Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Lyli le mardi 04 mai 2010, 13:54:39
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La début de week-end qui annoncé des plages pleines de mondes et donc de nouvelles proies, voila ce que Lyli aimé par dessus tout. Aujourd'hui ne ferait pas défaut à sa tradition et comme à ses habitudes la sirène s'installa sur un amas de rocher passant ainsi pour une simple adolescente qui bronzé, elle pouvait de cette façon guetter des personne interessante sur le bord sans attiré l'attention.
Allongée sur le rocher elle s'amusait maintenant comme elle le faisait toujours a selectionné celle qui serait le plus apte à être sa proie pour le reste de la journée.
Hum voyons voir... pas celle là... non plus... hum peut être .. non..... Ha tiens, elle a l'air plutot pas mal vue d'ici celle là.
Son regard se porta sur une très belle fille aux allures innocente, elle devait surement être une jeune lycéenne. Dans tout les cas Lyli avait décidé qu'elle conviendrait parfaitement, d'autant plus que la question de comment l'éloigné du bord ne se posait même plus quand elle gonfla un petit bateau pneumatique pour monter et s'allonger à l'interieur.
Parfait ma belle éloigne toi du bord, personne ne pourras te venir en aide une fois que tu seras assez loin, à l'abris de tout regards indiscrets.
Lyli la suivit ainsi une vingtaine de minutes alors que le petit bateau sur lequel la jeune fille se trouvait dérivé de plus en plus, peut être s'était elle un peu assoupie. C'est à ce moment là que la sirène avait décidé d'agir, ayant marre d'attendre.
Avec une grace incomparable elle creuva la surface sans un seul bruit et s'approcha du bateau ou sa proie semblait paisible, les yeux fermé et les mains derrière la tête.
Elle en profita pour prendre les rames et les expedier loin au fond de l'eau, elle remonta ensuite sans prendre la peine d'etre discrète et racla un bon coup de la gorge pour faire comprendre qu'il y avait quelqu'un non loin d'elle.
Heu.. bonjours excusez moi si vous dormiez mais je nagée par ici et je suis venue vous prévenir qu'une vague a emporté vos rames au fond de l'eau, il ne faudrait pas trainé pour aller les cherché, le courrant pourrait les emporté on ne sait ou sinon.
Le piège de Lyli était maintenant mis en place, mais elle voulait tout de même savoir le minimum qu'elle pouvait sur elle.
Ou sont mes bonnes manières, je m'appelle Lyli, enchantée. Puis-je à mon tours savoir votre nom ?
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se matin là lili devait aller à la plage le beau temps était de la partie, et sa maitresse Ishtar voulait qu'elle bronze un peut, rien n'était meilleur que le bronzage naturel, s'habillant avec un petit maillot de bain deux pièce noir, dont le bas faisais string elle partie en direction de la plage.
arriver à la plage lili constata avec déception qu'il y avait beaucoup de monde, trop même, elle qui voulait être un peut tranquille, surtout pour enlever son haut quand elle bronzerait, mais si c'était pour que tout les mecs la regarde en fantasmant sur elle, elle sentait qu'elle ne le supporterais pas.
mais elle vit une opportunité, un stand de location de bateau pneumatique, si elle en louait un elle pourrait tranquillement bronzé au rythme des vagues sans risquer qu'un pervers ne la mate, se dirigeant vers le stand elle demanda si il en restait et elle en loua un, le gonflant avec l'auto gonfleur, elle pris deux rames et partie sur les flots.
voilà bien dix minutes qu'elle ramait et elle s'était largement écarter du bord de la plage, laissant les rames dans les anneaux prévue pour les utiliser, elle enleva le haut de son maillot, dénudant sa poitrine ou deux anneaux ornaient ses tétons, prenant la crème solaire, elle s'en mit dans les mains et se l'étala sur tout le corps, commençant par ses jambes, ses cuisses, son ventre, sa poitrine, son dos, ses bras, son cou et son visage, lili était toute luisante, elle s'allongea sur le dos dans l'embarcation mettant ses bras derrière la tête, profitant du soleil.
quelques minutes plus tard elle ne serais dire puisqu'elle c'était quelques peut assoupit, lili entendit quelqu'un se racler la voie et une vois féminine lui dire qu'une vague avait emporté ses rames, lili se leva brusquement sous la surprise de cette voie et sur ce qu'elle venait de dire, découvrant le visage de la fille qui venait de la prévenir, un jolie visage et des yeux magnifique, mais lili était préoccuper par autre choses, elle fallait qu'elle retrouve les rame sinon le stand de location allait garder sa caution, regardant dans l'eau autour du bateau, elle ne les voyait pas.
la fille qui l'avait prévenue s'appelait Lyli étrangement comme elle, lili ramena son regard sur Lyli mais inquiète de ne pas retrouver les rames.
moi aussi je suis enchanter, je m'appelle lili moi aussi, mais je suis inquiète, vous ne savez pas ou elles ont put dériver, vous ne les avez pas vue? s'il vous plais aidé moi à les chercher sinon je vais perdre ma caution,... j'arrive dans l'eau...
amenant un main dans l'eau elle recueillit de l'eau et se mouilla la nuque, en se relevant des perles d'eau ruisselait sur sa poitrine, s'en plus attendre elle pris sa respiration et plongea dans l'eau, regardant vers le font marin pour voir si elle ne les apercevait pas
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Alors elle s'appelait Lili tout comme elle ? c'était assez amusant, en plus elle n'avait pas l'air bien timide également à première vue pisqu'elle n'était même pas gêner de se retrouvé nue devant une autre personne, encore un point commun avec la sirène il ne manquerait plus qu'elle ne soit pas humaine elle aussi, bien que cela resté très peu probable.
Mais tout cela n'était pas important, puisque la jeune fille était tout simplement entrain de tomber dans le piège machiavélique de Lyli, elle allait d'ici peu être piégé au fond de l'eau et devrait se plié aux exigences et aux désirs de la sirène si elle voulait pouvoir un jours repartir seine est sauve, après se ne serait pas un problème si elle repartait en connaissant l'identité secrète de Lyli car après tout qui croirait une adolescente si elle disait avoir fait l'amour avec une sirène ? Surement pas grand monde.
Lili avait maintenant plongé, suivit de près par la sirène qui prenait bien garde de ne pas nager trop vite pour eveillé des soupçon, elle resté calme comme un requin traque sa proie avant de lui sauté dessus au dernier moment, celui ou on s'y attend le moins.
Parfait elle est arrivé au fond et n'as pas vue les rames, elle va surement vouloir remonté maintenant.... C'est le moment propice.
Quand Lili voulu remonter dans l'espoir de reprendre son souffle elle se fit attraper la jambe par la sirène et en un instant elle se retrouva enlacer par derrière ne pouvant plus vraiment bouger. Elle était désormais piégée pour de bon.
Je te donnerais tes rames plus tard tu ne vas pas en avoir besoin dans l'immédiat, enfin je te les donnerais seulement si tu est sage et docile au final.
Bien que Lili semblait paniqué et se debatre légèrement, la sirène pouvait voir maintenant son corps sous toute sa couture, et celui-ci lui plaisait vraiment, bien qu'une chose l'intriguait, les percings en anneau sur ses têtons. Elle les toucha légèrement avec ses mains avant de dire :
Arette de paniqué tu ne vas faire que gaspillé innutilement tes réserves d'air. En faites dit moi ca a l'air marrant ces anneaux que tu as, je suis sure qu'ont peut bien s'amusé avec ça.
Ni une ni deux la sirène mis Lili directement contre le sable puis commença à lui titiller ses seins avec sa bouche et sa langue, prenant parfois les anneaux entre ses lèvres pour tiré dessus dans l'espoir de lui faire un peu mal tout en l'exitant, mais sans la faire pour autant souffrir.
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lili nageait vers le font en regardant bien partout, tournant la tête un bref instant pour voir que la fille qui l'avait prévenue nageait à quelques mètres d'elle, arrivant au font elle s'immobilisa tournant sur 360° en espérant trouver ces rames mais rien, commençant à manquer d'aire, elle commença à remonter vers la surface quand quelques choses lui attrapa la cheville l'empêchant de remonter et en un instant elle fit immobilisé par des bras, sentant dans son dos l'opulente poitrine de la fille qui l'avait prévue pour ses rames.
*mais qu'est ce qu'elle fait? elle est folle? elle veut me noyer?*
lili commença à se débattre quand sans comprendre comment, elle entendit la voie de la fille dans ces oreilles comme si elle était hors de l'eau.
*mais comment ce fait-il qu'elle puisse parler sous l'eau?
la garce elle sait ou sont mes rames... être sage et docile pour quoi?
j'ai besoin d'air... je ne vais pas tenir longtemps...*
continuant à se débattre du mieux qu'elle le pouvais pour se soustraire de son emprise, elle sentit l'une des mains de la fille faire bouger les anneaux de ses tétons, entendant les conseille de Lyli qui lui disait de ne pas paniquer, c'était plus facile à dire qu'à faire, lili commençais à vraiment manquer d'air, Lyli était intéresser par ses anneaux sur ses tétons apparemment, mais si elle lui avait demander elle lui aurais peut être donne l'autorisation de jouer avec, mais lili ne pouvait parler sous l'eau.
lili se sentit poussé vers le font et fut plaqué dos sur le sable, recrachant un peut d'air quand elle toucha le fond, voyant maintenant en face d'elle le visage de sa tortionnaire qui n'avait pas l'air de se soucier de reprendre son souffle, Lyli c'était directement placer entre ses jambes, lili sentait la bouche de Lyli lui lécher les tétons, être aspirer dans cette bouche chaude, sentant ses tétons être quelques peut étirés par les anneaux qui les traversés, malgré la situation critique lili commençais à ressentir une chaleur au niveau de sa poitrine, sentant ses tétons durcir et pointer ou les stimulations.
rassemblant le peut de force qui lui rester, lili tenta une dernière fois de repousser Lyli à l'aide de ses jambes, ramenant ses pieds au niveau du bassin de Lyli, elle voulut le repousser d'un coup pour se dégager et remonter le plus vite possible, mais quand elle voulut pousser ses pieds glissèrent sur le corps de sa tortionnaire et tout ce qu'elle arriva à faire sa avait été de baisser le bas du bikini de Lyli au niveau de ces genoux, amenant les mains sur la tête de Lyli pour lui tirer les cheveux, lili ne put retenir une seconde de plus l'air dans ces poumons et commençait à vider ces poumons, voyant de nombreuses bulles sortir de sa bouche en direction de la surface de l'eau.
* non je vais mourir...*
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Malgrés les conseils de la sirène Lili continuait de se débattre tant bien que mal mais sans y parvenir, la seule chose qu'elle avait réussit à faire était de vider entièrement ses poumons de son air.
Lyli était alors obliger de lui en redonner avant qu'elle ne s'évanouisse, mais elle ne lui donnerais d'abord qu'une petite quantité qui lui permettrait de tenir pas plus d'une vingtaines de secondes, histoire de lui faire comprendre qu'elle devait être docile car elle ne pouvait rien gérer dans cette situation.
Alors, tu es prêtes à m'écouter maintenant ? Car si tu n'arrive pas à économiser tes ressources alors que je viens à peine de commencer, tu ne tiendras jamais le rythme ma belle.
Lyli repris ses activités en tirant au maximum sur ses anneau à l'aide de ses lèvres mais en prenant bien soin de ne pas lui arracher, en même temps elle prenait un malin plaisir à voir sa proie qui avait énormément de mal à retenir sa respiration.
Tiens puisque tu as baisser mon bas, j'imagine que tu peux t'occuper de mon sexe maintenant, je veux que tu y mette ta langue le plus profondément possible et que tu t'active à l'interieur avec la plus grande fougue que tu peux avoir, et si ton travail me satisfait je te donnerais peut être encore un peu d'air. Excite moi du mieux que tu le peux.
Lyli s'assit sur sa poitrine, l'écrasant contre son corps, mais cette réaction fit ouvrir la bouche de Lyli malgrès elle sous le poids de ses fesses rebondit, faisant échapper une certaine quantité d'air.
Son sexe était maintenant devant la bouche de la jeune fille et demandait seulement qu'ont s'occupe de lui en y infiltrant quelque chose à l'intérieur pour la stimulé.
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lili se sentait partir dans un autre monde, soufflant ses dernière bulles d'air de ses poumons, quand elle sentit les lèvres de Lyli sur les sciènes, surprise elle réussit à récupérer de l'air dans la bouche de Lyli, mais pas assez pour remplir ses poumons, lili compris alors qu'elle n'était pas en face d'une simple humaine mais plutôt devant une créature des océans.
quand la sirène lui demanda si elle était prête à l'écouter, lili répondit d'un signe de la tête lui indiquant une réponse positive, résigner lili ne pouvait pas faire autrement, elle avait bien trop peut d'air pour remonter à la surface même si la sirène s'en allait, comprenant que si elle ne faisais pas ce qu'elle disait elle était perdu pour de bon.
apparemment la sirène en avait après son corps, puisqu'elle lui dit que si elle n'économiser pas son air elle ne tiendrais pas le rythme et vue comment avait commencer les hostilité sur sa poitrine sa ne faisais aucun doute.
elle vit Lyli redescendre sur ses seins, sentant celle ci tirer au maximum sur les anneau de ses téton, cambrant le torse pour amoindrir l'étirement de ses seins, lili avait du mal à retenir sa respiration, poussant des gémissement étouffer par sa bouche fermer.
elle entendit la sirène lui donner un ordre, son petit jeu consister à donner de l'air contre du plaisir, il fallait qu'elle l'excite avec sa langue, choses qu'elle avait appris à pratiquer avec Ishtar sa maitresse, sentant le bassin de la sirène venir s'asseoir sur sa poitrine, lili ne put retenir quelques bulle d'air de ses poumons, voyant le bas ventre de Lyli s'approcher de sa bouche et des qu'elle fut à porter de sa bouche, lili ne tarda pas à lécher son intimité, il lui fallait de l'air et vite.
passant d'abord sa langue sur ces grandes lèvres, lili amena ses mais sur les fesses de la sirène pour avoir un point d'accroche, donnant des grand coups de langue sur ces grandes lèvre, elle passa ensuite sa langue dans la commissure de sa fente remontant jusqu'à son clitoris qui était encore capuchonner, faisant aller en venir sa langue le long de la fente pendant quelques secondes, puis amenant ses pousses sur ces grande lèvres pour les écarter et d'un coup rentrer sa langue le plus profondément possible dans son minois tout chaud, activant sa langue à l'intérieur le plus rapidement possible en faisant de grand cercle pour caresser ces parois velouter.
sentant la sirène bouger sous ses coups de langue, lili avait toujours besoins d'air, et bientôt elle ne pourrais vraiment plus se retenir, elle espérait que ce qu'elle lui faisais lui convenait, puis lili eu une idée, pour stimuler la sirène en espérant qu'elle ne serais pas désappointer car certaine femme n'aime pas sa, ramenant une de ses mains sur ces fesses faisant parcourir ses doigts le long de la raie de ces fesses jusqu'à arriver à son petit anus et une fois trouver lili lui enfonça d'un coup son majeur dans sa petite entrée, remarquant que celle ci était très étroite puisque son doit était très enserrer par les sphincter de Lyli, elle attendrait sa réaction pendant quelques seconde et se mettrait à l'activer si elle ne disait rien...
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Les choses avait à peine commencer que la sirène s'amusait déjà de ce petit jeu pervers entre elle, les règles était simple la jeune fille devrait faire plaisir à Lyli, et plus le plaisir qu'elle lui donnerais serait grand plus Lyli lui donnerais de l'air, elle devrait donc bien s'appliquer si elle ne voulait pas recevoir des quantité d'air faible au lieu d'être totalement revigoré.
La langue de Lili qui s'activer avait grandement surpris la sirène, en effet elle ne penserais pas qu'elle serait aussi doué se qui la fit sourire, se n'était certainement pas la première fois qu'elle faisait cela.
Mais tout d'un coup Lyli eu des frisson quand elle sentit un doigts glissé le long de sa raie, qu'avait elle en tête au juste ?
Haaa...Haaa... Ouii...Continue.
La sirène venait de se pendre un doigt dans son anus et avait était surprise, elle savait que cette partie là de son corps était très étroite et que se ne serait surement pas sans douleurs vu que son anus était plus petit et serré que la moyenne. Lyli commençait de plus en plus à hurler de douleur sous le doigt de Lyli qui s'enfoncer dans son petit anus tendit que sa langue continué son travail, la jeune fille devrait d'ailleurs sentir de la mouille sur toute sa langue. Par ailleurs ses tétons devenait très dur sous l'exitation et elle frotté ses fesse galbé sur la poitrine de Lili, l'obligeant à suivre le rythme avec sa tête, car elle avait toujours sa langue dans son sexe.
Même si elle aimait ça elle cherchait déjà un moyen de se venger de la douleur infligé autre que la punition actuel de la privé d'air plus qu'elle ne le pouvait, c'est alors qu'en cherchant du regards autour d'elle Lyli vit un long et épais bâton qui prenait une forme irégulière et bossé vers le millieu, il s'agissait là d'un objet dont elle s'était déjà servie par le passé sur l'une de ses victimes et qui s'était avérer très efficace.
un léger et rapide sourire aux lèvres, elle se dit qu'elle l'utiliserais une fois que Lili aurait terminé sa tache actuelle.
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les gémissement et paroles de la sirène fit comprendre à lili qu'elle pouvais stimuler son anus, malgré qu'il soit très serrer elle avait réussis à rentrer son doigt en entier en forçant tout de même un peut, continuant d'activer sa langue dans son antre le plus rapidement possible, elle commença à bouger son doigt sans faire de vas et viens pour le moment, caressant ces parois intestinale.
elle voyait Lyli dandiner du bassin venant caresser ses seins avec ces fesses, obligeant lili à relever la tête pour suivre les mouvement de bassin, sentant sur sa langue un liquide visqueux se mélanger à l'eau, cette garce de sirène mouillait de plus belle et prenais du plaisir, tout en venant suçoter et aspirer son clitoris entre ses lèvres, lili entama avec son doigt des aller et retour en accélérant progressivement.
mais lili commençais à suffoquer et elle savait qu'elle ne tiendrais plus longtemps sa respiration, si elle ne se dépêchait pas, elle allait se noyer, arrêtant de suçoter le clitoris, elle ouvrit grand la bouche et engloba de ses lèvres la minette de la sirène, faisant aller sa langue dans son antre pendant un instant et remonter titiller du bout de sa langue le clitoris, passant de l'un à l'autre alternativement, juste après se cours moment de changement de tactique, le doigt qui travailler son anus rentrait et sortait plus rapidement et un peut plus facilement, mais par manque de temps pour la stimuler, lili ressortit son doigt un cour instant et lui réinséra pas un mais deux doigt dans son petit passage étroit, forçant tout de même pour les y entrée, dilatant de force ces sphincters, une fois bien enfoncer elle ne tarda pas à activer sa main frénétiquement, faisant de très rapide aller et retour pour la stimuler et la faire jouir.
il lui fallait de l'air et vite.
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La sirène poussa un grand cri quand un deuxième doigts l'infiltra tant bien que mal, déjà qu'un doigt avait du mal à rentré alors deux, c'était beaucoup trop pour son petit anus et elle ne tarderait pas à jouir si elle ne s'arrêter pas tout de suite.
Hann... Oui... HAAA... continue.
Bien qu'elle lui disait de continué elle serrer les dents de plus en plus sous la douleurs et senti même un peu de sang à l'interieur de son anus, elle avait surement due la blessé avec ses ongles à force d'engouffrer ses doigts toujours plus loin dans l'anus étroit de Lyli.
Mais voyant que sa partenaire commençait à suffoquer et à laisser filé les dernières bulles d'air contenue dans ses poumons Lyli se disait qu'il fallait qu'elle jouisse vite, son but n'était pas de noyée une personne après tout.
Alors dans un grand cri de plaisir elle ne chercha pas à se retenir comme d'habitude et se força a laisser coulé toute sa cyprine sur sa langue, certe le plaisir n'était pas aussi grand que d'habitude pour la sirène qui avait pas faite durer les choses, mais dans la position ou elle était il n'y avait pas le choix, c'était ça ou la mort de Lili, et puis elle pourrait s'amusait plus amplement sur le corps de Lili dans quelques instant et cette idée continuait toujours à l'exité même après ça.
Ayant laisser jaillir la presque totalité de sa cyprine dans la bouche de Lili elle retira vite son sexe et rattrape sa tête avec l'une de ses mains, la ramenant vers son visage. Elle y deposa tendrement ses lèvres et les entrouvrit pour lui donner de l'air, cette fois la quantité serait largement plus grande pour que la jeune fille puisse tenir face à la suite. Tout en passant l'air d'un poumon à l'autre par le biais de sa bouche elle fit danser sa langue sur la sienne ainsi que sur toute l'interrieur de sa bouche, et netoyé au passage la cyprine qu'elle avait avalé un peu plus tot.
Estimant maintenant que la jeune fille avait assez d'air pour tenir plus longtemps que la précédente fois elle retira sa bouche de la sienne et s'éloigna légèrement de son corps en marchant sur le fond pour prendre le bâton qu'elle avait vu toute à l'heure.
Tu savais qu'un doigts était assez dure comme ça et tu en as mis un deuxième sans te poser de question, tu m'as vraiment fait mal... non le terme exact serait plutot que tu as complètement exploser mon anus.. je vais te le faire payé Dit la belle sirène en pointant le long bâton vers elle d'un sourire sadique.
Il s'agissait d'un très long bâton aux bouts arrondit et de formes régulière du moins jusqu'à un certain point, en effet vers le millieu le bâton était assez recourber formant comme une grande bosse avant de redescendre Cinq centimètre plus loin à sa forme initiale. Au niveau de la largeur les proportions ressemblait a celle d'un sexe mal de très grande taille. Ce baton devait surement être à première vue un reste de bateau, qui de toute façon ne pourrait pas rentré entièrement dans un sexe féminin vu la longueur.
Elle était alors enfin devant Lyli avec cette nouvelle "arme" terrible qui carressait les parois de son sexe, Lyli posa ensuite son pied sur son bas ventre en commençant à infiltré légèrement le bâton dans ses parois.
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continuant faire aller et venir ses doigts frénétiquement dans l'anus très serrer de la sirène et sa langue dans son minois, lili sentit les membranes de Lyli se contracter enserrant ses doigts et sa langue, sentant de la cyprin remplir sa bouche, mais lili commençais à perdre la vue sous le manque d'air, laissant échapper ses dernière réserves, elle se sentait partir, perdant connaissance un cours moment.
quand elle repris connaissance, elle sentait les lèvres de Lyli sur les siennes, sentant de l'air remplir ses poumons et la langue de sa tortionnaire lécher l'intérieur de sa bouche et sa langue, puis elle se retira, la quantité d'air qu'elle lui avait donner était un peut mieux que la première fois, mais toujours pas assez pour pouvoir remonter à la surface, pendant que lili reprenait ses esprit elle vit la sirène se diriger non loins de la et ramasser quelques choses, l'entendant ensuite se plaindre que lili lui est mis deux doigts dans l'anus sans lui avoir demander et qu'elle avait eu mal.
* elle as eu mal? t'en mieux... c'est ce qu'elle mérite... *
mais la sirène avait l'intention de se venger, ce qui fit augmenter la peur de lili quand sa tortionnaire pointa un gros et grand bâton vers elle avec un sourire sadique , peut être aurait-elle du se contenter de juste la lécher.
quand le bâton que tenait la sirène vint au niveau de son entre jambe pour caresser ses grande lèvres lili serra la cuisse pour l'empêcher de faire quoi que se soit, mais le pied que Lyli vint mètre sur son bas ventre l'obligea à ouvrir les cuisses, elle sentit ensuite le gros bâton forcer l'entrée de son vagin, écartant ses parois de force dans une douleur déchirante, se retenant de crier en serrant les dents pour éviter de recracher l'air qu'elle venait de recevoir, amenant ses mains sur le mollet de Lyli qui se trouvais sur son bas ventre et l'enserrer de ses mains pour lui faire comprendre qu'elle avait atrocement mal.
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Lyli avait fait en sorte de se positionner de manière à se que sa proie ne puisse pas riposter tandis que celle-ci essayé de serrer ses cuisses dans l'espoir de frainer la douloureuse pénétration qu'exercer la sirène.
Centimètre par centimètre la pénétration continuait son avancé sous les gémissement de Lili et de ses cris perdue dans l'eau.
Alors ? J'espère que tu as au moins aussi mal que moi tout à l'heure espèce de petite garce.
Sans relacher la pression qu'elle exercé avec son pied elle le fit remonté le long de son corps jusqu'au niveau de sa poitrine ou elle s'amusa à masser ses seins à l'aide de son pieds pendant que le bâton continuer sa rentrée.
Tout à coup elle enfonça violemment le bâton sans crié garde et le fit rentré de trois bon centimètre en une secondes, le faisant arrivé au millieu, là ou il était recourbé.
Il commençait maintenant à avoir beaucoup de mal à rentré et se serait là surement les derniers centimètres supportable par Lili, mais se serait aussi les plus dur, car quand elle voulu faire rentré celui-ci au niveau de la bosse le vagin de Lyli semblait tiré et forcé sur la parois vaginale du haut, ce qui devait être extremement douloureux. D'autant plus que des mouvements de droite à gauche suivait cela, écartant les parois à l'interieur le plus possible, la seule chose que put exprimer Lili sous la douleur qu'elle ressentait fut un grand cri se traduisant par un grand flot de bulles sortant de sa bouche pour se diriger vers la surface.
Cette partie du bâton était presque rentré totalement tandis qu'elle sentait les têtons durcis de Lili sous la plante de ses pieds qui massé sa poitrine.
[HRP] Désolé un peu perdu l'inspiration depuis quelques jours :/ [HRP]
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malgré le resserrement de ses mains sur le mollet de Lyli, celle ci continuer d'enfoncer le bâton de force dans son antre serrer, sentant une douleur déchirante emplir son corps du à l'enfoncement du bâton à sec, même si elle était immerger l'eau n'était pas un lubrifiant et n'aidait aucunement à la pénétration, sous la douleur lili contracter sa petite chatte, sentant le bâton continuer son avancer petit à petit, brisant les barrières de ses membranes interne qui malgré les contractions laisser passer ce fameux bâton, si bien que sous la douleur devenue trop intense lili lâcha un crie étouffer par l'eau mais laissant échapper un peut d'aire de ses poumons.
entendant la voie de la sirène lui demandant si elle avait aussi mal qu'elle quand elle lui avait mis deux doigts dans son anus et finir par la traiter de garce.
* c'est toi la garce... AAAAAAAH... que sa fait mal... elle vas me tuer...*
relâchant de ses mains le mollet de Lyli, elle leva son buste et entoura d'un bras la cuisse de la sirène, pour se tenir relever et l'autre main vint empoigner le bâton pour arrêter son introduction, regardant la sirène dans les yeux, lui montrant des yeux implorant la sirène d'arrêter cette torture, mais ce fut en vint puisque le répit ne fut que de quelques secondes, sentant le pied de la sirène remonter sur sa poitrine et la pousser violemment contre le sable, lâchant encore quelques bulle d'aire sous le choque et lâchant aussi la cuisse et le bâton par la même occasion, sentant maintenant en plus du bâton le pied de Lyli lui caresser le bout des seins avec ces orteils.
le bâton repris son introspection forcer dans la vulve de lili, celle ci ne pouvant plus rien faire pour l'arrêter, sentant le bâton continuer de s'enfoncer en elle et d'un coup elle sentit un accoue être donner au bâton et celui ci rentra de quelques centimètres d'un coup, étirant ses membranes interne de force lui causant une douleur qui la fit se cambrer, lâchant encore un crie étouffer dans l'océan.
*AAAAAIIIIIE... AAAAAAAH... la salope, elle se régale de me voir souffrir, attend que je remonte à la surface...*
lili pensait que le plus dur était passer puisqu'elle sentait que quelques choses avait buté contre ses grandes lèvres, mais son cauchemar ne faisais visiblement que commencer, quand elle sentit à nouveau le bâton continuer d'avancer en elle, apeurer elle amena à nouveau ses main sur la jambe qui caresser ses seins pour faire comprendre à la sirène qu'elle n'en pouvait plus, mais celle ci n'y fit pas attention trop occuper à introduire le bâton de force.
sentant son minois être dilaté encore plus et déformer au niveau supérieur de son vagin, sentant cette bosse racler ses parois vaginal, ne pouvant rien faire cette déformation continué de rentrer dans son vagin sans pitié de la par de la sirène, la douleur était vraiment insoutenable, mais le pire fut à venir quand elle sentit le bâton être tordu de droite à gauche sans ménagement, étirant ses membranes internes à l'extrême, rendant plus élastique et plus large son vagin en profondeur, tout en continuant d'enfoncer le bâton, la douleur fut tel que lili se cambré sous la douleur et en même temps avait des spasmes sous les décharges électrique qu'elle ressentait à cause du bâton, ne pouvant retenir des cris dû à la douleur déchirante qu'elle ressentait, vidant les trois quart de l'air qu'elle avait dans ses poumons.
*AAAIIIEEE... AAAAAAIIIIIEEEEE... AAAAAAAAAH... non pas plus... elle vas me déchirer en deux...*
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Finalement elle était arrivé au bout de son but, l'infiltration avait atteint son maximum envisageable et plus aucun centimètre ne pourrait rentré à nouveau dans le vagin de Lili. Alors tout ce qui lui resté à faire était de le reculé à chaque fois un peu vers la sortie de quatre ou cinq centimètres pour ensuite le rerentré pour exercé des petit vas et viens au fond.
La sirène était parfaitement consciente que Lili devait souffrir le martyr dans la situation actuelle. La douleur des pénétrations était tellement intense, cela accouplé au fait qu'elle soit privé d'air.
Alors qu'elle croyait surement avoir tout vue le pied de Lyli qui était sur ses seins commença à glissé tout le long de son corps du bout de ses doigts de pieds. Continuant à glissé sur son bas ventre et passant ainsi à coté de son vagin ou la bâton était encore à l'interieur. Elle s'arrêta enfin devant son anus et interompu tout mouvement pour la regarder dans les yeux.
Tu croyais avoir tout vue ? Ca ne fait que commencer crois moi, tu va devoir continuer à t'accrocher ma belle.
En gage de vengeance pour toute à l'heure peut être elle mis son gros orteil sur l'entrée de son anus et y fit des rotation, comme pour lui faire comprendre se qui allait se passé par la suite.
D'ailleurs elle n'attendit pas éternelement pour se mettre à l'action et pris un élan pour penetrer son anus dans coup sec de son gros orteil sous les cris de Lili qui ne s'attendait peut être pas à ça si soudainement.
Quand au vas et viens dans son vagin avec le bâton elle s'arrangeait pour que ceci ne soient pas synchroniser avec les mouvements de son pieds plus bas.
Tu ne remonteras qu'une fois que tu auras jouis, je ne serais pas clémente avec toi vu la façon dont tu as forcé mon anus plus tôt.
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alors que le bâton avait enfin buter le font de son minois, lili sentit la sirène commencer à faire de petit vas et viens avec celui ci, le sortant de quelques centimètres et le rentrer de nouveau venant buter le font à chaque fois, lili sentait la petit chatte étiré, surtout au niveau de la déformation du bâton, mais la douleur s'estompait peut à peut puisque cette déformation était pile au niveau de cette fameuse membrane sensible que l'on appel "le point G" et et celui ci était plus fortement stimulé que le reste de sa minette, si bien que le bas de son ventre commençait à se réchauffer et que ses membranes s'activait elle aussi à sécrétait de la mouille pour lubrifier et aider à la pénétration.
au bout de quelques minutes de vas et viens de ce fameux bâton, la douleur avait totalement disparue, laissant place seulement au plaisir, sa petite fente était maintenant bien humidifier et le bâton pouvait mieux coulisser dans son orifice, mais en même temps qu'elle sentait le plaisir en elle, lili sentit le pied qui caressait ses seins descendre le long de son corps, le sentant caresser son petit ventre, son bas ventre et ses fesses.
mais quand lili sentit les oreilles de la sirène passer dans la raie de ses fesses et s'arrêter devant son anus et que les mouvement du bâton avait cesser, que lili ouvra les yeux voyant la sirène tourner la tête vers elle et lui parler, l'entendant lui demander si elle croyait avoir tout vu.
* ... sa dépend tout vue par rapport à quoi?*
mais bien sur elle ne pouvait pas lui répondre, mais lili recommençait à être inquiète quand elle entendit la sirène lui dire que sa ne faisait que commencer et qu'il fallait qu'elle s'accroche encore, sentant juste après ces paroles le gros orteil de Lyli venir contre son anneau rectal et effectuer des rotations pour le stimuler, lili compris de suite ce que la sirène avait l'intention de faire.
* hein!!! ... non, si elle force mon cul comme elle là fait pour la petite chatte, elle vas me déchirer... il faut que je l'en empêche... AAAAAAAH... *
mais lili n'eut pas le temps d'agir puisqu'elle se cambra, sentant une douleur intense venant de son anus, poussant un autre crie dans l'océan, quelques chose pas si grosse que sa était rentré violemment dans son anus non préparé, sentant celui ci faire des vas et viens au abord de ses sphincters, comprenant en sentant les autres doigts de pied venir buter contre ses fesses que c'était le gros orteil de la sirène qui s'amusait dans son cul et malgré que cette orteil n'était pas gros la douleur était présente.
l'entendant lui dire qu'elle ne remonterait à la surface qu'une fois qu'elle aurait jouis et qu'elle ne serait pas clémente vue la façon dont lili avait forcé son anus plus tôt, l'inquiétude de lili continué de croitre, si la sirène s'en tenait à seulement jouer avec son cul de son orteil sa irait, la douleur allait bien passer à un moment, mais si elle avait d'autre projet plus ambitieux, lili les craignait.
*... la garce elle se venge de tout à l'heure... aie... aie... aiiiiiiie...*
mais pour l'instant le besoin d'air se faisais ressentir puisqu'elle lâcherait toute la quantité restant dans ses poumons dans quelques secondes.
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Lyli après avoir jeté un rapide coup d'oeuil vers sa victime de la journée venait de voir que le manque d'air redevenait important, il est vrai qu'il n'était pas facile de donner ou recevoir du plaisir tout en lutant contre son corps qui réclamait vite de l'oxygène au bout d'un moment, surtout pour une jeune fille de cette age. Bien sure même si tout cela s'apparentait à une vraie torture pour elle, la sirène s'en fichait bien et comptait continué jusqu'au bout.
Lui donner de l'air tout de suite ? Oui c'est surement ce qu'il aurait fallu faire avant qu'elle n'avale trop d'eau et commence à ne s'évanouir de nouveau mais la sirène était cruelle sur les bords et en décida tout autrement. En effet elle avait décidé de ne pas lui donner de l'air mais plutot de faire autrement, arrêtant tout contact avec son orteil dans son anus.
Cela ne voulait pas pour autant dire que la fin du cauchemar était devant elle, et cela elle le comprendrait bien vite puisque que Lyli ne perdait pas de temps. La belle sirène attrapa les bras de Lyli et remonta son corps au même niveau que le sien, dos tourné vers elle, elle n'avait plus maintenant cas la coller contre corps, écrasant sa poitrine contre le dos de Lili Ivanes.
Avant qu'elle ne vide le peu d'air restant dans ses poumons la sirène changea ses bras de position pour passer un bras autours de sa taille et de l'autre plaqué la paume de sa main contre les lèvres de la jeune fille. Cela ne la préserverait pas d'un étouffement certain mais au moins quand elle n'aurait plus d'air et qu'elle se mettrait à suffoquer elle n'avalerait aucune goutte d'eau et pourrait donc resté consciente un peu plus longtemps... pour mieux souffrir des cruauté que lui infligeait la sirène.
Ou en étions nous... Oh oui je me souviens...
La main autour de sa taille se retira et caressa doucement sa cuisse avant de revenir sur son petit cul dans l'espoir de forcer à nouveau son anus, mais avec les doigts de sa mains cette fois, certes cela serait peut être moins douloureux au début, mais elle aurait la capacité d'aller plus loin et d'infliger une douleur plus intense ensuite.
Pour commencer deux de ses doigts entrèrent d'un coup sec provoquant de petit crie qui s'étouffaient sur la main de la sirène qui était solidement plaqué contre sa bouche.
Ses doigts fut très vite rejoint par un troisième qui n'était autre que le pouce, à ce moment s'aventurer dans son petit anus serrer devenait assez délicat et la sirène était obligé d'écarter les doigts à l'intérieur pour forcer les parois et les enfoncer plus loin.
A présent Lili ivanes devait être partager entre deux douleurs, celle dans son petit anus qui n'allait pas cesser d'accroître, et celle du manque d'air qui devait la faire souffrir et également lui brûler dans ses poumons
Alors tu aimes ? Ton petit anus est tellement serrer que mes doigts ont du mal à passer dedans et faire leurs vas et viens correctement. Il va falloir que j'écarte fort tout ça avec mes doigts maintenant pour te pénétrer plus profondément
La sirène s'exécuta et commencer à forcer de plus en plus sur ses parois en écartant ses doigts au maximum et grappillé chaque fois quelque petit millimètre supplémentaire dont aurait accé ses doigts.
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mais c'est avec soulagement que je sent le gros orteil de Lyli sortir de mon anus, sans doute au vue de mon manque d'air, elle vas m'en donner à nouveau, c'est ce que je pense alors qu'elle me relève à l'aide de ces bras, le bâton toujours figé dans ma fentine, ce qui me semble bizarre c'est qu'elle se met dans mon dos, je sent sa poitrine s'écraser dans mon dos, peut importe il faut qu'elle me redonne de l'air.
un de ces bras entoure mon bassin et alors que je suis à deux doigts de faire sortir le peut d'air qu'il me reste dans les poumons, son autre main viens se placer devant ma bouche et me pince le nez.
*qu'est ce qu'elle fait... je n'est plus d'air... non... pitié je ne veut pas mourir...*
paniqué, je commence à me débattre pour me dégager de son emprise, bougeant mon corps dans tout les sens, amenant une main sur le bras qui m'empêche de vider le gaz carbonique dans mes poumons, de mon autre main viens sur le bras qui m'entoure la taille, mais c'est sens espoir, mes force me quitte peut à peut.
je l'entend me demander ou nous en étions, mais elle sait très bien que je ne peut pas lui répondre, là ou elle en était, elle le sais très bien, c'est plutôt moi qui ne sait plus ou j'en suis. le bras qui entoure ma taille se retire et je sent qu'elle me caresse la cuisse, mes petite fesses et c'est dans une violente douleur que je sent deux de ces doigts rentrer brusquement dans mon anus.
*AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH... AAAIIIIEEE... AAAAAAAAAAH... elle est folle... pitié que quelqu'un me viennent en aide...*
la douleur est intense, je me cambre sous celle ci et essais de pousser un crie qui ne sortira jamais, puisqu'elle tiens fermement mes narines et ma bouche fermé. je dandine du bassin pour qu'elle enlève ces doigts, mais ce n'est pas son intention on dirais, je commence à pleurer de douleur et de peur, mais dans l'eau sa ne se voie pas.
mais quelques courte seconde plus tard c'est un troisième doigts qu'elle rentre difficilement dans mon cul, vue la situation mon corps en manque d'air est contracter de partout, mais cette sirène n'a pas peur de forcer de ces doigts mon petit trou.
*MMMMMMMmmmmmmmmmh... NOOOOOON... pas un autre... non c'est trop... AAAIiiiie...*
mais alors que je pense que la douleur que je ressent est à son maximum, je sent mes sphincters être dilaté de force par ces doigts, elle les écarte et les enfonce plus profondément, je me cambre de plus belle et hurle de douleur intérieurement, mais une autre douleur de brulure elle aussi m'attaque les poumons, je commence à suffoquer et mes yeux à se révulser.
je l'entends alors me demande si j'aime et me dire que mon anus est tellement serrer que ces doigts ont du mal à faire leurs vas et viens et qu'il vas falloir qu'elle écarte d'avantage pour aller plus profondément, rien que de l'entendre me dire sa, j'en est des haut le cœur, alors que je la sent redoubler d'intensité pour élargir mon anus étroit pour y enfoncer ces doigts.
*AAAAAIIIIIEEEEEeeeee... non... ne faite pas sa... non... pourquoi moi... OOOUUUUUUH...*
la douleur est déchirante que se soit celle de mes poumons, comme celle de mon anus, c'est dans un dernier instinct de survie que je descend mes mains et empoigne le bâton qui se trouve dans mon minois, que je le retire d'un coup dans une atroce douleur, puisque mes membranes son contracté au maximum, que j'empoigne d'une main ce fameux bâton et dans un dernier geste désespéré tente d'atteindre Lyli qui se trouve derrière moi, alors que je me sent partir dans les ténèbres.
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La sirène se montrait d'une bien grande cruauté envers cette jeune proie, les limites du danger étaient bel et biens dépassé, la jeune fille semblait à la limite de l'étouffement gigotant dans tout les sens pour dans un ultime espoir tenter de se défaire de son emprise, ce qui n'était pas pour aider Lyli qui avait beaucoup de mal à garder sa main appuyé contre les lèvres de Lili Ivanes.
Dans un effort qui utilisait surement ses toutes dernières forces elle tira d'un coup sec sur le long bâton planté dans son vagin et Lyli perdit son emprise sur elle pendant un instant, peut importe, dans son état elle ne pourrait pas nagé plus de deux mètres avant de se noyer.
Tu es si pathétique, tu crois encore avoir une chance de m'échapper ? Tu es à moi jusqu'au moment ou je me serais lassée de toi.
Sur ces mots Lyli lui tira le bras et la plaqua fortement contre le sable, visage vers la surface. Inévitablement elle dut lui donner de l'air et colla son corps sur le siens, écrasant son opulente poitrine sur son corps. Une vague d'air passa d'un poumons à l'autre sans plus tardé tandis que la langue de la sirène en profité pour jouer dans la bouche de la jeune fille, caressant sa langue ainsi que l'intérieur de sa bouche. Cette fois la sirène voulu totalement remplir ses poumons et lui laisser le temps de s'oxygéner, non pas pour se montrer gentille ou se faire pardonner mais parce qu'elle en aurait bien besoin avec ce qu'elle allait subir et tout les cris qu'elle allait bientôt pousser. S'écartant du corps de Lili qui en voyait de toute les couleurs elle retourna son corps pour l'allonger ventre au sol, les fesses relevaient, poitants vers le haut avant de lui adresser la parole.
Tu as tout intérêt à ne pas gaspillé ton air, je n'aime pas vraiment devoir me déplacer ainsi jusqu'à toi parce que tu m'interromps, la prochaine fois que tu essaye d'échapper à mon emprise je te laisse te noyer, ce n'est pas ce que tu veux n'est-ce pas ?
La sirène regarda le bâton que Lili avait lâché sur le sable et resta songeuse un moment avant de sourire sadiquement.
Je vois que tu as enlevé ce bâton...Serait-ce un appel pour que je te l'enfonce dans ton petit cul ? Pourtant tu avais l'air de souffrir terriblement lorsqu'il se trouvait dans ton vagin... Mais soit si c'est ce que tu veux réelement, alors je vais te l'enfoncer dans ton petit anus.
Oh bien sure la sirène s'imaginait bien que si Lili avait eu le choix elle aurait crié non de toute ses forces, que devait ettre ressentir maintenant qu'elle connaissait la torture que la sirène allait lui infligé dans quelque secondes seulement ?
Se saisissant du bâton elle se mis debout et lui infligea de petite tapes aux fesses comme pour annoncer que celui-ci arrivait. Le bâton était encore enduit de la cyprine que Lili avait laisser couler sur celui-ci, alors que maintenant un coup sec vint frapper l'intérieur de son anus, provocant une énorme douleur, l'objet avait déjà beaucoup de mal à passer. Bien sur elle ne comptait pas s'arrêter là, d'ou cette grande quantité d'air apporté un peu plus tôt. Pendant que ce long objet tournait dans tout les sens pour écarté ses petites parois son pied se leva à hauteur de son vagin et de son gros orteil elle caressa les lèvres vaginales de la jeune fille.
Je suppose que tu connais la suite ? Je ne vais pas seulement me contenter de forcer ton petit cul au dela de ses limites.
A peine eut elle le temps de terminer sa phrase que son gros orteils pénétra violemment l'intérieur de son intimité, remuant son doigt dans ses parois déjà bien écarté par le travail que l'objet avait effectué, elle pouvait donc d'or et déjà parcourir plus lointainement son sexe. Sous les rires cruels de la belle sirène et les bruits de bulles le bâton avançait profondément dans son anus centimètre par centimètre écartant ses parois en remuant dans tout les sens l'objet comme si son intention était de déchirer les parois à l'intérieur de son petit cul.
Tu as l'air si faible, totalement à ma merci, j'ai hâte de voir combien de temps ton petit anus va pouvoir supporté ça... à ton avis arriverais-je à l'enfoncer aussi profondément que dans ton sexe ? Ou alors tu veux essayé plus loin ? .... Si tu ne me donne pas de réponse je vais décider pour toi.
Bien sur la sirène était parfaitement consciente de son incapacité à parler sous l'eau, son but était surtout de faire grandir l'était de panique dans lequel elle se trouvait.
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alors que je viens de retirer le bâton de mon vagin, la main de la sirène qui est devant ma bouche s'enlève, ce qui me permet de partir de son emprise et de sortir ces doigts de mon cul, avec les dernière force qu'il me reste je tente de frapper Lyli avec le bâton tout en me retournant, alors que l'entend me dire que je suis pathétique et me demande si je pense encore avoir une chance de pouvoir m'échapper.
je ne me suis pas posé la question, il y à de forte chance pour que je ne puisse pas m'échapper mais au moin je ne me serais pas laisser faire.
elle continue en me disant que je suis à elle, jusqu'à ce qu'elle soit lassé de moi, sa peut durer longtemps, t'en qu'elle me donne de l'air.
alors que le bâton est prêt à la toucher dans un élan ralentie à cause de l'eau, elle me tire brusquement le bras et me plaque violemment contre le sol sableux, j'en perd les dernière petite bulle d'air qui me reste dans les poumon et lâche le bâton.
je suis sur le dos et voie là, mes bulles l'air remonter vers la surface qui est loin de moi, bien trop loin, ma vue se trouble et s'assombris.
je sent alors un quelques choses venir sur moi, une chose douce s'écraser contre ma poitrine et une autre sur mes lèvres, je sent alors de l'air arriver dans mes poumons, sa fait du bien, j'espère que ce n'était qu'un rêve et que c'est un sauveteur qui me réanime, je récupère peut à peut mes esprits, ouvre les yeux et je constate avec stupeur que c'est encore cette sirène qui me donne de l'air avec sa bouche, mais elle ne fait pas que sa puisque je sent sa douce langue venir caresser la mienne et mes parois buccale, dans ma situation je la laisse faire et profite qu'elle me donne de l'air pour reprendre des forces, prenant de grande inspirations pour bien oxygéner tout mon corps.
elle me redonne de l'air pendant de longue minutes avant de se retirer alors que je viens de prendre une grande inspiration, elle me retourne assez brusquement ventre au sol et me relève un peut les fesses, m'obligeant à me cambrer avant de m'avertir que je n'ai pas intérêt à gaspiller mon air, qu'elle n'aime pas devoir se déplacer pour m'en redonner parce que je l'interromps et la prochaine fois que j'essaie de m'échapper de son emprise, elle me laisse me noyer, puis me demande que ce n'est pas ce que je veut.
je lui fait signe de la tête que non, bien sur que je ne veut pas me noyer, je ne veut pas mourir ici, pas comme sa, je suis bien trop jeune, mais ce qu'elle me fait subir est insupportable, c'est mon instinct qui prend le dessus quand elle me fait mal.
je l'entend alors me dire qu'elle à constater que j'avais enlevé le bâton, je tourne alors la tête vers elle et voie sur son visage un sourire se dessiner, sa ne me dit rien de bon.
elle me demande alors si sa ne serais pas un appel pour qu'elle me l'enfonce dans mon petit cul, je la regarde inquiète et lui fait non de la tête, ce n'est aucunement un appel de quoi que ce soit je voulais la frapper avec pour qu'elle me lâche.
puis elle continue en me disant que pourtant j'avais l'air de souffrir terriblement quand il se trouvait dans mon minou, je lui fait oui de la tête, effectivement j'avais très mal quand il se trouvait dans ma petite fente, il faut le dire, l'eau n'est pas un lubrifiant et la manière dont Lyli utilise le bâton n'est pas douce, pas douce du tout.
alors que je pensais qu'elle prenait en compte mes signes de tête, je l'entends me dire que si c'est ce que je veut réellement, alors elle allait me l'enfoncer dans mon petit anus.
toute paniqué je la regarde dans les yeux, l'implorant de ne pas faire sa, mais je voie sur son visage son sourire grandir un peut plus, alors que je lui fait non de la tête.
mais elle n'a pas l'air de se soucier de ce que j'essaie de lui faire comprendre, je la voie ramasser le bâton tomber sur le sable et reviens se placer derrière moi, j'ai peur, très peur et amène une main sur mes orifices pour lui montrer que je ne veut pas.
je sent alors le bâton battre doucement mes fesses, je suis effrayer, je pris au fond de moi pour qu'elle y aille en douceur, au moins sa.
je sent alors la main de la sirène empoigner mon avant bras et le décaler de devant mes orifices, je résiste un peut, mais il faut que j'économise mon oxygène et le moindre effort m'en fait perdre.
*non... ne fait pas sa... par pitié... nooooooon... HHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRGGG!!!...*
je sent le bâton rentrer brusquement dans mon anus, celui ci forçant mes sphincters contracté à se dilater de force tell un bélier, j'ai l'impression qu'elle me déchire en deux, la douleur est accablante, mon corps entier se contracte sous la douleur, mon dos se cambre de plus belle, mes yeux écarquiller de peur et de douleur s'emplisse de larmes, je lâche un énorme cris de douleur un court instant libérant de nombreuse bulles d'air, mais presque rien par rapport à ce que j'ai dans les poumons.
le bâton n'est rentrer que de quelques centimètre dans mon anus et je souffre le martyr, quand elle lâche mon avant bras, j'amène ma main sur le bâton pour le stopper, je constate que celui ci est recouvert d'une fine pellicule gluante, ma mouille s'en doute, je tourne la tête et je voie que Lyli se relève tout en maintenant une certaine pression sur le bâton, pour ne pas que je le retire sans doute, cette garce à tout prévue, mais le pire est à venir surtout quand je sent le bâton commencer à bouger, elle le fait tourner sur lui même comme pour le visser dans mon petit trou serré, j'ai beau enserrer le bâton de toute mes forces, celui ci glisse sous mes doigts et continue de rentrer centimètre par centimètre, la douleur se fait ressentir, je dandine mes petite fesses de gauche à droite pour échapper à cette torture, mais sa ne fait qu'empirer la douleur et dilate encore plus mon anus, j'arrête donc de bouge mes hanches en endure difficilement ce qu'elle me fait subir.
je sent alors une nouvelle choses venir caresser mes grandes lèvres vaginal, je tourne à nouveau la tête, les yeux en larmes pour constater qu'elle me caresse avec son pied.
elle me demande si je suppose que je connais le suite.
j'ai bien peur de la connaitre vue ce qu'elle à fait avec son pied quelques minutes plus tôt dans mon cul, mais ma minette n'aura aucun mal à recevoir son orteil.
elle me dit qu'elle ne vas pas seulement se contenter de forcer mon petit cul au delà de ces limites.
je ne comprend pas trop ce qu'elle veut dire, mais j'ai une très mauvaise appréhension de la suite, à peine a-t-elle terminer sa phrase qu'elle enfonce violemment son gros orteil dans ma petite fente, sans douleur heureusement, mon minous est lubrifié, je la sent remuer son gros orteil et caresse mes douces parois vaginal, je l'entends rire alors qu'elle force le bâton à rentrer plus profondément dans mon petit trou, elle force mes parois anal à s'écarter en bougeant le bâton de gauche à droite, de haut en bas, tout en le faisant tourner dans un sens puis dans l'autre, la douleur est insupportable, j'ai envie de crier, mais je me retiens, le bâton s'enfonce de plusieurs centimètres sans que je ne puisse faire quoi que se soit, je pleur et me tortille dans tout les sens.
ma peur grandit encore quand je sent de ma main la déformation bien plus large du bâton s'approcher de ma petite entrée.
je l'entends me dire que je suis si faible, complètement à sa merci, elle n'a pas tord, je ne peut rien faire, pas à cette profondeur, si j'arrive à me sortir de son emprise, elle m'a bien prévenue qu'elle me laisserait me noyer, je n'aurais jamais assez d'air pour remonter jusqu'à la surface.
je l'entends me dire qu'elle à hâte de voir combien de temps mon petit anus vas pouvoir supporter sa.
je commence vraiment à avoir très peur, elle compte me travailler l'anus jusqu'à rupture, elle veut ma mort?
elle me demande ensuite si à mon avis elle arriverait à l'enfoncer aussi profondément que dans mon vagin.
je tourne la tête vers elle encore une fois et lui fait non de la tête avec un regard implorant, par pitié non la bosse sur le bâton ne rentrera jamais, même de force.
elle me demande alors si je veut qu'elle essai plus loin.
pourquoi me demande-t-elle sa, elle à bien vue que je lui faisais non de la tête, je refait non de la tête, je voie qu'elle me regarde toujours avec se sourire sadique et pervers.
elle me dit alors que si je ne répond pas elle vas décider pour moi.
toute paniqué, je crie.
NOOOGGGRRLLLOORRPPP...
ma voie se propage dans l'immensité de l'eau pendant une courte seconde alors que de précieuse bulle d'air remonte à la surface, en espérant que Lyli est comprise que je ne voulait pas qu'elle continue sa torture.
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(Désolée mon post est peut être pas exeptionel...)
Plus le temps passait plus je prenais mon pied à infliger cette douloureuse torture physique et mentale à la jeune Lili, si bien que je n'avais pas envie de le remonter de si tôt, j'allais prendre mon temps. Quand je vit la déformation du bâton s'approchait de son petit cul je ne put m'empêcher de rire à l'idée de la souffrance que cela allait lui causer. Par contre un autre problème se posa pour moi, mon orteil ne lui procurait décidément aucune douleurs dans son vagin et je ne voulais pourtant pas le laisser à l'écart, c'est alors que j'y pensais... j'avais la capacité d'arranger cela.
Ne regarde pas en bas ma petite Lili, pas tout de suite, on va faire un petit jeu. Quelque chose de très long d'un instant à l'autre va venir s'engouffrer au fond de ton vagin, et toi tu devras deviner de quoi il s'agit.
Elle avait beau essayer de me faire comprendre clairement qu'elle ne pouvait pas que je continue son corps disait tout l'inverse, et dans ces cas là je savais qui écouter.
Tout d'abird je releva doucement ses cuisses pour relever ses petites fesses et son anus ou le bâton était insérer, ainsi lorsque j'utiliserais mes compétence d'hermaphrodite pour combler son vagin, son anus lui continuera à être travailler.
En quelque seconde entre mes cuisses un pénis d'homme commençait à pousser, je ne l'utilisait que rarement mais ne mettait pas de coté le plaisir que celui ci pouvait apporté une fois bien stimulé. étant deja exité par la situation ce second sexe commençait déjà à s'allonger et s'endurcir, prenant un volume plus imposant, celui ci pointait droit vers le sexe de Lili. Pour qu'il puisse prendre au plus vite sa forme longue et imposante je le caressait de mes mains en appuyant sur la bâton avec l'un de mes pieds, me délectant de ses cries de douleurs et d'effrois.
Voila, au bout d'une vingtaine de secondes je sentais qu'il devenait brulant, il était à sa taille maximale et ne demandait qu'à plonger en Lili, mais avant toute chose il lui fallait un peu d'air pour tenir pleinement la séquence qui allait suivre, choses que je fit sans m'attarder plus longtemps sur ses lèvres, la retournant dans sa position initiale.
S'en suivit un violant coup de bassin en avant pour enfoncer son imposant sexe masculin en Lili, n'ayant aucun mal à rentrer au début avant de buter sur une parois en fin de course... si le bâton avait était plus long il n'avait pas eu un diamètre aussi imposant et ses souffrance n'allaient donc pas s'arrêter là.
Attention ma petite Lili tu va crié...
Je sentais mon gland devenir encore plus chaud, mais je ne voulais pas m'arrêter là, dans un élan de sadisme propre à moi je voulais entendre son hurlement lorsque je lui aurait enfoncer cette bosse dans son petit cul. Je le pris à pleine mains et l'enfonça sans ménagement, comme si je l'enfonçait dans un trou quelconque, m'en fichant de la douleur insupportable qu'elle ressentirait.. je n'osais d'ailleurs même pas imaginer ce qu'elle endurer à ce moment quand la déformation commença à passer, étirant ses parois à un tel point qu'ont aurait dit qu'elles allaient s'arracher... et ça ne faisait que commencer puisque je le tournait sur lui même de droite à gauche comme pour visser un boulon.. enfin j'essayais, il n'était pas aisé de le bouger maintenant qu'il avait autant enfoncer son cul.
Alors tu as découvert ce que c'est ? Dis-je en rigolant à pleins poumons d'une voix inquiétante.
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malheureusement malgré mes signes de tête, lyli fait ce qu'elle veut de moi, je sent qu'elle continue d'enfoncer de force le bâton dans mon anus et ma main qui enserre pourtant celui ci n'arrive pas à le stopper, j'entends la sirène rigoler sous ma souffrance, alors que ma peur augmente encore d'un cran au dessus en sentant sous mes doigts la déformation du bâton venir buter contre mon anus douloureux.
je ne m'en rend pas compte tout de suite mais elle à retiré l'orteil qui se trouve dans ma minette, étant plus concentrer sur la douleurs de mon derrière, je ne m'en rend compte que quand elle me demande de ne pas regarder en bas, m'expliquant qu'elle voulait que l'ont face un petit jeux.
les battement de mon cœur s'accélère et ma peur monte encore d'une cran.
*qu'est ce qu'elle vas encore me faire cette folle dingue, sa ne lui suffit pas de me faire souffrir de la sorte déjà?*
elle continue de m'expliquer que quelques choses de très long vas venir s'engouffrer au fond de mon vagin et je vais devoir deviner ce que c'est.
quand elle m'annonce sa, je pense tout de suite à un autre bâton.
*pitié non... pas un autre bâton...*
pourquoi me fait-elle souffrir, je ne souffre déjà pas assez, du manque d'air et de ce bâton dans mon petit trou?
dans tout les cas, au font de moi, je redoute le pire.
toujours sur le ventre je sent ces mains venir sur mes hanches et relever mon bassin, ramenant ensuite mes cuisses vers mon buste, je la laisse faire puisque sa permet à mon derrière d'avoir un moment de répit, même si la pression de l'eau fait bouger le bâton il n'y à plus cette perpétuelle pression sur mon anus.
je n'ose pas non plus regarder vers elle comme elle me l'a ordonné, vas savoir qu'elle traitement elle me réserve si je triche à son petit jeux.
je suis inquiète et pas du tout rassuré pour la suite, je sent alors la pression du bâton reprendre, la déformation de celui ci buter contre mon anus tout en essayant de rentrer en bougeant de gauche à droite et de haut en bas, tentant de dilater d'avantage mon petit trou sans doute, je gémis et crie de douleur laissant quelques fois de précieuses bulles d'air s'échapper de mes poumons en sentant le bâton à l'intérieur de moi touiller mes intestins et mes sphincters se contracter pour empêcher cette déformation d'entrer.
ma main sur le bâton l'empêche quelques peut de progresser, mais je sais que si Lyli décide d'inséré le bâton franco, je doute que ma main puisse arrêter grand chose.
mais dans ma peine et ma douleur, contre tout attente, la pression du bâton s'arrête de nouveau et je sent les main de la sirène sur moi qui me retourne sans difficulté, venant plaquer sa poitrine contre la mienne avant de venir de nouveau coller ces douces lèvres aux miennes et me redonner de l'air dans un baisé que je répugne, mais qui est vital si je veut continuer à vivre.
quand elle ma retourner j'ai bien pris soins de garder les cuisses contre mon buste et relever mes petite fesses pour éviter que le bâton ne s'enfonce de lui même dans mon anus sous mon poids.
je prend autant d'air que je peut dans mes poumons avant qu'elle ne romps une nouvelle fois son baiser amer et qu'elle me remette face au sol sableux, les fesses relever, mes orifices offert à ces jeux sadique.
mais alors que je pense qu'elle vas continuer de me torturer en martyrisant mon anus avec le bâton, je sent quelques choses de plus imposante que le bâton rentrer brutalement d'un coup au font de ma petite fente, sous cette introduction brutal et violente tout mon corps se crispe, je serre mes points dans le sable, cambre mon dos et pousse sur mes jambes pour sortir cette énorme choses qui c'est enfoncer en moi, mais les mains de la sirène tiennent fermement mes hanches ce qui m'empêche de me retirer.
AAAAAAAHGLOUPT... *non, c'est trop... gros... sa fait mal...*
quelques secondes plus tard je lâche un crie de douleur d'où s'échappe de nombreuses bulle d'air, petit à petit mon corps se détends et mon minou s'habitue à cette chose que Lyli à enfoncer si brusquement.
d'ailleurs je suis surprise qu'elle l'est réussi à le rentrer aussi profondément si facilement, s'en doute que le travaille du bâton dans mon anus à continuer d'humidifier mon antre malgré la douleur, mais cette choses plus volumineuse me dilate et me remplis d'avantage que le bâton la fait précédemment, quand elle là enfoncer j'ai sentie celui ci taper le fond de mon antre, l'entrée de mon utérus, je sent mes membrane vaginal je contracter sur cette chose et ce qui est la plus bizarre c'est que cette choses se réchauffe et palpite en moi.
mes deux orifices maintenant dilaté et remplis, je me sent vraiment mal à l'aise, je commence à descendre ma main sous moi pour aller toucher ce qu'elle viens d'enfoncer en moi, mais en même temps que l'entends me prévenir que je vais crier, inquiète après ces paroles mon corps se crispe à nouveau, mes membranes interne enserrant le bâton et la choses dans mon minois, quand je sent la pression du bâton reprendre, tournant un peut la tête je vois du coins de l'œil la main de la sirène qui tiens le bâton et tente de l'enfoncer d'avantage.
* non qu'est ce qu'elle fait... pas encore...*
la pression qu'elle y met est beaucoup plus importante que tout à l'heure, je contracte mes sphincters pour freiner la course du bâton et amène ma main empoigner la déformation de celui ci, j'arrive à l'arrêter quelques secondes, mais Lyli à l'air bien déterminer et ne compte pas s'arrêter t'en qu'elle ne l'aura pas décidé, je sent qu'elle augmente encore un peut plus la pression sur le bâton et que ma main glisse.
je suis vraiment très inquiète et j'ai peur, très peur. je fait non de la tête, mais elle ne semble pas sens soucier, je contracte mes sphincters aussi fort que je peut, mais je ne pourrais pas tenir comme sa indéfiniment, surtout avec le soucie de manque d'air.
d'ailleurs quelques secondes plus tard, sans doute parce qu'elle n'arrive pas à l'enfoncer davantage, je la sent tourner le bâton une fois à droite, une fois à gauche, j'ai l'impression qu'elle vrille mes intestins, la douleur est atroce, les larmes au yeux je sent la déformation écarter une fesses, puis l'autre.
*non... par pitié... faite qu'elle arrête... sa fait trop mal...*
mais mes demandes inaudibles ne sont pas exaucé, quelques secondes de plus et mes barrière anal commence à lâcher, la déformation commence à dilater un peut plus mon anus et je ne peut plus rien faire pour l'arrêter, je lâche quelques crie de douleur qui use mon air si précieux de mes poumons, je me tortille dans tout les sens pour échapper à cette horrible torture sadique, mais empaler par le bâton que tiens la sirène je suis totalement prisonnière.
la bâton continue de s'enfoncer dans ma chair tendu, mon anus en feu je suis terrasser par la douleur et laisse mon visage s'appuyer contre le fond marin sableux, en pleure je lâche encore quelques cris de douleur qui gaspille mon air, je sent la déformation du bâton continuer de pénétrer mon anus maintenant déformer et dilater comme jamais, mes deux orifices maintenant combler, les bras contre le sable je me sent vaincu, je ne sais plus quoi faire, la douleur est terrible, mais je n'ai plus la force de luter.
j'entends alors la sirène me demander si j'ai découvert ce qu'elle avait enfoncer dans mon petit four, j'ai si mal au fesses que je ne pensais plus à son petit jeux, à bout de force je n'essaye même pas de lui répondre, peut être que si je ne joue pas comme elle le veut, elle me laissera tranquille.
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Allongée au sol ainsi tel que je pouvais la voir elle semblait avoir abandonné toute espoir, étant une simple humaine lutté sous l'eau contre moi était tout simplement impossible et elle venait peut être enfin de le comprendre ce qui était bien dommage, j'avais une préférence pour les jouets s'accrochant à la vie se débattant voir me résisté comme elle avait désespérement essayé de le faire plus tôt. De toute façon qu'importe son état l'essentiel était qu'elle soit vivante pour sentir chaque seconde des douleurs que je lui provoquée ainsi que le manque d'oxygène, et j'étais loin d'en avoir fini avec elle.
Le bâton dans son petit cul semblait être enfoncé terriblement profonds si bien que je me demandais ce qu'il se passerait si je continuait à l'enfoncé même un peu plus, je laissais donc cette idée de côté pour le moment et fit juste des mouvement pour vrillé le bâton.
Tu m'amuse tellement que je pourrais te garder ici avec moi pendant des jours encore, mais je n'aime pas m'attarder pendant autant de temps avec mes victimes, heureusement pour toi. Par contre si tu pense qu'il te suffira de jouir pour que ce soit la fin de ton calvaire je vais brisé tes joies tout de suite car ça ne se passera pas comme ça. plus tôt je m'étais vite laissé aller pour ne pas que tu souffre trop longtemps mais depuis que tu as essayé de m'assommer avec ce bâton j'ai bien moins d'estime pour toi...
Je lâcha le bâton un instant et tapota ma main sur l'une de ses fesses en riant et en continuant à engouffrer mon sexe dans son vagin. J'étais moi même incapable de dire combien de temps elle était maintenant sous l'eau sans avoir pu avoir une vraie gorgée d'air frais, la surface devait terriblement lui manqué et même si la privation d'air était une sorte d'haphrodisiaque à faible dose en ce moment c'était plutôt une véritable torture, la privation d'oxygène avait atteint un points ou elle était vraiment cruelle.
... Comme je viens de le dire j'ai bien moins d'estime pour toi et c'est pourquoi je vais te révéler ce qui fait des vas et viens en toi en ce moment ainsi que la suite de mes plans. C'est en faite simple il s'agit d'un sexe masculin, et une fois que tu aura jouis à ton tours tu devras recommencer une deuxième fois avec moi, mon deuxième sexe n'attend que ça, tu ne remontra pas tant que tu ne te sera pas occupé de lui, une fois que j'en aurais fini avec ton calvaire bien sure.
Une plus grande tape claqua sur ses fesses avant de remettre celle ci sur le bâton, là j'eus un large sourire aux lèvres et je l'enfonça plus fort que précédemment dans son petit cul que j'étais maintenant en train de complètement déchiré.
Oups... que je suis maladroite... Dis-je en riant alors que mon sexe semblait avoir pris à l'instant sa proportion maximale en longueur et en volume, je le sentais tellement serrer dans son trou, écraser de tout les coté par ses parois vaginales qui ne pouvait plus se dilater d'avantage pour le contenir.
J'imagine qu'en plus d'avoir le cul totalement explosé par mon dernier assaut tu dois aussi recommencé à suffoquer, mais inutile de jouer les petites filles en pleur, au fond de toi je sais que tu n'attends que ça Lili , je peux sentir que tu es avide de sexe, même si les conditions en ce moment te font peur et souffrir je ne pense pas que tu sois totalement dégouté pour autant, je sens de la cyprine coulé au fond de ton vagin
Mon sexe masculin était en feu, mais je ne devais absolument pas m'embaler et laisser tout sortir en elle, non, j'avais d'autres projets en tête que j'exécuterais une fois qu'elle aurait jouit. Toutefois rien m'empêcher d'y aller à fond dans son cul que je continuait à travailler en gigotant l'objet de son martyr dans tout les sens, je le poussa même une fois de plus en avant, tout doucement, pour voir sa réaction.
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la déformation du bâton aillant passer mes sphincters se retrouve maintenant à l'intérieur de moi, la douleur reste constante, je sent celle ci écarter l'intérieur de mon intestin, c'est très bizarre, mais par chance ou peut être par pur sadisme de sa part, elle ne pousse plus sur le bâton, mais en contre partie le fait vriller sur lui même, ce qui me vrille aussi l'anus et mon intestin avant de l'entendre me dire qu'elle s'amuse tellement avec moi qu'elle pourrais me garder ici pendant encore des jours.
cette révélation me donne froid dans le dos, je ne pourrais pas tenir des jours sous un tel traitement, mais heureusement pour moi elle n'aime pas s'attarder pendant autant de temps avec ces victimes me dit elle, j'en suis quelques peut rassuré, mais jusqu'à quand et à qu'elle point va-t-elle continuer son petit jeux sadique?
je l'entends me dire qu'elle n'a pas du tout aimé tout à l'heure quand j'ai tenter de la frapper avec le bâton et que pour sa mon calvaire était loin d'être terminé, puisque même si je jouissais de son traitement elle ne me laisserait pas partir tout de suite.
tout mes espoirs de pouvoir rentrer chez moi sont en train de s'envoler, je me vois déjà morte et retrouver sur une plage quelques jours plus tard, mettant sa sur le dos d'un meurtrier pédophile en série.
je sent alors qu'elle lâche le bâton et sa main venir tapoter l'une de mes fesses, je l'entends rigoler tout en continuant de faire aller et venir cette choses chaude dans mon minou, je ne sais pas ce que c'est, mais celle ci se réchauffe de plus en plus et au fur et à mesure que les secondes passe, je la sent grandir et grossir en moi, dilatant de plus en plus ma petite fente et mes membranes interne.
maintenant qu'elle à fini de me torturer l'anus, la chose qui ramone mon vagin et qui prend du volume me fait ressentir du plaisir, même si celui ci viens rentrer en contacte avec les bout de bois au travers de ma fine membranes qui sépare mes deux orifices et qu'il fait bouger le dit bout de bois, le plaisir commence à gagner de plus en plus de terrain, ce qui me fait mouiller de plus en plus sans que je ne puisse rien faire, malgré le fait que je commence à suffoquer.
je l'entends alors me dire à nouveau qu'elle à moins d'estime pour moi et que c'est pour cette raison qu'elle vas me révéler ce qui me pénètre le minou en ce moment et la suite de ces plans.
je ne sais pas si j'ai vraiment envie de les entendre, sa ne fera qu'augmenter mes appréhensions après tout, mais c'est peut être ce qu'elle cherche, me faire peur, mais je ne peut pas lui répondre de toute façon.
elle m'avoue simplement qu'elle est en train de me pénétrer elle même avec un sexe masculin.
je comprend pourquoi cette choses se réchauffe, mais qu'est ce que je peut faire?
elle m'explique ensuite qu'une fois que j'aurais jouis, je devrais recommencer une deuxième fois avec elle, que son deuxième sexe n'attends que sa.
j'espère qu'en disant cela, elle parle de son vagin, parce que vue les proportion que prenne sa verge en moi je commence à être écartelé, quelques gémissement non retenue me font perdre de petite bulles d'air.
elle termine de m'expliquer que je ne remonterais pas t'en que je ne me serais pas occupé de son deuxième sexe, mais en plus que je ne pourrais m'en occuper qu'une fois qu'elle en aura fini avec mon calvaire.
cette révélation me donne des frissons, puisque sa veut dire que je n'ai pas encore fini de souffrir.
c'est alors qu'une violente claque me brule la fesse, ce qui me fait comprendre qu'elle vas reprendre sa torture sadique, alors que je sent une faible pression de sa main sur le bâton, une nouvelle fois paniquer, je relève la tête du sable et tourne celle ci autant que possible vers elle, tout en faisant non de la tête pour ne pas qu'elle reprenne sa séance de torture, mais n'en faisant qu'à sa tête, je sent la pression sur le bâton être plus forte et plus brusque encore que la fois précédant, je sent le bâton s'enfoncer de plus en plus profondément dans mes entrailles, la douleur est plus terrible que jamais, sur le coup moi qui voulais rester inactive sous ces assauts pour qu'elle se lasse peut être de moi et me laisse partir, c'est mon instinct qui reprend le dessus, je me cambre sous la douleur, lâchant un cris de désespoir dans immensité de l'océan avant que l'une de mes mains ne vienne instinctivement se placer sur celle qui pousse le bâton, alors que mon autre main viens empoigner celui ci pour tenter de le stopper dans sa course.
mes pleures reprenne de plus belle, mais une autre douleurs se fait ressentir tout aussi dévastatrice, qui me fait lâcher un deuxième crie qui se perd dans l'immensité de l'océan, celle ci se situe au niveau de ma petite fente que je sent largement écartelé, la queue de la sirène à tripler de volume en quelques secondes, tendant mes membranes interne comme externe à la limite de la rupture, celle ci doit faire entre 11 et 12 centimètre de large, pour une longueur indéterminée, mais je la sans pousser de plus en plus profondément , déformant mon intérieur à grand coup de boutoir pour rendre mes membranes plus élastique et me la rentrer entièrement, je gémis à chaque introduction brutal, je me sent déchirer des deux coté.
mes membranes tendu au maximum enserre tellement son phallus que je sent chaque veine, chaque aspérité et chaque palpitation de sa verge en moi, ma main qui tente de stopper le bâton passe sous moi et viens empoigner le gourdin de la sirène, enfin empoigner est un bien grand mot puisque sa queue est tellement grosse et ma main si petite que je ne peut que mètre mes doigts dessus pour la freiner, d'ailleurs je sent sous ceux ci que sa verge est recouverte de cyprin, ma cyprin.
comment mon corps peut-il réagir ainsi alors que je vais peut être mourir dans quelques minutes?
je l'entends alors sortir un oups et me dire qu'elle est maladroite tout en riant, mes gémissements plaintif continue de fuser perdant à chaque secondes de précieuse bille d'air, puis elle me dit qu'elle imagine qu'en plus d'avoir l'anus totalement exploser, on ne peut pas dire le contraire, je doit aussi recommencer à suffoquer.
sa aussi elle à raison puisqu'il ne me reste qu'un quart de mon oxygène après avoir lâcher le reste sous la souffrance de ces sévices, mais si elle me dit sa c'est qu'elle vas m'en redonner bientôt.
mais c'est là qu'elle me dit que c'est inutile que je joue les petite filles en pleur, qu'au font de moi elle sait que je n'attends que sa, elle sent que je suis avide de sexe, même si les conditions ne son pas réunies, elle pense que je ne suis pas totalement dégouté de ce qu'elle me fait, qu'elle sens de la cyprin couler au font de mon vagin.
de par ces révélations, je retiens mes gémissements économisant mon air au cas ou elle ne m'en donnerais pas tout de suite, ces allusions sont complètement dingue, pourquoi est ce que je n'attendrais que sa alors que je voudrais avoir un petit amies normal qui est de la tendresse pour moi, oui au font de moi j'aime le sexe, mais pas de cette façon alors que je suis à deux doigts de mourir étouffé et en prime mes deux orifices dilater et maltraiter de la sorte.
si de la mouille dégouline de mon antre, ce n'est pas de ma faute, c'est mon corps qui réagis lui même à la situation.
après ces paroles je sent le bâton reprendre du service et bouger dans tout les sens, dilatant et déformant mes sphincters comme l'intérieur de mon intestin, les mouvement du bâton me retourne le ventre, j'ai envie de vomir, je sent la sirène pousser une nouvelle fois le bâton tout doucement dans mon petit trou, s'en est trop je ne peut plus, mon instinct indique à mon corps de fuir cette folle furieuse, je ramène mes main sur le sable et maintenant à 4 pattes, je tente de m'accrocher à quelques choses pour me dégager, je sent le bâton s'enfoncer encore de quelques centimètre alors que j'arrive à avancer, je gigote dans tout les sens pour me soustraire à elle faisant bouger le bâton et les queue de la sirène en moi, la douleur me terrasse et je retombe la tête sur le sable, je n'ai pas assez d'air pour luter.
je repense alors à ce qu'elle viens de dire et y voie peut être un porte de sortie, si elle pense qu'au fond de moi j'aime se qu'elle me fait, que j'arrive à faire suffisamment abstraction de la douleur et lui faire croire que j'aime son traitement peut être qu'elle me laissera partir en vie...
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La jeune Lili semblait complètement à bout de force entre son taux d'oxygène baissant dangereusement et la double pénétration violente qui lui était infligée et il y avait de quoi. Dire que le calvaire ne faisait que commencé pour la petite Lili, c'était bien la première fois que l'une de mes proie était autant mise en danger de mort, l'air que je lui apporté n'était pas aussi efficace qu'un vrai bol d'air frais et commencé à devenir de moins en moins efficace tandis que ses parois vaginales et anal était complètement défoncé et à la limite de la rupture, je ne pouvais néanmoins pas m'arrêter et la laisser partir au beau milieu de nos ébats... voir torture selon le côtés duquel on se trouvait. Pourquoi continué une situation aussi risquée ? Et bien tout simplement parce que j'étais trop fière, je n'étais pas une tueuse mais laissé une proie s'en allait sous prétexte qu'elle risqué de mourir, c'était juste totalement inconcevable pour moi. Je n'avais donc comme seul choix d'aller jusqu'au bout et pour ça il y avait deux manières : Soit j'ignorais qu'elle s'étouffe et j'y allait en force jusqu'à ce qu'elle cède et lâche tout ce qu'elle avait dans son vagin, soit je sortais mon imposante verge pour lui redonner de l'air mais j'aurais alors un mal fou à la remettre à l'intérieur ensuite.
Je ne réfléchis pas bien longtemps car je ne pouvais pas me le permettre, j'opta donc pour la première solution sans même réellement savoir s'il y avait mieux à faire, je me contenté juste de pilonner son vagin le plus loin possible sans réfléchir avec cette queue de taille assez impressionnante, elle devait souffrir, oui terriblement souffrir car en plus d'avoir les parois écarté au dela du maximum permis je pouvais sentir que ma verge percute le bâton à travers la membrane qui sépare son vagin de son anus. Moi qui avait décidé de ne plus enfoncer ce bâton par crainte de la tué ma pénétration se chargé de le faire bouger tout seul dans son cul. Continuant de la pilloner violemment jusqu'au plus profond que je le pouvais je la sentais de plus en plus mouillé sur ma queue, malheureusement je compris vite que je n'y parviendrais pas, j'avais peut être un peu sous estimé son besoin d'air par rapport à ce que je pensais puisqu'elle commençait à avaler de l'eau, toute ces pénétration et ce manque d'oxygène permanent devenait trop pour elle, je devais immédiatement redonner de quoi tenir à ses poumons qui étaient en feu. D'un coup sec je retira l'énorme objet de sa torture qui lui aurait surement valut un nouveau cri si il lui restait assez d'air pour émettre un quelconque son, je déposa une fois de plus mes lèvres sur les siennes qui étaient deja ouverte, elle semblait consciente qu'à moitié alors je lui redonna beaucoup plus d'air restant accroché à ses lèvres dans ce but pendant près d'une minute pour ventilé ses poumons au maximum, ce baiser était donc plus une obligation qu'autre chose il n'y avait absolument aucun sentiment là dedans.
Une fois cette tache terminé je retourna de nouveau derrière et lui dit de ne surtout pas gaspillé son air en criant, puis qu'elle allait énormément souffrir sur le coup. Et ça c'était le cas de le dire, j'essayais d'abord de la remettre à l'intérieur d'un coup sec et puissant mais je n'y parvins pas malgré ses parois totalement écartées, je devais changé de méthode et pour se faire je l'appuya contre son vagin déjà bien écarté et j'appuyais fort... de plus en plus fort sous ses multitudes de gémissements de douleurs qui aurait pu me faire mal au coeur si j'avais un semblant de pitié en moi sur ce coup. Finalement après plusieurs secondes de dur labeur la peau s'écarta assez et il rentra, se propulsant directement à l'intérieur suivit d'un filet de sang qui sorti de son sexe, le bout de bois avait lui aussi été touché voillement à travers la membrane, provoquant comme un effet de levier sur celui-ci... je n'imaginait même pas ce qu'elle avait ressenti à l'intérieur de son petit cul à ce moment là, et encore moins un peu plus loin...
Si tu ne veux pas que je me déplace de nouveau pour te donner de l'air et recommencer cette opération très douloureuse tu va devoir tout donner avant d'hasphyxié une fois de plus.
Sur ces mots je recommençais à enfoncer lourdement et de plus en plus vite ce pénis en elle, je sentais les parois fortement serrer dessus essayer de freiné ma course, mais en vain, je gagnais de plus en plus de terrains et de vitesse, je venais même de réussir à la rentré entièrement dedans maintenant et je la sentais chauffé en elle... Il fallait par contre de mon coté que je me retienne si jamais j'avais envie de tout lacher, je réservais toujours quelque chose d'autre pour quand j'en aurait fini avec son vagin.
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mettant tout en œuvre pour lui faire croire que je commence à aimer ce qu'elle me fait, malgré la douleur je tente de me détendre, mais ce n'est pas du tout facile alors que mes poumons son en feu, que mon antre est écarteler à la limite de la rupture et mon anus torturé par ce bâton forgé par l'océan au fil du temps.
ma tête toujours contre le sol sableux, accompagné de mes mains, je réunie mes dernière force pour faire abstraction de toute la douleur que je peut ressentir, retenant dans mes poumons mes dernières réserve d'oxygène à m'en faite mal à la tête, alors que je sent Lyli faire aller et venir sont gigantesque gourdin de plus en plus brutalement et rapidement, je sent qu'elle tente de m'en faire manger toujours plus à chaque introduction faisant bouger ce sataner bâton loger profondément dans mon anus meurtrie, elle continue d'étirer mes parois vaginal en profondeur et malgré ce supplice mon bas ventre se réchauffe fortement alors que mon antre sécrète de la cyprin.
celle ci facilite tout de même la pénétration de son énorme membre hors norme, faisant disparaitre la douleur au niveau de mon minou, mais les autres douleurs de mon anus et de mes poumons sont toujours présente, celles ci sont difficiles à dissimuler, de plus je commence à vraiment ne plus avoir d'air et heureusement la sirène le vois, mais ce besoin d'air ne se fait pas sans douleur puisqu'elle retire brusquement son énorme barreau de chair de mon antre, me faisant lâcher sous la douleur mes dernières petite réserves d'air, avant de venir à nouveau coller ces lèvres contre les miennes.
bien sur je ne fait rien pour la repousser, au contraire je passe mes bras autour de son cou pour qu'elle reste assez longtemps pour que je récupère, pendant ce temps je sent mon antre complètement distendu, de l'eau c'est infiltré dedans, celui ci se referme petit à petit pendant la longue minute ou Lyli me redonne de l'air, la douleur de mes poumons s'estompe, seule la douleur dans mon anus reste constante, c'est un peut normal vue la manière dont il à été martyrisé.
au bout de cette longue minute, elle romps le baiser, je tente de la retenir avec mes mains, mais elle est plus forte que moi surtout dans son élément, elle me retourne et reviens se placer derrière moi, maintenant que j'ai repris un peut de force, je me tiens à quatre patte et tourne la tête vers elle, je vois qu'elle veut me remettre son énorme machin en moi.
je la sent pointer son énorme gland devant l'entrée de mon antre et donner un violent coup de rein, ce qui me donne des sueurs froide quand je sent son bassin percuter brusquement mes fesses, pensant à la terrible douleur d'une pénétration aussi violente d'une choses aussi grosse, heureusement son gland à glisser, mais est tout de même venue percuter le bâton qui dépasse de mon anus, la résonance du bâton se répercute dans mon ventre, la sensation est bizarre, mais je vois sur le visage de la sirène qu'elle n'est pas contente que sa ne rentre pas comme elle l'aurais voulut.
j'appréhende ce qu'elle vas faire quand je sent son gland se poser une nouvelle fois que mes grandes lèvres distendue, la minute qu'elle à prise pour me redonner de l'air, n'a permis à mon minou que de se refermer partiellement, je la sent alors pousser fortement, mes membranes résiste quelques secondes avant qu'elle ne m'écartèle une nouvelle fois de son membre monstrueux, la douleur est intense, je gesticule dans tout les sens pour lui échapper tout en gémissant de douleur, laissant échapper un peut de mes nouvelle réserve d'air, alors que sa queue gagne peut à peut du terrain, jusqu'à ce que son gland entier rentre et d'un coup sous la force qu'elle y met je sent tout son membre me remplir et m'écarteler d'un coup, je lâche alors un nouveau cris dans l'océan alors que cette violente pénétration forcer fait une nouvelle fois bouger le bâton dans mon anus, sous les multiple violente douleur, mon dos se cambre alors que je tente de m'avancer à quatre pattes.
je l'entends m'expliquer que si je ne veut pas qu'elle se déplace à nouveau et qu'elle recommence cette opération douloureuse, je vais devoir tout donner avant d'asphyxier une fois de plus.
sur ces mot je la sent reprendre ces vas et viens qui sont de plus en plus rapide et brusque, je sent son gourdin me dilater en profondeurs, la douleur reste un petit moment avant de s'envoler, mes seins ballotte au rythme de ces coups de reins.
prenant mon courage à deux mains, si je doit tout donner, il faut que j'y mette du miens et outre passer la douleur, gardant une main au sol, j'amène mon autre main caresser mon clitoris déjà dresser, je ferme les yeux tout en pleurant, alors que j'ai le sentiment d'être vaincue, de m'abandonner à l'ennemie, j'arrive peut à peut à faire abstraction de la douleur de mon anus, ce membre monstrueux continue de gagner du terrain en moi, distendant mes membranes internes sous ces coups de rein brutaux, jusqu'au moment ou je sent le bas ventre de la sirène claquer mes petite fesses, preuve qu'elle à réussis à rentrer entièrement, le plaisir m'envahir au fur et à mesure que les secondes passe, mon corps se réchauffe de plus en plus, si bien qu'au bout d'un moment je balance mon bassin au rythme de ceux de la sirène, pour qu'elle puisse s'enfoncer au maximum en moi à chaque introduction.
quand elle accélère, j'accélère aussi, mon plaisir mon et flèche, mes doigts s'active eux aussi de plus en plus vite sur mon petit bouton, jusqu'au moment ou j'arrive au bord de l'orgasme tout en me disant que c'est la fin de cette torture et qu'elle vas enfin me relâcher, je l'espère.
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[HJ : Désolée c'est assez cours mais je pouvais pas faire grand chose de plus pour le moment vu la situation ^^ je me ratrapperais au prochain.]
La pauvre jeune fille n'avait jamais du se faire violer de tel façon et dans un tel contexte, au fond de l'océan ses appels à l'aide n'avaient aucune chance d'être entendues, le mieux qu'elle pouvait faire était d'y mettre du sien pour que tout cela cesse le plus rapidement possible. Elle venait d'ailleurs enfin de le comprendre puisque je sentais son corps s'activer autant au niveau des mouvements que des gémissements qu'elle laissé échapper. Je compris que ses instinct de survis avaient pris le dessus et qu'elle voulait remonter respirer à la surface le plus vite possible alors dans un rictus de sadisme pur et simple je me mit à lui faire croire qu'elle pourrait repartir tout de suite après, ce serait plus amusant de lui faire perdre tout espoir au dernier moment.
J'ai une bonne nouvelle pour toi, je me suis assez amusé de ta personne, tu va avoir le droit de remonter dès que tu aura fini, dans moins de 2deux minutes.
Plus les secondes s'écoulaient plus je sentais mon imposante verge glissé profondément sans son vagin, sa cyprine y était pour beaucoup et elle m'aida même à la rentrer à son maximum à plusieurs reprises maintenant, mon bassin buttait contre ses fesses à chaque coups de reins et mon membre se réchauffer lui aussi. Néanmoins je ne comptais pas me laisser aller maintenant, c'était à elle de jouir et je sentais qu'elle y venait de plus en plus, alors pour accélère la chose je décida de pencher le haut de mon corps un peu en avant, ma poitrine plutôt bien fournie commençait à frôlé ses fesses penchées en arrière et sans stopper mes vas et viens intensif je glissait mes mains le long des ses hanches jusqu'à sa petite poitrine que je n'avais pas toucher depuis un petit moment deja. J'attrapais bien vite les piercing entre deux doigts pour les tirer et stimuler ses seins, de temps à autre j'essayais aussi tant bien que mal d'agripper sa petite poitrine pour la malaxer.
Les chocs violent frôlant le bâton du à la rapidité des pénétration vaginale semblait doucement faire avancer et reculer celui-ci et quand je sentais qu'elle allait jouir d'un instant à l'autre je me redressa et tira le bâton en arrière d'un violent coup sec pour le retirer. Un léger filet de sang s'échapper de son anus et j'imagine que son retrait avait du être très douloureux mais avait du aussi la soulager d'une torture, je n'avais toutefois pas fait ça par pur gentillesse mais pour créer un choc à l'intérieur de son petit cul et ainsi provoqué une bref stimulation.
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mon plaisir arrivent vraiment à sont apogée, alors que je m'empale en rythme sur l'énorme verge de Lyli, tout en caressant frénétiquement mon petit bouton.
je l'entends alors me dire qu'elle à une bonne nouvelle pour moi, sa ne me dit rien de bon, mais pourtant celle ci me dit s'être assez amusé avec mon corps, que je vais avoir le droit de remonter dès que j'aurais fini, dans moins de deux minutes.
je ne sais plus ce que je doit finir, mais pour ma par je vais très bientôt jouir, c'est peut être sa qu'elle veut que je finisse, que je jouisse sous son traitement barbare malgré les sévices et la situation, les contractions de mon vagin sur son énorme membre doit l'avoir avertie que je prend du plaisir depuis un moment et que bientôt je vais jouir.
les vas et viens de la sirène s'accélère, mon corps bouge au même rythme, mais à l'inverse du siens, ce qui rends les pénétration de son énorme queue de plus en plus profonde, je sent son bas ventre claquer violemment mes fesses à chaque retour dans mon antre.
je sent alors ces mains se poser sur mes anches et remonter jusqu'à ma poitrine, je la laisse faire, je suis bientôt libre après tout, ces doigts viennent jouer avec mes tétons dressés et les anneaux qui s'y trouve.
elle les tord, tire dessus et malaxe de temps à autre mes petit globes de chair, mon plaisir n'en est que plus grand, un mélange de plaisir et de douleur foudroie ma poitrine.
plus les secondes passe et plus les contractions de mon vagin se font de plus en plus rapproché, il faut dire que les vas et viens de la sirène ne sont pas des plus doux, mais ma jouissance toute proche, mon bassin s'active tout seule bougeant de façon totalement irrégulière sur la hampe de la sirène, la délivrance et si proche que je me lâche complètement au plaisir, mes membranes internes ainsi que mes sphincters se contracte fortement signe que dans quelques secondes je vais jouir.
tout mon corps se contracte violemment pendant de longue secondes, enserrant la queue de la sirène mais aussi le bâton dans mon anus.
sur le moment je ne pense qu'au moment ou je vais remonter à la surface et prendre une vrai bouffé d'air frais, je suis loin de m’imaginer les intentions de la sirène, c'est quand je sent le bâton dans mon anus être violemment retirer d'un coup sec, que je découvre la véritable signification du mot sadique, alors que mes sphincters son contracté à leurs maximum dû à la jouissance toute proche, le bâton retiré avec barbarie, j'ai comme l'impression d'être déchiré en deux, surtout quand la déformation est passé, dilatant dans ménagement mon anus contracter, sur le choc violent de ce retrait brutal, je me cambre et pousse un nouveau crie dans les profondeur de l'océan.
mais même malgré ce petit instant de sadisme de la part de la sirène et l'intense douleur dans mon anus, je fini tout de même par jouir. une jouissance quelques peut différente des autres, sans doute différent dû à la dernière action de Lyli.
mon corps pris de soubresaut, le plaisir afflux en masse avant de me laisser tremblante mais heureuse toujours empalé sur cette énorme membre.
mes esprits retrouvé, j'amène une main dans la raie de mes fesses et viens doucement caresser mon anus douloureux qui se referme petit à petit, en même temps je tourne la tête vers celle de la sirène et attend impatiemment qu'elle me remonte à la surface.
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Voila, finalement elle avait fini par comprendre pour de bon que le meilleur moyen de s'échapper de cette prison était d'aller dans mon sens, mais si seulement elle savait, elle devait déjà être soulagée à la simple pensé de retourner enfin à la surface, respirer une bonne bouffé d'air frais et retrouver les siens, mais seulement je n'étais pas aussi gentille que ça.
Se lâchant enfin à son plaisir après cette immense torture je sens son vagin devenir de plus en plus humide et envahir la queue de son liquide, elle était entrain de jouir, malgré tout ce qu'elle avait dit elle y avait finalement pris du plaisir et elle ne pouvais désormais plus le nié. Sa cyprine coulait directement sur le membres et je sentais ses parois vaginale se rétracté dessus, la sensation était agréable et j'aurais presque pu jouir aussi de mon côté si je ne savais pas me retenir un minimum, c'est vrai quoi tout ça m'avait bien exité mais il fallait parfois savoir attendre le meilleur moment pour prendre son pied...
Une fois qu'elle avait bien laisser couler tout ce qu'elle pouvait elle se tourna vers moi et me lança un regard comme pour dire " je peux remonter maintenant", cette expression ne me fit qu'afficher un sourire sadiques aux lèvres et retirer ma queue difficilement d'entre ses parois de peau serrer. Ce devait être douloureux à n'en pas douter mais surement moins que le retrait violent du bâton dans son anus.
Vient prends ma main.. nous allons remonter à la surface comme promis, tu en as fini avec ton martyr.
Je lui pris la main avec douceur et remonta lentement vers la surface comme promis, je baissais la tête de temps à autre vers son visage et lui souris comme pour la rassurer, changer le visage de tortionnaire qu'elle m'avait coller... mais ce n'était que dans le but de briser ses derniers espoirs... Oui bien sure que je la remonterait, mais pas dans l'instant, il y avait encore quelque chose qu'elle devait faire, une dernière avec mon sexe masculin, mais heureusement pour elle ce ne serait pas bien long vu que j'étais déjà pas mal excité comme ça.
Nous étions enfin presque à la surface quand tout à coup, je stoppa ma nage quand son visage était à seulement 10 petit centimètre de la surface... si proche... si proche de sortir de l'eau pour retrouver ce monde qui était le sien, si proche de remplir d'air ses poumons meurtries par cette étouffante torture... Je ne pouvais que rire devant cette scène qui la rendait pitoyable, plus vulnérable encore, je venais de briser en quelque seconde la seule petite lueur d'espoir que je lui avait offerte.
Non franchement... t'y as vraiment cru une seule seconde ? T'es vraiment pathétique, tu m'amuse trop. Regarde bien la surface, car tu va encore devoir attendre avant de la revoir de si près... Dis-je en riant das un rictus de sadisme propre à moi avant de nous laisser couler de nouveau vers le fond.
Les secondes passaient de plus en plus et la surface s'éloigner encore et toujours plus jusqu'à ce que nous touchions le sable pour la deuxième fois. A partir de là je lui offrit un baiser, un tendre baiser dont le but premier était d'apporter une vague d'oxygène en elle, elle allait en avoir grandement besoin pour la tache que j'allais lui imposer, mais avant d'en venir là je profiter du doux encore un peu du doux contact de nos deux bouche, je lui capturé sa lèvre inférieur entre les miennes qui étaient bien plus pulpeuse, on sentait que ce contact là ressemblait plus à un vrai baiser, celui qu'aurait donner une femme normal ça n'avait strictement rien à avoir avec les précédents qui n'avaient étaient là que pour donner de l'air.
T'es vraiment d'une naïveté déconcertante petite idiote, mais je m'amuse bien avec toi, tu remonte un peu dans mon estime... Enfin ne t'attends pas non plus à un traitement de faveur de ma part.
Mes deux mains venaient de se placer délicatement sur ses joues et je la mis à genoux devant moi comme une poupée, la bouche juste devant l'imposante verge dure et chaude pointée vers elle que j'avançais de quelque petite centimètre pour que le bout du gland puisse frôler sa paire de lèvres.
Ce n'est pas la peine de t'expliquer ma petite Lili... tu sais déjà ce que tu dois faire hein.
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ma tête tourné vers cette sirène, je vois qu'elle me sourie avant de retirer son énorme verge de mon minou, alors qu'elle se retire, des décharges électrique me transcende tant sa verge frotte contre mes douces parois, mais la douleurs est aussi au rendez vous, malgré tout la cyprin qui ressort de mon antre, aidant Lyli à retirer sa queue, le gland restant le plus douloureux, enfin sortie j'amène aussi une main sur mon antre que je sent béant, de l'eau s'infiltre à l'intérieur, je le caresse, mais bien vite, la sirène me demande de prendre sa main.
sans perdre une seconde j'attrape sa main, alors qu'elle me dit que nous allons remonter à la surface, comme elle me l'a promis, que mon martyr est terminé.
mes orifices attendrons, nous remontons doucement vers la surface, je suis soulager que tout sa se termine, il ne me reste pas beaucoup d'air mais je tiendrais assez longtemps pour atteindre la surface, je vais enfin pouvoir inspirer du vrai air, moi qui pensais mourir dans les profondeurs de l'océan, sans avoir revue mes parents, maitresse Ishtar et Kira.
nous arrivons près de la surface, je là vois s'arrêter juste en dessous de la surface de l'eau, je continue de remonter, mais alors que mon visage n'est qu'à quelques centimètres de sortir de l'eau, quelques choses me bloque à la taille, je bat des jambe et des bras, mais rien à faire, j'ai l'impression d'être dans un cauchemars, je cesse de m'agiter et regarde Lyli avec un regard inquiet, elle rigole, avant de me demande si j'y avais vraiment crue une seule seconde.
pourtant j'ai fait tout ce qu'elle ma demandé, non... laisse moi remonter, je n'en peut plus.
elle me lance que je suis vraiment pathétique, que je l'amuse trop.
sa l'amuse peut être, mais ce n'est pas marrant du tout, je souffre le martyr, mes poumons son en feu, sans parler de mes orifices qui me font mal, ainsi que la fatigue, dû à tout ces effort.
elle me dit tout en riant de bien regarder la surface parce que je vais devoir attendre avant de la revoir de ci près.
sa phrase terminé nos corps coule de nouveau vers le fond, je gesticule dans tout les sens pour me dégager et remonter à la surface, mais rien à faire, je perd de l'air précieux pour rien.
je la regarde d'un air implorant, comme pour dire "pitié laisse moi remonter", mais elle continue de rire et sourire, nous touchons le fond sableux, la peur m’envahis de nouveau et appréhende déjà ce qu'elle vas me faire ou me demander de faire.
elle s'approche de moi et me donne un tendre baisé, l'air remplis à nouveau mes poumons, sa apaise les brulure de ceux ci, je n'en peut vraiment plus, toute mes tentative pour m'échapper ont été raté, je n'est plus la force de résister.
le baiser qu'elle me donne est différent des autres, moins brusque, plus tendre, allant jusqu'à aspirer ma lèvre inférieur entre les siennes, je me laisse faire.
elle me lance alors que je suis d'une naïveté déconcertante, qu'elle s'amuse bien avec moi et que je remonte un peut plus dans son estime.
disons que quand ont promet quelques choses ont s'y tiens en général, ils y a ceux qui tiennent leurs paroles et d'autre non, apparemment les sirène n'ont pas de paroles.
elle me lance de ne pas m'attendre à un traitement de faveur, même sa je commence à remonter dans son estime.
c'est sa qui me fait davantage peur, alors que je sent ces deux mains venir sur mes joues, avant d'appuyer avec ces avant bras sur mes épaules pour me faire mètre à genoux.
mon visage devant l'énorme queue de la sirène que je vois pour la première fois, elle est longue, épaisse, très épaisse, parcourue de grosse veines qui palpite, vue la grosseur je me demande encore comment elle à put me pénétré avec sa, mais là n'est pas la question, je veut retourner sur la terre ferme.
elle viens frotter son énorme gland contre mes douces lèvres avant de me dire que ce n'est pas la peine de m'expliquer, que je sais déjà ce que je doit faire.
dégouter d'être obliger de sucer ma tortionnaire, je suis tout de même obliger si je veut qu'elle me donne de l'air et qu'elle me remonte, enfin j'espère.
je commence à donner de petit coup de langue sur son énorme gland, je le couvre de baisé passant ma langue dans les moindre recoins, sur la collerette de son gland, sur son freins, je lèche sa hampe à grand coups de langue tout en caressant son gland de mes deux mains.
je commence à avoir la nausée, mes lèvres caresses son gland, j'ouvre la bouche au maximum, mais je n'arrive qu'a mètre une partie de son gland en bouche, son membre est beaucoup trop gros, je le suçote, et insert le bout de ma langue dans l'urètre.
j'espère que c'est la dernière choses qu'elle me demande de faire, même si mon esprit veut retourner à la surface, mon corps quand à lui s'excite et se réchauffe malgré la situation.
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C'était surement là mes derniers instant avec cette proie que j'avais trouvé très intéressante, alors je comptais bien en profiter un maximum avant de tenir vraiment ma promesse et la remonter. J'avais immédiatement ordonné à Lili de prendre mon sexe en bouche mais visiblement elle semblait avoir du mal, je pensais l'aider en forçant de toute mes forces mais il me vient alors une autre idée qui serait plus facile... mais surement douloureuse. je devais donc me résigner à l'écarter de ses lèvres et par la même occasion à m'éloigner un peu d'elle... Lui donnant surement l'impression d'abandonner mais il en était rien.
Je lui fit comprendre dans un regard de ne pas bouger et de m'attendre un petit moment juste le temps de chercher quelque chose, son sous vêtements que j'avais précédemment retirer et qui devait flotté entre deux eaux, je ne m'étais d'ailleurs pas tromper puisque je trouva un peu plus loin sa petite culotte. Une fois en main je fis demi tours pour revenir vers Lili et lui joindre les poignets que je ligota avec la culotte, c'était un lien improvisé qui ne tiendrait pas longtemps mais je ne voulais pas qu'elle s'échappe le temps que je remonte ses rames dans le bateau.
Inutile de te débattre, même si tu réussit à te détacher je serais de retour avant que tu ne t'échappe, alors attends sagement ici le temps que je remonte tes rames.
Un peu plus loin derrière moi je sorti les rames maintenues sous un gros rocher, juste devant ses yeux je remontais à la surface et les posaient dans le bateau, voila déjà une chose en moins à faire mais ce n'était pas seulement ça... pendant ce laps de temps je n'avais eu aucun contact avec Lili et mon sexe avait eu le temps de rétrécir un peu sans ces excès d'excitation, je pouvais maintenant retourner auprès d'elle et je devais même le faire vite car la minute était légèrement dépassé, elle devait étouffer même avec ma grande quantité d'air, à cause de toute cette fatigué qui baissait ses capacités physiques.
j'étais revenu auprès d'elle au plus vite et lui apporta le plus d'air que je le pouvais en espérant que ça suffirait pour la suite, car ce serait surement la dernière gorgée que je lui donnerait. Je la laissais reprendre calmement son souffle mais sans attendre non plus trop longtemps, si mon membre se remettait à gonfler maintenant tout cela n'aura servit à rien.
Toujours sans dire un mot j'introduis la longue verbe entre ses lèvres et l'enfonça profondément, une partie était dans sa gorge. Celle-ci rentra deja avec plus d'aisance que tout à l'heure et je ne pouvais que me satisfaire de pouvoir poursuivre là ou nous avions stopper.
Maintenant tu n'as plus aucune excuse, mais par contre laisse moi t'expliquer la situation. Elle va grossir à l'intérieur jusqu'à ce qu'elle n'ait plus assez de place pour le faire, si je la retirais à ce moment précis j'aurais de nouveaux beaucoup de mal à la rentrer... je ne pourrais donc plus te donner de l'air maintenant, tu va devoir tenir le coup et te dépêcher sur cette dernière ligne droite ma petite Lili.
Bien sur dans sa bouche la place serait restreinte et mon membre ne pourrait pas prendre les mêmes proportions, mais elle pouvait être sur qu'il ne resterait plus aucune place libre, la verge allait s'épaissir jusqu'à ne plus pouvoir le faire... et ça commençait deja au rythme de vas et viens difficile. elle commençait dejà à être très à l'étroite et je sentais les parois de sa gorge frotté contre.
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alors que je n'ai toujours pas réussis à prendre ne serais ce que son gland entier dans ma bouche, suçotant et léchant son énorme barreau de chair veiné, elle me retire le pain de la bouche comme ont peut dire et me regarde d'une manière qui peut vouloir dire " reste la et ne bouge pas..."
je reste donc à genoux dans le sable, je la vois nager non loin de là, regardant le font marin cherchant s'en doute encore un objet pour torturer mes chairs.
le plus dur dans tout sa, c'est de retenir l'air que j'ai dans les poumons à m'en faire mal, je sais que si je survie à ce cauchemars, je ne m'approcherais plus d'une plage pendant un moment.
quelques longues secondes passe, quand je vois cette sirène revenir avec le bas de mon maillot à la main, pensant qu'elle me ramène mes affaires, je tend une main vers le bas de mon maillot, quand elle m'empoigne le poignet et passe derrière moi avant de ramener mon autre poignet dans mon dos et d'attacher les mains dans la dos à l'aide de mon maillot.
*à la garce, pourquoi elle m'attache maintenant alors qu'elle aurais put le faire déjà bien avant?*
je tire sur ce lien, mais rien y fait, l'élastique de mon maillot tien le coup.
je l'entends me dire qu'il est inutile que je me débatte, que même si je réussis à me détacher, elle sera de retour avant que je ne m'échappe, m’expliquant que c'est seulement le temps de remonter mes rames.
cette salope avait tout prévue, je la vois s'éloigner de quelques mètre seulement, avant de soulever un rocher et de la voir remonter les rames sur le bateau, à ce moment là mon regard est en feu, mais mes poumons aussi car les secondes passe et plus elle passe et plus sa me brule.
mais cette sadique sirène n'est jamais loin pour me redonner de l'air, gardant son jouer en vie, pour s'amuser et me faire souffrir d'avantage.
elle colle une nouvelle fois ces douces lèvres pulpeuses sur les mienne et me donne de l'air. prenant plusieurs grande gorgés d'air pour calmer les battements de mon cœur et inspirant aussi profondément que possible pour garder le plus longtemps possible mon air dans mes poumons, Lyli se retire et viens directement présenter sa longue et grosse verge à moitié dressé à mes lèvres.
je laisse passer sa queue dans ma bouche et la caresse avec ma langue alors qu'elle s'enfonce au plus profond, forçant parfois le passage en s'aidant de ces mains sur ma tête, dilatant mes parois cannelé de son membre imposant.
elle s'enfonce jusqu'à ce que mon nez s'écrase sur son bas ventre et que mon menton touche ces testicules.
la bouche et la gorge encombré, je sent son braquemart se contracter dans ma gorge et prendre de l’ampleur, alors qu'elle de dit que maintenant, je n'ai plus aucune excuse, m'expliquant que sa verge vas grossir à l'intérieur de ma gorge jusqu'à ne plus pouvoir le faire.
ce qui veut dire que je vais encore avoir très mal.
elle continue et m'explique que si elle la retire, elle aura du mal à la remettre, qu'elle ne pourra pas me donner d'air t'en que je n'aurais pas fini et que je vais devoir tenir le coup sur cette dernière ligne droite.
je comprend qu'elle veut que je la face jouir le plus rapidement possible, du moins pour que je puisse reprendre de l'air ou encore revoir la surface.
après ces explications, elle commence à faire aller son bassin d'avant en arrière, faisant coulisser son énorme barreau de chair dans ma gorge étroite, sont sexe prenant de l’ampleur à chaque mouvement, je sent son membre coulisser et frotter contre les cannelure de ma gorge, le frottement est de plus en plus insistant, de plus en plus rapide, sont morceau de chair me dilate les parois de ma gorge, je sent ma salive s'accumuler dans ma bouche.
les mains attacher dans le dos je ne peut rien faire que subir, entendant les gémissement de la sirène, qui prend son plaisir alors que ma gorge brule sous ces coups de reins de plus en plus rapide, faite qu'elle termine vite.
resserrant mes lèvres contre son énorme hampe et caressant de la langue sa barre de chair à chaque aller et venue dans ma bouche, je n'espère qu'une choses, qu'elle termine au plus vite.
mais plus les secondes pas et plus elle me semble des heures, sa semble interminable, ma trachée en feu, elle continue de donner de violent coup de reins, venant faire claquer ces testicules sur mon menton à chaque fois, prenant ma bouche comme un vulgaire trou pour se vider.
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La façon dont j'utilisais sa bouche laissait penser qu'elle ne servait à rien d'autre que ça, s'engouffrant profondément dans sa gorge jusqu'à en occupé la moindre parcelle, à ce moment elle n'aurait pas réussit à respirer même si nous étions en dehors de l'eau. Les parois de sa gorge serrer ne laissait pas beaucoup de place aux vas et viens, en contrepartie la sensation était bien plus stimulante pour moi qu'ont aurait pu le penser et je sentais sa langue glissait sur une partit de l'imposant membre.
Un peu ce courage, c'est bientôt terminé
Dans un autre contexte cette phrase aurait pu être rassurante mais là elle ne terminé en rien le calvaire de la pauvre petite Lili qui était il fallait le dire terrorisée. Mon pénis continuait à s'enfoncer dans sa gorge, au plus profondément possible à l'aide de violents coups de reins, sans même me soucier une seconde de ce qu'elle pourrait ressentir, elle était entre mes mains une véritable marionnette vivant pour mon seul plaisir. Mais il fallait faire vite, l'épuisement était bien présent et le manque d'air se faisait urgent.
Gémissant, criant de plaisir, mes mouvements allaient au plus vite qu'ils le pouvaient et je sentais mon bas ventre se réchauffer ça allait venir, encore un peu, juste un peu... mais il fallait que je me dépêche je ne pouvais pas faire marche arrière. Oui il fallait que je fasse au plus vite, Lili suffoquait vraiment mais il n'était pas question pour autant qu'elle s'évanouisse avant que je ne finisse.
D'ailleurs ce moment arriva vite d'une part parce que l'excitation touchait à son comble mais aussi parce que je savais que si je ne le faisais pas vite elle mourrait noyé.
Hum !! oui, ça vient... je vais te remplir...
Un cri de plaisir plus grand que les précédant surgit avant de sentir un bien être m'envahir... quelque seconde plus tard je commençais à éjaculer dans sa gorge, lui faisant comprendre le sens du mot remplir...
En effet j'en noyait sa gorge d'une quantités qui aurait pu écoeurer n'importe qui, bien que quelque chose me disais que cela ne devait pas tant lui déplaire au fond. Pendant de longue seconde je remplissait sa gorge ainsi, sans lui laisser aucun répit, donnant l'impression que cela ne s'arreterais jamais et que je serais capable d'en déverser encore et encore des litres... mais heureusement pour elle je n'étais pas capable d'en déverser autant et les dernières gouttes coulaient en elle.
Reprenant doucement mon souffle mes mains se posaient sur ses joues déformer par le membres encore présent en elle.
Si tu en recrache ne serais qu'une seule petite goutte... je te garde avec moi et te ferais subir tout ce que tu viens de vivre pendant encore des heures et des heures...
Je pris évidement un malin plaisir à la terroriser mais aussi à ne pas retirer mon membres tout de suite, le laissant à l'intérieur de sa gorge jusqu'à ce qu'elle est le temps de tout avaler, mais aussi jusqu'à ce qu'elle soit totalement épuisé du manque d'air...
Mon but était simple, lui laisser croire que je la laisserait mourir maintenant que je m'étais bien amusé avec elle, et la voir ainsi dans le désespoir m'amusait terriblement... Je continuais d'ailleurs jusqu'à ce qu'elle atteigne ses limite, et ce n'est qu'à ce moment que le long pénis qui avait perdu un peu de sa taille glissa en dehors de sa gorge, jusqu'à enfin quitter l'extrémité de ses lèvres.
Le calvaire allait désormais se terminer pour la jeune Lili, mon membre disparut complètement et sans perdre un instant je remonta vers la surface, avec son corps dans mon bras que je déposa immédiatement à l'intérieur de son bateau. Ses mains étaient toujours attaché derrière son dos...
Quant à moi je ne repartie pas tout de suite dans l'océan, je montais à mon tours sur le bateau et m'assit à côté de Lili en attendant patiemment qu'elle reprenne ses esprits... après tout ce temps passé sous l'eau sans pouvoir broncher elle devait surement en avoir des choses à dire...et j'étais curieuse de voir sa réaction maintenant qu'elle était à l'air libre.
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Sa verge entière continue de racler ma gorge en profondeur, je peux sentir ces veines palpiter contre les parois de ma gorge quand elle s'enfonce jusqu'à la garde, ma mâchoire me fait toujours un mal de chien et je parle même pas de ma gorge qui me brule sous ces vas et viens brutaux.
Je l'entends me dire d'être courageuse, que c'est bientôt terminé.
Je n'attends que ça, que ça se termine le plus vite possible et qu'elle me remonte enfin à la surface, mais est-elle vraiment honnête ou me dit-elle ça pour que je garde espoirs et que je continue à assouvir ces désirs?
Allez savoir, mais ce que je sais, c'est que je me sent faiblir de secondes en secondes et cette sadique de sirène doit le sentir puisque me tenant toujours la tête fermement, elle accélère la cadence de ces vas et viens.
Ma gorge chauffe encore plus, ma poitrine me brule alors que je ne peut pas recracher le gaz carbonique qui est dans mes poumons, je commence vraiment à suffoquer, ma poitrine est prise de convulsions de plus en plus brutaux, je tire sur le lien qui entrave mes poignets à m'en faire mal, je commence vraiment à paniquer et me demande si cette fois elle vas me redonner de l'air à temps.
Je l'entends me dire que sa viens et qu'elle vas me remplir.
Elle fait encore quelques rapide vas et viens avant de s'enfoncer jusqu'à la garde, écrasant mon petit nez contre son bas ventre.
Je sent alors sa queue palpiter, puis tressauter et prendre encore un peut plus d’ampleur dans ma gorge avant de sentir de puissantes et abondantes giclées de foutre chaud, épais et gluant éclabousser ma trachée et remplir mon estomac alors qu'elle pousse un grand cris de plaisir qui doit s'entendre dans tout l'océan.
Alors qu'elle m'avait prévenue qu'elle allait me remplir, je ne pensais pas que c'était au vrai sens du terme, les hommes et autres créatures mâles aimant bien sortir cette phrase avant de jouir ne déverse en générale qu'une certaine quantité, même abondante elle est loin de pouvoir vraiment remplir quelqu'un.
Mais avec cette sirène c'est différant, j'ai l'impression qu'elle ne s'arrête plus, lâchant durant de longues secondes de grosse salve de sperme directement dans mon estomac à chaque fois que sont membre tressaute.
Ci bien que quand enfin son braquemart est pris de dernier soubresaut, j'ai l'estomac lourd, distendu, comme si j'avais vraiment trop mangé.
Ma poitrine me brulant toujours et gardant espoir qu'elle me libère dans les prochaines secondes comme elle me l'avait dit, je tente de reculer ma tête mais ce n'est pas ce qu'elle veut visiblement puisqu'elle retiens ma tête avant de venir poser ces mains sur mes joues.
Puis elle me dit en reprenant son souffle, sa grosse verge entravant toujours ma gorge, que si je recrache ne serait ce qu'une seule petite goute de son sperme, elle me garderait avec elle et me ferais subir à nouveau tout ce que je viens de vivre pendant encore des heures et des heures.
Levant mon regard pour croiser le sien, celui ci l'implorant d'arrêter.
Je la vois sourire, un sourire sadique avant que mes yeux commence à se révulser, prise de spasmes violents, je me sent mourir, perdre conscience.
Juste avant de perdre vraiment connaissance, je sent sont membre sortir de ma gorge puis sombrer dans le chaos.
Je ne sais combien de temps je suis resté inconsciente, mais je me réveille en sursaut comme si je venait de faire un affreux cauchemars, toussant et recrachant de l'eau, je respire à nouveau, ma poitrine me fait encore mal, je suis allongé, j'ouvrent doucement les yeux et vois le ciel bleu ainsi que le soleil qui m'éblouis.
J'ai encore les mains attaché, mais au moins je suis à la surface, respirant profondément, je sent des renvoies remonter le long de ma gorge, je les retiens jusqu'au moment au ou c'est trop, vomissant la crème pâteuse que la sirène à déverser dans mon estomac. Du fait d'être allongé, le premiers renvois de sperme me recouvre le visage et s’étale jusque dans ma chevelure, levant la tête, le deuxième et les autres renvoies s'étale sur ma poitrine, mon ventre, mon entre jambe et une partie de mes jambes, je me sent sale, maculer de ce foutre gluant et collant, mais je ne pouvais pas le garder, je sent qu'il en reste mais le trop plein à été éjecté.
J'ouvre à nouveau les yeux et vois que ma tortionnaire est en face de moi assise, elle me regarde en souriant.
Mais... Mais pourquoi tu m'as fait ça? Pourquoi tu m'as fait souffrir comme ça? Je ne t'ai rien fait? Détache moi maintenant!!!
Je lui demande sur un ton quelques peu rageur.
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Quel spectacle humiliant... voila qu'à présent elle rejetait tout ce qu'elle venait d'avaler en se vomissant dessus, je lui avait pourtant dit que si jamais elle recrachait ne serait-ce qu'une seule goute ce serait loin d'être fini pour elle... heureusement pour la jeune fille j'en avais eu assez pour aujourd'hui et je comptais la relâcher pour de bon.
Regarde moi ça c'est dégoutant... rien que pour cette vision que tu viens de m'offrir je devrais te punir... mais tu as de la chance, je commence à me lasser de toi à force.
La pauvre jeune fille était de toute façon essoufflée, épuisée, jamais elle ne pourrait continuer à en subir plus sans devenir complètement folle, elle en avait déjà beaucoup trop subit. Son regard foudroyant avait beaucoup de mal à cacher son sentiment de peur encore présent.
Mais... Mais pourquoi tu m'as fait ça? Pourquoi tu m'as fait souffrir comme ça? Je ne t'ai rien fait? Détache moi maintenant!!!
Depuis quand on a besoin d'une raison pour s'amuser ? Tu es juste passé au mauvais endroit au mauvais moment et j'en ai profité... rien de plus, et à ta place je me calmerais un peu... si tu continue à m'agacer tu va retourner faire pleins de jolies petites bulles...
Lentement je la détachais, je n'avais plus aucune raison de la retenir captif désormais, puis en la voyant penché ainsi je ne pouvais m'empêcher de me moquer de son sort... c'était plus fort que moi.
Alors... comment vont tes fesses ma petite Lili ? Je te proposerais bien un peu de pommade... mais je n'en ait pas tu vois !
C'était là mes dernière parole à son égard avant de lui balancer les rames en pleines figure et repartir au fond des océans sans qu'elle ne puisse recevoir plus de réponse à ses questions... il n-y en avait de toute façon aucun, elle n'avait été pour moi qu'une distraction parmi tant d'autre, un jouet que l'ont laisse de côté une fois qu'il ne nous amuse plus, alors y avait-il vraiment besoin de faire tout un discours sur ce qui venait de se passer ? Néanmoins avant de me jeter à l'eau je pris le temps de lui adresser une dernière fois la parole... ce n'est pas parce qu'elle avait le droit de repartir désormais que je ne devais pas m'amuser encore un tout petit peu...
J'y pense... tu va devoir rentrer chez toi toute nue, je garde tout tes sous-vêtements comme trophée... tout simplement parce que ça va terriblement m'amuser de penser à tout ces regards posés sur toi dans la rue... j'en rigole d'avance.
Plongeant en arrière d'un bond gracieux, je regagnais l'eau qui était mon milieu naturelle, cette histoire était maintenant terminée alors que le soleil se couchait lentement pour offrir un de ces ciels de couleurs orangé et somptueux.
Et surtout fait bien attention lorsque tu remet les pieds sur la plage la prochaine fois... sache que je guette toujours au fond de l'eau, jamais très loin ma petite Lili...
M'éloignant de la petite barque, je regagnais le large vers un repos bien mérité car mine de rien, j'étais moi aussi épuisée de m'être autant divertie.