Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Runesansuki le dimanche 25 avril 2010, 18:38:14
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[Hrp: C'est comme l'apéro à l'exception que ce sont de vrai rp, donc sérieux, et non du flood. Accessible à tous donc ^^]
Arrivée dans le quartier, je cherche une taverne "A la bonne saucisse" pour une offre d'emploi. Ils cherchent une serveuse et je le sais car ils ont placardés les murs de toutes les rues des alentours de leurs affiches "Cherche serveuse à mi-temps".
*Moi qui cherchait une activité à mi-temps, et bien cela colle parfaitement avec mes souhaits. Et puis, c'est une nouvelle occasion de pouvoir fréquenter les jolis garçons il me semble... Rien à faire il faut que je tente!*
J'accélère alors le pas jusqu'à tombé dessus. Il y a une petite terasse avec quelques tables et... avec encore une grosse affiche accrochée en plein milieu de la vitre. Je souries et dis ironiquement:
<< Hmm... si avec ça les gens ne savent pas qu'ils recherchent une serveuse, je ne vois pas comment faire...... >>
Puis je décide de rentrer. C'était une grande salle aérée avec beaucoup plus de table qu'à l'extérieur. Je vois qu'il y a une petite salle juste à coté avec l'accès à un flipper et d'autre jeux, mais je ne dois pas tous les apercevoir d'où je suis.
<<Bonjours, que puis-je pour vous?>>
Je me retourne alors surprise, je n'avais pas vu le barman en train d'essuyer les verres et les ranger dans le bar. Un peu timide et nerveuse car c'est la première fois que j'ai affaire à une demande d'emploi, je lui demande:
<< Bonjour, excusez-moi, pourrais-je parler au patron s'il-vous-plait? >>
<< Eh bien vous lui parlez déjà jolie jeune demoiselle. Que me voulez-vous? Je vous sers quelque chose?>>
<< Ah? excusez-moi... Euh... non merci, je suis venue pour votre offre d'emploi. >>
Le patron me dévisage de haut en bas puis recommence à parler, d'un air assez satisfait:
<<Très bien. Je me présente, je m'appelle Marco et je suis le gérant de cette taverne depuis un peu plus de 7 ans. Peux-tu m'en dire un peu plus sur toi? >>
<< Je m'appelle Runesansuki, mais tout le monde m'appelle Rune ou Runi, j'ai 17 ans et je ne suis plus étudiante depuis un bon moment. >>
<< Et pourquoi penses-tu avoir les qualités requises pour cette place? As-tu de l'expérience dans le domaine? >>
<< Bien sûr que non mais je ne pense pas que celà soit important. Car il me semble que je suis adroite, je travaille efficacement, j'aurais le sourire et je suis sociable avec les gens. Et surtout, je n'ai que du temps libre hihi >>
Je lui fais pleins de sourires et tente de jouer la naive, avec une petite pointe de séduction: peut-être arriverai-je mieux à décrocher le boulot!
<< Et vous n'avez pas peur de trainer dans un coin pareil? Surtout pour une jolie fille comme vous! >>
Je vois bien que le gérant ne reste pas indifférent à mon charme. D'ailleurs Je sens qu'il commence à loucher sur mes seins: Super, c'est dans la poche!
<< Oh non vous savez, je sais tout de même me défendre dis-je avec un sourire charmeur. De plus je pense qu'avec un patron tel que vous, je serais en sécurité ici... Je me trompe? >>
Le patron se sent emplit d'une certaine fierté, il est quand même bien connu du quartier:
<< Très bien, je vais te montrer les lieux et t'expliquer en quoi consistera ton travail. >>
Le barman m'emmène vers les table encore vide.
<< Voilà en quoi consistera ton travail qui sera le plus courant. Tu devras prendre les commandes des clients et aller au bar pour chercher de quoi les servir. Mais surtout, n'oublies pas d'encaisser. S'il manque des sous, je me verrais forcer de retirer sur ton salaire! Ah, et encore un détail, les clients ont tendance à pincer les fesses, c'est leur manière de... de vous montrer combien vous êtes charmante! >>
<< Oui patron. Cela ne me gêne pas, les clients... j'aime les croquer... m'enfin si vous voyez ce que je veux dire...>>
Le patron rigole suite à mon commentaire et me déclare:
<< Appelle moi donc Marco, ici c'est une ambiance cool alors pas de vouvoiement. Viens en haut que je te montre à l'étage.>>
Nous montons les escaliers, il est d'un vieux bois bien entretenu et assorti au reste du décors. Arrivé en haut il ouvre une des chambres qu'il me présente.
<< Voilà, ici ce sont les chambres à coucher comme tu as pu le remarquer. On pense toujours que c'est seulement pour dormir or c'est faux.>>
Elles ne sont ma foi pas d'une grande classe mais elle me paraisse très confortable et très chaleureuse.
<< Les clients viennent souvent pour s'amuser, si tu vois de quoi je parle.. D'ailleurs si tu voudrais t'amuser avec les clients tu as le droit, mais en dehors des heures de travail. >>
Le patron continu avec un sourire un peu plus prononcé.
<< D'ailleurs si tu voulais discuter d'une éventuelle augmentation, ça se fait dans ces chambres hin hin hin...
Ici, le seul boulot est de faire les lits au minimum une fois par jour et de monter régulièrement voir si tout est en ordre et propre. Des questions?>>
<< Cela veut donc dire que je suis bien engagée je suppose...?>>
<< C'est cela, mais à l'essaie bien entendu. Pour le moment..>>
Le patron à céder à mon charme. Il s'est tout un coup rapproché de moi en me plaquant contre le mur puis il passe sa grosse main chaude dans mon cou qu'il laisse glisser tout le long jusqu'au dessus de mes seins. Il commence à en empoigner un quand la petite clochette à l'entrée retenti. Je le stop direct en repoussant sa main qui avait décidément dépassée les limites pour un début et lui lance:
<< Un client... vient d'arriver et personne en bas pour l'accueillir... pas le choix il me semble.>>
<<Tu m'as dis que tu avais du temps libre, quand peux tu commencer? >>
<< Eh bien... dès maintenant si vous le souhaitez!>>
<< Très bien dans ce cas, allons-y.>>
On descend alors, lui dégouté de pas avoir pu continuer son exploration, pour aller à la rencontre du client.
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Descend dans la taverne, toujours aussi peu vêtu qu'à l'accoutumé.
Il y a assez peu de monde encore dans l'établissement.
"Bonsoir à tous !"
S'avance jusqu'au bar
"Un verre de vin je vous prie"
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Toujours avec le sourire, j'accueille ma nouvelle cliente:
<< Bonsoir. Très bien mais quel genre de vin? >>
Je lui montre en même temps tout une gamme de vin de toute les sortes et la laisse choisir pendant que je prends un verre de vin pour la servir.
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Enfin un tout petit peu de repos. Une petite promenade dans Seikusu et qui est-ce que Kamui ne voit pas? Melisende. Lorsqu'on demande congé à son seigneur, ce dernier pense plus à une sieste bien méritée à la plage, mais bon, chacun ses passes temps favoris, non? Et puis bon, tant qu'à être ici et pas au fief, autant valait-il mieux en profiter pour connaître davantage cette magicienne. Il entra dans le bar sans hésiter, mais aussitôt, des sentiments étranges s'éveillèrent en lui. Il chercha leur source et il vit Runesansuki qui approchait. Son cœur palpitait d'excitation alors que sa tête ne comprenait pas. Il était sûr de ne pas la connaître. Néanmoins, il tint sa langue et se dirigea vers Melisende, évitant de croiser le regarde de l'autre jeune femme à la chevelure écarlate.
- "Vous fréquentez des bars? Je ne vous ai pourtant jamais vu à la taverne du village..." L'aborda-t-il en s'asseyant à ses côtés.
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Voyant arrivé kamui je sers le point et met de coté ma rancœur envers lui. Je le regarde dans les yeux et lui demande doucement avec un sourire, cette fois forcé:
<<Que puis-je pour toi?>>
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Malgré l'animosité qui émanait de cette femme, le jeune seigneur tenta d'ignorer la douleur à sa tête et s'installa sur un tabouret du bar.
"Je prendrais un diablo, s'il vous plait..." Dit le jeune homme.
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Je lui sers sa boisson et lui depose sechement le verre. Puis je songe à la petite véro. J'espere qu'elle pourra trouver le moyen de venir en sécurité. J'ai demandé au patron de la garder avec moi et il a accepté. Ma petite véro.... elle me manque beaucoup, reviens moi vite ma bela bambina!
En attendant son arrivé je décide de me prendre un petit kir et je me dirige vers une des tables. J'allume la musique et m'assois à ma table.
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Nava arpentait les rues de la ville à la recherche d'un bar, d'une boîte de nuit, afin de rencontrer des gens, voire une femme, histoire de changer un peu le caractère routinier de sa vie ces quelques derniers moi.
Il marchait depuis une bonne heure, il commencait à faire plus sombre et comme en cette période de l'année, les lieux d'habitude fréquentés étaient déserts, il était dur de trouver ce qu'il cherchait. Néanmoins, en s'éloignant du centre de la ville, il tomba sur une rue où la seule source d'animation et de lumière semblait être un établissement plutôt récent. En effet, cet endroit venait à peine de rouvrir, les prix semblaient plus que raisonnables. Bref, l'endroit parfait.
Il pénétra alors dans cette taverne au nom singulier, un moment, il pensait arriver dans une maison close mais les quelques personnes présentes lui ôterent les derniers doutent à ce sujet. Il s'avanca vers la barmaid, il ne boirait pas de suite de l'alcool, il préférait en fait attendre un peu plus d'ambiance.
-Excusez moi, mademoiselle, vous auriez quelque chose de léger ou un jus à me servir?
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Eleindra avait grand besoin de se détendre et avait choisi d’aller dans la nouvelle taverne qu’on lui avait chaudement recommandée. Pour une fois elle était seule mais elle ne serait pas contre un peu de compagnie. Elle arpentait depuis un moment les rues de ce quartier qu’elle ne connaissait que trop bien.
Une fois face à la devanture, elle ne pu réprimer un sourire en voyant le nom de l’établissement assez évocateur. Elle entra et vit qu’il y avait pas mal de monde. Elle se dirigea vers la serveuse afin de passer sa commande. Ce n’était pas trop cher mais apparemment de bonne qualité.
Eleindra s’installa au comptoir.
– Auriez vous un Maï Taï s’il vous plait ?
Quelque chose de pas trop fort histoire de commencer à se mettre dans l’ambiance.
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Le bordel était calme, et Jason dormait. Dans ses bras, toute tremblante, à la fois de dégout et de souffrance, la petite Véro tentait de calmer ses haut-le-coeur et les douleurs de son bas-ventre. L'enfant se défit doucement de son frère, qui était assommé à cause des effets l'alcool, la drogue et le sexe. Cette nuit, Véro avait bien payé sa fugue de plusieurs mois. Et Runi lui manquait... Sans attendre, elle se jeta à la douche, se lava très bien tout partout puis se soulagea. Le sexe violent lui avait causer des problèmes à ce niveau et elle aurait du mal à se contenir. Elle avait entendu, par les autres filles du bordel, qu'un bar était ouvert et qu'elles auraient vue une jolie demoiselle aux cheveux rouges comme le rubis entrer.
Une fois propre et ses besoins gênants satisfaits, elle accourut hors de la maison, se hissant sur un petit tabouret pour ouvrir la porte. Les rues malpropres du quartier de la toussaint empestaient l'urine fraîche et le sperme des viols qui s'y produisaient. Elle ne s'attardait jamais dans les rues et courrait vite pour éviter les mauvaises rencontres, bousculant les gens si nécessaire. Elle se rendit à ce bar, pas très loin, et y défonça la porte. Évidemment, sa démarche était bizarre à cause des maltraitances physiques, mais elle cachait tant bien que mal ses problèmes. Elle vit Runi et tendit les bras.
"nuuuh...! NUUH!..." L'appela-t-elle.
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[au faite je ne suis pas la seule serveuse, il y en a un autre comme ça même si je ne suis pas là vous n'êtes pas obligé de m'attendre pour boire xD ]
En voyant tout le monde arrivé, je suis de plus en plus satisfaite. Je vais pouvoir montrer à mon patron ma vraie valeur et peut être m'engagerait-il définitivement...? Je me relève donc et met la musique un peu plus fort pour chauffer l'ambiance. Puis je vais au bar et accueille les nouveaux arrivants avec un large sourire en essayant de cacher mes inquiétudes pour ma petite Véro. Je les installe et leur sert leur commande. Par moment je m'arrête au près d'eux et discute un petit peu avec.
* Tiens je sais ce qu'il me manque moi... un bon grooos câlin mais dommage que Emilia ne soit pas là... Beuh tant pis! *
D'un coup la porte claque contre le mur, tout le monde fait un bref silence puis recommence leur occupation en apercevant la petit Inu qu'ils connaissaient tous déjà. Je la regarde qui tremble et qui marche bizarrement. Puis elle m'appelle, je me mets alors de suite à la prendre dans mes bras.
<< Ma puce! alors...? comment ça s'est passé avec ton frère, hein? qu'est ce qui s'est passé? raconte moi... Tu veux boire un bon lait de mon sein...? >>
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Les minutes avaient défilé, Nava avait fini par déguster sa boisson jusqu'à la dernière goutte. Enfin! Enfin, la soirée commencait, tout était parfait: il n'avait plus le gosier sec, mais bel et bien rafraîchi, prêt à engloutir n'importe quel alcool, aussi, le lieu avait fini par se remplir.
Il y avait d'ailleurs une demoiselle pour le moins attirante qui était rentrée peu après lui et avait également consommé quelquechose de léger. Il se disait qu'elle était plutôt belle, peut-être qu'il l'aborderait par la suite mais pour l'instant il préférait l'observer.
Ses yeux finirent par se balader sur les murs, les chaises, en inspectant la taverne, il la trouva rustique mais charmante, avec une ambiance chaleureuse, affable. Ce devait être cette couleur "bois" qui dominait cette impression. Plus loin du bar, se trouvaient des banquettes avec des coussins capitonnés qui formaient des hémisphères, certainement dédiés pour les invités et les clients cherchant plus de discrétion ou de relaxation. Il s'y dirigea.
-Servez moi une bière fruitée à cette table, s'il vous plaît.
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Pendant qu’elle dégustait lentement son cocktail, Eleindra s’était retournée pour faire face à la salle. Elle observait les clients qui discutaient tranquillement. Il y avait beaucoup de monde, la force de la nouveauté certainement.
Le regard de la jeune femme s’arrêta sur un jeune homme qu’elle trouvait à son goût. Elle se rendit compte qu’il la regardait avec attention. Elle papillonna des paupières, un peu interloquée, et finalement lui sourit. Elle but la dernière gorgée de son verre et se recommanda la même chose en précisant qu’elle changeait de place.
Elle sauta avec légèreté de son tabouret et se dirigea vers la table de l’observateur. Puisqu’il semblait apprécier le spectacle pourquoi ne pas lui montrer d’un peu plus près.
- Bonsoir. Excusez moi de vous déranger mais je vois que vous êtes seul…c’est aussi mon cas et je me demandais si vous accepteriez ma compagnie ?
Quelqu’un a dit qu’il fallait laisser les hommes faire le premier pas ? Dans le monde d’Eleindra cette donnée n’apparaît pas.
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Après une très dure journée de travail au lycée, Marine errait dans le dédale des rues du quartier entourant son chez elle.
Elle finit par tomber devant une enseigne au nom étrange : "A la bonne saucisse !". Le nom la fit sourire. Elle haussa les épaule et pénétra dans l'établissement. Il y avait déjà quelques personnes, des habitués probablement. La jeune femme se dirigea vers le bar en se demandant ce qu'elle allait bien pouvoir prendre.
"Euh... un jus d'orange, merci !"
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La jeune femme réfléchit à peine.
"Un vin rouge, saint Emilion, merci"
Elle regarda la serveuse lui verser le beau liquide couleur sang dans un verre à dégustations. Mélisende attrapa le verre et sentit l'arome du vin.
Puis son regard se porta sur la salle. Pas grand monde, pas vraiment de personnes qui pourraient l'intéresser, du moins pour l'instant.
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Elle ne venait que très rarement sur Terre, et pour cause, elle trouvait l’endroit d’un ennuis bien particulier. Seulement, il faut savoir faire des exceptions quand on doit faire affaire. La nuit était tombée et Firiel cherchait un endroit où passer sa soirée. Elle jeta son dévolu sur la taverne au nom éloquent. Il y avait beaucoup de monde, au moins elle passerait inapercue au milieu de toute cette populace.
- Un Hydromel s’il vous plait !
La serveuse lui servit son verre et Firiel s’empressa d’aller s’asseoir dans l’une des alcôves encore libres.
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Krory venait de finir une journée très éprouvante, deux boulots consécutifs effectuer sans repos, que du boulot.
Il décida d'aller faire un petit tour pour lui changée l’idée. Comme il a l’habitude, il se balada dans les Alentours de la ville, lieux de mésaventure ou dans tous les coins de rue se trouve quelque chose à faire.
Il parcourra les rues au hasard, et tomba devant une enseigne bien rigolote " A la bonne saucisse ". Puis de plus la façade lui inspirait la convivialité.
Il poussa les portes et entra, un petit son de clochette retenti.
IL vue au loin, par un heureux hasard Marine .Krory sourit et se dirigea vers elle.
Il s'assit a côté d'elle et la regarda avec un petit sourire.
" Salut toi, je suis content de tombé sur toi je crus que j'allais être tout seul, sympathique cette petite auberge, tu ne trouve pas ? "
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La taverne se remplissait peu à peu, ce qui n'était qu'un léger bruit de fond au départ tendait à devenir un léger brouhaha pas spécialement désagréable. Heureusement pour Nava, toutes ces personnes ne venaient pas interférer entre lui et celle qui observait depuis peu. A peine avait-il commandé sa seconde boisson et s'était installé dans un endroit plus confortable que la demoiselle s'était approchée et lui avait proposé sa compagnie.
Cette soirée se présentait sous de très bons auspices, advienne que pourra avec cette femme, il ne pourra rien arriver de mal . Qu'il y trouve une personne avec qui dialoguer, discuter ou même une partenaire plus intime, le sourire ne partirait pas aussitôt de son visage.
-Mais, j'vous en prie, installez-vous. Qu'est ce qui vous amène donc ici?
Le ton employé se voulait le plus affable possible. On pouvait y sous-entendre ce que l'on voulait, mais la politesse était présente.
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Le jeune homme avait accepté la requête de la jeune femme qui en fut ravie. Elle s’affubla d’un sourire avenant et s’assit suffisamment près de lui pour qu’ils puissent commencer à discuter sans être trop dérangé par le bruit environnant. La serveuse lui apporta son cocktail qu’elle porta à ses lèvres avant de répondre à la question de son nouveau compagnon.
- Eh bien, je pense être là pour la même raison que le reste des gens ici présent, un peu de détente après une longue journée ainsi qu’un peu d’amusement, quel qu’il soit. N’est ce pas votre cas ?
Elle lui avait dit ça d’une façon un peu moqueuse, non pas de l’ironie mais plus avec une certaine malice. Elle plongeait ses yeux dans ceux de son vis-à-vis à qui elle n’avait pas donné son nom. De toute façon, ils avaient toute la soirée pour se présenter plus amplement.
Eleindra ne savait pas trop ce qu’elle devait attendre de cette rencontre naissante, mais elle espérait qu’il puisse casser un peu la monotonie de sa vie, du moins le temps d’une soirée.
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marine buvait son jus d'orange à petites gorgées lorsqu'elle vit apparaître une silhouette connue de la demoiselle. Le jeune homme l'a reconnu tout de suite d'ailleurs et vint s'asseoir près d'elle. Il semblait ravi de la voir. Elle ne s'attendait pas vraiment à le voir là.
Elle lui adressa un léger sourire.
"Bonsoir à vous! heureuse de vous voir également!"
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ENVIE DE BOUGER BOUGER!!!
Me lève en courant vers la chaine hifi et met à fond la musique, allé soirée chaude ce soir!! C'est la FIESTAAAAA bouger bouger vos ptits culs tout l'monde! OLEEEEE! OLE OLEEEEE!!!!! Et on se motiiiiive et on bouge son boule!!! goooo huhuuuuu
(pétage de cable moi non? Oo)
Edit: Fait la fete seule apparemment xD po grave c'est cool de danser! ^^
*J'monte sur une table et me met à danser comme une tite folle ALLER CEST PARTI!!!! YOUUUUHOUUUU!!!* Faut pas que jtombe... oups xD
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-Bah, asseyez vous confortablement alors. Vous allez bien me raconter ce que vous faite dans cette ville!
Elle s'installa sur la banquette moelleuse, ni trop loin, ni trop proche de lui, quitte à pouvoir suggérer n'importe quoi. Elle avait de belles jambes, assez longues, soyeuses, sa jupe cachait une partie de ses cuisses mais on pouvait déceler la naissance de celle-ci. De telles formes avec de tels habits enivraient le spectateur d'une manière très subtile. C'était le genre de femme à découvrir petit à petit afin de savourer chaque nouveau territoire conquis.
Grisé par ce rapprochement, il voulut fêter ça avec une nouvelle tournée de boisson.
-Vous allez me dire comment vous vous appelez, mais avant ça, dites moi ce que vous voulez boire.
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Lui dire ce qu’elle faisait dans cette ville, c’était une chose à laquelle Eleindra ne pouvait répondre entièrement. Du moins pas avec un inconnu. Ce dernier l’invita à boire un autre verre qu’elle accepta.
- Une Tequila Sunrise s’il vous plait.
Voyant que le jeune homme avait le regard qui glissait sur ses jambes, elle les croisa, avec une certaine lenteur, laissant entrevoir quelques centimètres de peau supplémentaire quand la jupe remonta pour suivre le mouvement. Pas de quoi l’enflammer, mais suffisant pour effleurer un peu son imagination.
- Je me nomme Eleindra, je suis arrivée il y à peu à Seikusu. Pendant la journée, je travaille en tant que vendeuse dans une boutique de vêtements. – Elle s’arrêta de parler un instant – A votre tours, présentez vous un peu !
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-Pour ma part, je m'appelle Nava Kaul. J'enchaîne les p'tits boulots à droite à gauche dans cette ville ces temps-ci. Parfois, je suis un des hommes à tout faire du lycée, tantôt je nettoie le centre commercial, c'est pas super bien payé mais je mène pas non plus la grande vie donc j'ai pas à me plaindre.
Il continuait à toiser du regard. Il était perplexe: cherchait-elle seulement de la compagnie pour boire, un amant d'un soir, l'âme soeur? Son attitude n'en disait pas plus qu'elle, Eleindra s'était montrée séduisante mais pas pour autant séductrice. Du moins pas encore. Peut-être qu'au fond de lui, Nava espérait en fait une aventure sans lendemain, quoique s'il fallait se limiter à discuter autour d'un ou plusieurs verres, il en serait presque tout aussi ravi.
Dans la taverne, comme la nuit était enfin tombée, une des serveuses avait décidé de faire péter la sono, histoire de mettre un peu d'ambiance. Si, désormais, il avait plus de mal à entendre ce que lui disait Eleindra, ils se retrouvaient néanmoins plus à l'aise pour être à l'écart des autres.
Mais, à peine le temps de faire ces constatations que les boissons leur étaient servies.
-Santé!
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Eleindra aurait pu remercier la serveuse de lui offrir cette musique. Non pas qu’elle est envie de danser, mais l’ambiance était propice aux rapprochements. La jeune femme accompagna son hôte lorsque leurs verres arrivèrent. Une fois son verre reposé sur la table, elle vint se coller à Nava en utilisant le prétexte du bruit qui pourrait les gêner. Non, elle n’attendait pas qu’une simple discussion autour d’un verre, même si cela était agréable.
Elle se pivota de coté et posa l’une de ses mains sur la cuisse de Nava, laissant son décolleté à sa vue. Elle prit un léger appui sur sa jambe afin de monter sa tête au niveau de son oreille et elle lui glissa :
- Que diriez vous mon cher Nava, si nous abandonnions le vouvoiement pour passer à autre chose ?
Sa voix s’était faite sensuelle, et elle resta ainsi, sa main posée au même endroit, son souffle au creux de son cou. Elle attendait un commentaire, même négatif. Après tout si elle souhaitait approfondir le terrain, rien ne lui avait prouvé que lui était dans ce cas. Il était encore possible pour la demoiselle de se faire poliment éconduire.
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La demoiselle avait pris les devants. D'une vitesse féline, Eleindra se retrouvait déjà à ses côtés, la main sur sa cuisse. Cette présence, ce toucher et ces mots qu'elle lui avait doucement sifflés à l'oreille l'avait copieusement grisé. Cette sensation couplée à l'alcool avait fait glissé Nava vers d'autres émotions. Il passait d'une douce ivresse, où l'on savoure tranquillement son verre sans demander son reste, vers un léger sentiment de désir. Le genre de désir que l'on lit sur un homme qui laisse de temps en temps vaciller ses paupières au gré de la fatigue, qui a les joues un peu plus roses qu'à l'accoutumée et qui ne refuserait pour rien au monde un peu de tendresse féminine.
Comme les bateaux qui profitent de la brise pour prendre le large, il s'élanca dans la brèche que venait d'ouvrir Eleindra.
-Serveuse, remettez-nous la même chose s'il vous plaît.
Il se tourna alors vers sa commensale. Posa sa main sur sa cuisse et remonta de quelques centimètres, sa jupe se releva quelque peu, mais rien qui ne puisse attirer l'attention.
-Bien sûr, je suis tout ouïe à tes suggestions.
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Il est 1H00 du matin Djinn traine dans tout ce qu'il veut c'est errer et aller dans un endroit ou personne ne la fera car comme il venait de terminer sa journée ou plutôt sa nuit de boulot il voulait être peinard or il trouva une taverne ayant pour nom "A la bonne saucsisse pas d'autre bistrot à proximité donc il entra s'assit à un tabouret prêt du comptoir.
-Je paye ma tourné servez ce que vous avez de plus fort.
Le serveuse servit un cerceuil à tout les clients, beaucoup refusèrent de boire la substance noirâtre et certain burent et tombèrent. Djinn bu lentement son verre c'est alors qu'un imbécile bourré vint lui parler.
-EH...Tu doit avoir des thune pour payer la tournée d'une boisson aussi chère tu devrait me donner ton portefeuille, j'en ferais meilleur usage.
Djinn prit son tabouret et l'éclata sur la face de l'alcolo les barreau en fer du siège prenant la forme de son crane.
-Mince ou vais-je m'assoir maintenant?
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Eleindra repoussa gentiment les verres d’alcools douteux de l’inconnu préférant celui que son compagnon lui offrait, qui était bien plus sucré. Nava ne l’avait pas repoussé, bien au contraire, et lorsqu’il posa sa main sur elle, un léger frisson la parcoura. Elle n’était pas insensible au charme de son partenaire et comptait bien lui montrer.
- Je suis contente d’avoir ton attention, mais disons que, de tes cinq sens, l’ouie n’est pas celui que j’aimerais flatter.
Sur ces mots, elle déposa avec une douce volupté ses lèvres fruitées sur celles du jeune homme. Quelque peu entraînée par son propre désir la jeune femme laissa sa main remonter le long de la jambe de Nava pour aller flirter avec son entrejambe. Son autre main alla se perdre dans sa chevelure. Elle ne s’inquiétait pas du regard des autres, ceux-ci ayant été attirés par la démonstration du nouvel arrivant.
Même si Eleindra n’est pas tellement pudique, il n’en restait pas moins qu’ils se trouvaient dans un lieu public. Si Nava répondait à ses petites avances, ils devraient très certainement trouver un autre endroit plus intime.
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Il s'était élancé dans la brèche et, comme une jolie paire au poker, fut récompensé assez rapidement et de la meilleure des manières qui soient. La main dans ses cheveux, l'autre contre ses attributs, ses lèvres contre les siennes, c'étaient autant de cadeaux qui lui firent gonflé son ego. De plus, Nava était le genre d'homme pour lequel on observait une relation de proportionnalité entre l'ego et...Bref.
Tout ça le flattait donc, son excitation et ses sens explosèrent, il fallait foncer tout de suite, profiter de cette soirée, de cette fille, de l'alcool...Il se mit à réfléchir quelques instants: son appartement était trop loin, il ne voulait pas non plus se montrer goujat en allant chez Eleindra. Il ne restait qu'une solution. Il appela discrètement une serveuse.
-Dites, le prix d'une chambre pour une nuit?
Elle n'eut que le temps de lui répondre qu'il déposa le compte juste sous son nez. Il invita ensuite Eleindra à l'accompagner vers la chambre dont il venait de recevoir les clés, la chambre 16 (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=3555.0).
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Je rentre aujourd'hui au bar. J'avais demandé au patron mon après-midi et en revanche je devais venir travailler le soir. Arrivée, j'ai à peine le temps d'enfiler ma tenue que un client m'appelle déjà. Je le reconnais de suite. C'est une personne que j'avais déjà vu à plusieurs reprises, notamment à la taverne. Il est séduisant, mais malheureusement, pas pour moi ce soir: il est avec une copine et je suis en service, dommage...
<< Bonjour, que puis-je pour vous? >>
<< Dites, le prix d'une chambre pour une nuit? >>
<< 46,17€ >>
Il me dépose rapidement l'argent devant moi. Eh beh, monsieur est vraiment pressé d'aller au lit avec mademoiselle. Je retourne au bar et prend une clé au hasard. La clé de la chambre 16. Tiens, c'est la chambre que le patron m'a présenté il me semble. Je retourne à leur table et leur donne la clé. Le couple se précipite alors dans la chambre et j'en profite alors pour débarrasser leur table et la nettoyer. Je retourne au bar et compte l'argent que j'ai gagné jusqu'ici. Hmm oui j'ai largement ce qu'il faut pour offrir un verre à tout le monde. Je met déjà l'argent dans la caisse puis je pars diminuer le son pour faire une annonce:
<< J'offre ce soir un verre à tout le monde!!! Aujourd'hui c'est l'anniversaire de ma petite fille chérie alors j'espère que vous trinquerez avec moi en son honneur >>
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La petite sursaute en entendant sa mère adoptive s'écrier que c'était son anniversaire, reversant par mégarde son chocolat chaud sur la cuisse d'un client à coté d'elle, l'index dans la bouche, regardant dans la direction opposée. Le client hurle et s'enfuit dehors en jurant et sacrant, renversant la petite puce qui s'écrase sur le sol. L'enfant se redresse vite, nettoie son pull bleu tout déchiré en tapotant de ses petites mains. Une fois plus ou moins propre, débarrassée de la poussière, elle s'approche avec sa démarche étrange de sa mère et lui tire doucement le chandail pour attirer son attention, les yeux brillants d'incompréhension.
- Nuuuh? Fit-elle innocemment.
Après tout, elle ne lui avait jamais dit sa date d'anniversaire, mais elle avait pourtant vu juste. Où avait-elle entendu parlé de cela? C'était assez surprenant, admettez, qu'une jeune femme qui vous adopte en ne sachant que votre nom et votre apparence, ainsi qu'un peu de votre intérieur, qui ne se rend rarement compte que vous la reluquez une fois de temps en temps quand vous prenez votre bain ensemble connaisse votre date de naissance... non?
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Voyant la petite renverser son chocolat je rigole intérieurement. Ralala celle là... elle restera toujours maladroite, pire que moi! Je la vois ensuite se fait bousculer par ce vieux client.
* Quel brut! Il est gonflé de la pousser comme ça! Lui il n'y connait rien aux enfants, j'espere pour lui qu'il n'en a pas! Non mais oh! *
Je retourne mon regard vers elle à nouveau. La pauvre petite se redresse vite et malgré cette bousculade, elle me regarde toujours aussi étonnée par ma déclaration. Elle se nettoie puis s'approche de moi. Je lui souries et intérieurement j'espère avoir réussi mon coup.
<< Nuuuh? >>
Je lui tends les bras et comme si j'avais compris qu'elle me demandait "comment tu connais ma date d'anniversaire" je lui réponds avec assurance.
<< Ma puce, cette nuit tu as dormi avec moi, tu t'en rappels? tu as parlé. Tu as tout raconté sur ta journée d'hier à propos de ton frère... Je n'ai pas envi que tu y retournes, restes avec moi ma puce, c'est trop dangereux... Je m'inquiète vraiment pour toi ma belle... Mais néanmoins, lors de ton rêve tu as énoncé ta date d'anniversaire. Joyeux anniversaire ma chipie d'amour! J'espère que ça te plait!>>
Je sors un petit billet de ma poche de 20€ que je lui tends.
<< Tiens, c'est pour toi. Achète toi ce que tu veux avec cet argent. Des bonbons, des chocolats, des vêtements, tu peux choisir. Et si tu n'es pas trop impatiente d'attendre, je pourrais t'emmener d'ici les jours qui suivent au centre commercial si tu veux. Une journée entre fille ça te va? >>
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Djinn prit un autre tabouret en laissant l'imbécile agoniser au sol et entendit avec joie la tournée gratuite, il ne savait pas quel alcool était dans son verre mais c'était peu important puisqu'il avait envie de se saouler, il se mit à boire cul-sec et c'est à ce moment qu'il sentit l'ivresse monter en lui, il paya sa tournée et bu de nouveau, il fit cela au moins cinq fois avant de remarquer une des serveuses qui était très belle, il demanda d'une voie complètement saoule.
-Vous...hic...savez que-que je vous ait remarqué tout à l'heure, c'est combien une nuit dans...hic...cette taverne
Il posa l'argent sur la table et attendit la réponse de la serveuse
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Marine avait passée une bonne soirée avec Télios l'autre soir aussi avait-elle décidé de revenir en ce lieu plus ou moins malfamé. Il y avait encore assez peu de gens en ce début de soirée mais cela allait venir. La jeune femme avait changée de tenue, une fois n'est pas coutume. Elle portait sa combinaison verte foncé qui la moulait parfaitement, un peu trop à son goût ! Elle s'était donc bandé la poitrine, le soutien gorge ne la comprimant pas assez à son goût. Elle était chaussée d'une paire de bottes noires qui lui arrivaient au dessous des genoux.
Elle alla au comptoir.
"Bonsoir, un jus de pomme s'il vous plait"
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(et personne ne vient me dire joyeux anniversaire... PATATES!)
Plutôt que de s'emparer de l'argent, Véronique prit la main de Runesansuki, se dressant sur la pointe de ses petits pieds, alors qu'elle disait de mauvaise chose sur son grand frère. Elle aurait voulu lui plaquer d'un coup les mains sur la bouche pour qu'elle n'en rajoute pas, mais elle était bien trop petite pour seulement atteindre son nombril, alors, son visage... Elle boucha ses oreilles un moment jusqu'à ce qu'elle change de sujet, toujours ce qui concernait son délire nocturne. Elle tira doucement la main de Rune et monta dans ses bras, agile comme singe, et se lova dans ses bras. Elle était très contente que Runi ait préparé une petite fête pour elle, elle trouvait cela très très gentil, mais elle n'avait jamais fêté son anniversaire de naissance!
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*Donc comme ça, je suis sur ce qu'on appelle la Terre, quoi de plus important que de d'abord observer ce qu'il se passe dans un lieu a forte fréquentation...*
Le panneau annonce : "A la bonne saucisse". Diogène entra, jeta un rapide coup d'oeil a la salle, quelques personnes mais il reste de la place, dont une près du bar.
*Va a cette place!*
Il y alla d'un pas nonchalant, s'assied sur le tabouret, et dit en direction de la serveuse, enfin elle semblait l'être, dont l'attention était visiblement accaparé par une enfant:
_"Excusez moi, avez vous un quelconque breuvage a base de cette plante nommé artemisia absinthium?"
*Ne parle pas de cette manière, sois clair!*
_"Euh je veux dire, pouvez vous me servir un verre d'absinthe et combien cela coûte?"
Il se maudit intérieurement de son manque d'aisance en relationel, mais bon perdre la mémoire de son passé et intégrer l'Illustre, il faut le temps de se réadapter se dit-il
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L'aire imperturbable portant son long manteau noir sous la fine pluie qui s'abattait sur la contrée, voila l'allure qu'avait Furokuro quand il s'arrêta pour détourné son regard sur une sorte de bar.
La bonne saucisse... j'espère que leurs boissons ne sont pas aussi mauvaises que leurs gouts à nommé un lieu.
A vrais dire cette nuit la chasse avait était rude, il venait d'exécuter un contrat ou le but était la mort d'un lycan et ses blessures aux bras provoqué par celui-ci lui faisait encore mal. Alors pour une fois la seule chose dont il avait envie était de se poser un moment pour boire un verre avant de rentré chez lui.
Il poussa la porte sans même prendre la peine de dire un bonsoir et encore moins de regarder les gens autours de lui pendant qu'il marchait vers le comptoir. Puis s'asseyant sur un tabouret libre il déposa quelques pièce devant lui avant de dire à la serveuse sans même la regardé :
-"Un whisky..."
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Abies passant dans le sombre quartier de La Toussain, elle tombe sur une taverne qu'elle n'avait jamais remarqué jusque là. Le nom de cette taverne est curieux, c'est pourquoi la petite fille décide d'y entrer, sa peluche serrée contre sa poitrine. Arrivée à l'intérieur, la magicienne remarque que beaucoup de personnes se trouvent là, pour la plupart buvant diverses boissons. L'ambiance qui se dégage de la pièce est inexplicable, seulement elle pousse l'homoncule à s'arrêter quelques instants. Elle s'assoit alors sur un des hauts tabourets, devant le comptoir, n'ayant pas d'argent.
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Je rigole face à la réaction de la petite. Elle est mignonne avec sa petite bouille.
<<Eh bien... j'espère au moins que cela te fait plaisir! >>
Je lui souries puis je la pause dans la petite salle arrangé pour les jeux.
<< Excuses-moi ma puce, je ne peux pas rester avec toi là, je suis en service là. Mais ne t'inquiète pas je ne compte pas t'abandonner! Bisous ma belle... >>
Je repars, une petite boule dans le ventre, je sais comment réagira la petite, elle n'aime pas quand je la laisse... Mais pas le choix...
Je regarde tout autour de moi et observe mes clients, cherchant ceux qui pourrait avoir besoin de moi.
<< Excusez moi, avez vous un quelconque breuvage a base de cette plante nommé artemisia absinthium? >>
Je me retourne avec vers cette personne étrange et tente de traduire clairement ce qu'il me demande...
*Artemisia absinthium? Bizarre la façon dont il me demande son breuvage...*
<< Euh je veux dire, pouvez vous me servir un verre d'absinthe et combien cela coûte?"
Je lui souries alors et lui apporte sa commande:
<< C'est 18€ le verre d'absinthe s'il vous plait... >>
Je réceptionne l'argent puis sert ensuite le verre de whisky au client d'à coté.
*L'est bizarre ce type là... Je suis pas la boniche non plus! Et le respect alors, on en fait quoi?! Non mais jte jure! ... Bref, j'espère qu'il va pas mettre le bazar dans la salle... *
La cloche sonne. Je vais accueillir le nouveau client... ou plutôt une enfant. Elle est craquante tout plein avec sa petite peluche qu'elle traine avec elle:
<< Bonjour mademoiselle, que cherches-tu dans un endroit pareil? As-tu soif ou faim? >>
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Au final, Véronique regretta de s'être laissée emporter par la joie du moment. Runesansuki l'avait déposée sur le sol en lui disant qu'elle devait travailler. Déçue par cette parole, la petite la regarda faire un moment puis s'esquiva discrètement, passant derrière le bar, évitant soigneusement d'être vue par le propriétaire de ce dernier, et sortit par l'entrée des employés. Sans plus attendre, elle déguerpit, renversant dans sa fuite les motocyclettes rangées en domino, les faisant tomber sur les sols dans un grand fracas, ce qui poussa tous les motards du bar à sortir en hurlant après l'enfant, qui s'enfuit en pleurant. Sans regarder derrière elle, elle retourna au bordel et alla se vautrer dans les bras de son frère qui dormait toujours, déchirant son pull là où Runi l'avait raccommodé. Elle pleura son content, faisant bien attention de ne pas réveiller Jason.
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*Ouf j'ai été compris finalement*
Il prit le verre délicatement, le fit pivoter, observa le liquide, puis en bu une minuscule gorgée, il laissa les saveurs se déveloper
*humm fenouil, anis étoilé, melisse, grande absinthe... bas de gamme mais ca fera l'affaire*
Il continua a boire son verre, en rêvassant, ses pensée devenant moins confuse au fur et a mesure que le verre se vider, enfin ce n'était plus la même confusion...
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Abies, voyant une fille au physique plus que favorable arriver dans sa direction, penche sa tête en direction du bar, pour ne pas qu'elle la voit. Maintenant à quelques centimètre seulement de la lapine, la demoiselle lui demande ce qu'elle cherche ici et si elle a besoin de manger ou de boire.
<< Non... Je n'ai pas d'argent madame... Je... Je suis désolée... J'ai vu cet endroit alors j'ai voulu tout simplement y entrer, par curiosité... >>
L'homoncule sert fortement sa peluche contre lui, de peur qu'il lui arrive quelque chose suite à sa présence que la fillette sent comme indésirable.
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Voyant qu'elle détourne la tête en direction du bar, je pose deux doigts en dessous de son menton et lui tourne le visage face à moi, me voulant être rassurante. Je la vois serrer sa peluche contre elle, elle me semble apeurée cette petite.
<< Bah alors? Ne t'inquiète pas, n'ai pas peur de moi, j'ai l'air si effrayante que ça? Dis-moi plutôt si tu as faim ou soif, l'argent c'est secondaire ma puce. >>
Je lui adresse un sourire en essayant de la convaincre de me faire confiance. Puis je vais derrière le comptoir prête à m'occuper de sa commande, si elle accepte de se confier.
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L'homoncule se sent rassuré en entendant la maitresse de maison parler de cette façon. Son visage inspire confiance, tandis que son corps inspire... D'autres choses. Abies se détend alors un peu plus et dit d'une voix faiblarde:
<< Je... J'ai faim... Et j'ai soif aussi... Mais vous n'êtes pas obligée de m'offrir quoique ce soit madame, je ne veux pas vous embêter..... >>
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Je lui souries alors, contente de sa réussite puis me dirige derrière le comptoir pour sa commande.
*Eh beh, il est parfois difficile de faire parler un enfant, mais pour le coup je m'en suis bien sortie. J'espère que véro ne m'en veut pas.... Mais bon pas le choix! Aller au boulot la vieille!*
<< Mais au faite, que désire tu boires? J'ai du lait, de l'eau, des sodas, ou du jus de fruit si tu veux. Et au menu c'est Riz à la sauce tomate avec des boulettes au vinaigre. Cela te convient t-il? >>
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Véronique revint et agrippa son chapeau qu'elle avait laisser sur le comptoir du bar, agrippant aussi son argent tout en mettant son chapeau sur sa tête et son argent en dessous, lançant un regard à sa maman puis elle alla se coucher sur un banc, boudeuse. Visiblement, elle n'aimait pas du tout être moins importante qu'autre chose, parce qu'elle adorait avoir toute l'attention pour elle, ce pourquoi elle était détestée des enfants et des adolescents, qui se voyaient temporairement ignoré par ceux qui adoraient le physique chétis et enfantin de la gamine.
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Voyant Véronique rentrée précipitamment dans la taverne, je la regarde zappant totalement la petite fille avec qui je parlai, et tend la main pour tenter de chopper vero, par dessus le bar. Mais manque de pot, petite comme elle est, j'ai plutôt manqué de m'affaler sur toutes les bouteilles plus qu'autres choses....
*Elle m'a échappée des mains! Rien a faire... cette gamine restera toujours capricieuse et... bah capricieuse c'est déjà suffisant il me semble! Elle est partie encore de plus belle trainer dans les rues.... J'espère au moins qu'elle n'est pas partie rejoindre son... pseudo-frère... Quand va t-elle comprendre sérieusement que je ne peux être disponible à 100% que pour elle....*
Je passe derrière le comptoir pour me prendre un petit verre d'eau, enervée, en grommelant à la suite du coup de vent de mademoiselle grincheuse. Je prépare tout ce qui faut pour faire le plat de la jeune fille et voyant des personnes sortir, je me retiens et fait un graaaaand sourire à mes clients:
<< Merci bien! Bonne soirée Messieurs! >>
Puis je me remet à mes taches, attendant toujours la réponse de la jeune demoiselle en ce qui concerne la boisson.
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La petite lançait des regards partout autour d'elle, puis elle alla rejoindre sa maman chérie. D'un coup, elle se scotcha à sa jambe et la serra. Puisqu'elle n'était pas lourde, elle ne gênait pas trop, mais elle n'aimait pas les regards luxueux des hommes fréquentant le bar qui fixaient la rouquine. Ainsi, elle disait clairement, bien que sans prononcer un seul mot, qu'elle ne laisserait personne approcher sa mère. Bien sûr, elle n'était pas sans savoir que sa maman était mécontente de sa conduite, et elle tenta de l'amadouer de sa petite voix.
-Nuuuh... minauda-t-elle en frottant gentiment sa joue sur la jambe de la rouquine
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La petite voyant que je ne la course pas revient sur ses pas et me refais encore une fois sa crise de jalousie par rapport à mon entourage. Elle regarde mal les clients et me colle la jambe, mais malheureusement pour elle, de trop! Je la prends par la taille et la pose sur une chaise à coté de la petite au niveau du bar. Je la regarde en colère et lui dit énervée mais doucement pour pas éveiller l'attention des clients malgré sa petite tête qui se voulait attendrissante:
<< Tu vas stopper tes idioties maintenant! Je travaille moi! Il y a des heures pour tout! J'ai décidé d'avoir un boulot pour m'occuper en plus de toi et de mes passes temps, et c'est certainement pas toi qui va m'en empecher! Attends moi là si tu veux que je m'occupe de toi maintenant... Et sagement sinon je te vire du restaurant sans hésitation! >>
J'ai bien conscience que je risquai de blesser la petite à dire toutes ces choses qu'au final, je ne pense qu'à moitié, mais je ne sais pas comment lui montrer que je ne suis pas qu'A ELLE... J'aime ma liberté et je refuse qu'elle m'empêche de suivre mes activités parce qu'elle est jalouse! Peut-être et je l'espère qu'elle va comprendre et se calmer, m'attendre là jusqu'à la fin si elle veut après que je m'occupe d'elle. Je lui dis d'une voix désolé avant de partir travailler:
<< Nuh, désolé d'être comme ça... mais il faut que tu comprennes certaines choses... >>
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Après une journée de travail harassante, Blain décida de prendre un raccourci afin d'arriver plus vite chez lui. Etant à pied, il n'aimait pas vraiment passer par le quartier de la Toussaint, qui était réputé mal famé. C'est en lisant les affiches et pancartes des diverses échoppes du quartier qu'il vit un panneau évocateur : "A la bonne saucisse". Un bruit se fit entendre au niveau de l'estomac du chirurgien. Il était clair qu'il avait faim. Il décida donc d'entrer, et s'assit, à une table, attendant que l'on vienne prendre sa commande. Un bon poulet rôti passerait très bien.
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Runi la souleva. La petite croyait que c'était pour lui faire un câlin alors elle sourit et écarta les bras, mais en captant la fureur de Runesansuki, elle sent subitement sa bonne humeur chambouler. Elle se voit forcée de s'asseoir sur un tabouret puis elle se fait amèrement engueuler, même si sa maman ne lui criait pas après, elle comprenait qu'elle était très fâchée contre elle, et elle-même ne comprenait pas pourquoi. Elle voulut demander, mais elle avait si peur d'être frappée qu'elle resta muette, muette et immobile, à subir le mécontentement de sa mère. Elle écoutait, bien sur, mais elle ne comprenait rien à tout ce que la belle demoiselle lui disait, probablement parce qu'elle ne voulait pas entendre les réprimandes. Elle la regarda partir. Elle voulut pleurer, mais la demoiselle lui avait dit de rester sage sinon elle devrait sortir. Elle pinça des lèvres, serrant ses petites mains sur le siège du tabouret, enfonçant ses griffes dans les bois, essayant de ne pas la supplier de revenir, mais de petites larmes dites "de crocodile" échappèrent à son contrôle, tombant de son visage.
Elle serra des dents et chercha à se calmer, ce qui était encore une fois contre la nature du Chien en elle. Une importante envie de mordre quelque chose et de griffer lui chatouillait la mâchoire et les doigts. Faute de pouvoir le faire sur quelqu'un d'autre, sous peine d'être chassée par sa mère, elle enfonça ses dents dans son propre bras et elle se griffa la cuisse de celui qui était libre. Personne ne la voyait, puisqu'elle était dans l'angle-mort du bar, et personne ne se souciait d'elle. Runi était occupée, le barman et les autres hommes étaient occupés à la reluquer indécemment. Elle ne cessa de se mordre et de se griffer qu'une fois que le sang se mit à couler de ses plaies.
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Bien que je m'occupe de mes clients, je reste assez... "tête en l'air", "ailleurs" comme quelques clients m'ont fait le reproche. En effet, je n'arrête pas de repenser à tout ce que j'ai pu dire à ma fille adoptive... Cela me fait beaucoup de peine, c'est la première fois que je la dispute véritablement et j'espère que cela sera la dernière. Je ne souhaite qu'une chose, c'est qu'elle comprenne et qu'elle réalise que son comportement n'était absolument pas adapté à la situation.
Je regarde par moment en sa direction, histoire de voir comment elle va. Mais j'ai l'impression qu'elle cache son visage plus qu'autre chose... Surement qu'elle pleure et refuse de montrer son visage en larme devant tout le monde, ou du moins, devant moi..
Après avoir fini de débarasser une des tables qui vient à peine de se libérer, et de la nettoyer, je décide de me prendre une petite pause et d'aller la voir. J'avais trop mal au coeur pour rester éloigner comme ça d'elle et la laisser dans son coin... Surtout que je sais que la petite inu est capable de s'imaginer pleins de choses. Je m'approche alors d'elle et la retourne vers moi quand.. Je la vois qui saigne. Elle s'est blessée toute seule, volontairement.
<< Qu'est ce que tu fais là?! Non mais arrête tout de suite petite baka!! Recommence plus jamais à te faire du mal! >>
Me voilà encore énervée! Je cours jusqu'à ma trousse de secours posée dans une pièce réservée aux personnels, et je reviens pour la soigner. Je lui désinfecte les plaies et lui fait un petit bandage à chaque endroit où elle saignait jusqu'alors. Bien qu'énervée contre la petite inu, je suis aussi énervée contre moi même, ne sachant trop comment réagir face à la petite. Une petite larme coule sur ma joue mais je prends la petite dans mes bras et sers son visage dans mon cou pour la calmer et aussi pour éviter qu'elle voit sa maman pleurer de ses bêtises. Je me met alors dans une salle à part, et lui donne le sein, pour recréer un contact de complicité et un climat de confiance avec nuh le temps de ma pause.
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Maman s'est encore fâchée contre elle, et cette fois, elle n'arriva plus à se contrôler et elle fondit en sanglots, ne comprenant pas ce qu'elle avait fait de mal. Elle parlait très sec, elle était furieuse, mais sa voix était assez forte, mélangée aux rires et aux cris des autres clients, que les oreilles sensibles de la pauvre enfant ne purent rien capté. Tous les mots étaient changés en bourdonnements assourdissant qu'elle n'arrivait pas à faire taire. Elle posa les mains sur ses oreilles et elle se replia sur elle-même, prête à avoir une punition charnelle qu'elle n'était pas sûre de mériter. Elle croyait que Maman serait fière d'elle puisqu'elle l'aurait attendu patiemment pour finalement se faire encore engueuler. L'envie de fuir les lieux était grand, mais lorsque Maman la prit dans ses bras, son besoin d'être aimée et son besoin d'être rassurée la clouèrent à sa place. Ses petits bras partirent à la recherche du dos de sa mère, où ses petites griffes s'accrochèrent à son vêtement et elle déposa la tête sur la poitrine de Maman, jusqu'à ce que celle-ci la pousse à aller se réfugier dans son cou, où elle continua de pleurer tout en s'excusant dans sa langue totalement incompréhensible.
Elle se sentit alors soulevée. Elle s'accroche au cou de sa mère, tremblante. Elle embrasse doucement sa peau mielleuse, cherchant à se faire pardonner par la douceur, mais elle comprit alors qu'elle n'était pas sur le point de se faire tabasser lorsque la jeune femme se mit dans une pièce différente et qu'elle rabaissa son débardeur pour découvrir son alléchante poitrine. La petite fixa un moment les seins de sa mère, hésitante, puis elle s'approcha pour refermer ses lèvres sur l'un de ses seins. Ni une ni deux, la lactation se produit et elle tête le lait avec voracité, les yeux clos, blottie contre sa mère. Au bout d'un moment, sa queue se met à s'agiter avec vivacité, témoignant du retour de la bonne humeur de la petite.
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Alors que la petite tête sagement mon sein et boit mon lait les yeux fermés je la regarde avec tout l'amour que pourrait avoir une mère avec son enfant. La petite véro n'est certe pas mon propre enfant mais je la considère tout comme. Et il est difficile pour moi de comprendre comment l'élever... Je n'ai jamais été habituée à tout ça... C'est comme si elle m'était tombé tout droit du ciel et qu'on a oublié de m'envoyer le guide avec... Je crois que mon coeur bat beaucoup pour elle, depuis que je la connais , bien plus que pour moi même. Je ressens un besoin de la protéger, de l'aimer et de ne pas la laisser seule... Néanmoins elle prime sur ma liberté, c'est une chose que j'accepte difficilement... Je me suis battue pour cette liberté, c'est ce que j'avais jusqu'à présent de plus chère et même la seule chose que je possédais et auquel j'y tenais. Sans un minimum de liberté, nous ne somme rien.... Mon besoin à moi pour vivre c'est ma liberté...
<< Petite Véro... Je t'apprendrai ce que c'est que la liberté... Tu verras, tu la chériras autant que moi je la chérie. T'y prendra goût mais surtout tu prendras conscience que la liberté est ce qu'il y a de plus important pour vivre dans notre monde... Tu l'as déjà en parti sans t'en rendre compte mais tu verras... Je t'aime ma puce, ne te fais plus de mal... Ne te blesse plus... Je t'en supplie... >>
Je lui dépose alors un doux baiser sur le front pendant qu'elle tête mon sein, une boule au cœur, sentant que l'heure de la séparation arrive déjà. Je la regarde et lui retire le sein puis lui fait des petites chatouilles avant de lui faire un sourire, se voulant être le plus rassurant possible, pour ne pas que la petite panique de me voir avec tout le monde les prochaines heures.
<< Ne t'inquiète pas, personne ne t'enlèvera ta maman tu sais... Le travail m'attend, si tu veux tu peux rester au bar, mais soit sage cette fois et ne te blesse pas. Je te ramène des petites boules de chocolat que tu aimes tant. Tu sais les petites boules que Crony te donnait souvent dans l'autre bar? J'ai tout une boite complète que je t'ai achetée hier. Allez, sois sage. >>