Le Grand Jeu
Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Place publique => Discussion démarrée par: Shad Hoshisora le mercredi 13 janvier 2010, 23:07:26
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Quelle merveilleuse journée que je passais aujourd'hui ! Rien de pire ne pouvait arriver. La foule composait des amas de personnes qui discutaient entre elles, de tout et de rien. Allant d'un sujet philosophique à un autre plus abstrait, sur la quesiton de" quel temps fait-il " ? Je marchais sans dire un mot, profitant de la douceur de la journée. Le seul problème était que je devais user des petites ruelles, pourquoi ? Sans doute car je suis une terranide et qu'une terranide en liberté est considérée comme quelque chose d'anormal. Afin de parvenir aux généreux marchands de la ville où l'on pouvait acheter de quoi se substenter, il fallait prendre de nombreuses petites ruelles qui engendraient un long détour épuisant.
Détour certes épuisant mais capital. Je relevais légèrement les oreilles en entendant des bruits de pas. Ma réaction ne se fit pas attendre, je bifurquais rapidement dans une ruelle, accélerant la cadence de mes enjambés, afin de m'éloigner de la source du bruit. Je tournais dans plusieurs rues adjacentes, préférant perdre mon souffle que ma liberté. Au bout de plusieurs minutes à tourner et sprinter dans diverses ruelles, je m'arrêtais, posant une main contre le mur, reprennant doucement mon souffle. Je levais la tête, observant un instant le ciel avant de regarder où je pourrais bien me trouver.
Je poussai un soupir avant de reprendre mon chemin, continuant tout droit, ne faisant pas marche arrière. La fin de la ruelle m'amenna à une bifurcation. Droite, gauche, tout droit ? Quelle direction choisir ? Je regardais chacune des directions tour à tour pensive. Alors que mon regard se posé sur celle de gauche, mon choix se porta sur la droite. Mais en me retourant je me heurta à une masse, à quelque chose ou plutôt à quelqu'un. Perdant l'équilibre, je fis quelques pas en arrière, arrivant à me stabiliser après quelques secondes. Secouant légèrement la tête, je levais mon regard et recula d'un léger pas, baissant la tête et le buste, joignant les mains.
"Pardon de vous avoir percuté"
Certes, c'était un humain mais je me devais de m'excuser, c'était la moindre des choses. Je relevais le visage et le haut du corps, attendant sa réponse. Oui quand on demande pardon, on attend que l'autre l'accepte ou non.
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De retour a nexus après si longtemps, cela faisait bizarre. Il y a bien un an que je n'y était pas retourné, restant sur terre dans la ville ou j'avais trouvé le portail menant vers terra, vivant de ma fortune acquise comme mercenaire en passant mes journées à m'entrainer.
J'étais finalement revenus pour chercher du travail et me refaire une réputation de mercenaire. Même si les gens avaient la mémoire courte, 2-3 bastons devraient me remettre au gout du jour. Surtout que mon entrainements à porté ses fruits et que je ne me suis jamais senti autant en forme.
Je me retrouve donc à marcher dans la ville. Portant une tenue sobre noire enveloppée par un long manteau gris qui dissimule en partis l'épée courte à un tranchant que je porte sur le coté et ma collection de couteau. Bien sur on avait le droit de porter une arme ici. Mais je préfère ne pas dévoiler entièrement mon jeux
Je me retrouvais sur la place public. Marchant d'arme, de vêtements, d'épices, mais surtout d'esclave pullulaient ici. Je cachai son mépris pour les marchands d'esclaves. Je les avaient côtoyés et avais même travaillé pour eux durant un temps. Mais J'en eus vite marre en voyant comment certains traitais leur esclaves. Je supportait difficilement des entraves à ma liberté et n'aimais pas voir d'autre personnes s'en trouver priver.
Perdu dans mes pensées Je ne vis pas arriver cette personne qui me percuta. Reculant pour retrouver l'équilibre, elle joignit ces mains pour s'excuser. Oui elle car cette personne était une fille. Assez charmante d'ailleurs. D'une longue chevelure noire excepté les cheveux bleus qui encadraient son visage ainsi que ces beaux yeux bleus, elle était particulièrement séduisante.
Je vous en pris mademoiselle. Si j'avais regardé ou j'allais j'aurais pus vous éviter.
Il la regarda de haut en bas, la détaillant, puis dans un sourire se présenta.
-Je me nomme Bleiz. Puis-je savoir qui j'ai eus l'honneur de percuter ?
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Je me voyais dans l'obligation de reculer légèrement afin de pouvoir le regarder convaneblement. Oui, cet homme était grand et rester là où je me trouvais, m'aurais donné un sacré torticolis. Il accepta mes escuses et j'esquissa un sourire. C'était si rare. D'habitude, c'était les injures qui fusaient tels que " misérable terranide, tu ne sais pas regarder où tu vas ? "et j'en passe. Il se présenta, son nom étant Bleiz.
"Je me nomme Shad, ravie d'avoir fais votre connaissance."
Tandis que je m'appretais à partir, sa tenue vestimentaire me tapa à l'oeil. Pourquoi portait il un si ample manteau ? Dissimulait il des objets illicites ? Je haissais un sourcil avant de faire un léger signe de négation de la tête. Non ça ne devait être que mon imagination. Je marqua un arrêt, réfléchissant un instant avant de m'adresser à l'homme que j'avais si gentiment percuté.
"Je dois encore aller dans une boutique à quelques pas d'ici, si vous le souhaitez, vous pouvez m'accompagner bien que je pense que vous avez autre chose à faire mais sait on jamais ? Dans tous les cas, je préfèrerais partir de cette intersection plutôt que de rester devant le regard des autres."
Je serrais légèrement un de mes poings. Pourquoi avais-je demandé s'il voulait m'accompagner ? Quelle sotte...Moi et mon principe de se faire pardonner. Je priais pour qu'il dise " Non, je n'ai pas le temps". La tête baissée, j'attendais sa réponse.
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Elle recula car elle n'était pas très grande et n'avait certainement pas envie de se tordre le coup à me regarder. Elle souris à mes paroles ce qui ajouta à la beautés de son visage. Elle allait partir et s'arrêta en observant ma tenus. Je jetais un discret coup d'œil pour voir si mes armes ne ce voyaient pas trop.
Elle me propose alors de l'accompagner faire quelques courses. Voilà qui était assez flatteur qu'une belle fille veuille de ma compagnie en le connaissant à peine. Fait plus étrange elle souhaitais ne pas rester dans cette intersection très longtemps. Elle semblait un peu effrayée comme si on la poursuivait. Bleiz posa sur elle un regard interrogateur avant de parler.
"Et bien aujourd'hui je n'aie rien de particulier à faire. Et passer l'après-midi en si charmante compagnie ne me déplairait pas. Mais vous êtes sur que ça vas ? Vous semblez effrayée ?"
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Je restais un moment silencieuse. Est ce que je devrais lui faire part de mes soucis ? Non, cela ne le regardais nullement. Je hochais la tête dans un mouvement affirmatif, avant de répondre à sa question portant sur la question si tout va bien.
"Oui, ne vous en faîtes pas et même si j'aurais des soucis, vous ne devriez pas vous en préoccupez..."
Je repris ma marche, le regardant pour voir s'il y allait me suivre avant d'entamer à nouveau un chemin dans diverses ruelles arrivant devant une porte où je frappa trois fois dans un rythme bien précis. Un homme encapuchonné ouvrit et tandis que je lui passais l'argent, il me passa un sac de nourritures et de boissons. Je regardais à l'intérieu, c'était casiment toujours le même contenu, mais bon, on allait pas en faire tout en plat. Me retournant vers celui nommé Bleiz je lui demanda :
"Avez-vous faim ? Je n'ai pas grand chose à vous proposez mais déjà que vous m'aviez accompagnez jusqu'ici c'est la moindre des choses que je puisse faire."
Tout en disant ses mots, je m'installa à un banc un peu à l'écart, soupirant légèrement. Fermant un oeil dû à la lumionosité du soleil, je me voyais dans l'obligeance de mettre une main sur mon front pour cacher les rayons de l'astre du jour et ne pas voir une forme noire en guise de cet humain.
"Au faites, d'où venez-vous ? Je ne crois pas vous avoir déjà vu ici à Nexus.."
Je marquais un léger temps d'arrêt. Pourquoi lui avais-je demander cela ? C'était personnel ! Je baissais la tête, m'excusant à nouveau.
"Veuillez m'excuser; celà me regarde pas."
Et pourtant ! J'étais curieuse sur cet individu. Je voulais savoir d'où il venait, quel était son métier, ses passions, si c'était la première fois qui venait à Nexus ou non. Rien que son apparence faisait naitre de nombreuses questions.
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Je lui pris son sac des mains et lui dit
Allons Allons. Il ne sera pas dit qu'une dame mange mal en ma présence. Venez je vous offre le diner en échange de votre charmante compagnie. Suivez moi je connais un endroit délicieux tant par son ambiance que par ses plats dis-je avec un sourire
Je l'invita à me suivre, en direction de l'auberge ou je résidais. Tout en marchants je répondis à ces questions.
Moi je viens d'assez loin mais je ne suis que de passage par ici. Je vais et viens entre cet endroits et d'autres. Je suis mercenaire. Je loue mes services de combattant. Mais J'avais arretté cette profession un moment. Maintenant que je m'y remet je n'accepte que les contrats que je juge valables et qui correspondent à mon honneur. De toute façon ce métier n'est qu'un prétexte pour rencontrer et affronter de bons combattants.
Il la regarda un instant et souris en réalisant quelque chose.
Ne vous en faites pas. Je n'ai pas l'intention de vous vendre à des marchands d'esclaves. J'aime bien votre peuple et tente de l'aider autant que je peux.
Elle fut étonné que j'ai deviné sa nature. Nous arrivâmes à l'entrée de mon auberge et primes une tables je Hélais le patron de nous servir un plat. Je lui souris et me pencha vers elle.
Ne vous en faites pas. En ce lieu et en ma présence, vous êtes en sécurité.
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Je le suivais, restant néanmoins sur mes gardes, mes jambes prêtent à me porter si le besoin de fuir se faisat ressentir. Mais extérieurement, je semblais calme et apaisée. Je l'écoutais parler, enregistrant la moindre de ses informations.
"Mercenaire ? Un combattant payé pour réalisé des tâches ? Allant à l'assassinat à la capture d'esclave non ? "
Ce dernier terme me fit hérisser légèrement la queue qui se se gonfla sous le pantalon et offra une légère baisse au derrière de ce dernier. Chose que Bleiz a dû remarquer vuq u'il me fit une autre remarque, concerant cette fois ci ma race. J'avalais ma salive et hocha la tête.
"Merci, ce n'est déjà pas facile de vivre en ces temps..."
Nous arrivâmes à une auberge qui semblait appartenir à l'humain. Nous nous installâme à table et il m'affirma que ce lieu n'était pas source de danger tant qu'il serait là. Je lui souriais légèrement, un peu mal à l'aise.
"Merci, mais vous n'étiez pas obligé de faire cela..."
Je fis descendre le ton de ma voix et chuchota alors qu'il s'était penché vers moi :
"Surtout que vous savez que je ne suis pas comme vous..."
Le " comme vous" désigner bien sûr le fait que je n'étais pas humaine mais une " simple et stupide" terranide. Etre ô si combien inférieur à l'être humain. Etre voué à l'esclavage. Etre persécuté sans arrêt. Repensant à cela, je ne pus m'empécher de reculer un peu sur mon siège. Avais-je bien fais de le suivre ?
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Vous croyez que c'est parce que vous êtes une terranide que je ne vais pas vous aider ? ce n'est pas ma façon de faire. Je ne considère par la naissance comme indicative de la personne. Seul les actes comptes.
J'approchai ma main et toucha légèrement le bras de la jeune fille.
Et que vous soyez humaine ou terranide, rien ne change le fait que vous soyez belles à regarder.
Je fus interrompu par l'aubergiste qui nous servis à manger. Je commença mon plat sans quitter la belle Shad des yeux, et lui souris de temps à autres.
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J'eus un sursaut tandis qu'il me touchait le bras et rougis légèrement sous ses dires.
"Merci..."
Ramenant mon bras vers moi, le repas nous fut amené. Je dévorais d'abords le repas des yeux, tout cela avait l'air si appétisant. Humant le doux fumet qui s'en dégageait, je ne pouvait m'empécher de mes pourlécher les lèvres.
"Et bien..Bon appétit..."
La vue et l'odeur du repas était déjà quelque chose d'excellent mais le goût et la texture les dépassaient largement. Levant mon regard vers Bleiz, je remarquais que ce dernier me fixais et cela me mettais de plus en plus mal à l'aise. Je n'avais pas l'habitude d'être avec des hommes et encore moins avec un avec lequel j'étais en train de manger. Cette gène pouvait facilement être vu par la fine couleur rosée qui empourprait mes joues tandis que je continuais à manger, la tête légèrement baissée, ne sachant que dire pour enlever cette atmosphère.
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Elle était trop mignonne. Le fait d'être avec moi la faisait légèrement rougir ce qui la rendais encore plus séduisante. Il termina son assiette et soupira de sassiétée. Il la regarda longuement et elle avait encore cet air genée il décida de briser la glace.
Ah c'était délicieux j'éspere que tu as aimé
Il la détailla de haut en bas. désirant de plus en plus posseder cette jeune fille
Dit moi ? tu n'as pas l'habitude de cotoyer des hommes ou je me trompe ? tu semble intimidé en ma présence.
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(Hj : Fais attention tu passes de la première à la troisième personne ^^" - HJ)
Le repas était vraiment succulent, je me prie le temps de le déguster, savourant ses saveurs. Repue par la suite, je déposais les couverts dans l'assiette vide, signe de s'assiétée et m'essuya les lèvres avec la serviette prévue à cet effet.
"En effet, cétait déliieux, cela change de ce que j'ai l'habitude de manger".
Ce qui pouvait se traduire par des plats de tous les jours, basiques sans presque aucune saveur mais nécessaire pour survivre. Je levais la tête en attendant sa dernière question et laissa mes yeux un peu filler de gauche à droite, cherchant une réponse. Je serrais les mains sous la table et affirma d'un mouvement de tête.
"Il est vrai que...Je n'ai pas l'habitude d'être seule avec un représentant de la gente masculine...Et cela me met assez mal à l'aise pour tout avouer..."
Je n'avais rien à cacher, aussi bien je passais devant pleins de mâle durant la journée, aussi bien j'essayais de garder une distance respective. Mon regard se posa sur l'assiette vide puis sur Bleiz.
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(Hj : Dsl sur d'autre post je suis à la 3e personne - HJ)
C'est normal! Mais rassure toi je ne te veux aucun mal. Et cette auberge est très tranquille le patron est un ami.
Je la regardai plus attentivement. essayant de deviner à quel type de terranide elle appartenais. Elle semblais vraiment humaine mais je savais repérer quand une terranide cache ses attribue animaux.
Tu ne dois pas etre à l'aise de te cacher comme ça pour échapper au esclavagiste. Si on allais prendre un verre tranquillement dans ma chambre ? J'aimerai voir ce qui fait de toi une terranide
Je le dis avec franchise sans la moindre ambiguïté. Je veux vraiment voir à quoi elle ressemble vraiment.
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HJ - Pas de souci - HJ
Je souriais, au moins un endroit sans risque apparent pour le moment. Qui sait un jour, si les problèmes viendraient à venir, je pourrais peut être m'y réfugier ? Dans tous les cas, j'avais retenu l'emplacement de cette auberge. Elle pourrait m'être bénéfique un jour ou l'autre si rien ne dégénère par la suite.
" Merci, je prend note de cette auberge"
Mes joues prirent une légère couleur rosée quand je l'entendis posée sa question. Le rejoindre dans sa chambre ? Lui montrer ma queue et mes oreilles ? J'hésitais puis mes yeux se posèrent sur l'assiette à nouveau.
"..."
Je relevais ma tête, le regardant approuvant d'un hochement de tête tout en détournant le regard.
"Je veux bien, je vous dois bien cela pour m'avoir offert ce repas mais je ne désire rien boire d'autre, ce que j'ai bu m'est suffisant."
Je me levais donc de table, attendant qu'il fasse de même avant de le suivre jusqu'à arriver à sa chambre. Je regardais la pièce et les quelques meubles, restant néanmoins près de la porte. Mes mains s'emparèrent de ce qui dissimulait mes oreilles et je le retira doucement, dévoilant deux paires d'oreilles noires à l'intérieur blanche avec quelques touffes de poils. Par la suite, je tirais un peu sur mon pantalon, y sortant ma queue noire à l'extrémité blanche que remuais heureuse de pouvoir la laisser un peu respirer. Enfin, j'entreouvris légèrement la bouche, dévoilant mes canines, signe de mon lien avec l'espèce carnivore que je représente. Je refermais ma bouche pour le questionner :
"J'espère que cela vous conviens"
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Oh vous savez je vous ais offert ce repas de bon coeur. Rien ne vous force.
Elle se leva néanmoins et me suivis jusqu'a ma chambre. Je la vis alors ce dévoiler devant moi. Ses oreilles sortir de ses cheveux. Sa queue ce délivrer de d'étreinte de son pantalon. Et pour finir ses dents pointus qui finissait de définir sa rasse.
Une femme louve ? Cela explique votre beautée
Car oui elle était belle. Magnifique maintenant qu'elle s'était dévoilée à moi. De savoir que casiment personne d'autre ne pouvais la voir comme ça, éveillai en moi un désir égal que si elle s'était mise nue devant moi
calmement pour ne pas l'effrayer je m'approche d'elle et caresse son visage de ma mains
Vous etes vraiment magnifique shad
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J'hochais de la tête, esquissant un sourire :
"Vous avez un bon sens de l'observation, je suis en effet ce que l'on peut appeler une terranide louve..."
Il s'approcha doucement et je fis un léger mouvement en arrière, me cognant contre la porte quand il me caressa la joue de ma main.
"Hum..mer...merci..."
Pourtant cette caresse, me fit instictivement pencher la tête sur le côté pour plus en profiter, la queue tapant contre la porte, lâchant quelques petits grognement de satisfaction.
"Rwwrr..."
Je me dégageais malgré tout, abaissant mes oreilles et mettant ma queue basse, signe de mon hantise en ce moment.
"Hum..."
Les mots ne venaient pas et je ne savais éperdument pas quoi prononcer.
Hj - Oh fatch c'est hyper court OO ( A honte T_T) HJ
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(Pas grave ça vas s'arranger)
Elle recula effrayée et semblais effrayée
Ne t'en fait pas je ne te ferai aucun mal
Je m'approcha tout doucement d'elle et recommença à lui caresser le visage, le cou, la base de ses oreilles.
Je ne te veux que du bien
Il s'approcha alors de son visage jusqu'a ce qu'ils ne soit plus séparés que par quelques cm
(tu vois moi aussi je fait courts XD)
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Je le regardais, désemparée, perdue, effrayée. Pourquoi l'avais-je suivi ? Étais-je si naive que cela ? Non ce n'est pas possible et cette main...Cette main qui me caresse le visage et..
"P...pas...l..là ! "
Les oreilles, zones ô si combien sensible chez moi. Je fermais à demi les yeux, profitant de ses caresses mais étant toujours autant tendue. Sa phrase me fit frémir et je levais les yeux pour le regard, nos visages étant à proximiter. Je pouvais facilement sentir nos souffles s'entremelées, il n'y avait que quelque centimètres qui nous écartaient l'un de l'autre. Malgré mes quelques grognement de satisfactions, je restais toujours tendue, n'arrivant pas à me détendre. Je déglutis un instant. Bleiz était vraiment quelqu'un de grand et je me sentais petite comparée à lui. Le bout de ma queue frôla mes jambes et mes oreilles s'abaissèrent encore plus.
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Elle me demanda de ne pas la toucher là, mais sa réaction contredisait totalement ses paroles. Elle aimait ça même si elle n'osait ce l'avouer. Son corps était tendus signe qu'elle ne me faisait pas encore pleinement confiance. Pourtant je devais être le seul humain qui ne chercherai pas à la vendre ou à l'exploiter.
J'approchai alors mon visage encore plus et l'embrassa tendrement. Passant ma main derrière son dos pour la caresser tendrement. Mon autre main passant derrière son cou pour continuer à caresser doucement la base de son oreille. Nos lèvres se séparèrent et je lui parla à nouveau
Crois moi! Tout ce que je désire c'est toi et ton plaisir. Après celà, tu sera toujours libre d'aller ou bon te semble et de faire ce que bon te semble. Laisse toi aller alors. Abandonne toi à cette douce sensation qui parcours ton corps.
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Je fis une légère grimace quand nos lèvres se rencontrèrent, gardant mes yeux grand ouvert sous l'étonnement. Mais les différentes caresses que je ressentais me firent répondre timidement à ce baisé et mes yeux se fermèrent petit à petit. Je ne fis aucun mouvement avec mes mains, les laissant à plat contre la porte.
"...."
Je le regardais après qu'il se soit reculé, l'écoutant sans dire un seul mot. Il était vrai qu'une sensation étrange commençait à m'envahir. Était-ce provoqué par cet homme ? Ma queue fit quelques battements sec, signe d'anxiété. Les hommes ne pensaient vraiment qu'à cela. Je marmonnais.
"Cela m'effraye..Je ne peux pas...Je ne veux pas..."
Oui j'avais peur, peur de ce qui allait se passer, peur de cet instant. Je levais mon regard et croisa celui de Bleiz. Avais-je vraiment envie de m'arrêter ? Je sentais cette boule de chaleur qui s'intentifiait de minute en minute.
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Elle me regarda avec étonnement quand mes lèvres touchèrent les siennes. Mais ce laissa vite aller au baiser et aux caresses. Je sentais le désir en elle, mais je sentais également une retenue. Une gène. Elle avait peur et disait ne pas vouloir.
C'est normal que cela t'effraie. Mais ne me dit pas que tu ne peux pas car tu peux faire ce que tu veux. Et je sens que tu en as envi.
Je m'approchai a nouveau comme pour l'embrasser, mais cette fois j'embrassai la base de son oreille ou ce trouvais ma main. Cette dernière descendit également dans son dos et descendit plus bas que la seconde afin de caresser la base de sa queue qui remuait légèrement. Je me retirai à nouveau de notre étreinte et lui dit.
Je sens que tu aime. Laisse moi continuer à te faire du bien. Lorsque cela cessera de te plaire, dit le moi et j'arreterrai.
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Je ne bougeais pas, l'écoutant et savourant ses caresses. Je senties ses lèvres près de mon oreille qui se mit à frémir légèrement. Sa main qui courait le long de mon dos me fit légèrement cambrer en arrière. Les caresses sur le dos étaient l'un de mes points faibles. Mais celles-ci ne restèrent pas à cet endroit et je sentie sa main s'emparait de ma queue, commençant à la caresser doucement. Un léger soupir s'échappa de mes lèvres, à croire qu'il savait ce qu'il fallait faire avec une terranide.
Je levais mon regard vers le sien, le supplliant après qu'il se soit à nouveau écarté et prononcé ses dernières paroles :
"Tu me le promets ?"
Mon regard alla de droite à gauche dans le sien, cherchant à savoir s'il disait la vérité ou si ses paroles n'étaient remplies que de mensonges.
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Elle me regardai dans les yeux me demandant de le lui promettre. Ce qui voulais dire que jusque là elle avait appréciée. C'était une petite victoire qui je l'espérai serait suivie par d'autres.
Oui Shad je te le promet. Tu n'éprouvera que douceur et plaisir
Je me colla alors contre elle. Appuyant doucement mon bassin contre le sien afin de lui faire sentir mon désir. Mes mains descendirent légèrement vers ses fesses afin de les caresser. Ma bouche n'avait pas quitté son oreille mais cette fois je la leche et la mordille également.
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Mes joues prirent une légère couleur rosée alors qu'il appuya son bassin contre le mien. Je pouvais facilement discerner une légère bosse malgré la masse de vêtement qu'il portait. Je penchais légèrement ma tête en arrière, appréciant ses petits mordillement au niveau de mon oreille. Ne voulant pas rester inactive malgré moi, une main timide alla lui caresser au niveau de ses abdominaux puis remonta lentement vers ses pectoraux. Bougeant un peu, je me frottai contre son membre, un léger soupir s'échappant de mes lèvres. Je n'avais casiment pas fais de mouvement, mais rien que ce petit geste avait eu l'effet d'une légère décharge électrique. Ma queue se balança inlassablement de gauche à droite, montrant que mon corps appréciait ses caresses.
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Je sentit son léger mouvement de bassin et rien que ça suffisait à la faire gémir. Elle était très réactive ce qui offrait d'intéressante perspective. Ses mains devenait baladeuses, la femme en elle se réveillai.
Tu vois shad ? ton corps réagit tout seul au plaisir. Et crois moi ce n'est que le début. Laisse toi aller à tes instinct tu ne le regrettera pas
à ces mots il enleva son T-shirt (car il avait déjà oté son manteau et ses armes.) et se retrouva torse nus face à elle. Il continua ses mouvements avec plus de lenteur et de profondeur afin de lui faire ressentir completement le plaisir. Il l'embrassa et lui demanda.
Alors tu aime ?
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Ma main continua à le caresser doucement après qu'il ait enlevé son haut, se retrouvant ainsi torse nu. Je levais mon regard vers le sien, les oreilles légèrement en arrière encore anxieuse et apeuré pour ce qui allait se passer.
"Je.."
Les mots ne vinrent pas et le baisé que Bleiz me donna me permis d'étouffer de légers gémissements. Ses mouvements de bassin faisaient frotter nos deux intimités l'une contre l'autre. Insctivivement, je mis mes jambes autours de son bassin de façon à me maintenir et à le sentir encore plus. Je ne réfléchissais plus à mes gestes, me laissant peu à peu aller.
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Lorsqu'elle colla ses jambes autour de moi, je pris ça comme un signal pour la soulever et me diriger vers le lit. Je la posai délicatement. Je continuais mes légers assaut, attendant avec impatience le moment ou je serais vraiment en elle. Je la regardais dans les yeux
Tu ne m'as pas répondu. N'est pas peur de t'exprimer. Tu aime ?
A sa réponse je lui enleva avec tout la délicatesse du monde, le haut de ses vêtements. Elle était timide mais la beautés de son corps était naturelle et sauvage. Un vrai corps de terranide.
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Il me souleva afin de m'allonger sur le lit, continuant toujours ses frottements. J'hochais la tête dans un mouvement timide, rougissant encore plus à cause de sa demande, soufflant une réponse affirmative.
"C'est...Je...Oui..."
Mes phrases n'avaient aucun sens, je n'étais pas en mesure de parler en ce moment même. Il retira mon haut et prise de pudeur, je croisa mes bras autours de ma poitrine même si cette dernière était toujours prisonnière de mon soutien-gorge. Ma queue se frotta contre le matelas et je sentais peu à peu du liquide s'écoulant d'entre mes cuisses. Était-ce dû aux mouvements qu'il effectuait ?
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Elle avait osé dire qu'elle aimait. Il continuerai à la travailler. Il voulais en faire une vrai femme. Un femme sur d'elle et de sa sexualité. Cela la rendrai plus forte et ferai d'elle une meilleur amante. Il se tint droit afin de ne plus avoir à s'appuyer avec ses mains et continua de la caresser avec sa queue. Ses mains libre il en profita pour lui masser la poitrine.
MMMMMh. Shad. tes seins sont très beaux et agréables au toucher. Tu ne devrais pas avoir honte de les montrer.
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HJ - Ca fait pervers le Hmm xD HJ -
Je lachai un autre soupir alors que ses mains se mirent à masser ma poitrine, réveillant aussi de nouvelles sensations. Mes mains qui furent écartées de ma poitrine allèrent se balader sur le dos de Bleiz, le caressant doucement, timidement. Je soupirais à nouveau et je pouvais sentir ma poitrine se duricir légèrement petit à petit. Mes doigts courèrent le long de sa colonne vertébrale, descendant et remontant sur cet endroit où les flux nerveux étaient le plus important.
L'extrémité de ma queue tapait contre le matelas dans un mouvement régulier et sans que je ne puisse faire quelque chose, elle se mit à caresser Bleiz au niveau de ses flancs dans de longues et douces caresses.
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Je sentis sa queue me caresser ce qui ajoutait une sensation en plus de celle qui me parcourrait déjà. Son corps réagissait très bien et bientot elle en redemanderai.
Maintenant n'est pas peur Shad. Je vais te faire beaucoup de bien
Il se leva légerement et lui enleva doucement son vetement du bas. Elle se retrouvais alors en sous-vêtements devant lui. Bleiz ce baissa et se retrouva la tête entre ses jambes. Il embrassa la base de ses cuisses, se rapprochant de son sex. Puis il commença de léger baiser sur la surface du vêtement.
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Je le regardais pleine de curiosité. Pourquoi me disait-il d ene pas avoir peur ? Je le vis se reculer et doucement enlever mon pantalon, laissant aisi encore plus libre ma queue qui se mit à remuer longuement sur le matelas, heureuse de ne plus avoir aucune entrave.
"lBleiz ? "
Ma voix se fit interrogative tandis que je le vis s'abaisser entre mes jambes. Un baisé sur l'une de mes cuisses me fit un léger frisson mais ce n'était rien à côté de ce qui fit par la suite. Mon sous-vêtement restant était humidifié par le flot de cyprine qui s'écoulait de mon vagin. Sans le savoir pourquoi, je me mordis légèrement la main, ne voulant pas gémir trop fort à ce traitement. Et je peux me doutais bien que ce dernier morceau de tissu n'allait pas rester à sa place bien longtemps. Ma queue cessa de se frotter contre le matelas et alla carresser les flancs de Bleiz, l'incitant néanmoins à continuer.
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Tu semble aimer. Ne retiens pas tes gémissements. Personne n'entendra ici.
Je décidais d'enlever la culotte et de continuer sans entrave. Je léchais ses lèvres trempées par son excitation et remonta jusqu'à son clitoris. Il insista par de petits coups de langues afin de lui donner le plus de plaisir possible. Il remonta alors jusqu'à elle et se remit à frotter son bassin contre le sien, uniquement séparé cette fois, par cette mince couche de tissu. Bleiz Retira alors le soutiens gorge de shad et se mit à lui lécher les seins.
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Tu semble aimer. Ne retiens pas tes gémissements. Personne n'entendra ici.
Et c'est ce que je fis, lâchant ma main légèrement trempée par ma salive, je laissais mes gémissements sortirent de mes lèvres. Ces dernières s'intefièrent alors qu'il retira mon sous-vêtement léchant par la suite mes lèvres intimes pour finir par mon clitoris. Un gémissement plus long s'échappa de mes lèvres quand il s'attaqua à cette partie ô si combien sensible.
Mon soutif ne fit pas long feu et fut enlevé laissant ma poitrine durcie par le plaisir à l'air libre. Une de mes mains alla caressa la nuque et la chevelure de Bleiz tendues qui se mettait à me la lécher, m'frrant diverses sensations plus plaisantes les unes que les autres. Malgré son vêtement, je pouvais sentir son envie contre moi et chacun de mes mouvements me firent poussés de légers gémissements.
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Tu es magnifique quand tu exprime ton plaisir shad. Cela me plait tellement que je vais continuer ce que j'ai commencé
Je redescendit entre ses jambes et réconcilia ma langue et son clitoris. Ses gémissement reprirent de plus belle, mais la pauvre n'avais encore rien vus. Je décidais d'avancer mon doigt vers son sex et commença à le caresser tout doucement. Je la vis léver la tête d'incompréhension, mais elle se laissa vite à nouveau aller au plaisir lorsque j'enfonçai doucement le doigt en elle.
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Je m'appuyais sur les avant-bras afin de pouvoir me relevais légèrement et voir ce qui faisait. Ma poitrine se soulevait en même temps que mes expirations entre-coupé. Je frémis en sentant son doigt me caressait et me laissa tomber en arrière en le sentant rentrer en moi. Mes mains serrèrent légèrement les draps. C'était étrange, tout ce qu'une simple partie du corps peut vous provoquer comme sensation. Impensable mais pourtant vrai. Je me cambrais légèrement, faisant en sorte que son doigt appuie sur les zones les plus érogènes, lui caressant les côtes doucement avec ma queue, finissant par taper celle ci sur le matelas dans un battement lent et régulier.
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Le premier plaisir devait être le sien. Il le fallait pour qu'elle se sente libérée et en droit d'avoir du plaisir et d'en donner. Mes caresses du doigt étaient douces et intenses, et Mes coups de langues ralentissaient. Je sentait son plaisir par à coup. Sa respiration accélérant. Je ne m'arrêterai pas avant de l'avoir menée au 7eme ciel. La sentant prête, J'enfonçai alors un second doigt en elle et repris mes caresses de plus belles. Mon autre mains caressait avec douceur sa queue tapant contre le matelas.
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Je sentais son doigt allait et venir doucement mais avec vigueur en moi, se frottant contre mes paroies. Quelle sensation des plus plaisantes. Je me soulevais légèrement pour pouvoir caresser doucement le haut du dos de Bleiz, dessinant sa musculature du bout de mes doigts.
"Qu'est ce que tu...?"
Je n'eu l'opportunité de finir ma sentence, sentant un deuxième doigt s'immiscient dans mon être. Ce dernier se mit à la même vitesse que son prédécesseur, me donnant encore plus de sensation. Un seul cela procurait déjà beaucoup de frissons, sensations, spames de plaisr, mais, deux, cela augmenter considérablement. Je laissais ma tête remontée contre l'oreiller, gémissante.
"Bleiz..."
Ses caresses internes et celles sur ma queue eurent raison de moi. Je me sentais défaillir petit à petit, ma respiration devenant de plus en plus sacaddée, l'espace entre mes gémissements se réduisant au fur et à mesure. Je finis par venir, le flot de cyprine s'écoula plus abondamment, un cri s'était échappait de mes lèvres à cet instant. Je rouvrais doucement les yeux, les joues rosées, regardant celui qui se tenait entre mes cuisses. Je stoppais le mouvement intempestif de ma queue, reprennant mon souffle.
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Je la sentit réagir à mes mouvements de plus en plus fortement. Ses gémissement de plus en plus fort. Puis elle se laissa aller au plaisir et j'entendis un cri s'échapper d'elle. Malgré qu'elle soit venu je continuais à la caresser, mais de plus en plus doucement. L'accompagnant dans sa redescente sur terre.
Quand elle fut calmée, je me plaça à coté d'elle et l'embrassa à nouveau. La regardant dans les yeux.
Je suis ravi que tu ai aimé
De ma main je lui caressait doucement l'oreille. Avec tendresse.
Je devais me concentrer afin de ne pas penser a la puissante érection qui m'occupais et qui devait etre bien visible maintenant.
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Je reprennais peu à peu mon souffle, étant toujours dans cet état d'extase, haletant légèrement. Je lui rendis son baisé bien difficilement, devant respirer fortement pour reprendre des bouffés d'airs. Je posais mon front contre le sien, le regardant, entourant de nouveau son bassin de mes jambes. Le contact de son membre dur contre ma cuisse me fit frémir et je me mordis légèrement les lèvres, attendant la suite qui devait arriver inéxorablement.
Je penchais ma tête dû à ses caresses sur mon oreilles, frottant ma queue frénétiquement contre le matelas. Singulièrement, même après passé le stade de l'orgasme, j'en voulais plus. Sans doute était-ce dû à la proximité de nos corps brûlant de désir et de passion ? Je passais ma main derrière la nuque approchant son visage afin que nos lèvres se touchant pour un nouveau baisé.
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Quand elle m'entoura à nouveau de ses jambes je compris qu'elle désirait continuer. Je la sentit frémir lorsque mon sexe la toucha à proximité du sien ce qui eus pour effet de m'exciter encore plus. Cette fois, ce fut elle qui m'embrassa. La timide terranide commençait à prendre des initiatives, voilà qui allait devenir intéressant.
J'ai envi de toi Shad
Je bougeais alors lentement ma hanche et approchais doucement mon sexe de son entrée. Lorsque je toucha l'entrée je pris un instant pour la regarder dans les yeux, puis j'entrai tout doucement. J'avançais avec calme malgré la puissante exitation qui me tiraillais et commençais un lent et doux va et viens.
c'est si bon Shad. Est ce que tu aime ?
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Mes doigts se crispèrent dans le dos de Bleiz en sentant le contact de son sexe contre le mien avant de se planter littèrablement dans sa chair tandis qu'il me pénétrait. Je lâchai un court et profond soupir, mettant la tête en arrière. Ses mouvements étaient lents et rentraient de plus en plus loin à chaque allée et venue de son membre Je laissais mes mains se baladaient sur son dos, le frottant au même rtyhme que ses mouvements, ma bouche alla se coller à la peau de sa gorge, la mordillant et la léchant dans des gestes entrecoupés de soupirs. Je ne répondis pas à sa question. Mais mes gestes devaient lui fournir sa réponse. J'enroulais encore plus les jambes contre son bassin, ne voulant pas qu'il se retire, ne voulant simplement pas qu'il parte, l'emprisonnant entre mes jambes. Je fis passer l'extrémité de ma queue sur la partie de son membre qui était resté au dehors, caressant aussi ses chers bijoux de familles dans un geste certe déplacé mais où ne voyais pas la perversité dans l'état dans lequel je me trouvais.
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La sensation d'être en elle était délicieuse. Elle se laissait de plus en plus aller. Je sentais ses jambes se serrer encore plus contre moi. Elle devenait plus sauvage en mordillant et en léchant mon cou, Mais plus coquine en faisait trainer sa queue contre mes parties.
Je me relevai, m'appuyant sur mes mains, afin de pouvoir le pénétrer plus profondément et de pouvoir admirer son corps et son visage en chaleur.
Tu es très douée Shad. Continus j'adore ce que tu me fait.
Mes mouvement accélérai à mesure que je lui parlais
Tu n'as pas répondu à ma question. Est ce que tu aime ?
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Je reposais la tête contre l'oreiller, tandis qu'il se relevait sur ses mains, augmentant ainsi la cadence de ses va et vient. Ma respiration n'était faite que de soupir et je parvins à dire entre quelques un :
"Oui..."
Je croisais mes pieds derrière son dos, l'attirant encore plus, voulant que cette sensation soit décuplée, voulant savoir ce qui arriverait si on atteignait le niveau maximum. Je pouvais ressentir le membre de Bleiz allait et venir en moi avec force et vigueur. Ma poitrine se soulevait au rythme de ma respiration saccadée, mes mains caressant le torse de Bleiz. Je sentais que j'allais bientôt venir, la sensation de plaisir intense s'accentuant de minute en minute.
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Je n'accélérai pas. Profitant des chaque sensation apportées à moi lorsque j'entrai en elle. En revanche, j'allais de plus en plus profondément en elle, motivé par ses jambes autour de ma taille qui m'attirait vers elle. Chaque allez et venue, j'allais plus loin jusqu'à être entierement en elle. je la voyais soupirer les yeux à moitié fermé par le plaisir, mais je continuais à la fixer du regard.
Tu as un corps si désirable ma belle louve
Il descendis la tête pour l'embrasser à nouveau
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Je laissais nos lèvres se scellaient pour un nouveau baisé, laissant ma langue jouant avec sa consoeur. Que devais-je répondre ? Mon esprit était embrumé et je n'arrivais pas à articuler des mots, à vrai dire, je ne voulais pas former de phrase, juste profiter du moment présent. Je m'écartais de ses lèvres et posa les miennes dans la peau de son cou, le léchant et le mordillant à nouveau. Mes gestes étaient entrecoupés des expirations qui était dû aux mouvements de bassins de nos deux corps.
Je laisais ma tête retombée sur l'oreiller moeilleux, expirant fortement, ma respiration étant conçu que de gémissements en ce moment. Mes jambes se ressèrent plus autours de la taille de Bleiz , mes muscles vaginaux se resserèrent contre son membre et je pouvais sentir une agréable sensation me parcourir l'entierté du corps, me laissant par la suite dans un état euphorique. Ma respiration se calmait petit à petit et je reprenais peu à peu mes esprits.