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(http://img110.xooimage.com/files/e/2/a/cover-kopia-543072a.jpg)
(http://img110.xooimage.com/files/0/1/c/susan-543075b.jpg) &
Henry (http://img110.xooimage.com/files/1/4/c/henry-5430759.jpg) Henderson étaient, à bien des égards, un couple très respectable, et respecté. Ils étaient un couple aisé, au-dessus de la classe moyenne, et, comme tout riche au cœur généreux, des individus qui n’hésitaient pas à donner une partie de leurs revenus pour des associations caritatives. Institutrice dans une école privée, Susan avait pu se doter d’un généreux cercle d’amis, tout comme son mari, un banquier d’affaires qui avait récemment gagné une promotion, et avait obtenu un statut important au sein de la banque. Et elle, dans son école, recevait un salaire bien plus généreux que ce qu’elle aurait touché dans un lycée public. Les Henderson étaient donc souvent invités à des soirées, à des réceptions...
Leur relation avait continué à se renforcer quand ils avaient eu un enfant. Ce soir, toutefois, leur fils, John, n’était pas là. Il était chez la nourrice, car, ce soir, ce n’était pas n’importe quel soir. Ce soir, en effet, Susan & Henry célébraient leur dixième anniversaire de mariage. Une occasion très particulière ! Chaque année, l’un des deux se chargeait de cette fête pour organiser un cadeau très particulier. L’année dernière, Henry avait organisé une excursion sur un yacht le long du Nil. Cette année, ça avait donc été à Susan de le faire, et, pour une fois, elle avait choisi de célébrer leur mariage... À domicile. Le concept était osé, puisque c’était la première fois qu’ils ne voyageaient pas pour leur mariage.
«
Je suis sûre qu’il te plaira... » lui avait-il assuré.
Susan prenait de gros risques, en réalité, mais elle était sûre de son coup. Pour cet anniversaire, elle avait fait appel aux services d’un jeune homme, qui était l’un de ses élèves :
Billy (http://img110.xooimage.com/files/0/4/6/billy-5430757.jpg). Un beau blondinet qu’elle appréciait beaucoup. Il y a une ou deux semaines, Susan avait surtout appris que Billy, parallèlement à ses activités de lycéen, couchait aussi régulièrement avec des élèves... Contre de l’argent. Cette nouvelle avait perturbé Susan, qui avait convoqué Billy. Elle avait alors appris que le jeune homme assumait pleinement cette situation. Il avait un corps très androgyne, une très agréable silhouette, et couchait même avec des parents d’élève ! Susan avait été très surprise, mais, contrairement à ce qu’on aurait pu croire, elle n’avait pas sanctionné Billy.
Car Susan avait beau être une prof’ talentueuse, elle n’en était pas moins une femme très perverse. Avec Henry, elle avait de quoi se faire plaisir, car son mari était comme un gros nounours qui suivait généralement les fantasmes de Susan. Et, pour leur anniversaire, elle avait donc vu en Billy l’occasion d’accomplir un nouveau fantasme. Elle en avait naturellement préalablement parlé à Henry, et il avait accepté qu’elle invite Billy chez eux. Le jeune homme était arrivé en milieu de soirée, et avait dîné avec le couple, s’avérant être très à l’aise... Jusqu’à ce que l’heure fatidique ne s’approche.
Billy avait besoin de se changer, et Susan et Henry attendaient donc dans le salon. Susan avait conservé ses collants, et portait sur elle une nuisette violette. Quand Billy entra, la jeune femme était adossée contre la solide épaule de son mari, et une lueur malicieuse perla dans ses yeux en voyant le jeune homme entrer.
*
Miam !* songea-t-elle.
Elle fut alors convaincue, en le voyant, qu’ils allaient tous passer une bonne soirée !
(http://img110.xooimage.com/files/c/4/7/comic-incase-54366e1.jpg)
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Je m'appelais Henry Henderson. J'étais un riche banquier respecté dans mon métier. Dans mon métier, j'étais confiant, dans ma relation amoureuse avec Susan j'avais moins d'assurance, il était vrai. C'était surement dû à mon surpoids, mais j'étais un bon vivant ! J'aimais les bonnes choses de la vies que ce soit la nourriture, le sexe ou les autres plaisirs qu'on pouvait avoir en tant qu'humain. Le couple que je formais avec Susan depuis dix ans n'avait pas rencontrer de problème financier. On était un couple aisé au dessus de la classe moyenne. Ça me permettait à ma femme et à moi à faire à peut prêt ce qu'on voulait. J'avais même reçu une promotion récemment m'offrant un plus grand salaire et donc ouvrant encore plus de possibilité.
Chaque année, c'était pas la même personne qui organisé l'anniversaire de mariage. L'année passé c'était moi. J'avais organisé un voyage en yacht le long du Nil. C'était comme ça chaque année. J'aimais à priori. Avoir une routine ne me dérangeait pas spécialement. J'appréciais découvrir de nouveau paysage. Et puis, ça permettait à Susan et moi, de cocher un lieu supplémentaire sur les endroits où nous avons pratiquer nos parties de jambes en l'air. Je peux vous assurer que coucher avec celle qu'on aime sur une barque solaire égyptienne avec les crocodiles et hippopotames dans l'eau autour du bateau c'est une expérience à vivre ! Bref je m'égare. Cette fois-ci c'est elle qui organisait notre fête de mariage. C'était un peu particulier. On n'allait pas voyagé. On n'allait même pas quitter la maison. A priori elle m'avait dit que j'allais aimé.
Je ne savais pas trop ce que ça allait donner. Elle m'en avait parler et j'avais donné mon avis. Mais c'était la première fois que j'allais le faire avec une hermaphrodite. Ce n'était pas la première fois que je le faisais à deux bien entendu ! Notre vie sexuelle était très débridé pour les gens de la moyenne. Nous avions passé le début de la soirée à nous câliner. Puis Belly, l'élève de Susan était arrivé comme il avait promis. Il ou elle d'ailleurs ? Elle se sentait plus de quel sexe ? On passa le dîné ensemble. Je lui posais justement la question à ce moment là. Le repas c'était bien passé. On finit de manger et Billy s'absenta allant se changer. Pendant ce temps, je m'étais installé en boxeur dans le divan. Susan, ma femme était appuyé sur mon épaule. Je jetais un oeil amusé à cette dernière. Elle avait l'air ravit quand Billy rentra dans la pièce. Je ne pouvais m'empêcher d'aller dans son sens. En effet, il ou elle était plutôt mignon.ne. Je lui souriais en levant un bras comme pour l'accueillir.
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La convocation de Billy par Susan ne l’avait pas inquiété, il avait montré toujours une assurance en ce qui concernait son activité en dehors du lycée, mettant en avant le fait qu’il était intelligent. Pourquoi travailler dans un boulot ingrat et mal payé, alors qu’il pouvait être son propre employeur, pratiquer une activité qui consistait à rendre son corps attrayant et apte à donner du plaisir tant physique que visuel.
Billy savait aussi qu’en offrant son corps aux personnes ayant de l’argent, il se ferrait rapidement une clientèle au bouche à oreille et pourrait espérer avoir paie mensuelle plus importante qu’un job traditionnel. Le jeune homme était très intelligent et savait marchander. Aussi ne fut-il pas surprit de se voir quémander ses services contre le fait de ne rien dire. Il acceptait le marché, après tout il était gagnant dans l’histoire, car s’il faisait bien son travail, il pourrait se faire à nouveau inviter.
Il avait donc tout préparé pour venir à la soirée d’anniversaire, ayant un petit sac à dos où il avait soigneusement mit tout le matériel pour la soirée. Billy ne fut clairement pas dépaysé, on sentait bien qu’être invité à un repas avant de passer au plumard était une chose dont il était habitué, après tout qu’y a-t-il de mieux qu’un repas en jolie compagnie avant de passer aux choses sérieuses.
Alors qu’Henry le questionnait sur le sexe dont il avait une préférence. Billy répondit avec délicatesse que s’il était un homme, cela ne le dérangeait pas d’être une femme et qu’il s’adaptait en conséquences, montrant une grande plasticité mentale vis-à-vis de ses partenaires. Il avait aussi un peu jaugé Susan et son mari du regard, pour essayer d’estimer ce qu’ils attendaient.
Une fois le repas terminé, il se mit en direction de la salle de bain, pour se changer. Il enfilait un top qui ne couvraient que ses épaules et ses bras, venant à tenir par un collier, son dos et son abdomen était totalement à découvert, il mit ensuite des collant avec un porte-jarretelle intégré, laissant ses fesses et son sexe pleinement visible, l’ensemble était fait de rayure verticales, donnant plus de finesse à son corps imberbe. Il finit avec un petit coup de peigne, pour accentuer un côté féminin et une touche de gloss.
Une fois prêt, il sortait de la salle de bain et se présentait devant le couple. En voyant le geste d’Henry, il ne put s’empêcher de se mouvoir sensuellement et de ses poser doucement sur sa cuisse gauche. Billy se mit à parler d’une voix suave.
- Suis-je à votre goût ?
Bien évidemment le « vôtre » était pour désigner le couple et pas particulièrement henry, même s’il se doutait que Susan était déjà conquise avec le petit regard plein d’envie. Le jeune homme comptait chauffer un peu le mari, pour observer toute la grandeur de son membre, même s’il se doutait qu’avec une femme aussi jolie, l’oiseau devait être d’une jolie taille.
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Henry avait souvent été surpris par la grande perversité de sa femme… Et, plus les années passaient, moins la jeune femme devenait chaste. Alors qu’on aurait pu croire qu’elle se serait calmée, c’était tout l’inverse qui se passait ! Henry était bien obligé de suivre. Son nounours n’irait jamais contre les envies de Susan, surtout qu’il était bien plus pervers que ce qu’on pouvait croire. Les deux formaient donc un très bon couple, qui était en train de s’ouvrir à diverses expériences. Ce n’était pas pour autant que Susan n’aimait pas son mari, bien au contraire. Elle avait juste envie de se livrer à des expériences libertines avec lui. Elle savait que la rencontre avec Billy le perturbait un peu. C’était, non seulement un plan à trois, mais aussi avec un autre homme, et, de plus, avec un élève de Susan ! Autant dire que la jeune femme avait placé la barre très haut.
*Mais c’est lui qui m’a dit être bisexuel, alors…*
Toujours est-il que les yeux de Susan s’illuminèrent en voyant Billy entrer dans leur salon. La tenue lui allait à ravir ! Elle mettait en valeur son beau sexe, parfaitement imberbe, comme le reste de son corps. Elle était sûre que le jeune travesti devait faire très attention à son corps, et il était tout simplement superbe ainsi ! Elle se pinça les lèvres, crispant ses doigts sur le torse nu d’Henry, sentant son épaisse pilosité. Elle savait que l’homme complexait pour son poids, et c’était une chose dont Susan s’amusait fréquemment. Elle, ça ne la dérangeait pas du tout, bien au contraire. Quand Henry la prenait, avec tous ses kilos en trop, elle avait l’impression de se faire culbuter par un ours, et c’était une sensation absolument jouissive !
Mais là, n’en déplaise à Henry, c’était Billy que Susan dévorait des yeux. Souriant légèrement, le jeune homme leur demanda alors s’il était à leur goût. Susan se pinça doucement les lèvres, et se redressa légèrement. Elle ne lui répondit pas directement, et préféra fixer Henry, en souriant lentement :
« Il est magnifique, non ? »
Elle baissa alors les yeux vers la culotte de son époux, et se pencha légèrement, voyant une belle bosse apparaître. Son doigt se posa alors sur le sexe d’Henry, et elle sourit une nouvelle fois, en le regardant :
« Hmmm… Il ne te laisse pas indifférent, hein ? Lui est bien dur… »
Susan embrassa alors l’homme sur les lèvres.
« Sincèrement, tu es magnifique, Billy ! Tu prends soin de ton corps, n’est-ce pas ? »
Cette soirée commençait sous les meilleurs auspices !
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Le jeune hermaphrodite se montrait vraiment mature pour son âge. Il ne faut pas oublier que c'était un étudiant et voir une maturité pareil et une ouverture d'esprit ainsi était plutôt impressionnant. Il avait une grande plasticité mental vis à a vis de ses partenaire et cela me rassurer quand même. Quand il revient vers nous, je n'avais pas pu m'empêcher d'apprécier ce que je voyais, son corps imberbe était bien entretenu c'était certain ça. Et l'effort qu'il avait mit à donner une pointe de féminité était appréciable. Quand j'ouvris mes bras, elle se dandina sensuellement jusqu'à ma cuisse gauche pour l'installer. Elle demanda de sa voix suave et si agréable à l'oreille si elle était à notre goût.
Pour Susan ça n'avait plus aucun doute, c'était certain. Vu comme, elle dévorait des yeux notre invité, je ne voulais même pas imaginé ce qu'elle avait derrière la tête ! Il n'y avait pas de doute, je risquerais de bien aimé cette soirée. C'est vrai qu'en réfléchissant, beaucoup de couple nous trouverait juste dévergonder. J'imaginais déjà les phrases de certaines personnes se pensant plus "pur" que les autres : "Comment il peuvent coucher avec d'autres ? ", " Cette femme est juste une catin ! " , " C'est un gros porc. " , bref. Vous l'auriez compris peut peuvent comprendre et assimiler l'esprit du libertinage. Je ne dis pas que j'ai la science infuse non plus. Mais selon moi, le libertinage est un état d'esprit et une façon de vivre sa sexualité dans son couple. Il n'y a pas de mal à ça, si tout les parties du contrats sont consentants par les membres participant.
Il y a une différence qui est selon moi importante à avoir, l'amour et le sexe sont deux choses indépendante. Je m'explique : on peut très bien trouver une personne attirante sexuellement et avoir envie de sauter sur lui sans pour autant être amoureux. C'est un instinct certainement plus bestial mais pas forcément négatif si on sait se tenir un minimum ! Et oui, sauter sur tout ce qui passe n'est pas civilisé ! Ensuite on peut aimer une personne pour ce qu'elle est et pas forcément pour son corps, c'est un amour plus spirituel ! Ensuite on peut bien sûr avoir les deux. Et c'est ce que je vivais avec Susan en ce moment là.
Je sentais même les doigts de Susan se resserrer sur mon torse. Je savais qu'elle aimait mon côté gros ours mal léché. Il est vrai que quand je me lâchais réellement, j'avais ce côté bestial. Elle me fixa me demandant s'il était magnifique. Je souris et faisant un petit clin d'oeil à ce jeune travesti, je répondis : "Quel question, il est à croquer !" Il était toujours sur mon genou et par rapport à ma stature, il était élancé et légèrement plus petit que moi. Je pensais que je le souleverais sans soucis si je le voulais. Ça pourrait inspirer certains événements qui suivront. Un doigt se posa sur la petite bosse se formant sous mon boxer. Sortant de mes pensées, je réalisais très vite que c'était ma femme qui plaisanter avant de m'embrasser et de complimenter le jeune Billy. Je souriais attendant la réponse du jeune femme caressant le dos de mes deux petites nymphes. La soirée allait être longue enfin je l'espérais car elle avait l'air de promettre une bonne suite d'événement ! Ma grande main glissa le long du dos de Billy allant se caler sur sa nuque alors que de l'autre coté, chez Susan elle caressait sa fesse généreuse.
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Billy entendit la réponse de Susan et n’était clairement pas surprit, le contraire aurait été étonnant, voyant que visiblement dans le couple c’était elle qui était le plus entrepreneuse et qu’elle semblait s’amuser à titiller son mari. S’en suivit une question sur l’entretient de son corps, ce qu’il répondit avec sa voix toujours aussi tentatrice.
- C’est le minimum de respect envers mes partenaires.
S’en suivit un petit rire, dévoilant ses dents blanches. Billy était sérieux sur le fait qu’être toujours propre et épilé était une ligne de conduite dans ce genre d’activité, cela prenait du temps, un peu d’argent, mais cela était un moindre mal pour avoir une telle apparence et pouvoir séduire passivement les personnes d’un simple regard sur lui. Le regard de l’invité avait penché légèrement vers l’entrejambe d’henry, voyant l’oiseau se redresser doucement mais surement.
Le lycéen creusait très légèrement son dos avec la main du mari qui venait caresser son dos et frémit en sentant le membre chaud se caler au niveau de sa nuque, semblant attendre avec impatience que l’homme resserre sa prise pour commencer tranquillement la phase de domination sur sa personne. Billy caressait avec douceur la jambe sur laquelle il était à cheval, laissant Henry ressentir les doigts fin du jeune homme.
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Billy faisait très attention à son hygiène, et Susan, pour le dire simplement, le trouvait magnifique. Avec son corps imberbe, sa fine silhouette, son sourire malicieux, et cette tenue qui lui allait à merveille, elle ne pouvait s’empêcher de l’observer, de l’admirer, et de sentir quantité d’idées perverses affluer en elle. Quel magnifique adolescent ! Susan n’avait jamais été une couguar, mais, là, elle se voyait bien faire une exception. Son mari était également bien excité. Henry était bien plus pervers que ce qu’on pourrait croire, et Susan l’avait toujours soupçonné d’être bisexuel, comme elle. Elle en avait maintenant la confirmation, et il laissa Billy se rapprocher. Le jeune homme avait une peau douce, extrêmement tendre, et Susan s’amusa aussi à la caresser, attardant sa main sur le postérieur de Billy. Un joli cul légèrement rebondi, qu’elle palpa tendrement avec sa main, puis se redressa légèrement, et embrassa Billy sur les lèvres. Un choix naturel, après avoir embrassé son mari. Elle l’embrassa pendant quelques secondes, sentant l’excitation des deux hommes croître progressivement, lui offrant la promesse d’une nuit mouvementée et rythmée.
Après ce baiser, Susan observa Henry, et sourit malicieusement, les yeux brillants de plaisir, mais aussi de cette lueur qu’Henry dut sans aucun doute bien reconnaître. C’était cette lueur qui voulait dire que Susan venait d’avoir une idée osée, tendancieuse. En réalité, de multiples idées étaient en train de germer dans son esprit, et elle devait donc faire de l’ordre, choisir au mieux laquelle appliquer. Une tâche qui, en réalité, était loin d’être aussi facile que ce qu’on pouvait penser !
« Tu sais, Billy, dans notre couple libertin, pour tenir, nous avons instauré une règle très simple... Tout partenaire avec qui je couche en-dehors de mon mari est susceptible de lui faire également l’amour. C’est... Notre principe de fonctionnement. »
Une règle de libertinage saine, en quelque sorte... Elle reprit ensuite :
« Embrassez-vous, mes mignons. »
L’image était saisissante. D’un côté, Henry, un homme massif et poilu, de l’autre, Billy, jeune, aussi poilu qu’un bébé. Susan les observa en se mordillant les lèvres, le désir revenant perler dans ses yeux. Elle ne saurait dire précisément pourquoi, mais l’idée de voir ces deux-là s’embrasser longuement et sensuellement n’était pas sans l’exciter furieusement... Mais ce n’était que le début, qu’une simple introduction. Pour l’heure, elle voulait surtout que l’érection de son mari croisse bien, afin qu’ils puissent passer à des activités sexuelles beaucoup plus... Approfondies.
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Au contact de ma paume dans son dos, Billy creusa son dos en frémissant. En arrivant dans le cou, je pouvais sentir l'envie de l'hermaphrodite. J'avais un peu d'expérience dans le domaine de la domination. Par contre malgré mon caractère "coulant" avec ma femme, je n'avais jamais eu envie d'être le soumis. L'étudiant, je pourrais presque dire le total contraire de lui juste en regardant ses petits yeux brillant d'envie. Mes doigts caressait de manière indépendante son cou comme de fin tentacule. Je soupirais, un soupir de plaisir. La situation promettait et j'avais envie de voir ce qui allait arriver. Susan dévoila nôtre petite règle dans notre couple à notre invité. Il était vrai qu'on partage tout ce qu'on a, même nos compagnons de jeu. Elle rajouta qu'elle voulait qu'on s'embrasse. C'était pas vraiment un ordre mais plus un désir. Je le sentais comme ça... .
Je passa donc ma main dans les cheveux blond du jeune travelo. Et je ramenais la tête du jeune étudiant vers moi pour l'embrasser. Nos lèvres se mêlèrent et la langue suivirent. Ses lèvres avaient vraiment bon goût. Je le maintenais vers moi d'une main sûr puis je fini de l'embrasser avant de dire : " Si vous vous léchiez pendant que Billy me branle. "
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Le jeune homme était clairement dans son environnement, n'étant clairement pas farouche, il se laissait peloter son fessier et était dans son petit rôle, pour exciter ses deux partenaire, il ne semblait pas du tout déranger par le fait d'avoir deux personnes et il souriait en entendant la petite règle au sein de se couple, venant à dire d'un petit air malicieux.
- En voilà une règle intéressante.
Billy n'avait pas été démonté par cette règle, il semblait réellement apprécier celle-ci, de son côté, il ne voyait aucun inconvénient avec son activité, bien au contraire, cela mettait aussi un peu plus les choses au clair, surtout en sentant la caresse d'Henry. Le jeune homme avait tout de suite comprise que Susan était une personne très joueuse et qu'Henry avait certainement un penchant dominant, qui allait avec son apparence nounours.
Le jeune homme n'offrit aucune résistance en sentant la main dans sa chevelure, ayant des frisson de plaisir en se laissant tourner la tête sur le côté, pour recevoir le baiser, jouant de ses lèvres et de sa langue pour venir émoustiller son partenaire, tout en offrant un joli spectacle pour Susan. Le blondinet entendit la demande d'Henry et fit un petit sourire envers la jolie rousse. Il allait la laisser le mettre dans la posture qu'elle souhaitait et en profiterais pour montrer à Henry qu'il avait un poignet souple et endurant.
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Entre une femme allumeuse qu’on aurait volontiers pu qualifier de salope et un jeune travesti, il était évident qu’Henry allait jouer le mâle dominant. Il en avait le physique, et, honnêtement, pour avoir été tringlée par lui, Susan savait qu’il était un amant redoutable. Quand toute cette masse vous tombait dessus, elle le sentait passer ! La jeune femme avait donc hâte de passer aux choses sérieuses, et observa, avec des yeux brillants de malice, leur baiser. Une simple promesse, une délicieuse caresse, annonciatrice, fort heureusement, de quantité d’autres plaisirs ! Ce n’était que le début, et elle profitait surtout de ce baiser pour caresser le corps de Billy, appréciant encore en son for intérieur la douceur et l’élégance de son corps.
*Il est vraiment parfait... !*
Pour le dire clairement, Susan avait un véritable crush sur lui. Elle sourit ensuite quand Henry proposa que les deux agissent, et ne se « lèchent » pendant que Billy masturberait son mari. La belle femme acquiesça. Comme toujours, elle appréciait les idées d’Henry. Il suffisait de le lancer un peu, et l’homme se laissait aller, sans se retenir. Le résultat était alors tout simplement bluffant, comme en ce moment. Susan sentait désormais, sans hésitation, qu’ils allaient tous les trois passer une superbe soirée !
Elle mit donc Billy à genoux, devant les genoux de son mari, et laissa sa main gantée caresser le sexe de l’homme. Comme Henry l’avait demandé, Susan se glissa dans le dos de Billy. Ses lourds seins heurtèrent son dos, et elle attrapa d’une main son visage, le tournant vers elle, puis lécha ses lèvres, sensuellement, avant de sentir Billy la lécher à son tour.
« Hmmm... Haaaaaa... »
Le spectacle des deux amants en train de s’embrasser (http://img110.xooimage.com/files/3/0/1/billy-x-susan-kiss-545931f.jpg) était tout simplement délicieux, à tel point qu’Henry dut sans doute commencer à se sentir délaissé... Jusqu’à ce que Susan n’écarte ses lèvres de celles de Billy, coupant d’un mouvement de langue le filet de salive qui les relia. Elle observa ensuite Henry, et sourit malicieusement.
« Suce-le bien fort, Billy... Sens comme Henry est dur... Il adore qu’on le suce. Moi, pendant ce temps... »
Oscillant entre ses deux amants, Susan se redressa. Elle voulait comparer leurs lèvres, et s’empressa donc d’embrasser Henry (http://img110.xooimage.com/files/4/1/a/susan-x-henry-kiss-545933f.jpg), tout aussi goulûment qu’elle venait d’embrasser Billy...
« Est-ce qu’il se débrouille bien ? » demanda-t-elle ensuite, faisant naturellement allusion à la fellation de leur magnifique éphèbe...
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Billy entendit la demande du mari et ne pouvait s'empêcher d'avoir un petit sourire joueur, s'était le genre de scène que les hommes aimaient bien. Il se laissait manipuler pour se retrouver devant les genoux d'Henry. Il pouvait sentir la femme se glisser derrière lui, le faisant frissonner à l'idée d'être pris en sandwich par le couple.
Il se laissait saisir pour tourner la tête à quarante-cinq degrés, ce qui ne semblait pas le déranger, n'ayant pas de raideur, bien qu'étant assez surprit par le fait que Susan possède une technique solide en ce qui concernait de le lécher. Il ne pouvait que comprendre qu'il était certainement le moins instruit du trio, mais il n'en restait pas moins fière de ses compétences propre, apprenant de Susan pour rendre avec la même intensité, bien que sa technique ne demandait qu'à être plus solide. La femme se mit à donner un ordre et Billy observait le membre bien dur d'Henry avec un sourire salace.
Il vint à glisser entre les jambes de l'homme, venant à sortir l'oiseau de sa cage, venant doucement le masturber, plus par amusement que par réel intérêt, la tige étant déjà assez droite. Il se mit à approcher son visage de la base et venir sortir la langue pour lécher le bâton jusqu'à son sommet, où il déposait ses lèvres, soigneusement fermée, pour ensuite venir à engloutir le gland, l'exposant aux caresses de sa langue. Par la suite il se mit à masturber la base du membre, alors que sa bouche se chargeait de pomper doucement le gland. La pression et la masturbation n'était pas régulière, afin que les sensations ne se ressemblent pas trop.
Billy avait une assez bonne technique en ce qui concernait de faire plaisir aux hommes, ne lâchant pas l'homme des yeux, affublant la fellation d'un regard plein d'envie et de plaisir d'être un soumis s'occupant et pomper le dard du mâle dominant.
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Susan était clairement le moteur des trois. Sa perversion était très impressionnante, surtout pour une femme mariée. Pour autant, il aurait été erroné de croire qu’elle était une femme frustrée, agissant ainsi parce que Henry serait incapable de la satisfaire sexuellement. Rien n’était moins vrai, car Henry la faisait souvent grimper aux rideaux. Son homme était très doué, une véritable bête, et ça, Billy allait le sentir. Tandis qu’il était occupé à le sucer, la queue d’Henry se mit à se durcir, à grossir et à se roidir. L’homme poussa de sourds grondements, remuant lentement sur place, et sourit devant sa femme, toujours aussi belle que perverse.
« Tu... Tu aimes ça, hein, Susan ? Bon sang, ce garçon... »
Henry soupira encore, et baissa les yeux, observant la délicieuse bouche de Billy, qui glissait le long de son sexe, le goûtant joyeusement. Très concentré, le blondinet faisait tout son possible pour satisfaire au mieux son partenaire. Une image extrêmement sensuelle, qui ne manquait pas de plaire à la belle Susan. Elle se pinça encore les lèvres, et déplaça sa main le long du torse bedonnant de son mari, jusqu’à rejoindre les cheveux de Billy, qu’elle caressa tendrement, tout en l’incitant aussi à prendre la queue d’Henry le plus profondément possible.
Le beau Billy était tout simplement magnifique, et Susan adorait le regarder à l’œuvre. Elle regarda encore Henry soupirer légèrement, et ce dernier observa sa femme, avant de se racler la gorge :
« De... Descends, Susan... »
Il n’y avait guère besoin d’en dire plus pour Susan, qui obéit, et se retrouva à genoux à côté de Billy. Elle caressa son dos, glissant jusqu’à ses délicieuses fesses, et se mit ensuite dans le dos de Billy. Elle maintint ainsi la pression sur lui, et écarta d’une main les cheveux à hauteur de sa nuque, venant mordiller sa chair. Elle déplaça sa main, et masturba à son tour le jeune homme, glissant ses doigts sur sa queue, venant tendrement le branler.
« Là, voilà... Moi aussi, mon beau Billy, je vais m’occuper de toi... »
Et, tandis qu’elle continuait à le masturber, elle se déplaça encore, et lécha les testicules de son mari, frottant son visage contre ses couilles.
« Mais... Hmmm... Je me demande où tu préfères que je glisse ma main, Billy... Contre ton sexe, ou... »
Joueuse, elle se repositionna une nouvelle fois, et relâcha le sexe tendu de Billy, pour glisser sa main sous sa culotte, à hauteur de ses fesses, et titilla sa croupe, approchant son doigt de sa petite porte arrière. Comme toujours, une lueur de malice brillait dans les yeux de Susan, qui enchaîna ensuite, terminant sa question dans le creux de l’oreille du jeune homme :
« ...Ici ? »
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Billy pouvait sentir le chibre se mettre à prendre un peu plus de sa grandeur. Il eut un léger frisson à la nuque en sentant la main de Susan se mettre à glisser sur ses cheveux et pousser gentiment le jeune homme à prendre davantage le sexe dans son gosier, venant à ouvrir un peu plus la bouche pour venir descendre un peu plus, grignotant doucement les centimètres à chaque passage, gardant sa vue dirigée vers henry et son regard pervers.
il sentit les mouvement de la femme, son dos venant très légèrement à se creuser sous la caresse, il sentit les doigts venir frotter en douceur son fessier, avant que la femme ne se place hors du champs de vision de Billy. Cela fut pour lui la source d'une autre forme de plaisir, ne pas savoir ce que Susan préparait et d'être surprit par le moindre fait et geste de cette dernière. Il put ressentir son sexe se faire entourer par les doigts experte de Susan, le membre venant à assez rapidement commencer à se raidir, ayant émit un léger ronronnement quand il se faisait mordiller la nuque. Il restait cependant concentré sur son affaire avec Henry, continuant ses allez et venu, continuant sa petite avancée.
Susan semblait clairement s'amuser et Billy put la revoir s'occuper de son mari, avant de retournée dans son angle mort, entendant très bien les propos de cette dernière et sentant les doigts baladeur se glisser et venir tourner autour de sa petite rondelle, semblant rester à distance pour venir le chauffer, ce qui ne laissait pas Billy indifférent, au non. Il avait le choix et comme il est assez malpoli de parler la bouche pleine, il vint à offrir sa réponse avec un léger rehaussement de son fessier et de petit mouvement de gauche à droite. Tout était dit dans ce geste.
Il désirait goûter encore un peu plus à l'expertise de Susan et il se disait qu'elle pourrait préparer un peu le terrain, si son mari ou elle souhaitait le prendre par derrière.
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Billy était la star de cette soirée, indéniablement. Sa présence était un pas supplémentaire dans la perversion et dans le libertinage de leur couple. Brave Henry... Sous son poids et son autorité, il était un gros nounours qui suivait ce que sa femme lui disait de faire. Susan n’avait eu aucune réelle difficulté à l’initier au plaisir, à lui faire découvrir des choses de plus en plus dégradantes, de plus en plus humiliantes et impensables, et le tout pour un résultat final absolument exquis. Henry était maintenant prêt à accepter de plus amples personnes dans leur intimité, et Susan était très excitée. C’est ce qu’on appelait transgresser l’interdit. Ce plaisir inné, jouissif, qu’on ressentait en faisant quelque chose de contraire aux règles. Là, Susan défiait toutes les règles de bienséance. Elle couchait avec un élève en compagnie de son mari. Comment ne pas comprendre qu’elle soit très excitée par tout ça ? Quand elle avait appris que Billy se prostituait, elle avait bondi jusqu’au plafond. Elle aurait pu renvoyer le jeune homme de leur prestigieuse école, mais elle y avait surtout vu un fantasme, inavouable, qui l’avait amené à se masturber dans son bureau... Puis, petit à petit, elle avait échafaudé son plan, une stratégie de longue haleine dont la finalité se trouvait sous ses yeux : un jeune homme occupé à sucer la grosse queue de son mari.
Car grosse, elle l’était. Henry n’avait rien à regretter de ce point de vue. Susan sourit en voyant Billy se dandiner lentement, cherchant à relever son fessier, poussant quelques couinements significatifs. Susan sourit malicieusement, et se pinça les lèvres.
« C’est très bien, Billy, c’est aussi ça que je voulais explorer chez toi. Tu vois ça, mon chéri ? Notre petit Billy aime visiblement qu’on le sodomise...
- Hmmm... Ah ouais ? Putain... !
- Retiens-toi de jouir un peu, que je te le prépare bien comme il faut ! »
Chaque mot était important dans cette ultime phrase, annonciatrice de la suite. Autant dire que le petit cul de Billy allait servir... En tout cas, Susan passait aux choses sérieuses, et, tout en restant lovée dans le dos du jeune homme, enfonça son doigt en lui. Elle sourit légèrement, se mordilla les lèvres, et commença à remuer lentement son doigt, de haut en bas. Toutefois, et comme Susan était gourmande, elle déplaça son autre main, et caressa le sexe de Billy.
« Tu es mon invité, je prends soin de toi... Je voulais juste voir ce qui te tenterait le plus, mon mignon... »
Elle le masturba donc doucement, tout en continuant à le sodomiser avec son doigt... Puis en glissa un second. Susan maîtrisait la chose, et s’évertua donc à lui faire plaisir, dilatant bien ses parois anales. Et, tout en s’exerçant, Susan, se transformant en une sorte de professeur sexuelle, lécha à nouveau le lobe de son oreille, et le mit à nouveau au défi :
« Je veux voir jusqu’à quel point tu as envie de ça, Billy, alors... Si tu jouis avant Henry, je réveillerai ta vigueur pour que tu me sodomises... Mais, si Henry jouit le premier, je réveillerai la vigueur de mon mari, et c’est lui qui te sodomisera. »
Susan et ses défis... C’était comme ça qu’elle avait réussi à piéger Henry ! Une véritable diablesse... Mais le défi était maintenant lancé.
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Le jeune homme se mit à plisser des yeux, voulant montrer qu'il n'était pas insensible à l'idée de se faire prendre par derrière. Il braquait son regard vers henry, quand celui s'exclamait, prenant un air séducteur, le membre toujours en bouche et venant à pomper un peu plus fort comme pour répondre "oui". Il se mit à rire intérieurement en entendant Susan se mettre à annoncer la suite, n'attendant que ça de ses faire gentiment préparer pour la sodomie. Il émit un petit gémissement en sentant le doigt venir entrer en lui, il s'attendait cependant à ce que simplement son fessier subisse l'attention de la femme mariée, venant à avoir un doux frisson au moment où il put sentir les doigts venir enlacer son membre.
Il écoutait attentivement les propos de Susan, sentant sa lourde poitrine et sa grande expérience dans la masturbation. Il ne restait pas immobile pour autant, continuant de lubrifier le membre en bouche, tentant de temps à autres des gorge profondes, afin de se préparer à en faire des plus longs. Il y allait en douceur, pour ne pas se faire mal ou avoir des nausées. Il émit un nouveau gémissement, plus fort, en sentant le deuxième doigts entrer et venir élargir un peu plus sa petite entrée, le jeune homme ne cachait rien du plaisir qu'il ressentait, aiment beaucoup l'anal.
Le petit défi ne tombait pas dans l'oreille d'un sourd, venant à embrayer la vitesse suivante, dans le but de faire jouir Henry, avant lui. D'autant qu'avec ce qu'il avait en bouche, il était certain que la sodomie serait riche en émotion.
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Évidemment, il allait être difficile de choisir pour Billy, sans aucun doute ! Préférait-il sodomiser Susan, ou se faire sodomiser par le redoutable Henry ? L’un dans l’autre, Billy aurait le droit de tout faire, car, comme il devait le réaliser en ce moment, les Henderson étaient un couple de riches individus très pervers. Et, vu sa corpulence, et la taille de sa verge, Henry promettait un sacré rodéo en le pénétrant. Le « gros nounours », comme on pouvait le surnommer affectueusement, se transformait alors en un véritable « grizzly », assoiffé de sexe, et ses coups de reins étaient absolument terribles, ravageant le corps de Susan. Et celle-ci sentit la queue de Billy palpiter entre ses doigts, témoignant d’une excitation subite qui venait de se réveille ren lui.
Henry, pendant ce temps, soupirait longuement, et Susan continua à masturber son jeune amant, tout en caressant son corps, et pinça ses tétons.
« Je me demande ce qui t’excite le plus, en fait, Billy... Mon petit cul ? Ou sentir la grosse bite de mon mari te labourer furieusement ? »
Impossible pour lui de répondre, vu le monceau qu’il avait dans la bouche. Billy ne trichait pas, il s’appliquait consciencieusement, mais Henry avait l’habitude des fellations. Les Henderson aimaient beaucoup les quickies, ces séances de sexe rapides où on se couchait rarement, et, en l’occurrence, il ne se passait pas une journée sans que Susan ne le suce. Ils prenaient toujours leur douche ensemble, en profitant pour copuler, et, très souvent, avant d’aller au boulot, Susan s’amusait à faire cracher l’onctueux venin du serpent de pierre de son mari en extirpant son sexe de son pantalon. Elle l’avait formé là-dessus, et il fallait bien admettre que, pour elle, voir ces deux hommes l’envoyer en l’air réveillait en elle quelque obscur fantasme inavouable publiquement.
Elle accéléra donc le rythme avec sa main, le masturbant plus énergiquement, et mordilla sa peau. La femme pinçait les tétons, bien consciente qu’il s’agissait aussi pour les hommes d’une zone érogène. Et, tout en l’embrassant, elle continuait à agir, voulant le faire jouir avant Henry... Mais ce diable de jeune homme avait l’air doué avec ses lèvres !
Tout ça allait se jouer de peu...
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Billy aimait bien que Susan s’cccupe de lui, mais il était aussi très joueur et ne désirait pas perdre un petit défi, d’autant que la femme savait bien donner envie au jeune homme, venant à gémir en sentant ses tétons se faire passer. Bien évidement il ne pouvait pas répondre, mais pour lui il y avait une légère préférence à se faire prendre par Henry, cela n’empêchait pas l’étudiant d’envisager le fait que s’il s’occupait d’Henry en premier, rien ne interdire d’assouvir aussi ceux de la femme mariée.
Le jeune homme devait avouer que le membre qu’il avait en bouche était assez résistant à sa technique de fellation. Il vint donc à bouger un peu plus sa tête, pour que le gland se met à bien frotter contre ses joues et sa gorge, il ne désirait pas perdre.
Il se remit à gémir quand Susan vint aussi à prendre le petit jeu au sérieux. Il sentait que le résultat allait être serré, venant à donner son maximum pour que le « nounours » soit le premier à venir. Il misait tout sur sa technique et espérait que cela soit suffisant pour gagner le défi, se retenant de trop imaginer l’effet de cette grosse tige de bambou en lui.
Ce n’était que le début et pourtant Blly se disait que ce couple était certainement le plus intéressant découvert jusque-là.
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Qui aurait cru que les Henderson puissent être si pervers ? Qu’ils avaient été jusqu’à inviter chez eux un jeune éphèbe pour leur faire l’amour ? Susan se révélait encore plus perverse que ce qu’Henry avait pu croire. C’était comme si, à chaque fois, sa femme cherchait à placer la barre plus haut, surprenant continuellement Henry par l’indécence de ses propositions. Et c’était bien ce qui se passait ici. Billy suçait l’épaisse trique d’Henry, goûtant, pour le coup, à un magnifique morceau. Son mari avait toujours été bien doté, et, avec sa masse, son corps solide promettait encore bien du spectacle. Billy continuait à se surpasser, cherchant visiblement à gagner ce petit pari.
« Hmmm... Voilà un petit garçon très motivé ! gloussa-t-elle. Tu sais, Henry a l’habitude que je le suce, mon chéri... Je le suce presque tous les matins, comme pour l’encourager à aller au boulot. »
Elle en rajoutait une couche, mais il fallait bien motiver un peu le jeune Billy. Ceci dit, la situation excitait beaucoup Henry, alors... Susan connaissait suffisamment son mari pour savoir qu’il avait du mal à se tenir, et qu’il était tout simplement sur le point de craquer. Il se concentrait, faisait beaucoup d’efforts pour se retenir, mais... Le fait est que Billy était doué, au moins aussi doué que sa femme dans ce domaine. Et le jeune homme tenait plutôt bien la cadence que Susan lui intimait avec sa main. La belle ménagère n’y allait pourtant pas de main morte, mais, si Billy était aussi expérimenté qu’il le prétendait, une simple masturbation ne devait être que la base pour lui.
Susan restait donc blottie contre lui, savourant le spectacle. Elle aurait eu envie que cette scène dure aussi longtemps que possible, mais, finalement, au bout d’un moment, Henry grogna sur place. Il se pinça les lèvres, crispant ses doigts.. Et se relâcha brusquement.
« Pu... PUTAIN ! »
Il s’affaissa ensuite, goûtant au plaisir immense de balancer son foutre dans la bouche de son partenaire.
« Quelle vulgarité, Henry... » fit mine de le sermonner Susan, un sourire moqueur sur les lèvres.
Elle était toutefois habituée à ce qu’il jure, et à ce qu’il se lâche. D’un naturel calme et placide, Henry se lâchait dans le sexe, et, plus le temps passait, et plus le mâle violent en lui ressortait, sortant de ses entrailles et brisant ses chaînes. Autant dire qu’avec ce jeune éphèbe et son mari volumineux susceptible de se transformer en ours, Susan allait avoir droit à une sacrée fête d’anniversaire...
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Billy pouvait sentir le morceau se mettre à s’agiter dans sa bouche, tressautant de plus en plus, montrant des signes qu’il n’allait pas tarder à gémir ; Les propos de Susan n’avaient pas d’autre raison, selon lui, que de l’exciter, il se sentait surtout flatter du résultat de ses agissements, bien que les mots à son oreille le faisait frémir de plaisir en imaginant Henry se faire sucer tous les jours. Le jeune homme continuait de sucer consciencieusement son partenaire, jusqu’à ce que ce dernier se met à relâcher le doux nectar dans le gosier de Billy, qui resserrait ses lèvres et attendait qu’il finisse de se vider, pour montrer la récolte et déglutir le tout en lançant un regard doux, comme pour redemander sans user de la parole.
Le jeune homme était clairement un allumeur, il se demandait quand le « nounours » allait devenir un grizzly qui allait se jeter sur lui, frémissant d’avance à l’idée qu’Henry sort de son fauteuil. Il profitait que l’homme soit un peu en récupération pour venir, sensuellement, caresser Susan, il ne fallait pas qu’elle se sente un peu délaisser dans l’affaire après tout. Cela n’était pas grand-chose, mais Billy espérant que cette attention soit tout de même bien perçu, même s’il se demandait ce que la femme avait en tête, ne doutant pas une seule seconde qu’elle avait réfléchit à la suite.
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Billy voulait provoquer Henry, le faire sortir de ses gonds, transformer l’ourson en un amant féroce et affamé. C’était clairement à ses risques et périls, compte tenu de ce que Susan savait... Mais elle-même n’était pas contre cette idée. Billy lui plaisait en tout cas beaucoup, et venait d’avoir une belle rasade de foutre dans la bouche. Plus autoritaire, Susan empoigna ses cheveux, et tira brusquement la tête du jeune homme. Les joues rougies, les yeux hagards, il semblait comater, et, sans attendre, Susan alla l’embrasser énergiquement, tout en posant une main sur son sexe, venant le masturber frénétiquement. En aucun cas, elle ne voulait que Billy avale trop vite ce qu’il avait dans la bouche, et elle fourra d’ailleurs sa langue dans sa bouche, avalant joyeusement son sperme, tout en soupirant de plaisir.
« Hmmmm... !! »
De son côté, Henry déglutissait doucement, muet d’admiration. Il avait sous ses yeux un magnifique spectacle (http://img110.xooimage.com/files/b/b/2/lovely-kiss-5560682.png) ! Quelles beautés ! Susan tenait d’une main la chevelure du jeune androgyne, l’embrassant longuement, tout en continuant à le masturber. La belle queue de Billy ondulait sous ses doigts, un membre veineux et chaud.
Susan souriait donc, et amena Billy au point de rupture. Elle savait très bien comment faire pour réveiller l’érection d’Henry, et tout ce qu’elle faisait visait en grande partie à ça... Outre se faire plaisir elle-même. Elle savourait en effet les délicieuses lèvres de Billy, et sa langue jouait avec la sienne... Jusqu’à ce que le jeune homme ne se mette à jouir. Et Susan, joueuse, guida son sexe vers Henry, l’amenant ainsi à jouir sur le sexe de l’homme.
Henry sentit ainsi le sperme du jeune éphèbe éclabousser sa queue, collant ses poils pubiens ainsi que son ventre, autour de son nombril.
« Là, voilà... Parfait ! Tu es parfait, Billy... »
Elle lui sourit encore... Puis Henry se redressa brusquement. Il respirait lourdement, dominant le couple sous sa taille et son poids. Doigts écartés, sa queue trempée se dressait près de Billy.
« Mets-toi à quatre pattes... » grogna-t-il alors.
Henry était également prêt à passer aux choses sérieuses, pour le plus grand plaisir de sa femme !
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Le jeune homme était clairement aux anges, entre Susan qui semblait joueuse et Henry qui ne semblait qu’attendre de lui sauter dessus, il n’aurait certainement pas espérer un couple aussi divertissant. En sentant ses cheveux se faire saisir, il se laissait faire, venant à profiter du baiser de Susan, tout en gémissant en sentant son membre se faire saisir et masturber. Dans la bouche, Billy entama une valse avec la langue de la femme. Il frémissait en sentant le regard d’Henry se poser sur lui et Susan, ne se doutant pas que le spectacle avait de quoi le ravir.
Alors que Billy sentait le plaisir continuer de monter et atteindre le point de non-retour, il sentait que Susan vint à braquer son membre vers celui de son mari, sachant donc ce qui allait se passer et venant à avoir une légère faiblesses au jambes, son corps tremblant de plaisir et la vision de ce membre durcit et lubrifié de semence n’aidait en rien à calmer le désir du jeune homme, qui sourit à la femme devant le commentaire comme quoi il était parfait.
Il ne fallut pas redire une seconde fois pour que Billy pose ses mains au sol et soit à quatre pattes, sachant qu’à présent il risquait de se faire prendre avec force, ce qui ne l’effrayait pas, au contraire, cela l’excitait à l’idée que l’ours allait prendre les devants et Billy n’allait pas l’en empêcher, bien au contraire, s’il devait faciliter Henry, il le ferait sans hésiter.
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Le jeune Billy tremblait de plaisir. Il avait du mal à parler, mais il n’avait pas besoin de le faire, car son seul regard était entièrement suffisant pour exprimer tout le plaisir et toute la soif qu’il ressentait en ce moment. Susan se pinçait les lèvres, et se déplaça encore, allant dans le dos de Billy, et claqua d’une main ses fesses, sous le regard libidineux d’Henry. La femme était très excitée par la situation, et elle sourit encore à son mari :
« Vas-y, Henry, regarde ce beau petit cul...
- Ouais, je vois ça... »
Henry déglutit doucement, et les mains de l’homme remplacèrent ceux de Susan, qui s’écarta encore. Elle attrapa son téléphone portable, et l’alluma, venant photographier la scène en se pinçant les lèvres. Son mari, en position, et son jeune élève, très beau, qui se tortillait sur place. Henry appuyait sur son cul, et, prenant tout son temps, il frottait sa queue contre le fessier de la femme. Son membre glissait sur sa croupe, provoquant et titillant le corps du jeune homme.
« Je crois que son cul va être encore plus tendre que le tien...
- Attendez un peu, que je mette la caméra en marche... Voilà ! Vous pouvez y aller, mes chéris ! »
L’homme sourit donc, et s’approcha encore. Il saisit d’une main la base de son sexe, sa bedaine poilue venant s’appuyer contre le dos de Billy. Dans un grognement, la pointe de son membre caressa le pourtour des fesses de Billy, et il soupira encore, grognant, et son membre commença difficilement à s’enfoncer. Henry grogna doucement, et sa main libre, qui avait écarté l’une des fesses de Billy, griffa son cul, s’appuyant nerveusement dessus. Il soupira encore lourdement, et força progressivement le passage, jusqu’à bien dilater l’anus de Billy... Puis, alors que son sexe commençait à s’enfoncer en lui, il soupira de nouveau, et se recula, puis partit brusquement en avant, son ventre claquant contre le corps du jeune homme.
Les mouvements se poursuivirent ensuite, accélérant progressivement, haletant et grognant au fur et à mesure que son vit progressait dans le cul de son amant.
« Hmmm... Bordel... ! »
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Le jeune homme se mit à frémir en sentant ses fesses joliment claquer sous la main de Susan. Un autre frisson parcourut son échine quand la rouquine se mit à presque donner le signal de départ, sentant le membre venir le titiller, venant aussi à faire un peu mumuse avec lui en gigotant son fessier, pour faire un peu le jeu du chat de et lde souris, bien que l’on voyait bien que Billy n’attendais qu’une chose, qu’Henry prenne les rennes pour asseoir toute sa dominance sur le blondinet
Le jeune étudiant n’eus aucune réaction sur le fait que cela soit filmé, bien au contraire, il n’était absolument pas contre que ses clients gardent un souvenir de leurs ébats, cela lui permettait au contraire de se faire de la pub gratuitement et prouvait que cela pouvait être des clients réguliers. Il sentit le ventre de l’ours venir se coller contre son dos et sentir le membre tenter d’entrer en lui. Billy fit de son mieux pour détendre son corps, mais le membre semblait trop massif, d’un autre côté Billy s’entrainait pour avoir une entrée étroite, sachant cela très apprécié. Le jeune garçon posait délicatement son buste au sol, laissant Henry forcer le passage, écarter sa petite entrée, soupirant de plaisir en sentant le membre avancer, petit à petit, forgeant ce fourreau de chair à la bonne taille.
Il poussa un petit gémissement en sentant Henry revenir à la charge brutalement, suivit d’un petit juron. Il ne se doutait pas que le mari allait redoubler de vigueur pour avoir la satisfaction d’avoir un bon trou. Billy quant à lui prenait déjà du plaisir à sentir se membre l’écarter de l’intérieur, ayant appris à éprouver du plaisir bien avant son point sensible. Tout ce qu’il fit pour l’aider était de tenter de rester détendu et d’utiliser une de ses mains pour écarter ses fesses, afin qu’Henry puisse charger plus facilement et plus profondément.
Il ne se retenait pas de gémir ou de montrer que son plaisir était là, poussant des petits bruits de bonne soumise.
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Billy allait vite comprendre à quel point son mari, Henry, pouvait se transformer en un véritable grizzly. Quelque chose d’intense allait arriver, de quoi exciter furieusement Maria ! Elle était si heureuse de voir les deux hommes s’envoyer en l’air. Si les hommes aimaient voir des femmes se faire l’amour, l’opposé était aussi vrai, en tout cas pour Maria. Heureusement, Henry était toujours prêt à suivre la jeune femme dans ses fantasmes. C’était aussi pour ça qu’elle l’aimait, car elle savait que, sous leur apparence de couple idéal, les Henderson étaient des pervers redoutables. Maria se rapprocha lentement, après avoir vérifié que l’appareil était bien en place.
Henry grognait doucement sur place, crispant ses mains sur les hanches de Billy, et enfonça à nouveau sa trique en lui. Il le pénétrait lourdement, durement, grognant encore. Sa queue massive continuait à s’enfoncer dans son corps, et il se régalait sur place. Sa femme avait effectivement raison de voir en lui son parfait amant, car il était, comme elle, un redoutable pervers. De la sueur commençait à couler le long de son corps, et il accéléra encore le rythme, sa bedaine heurtant régulièrement le corps de Billy, donnant l’impression au jeune homme d’être écrasé par une véritable masse. Maria vit ensuite Henry lever l’une de ses mains, et gifler les fesses de Billy, claquant son cul sans vergogne, sans la moindre once d’hésitation.
« Tu... Tu aimes ça, h-HEIN ? Hmmm... Te... Te faire enculer comme une c-Chienne... Hmmmm... ! »
Que serait une bonne vieille sodomie sans jurons ? Henry donnait le son avec les images ! C’était aussi une chose que Maria avait constaté. Le calme olympique de son mari disparaissait quand il prenait un rôle dominateur dans le sexe, ce qui n’avait jamais été pour lui déplaire. En fait, plus elle les observait, et plus elle était excitée. Billy était si beau, un androgyne magnifique à se faire prendre ainsi. Quand elle l’avait vu initialement dans sa classe, elle n’aurait jamais cru que leurs relations iraient jusque-là... Mais tout cela était très excitant !
Maria se rapprocha alors, refusant de se caresser elle-même face à deux si beaux amants ! Tout cela aurait été dommage, non ? Elle rejoignit donc Billy, et fléchit les genoux devant lui, avant de s’asseoir, écartant les jambes pour que le jeune homme puisse avoir accès à son intimité, tout en lui empoignant les cheveux.
« Là, là... C’est d’un couple que tu dois t’occuper, mon beau... Et je veux sentir ta langue sur mon sexe ! » soupira-t-elle.
Oh, comme tout cela était excitant !