaient solidement attachées par les chevilles et au niveau de mes genoux.
Je t'écoutais, j'avais décidé que lutter ne ferais que gaspiller, le peu d'aire que j'avais , mais tu avais raison, j'avais de plus en plus de mal à voir, tout autour de moi tournait.
Je sentis une brûlure dans mes poumons, je faisais tout pour empêcher ma bouche de s'ouvrir, de petite bulle si précieuse, si vitale s'échappaient par mon nez.
Mon corps ce cambra, il ce pliait dans tous les sens, à la fois de désir et de douleur, ce mélange parfait, que je ne connait que trop bien. Mais là avec toi, c'était bien au delà de la souffrance que l'on m'infligeait.
Tout en explorant mon vagin tu pouvais sentir une sorte de petite capsule à l'interieur de celui ci
en la sortant et en l'ouvrant tu y trouva un message
Mademoiselle Lyli, permettez moi, de vous offrir en guise de dédommagement suite à la destruction du littoral, ce jouet. Il s'agit de ma fille Laylaa, je vous l'offre faite en ce que vous voulez, elle est docile, soumise et n'a pas peur de souffrir, si cela vous permet de prendre du plaisir
Bien à vous Ando Aori président de Aori Corporation
Ma bouche s'ouvrit et j'allais commencer à avaler de l'air, mais je réussi à me retenir, je n'avais plus la moindre molécule d'air dans mes poumons, on pouvais voir mes yeux s'injecter de sang, petit à petit