Le Grand Jeu

Bac à sable => One Shot => Discussion démarrée par: Lamnard Kystrejfter le samedi 07 avril 2018, 22:15:03

Titre: Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Lamnard Kystrejfter le samedi 07 avril 2018, 22:15:03
L'Empereur Alexandre VII de Blure


Princes et
princesses


Dans cette histoire, difficile de donner une origine aux événements dramatiques qui vont vous être contés. Depuis des générations, le Royaume de Clairis et l'Empire de Blure étaient en conflit permanent. Rares furent les occasions de célébrer un événement hors des issues des batailles durant ces longues décennies de sang versé.
Dans un dernier coup de maître, Blure avait fini par écraser Clairis. Par son génie militaire, Alexandre VII, 20 ans, captura l'essentiel de l'armée clairisienne, et leurs maîtres, les jumeaux Arthur et Clémentine, roi et reine de Clairis, 16 ans, peu après. Ainsi les jeunes mirent-ils fin aux vieilles querelles sur l'Alde. Lassés par la guerre, les deux camps étaient prêts à accepter toute issue au conflit.
Afin de garantir que sa descendance saisirait Clairis de plein droit, Alexandre annonça son intention d'épouser non pas juste Clémentine, mais les deux souverains de Clairis. Il fut acclamé par son armée tandis que les Clairisiens se résignaient.



Clic ... clic ... CLAC ! La porte de la cellule d'Arthur s'ouvrit, et la faible lueur de la torche suffit à l'éblouir. Il avait été enfermé si longtemps qu'il avait perdu le fil du temps. Combien de temps avait passé ? Des jours ? Des semaines ? Il avait été bien nourri, mais il se sentait abattu et faible. Voir sa soeur Clémentine saine et sauve lui donna du baume au coeur, cependant.
Ils furent amenés chacun dans une salle séparée, où ils furent baignés, frottés, récurés, parfumés et habillés à la mode de Blure. Arthur portait ainsi une simple chemise de soie bleue et un pantalon blanc bouffant. Le tout ne tenait que grâce à une ceinture écru bandée. Clémentine sortit de sa toilette dans une robe de soie blanche diaphane, qui révélait presque sa nudité complète. Le voile du même tissu qui dissimulait son nez et sa bouche en était presque superflu.

Ainsi accoutrés, ils furent conduits à travers leur propre chateau par des gardes armés, comme des condamnés. Qu'est-ce qu'Alexandre pouvait bien leur réserver ? Il avait nécessairement pris sa décision.
Ils découvrirent la salle du trône, une grande salle toute en longueur où avaient siégé leurs aïeux avant eux. Auparavant, portraits et armoiries ornaient les murs entre des statues magnifiques. Les statues avaient été travesties, vêtues comme des femmes, et les tableaux et tapisseries avaient été jetés au sol sur leur chemin. Ils foulèrent du pied les armes de leur dynastie et les visages de leurs illustres prédécesseurs, avançant jusqu'à Alexandre, nonchalament étendu sur le trône royal dans une tenue légère de soies noir et pourpre.


L'Empereur victorieux regarda avancer son butin avec de l'amusement au fond des yeux. Il avait été éduqué à ne ressentir ni plaisir, ni frustration en aucune chose, à être une machine dédiée à la guerre. Mais la machine avait gagné la guerre, et elle jubilait au fond d'elle-même à l'idée de profiter de sa victoire bien méritée. Alors qu'il voyait les jumeaux avancer, il sentit émerger en lui des désirs qu'il n'attendait pas. Il bouillonnait d'une énergie inconnue, et elle menaçait de le submerger et de prendre le contrôle.
Ici.
Au beau milieu de la ruine de leur monde chéri.
Ils seraient siens.

Aux pieds de Son Altesse Impériale s'étalaient coussins moelleux et tapis épais. Un narguilé trônait sur une table basse tandis que des esclaves attendaient, impassibles, de resservir leur maître en dattes, en vin ou en raisins. Quand les jumeaux furent enfin au bord des tapis, il claqua dans ses mains. Les esclaves disparurent, ainsi qu'une partie des gardes. Quelques-uns restèrent.
On bloqua les portes. Une poignée des gardes veillait clairement à ce que les jumeaux ne cherchent pas à reculer, tandis que les autres allèrent chercher les tableaux éparpillés, couverts de nourriture écrasée, de vin ou de terre. Les portraits furent positionnés en demi-cercle autour du trône, fermant tel un amphithéâtre la scène soyeuse du spectacle du vainqueur.

" J'espère que vous ne m'en voudrez pas, mais je me suis dit que tous nos ennemis vaincus voudraient assister à ce triomphe. "

Il marqua une pause, laissant l'insulte infiltrer l'esprit des jumeaux avec un sourire difficile à dissimuler. Il se sentait frémir, véritablement. Il posa son regard sur chacun des deux prisonniers, et s'adressa à eux comme à de simples serviteurs.

" Vous voudriez sûrement régner en mon nom. C'est impossible. Il ne vous resterait alors que l'esclavage. Arthur irait dépérir dans une mine de diamants destinés à ma couronne, que Clémentine polirait avant de me masser. " Il sourit, serra les poings. Il se sentait terriblement excité. Il dévia de son discours prévu, laissant la lame de fond le submerger. " Vous croyez peut-être qu'on traite ainsi des atouts aussi jeunes et séduisants ?! Allons. J'ai une grande nouvelle, mes tourteraux ! Vous êtes officiellement devenus mes épouses il y a une heure de cela. La foule célèbre encore l'événement ! "

Il laissa l'annonce faire l'effet attendu : l'incompréhension. Epouser Clémentine, c'était prévisible, mais pourquoi Arthur ? Alexandre lui donna la réponse sans attendre : " Clémentine me fera des héritiers de sang clairisien, et toi, tu la regarderas me donner tes neveux et tu te prosterneras. Et je compte bien vous apprendre vite comment les choses vont fonctionner désormais ! "

Il avait prononcé ces mots presque dans un rugissement. Se relevant d'un mouvement félin, il lança sa veste au loin et défit sa ceinture d'un mouvement expert. Le pantalon s'affaissa, révélant son pubis et la moitié de ses fesses, mais n'alla pas plus loin. Face aux jumeaux, une bosse explicite l'empêchait de glisser plus avant.
Du doigt, il pointa Clémentine, puis ses propres pieds. C'était une instruction très claire. " Vas-y, ma femme, montre-moi comment les Clairisiennes expriment leur affection à leur époux. Gardes ! Si le garçon fait mine de regarder ailleurs ou de bouger, forcez-le à obéir ! "

Les gardes se rapprochèrent d'Arthur, poussant Clémentine à s'avancer. Les jumeaux échangèrent enfin un regard. Comment allaient-ils bien pouvoir réagir ? Alexandre n'en avait guère idée, mais ce jeu l'excitait terriblement. Sa verge n'avait jamais été aussi raide qu'en ce moment. L'excitation ne tombait pas, l'attente ne faisant qu'intensifier son désir pour la princesse soumise à sa volonté.

" Allez, Clémentine. Viens. Fais ton devoir d'impératrice. "
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Cassandre Harmington le samedi 07 avril 2018, 23:05:00
Les légendes les plus anciennes racontaient déjà que Clairis et Blure étaient en guerre au début des temps… La querelle entre ses deux peuples était ancienne, profonde… Tellement ancienne et profonde qu’on ne savait même plus pour tout dire… Tant de théories voguaient… Plusieurs théories circulaient. On parlait de l’assassinat du premier empereur de Blure par un poison contenu dans une amphore de vin Clairsienne. On parlait de jalousie Bluroise envers les terres agricoles de Clairis, tandis qu’eux vivaient dans le sable du désert… On parlait de pays étrangers qui avaient fait en sorte que les deux plus grands royaumes s’entre-tuent, pour ainsi récupérer les miettes de ce qui resterait après ce conflit, et ainsi, devenir la superpuissance du continent… Tant de théorie qui ne faisait que tenter d’expliquer l’inévitable…

Clairis était tombée. Clairis avait perdue une importante bataille, où la cavalerie Clairisienne avait été massacrée par les armées de l’Empire. On recomptait que sur les 6000 hommes du roi et de la reine, plus de 5000 avait trouvé la mort. Toute la noblesse et toute l’armée Clairisienne avait été décapitée en une journée. Il ne restait que les deux monarques, qui furent bien vite capturés après que la capitale se soit rendue sans combattre. Aucun des habitants de la capitale ne voulait voir la magnifique ville tombée et être pilée, détruite, et les villageois massacrées. Cela n’allait pas aidée dans la vieille réputation que les Clairissiens étaient des lâches et des couards… Bref, les monarques furent séparés, et emprisonnés… Arthur, isolé dans un cachot, ne put qu’attendre la mort arrivé…

Revoir sa sœur fut un énorme soulagement pour lui. En effet après une très longue attente, il fut « libéré » et amené vers une salle. Les deux furent lavées et nettoyés, ce qui leur fit énormément de bien, bien que cela soit fort gênant qu’à seize ans, ils soient dorlotés ainsi… Les deux furent habillés à la mode de Blure, chose assez troublante… Cela allait pour Arthur, pensa-t-il, mais Clémentine était extrêmement gênée de sa tenue. Elle était… Nue, littéralement, sous ses vêtements, et n’avait qu’une robe extrêmement transparente… On pouvait tout voir pensa-t-elle ! Et sans doute que les gardes le pensaient, eux aussi. Quoiqu’ils en soient, ce fut dans cette tenue que les deux furent amenés, transportés jusqu’aux lieu où les attendait Alexandre… Leur propre salle du trone.

" J'espère que vous ne m'en voudrez pas, mais je me suis dit que tous nos ennemis vaincus voudraient assister à ce triomphe. "

La grandeur de Clairis était travestie, ridiculisée, humiliée. C’était la grandeur de leur pays qui avait sombré. La salle, les deux anciens monarques ne la connaissaient que trop bien, cela ne faisait pas de doute… Donc voir ainsi les portraits de leur ancêtre, dont leur père, l’ancien roi Maxime IX, et leurs armes jetés à même le sol… Mais le pire, c’était sans doute les statues. Les statues représentaient les plus grands héros du royaumes, et ils étaient tous travesties, vêtues comme des femmes. Le peuple de Clairis, plutôt sexiste, n’avait honoré aucune femme dans cette salle… Chose changée, car maintenant, tous étaient des femmes… Bref, quoiqu’il en soit, les deux jeunes monarques n’avaient pas qu’à regarder autour d’eux. Ils devaient maintenant se concentrer sur le vainqueur, qui avait des choses à leur dire… Beaucoup de choses…

" Vous voudriez sûrement régner en mon nom. C'est impossible. Il ne vous resterait alors que l'esclavage. Arthur irait dépérir dans une mine de diamants destinés à ma couronne, que Clémentine polirait avant de me masser. Vous croyez peut-être qu'on traite ainsi des atouts aussi jeunes et séduisants ?! Allons. J'ai une grande nouvelle, mes tourteraux ! Vous êtes officiellement devenus mes épouses il y a une heure de cela. La foule célèbre encore l'événement ! "

Ils… Ils n’allaient pas finir comme esclaves ? Cela surprit Arthur, qui s’y était préparé depuis le début. Il s’était préparé à ça… Ou bien à être exécuté. Mais… Être… Attendez quoi ? Comment ça ils étaient devenues ses « épouses » ? Arthur était un homme, il devait le savoir. Après, comme beaucoup de Clairisien, Arthur n’était pas un modèle de virilité, on disait souvent que les Clairisiens, comparé aux Blurois, étaient des femellettes, bien qu’ils avaient sauvagement défendus leur terres… Mais de là à en faire eux deux des femmes ? Cela n’était pas logique, mais… Pouvait-on s’attendre à de la logique de Blurois ? C’était que peu probable… Quoiqu’il en soit, leur interlocuteur s’expliqua un peu, en explicitant ce qu’il avait voulu dire par là, et déclara simplement :

" Clémentine me fera des héritiers de sang clairisien, et toi, tu la regarderas me donner tes neveux et tu te prosterneras. Et je compte bien vous apprendre vite comment les choses vont fonctionner désormais ! "

« Je... »

Arthur ne sut pas que dire devant une telle déclaration… Imaginer sa sœur, sa précieuse sœur, être engrossée par un sauvage de Blure ! C’était… L’idée même lui donnait la nausée. Et en plus… Il se déshabilla, là, devant eux deux, sans plus de cérémonies. Enfin, non, il ne se déshabilla pas totalement, étant donné qu’on pouvait voir que son phallus retenait justement le pantalon, sauvant les deux spectateurs d’une vision du phallus. Clémentine laissa pousser un petit « gasp » sonore en imaginant ce qu’il y avait en dessous, tandis qu’Arthur lui restait interdit, réfléchissant aux conséquences de ce qui était entrain de se passer… Oh mon dieu. Par le grand protecteur de Clairis, pourquoi cela devait-il arriver ? Bref, en tout cas, le fameux empereur alors désigna ses pieds, et déclara :

" Vas-y, ma femme, montre-moi comment les Clairisiennes expriment leur affection à leur époux. Gardes ! Si le garçon fait mine de regarder ailleurs ou de bouger, forcez-le à obéir ! "

Les Clairisiennes… Il déclara cela comme si les Clairisiennes étaient des chiennes ou des salopes ! C’était… C’était inacceptable ! Mais comment faire pour tenter de le contredire ? Après tout, les gardes étaient tous là, et bien prêt à les mettre hors d’état de nuire s’il y avait quoique ce soit… Bref, ils ne rigolaient pas, et cela se voyait. Deux gardes étaient venus jusqu’à Arthur, le maintenant, tandis que deux autres gardes poussèrent Clémentine à s’approcher de l’empereur… Clémentine accepta, et s’approche, venant jusqu’au pieds de son époux. Elle le regarda de ses deux grands yeux, tandis qu’on pouvait voir ainsi ses seins dans la transparence de son vêtement… Aussi bien elle que son frère était terrifié par la situation, comprenant qu’ils n’avaient absolument aucun contrôle, et qu’ils ne pouvaient que subir… Néanmoins, après les déclarations d’Alexandre, et bien…

" Allez, Clémentine. Viens. Fais ton devoir d'impératrice. "

« Attendez ! »


Ce fut Clémentine elle-même qui osa déclarer cela. Elle tremblait légèrement… Mais elle ne céderait pas. Elle savait que « femmes » étaient un euphémismes pour leur destin. Sans aucun doute qu’aussi bien elle que son frère allaient devenir des esclaves sexuelles qui ne pourraient rien faire de plus que satisfaire leur époux et maître… Mais visiblement, Clémentine allait se révolter contre cela ! Ou peut-être pas, étant donné qu’elle n’était pas dupe. Aussi bien elle que son frère n’avait strictement aucune chance de faire quoique ce soit qui leur permettent de s’en sortir vu la situation donné… Et même s’ils s’en sortaient, l’armée de Clairis avait été écrasé sur la pleine de l’Alde… Donc, en gros, ils leur restaient plus rien du tout. Clémentine prit une grande respiration, et commença à déclarer :

« Messire Alexandre… Nous…
-Nous sommes roi et reine de Clairis. »

Cependant, elle n’arriva pas à terminer sa phrase. Elle eut trop peur, ou elle craignait un saut d’humeur de son nouvel époux… Elle ne savait pas du tout. Mais bref, elle n’arriva pas, et devant la détresse de sa sœur, Arthur, toujours emprisonné, avait décidé de déclaré, calmement, et rappelé qu’ils étaient les rois et reines de Clairis. Petite provocation ? Ou bien avait-il une vraie raison dans ce qu’ils avaient dis ? Et bien, il avait une vraie raison pour dire ça, il ne disait pas ça dans une gratuité la plus totale, juste pour rappeler leur ancien roi… Mais il comptait bien montrer le respect qu’il devait à l’empereur… En effet, il ne voulait pas que Clémentine souffre à cause de lui. Donc, il déclara, baissant la tête…

« Permettez une offense de votre… Grrr… épouse, mais promettez que notre peuple ne craint rien.
-Après… Je ferais ce que vous me demandez... »

Clémentine montra alors qu’elle était résignée. Bien plus que son frère, elle avait abandonnée tout espoir, et elle espérait juste que son peuple n’allait pas souffrir les ravages d’un peuple barbare. Le Royaume de Clairis était important pour son vin, et ses exportations très rapides. Cela en faisait un royaume riche qui avait donc grandement contribué à la richesse artistique et patrimoniale du monde. Bref, un royaume d’art et de vin… Comparé à beaucoup d’autres royaumes bien plus portés sur les armes, les Clairisiens avaient donc réputation d’être des bons vivants. Et ainsi, que leurs femmes seraient des chaudasses, connaissant de nombreuses performances sexuelles… Etait-ce le cas de Clémentine ? Pas du tout ! Elle était pure comme la robe blanche qu’elle portait en ce moment… Cela montrait que visiblement, elle avait beaucoup à apprendre… Comme Arthur, d’ailleurs, n’avait-il pas dis lui-même qu’il était son « épouse » ?
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Lamnard Kystrejfter le samedi 07 avril 2018, 23:57:23
Quand Arthur était intervenu, les gardes avaient bien failli lui donner une leçon de protocole blurien, mais l'Empereur avait levé un doigt et ils s'étaient ravisés. Pendant un instant, on aurait cru entendre les violons accompagner la résignation des jumeaux au sort cruel qui leur était réservé. Alexandre resta là, Clémentine dignement agenouillée à quelques centimètres de son sexe couvert, Arthur énonçant dignement, mais les dents serrées, les conditions des jumeaux royaux pour que l'accord tienne.
Ils voyaient cela comme un accord. Une décision bilatérale.
Le Blurisien trouvait ça très drôle, mais il ne réagit pas dans l'immédiat, croisant les bras, reprenant sa poker face habituelle en les laissant s'exprimer. On aurait cru qu'il avait perdu pied, et qu'une négociation avait démarré. Peut-être les jumeaux le pensaient-ils vraiment ? A 20 ans, Alexandre avait encore de l'expérience et du savoir à accumuler. A 16 ans, Arthur et Clémentine étaient, au mieux, des novices du monde et des affaires d'Etat.
Il aurait presque eu pitié pour leur innocence enfantine, s'il n'avait eu ni remords, ni doute, ni mépris pour eux et leur culture.

Aux dernières paroles de Clémentine, on aurait pu entendre les violons se taire, et un silence opressant tomber sur la salle du trône clairisien. Les jumeaux étaient là, attendant de recevoir leur récompense pour avoir pris la parole, d'obtenir matière à s'imaginer étant les héros du jour, les sauveurs du peuple clairisien. Alexandre les laissa patienter, semblant vraiment plongé dans une intense réflexion, une main devant son visage.
Mais ses épaules tremblèrent après un instant, et il ricana, puis rit aux éclats pendant un petit moment, et même les gardes, réalisant que leur souverain s'amusait, se permirent des rires étouffés. L'Empereur se calma bien vite, cela dit, tournant un regard acéré vers Arthur. Son rire avait changé en un rictus moqueur. Il le regardait, lui, dans les yeux, car il voulait bien qu'il ne le lâche pas du regard dans les prochains instants. Une main avait, pendant ce temps, glissé le long des cheveux de Clémentine sur son épaule, la maintenant gentiment, mais aussi sûrement qu'un étau l'aurait fait.

" C'est sûr, avec vous, les Clairisiens, on s'amuse. Donnez-moi ceci, je veux cela ... Qu'est-ce qui vous laisse penser que vous êtes en position de négocier ? "
" Nous sommes vos sujets obéissants, Votre Altesse Impériale, mais ... "
" ... Nous voulons des ... garanties ... p-p-pour ... pour ... "
" ... Pour pouvoir vous servir convenablement. "

Alexandre leva les sourcils, clairement surpris par la position des jumeaux. Il n'attendait pas tant de répartie de deux morveux de Clairis. Mais il n'en était pas désarçonné pour autant. Son visage s'assombrit.

" Permettez-moi d'être clair : désormais, les Clairisiens seront nos esclaves. La générosité de mes décrêts, le traitement qui leur sera réservé, la fréquence et la sévérité des punitions ... Cela dépend de vous. Vous déterminerez s'ils vivront esclaves et bien portants, ou esclaves et misérables. Et si vous m'y forcez, je vous ferai diriger les pelotons d'exécution. Voilà où en est Clairis, et où vous en êtes. Vous voulez pouvoir servir convenablement ? Dites-vous que si vous n'y arrivez pas, ce n'est pas vous, mais tous vos bienaimés sujets qui en feront les frais. " En disant ces mots, il passa sa main sous le menton de Clémentine, lui dégagea les cheveux et défit le voile couvrant son visage, le tout très doucement. " Je n'ai pas envie d'abîmer la mère de mes héritiers, ou leur tante Arthur. "

Il était presque devenu galant avec Clémentine. Elle espéra peut-être même, un instant, avoir trouvé le bouton pour calmer le feu de son époux et maître. Mais il n'en était rien.
Aussi vite qu'il avait lentement défait son voile, Alexandre glissa une main derrière la tête de la fille, agrippant ses cheveux, tandis que l'autre l'attrapait à la gorge et sous la mâchoire, l'immobilisant et la soumettant aux gestes de ses bras. Arthur eut un mouvement d'hésitation. Un garde tira son poignard et le glissa sous sa gorge tout en lui attrapant, lui aussi, les cheveux.
L'Empereur baissa enfin les yeux vers Clémentine. Il rencontra son regard terrifié, ses dents claquaient et son corps entier semblait chercher sans énergie une issue introuvable, suspendu aux mains d'un maître impérieux.

" Alors, femme, dis-moi ... " Secouant son bassin, il fit chuter son pantalon, révélant sa verge raide et son gland humide, et il la maintint tout près, pour qu'elle ne puisse y échapper. " ... est-ce que ce sont vraiment les garçons qui s'occupent de vos hommes ? Est-ce qu'Arthur doit prendre ta place ? "
Tout en l'interrogeant, il la rapprocha, faisant glisser son visage contre son sexe, y laissant des trainées de liquide séminal avant de le presser entre ses cuisses, contre ses bourses. Il retourna son regard conquérant sur Arthur, qui n'avait d'autre choix que d'assister à la scène sans bouger. Il croisa son regard et un éclair de malice traversa ses yeux. Arthur tenait vraiment beaucoup à sa soeur. C'était presque de la jalousie qu'il voyait là, il en était certain.
" Suce-les, ma femme. Utilise ta langue. Ouvre-moi ces lèvres de salope, remplis ta bouche. Montre-moi comment se donne une chienne clairisienne ! "
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Cassandre Harmington le dimanche 08 avril 2018, 10:36:29
Etait-ce de la folie ? Du courage ? Un peu des deux ? Franchement, ni Arthur ni Clémentine n’en savaient rien… Mais ils avaient demandés… Car c’était du devoir d’un souverain. Même réduis en esclavages, ils se devaient de faire attention à leur peuple… Bien sur, c’était stupide, car ils faisaient ça, comme s’ils croyaient qu’ils étaient en position de négocier. Ils savaient très bien qu’ils n’étaient pas du tout en position pour négocier, au contraire même… Mais que pouvaient-ils faire sinon ? Abandonner tout espoir, et laisser leur peuple à la mercie des Blurois ? Impossible, ils étaient des souverains fiers, et comme leur prédécesseurs, même dans le déshonneurs, ils penseraient à leur peuple… Avec un peu de chance, l’empereur serait magnanime avec ses nouveaux sujets…  Malheureusement, tout semblait mal partie.

" Permettez-moi d'être clair : désormais, les Clairisiens seront nos esclaves. La générosité de mes décrêts, le traitement qui leur sera réservé, la fréquence et la sévérité des punitions ... Cela dépend de vous. Vous déterminerez s'ils vivront esclaves et bien portants, ou esclaves et misérables. Et si vous m'y forcez, je vous ferai diriger les pelotons d'exécution. Voilà où en est Clairis, et où vous en êtes. Vous voulez pouvoir servir convenablement ? Dites-vous que si vous n'y arrivez pas, ce n'est pas vous, mais tous vos bienaimés sujets qui en feront les frais. Je n'ai pas envie d'abîmer la mère de mes héritiers, ou leur tante Arthur. "

… Damnit. Donc, c’était fichu… Les Clairisiens allaient souffrir, et ils seraient le baromètre de ses souffrances… Et le pire, c’est qu’aussi bien Clémentine qu’Arthur savait très bien que… Qu’il ne blaguait pas dans ce qu’il disait. L’empereur de Blure n’était pas du genre à mentir, ou bien à faire des blagues sur ce genre de sujets. Les Clairisiens étaient bien des esclaves. Sans doute qu’à cette heure, les plus illustres habitants de Blure étaient déjà entrain de se diviser et de récupérer les plus précieuses terres viticoles de Clairis. Bientôt, les autres nations laisseraient les deux états en paix. Pourquoi aider Clairis ? Blure n’était pas stupide, et allaient reprendre les exportations de vins et denrées alimentaires vers les autres nations. Cela ferait de Clairis une vieille nation, oubliée dans les livres d’histoire, tandis que la lignée de Clairis aurait été fusionnée à la lignée de Blure…

Quoiqu’il en soit, alors que l’empereur était donc à expliquer ça… D’un seul coup, Clémentine fut attrapée à la gorge… Ses cheveux étaient tirés, tenues, et elle laissa échappé un couinement aussi bien de peur que de douleur… Elle était immobilisée, soumise à son agresseur. Arthur eut un mouvement de reflexe, voulant sauver sa sœur, mais ce fut aussi ridicule qu’inutile. Immédiatement, il fut lui aussi immobilisé, avec un poignard à la gorge. Bref, peut-être plus Clémentine qu’Arthur, mais les deux étaient terrifiés. D’ailleurs, l’empereur de Blure put le voir, voir cette détresse dans les yeux de son interlocutrice, étant donné qu’il la regarda… Il la regarde de ses deux yeux profonds, et déclara :

" Alors, femme, dis-moi ... est-ce que ce sont vraiment les garçons qui s'occupent de vos hommes ? Est-ce qu'Arthur doit prendre ta place ? "

« No… Non… »

Elle ne voulait pas qu’Arthur la remplace, elle ne voulait pas qu’Arthur souffre car elle avait été trop lâche. Un  peu comme un ridicule courage, elle estimait qu’elle devait faire en sorte que son frère s’en sorte… Il révéla alors son phallus, qui fit échapper un nouveau « gasp » à la fameuse Clémentine. Elle put bien le voir, étant donné que visiblement, le phallus commença à glisser, tranquillement sur son visage, laissant une coulée sur son visage. Elle fut pressée contre les testicules, bref, la jeune femme était véritablement un jouet sexuelle à la mercie de son interlocuteur, qui semblait bien profiter du fait qu’elle était totalement en son emprise… Clémentine, peu habituée, ne connaissant pas ce genre de pratique sexuelle, était encore hésitante, et ainsi, heureusement son époux était là pour la guidée.

" Suce-les, ma femme. Utilise ta langue. Ouvre-moi ces lèvres de salope, remplis ta bouche. Montre-moi comment se donne une chienne clairisienne ! "

Arthur regarda ça médusée. Sa sœur, sa précieuse sœur jumelle allait être violée, et il pouvait rien faire. Il voyait juste le dos de sa sœur, et le puissant torse de son mari… Il voyait mal, mais devinait tout… Il avait entrapperçu lui aussi la taille du phallus de son époux, et… Et on pouvait dire qu’il était bien ridicule en comparaison, qu’il avait un petit phallus, bien loin de l’imposant calibre de l’empereur… Bref, à la taille de la bite, on pouvait comprendre pourquoi Clairis s’était fait écrasée par Blure, car, il allait bientôt le découvrir peut-être, mais le jeune roi de Clairis n’était pas le roi doté du plus incroyable des pénis… Bref, quoiqu’il en soit, c’était un spectacle dégoûtant et horrible qu’il allait voir, mais il ne pouvait rien faire, et même pas détournée le regard, sans se faire trancher la gorge.

Mais Clémentine, c’était elle sur qu’il fallait se concentrer… Bref, tremblottante, elle ouvrit légèrement la bouche, et commence à sortir sa langue, et passa un coup sur les testicules de l’homme… elle passa un coup de langue, et frisonna, avant de continuer, de reprendre… Pour le moment, c’était très timide… Mais elle tentait. Après tout, il l’avait dit. Si ses épouses étaient de bonnes esclaves, elle comme son frère, alors, son peuple ne serait pas maltraitée. Si elle ne mettait pas d’efforts dans ce qu’elle faisait… Alors, elle n’osait pas imaginer ce qui allait arriver. Même ce qui était peut-être entrain d’arriver, là, maintenant à son peuple.

Devinant que sa timidité et ses maigres actions ne contenteraient pas son mari, elle ouvrit un peu plus la bouche, et prit le gland en bouche. Après qu’il soit passé autant de fois sur son visage, elle n’avait plus qu’à faire ça, elle supposait. Elle lécha, calmement et timidement, arrivant à ne pas trop grimacer. C’était très timide tout ça, mais on pouvait supposer que pour une première fois qu’elle voyait un phallus, c’était quand même pas si mal… Mais le soucis, c’était que « pas si mal », et bien, ce n’était pas ça qui allait satisfaire son époux ! Bref, maintenant, Clémentine elle-même se posait la question, que devait elle faire ? Elle avait un phallus en bouche pour la première fois de sa vie, le gland dans sa petite bouche, et elle hésitait. Devait-elle tenter d’aller plus profond ? Lécher plus efficacement ? Elle ne savait pas vraiment…
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Lamnard Kystrejfter le dimanche 08 avril 2018, 15:26:31
L'empereur blurois frémit lorsque la petite Clémentine se décida enfin à se mettre à l'ouvrage, mais il ne quitta pas Arthur du regard. Un sentiment pervers qu'il ne se connaissait pas se manifestait en lui. Il aimait être regardé, mais il aimait encore plus l'idée d'avoir une emprise totale, d'être dans le contrôle, de contraindre et prendre selon son seul désir. Il avait déjà eu des relations, avec plusieurs femmes du harem. Feu son père, l'Empereur Nicolas VI, considérait qu'un homme n'était un homme que si il savait comment s'accoupler à une femme. Comme toute chose, Alexandre l'avait pris comme un exercice, un devoir à remplir. Il avait donné du sien, avait mollement répandu sa semence, et avait été récompensé.
Ici, tout était différent. Cette langue sur sa verge, son gland dans sa bouche, c'était la récompense de sa victoire historique, le cadeau adéquat à un souverain triomphant, son plaisir, que lui seul pouvait prendre s'il le voulait, car tout cela était à lui, pour lui. Il songeait à cela et se sentait tout puissant. Mais il lui manquait les pulsions d'extase que l'acte devait lui procurer.

Il baissa les yeux sur Clémentine, qui tétait timidement, comme un bébé tétant le sein, mais sans la faim. Il serra les dents. A quoi devait-il s'attendre ? La petite blonde avait sûrement vécu sa vie dans un cocon, entourée de sycophantes ne pensant qu'à préserver son innocence et son endoctrinement, jusqu'au jour où ils pourraient la donner à un vieux duc récalcitrant. Encore aurait-il fallu qu'Arthur accepte. Elle aurait sûrement fini vierge et enfermée dans une tour.
C'était peut-être mieux ainsi pour tout le monde.
Mais sa petite vierge de femme le frustrait. Il la poussa contre lui, faisant glisser son sexe dans sa bouche. Elle l'accueillit sans résistance, mais sans appétit. Il voulut donner le rythme, agrippant ses cheveux derrière ses oreilles et faisant aller et venir sa verge entre ses lèvres. Il y alla sans ménagement, et elle commença à baver, le faisant glisser plus profondément et au fond de sa bouche. Mais, bien avant qu'elle n'en prenne la majeure partie, elle toussa, força pour se dégager et parvint finalement à se défaire de son emprise.

" Je ne peux ... trop grosse ... kof kof ! "

Il grogna, la giffla et la laissa retomber, déglutir et reprendre son souffle, la fixant avec déception. Il n'avait pas envie de lui apprendre comment faire. Elle pouvait bien le deviner elle-même, non ? Ou bien ...
Un sourire remonta sur son visage tandis qu'il relevait son regard vers Arthur, décomposé mais toujours immobile. Il alla rapidement vers un garde, tirant une dague courbe d'un fourreau et revenant à sa place. Il pointa la pointe de l'arme sur le garçon et lui fit signe d'approcher. Les gardes le laissèrent instantanément.

" Tu as le choix : la guider pour bien faire, ou le faire toi-même. " Sa tête se pencha de côté tandis que son sourire s'écarquillait, carnassier et joueur. " Je veux voir si tu oseras enfoncer ma queue dans sa gorge et lui dire de faire tourner cette langue de pucelle, ou si tu règneras par l'exemple et lui présenteras la marche à suivre. "
Alexandre voulait sincèrement voir ce qui allait se produire. Il n'oubliait pas leur attitude fusionnelle et le regard de braise du prince clairisien. Il se demandait jusqu'où allait son amour pour sa soeur. Il se demandait s'il l'aimerait au point de sacrifier cet honneur clairisien si pompeux et monomaniaque. Rien que pour ça, se faire sucer par un homme en vaudrait la peine.
Mais en même temps, il avait envie de Clémentine, et il se réjouirait tout autant du spectacle d'Arthur la poussant à faire son travail, à genoux devant lui.
Deux petites chiennes à dresser, et un maître patient.
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Cassandre Harmington le dimanche 08 avril 2018, 17:24:07
Elle tenta. On ne pourrait rien dire autre que « elle avait tenté. » Mais dès qu’elle commença à faire des efforts, et bien, cela devenait très dur pour elle. Très très dur, car… Et bien, elle n’avait pas l’habitude. Elle n’avait aucune éducation seuxelle… Et le pire, c’est que oui. Ses parents auraient survécus, elle aurait été marié à un vieux duc très riche, et puis basta ! Là, ce qui l’avait protégé du mariage arrangé, c’était le fait que les deux avaient été orphelins, et donc sacré roi et reine très jeune ! Donc, voilà… Bref, Clémentine tentait de prendre le phallus dans sa bouche… Mais c’était… C’était trop gros pour elle. Beaucoup trop gros. Il avait un calibre absolument énorme… C’était incroyable ! Bref, elle arrêta, et fut punie pour cela. Elle fut punie pour cela, et reçu une claque qu’elle supposait… méritée. Elle était une mauvaise épouse après tout…

Arthur manqua de se lever rapidement, pour tenter de sauver sa sœur, mais fut empêcher par le garde… Alors qu’il voulait casser la gueule de ce putain d’empereur qui n’avait pas le droit de lever la main sur son épouse, et encore moins sur sa sœur… Et bien, l’empereur autorisa les gardes à libérer Arthur. Le jeune garçon avait réussi à se calmer, et approcha alors vers l’empereur, histoire de voir ce qu’il voulait. Il lança un regard à sa pauvre sœur, qui avait une belle marque sur la joue. La peau blanche des Clairisien marquait très facilement, cela était donc « logique » qu’elle ait une marque… Bien que cela déplaisait beaucoup au fameux Arthur. Clémentine, elle restait un peu en retrait, quand les deux jumeaux entendirent :

" Tu as le choix : la guider pour bien faire, ou le faire toi-même. "

« Quoi ?! »

Arthur poussa un quoi extrêmement surpris, presque choqué ! Tandis qu’il disait ça, son interlocuteur, lui avait un sourire narquois. Il profitait de la situation, il l’aimait, cela se sentait, cela se voyait de très très loin. Clairement, il aimait ça… Clémentine regardait ça, et se demandait… Elle avait cru dès le début que le mariage était un projet d’Alexandre uniquement pour ainsi avoir sa descendance sur Clairis… Mais… Mais ne dîtes pas que… Qu’il voulait vraiment elle et son frère… Pour des raisons amoureuses, sexuelles, bref, tout ce que vous voulez ? Elle ne déclarait rien, se contentait de regarder son interlocuteur… Mais… Mais si cela se vérifiait… Cela changerait beaucoup de choses pour elle, comme pour son frère. Ils seraient pas que des esclaves, mais de véritables trophées… Avec tout les avantages, comme les inconvénients que cela voulait dire… Bref, quoiqu’il en soit, Alexandre explicita ses déclarations :

" Je veux voir si tu oseras enfoncer ma queue dans sa gorge et lui dire de faire tourner cette langue de pucelle, ou si tu règneras par l'exemple et lui présenteras la marche à suivre. "

« ... »


Arthur resta muet un moment, quand il entendit cela… Cela voulait dire qu’il avait le choix, maintenant. Soit il poussait sa sœur à sucer cette homme… Soit lui-même, il allait devoir le sucer… C’était un choix Cornélien. Soit il sacrifiait son honneur, et sous le regard des portraits et des statues de ses ancêtres, il suçait, lui, le Roi du Pays, un étranger… Soit il faisait bien pire. Il forçait sa sœur… Tout, mais alors tout lui disait quoi faire. Le choix était assez « simple » en apparence… Mais qu’on soit clair, cela voulait dire que non seulement il cracherait sur l’honneur de Clairis, et ainsi, la princesse serait réduite à une suceuse, mais en plus, il serait complice de cette situation, vu que ça serait lui-même qui aurait forcé sa sœur à le faire… Bref, dans le cas où c’était lui qui devait sucer l’empereur, ainsi… Il n’y avait qu’une seule et unique personne qui allait souffrir. Et ça serait lui. Un choix suffisent pour lui, pour qu’il décide ainsi de faire…

« Pousse toi petite sœur… Je vais le faire.
-Ar… Arthur... »

Il poussa délicatement, gentiment sa sœur, et s’approcha du phallus. Il jeta un dernier regard de braise à son époux. On pouvait voir dans ses yeux une fureur, mais sur ses joues… Une gêne, une gêne quasi féminine, même on pouvait dire. Presque celle de sa sœur, enfaite, pour tout dire. On avait presque l’impression que les deux étaient interchangeable. Bref, quoiqu’il en soit, après ce regard du jeune ancien roi de Clairis, il baissa les yeux, et regarda le phallus. Maintenant qu’il l’avait en vue, il pouvait confirmer. Sa bite était toute petite en comparaison, le rendant rouge de honte… Dire… Dire qu’il allait faire ça… Mais il n’avait pas le choix… Et donc, il devait faire de son mieux, pour montrer qu’il était prêt à aider sa sœur… Il approcha sa bouche, gentiment et très délicatement, encore une fois avec une attitude fort peu virile, montrant bien que visiblement l’empereur avait eu un bon choix… Et pris le gland en bouche, à son tour.

Il commença alors à sucer son époux et l’actuel empereur… Plus ambitieux que sa sœur, visiblement car il avait vu celle-ci se faire rembarré, il commença un vas et viens, qui se voulait un peu plus actif, un peu plus performant… Il allait un peu plus profond qu’elle, et hésitait pas à jouer de sa langue pour faire que l’empereur soit satisfait… Plus vite il allait jouir, mieux ça serait. Avec une peu de chance, une telle bite était forcément peu endurante, non ? Ayant un peu de mal, il remercia sa sœur, qui l’aida à faire le vas et viens, guidant sa tête, l’aidant à bien se positionner… La situation ainsi était devenue totalement inversée. Il avait proposée qu’Arthur aide sa sœur à apprendre à sucer… Et bien, c’était finalement l’inverse qui était entrain de se produire. Clémentine aidait à Arthur à apprendre à sucer. Les deux jumeaux ainsi travaillaient ensemble pour satisfaire leur époux… comme deux bonnes épouses.
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Lamnard Kystrejfter le dimanche 08 avril 2018, 17:55:47
Alexandre poussa un soupir. C'était mieux, bien mieux même. Il gardait sa dague bien en main, prêt à punir tout acte de rébellion à hauteur du préjudice, mais il devait l'avouer, Arthur se montrait plus entreprenant et doué que sa soeur, plus naturel. Peut-être était-ce parce que lui aussi était un homme, et qu'il savait d'instinct comment la prendre pour l'exciter. Il se détendit et grogna, de façon plus détendue cette fois. Il avait passé une main à travers le col très échancré de la robe transparente et lâche de Clémentine, lui caressant un sein pendant qu'elle aidait son frère à ... aller jusqu'au bout ? Cela le fit sourire d'autant plus. Si Arthur avait autant de mal pour tenir une fellation, il ne serait pas bien combattif sous peu, et il serait d'autant plus facile de faire ce qui convenait de faire pour le plaisir de l'empereur.

" On nous a toujours dit que les Clairisiens sucaient comme nos femmes, mais je n'aurais jamais cru que c'était vrai ! " La remarque provoqua une envolée de rires du côté des quelques gardes toujours présents. La plupart ne regardaient pas, peut-être gênés, mais tous riaient manifestement de bon coeur, grassement, par moquerie pure et simple, comme s'ils apprenaient que la meilleure blague du monde était vraiment vraie.
Pour Arthur, qui ne s'arrêtait pas, ce serait manifestement un coup dur. Comme le manipulateur qu'il était à la cour, Alexandre usa du prétexte pour obtenir quelque chose, comme toujours. " Allons, allons, vous allez frustrer l'épouse royale ! Il mérite aussi quelque chose, non ? Fais voir ce que tu as là ! "

Sans crier gare, le Blurois tailla dans le tissu du pantalon à l'entrejambe. Cette fois, Arthur s'arrêta, tomba en arrière, ce qui était normal. Alexandre était réputé pour son talent aux armes, et il n'avait même pas éraflé sa peau délicate et blanche ; mais un trou béant s'ouvrait maintenant, révélant son pelvis. Il posa ses mains, gêné, soucieux de cacher l'évidence qu'il avait lui-même constaté depuis un moment.
Alexandre gardait Clémentine à lui. Il l'avait agrippé par l'oreille pour poser sa tête contre sa cuisse, et il caressait maintenant le lobe de son oreille sans trop y faire attention. Il avait bien envie de la ménager, car il allait passer à la vitesse supérieure, et ils avaient tout intérêt à être bien installés.
" Allez ! Montre ! Tu as décidé de prendre sa place, et c'est super. Tu mérites une récompense. Mais d'abord, enlève tes mains de là. "
Le prince s'exécuta. Il voyait bien que son époux avait la tête de sa soeur dans une main, et une dague dans l'autre, et la vision était proprement terrifiante maintenant qu'il mesurait l'ampleur de la folie de cet homme.

Il y eut un silence, puis Alexandre éclata de rire. Aucun garde ne pouvait voir, mais le souverain impérial leur adressa quelques mots en blurois entre deux fous rires, et l'éclat fut maintenant général. L'humiliation était absolue. Si le sexe d'Arthur n'était pas minuscule, il n'était pas franchement grand ni bien viril. L'Empereur essuya ses larmes du dos de la main tout en se calmant.
" Oh ! ne le prends pas mal, voyons, Arthur ! Je n'en veux pas, de toute façon. Non, Clémentine va t'aider ! " Cette fois, les jumeaux ne savaient pas par où commencer. Il les coupa directement. " Des époux doivent se donner du plaisir, c'est important ! Et tu as vraiment donné du tien pour lui enseigner des choses utiles, c'est Justice que tu en profites. Allez ! Lève-nous cette nouille ! Et toi, ma petite blonde, montre-lui comme tu as bien appris. "
Dans le même geste, il tomba sur le trône derrière lui et allongea son bras pour fesser Clémentine. Le claquement résonna dans la salle tandis qu'elle se redressait dans un couinement de douleur. Alexandre la fixait des yeux. " Va ! Rampe vers sa virilité clairisienne et honore-là comme il se doit. Après tout, vous aimez tellement votre race, il est temps de la célébrer comme il se doit, non ? Allez, Clémentine, ne me déçois pas ! Et toi, Arthur ... Tu sais ce que tu dois faire si tu veux qu'elle ne soit pas punie. "
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Cassandre Harmington le dimanche 08 avril 2018, 22:38:29
" On nous a toujours dit que les Clairisiens sucaient comme nos femmes, mais je n'aurais jamais cru que c'était vrai ! "

Il arrivait pas à le croire... Et tout le monde se moquait de lui, en plus... En même temps, que pouvait-il faire ? Il était obligé de le sucer, il ne le faisait absolument pas par plaisir... Mais en quoi des Blurois pourraient le comprendre ? Ils étaient trop stupide, trop gras. Pour eux, c’était la moquerie avant tout. Ils devaient être content, ils avaient réussi à capturer l’état de Clairis et le faire tomber en esclavage... Et voilà ! Maintenant ils pouvaient se moquer avec grand plaisir du jeune roi, qui était réduit à sucer leur empereur... C’était de la moquerie pur et simple, et... Et bien, ils avaient « bien raison » de faire cela, car cela marchait nickel. Cela marchait nickel pour l’énerver, le frustrer, presque le donner envie de pleurer... Car oui, il en avait les larmes aux yeux... C’était pas amusant à voir... ?

 Allons, allons, vous allez frustrer l'épouse royale ! Il mérite aussi quelque chose, non ? Fais voir ce que tu as là ! "

Le talent des armes de l’empereur Alexandre de Blure n’était plus à raconter, tellement il était connu. Cela ne faisait aucun doute. Clémentine et Arthur avait un peu de maîtrises aux armes, mais ils restaient des amateurs, plus habitués aux arts qu’autres choses... Bref, tout ça pour dire qu’en quelques secondes, sans que la peau fut éraflé, le vêtement pourtant léger d’Arthur fut découpée, à l’entrejambe, révélant tout. Bien entendu, il cacha, pour que ni Alexandre, ni sa soeur puisse voir. Clémentine, elle, était à la mercie de son époux, elle était dans ses bras, littéralement, et il la caressait sans qu’elle puisse rien faire, rien dire, bref... Elle était comme un petit jouet, et il avait son arme, dans l’autre main... Clémentine avalait sa salive avec difficulté, elle craignait toujours pour sa peau...

" Allez ! Montre ! Tu as décidé de prendre sa place, et c'est super. Tu mérites une récompense. Mais d'abord, enlève tes mains de là. "

Une récompense ? La situation était plutôt la plus horrible de sa vie. Et le pire, c’est qu’il se disait que... Bah, c’était sa vie maintenant. Ce n’était pas un mauvais moment à passé... Non, c’était comme ça, maintenant, cela allait se passer ainsi, et ils ne pourraient rien faire... Bref, Arthur, sachant qu’il pourrait faire mal à Clémentine s’il recevait un refus, montra son engin... Et de suite, les moqueries reprirent... Alexandre de Blure déclara même quelques choses dans sa langue natale, à ses gardes... autre faiblesses des deux jumeaux... Ils ne parlaient pas un mot de la langue de Blure, contrairement à Alexandre qui parlait un Clairissien absolument parfait, bien qu’avec un très léger accent... Mais trève de bavardage sur les langues, c’était les phallus qui intéressaient ici... Bref, quoiqu’il en soit...

" Oh ! ne le prends pas mal, voyons, Arthur ! Je n'en veux pas, de toute façon. Non, Clémentine va t'aider ! Des époux doivent se donner du plaisir, c'est important ! Et tu as vraiment donné du tien pour lui enseigner des choses utiles, c'est Justice que tu en profites. Allez ! Lève-nous cette nouille ! Et toi, ma petite blonde, montre-lui comme tu as bien appris. "

Que... Que... Il... Il disait vraiment ça ? Non, c’était une blague, une mauvaise blague ! Ils... Ils ne pouvaient pas faire ça... Encore moins en public... Non... Non, juste non... Pourtant, c’était clair que Clémentine devait y aller... Et plus vite que ça ! Sur l’une de ses fesses à peine couverte, elle sentit une main claquer. Elle sursauta, et fonça proche de son frère, après avoir quand même laissé échappé un petit couinement extrêmement mignon. Comme le claquement avait raisonné dans la salle, on pouvait dire que le petit gémissement avait fait pareil, et s’était fait entendre dans toute la salle... Bref, maintenant qu’elle était proche de son frère, celui-ci en profita pour la prendre dans ses bras, de façon protecteur, pour être sûr qu’elle ne risque rien, tandis que les ordres de leur interlocuteur continuèrent à venir jusqu’à eux...

" Va ! Rampe vers sa virilité clairisienne et honore-là comme il se doit. Après tout, vous aimez tellement votre race, il est temps de la célébrer comme il se doit, non ? Allez, Clémentine, ne me déçois pas ! Et toi, Arthur ... Tu sais ce que tu dois faire si tu veux qu'elle ne soit pas punie. "

« Ar... Arthur...
-Va... Va-y Clémentine... On... On a pas le choix... »

Les deux regardèrent leur époux, d’un oeil rapide, comme s’ils espéraient tout deux que finalement, ils disent que ce n’était pas vrai, et qu’ils n’allaient pas leur imposer de faire ça, de faire une relation incestueuses... Mais... Mais non, ils savaient très bien ce que voulaient le fameux Alexandre, ils voulaient continuer de les humilier, cela lui faisait plaisir, cela l’amusait... Et donc, ils n’avaient pas d’autres choix que d’accepter ce jeu qui les humiliait totalement... Bref, ils n’avaient pas le choix, et ils devaient commencer. Arthur, assit par terre sur les fesses, prit alors dans ses bras sa soeur, qui elle était à quatre patte. Elle baissa alors lentement la tête, pour venir faire ce qu’elle devait faire... C’est à dire, obéir aux ordres de son époux, et... Et oui, honorer la virilité Clairisienne, comme le disait l’empereur.

Ainsi, elle prit en bouche le phallus de son frère. A ce moment là, le tabou fut brisé, elle avait commencé une relation sexuelle avec son frère. Sans doute que c’était là, que Clairis serait maudit... Le roi et la reine, un frère et une soeur, faisant une relation sexuelle dans la salle du trone... Quel horreur... Mais bref, en tout cas, cela avait commencé, et on ne pouvait pas l’arrêter... En effet, Clémentine avait commencé à sucer son propre frère. C’était plus facile pour elle que quand elle avait tenté de sucer son époux, qui avait vraiment une bite imposante. La taille plus modeste de son frère faisait qu’elle avait moins de mal. Elle avait pas l’impression d’étouffer en la prenant bien en bouche, en allant le plus profondément possible. Cela permettait visiblement une fellation agréable, surtout quand on entendait les soupirs de son frère...

« Oh... Clémentine... C’est... »

Merveilleux ? Formidable ? Extraordinaire ? Il ne savait pas, il ne trouvait pas les mots... Mais une choses était sûre... Il adorait ce qui était entrain de se passer. Clémentine, elle faisait attention à donner du plaisir à son frère, tranquillement... D’ailleurs, on sentait que le fameux Arthur aimait ça ! Etant donné qu’il gémissait énormément... Et qu’il était sur le point de se lâcher ! On pouvait dire que ce n’était pas vraiment la classe, mais il ne put se retenir, et éjacula sur le visage de sa soeur, qui eut le reflexe de retirer sa bouche. Elle en eut un peu dans la bouche, mais la plupart sur son visage... Clémentine était rouge et blanche, Arthur était rouge. Ce dernier bredouilla quelques mots d’excuses, tandis qu’ils étaient sous le regard du fameux Alexandre... Qui devait sans doute trouver la situation cocasse et amusante... Qu’allait-il dire devant cette situation ? On allait bien voir...
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Lamnard Kystrejfter le lundi 09 avril 2018, 13:15:54
L'Empereur Alexandre observa la scène depuis la douce assise de trône, mangeant quelques raisins tandis qu'il observait, amusé et les yeux plissés, Arthur et Clémentine révélant leur goût inavoué mais facile à deviner pour leurs corps respectifs. L'adolescente avait léché et sucé la petite bite de son frère jusqu'à recevoir se semence sur son visage et dans sa bouche. Aucun n'osait rien dire dans l'immédiat, car la jouissance avait révélé le plaisir qu'ils avaient éprouvé à faire cela ensemble, et ils n'oseraient peut-être jamais l'avouer.
Alexandre brisa le silence, applaudissant doucement tandis qu'il se relevait et avançait vers eux.

" Et bien, et bien, tout n'est pas perdu pour vous, mes petites chéries ! Mais, maintenant que je sais que vous avez ça en vous, je vais être très insatisfait si je ne vois pas la même intensité dans vos actes. "

Les deux Clairisiens rougirent encore plus. Il les avait eu à plus d'un titre, les forçant à la fois à réaliser l'affreux acte d'inceste et à prouver qu'ils étaient bien capables de donner du leur et de se lâcher. Ejaculer sur le visage d'une fille n'était pas simple, et sur celui de sa soeur encore moins. Arthur avait bien montré que son petit sexe adolescent n'avait pas de limite.
Le Blurois s'était approché d'eux en piétinant sans bruit les coussins et tapis étendus alentour. En arrivant, il ignora complètement Arthur. Maintenant que le garçon avait eu sa première jouissance sur sa soeur, il aurait d'autant plus de mal à la laisser partir. Laisser son petit coeur fragile se serrer serait d'autant plus facile et jouissif à présent. Il attrapa Clémentine par le bras et la souleva, la faisant voler comme un jouet à quelques mètres. Elle atterrit sans mal sur les coussins moelleux, mais elle était trimballée comme une poupée, elle, princesse de Clairis, et se sentait toujours plus impuissante, encore barbouillée du sperme de son frère, qui coulait et se collait aux coussins.

Elle sentit le Blurois revenir vers elle. Alexandre saisit la robe à la fin de l'échancrure de son dos et tira. Le vêtement se déchira d'un coup et ne resta que des bandes de soie blanche. A quatre pattes, elle attendait la suite avec appréhension, pensant peut-être se faire prendre encore la bouche. Après tout, l'empereur disait vouloir la même chose, et elle était maintenant échauffée. Mais il appuya du pied contre sa nuque, la faisant flancher et écrasant sa tête dans les coussins glissants. Ses fesses mantenant découvertes en l'air, le dos cambré, elle révéla ses lèvres vierges et put sentir l'air les caresser.
Son époux se pencha sur elle et, crachant dans sa main, il lui attrapa la vulve, répandant sa salive entre ses lèvres, malmenant son clitoris et l'entrée de son vagin. " Je ne me voyais pas enlever sa virginité à ton frère, mais personne d'autre que moi ne brisera ton hymen. Et tu ferais bien de t'habituer tout de suite à ma queue. "

La princesse tremblait tandis qu'il se laissait tomber sur les genoux derrière elle. Il prit sa verge toujours raide en main et la pointa droit vers son sexe rose. Son gland humide écarta ses lèvres sans mal, et il fit son chemin avec force à l'intérieur d'elle. Elle n'avait jamais connu la virilité d'un autre en elle et cela se sentait, elle était serrée et gémissait. Le Blurois força, donnant des coups de bassin qui finirent par craquer son hymen dans un cri de douleur. A partir de là, il s'enfonça profondément, fourrant sa chatte en grognant sans ménagement. Sa bite entière allait et venait en elle, l'écartant sans douceur.
Elle finit malgré tout par mouiller, bien malgré elle, et les jus sexuels des deux époux se mélangèrent en elle, la lubrifiant et coulant entre ses cuisses. Alexandre soupira, grogna, la traita de chienne et de salope. Lorsqu'elle tanta de se redresser, il saisir sa nuque des deux mains, la forçant à garder sa cambrure et sa vulve bien exposée. Le conquérant claquait violemment contre ses fesses et elle sentait ses couilles claquer contre son pelvis. Le viol était affreux, mais elle devenait femme et découvrait, avec la douleur, le plaisir que pouvait lui donner son vagin et la brutalité de son mari. Leurs cris résonnèrent entre les murs et firent écho, leur cruelle union devenant la seule chose semblant exister dans la pièce.

Au sommet de son plaisir, Alexandre rugit et propulsa des flots de sperme en elle. Ses jambes s'agitèrent de tremblements et il sortit, alors que sa semence le quittait encore, éclaboussant son sexe, ses fesses et son dos. Il se masturba pour sortir son foutre qui s'élançait sur elle comme un acte de propriété. Et lorsqu'il eut fini, il la laissa retomber, mais il vint à ses côtés. Sa verge était toujours raide, et il souriait avec un appétit effrayant. Il caressa sa petite tête blonde et lui murmura à l'oreille : " Bonne Clémentine. La prochaine fois, sois moins passive. "
Il se tourna ensuite vers Arthur, guettant ses réactions et calculant sa prochaine envie, et ce qui lui prodiguerait le plus de plaisir.
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Cassandre Harmington le lundi 09 avril 2018, 15:42:15
Les deux étaient interdit... Depuis la mort de leur parent, aussi bien Arthur que Clémentine avait été proche l’un de l’autre. Oui, ils s’appréciaient, et franchement, on pouvait dire qu’ils étaient inséparables. Dès la mort de leur parents, ils avaient tout fait ensemble. Des somptueuses funérailles donnés aux deux anciens monarques du royaumes, jusqu’aux dernières batailles qui avaient finalement amené la défaite Clairisienne. Les deux jumeaux étaient ensemble... Mais jamais ils n’avaient été aussi proche. Là, ils avaient fait quelques choses qui était quand même sacrément tabou dans un bon paquet de culture... Et là, ils l’avaient fait. Ils étaient tout deux interdits, mais heureusement, Alexandre était là pour relancer la discussion, car sinon, cela aurait risqué de devenir gênant... Oh, attendez, c’est gênant.

" Et bien, et bien, tout n'est pas perdu pour vous, mes petites chéries ! Mais, maintenant que je sais que vous avez ça en vous, je vais être très insatisfait si je ne vois pas la même intensité dans vos actes. "

C’est alors que Clémentine se fit... Littéralement attrapée. Que … Que se passait-il ? Arthur eut un reflexe, tentant d’attraper sa soeur, mais échoua, car ce n’était pas qu’un attrapage que comptait faire l’empereur Alexandre... Mais un véritable lancée ! Sans qu’elle puisse rien faire, Clémentine se fit jettée, comme un vulgaire jouet. Elle vola quelques mètres, avant de tomber lourdement sur des coussins moelleux. Elle ne se fit pas mal, mais cela montrait encore une fois son impuissance, le fait qu’elle n’était qu’un jouet, elle comme son frère, dans cette histoire, et qu’elle ne pouvait rien faire, rien faire du tout. Bref, elle était maintenant sur les coussins, alors qu’elle était toujours avec le sperme de son frère sur son visage. Elle n’avait même pas pu se nettoyer après ce qui s’était passé...

" Je ne me voyais pas enlever sa virginité à ton frère, mais personne d'autre que moi ne brisera ton hymen. Et tu ferais bien de t'habituer tout de suite à ma queue. "

« So... Soyez pas trop violent... »

Réduite à la nudité, ne portant plus rien sur elle, elle se sentait d’une très grande fragilité... Qu’allait-il faire ? Il allait continuer de passer sa langue, lui faisant arracher des soupirs de satisfaction, des gémissements de plaisir... Ou allait-il aller plus loin ? Elle était assez innocente, mais elle n’avait pas non plus complètement stupide, la Clémentine... Elle savait bien que l’acte sexuel le plus traditionnel faisait qu’elle allait se faire pénétrer ; Elle savait même que certains pratiquaient une sexualité plus... Inventive, et ainsi, pénétraient dans le cul. Bref, quoiqu’il en soit, ce qui devait arriver arriva. La sexualité arriva jusqu’à la fameuse Clémentine, qui perdit sa virginité, assez jeune finalement vu qu’elle n’avait que seize ans, il fallait rappeler. Elle poussa un grand couinement, tandis que son frère arriva à de nouveau blémir, devenant encore plus pâle que d’habitude...

Malheureusement pour elle, ses demandes tombèrent dans l’oreille d’un sourd, car le fameux Alexandre n’avait aucunement envie de ne pas être violent. Il faisait des vas et viens torride, efficace, profond dans la chatte de la fameuse princesse et même reine de Clairis ! Ca y est, la conception de l’héritier royale de l’Empire de Blure... Un moment historique, qui allait entrer dans les manuels d’histoire ! Ce moment où Blure et Clairis était maintenant unie, unie dans le sexe, unie dans l’union des deux empires... Et surtout dans le plaisir d’Alexandre ! C’était quand même un moment important. Les grognements de plaisirs, et les cris de surprises, douleurs, et quelques peu plaisir de Clémentine raisonnait dans al grande salle. Sans doute que tout les Clairisiens qui passaient non loin du palais pouvait entendre et découvrir la vérité. Oui, Clairis était tombée, et la reine était entrain de se faire violer.

" Bonne Clémentine. La prochaine fois, sois moins passive. "

« Bien... Bien... »

Elle déclara cela faiblement, alors qu’elle se laissait glissée sur les coussins. Pour une première fois, cela avait été torride... Et elle semblait vraiment lessivée. Ce qu’Arthur allait -plus tard- ne pas remarquer, c’est que certes, elle semblait aileurs après une telle agression sexuelle, mais... Mais il y avait aussi un air satisfait dans ce qui venait de lui arriver. Comme si avec ce qui venait d’arriver, et bien, malgré le viol et tout ce qu’on pouvait dire, et bien, elle avait aussi appréciée ce qui venait de se passer. Bref, elle avait été passive, oui, mais elle avait appréciée cette passivilité. Comme si au fond, elle appréciait l’idée d’être, elle et son frère, réduite à cela... Comme une pensée discrète qui se montrait peu à peu... Et qui n’était pas pour le moment perçu par Arthur, mais peut-être qu’Alexandre lui le voyait ?

« Clé... Clémentine... »

Arthur déclara cela, la voix cassée par ce qu’il venait de voir... Sa soeur, violée, littéralement il n’y avait pas d’autres mots... Et Clémentine, qui était là, sur les coussins, réduites à une poupée désarticulées, abandonnées, avec du sperme, le sien, sur son visage, et du sperme sur ses jambes et son intimité pour ce qui était du sperme de l’empereur... Satisfaite et assez heureuse, mais cela, Arthur ne le remarquait pas. Tant pis pour la punition qu’il allait recevoir, il le devinait, mais il se devait de rejoindre sa soeur. Il se déplaca, montra bien à l’empereur qu’il n’avait aucune attention belliqueuse, et s’installa sur les coussins, pour attraper sa soeur. Celle-ci était entièrement nue, contrairement à lui, et donc, était d’une grande fragilité... Bref, il gardait donc sa soeur entre ses bras, tandis qu’il déclara, faiblement :

« Là, là, Clémentine... Je suis là... Ca... Ca ira... On... On va s’en sortir... On... On arrivera à être ses épouses et moins souffrir... »

Il regarda d’un air pathétique son « époux ». Puis se reconcentra sur sa soeur. Elle avait l’air si fragile, si belle, si blessée... Bref, elle avait souffert, là, elle avait été violée... Il voulait la garder entre ses bras, pour être sûre qu’Alexandre ne lui fasse pas plus de mal. Mais il savait que ce dernier allait sans aucun doute l’utiliser elle, ou lui, les brisant de nouveaux. Il espérait seulement que la prochaine fois, il pourrait être à ses côtés... Bref, qu’allait faire Alexandre ? Ce dernier avait critiquée la performance de Clémentine, disant qu’elle n’avait pas été assez active... Et cela était vraie... Mais il fallait bien dire qu’il les dominait tout les deux totalement. Ils ne pouvaient rien faire, ils étaient complètement soumis à ce qui était pour eux deux un véritable maître... Qu’allait-il faire maintenant ? Arthur tenait sa soeur dans ses bras, qui regagnaient peu à peu ses moyens, il faut bien l’avouer.
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Lamnard Kystrejfter le lundi 09 avril 2018, 17:27:37
Alexandre laissa un instant les jumeaux se retrouver, le sourire aux lèvres. Il n'avait jamais joui avec plaisir, pas réellement. Il avait vraiment prit son pied, et en voulait plus. Il savait aussi qu'il devrait laisser reposer la viande pour mieux en profiter. Dans l'immédiat, il alla se saisir d'un linge pour essuyer la sueur que l'acte, court, intense et extrême, avait produit. Il était très satisfait de lui et, dans le fond, même s'il avait critiqué sa passivité, il avait apprécié la réaction de Clémentine. Elle venait de se faire déflorer sans le moindre ménagement, et elle avait été capable d'y prendre du plaisir. Il en était certain. Arthur était trop loin et, sûrement, trop choqué pour le remarquer, mais il l'avait bien senti se relâcher, tremper sa queue avec sa mouille et trembler lors de l'éjaculation.
Elle apprendrait à l'accompagner et à jouir avec lui. S'il fallait que les femmes de la cour et son propre frère la rodent pour qu'il se réserve des plaisirs extatiques, il mettrait tout en oeuvre. Il sourit en se retournant. Il voyait bien la proximité des jumeaux, leur complémentarité et la façon dont ils parvenaient à endurer toute épreuve par une sorte de connexion profonde. Séparés, ils déprimeraient sûrement. Forcés à survivre aux assauts d'un époux vigoureux et insatiable allait les rapprocher plus que jamais. Il avait bien fait de les forcer à expérimenter ce tabou ensemble. Tant que cette connexion existerait, il pourrait tout leur faire, ils ne s'effondreraient jamais.
Et il savait que pour garder leur connexion forte, il devait faire ce qui lui plaisait : être le méchant, le maître cruel. Il s'avança à nouveau vers eux. Clémentine n'était pas tombée bien loin du trône, tout à l'heure. Assis dessus, il aurait pu atteindre sa tête avec le pied. Il entendait ainsi tout de leur petit moment. Désormais, ils n'auraient plus aucune intimité, qu'il soit là ou non ; et ils devraient s'y faire.

" Chacun son rôle, je vois. Celle qui endure et celle qui répare. Vous faites vraiment la paire. Mais tu as tort, Arthur, dans on il n'y a pas que vous deux, plus maintenant. " Le laissant s'interroger, il s'assit près d'eux, avec un sourire bienveillant, mais dans les yeux la menace d'une nouvelle torture. " Après ça, vois-tu, je suis entré dans votre petit cercle, parce que ta précieuse Clémentine veut ce que je lui donne autant qu'elle veut ce que tu lui apportes. Et après cette queue, pas moyen qu'elle ressente avec toi ce qu'elle a ressenti là. "
Les yeux du prince s'embrasèrent et il entra en éruption. " Vous mentez ! " Et c'est ainsi qu'il comprit qu'Alexandre avait d'autres moyens de punir que les coups ou les menaces. Il pouvait aussi asséner des vérités ou demies-vérités qui faisaient mal, et détruisaient l'esprit. Encore fourbue, Clémentine porta la main au visage de son frère. " Arthur, je ... " commença-t-elle, sans savoir quoi dire, car Alexandre ne mentait pas, pas vraiment.
Le Blurois ricana, peu impressionné par la rage du Clairisien, et il caressa la joue de Clémentine du dos de la main, avant de l'attraper par les cheveux pour la faire basculer vers son entrejambe. Elle comprit tout de suite, et ouvrit sa bouche, lécha le reste de sperme et de cyprine sur le sexe de l'empereur. Non seulement elle comprenait, mais elle s'exécutait, sinon de bon coeur, au moins sans hésiter.

Le regard d'Alexandre ne quittait pas celui d'Arthur. " Tu vois que j'ai raison. Tu veux me donner tort ? Sa chatte est juste là. Prends-la ! "
" Quoi ? Hors de question ! "
" De quoi tu as peur ? Qu'elle ne te sente pas ? Ou de ne pas réussir à aller au bout ? C'est un ordre ! "
Il fixa le Clairisien, qui s'exécuta tant bien que mal. Son sourire devint malveillant, tandis qu'il rythmait d'une main la fellation de Clémentine. Le prince pensait sûrement s'en sortir à bon compte. Jusque là, il n'avait que prendre son plaisir grâce à sa soeur. Mais le Blurois avait une surprise pour lui. Qu'il pénètre Clémentine, qu'il ferme les yeux en sentant la chaleur de son vagin. Il refusait de se comporter comme une épouse obéissante, persistant à rechigner. Il le ferait se sentir comme une femme, passerait derrière eux quand il ne s'y attendrait pas, et lui ferait découvrir une autre façon de plaire à son mari malgré son manque de chatte.
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Cassandre Harmington le lundi 09 avril 2018, 22:30:21
Arthur et Clémentine étaient inséparables... Et cette épreuve... Et bien, ils allaient la surmonter ensemble. Ils étaient prêt, ils pouvaient le faire. Ils pouvaient vivre dans cette nouvelle vie, et survivre... Voir même avoir quelques moments heureux, parfois, rarement, mais quand même... Ils pouvaient le faire, car ils savaient que l’un avait l’autre... Et que l’autre avait l’un. Cette force, c’était bel et bien ce qui permettrait aux trois de survivre quoiqu’il arrive. Alexandre avait totalement raison avec son analyse, sur le fait que si l’un et l’autre étaient véritablement séparés... Et bien, ils commenceraient à dépérir, voir même à se laisser mourir. Donc... Les laisser ensemble, pour se réparer, étaient sans doute une très bonne idée qu’Alexandre annonça très bien avec ses quelques mots...

" Chacun son rôle, je vois. Celle qui endure et celle qui répare. Vous faites vraiment la paire. Mais tu as tort, Arthur, dans on il n'y a pas que vous deux, plus maintenant.  Après ça, vois-tu, je suis entré dans votre petit cercle, parce que ta précieuse Clémentine veut ce que je lui donne autant qu'elle veut ce que tu lui apportes. Et après cette queue, pas moyen qu'elle ressente avec toi ce qu'elle a ressenti là. "

Arthur ouvrir de grands yeux. Il déclara même quelques mois, enfaite... Plus pour lui que pour son interlocuteur. Il était sûre que sa soeur ressentirait avec... Attendez, qu’est-ce qu’il disait ?! Il était vraiment entrain de dire que sa soeur préférerait coucher avec lui plutôt qu’avec Alexandre ?! Mais c’était horrible, il s’était pas rendu compte, mais il avait réussi à dire, sans faire exprès, qu’il voulait coucher avec sa propre soeur... Ce fut à ce moment là qu’il réalisé qu’il avait perdue tout contrôle de la situation. Il avait espéré que l’intelligence Clarisienne batte la sournoiserie de Blure... Mais malheureusement, les gens de Blure était tout aussi intelligent que les gens de Clairis, montrant bien que Clairis tout entier avait toujours sous-estimée Blure... Et Arthur s’en mordait les doigts, là, maintenant...

Clémentine tenta de réconforter son frère, elle, de son côté. Elle se faisait caresser par son époux, quand soudainement, celui-ci la repris rien que pour lui... Attrapée par les cheveux, elle était de nouveau face au phallus de son époux... Oh... Cela ne voulait dire qu’une chose... Elle devait nettoyée tout ça. La jeune demoiselle, on pouvait le dire, apprenait très vite, et c’était une excellente chose ! Bref, elle commença à nettoyer le phallus. Le goût était fort... Mais pas désagréable. Comme Arthur, quand il avait sucé, et bien... Elle ne trouvait pas le goût tout ça si horrible. On pouvait dire que c’était une excellente nouvelle pour les deux... Bref, alors qu’elle commençait à sucer l’empereur de Blure, celui-ci déclara :

" Tu vois que j'ai raison. Tu veux me donner tort ? Sa chatte est juste là. Prends-la ! "
" Quoi ? Hors de question ! "
" De quoi tu as peur ? Qu'elle ne te sente pas ? Ou de ne pas réussir à aller au bout ? C'est un ordre ! "

« Ar... Arthur... »


Elle arrêta la fellation, pour déclarer très rapidement ses mots... Et oui, il fallait bien comprendre, même si mes paragraphes sont long, car je suis très bavarde, et que j’adore dire plein de truc, et bien, il faut comprendre que dans les faits, ses déclarations sont extrêmement rapide, hein, ce n’est pas le genre de long paragraphe qui veut dire qu’un long blanc passe. D’ailleurs, là, vous avez un exemple. Je vais faire un paragraphe de la longueur habituel, mais il faut comprendre qu’il y a peut-être qu’une fraction de seconde qui venait de passer entre le nom d’Arthur qui avait été déclarée, et ce qu’elle allait déclarée. Quoiqu’il en soit, elle savait que cette petite pause allait peut-être amener une punition, et elle comptait bien se racheter après... Mais elle ne voulait pas qu’Arthur soit punie, car il n’oserait pas faire ce que son époux lui demandait...

« Je... Je ne veux pas que tu souffres... Vas... Vas-y...
-Clémentine... »


Elle le pensait sérieusement, et elle était prête. Quoiqu’il en soit, dès qu’elle eut finie, elle recommença à prendre en bouche son époux, allant très profond même, avec difficulté, pour se rattraper... Arthur, lui, après le tabou de la fellation, ne savait pas encore s’il était prêt... A aller encore plus loin... Cela... C’était quelques choses qui, il fallait bien l’avouer, avait un poids énorme. Il regarda sa sœur, l’intimité de sa sœur, et savait que cela voulait dire qu’il n’avait plus le choix. Il était dur comme de la pierre, et bien que son phallus était pas le plus grand du monde... Et bien, il était prêt... Il était prêt à faire... Cela, quelques choses qu’aucun roi de Clairis avait fait au cours de sa vie... Et oui, il était prêt, sous le regard de ses ancêtres travestis à être... à être... à pénétrer sa soeur. Comme ça... Bref, alors qu’il prit une grande respiration, il approcha le phallus de la chatte à sa soeur... et le pénétra.

« Clémentine... Je... C’est bon... !
-Mmmh ! »

Elle poussa un fort gémissement, alors qu’il commençait son vas et viens dans le vagin de sa soeur. Sa soeur... Bon dieu, il était vraiment entrain de le faire... Il était entrain de prendre sa soeur... Il faisait son vas et viens, avec une tentative de douceur, mais c’était sa première fois, à lui aussi, donc, il savait pas trop comment faire. Pendant ce temps là, Clémentine, elle, continuait de sucer activement son époux, nettoyant bien le phallus, étant donné quil avait été quand même sali par tout ça... Donc, c’était important pour lui d’avoir un phallus propre. Prise en avant, prise en arrière, Clémentine devait bien avouer que le plus gros phallus, c’était bien celui d’Alexandre, et elle pensait, malheureusement, qu’une fois qu’elle serait plus habituée... Sans doute que celui de son frère serait moins... Satisfaisant... Bon sang, dire qu’elle pensait vraiment cela... Quel honte pour une princesse de Clairis !
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Lamnard Kystrejfter le lundi 09 avril 2018, 23:00:49
L'Empereur reçut le spectacle et la détermination qu'il attendait. Ces jumeaux avaient brisé les tabous par le coeur il y a de cela des années déjà, c'était sûr. L'attachement réciproque n'était pas qu'une affaire d'utérus commun, c'était un lien qui s'était construit dans le confinement du palais à l'heure de leur maturation sexuelle, qui avait pris son pouvoir sur eux et s'exprimait maintenant comme il l'entendait. Pour tous les êtres poussant les autres à s'accomplir pleinement dans leurs vies, Alexandre pouvait postuler au titre de héros. Oui, le Blurois avait un égo bien plus grand que lui, et ça ne s'était pas arrangé avec sa victoire et le pouvoir utilisé contre ses nouvelles épouses. Il se sentait presque le droit divin de régner sur les Hommes comme il l'entendait.
Qu'il continue comme ça, et un démon viendrait dévorer son âme et le transformerait en avatar ; mais pas encore. Pour le moment, il pouvait faire comme il l'entendait.

Comme Arthur commençait à s'emballer et à prendre ses aises, il repoussa la tête de Clémentine et se glissa furtivement autour d'eux. Trop occupé à préparer à se lâcher à nouveau les yeux fermés, le Clairisien ne remarqua rien, et son époux l'attrapa par le scrotum et les bourses pour le sortir juste avant les premières giclées. Il éjacula sur les soieries dans un gémissement pitoyable, pendant qu'Alexandre, le genou dans le bas de son dos, l'immobilisait en attendant qu'il ait fini. Une fois fait, il se pencha et parla d'une voix très calme :

" Juste un détail : tu ne viendras jamais en elle. Ni en elle, ni en aucune femme du palais de Blure. Tu prendras des esclaves ou des gueuses si tu le souhaites, mais ta semence ne souillera aucune femme au sang bleu. Est-ce que c'est clair ? Tu es ma femme. Aie un enfant avec une femme qui t'es interdite, et il disparaîtra. Et pour que tu retiennes où est ta place ... "

Le souverain impérial arracha encore un pan du pantalon troué d'Arthur, révélant ses fesses creuses et serrées. Alexandre sourit, claquant les fesses du Clairisien jusqu'à ce que sa peau vire au rouge et qu'il ait trop mal pour serrer. Lui imposant une clé de bras inconfortable, il pivota derrière lui et murmura :  " Ta place est celle de toutes mes femmes : tu m'obéiras et fera ce que je désire, ou je te prendrai quelque chose, quoi que ce soit. Aujourd'hui, je vais me contenter de ta dernière virginité. "
Ignorant les cris de plainte, il lui écrasa le visage dans les coussins pour commencer à s'enfoncer dans son cul. Il résista un instant avant d'être vaincu, la verge du Blurois s'enfonçant alors à chaque coup plus profondément. Ca ne dura pas très longtemps. Alexandre n'éjacula pas. Il voulait simplement lui donner une leçon. Quand Arthur fut complètement abattu, il se retira et se releva, laissant Clémentine venir réconforter son frère.
" Je te promets d'être beaucoup plus tendre avec toi quand ton tour viendra, si tu es bonne avec moi, sac à foutre clairisien. "

Se redirigeant vers le trône, il tapa dans les mains. Des esclaves acoururent avec une bassine d'or, des linges et des huiles, et entreprirent d'essuyer le sexe de l'Empereur.

" Vous allez retourner dans vos salles de bain respectives, vous faire laver, et vous me rejoindrez dans la cour. Vous m'avez mis de bonne humeur, aussi nous irons faire un cadeau au peuple pour nos noces. Disposez, et ne revenez que quand vous serez propres et sentirez bon ! "

Sur ces quelques mots, il les congédia. Les gardes avaient presque disparu quand ils reprirent conscience des alentours. Ils purent aller comme ils pouvaient jusqu'aux salles où ils avaient préalablement été lavés. Une eau propre et le personnel les attendaient à nouveau, mais pas de nouveaux vêtements à l'horizon.
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Cassandre Harmington le mardi 10 avril 2018, 10:32:42
Bon sang.... Qu’est-ce que c’était bon ! Et il continuait, encore et toujours, à donner des coups de reins dans sa soeur, qui gémissait. Il avait fermé les yeux, et ne regardait plus, ni se concentrait sur ce qui se passait autour de lui. Il était coincé, coincé dans une bulle qui faisait que tout ce qui se passait en dehors de cette bulle... Et bien, cela n’existait plus. Plus du tout. C’était comme... En dehors de son monde. Son monde était uniquement concentrée sur la présence de Clémentine, et le fait qu’il était entrain de se la faire... Cependant, il aurait mieux fait de rester prudent... Car cela fit qu’il se fit tout d’un coup attrapée, et éjectée de sa soeur. Cela, de suite, le fit jouir totalement, dans un gémissement pathétique. Il tachat les soieries, et un peu le fessiers de sa soeur, quand même, mais bon, c’était pas la première fois... Dès que ce fut finit, le constat fut indéniable, rapide, et surtout, d’un grand calme.

" Juste un détail : tu ne viendras jamais en elle. Ni en elle, ni en aucune femme du palais de Blure. Tu prendras des esclaves ou des gueuses si tu le souhaites, mais ta semence ne souillera aucune femme au sang bleu. Est-ce que c'est clair ? Tu es ma femme. Aie un enfant avec une femme qui t'es interdite, et il disparaîtra. Et pour que tu retiennes où est ta place ... "

« Bi... Bien... »

Il ne put rien faire. Complètement immobilisé, il commença à recevoir une fessée, une belle fessée cul nu, vu que son pantalon avait été en partie arrachée. Arthur ne tenta même pas ne serait-ce qu’une seule demi-seconde de résister... En effet, il fallait bien comprendre que les déclarations de l’empereur avait été... Très clair. En effet, il comprenait, il n’était que « épouse » de l’empereur. S’il commençait à outrepasser ses droits... Il aurait des ennuis, des gros ennuis. Il avala sa salive avec difficulté... Alors qu’il se faisait fesser, il devinait ce que cela allait vouloir dire... Il allait sans doute être castrée. Après tout, c’était un classique pour empêcher et mieux contrôler les anciens rois... Bref, la situation était mauvaise, très mauvaises pour ses petites fesses... D’ailleurs, au sens propre comme au sens figuré !

« Ta place est celle de toutes mes femmes : tu m'obéiras et fera ce que je désire, ou je te prendrai quelque chose, quoi que ce soit. Aujourd'hui, je vais me contenter de ta dernière virginité. »

QUOI ?! NON NON NON ! Il... Il n’était pas prêt ! Pas encore prêt pour... Il fut alors enfoncée, la tête dans les coussins... Puis ce fut autre chose qui fut enfoncer... Un phallus dans son anus. Et ça rime ! Bref, le jeune homme se débattait un peu, mais ce fut inutile, son anus commença à se faire prendre violemment... Il faisait des vas et viens dans celui-ci, ce qui dans les faits, ne dura pas si longtemps, mais paru comme une véritable éternité pour le fameux jeune garçon, qui en avait jamais fais. Il bandait grave, et... Il ne sut jamais si le fameux Alexandre le remarqua... Mais... Mais il arriva à jouir, avec ce traitement. Ce ne fut pas le cas d’Alexandre qui s’arrêta, laissant le jeune garçon, l’anus élargi, tomber sur les coussins. Il cacha de suite son phallus, pour cacher la honte qu’il avait d’avoir jouie en étant violée dans le cul.

" Je te promets d'être beaucoup plus tendre avec toi quand ton tour viendra, si tu es bonne avec moi, sac à foutre clairisien. "

Clémentine, qui dès que le supplice de son frère fut fini avait accouru à ses côtés... Entendit ça, et de suite, elle commença à rougir. « Sac à foutre » ? Cela voulait-il dire... Qu’ils allaient servir à autrui aussi parfois ? Bon dieu, elle espérait qu’elle se trompait. Exactement comme avait fait son frère auparavant, quoiqu’il en soit, elle attrapa le jeune garçon, et tenta de le réconforter. L’empereur était occupé par des esclaves, bichonnés, tandis qu’eux deux n’avaient que l’un et l’autre pour se soutenir. Il se désintéressait d’eux ? Est-ce que cela voulait dire que... La journée était finie ? Ca y est ? Après tout, il avait jouit en elle, donnant peut-être la voie pour le futur héritier aux trônes des deux nations... Malheureusement pour Clémentine et Arthur, tout n’était pas fini, étant donné que l’empereur de Blure déclara, tranquillement....

" Vous allez retourner dans vos salles de bain respectives, vous faire laver, et vous me rejoindrez dans la cour. Vous m'avez mis de bonne humeur, aussi nous irons faire un cadeau au peuple pour nos noces. Disposez, et ne revenez que quand vous serez propres et sentirez bon ! "

Les deux se regardèrent, inquiet mais se séparèrent quand même. Arthur alla dans sa salle de bain, où il commença à se nettoyer. Il avait mal aux fesses, et il réfléchissait. Que faire pour s’en sortir ? Il avait beau réfléchir le plus possible... Et bien, il ne trouvait rien. C’était désespérant... Il avait presque envie d’abandonner et d’accepter ce qui lui arrivait, mais il se devait, pour l’honneur de Clairis, d’au moins tenté. Mais que faire ? Compter sur l’armée ? Elle était morte l’armée ! Le maréchal Guy de Clerc ? Mort au combat, en fuyant l’ennemi. Le général de brigade Alphonse de Montbois ? Mort au combat en arrêtant une charge ennemi, sans succès. L’amiral Guillaume de Nothier ? En fuite, dès qu’il avait appris la défaite... Le général de chevalerie Jérémie de Plessis ? Il avait trahis Clairis et tentait selon les rumeurs à rejoindre l’armée de Blure, pensant plus à son propre succès que celui de son pays... Ils n’avaient plus de soutiens...

Clémentine, elle, tout en se lavant... Pensait aussi à pleins de choses, mais pas les mêmes. Contrairement à son frère, elle avait amplement compris que... il n’y avait pas d’échappatoire pour eux deux... Ils étaient maintenant les femmes d’Alexandre de Blure, et ils ne pouvaient rien faire. Et ainsi, Clémentine pensait à ce qui allait leur arriver... Bon sang, tant de choses possibles, cela... Bon dieu, elle devait se calmer, car elle commençait presque à s’exciter. Non, elle devait rester calme. Après tout, Arthur et elle allaient pas mal souffrir. Mais dans la souffrance, c’était aussi dans ce genre de cas qu’on trouvait le plaisir... Bref le tout était très gênant. Elle sortit alors de sa salle de bain, et retrouva son frère. Les deux étaient quasiment nus, maintenant... Leur lambeaux de vêtements... Disons que c’était inutile de les remettre. Ils retrouvèrent alors l’empereur, et déclarèrent tranquillement :

« Nous voilà... Mon... Mon époux...
-Que... Que devons-nous faire ? »


Les deux étaient tout timide, c’est pas mignon ? Si totalement. Qu’allait-il se passer maintenant ? Que cela soit Clémentine ou Arthur, les deux étaient d’une grande soumission, d’une grande obéissance. Après s’être fait enculé, et bien... Arthur s’était calmé, il était un peu moins dans la confrontation que tout à l’heure. Les deux réfléchissaient. Ils allaient peut-être refaire l’amour ? Ou il allait peut être demandée des secrets sur Clairis, genre, là où étaient cachés les trésors, les possibles régions de rebellions... Bref, tout ce genre de possibilité. Ils étaient là, nus, un peu honteux, et se tenaient la main, pour se donner du courage. Ils étaient ensemble, et ensemble... Rien n’était impossible. Ils pourraient s’en tirer, et survivre à cette épreuve... Cette épreuve qui allait sans doute tenir toute leur vie...
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Lamnard Kystrejfter le mercredi 11 avril 2018, 17:57:11
Quand ils arrivèrent dans la cour, l'endroit était bien différent de ce qu'il avait été auparavant. L'immense espace, où se déroulaient essentiellement des revues, avait été converti en camp militaire. Des tentes bluroises et des enclos avaient été dressés le long des murailles et en allées perpendiculaires. Malgré l'apparent désordre y régnant, tout était organisé de façon réfléchie. Chaque partie du camp était dédiée à une fonction particulière, et leur emplacement était ainsi pensé qu'elles communiquaient adéquatement avec les parties les plus susceptibles d'interagir avec elles. Arthur pouvait remarquer cela. En tant qu'homme, il avait étudié l'art de la guerre, et il réalisa que, si l'agencement blurois semblait au départ illogique et non protocolaire, il révélait vite ses forces et semblait, en fait, plus efficace que l'habituel cloisonnement appliqué aux camps clairisiens.
Il put se rendre compte que l'échec de son royaume n'était pas forcément dû à la compétence de son peuple ou à son courage, mais plutôt aux hommes qui l'avaient dirigé. Tandis que Clairis s'attachait à ses riches traditions chevaleresques et aux enseignements de leurs aïeux, Blure, qui, d'après tous les géographes, n'avait qu'une armée de clans nomades sans réelle unité à sa disposition, s'était remise en question, et avait développé des tactiques, des armes et des règles qui, avec le bon commandant, avaient finalement permis cette victoire éclatante.

L'Empereur Alexandre de Blure fut trouvé près des écuries. Plusieurs personnages aux robes richement ornées, sans doute des hommes importants, peut-être les maîtres des écuries impériales, discutaient avec lui à voix basse tandis qu'il examinait une jument blanche tâchetée de noir. La bête était à la fois robuste et élégante, formant une combinaison de vitesse et de puissance qui expliquait enfin comment les cavaliers et archers montés de Blure avaient causé tant de difficulté à la chevalerie clairisienne. Arthur se souvenait du bouclier d'un chevalier, peut-être un Du Guesclin, fendu à force de flèches perçantes, et il se souvenait s'être demandé comment les Blurois avaient pu décocher tant de traits sur lui. Il le savait, maintenant : ils s'étaient tenu hors de portée des chevaux lourds et carapaçonnés de Clairis.
Le souverain impérial semblait très à l'aise avec les chevaux. Il appuya son front contre celui de la bête en caressant son encolure. La jument restait calme et attentive. Ce n'est qu'une fois qu'il eut renvoyé le cortège et l'animal qu'il tourna son attention vers ses épouses, nues et soumises, qui attendaient ses ordres sans broncher. Il sourit. Peut-être avait-il réussi à les dresser, finalement ? Cette méthodologie, inspirée du maître des esclaves de sa cour, avait porté ses fruits. Il y avait bien ajouté sa propre touche sexuelle, mais la mesure avait porté ses fruits. Ils étaient prêts.

" Très bien. Voyez-vous, comme je vais rentrer à Blure sous huitaine, avec vous dans mes bagages, je me disais qu'il était important de rassurer le peuple, et de vous montrer. "

Il vit les jumeaux plisser les yeux en cherchant leurs tenues clairisiennes, qui rassureraient, à n'en pas douter, la population, quant à son avenir et ses chances de redressement. Ils ne les virent pas. Un regard à leur époux leur garantit qu'ils n'étaient pas non plus en chemin, et qu'ils ne se changeraient pas. Ils rougirent, et le Blurois sourit un peu plus, tandis que la jument qu'ils avaient vu auparavant était amenée à lui, harnachée et parée des couleurs de l'Empire. Il leur présenta Jasmine, la monture qu'il avait chevauché sur l'Alde contre leur armée, et laissa un groupe d'esclaves lui apporter une nouvelle tenue. En un bref instant, il fut équipé d'une tunique brodée d'or, d'une ceinture pourpre portant le sabre de cavalerie courbe blurois, d'un pantalon noir et de pantoufles dorées.
On apporta enfin deux cordelettes, de fines cordes, elles aussi dorées, qu'on attacha aux poignets des jumeaux, avant de les réunir sur la selle de l'Empereur. L'idée était très claire, il allait les faire parader comme les trophées d'un général victorieux. Et ils seraient nus et couverts de honte, devant le peuple de leur propre cité.

" J'ai prévenu la population d'un cortège jusqu'à la place principale de la ville, pour célébrer nos épousailles et présenter notre couple heureux. Que vous souriez ou non, je m'en fiche. La scène suffira à leur dire tout ce qu'il est nécessaire de savoir. Vous m'avez compris ? "

Pendant qu'il parlait, une troupe de fantassins en armure se formait et se dirigeait vers la grande porte du palais, tandis que cinq cavaliers venaient se placer à distance du cheval de l'empereur. Arthur en reconnut deux d'après des portraits qu'il avait vu en classe : Bakr le Prodigieux et Daram l'Etranger, descendant d'une famille clairisienne s'étant rebellée dans les premiers temps de la guerre. Ils étaient généraux de l'armée impériale, et les trois autres devaient être le reste du haut commandement blurois.
Au moins, Alexandre n'avait pas organisé la cérémonie à moitié. Tout le beau monde blurois semblait peu à peu se rassembler, et il y avait fort à partier que les nobles clairisiens survivants seraient sur la grande place.
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Cassandre Harmington le jeudi 12 avril 2018, 08:22:36
La stratégie militaire... Arthur devait bien avouer que si lui et sa soeur avaient eu des bases... Ils n’avaient jamais été... Enormément doué. Sans doute qu’ils n’avaient pas assez insisté, lors des réunions militaires. Les Clairisiens, adeptes des défenses extrêmement fortes, avaient toujours refusés d’augmenter leur potentiel offensif, grandement car cela imposerait de permettre à des gens de basses conditions de monter dans l’armée, ce qui pour l’honneur de Clairis, aurait été une honte, une véritable honte. Arthur comme Clémentine avaient tenté de convaincre les généraux, mais hors de question. Le sang de Clairis était plus important. Maintenant, plus le temps passait, plus Arthur se rendait compte de son inexpérience, et du talent des Blurois. Oui, il n’était bien en comparaison qu’une petite épouse fragile qui ne connaissait rien...

" Très bien. Voyez-vous, comme je vais rentrer à Blure sous huitaine, avec vous dans mes bagages, je me disais qu'il était important de rassurer le peuple, et de vous montrer. "

Clémentine eut un *gasp* à peine étouffé. Elle n’y avait pas pensé, mais oui, c’était logique... Elle allait quitter sa ville, son château, le lieu où elle avait toujours vécu. Encore une fois, c’était débile, elle aurait du y penser... Bref, regardant l’empereur s’habiller magnifiquement, et monter sa magnifique monture, les deux adolescents cherchèrent leur vêtement de parade. Il fallu un peu, un petit peu de temps pour qu’ils comprennent que c’était inutile de chercher plus longtemps : Ils n’y avaient pas de vêtements prévu pour eux, dans cette situation. Ils allaient devoir rester entièrement nu, pendant toutes la cérémonie. Devant... Devant tout le monde. Déjà, Clémentine comme Arthur voyaient plusieurs personnes les regardaient, tous évidemment tentant d’être discret, car sachant que l’Empereur n’était pas loin. Attachés tout les deux, installée sur la selle de l’empereur, où les deux faisaient attention de pas tomber.

" J'ai prévenu la population d'un cortège jusqu'à la place principale de la ville, pour célébrer nos épousailles et présenter notre couple heureux. Que vous souriez ou non, je m'en fiche. La scène suffira à leur dire tout ce qu'il est nécessaire de savoir. Vous m'avez compris ? "

« Oui.
-Oui. »


Les deux déclarèrent cela d’une voix brisée. C’était fini d’eux. Ils avaient tout, toujours tout fait pour leur peuple, en espérant que celui-ci vise heureux. C’était même eux qui avaient appelé à la rédition sans condition, pour que les Blurois entrent dans la capitale, sans que celle-ci soit détruire, sans qu’une résistance acharné mais complètement inutile vu l’adversaire s’installe... Ils avaient tout fait pour leur peuple. Et là, ils allaient parader, comme des trophées de guerre, devant sans doute un peuple qui devait maintenant les détester, et qui allait prendre un malin plaisir à les voir ainsi, dans cette position... De toute façon, la parade allait commencer, et là, ils n’avaient plus qu’à se préparer... Ah non, c’est vrai. Les deux trophées vivant étaient déjà prêt, prêt à être exhibé devant tout le monde...

La capitale de Clairis, Horfons, était sans doute l’une des plus belles cité au monde. Il n’y avait aucun doute. Maintenant, elle avait gardé de sa superbe, même si quelques exactions avaient pus se sentir, surtout sur les oeuvres d’art, et sans doute que de nombreux pillages avaient eu lieu. Le peuple regardait le cortège, avec... Dégoût. Ils regardaient les Blurois, sachant qu’ils étaient plus que des esclaves. Bientôt, le délicieux vin Clairisiens seraient exportés par dizaines de milliers de bouteilles vers Blure, les artistes et écrivains Clairisiens ne trouveront du travail qu’à Blure etc. Culturellement, Clairis était bien plus puissante que Blure, et la vie Clairisienne rayonnaient partout, aussi aux autres voisins des deux états, comme la Théocratie de Théïos, le duché de Malcroisie, l’empire (bien que dans les faits, c’était un assemblement de petits états indépendants) de Sonia, ou bien encore le puissant royaume de Nortre, qui avaient aussi des ambitions pour piquer Clairis un jour, eux non pas à cause du désert, mais car ils étaient une nation froide, vivant dans les montagnes du nord. Bref, quoiqu’il en soit, le peuple regardait leur monarque. Seul l’envie de rester en vie et d’éviter l’exécution les retenaient de huer ses deux anciens monarques déchus, qui auraient du faire plus pour empêcher cela...

Mais le pire n’était pas le peuple. Le pire était les nobles de Clairis. Ceux-ci n’avaient jamais aimé Arthur et Clémentine. Déjà, car... Ils étaient semi-bâtards, à leur yeux. Comment cela ? Et bien leur mère, la regretté Isabelle, était une personne du peuple. L’une des plus belles femmes qui avaient vécu à Clairis, et qui avait offert à Arthur ses magnifiques cheveux bleus. Mais elle n’était pas noble. L’ancien roi de Clairis, Gérôme IV de Clairis, avait été un grand roi, et avait muselé la noblesse. D’ailleurs, il avait donné du fil à retordre aux Blurois, qui avaient bien failli perdre la guerre contre cette imposant général, dont les flèches rebondissaient sur son armure rouge de sang. Maintenant, les nobles voyaient en ses semi-bâtards la déchéance de leur nation, et était bien content de voir disparaître dans le harem Blurois ses deux là. Peut-être que la chance leur souriait, finalement. Voir cela, ce mélange entre le peuple et les nobles, fit finalement craquer Clémentine, qui commença à déclarer à son frère, parlant faiblement, mais assez fort pour que les gens les plus proches entendent...

« -On... On était de si mauvais souverain... Arthur... Tout... Tout est notre faute...
-Clé... Clémentine... »

Elle sombrait, elle pleurait, et son frère tenta de l’attraper dans ses bras... Enfin, autant qu’il pouvait, étant donné qu’il avait les mains attachés et qu’ils étaient tout deux sur la selle d’un cheval. Certains Clairisiens regardaient leur deux monarques, et eurent un pincement au coeur... Peut-être avaient-ils eu de mauvais rois, mais voir deux adolescents ainsi détruit, cela faisait mal quand même. Le pire, c’est qu’ils se rendaient pas compte que c’était EUX les responsables, et non les Blurois, du breakdown de Clémentine. Pas Alexandre, pas les Blurois. Non, c’était le manque de confiance de Clairisien, et le fait que Clémentine estimait -et elle n’avait pas totalement tord- que c’était de leur faute si leur état était finalement tombé. Mais comme on dit, l’histoire est cruel, et les livres d’histoires allaient sans doute les descendre, les considérer comme les pires souverains qui avaient existés. Contrairement à Blure, Clairis était un état avec beaucoup d’érudits... Sans doute que ceux-ci avaient déjà commencé à écrire des pamphlets racontant la déchéance de deux monarques, qui s’étaient inclinés devant l’empereur de Blure...
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Lamnard Kystrejfter le vendredi 13 avril 2018, 02:22:23
Le cortège avait évolué jusqu'à la grand place, non loin du palais, certes, mais qui semblait à une éternité dans de telles conditions. La population de Horfons se regroupait encore quand les portes du palais s'étaient ouvertes, dévoilant le splendide Empereur Alexandre VII et ses deux prises de guerre, nues, soumises et sans plus d'autres attributs que ceux d'épouses et de princes de Clairis. Même pour le dernier des esprits simples, le message était assez clair, et il n'y avait pas besoin de crieur ou de dessin pour le faire passer plus facilement. Certes, le peuple était en colère, mais il était aussi médusé. Sans doute avait-il cru que la noblesse s'en sortirait sans le moindre problème. A présent, il réalisait que personne n'échappait au pouvoir des Blurois, et cela martelait les derniers clous du cercueil de leur liberté. Plus encore qu'en colère, ils étaient en pleine réalisation que les choses ne seraient plus jamais normales.

La grand place était une scène étrange pour les deux souverains. Ce lieu, habituellement dédié aux festivités et activités marchandes de la ville, avait été entièrement dégagé. Dans ces conditions, beaucoup des personnes présentes réalisaient sans doute pour la première fois la véritable surface de ce lieu. Même en comptant les dizaines de rangées de curieux à chaque bord de la place, et les gradins portant la noblesse, l'endroit semblait capable de contenir encore une armée ; et Blure avait probablement dépêché l'équivalent d'une petite armée sur les lieux. D'épais rangs serrés de lanciers empêchaient quiconque de s'approcher davantage. Les spectateurs étaient serrés comme des sardines, mais ils bousculaient et jouaient du coude pour ne rien rater du spectacle.
Une chose qui devait rassurer Arthur et Clémentine malgré tout, c'était la situation de la noblesse clairisienne : les Blurois, reconnaissables à leurs caftans brodés et leurs parrures, avaient de confortables places au sommet des gradins, dominant l'assistance, tandis que la noblesse clairisienne, ou plutôt ce qu'il en restait, arborait une mine déconfite. Si beaucoup de chevaliers étaient morts, et que régentes et enfants étaient nombreux à être présents, leurs visages difficiles à placer, on voyait qu'ils étaient inquiets pour leur avenir au-delà de la honte de la défaite, et du désir du vengeance sur les jumeaux. Sur leurs bancs de bois dur, serrés, ils portaient leurs couleurs clairisiennes mais avaient dû troquer leurs vêtements traditionnels pour une tenue à la bluroise. Leur sort était clair : ils perdraient leurs meilleures terres, et n'auraient plus accès qu'aux hauts offices en acceptant l'acculturation et le pouvoir impérial du vieil ennemi.

On détacha les jumeaux et on les poussa à monter des escaliers de bois jusqu'au sommet d'une haute estrade. Ils dominaient la place aux côtés d'Alexandre, qui s'exposait pleinement aux acclamations soudaines et tonitruantes de son armée. Tandis que les lanciers battaient leurs manches contre leurs boucliers en s'époumonant, les nobles de Blure se levaient et s'inclinaient bas, rapidement suivis, bon gré mal gré, mais sans exception, par les Clairisiens. Dans un recoin discret, un officier militaire barbu guettait les réactions des gradins inférieurs, une main sur le manche d'une halebarde manifestement présente dans le but de servir.
La gouvernance à la bluroise. C'était terrifiant.
Au milieu de ce vacarme, tous les regards tournés vers eux, les jumeaux n'avaient nulle part où se cacher et ne pouvaient pas prétendre pouvoir échapper au sort. Si un doute trottait encore dans leurs têtes, s'ils espéraient se réveiller en réalisant que ce n'était qu'un affreux cauchemar, ils en étaient pour leurs frais.

L'Empereur levant les mains, l'assistance se tut rapidement, et la noblesse reprit confortablement place. Il scanda un discours en langue bluroise, que des interprètes traduisaient ensuite, en contrebas, à destination de la population clairisienne ; mais pas à la noblesse. Manifestement, on attendait d'elle qu'elle connaisse le blurois. Après tout, remplir à la lettre les ordres bien blurois de l'Empereur était pour eux un gage de survie, désormais, aussi devraient-ils s'y mettre vite. Finalement, Arthur et Clémentine n'étaient peut-être pas si mal lotis. Même les esclaves pouvaient espérer une vie moins angoissante que celle-ci.
La voix de leur mari résonnant avec force entre les bâtiments, les jumeaux ne purent pas entendre grand chose de la traduction, mais ils devinaient bien le contenu. Ils avaient tous les deux pris des cours en la matière, et, à la structure qu'il semblait avoir, le discours ne devait pas être particulièrement transcendant. Il semblait même très factuel et concis. Les Clairisiens avaient pour coutume d'enrichir leurs prises de parole de tournures sophistiquées, mais les Blurois ne semblaient pas s'en préoccuper. L'efficacité et le premier degré régnaient chez eux. Avec de la chance, la culture clairisienne leur décoincerait les sphincters.

Le discours finit par se terminer, Alexandre tendant une main ouverte vers les jumeaux pour les présenter à l'assistance. Il y eut un nouveau vacarme, plus destiné à Alexandre qu'à eux. Celui-ci dura un temps, puis se transforma, les soldats scandant quelque chose en blurois. La noblesse bluroise sembla se consulter pour l'apparat, avant que ses membres acquiescent solennellement, donnant leur approbation à l'appel des hommes du rang. Autour de l'estrade, on s'affairait. Des esclaves amenèrent une sorte de petit autel de stuc, et des tapis, toujours. Alexandre avait tourné le dos à l'assistance, souriant, et on vint lui retirer ses atours martials. Réalisant l'incompréhension des jumeaux, il s'adressa à eux presque avec dérision, même si on sentait le plaisir qu'il avait pris à les conduire dans le brouillard jusqu'à cet instant.

" Une ancienne tradition bluroise veut que les mariés prouvent la valeur légale de leur mariage en public, à une date de leur choix. " Arthur avait sans doute déjà deviné de quoi il retournait, vu son teint encore plus blanc qu'avant, mais Clémentine, la douce et naïve Clémentine, s'interrogeait : " Comment ... Comment le prouvent-ils ? " Le sourire de l'empereur s'élargit plus encore. Il ne répondit pas, mais il se trouvait maintenant nu à nouveau, et les interrogations de l'épouse cessèrent.
Deux individus vinrent s'emparer des épaules de Clémentine, la soulevant jusqu'à côté de l'autel. Elle se tenait de profil par rapport à la scène, se demandant pourquoi elle n'y faisait pas face. N'attendrait-on pas de voir le consentement de l'épouse au moment de l'acte ? C'est alors qu'Alexandre révéla la raison : " Le cas est un peu particulier, l'une de mes épouses n'étant pas apte à réaliser la tradition de façon commune. Arthur, tu te mettras à genoux du côté de sa tête, qu'elle puisse pratiquer ce qu'elle a appris avec la plus grande attention. N'est-ce pas, Clémentine ? " Les jumeaux acquiescèrent. Clémentine était installée, accoudée à l'autel et les jambes tendues. Comme l'autel était bas, elle devait tenir sur la pointe des pieds, présentant sa vulve ainsi que l'époux aurait juste à se présenter pour la pénétrer sans difficulté. Effectivement, sa tête se trouvait bien bas, et Arthur dut se glisser à genoux sous sa tête, et placer sa verge juste sous son nez, pour lui permettre de l'atteindre sans se tordre la nuque.
Fidèle à lui-même, Alexandre se présenta en conquérant, attrapant Clémentine par les hanches une fois bien campé derrière elle. Sa queue avait retrouvé sa raideur et sa taille précédente, et il semblait même électrisé par le cadre public. Il la pénétra sans cérémonie, la troupe reprenant ses vivats sans s'arrêter.
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Cassandre Harmington le vendredi 13 avril 2018, 10:07:05
Il n’avait rien dit, rien remarqué... Arthur qui avait cherché à consoler sa soeur, comprenait pourquoi les Clairisiens pensaient que les Blurois n’avaient pas de coeur. Rien, rien de tenter pour consoler son épouse. Ce n’était que de la politique, et malgré ses très maigre espoir, il comprenait maintenant qu’Alexandre avait un coeur de pierre, doublé d’un machiavélisme politique absolument unique. Il était méprisable, et si Arthur ne le dirait jamais, il le penserait toujours. Clémentine était pour lui tout, et il avait le maigre espoir que le fameux Alexandre, un jour, puisse avoir un peu de compassion. Mais non. Ce qu’il ne pensait pas, c’était que tout simplement Alexandre n’ait pas remarqué, ou bien qu’il ne pouvait rien faire pour le moment, mais qu’il comptait en parler après... Quoiqu’il en soit, Arthur tenta alors de rassurer sa soeur. Oui, ils avaient fait des fautes, mais ils n’auraient rien pu faire. À un moment où à un autre, Clairis serait tombé. Ils n’avaient pas les mêmes potentiels offensif que Blure, et donc, c’était... Logique que cela finisse ainsi. Arthur, lui, en disant, pensait qu’il aurait mieux fait d’ingérer un poison et d’en donner un à sa soeur...

Quand sa sœur fut un peu calmé, je dis bien « un peu », car elle était toujours sous le choc, il tenta de réfléchir à quel chance pouvait-il arriver à Clairis... Leur seul chance venait de l’extérieur... Bon, il pouvait déjà exclure l’Empire de Sonia, trop occupé à ses querelles internes pour s’intéresser à Blure et Clairis. Pareil, si le duché de Malcroisie était un allié historique de Clairis, il était trop faible pour tenter quoique ce soit. Il ne restait donc, à la hauteur de la puissance de Blure deux états.  Pour la théocratie de Théios, sans doute que Blure avait tout autant conscience que Clairis du danger de cet état. Le Pape Georges IV était un fou dangereux, totalement dans sa foi, et les habitants de Théios seraient tout à fait capable de tous se faire tuer dans une guerre sainte... Et il fallait bien comprendre qu’ils étaient suffisamment dangereux et fou pour réussir... Tandis que le Royaume de Nortre... Et bien, si Nortre réussissait à envahir Clairis... Cela serait blanc bonnet ou bonnet blanc, vu que les Nortriens haïssait tout autant, si ce n’est plus, le royaume viticole du sud... Bref, rien n’a faire. Leur seuls alliés possible étaient une théocratie folle et dangereuse ou un royaume les haïssant. (Et haïssant toutes les autres nations enfaite.)

Bref, assez de blabla politique -bien que cela soit très intéressant, je ne le cache pas-. Retournons au porn. (Et oui, c’était un One-shot sexuel, mais avec du World Building, du scénario, et carrément un monde qui apparaissait. Moi comme mon partenaire de RP sommes des fous.) Bref, ainsi, les deux furent amené en haut d’une estrades, qui étaient, de loin, la pire humiliation possible. Le discours en Blurois de l’empereur fut compris par certains, non par d’autres. Les Blurois espéraient imposer leur culture à Clairis... Il avait à faire attention. La culture Clairisienne était pire qu’un Cancer, et parfois très vite, ils allaient se rendre compte qu’elle s’était insinué chez eux, sans même qu’ils le remarquent. Quoiqu’il en soit, un petit autel de stuc fut installée, tandis que l’empereur était déshabillé. Il commença à déclarer, avec un amusement détestable, mais qu’Arthur comme Clémentine devait accepter...

" Une ancienne tradition bluroise veut que les mariés prouvent la valeur légale de leur mariage en public, à une date de leur choix. "

Clémentine ne comprit pas pour le moment. N’était-ce pas assez clair ? Ils étaient tout deux nus, et offert à l’empereur. Peut-être qu’une nouvelle cérémonie allait être fait ainsi devant tout le monde ? C’était possible, ainsi, cela permettrait aux yeux du peuple d’officialisé la relation entre les deux... Et oui, on pouvait bien le dire, Clémentine était encore une fois brillante de naïveté. Arthur... Lui avait bien compris ce que cela voulait dire, mais n’osait pas l’expliquer. L’empereur lança un regard qui voulait tout dire à la jeune princesse, qui se tut. Elle avait bien compris maintenant. Ils allaient baiser en public, et cela allait être tout aussi honteux que... Que... Oh mon dieu, heureusement que personne ne pouvait lire dans ses pensées... Que excitant. Oui, elle avait honte, mais elle trouvait qu’il y avait un côté excitant à ce qui allait se passer... Et physiquement, et bien, cela pouvait se voir...

" Le cas est un peu particulier, l'une de mes épouses n'étant pas apte à réaliser la tradition de façon commune. Arthur, tu te mettras à genoux du côté de sa tête, qu'elle puisse pratiquer ce qu'elle a appris avec la plus grande attention. N'est-ce pas, Clémentine ? "

Sans rien dire, ils n’eurent d’autres choix que d’acquiescer. Que pourraient-ils faire de toute façon ? Clémentine fut installée sur l’autel, les jambes écartées, s’offrant aussi bien à l’empereur qu’au peuple. Ce n’était même pas une princesse qui était mise en avant, mais une reine, une reine qui était réduite à cela... Arthur avait un peu plus de chance, car il était légèrement caché par Clémentine... Bref, Arthur comprenait que là, l’humiliation serait surtout pour Clémentine, mais que tous savaient bien qu’Arthur était là aussi, tous l’avaient vu... Disons qu’ils se prendraient plus de commentaire insidieux... C’était mieux, mais il s’en fichait, vu qu’il voulait surtout réconforter sa petite soeur... C’était en ce moment impossible, mais sa jumelle déclara d’une voix effrayée, alors que sa bouche était non loin du phallus de son frère...

« Arthur...
-Je sais, Clémentine... Je sais... »


Elle se tue, et commença ce qui devait arriver. Elle commença à sucer son frère. Elle avait prit de l’assurance pour sucer... Alors que dans les faits, ce n’était que la quatrième fois qu’elle suçait quelqu’un, et la deuxième fois qu’elle suçait son frère. Arthur eut la grande honte de penser, pendant un centième de seconde, mais quand même, que sa soeur apprenait vite, et qu’elle suçait très bien. Mais évidemment, cela choqua de suite le jeune homme d’avoir osé penser cela... Il voulait dire... Merde, c’était sa soeur ! Pas n’importe qui. En attendant, elle fut alors pénétrée par l’empereur qui n’hésita pas à ainsi marquer la jumelle qu’elle était à lui maintenant, tandis qu’elle suçait tranquillement son frère. Elle poussa un gros gémissement, plus de plaisir que de douleur, quand elle se fit pénétrée... Intéressant.

Dans les reactions du peuple, et bien... C’était l’horreur pour les deux jeunes anciens monarques. Tous restaient... Relativement calme, ne voulant pas se faire battre, violer, maltraiter, massacrer, tuer, etc... Par les Blurois. Mais tout les Clairisiens présent étaient dégoûté, horrifié, et trouvaient que ça y est, c’était la preuve que ses deux jeunes monarques avaient échoués. Pour les plus gentils, ils prenaient en pitié ses deux pauvres adolescents forcés à faire ça. Pour les plus sévères, c’était une punition du Dieu unique pour avoir entraîné le royaume dans la ruine et l’esclavage. Et enfin, pour les nobles encore en vie, c’était la preuve que ses deux bâtards n’avaient que du sang de roturier, et que le précieux sang de l’empereur Gérôme IV avait sans doute été bafoué. Peut-être que cette pute qu’était leur mère avait couché avec quelqu’un d’autres.. Voir un Blurois... Dans la tête de certains nobles, bien à l’abri dans leur pensée, cette théorie commençait à germer pour peut-être refuser la légitimité d’un futur empereur mi-Clairisien mi-blurois...

MAIS encore une fois, trève de blabla, plus de sexe ! Ainsi, Clémentine continuait de sucer, tandis qu’elle gémissait de façon obscène à sa pénétration... Mais pas d’inquiétude ! Arthur aussi gémissait énormément, tirant un énorme plaisir du fait qu’il était entrain de se faire sucer. Cette scène de sexe et bien... C’était quasiment un moyen de décompresser pour les deux jumeaux. On pouvait même voir que Clémentine tentait un peu de suivre le mouvement, en bougeant son bassin. Oui, après tout... Alexandre avait critiqué la dernière fois la fameuse jeune reine de Clairis de ne pas être assez active... Donc, cette fois, elle faisait de son mieux pour satisfaire son époux. Après tout, n’était-ce pas le devoir d’une impératrice de Blure, et d’une épouse de l’empereur ?
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Lamnard Kystrejfter le vendredi 13 avril 2018, 18:13:56
Alexandre ne chercha pas à lambiner, à la fois excité par la situation et désireux de montrer sa vigueur à ses gens ; ou, en tout cas, ceux qui comptaient. Les Clairisiens étaient manifestement estomaqués, mais c'était bien ainsi. Ils comprenaient ainsi l'étendue des moyens exotiques que les Blurois pouvaient mettre en oeuvre pour assurer leur survie et leur position. Les régentes se cachaient les yeux et ceux de leurs héritiers, tandis que les plus anciens, ceux qui n'avaient pas été en état de se présenter sur la Halde, fixaient la scène avec un mélange d'incrédulité, s'échappant dans de froids calculs politiques. Dans l'immédiat, Blure se moquait des risques d'interférence et de la fierté blessée de Clairis. L'orgueil de l'empire était à son sommet, et c'était sans doute la situation dans laquelle tout empire avait été le plus vulnérable à toutes les époques. Un pays s'oubliant dans l'émerveillement de ses propres réalisations et son prestige était un pays destiné au déclin. Mais cela, les Blurois étaient trop occupés à compter leurs gains pour s'en soucier, alors qu'en ce moment-même, l'Empereur enfonçait sa verge dans la fente féconde de la princesse et impératrice, chienne soumise qui n'hésitait pas à donner sa bouche à son propre frère. Salope pour les Clairisiens, et juste Clairisienne pour les Blurois.

Les cris de Clémentine avaient alterné entre des petits couinements de douleur lorsqu'il était entré en elle sans vergogne, et des gémissements et râles de plaisir de plus en plus intenses et forts. Elle encourageait son époux à malmener son sexe et ses fesses tandis qu'elle accompagnait ses allées et venues avec une expertise limitée, mais toujours croissante. Arthur restait partagé entre son soulagement que les choses se passeraient bien pour tout le monde après ça, et les sentiments conflictuels soulevés par l'attitude proprement dévergondée de sa soeur adorée. Oh ! bien sûr, il n'était pas le dernier désormais à vouloir fourrer sa bite entre ses lèvres douces et répandre sa semence dans une béate jouissance, mais le bonheur qui se dessinait sur son beau visage, presque caché par ses mèches blondes mais qu'il devinait au son de ses cris et à la pression de ses lèvres, celui qu'elle tirait de se faire prendre devant le peuple de toute la capitale et la noblesse entière, nue et sans droits, voilà qui avait de quoi interpeller le frère protecteur qui était toujours actif en lui.

Arthur finit par jouir et, incapable de se retirer de Clémentine, trop désireux de venir dans le secret chaud de sa bouche, il éjacula en elle, et le sperme mélangé à la salive se mit à se répandre sur sa bouche et le pelvis de son jumeau, coulant sur ses bourses et ses fesses alors qu'il accusait encore le coup de sa trop brève ascension au Septième Ciel. Alexandre, qui l'avait remarqué, n'en avait, quant à lui, pas fini. Il essuya la sueur perlant sur son front, fixant le garçon avec un air lubrique, et l'appela à ses côtés. Le prince aux beaux cheveux bleus se glissa à quatre pattes jusqu'à lui, trop hâtif de répondre présent et d'éviter les punitions possibles pour son manque de célérité, pour même se remettre debout. Quand il arriva, Alexandre saisit sa nuque et, sans un mot, il le fit s'allonger sur le dos sous les bassins en pleine fusion de Clémentine et de son exigeant souverain. Il avait là une vue imprenable sur la chatte écartée et trempée de Clémentine, et sur la bite lourde et déterminée d'Alexandre s'extasiant en elle. Il ne comprenait pas trop le but de tout cela avant qu'Alexandre cesse sa besogne, faisant baisser la petite blonde à genoux. Elle tomba nez à vulve avec son frère, qui comprit alors et commença à la lécher à son tour, cherchant le moyen de donner du plaisir à sa soeur avec sa langue.

Pendant ce temps, Alexandre s'était baissé sur son épouse lascive et obéissante, l'attrapant par les cheveux pour la tirer à lui. Il glissa quelques mots au creux de son oreille : " Relâche-toi complètement et tout ira bien. Je ne pourrai pas m'arrêter si tu n'obéis pas. " Sur ces simples mots, il la relâcha et, passant ses mains entre ses fesses rondes et rougies par les traitements de son maître et mari, il les écarta, révélant son anus, n'attendant pas pour y glisser son gland mouillé et l'enfoncer, sans hâte ni douceur, à l'intérieur d'elle par ce trou moins facile.
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Cassandre Harmington le vendredi 13 avril 2018, 22:44:45
Blure pouvait bien se relacher un moment. Ni la théocratie de Théios ni le royaume de Nortre n’allait attaquer aujourd’hui. Là, aujourd’hui, c’était la victoire de Blure qui était fêtée, pas l’avenir, pas le passé… On ne fêtait pas la fin de la guerre entre Blure et Clairis, on ne fêtait pas une paix qui permettait de faire finir une guerre absurde dont plus personnes ne connaissaient les origines, une haine sans doute pluri-séculaire, mais dont même les pourtant très bon historiens de Clairis n’arrivaient pas à retrouver. Peut-être qu’une fois l’état uni, un historien allait un jour trouver les raisons de se désaccord. Peut-être que plusieurs siècles après ce jour-ci, des livres allaient être écrit pour montrer à quel point cette guerre avait été absurde… Mais trève de blabla sur le futur, concentrons-nous sur le présent… Et le fait que là, la princesse Clairisienne était entrain de prendre bien son pied !

Arthur était en effet partagée… Comment réagir sur ce genre de situation ? Bref, il avait joui, cela, on avait bien comprit. Sa sœur, elle, était ainsi entrain d’avaler son sperme, goulument, trouvant même le goût… Pas si mauvais, franchement, il fallait bien le dire… C’était acceptable, et même plutôt… Pas mal… Maintenant, c’était au tour d’Arthur de rendre la pareil à sa sœur, et il commença à lécher l’ensemble qui lui faisait face. C’était… Pas mauvais, lui aussi trouvait. Le mélange de sperme et de cyprine… C’était là qu’on pouvait comprendre que oui… Clémentine semblait sombrer dans le sexe… Mais qu’Arthur aussi. Arthur aussi devait devenir une épouse… Et que oui, il allait devenir une épouse. Oui, lui aussi il allait rejoindre le harem… Et lui aussi il allait s’habituer à cette nouvelle vie.

" Relâche-toi complètement et tout ira bien. Je ne pourrai pas m'arrêter si tu n'obéis pas. "

« Oui mon amour. »

Oh mon dieu ! Arthur tiqua, mais ne déclara rien, il comprenait qu’elle avait dit sur le coup de l’excitation. Après… Il devait accepter qu’il allait devoir partagé sa sœur avec son mari… Et que lui aussi, allait devoir s’offrir à son mari… Peut-être qu’un jour, il arrivera lui aussi à dire « Mon amour » ? Peut-être pas aussi rapidement, sans aucun doute, mais « elle » était sans doute… Quoi ? Il avait pensé immédiatement « elle ». Bon sang, ce n’était pas possible… Il ne pouvait pas… Il ne pouvait pas sombrer aussi rapidement ! Malheureusement, il ne se rendait pas compte à quel point… Il était fragile. Et oui, Arthur, enfaite, était aussi fragile que Clémentine, et il devait comprendre qu’il n’allait pas tenir plus longtemps que Clémentine… Il était lui aussi dans une dangereuse pente… Très dangereuse pente… Et il ne pourrait arrêter sa chute.

Bref, comment se passait tout cela ? Et bien… Et bien d’un côté, Arthur était véritablement encastrée, entre sa co-femme et son époux… Et de l’autre, Clémentine se montrait à tout le monde, de façon extatitque. Elle se faisait enculer pour la première fois, et donc, elle gémissait en conséquence. Se mélangeait couinement de douleur et gémissement de plaisir, montrant bien que visiblement, elle appréciait autant qu’elle en souffrait. Le trou était moins facile, oui, cela se sentait sans doute pour le fameux Alexandre qui devait pas mal galérer dans un trou aussi serré… Mais voilà, au tour de Clémentine, elle avait perdue, en en public en plus, sa dernière virginité. Maintenant, aux yeux de tous, et bien, elle n’était plus vierge, elle était devenue une femme complète, de la même façon qu’Arthur l’était devenu un peu plus tôt. Mais de façon anonyme et caché, contrairement à Clémentine, qui elle le montrait à tout le monde… Bref, assez intéressant tout ça non ?

Le public, lui, continuait de regarder ça… Que penser d’une telle situation… Ils n’en savaient rien, mais ils ne disaient rien, trop peur des réactions des Blurois… Quoiqu’il en soit, le public devinait que cela voulait dire une chose… Plus rien ne serait comme avant après ça. Plus rien du tout. Clairis venait de mourir, et maintenant, avec le cadavre du royaume, les Clairisiens allaient devoir tenter de faire quelques choses… Mais sans leur roi, et sans leur reine. Eux, ils étaient finis. C’étaient maintenant des épouses de l’Empereur de Blure. Le peuple, même ceux qui avaient aimé ses deux monarques adolescents, pouvaient comprendre que c’était fini pour eux deux. Qu’on ne pourrait plus jamais les récupérer. D’ailleurs, sans doute qu’après cette représentation, en grande partie du pouvoir de Blure, et bien, allait être amené justement les deux jumeaux, et sans doute qu’Horfons, la capitale de Clairis n’allait pas les revoir de sitôt…
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Lamnard Kystrejfter le dimanche 15 avril 2018, 16:05:35
Alexandre se déchaina un moment entre les fesses de Clémentine, la prenant par derrière avec plaisir et excitation tandis qu'elle manifestait une ivre jouissance. Sous eux, Arthur était oublié par l'Empereur, qui ne l'avais placé là, pour tout dire, que pour qu'il garde sa soeur humide pour lui. Les ébats du couple vedette pouvaient lui déplaire, ses bourses pouvaient lui claquer sous le menton et il pouvait avoir autant de difficultés qu'il le voulait : le Blurois voyait le Clairisien comme son objet, alors que Clémentine avait vraiment un intérêt autre que lui. Il avait été sérieux en disant vouloir un héritier d'elle, et peut-être lui ferait-il plusieurs enfants, car une maladie avait vite fait d'emporter mêmes des garçons forts. Après tout, c'était ce qu'on attendait des épouses de l'empereur, et c'était ce qu'Alexandre réclamerait d'elle.
Ainsi, quand il fut au seuil de la jouissance, il se retint, serrant le périnée et la soulevant de l'estrade, la retournant, la plaquant sur les fesses et plongeant vers elle dans le même geste. Arthur ne put guère bouger, vit les genoux de son époux s'écraser de part et d'autre de sa tête, et fut trop gêné et intimidé pour oser bouger, tandis que la verge d'Alexandre s'en prenait à nouveau à la chatte de Clémentine, brièvement seulement, mais en quelques violents coups de reins qui firent claquer leurs peaux l'un contre l'autre. Dans un silence revenu, l'empereur râla et souffla, et la princesse clairisienne poussa de profonds soupirs d'extase. L'homme sentit sa semence le quitter dans des jets libérateurs, et la femme sentit la chaleur d'un autre flot de sperme chaud en elle. Leurs corps se bloquèrent l'un contre l'autre avec fermeté, ici, au sommet du monde, dans un silence religieux. Et quand Alexandre relâcha son emprise, laissant Clémentine à bout de souffle, et sauta sur ses pieds, il y eut une vague d'ovations et un tintamarre de cuivres.

On vint passer à Alexandre une robe pourpre et une ceinture dorée, tandis que Clémentine était prise en charge par des esclaves féminines et vêtue d'une robe blanche. La jument les rejoignit sur l'estrade, et Alexandre la remonta, se faisant amener la princesse blonde sur sa selle avant de repartir ainsi vers le palais. Et Arthur ? Arthur s'était relevé, souillé, interdit par les paroles de sa soeur comme par l'indifférence de son époux. On lui donna une robe blanche similaire à celle de Clémentine, mais nulle promenade en canasson pour lui : un garde lui donna une pichenette de la hampe de sa lance et lui fit signe de marcher.
Les choses s'annonçaient incertaines pour le prince bafoué, qui devait affronter sa mise au ban publique autant que les regards ; les regards amusés des Blurois, et ceux, outrés et accusateurs, des Clairisiens.
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Cassandre Harmington le dimanche 15 avril 2018, 21:43:16
Clémentine s’était vite doutée, une fois qu’elle avait découverte qu’elle et son frère allaient devenir des épouses impériales, qu’elle allait devenir... Un ventre à bébé, oui, sans aucun doute... Après tout, c’était logique. Maintenant qu’elle était une épouse, elle devait donner des héritiers, des héritiers qui seraient extrêmement important pour la politique de Clairis et de Blure. Quoiqu’il arrive, ses héritiers auraient les rennes de deux états, ce qui leur donneraient un pouvoir immense. Qu’est-ce que cela allait donner ? Elle ne pouvait pas le savoir, et sans doute qu’en temps que femme dans le gynécée impériales, et bien... Elle n’aurait aucun pouvoir politique... Pourtant, elle avait tenté en Clairis de régner aux côté de son frère Arthur. Arthur l’avait accepté, sans problème, il n’était pas sexiste... Blure était-elle sexiste ? Il n’en savait rien, mais les blagues graveleuses sur Arthur qui serait une femmelette...

Mais bon, tout ça, c’est bien beau... Mais faut bien comprendre que notre fameuse Clémentine n’y pensait... ABSOLUMENT pas ! Elle était trop occupée à jouir, à profiter, à prendre son pied. Elle était dans un bonheur absolument intense, et était extrêmement heureuse de ce qui lui arrivait. Elle n’avait pas le temps de réfléchir, elle se faisait bourrer. Le fameux empereur avait abandonné l’anus, le laissant bien élargie, et avait repris la pénétration dans la chatte, qui, il faut bien l’avouer, devait être plutôt facile, étant donné qu’elle mouillait un max. Finalement, ce qui devait arriver arriva, et de nouveau, l’impératrice de Blure fut engrossée. On pouvait dire sans hésitation qu’elle allait offrir de beau enfants à son époux n’est-ce pas ?

Le spectacle était fini maintenant. Partez ! Il n’y a plus rien à voir. De nouveau, l’empereur fut richement vêtue... Mais cette fois, les deux épouses royales eurent le droit à des vêtements. C’était des vêtements extrêmement simple... Des robes blanches d’une pureté immaculé, qui était bien différentes de ceux qu’ils venaient de faire... Qui n’étaient pas de l’ordre, comment dire, de la pureté, au contraire même. Sans doute que le Pape de Théios se serait étrangler en voyant un tel spectacle totalement contraire aux préceptes divins ! Mais on s’en fiche de lui. Trop sonnée par le plaisir pour réagir, et dans les fait, faire quoique ce soit... Et bien, notre chère Clémentine fut alors tranquillement installée sur le cheval de l’empereur, cheval que l’empereur montait justement, en l’instant.

Et Arthur pendant ce temps là ? Un moment interdit, il marchait, interdit de cheval, humilié, ridiculisé... bref, l’horreur totale. Mais il supportait, et levait la tête, avec une fierté affichée, sous les regards accusateurs, meurtrier presque de son peuple. Brutalisé par une lance pour être forcé à avancer, il lança un regard de braise au guerrier qui comprit bien que l’obéissance de « l’épouse » impériale n’était que pour l’Empereur... Cette obéissance ne faisait aucun doute, mais il ne se laisserait pas marcher sur les pieds pour autant. Bref, il avait une fierté, il n’était pas détruit. Il supportait la haine de son peuple. Il était prêt à supporter mille tourment... Tout ce qui comptait... C’était que sa sœur soit heureuse, et puisse vivre. S’il fallait pour ça qu’il soit réduit à moins que rien, pour que sa soeur ne souffre pas trop... Il l’acceptait. Il était prêt... Car il l’aimait. Il l’aimait de tout son coeur, et il ne voulait pas qu’elle souffre...

Il était une épouse impériale, maintenant, une concubine de l’empereur. Il n’était plus rien, et en voyant ce que son peuple pensait de lui... Il n’était plus rien d’autres. Après sa soeur, c’était à son tour de faire son breakdown. Mais contrairement à sa soeur, il n’offrirait pas le plaisir aux Blurois et aux Clairisiens de l’admirer. Il tenterait de rester noble. Après, quand il sera seul avec son époux, il allait pleurer dans ses bras, sur ses genoux, où au sol si c’était tout ce qui lui permettait... Mais pour le moment, il devait montrer une grande force d’esprit. C’était important, car c’était ce qu’il était. Ancien roi de Clairis, il était maintenant épouse impériale de Blure... Mais une chose, une chose très importante ne changeait pas, elle. C’était le fait qu’il était quand même le frère de Clémentine, et qu’elle était tout pour lui.
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Lamnard Kystrejfter le mardi 17 avril 2018, 15:57:25
Les vivats et les cuivres se poursuivirent jusqu'au palais. Une fois la grande porte passée, les hauts murs stoppèrent une bonne partie du bruit, et, une fois Arthur entré et les portes bien verrouillées, les choeurs de joie ne furent plus qu'un murmure. Clémentine fut descendue de la jument à robe grise mouchetée, après quoi Alexandre démonta à son tour, le visage de marbre, comme s'il venait d'exécuter une tâche on ne peut plus protocolaire et ennuyeuse. Protocolaire, très certainement ; ennuyeuse, on ne pouvait pas dire cela. Ca avait été très distrayant, il fallait le dire. Mais, l'excitation retombée, le masque du souverain impérial retombait. Il devait maintenir les convenances et les apparences devant ses pairs, devant ses hommes, devant ses serviteurs ... Etait-il jamais complètement honnête ? Totalement relâché ?

Il fit reconduire Clémentine à l'intérieur en compagnie de plusieurs servantes, attendant Arthur avant de le renvoyer à son tour, entouré d'esclaves à ses petits soins. Il avait beau asseoir son autorité sur les jumeaux et ne montrer guère d'affection, ils n'auraient pas pu dire que l'Empereur Alexandre VII de Blure était un mauvais hôte. En vérité, on les conduisit même jusqu'à leurs anciens appartements. Les symboles du pouvoir clairisien et emblêmes familiaux avaient été retirés, bien sûr, jusqu'aux portraits et aux oeuvres d'art. Les emblêmes indésirables qui ne pouvaient simplement être retirés, comme les moulures et les gravures sur bois, avaient été grattés jusqu'à ce qu'il n'en subsiste aucune trace, sinon une désagréable sensation de vide et de nudité là où ils se tenaient, des marques de lame sur le bois et un enduit frais sur les murs.

A part cela, les appartements respectifs des jumeaux avaient été admirablement respectés. Ils découvrirent bien vite que leurs garde-robes avaient été modifiées pour convenir à leur statut et aux modes bluroises, que leurs armes personnelles avaient disparu et que certaines choses manquaient, mais, après une telle soumission et une pareille humiliation, retrouver leurs lits et certains de leurs effets personnels était un véritable soulagement.


Appartements de Clémentine

Alors qu'elle se remettait des violents assauts de son époux, la belle princesse clairisienne se fit couler un bain parfumé. Elle put profiter d'un véritable moment de relaxation, pas d'un de ces bains très rapides qu'on lui avait asséné jusque là. Quand même, les Blurois se baignaient énormément ! N'étaient-ils pas dans un désert ? Où trouvaient-ils toute l'eau ? Ces pensées tournaient dans la tête de la jeune femme quand elle sentit une présence derrière elle. C'était Alexandre, venu lui rendre visite, entré furtivement dans sa chambre, qui l'observait dans son intimité, assis sur un siège. Il ne disait rien, pour une fois, se contentait de la fixer, avec un regard indéchiffrable.


Appartements d'Arthur

Le garçon se remettait des émotions et de l'humiliation à son rythme. Il avait entrepris une toilette complète aussi vite que possible, congédiant les servantes et retirant de lui les restes de la démonstration de pouvoir et de virilité de l'Empereur. Il avait encore le goût des jus intimes de sa soeur sur la langue, et pouvait encore entendre le son des couilles de leur époux sans coeur claquant sur sa peau rose, rougie par les fessées et l'excitation. Les images et les sons de la place ne le quittaient pas. Il cherchait un sens à tout cela, sans le trouver. Blure était une terre de sauvages. Il n'aurait probablement plus de répit de toute sa vie. Peut-être les agents blurois avaient-ils bien fait de retirer toute chose pouvant couper ou servir de lien ...

Il fut néanmoins sorti de ses pensées par un serviteur se présentant à l'improviste. Il allait le congédier, quand il réalisa qu'il ne s'agissait pas d'un esclave comme il en avait déjà vu. Celui-ci portait une livrée impériale, pas la tenue terne et pratique des serviteurs du palais. Il semblait particulièrement orgueilleux et fier de sa position, ce qui avait eu le don de dérouter le prince. Qui pouvait-il bien être ? Il ne le dit jamais, mais il ne se fit pas attendre pour énoncer la raison de sa visite, en clairisien par ailleurs, malgré des termes blurois, sûrement des titres de noblesse : " Son Altesse Impériale, waliya d'Iskalan et amiriya de l'Arg al-Arz ! "

Attendez, quoi ?! Qui venait-il d'annoncer ?! Une femme richement parée (https://c.wallhere.com/photos/97/7a/realistic_Sakimichan_Fire_Emblem_women_cleavage_magic_bodystocking_Tharja-323421.jpg!d) se présenta dès la disparition du personnage improbable. Elle avait la grâce d'une reine et une beauté diaphane, assez proche de celle des jumeaux. Etait-elle Clairisienne ? Elle ne ressemblait pas à Alexandre, mais on sentait en elle la même mentalité calculatrice, derrière le sourire arqué plissant les commissures de ses lèvres.

" Alexandre est avec la blonde. Je pensais en profiter pour venir voir celle dont on ne parle pas. Alors, c'est vrai, il m'a vraiment remplacé par les deux bâtards ? Qu'il prenne la blondinette pour l'engrosser, j'aurais pu comprendre. Mais toi ... Qu'est-ce qu'il obtient avec toi ? "
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Cassandre Harmington le mercredi 18 avril 2018, 10:24:14
Après tout ce cérémoniel, les deux jumeaux avaient finalement été séparés, rentrant tout deux dans leurs appartements privés. Tout deux furent surpris de voir que le tout avait été entretenu. Depuis la terrible bataille sur le fleuve, ils n’avaient pas revus ses ensembles. À part tout ce qui pouvait faire penser à la royauté Clairis, et bien, cela avait été bien respecté. Pour du vandalisme, car oui, la destruction de symbole royaux était du vandalisme, je m’y connais, et bien... Cela avait été franchement plutôt léger. Autant Arthur que Clémentine en fut fortement surpris. Sans doute car ils comptaient faire du palais de Clairis une résidence d’été, ou quelques choses du genre. Après tout, le climat de Clairis était bien plus doux et agréable que le violent et dangereux désert du sud, le désert de Blure...

Mais séparés, nous allons devoir nous intéresser séparément des deux jumeaux. En commençant par Clémentine, bien entendue. On lui avait préparé un bain, et elle se laissait entièrement se détendre, comme ça, dans le bain. Aaaah... Après tout ce qui s’était passé, cela faisait du bien. Elle pouvait décontracter tout ses muscles, et se nettoyer, car elle avait été relativement... Salie ses derniers temps. Les Clairisiens et les Blurois partageaient visiblement l’amour des bains. Une ressemblance entre ses deux peuples... Contrairement à ceux de la Théocratie de Théios qui considéraient presque se laver comme un sacrilège divin... D'ailleurs, comment les Blurois pouvaient autant aimer les bains...? Ils ont de l'eau chez eux ? Elle n'en savait rien...  Bref, elle était tranquille, et se tourna sur elle-même... Quand elle vit l’empereur de Blure ! Cet homme était un chat, il arrivait à pénétrer furtivement dans une salle, sans que personne remarque. Elle sursauta, et déclara un peu confuse :

« Oh, Alexandre... Euh... Je peux vous appeler ainsi ? »

Elle s’était permis, car ils étaient dans le privés. Pendant un moment, timide, comme toujours, elle cacha sa poitrine avec ses mains. Le moment fut relativement bref, car elle se remarque de la stupidité de cela. C’était son époux. Il allait la voir nue encore et encore. Donc... Bref, elle se réinstalla dans le bain, décidant d’en profiter... Son époux allait peut-être entrer à son tour dans le bain, qui sait... Cela aurait une certaine logique, et si elle trouverait cela un poil gênant, toujours aussi timide, et bien... Et bien, il avait le droit. Elle se demandait parfois si elle était une épouse ou une esclave. Peut-être qu’à Blure, les deux n’étaient pas si éloigné ? Après tout, elle avait lancé des réformes à Clairis pour le droit des femmes, mais la puissante noblesse lui avait tout empêché...

« Je... Je ne sais que dire. J’ai à la fois envie de vous haïr et vous remercier. Vous m’avez peut-être entendu tout à l’heure... »

C’était paradoxal n’est-ce pas ? Elle ne savait vraiment pas quoi dire. Evidemment, qu’elle voudrait le détester. Mais elle n’y arrivait pas. Pourquoi cela ? Et bien, Blure et Clairis était en guerre depuis des temps immémoriaux. Elle se souvenait des fois ou son frère et elle avait exploré les archives, travaillés des nuits entières pour tenter de découvrir les raisons de ce conflit. Les archives Clairisiennes n’avaient rien donné. Tout les documents relatifs à la guerre avait été soigneusement détruit par ses prédecesseurs. Elle se souvenait, toute petite, son père, le glorieux roi Gérôme IV, paniquant et détruisant des documents, et disant à sa fille « que personne ne doit rien savoir. Rien. » Un mystère qui n’avait pas duré longtemps, et peu après, Gérôme IV était mort sur son trône, sa coupe d’or à la main, prit dans le fleur de l’âge, selon le médecin qui avait interdit toute autres personnes de voir le cadavre, d’une crise cardiaque... Bref, elle déclara :

« Mais je suppose que j’ai été une très mauvaise reine pour que cela arrive ? »

Elle laissa échapper un sourire triste, puis retourna dans son bain, sans prêter plus d’attention à son époux. Elle n’était qu’un objet, une poupée pour lui. Donc, elle savait très bien que s’il voulait tout d’un coup se la faire, lui faire l’amour, elle n’aurait rien à dire. Il n’aurait qu’à la prendre. n’était-ce pas comme ça que fonctionnait les Blurois après tout ? Bref, en tout cas, elle se disait que de toute façon, elle était pitoyable. Sans doute allait-il montrer point par point comment elle et son frère avait été les pires souverains de Clairis, et de trèèèèèès loin. Après tout, elle avait été, et ça, personne peut le nier, celle qui avait vu son royaume tomber sous les mains d’un envahisseur. Elle comme son frère étaient les entiers responsables...

***

Arthur s’était lavé rapidement. Il réfléchissait. Nortre, duché de Malcroisie, Théios, l’Empire de Sonia... Tant d’état voisin. Blure allait-il continuer une politique expansionniste ? Le duché de Malcroisie était intéressant, car il avait d’importante carrières de marbres, d’encens, bref, de ressources de luxes que les états convoitaient souvent. Le Duc de Malcroisie, son cousin (bien qu’il avait une vingtaine d’année de plus) était un homme valeureux, amoureux de chasse et de tournoi, mais l’armée de Malcroisie ne ferait pas le poids contre les armées de Blure. En terme d’armée équivalente, seul le puissant royaume de Nortre pourrait se confronter à Blure... Et Théios, mais ça, c’était plutôt une armée de fous embrigadés, et prêt à se tuer pour leur Dieu... Bref, qu’allait faire Blure dans cette situation géopolitique complexe ? Alors qu’il était plongé dans ses pensées, un serviteur arriva. Il voulu le chasser comme les autres, mais visiblement, ce dernier avait une mission à accomplir...

" Son Altesse Impériale, waliya d'Iskalan et amiriya de l'Arg al-Arz ! "

Un messager ? C’était visiblement le cas. L’orgeuilleux « serviteur » si c’en était bien un, annonça alors l’arrivée d’une femme... Une femme bien loin de ce que ressemblait les Bluroises (bien qu’il n’en n’avait pas vu beaucoup). Et très belle, il n’avait rien à dire sur ce point. Etait-ce... Une Clairisiennes ? Une Nortrienne peut-être ? Une Malcroisienne ? Une habitante de Théios ? Non, pour ce dernier, elle était bien trop peu vêtue. Les habitants de Théios cachaient bien leur peau, comme l’imposait le Dieu et le Pape. Bref, il n’en savait rien. Tout ce qu’il voyait, c’est que cette femme venait d’entrer dans sa suite, et que visiblement, il ne pouvait pas se la permettre de la chasser...

" Alexandre est avec la blonde. Je pensais en profiter pour venir voir celle dont on ne parle pas. Alors, c'est vrai, il m'a vraiment remplacé par les deux bâtards ? Qu'il prenne la blondinette pour l'engrosser, j'aurais pu comprendre. Mais toi ... Qu'est-ce qu'il obtient avec toi ? "

« Enchantée, votre altesse. C’est un plaisir pour un humble... »

Il n’avait pas compris les mots blurois, mais il était suffisamment intelligent pour comprendre « son altesse impériale ». Il avait en face de lui quelqu’un de sang royale, ou par mariage, intégré dans la famille impériale. Qui était cette jeune femme ? La soeur de l’empereur ? Une autre femme de l’empereur ? Il n’en savait rien. Elle était lié en tout cas à l’empereur de Blure. Ne l’ayant jamais vu dans la cour de Clairis elle n’y venait pas. Enfin, c’était le plus probable, il supposait, car encore une fois, il ne la connaissait pas. Quoiqu’il en soit, comme vous pouvez le remarquer... Et bien, il n’avait pas fini sa phrase... Pourquoi ? Pourquoi n’avait-il pas fini sa phrase, alors qu’il semblait plutôt bien partie pour cela ? Et bien, tout simplement car il avait remarqué quelques choses dans son langage, qui devant une personne impériales... Et bien, il devait se corriger, étant donné qu’elle pourrait répéter à l’empereur...

« Oh... Je suppose que je devrais dire « une » humble... »

Il laissa échapper un sourire triste, puis retourna au fait qu’il s’inclinait. Intéressant, c’était quasiment le même que celui de sa soeur. Quand je dis que ces deux jumeaux se ressemblent énormément... Mais bref, en tout cas, il se corrigea pour être sûr qu’il ou sa soeur n’aient pas d’ennuis à cause de son comportement. Encore une fois, il réalisait que toute cette histoire n’était pas juste une mauvaise histoire pour la journée, semaine, voir mois... Non. C’était sa vie maintenant, et s’il ne s’adaptait pas vite, il savait qu’il aurait des ennuis... Beaucoup d’ennuis. Et il n’avait pas spécialement envie de cela. Ils avaient suffisamment d’ennuis... Comme cela. De toute façon, il devait reprendre ou plutôt, répondre, étant donné qu’il avait reçu une question, importante, intéressante... Et plutôt facile, pour tout dire.

« Excusez mylady, de mon impolitesse. Je... Je suppose qu’il veut imposer la honte sur Clairis. Son roi, réduit à une simple épouse impériale. Je ne sais ce qu’il compte faire de moi, mais je suppose qu’il va me castrer, me couvrir d’habit féminin et de bijoux, jusqu’à ce que moi-même je me considère comme une femme. Et enfin, me présenter devant Clairisiens et Blurois pour montrer la décadence de celui qui avait été autrefois roi... »

La suite n’était pas belle à voir, mais possible. Il avouait que la castration lui faisait un peu peur. L’idée de perdre jusqu’à sa masculinité... Mais bon, il savait que c’était fort possible, pour le féminiser encore plus. D’ailleurs, cela avait commencé. Ne portait-il pas là une robe de femme ? Si, totalement, il avait été habillée de la même robe que sa soeur... Il savait que cela finirait ainsi, particulièrement le fait de finir, une fois qu’il serait complètement femme, que son esprit comme son corps soit brisé, et bam... Il pourrait se présenter devant son peuple comme une « femme », et être ainsi encore plus humiliée. Et il supposait qu’à ce stade, son esprit étant totalement brisée par des mois voir des années, il ne le remarquerait même pas. Bref, qu’allait dire cette femme, qui venait ainsi d’arriver ? Il n’en savait rien. Il allait bien voir.
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Lamnard Kystrejfter le jeudi 19 avril 2018, 03:32:15
Alexandre dévisagea Clémentine sans dire un mot. Il la fixait sans trahir d'émotion particulière, la laissant sortir ce qui semblait devoir sortir à présent. Manifestement, la princesse en avait gros sur le coeur, et l'Empereur de Blure n'était pas non plus dénué d'âme. Même le plus soumis des serviteurs devait être écouté, par ailleurs, et cela n'était pas une affaire de coeur, mais une affaire de gouvernance. A ce jour, Alexandre était l'empereur le plus puissant ayant jamais régné sur Blure, et peut-être le plus grand stratège à s'être manifesté depuis bien longtemps. Mais s'il voulait continuer à régner et à vaincre, il devait faire avec certaines règles sur lesquelles même lui n'avait pas prise.

Tandis qu'elle finissait de parler, il s'était approché de la baignoire en silence, installant un tabouret à proximité de la petite table couverte d'huiles parfumées et de crèmes. Attrapant un petit pichet pour le bain, il prit de l'eau du bain et la fit couler sur sa tête. Ses cheveux fins furent rapidement trempés, et elle subit sans un mot, ne dégageant son front et ses yeux que pour voir qu'il s'enduisait les mains d'un produit aux odeurs de fruits et d'épices, qu'il entreprit de répandre sur ses mèches et son cuir chevelu. Il s'y prit avec une délicatesse inattendue.

" Je comprends tes sentiments et tes paroles, Clémentine. Et oui, en privé, tu peux m'appeler par mon nom, pourvu que tu ne t'oublies pas et ne te mélanges pas en public. "

Ses mots étaient à la fois doux et chargés en autorité. Il arrivait à moduler sa voix pour donner l'impression de faire un cadeau à son interlocutrice, tout en lui faisant comprendre que ce n'était qu'une concession, et qu'il pourrait tout reprendre au besoin. Néanmoins, c'était la première fois que les deux se retrouvaient en privé, et que Clémentine pouvait aperçevoir la vraie nature du conquérant blurois. Même s'il était adulte et mûr comparé à elle, elle put être frappée par la jeunesse qu'il trahissait ainsi, au bord de l'eau, pendant qu'il s'autorisait à laisser son esprit errer en arrière-plan.

" Et, tu dois le savoir, Arthur et toi n'avez pas été de mauvais souverains. Je suis désolé de ne pas pouvoir te donner l'opportunité d'avoir un rôle à Blure. "

Il fit face au regard interloqué de la petite blonde clairisienne. Elle devait probablement penser avoir mal entendu. Il lui retourna un regard qui lui disait de croire en ses oreilles. Il ne développerait pas davantage, cela dit.

" Non, vous étiez condamnés du fait des blocages de votre société comme des erreurs faites par les souverains des générations précédentes. Moi, je n'ai fait que porter le coup fatal ; plus tôt qu'on l'aurait pensé, c'est vrai, mais quand même, je n'aurais pas réussi sans cela. "
" Je ne comprends pas. Je vois les blocages dont vous parlez, mais les erreurs ? "
" Tu ne vois absolument pas de quoi je parle ? "

La Clairisienne secoua la tête. Le Blurois la jaugea un instant, revidant le pichet sur sa tête pour rincer les huiles parfumées. Ceci étant fait, il saisit une éponge et lui frotta le dos avec un mélange de crème et d'huiles essentielles.

" Arthur était roi. Il a bien dû le savoir et te le dire. "
" Je ... Je suis désolé, je ne sais pas de quoi vous voulez parler. Mais ... Mais notre père ... Il a caché beaucoup de choses, avant de mourir. "
" Je vois ... "

Les sourcils froncés, Alexandre semblait véritablement contrarié et pensif.


[...]


" Oh ! mais tu es désespérant ! "
" ... Pardon, Votre Altesse Impériale. "

Arthur sortait beaucoup de choses. Il avait beaucoup de choses à dire, beaucoup de choses à penser. Il perdait toute bienséance à force de réfléchir à ce qui pouvait être et ce qui devrait se faire. Peut-être s'était-il oublié. Il se contrit, craignant avoir vraiment contrarié sa visiteuse inconnue, et d'attirer encore une fois les foudres de l'Empereur sur sa tête et celle de sa soeur ; mais elle le rassura.

" Arrête de te morigéner, enfin ! Je suis Zoé, descendante d'Isaure Askel. "
" En ... Enchanté ... Zoé. "

Il y eut un bref silence, et Zoé se mit à éclater de rire. Déambulant dans les appartements privés d'Arthur, elle s'effondra sur un divan en se tenant le ventre, semblant rire à une histoire vraiment désopilante, et Arthur avait vraiment la désagréable impression d'en être à l'origine ; ou de l'être, lui-même. Il attendit que la visiteuse se calme, franchement frustré d'être encore l'objet de toutes les railleries, et, une fois cela fait, elle se redressa, ajustant sa tenue et ses cheveux en bataille pour reprendre une certaine contenance, mais non sans garder un air à la fois amusé et en colère.

" Oh ! Arthur de Clairis ! Sois d'abord rassuré, les Blurois ont une telle vénération pour leurs foutus mandrins qu'ils ne t'en priveraient d'une partie pour rien au monde. Tu es ce qu'il dit que tu es, et ça suffit pour tout le monde. Vois-tu, moi-même, ça me contrarierait beaucoup qu'on te les coupe. Tu portes un sang rare, tu sais. "
" Le sang noble de Clairis coule dans les veines de la plupart de nos vassaux. Enfin, des vassaux d'Alexandre, maintenant. "
" Je te coupe, encore une fois, Arthur. J'ai une histoire à te raconter. "


[...]


" Mes ancêtres étaient des marchands. Ils régnaient sur un comptoir riche dans le désert, comme beaucoup d'autres. Leur principal client était l'Empire d'Azariah, un vaste Etat recouvrant Clairis et les principautés voisines. Sa dynastie était en crise, cependant. L'Empereur légitime fut renversé par son frère, un intriguant maladif et un mauvais souverain, qui fit sombrer l'Empire dans la guerre civile et le vit périr en moins d'une génération. "
" Je n'ai jamais entendu cette histoire ! Pardon ... Continuez. "


[...]


" L'Empereur lésé n'était pas mort, mais il avait été contraint à l'exil. Arrivé à Blure, il signa un pacte avec la famille locale et unifia les comptoirs marchands sous l'autorité de celle-ci. Quand son domaine se brisa, il réclama ses droits sur celui-ci, mais le mal était fait. Seuls quelques domaines dépendant de Clairis rejoignirent sa banière, et Askelon devint sa nouvelle patrie. Cet empereur exilé était Isaure Askel. "


[...]


" Avec le temps, le sang d'Askel se dilua et sa lignée se fragmenta au gré des disputes, des complots et des bannissements. Blure continua la lutte en son propre nom. Le mauvais sang entre Clairis et elle entretenait la flamme de la guerre. Tous mes prédécesseurs ont épousé une descendante d'Askel pour entretenir une légitimité sur Clairis. Moi-même, j'ai été marié à 14 ans à une Askel. Elle est à peine plus vieille que vous deux. "


[...]


" J'ai tout de suite cru en Alexandre. Déjà enfant, il était exceptionnel. Mais j'avais mal calculé une chose. Parce qu'il s'avère qu'à l'occasion d'une visite sur mes terres, Nicolas, feu le père de notre cher époux, est tombé sur les chroniques et la généalogie de ma famille. Vois-tu, par ordre de succession, votre putain de génitrice a quelques degrés d'ascendance sur moi envers le trône décrépi d'Azariah. "
" Attendez ! Ma mère était noble ?! "
" De la plus haute noblesse qui puisse être ! Pour mon malheur ! Heureusement, votre de père a voulu étouffer l'affaire quand Nicolas l'a joint pour parler d'une alliance. "


[...]


" Nous devions nous marier, toi et moi, et je devais répudier ma première femme, Zoé, pour qu'elle épouse ton frère. Le premier garçon hériterait de tout. "


[...]


" Il savait que les Clairisiens voudraient empêcher une telle union. Malheureusement pour lui comme pour moi, l'affaire s'est su, et il est mort. J'ai tenté d'étouffer l'affaire de mon côté, mais Alexandre m'a piégée. Il savait déjà tout. C'est pour ça qu'il a coupé ta lignée en te refusant tes droits d'homme, et qu'il veut engrosser ta soeur. Il n'a pas l'intention de laisser un Askel régner sur Azariah. Il veut fonder sa propre dynastie et sa propre légende. "


[...]


" C'est pour ça que je vous ai épousé : il faut rassembler le sang d'Isaure Askel et repartir sur des bases saines. Il est dommage qu'il ait fallu faire couler tant de sang pour cela, mais j'ai l'impression que nous aurions de toute façon dû mettre Clairis au pas d'une manière ou d'une autre. "


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Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Cassandre Harmington le jeudi 19 avril 2018, 21:09:06
Les deux jumeaux apprirent alors la triste histoire de leur origines. Une origine bien plus sombre qu’ils n’auraient jamais pensé. Que racontaient les archives de Clairis sur ce sujet ? Et bien... Ni Arthur ni Clémentine avait cru ne serait-ce qu’une seconde à la pseudo-légende que racontait Clairis... Mais décrivons la quand même... Tout commençait à l’époque du Fils de Dieu, Théio. Théio, dans sa quête pour faire découvrir au monde son origine divine, fut attaqué par des démons du Désert. Alors qu’il semblait fini, un chevalier en armure rouge le sauva. C’était Clairi. Pour le remercier, Théio décida alors de lui offrir le contrôle du Monde Temporel, au nom de son père. Plus tard, les démons du désert arrivèrent à capturer le Prophète, et le tua. Voilà comment Clairis était né selon les légendes... Et évidemment... Ni Clémentine ni Arthur les croyait. Aussi triste que cela soit... L’histoire d’Alexandre et Zoé était bien plus crédible.

Ainsi, la vérité, c’est que cette fable, cette légende totalement tiré par les cheveux avaient peut-être des fondements historiques, mais ne racontaient en rien la vérité... C’était la noblesse de Clairis, tout les gens qui avaient soutenus le frère dans sa rebellion, qui avait ainsi fondé cette légende pour non seulement donné une légitimité à la nouvelle lignée de souverain, des cadets de la vraie lignée... Mais tout simplement pour ce donner une volonté universaliste. Cette volonté n’avait jamais marché, car la religion de Théios était concentré sur trois contrée : Malcroisie, Clairis et Théios elle-même. Blure, Sonia, et surtout Nortre avait des religions totalement différentes, qui ne croyaient donc pas aux légendes de Clairis.

Et le père des deux jumeaux dans tout ça ? Et bien, il ne fallait pas croire qu’il avait le mauvais rôle dans l’histoire. N’oubliez pas ce que j’ai dis... Clairis avait depuis bien longtemps oublié les origines du conflits, comme Blure. Et ainsi, Gérôme IV avait fouillé. Farfouillé, recherché, fait des études... Et la vérité lui était venu finalement. Choqué, de la même façon que le seront plus tard sa descendance, il avait tout découvert. Tout découvert de l’infamie de sa naissance,  de sa lignée : Clairis dans son pseudo-honneur, reposait sur un vieux mensonges. De suite, il avait alors envoyé un homme, plusieurs même, convoqué l’Empereur de Blure, pour lui faire part des révélations, et ainsi, tenter de préparer une paix. Il savait que cela ne marcherait pas, lui qui avait tué des dizaines de centaines de Blurois, lui qui avait été la « Terreur de Blure », l’un des plus grands maréchaux de Clairis, dont les flèches ne traversaient pas l’armure rouge sang...

Le soucis, c’est que s’il était insensible aux flèches... Il n’était pas au poison. Ainsi, son plan de paix n’avait pas marché, mais pas pour les raisons qu’ils auraient cru... En effet, grand amateur du vin de sa terre, Gérôme IV avait toujours goutté en premier aux nouveaux crus de sa contrée. Vin empoisonnée, il s’était éteint paisiblement. Son cadavre massif avait fait peur à tout le monde, comme s’il semblait encore en vie, seulement assoupi, et prêt à se relever pour broyer celui qui avait tenté de le tuer. Mais même le colosse, la terreur de Blure, n’avait pas pu résister à une mort aussi basse. On racontait que sa mort avait amené des honneurs funéraires dans toutes les contrées du monde... Sauf Théios. Oui, y comprit Nortre et Blure, qui n’aimaient pas l’homme, avait honoré la mémoire de cette homme qui avait été la terreur de leur contrée... Un valheureux adversaire... Remplacé par deux enfants, manipulés par des nobles arriérés...

« Voilà pourquoi le duc de Malcroisie est un cousin. Il est né de la scission des terres lui aussi. Ce qui était autrefois un grand empire a été divisé en trois royaumes chacun se confrontant l’un et l’autre... »

Mais maintenant, les choses changeait. Que cela soit Clémentine d’un côité, ou Arthur de l’autre, comme vous pouvez l’entendre... Et bien, ils commençaient à découvrir la vérité, et à réfléchir pour la première fois... Par eux-même. Ainsi, par rapport à ce qu’avait dit Zoé, le fameux Arthur avait fait des théories... Et on pouvait dire, totalement. Les royautés étaient souvent liés, par mariages, par accord, par lien, par succession... Mais petit déjà, Arthur avait été surpris pourquoi Malcroisie était aussi proche. Plus tard, Clairis s’était encore divisé, plus légalement cette fois, en offrant en apanage les terres du Nord-Ouest, la Malcroisie. D’où ce nom ? Car les mers bordant ce petit état sont très dangereuse, et sinon... Et bien, c’est Nortre. D’où la « Mal Croisie ». Bref, quoiqu’il en soit, il comprenait aussi mieux pourquoi Blure et Clairis partageait des coutumes, dont des éléments de cultures très proches...

« Père n’a jamais voulu que j’épouse un homme, je me souviens petite déjà il limitait les contacts... Une fois mort, de sa crise cardiaque, les nobles m’ont empressé de rencontrer des garçons des hautes lignées Clairisiennes, mais Arthur me protégeait... »

Clémentine, elle, réfléchissait en matière de politique intérieur. Voilà pourquoi avec son frère, elle avait fait un aussi bon duo... Elle se souvenait, toute petite, que les nobles avaient tout fait pour tenter de lui un époux, alors qu’elle marchait que depuis un ou deux ans. Et bien... Pour Gérôme IV cela avait été impossible. Il disait que LUI seul pourrait choisir du mariage de sa précieuse fille, et qu’il n’écouterait pas des nobles stupides. Après sa mort « empoisonné », et bien... Arthur avait prit à son tour le soin de la protéger, mais contre tout potentiel personne qui souhaiterait la marier... Pour permettre ainsi un mariage qu’elle choisirait, elle, et elle seul. Bref, elle avait été encore une fois protégée. Elle en remerciait vraiment son frère... Mais elle devait apprendre à se débrouiller toute seule, également. Elle était une grande fille, et elle avait ses responsabilités en temps que reine !

« Zoé... Qui profiterait d’un tel désordre politique... ? La Théocratie de Théios bien sûr. Ce sont eux qui ont toujours contrôlé les mariages des rois et des reines de Clairis. Père eut des ennuis avec la théocratie selon nos archives pour s’être marié sans l’autorisation du pape. »

Arthur, lui, réfléchissait en matière de politique extérieur. Voilà pourquoi avec sa soeur, il avait fait un aussi bon duo. Ainsi, Arthur voyait plus clair dans le jeu de Théios... Théios voulait préserver son influence... Ce qu’il ne savait pas, et ce que sans doute ne savait pas Alexandre, ni Zoé... C’est que le frère de l’Empereur, Maléadre Askel, parmi les premières choses qu’il avait fait une fois sur le trône... C’est de se faire couronné par le Pape Théodore Ier, le Pape de Théios, lui offrir des nombreuses terres, et imposer la religion de Théios une bonne fois pour toute sur Clairis. Depuis, tout les souverains de Clairis avaient été couronné par le Pape lui-même, et avait été quasi des vassaux. Arthur et Clémentine pouvaient se souvenir qu’ils avaient reçu l’huile béni, celle récupéré sur le corps du prophète Théio quand il avait été brûlé sur le bûcher des infidèles, Premier Martyr de Théios.

« Je comprends mieux... Voilà pourquoi vous avez épousé mon frère et moi-même. Vous avez besoin de nous pour reprendre sa légitimité.
-Je comprends mieux... Voilà pourquoi il a épousé ma soeur et moi-même. Il a besoin de nous pour reprendre sa légitimité. »

A travers deux salles différentes, les deux avaient réfléchis et atteint la même conclusion. Telle un magnifique duo, ils étaient presque lié par la pensée, c’est magnifique. Que cela soit Arthur, que cela soit Clémentine, jamais rien ne s’opposerait entre eux. Ils travaillent ensemble, et réfléchissaient ensemble, même loin l’un de l’autre... Ils étaient ensemble, lié l’un à l’autre... Ils sentaient la souffrance de l’autre, ils sentaient la puissance de l’un... Pourquoi cela ? Pourquoi étaient-ils si lié ? Et bien... Ils ne connaissaient pas encore toute leur histoire à eux. Ils étaient bien plus lié qu’ils ne le pensaient eux-même... Ils avaient un secret qui reposaient dans les archives les plus secrète de Théios et de Clairis... Des secrets qu’ils n’avaient pas encore découvert... Bref, retournons à notre RP...

« -Alexandre ?
-Zoé ? »

Tout deux posèrent la question, les yeux emplis de fureurs, et sur d’eux, et ainsi, ensemble, ils déclarèrent :

« Il est temps de briser l’omertà imposé par la noblesse depuis des années. Clairis et Blure ont le droit de connaître la vérité. »

Les deux jumeaux déclarèrent cela d’une voix quasi unie, encore une fois à travers les deux pièces. Chacun étaient tout les deux sûrs de ce qu’ils disaient. Tant pis pour les conséquences. Clairis ne pouvait pas mentir plus longtemps sur ses origines. Surtout qu’encore une fois, les rois de Clairis avait bien trompés tout le monde. Pendant des centaines d’années. Ils se remémoraient comme les pires roi de Clairis, ceux qui ont détruit le mensonge qui avait permis à une noblesse de s’imposer, de gagner des titres, de gagner des terres, de gagner de la richesse... Tant pis, cela allait peut-être faire tout exploser... Mais de toute façon, Clairis était tombé. Donc à ce stade... Qu’est-ce qui pourrait arriver de pire ? Franchement, je vous demande !

« De là où je suis, je suis bloqué, pour le moment. Je me dois de protéger ma soeur. Je ne peux rien tenter contre l’empereur, ou sinon, Clémentine en souffrira. Je préfère ma soeur à mon trone. Un trone, c’est vacillant. Ma soeur, c’est un être vivant. Tu peux me traiter de lâche ou de couille molle si tu veux, Zoé, je réfléchis à mes possibilités. Toi, que ferais-tu à... A ma place ? »

Il s’installa sur son lit, croisant les doigts, où les deux mains formaient un pont pour soutenir son menton... C’était la position préférée du jeune homme quand il était en pleine réflexion. Il avait l’impression que Zoé l’encourageait presque à tenter de renverser Alexandre... Cependant, il devait songer à la sécurité de sa soeur... Que faire ? Il avait envie de devenir Roi... ? Et bien... Non. Son rêgne était basé sur une imposture... Et peut-être que Zoé ne le savait pas, mais il était avant tout un passionné d’histoire, et d’érudition. Il n’avait pas les preuves, mais il doutait fort peu que cette femme n’avait aucune raison de lui mentir... Bref, il était tourmenté et savait pas quoi faire. Il craignait pour sa soeur, énormément. Elle était si pure et innocente... Il ne pouvait pas savoir ce qui se passait de l’autre côté... Mais une chose était sûre. Elle allait bien. Très bien. Et cela... Cela le rassure. Ainsi, il passa sa main sur son front, et rigola. Tout allait finir par s’arranger... Il ne savait pas comment eux, ils allaient finir, esclaves ou roi... Mais ils allaient y arriver.

« Il est temps que je sois reine, votre altesse Alexandre. Ensemble, on peut faire taire des années de conflits... Je... Laissez moi... Laissez moi vous aider à faire de vous le futur empereur d’une contrée réunifié et... Un humain normal, loin de la guerre. »

Elle se permit alors se pencher sur Alexandre, et de lui caresser doucement le visage. Doucement, très gentiment, elle tenta. Peut-être qu’elle allait être violemment repoussée, jeté par terre, et violée... Ou peut-être qu’il allait accepter ce qu’elle faisait ? Elle se comportait pareil, en moins sexuelle, peut-être, quand son frère avait une mauvaise journée. Se mettre en hauteur, et prendre la tête de son interlocuteur, et tranquillement la serré contre sa poitrine. Ici, elle faisait pareil, sauf qu’elle était nue, donc, elle serra sans honte la tête de son époux. Contrairement à Arthur qui hésitait, et qui était très bouleversé par ses dernières révélations... Et bien, elle était encore plus combative. Mais l’un sentait la puissance de l’autre, l’autre sentait le boulerversement de l’un... Et ainsi, les deux se sentaient plus fort tout deux. Que cela soit Arthur ou Clémentine, ils savaient une chose : Ils y arriveraient. Ensemble.

[HRP : Oui, je crois que c’est le Lore le plus développé de l’histoire des OS. J’adore ! Merci de jouer le jeu que j’ai lancé !]
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Lamnard Kystrejfter le samedi 02 juin 2018, 21:20:06
Appartements de Clémentine

Dans son bain, Clémentine avait eu l'occasion de se laver de la saleté et des restes collants des ébats violents qui l'avaient vu perdre son innocence, sa virginité, son statut et sa liberté. Et en faisant ainsi, et en parlant avec son tortionnaire, et peut-être est-ce bizarre aux yeux d'étrangers à son esprit et à sa condition, elle avait créé un lien avec lui. Elle avait accepté son sort depuis un bon moment maintenant, mais c'était la première fois qu'elle semblait chercher à s'accomplir en tant que femme malgré la situation. L'homme qu'elle caressait avait droit de vie et de mort sur elle, et même s'il ne pouvait manifestement pas se défaire d'elle, il pouvait faire preuve d'une telle violence ...

Et elle avait aimé cela, tout à l'heure.
L'idée d'avoir un homme fort, autoritaire et dangereux pour elle.
Une personne qu'elle n'aurait probablement jamais considéré d'elle-même, mais qui éveillait des émotions assez difficile à admettre.

" Clémentine. "
" Alexandre ? "

Il la fit lever en la tirant sans violence à l'aide d'une main sous son menton délicat. Sa tête légèrement relevée, elle pouvait fixer son regard pénétrant tandis qu'il se levait lui aussi. Elle était nue, vulnérable et dégoulinante d'eau parfumée. Il renifla les effluves qu'elle dégageait et elle put presque voir un léger rictus de satisfaction briser la commissure de ses lèvres.

" Je m'occuperai d'unifier l'ancien empire. "
" Oui. "
" Tu t'occuperas de garder ton frère sous contrôle. J'aurai besoin de lui. "
" Arthur ? "
" Tu ne peux rien lui dire. Garde-le sous contrôle. Use de l'amour qu'il a pour toi, c'est un ordre. Et en tant qu'épouse, tu me donneras un fils parfait, et il régnera sur le plus formidable Etat que la région ait connu. "

Il l'embrassa tout en l'attirant, une main sur la taille, hors de l'eau et en direction du lit.

" Nous déferons les popes, les princes et les factieux, et nous réparerons des générations d'injustice. Et toi, tu garantiras que mon rêve s'accomplisse. "

Appartements d'Arthur

Zoé Askel fixait le garçon sans rire désormais. Mais elle gardait un sourire indéchiffrable sur son visage. Allongée sur un divan, elle l'avait observé tirer ses propres conclusions de l'affaire comme on regarde un élève comprendre et s'approprier sa leçon. Mais il y avait aussi des motivations plus obscures et moins triviales derrière son regard améthyste.

" Ta soeur est en sécurité. Tu peux être rassuré, gentilhomme. Il a trop besoin d'elle et de son utérus pour lui faire le moindre mal. "
" Tu as le même sang que nous. "
" Mon sang est moindre, je te l'ai dit. Il ne m'a guère touché depuis qu'il a commencé à préparer cette expédition militaire. Tant qu'elle prendra son pied comme elle le fait, ta soeur sera traitée comme une vraie reine, tu peux me croire. "

Arthur acceptait mal d'imaginer sa soeur réduite à un corps fait pour le plaisir et les plans d'un homme cruel, mais l'idée qu'elle puisse vivre sa vie dans le calme et le confort était rassurant.
Zoé avait quitté son divan et l'avait rejoint. Tandis qu'elle s'avançait, la cape qui avait couvert son dos et ses épaules jusque là tomba négligemment mais silencieusement. Arthur pouvait constater qu'outre ses joailleries et la tenue diaphane qui couvrait son corps de sa poitrine à la pointe de ses pieds, elle ne portait pas grand chose d'autre. Le voile sombre couvrant sa peau blanche accompagnait ses courbes comme une seconde peau et marquait ses formes encore jeunes mais adultes.
Elle se planta devant lui, ses jambes écartées passant d'un côté et de l'autre des jambes du prince déchu. Il pouvait sentir son parfum de fruits rouges et de fleurs capiteuses tandis qu'en tendant une main, il aurait pu écarter le voile de tissu tombant de son pelvis pour vérifier si elle portait quelque chose sous ce collant.
Elle prit les mains jointes du garçon, les força calmement à se séparer et garda ainsi le contact avec lui. Le bout de ses doigts le caressait.

" Tu n'as pas à être roi. Tu ne le seras jamais. Mais tu es un intellectuel, un homme de savoir et de sagesse. Tu as ta valeur. Tu dois servir Alexandre sans réserve. Tu serviras ainsi Clairis, le peuple et nos enfants comme ceux d'Alexandre et ta soeur. "

Leurs enfants ?! Elle ne le laissa pas l'interroger sur cette tournure. Elle se fit claire en conduisant les mains d'Arthur sur son corps, les faisant glisser le long de son ventre et de ses jambes. Les doigts du jeune homme poussaient sur la poitrine ferme cachée par la brassière de Zoé et s'aventuraient à une distance intimiste de ce voile mystérieux entre ses cuisses. Elle respirait profondément et soupirait d'aise. Il y a longtemps qu'un homme ne l'avait pas touchée, et une femme accomplie avait ses besoins.
Elle avait passé trop de nuits à imaginer des mains et des corps étrangers sur elle tout en se touchant dans l'intimité de sa couche vide. Elle s'approcha si près d'Arthur qu'il aurait pu la lécher s'il l'avait voulu, et son corsage échancré se blotissait presque contre son visage juvénile.

" Tu as aussi l'occasion de te venger de ses appétits envers ta soeur. Tout ce que tu as à faire, c'est me montrer que tu n'es pas la couille molle et la faible demoiselle que tant de gens croient que tu es. Arthur de Clairis, ta queue n'est pas petite, tu as juste peur de la montrer. je veux me faire baiser. Ce soir. "

Et elle se pencha encore pour murmurer au creux de son oreille.

" Alors laisse-moi ce garçon craintif au vestiaire, et cesse de complexer, et ne me donne pas une demie molle. Je veux le paquet qui va avec tout Askel qui se respecte. "
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Cassandre Harmington le lundi 30 juillet 2018, 19:11:53
*Appartement de Clémentine*
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Tant de découvertes… Et maintenant, elle avait eu la réponse qu’elle avait toujours cherchée. Il faudra qu’elle raconte tout à son frère, dès que possible. Ils allaient enfin comprendre pourquoi cette guerre ! Et comme elle avait imaginée… Et bien, la guerre n’avait aucun sens… Mais comment réunir deux peuples qui n’avaient plus rien en communs en apparence ? En faisant des alliances entre les souverains. Sans doute que sans Arthur, cela aurait été plus simple, mais… En faite, Clémentine était heureuse. Dans un sens… Ouais, on pouvait bien le dire, ils avaient eu de la chance. Maintenant, elle comprenait bien qu’Arthur n’avait jamais été nécessaire dans ses plans. Il aurait pu le tuer. Si elle avait toujours son frère… C’était grâce à lui.

" Tu ne peux rien lui dire. Garde-le sous contrôle. Use de l'amour qu'il a pour toi, c'est un ordre. Et en tant qu'épouse, tu me donneras un fils parfait, et il régnera sur le plus formidable Etat que la région ait connu. "

Clémentine était gênée. Elle ne voulait pas faire de messes basses contre son frère. Mais de l’autre, que pouvait-elle véritablement faire dans ce genre de situation ? Elle était presque obligée d’obéir, car elle était l’épouse d’Alexandre. Elle se laissa faire, alors qu’elle reçu un baiser, suivi d’être soulevée et amenée vers le lit… C’est fou, elle n’avait certes que seize ans, mais quand même ! Cet homme arrivait sans soucis à la soulever, comme si elle était rien du tout ! Franchement, elle se demandait comment il faisait. Il avait une éducation militaire aussi puissante ? De la musculation tout les jours ? Bref, elle était portée comme une poupée, et franchement… Cela ne la gênait pas tant que ça… L’idée n’était pas si désagréable dans un sens… Bref, quoiqu’il en soit… Elle put écouter ce que déclara Alexandre en suite :

" Nous déferons les popes, les princes et les factieux, et nous réparerons des générations d'injustice. Et toi, tu garantiras que mon rêve s'accomplisse. "

« Je… J’ai confiance en vous. »


Elle avait envie de se claquer, là, maintenant, avec ce qui se passait… Comment… Comment pouvait-elle dire ça ? Comment pouvait-elle dire que oui, elle avait confiance en cet homme qui l’avait violée, qui l’avait martyrisée, elle, et son frère aussi ? Mais elle ne pouvait pas se mentir à elle-même. C’était un fait, elle avait vraiment confiance en lui. Elle pensait vraiment que contrairement à elle et Arthur, et bien, Alexandre avait la puissance de rendre aussi bien à Blure qu’à Clairis sa grandeur. Il avait la puissance. Le charisme. Mais il lui manquait quelques choses… La gentillesse et la compassion. Et ça… Cela c’était quelques choses qu’elle savait, qu’elle avait en elle, et qu’elle pouvait lui apprendre. Et qu’elle devait lui apprendre d’ailleurs. C’était essentiel pour cet homme, qui ne l’avait jamais connu.

« Je… Je pense que nous pouvons le faire. »

Elle se souvenait. On l’avait traitée de « sac à foutre clairisien » et autres choses du genre… Mais… Cela ne la gênait pas. L’idée ne la gênait pas. L’idée d’être un sac à foutre pour cet homme… Oui, c’était peut-être ça, sa raison d’être… Sans Arthur elle n’aurait de toute façon eu aucune chance de survie. Donc, là, dans les bras d’Alexandre, et bien… l’idée de n’être plus qu’un jouet sexuel, c’était quelques choses qui ne la gênait pas. Bref, maintenant dans le lit, elle comprenait bien que ce qui allait devoir se passer… C’était maintenant ce qu’elle devait faire, c’était faire l’amour avec cet homme qui avait été autrefois son pire ennemis… Elle l’embrassa alors, et commença à faire quelques mouvements qui…

Et là, arriva quelques choses d’incroyable. Pour la première peut-être la dernière fois de sa vie… Elle se retrouva sur Alexandre. Ses cheveux blond pendait vers le nouveau monarque de Blure et Clairis, tandis qu’elle ouvrait des grands des yeux… Elle… elle avait vraiment oser faire ça ? Ce n’était pas croyable, elle n’arrivait pas à comprendre ce qu’elle venait de faire… Et elle devinait que ce qu’elle avait fait, dans un sens, ce n’était même pas acceptable. Elle allait être punie. On allait lui faire quelques choses… Et… Et oui, c’était pour cela, au fond qu’elle avait tentée ça. Elle avait envie de découvrir ce qu’il pourrait faire, là, sur elle ? Il n’y avait personne, il était libre, et il avait son corps, là, qui lui appartenait… Ainsi, elle déclara, d’une voix confuse et peut-être un peu fort…

« Désolée punissez moi ! »

*Appartement d’Arthur*
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Arthur n’était pas un garçon courageux. Il le savait. Trop jeune, il avait eu la couronne sur la tête, alors qu’il n’avait pas été préparé à cela. Il l’avait eu sur la tête, sans pouvoir rien dire ni rien faire. Il fallait qu’il soit Roi. Il se souvenait de tout ces soirs en compagnie de sa sœur, à se demander ce qu’il aurait été, s’il n’avait pas été Roi. Lui, il aurait été un intellectuel. Un historien. Un archiviste. Sa sœur, elle, visait plutôt des carrières artistiques… Ahlala… Douce insouciance de l’enfance. Maintenant, ils n’avaient plus ça. Ils devaient se concentrer sur la réalité, c’est à dire, la vie d’ancien roi et ancienne reine, qui étaient captifs de l’Empire de Blure… D’ailleurs, Zoé expliqua bien quel était sa place, et quel place il pouvait viser…

" Tu n'as pas à être roi. Tu ne le seras jamais. Mais tu es un intellectuel, un homme de savoir et de sagesse. Tu as ta valeur. Tu dois servir Alexandre sans réserve. Tu serviras ainsi Clairis, le peuple et nos enfants comme ceux d'Alexandre et ta soeur. "

Ouf. Elle n’était pas pour une révolte. Car s’il y avait « révolte », il ne saurait pas quoi faire. Vraiment. Il devrait l’encourager, pour sauver Clairis… Mais est-ce qu’il avait envie de cela ? Franchement… Non. Dans un sens, il avait honte de le penser, mais il était limite content de ne pas être Roi maintenant. Il… Il n’était pas un puissant. Il n’était pas un viril. Il préférait largement être plus faible, moins important… Cela ne le gênait pas d’être soumis enfaite… Il s’était rendus compte quand il s’était fait violer… Mais peut-être était-il un soumis ? Ouais, c’était possible. Après tout, il avait de suite imaginée en femme, castré… C’était quand même révélateur. Heureusement pour sa virilité, il avait un coach ! Un vrai coach qui était quand même là… Ou plutôt, une coach, étant donné que c’était une femme.

" Tu as aussi l'occasion de te venger de ses appétits envers ta soeur. Tout ce que tu as à faire, c'est me montrer que tu n'es pas la couille molle et la faible demoiselle que tant de gens croient que tu es. Arthur de Clairis, ta queue n'est pas petite, tu as juste peur de la montrer. je veux me faire baiser. Ce soir. Alors laisse-moi ce garçon craintif au vestiaire, et cesse de complexer, et ne me donne pas une demie molle. Je veux le paquet qui va avec tout Askel qui se respecte. "

« Zoé... »

Oui… Oui, il voulait se venger. Il avait envie de montrer qu’il n’éait pas qu’une faible demoiselle… Mais de l’autre, il avait presque envie d’être une faible demosielle, pour finir sur ses responsabilités. Il était partagé, coupé en deux, littéralement, entre d’un côté, une envie de tout lâcher, et d’accepter son destin pour ne plus à avoir à se porter lui-même… Mais de l’autre côté, il y avait encore une fougue dans le jeune homme qui le faisait tenir debout ! Droit dans ses bottes ! Là, en compagnie de Zoé, on sentait que c’était cette seconde partie qui reprenait feu, qui était prête à agir, qui tentait de montrer que ouais, il allait montrer que même s’il avait une petite bite, et bien, il savait s’en servir ! Il allait montrer qu’il pouvait être un homme. Un vrai ! Ainsi, il déclara, d’une voix cependant encore trop hésistente…

« Tu es si belle… Tu es si appétissante... »

Son corps était là, et… Et cela se voyait. Sous ses vêtements -car oui, contrairement à sa sœur, il était habillé lui-, et bien, on voyait son phallus commencer à entrer en erection. Petit désolé à Zoé… Il n’était pas bien équipé, il faut bien l’avouer. De toute façon, là, il était complètement concentré sur quelques choses… Il commença à s’amuser à passer ses mains sur la poitrine de la femme. Une très belle, une magnifique poitrine. On sentait qu’il en était presque hypnotisée, on va bien le dire…  Il continua de passer ses mains, tandis que son phallus était bien serré, bien présent, très proche de sortir de la robe qu’il avait… Bref, quoiqu’il en soit, il s’arrêta un peu, bien qu’il continuait de passer ses mains.

« Tu… Tu sais que si on a un enfant… Il… Il mourra ? Il sera tué ? »

Son corps avait cédé, mais il restait donc son esprit. Son esprit qui était la dernière chose, l’unique chose qui restai dans son esprit avant de sombrer dans les délices de la luxure. Il voulait faire attention. D’ailleurs, un truc intéressant : il s’était déjà attaché à Zoé. Il voulait pas qu’elle souffre. Donc, quelques choses d’intéressant : cela montrait à quel point le jeune homme s’attachait aux gens. Que cela soit sa sœur, ou maintenant Zoé, et bien, il faisait qu’il fasse attention à elle. Il se souvenait de la menace. Il se souvenait du fait que sans aucun doute, et bien, le garçon ou la fille finiraient par mourir… Ce qu’il ne voulait pas. Comment être sûre que tout se passe bien ? Et bien en l’enculant bien sûr.
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Lamnard Kystrejfter le mercredi 08 août 2018, 04:07:21
Appartements de Clémentine

Dans le lit de la nouvelle épouse favorite de Blure, les choses avaient pris un tour inattendu quand Clémentine, excitée, peut-être, par la perspective d'un sexe plus intimiste, et clairement plus à l'aise avec son corps et avec son époux qu'avant, avait pris l'initiative et s'était retrouvée perchée à califourchon sur Alexandre. Elle s'était figée face à la réalisation, mais l'Empereur s'en fichait pas mal. En la sentant chercher à prendre cette position, il ne l'avait pas arrêté, l'avait laissé prendre les devants et chercher leur plaisir de la façon qu'elle désirait. Son arrêt l'ennuyait. Il fronçait les sourcils en baissant son regard vers la petite blonde à la peau blanche.

" Qu'est-ce que tu fais ? "
" Désolée punissez-moi ! "

Elle avait répondu trop fort, presque avec panique. Elle avait peur de lui ; et ça l'excitait d'une certaine façon. Il avait toujours aimé dominer, plier les autres à sa volonté. Il n'avait pas été contre l'idée que Clémentine prenne le relais un instant, mais maintenant il avait un doute. Il se redressa sur ses coudes, l'observant un instant, le regard dur. Elle n'osait pas croiser son regard, mais elle n'avait pas besoin de le regarder ou même de l'écouter. Elle n'avait qu'à suivre le mouvement.

Prenant appui sur ses bras et ses talons, Alexandre se mit à bouger et à faire glisser son sexe en érection entre les lèvres chaudes de Clémentine. Le mouvement, ample, le faisait frotter de la base de sa verge jusqu'à son gland, qui menaçait de se lover dans son vagin humide à chaque passage. Il la laissa se réchauffer, se détendre et apprécier le contact. Quand elle posa ses mains sur ses épaules et commença à l'accompagner, il modifia légèrement sa course et son sexe vint trouver son chemin sans accroc dans l'intimité bien apprêtée de sa femme. Elle restait volumineuse, mais la Clairisienne avait vite appris comment se détendre et la laisser dilater ses parois pour l'accueillit entière en lui. Alexandre poussa un soupir de plaisir, laissant Clémentine à la découverte de cette position tandis qu'il se laissait aller en arrière et attrapait ses hanches pour la guider à ce jeu du cavalier un peu particulier.


Appartements d'Arthur

Zoé sourit d'un air indéchiffrable tandis qu'Arthur se laissait enfin aller à explorer les courbes d'une femme et à la désirer pour celles-ci. Tous les hommes avaient désiré Zoé Askel, sinon pour son sang ils l'avaient voulu pour cette ligne sans défaut, ces formes fermes, cette sculpture naturelle qui en faisait la muse des artistes blurois comme l'objet des rêves inavouables des manants comme des puissants. Arthur de Clairis lui avait échappé jusque là. Ce garçon n'arrivait à penser que comme un roi et comme un esclave, comme s'il n'avait jamais été rien d'autre que ce qu'on avait fait de lui par la force des choses.

Il était temps qu'il prenne ce que sa nature voulait. Et il comprenait très vite comment les choses fonctionnaient. Alexandre n'avait pas dû être tendre avec sa soeur et lui, et si elle n'avait pas assisté aux diverses scènes barbares de la journée elle en avait entendu le programme et les retours. Parfois, l'Empereur la révulsait. Arthur était un garçon gentil et affectueux. Elle ne l'aimait pas pour ça, mais elle appréciait le changement, ce côté naïf et innocent et son air de découvrir le monde. Elle se laissait aller à ses caresses délicates, soupirait d'aise au contact de ses doigts sur sa poitrine. Et elle rit aux éclats quand il parla de la mort de leurs enfants éventuels. Non, ils ne mourraient pas, car Alexandre ne pourrait pas les renier. S'il les reniait, la honte retomberait sur lui. En outre, en reconnaissant le fruit de leur union éventuelle il empêcherait Zoé de manipuler ses enfants en son nom à elle. Et puis, elle comptait bien s'inviter dans la chambre du souverain régulièrement. Maintenant que Clairis était tombée, il oublierait bien vite ses lubies, croyait-elle, et reviendrait vers elle quand la nouveauté clairisienne cesserait de retenir tous ses fantasmes. C'était un homme jeune et vigoureux qui aimait le sexe, et n'était pas bien difficile à convaincre quand il s'agissait de flagornerie.

Mais elle ne lui dit pas tout cela. Il commençait enfin à se relâcher. Elle devait l'amener à prendre confiance en lui, ses ressources, ses forces et ses compétences pour qu'il puisse mener son rôle dans les plans à venir. Elle devait le combler, et elle savait à quoi il pensait en parlant des enfants potentiels. Mais elle ne se laisserait pas pénétrer le fondement sans un minimum de préliminaires, quitte à devoir lui apprendre en quoi cela consistait. Ainsi, elle le rejoignit sur son canapé et, se mettant à quatre pattes à côté de lui, elle écarta les coins de ses robes pour révéler sa verge, et elle se pencha pour enrouler sa langue autour d'elle et la gratifier de baisers et de caresses buccales perfectionnées pendant des années. En même temps, elle déchira ses collants à hauteur de son entrejambe et glissa une de ses mains entre ses cuisses et jusqu'à son sexe, qu'elle caressa pour se donner du plaisir comme pour préparer ses orifices à la venue de leur maître du soir.
Titre: Re : Princes et princesses [ft. Cassandre Harmington]
Posté par: Cassandre Harmington le jeudi 09 août 2018, 19:23:08
*Appartement de Clémentine*

Clémentine avait toujours été, toute sa vie, une passive. Suivant ses parents, dans leur ordre. Suivant son frère, car elle estimait que c’était le meilleur choix à faire. Suivant les conseilles politiques dans la guerre, même si elle n’aurait aimée qu’une seule et unique chose, que la guerre cesse. Suivre l’Empereur de Blure, car elle était une reine captive maintenant. Suivre dans son bain. Suivre dans sa chambre. Et là, pour la première fois, enfin pas tout à fait, mais l’une des premières fois de sa vie, elle s’était retrouvée la cheffe, la dominante, celle qui avait dominée Alexandre de Blure. Sans doute qu’aucune autre personne ne l’avait fait dans sa vie. Si elle avait eu un couteau, elle aurait même pu l’égorger, il n’aurait vraiment rien pu faire. Mais elle ne l’a pas fait. Car était née, de ce qu’elle avait appris…

De la confiance.

Oui, et elle en était récompensée. Elle ne fut pas punie, comme ce qu’elle avait pourtant demandée. Non, elle fut invitée à continuer, à expérimenter, et Alexandre de Blure, qui avait été pourtant si méchant, si fort, si violent, avait décidé de l’accompagner, de l’apprendre à continuer dans la voix qu’elle avait choisie. Au lieu de la laisser seule vers l’inconnu, il la guidait, gentiment, docilement, comme si c’était un professeur dans la matière. Et un excellent professeur, qui était doux. Quels antipodes par rapport aux comportements antérieurs, face aux gardes, puis au Peuple de Clairis. Maintenant, l’intimité permettait à qui avait été Empereur, et l’avait été pendant tout le temps, à redevenir quelques peu… Humain. Quelques peu...

Ainsi, la demoiselle fut alors pénétrée lentement, laissant échapper des soupirs et des gémissements de plaisir. Un peu de douleur aussi, bien sûr, le calibre de son amant était toujours d’une taille déraisonnable, et son dépucelage n’était que récent. Elle était encore jeune, inexpérimentée, et son vagin n’avait que peu servie. Mais maintenant qu’elle y mettait du sien, tout se passait mieux. Faire l’amour n’était pas une chose qu’on faisait seul. C’était une chose qu’on faisait à deux, ou plus. Donc, chacun avait son rôle. Chacun devait faire ce qu’il devait faire. Et Clémentine ainsi acceptait enfin de jouer le rôle qu’elle devait jouer. C’était bénéfique, aussi bien pour Alexandre, qui n’en ressortirait que plus de plaisir… Que pour Clémentine qui voyait enfin la douleur se dissiper dans ce genre d’action.

Mais elle ne se contentait pas seulement de se faire pénétrer. Comme elle était toujours celle qui dominait, elle était en amazone… Et bien, elle décida de chevaucher en amazone. Son corps encore jeune se tendis, et elle commença elle même à faire un vas et viens. C’était encore hésitant, on sentait encore l’inexpérience, mais la motivation… Elle était là, elle faisait ce qu’elle devait faire, et elle n’hésitait pas à continuer son action, pour que cela marche, pour qu’elle puisse enfin découvrir quelques choses qu’elle avait reniée. Un peu plus tôt, Alexandre avait violé une fille. Maintenant, il découvrait la femme qui était derrière la fille, telle la fin d’une métamorphose dont la fin avait été un peu violente, mais nécessaire pour que Clémentine devienne enfin celle qu’elle devait être, la Reine de Clairis.

Et quel magnifique Reine de Clairis avons nous sous les yeux ! Franchement ! Une amazone aux cheveux d’or, qui étaient prise par l’homme, ses cheveux volant délicatement, tandis qu’elle gémissait, et continuait de faire ce qu’elle devait faire. Elle offrait un spectacle au puissant empereur qui était sous ses yeux. Oui, c’était ça. Il avait enfin autre chose qu’une simple princesse captive. Elle devenait enfin non plus la princesse captive qu’on viole, mais la future impératrice d’un royaume unie entre Blure et Clairis. Une femme qui allait découvrir ce qu’elle pouvait être, maintenant que dans les chaînes de l’esclavage Blurois, elle était enfin libérée des contraintes Clairisiennes qu’elle avait du porter toute sa vie !

Elle était prête.


*Appartement d’Arthur*

La peur. Cela peut retenir tout. Cela peut empêcher les soldats les plus courageux de lutter contre des injustices pourtant inacceptable. Cela peut empêcher le plus saint des hommes à sauver quelqu’un pourtant dans le besoin. Cela peut empêcher le plus intellectuel des savants à découvrir des secrets pourtant inestimable… Cela peut empêcher les garçons les plus amoureux à faire ce qu’ils doivent faire avec leurs aimés. Et oui, la peur est quelques choses de redoutables, insidieux et inarrêtable… Mais elle est toujours dû à quelques choses… Réfléchir. Seuls ceux qui réfléchissaient se trouver à être arrêté par la peur… Arthur, garçon qui avait toujours été un intellectuel, devait comprendre que parfois, réfléchir… Ce n’était pas ce qu’il fallait faire. Cela entrait en contradiction avec tout ce qu’il savait… Et…

Oh et puis merde.

Il décida de tout oublier. Le fait d’être roi. Le fait que ce qu’il faisait était mal. Le fait qu’il pourrait très bien être dans les bras d’une vipère qui n’attendait qu’une chose, un moment de faiblesse pour le prendre, le garder définitivement, l’empoisonnée, et ainsi, l’emprisonner à jamais, tel le magicien du roi Arthur, Merlin… Oh, oui, tout cela pourrait arriver, et franchement, vu sa faiblesse, sa position, son mental… Il ne pourrait jamais y échapper. La veuve noir avait capturée sa proie, mais était-elle aussi méchante que les légendes racontaient. Après tout, combien de légendes noirs circulaient ? Un savant comme Arthur le savait bien… Et donc, il devait apprendre à les abandonner ces légendes noirs.

Elle se libéraient, se présentaient. Plus elle se montrait, plus le jeune homme sentait ses émotions faire les folles. Aussi bien l’amour, l’excitation, la gène, la folie même. Un corps magnifique. Peut-être l’un des plus beaux corps qu’il avait jamais vu. Des femmes, il en avait vu. De nombreuses. Après tout n’était-il pas roi de Clairis ? Mariée Clémentine avait été une vocation des nobles, mais el jeune Arthur n’avait pas été en reste. Des femmes, ont lui en avait proposé. On avait même tenté de le déniaiser, comme on dit… Mais toutes ses femmes n’avaient été que des femmes de pouvoir, prises par le pouvoir. Mais là, c’était une femme telle qu’il en avait jamais vue. Et il en restait bouche bée. Ces seins, son intimité, ses fesses, son corps en général. Ouah… Il ne savait pas quoi dire, et restait un peu idiot devant un tel spectacle. Perdu, il ne pouvait rien faire là.

Mais pas d’inquiétude. Il était perdu, mais fut vite retrouvée par son amante. Sa bouche légèrement entrouverte, n’était-il pas bouche bée comme ai-je dis ? Fut vite fermée à l’aide d’une autre bouche, celle de l’amante. Et ses mains furent accompagnée pour qu’elles viennent faire ce qu’elle devait faire. Donner du plaisir, caresser les seins, caresser l’intimité. Il n’y connaissait rien, mais on sentait l’enthousiasme. Son phallus était bien dur maintenant, et le jeune homme était prêt à commencer les préliminaires… Que dis-je ? Il avait commencé cela ! Il avait bel et bien commencé et pour un débutant, il se débrouillait bien, et prenait même des initiatives. Son jeune élève, devait penser Zoé, était peut-être plus brillant que la première impression pataude avait laissé entrevoir...

Mais la main ne suffisait plus. Abandonnant la bouche des baisers qu’il donnait, il glissa, il glissa sur son corps magnifique. N’hésitant pas à user de sa langue, parfois, léchant un téton, glissant sur le ventre, il arriva alors jusqu’à l’intimité de son interlocutrice, bien que les mots n’étaient plus présent maintenant, il ne restait plus que les actes. Devant ce qu’il avait devant lui, il commença alors à approcher sa bouche… Et offrit un cunnilingus à la fameuse Zoé. Après tout, n’avait-il pas sucé l’empereur ? Il pouvait bien se permettre de cela, cela ne le gênait pas. Enfin, plutôt plus, étant donné que cela l’aurait horriblement gêné encore il y a peu… Mais pourquoi aujourd’hui, il se priverait ? Il se gênerait ? Il n’y avait plus de raison...

Arthur se libérait, et continuait de faire son cunnilingus, offrant plaisir et petits soupirs de plaisirs à son interlocutrice. Il continuait. Il était un soumis. Il le savait. Il ne voulait pas être fort et puissant, il n’avait jamais voulu être empereur. Mais il voulait une chose : donner du plaisir à ceux qu’ils aimaient. Que cela soit sa sœur… Et oui, Zoé aussi. Peut-être pensait-il, que ce n’était que lié à la virilité, l’envie d’être un homme, mais voilà… Avant qu’elle atteigne un plaisir trop grand, il se retira et embrassa Zoé, lui offrant quelqu’un de ces propres fluides de plaisirs… Son phallus, pas bien grand mais suffisant pour donner le plaisir à un terrain bien préparé, tel une houe bien petite et peu utile, mais dans un champ bien préparée, était prêt à entrer, dès que l’autorisation serait là… Ainsi...

Il était prêt.