Le Grand Jeu

Bac à sable => One Shot => Discussion démarrée par: Sarah Kerrigan le lundi 30 octobre 2017, 01:08:12

Titre: Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 30 octobre 2017, 01:08:12
Thyzia (https://cdn.discordapp.com/attachments/236714217607004162/366913696137478144/ningyon0323.jpg) était sur une proie des plus stimulantes. Un magnifique cadeau que la jeune Formienne comptait offrir à sa Reine, la toute-puissante Sarah Kerrigan.  Thyzia était la plus jeune des Filles de Kerrigan, une Cérébrate, terme désignant des Formiens dotés de capacités psioniques, dirigeant la Horde, mais en étant les lieutenants de l’Annexien. À ce titre, Thyzia prenait ses fonctions très à cœur, et son rôle était de trouver des proies pour sa Reine, pour en faire ses pondeuses et ses amantes. C’était une tâche très importante pour elle, qui, venant d’être récemment intronisée dans la grande famille de Sa Reine, devait naturellement faire ses preuves.
 
À l’origine, Thyzia était une humaine, une simple humaine de la Terre, avec des pouvoirs télépathiques latents, qui s’étaient développés au cours de l’adolescence, lui attirant de multiples problèmes. Sa route avait fini par croiser celle de Sarah Kerrigan. C’est comme ça que l’ancienne humaine était morte, et que Thyzia avait vu le jour. Mais Thyzia se souvenait encore de Seikusu, conservant en elle les traces de son ancienne vie. C’est pour ça qu’elle chassait à Seikusu, évitant soigneusement d’être trop visible, pistant et traquant, notamment les lycéennes de Mishima, qui faisaient toujours de bonnes pondeuses.
 
Mais, ce soir, Thyzia chassait une proie différente, dont elle avait perçu la trace. Dans ce domaine, elle était très douée, disposant d’antennes, de radars, et produisant des insectes qui lui permettaient d’avoir des yeux partout. Sa cible, plus précisément, se trouvait dans l’une des églises de Seikusu. Le christianisme n’avait jamais véritablement pris au Japon, mais, au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, quand Seikusu avait été occupée par les Américains, la religion avait connu un regain d’intérêt, un véritable second souffle.
 
*Et ma petite proie est là…*
 
C’était une sœur, une superbe religieuse. Thyzia l’avait trouvé par hasard en pistant une jeune nymphomane, qui allait à confesse. Initialement, elle pistait cette lycéenne, mais avait changé du tout au tout quand elle avait vu cette religieuse. Grâce à ses sens, elle avait perçu chez cette religieuse une absence de relations sexuelles. Grâce à sa Reine, Thyzia pouvait sentir ce genre de choses. Elle disposait d’un radar très performant en la matière, et cette nonne avait éclipsé tout le reste. Lentement, patiemment, Thyzia l’avait espionné, observant son rythme quotidien, ses tâches… Afin de déterminer quand frapper.
 
Et ce moment était justement arrivé ! Thyzia se tenait juchée sur le clocher de l’église, silhouette solitaire plongée dans la nuit, attendant que sa proie termine de faire le ménage. Elle sortirait par un petit cloître isolé, à l’arrière, une petite cour avec les poubelles. Elle finissait toujours en sortant les sacs-poubelles, et conservait sur elle sa bure de moine.
 
*Allez, allez, ma petite, ne fais pas attendre Maman… Maman a soif de ta chair !*
 
Très soif, même !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le lundi 30 octobre 2017, 11:38:50
La nuit allait tomber ! Il fallait qu’elle se dépèche… L’église principe de Seikusu n’avait pas à rougir de honte par rapport à des églises européennes, vu sa grandeur et sa fierté. Cette église, fruit de nombreux dons de la communauté étrangère qui vivait à Seikusu, avait permis l’édification d’une église grandiose. Elle était d’un magnifique style néo-gothique, chose plutôt rare pour un édifice du XXe siècle. Bref, elle était grande, magnifique, colossal… Et donc, une horreur à nettoyer. Et oui, il fallait bien se dire que c’était bien joli des églises grandes et colossales, mais il fallait bien les nettoyer ! Et avec le nombre de paroissiens motivés pour travailler, et bien, parfois, cela était difficile de pouvoir entretenir parfaitement ses monstres de pierres. Et encore, l’église de Seikusu était grande, mais certaines églises européennes, gigantesques, elles, avaient les mêmes soucis de monde… Donc, parfois, le nettoyage prenait de très long moments… Et avec de moins en moins de personnes...

Marie s’était portée volontaire pour aider… Ce n’était pas du tout la première fois qu’elle faisait ça. Elle avait passé l’après midi de son Dimanche à cela… En effet, Marie respectait des horaires très fixe. Le Dimanche, elle avait la Messe jusqu’à midi, puis elle mangeait, puis elle partait aider au nettoyage complet de l’église. Ainsi, elle travaillait d’arrache pied pour que tout soit parfait. Après tout, elle faisait ça pour Dieu ! Et Dieu était sans doute satisfait de ce qu’elle faisait… Alors je vous rassure, elle ne faisait pas non plus ça TOUT les dimanche. Grosso-modo, le nettoyage complet de l’église, elle le faisait une fois par mois. Il n’y avait pas besoin de plus, il faut bien l’avouer, une fois par mois, cela suffisait largement pour que tout soit nickel chrome. Les autres dimanches, et bien… Elle participait à des actions de charités, elle aidait les gens, etc. Bref, Marie se reposait que rarement. Elle profitait du fait que son travail de surveillante n’était pas non plus spécialement épuisant pour passer son temps libre à aider.

Ce soir là, malheureusement, elle avait l’impression qu’elle avait prit mal de retard… Ou bien était-ce car les nuits rallongeaint ? Bref, il était tard, et elle avait encore eu des choses à faire. Elle était finalement la dernière à être rester. Oh bien sur, quelques grands-mères avaient voulus rester pour aider, mais après d’âpres négociations, la fameuse Marie avait réussi à les convaincre de partir, et qu’elle pouvait achever ce qu’elle devait faire toute seule ! Elle ne voulait pas que ses pauvres dames, qui avaient toutes un certain âge quand même, se fatigue trop… C’était pas bien de la part d’une chrétienne ! Et elle voulait quand même aider… De toute façon, elle avait presque fini, étant donné qu’il ne lui restait plus grand-chose. Pour tout dire, enfaite, il ne restait plus que les poubelles maintenant à sortir. Heureusement, le local poubelle n’était pas loin. Elle avait pris les deux sacs poubelles, et était sortie pour pouvoir les mettre dans les grands bacs. Elle les posa quand soudainement, elle se figea, seule dans la nuit… Et déclara :

« Qui va là ? Je vous ai entendu. »

Quoi ? Marie avait des super-pouvoirs ou quoi ? Alors qu’elle venait de jeter les sacs poubelles dans le bac à ordure… Elle s’arrêta, et regardant vers l’horizon, elle fit ses déclarations… Alors là, on pouvait que dire « chapeau ». C’était un exploit de réussir à repéré qu’une personne étant entrain de l’observer… Car il est vrai que là, une personne était placée au niveau du clocher de l’église de Seikusu, et était entrain d’observer la fameuse jeune dame en tenue de bure, qui était entrain de terminer son travail. Donc, en toute logique, comme personne d’autres n’étaient autour de l’église à ce moment là, et bien, la seule personne qu’aurait pu remarquer Marie… C’était bel et bien Thysia… Mais par quel artifice avait-elle réussi à repérer une personne qui était pourtant loin, non pas dans son champ de vision, et en plus dans le noir ? Avait-elle cachée enfaite des pouvoirs ultra-sensoriel ? Un talent cachée ? Des prémonitions ? Dieu était-il intervenu pour protéger sa fidèle et ainsi la...

« Oh… C’était toi… Petit chenapan… T’es tellement mignon… »

Sauf que non. Enfaite, tout le paragraphe précédent venait de raconter n’importe quoi… Ce qu’elle avait entendu, c’était un chat. Une chatte pour être précise, étant donné que la minette était ce qu’on appelle une chatte calicot, ce qui expliquait que c’était forcément une chatte, étant donné que seuls les chattes pouvaient être calicot. C’est génétique. Bref… Elle s’approcha du chat, n’ayant pas DU TOUT, vous avez bien compris maintenant, vu la fameuse Thysia, et tenta de caresser le chat. Elle avait un faible pour les chats… Ils étaient vraiment trop mignon ! Il y avait pas plus mignon qu’un adorable petit chat, après tout ! Bref, elle tenta de caresser la fameuse petite chatte, mais elle fut récompensée par ce que faisait trop souvent les chats un peu sauvage… Elle fut griffée malheureusement, et elle déclara, assez mécontente, en direction du fameux félin qui avait décidé après son forfait de prendre la poudre d’escampette.

« Aie ! Mais ça fait mal petit chat... »

Ahlala… Pauvre, pauvre Marie. Elle avait juste voulue s’occuper de cette adorable et mingon petit chat, et voilà qu’elle s’était fait griffée… ainsi, elle fit soudain la plus grosse bêtise de sa vie, celle qui allait sans doute attirer sa perte. Ou du moins, le début d’une nouvelle vie. En effet, alors qu’elle était ainsi entrain de sortir les poubelles, et qu’elle aurait pu rapidement rentrer de nouveau dans la chapelle, pour ainsi récupéré une véritable « protection » contre ce qui pouvait arriver… et bien, elle resta dehors. Elle mit son doigt dans la bouche, et commença à le sucer. En effet, c’était au niveau du doigt qu’elle s’était fait griffée, et on avait même pu voir un peu de sang couler. Ce n’était pas grave du tout, hein, notre fameuse Marie en sortirait avec un peu de tristesse de s’être fait griffée, et c’est bien tout… Mais quand même ! Pauvre, pauvre Marie. Bref, elle était comme ça, sans défense… Mais en même temps, c’est ce qu’elle pensait… Qu’est-ce qui pourrait bien lui arriver ici ?
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le mercredi 01 novembre 2017, 09:54:35
Il y a quelques temps, Mère avait pris le contrôle d’un couvent sur Terra. Des bonnes sœurs, des nonnes bien sous tout aspect. Elles vivaient dans un monastère reclus au large de Nexus, sur une île coloniale. Ce couvent avait été formé pour inciter les prostituées à revenir dans le droit chemin, et, concrètement, visait surtout à permettre aux familles d’assagir leurs filles, de leur enseigner la tempérance sexuelle, et de s’assurer qu’elles restent vierges jusqu’au mariage. Le couvent de Sainte-Rose, comme on l’appelait, du nom de Sainte-Rose, une nonne qui avait été canonisée en se sacrifiant pour défendre la vie. Kerrigan s’était rendue dans ce couvent reculé, et avait violé les nonnes, encore et encore, pendant des semaines. Elle avait transformé le couvent, et, sous ce dernier, il y avait une ruche formienne. À chaque fois qu’on ramenait de nouvelles candidates, elles rejoignaient la secte qui s’était formée dans le couvent. Depuis cette épisode, Kerrigan avait posé comme principe que les nonnes étaient d’excellentes pondeuses, ce qui expliquait pourquoi Thyzia était là, assise sur le clocher.

Marie ne pouvait la voir, mais le chat errant si. Il sentait les pulsions de Thyzia, et, grâce à sa vision diurne, à ses moustaches, ressentait sa présence, et réagissait instinctivement, les phéromones de Thyzia déclenchant sa colère. Mais ce ne fut pas la Cérébrate qui en fut la victime, mais la petite religieuse, qui, en sortant les poubelles, fut griffée par le chat. La Formienne, elle, se laissa petit à petit descendre, silhouette solitaire. Même si sa proie était retournée à l’intérieur de l’église, ça n’aurait rien changé.

*Parfaite, elle est parfaite !*

Thyzia était toute excitée, car c’était sa première proie ! Elle ne devait pas échouer. Mère serait si fière d’elle, si heureuse ! Rien qu’en y songeant, Thyzia était toute émoustillée ! La femme continua à descendre, adhérant à la paroi... Puis sauta brusquement, et atterrit en plein sur les poubelles, faisant sursauter la religieuse, qui tomba au sol.

« Coucou, ma chérie ! »

Jambes pliées sur les poubelles, Thyzia se redressa lentement, dominant la religieuse de toute sa hauteur, avec son look atypique, noir et rose. Elle arborait surtout un étonnant couvre-chef, fait de deux longues antennes qui semblaient remuer d’elles-mêmes, et sauta ensuite au sol, se tenant devant elle.

« Il est dangereux de rester seule si tard, ma petite pimprenelle... »

Thyzia sourit malicieusement, et l’une de ses antennes s’allongea alors démesurément, jusqu’à s’enrouler autour du doigt de Marie, et cicatrisa sa plaie en laissant un peu de sa bave. La Formienne fléchit ensuite les genoux, tout en libérant le doigt de la femme, qui semblait comme tétanisée sur place devant cette apparition incroyable.

« Tu es vraiment magnifique... Je m’appelle Thyzia, et je viens t’offrir de changer de religion, de servir, avec ta dévotion, une nouvelle divinité... Ma Mère ! »

Et, pour l’effrayer un peu, elle rajouta ensuite :

« Et tu lui feras don de ta précieuse virginité... »
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le vendredi 03 novembre 2017, 08:02:17
Le nuit était totalement tombée maintenant. Elle allait bientôt rentrer, elle suçait juste son doigt car bon sang... Il avait été méchant ce mignon petit chat ! Elle comprenait pas trop. D’habitude, elle avait plutôt du succès avec les animaux... Mais pas là ! Là, non, elle était tombée sur un chat visiblement hyper vénère. Elle pouvait pas encore comprendre pourquoi, mais cela n’allait pas tarder, étant donné que la cause de la colère du chat s’approchait... S’approchait de plus en plus... Quand soudainement, elle était arrivée. En effet, Elle s’était positionnée sur une poubelle... Comme ça, sans aucun soucis, en étant descendu du clochet... Heureusement que la fameuse Marie ne le savait pas, car elle aurait été choquée d’apprendre qu’une telle créature s’était installée pendant un moment sur le clocher... Mais bon, quoiqu’il en soit, celle-ci déclara quelques choses en direction de la fameuse religieuse...

« Coucou, ma chérie ! »

« AAAAAAAAH ! »

QU’EST-CE QUE PUTAIN DE QUOI ? Heureusement, elle l’avait pas dis, car les grossièretés, ce n’était pas très chrétien, et donc, ce n’était pas bien. Mais quand même ! Alors qu’elle était tranquillement entrain de sucer, son doigt, et bien, une femme... Enfin... Pouvait-on encore appeler cela une femme ? Venait d’arriver. Déjà, elle fut choquée par sa « tenue ». Si on pouvait encore appeler ça une tenue. Elle était provocatrice... Mais encore une fois, ce n’était pas tant la tenue qui était le plus choquant... Non, le plus terrible, le plus atroce, c’était bel et bien, et de loin, sa tête. C’était plus une tête insectoïde qu’humaine, aux yeux de la fameuse Marie. Alors, oui, elle exagérait. C’est vrai que la tête avait des antennes, mais quand même, elle était pas non plus si choquante que ça... Mais quand même ! Bref, elle regardait avec des yeux exorbitée la nouvelle interlocutrice, qui déclara :

« Il est dangereux de rester seule si tard, ma petite pimprenelle... »

« Je... »

Ok... alors, là, ça commençait à VRAIMENT faire peur. Pourquoi cela me diriez-vous ? Et bien, car maintenant, le soucis n’était pas seulement la tenue. Au fond, elle s’en fichait des tenues, même si c’était inacceptable d’entrer dans le périmètre d’une église, avec une telle tenue... Mais les antennes n’étaient pas que des membres de la tenue... Non, car en effet, celles-ci commencèrent à s’enrouler autour du doigt de la religieuse... Et... Et la soigna. Alors, premièrement, cela voulait dire que ses antennes étaient articulés et déplaçable, ce qui retirait le fait que c’était un costume... Mais en plus, les soins... Soit c’était un miracle, et son interlocutrice pouvait déjà remplir les papiers de sa futur canonisation... soit alors, c’était démoniaque. Et là, vu le look de son interlocutrice, et bien, c’était ouvertement une démone... D’ailleurs, les déclarations suivantes confirmaient les pensées de la fameuse nonne.

« Tu es vraiment magnifique... Je m’appelle Thyzia, et je viens t’offrir de changer de religion, de servir, avec ta dévotion, une nouvelle divinité... Ma Mère ! Et tu lui feras don de ta précieuse virginité... »

« PREND CA DEMON ! »

Elle jeta sa croix dans la face de son interlocutrice, tout en reculant vivement. Et beh ! On pouvait dire qu’elle était... Pas dans la subtilité ce soir. Bref, la croix fut littéralement projetée dans la face de son interlocutrice... C’était un démon. C’était sur et certains, elle avait affaire à un démon. Tout portait à croire que c’était un démon... Elle voulait dire, sérieusement... Entre le look, les pouvoirs... Et maintenant, le nom ? Tout sonnait démoniaque chez cette fameuse femme, et donc, tout montrait que c’était une horrible personne. De plus... « Offrir de changer de religion » ? Jamais ! « Sa mère » ? Elle était sans doute donc l’enfant d’un démon... Bref, une horreur ! Elle comptait bien empêcher cette horreur de rester sur la Terre des Chrétiens. Elle allait le chasser, grace aux enseignements de son père !

« Exsurgat Deus et dissipentur inimici ejus : et fugiant qui oderunt eum a facie ejus. Sicut deficit fumus, deficiant ; sicut fluit cera a facie ignis, sic pereant peccatores a facie Dei ! »

Oh la vache ! Elle avait réussi à tout dire, sans aucun problème. Qu’est-ce que c’était ? Et bien, ce Psaume, début du Psaume 68, issu du second livre des Psaumes, et a été souvent considéré dans l’histoire comme le Psaume le plus important et le plus beau de ce livre, mais aussi un chant de guerre Protestant, vu que ses derniers l’eurent réutilisé durant les Guerres de Religions. Néanmoins,  depuis la fin du XIXe siècle, ce psaume est aussi utilisé pour les exorcismes, pour repousser le Diable et les Démons. Ainsi, notre fameuse Marie avait voulu l’utiliser pour tenter de chasser... Non, que dis-je, pour détruire la fameuse démone qui était en face d’elle. Oui, car comme dit précédemment, elle avait en face d’elle un démon. Ainsi, grâce au Pape Léon XIII, elle espérait que cette puissance contenue dans ce Psaume biblique allait chasser le démon, comme elle déclara à la fin, pleine d’espoir, et sûre que cela allait marcher.

« Bref, Vade Retro, suppôt de Satan ! »

Satan ne gagnera pas ! Elle avait une église pas loin d’elle, et de l’eau bénite à aller chercher... Elle comptait bien chasser cet être. Elle ne pouvait pas laisser un être démoniaque près de l’église de Seikusu, que dirait son père ? D’ailleurs, elle aurait aimé qu’il soit là, car s’il n’était pas l’exorciste qualifié pour cette partie de l’Archidioscèse de la région, il s’y connaissait un peu... Enfin, dans le sens, déjà plus qu’elle, qui n’y connaissait rien. Bref quoiqu’il en soit... Maintenant, elle attendait la réaction. Dans le meilleur des cas, la démone devrait commencer à se convulser, et ainsi, être progressivement détruite par la puissance biblique... Dans le pire des cas, cela n’allait rien faire... Et elle allait devoir courir très vite. Sauf que ce deuxième cas... Bah, c’était trop tard. Elle était toujours proche de son interlocutrice, et ainsi, capturable aisément...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 06 novembre 2017, 00:33:08
Démon ? On avait qualifié Thyriza de beaucoup de choses, mais... Ça, c’était une première ! Interloquée, elle vit la jeune prêtresse se redresser brusquement en lui lançant sa croix chrétienne à la figure. Son crucifix heurta le visage de Thyriza, avant de tomber mollement au sol. La femme regarda brièvement l’objet en argent, la figure du Christ. La grande force de sa transformation en Formienne, c’est que Thyriza avait conservé tous ses anciens souvenirs. Elle savait donc ce qu’était l’Église, le catholicisme, la Bible... Et toutes ces idioties. Elle vit alors la prêtresse, non pas fuir, mais... Lui balancer un psaume en latin. Un léger moment de flottement passa après que Marie termina sa prière par un vague « Vade Retro »... Et Thyriza tomba brusquement à genoux, en posant ses mains sur sa tête, semblant se ratatiner sur place, avant de se mettre à hurler :

« Haaaa... Haaaaa... !! Non... Pas ça, pas... Pas ces mots, haaaa... Mon ultime faiblesse, nooooooooooonnn... !! Je reviendrais, je me vengeraaaaaaaaaaaaaisss, aaaaaaaaaaaaaaaaaahhh... !! »

Thyriza se tut brusquement avant de relever le visage, et de sourire malicieusement.

« C’était minable, non ? Désolée, je ne joue pas très bien la comédie, ma pimprenelle. Toi, en revanche... Quelle énergie, quelle motivation ! Mais assez joué... »

Marie vit alors, probablement avec horreur, non seulement Thyriza se relever, mais son ventre se mettre à remuer, à onduler sur place... Puis des tentacules en jaillirent brusquement, excroissances noirâtres et rosâtres, qui s’enroulèrent autour de la taille de Marie, et la soulevèrent, avant de se rétracter, et ainsi d’amener le corps de Marie à s’écraser contre celui de Thyriza. La Formienne pouvait maintenant passer aux choses sérieuses, certes, mais elle avait encore envie de profiter un peu de cette jeune femme, et, surtout, de la faire paniquer.

Son corps collé au sien, Thyriza posa une main sur ses cheveux, et lécha sa joue.

« On va jouer à un jeu, toi et moi... Si tu atteins la sacristie avant que je ne t’attrape, je t’épargnerai. Dans le cas contraire, je te mange, d’accord ? »

Et elle l’embrassa sur sa belle joue, avant de serrer fort les tentacules retenant la femme, manquant ainsi l’étouffer... Une simple démonstration, pour que la jeune religieuse comprenne que sa vie était entre les mains de Thyriza, qui relâcha ensuite la pression. Marie tomba à nouveau au sol. Thyriza se retourna alors, faisant claquer ses talons sur le sol, et ferma les yeux.

« Je compte jusqu’à dix, ma pimprenelle... Tu as intérêt à courir vite ! »

Comme pour la motiver, des tentacules jaillirent dans le dos de Thyriza, venant caresser le corps de Marie, mais ayant, à leur extrémité, des gueules édentées, prêts à la dévorer. Puis Thyriza se mit à compter...

« Un... Deux... Trois... »
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le jeudi 09 novembre 2017, 11:58:14
« Haaaa... Haaaaa... !! Non... Pas ça, pas... Pas ces mots, haaaa... Mon ultime faiblesse, nooooooooooonnn... !! Je reviendrais, je me vengeraaaaaaaaaaaaaisss, aaaaaaaaaaaaaaaaaahhh... !! »

FANFARE ! VICTOIRE ! Ahahah ! Elle avait gagnée, la religion était toujours la plus forte. Ce démon n’avait pas réussi à résister et maintenant, il était détruit par les mots de la foi. Elle était fière d’elle. Bon, d’accord, la mort du démon était un peu ridicule... Mais quand même ! Elle se disait que pour une première fois, elle s’était plutôt bien débrouillée ! Elle avait réussi à vaincre ce fameux démon, enfin, cette fameuse démone relativement simplement. Elle allait tout raconter à son père, il serait fière d’elle. Bref, elle décida de quand même être bien sur que le ratatinement de cette horrible démone se confirme avant de partir... Cela allait être une déception, alors, étant donné que au bout d’un moment, celle-ci se releva, comme si de rien n’était, et déclara, confirmant que cela n’avait été rien :

« C’était minable, non ? Désolée, je ne joue pas très bien la comédie, ma pimprenelle. Toi, en revanche... Quelle énergie, quelle motivation ! Mais assez joué... »

« Je... AAAAAAAAAAH ! »


La démone s’était non seulement relevée mais commençait à se métamorphosait partiellement... Et c’est ainsi que sortit de son arme -vision de l’enfer aux yeux de Marie-, de véritables tentacules. Le cri de Marie ne fut pas suffisant pour tenter de la sauver, et elle se fut attraper par les tentacules, qui la serra brusquement, et la rapprocha de son interlocutrice... Sa taille fut attrapée, et elle fut attirée vers cette dernière, sans aucune délicatesse, comme si tout cela n’était qu’un jeu, et Marie le jouet qu’elle pouvait allégrement prendre. Les deux femmes étaient maintenant collés, et la formienne s’amusait avec les cheveux blonds de la religieuse... Si le but de la dite-formienne était de faire paniquer Marie, c’était une franche réussite, car Marie paniquait complètement. Toute tentative pour s’enfuir était vaine, vu la situation, et elle avait extrêmement peur... Surtout quand la suite fut déclarée :

« On va jouer à un jeu, toi et moi... Si tu atteins la sacristie avant que je ne t’attrape, je t’épargnerai. Dans le cas contraire, je te mange, d’accord ? »

« Je... Aargh... »

Elle aurait voulu répondre. Prier, demander pitié... Mais elle ne put. Elle fut récompenser par l’Eros et le Thanatos. Dans un premier temps, elle fut embrassée, chose douce et gentille, que si cela pouvait parfois la gêner, la religieuse n’était pas contre... Enfin, si, dans cette situation, elle était complètement contre, mais là n’est pas la question... Puis, elle fut brusquement écrasée, serrée comme un citron trop mûr. Argh... Oubliant le petit jeu qu’avait proposé la fameuse formienne, Marie était entrain de se dire que ça y est, elle allait mourir. Elle allait mourir ainsi... Dieu... Elle demandait à Dieu de la protéger... Il fallait qu’il agisse... Et heureusement, celui-ci décida d’agir -enfin, plutôt son interlocutrice, mais on parle de la fameuse Marie, je vous rappelle-, et elle fut lâchée. Elle s’écroula par terre, et écouta les déclarations suivante de cette horrible démon qui était malheureusement toujours là.

« Je compte jusqu’à dix, ma pimprenelle... Tu as intérêt à courir vite ! Un... Deux... Trois... »

Elle s’était retournée ! La démone, hein, pas Marie. Marie, elle, était toujours à terre pour reprendre son souffle. Evidemment, après ce qui venait de se passer à cause des tentacules, la fameuse religieuse était encore un petit peu sonnée, donc, elle n’était pas de suite capable de reprendre un effort physique... Néanmoins, avec la formienne retournée, elle avait peut-être une chance de s’en sortir ! C’était son unique chance, car elle avait vu qu’elle n’était pas assez puissante pour réussir à faire un exorcisme, et chasser ce demon... Oui, elle regardait la démone, et se disait que cela devait faire partie des pires créatures que les enfers avaient... quel horreur... Elle ne pouvait rien faire à part prier que Dieu lui vienne en aide contre cette créature, car... Car elle était là, par terre... Avec ce décompte qui... Ce décompte qui... OH MON DIEU CE DECOMPTE !

Quatre, cinq...

IIIK ! Mais qu’est-ce qu’elle faisait ! Elle devait aller vite ! Elle perdait du temps là ! Elle se releva avec quelques difficultés, tituba, et manqua de tomber à nouveau, à cause d’un manque d’équilibre, et du fait qu’elle était un peu sonnée... Mais elle n’avait pas de temps à perdre. Elle regarda alors la fameuse porte de la sacristie... Elle n’était pas loin, elle avait une chance ! Elle n’avait jamais fait de sport véritablement dans sa vie... Même au collège en Italie, ou au Lycée au Japon, elle n’avait jamais brillé par ses notes en sport, et avait toujours trouvée le sport comme quelque chose d’assez inutile. Maintenant, elle le regrettait, et sentait la punition de Dieu pour avoir reniée cela, étant donné que sa vie en dépendait. Elle avait commencer à courir et se dirigeait vers la porte de la sacristie. Elle devait y arriver. Elle n’avait pas le choix. Si elle n’y arrivait pas... Elle se ferait dévorer vivante...

Six... Sept... Huit... Neuf...

Elle comptait dans sa tête, oubliant complètement la démone, et tentant de prier pour qu’elle puisse arriver à temps. Ce n’était pas possible. Elle n’allait pas y arriver. Ou pas. Ou peut-être que si. Ou peut-être que non. Elle n’en n’avait aucune idée. Son sang battait dans sa tempe, son souffle s’amenuisait, son coeur s’emballait... Elle avait jamais couru aussi vite de sa vie... Elle pouvait le faire. Plus les chiffres avançaient dans son esprit, et très certainement dans la bouche de la démone, puis elle sentait qu’elle pouvait le faire. Elle allait être juste, mais elle allait y arriver. Pourquoi ? Et bien, car elle pensait qu’elle aurait plus de dix secondes. Dans les faits, elle allait être tout juste, un tout petit peu en retard... Mais elle allait y arriver. Pourquoi ? Car il faudrait quelques secondes à la Formienne pour se retourner. Donc, ainsi, elle serait entrer dans la sacristie, et aurait fermer la porte. Ainsi, elle serait à l’abri, proche de Dieu, et si la démone entre dans le sanctuaire du Père, au nom du fils elle serait détruite...

DIX !

Sa main passa le seuil de la sacristie... Elle soufflait fortement. Il ne lui fallait que quelques secondes de plus... Quel... ques... secondes...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 13 novembre 2017, 00:34:22
La petite spécialité dans le dilemme de Thyriza, c’est qu’elle n’avait jamais eu l’intention de manger Marie. La manger, quelle idée ! Elle se damnerait plutôt que d’arracher une seule partie de ce corps parfait, de ce cadeau précieux qu’elle destinait à sa Reine ! Mais, avant ça, elle voulait quand même jouer un peu. Quoi de surprenant là-dedans ? Techniquement, Thyriza était encore un bébé, vu le peu de temps depuis qu’elle avait été transformée en Cérébrate. Elle voulait jouer avec sa proie, mais aussi assouvir quelques fantasmes. Tétanisée, Marie mit du temps à réagir, tant et si bien que Thyriza, qui lui tournait le dos, chercha une stratégie pour l’amener à la sacristie... Mais la religieuse finit par cesser de croire en un sauvetage divin, et se mit à filer à toute allure... À tel point qu’elle heurta du pied sa robe, trébucha, avant, de reprendre.

Elle fila dans l’église, et dévala un couloir, menant à une porte latérale qui ouvrait sur la sacristie, le cœur de l’église, avec la nef. L’église était maintenant fermée au public, mais il restait encore, le long de la sacristie, autour de l’autel, quelques bougies qui avaient été allumées pour la nuit, et qui éclairaient la croix du Christ. Un endroit sacré, une ambiance solennelle... La petite religieuse verrouilla la porte derrière elle, et se rapprocha de la seule zone éclairée de l’église, la sacristie. Elle était là, seule, paniquée, si fragile, ne pouvant trouver refuge que dans un Dieu aveugle et absent. Elle regardait nerveusement autour d’elle, sans entendre aucun bruit de pas... Puis un soupir se fit entendre, suivi... D’un gloussement.

« Piiiimpreeeeeneeeeeeeeeeellleeeeee... Oùùùùùùùùù eeeesss-tuuuuuuuuuu, piiimpreneeeeeeelleeee ??! »

Une voix d’outre-tombe remontait dans l’église, comme si elle venait de très loin, s’accompagnant de nouveaux gloussements moqueurs et sarcastiques. Mais impossible d’identifier l’origine de la voix, sa provenance... Puis Marie sentit autour d’elle de brusques courants d’air, ainsi que l’écho de bruits de pas, comme dans un film d’horreur... Et, brusquement, la croix du Christ se mit à vaciller sur place, comme si elle était sur le point de se rompre, contraignant Marie à se retourner vers elle.

Et un nouveau courant d’air résonna dans son dos... Puis des mains se posèrent alors sur ses épaules, lui faisant probablement manquer une crise cardiaque. Thyriza lécha alors son cou, tout en souriant.

« Bravo, ma chérie, tu as gagné ! »

Ses mains étaient très fermes, une véritable poigne d’acier qui s’abattait sur les doucereuses épaules de la religieuse.

« Et ta récompense, boucle d’or, c’est... Moi ! Petite veinarde, va ! »

Elle gloussa encore, et déposa un tendre baiser sur sa joue.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 15 novembre 2017, 16:54:53
Marie n’arrivait même pas à croire ce qu’elle avait fait... Elle avait sans doute jamais couru aussi vite de sa vie. Elle avait traversé tout, sans regarder par où elle était passé, pour arriver à son précieux Sésame. L’endroit où elle était à l’abri. Elle avait tout fait pour qu’elle ne puisse pas être poursuivie. Elle avait même réussi à faire fermer à clef la porte, sans se vautrer ! C’était quand même un putain d’exploit, surtout vu le sprint qu’elle avait du faire ! Mais elle avait réussi ! Elle l’avait fait ! Bon sang, elle en pouvait plus. Son souffle était coupé... Elle avait fermé à clef, évidemment, car elle ne croyait pas le démon... Elle savait qu’elle était sans doute là, qu’elle allait approcher... Mais elle n’avait pas la clef. Donc, elle était à l’abri, le temps de prier... Elle devait prier le plus possible, si elle ne voulait pas se faire dévorer...

« Piiiimpreeeeeneeeeeeeeeeellleeeeee... Oùùùùùùùùù eeeesss-tuuuuuuuuuu, piiimpreneeeeeeelleeee ??! »

Elle... Elle était là... Elle était dans l’église... Elle était dans l’église... Mais le pire... C’est qu’elle n’avait aucune idée d’où elle était... l’écho brouillait tout. Elle savait que c’était traditionnel d’avoir de l’écho dans une église, ce qui faisait que bien souvent, on ne savait pas trop d’où venait les sons, les personnes etc... Mais là, c’était quand même très troublant. Elle se perdait complètement, et c’était atroce pour tenter de repérer une menace... Elle faisait ce qu’elle pouvait faire... C’est à dire. Prier, prier, et encore prier... Elle priait le plus possible... Il fallait que Dieu lui vienne en aide ! Elle était une bonne fille, elle allait à la messe... Que Dieu vienne la sauver ! Elle vit alors la croix commencer à vaciller... Elle devait approcher. Elle tenta de prier encore plus fort, fermant les yeux... Malheureusement, ses prières semblaient littéralement tomber dans l’oreille d’un sourd, étant donné que...

« Bravo, ma chérie, tu as gagné ! »

« AAAH ! »


ELLE ETAIT LA ! Tel un jumpscare de film d’horreur, elle venait littéralement de sentir « apparaître » cette démone ! Elle s’était retournée, car elle avait eu l’impression que la fameuse démone était arrivé, et qu’elle préférait la voir... Sauf que ce ne fut pas devant elle, que cette démone apparu... Mais pire : derrière elle ! Elle ne pouvait même pas voir ce qu’elle allait faire... Elle sentait juste les mains de cette dernière sur ses épaules... Elle était tenue, et d’une poigne qui montrait bien que si elle tentait la lutte... Physique, direct, et bien... Et bien, elle n’avait littéralement aucune chance. Elle s’en doutait déjà, elle n’avait jamais eu confiance en sa force ou en son physique... Mais là, elle se disait qu’elle ferait mieux de peut-être abandonner directement. Cela serait moins pitoyable... néanmoins, la chance (ou peut-être pas), enfin, arriva à lui sourire, quand son interlocutrice déclara :

« Et ta récompense, boucle d’or, c’est... Moi ! Petite veinarde, va ! »

« Je... ? J’ai gagné, non, vous n’allez pas me manger... ? »

Elle venait de se faire embrasser sur la joue... Bon, qu’on soit clair... Elle n’avait PAS DU TOUT confiance. Bon, d’accord, c’est vrai que l’habit ne faisait pas le moine... Sinon, elle serait une nonne (ahah), mais quand même ! Là, c’était clairement un habit qui faisait qu’elle ne devait PAS avoir confiance. Cela se voyait totalement ! Elle devait pas juger sur le physique, mais cela se voyait que son interlocutrice... Etait une créature démoniaque... Et qu’elle tentait de trouver un moyen sans doute de plus la manger... Enfin, plus vite, autrement... Elle ne savait pas trop... Mais bref, elle ne voulait pas tenter... Sachant que dans cette fameuse situation... Et bien, elle ne pouvait rien, faire elle décida de tenter le tout pour le tout...

« Je... On peut... Discuter paisiblement, non... ? Je... Je peux vous enseigner les Écritures, ou un peu d’Italien... »

Elle tremblait, son interlocutrice pouvait le sentir. Elle ne l’avait même pas en face d’elle, et donc, elle savait pas quoi faire. Elle regardait, discrètement, ce qu’il y avait autour. Bien entendu, elle tentait de gagner le plus de temps possible. Elle savait que son interlocutrice n’était PAS là pour avoir un enseignement sur les écritures, aucunement. Non qu’elle n’avait pas envie, mais car elle savait que son interlocutrice n’était pas là pour un cours sur cela. Ni sur l’Italien, qui était pourtant une très belle langue... Bref, elle tremblait de tout son corps... Quand elle arriva à apercevoir... Son salut ! Un couteau ! Dieu l’avait écouté. Elle pouvait tenter de se défendre. Cependant, il était un peu loin, et elle devait approcher sa main discrètement. Elle posa alors sa main sur la table sur laquelle était le fameux couteau, et continua de parler, dans l’espoir que ses paroles puissent détourner l’attention de son interlocutrice.

« c’est... C’est très joli l’Italie. »

Elle tentait de gagner du temps... Elle espérait surtout attirer l’attention de la fameuse démone ailleurs... Avec un peu de chance, elle arriverait à attraper le couteau, et le planter dans cette terrible Démone. Elle espérait cela lui permettrait de prendre la fuite après. Là, elle devait finalement quitter la sacristie. C’était un piège, et elle ne pouvait attendre de l’aide de personne, dans ce lieu. Mais si elle allait ailleurs et bien... Et bien, peut-être qu’elle aurait une chance... Mais le soucis... C’est qu’elle avait besoin de ce fameux couteau, et tant qu’elle ne l’avait pas attrapé, et bien... Elle était vraiment vulnérable. Mais avec ce couteau... Elle avait peut-être une infime chance... Sa main s’approcha de la lame, et tenta de l’attraper... Mais échec critique, elle fit tomber la lame, sur le sol, qui raisonna sur sol de pierre... On pouvait dire ça, c’était de l’échec de qualité.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 19 novembre 2017, 21:46:08
« Te manger ? Bien sûr que non, ma pimprenelle, je n’aime pas le ragoût d’humain... Et j’ai d’autres projets pour toi. »

Thyzia lui sourit tendrement, continuant à caresser ses épaules, à sentir ce corps contre le sien, et pencha son visage vers elle, venant l’embrasser dans le creux du cou. Paniquée, Marie lui demanda si Thyzia voulait qu’elle lui parle de l’Italie, oud es Saintes Écritures. Sans en tenir compte, la Cérébrate, elle, continuait à embrasser et à lécher sa joue, ses mains descendant des épaules de la femme pour caresser ses hanches, la coinçant contre la sacristie. Il était de plus en plus facile de comprendre ce que Thyzia voulait, et elle s’étonnait que la prêtresse ne cherche pas à la repousser, évoquant encore l’Italie... Dont Thyzia n’avait pas grand-chose à faire. Elle, elle continuait à l’embrasser, à coller son corps contre le sien, et ses mains continuaient à descendre le long de ses côtes, jusqu’à s’approcher de son bassin.

Concentrée dans ses gestes, Thyzia n’avait évidemment pas vu la main de Marie se rapprocher du couteau, et, alors que la prêtresse allait le saisir, Thyzia mordilla légèrement son cou, à travers sa tenue de prêtresse. Marie sursauta alors... Et Thyzia entendit un choc sourd et froid sur le sol. Tournant la tête, elle aperçut alors le côté tranchant et luisant d’un couteau. Elle l’observa pendant quelques secondes en fronçant les sourcils, puis regarda à nouveau Marie, une lueur de colère perlant dans ses yeux.

« Eh bien, eh bien... Voilà qui n’est pas très chrétien, Marie ! Que dit ton Christ sur le fait de tendre l’autre joue, pourtant ?! Peut-être bien que je vais te manger, finalement... »

Voilà en tout cas qui expliquait pourquoi Marie ne l’avait pas repoussé. Elle avait cherché à s’emparer d’un couteau pour la planter, la petite vicieuse ! Thyzia était plutôt impressionnée, car elle s’était attendue à ce que Marie perde son sang-froid. Mais, au lieu de ça, elle avait choisi une autre approche. La Cérébrate se pinça alors les lèvres, et se rapprocha de Marie.

« Ou alors... Voyons voir. »

Thyzia l’embrassa brusquement, posant une main sur sa tête, et colla son corps au sien, donnant un coup de reins. Son autre main agrippa l’une des cuisses de Marie, et elle la souleva, la contraignant ainsi à s’asseoir sur le rebord de la sacristie, soulevant légèrement sa bure pour dévoiler ses longues cuisses fuselées. La main de Thyzia se posa ainsi directement sur la peau nue de la femme, et elle continua de l’embrasser, sans relâche, pendant de nombreuses secondes.

« Pourquoi tu ne me réciterais pas les saintes Écritures pendant que je m’occupe de ton corps, hum ? Parle-moi de l’amour pour le prochain, tiens, c’est un sujet intéressant... Du sacrifice pour les autres. Montre-moi que tu es une bonne petite chrétienne, et peut-être que je ne te mangerais pas... »
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 22 novembre 2017, 12:30:55
Le couteau, cela n’avait pas fonctionné... Quel malchance ! Elle avait presque réussi ! Et visiblement, son interlocutrice n’avait même pas remarquée au début qu’elle allait se faire planter par le couteau de la religieuse... Si elle avait été juste un peu plus adroite, elle aurait pu se sauver... Mais malheureusement, et bien... Elle avait tentée, et elle avait échouée... Oh ce n’est pas si grave Marie, remet toi ! Plein des gens ont échoués dans ce qu’ils comptaient faire, durant leur vie... Ce n’était pas une raison de perdre confiance en toi et... Oui, bon d’accord. Vous allez me dire que l’échec, dans ce genre de cas, ne signifiait pas forcément se faire capturer et réduite en esclavage à pondre des œufs... Mais chut ! Cela, pour le moment, Marie ne le savait pas. Elle ne savait rien de ce qui l’attendait, s’attendant surtout à se faire manger... D’ailleurs...

« Eh bien, eh bien... Voilà qui n’est pas très chrétien, Marie ! Que dit ton Christ sur le fait de tendre l’autre joue, pourtant ?! Peut-être bien que je vais te manger, finalement... »

Comment osait-elle... Le Christ n’avait pas dit qu’il fallait tendre l’autre joue pour se faire dévorer ! Et encore moins qu’il fallait se laisser maltraiter... Tendre l’autre joue ne voulait pas dire qu’il fallait rester passif face à l’agression... Bon, c’est vrai que le Christ déconseillait la violence. Là, la démone gagnait un point... Mais elle ne voulait pas non plus se faire tuer par cette démone. Elle priait Saint-Michel... Lui avait combattu les démons, il comprenait la situation. Après tout, Saint Michel comprendrait sa situation... Elle avait besoin d’une intervention de l’Ange guerrier, là, maintenant. Qu’il puisse vaincre cette démone, la chasser... Lui permettre de survivre, n’importe quoi... Malheureusement, l’Ange guerrier de Dieu semblait d’humeur flemmarde, car vint pour aider la jeune religieuse, qui au contraire, semblait toujours à la merci de son interlocutrice, qui s’amusait beaucoup de la situation.

« Ou alors... Voyons voir. »

Sans qu’elle puisse rien faire, totalement soumise au caprice de celle qui la contrôlait, elle se fit embrassée par Thyzia... Marie avait une certaine force mentale, il fallait bien le dire, mais comment son simple mental pourrait l’aider dans cette situation. Face au baiser forcé, elle tenta de résister, fermant ses lèvres, mais cela ne servait pas à grand chose. Avec une facilité déconcertante, toujours, elle fut légèrement soulevée, mise sur la sacristie. Elle était maintenant collée avec la fameuse Thyzai, et ne pouvait rien faire, la main commençait même à soulever sa robe de bure. Avec l’une de ses mains, elle tenta alors d’empêcher celle-ci de remonter trop haut, et de révéler certaines choses quelle n’avait pas envie qu’on voit... Bref, le baiser fut heureusement rompu au bout d’un moment, pour laisser l’interlocutrice parler :

« Pourquoi tu ne me réciterais pas les saintes Écritures pendant que je m’occupe de ton corps, hum ? Parle-moi de l’amour pour le prochain, tiens, c’est un sujet intéressant... Du sacrifice pour les autres. Montre-moi que tu es une bonne petite chrétienne, et peut-être que je ne te mangerais pas... »

« Vous voulez plaisantez ? »

Elle déclara cela visiblement énervée... Les saintes Écritures n’étaient pas un jeu, c’était pas quelques choses qu’on déclamait comme ça... Surtout que c’était évident, là, qu’elle utilisait les Saintes Écritures en les détournant complètement... Le sacrifice pour les autres, l’amour pour le prochain... Ce n’était pas ce qu’elle pensait, cette fameuse démone ! On parlait d’un texte sacrée, qui parlait de la Révélation, pas d’un texte qui pourrait être utiliser pour amuser les délires coquin d’un monde... C’était inacceptable d’avoir un tel manque de respect... On ne touchait pas à la Bible ainsi ! C’est un texte sacré, c’était Le Texte ! Donc, elle ne voulait pas jouer à ce petit jeu, même si c’était pour sa vie et...

« Vous êtes un démon, une horrible créature, et vous me forcez ! Vous ne méritez ni saintes Écritures, ni pardon à moins que vous vous confessiez, et que vous arrêtiez de m’agresser ! »

En plus ! Après tout, c’était une démone ! Oui, notre fameuse Marie n’avait toujours pas quittée cette idée. Pour elle, elle était entrain de parler à un démon, et basta. Ce n’était pas le cas, mais bon, que voulez-vous ! Quand Marie avait quelques choses en tête, elle n’était pas du genre à l’abandonner. Au contraire, elle était du genre à y croire pendant beaucoup trop de temps, et ainsi, esitmer qu’elle était dans l’entière et totale raison... Vous voyez la situation complexe... ? Bref, quoiqu’il en soit, la jeune religieuse donnait une dernière chance à la démone... Elle devait se confesser, admettre ses péchés, et décider de revenir dans le droit chemin. Arrêtez d’être une démone, arrêter de faire du mal, de faire peurs aux pauvres religieuses qui avaient rien demander, et faire des attouchements à des femmes, qui ne l’avaient pas demander non plus ! Ainsi, son regard croisa celui de son interlocutrice et... Et...

« Enfin... Je... S’il... S’il vous plait... ? »

Tel un ballon, elle s’était dégonflée. Oui... Car en croisant le regard de la fameuse interlocutrice, et bien... Elle se rappela dans quelle situation elle était. Et ouais, c’est bien beau de faire la belle et la farouche... Sauf que là, elle se rappelait qu’elle risquait quand même gros. Donc, après avoir été gonflée à bloc, elle se dégonflait. Cela se voyait même visuellement, étant donné que son corps se détendait, et elle tremblait de nouveau de peur... bon sang !!!! Pourquoi elle avait dit ça ?! Elle aurait du accepter ! Elle n’avait vraiment pas envie de se faire manger, et elle avait fait des grosses bêtises là ! Bon sang quelle idiote... Et elle pouvait rien faire, car tout ce qu’elle avait dit... Et bien, c’était dit, c’était trop tard. Elle pouvait pas trop être en mode : « Oh enfaite, je blaguais, tu ne me manges pas s’il te plait ? » Finalement... Peut-être qu’elle aurait dut accepter... ? Elle se recroquevillait, assise sur la sacristie... Bon sang, bon sang... Dieu, viens me protéger, pensait-elle. Là, elle n’avait plus aucune chance. Sauf intervention Divine, auquel elle croyait toujours...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 27 novembre 2017, 01:17:48
Thyzia se mit à sourire lentement devant la résistance de Marie. Aussi paniquée soit-elle, la petite religieuse était suffisamment pieuse pour refuser, de prime abord, de se livrer à ce jeu avec elle. La Cérébrate sourit donc malicieusement, et se pencha à nouveau vers elle, l’embrassant sur la joue. Ses mains caressèrent tendrement ses cuisses, griffant délicatement sa peau. Elle avait senti les petites mains de Marie se crisper sur les pans de sa bure, afin de dissimuler son intimité. La Cérébrate gloussa légèrement, en voyant la confiance de Marie redescendre progressivement, devant le risque de courroucer la puissante Cérébrate.

« Tu es une petite teigneuse, toi... »

Thyzia l’embrassa à nouveau, sur la commissure des lèvres. Ses mains remontèrent pour se poser sur les hanches de Marie, et des tentacules jaillirent alors de son corps, s’enroulant à leur tour autour des cuisses de la femme, serrant la robe. Marie put ainsi sentir le contact froid et gluant des tentacules. Lui souriant à nouveau, Thyzia se montra doucereuse, mais on pouvait clairement sentir que quelque chose sonnait faux dans cette tendresse inattendue... Comme le fait qu’elle restait collée à sa proie, l’empêchant de partir, et faisait preuve d’un comportement totalement différent de celui qu’elle avait adopté initialement. Qu’est-ce que tout cela cachait ?

Souriant encore, Thyzia reprit finalement :

« Mais soit, confessons-nous... Je confesse donc, Marie, t’avoir menti en menaçant de te manger. Enfin... Je suppose que ça dépend du sens qu’on donne à ce mot. »

Un début rassurant, mais une fin plus alarmante. Qu’est-ce que Thyzia voulait dire par là ? Elle lécha à nouveau les lèvres de la femme, et poursuivit :

« Car je compte bien te dévorer, ma chérie. Je confesse être venue te voir pour t’offrir à ma Mère, qui sera pour toi ta nouvelle religion, ta nouvelle Déité. Tu lui offriras ta virginité. Je confesse donc que je vais te capturer, te détourner de ta fausse idole qui ne te protège en rien, et que je vais faire de toi, pour le dire familièrement... La Reine des Putes ! »

Il semblait difficile, en réalité, de faire plus clair.

« Car ton Dieu est faux, Marie. Regarde... »

Un tentacule s’éleva alors, et attrapa la croix chrétienne qui décorait les lieux, avant de l’araracher d’un coup sec. La cxroix tomba au sol, et se fracassa en deux morceaux.

« Tu vois ? Rien, absolument rien. Où est donc la foudre divine qui va me terrasser pour mes blasphèmes ? Ton Dieu est une vieille pute acariâtre, ma chérie. Tu perds ton temps et tu gâches ta beauté à le servir. Je ne peux tolérer ça, alors... Tu serviras désormais une vraie déité. »

Et, bien sûr, Marie n’avait absolument aucune option en la matière !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mardi 28 novembre 2017, 22:16:42
« Tu es une petite teigneuse, toi... »

Non. Elle ne l’était pas. Il faut bien le dire. Elle tentait de se donner des airs, mais elle avait quand même foutrement peur. Pas assez ainsi pour que cela rende totalement paralysée, sans qu’elle puisse rien à faire... Mais suffisamment pour qu’elle ne sache pas comment faire, comment bien parler... Bref, elle était pas résigné, elle tentait de montrer qu’elle avait quand même de la force... Mais elle était pas une teigneuse, elle avait trop peur pour ça... Après, maintenant, que faire dans ce genre de situation ? Et bien, pas grand chose, à part se faire embrasser. Encore une fois, Marie ne voulait pas. Elle n’avait pas envie de se faire embrasser par cette fameuse démone... Mais elle ne pouvait rien faire pour l’en empêcher. Non, elle était à sa mercie... Et elle allait très certainement donc se faire manger, comme c’était prévu... Sauf que...

« Mais soit, confessons-nous... Je confesse donc, Marie, t’avoir menti en menaçant de te manger. Enfin... Je suppose que ça dépend du sens qu’on donne à ce mot. »

Elle n’allait pas se faire manger ! Et en plus, la fameuse Thyzia était entrain de se confesser... Même elle n’y croyait pas... Ce qu’elle avait dit avait-il eu une influence suffisante, pour qu’elle regrette ce qu’elle avait fait... ? C’était impossible, même elle, elle trouverait cela trop gros... Pourtant, visiblement, l’envie de la manger... Ce n’était qu’une mauvaise blague. Une très mauvaise blague... C’est ce qu’elle pensa dans un premier temps. Malheureusement, ce « premier temps » ne fut pas d’une si longue durée, étant donné que bien vite, elle eut enfin la présence d’esprit de se rappeler qu’elle ne s’était pas contenté de dire qu’elle n’allait pas la dévorer... Non, elle avait dit un peu plus... Et ce un peu plus avait de l’importance... La preuve ?

« Car je compte bien te dévorer, ma chérie. Je confesse être venue te voir pour t’offrir à ma Mère, qui sera pour toi ta nouvelle religion, ta nouvelle Déité. Tu lui offriras ta virginité. Je confesse donc que je vais te capturer, te détourner de ta fausse idole qui ne te protège en rien, et que je vais faire de toi, pour le dire familièrement... La Reine des Putes ! Car ton Dieu est faux, Marie. Regarde... »

C’est alors que la fameuse démone, enfin, toujours avec ce que pensait notre fameuse Marie, usa de l’une de ses tentacules pour briser la croix. Celle-ci ne fit rien, et se fit détruire, avant de tomber misérablement par terre. Aucune intervention divine. Ni foudre, ni colère, ni voix divine disant : « PUTAIN GIRL C’EST LA CROIX DE MON FILS » Non. Rien. Juste le bruit qui raisonna dans la sacristie vide... Bref, un blanc totale... La fameuse Marie tremblait, pensant à ce qui venait de se passer, et ce qu’elle avait dit... C’était ça... C’était ça que la démone voulait ? Sa virginité ? Elle allait se faire violer ? Non pire, elle allait se faire violer et prostituer, comme ça ? C’était un destin... Elle allait se faire capturer et violer. Et voilà qu’elle était devant celle qui comptait faire cela... Personne ne pouvait la voir ni l’entendre, donc, elle n’avait rien à craindre, cette fameuse Thyzia... D’ailleurs, qui enfonçait le clou....

« Tu vois ? Rien, absolument rien. Où est donc la foudre divine qui va me terrasser pour mes blasphèmes ? Ton Dieu est une vieille pute acariâtre, ma chérie. Tu perds ton temps et tu gâches ta beauté à le servir. Je ne peux tolérer ça, alors... Tu serviras désormais une vraie déité. »

« Soit… Je… Je n’ai donc aucune chance… C’est ça… ? »

Elle déclara ça en tournant la tête... Visiblement, c’était le cas. « Père, pourquoi m’as tu abandonné » aurait dit le Christ sur la Croix... C’était un peu ce qu’elle était entrain de penser. Allait-elle devenir une martyr des temps moderne ? Devant cette horrible créature... ? Elle déclara, alors, tentant de prendre un air assuré :

« Et… Et bien, peut-être que… Vous… Vous n’êtes pas assez importante pour que Dieu intervienne… ? »

BAM ! Elle avait sortit ça, comme ça ! Sans aucune hésitation... On sentait qu’elle avait un peu abandonnée la chance d’être sauvée par Dieu... Donc, elle en profitait ! Elle en profitait pour dire le peu d’estime qu’elle avait pour ce fameux monstre ! Car c’était une monstre, elle n’avait aucun doute. Elle tentait d’écrémer ce qu’elle faisait avec des pseudo-gestes d’affection, mais dans les faits, elle était une horrible créature ! La transformer en pute... ! Elle ne voulait pas ! Qui ne voudrait de toute façon, pensait-elle. Il était néanmoins aisé de voir ce qu’elle évoquait implicitement, sans trop le remarquer... Si en effet, Thyzia n’était pas digne que Dieu s’occupe d’elle... Et bien cela voulait dire que Marie n’était pas digne non plus qu’on s’occupe d’elle, et qu’on daigne la sauver... Et ouais, c’était dans les deux sens ma cocotte ! Mais elle semblait pas remarquer cela, étant donné qu’elle déclara :

« Je mourrai en martyr s’il faut, votre « vraie » déité pourra me tuer, je serais comme Lucie ou Cécile, je suis prête à mou… Mou… »

Sainte Cécile et Sainte Lucie... Deux choix assez cohérent vu sa situation étant donné que la fameuse Marie avait choisie deux Saintes Vierges, qui tout deux avaient eu des problèmes, et des tentatives de faire perdre leur virginité... D’ailleurs, pour l’anecdote, le choix de Lucie était parfaitement conscient de la part de notre fameuse Marie, celle-ci ayant failli finir dans un Lupanar où elle aurait été abusé par des hommes... Le Saint-Esprit est alors intervenu pour la protéger, la rendant complètement immobile et inbougeable... Jusqu’à ce qu’elle meurt. Et là, ouais, vous voyez justement que la fameuse Marie faisait moins la fine... Elle avait vraiment pas envie de mourir. Elle ne voulait pas succomber, et ainsi, elle regardait Thyzia avec des yeux effrayés. Au fond d’elle, même si cela l’horrifiait de penser cela, et bien... Et bien elle se disait que mieux valait finir comme une pute que comme une morte... Elle n’avait pas envie de finir en martyr. Vraiment pas. La mort, ça fait toujours peur...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 04 décembre 2017, 01:01:42
Diable, que ces religieuses pouvaient être têtues ! Marie en était presque fatigante, typiquement le genre de personnes qui voulaient toujours avoir le dernier mot, et qui mettaient à rude épreuve la patience de Thyzia. La jeune Formienne commençait en effet à passer de l’amusement à l’irritation. Elle avait des instructions très claires sur les proies qu’elle ramenait, mais quelque chose lui disait qu’elle devait montrer à Marie qu’elle était plutôt sérieuse, qu’elle n’était pas là pour rigoler. Quand cette dernière commença à la narguer, et à annoncer qu’elle voulait mourir, Thyzia décida qu’elle avait épuisé son capital patience.

Sa main fusa, et elle gifla sèchement Marie au visage, la renversant au sol. Un coup puissant, qui témoignait de sa force surréaliste.

« Allez, fini de jouer ! » s’exclama alors Thyzia.

Marie s’était couchée sur le ventre, sonnée par cette puissante gifle. Sa bure dévoilait l’une de ses longues jambes fuselées, et Thyzia se rapprocha encore d’elle, et posa une main sur son visage, un sourire maléfique sur les lèvres. Elle serra alors, obscurcissant la vision de la religieuse, l’étouffant progressivement... Jusqu’à la faire sombrer dans l’inconscience. Parfois, comme le disait le vieux proverbe, les discours les plus courts étaient les meilleurs.



Ce fut un coup de fouet sur ses fesses qui réveilla Marie.

Tout autour d’elle, on pouvait entendre des grouillements, des bruits de reptation et de frottement. Elle était suspendue en l’air, maintenue au-dessus d’un sol spongieux et violâtre par des liens à hauteur des poignets et des chevilles. Elle n’avait plus sa bure de religieuse, mais portait encore, sur son cou, un collier doré avec, à la pointe, une croix chrétienne, qui reposait sous ses seins. Nue, Marie était retenue par des tentacules, et le tentacule qui avait fouetté ses fesses se mit à caresser le creux de son dos, répandant derrière lui une traînée liquide gluante et très froide, faisant frissonner la femme.

Où se trouvait-elle donc ? Ça n’avait rien à voir avec l’église ! La lumière émanait de cristaux violets lumineux, et elle avait l’impression d’être dans une sorte de grotte gélatineuse. En fait, on aurait pu croire que c’était là l’intérieur d’un estomac géant, vu la manière dont les murs bougeaient, ondulant sur place. Curieusement, Marie portait encore son foulard de nonne.

« Alors, voilà donc la petite insolente... »

Une voix amusée émanait de l’obscurité, et, rapidement, des bruits de pas se firent entendre. Marie put alors voir une silhouette violette, et une série de pattes arachnéennes, dont l’une se rapprocha d’elle, frottant son visage. Une sorte de vision cauchemardesque avant que des yeux ne luisent dans l’obscurité, et qu’une main griffue ne s’approche de l’un de ses seins, le caressant. Un cristal s’illumina alors, et éclaira le corps monstrueux et magnifique de Sarah Kerrigan !

La Reine des Lames se tenait en personne devant la jeune femme !

« Je vais m’occuper de te dresser comme il faut, ma chérie. Je suis Sarah Kerrigan. Et tu es désormais à moi... »
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le jeudi 07 décembre 2017, 12:44:11
Elle n’avait plus que ça : sa fierté. On tentait de lui faire croire que la puissance du Père n’était pas présente, mais elle y croyait. Dieu lui envoyait une épreuve, et elle la terraserait. Même... Même si elle avait peur. Bien sur, elle était insolente, mais elle tentait de faire de son mieux pour ne pas craquer. La notion de la mort lui avait fait peur, mais elle devait tenir bon. Peut-être que Thyzia elle-même faisait partie de l’épreuve... ? Peut-être que tout cela n’était que pour renforcer sa foi ! Elle espérait... Malheureusement, l’espoir fait vivre, dit-on, mais se reposer uniquement sur cet espoir est une mauvaise idée... Une très mauvaise idée même, et disons qu’il est parfois bien plus sage de faire autres choses, de réfléchir, et de tenter de s’en sortir... Car là, une énorme gifle fit tomber à terre la femme, qui ne put rien faire à part regarder celle qui était non seulement son interlocutrice, mais aussi son agresseuse...

« Allez, fini de jouer ! » 

Maintenant couchée sur le ventre, elle ne pouvait rien faire, rien faire du tout. Elle était donc bien piégée, elle pouvait rien faire... Et elle allait mourir. Oui, elle allait bien mourir. Elle ne pouvait rien faire, étant donné que la fameuse Thyzia commençait... A l’étrangler. Elle allait mourir, ainsi, sans rien pouvoir faire pour tenter de s’échapper... Non, elle ne voulait pas mourir... Mais bon, au moins, elle ne finirait pas « Reine des Putes », elle allait disparaître tout simplement, et rejoindre son père. Elle allait mourir en martyr, comme tant de femmes, avant elle, et Dieu la récompenserait... Au... Au revoir... Elle sentait sa conscience s’évanouir... C’était bel et bien la fin... Elle n’aurait jamais pensé que sa vie finirait ainsi... Son père... Ses amis... Tout cela allait lui manquer, mais c’était la fin... Au revoir tout le monde...

***
Ce fut un coup de fouët qui fit sortir du monde de Morphée la pauvre Marie. On pouvait dire que c’était un réveil violent ! Elle émergea alors... Et la première chose qu’elle remarqua, c’était qu’elle était quasiment nue... Ses seins, son intimité, ses fesses... Tout ! Il ne lui restait plus que mystérieusement... Sa capuche, et une croix, la croix chrétienne, qui reposait encore sur sa peau nue... Cela la rassurait un peu... Mais la vue du cadre où elle était... Qu’est-ce que cet enfer ? Tout semblait vivant, horriblement vivant, tout bougeais, cela grouillait... C’était horrible ! Qu’est-ce qu’elle fichait ici ?! Elle voulait partir le plus rapidement possible... Mais c’était impossible, étant donné qu’elle était attachée. Ses bras comme ses jambes étaient immobilisées... Quel horreurs, elle était offertes, ainsi, Elle frisonnait alors que toutes cette matière organique jouait avec elle, c’était atroce... Elle voulait partir...

« Alors, voilà donc la petite insolente... »

« Que je quoi... ? »

Ouh là ! Les mots, les idées, tout se mélangeait dans la pauvre tête de Marie... Il faut dire qu’elle n’était toujours pas habitué au cadre, qu’elle venait de rencontrer donc la personne qui avait sans doute fouétée sa fesse... Enfin... C’était la théorie. Marie se serait donc attendu à Thyzia... Cela aurait été logique n’est-ce pas ? Sauf que non. Marie avait visiblement le droit au mieux... Et ouais, la Reine elle-même ! Enfin, cela, Marie ne le savait pas... Tout ce qu’elle savait... De toutes les créatures des Enfers, et bien, celle-ci était sans doute la pire... Touchant sa peau nue, et bien... Des pattes digne d’une araignées... Une lueur violette inquiétante... Tout du monstre... Mais... Mais ce n’était pas l’apparence qui fut le plus effrayant. Non, si l’apparence était tant effrayante... Et bien, elle n’était en comparaison rien avec cette voix... Cette voix qui faisait hérisser son poil, et qui ainsi expliqua ce qui arrivait...

« Je vais m’occuper de te dresser comme il faut, ma chérie. Je suis Sarah Kerrigan. Et tu es désormais à moi... »

« Je... Non ! »


Elle ne voulait pas... ! Elle avait peur. Cela se voyait à son corps, qui grelottait et frissonnait aussi bien à cause du froid que de la peur... Cela se voyait à sa façon de parler, hésitante, tremblotant, etc... Mais cela se voyait surtout à ses yeux, ses bons reflets de l’âme, qui ici, reflétait toute la peur et toute l’hésitation qu’avait la fameuse Marie. Elle doutait fort peur que si elle était nue, là, c’était pour se faire violer... Puis, Thyzia avait dit qu’elle voulait faire d’elle « La Reine des Putes ». Mais pourquoi ? Pourquoi vouloir faire ça ? Personne n’y gagnerait, et tout le monde souffrirait. Elle n’était pas faites pour le sexe, et cela se voyait ! Pourquoi ne pouvait-on pas la laisser tranquille ? Elle déclara alors :

« S’il vous plait non, pour l’amour de Dieu... Je veux pas... Je suis sur que beaucoup d’autres femmes aimeraient ça... Ne me faites pas de mal... »

Oh, ce n’est pas très chrétien ça, Marie ! Mais oui, elle était bien entrain de tenter d’échanger sa place avec d’autres femmes, en espérant se sauver... Encore une fois, je répète, ce n’est pas chrétien, c’est pas terrible comme comportement ça. Mais c’était bel et bien humain. Elle avait peur, cela se sentait, comme dit précédemment... Maintenant, il fallait voir ce que Sarah Kerrigan allait faire d’elle. Après tout, elle semblait bien incapable de faire quoique ce soit dans cette situation, la fameuse religieuse. Elle ne pouvait qu’à peine prier, et elle avait vraiment trop peur, même, pour se contenter de pleurer ou prier... Non, elle regardait Sarah, en tremblant. Pourvu qu’elle la prenne en pitié... Après tout, elle n’était qu’une femme, une femme qui n’avait rien fait... Elle ne méritait pas cela ! Par pitié !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le samedi 09 décembre 2017, 14:31:50
Sarah se pinça doucement les lèvres devant ce morceau. Une belle religieuse, aussi vierge et aussi chaste qu’au jour de sa naissance ! Thyzia avait été toute fière de la lui présenter, tout en lui disant que cette religieuse était une vilaine effrontée, une petite rebelle. Une raison supplémentaire pour exciter Kerrigan, qui était bien décidée à s’occuper longuement d’elle. Paniquée, elle assura qu’il y avait sûrement d’autres personnes qui aimaient ça, mais pas elle ! À cette phrase, Sarah se mit à rire.

« D’autres personnes ? Tu veux que je jette mon dévolu sur d’autres ? Voilà qui n’est pas très chrétien, ma chérie. Je croyais pourtant que la Bible enseignait à ses fidèles le sens du sacrifice. Après tout, le Christ ne s’est-il pas sacrifié pour sauver les autres ? »

Kerrigan était une femme cultivée, redoutablement cultivée, et qui continuait à narguer Marie. Elle tourna alors sa tête vers un mur, et ce dernier s’ouvrit brusquement. C’était comme si le mur était composé d’une série de couches, superposées les unes sur les autres, et qui se retirèrent progressivement, jusqu’à révéler... Un corps. Un corps recouvert d’une substance blanchâtre crémeuse, et dont une bonne partie du corps disparaissait dans un amoncellement de tentacules, un enchevêtrement gluant qui s’abattait sur elle. Un tentacule était plantée dans sa bouche, deux autres pompaient ses seins, et d’autres s’enfonçaient dans ses trous. Un gros tentacule phallique la pénétrait, et, tandis que tout ça se faisait, Marie put voir que le ventre de la femme était très gros, très arrondi, comme si elle semblait sur le point d’accoucher.

Qui était donc cette pauvre créature ? Les questions devaient se multiplier dans l’esprit de la jeune Marie. Sarah se rapprocha de la femme, dont les yeux étaient recouverts par un autre tentacule gluant.

« Elle, tu vois, c’était une effrontée, comme toi... Elle a voulu se suicider, mais je l’en ai empêché. Maintenant... Maintenant, elle n’est plus rien, plus rien d’autre qu’une pondeuse, un sac à foutre. Mes tentacules la bourrent sans relâche depuis plusieurs semaines, la nourrissant et l’entretenant à l’aide d’intraveineuses. Son esprit est totalement fracturé, dispersé en mille morceaux, et je le reconstruis progressivement. Et elle aussi, elle n’a rien fait... Une simple étudiante, une fille sans histoire. J’ai tellement adoré la baiser, si tu savais... Mais toi... Toi, je sens que ça va être exceptionnel ! »

Aucune piste de sortie pour Marie ! Cette dernière vit avec horreur le corps de la prisonnière retourner s’enfouir dans les tentacules, disparaissant à nouveau. Un sourire moqueur et vicieux éclairait alors les lèvres de Sarah, qui se retourna vers la femme. Ses plaques de chitine s’écartèrent alors à hauteur de son sexe, et, effrayée probablement, Marie vit une verge jaillir brusquement, se dressant fièrement devant Sarah, qui soupira de plaisir.

« Allez, je t’ai assez fait languir... »

Les tentacules retournèrent alors Marie, la couchant en l’air, sur le dos, et écartèrent ses jambes, révélant ainsi l’accès à son intimité. Lentement, les mains de Sarah remontèrent le long des jambes de Marie, griffant sa peau, jusqu’à ce que sa queue ne vienne heurter son bassin.

« Un dernier mot, ma puce ? En temps normal, je drogue mes concubines, mais... Comme tu as été méchante envers ma fille, tu auras droit à un viol à sec ! »

Méchante... Sarah avait le sens de l’ironie ! Après tout, c’était sa fille qui était venue capturer Marie. Mais, dans l’esprit de Sarah, elles ne faisaient qu’offrir à Marie une vie qui avait du sens. Une vie où Marie vivrait dans la jouissance perpétuelle.

Somme toute, n’était-ce pas là une définition du bonheur ?
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le vendredi 15 décembre 2017, 09:59:25
« D’autres personnes ? Tu veux que je jette mon dévolu sur d’autres ? Voilà qui n’est pas très chrétien, ma chérie. Je croyais pourtant que la Bible enseignait à ses fidèles le sens du sacrifice. Après tout, le Christ ne s’est-il pas sacrifié pour sauver les autres ? »

C’est vrai. Elle ne pouvait rien dire de plus. Cela la dégoûtait véritablement de penser ça… Mais elle ne pouvait que reconnaître que la fameuse Sarah, là, avait bien raison. Le Christ s’était sacrifié pour autrui… Mais non. Juste non. Là, elle déformait totalement la réalité ! Le Christ s’était sacrifié pour sauver les hommes du péchés, il avait rachetés les péchés. Jamais il ne s’était sacrifié pour le bon plaisir de ses tortionnaires, ni même pour sauver Barbaras, le bandit, tueur, tortionnaire, que les juifs avaient sauvés à sa place… ! Non, il s’était sacrifié pour l’humanité… Elle ne se sacrifiait pas pour l’humanité, elle était sacrifié pour… Pour ça… ! Une créature maléfique, qu’elle accusait d’être pire même qu’un démon ! Elle ne voulait pas, elle ne voulait vraiment pas finir ainsi… Elle ne pouvait pas finir ainsi ! Vraiment !

Et là, ce fut le choc. Et quand je parle de choc… Je parle de véritable choc… En effet, la tête de sa tortionnaire se tourna vers l’un de ses étranges murs qui commença à s’ouvrir. Dans un premier temps, Marie supposa que son interlocutrice tentait de la faire rager, bisquer, en montrant qu’elle pourrait tenter de s’enfuir… Mais non, pas du tout. C’était bien pire que ça… En effet apparu, soudainement… Un corps ! Elle cru pendant un moment que cette femme était morte… Mais non ! Elle était juste attachée, maintenant par des tentacules, tandis qu’une tentacule était dans sa bouche, et bougait légèrement. Ses seins n’étaient pas en reste, étant pompée, visiblement… Sans transparence, elle ne pouvait savoir s’ils recupéraient du lait… Mais c’était sa théorie, car la femme était enceinte, cela se voyait… Et enfin, il restait l’intimité, la précieuse intimité, qui était violentée sans arrêt…

« Elle, tu vois, c’était une effrontée, comme toi... Elle a voulu se suicider, mais je l’en ai empêché. Maintenant... Maintenant, elle n’est plus rien, plus rien d’autre qu’une pondeuse, un sac à foutre. Mes tentacules la bourrent sans relâche depuis plusieurs semaines, la nourrissant et l’entretenant à l’aide d’intraveineuses. Son esprit est totalement fracturé, dispersé en mille morceaux, et je le reconstruis progressivement. Et elle aussi, elle n’a rien fait... Une simple étudiante, une fille sans histoire. J’ai tellement adoré la baiser, si tu savais... Mais toi... Toi, je sens que ça va être exceptionnel ! »

« Je… »

Elle n’avait même pas les mots… Elle ne savait pas quoi dire… Tout l’horrifiait. Le fait qu’elle avait poussé une pauvre étudiante au suicide… Qu’elle ne lui avait même pas accorder le bénéfice de la mort…. Qu’elle faisait d’elle une « pondeuse », un « sac à foutre »… Qu’elle était nourrie, et entretenue… Que son cerveau était remodelé pour sans doute accepter son destin… Et enfin, que cela faisait plusieurs semaines que ça durait ! C’était une sorte d’escalade de l’horreur, que tout devenait de plus en plus horrible, au fur et à mesure qu’elle en parle… Elle ne voulait pas voir ça, et surtout… Elle ne voulait pas subir ça. Elle ne voulait pas finir ainsi… Pourtant, vu sa situation… Et bien, il ne semblait pas avoir trop d’autres possibilités de fins pour elle. Plus le temps passait, plus l’happy ending semblait loin, et plus elle sentait qu’elle allait pas pouvoir en sortir… D’ailleurs, comme disait Sarah :

« Allez, je t’ai assez fait languir... »

Sarah avait alors fait apparaître ce que craignait justement Marie… Un organe reproducteur masculin ! Ou une bite, si vous préférez, mais disons que « organe reproducteur masculin » était plus proche de ce que pensait la fameuse Marie là, en cette situation… Et comme si la situation n’était déjà pas assez inconfortable pour elle… Et bien, la fameuse Sarah décida de changer la position de sa victime. Maintenant, elle était dans une position allongée, offrant peut-être encore plus son corps à tout le monde… Enfin à Sarah. Elle savait ce qui allait arriver… Elle le savait, et en avait bien peur… Surtout quand les mots arrivèrent jusqu’à elle, mots qui n’étaient pas spécialement rassurant, mais il faut dire… Ils n’avaient nullement vocation de l’être !

« Un dernier mot, ma puce ? En temps normal, je drogue mes concubines, mais... Comme tu as été méchante envers ma fille, tu auras droit à un viol à sec ! »

« Non ! Cela n’entrera pas, c’est inutile, c’est… Trop gros ! »

Marie avait vraiment peur… En même temps, je doute fort qu’on pouvait lui en vouloir pour ça, après ce qu’elle avait vu, c’est vrai que cela faisait bien peur… Non ? Bref, elle était terrifiée par ce qui allait se passer. C’était la première fois déjà qu’elle voyait un phallus, et ses cours de science faisait qu’elle savait que ce n’était… Disons pas conventionnel de trouver une « femme », si on pouvait encore à ses yeux appeler Sarah « femme », mais passions, avec un phalluss. Mais alors là… Non, c’était très gros, beaucoup trop gros, cela allait la déchirer, la tuer, elle ne pouvait pas supporter ça ! Elle n’était qu’une petite femme ! Elle allait pas survivre à ça… Alors qu’elle savait que l’inévitable approchait, et bien, elle tenta une dernière fois de faire changer d’avis son interlocutrice, en tentant de se rappeler de ce qu’elle savait de ce qui allait se passer… Une tentative désespérées quoi.

« Je… Vous voulez une pondeuse ? Je serais une très mauvaise pondeuse ! Pensez à vos petits, vous avez besoin de femmes expérimentés, qui ont de… De… Bref, je suis pas bonne ! Nous… Nous pouvons tout deux être raisonnable ! »

Encore une fois, du pur et simple marchandage, une tentative désespérée de faire en sorte que la fameuse Sarah détourne son regard… A ce stade, quitte à la tuer, c’était pas si grave… Elle arriverait au Paradis… Mais là, elle avait moins peur de la mort, quand elle comprenait que son destin serait de ne PAS mourir, mais au contraire, vivre cela… Toute sa vie ! Et elle ne pouvait pas imaginer cela… Donc, elle présupposait qu’elle serait une très mauvaise pondeuse… Comment pouvait-elle le savoir ? Et bien, elle supposait que n’ayant jamais eu d’enfants, étant encore vierge et jeune, et bien, cela faisait qu’elle risquait plus de poser problèmes pour les précieux enfants de Sarah. Alors, bien entendus, on devinait que Marie en avait au fond totalement rien à foutre des enfants de Sarah, elle cherchait juste un moyen de s’échapper… Sauf que cela était sans doute inutile, vu la situation. Très certainement que Sarah n’allait pas s’intéresser aux réclamations de la fameuse religieuse !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 18 décembre 2017, 00:59:21
Encore une fois, Marie tenta de la dissuader, sans visiblement réaliser qu’il était tard, bien trop tard pour ça. Sarah était furieusement excitée, et, pour s’en rendre compte, il suffisait de voir sa formidable érection. Sa queue était bien dressée, signe évident de son envie de la prendre. Pour la décourager, Marie assura qu’elle serait une très mauvaise pondeuse. En retour, la queue gonflée de Sarah caressa ses lèvres intimes. C’était une belle verge violette, bien grosse, un sacré calibre, qui commença à se glisser dans le corps de la femme. Sarah s’arrêta alors, et caressa les cuisses de la religieuse, en souriant encore.

« Vu comment tu as la langue bien pendue, ma belle, tu me donneras de magnifiques bébés. Maintenant, chut, tais-toi, et profite… Si tu savais le nombre de femmes qui rêveraient d’être à ta place… Perdre sa virginité entre les mains de la Reine des Lames, c’est un immense honneur ! »

Sans nul doute que Marie ne le verrait pas sous cet angle, mais Kerrigan était bien évidemment très sérieuse. Elle banda les muscles, et s’enfonça alors dans le corps de la femme, donnant un bon coup de reins. Un long frisson la traversa en sentant l’étroitesse de ce corps, les lèvres intimes de la religieuse crispant sur son membre. Nulle punition divine ne s’abattit, nul éclair ne vint repousser Sarah, ni barrière magique… Au lieu de ça, elle sentit juste l’hymen de Marie se percer, et le sang afflua le long de sa queue. Kerrigan ferma les yeux, et, sous l’effet d’une excitation subite, griffa involontairement les cuisses de la religieuse.

Oh, que c’était bon ! Sarah aimait le sexe, bien entendu, mais dépuceler une belle vierge, ça… Ça n’avait tout simplement pas de prix ! Elle remua alors, accélérant progressivement le rythme, sa queue bien grosse continuant à déchirer les entrailles de Marie. Elle peinait à s’enfoncer, tant le con de la religieuse était étroite. Encore une fois, Sarah aurait pu se simplifier la vie en utilisant un tentacule qui aurait permis de lubrifier son vagin, mais Sarah estimait que Marie méritait une leçon. Cette religieuse était tout simplement une effrontée qui méritait de se faire casser. Kerrigan voulait l’entendre hurler, et elle continua donc à la prendre.

Ses mains se crispèrent à nouveau sur ses cuisses, et elle continua à la prendre, accélérant de plus en plus le rythme, au fur et à mesure que, progressivement, les lèvres intimes de Marie s’écartaient. Pour l’aider quand même, les tentacules enroulés autour de ses chevilles écartaient ses jambes. Marie était également retenue par les poignets, et se trouvait donc couchée en l’air, le corps perpendiculaire à celui de Kerrigan, qui continuait à la bourrer, s’enfonçant sans ménagement en elle.

« Hmmm… Oh, Marie, haaaa… Tu es v-vraiment… Hmmm… Dé-Délicieuse, haaaaa… Ma salope !! »

Marie pouvait être fière… Elle venait de perdre sa virginité ! Une vie nouvelle, magnifique et pleine de joie, s’offrait à elle.

D’ici peu, Sarah en était sûre, Marie la remercierait pour tout ça…
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 20 décembre 2017, 11:03:39
Elle regardait, presque hypnotisé, horrifiée, appeurée, inquiète, bref, tout les adjectifs possibles et imaginables, la queue de la fameuse Sarah. Celle-ci était bien loin de toutes les queues qu’avaient vu Marie. Diablerie me diriez-vous ?! Comment Marie pouvait-elle connaître cela ? Pure et chaste qu’elle est ! Et bien, elle avait déjà vu des phallus, ou plutôt des images et schémas de phallus pendant ses cours de biologie dans le secondaire ! Et ouais... Donc, elle savait ce à quoi ça ressemblait normalement... Et elle pouvait « confirmer », cela ne ressemblait PAS DU TOUT à ça normalement. Elle était violette... Enorme... Beaucoup, mais alors beaucoup trop grosse, et elle commençait à entrer en elle... Non, cela allait la briser, il ne fallait pas !

« Vu comment tu as la langue bien pendue, ma belle, tu me donneras de magnifiques bébés. Maintenant, chut, tais-toi, et profite… Si tu savais le nombre de femmes qui rêveraient d’être à ta place… Perdre sa virginité entre les mains de laReine des Lames, c’est un immense honneur ! »

« NON NON NON !!! »

Et c’était trop tard ! Elle ne pouvait que hurler, ce qu’elle faisait, L’inévitable était en cours, et rien ne semblait capable de l’arrêter. Tout les suppliques, demandes, prières... Seul la punition divine semblait pouvoir sauver Marie, mais celle-ci était muette. Son Dieu semblait vouloir qu’elle soit une martyr et violée, plutôt que la sauver. Quoiqu’il en soit, Dieu n’était pas là pour elle, et elle avait a peu près autant de chance de s’en sortir de cette situation, vu sa position, et les envies de son interlocutrice, qu’elle avait de chance de faire la distance Paris-New York en battant des fesses. Bref, en un mots comme en cent, elle allait se faire pénétrer... Et ce qui devait arriver arriva, car en effet :

« AAAAAAAAAAH ! »

Le sang vaginal coula, la virginité fut brisée... Et elle se fut pénétrer, sans aucune douceur. La violence était absolue, et Marie souffrait vraiment, c’était un viol sans lubrification. Et pour sa première fois, on pouvait dire que c’était sec, c’était méchant et sans amour. Elle se faisait même griffer au niveau de ses cuisses, bref, le phallus passait du fond à l’entrée de son intimité, sans absolument aucune considération pour celle qui se faisait violer. Sarah prenait son pied, ah, cela, il n’y avait aucun doute... Tandis que Marie, elle, ne prenait aucun plaisir. Elle était véritablement utilisée, et ne pouvait rien faire. Solidement attaché, il n’y avait guère de différence entre elle,e t un simple jouet sexuel qu’on utiliserait pour se défouler... Elle devait même écouter les railleries de sa tortionnaire :

« Hmmm… Oh, Marie, haaaa… Tu es v-vraiment… Hmmm… Dé-Délicieuse, haaaaa… Ma salope !! »

« Non... Je... Je ne suis pas une salope... Vous me violez... »

Elle gémissait et pleurait. Cela ne servait à rien de continuer de se faire mal à crier, elle souffrait déjà assez de ce qui lui arrivait. Elle n’était pas une salope... Elle n’était pas une salope, car elle ne voulait pas prendre du plaisir à cela. De même, elle n’était pas une pute, elle n’avait absolument pas voulu cela, elle se faisait violer... Quoiqu’il arrive, Sarah devait bien comprendre, au sens de Marie, qu’elle était la victime, et qu’elle n’avait jamais demandé cela. Marie voulait bien faire attention que cela soit clair, au moins... Jamais elle ne serait considéré comme consentante. Elle était une pauvre victime dans cette histoire, et elle souffrait. Elle souffrait énormément... Ou peut-être pas si énormément que ça, comme en témoigna légèrement les déclarations suivantes :

« Pitié, quelqu’un, n’importe qui... Dieu... Je suis votre servante, venez m’aider... Aaah... aaah... »

Elle gémissait comme... Et bien comme une salope. Elle ne prenait pas de plaisir, pas du tout, mais comment faire comprendre à son corps cela ? Elle souffrait mais il y avait aussi quelques réactions naturels qui la poussait à gémir ainsi... Et elle en avait honte. Il fallait que Dieu vienne la sauver, mais il n’arrivait toujours pas, il la laissait souffrir, exactement comme il avait laissé soufrir son fils sur la croix... Elle ne doutait point de Dieu, mais elle implorait qu’il intervienne, à un moment ou un autre... Elle continuait de pleurer et gémir, un mélange des deux... Qui devaient être absolument délicieux à entendre pour Sarah ! Que cela soit dans l’acte sexuel, ou bien dans les gémissements de la fameuse Sarah, on pouvait dire que l’ensemble était absolument charmant pour une personne comme Sarah, tandis que cela ressemblait plutôt à ce qu’imaginait notre chère Marie quand elle pensait à l’enfer...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 25 décembre 2017, 16:25:03
Petite Marie, douce et petite religieuse... Elle se mit à hurler en sentant la verge de Sarah s’enfoncer en elle, et elle, la Reine des Lames, frémit en sentant l’hymen de la femme se percer sous le contact de sa verge. La douleur explosa dans le corps de la femme, terrible et incroyable. Sarah se pinça les lèvres en sentant combien l’intimité de la femme était sèche, aride et dure. Difficile de s’y glisser et de se mouvoir, car sa queue frottait contre les lèvres intimes de la femme, et peinait à les écarter. De fait, au début, Sarah ne parvenait tout simplement pas à s’enfoncer, bloquée par des considérations anatomiques fondamentales, à savoir une ouverture trop petite pour sa verge, et une absence de dilatation des parois internes de la femme. Marie hurla comme une folle, provoquant chez Sarah une série de frissons, ainsi qu’un sourire vicieux et pervers. Oui, tout ça l’excitait furieusement, ce sentiment de domination, de contrôle sur les autres... Il y avait un peu de méchanceté dans ce qu’elle faisait, mais tout était calculé. Sarah ne comptait pas détruire la religieuse, ni la faire souffrir, mais... Disons que c’était une petite leçon, une correction.

Dans de nouveaux soupirs entrecoupés de sanglots, Marie supplia de prendre quelqu’un d’autre. Encore une fois, Sarah gloussa, et un tentacule apparut soudain, venant fouetter le ventre de Marie.

« Allons, allons, Marie, hmmm, estime-toi... Heureuse ! Ta religion est le paradis des martyrs ! Grâce à moi, hmmm... Tu seras canonisée ! »

Encore une fois, Sarah était suffisamment cultivée pour savoir que le christianisme, à l’image de la religion de l’Ordre Immaculé sur Terra, accordait une grande importance au sacrifice. Tous les Saints que l’Église catholique avait canonisé n’avait pas pour point commun d’avoir accompli de grandes choses, à l’exception peut-être de Mère Teresa, mais d’avoir été des victimes. Après tout, l’image même de cette religion était un instrument de torture, une croix de crucifixion. Le christianisme, avant d’être une religion de compassion et d’empathie, était avant tout une religion reposant sur l’idée noire et dépressive que les humains étaient faits pour souffrir et pour être blessés sur Terre. Le reste n’était qu’une série de conséquences de ce postulat initial et intangible.

Sarah, de son côté, continuait à être embêtée par la difficulté qu’elle avait à pénétrer comme il faut Marie... Et peut-être bien que, inconsciemment aussi, elle ressentait un peu d’empathie pour cette religieuse. Ou alors, elle se disait que lui faire ressentir du plaisir à ce viol serait, en définitive, la pire des humiliations. Elle pouvait en effet sentir une ombrelle, très légère, d’excitation émanant du corps de Marie, comme si, au fin fond d’elle-même, le corps de la religieuse commençait à trahir. Kerrigan commença donc à exploiter cette idée, et généra un nouveau tentacule, dont la pointe était en forme de seringue.

« Tu vas voir, Marie, hmmm... On va bien s’amuser, toutes les deux... »

Les yeux empreints de malice, Sarah continua à guider le tentacule, qui se planta dans le creux du cou de la femme. Un liquide aphrodisiaque se déversa alors dans le corps de la femme, et Sarah sourit donc. Marie allait-elle pouvoir lutter contre ça ? Le corps humain fonctionnait sur des réactions chimiques et purement physiques. Et, dans ce domaine, les Formiens connaissaient le corps humain à la perfection. Marie n’allait pas pouvoir lutter.

« Là, voilà... Laisse le plaisir t’inonder, Marie. Constate à quel point tu aimes le péché, et sombrer dans la luxure, ma petite pute... »
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 27 décembre 2017, 22:56:40
Son corps la trahissait légèrement, il fallait bien avouer… Mais, c’était que très très TRES légèrement. Dans les faits, elle souffrait, vraiment. Le plaisir était une infime, quasi infime réaction de son corps… Il fallait le dire, pour le moment, il n’y avait absolument aucune tentation de la part de celle qui la baisait, d’être douce… C’était quand même la première fois de le religieuse, et celle-ci ne s’était jamais préparé pour le sexe. Au contraire, son corps entier était en position de défense, et elle se faisait violer, littéralement, ne pouvant rien faire pour tenter de lutter, à part se contracter, ce qui ne faisait que la faire souffrir davantage… Mais dans un sens, elle avait « envie » de souffrir. Pour bien faire comprendre à celle qui la faisait souffrir que jamais elle n’apprécierait. Elle ne deviendrait jamais comme cette pauvre lycéenne, qui avait été réduite à n’être qu’un ventre pour la fameuse Sarah...

« Allons, allons, Marie, hmmm, estime-toi... Heureuse ! Ta religion est le paradis des martyrs ! Grâce à moi, hmmm... Tu seras canonisée ! »

Ce… Ce n’est pas comme ça que ça marche ! Ce n’était pas comme ça que ça marche ! Elle était une servante de sa religion… Mais elle ne voulait pas être une martyr ! Les martyrs ne voulaient pas mourir en martyr… Bon d’accord, certains si, c’était le cas… Mais c’était plus complexe que cela, il fallait bien le comprendre… Et puis, elle savait bien qu’il était peu probable que les autorités ecclésiastique ne risquait de pas de s’intéresser à elle… Tout ce qu’elle pouvait dire, c’est qu’elle allait très certainement mourir ici, dès qu’elle pourrait, et qu’au moins, elle rejoindrait son Dieu… Malheureusement, elle n’était pas dupe. Elle avait bien compris que si le but de son interlocutrice, c’était donc de faire d’elle une « pondeuse », et bien… Elle n’allait pas pouvoir mourir de si tôt… Mais au moins, elle souffrirait. Elle ferait comprendre qu’elle ne se laisserait pas briser… Ah ! Plus facile à dire qu’à faire !

« Tu vas voir, Marie, hmmm... On va bien s’amuser, toutes les deux... »

« Non… non… Pas encore... »


Que… Qu’allait-il se passer ? Il fallait bien comprendre… Une nouvelle tentacule venait de se rajouter aux trop nombreuses tentacules déjà présentes… Sauf qu’elle était différente. Elle n’était pas là pour pénétrer l’un de ces orifices visiblement -de toute façon, n’y connaissant rien en sexe, elle ne serait pas du genre à imaginer que son anus ou bien sa bouche pourrait être pénétrer par un phallus, il faut bien le dire… Bref, son bout… Son bout ressemblait à une seringue, qui s’approchait de plus en plus dangereusement d’elle… Oh… Oh mon dieu non, pensait-elle… Non, non, tout sauf ça… Qu’allait-elle faire ? Sauf que c’était inutile. Ne pouvant absolument pas bouger, elle ne put rien faire quand l’aiguille commença à s’injecter en elle, libérant quelques chose, quelques chose qu’elle ne connaissait pas…

« Là, voilà... Laisse le plaisir t’inonder, Marie. Constate à quel point tu aimes le péché, et sombrer dans la luxure, ma petite pute... »

« Je… Je ne céderai pas… Je souffre... »


Là, son corps commençait vraiment à la trahir… En effet, la douleur commençait à partir ;.. Et vraiment, mais je dis bien vraiment, elle le regrettait. Car elle savait que la douleur était ce qui l’avait sauvée de justement commencer à apprécier cela. Elle connaissait suffisamment le corps humain -elle l’avait étudié en science naturel, quand elle était en Italie puis au Japon, pour savoir que les relations sexuelles faisaient réagir certaines glandes du cerveau, qui agissait sur la notion de plaisir… D’où le fait que s’il ne fallait pas en abuser, Marie n’était pas non plus complètement contre la nation de prendre du plaisir, et elle savait que Dieu avait fait l’être humain pour qu’il prenne du plaisir en faisant l’amour… Mais en faisant l’amour, pas en violant… Et à cause de cette horrible création diabolique, et bien, elle commençait à ressentir ce fameux plaisir, ce qui était catastrophique pour elle… Véritablement, extrêmement, et terriblement… Catastrophique. Elle déclara à propos :

« Aaah… C’est si horrible, pourquoi je me sens ainsi... »

Si… Si… Elle n’arrivait même pas à trouver les termes… Et ouais ! Ce n’était pas simple de décrire son corps dans ce genre de situation ! Bref, si son corps commençait à craquer, ce n’était pas exactement la même chose que son esprit. Non, son esprit restait fort, elle devait tenir. Si son corps la trahissait, et bien… Et bien c’était à son esprit de tenir ! Malheureusement, c’était difficile… Diablerie ! Elle se faisait littéralement violer, mais elle commençait à ressentir du plaisir. Auparavant, avant que ce produit s’injecte en elle, et bien, chaque coup de rein la faisait souffrir un peu plus… Maintenant, chaque coup de rein lui faisait disparaître peu à peu la douleur, la changeant en plaisir… Même à l’oeil, à la vue, son corps commençait à la trahir. Ses tétons étaient devenue maintenant dure, elle commençait à mouiller, et sa langue commençait à s’échapper de sa bouche, tandis qu’elle gémissait de plus en plus… Mon dieu… C’était pour son esprit, encore pire que ce qui s’était passé précédemment… Elle sentait qu’elle ne contrôlait plus rien… Qu’est-ce qui allait se passer… ?
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le mercredi 03 janvier 2018, 02:47:17
Même Kerrigan, avec ses puissants pouvoirs de télépathe, n’avait pas le pouvoir de créer ex nihilo le désir. Le désir ne pouvait qu’être modifié, amélioré, accru, ou diminué. Si le tentacule amplifiait les émotions de Marie, il fallait encore que ces émotions soient là, même à l’état de braise. Autrement dit, Marie était en train de succomber. La belle et têtue religieuse était en train de s’effondrer, et, avec son caractère, Sarah s’attendait à ce qu’elle soit très productive, et produise beaucoup de bébés ! Pour la jeune Marie, il n’y avait tout simplement aucune autre option ! Elle servirait la Reine des Lames, et cette dernière l’engrosserait. Elle n’avait plus qu’à renier ses anciens préceptes, car elle n’aurait plus jamais l’occasion de servir le Christ. Désormais, elle servait un Dieu bien plus généreux, bien plus sensuel, et qui tenait bien plus à ses servants que le Saint-Esprit : le dieu Sexe. Elle était au sein de la Fourmilière, esclave sexuelle de Sarah Kerrigan, pondeuse de la Nuée !

Sarah la pénétrait donc, et sentit rapidement la mouille filer autour de sa queue. Oh, elle sentait encore l’esprit de Marie résister à cela, tenter de lutter contre l’impossible, tel un radeau cherchant à aller à contre-courant.

« Ma pauvre petite... Tu luttes contre l’impossible, hmmmm... Laisse ta Reine t’aider ! »

Les seins de Marie semblaient bien tendus, et devaient être très douloureux, en ce moment, pour Marie. Des tentacules s’approchèrent alors, non pas avec une pointe phallique, mais avec une ouverture, une sorte de bouche. Les deux tentacules se posèrent alors respectivement sur chacun des seins de la femme, et leurs bouches se refermèrent dessus. De multiples langues vinrent alors lécher le téton de Marie, tirant dessus, compressant le téton, et caressant également le pourtour, la peau du sein. Comment résister à ça ? Sarah sentait la résistance du corps de Marie fondre, ses muscles se détendant, ce qui lui permettait de la pénétrer plus facilement.

Et, tout en le faisant, la Reine des Lames commençait à user de ses pouvoirs télépathiques, rentrant dans la tête de Marie, envoyant en elle des messages télépathiques.

*[MT] Tu ne peux pas lutter, Marie... Ton corps ne ment pas, lui. Pourquoi résister ? Laisse-toi aller. Au fond de toi, tu rêves d’être traitée comme ça, d’être baisée dans tous les sens, d’être ma petite pute ! [/MT]*

Sarah, en tout cas, prenait son pied. Très clairement. Elle n’avait pas fini de s’occuper ainsi de sa petite religieuse, et continuait à la prendre avec générosité et énergie !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le vendredi 05 janvier 2018, 21:01:31
« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ». Voilà ce que disait le chimiste française Lavoisier (magnifique peint par Jacques-Louis David) à propos de ces études en chimie. Et bien, cela pouvait se transposer à de nombreux principes… Egalement à ce qui arrivait à notre fameuse Marie. Comme excellemment dit précédemment, et bien… Ce qui arrivait à Marie… Niveau plaisir, ne pouvait pas être amputé à la fameuse Sarah. Cela serait trop facile, n’est-ce pas ? Dire qu’elle a fait naître le plaisir dans Marie, pour la forcer à accepter ce qui était entrain de lui arriver. Ainsi, cela dédouanerait la pauvre religieuse de toute responsabilités. Et… Et bien, la réalité n’était pas aussi rose et simple. Dans les faits, tout débutait de la fameuse Marie… Tout commençait, et tout finissait avec elle. Qu’elle le veuille ou non, il fallait qu’elle le reconnaisse… D’ailleurs, comme disait Sarah.

« Ma pauvre petite... Tu luttes contre l’impossible, hmmmm... Laisse ta Reine t’aider ! »

« Ja… Jamais !!! »


Mais elle s’accrochait. Encore et toujours, elle s’accrochait, car elle ne voulait pas céder. C’était toute sa vie, la foi en le Christ, en cette force supérieur, cette moralité extrême, qui, elle en avait bien conscience, la privait de bien des plaisirs « charnelles », ou pêcheurs, qui existaient dans ce bas monde, où les tentations par le Diable était toujours bien présentes… Elle connaissait tout ça, elle savait bien que cela existait… Et… Et elle n’avait pas envie de céder à ses sirènes tentatrices, qui avaient pour objectif de l’utiliser, de l’objectifier, de ne faire qu’un ventre pour produire des bébés pour cette créature… Et pourtant, c’était extrêmement difficile. Depuis que ce produit avait été injecté au niveau de son cou, elle avait l’impression que c’était quasi impossible de résister à ses tentations… Elle sentait juste assez de force pour tenir… Mais malheureusement, Sarah avait plus d’un tour dans son sac…

En effet, deux tentacules de plus venaient pour entrer dans le cirque de luxure qui était présent… Etaient-ils là pour lui injecter encore plus d’aphrodisiaque ? Non, elle en avait eu assez… C’était pour autre chose qu’elles étaient là… Et elles s’attaquèrent à ses seins… Que ?! Avait-elle déjà commencer à produire du lait, pour que ses tentacules soient si avide de capturer ses tétons ? Malheureusement pour elle, c’était bien pire que simplement une « traite ». Non, les tentacules ici présentes s’amusaient de ses tétons, de ses seins, des auréoles autour du tétons… Bref, lui donnant encore plus de plaisir, la faisant de plus en plus mouiller, rendant la pénétration plus facile pour Sarah, et plus agréable pour Marie… Qui tombait dans ce cercle vicieux du plaisir, étant donné que plus elle se laissait aller, plus cela lui donnait du plaisir, la poussant à briser ses protections… Seul son mental pouvait tenter de résister… Mais pour combien de temps ?

*[MT] Tu ne peux pas lutter, Marie... Ton corps ne ment pas, lui. Pourquoi résister ? Laisse-toi aller. Au fond de toi, tu rêves d’être traitée comme ça, d’être baisée dans tous les sens, d’être ma petite pute ! [/MT]*

« Non… C’est… Ah... »

Que… Ne connaissant pas les capacités télépathiques de son interlocutrice, et bien, elle cru littéralement que c’était son corps qui lui parlait. Non, ce qu’elle entendait… Ce n’était pas possible. Elle ne pouvait pas être comme ça. Toute sa vie, elle avait rêvée d’être une fille modèle de l’Église, qu’elle soit acceptée, et qu’elle devienne une femme de foi parfaite… Et bien, voilà que peu à peu son corps faisait croire des choses qu’elle n’avait jamais accepté… Mais comment être en totale désaccords ?! Ce n’était pas possible, son corps était son corps… Etait-ce vrai ? Elle refusait de le croire, mais avec le plaisir qui électrisait entièrement son corps… Et si c’était vrai, qu’elle rêvait au fond d’être traitée ainsi ? Qu’elle rêvait d’être baisée dans tout les sens, et enfin, de devenir rien de plus qu’une petite pute ? Non, elle ne voulait pas… Mais même ses mots commençaient à la trahir…

« C’est si bon… C’est… Je n’ai… J’ai jamais goûté à ça… Mmmmh… ! »

Si son esprit n’était pas totalement craquée, son corps lui avait totalement abandonnée. Elle ne ressentait plus de douleur, vraiment, la douleur était anesthésiée véritablement par le plaisir… Plaisir qui était véritablement amplifié, par le fait qu’elle découvrait tout ! Mais alors, je dis bien tout, étant donné qu’auparavant… Ses connaissances en sexe se résumait à… Rien, vu qu’elle avait jamais baisée. Et voilà que plus que le temps passait, plus son corps était baisée, et elle ressentait véritablement du plaisir. D’un côté, son vagin continuait d’être labouré, ainsi, et ses seins eux étaient traités avec un grand plaisir… Son corps, enfin, arriva à la jouissance, la trahison ultime. En effet, d’un coup, le plaisir devint trop fort pour que son corps résiste plus, et elle arriva à la jouissance… Que faire dans ce genre de situation ? Elle était prisonnière de Sarah… Mais même son corps, maintenant, la tenait en otage, et offrait du plaisir, rendant même son esprit flou… Non… Tout sauf ça… Tout sauf le plaisir…
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 07 janvier 2018, 12:29:23
*[MT] Tu es suffisamment intelligente pour savoir que l’Église est un mensonge, que la religion catholique entretient une vision perverse avec le désir sexuel... Tu crois vraiment que la Conception Immaculée peut exister ? Qu’une vierge peut donner naissance à un enfant ? Le christianisme méprise les femmes, il les force à voir le sexe comme un acte dégoûtant... En justifiant cela par des préceptes moraux hypocrites ! La réalité, ma chérie, c’est qu’il n’y a rien de plus bon en ce bas-monde que le sexe ! Pourquoi vouloir lutter contre ce que ton propre corps ressent, amour ? Ça n’a pas de sens... Accepte, accepte le fait d’être une chienne, et d’avoir envie de te faire baiser comme ce que tu es au fond de toi... Une SALOPE ! [/MT]*

Comment résister ? Comment lutter ? Sarah ne cessait de presser le corps et l’esprit de Marie, l’assaillant de doutes, et de sensations exquises. L’aphrodisiaque se répandait dans les veines de la jeune Marie, l’empêchant de réfléchir, ne l’amenant qu’à penser à une seule chose : le plaisir qui se déversait dans son corps. Intense, immense. Les tentacules grouillaient sur elle, frappant ses seins, pompant ses tétons, l’achevant petit à petit, distillant en elle un feu ardent et irrésistible. Elle ne pouvait tout simplement pas lutter, et Sarah le sentait.

Entre plusieurs couinements et gémissements, Marie avoua comme tout ça était bon, ce qui ne manqua pas de faire sourire la Reine des Lames. Un sourire malicieux et pervers, qui l’amena à amplifier ses coups de reins, la faisant gémir encore. Marie ne pouvait plus lutter, toute petite vierge qu’elle était. En souriant, Sarah la sentit jouir avec appétit devant elle, répandant sa mouille sur sa queue.

« Hmmm... Oui, ma chérie, voilà... Jouis, ma belle, jouis !! Laisse le plaisir éclater en toi ! »

Y avait-il un piège à ce qu’elle jouisse ? Pas vraiment. Marie était déjà l’esclave de Sarah. Les pouvoirs télépathiques de l’Annexienne étaient particulièrement élevés. Avant d’être transformée en Formienne, elle était déjà une Spectre, c’est-à-dire une guerrière tekhane améliorée, disposant de pouvoirs psioniques et psychiques très importants. Et, suite à sa métamorphose, ses pouvoirs s’étaient considérablement amplifiés. De plus, elle était chez elle, au summum de son pouvoir. Elle aurait pu briser l’esprit de Marie, réécrire ses souvenirs, la détruire totalement... Mais l’expérience lui avait montré qu’on ne jouait pas si facilement que ça avec le cerveau humain. Le cerveau résistait, tout simplement. Et elle ne voulait pas d’une loque humaine décérébrée, qui faisait une médiocre pondeuse.

Et puis, au-delà de toutes ces considérations, c’était tout simplement exquis de baiser une religieuse !

« Tu le sens, Marie ? Ce plaisir ? »

Sarah retira sa queue, toujours aussi dure. Elle n’avait pas encore joui, mais un tentacule se déplaça, et caressa les cuisses de Marie, recueillant sa mouille, puis s’approcha ensuite de ses lèvres.

« C’est ta mouille, petite catin... Tu as joui en étant baisée par un monstre aux ongles griffus, et en étant serrée par de multiples tentacules. Tu vois, Marie ? Tu as succombé, petite religieuse. Et c’est bon, hein ? Le fruit du péché, l’appel de la Luxure... Délicieux, non ? Je suis sûre que ton corps n’est pas encore rassasié, qu’il en redemande... »

Sarah gloussa encore.

« Reprenons... »

Elle approcha à nouveau sa queue, et la pénétra encore. Comme elle s’y attendait, Marie était encore bien fertile, mais, cette fois, Sarah allait apporter une petite subtilité. Un nouveau tentacule vint planter un venin en elle.

« Bien... Tu te demandes... Hmmmm, petite salope... Tu te demandes ce qui se passe, hein ? Ce venin qui se dilue dans tes veines... Il ne va pas court-circuiter le plaisir, mais... Il va t’empêcher de jouir, sale pute ! Tu ne pourras pas jouir, sauf si je t’injecte un antidote, HAHA ! »

Ça, c’était un rire maléfique... Il fallait bien que Sarah se donne à fond dans son rôle !

« Antidote, hmmm... T’es vraiment bonne, ma chienne... Antidote, donc, que je ne te donnerai... Que si tu me supplies ! Si tu me pries, moi, ta Déesse !! »

Qui sait combien de temps la petite religieuse insolente allait pouvoir tenir sous ce rythme ? Car Sarah avait, elle, une endurance phénoménale, et continuait d’ailleurs à la bourrer bien fort, tout en griffant ses cuisses...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le jeudi 11 janvier 2018, 23:04:42
La voix dans sa tête... La voix dans sa tête... C’était le pire... Bien le pire... Elle savait que certaines choses de la voix était pas faux. Après tout, c’était vrai que pendant longtemps, la religion chrétienne avait été une religion qui avait opprimé les femmes. C’est vrai... Mais non, elle pouvait dire ce qu’elle voulait, elle n’était pas une salope ! Elle n’était pas une chienne. Oui, son corps ressentait du plaisir... Mais... Mais c’était justement le fait qu’elle était une humaine qui faisait qu’elle pouvait décider d’être autre chose qu’une salope ! Cependant... Ce plaisir... Ce plaisir qui littéralement la prenait toute entière. Elle tentait d’y resister, mais comment ? C’était trop de plaisir pour elle, elle qui n’en n’avait jamais eu... La preuve, finalement, elle avait jouit, pour la première fois de sa vie...

« Hmmm... Oui, ma chérie, voilà... Jouis, ma belle, jouis !! Laisse le plaisir éclater en toi ! »

« Noooooooon ! »

Non, elle ne voulait pas ! Elle ne voulait pas que la fameuse... Elle ne savait même plus comment décrire cette fameuse Sarah ! Etait-ce un démon, une alien, une créature tout autre... Ou tout ça à la fois ? Elle n’en savait strictement rien. Tout ce qu’elle savait, c’est qu’elles souffrait, et qu’elle ne rêvait que d’une seule et unique chose, que Dieu la foudroie, là, maintenant... Cependant, la divinité suprème des Chrétiens semblaient soit d’humeur taquine, ou d’humeur flemmarde, au choix, et ne s’intéressait vraiment pas au malheur de Marie... Heureusement pour la fameuse religieuse, l’heure de ne devenir qu’un ventre, littéralement au service de sa majesté ne semblait pas encore être arrivée, car en effet... La pénétration prit fin... Sarah avait d’autres choses... A faire, disons...

« Tu le sens, Marie ? Ce plaisir ? »

Oui... Que trop bien même... Elle sentait, à cause de cette tentacule, son plaisir, son immonde plaisir à ce qui lui était arrivé...

« C’est ta mouille, petite catin... Tu as joui en étant baisée par un monstre aux ongles griffus, et en étant serrée par de multiples tentacules. Tu vois, Marie ? Tu as succombé, petite religieuse. Et c’est bon, hein ? Le fruit du péché, l’appel de la Luxure... Délicieux, non ? Je suis sûre que ton corps n’est pas encore rassasié, qu’il en redemande... »

« Non... Vous m’avez forcé... »

Elle n’avait pas succombé... Oui, c’était de la mouille, mais on l’avait forcée à ressentir cela. Oh oui, elle allait continuer à le dire, car elle le pensait. Elle le pensait vraiment, elle n’avait pas eu le choix. Se dire cela, le répéter, encore et toujours, c’était le seul moyen qu’elle avait pour se confirmer qu’elle ne prenait pas de plaisir volontairement. Qu’on lui forçait à prendre du plaisir... Elle ne comptait pas céder aussi facilement, même si elle savait au fond d’elle, qu’elle ressentait ce plaisir... Et qu’elle ne faisait pas que le ressentir, elle... Elle aimait ça !

« Reprenons... »

Et elle se fit repênétrée. Elle s’y « attendait », bien que cela la prit d’un coup, quand même ! Elle constata avec horreur qu’elle n’eut pas de douleur sur cette seconde pénétration... Bon sang, elle était si mouillée que ça ? Et ouais ma cochonne ! Elle mouillait maintenant énormément... Mais le pire était encore à venir, et cela, elle ne le savait pas... enfin, si, étant donné que cela arriva soudainement. Une nouvelle tentacule, relativement similaire à la précédente, vint lui piquer de nouveau dans le cou... Encore ? Elle ressentait déjà assez de plaisir, elle doutait fortement qu’elle puisse en ressentir encore plus... Elle n’imaginait pas à quel point elle avait tord d’imaginer que Sarah ferait deux fois la même chose... Heureusement, son interlocutrice décida de ne pas jouer le jeu de la surprise, mais révéla ce qu’elle avait fait... En ponctuant même son discours d’un magnifique rire !

« Bien... Tu te demandes... Hmmmm, petite salope... Tu te demandes ce qui se passe, hein ? Ce venin qui se dilue dans tes veines... Il ne va pas court-circuiter le plaisir, mais... Il va t’empêcher de jouir, sale pute ! Tu ne pourras pas jouir, sauf si je t’injecte un antidote, HAHA ! Antidote, hmmm... T’es vraiment bonne, ma chienne... Antidote, donc, que je ne te donnerai... Que si tu me supplies ! Si tu me pries, moi, ta Déesse !! »

« Ja... Jamais... »

Elle ne comprenait pas... Et bien, tant mieux ! Elle ne jouirait pas, elle prouverait ainsi que plus aisément qu’elle souffrait, et que ce qu’elle faisait... Et bien, ce n’était que des réactions incontrôlable de son corps, et nullement quelques choses qui touchait vraiment elle, dans son esprit, dans sa volonté, dans ce qu’elle voulait faire... Après tout, elle ne contrôlait pas son corps, c’était vrai... Mais en quoi cela prouvait qu’elle voulait cela ? Et bien, ouais, en quoi cela faisait qu’elle était une « salope » ? Elle ne contrôlait pas son corps, elle ne voulait pas vivre cela... Sauf que les vas et viens continuaient, continuaient encore et toujours, sans faire de pause, sans même ne serait-ce que ralentir le rythme... Et ouais, tout allait de plus en plus vite, lui donnant toujours plus de plaisir... Ce qui faisait...

« Aaah... C’est trop bon... Non... Pourquoi ça s’arrête ainsi... Aaah... Aaaahh... »

La réalité était bien cruelle n’est-ce pas ? Alors qu’elle se pensait forte, et qu’elle estimait que le fait qu’elle n’allait pas jouir allait être la preuve qu’elle ne voulait pas vivre cela, c’était exactement le contraire qui arriva... En effet, le plaisir était toujours là, elle ressentait toujours ce plaisir, c’était si bon, elle ne pouvait pas le nier... Mais quand elle sentait que ça y est, le plus satisfaisant arrivait... Et bien, rien ! Rien du tout ! C’était... C’était une souffrance terrible... Bon sang, qu’est-ce qui se passait ? Ce n’était pas possible... Elle... Elle ne pouvait pas se retrouver dans une telle situation... ? Mais si, c’était malheureusement pour elle bien le cas, elle était littéralement entrain de tenter de quémander le droit de plaisir... Le droit de jouir... D’une façon pitoyable, elle commença alors à déclarer...

« C’est... par pitié... Arrêtez ça, ou laisser moi jouir... C’est... Je... Je ne peux... Cette privation... Pitié... Faites quelques chose... »

Elle suppliait... Mais quoi ? Et bien, qu’il se passe quelques chose. N’importe, qu’on lui donne du plaisir, et que ça s’arrête... Mais quelques choses ! Elle n’en pouvait plus de cette entre deux, elle voulait jouir, où elle voulait que cela s’arrête à jamais, et qu’elle retrouve sa liberté et la vie pure qu’elle avait vécu autrefois...  Mais il fallait qu’il se passe quelques choses ! Là, elle sentait le vas et viens, elle sentait le plaisir... Mais bon sang, aucune conclusion ! Rien, rien vraiment rien ! Cela renforçait une frustration infinie... Que quelques choses se passe ! Elle se haïssait, mais elle se sentait faible... Oui, elle avait cédée aussi rapidement, mais ce n’était pas sa faute... la drogue était l’unique et ultime responsable... Bon sang, cette frustration... Mais que quelqu’un fasse quelques chose, par pitié !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 15 janvier 2018, 00:51:38
Face à Sarah, Marie était comme un deux face à un flush royal. Rien à faire, rien à tenter, sa main était perdante dès le départ. Le tsunami rose la balayait sur place, et Kerrigan ne comptait rien faire pour arranger la situation, bien au contraire ! Elle aurait pu user de sa magie, de ses pouvoirs télépathes, pour faciliter le plaisir de Marie, ou sa soumission, mais… Eh bien, peut-être qu’il restait encore, en Sarah, un peu d’humanité, ce fond ‘humanité qui aimait dominer les autres, jouer avec ses partenaires, les humilier, les briser, se régaler de ce sentiment de contrôle et de domination. L’Overmind avait fait de Sarah Kerrigan un prototype, mi-humaine, mi-Formienne, laissant en elle suffisamment d’humanité pour qu’elle puisse faire preuve de cette initiative surprenante si propre à l’espèce humaine. Et là, le petit plaisir de Sarah, c’était de dominer cette femme, de l’humilier, de la pousser face à ses propres convictions. Sarah avait toujours aimé les religieuses, et elle était une vraie sainte, une pure nonne, qui était en train de lutter contre l’impossible !

Et, toujours, toujours, dans sa tête, la voix de Sarah, pernicieuse, joueuse, cruelle, revenait la titiller, alors que le plaisir explosait encore dans le corps de Marie, donnant ensuite libre cours à la terrible frustration :

*[MT] Tu n’en peux plus, Marie, parce que ton corps est fait ainsi. Le plaisir ne vient pas du Malin, il vient de tes réactions chimiques, biologiques, du fonctionnement de ton organisme. Si l’Homme n’était pas fait pour le sexe, si le sexe ne devrait être que souffrance et torture, pourquoi Dieu a-t-il donné à ses ouailles un plaisir si intense ? Tu ne sers pas ton Dieu, ma chérie, la religion que tu adules est mensongère, fondée sur la souffrance, sur la haine du corps humain… Fondée sur cette volonté absurde de dissocier l’esprit du corps, de vouloir nier les plaisirs de la chair au profit de l’esprit… Mais tu ne peux pas lutter contre ta nature même, Marie. L’Homem est fait pour aimer le sexe, tu es née pour aimer te faire baiser dans tous les sens… [/MT]*

Rien ne pourrait taire cette voix, puisqu’elle s’incrustait directement dans l’esprit de la jeune femme. Mais Marie allait-elle être en mesure de pouvoir l’écouter ? Plus le temps passait, et plus son corps approchait de l’orgasme. En fait, ce second orgasme vint même assez vite, compte tenu de sa faible expérience sexuelle, des aphrodisiaques dans son corps, et de l’intensité des coups de reins. Sarah la baisait énergiquement. La Reine des Lames n’avait pas encore joui, et ce uniquement par perversité. En fait, elle aurait normalement dû jouir plus rapidement, quitte à se forcer, vu que son objectif était quand même d’engrosser cette femme… Du moins, son objectif formien. En ce moment, Sarah prenait surtout son pied à la torturer. D’ailleurs, le seul fait de l’empêcher de jouir était contraire à la philosophie formienne.

Marie ne tarda pas à sentir le plaisir atteindre le point quasi-suprême… Mais l’orgasme se refusa à elle. Une situation horrible, face à laquelle rien ne l’avait préparé, et qui l’amena rapidement à hurler, à gémir, à se tortiller sur place, implorant la femme. Un sourire malicieux éclaira les lèvres de Sarah, qui continuait à la prendre… Puis s’arrêta brusquement, maintenant sa queue bien enfoncée dans le vagin de la femme. Son membre était fièrement planté en elle, dard sur le point de cracher son venin. Sarah ferma alors les yeux, et soupira de plaisir.

« Moi aussi, je me retiens de jouir… Cette sensation… Tous tes muscles qui sont stimulés, ton corps qui vibre intégralement… Ohhh, joyeuse sensation ! Mais n’espère pas t’en sortir aussi facilement, petite pute… Tu supplies, tu quémandes, mais tu ne m’appelles pas comme il faut… »

Et, sur ce, après cette pause de plusieurs secondes, Kerrigan recommença ses coups de reins, encore, encore et encore ! Et, bien évidemment, les tentacules sur les seins de Marie continuaient à agir, tirant sur ces derniers, ponctionnant ses tétons, stimulant sa poitrine. La partie était d’autant plus difficile pour Marie qu’un autre tentacule s’approcha sous elle, et se releva, fouettant ses fesses régulièrement. Les tentacules retenant ses jambes s’amusaient également à les écarter l’une de l’autre, avant de les rapprocher, et de les écarter encore, remuant en harmonie avec les coups de reins de leur Maîtresse.

« Maîtresse… ! Déesse… Je suis ta Maîtresse, je suis ta Déesse ! Implore-moi comme ça, sale catin ! OBÉIS ! OBÉIS SI TU VEUX JOUIR, SALE PUTE !! MAÎTRESSE ! DÉESSE !! C’est ce que je suis à tes yeux, SALOPE !! »

Sarah hurlait, maintenant, tant elle-même était excitée ! Mais elle se refusait à soulager la pauvre religieuse, qui était une véritable poupée désarticulée entre ses mains…
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le jeudi 18 janvier 2018, 11:17:52
Elle n’en pouvait plus. Elle n’avait pas la force, et encore moins la résistance de tenir… En effet, son corps était en pleine capitulation, et ne voulait qu’une chose… C’était jouir ! Et c’est bête, car justement, plus le temps passait, plus… Et bien, rien n’arrivait ! Rien, et la voix, elle… Et bien, elle continuait, encore et toujours, à venir dans sa tête, à tenter de la corrompre… En temps normal, elle ferait tout pour lutter, et montrer qu’elle pouvait résister… Mais là, cela devenait trop dur, trop difficile, elle en souffrait trop de cette résistance. Elle voulait juste que cela cesse… D’accord, soit en la faisant jouir, soit en la libérant, mais elle devinait que cette seconde option… Et bien, il était très peu probable qu’elle se réalise. Donc, on pouvait mettre une croix dessus… Une croix, c’est bien le cas de le dire !

« Moi aussi, je me retiens de jouir… Cette sensation… Tous tes muscles qui sont stimulés, ton corps qui vibre intégralement… Ohhh, joyeuse sensation ! Mais n’espère pas t’en sortir aussi facilement, petite pute… Tu supplies, tu quémandes, mais tu ne m’appelles pas comme il faut… »

« Pitié... »


Elle faisait quoi ? Qu’est-ce qu’elle faisait de mal ? Elle faisait pourtant tout ce que demandait la fameuse Sarah ! Elle voulait jouir, mais rien, toujours rien. Elle avait l’impression d’être assoiffée devant une gourde, une gourde qui à peine quelques gouttes venaient couler à côté de sa bouche, pour lui donner juste un petit fantôme du plaisir… Bon sang, elle en pouvait plus, et elle allait finir par en devenir complètement folle, c’était atroce et horrible. Donc… Que voulait-elle de plus ? Qu’elle supplie encore plus ? Qu’elle fasse autre chose ? Il fallait lui dire, n’importe quoi, elle comptait bien le faire, mais il fallait juste lui dire, c’était insupportable ! Et bien, heureusement pour elle, la réponse à ses supplications finirent par venir, et en effet, il manquait bien quelques choses… Quelques chose de très important.

« Maîtresse… ! Déesse… Je suis ta Maîtresse, je suis ta Déesse ! Implore-moi comme ça, sale catin ! OBÉIS ! OBÉIS SI TU VEUX JOUIR, SALE PUTE !! MAÎTRESSE ! DÉESSE !! C’est ce que je suis à tes yeux, SALOPE !! »

« Il… Il n’y qu’un Dieu… Pitié Dieu... »

Elle tentait de convaincre qui là ? Oui, la question se posait véritablement ! Mais véritablement, on sentait qu’elle disait cela autant pour elle-même qu’en destination de la fameuse Sarah, qui sans doute, n’allait pas tout d’un coup reconnaître qu’en effet, il n’y avait qu’un seul Dieu. Bref, vous avez compris… Elle commençait elle-même à en douter… Car comment croire encore en la bonté de Dieu quand on vivait cela ? Franchement, c’était très difficile… Je voulais dire, Marie connaissait bien le concept des martyrs, beaucoup d’hommes et de femmes avaient vécu cela… Mais Dieu avait aidé les martyrs, et ceux-ci étaient parfois mort au moins dans la dignité… Là, elle n’avait rien, ni dignité, ni aide, ni quoique ce soit… Ce qui fti qu’elle commençait à vraiment en réclamer, en implorant :

« Répondez-moi… Répondez moi !!! »

C’est là que la pente commençait à devenir terrible. Elle était arrivée au stade où elle ne demandait pas que Dieu vienne l’aider, vienne la sauver, vienne la venger… Mais juste qu’il daigne au moins… Le minimum… Juste lui répondre. Juste dire un mot, se montrer, faire quelques choses pour montrer qu’elle n’était pas la seule dans l’adversité… Sauf qu’il n’y avait aucun espoir. Elle était complètement et desespérément seul dans l’adversité. Personne n’était là pour l’aider, personne n’avait le moindre scrupule… Et c’était surtout pas Dieu. Non, elle continuait de se faire bourrer, elle se faisait manipuler, utiliser, le tout sans aucune hésitation, sans le moindre repos. Non, elle continuait à ressentir se plaisir, sans discontinu, mais sans atteindre le pinacle, la laissant toujours dans cette frustration qui la rendait folle… Elle gémissait extrêmement fort, et finit par déclarer, d’une voix cassée :

« Pitié, maîtresse, ma déesse, Il m’a abandonné… J’accepte de vous servir, mais libérez moi, c’est trop, j’en peut plus, je veux jouir… Maîtresse, je veux jouir, laissez moi être une pute et jouir... »

Elle abandonnait, elle voulait juste que cela finisse… Elle était « brisée », c’était arrivé. Peut-être pas complètement brisée, peut-être qu’il resterait une once d’espoir en elle, mais là, elle était quand même bien amochée, bien touchée, bien brisée… « Il » étant bien entendu Dieu, elle s’était fait abandonnée, et maintenant… Et bien, elle n’avait pas d’autres choix qu’effectivement, réclamer qu’on l’aide… Réclamer que celle qui était sa tortionnaire, devienne aussi sa Déesse… Oui, c’était sa défaite, et ainsi, elle abandonnait, elle demandait qu’on lui donne le droit à la Jouissance… Tout en appelant celle qui avait provoquée tout cela sa « déesse ». Oui, c’était fait. C’était sa déesse, si elle lui donnait le droit dans cette situation de jouir… Elle acceptait de l’appeler « déesse », « maîtresse », ou n’importe quoi. Tout ce qu’elle demandait maintenant… C’était d’être enfin capable de jouir. Elle l’implorait à elle, Sarah… Sa déesse.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 21 janvier 2018, 23:13:37
*[MT]Sexe ! Sexe ! Sexe ! Obéis à ta Déesse, et tu auras du sexe ! Sexe ! Sexe ! SEXE !![/MT]*

Marie ne pouvait plus lutter, tout son corps hurlait. Le christianisme reposait sur l’idée que l’Esprit dominait le Corps, que les plaisirs corporels étaient par nature violents et mauvais, inférieurs au plaisir intellectuel, spirituel. C’était la fameuse dualité entre les Anges, asexués, et les Démons, pervers et tentateurs. Marie avait cru pouvoir lutter contre ça, contre la Tentation... Et elle s’écroulait désormais sur place, fondant devant la queue de Sarah, devant les tentacules caressant son corps, devant les coups de reins de la Reine des Lames, devant l’aphrodisiaque qui se diluait dans ses veines. Elle ne pouvait plus résister, et elle ne le fit d’ailleurs pas, s‘avouant vaincue, suppliant sa Reine, sa « Maîtresse », sa « Déesse », de venir la soulager de cette souffrance, de cette torpeur qui brûlait en elle.

« Hmmmm... Ma pauvre chérie, aaaah, comme ce doit être horrible... »

Sarah aurait pu la libérer... Mais elle s’y refusa encore, cruelle et perverse jusqu’au bout. Il était nécessaire que la jeune rebelle souffre, qu’elle regrette son impertinence, son impolitesse. Sarah se mit alors à rire de nouveau, un rire cruel et sévère, pendant qu’elle reprit ses coups de reins, et fit connaître à Marie la souffrance terrible... En jouissant dans son corps ! Son foutre jaillit, et vint inonder pendant de longues secondes le ventre de Marie, qui continuait à se tortiller sur place, perdant peu à peu la raison. La frustration, en réalité, était une chose terrible, un sentiment des plus redoutables, qui vous prenait jusqu’aux tripes, et vous laissait pantois. Face à lui, on ne pouvait rien faire, et, plus la frustration s’installait, et plus elle était terrible ! Sarah était bien placée pour le savoir, et elle se régalait de ce genre de moments.

Venant de jouir dans le corps de Marie, elle continua à lui inonder le ventre, avant de se retirer... Et, alors que le ventre de la belle Marie était bien rebondi, mais que le plaisir suprême se refusait à venir, un tentacule phallique jaillit alors, et s’enfonça brusquement dans son con. Sarah se décala alors sur le côté, et caressa le ventre arrondi de Marie.

« Tu n’en peux plus, hein, ma chérie ? Je le sens en toi... Jouir est un plaisir si bon, si intense... Tout ça doit te rendre folle... »

Sarah gloussa encore, et sourit lentement, avant de se pincer les lèvres. Sa main caressa son ventre, qui remuait, et provoquait des petits claquements spongieux supplémentaires. En effet, le sperme de Sarah se trouvait là, et, avec les coups que les tentacules infligeaient à la femme, tout ce foutre remuait joyeusement en elle. Quand donc Sarah allait-elle la libérer ? La question méritait d’être posée, car la Reine des Lames ne faisait rien pour faciliter les souffrances de la jeune femme...

Puis Sarah se redressa brusquement, en souriant toujours doucement... Et libéra enfin la pauvre Marie.

Et la jouissance ultime éclata en elle...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le jeudi 25 janvier 2018, 15:46:58
Elle avait craquée. Elle avait honte, elle demanderait, si possible un jour, peut-être, pardon à Dieu... Mais elle avait craqué. Elle avait rompu l’un des Dix Commandements, et même, l’un des plus importants... Le premier quand même du Décalogue... Tu n’aimeras d’autres Dieux que moi... Cela voulait tout dire ! Et bien... Elle l’avait violée, comme elle se faisait violer. Etait-ce une sorte de punition par anticipation ? Impossible de savoir, mais... Là, franchement, elle n’était pas en état. Tout ce qu’elle voulait, c’était de pouvoir jouir, de pouvoir vraiment jouir, et ainsi, être libérée de cette horrible souffrance. Une souffrance pire que celle qu’avait vécu le Christ sur la Croix, cela, il n’y en n’avait nulle doute... Quoiqu’il en soit, elle écouta avec fureur, désespoir, et tant d’autres sentiments, les déclarations moqueuse de Sarah ! 

« Hmmmm... Ma pauvre chérie, aaaah, comme ce doit être horrible... »

En effet ! Qu’attendez-t-elle ?! C’était atroce, elle en pouvait plus. Le besoin de jouir, elle le sentait dans ses vaines, son cerveau, son intimité... partout quoi ! Quoiqu’elle fasse, quoiqu’elle pense, elle avait l’impression que son cerveau ramenait à son manque de plaisir. Etait-ce cela que les droguées ressentaient ? Elle n’en n’avait aucune idée, et qu’on soit clair, elle n’avait pas les idées assez clair pour réussir à ressentir cela. Bon sang, elle allait devenir effectivement complètement folle... Soudain, elle commença à sentir quelques choses... Et ce quelques chose ne fut rien d’autres qu’une véritable jouissance... Mais en elle, et pas d’elle. Vous comprenez la nuance ? En effet, c’était Sarah, qui allait jouir en elle... Et qui, quand elle jouissait, elle ne faisait pas semblant... Car en effet...

« Tu n’en peux plus, hein, ma chérie ? Je le sens en toi... Jouir est un plaisir si bon, si intense... Tout ça doit te rendre folle... »

« Vous... Vous avez menti... Judas ! Vous êtes pîre que Judas... »

Elle avait menti ! Elle avait tellement menti... Son ventre était dilaté par tout le sperme qui venait de jouir en elle... Elle était horrible et... Bon sang, ce manque ! Ce manque de jouissance, qui continuait à la rendre mais complètement folle ! C’était absolument une torture excellente, on pouvait bien le dire ! Elle pensait à la femme, l’étudiant qu’elle avait vu tout à l’heure... Elle allait donc finir ainsi... ? Ainsi, aux yeux de Marie, maintenant, Sarah était même pire que Judas, celui qui avait trahis le Christ... Alors qu’on soit clair, les deux situations sont absolument pas approchable, mais bon... Quoiqu’il en soit, elle se sentait véritablement trahis, elle n’avait jamais souffert autant de sa vie, d’une telle trahison, ce qui faisait qu’elle déclara, elle qui pourtant préférait largement l’amour à la haine...

« Je vous déteste, je vous hais, vous êtes.... AAAAAAAAAAAAAAAH ! »

Oh oui... Elle la détestait... Mais pour combien de temps ? Et bien visiblement... Plus beaucoup de temps, si vous voulez mon avis ! En effet, magnanime... Après un moment, quand même, pour bien punir la religieuse, elle eut enfin le droit de jouir... Et telle un bouchon qu’on titille, pour finalement laisser sortir... Cela explosa, d’un seul coup. Une jouissance qui fit convulser son corps, presque tourner ses yeux, et qui dura presque plusieurs minutes, tellement il fut puissant et long. Elle en perdit la raison, même, pendant un moment, plus capable de ne serait-ce que penser, le tout étant blanc et jouissance dans sa tête. Après un long moment, son esprit commença à légèrement, très légèrement se reprendre, lui permettant de déclarer faiblement :

« Aaaah... merci... merci ma déesse... Ma précieuse déesse... Enfin... Aaaah... »

Et on changeait du tout au tout... Bon sang, que sa jouissance était puissance, après une jouissance aussi explosive, son corps était totalement... Lâche, il n’avait plus aucune force, elle avait expérimenté le second ou troisième orgasme de sa vie, et c’était sans aucune hésitation le plus puissant qu’elle aura jamais dans toute sa vie. Cela, cela ne faisait aucun doute... Imaginez alors dans quel était elle se trouvait, elle qui n’avait quasiment jamais joui de sa vie ? Et ouais, vous avez bien compris... Elle avait eu une jouissance extrêmement forte, extrêmement puissante, et n’avait quasiment jamais vécu cela... Donc, c’était sans doute extrêmement peu probable qu’elle revive cela de si tôt... Mais pour le moment, de toute façon, elle était bien trop... Claquée. Qu’allait faire Sarah d’elle, maintenant ? Son ventre, si gonflée, allait-il avoir une influence ? Elle n’en savait rien, et n’avait pas les idées en place pour réfléchir.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 29 janvier 2018, 01:10:13
Marie était furieuse ! La frustration donnait lieu à la colère, et Sarah s’en amusa, avant de finalement la libérer. Le plaisir éclata dans tout le corps de la femme. Un superbe orgasme, sa mouille fusant le long de ses cuisses, arrosant copieusement le sol. La petite religieuse hurla brièvement, avant de laisser le plaisir la traverser, la transcender, l’aliéner. Sarah n’en perdit pas une miette, se délectant de ce spectacle magnifique, de ce corps qui se tortillait sur place, retenu par les tentacules, et exprimant tout son plaisir. Sarah la laissa jouir sans jamais l’interrompre, elle laissa le plaisir l’envahir, son bonheur, puis Marie se relâcha ensuite. Soulagée, elle remercia d’une faible voix sa Déesse, qui lui sourit en retour, et caressa lentement son gros ventre de sa main.

« Ce n’est rien, ma dévote... Adule-moi, moi ta Déesse, et je te récompenserai en conséquence. »

Sarah doutait que l’esprit chrétien de Marie puisse être vaincu aussi facilement, toutefois. Il ne s’agissait que d’une faiblesse passagère, mais, si Marie croyait qu’elle allait s’en sortir si facilement, la jeune femme était vraiment très naïve. La main griffue de Kerrigan caressait donc son ventre, sentant ce mélange de sperme et de mouille là-dedans, et sourit encore, plus malicieusement. Elle laissa à Marie le temps de reprendre davantage ses esprits, tout en sentant que la petite beauté était surtout en train de s’endormir.

« Mes œufs sont plantés en toi, et, avec tout ce sperme et ta mouille, ils vont se fertiliser rapidement. Je vais te laisser te reposer pendant plusieurs heures, le temps que tu puisses donner la vie à mes beaux bébés... »

Autrement dit, son ventre n’allait pas dégrossir rapidement, et, très rapidement, Marie fut emmenée. Le mur s’ouvrit derrière elle, révélant un gros tentacule, qui s’ouvrit, et s’abattit sur son visage, la plongeant dans l’obscurité, permettant de la déplacer plus facilement. Son corps fut trainé à travers une série de conduits et de canaux, jusqu’à ce qu’elle rejoigne l’un des vastes nids de Sarah. Une grande pièce comprenant de multiples incubateurs, et où les pondeuses de Kerrigan se tortillaient sur place, donnant régulièrement naissance à des flopées de Formiens supplémentaires.

Marie fut posée dans une sorte d’énorme œuf gluant, où son corps disparut à l’intérieur. Seules ses jambes ressortaient, plaquées le long de la surface de l’œuf, et, pour éviter que trop de sperme ou de cyprine ne sortent, et pour veiller à son bonheur, un tentacule jaillit de l’œuf, et la pénétra à hauteur du vagin. Pour le reste de son corps, Marie disparaissait dans une sorte de mur gluant et liquide. Elle ne pouvait pas bouger, ni même ouvrir les yeux, mais pouvait respirer, flottant dans une sorte de liquide amniotique au centre de ce cocon chaud et confortable, pendant qu’elle se faisait prendre par l’arrière. Cette fois, toutefois, plus aucune restriction quant à ses orgasmes, qu’elle était libre d’avoir, pendant que, à l’intérieur de son gros ventre, les œufs plantées par Sarah continuaient à grossir et à se nourrir.

(Image d’illustration de la situation de Marie (http://img110.xooimage.com/files/0/e/c/2-53dbce5.jpg)) !

Elle en avait pour plusieurs heures à subir ce délicieux traitement... Et, le plus horrible, c’est que, pendant qu’elle se faisait baiser, son corps se reposait effectivement, car le liquide amniotique autour d’elle détendait son corps, relâchait ses muscles, et se chargeait de la nettoyer. Elle pouvait même éventuellement dormir, ou, à tout le moins, divaguer dans un état semi-comateux... Jusqu’à donner naissance aux bébés de sa Déesse...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 31 janvier 2018, 22:45:34
Jouir... Jouir... Bon sang, la fameuse dévote n’avait jamais cru qu’elle aurait eu autant envie de jouir de sa vie... Non, ce n’était même pas avoir envie de jouir... C’était avoir besoin de jouir. Elle n’aurait jamais cru qu’elle aurait besoin de jouir de sa vie. Mais là... Là, elle avait eu besoin de jouir. Pour tout dire, c’était un besoin qu’elle avait ressenti, comme si elle avait rien eu besoin d’autres. Comme si c’était la seule et unique chose qui comptait pour sa vie... Et finalement après un long, bien trop long moment, sa déesse lui avait donné l’autorisation d’enfin jouir. D’enfin atteindre le niveau de plaisir ultime, le septième ciel, comme on disait. Elle avait enfin pu entrappercevoir le ciel, le paradis, mais celui-ci avait été bien loin du paradis comme elle l’avait toujours imaginé...

« Ce n’est rien, ma dévote... Adule-moi, moi ta Déesse, et je te récompenserai en conséquence. »

« Ou... Oui... »


En effet, ce paradis, ce si beau paradis n’était plus aussi pur qu’il avait pu être par le passé... Au contraire, il avait été perverti, envahis par une créature qui se prenait donc pour le dieu de cette endroit, et qui avait la puissance pour. Pendant un long moment, elle avait été telle Noé appercevant la Terre Promise, mais ne pouvant y aller. Mais tout le contraire de Moïse, c’est le refus d’idolatrer une idole païenne qui avait pendant un si long moment empêché la fameuse Marie d’y accéder, à ce fameux paradis. Maintenant, elle était obligée, si elle voulait pouvoir atteindre le paradis, d’obéir et d’aduler cette déesse machiavélique et démoniaque... Cependant, son esprit, éducation, et morale n’avait pas dis leur dernier mots, et sans doute qu’elle allait tenter des choses, dans le futur... Mais pour le moment...

« Mes œufs sont plantés en toi, et, avec tout ce sperme et ta mouille, ils vont se fertiliser rapidement. Je vais te laisser te reposer pendant plusieurs heures, le temps que tu puisses donner la vie à mes beaux bébés... »

« Je... Non... D’accord... »

Elle était encore trop faible pour vraiment tenter de faire quoiques ce soit, aussi bien physiquement que mentalement... Et ainsi, ne put luter sur ce qui lui arriva. Son visage fut englouti littéralement par une tentacule, puis, elle sentit transporter... Elle ne savait pas où elle était amenée, et pouvait pas le savoir... Tout ce qu’elle pouvait supposer, c’est qu’elle allait finir comme l’étudiante, qu’elle avait vu auparavant... Après tout, c’était ça son destin ? Elle arriva finalement jusqu’à un endroit, où elle fut de nouveau englobé. Seuls ses jambes, son intimité comme son anus, étaient encore disponible pour autrui, rendant la situation extrêmement inconfortable... Sauf que non, la situation n’était pas inconfortable, mais chut, on va développer ça plus tard.

Quoiqu’il en soit, elle était toujours autant remplis... Et oui, il y avait les oeufs en elle... De nombreux oeufs... Elle était devenue une mère porteuse pour une alien, quelle horreur... Allait-elle finir ainsi... ? Elle n’en savait rien, mais en tout cas, son ventre était maintenant gros et bien remplis, une véritable horreur... Et elle ne pouvait rien faire. Une fois installée ainsi, une tentacule vint presque comme pour boucher ses orifices. Comme si on voulait bien faire attention que rien ne sort, et que tout soit prêt pour qu’elle soit la meilleure porteuse du lot... Au fond, elle espérait le contraire, qu’elle serait une très mauvaise mère, et qu’ainsi, la fameuse reine des lames accepte aux mieux de la faire partir, et dans le pire des cas... la tuerait. Ce pire des cas serait cependant préférable à rester ici.

Elle se faisait violer. Elle se faisait encore violer, comme toujours. Néanmoins... Elle aimerait ressentir cela comme un viol. Il n’y avait plus de limite, maintenant, et elle pouvait jouir librement. C’était formidable... Mais elle ne voulait pas que cela soit formidable. Mais non seulement, d’un côté, elle prenait du plaisir, rendant la situation inacceptable, étant donné qu’elle était entrain de se faire violer, et qu’elle devrait souffrir, mais en plus... Et bien, elle se reposait. OUI ! Vriament, elle se repsnait, elle se sentait de mieux en mieux... Elle avait presque l’impression qu’alors qu’elle se faisait littéralement baiser, prendre par derrière, et bien, elle pouvait dormir... C’est ça, elle divaguait littéralement dans un état semi-comateux, mélangeant plaisir, honte, angoisse et calme... Une situation extrêmement étrange que Marie ne comprenait pas. Etait-ce cela de devenir une pondeuse... Non mais non ! Elle ne voulait pas ! Elle ne voulait pas devenir une pondeuse, elle voulait pas rester ici ! Mais que pouvait-elle faire ? Là, rien, elle était coincée... Bel et bien coincée...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 05 février 2018, 01:16:59
Quelques heures passèrent avant que le ventre de Marie ne soit prêt à recracher ce qu’on lui avait planté. Les œufs avaient bien grossi, et étaient arrivés à maturation. Le tentacule qui était en elle continua alors à labourer Marie. Depuis plusieurs heures, les deux tentacules remuaient dans son fondement et dans son vagin, de manière assez lente, à un rythme, certes soutenu, mais qui permettait néanmoins à Marie de reprendre des forces, tout en la maintenant dans un état semi-comateux, en pleine rêverie. Elle sentit soudain le tentacule durcir brusquement, semblant grossir. En fait, l’extrémité phallique du tentacule se transforma, évolua, et s’ouvrit, formant une sorte de grosse bouche dont les lèvres, de forme triangulaire, se collèrent contre le corps de la femme. Le tentacule se plaça dans la bonne position, à hauteur de l’utérus, pour réceptionner les œufs, ainsi que le placenta de Marie. En effet, pendant la durée très rapide de cette grossesse, un placenta aberrant s’était formé, mélangé de foutre et de mouille. Une aberration génétique qui n’existait que grâce aux Formiens. Ce placenta avait nourri les œufs.

Dans le cas d’un accouchement normal, le placenta était rejeté après le bébé, mais, ici, les choses étaient plus compliquées. En effet, les œufs de Marie n’avaient toujours pas fini leur période d’incubation, et allaient donc encore rester dans le placenta pendant quelques instants, le temps d’être placés dans le bassin génétique formien, où ils pourraient éclore. C’était tout le but de ce tentacule, qui allait veiller à les transférer au bon endroit.

Le tentacule attendit donc, et les parois retenant Marie se resserrèrent, la forçant à pousser, à se contracter. Le tout devait probablement être assez douloureux, mais bien moins qu’un accouchement normal. En effet, non seulement les œufs étaient bien plus petits, mais Marie flottait dans un bassin amniotique qui la maintenait dans un état second. Elle-même ne devait d’ailleurs pas réaliser ce qu’elle faisait. Le tentacule qui attendait les œufs libéra une petite langue, qui piqua le clitoris de la femme, déclenchant un orgasme... Et les œufs vinrent avec l’orgasme de la femme, filant dans le tentacule, qui se referma alors, veillant à bien tout prendre, avant de se retirer.

Marie s’affaissa alors, ses jambes retombant contre l’œuf, et resta là, inerte... Une espèce de parasite ne tarda pas à se former le long de son bassin, enfonçant dans son vagin un tentacule ainsi que dans son fondement. Néanmoins, il ne s’agissait pas de la violer, car les tentacules étaient relativement petits. Au contraire, ils diffusèrent en elle une sorte de liquide chaud et agréable, destiné à nettoyer son corps, mais aussi à l’encourager à faire ses besoins naturels. En effet, parallèlement à ça, un tentacule se planta dans la bouche de la femme, et répandit en elle de multiples nutriments, sous la forme d’une soupe qui se déferla dans son corps. Le tentacule se retira ensuite, et laissa Marie seule.

Les minutes passèrent, puis même les heures... Voire les jours ? On en perdait la notion du temps ici. Depuis combien de temps Marie était-elle ici, d’ailleurs ? Tout cela n’était-il qu’un cauchemar ? Au bout d’un long moment, une main caressa soudain son fessier. Le parasite se retira alors, et une autre main, gantée, rejoignit l’autre fesse de la religieuse, les malaxant vigoureusement. Même si la personne de l’autre côté parlait, Marie n’entendrait rien, mais elle put sentir, contre ses cuisses un bout pointu et assoiffé, qu’elle put assimiler à une verge.

« Hihi, c’est la nouvelle... Elle est très fertile, paraît-il... »

La jeune femme qui s’exprimait n’était pas Kerrigan, ni même l’une de ses Cérébrates, mais une pondeuse (http://img110.xooimage.com/files/b/b/e/2-53e644a.jpg)... Une pondeuse qui, contrairement à Marie, était ici depuis tellement longtemps qu’elle avait tout oublié de son ancienne vie, y compris son nom. Faute de mieux, on l’appelait, pour le moment, Kanna. Kanna, donc, caressa avec son phallus le corps de la femme, puis, sans guère attendre, tout en pinçant son cul, s’empressa de la pénétrer.

Sa queue s’enfonça dans le vagin de Marie, et elle la prit donc, en soupirant légèrement, très heureuse.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le vendredi 09 février 2018, 11:11:40
Son repos avait duré un certain moment. Se faisant violer mais n’ayant même pas l’impression de se faire violer était une expérience étrange que la fameuse Marie n’aurait jamais, je dis bien au grand jamais imaginé. Elle ne comprenait pas, elle vivait des choses que dans sa vie de religieuse, elle aurait jamais cru. N’était-elle pas une servante de Dieu ? Comment avait-elle pu arriver là. Elle avait envie de réfléchir à sa situation, de prier, de tenter de faire quelques choses, mais l’ensemble était un peu trop... Trop spécial pour elle. Elle avait du mal à concevoir tout ce qui lui arrivait, et il fallait bien avouer... Elle était entrain de vivre quelques choses d’unique. Unique ne voulant pas forcément dire agréable, cela, on l’avait bien compris...

Mais les choses changeaient. Ou plutôt évoluait... Et cela brisa son repos. En effet, après le repos vient le travail, et il fallait rappeler que la nonne était maintenant une pondeuse, donc, elle avait des choses à faire. Les oeufs, dans son ventre, avaient bien développés. Visiblement, elle allait devoir rendre ce qui lui avait été donné... Certes un peu contre son gré. Bref, son rôle de pondeuse débutait maintenant, et elle allait devoir comprendre que sa vie allait se résumer à cela, donc au boulot la cocotte !

Elle accouchait. Ce fut... moins douloureux que ce qu’elle avait imaginée. Depuis la chute d’Adam et Eve, la femme accouchait dans la douleur, c’était une règle, une norme maintenant, que Dieu avait imposé aux hommes. C’était douloureux, bien sur, mais moins que ce qu’elle aurait imaginé... Je dis bien imaginé, étant donné qu’elle n’y connaissait rien. Elle se contractait, poussait pour faire sortir l’élément étranger de son corps... Quand soudainement, elle fut prise par un puissant orgasme, moins puissant que celui qu’elle avait eu précédemment... Mais quand même ! Cette orgasme, non seulement fut un plaisir... Car c’était un orgasme, tout bêtement, mais aussi cela aida la femme à accoucher, ce qui, il faut bien l’avouer, était quand même un plus non négligeable... Ses jambes retombèrent alors placivement...

Accoucher était une chose, mais ce n’était pas fini. Elle commença alors à se faire pénétrer au sein de son anus par une tentacule. Elle laissa juste échapper un petit gémissement de surprise, quand sa bouche fut aussi prise... Et elle commença être nourrie. Oui, c’est vrai... Elle allait être maintenue en vie ainsi... Elle était nourrie et nettoyée, elle comprenait. C’était ainsi qu’elle allait vivre ? Elle allait vraiment rester ainsi, sans pouvoir rien faire, sans pouvoir s’en sortir ? Il fallait bien croire.... En tout cas, les tentacules faisaient leur travail. D’ailleurs, au bout d’un moment, ce travail fut finalement completé, et la femme libérée. Elle était donc libre... Libre de... De rien faire, d’attendre...

Elle attendait... Elle ne pouvait rien faire d’autres, à part attendre... Un temps dura.. Combien de temps ? Elle n’avait aucun repère pour tenter de se repérée. Comment savoir ce qui se passait ? Comment pouvait-elle se retrouver dans le temps ? Elle n’avait aucune idée. Elle attendait, ne pouvant rien faire d’autres. Il n’y avait même pas de lumière pour tenter de se retrouver entre le jour et la nuit. Non, il n’y avait rien du tout, étant donné qu’elle n’avait rien sur elle. Elle était juste entrain de se poser la question... Et de serrer la croix, qu’on lui avait laissé, comme l’unique reliquat qui pouvait la sauver... Elle avait encore une lueur d’espoir, dans son coeur, que Dieu vienne la sauver... La sortir de cette épreuve.

Puis, quelqu’un arriva... Etait-ce le retour de Sarah ? Elle n’en savait rien, elle n’entendait rien, étant donné qu’elle était toujours enfermée... On caressait ses femmes, et en plus, une verge était située au niveau de son vagin... Oh, elle n’était pas dupe... C’était donc sans doute Sarah... Elle allait encore se faire pénétrer, elle le devinait sans soucis. D’ailleurs, ce qui devait arriver arrivée, puisqu’elle se fit pénétrer... Alors, elle n’était pas une experte, mais elle avait pas l’impression que c’était Sarah... Cela ne semblait pas être la même queue qui l’avait fait souffrir un peu plus tôt... Après, elle se disait que peut-être que ce monstre démoniaque avait plusieurs formes... Bref, quoiqu’il en soit, elle gémissait toujours autant, ne pouvant rien faire... Elle était piégée et utilisée.... C’était terrible... Mais le plus terrible... C’est ce maudit plaisir qui continuait d’arriver, s’en fichant complètement qu’elle ne voulait pas aimer !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 12 février 2018, 01:03:46
Les pondeuses étaient continuellement droguées et nourries, entretenues pour céder peu à peu au désir. Elles en perdaient la raison, à force de rester coincées dans ces cocons. Ici, il n’y avait que le plaisir, et, comme elles n’arrivaient jamais vraiment à dormir, elles végétaient dans le plaisir, maintenues en état par les drogues et les injections formiennes. Marie subissait ce redoutable traitement, dont le but était de faire d’elle une pondeuse. Pour autant, preuve de la perversion de la Reine, elle portait encore, à son cou, son pendentif, un collier avec sa croix dorée, qui était nichée entre ses seins... Comme un rappel permanent de la femme qu’elle était jadis. Une ultime humiliation de la part de la vile Kerrigan.

Kanna, de son côté, ne se posait pas toutes ces questions, et se contentait de prendre une femme qui n’était pas encore enceinte... Ce qui était inacceptable au sein d’un nid. Kanna gloussait donc, et n’hésitait pas à accompagner ses coups de reins de puissantes gifles, claquant fortement le cul de la femme, faisant rebondir son corps, tout en continuant, sans relâche, à la labourer.

« Hmmm... Là, voilà ! Tu as un cul bien ferme, toi, hihi... ! »

Au-delà de la main de Kanna, un tentacule jaillit alors, et fouetta directement le corps de la jeune fille. Le tentacule remonta ensuite, et la fouetta encore, à plusieurs reprises, pendant que les mains de Kanna, aux ongles bien pointus,s ‘enfoncèrent dans sa chair. La pondeuse prit tout son temps, la baisant pendant de nombreuses minutes, avant de finir par jouir en elle... Et, comme à chaque fois, quand Kanna se retira, un tentacule se glissa dans le sexe de Marie, veillant ainsi à ce qu’elle conserve en elle le sperme de Kanna, ainsi que les œufs, qui se logèrent dans son vagin, et commencèrent à germer.

Une fois ceci fait, sans aucun cérémonial, Kanna s’attaqua à quelqu’un d’autre. Pour Marie, les heures passèrent encore, toujours emprisonnée dans ce cocon... Elle donna naissance à de nouveaux Formiens, et continua à émerger... Jusqu’à ce que le cocon ne se retire. Marie sentit les tentacules se retirer de son corps, et tomba alors dans une sorte de gros tentacule, faisant office de toboggan visqueux, qui l’amena à se rétamer sur le sol, dans une autre pièce aux murs violets, devant une femme qui se tenait devant elle, en souriant.

Ce n’était toujours pas Kerrigan, mais une Cérébrate, Elvennya (https://orig00.deviantart.net/0041/f/2013/205/e/1/elvennya_by_sade75311-d3ekv54.jpg), en compagnie de... Thyzia (https://cdn.discordapp.com/attachments/236714217607004162/366913696137478144/ningyon0323.jpg) ! Et, bien sûr, des corps étaient collés aux murs, des femmes se faisant longuement baiser par des tentacules assoiffés.

« Alors, voilà la petite religieuse teigneuse...
 -  Oui, ma sœur. N’est-elle pas adorable ?
 -  Tu m’ôtes les mots de la bouche, elle a l’air... Succulente ! »

Et les deux redoutables Formiennes gloussèrent, se dressant devant la jeune religieuse, dont le corps devait sembler bien fragile en ce moment...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 21 février 2018, 23:04:03
Se faire labourer... Encore et toujours... Elle n’allait pas véritablement s’en sortir, elle se faisait bourrer, elle n’était plus qu’un ventre pour les Formiens, visiblement. Bien entnedu, elle ne connaissait pas ses termes, mais elle comprenait ce que cela sous-entendait, ce que cela voulait dire... Elle souffrait, mais elle ne pouvait rien y faire... Après tout, elle était coincée, et elle était prise, sans aucune hésitation, sans aucune pitié... Bon sang, et il y avait ce plaisir... Ce plaisir qui continuait de s’insinuer avec elle, n’ayant aucune pitié, n’hésitant pas surtout à lui donner une sorte de réconfort mortelle, qu’elle ne voulait pas ! Elle ne voulait pas se sentir bien, elle voulait souffrir et être une martyr... Mais non, sa croix continuait de s’agiter, mais le plaisir était bien plus présent après tout...

Mais visiblement, être baisée, et bien, cela ne suffisait plus ! Elle commença à se faire fouetter, à se faire griffer... Immédiatement, son plaisir augmenta, bref, elle était utilisé de diverses manières... Et finalement, ce qui devait arriver arriva... Et bien, elle eut le droit à la jouissance de celle qui l’utilisait... Etait-ce toujours Sarah ? Etait-ce pour lui donner des oeufs ? Autant la première chose, elle n’en n’avait aucune idée, mais elle pouvait confirmer que la deuxième chose était bien celle-ci... Et voilà, de nouveau, après avoir donné des oeufs, et bien, elle en recevait encore une fois... La situation ne changeait pas, et au contraire, se stabilisait. Et elle ? Dans tout ça ? Et bien, elle avait encore jouie, à son grand malheur...

Et l’attente revint... L’attente revint, avec la naissance, encore et toujours... C’était horrible, c’était peut-être le pire, l’attente. Elle avait conscience que sa conscience se détruisait peu à peu que son cerveau, lui, tentait desespèrement de survivre, et qu’elle ne craque pas, tandis qu’inversement, elle sentait aussi la demande par pitié d’abandonner et d’accepter sa nouvelle vie. Une sorte de schyzophrénie particulièrement tenace, où elle ne pouvait rien faire, elle pouvait juste espérer que sa situation s’améliore progressivement, ou bien qu’elle réussisse à s’enfuir... Mais pour cela... Encore faudrait-il qu’elle sache où elle était ! Bref, elle donnait naissance, végétait, était nourrie... Mais au bout d’un moment, sa situation évolua légèrement... Elle fut libérée ! Elle glissa, et arriva aux pieds de deux femmes... Dans quel but... ?

« Alors, voilà la petite religieuse teigneuse...
 -  Oui, ma sœur. N’est-elle pas adorable ?
 -  Tu m’ôtes les mots de la bouche, elle a l’air... Succulente ! »

« Tu... Je te reconnais... »


Marie déclara cela d’une voix faible. Elle venait tout juste de sortir, et ses yeux mirent un peu de temps avant de se rhabituer à véritablement fonctionner. La femme était... Eh... Je... Elle ne savait plus. Elle savait qu’elle l’avait rencontré, elle la reconnaissait vaguement... Mais était-ce vraiment celle qui l’avait capturée et amenée ici ? Elle n’en n’avait pour tout dire aucune idée précise. Mais elle pensait la reconnaître. La femme à ses côté, néanmoins, ne lui disait absolument rien. Elle ne devait jamais l’avoir rencontré sans aucun doute. Elle l’appelait « ma soeur »... Etait-ce véritablement un lien de parenté entre les deux, ou bien est-ce que le terme était utilisé dans d’autres sens, un petit peu comme eux, dans la religion, l’utilisaient-ils ? Elle n’en n’avait pas trop d’idée, mais cela lui semblait tout à fait possible... Quoiqu’il en soit...

« Bon sang... Vous... Je suppose que vous ne venez pas me libérez... »

Elle laissa échapper un petit sourire rebelle... Montrant qu’elle n’était pas encore complètement brisée. Considérablement affaiblie, oui, mais elle n’était pas totalement brisée. Elle avait encore la force de faire quelques moqueries, et elle tenait la croix qui pendouillait encore autour de son cou, ce petit jeu pervers qui à la fois lui redonnait de la force, à la fois la faisait déprimer encore plus, lui rappelant que son Dieu ne venait toujours pas l’aider, et qu’elle était toujours à la mercie de ses deux créatures à l’apparence féminine... Qu’allaient faire là les deux ? Sans doute la violer, encore, et encore... Elle ne s’habituait pas, logiquement, mais au moins, maintenant... Elle savait. Elle savait ce qui lui arrivait, et son sort... Cela lui donnait une force non négligeable... Ce qui faisait qu’elle pouvait commencer à tenter de résister... Faiblement... Et inutilement.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 26 février 2018, 00:41:43
Face aux deux Formiennes, Marie n’en menait pas large, et était encore sonnée par le traitement impitoyable qu’elle avait reçu. C’était un contrecoup normal, pour elle qui avait passé plusieurs jours dans un œuf. Mais la Reine des Lames lui réservait un traitement particulier, ce qui expliquait pourquoi elle sortait si prématurément. Et, tandis que Marie reprenait ses esprits, elle recommença à narguer les deux femmes. Thyzia gloussa, et un tentacule jaillit alors d’un mur, s’allongea, s’étira, et fouetta le petit cul généreusement offert de la nonne.
 
« Ce petit sourire était de trop, salope… »
 
Tandis que Thyzia lui tournait autour, Elvennya s’approcha. Vu son visage, sa silhouette, c’était une elfe, une elfe transformée et modifiée par les gènes formiennes. Comme quoi, même ce peuple sacré et respecté pouvait succomber entre les mains des vils Formiens. Fléchissant les genoux, Elvennya approcha son visage de celui de Marie, un léger sourire sur les lèvres.
 
« Tu as droit à un traitement très spécial, tu sais, Marie… Normalement, les pondeuses ne sortent pas des cocons avant plusieurs mois, le temps pour elles de perdre toute velléité de résistance, et d’être totalement brisées, faciles à remodeler et à refaire… On leur efface la mémoire, et on la reconstruit. »
 
Un destin horrible, mais tout à fait concevable ! Souriant encore, Elvennya avança sa main, et caressa la joue de la nonne, griffant légèrement sa peau au passage.
 
« Tu sais depuis combien de temps tu es dans ce cocon ? Quatre jours… Je suis sûre que tu as dû trouver le temps long, mais pas au point de sentir les jours passer.
- Peu à peu, les pondeuses ne font plus la différence, rajouta Thyzia en étant dans le dos de la femme, et en malaxant ses fesses, sa verge tendue caressant sa croupe au passage. Quand on n’a plus de moyens de sentir l’écoulement du temps, notre perception en est modifiée, mon bébé. Peu à peu, on oublie tout, jusqu’à faire perdre sa propre identité…
- Mais toi, notre Reine ne veut pas aller aussi vite avec toi. »
 
Elvennya se redressa à son tour, et Marie put voir, entre ses cuisses, une belle verge noire venir se dresser sous son nez. Une impériale queue noire, qui tapa sur le nez de la religieuse. Elvennya se masturba sous son nez, et, au même moment, et sans plus de cérémoniel, Thézia enfonça sa verge dans la chatte de la religieuse, arrachant à cette dernière un long soupir. Elvennya approcha ensuite sa queue de ses lèvres.
 
« Sois une gentille fille, tu veux ? Et suce ma queue ! »
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 28 février 2018, 11:04:29
« Ce petit sourire était de trop, salope… »

Elle l’avait cherché, se dit-elle alors. C’est vrai qu’elle avait continué à montrer de la résistance. Mais que voulez-vous ? Etait-ce une particularité de ces stupides humains ? De toujours vouloir comme ça, tenter de résister, alors que tout espoir était vain ? Elle n’avait plus aucune chance… Cela se savait, cela se sentait : Pourquoi tenter de résister alors ? Peut-être que sa croix, qui était toujours situé autour de son cou, était une sorte de dernière résistance mentale, qui faisait en sorte qu’elle tentait désespérément de se raccrocher, et de résister le plus possible… Bref, elle s’était fait fouette violemment une fesse, et ne s’y était pas attendu. Elle avait pendant un instant, pendant une seconde oubliée qu’elle était dans un milieu qui lui était clairement hostile, et dont elle devait faire attention, étant donné qu’on savait très bien l’utiliser et la briser… D’ailleurs, cela se confirma par les dires qui suivirent :

« Tu as droit à un traitement très spécial, tu sais, Marie… Normalement, les pondeuses ne sortent pas des cocons avant plusieurs mois, le temps pour elles de perdre toute velléité de résistance, et d’être totalement brisées, faciles à remodeler et à refaire… On leur efface la mémoire, et on la reconstruit. »

Elle hocha la tête. La femme qui venait de lui dire ça était une femme qui auparavant avait dû être très belle, pensa la fameuse Marie. Très élancée, avec une peau très douce, et des longues oreilles… Ce qui était un peu étrange, mais ça devait arriver… Celle-ci caressa alors sa peau, la griffant légèrement tandis qu’elle disait ses mots horribles… Marie devinait ce qu’elle disait. C’est ce que Sarah, celle qui semblait être la chef de cette endroit, semblait vouloir faire comprendre tout à l’heure… Plusieurs mois, l’esprit brisé, etc. C’était assez horrible à imaginer, mais elle avait déjà compris que la pitié ne semblait pas être le fort de ses créatures.. Au contraire, même, mais de toute façon, elle ne comprenait pas pourquoi elle disait ça… Pourquoi était-elle dans une situation différente, elle ? Elle écouta alors la suite des déclarations :

« Tu sais depuis combien de temps tu es dans ce cocon ? Quatre jours… Je suis sûre que tu as dû trouver le temps long, mais pas au point de sentir les jours passer.
- Peu à peu, les pondeuses ne font plus la différence, Quand on n’a plus de moyens de sentir l’écoulement du temps, notre perception en est modifiée, mon bébé. Peu à peu, on oublie tout, jusqu’à faire perdre sa propre identité…
- Mais toi, notre Reine ne veut pas aller aussi vite avec toi. »

« Pour… Pourquoi… ? Qu’ai-je de spécial ? »


Elle demanda, car elle se posait vraiment la question… Qu’aurait-elle de spécial pour amener ses aliens à lui faire un traitement de faveur ? Elle serait une bonne pondeuse, d’accord. Cela, elle l’avait compris. Elle en doutait fortement, étant donné qu’elle avait été une vierge qui avait consacrée toute sa vie à Dieu… Mais pourquoi pas, on pouvait bien imaginer que c’était effectivement son cas… Mais pourquoi lui faire un traitement de faveur ? Pourquoi ne pas la transformer comme les autres ? C’était visiblement une volonté de la fameuse Sarah, leur reine, comme ils disaient. Car elle supposait que c’était celle qui l’avait engrossée, la première fois, et qui l’avait autant tourmentée… C’était sans doute ça… Bref, elle ne comprenait pas… Mais avait-elle à comprendre ? Très certainement pas, étant donné que ce n’était pas le moment, jeune demoiselle, de réfléchir… Non, c’était le moment de…

« Sois une gentille fille, tu veux ? Et suce ma queue ! »

« Aaah ! »


Son cri fut de suite sensible, quand elle se fit pénétrée. Bien qu’elle avait déjà été bien utilisée, et qu’elle avait donnée naissance déjà à quelques œufs, et bien… Cela restait quand même une pénétration surprise, et elle n’était pas une spécialiste de cela, au contraire : elle restait débutante, et elle n’avait pas l'habitude de se faire pénétrée... Mais bon, que faire ? A part gémir ? Son vagin était maintenant en libre accès, tout comme son anus... Elle ne pouvait rien faire à part se faire prendre. Tenter de se débattre ? Elle se ferait attraper par ses maudites tentacules. Tenter de lutter ? Elle n'avait aucune force... Non, mieux valait lutter quand c'était possible. Là, ce n'était pas le cas.

« D’a… D’accord, je… J’accepte... »

A quoi cela servait de dire non ? A montrer une résistance futile ? Elle était déjà pénétrée par l’une des deux femmes, et si elle refusait, et bien… Sa bouche serait forcée, exactement comme tout le reste. Résister, pourquoi pas… Mais à quoi cela servait de résister sur ce point, étant donné que la femme serait très bien briser cette résistance par la force ? Autant accepter. Elle aurait sans doute d’autres moyens de résister… Sans aucun doute. Mais là, elle devait faire, elle devait accepter. Elle n’avait pas le choix. Donc, devant l’imposante queue, et bien, la seule technique était d’ouvrir la bouche, et de la prendre, dans cette dite bouche. On allait bien voir ce que cela allait donner. Elle n’espérait pas de clémence ou de pitié de la part de ses créatures démoniaques… Non, pire que démoniaque, même… Mais elle devait bien faire ce qu’elle disait. Elle pouvait rien faire d’autres.

« Mmh... »

Elle suça… Comme elle ne savait pas trop faire, elle tentait d’imaginer que c’était une sucette… Une très mauvaise sucette qu’elle n’appréciait pas du tout, mais une sucette quand même . De toute façon, ce n’était pas comme si elle avait trop le choix. Elle devait le faire, car c’était comme ça. Bon sang, elle était obligée de servir ses femmes, comme ça, jusqu’à la fin de ses jours… ? Et elle allait peut-être devenir comme elle, dénouée d’amour et de compassion envers des victimes ? Peut-être que c’était ça qui lui faisait le plus peur… Devenir rien de plus qu’une tortionnaire parmi d’autres tortionnaires, ou l’amour de Dieu n’aurait plus aucune place, et où elle ne servirait qu’à faire corrompre d’autres femmes, le tout sans aucune pitié… Un destin franchement peu agréable, et dont elle n’avait vraiment pas envie de son plonger… Mais avait-elle le choix ? Malheureusement non, elle était bloquée, et ne pouvait rien faire...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 05 mars 2018, 00:53:18
Marie commençait à comprendre l’essentiel, à savoir qu’elle n’avait aucune option supplémentaire, aucun plan B, aucun moyen de se sortir de cette situation. Elle était prisonnière de la Horde, intégralement soumise au bon vouloir et à la perversion naturelle de ses geôliers. À travers Elvennya et Thyzia, c’était la volonté de Kerrigan qui s’exprimait. C’était elle qui avait choisi d’appliquer ce traitement spécial à la religieuse, elle qui avait choisi de ne pas la laisser indéfiniment dans le cocon. Certaines y restaient parfois des mois, avant que les Formiens ne s’assurent que leur esprit ne soit définitivement brisé. C’était un traitement long, exigeant, intense, mais entièrement fiable, qui n’avait jamais fait défaut. Après tout, que pouvaient faire les personnes à l’intérieur ? Elles subissaient continuellement des assauts sexuels, sans ressentir autre chose. C’était une défaite inéluctable. Impossible de gagner, alors Marie, qui avait le droit à un traitement particulier, pouvait s’estimer chanceuse.
 
Au demeurant, la religieuse était assez dubitative. Un choix compréhensible. Pourquoi elle, en effet ? Qu’avait-elle de si spécial pour qu’on la sorte de la cuve ? Ne répondant pas tout de suite, Elvennya laissa Thyzia la pénétrer le plus naturellement du monde, et posa son sexe sur le visage de la religieuse. Cette dernière, après un léger temps de réflexion, goba alors ce sexe. Elvennya ferma les yeux en soupirant, et posa ses mains griffues sur la chevelure de la jeune sœur, les serrant nerveusement, et la laissa goûter à son chibre.
 
« Hmmm… J’adore vraiment sa chatte, Elvennya… Si tendre, si étroite, si… Si accueillante !
- Fais-toi plaisir, nous pourrons la baiser aussi longtemps que nous le souhaitons. Ta vie, chère Marie, ne sera plus qu’un long fleuve de sexe »
 
Une perspective alléchante, n’est-ce pas ? Mais, dans tout ça, Elvennya n’oubliait pas la question que l’intéressée lui avait posé, et, tout en appuyant avec son bassin, enfonçant sa trique dans sa bouche, jusqu’à l’étouffer à moitié, elle reprit, tout en relâchant la pression :
 
« Mère apprécie beaucoup les religieuses comme toi… Elle a un traitement tout à fait particulier te concernant, mais ne t’inquiète pas, ma toute belle, tout viendra en temps et en heure. Pour l’instant, savoure de coucher avec des femmes comme nous… »
 
Qu’est-ce que cela voulait dire ? Que le pire était assurément à craindre ! Qu’est-ce qu’elles avaient prévu pour elle ? Quels étaient les plans machiavéliques que Kerrigan avait en tête à son sujet ? La main de Thyzia s’abattit alors sur la croupe de Marie, la giflant à plusieurs reprises, lui arrachant des soupirs et des couinements. De son côté, Marie sentit alors, le long de la verge gluante d’Elvennya, des sortes de petits tentacules se détacher de sa verge noire, venant caresser sa langue, ses dents, ou adhérant tout simplement à sa gencive, amplifiant et facilitant la pénétration d’Elvennya.
 
« Hmmmm, ouuuiii, putain, la chatte d’une salope de nonne !! Trop bon !!
- Pardonne l’enthousiasme de Thyzia, mais tu lui as vraiment tapé dans l’œil la dernière fois… »
 
Entre la surexcitation de Thyzia et le calme olympique d’Elvennya, alors que son mandrin énorme labourait la bouche de Marie, la religieuse était bien entourée…
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mardi 06 mars 2018, 21:55:44
A quoi cela servait de résister ? Elle n’avait rien à gagner là, à résister contre ses deux femmes. Tant qu’elles étaient dans leur éléments, c’est à dire les tentacules… Elles pouvaient faire ce qu’elles voulaient… Et il fallait bien l’avouer, elles en profitaient ! La chatte de la pauvre religieuse continuait d’être bourrée, sans la moindre pitié, par l’une des deux femmes qui semblait bien en profiter ! Dans un sens, elle avait raison, elle n’allait pas se priver ! Elle était là pour ça, pour être utilisée, et elle pouvait pas faire grand-chose pour tenter de lutter contre… Donc, elle acceptait, aussi bien dans sa chatte que dans sa bouche. Pour la bouche, il fallait bien avouer que c’était une première fois, et elle espérait une dernière fois… Cependant, aussi bien son réalisme que les déclarations qui suivirent douchèrent se bref espoir…

« Hmmm… J’adore vraiment sa chatte, Elvennya… Si tendre, si étroite, si… Si accueillante !
- Fais-toi plaisir, nous pourrons la baiser aussi longtemps que nous le souhaitons. Ta vie, chère Marie, ne sera plus qu’un long fleuve de sexe… »


Elle pensait avoir compris… Était-elle prête pour autant ? NON ! Bien sur que non ! Elle ne voulait pas que sa vie soit un long fleuve de sexe… Mais bon sang, est-ce que son avis avait la moindre importance ? NON ! Et elle pouvait s’estimer heureuse, vu que de toute façon, visiblement, même les plus résistances finissaient brisées… Si ça se trouve, cette fameuse Elvennya, avait été dans la même situation qu’elle, il y a quelques années… Et maintenant, qu’est-ce qu’elle faisait ? Et bien, elle enfonçait sa grosse queue dans sa petite bouche, et manquait de l’étouffer… Bref, peut-être que si les choses s’étaient passé autrement, et bien… Cela serait elle qui serait entrain d’etouffer la pauvre Elvennya, et non pas l’inverse… Elle n’osait même pas imaginer elle, comme ça, transformée ainsi… Elle ne voulait pas l’imaginer, mais qui sait… Peut-être que cela allait arrivé ? Elle ne pouvait pas savoir ce qui l’attendait...

« Mère apprécie beaucoup les religieuses comme toi… Elle a un traitement tout à fait particulier te concernant, mais ne t’inquiète pas, ma toute belle, tout viendra en temps et en heure. Pour l’instant, savoure de coucher avec des femmes comme nous… »

Donc… Elle n’était pas la seule ? Cette déclaration lui donna du courage. Peut-être qu’elle allait ainsi trouver d’autres femmes comme elle. A plusieurs, elles pourraient se donner du courage, et peut-être réussir à s’enfuir, ensemble ? C’était un espoir fou, surtout que si ça se trouvait, ses sœurs avaient déjà sombré, et la lumière de Dieu s’était peut-être à jamais éteinte pour elles… Bref, elle ne devait pas trop espérée… Elle se demandait aussi qu’est-ce qu’allait bien lui arriver, que voulait-elle dire par « traitement tout à fait particulier » ? Cela pouvait vouloir dire beaucoup de choses mais… Mais cela servait à rien de tenter d’y réfléchir maintenant… Déjà, car quand tu avais une bite dans la chatte, et une bite dans la bouche, et bien, c’était difficile d’avoir des idées clairs… Très difficile.

« Hmmmm, ouuuiii, putain, la chatte d’une salope de nonne !! Trop bon !!
- Pardonne l’enthousiasme de Thyzia, mais tu lui as vraiment tapé dans l’œil la dernière fois… »


Elle était bien entourée, en effet… D’un côté, c’était l’enthousiasme de Thyzia… Du peu qu’elle connaissait de cette femme, cela n’était pas spécialement étonnant. Après tout, elle avait pas hésitée à le faire, le montrer cette enthousiasme, la dernière fois… Et cela avait été terrible… Donc, qu’elle soit aussi active, quand elle était entrain de s’accoupler… Ce n’était pas étonnant. Elle était comme une bête sauvage, et qui avait réussi à trouver donc sa fameuse cible… Mais le pire… Ce n’était pas ça…. C’était bel et bien le calme olympien de Elvennya qui était terrible, car elle n’arrivait pas à s’en rendre compte… Elle avait une queue énorme dans sa bouche, mais celle qui l’utilisait, là, était parfaitement calme… Comme si c’était normal, comme si elle le faisait sans aucun soucis, dans la bouche de la pauvre femme. Bref, deux versions totalement différentes, chacune terrible pour la fameuse religieuse...

Mais quel était le pire ? Sans aucune hésitation, Thyzia pouvait le savoir… C’est que la religieuse… MOUILLAIT ! Et oui, elle mouillait, comme ça… Et oui, elle ressentait du plaisir. Pourtant, pas d’aphrodisiaque cette fois, c’était… Naturel ! Alors, attention, cela restait quand même minime, elle souffrait et n’appréciait pas… Mais elle devait « avouer » qu’elle ressentait quand même un peu de plaisir dans tout ça… Du plaisir qu’elle ne pouvait pas cacher… Donc, elle continuait de faire ce qu’elle devait faire… D’un côté, sucer, même si elle ne s’y connaissait pas du tout, et de l’autre… Et bien, elle n’avait rien à faire, mais Thyzia semblait savoir quoi faire… Donc, il n’y avait pas de soucis de l’autre côté ! Et bien on peut dire que tout est parfait alors !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 12 mars 2018, 01:03:46
La religieuse luttait de moins en moins. C’était, en même temps, parfaitement compréhensible. Comment était-elle supposée faire ? Elle ne pouvait pas lutter indéfiniment contre les élans de son corps, contre des pulsions tout à fait naturelles et contre lesquelles elle n’avait jamais été formée. Tout ce qu’on lui avait enseigné, c’était de repousser ses émotions, de ne pas songer au sexe. Son corps n’était clairement pas préparé à ça, et, avec le temps passant, le sexe qui déferlait sur elle, Marie réagissait instinctivement... Ce qui fit qu’elle ne chercha pas à mordre la queue d’Elvennya, ou même à protester, mais, au contraire, suivait le mouvement. Thyzia gloussa, et gifla alors fortement le cul de Marie.

« Elle mouille ! Elle mouille, cette sale pute ! Haha, si c’est bon ! Salope, je savais que tu aimais te faire baiser, qu’on te prenne bien fort ! On te viole en répétition, et toi, tu mouilles ? Tu n’es qu’une sale pute de traînée ! »

Elvennya sourit alors. Plus modérée que Thyzia, elle savait très bien ce que Marie devait ressentir. Si Thyzia avait été une Tekhane facile à corrompre, Elvennya avait en effet longuement combattu la corruption formienne. De base, elle avait été une elfe courageuse, qui avait été capturée en affrontant les Formiens. Un sacrifice... Mais, plutôt que de la tuer, Kerrigan l’avait capturé. Elle s’était battue, avait lutté, mais, finalement... Elle était devenue une Cérébrate, et il n’y avait, pour elle, plus aucun espoir de rédemption. Ou alors, il faudrait la mettre entre les mains des Novaquiennes, qu’elles utilisent des nanomachines et des traitements très avancés pour nettoyer son corps de l’infection formienne, mais, même dans ce cas, l’esprit d’Elvennya serait marqué par ce qu’elle avait vécu. Et, en ce moment, Elvennya n’estimait n’avoir nullement besoin d’être « guérie ».

Sa main griffue serra donc les cheveux de la femme, et elle continua, lui baisant la bouche, se délectant de ses couinements, de ses soupirs. Confuse, Marie se faisait baiser, sa croix religieuse filant d’avant en arrière, au gré des coups de reins des deux femmes, qui semblaient avoir toutes les deux oublié de jouir, tant elles continuaient à prendre, sans relâche, la belle jeune femme. Marie ne pouvait que savourer et souffrir, en attendant que ses deux geôlières ne finissent enfin par jouir. Les minutes s’écoulèrent donc, Elvennya finissant par poser son autre main sur la tête de la religieuse, et enfonça sa queue. Son vit turgescent heurta sa cavité buccale, et continua à s’enfoncer profondément, n’offrant aucun moment de répit à la femme, la pauvre religieuse ne pouvant guère que soupirer et reprendre sa respiration, pendant que les claques continuaient régulièrement à tomber sur son cul.

Thyzia était la plus excitée des deux, ce qui fit que, au bout d’un long moment, elle approcha enfin de la jouissance. Ses mains griffèrent les fesses de la religieuse, et, dans un long soupir, Thyzia sentit sa queue se contracter, puis expulsa d’épais filaments de foutre dans le corps de Marie. Sa queue se relâcha, et une jouissance phénoménale traversa le corps de la Formienne, une épaisse quantité de foutre venant se diluer dans le corps de son amante. Marie eut droit à une généreuse tournée, et Thyzia continua à remuer tout en jouissant, avant de se maintenir en position, savourant le contact de sa queue baignant dans son propre sperme.

Elvennya retira alors sa queue, bien tendue, fièrement dressée, membre érectile recouvert de salive.

« Voilà... » gloussa Thyzia.

L’elfe formienne poursuivit, en attrapant son sexe, et en caressant le visage de Marie avec, dessinant une sorte de croix religieuse sur son visage :

« Tu portes un nouveau bébé, Marie, mes plus sincères félicitations ! »
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le vendredi 16 mars 2018, 13:43:27
Elle avait accepté de faire cela. Elle aurait pu mordre, pour tout dire, elle y avait même pensée, mais franchement... Elle aurait gagnée quoi dans l’affaire ? Elle aurait eu la très courte satisfaction d’avoir résisté... Puis, elle aurait eu la punition, et aurait du quand même faire ce que la femme voulait... Donc, finalement, cela n’aurait servi à rien, et elle aurait juste été punie. Prouvée qu’elle pouvait résister ? Oui, s’il y avait d’autres femmes avec elle, pour montrer qu’ensemble elle pouvait faire des choses... Sauf que là, elle était toute seule. Donc, tenter de résister était complètement inutile... Elle n’avait donc plus qu’à céder, et pour le moment, accepter son destin... Elle n’appréciait pas cela, mais elle devait céder, pour le moment... Mais le pire... Le pire et de loin, c’était bien ce qui se passait.

« Elle mouille ! Elle mouille, cette sale pute ! Haha, si c’est bon ! Salope, je savais que tu aimais te faire baiser, qu’on te prenne bien fort ! On te viole en répétition, et toi, tu mouilles ? Tu n’es qu’une sale pute de traînée ! »

Quel horrible honte... Ouais... elle avait... osée mouillée... Mais qu’est-ce qu’elle pouvait faire ? Elle aimerait se retenir, elle aimerait empêcher... Mais non, elle mouillait, et elle pouvait rien faire... C’était horrible, mais elle détestait ça... Elle ne voulait pas du tout que cela arrive, mais son corps n’avait pas le contrôle dans cette solution, il était totalement libre... Avec un peu de chance, elle arriverait à mieux se contrôler par la suite... Mais pour le moment, elle était l’esclave de son comportement, de son corps, de ce qui lui arrivait... Elle ne contrôlait pas son corps qui avait subit des années de frustration sexuelle... Maintenant, dans un sens, son corps était enfin libérée, et elle ne voulait pas cette libération... Deux forces opposées, ou l’une des force, celle qui tentait de retenir, avait de plus en plus de mal à avoir le contrôle... Tant pis pour elle ! Elle n’avait plus qu’à abandonner... Elle était piégée.

Elle se faisait baiser sans aucune pitié, sa croix ballotant alors qu’lele était utilisée comme ça... D’abord, c’était son vagin, qui était toujours aussi bourrée, et ses fesses, elles étaient claqués... C’était bien différents des quelques fessées qu’elle avait prit quand elle était petite... Mais quand même... Et de l’autre, c’était sa bouche, qui était entrain de passer et passer... Et le pire, c’est que les deux femmes qui s’occupaient d’elle... Semblaient prendre TOUUUT leur temps... avant de jouir... Finalement au bout d’un temps... Et bien, PAF ! Elle eut énormément de sperme qui coula de nouveau dans son ventre... Elle savait bien ce que cela voulait dire maintenant... Elle ne pouvait rien faire, tandis qu’elle se remplissait de sperme... Et comme expliqua les deux femmes, juste après, visiblement fière d’elle, au point où la plus grande des femmes s’amusa à faire le signe de croix avec son phallus...

« Voilà...
-Tu portes un nouveau bébé, Marie, mes plus sincères félicitations ! »

« Mer... Merci... »


Elle... Elle remerciait ? Oui, c’est bien ce qui venait de se passer... Franchement, elle n’avait pas envie de se faire martyrisé, battre, etc... Cela ne servait à rien. Et oui, vous voyez bien la vérité sur ce qui était entrain de se passer, elle était entrain de céder... Son esprit avait cédé assez rapidement à son corps... la honte la submergait, comme dit précédemment, ce qui faisait qu’elle disait « merci », pour se dire que si elle était exemplaire, peut-être qu’elle serait mieux traitée ? Et oui, la résistance visiblement avait des limites, les limites étant tant de choses... La peur... L’hésitation... Le stress... La souffrance... Tant de choses qu’elle avait redoutée toute sa vie, et dont la religieuse, elle pensait, pourrait la protéger... Sauf que non, son Dieu l’avait abandonnée, l’avait laissée là où elle était... Et elle allait se débrouiller toute seule... Elle déclara d’une voix faible :

« Que dois-je faire maintenant... Vous allez me remettre dans ses tentacules, c’est ça ? A attendre que votre « bébé » grandisse et sorte... ? »

Elle n’avait pas spécialement envie que cela recommence. Elle savait, enfin, elle avait compris que certaines femmes étaient mises et laissées comme ça pendant des mois, voir des années, juste pour être sûre de les briser... Et le pire, c’est que cela ne l’étonnait pas. Elle se souvenait le fait que son vagin restait disponible, quand elle était dans ce mur de tentacule... Donc, bien entendue, cela laissait al possibilité de la féconder, autant qu’on voulait... Bref, elle pourrait rester ainsi... Mais cela ne semblait pas tout à fait ce qui semblait se préparer pour elle... Pourquoi je dis cela ? Et bien, tout simplement qu’elle se rappelait aussi le fait que sa fameuse Sarah avait visiblement un but pour elle... Qu’est-ce qui allait se passer ? Encore plus de sexe ? Encore plus de martyr ? Elle ne savait pas...

« Je ne comprends pas... Pourquoi ne faites vous pas... Entre vous... ? Vous êtes des femmes, vous pourriez porter vos bébés... Non ? Si... Si j’ai le droit de demander, maîtresses... »

Ouh là !!! Elle se rattrapa de justesse... Elle avait pensée à dire « maîtresse » en espérant que cela allait réussir à faire passer la pilule. Elle pensait connaître la réponse, sans aucun doute qu’elles utilisaient d’autres femmes juste pour le plaisir de faire souffrir des pauvres personnes qui n’avaient rien demandés... Mais bon, elle demandait, en espérant qu’elle aurait une réponse... Après, à ce qu’il paraissait, elle allait être particulièrement bonne comme « pondeuse », d’ailleurs, elle se rappelait, elle devait se dire qu’elle était particulièrement bonne, étant donné qu’elle avait déjà commencé, elle avait déjà commencé à donner des enfants... Cela voulait dire qu’il y avait déjà des enfants à elle qui était entrain de commencer leur croissance ici... Elle avait du mal à y croire, mais c’était la réalité... Sa réalité...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 19 mars 2018, 00:49:16
Les deux Formiennes s’amusaient beaucoup avec la jeune femme. Marie était une exquise religieuse, très belle, très endurante. Elle avait donc un nouveau bébé dans son ventre, et s’attendait maintenant à retourner dans son cocon. Cependant, le simple fait qu’elle en soit sortie sans que son entraînement ne soit terminé était la preuve que la Reine des Lames avait un traitement tout à fait particulier la concernant. Marie observa les deux Formiennes, nerveuse, et Elvennya lui répondit rapidement :

« Tout dépendra de ton comportement, Marie. Si tu te rebelles, tu retourneras dans ton cocon, oui... »

Une perspective peu enviable, mais qui devrait amener Marie à faire preuve de tempérance, et à se montrer calme et attentive. Les Formiens n’auraient tout simplement aucune hésitation à la ramener là-bas, et Marie savait qu’elle pouvait encore y être enfantée. La jeune religieuse leur posa alors des questions, et les deux femmes sourirent. Thyzia gloussa même, tout en s’agenouillant dans le dos de Marie, et caressa ses épaules, un élan d’affectuosité qui tranchait avec le viol que la religieuse venait de subir. Ses mains glissaient doucement sur sa peau, remontant jusqu’à ses beaux cheveux, que la femme caressait longuement.

Elvennya, quant à elle, observa la jeune femme, et se déplaça lentement.

« Qui te fait croire que nous ne le sommes pas ? Donner la vie est un privilège incroyable, Marie, et je porte des bébés... Tout comme Thyzia.
 -  Nous aussi, nous donnons la vie. Tu réalises à quel point c’est agréable ? »

Sans doute pas, mais elle le réaliserait, tôt ou tard.

« Allez, lève-toi, Marie. »

La jeune femme obtempéra. Elle savait qu’il était dans son intérêt d’obéir. L’elfe formienne caressa délicatement son visage, un sourire malicieux venant ensuite se glisser sur ses lèvres, puis elle embrassa Marie, déplaçant sa main pour palper ses fesses au passage. Le baiser se prolongea volontiers, le corps d’Elvennya se frottant à celui de la femme. Marie pouvait sentir le contact gluant et gélatineux de sa peau symbiotique, mais loin, en réalité, d’être désagréable. Après ce baiser, Elvennya conserva sa main dans celle de Marie, lui sourit encore, puis se dirigea vers un mur. Ce dernier s’ouvrit sur place, formant un long couloir circulaire dans lequel Elvennya s’enfonça. Thyzia suivait le duo.

Les femmes marchèrent dans un couloir rosâtre, avec des œufs et des cristaux phosphorescents le long des murs, ainsi que des tentacules qui remuaient lentement. Elles marchèrent pendant de nombreuses minutes, jusqu’à rejoindre l’un des nids de Kerrigan. Une grande pièce, immense, tellement haute qu’on ne voyait pas le plafond, et avec de multiples œufs. Marie put ainsi voir que le bassin des femmes prisonnières à l’intérieur ressortait à chaque fois.

« C’est là où tu as séjourné, Marie. »

Elvennya aventura sa main libre sur une paire de fesses, et pinça la chair, faisant frémir le corps.

« Qu’es-tu prête à faire pour ne pas retourner là-dedans, dis-moi ? Et si je te demandais d’engrosser l’une de ces femmes, à la place des tentacules, tu le ferais ? »

Vu comment la question était posée, une seule réponse semblait devoir s’imposer...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 21 mars 2018, 11:52:33
Là arriva... La chose la plus étonnante depuis qu’elle était là. Elle reçu... Un geste affectueux. Bien sur, elle avait compris la menace, elle savait que si elle se rebellait, elle allait finir dans son cocon, à se faire baiser, sans pouvoir rien faire. Elle avait bien compris, cela... Cela était nullement surprenant maintenant. Elle avait compris comment cela marchait. Mais... Recevoir comme ça... Un élan d’affectuosité... Cela la rassura. Elle se sentit tout d’un coup, dans une situation qui n’était plus aussi effrayante, comme si elle pourrait trouver finalement une place ici... Non, ce n’était pas possible, après tout, elle était quand même enlevée, et utilisée pour pondre des oeufs... Non, elle ne pouvait pas être à sa place...  Non ?

« Qui te fait croire que nous ne le sommes pas ? Donner la vie est un privilège incroyable, Marie, et je porte des bébés... Tout comme Thyzia.
 -  Nous aussi, nous donnons la vie. Tu réalises à quel point c’est agréable ? »

« Donner la vie est formidable oui... »

Ah la, ce n’était pas un mensonge, une tentative de cacher ou quoique ce soit. Elle le pensait vraiment. Elle pensait vraiment que donner la vie était quelques choses de formidable. C’était un don de Dieu, et c’était cela qui rendait vivant. Elle ne voulait pas se marier, et rester vierge pour s’approcher de Dieu, car elle se sentait marier spirituellement au Christ... Mais elle trouvait quand même formidable l’idée de donner la vie... Ainsi, quand les deux membres de la Ruche commencèrent à déclarer cela... Et bien, elle ne pouvait qu’approuver. Donner la vie était formidable... C’était tout le contexte au tour qui posait problème à la fameuse religieuse. Pouvait-on dire que donner la vie était une chose formidable, quand celle-ci nous était forcée ? Et quand on ne savait même pas quel vie on donnait véritablement ?

« C’est là où tu as séjourné, Marie. »

Les trois femmes avaient fait une assez longue marche pour accédait à cette placxe... Elle regardait l’endroit où elle était... Et cela la fit frisonner. Déjà, la grandeur, l’immensité de cette espace était absolument incroyable... Elle se rendait compte maintenant qu’elle n’avait aucune idée de où elle était, mais que c’était absolument pas immense. C’était pas genre les caves d’un immeuble, cela ne faisait aucun doute... Mais c’était pas la grandeur de l’endroit qui était le plus important... C’était l’endroit. Tant de tentacules... Et tant de femmes. Tant de femmes positionnées ainsi, des pondeuses... Des pondeuses par centaines. Combien de femmes étaient prisonnières ? Elle ne savait pas. Mais sans aucun doute que c’étaient toutes des femmes qui avaient été enlevés, comme elle, et ne pouvait rien faire...

« Qu’es-tu prête à faire pour ne pas retourner là-dedans, dis-moi ? Et si je te demandais d’engrosser l’une de ces femmes, à la place des tentacules, tu le ferais ? »

« Je... Je ne suis pas équipée pour ça et... »

En effet ! Elle savait bien que la procréation, et bien, cela ne marchait pas comme ça. Elle était une femme et elle ne pouvait pas donc donner l’aspect « mâle » de la procréation. C’était ainsi, Dieu avait crée les hommes comme cela, et les femmes d’une autre façon et... Et... Et elle parlait à deux femmes qui venaient de l’engrosser... Et depuis le début elle n’avait croisée que des femmes qui faisaient... Oui bon d’accord, elle se rendait compte qu’elle avait faut sur toute la ligne là, et que visiblement, homme et femme, et bien, cela n’avait nulle importance dans ce contexte là. Bon bah, tant pis ! On pourrait au moins qu’elle a tenté ! Ainsi, après avoir fait ses quelques déclarations, elle se ravisa alors, se sentant assez stupide, et espérant que son rattrapage allait lui permettre de ne pas mal finir...

« Oh, je... Je suis bête... Vous pouvez... M’équiper, c’est ça ? Je... Je ne veux vraiment pas y retourner, et puis, je suppose que de toute façon, ça ne changera rien pour elle, donc, concrètement, que je le fasse ou non... »

Bon, en un mot comme en cent, elle ne voulait vraiment pas. Elle savait qu’elle pouvait être « équipée », joli euphémisme d’ailleurs qu’on pouvait remarquer dans ses déclarations, mais elle ne voulait pas être équipée... Et surtout, elle ne voulait pas être responsable d’une telle action. Elle ne voulait pas être coupable de ce qui arrivait à ses femmes... Elle voulait rester pure. Elle ne voulait pas passer du côté des bourreaux, elle était une victime. Hors de question de faire ce genre de chose... Mais au fond... A quoi cela servait de résister ? Et bien, on pourrait lui dire qu’au moins son honneur serait sauf. Elle ne deviendrait pas coupable de ce qui arrive, elle resterait qu’une victime qui subit... C’était beau en soi, sans aucun doute... Et en temps que chrétienne, elle ne peut pas se permettre de passer dans le côté de ceux qui oppriment... N’est-ce pas ?

« Non. Je ne peux pas accepter. Je... Je veux pas faire du mal à ses femmes. Désolée maîtresse... Je... vous... Vous allez me faire du mal c’est ça... ? »

Et oui. Elle ne pouvait pas, sa foi était trop importante. Elle savait ce qui l’attendait, sans doute une punition de taille, mais elle ne pouvait pas se dire qu’elle, chrétienne, pouvait céder à de tels atrocités. Elle savait ce que cela voulait dire... Elle allait retourner dans un oeuf. Elle baissa la tête pleine de tristesse et... De soumission ? Et oui, c’était absolument pas de la résistance qu’elle montrait. C’était de la peur et de la pitié. Elle se demandait ce qui allait lui arrivait... Allait-elle aller dans un oeuf ? Sans doute... Ou bien, elle allait avoir encore pire. Et oui, elle avait refusé quelques choses... Elle avait que ses maîtresses n’allaient pas le prendre bien. Peut-être allaient-elle la forcer ? Et qu’elle allait prendre du plaisir en étant forcée ET en forçant les femmes ? Peut-être que son choix de refuser allait être la pire idée qu’elle aurait eu depuis qu’elle était là...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 25 mars 2018, 20:41:26
« Tu hésites, ma beauté... Mais je note que ton premier réflexe a été de le faire. »

Elvennya sourit lentement. Elle conservait sa main dans celle de Marie, surprenant la religieuse par la douceur dont elle faisait preuve. Hey ! Elle ne pouvait pas non plus la violer continuellement ! En tout cas, elle marcha jusqu’à un cocon, où une femme attendait. On voyait son corps ressortir, ou, plutôt, une partie de ce dernier. De belles jambes brunes, avec un magnifique cul, légèrement relevé. La main d’Elvennya caressa ce beau cul tendu, faisant frémir le corps de la femme.

« Elle, elle vient de ton monde... C’est une ganguro, une junkie qui vendait son corps dans des rues sordides pour un shoot’. Toutes les saloperies qu’elle avait pris l’avaient rendu inféconde, en plus d’attraper la syphilis. Nous avons purgé son corps. Elle est dans ce cocon depuis plusieurs semaines, mais en sortira bientôt, car elle est prête. »

Fallait-il les remercier, ou les haïr ? Elvennya amena le corps de Marie juste devant le corps de la ganguro, et lui ordonna de caresser les fesses de la femme avec ses mains, tout en se positionnant elle-même dans son dos, caressant les hanches de la religieuse. Les mains d’Elvennya empoignèrent ensuite ses poignets, et elle guida son amante sur le cul de la femme.

« Sens la douceur de ce corps, Marie, sa tendresse, sa chaleur... Un petit cul comme ça, c’est magique. Grâce à nous, elle a donné naissance à de nombreux bébés. Elle était prête à se suicider, tu sais... Maintenant, non seulement elle vit, mais elle a pu rejoindre une communauté qui veillera sur elle. Est-ce que cela ne fait pas de nous de purs Chrétiens ? »

Elvennya la nargua. Mine de rien, la Cérébrate avait conservé des souvenirs de la religion, et la religion de l’Ordre Immaculé était très proche du christianisme.

« Certes, nous vous forçons, mais n’est-ce pas ce que ton Dieu fait ? Dans le fond, tu as toujours le choix, Marie... Tu vois, tu peux refuser, et souffrir, ou accepter ton sort, et goûter à une vie meilleure. Tu es comme Abraham, mis à l’épreuve par Dieu, jusqu’à devoir aller jusqu’à tuer son fils Isaac. »

L’elfe parlait d’une voix calme, envoûtante, ses seins s’appuyant sur le dos de Marie, et remonta ses mains, pinçant les seins de la femme, à hauteur des tétons. Entre les jambes de Marie, il y eut alors un contact visqueux. Un tentacule phallique remontait lentement, et elle put le voir. Elle allait sans doute déglutir en imaginant que c’était ce genre de membre qui l’avait baisé. Un tentacule énorme, une membrane chaude et gluante. Quand elle approcha du corps de la femme, de petites langues jaillirent de la pointe du tentacule, et écartèrent les parois intimes de la femme.

Ensuite, le tentacule se releva, et pénétra sèchement la femme, d’un coup sec. Le corps de la ganguro frémit sur place, puis le tentacule continua à la bourrer, furieusement, intensivement, provoquant des claquements spongieux, libérant une odeur assez repoussante, mélange de sueur, de sexe, de sperme... Elvennya déplaça alors Marie devant un autre cocon.

« Elle, c’est une vierge... » susurra Elvennya contre son oreille.

Elle lécha son cou. On pouvait voir un corps blanc, qui semblait plus petit que celui de la ganguro.

« À peine quinze ans, une fugueuse... Tu as le choix, Marie, elle doit tomber enceinte. Elle était destinée à épouser un vieux pervers à Nexus, et a fui la maison familiale, où personne ne l’aimait. Nous l’avons ramassé. »

D’ores et déjà, un tentacule se rapprochait.

« Nous avons imbibé ses parois intimes, elle n’aura pas mal si tu la prends... Mais, si c’est un tentacule... »

Au même moment, un nouveau tentacule en forme de seringue se planta dans le cou de Marie, et diffusa un puissant sérum. Marie se tortilla alors sur place, et, dans un soupir, libéra dans des flopées de mouille un magnifique phallus. Une belle queue avec deux testicules émergea de son sexe, et Elvennya entreprit de la masturber énergiquement, lui arrachant rapidement un premier orgasme. Son sperme éclaboussa les fesses de la jeune femme, mais la queue de Marie fut loin de débander.

« Alors, choisis... Si tu la prends, ce sera bien plus acceptable pour elle que si un tentacule la prend. Choisis, ma belle... »
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le jeudi 29 mars 2018, 12:05:09
Mystérieusement... Alors qu’elle s’était attendue à se faire punir pour avoir refusé d’obéir... Et bien non ! Elle ne fut pas punie, au contraire, la personne, la plus douce des deux personnes continua d’être... Extrêmement douce, extrêmement gentille... Beaucoup trop gentille... Après tout, elle était venue ici en étant kidnappée, violée, et après enfermée pour donner des bébés. Bref, une vie horrible qu’elle n’avait pas envie, pas du tout envie... Alors bon sang de bonsoir, pourquoi il se passait des choses qui montrait une gentilesse ! Non qu’elle voulait souffrir, mais il fallait qu’elle souffre, pour que cela soit logique. Pour le moment, elle ne souffrait pas... et ce n’était pas logique. Que voulait-elle faire ? Lui faire croire que la vie ici n’était pas que souffrance ! Elle en doutait fortement, mais... Mais disons que la situation pouvait bien changer...

« Elle, elle vient de ton monde... C’est une ganguro, une junkie qui vendait son corps dans des rues sordides pour un shoot’. Toutes les saloperies qu’elle avait pris l’avaient rendu inféconde, en plus d’attraper la syphilis. Nous avons purgé son corps. Elle est dans ce cocon depuis plusieurs semaines, mais en sortira bientôt, car elle est prête. Sens la douceur de ce corps, Marie, sa tendresse, sa chaleur... Un petit cul comme ça, c’est magique. Grâce à nous, elle a donné naissance à de nombreux bébés. Elle était prête à se suicider, tu sais... Maintenant, non seulement elle vit, mais elle a pu rejoindre une communauté qui veillera sur elle. Est-ce que cela ne fait pas de nous de purs Chrétiens ? »

Non. Bien sur que non. Être Chrétien, ce n’était pas aussi facile... Mais... Mais il fallait bien reconnaître qu’elles n’avaient pas tord. Si ce qu’elles disaient était vrai... Et bien... Et bien, oui, en effet, elles avaient offert une maison, un toit, et un but à cette personne. A cette personne qui avait tout perdue, qui avait souillé aussi bien son corps que son âme... Et même si ce but était absolument ignoble, c’était un but, une voie dans une vie qui avait très certainement... Rien eu auparavant, à part une continuelle recherche d’autodestruction... Mais était-ce mieux ? Se retrouver à ne faire qu’une seule et unique chose ? Et surtout... Ce n’était pas son choix, après tout. N’était-ce pas à elle de s’en sortir toute seule ? Elle ne savait pas quoi penser. On l’avait sauvé, oui, mais à quel prix ? Etait-ce mieux ?

« Certes, nous vous forçons, mais n’est-ce pas ce que ton Dieu fait ? Dans le fond, tu as toujours le choix, Marie... Tu vois, tu peux refuser, et souffrir, ou accepter ton sort, et goûter à une vie meilleure. Tu es comme Abraham, mis à l’épreuve par Dieu, jusqu’à devoir aller jusqu’à tuer son fils Isaac. »

C’est alors que la femme se fit de nouveau pénétrer... La tentacule eut même « la gentilesse » de passer entre ses jambes. Quand elle fit la femme se faire pénétrer pour ça... Elle se disait « Bon dieu, c’est ça qui m’a traversée » ? Elle se demandait comment elle avait fait pour en survivre.... C’était absolument horrible ! Elle se faisait pénétrer, ainsi, comme ça, devant ses yeux, et elle ne pouvait rien faire. Au fond, elle aimerait faire quelques choses, tenter de la sauver, mais non, elle ne pouvait rien faire du tout, elle pouvait juste contempler la scène, avec des yeux horrifier. Ce n’était pas quelque chose de plaisant à voir pour la religieuse, alors, la membre de la ruche eut la gentillesse de l’amener vers un autre cocon... Enfin, si on pouvait appeler ça de la gentillesse, vu ce qui fut déclarer après.

« Elle, c’est une vierge...  À peine quinze ans, une fugueuse... Tu as le choix, Marie, elle doit tomber enceinte. Elle était destinée à épouser un vieux pervers à Nexus, et a fui la maison familiale, où personne ne l’aimait. Nous l’avons ramassé.  Nous avons imbibé ses parois intimes, elle n’aura pas mal si tu la prends... Mais, si c’est un tentacule... »

Quel vie horrible. Elle aurait bien eu envie d’en penser un peu plus... Mais elle ne put. Car en effet, elle fut de nouveau piquer par une seringue. Encore cette drogue l’empêchant de jouir ? Mais pourquoi ? Sauf que non, ce ne fut pas ça... Elle se tortilla, gémissant, et finalement, prise d’un orgasme, elle libéra un... Un phallus ! Elle le regarda horrifiée, elle... Elle n’était pas un homme ! Le pire, c’est qu’elle avait doutée que cela arrivait... Non, elle ne voulait pas devenir comme elle... Et.... Oh... Elle commença à se faire masturber... Et c’était... Si plaisant... Elle se tortillait de nouveau, alors que la main experte d’Elvennya continuait tranquillement à la branler. Mon Dieu, pensa-t-elle, dans un bel élan de blasphème, elle n’allait pas pouvoir se retenir aussi longuement... C’était trop, trop pour elle, elle n’avait pas l’habitude, et elle ne pouvait pas se retenir.... Finalement, ce qui devait arriver arriva, et elle arriva à jouir, projetant une belle quantité de foutre, sans que son phallus ne s’affaiblissent...

« Alors, choisis... Si tu la prends, ce sera bien plus acceptable pour elle que si un tentacule la prend. Choisis, ma belle... »

« Je... Je suis prête. J’ai fais mon choix. »

Bien... Qu’allait-elle choisir ? Allait-elle encore jouer la vierge effarouchée, et laisser cette pauvre vierge se faire pénétrer par aussi gros ? Après tout, même elle avait perdue sa virginité de façon plus douce, ou en tout cas, par moins énorme que ce qui lui était entrée dans son vagin... Elle semblait déterminée, et il ne fallait pas croire, mais quand elle s’était fait masturbée, entre deux vague de plaisir, et bien, elle avait tenté de réfléchir un tant soi peu, et peser le pour et le contre... Avec un peu de chance, elle allait faire le bon choix. Mais quel était le bon choix ? Le choix le plus morale ? Normalement, c’était un interdit totale, ce qu’elle allait faire, elle se ferait damner si elle osait tenter... Mais... Parfois, il fallait se pervertir pour sauver les nécessiteux. Ainsi, elle déclara...

« Je lui donnerai les bébés que vous voulez. Laissez les tentacules partir... Je... Je vais m’accoupler avec elle. »

Elle poussa légèrement Elvennya, et la tentacule, se mettant à la place qu’il fallait. Elle prit une grande respiration. Son choix était prit. Elle allait faire ce qu’elle s’était interdit, et ce qu’elle n’avait pas osé quelques minutes plus tôt... C’était une situation gênante, absolument gênante... Mais elle devait le faire. Elle avait fait son choix, son choix était prit, et maintenant, on ne l’arrêterait plus. On sentait une détermination, la même qui l’avait poussé parfois à tenter de sauver des gens d’agression où elle n’avait absolument aucune chance de gagner... Ainsi, elle... Elle pénétra la vierge. Elle put voir le sang virginal se libérer, et elle hoqueta. Elle l’avait fait. Elle ne pouvait plus reculée maintenant... Elle devait faire ce qu’elle devait faire... C’est à dire, la fécondée. Elle n’avait pas le choix.

« Je... Je ne pensais pas le faire un jour... Si je lui fais mal, ou si je le fais mal, vous me dîtes hein... ? Ayez un peu de pitié pour elle comme pour moi, si vous avez une âme. »

Elle déclara ça d’une voix faible. L’idée de faire ça la répugnait, et elle faisait un vas et viens doux, tentant d’être la plus douce possible... Pauvre fille. Peut-être avait-elle rêvée qu’un beau prince charmant lui prenne sa fleur, et voilà qu’elle se faisait prendre sa fleur ici. Il n’y avait pas de doute, elle préférait être à la place de la victime que du bourreau mais... Mais de l’autre côté, et c’était encore pire, et bien... Elle ne pouvait pas nier qu’elle ressentait un sacrée plaisir à faire ça. Cela lui donnait un plaisir immense, et elle commençait à prendre un rythme un peu plus soutenu, volontaire, que tout à l’heure. C’était quasiment inconscient, et il fallait bien dire, ce n’était pas exceptionnelle... Mais quand même, on entendait les gémissements de plaisir de la religieuse, brisant un tabou de sa croix.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le mardi 03 avril 2018, 01:02:46
Elvennya esquissa un léger sourire devant les hésitations de la jeune religieuse. Marie ne savait pas quoi faire, et, nerveuse, elle paniquait sur place. Comme toujours, Elvennya lui offrait le choix... Mais de quel choix pouvait-il s’agir, en réalité ? La Cérébrate se mit à sourire doucement, et Marie la repoussa délicatement, tout en annonçant qu’elle comptait s’occuper de la femme. La Cérébrate sourit onctueusement en la regardant, et caressa délicatement le corps de la femme. Ses mains glissèrent sur sa peau, remontant encore, , puis elle s’écarta encore, et laissa Marie la pénétrer. La belle verge de la femme s’enfonça très facilement dans le vagin de sa proie, même si les parois vaginales de la jeune fille résistèrent un peu. Son corps frémit sur place, mais, bien évidemment, Maire ne l’entendit pas gémir, ou se plaindre. Difficile de dire ce qu’elle ressentait vraiment, mais Marie commença en tout cas à la pénétrer. Elvennya, elle, savourait cette situation. Se pinçant les lèvres, elle regarda la religieuse la prendre, bras croisés... Mais fut rapidement déçue.

*C’est tout ?!*

Tout ça... Certes, Marie violait son serment, rompait tous ses vœux en violant une vierge... Mais c’était quand même très mou ! Elle attendit encore quelques instants, puis un tentacule apparut ensuite... Et fouetta brusquement le cul de Marie, claquant contre ses fesses, surprenant certainement la jeune religieuse. Elvennya se rapprocha alors d’elle à nouveau, et caressa son corps, se lovant contre elle.

« Tu n’y mets pas tout ton cœur, ma chérie... Tu crois que je ne le vois pas ? Tu as peur de lui faire mal... Mais c’est normal d’avoir mal, regarde... »

Elvennya lui en fit la démonstration, venant pincer son téton. Une pointe de douleur traversa le corps de Marie... Mais aussi de plaisir. Souriant lentement, la Cérébrate lécha le creux du cou de la femme, et reprit :

« Plaisir et douleur... Les deux faces d’une même pièce, ma beauté. Tu vois comme c’est agréable ? »

La Cérébrate continua à tirer sur le sein, et pinça également l’une des fesses de la religieuse... Puis le tentacule la fouetta à nouveau. La jeune Marie avait beau couiner, il était impossible pour elle de faire autre chose, si ce n’est d’accélérer, et de s’enfoncer progressivement en elle. Les parois internes de la femme s’écartèrent donc, facilitant le passage de la queue de Marie. Elvennya se pinça encore les lèvres, et continua à la caresser, le tentacule revenant régulièrement fouetter le cul de la jeune femme.

Marie la prenait donc, accélérant le rythme, l’amplifiant, guidée et touchée par la Cérébrate à côté d’elle.

« Là, vas-y, ma belle... Encore, oui, comme ça, hmmm... Plus profondément, là... Laisse-toi aller, Marie, n’aie pas peur de lui faire mal, pense juste... Pense juste à la baiser bien fort ! »
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le vendredi 06 avril 2018, 11:22:32
Elle... Elle l’avait fait. Elle avait véritablement pénétrée une femme, une femme qui n’avait rien demandée, qui peut-être était entrain de souffrir le martyr, mais... Mais elle faisait ça dans un acte de merci. Après tout, c’était soi elle, soit une tentacule d’une taille déraisonnable... Mais quand même, cela voulait dire ce que cela voulait dire... Elle avait prit la virginité d’une femme, sans aucune concession, sans aucune promesse, juste pour répondre à ce qu’avait dit la fameuse interlocutrice... Même si cela se trouve... Elle avait menti ! Sauf que... Et bien, elle ne pouvait pas se permettre de prendre le risque. De toute façon, elle doutait fort peu que son interlocutrice aurait mis sa « menace » à exécution, et qu’en effet, cette femme aurait été sauvagement prise par l’immense tentacule... Bref, elle commençait, mais ce n’était pas tout à fait au goût de son interlocutrice, qui déclara :

« Tu n’y mets pas tout ton cœur, ma chérie... Tu crois que je ne le vois pas ? Tu as peur de lui faire mal... Mais c’est normal d’avoir mal, regarde... »

« Mais... »

Peut-être était-ce normal d’avoir mal, oui mais... Mais cela ne voulait pas forcément dire que c’était bien d’avoir mal, ou qu’il fallait chercher la douleur ! C’était assez ironique de la part de notre fameuse Marie de déclarer cela, car il fallait rappeler que la religion chrétienne était justement une religion qui cherchait beaucoup la douleur, qui cherchait beaucoup la punition pour la rédemption... Bref, quoiqu’il en soit, concentrons-nous un peu sur ce qui était entrain de se passer. Ainsi, la fameuse Elvennya, elle, décida de le montrer en venant pincer le téton de religieuse. Elle frisonna, et poussa un petit couinement de douleur... Mais le frisson voulait tout dire : c’était un frisson de plaisir, elle avait apprécié cela, bien qu’en effet, cela avait fait mal... Ainsi, Elvennya continua son cours...

« Plaisir et douleur... Les deux faces d’une même pièce, ma beauté. Tu vois comme c’est agréable ? »

« Un... Un peu... Mais... »

Ses mots étaient saccadés par des couinements de plaisirs et de douleurs. Elle se faisait fouetter, elle se prenait des coups sur les fesses, sur les seins, et tout ça sans qu’elle puisse faire quoique ce soit. Elle était totalement à la mercie des tentacules et autres choses du genre, et Elvennya pouvait s’en donner à coeur joie. Elle pouvait même pas tentée de faire autre chose ! Etant donné qu’elle était toujours entrain... Et bien de pénétrée son interlocutrice, et bien, elle pouvait rien faire à part continuer de la pénétrer, encore et encore, tout en prenant de plus en plus de plaisir, et en gémissant avec les coups quelle se prenait. Elle ne savait pas comment ça se passait dans le cocon, avec cette jeune adolescente qui découvrait elle aussi le plaisir, mais les gémissements devaient aller de bon tons... De très bons tons.

« Là, vas-y, ma belle... Encore, oui, comme ça, hmmm... Plus profondément, là... Laisse-toi aller, Marie, n’aie pas peur de lui faire mal, pense juste... Pense juste à la baiser bien fort ! »

« Je... Je vais accélérer... »

Elle déclara cela timidement, comprenant qu’elle devait le faire. Elle devait aller plus profondément. Elle n’avait pas le choix : si Elvennya le disait, et bien, c’était un ordre de la ruche, et elle ne pouvait aller à l’encontre des ordres de le ruche, pensait-elle, étant donné que la ruche avait les ordres absolus et indéniables... Donc, elle devait obéir. Avec un peu de chance, accélérée un peu maintenant pouvait vouloir dire qu’elle irait plus lentement après... Oui, c’était peut-être ça, en effet, considéré qu’on faisait une petite accélération temporaire, comme ça, pour satisfaire la fameuse Elvannya, et après, elle pourrait retourner à ce quelle faisait avant. C’était un bon échange, et c’était juste pour tout le monde ! Tout le monde serait content, et personne n’en souffrirait, que cela soit elle, Marie Mori, ou cette pauvre adolescente qui avait été capturée et qui maintenant servait elle aussi de pondeuse.

« Oh... oui... »

SAUF QUE ! Et oui, c’est important. Elle avait fait une grosse erreur, une erreur qui certainement n’avait pas échappée à son interlocutrice... Pourquoi pas ralentir, en effet, une fois que les ordres seraient passés... Mais le pourrait-elle ? Car pour le moment, elle venait de commencer à donner des plus puissants coups de reins, plus violent, plus efficace. Oui, c’était bien beau, on pouvait bien le voir, et sans doute que celle dans le cocon allait le sentir, le sentir très bien même, étant donné que l’accélération continuait, et que le souffle de la religieuse commençait à être puissant, haletant... Et ouais, pourquoi pas ralentir... Mais il fallait en être capable maintenant... Et une chose était sûre : elle n’en n’était pas capable. Elle n’en n’était plus capable maintenant, car elle était complètement dans son rythme et dans un état d’excitation qu’elle n’avait jamais connu auparavant, et donc qu’elle ne maîtrisait pas du tout.

« Mon Dieu... Désolé mon dieu... Mais c’est si bon... Allez, ça fait tellement plaisir... Mmh... Allez... »

Ouh là ! Ouh là !!! Elle commençait à blasphémée ! C’était pas bon ça ! Ou très bon, suivant dans quel position on se mettait. Bref, vous avez compris, elle allait à un rythme grand V, gémissant énormément, allant extrêmement vite. Et il avait fallu mettre le doigt dans l’engrenage, pour que toute la machine s’emballe. Elle avait commencé à accéléré... Un peu... Un peu... Un peu... Et tout ses petites accélérations avaient commencé à faire une vraie accélération, une vraie vitesse qui montrait que ça y est, la fameuse religieuse ne se contrôlait plus, et commençait à vraiment prendre son pied. Elle donnait des coups de reins violent, bourrant la fille dans le cocon, et elle sentait qu’elle allait jouir... Oh oui ! Elle allait envoyer la sauce dans ce vagin si serré, si étroit... Oh, vagin qui l’excitait tant... Bon sang de bonsoir !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 16 avril 2018, 00:49:56
Elvennya s’amusait beaucoup de la situation. Elle était en train de doucement corrompre la jeune femme, de faire d’elle une excellente traînée, une perverse hors concours. Marie était doucement en train de sombrer sur cette voie, et il n’y avait aucune autre échappatoire pour elle. Elvennya y avait veillé, et, en la matière, Marie ne pourrait plus faire marche arrière. Sa verge s’enfonçait dans la chatte de la prisonnière, et, sous les encouragements d’Elvennya, Marie accélérait de plus en plus. Le rythme devenait de plus en plus intense, et la jeune religieuse était soutenue par Elvennya, qui n’hésitait pas à la gifler, ou à la fouetter encore. Finalement, Marie se prit au jeu, et continua à prendre la femme, optant pour des coups puissants. Elvennya n’avait presque plus rien à faire, laissant tout simplement la jeune femme se prendre au jeu. Soupirant longuement, Marie couinait et gémissait, incapable de refréner ses pulsions, incapable de taire le désir qui brûlait en elle.

« Magnifique... Magnifique, Marie ! Allez, allez ! Jouis dans le corps de cette salope, relâche-toi ! Rends-là ENCEINTE ! »

Comment résister à un tel élan ? Marie était encore très inexpérimentée, a fortiori avec une verge, ce qui fit qu’elle ne tarda pas à jouir. Dans de délicieux couinements, elle s’abandonna au plaisir, et répandit sa semence dans le corps de la captive.

« Et voilà, ma belle... Elle est enceinte, ma chérie... »

Elvennya l’aida à retirer sa queue trempée du corps de la femme. Les jambes de la porteuse se détendirent, pendant que Marie apprenait qu’elle venait d’engrosser une femme... Après l’avoir violé. Son sperme dégoulinait des cuisses de la femme, s’accompagnant de sa mouille. L’esprit de Marie devait toutefois être encore embrumé, car, même si sa verge avait légèrement dégrossi, le désir était toujours là. Et, quand la main d’Elvennya glissa sur sa queue, et commença à la masturber, Marie dut sentir le plaisir revenir encore.

Les deux femmes étaient collées l’une à l’autre, et Elvennya agrippa les cheveux de la femme avec son autre main, puis l’embrassa tendrement, fourrant une longue langue reptilienne dans la bouche de la femme. Elvennya l’embrassa donc, puis relâcha sa main de son sexe, et la nettoya sur le ventre de la femme, aspergeant sa peau de sperme.

« Est-ce que ça te dirait de me pénétrer, ma chérie ? De t’unir à moi ? Je sais que mon corps te fait envie... »

Dans le dos d’Elvennya, le sol remuait, évoluait, une excroissance se formant, faisant apparaître un agréable lit.

« Et moi, j’ai très envie de voir de quoi la foi divine est capable, ma belle... » se moqua-t-elle doucement de la jeune religieuse.

Autant dire que Marie était encore loin d’être au bout de ses peines...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 18 avril 2018, 10:29:13
Là, ce n’était plus du tout comme au début, où hésitante, elle n’avait pas osé donner de véritable coup de rein, se contentant de petits coup maigres et hésitant... Maintenant, elle donnait des puissants coup de reins, allié à des gémissements de plaisir, tandis qu’elle se faisait bien plaisir, et qu’elle continuait de bourrer dans la chatte de la fille piégée. On pouvait voir les jambes être tendus. Encore une fois, impossible de savoir si de l’autre côté, elle ressentait du plaisir, mais quoiqu’il en soit, la fameuse Marie faisait de son mieux pour montrer une efficacité dans le fait de faire l’amour... Et bien, pour une débutante, elle se débrouillait pas si mal ! Et l’autre gros avantage, c’est qu’elle était soutenue, encouragée dans ce qu’elle faisait ! Et cela, et bien, c’est quand même important.

« Magnifique... Magnifique, Marie ! Allez, allez ! Jouis dans le corps de cette salope, relâche-toi ! Rends-là ENCEINTE ! »

OUI ! OUI ELLE ALLAIT LE FAIRE !!! Elle ne pouvait plus se retenir. Couinant de plaisir, totalement prise par l’assaut, elle lacha alors une bonne crème à l’intérieur de celle qui venait de découvrir le sexe, à l’âge de quinze ans. Un âge jeune, pour qu’elle devienne une bonne pondeuse... Si c’était pas beau ? Et c’était Marie qui l’avait initié à cela ? La nonne était encore un peu sous l’emprise du plaisir, donc, elle ne se rendait pas compte. Là, elle faisait que haleter, violemment haleter tellement elle avait prit son pied. Bon sang de bonsoir, cela avait été si exceptionnel... Son esprit était totalement embué par le plaisir, qui peu à peu se dissipait, pour laisser à la fameuse religieuse de quoi retrouver son esprit, ses pensées cohérentes, etc... Ainsi, elle put véritablement écouter son interlocutrice quand celle-ci déclara :

« Et voilà, ma belle... Elle est enceinte, ma chérie... »

« Oui... Oui elle l’est... »

Elle tremblait de tout son corps. Elle avait violé une femme, elle n’aurait jamais pensé le faire... Mais si, elle l’avait fait. Elle l’avait fait sans aucune hésitation, faisant qu’elle était une violeuse, elle aussi. Même avec les meilleures bonnes volontés du monde, ce qu’elle avait fait ne changeait pas, et elle en avait honte... Elvennya, quoiqu’il en soit, semblait vouloir profiter de l’état de faiblesse émotionnelle de son interlocutrice, étant donné qu’elle lui caressait les cheveux, se câlinait contre elle, et même continuait de jouer avec son sexe. Marie eut même le droit à un baiser, encore une fois, un baiser doux et affectueux, aux antipodes de ce à quoi s’attendait la fameuse Marie, qui voulait de la violence, non pas car elle aimait ça, mais car elle voulait ainsi s’assurer que son interlocutrice était quelqu’un de maléfique, mauvais etc.

« Est-ce que ça te dirait de me pénétrer, ma chérie ? De t’unir à moi ? Je sais que mon corps te fait envie... »

Alors que son interlocutrice fit apparaître un lit, visiblement, à partir des tentacules, elle proposa l’idée de faire l’amour... Avec elle. C’était... Gênant. C’était gênant, cela voulait dire qu’elle allait devoir faire l’amour avec celle qui l’avait violé. Quand même ! C’était un viol, mais cela changeait tout, vu qu’elle allait faire l’amour, en temps que « dominante ». Elle allait être la dominante dans cette relation avec Elvennya... Elle allait la pénétrer comme ça ! Est-ce que le corps de son interlocutrice lui faisait plaisir ? Oui. Oui un peu. Elle devait quand même l’avouer, et elle était bien d’accord sur le fait qu’aussi horrible et démoniaque son interlocutrice semblait être... Et bien, elle avait une beauté, sans aucune hésitation. Surtout qu’elle était toujours entrain de la séduire, toujours...

« Et moi, j’ai très envie de voir de quoi la foi divine est capable, ma belle... »

« Je... Je ne sais pas... »


Elle avait des hésitations visiblement... En même temps... Il fallait bien comprendre qu’elle n’allait pas devenir tout d’un coup... Devenir une fanatique de sexe ! Elle savait cependant qu’elle était... Dans une mauvaise pente. Très mauvaise pente, elle glissait progressivement, et elle avait très peur, très peur de ne plus pouvoir se contrôler, de ne plus pouvoir s’empêcher. Après tout, si ça se trouve, la plupart des personnes qui étaient dans cette ruche, à capturer des femmes, avaient elle-même été des victimes. Donc... Si ça se trouve, elle était visiblement bientôt prête à devenir une esclave totalement décérébrée comme les autres... Mais bon, elle allait peut-être devoir expliciter un peu ce qu’elle voulait dire par là... Ainsi, elle déclara tranquillement :

« Je n’aime pas ça, c’est... C’est pas normal. Imaginons que oui, ça soit « naturel » de faire l’amour, je reste une femme, pas un homme... »

Eh beh... Visiblement, notre fameuse Marie Mori était vraiment dans la théorie que les hommes devaient faire ce que les hommes devaient faire... Et inversement, les femmes devaient faire ce que devaient faire les femmes... C’est tout. Toutes les autres choses... Et bien, elle ne connaissait pas, elle ne savait pas du tout. Et elle n’avait pas envie de le savoir. Elle était quand même une femme, et elle préférait être traitée comme une femme... Même... Même si elle ne pouvait pas mentir. Elle avait adoré faire l’amour, elle avait adoré enfoncer sa queue... Cela avait été tellement plaisant... Horrible, bien entendu, mais plaisant... Une sorte de mélange, qui l’avait gêné... C’était quand même étrange... Ainsi, après ce qu’elle avait dit, où elle avait dit être relativement contre... Elle nuance, mais retourna ses propos en déclarant :

« Mais... Mais vous êtes consentante, au moins, il n’y a pas de piège, et vous voulez juste qu’on... qu’on le fasse... Donc, je suppose que oui, je... Je peux le faire... »

Ah ! Quand même ! Notre fameuse Marie disait quelques choses... En effet, elle doutait, elle, du fait qu’elle pouvait faire ça. MAIS, et c’est très important, elle avait prit un grand plaisir à faire l’amour, contrairement visiblement à celle qui avait subits cela. La différence, ici, c’est que Elvennya était totalement consentante, totalement pour ce qui allait se passer... Donc, avec beaucoup de chance, elle allait pouvoir faire l’amour, oui, même si elle n’était pas du tout d’accord et qu’elle n’avait pas trop envie de le faire... Et bien, elle pouvait le faire... Donc, voilà... Elvennya voulait faire l’amour, et donc.... Elle allait totalement de le faire. De plus, et bien... Si elle refusait, elle suffisait qu’elle allait avoir du chantage affectueuse, ou bien elle allait être forcée. Donc... Maintenant que le lit était prêt, et que son « amante » était installée ici... Elle s’installa donc par dessus de son interlocutrice et déclara :

« Pré... Préparez vous ok... ? »

Elle déclara cela... Et pénétra son interlocutrice. Consciente que là, ce n’était pas avec une débutante qu’elle faisait l’amour, elle commença direct un vas et viens se voulant plus... Efficace, plus rapide, plus violent que précédemment. Elle... Elle était en position de force. Là, elle dominait cette formienne -bien qu’elle ne connaissait pas vraiment le nom de ces créatures-, et c’était elle la cheffe... Cela changeait, par rapport à avant. Donc, elle faisait un vas et viens qui cherchait quand même à un minimum illustrer ce qu’elle disait. Bref... Elle commençait de nouveau à prendre son pied, et surtout, chose assez unique chez elle, à être la dominante dans la relation. C’était elle qui était entrain de pénétrer son interlocutrice, et donc, elle faisait ce qu’elle devait faire... On allait voir comment allait réagir la fameuse Elvennya...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 23 avril 2018, 00:41:59
« La normalité, c’est un concept très flou, tu sais... Je pourrais te parler de dizaines, si ce n’est de centaines, d’espèces d’insectes ou de créatures extra-terrestres où les femelles ont une verge, et les mâles un vagin. Elles utilisent leur verge comme une pompe pour absorber le sperme que les insectes masculins sécrètent. »

Partant de ce principe, une femme hermaphrodite, était-ce si aberrant ? Pour la jeune religieuse, qui avait l’habitude de choses binaires, et d’une vision très classique de la femme dans la société, sans aucun doute... Mais par pour Elvennya, pas pour les Formiens. Elle avait accès à d’immenses bases de données, à une collectivité universelle, si tant est qu’elle était bien placée pour savoir qu’il n’y avait là rien de choquant, bien au contraire. De la main, elle fit donc signe à Marie de la rejoindre, et un tentacule alla même la pousser dans le dos, la rapprochant du lit d’Elvennya.

Délicieusement installée, la Cérébrate frottait langoureusement ses jambes entre elles, et en glissa une entre les cuisses de Marie. Des tentacules filandreux se relevèrent de sa longue jambe, comme des excroissances de sa peau symbiotique, et titillèrent sa verge, recueillant quelques dépôts de sperme. Marie croyait-elle vraiment pouvoir lutter ? Une telle innocence était sincèrement touchante ! Elvennya en souriait sincèrement, et écarta encore les jambes, laissant un accès à son intimité. De belles lèvres intimes luisantes, délicieuses, qui appelaient la queue de la femme. Même autour de son sexe, des pointes tentaculaires, des excroissances, se formaient, comme pour mieux appeler la queue de Marie. Pouvait-elle sincèrement lutter ? Rien à faire !

Marie la rejoignit donc, et Elvennya sourit encore, écartant davantage les jambes.

« Allez, viens, ma belle... Qu’est-ce que tu attends ? »

Sa queue se frotta contre son intimité, et s’enfonça ensuite en elle, un tentacule venant la fouetter douloureusement aux fesses pour l’inciter à la prendre plus fort.

« Hmmm... Ohhh, ma chérie, ouiii... »

Elvennya soupira en la sentant, et, autour de la verge de la femme, la peau symbiotique d’Elvennya continuait à agir. Le tentacule la fouetta encore, forçant Marie à la prendre davantage, à accélérer le rythme. Elvennya l’empoigna ensuite, et renversa la femme sur elle. Marie s’écrasa contre son corps, et la main d’Elvennya s’appuya sur ses cheveux, et elle l’embrassa langoureusement, une longue langue reptilienne s’enfonçant dans la bouche de la femme.

Marie ne pouvait guère que continuer ses coups de reins, satisfaisant ainsi la puissante et délicieuse Cérébrate.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 25 avril 2018, 14:35:14
La normalité... Complexe problème, mais essentiel pour beaucoup. Marie avait toujours cherché la normalité, la simplicité, la banalité. Dieu n’avait-il pas dit « Heureux les pauvres en esprit, car le Royaume des Cieux est à eux » comme on retrouvait chez Matthieu ? L’évengeliste, hein, pas votre pote de collège qui était délégué de la 4èB. Ainsi, Marie se considérait comme une fille... Normale, simple, banale... Et voilà qu’elle se retrouvait dans une situation où TOUT était sauf normal. Franchement, c’était pas une vie normale ce qui se passait, et elle comprenait pas du tout ce qui lui arrivait. Mise à part qu’elle souffrait et qu’elle ne voulait PAS DU TOUT tomber dans ce péché, dans tout cela... 

« Allez, viens, ma belle... Qu’est-ce que tu attends ? »

Mais elle l’avait fait. Elle l’avait fait, elle avait pénétrée cette démone, qui tentait de la séduire. Et elle avait réussi... Elle avait réussi, étant donné que... Bah regardez. Regardez, la queue avait pénétrée l’orifice de son interlocutrice... Bref, c’était fait. La séduction avait marché... On pouvait dire qu’elle avait fait du bon travail Elvennya... Car personne n’aurait cru que Marie, qui était pourtant très douée, et qui résistait bien aux tentations, maintenant, avait cédé, et elle ne pouvait plus rien faire à part faire cela... Et Elvennya avait ainsi sa récompense... Une belle récompense, étant donné qu’elle commença à déclarer :

« Hmmm... Ohhh, ma chérie, ouiii... »

Les premiers coups de reins étaient encore doux, bien que plus motivé que précédemment... Elle reçut même un baiser, un véritable baiser de la part de son interlocutrice, qui continuait alors de faire ce qu’elle voulait... Marie de son côté, pouvait se réjouir qu’au moins, cette fois... Et bien, elle faisait l’amour à une personne qui était totalement consentante. Ce n’était pas comme tout à l’heure, où au fond, elle n’avait absolument aucune preuve que celle qui avait reçu sa queue l’avait accepté ou était d’accord... Bref, elle pouvait être plus gentille, plus douce... Mais... 

Mais avait-elle envie d’être douce ? Avait-elle envie de ne pas faire du mal à ce démon... ? La jeune adolescente qu’elle avait engrossée, elle avait tentée d’être douce... Mais elle... Là, dans ce lit de tentacule qui la charmait... Et bien... Et bien elle ne l’aimait pas. Elle ne voulait pas lui donner l’amour de Dieu. Dieu est amour, oui, mais il faut le mériter l’amour de Dieu. Elle se disait vouloir apporter l’amour, elle disait que les gens étaient plus heureux ici... Mais en quoi... ? Pourquoi ça serait elle qui aurait raison ? Marie s’en fichait même après tout que son interlocutrice n’était pas entièrement responsable. Elle s’en fichait même de penser que si ça se trouve, Elvennya avait subit le même sort qu’elle... De toute façon, elle allait devenir comme Elvennya... Bref... Elle déclara, alors, tranquillement...

« Salope. »

Hein ? Alors qu’elle était restée muette pendant ce temps là, les yeux fermés, à ne rien dire à part faire des petits coups de reins... Et bien voilà qu’elle sortait un « Salope ». Très léger, très discret. Elle se dégagea d’ailleurs de l’entreinte de la Formienne, sans pour autant arrêté de faire son vas et viens... Mais que se passait-il ? C’était une bonne question. C’est vrai ça, pourquoi tout d’un coup, la fameuse Marie commençait à dire une insulte, elle qui était d’habitude si gentille, si douce, et qui faisait des gros yeux dès que quelqu’un laissait échapper des insultes, même des innocents comme « merde » ou « bordel »... Et bien... Et bien, visiblement, cela montrait qu’elle était vraiment en colère, et ses déclarations suivant commencèrent à l’illustrer.

« Salope... Je... Je vais te baiser ! COMME ON M’A BAISE, SALE SALOPE ! Je voulais pas vivre ça, ni faire ça, et... et... »

Ses déclarations étaient confuses, on ne comprenait pas vraiment ce qu’elle disait, ou ce qu’elle voulait dire dans ce qu’elle disait... Mais au fond... Franchement, on en a rien à foutre. Mais vraiment. Rien à foutre. Pourquoi cela ? Et bien, tout simplement car ce qu’elle faisait avait plus d’importance. Maintenant dégagée de l’entrainte de son interlocutrice, elle commença un vas et vient violent, vraiment, elle donnait des coups de reins violent en bourrant dans la chatte de son interlocutrice, visant à être la plus violente possible. Avec ses mains... Qu’est-ce qu’elle faisait ? Et bien, elle pressa les seins de son interlocutrice, les malaxant, les bourrant, appréciant cela. Elle continuait comme ça. Bordel de merde ! Elle continuait à donner des coups de queues à son interlocutrice ! Et elle... ELLE AIMAIT CA !

« Je te hais, je te hais, je te hais salope !!! »

Elle ne tenta pas d’étrangler la formienne ou n’importe quoi du genre, étant donné qu’elle savait qu’elle serait arrêté, mais voilà, elle détestait les formiens pour ce qu’ils avaient fait... Mais en disant ça, elle aimait tellement. Elle était en position de force, et elle prenait énormément de plaisir à bourrer cette salope qui avait décidé de la jeter dans les limbes de l’enfer. Oh oui, elle imaginait qu’elle faisait ça à Sarah, et cela lui ferait tant plaisir, tant plaisir de punir cette putain de connasse qui l’avait éloigné de Dieu. Elle était maintenant damnée, punie de Dieu, elle qui avait fait toute sa vie comme une envoyée de Dieu, elle qui aurait rêvée d’être une sainte était réduite à ça... Et elle aimait ça, elle prenait du plaisir, et elle se haïssait pour ça. Car bon sang de bonsoir... Qu’est-ce que c’était bon de bourrer cette salope qui avait contribué à faire de sa vie un enfer ! Qu’est-ce que c’était bon !!!
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 30 avril 2018, 00:48:58
Marie avait beau s’accrocher à ses préceptes, à ses envies, à ses idéaux et à sa foi chrétienne, elle ne pouvait pas lutter contre le principe de réalité. Et ce principe, très simple, voulait qu’un corps soit un corps, que le désir soit le désir. Peu importe ce qu’on disait, peu importe ce qu’on voulait, peu importe ce qu’on croyait, on ne luttait pas à terme contre le désir. Le désir s’emparait de vous, et vous n’aviez qu’à obéir, qu’à le suivre. C’était ce qui arrivait à Marie, c’était ce qui la dominait. La tornade s’emparait d’elle, la tempête la traversait, et sa queue bien dure jouait avec le corps d’Elvennya. La Cérébrate elfique sentait avec grand plaisir le corps de la femme remuer, mais elle était encore loin, bien loin, de s’attendre à ce que la femme lui préparait vraiment. En effet, l’esprit de Marie réfléchissait, et répondait au plaisir que la petite humaine ressentait. Plaisir impensable à imaginer, vu avec qui elle était en train de l’obtenir. Elvennya était une Cérébrate qui avait violé Marie, qui dirigeait une vaste organisation visant à organiser un système atroce de viol collectif. Impensable pour tout esprit chrétien digne de ce nom, et Marie, qui en était résolue à aimer faire l’amour avec Elvennya, l’insulta brusquement.

Surprise, Elvennya la regarda sans rien dire, et le reste... Oh ! Le reste était... Tout simplement exquis ! Elle l’insulta, et ce premier mot fut comme la libération, déclenchant quelque chose en elle, car... Elle continua ! Elle accéléra alors sèchement les coups de reins, et, réagissant à sa violence innée, à cette colère, qui ne faisait que nourrir le désir, sa queue gagna en taille, en énergie, en dureté, en longueur et en épaisseur.

« Haaaaa... Ma-Marie, hmmm... »

L’adrénaline éclata dans le corps de la belle religieuse, dont les joues rougirent furieusement. Sa croix chrétienne dorée rebondit d’avant en arrière, et elle la prit alors sèchement, la baisant bien proprement, arrachant à la Cérébrate de multiples soupirs. Elle couina des yeux en la laissant faire.

« Ouiii, ouiiii, ouiiii, hahaha ! C’est ça, Marie c’est ça, ma belle ! Baise-moi, allez ! BAISE-MOi, PUTAIN ! DÉFONCE-MOI MA CHATTE DE SALE PUTE !! »

Une véritable frénésie s’empara du corps de la religieuse, et, tandis qu’elle continuait à la prendre, le lit sur lequel elles étaient allongées bougea lentement, venant adhérer au mur, et se redressa. Marie ne le réalisa pas vraiment, mais, en fait, au bout de quelques minutes, elle se retrouva debout, baisant Elvennya sèchement contre le mur, un mur mou et flasque, qui aidait Marie à la prendre bien fort, enfonçant le corps d’Elvennya contre le mur, faisant onduler ce dernier, avant de la ramener en avant. Sa main se saisit des cheveux de Marie, et elle tira dessus, tout en enroulant ses jambes autour de son bassin, et soupira longuement.

Plus rien ne retenait Marie. En laissant la colère parler, elle sombrait définitivement dans les cuisses d’Elvennya.

« Ouiii, hmmm, allez, ma chérie, baise-moi mieux que ça... Haaaa, fais-moi mal, fais-moi hurler, mords-moi, gifle-moi, PINCE-MOI !! »

Qu’elle se lâche, qu’elle se libère totalement ! Qu’elle s’aliène, et elle deviendrait, en définitive, l’une des meilleures concubines de Sa Reine !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 02 mai 2018, 20:59:23
Elle avait cédé, elle avait craqué. Marie était une femme très gentille, mais là, c’était trop de trop. Elle pouvait pas être toujours la fille toute gentille qui pardonne tout. Il y avait des moments où trop , et bien, c’était trop. Et là, le fait d’avoir du violée une pauvre fille qui n’avait rien demandée à personne, et le fait que cela avait été la meilleure solution, la solution la plus morale… Cela avait fait cédée quelques choses dans son cerveau, faisant qu’elle n’avait qu’une envie, et bien… Faire punir son interlocutrice pour ce qu’elle avait fait. Oh oui, elle allait bouffer… Elle allait véritablement bouffer, pour lui faire comprendre que ce qu’elle avait fait, et bien, elle allait le regretter… Elle allait payer pour tout ce qu’elle avait subit, pour tout ce que les autres lui avaient fait… !

« Haaaaa... Ma-Marie, hmmm... »

Visiblement, la situation plaisait à celle qui la subissait ! Faut dire, contrairement au début, et bien… Là, Marie se donnait encore à fond. Alors, ouais, elle n’était pas devenue tout d’un coup une star du X, et genre à savoir exactement comme faire… Mais disons qu’au moins, elle ne lésinait plus du tout sur l’énergie, au contraire. De l’énergie, il y avait. Il manquait encore la technique, l’expérience, la connaissance, bref, des tas et des tas de choses qui montraient qu’il y avait encore beaucoup de choses à apprendre… Mais voilà, on pouvait dire que là, elle commençait à montrer qu’elle pouvait être autre chose qu’une coincée du cul, autre chose qu’une belle religieuse qui ne voulait pas du tout tenter les choses de la chair… Et d’ailleurs, plus cela avançait, plus visiblement cela marchait sur Elvennya… Qui devait bien entendu penser qu’elle avait gagnée… mais dans les faits, c’était un peu plus complexe…

« Ouiii, ouiiii, ouiiii, hahaha ! C’est ça, Marie c’est ça, ma belle ! Baise-moi, allez ! BAISE-MOi, PUTAIN ! DÉFOPNCE-MOI MA CHATTE DE SALE PUTE !! »

« REND MOI CA SALE PUTE ! »


Elle frappa la main de celle qui était entrain de tenter de lui voler sa croix, et la garda. OH NON ! Qu’elle ne croit pas qu’elle pouvait comme ça lui voler ce qu’elle était… Elle devinait très bien ce qu’elle était entrain de faire… Et non, elle ne réussirait pas. Enfin, si, elle avait réussi dans un sens, et notre fameuse Nonne avait bien compris cela… Mais elle ne réussirait pas entièrement. Elle ne l’éloignerait pas de Dieu. Dieu la chassera pour ce qu’elle avait fait, elle en avait bien conscience… Mais elle n’allait pas, elle, abandonner Dieu. Oh non, elle gardait ainsi sa croix, et elle interdisait à cette sale pute de la récupérer : Fallait que cette grosse pute comprenne sa place… Elle n’était pas là pour décider ou faire ce qu’elle voulait. Oh non, c’était ELLE, Marie Mori, qui décidait maintenant ce qui se passait. Au moins, pour toute la passe…

« Ouiii, hmmm, allez, ma chérie, baise-moi mieux que ça... Haaaa, fais-moi mal, fais-moi hurler, mords-moi, gifle-moi, PINCE-MOI !! »

« Oh tu veux que je te baise ? »


Elle s’arrêta. Elle regardait, et faisait un sourire sadique, véritablement sadique à la fameuse Elevennya. Elle attendait, et la regardait, retenant son excitation, retenant son envie de la baiser. Retenant son envie de se venger. Elle la regardait, comme pour lui montrer que non. Ce n’était pas elle qui était entrain de diriger. Ce n’était pas son interlocutrice qui pouvait choisir. Enfaite, quand on y réfléchissait, si, mais Marie croyait quand même que c’était elle. Bref, elle attendait, elle montrait qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait maintenant, qu’elle ferait même ce qu’elle voulait, avec la force de Dieu. Car elle punirait cette hérétique. De façon hérétique, même, il faut bien croire, comme elle ne comprenait que ça… De toute façon, c’était trop tard, à cause de cette pute, et bien, elle allait devoir le faire… Et ainsi, alors qu’elle était resté bien une trentaine de seconde à rien faire… Elle se renfonça violemment d’un seul coup, donnant le plus gros coup de rein de sa carrière…

« TU VAS HURLER MA SALOPE ! »

Elle gifla alors son interlocutrice, pinçant ses tétons, bref, faisant TOUT ce qu’elle demandait, on va bien le dire. Elle ne se rendait pas compte qu’elle faisait exactement ce que demandait la Cérébrate, mais bon, que voulez-vous, elle était sous l’effet de tellement d’émotion et de choses différentes, que même la simple reflexion était pas facile pour elle. Bref, elle continuait de faire des coups de reins violent, profitant qu’elle dirigeait tout, qu’elle maîtrisait totalement la situation. Elle imaginait à la place d’Elvennya, la fameuse Sarah, qu’elle puisse lui faire ça. Oh, elle savait qu’elle était trop faible, qu’elle n’avait pas le niveau, que cela servait à rien car elle n’y arriverait jamais… Mais quand même ! Quand même, cela la rassurait, et lui apportait un peu de réconfort, de pouvoir faire exploser toutes ses émotions qui était en elle… D’ailleurs, cela allait même très loin… Car en effet…

« TIENT TU LE SENS L’AMOUR DE DIEU ? IL VA TE DÉFONCER TON CUL SALE SALOPE, IL VA TE BAISER JUSQU’À CE QUE TU PUISSES MÊME PLUS PARLER ! »

BLASPHEME ! BLASPHÈME ! Voilà ce qu’elle aurait dit autrefois. Mais là, elle n’était plus pareil. Elle sortit alors du vagin, et s’enfonça d’un seul coup, dans l’anus de son interlocutrice. Et ouais, comme ça, sec, seulement humidifié par la mouille de son interlocutrice. Elle commençait un va et vient plus difficile dans l’anus… Oh, et que la fameuse Elvennya ne s’inquiète pas… Elle commença à la doigter violemment, n’allant pas jusqu’au fist, mais presque, commençant à enfoncer ses doigts, pendant que l’autre de ses mains malaxait littéralement le sein. Elle n’allait pas foutre enceinte cette pute, elle aimerait trop. Elle allait la baiser comme la salope qu’elle était, pour lui faire comprendre ce qu’elle était ! Elle n’aurait pas la chance d’avoir les enfants de Dieu en elle ! Elle aurait juste une main, et une bite dans l’anus qui allait totalement la défoncer, pour lui faire comprendre ce qu’elle avait fait !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 06 mai 2018, 22:23:51
À travers sa colère, Marie sombrait pleinement dans le vice. Elle faisait à la merveille le jeu d’Elvennya, qui n’en attendait pas autant. Elle vit néanmoins cette dernière se raidir quand les doigts de la Cérébrate s’approchèrent de sa croix. Cependant, la Cérébrate ne le lui aurait jamais enlevé, car sa Mère aimait la voir avec cet artefact, comme pour se rappeler qui était vraiment Marie, une innocente jeune fille… Une communiante, une religieuse, qui avait délicieusement sombré. Marie ne le réalisait pas encore, mais elle avait franchi le point de non-retour. Pour elle, il n’y avait plus de retour en arrière possible. Jamais son corps n’oublierait les sensations de ce moment, et, même si, à terme, elle pourrait faire semblant, Elvennya savait de quoi les nuits de la jeune femme seraient faits, de quoi elle rêverait la nuit, et ce qui lui manquerait entre les cuisses. Fort heureusement, un tel scénario, qui supposait que Kerrigan libère Marie, était pour l’heure extrêmement improbable.

Comme pour attester du fait qu’elle était capable de lutter, qu’elle avait encore des chances de pouvoir échapper à son destin, Marie s’arrêta brusquement après les dernières paroles d’encouragement de la Cérébrate. Souriant malicieusement, Elvennya se déplaça lentement, posant sa main sur la nuque de Marie, et, quand elle réalisa que cette dernière la regardait avec un air de défi dans les yeux, et en refusant très clairement d’agir, la Cérébrate sourit, gloussant encore :

« Oh, tu me plais tellement, ma petite Marie… Là, oui, ma belle… Ta queue est si bien en moi, bien au chaud… »

La religieuse tentait de tenir bon autant que possible. Si Elvennya le voulait, elle pouvait la droguer, lui planter une injection aphrodisiaque dans le cou, afin qu’elle se rende bien plus nerveuse, et qu’elle la prenne comme une chienne. Mais elle n’en fit rien, et banda les muscles, appuyant un peu sur la verge de Marie, comme pour mieux la sentir en elle. Puis, alors que le temps semblait se suspendre à la queue de Marie, Elvennya vit son regard vaciller, ses joues rougir, et la religieuse repartit dans ses coups de reins, écrasant le corps de la Cérébrate contre le mur, retournant la baiser franchement.

Toutefois, Marie avait encore des surprises pour Elvennya, et, alors que la Cérébrate gémissait longuement en sentant la queue de Marie remuer en elle, la religieuse la retira brusquement, puis enfonça sa queue dans le cul d’Elvennya. Celle-ci écarquilla alors les yeux, et hurla longuement, avant de couiner encore quand Marie enfonça ses doigts dans sa chatte, glissant sa main. De la salive coula de ses lèvres, et la Cérébrate gémit encore longuement, tous ses muscles se raidissant en sentant ainsi Marie se perdre en elle.

« Oh, bon sang, haaaa… Ma-Marie, hmmm… !! »

Elvennya mouillait énergiquement, et sa peau symbiotique ondulait joyeusement autour de la queue de Marie, tandis que celle-ci, furieuse, recommença à la narguer, hurlant qu’elle allait lui « défoncer le cul ».

« Ouiii, haaaa… Hmmm… C’est ça, fais-moi sentir la PUISSANCE de ton DIEU, DÉFONCE-MOI !! »

La Cérébrate continuait à hurler, et sentait la douleur exploser dans son corps, au fur et à mesure que son amante continuait à jouer en elle, et à la prendre ainsi. Mine de rien, tout cela témoignait aussi de la phénoménale expérience de Marie. Aurait-elle été capable, il y a à peine quelques jours, de réussir une sodomie pareille tout en pénétrant énergiquement la chatte d’Elvennya avec ses doigts ? Indéniablement, c’était là le signe des progrès accomplis par Marie en matière sexuelle.

Et ce n’était qu’un début ! Mais quel début !

« Là, hmmm… Fais-moi mal, haaaaa… J-Jouis en moi, hmmm… !! »

C’était tout ce qu’Elvennya voulait…
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mardi 08 mai 2018, 22:12:19
La colère, la rage, la fureur… Tout se mélangeait en elle. Elle avait une fureur qui lui donnait envie, et oui, bien envie de continuer. De faire tout ça, pour punir cette maudite salope qui était à ses yeux responsables de tout ce qui lui arrivait. Bien sûr, si elle y réfléchissait un peu, elle se rendrait compte qu’elle n’était pas responsable, et qu’elle se trompait de personne sur qui se venger… Mais elle s’en fichait. Franchement qu’on soit clair, ce n’était pas du tout le moment de la reflexion, à genre se dire « mais qui est réellement le coupable. » Non, on était bien plus proche d’une bonne envie de se venger, de faire vraiment tout pêter… Tout… Elle avait envie que tout ces cérébrates subissent se sort, ouais, c’était à ce point. Elle avait presque envie d’enculer tout les cérébrates ! Et bien, c’est pour vous dire l’évolution ! On sentait que la colère pouvait vraiment faire des miracles, si vous voulez mon avis.

« Oh, tu me plais tellement, ma petite Marie… Là, oui, ma belle… Ta queue est si bien en moi, bien au chaud… »

Mais malheureusement, elle aimait ça. En face d’elle, elle aimait ça. C’était pas grave, elle continuait de l’enculer, comme ça, mais ce qu’elle faisait… ne servait à rien. Oh, elle ne s’en rendait pas compte pour le moment, mais elle faisait exactement ce que son interlocutrice voulait d’elle. Sans aucun doute, même qu’elle n’aurait jamais autant aimé ce qui se passait. Bref, vous avez bien compris, en un mot comme en cent, et bien, elle faisait exactement ce qu’aurait voulu son interlocutrice, donc, elle était tombée dans un piège. Mais tant pis, c’était trop tard. Comme le moucheron tombé dans la toile d’araignée, elle ne pouvait plus qu’accepter son sort… Comme le moucheron, sauf que dans ce cas de figure, et bien au moins, le moucheron il encule l’araignée ! Ce qui est… Assez original comme façon de faire, il faut bien le dire… C’est pas tout les jours que ça arrive.

« Oh, bon sang, haaaa… Ma-Marie, hmmm… !!  Ouiii, haaaa… Hmmm… C’est ça, fais-moi sentir la PUISSANCE de ton DIEU, DÉFONCE-MOI !! »

« DIEU EST TOUT PUISSANT ! »


Oh que oui ! Oh que oui Dieu était tout puissant. Il était tout puissant, et faisait ce qu’il voulait. Et là, elle faisait cela au nom de Dieu. Elle punissait cette cérébrate, qui n’aura JAMAIS l’honneur d’avoir un de ses enfants. Si elle pouvait, elle violerait sa gorge, son anus, mais jamais elle ne lui donnerait un enfant. Car les enfants étaient un don -une punition si on en croit la Genèse mais passons sur ce point- de Dieu. Puis, voilà, elle sentait toujours la croix autour de son cou, balottant contre ses seins, alors qu’elle enfonçait sa queue en cette salope, et qu’elle… Oui… Qu’elle la défonçait ! Oh que oui ! Elle la défonçait, son petit anus de salope qui avait bien mérité que ça ! Et elle continuait, comme ça, plus elle continuait, plus cela l’excitait, plus elle sentait son esprit glisser ! Bon sang qu’est-ce que c’était bon !!!

« Là, hmmm… Fais-moi mal, haaaaa… J-Jouis en moi, hmmm… !! »

« JE VAIS JOUIR EN TOI SALOPE ! »


Oh que oui elle allait le faire ! De toute façon, qu’elle le veuille ou non, et bien, cela allait arriver. D’ailleurs qu’elles le veuillent ou non ! Pourquoi cela ? Et bien, tout simplement car la fameuse Marie de toute façon ne pourrait pas se retenir, et donc, elle aurait forcément lacher la sauce à un moment, et elle ne maîtrisait pas assez pour réussir à s’arrêter et sortir avant que cela sorte. Et puis, de toute façon, elle ne voulait pas. Elle allait marquer cette grosse salope de merde en jouissant bien dans son anus une bonne grosse quantité de sperme ! Oh que oui, elle allait le sentir, son sperme, son sperme qui allait bien la remplir, cette énorme salope ! C’était la volontée de Dieu ! Dieu le voulait ! Dieu voulait qu’elle jute en cette grosse pute qui ne méritait que ça ! Et donc… Elle allait le faire !

« HAN C’EST SI BON ! AAAAAAH ! »

Et ainsi, le sperme fut. Elle juta violemment dans l’anus de cette pute, après un dernier coup de rein, où elle avait fait en sorte d’enfoncer son phallus au plus profond de l’anus de son interlocutrice. Elle l’avait fait… elle donna encore quelques coups bien plus faible, avant de se retirer. Elle était épuisée, et soufflait bruyamment… avant de se laisser tomber sur son « amante » qu’elle détestait toujours autant. Bon sang, on sentait qu’elle n’était pas habituée, car elle n’avait plus aucune force. Elle se sentait vraiment lessivée, mais surtout, le plus important, c’est qu’elle commençait à prendre peu à peu raison, et réfléchir à ce qu’elle venait de faire. Et de suite, elle commençait à percevoir toutes les incohérences de son comportement… Car oui, c’était pas très logique d’un point de vue religieux ce qu’elle avait dit/fait. Ainsi, elle déclara d’une voix assez pathétique, épuisée…

« Sa… Salope… Ce… Cela faisait partie de ton plan… Depuis… Le début… ? »

Marie s’était écroulée sur la cérébrate, et posa la question. Elle comprenait qu’elle était tombée dans un piège, et que très certainement son interlocutrice devait être très contente… Ce qu’elle savait, c’était si tout était prévu depuis le début. Si c’était le cas… Et bien, elle avait vraiment aucune chance. Elle devinait que ses femmes devaient sans doute avoir des dizaines, si ce n’est des centaines d’années d’expériences dans ce domaine. Si ça se trouvait, elle faisait ça à des dizaines de femmes chaque année. Dans ce genre de cas, comment elle, petite femme inexpérimentée dans tout cela, aurait-elle la moindre chance… ? Cela, c’était la bonne nouvelle. La mauvaise nouvelle serait de savoir que ce n’était pas prévu. Alors, cela voudrait dire que tout cela, et bien… C’était sa faute… Cela serait entièrement sa faute. Ainsi, il n’y avait plus qu’à attendre. Attendre la réaction et les réponses de son interlocutrice.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 13 mai 2018, 20:55:07
Les deux femmes continuaient à s’envoyer joyeusement en l’air. Marie était complètement lâchée, et multiplia ses coups de reins, tant dans leur intensité que dans leur rapidité. L’anus d’Elvennya se dilatait à la perfection, et la queue de Marie était comme « absorbée » en elle. Elle s’enfonçait jusqu’à la garde, avant de repartir en arrière, et de revenir, encore et encore. Le corps d’Elvennya s’était crispé sur celui de Marie, ses jambes s’enroulant autour de son bassin, une main sur sa nuque. Qui aurait cru que la délicieuse religieuse puisse autant se déchaîner ? Certes, Elvennya y avait contribué en la droguant, mais elle ne l’avait pas hypnotisé, ni même envoûté. La petite religieuse sombrait elle-même dans la luxure, dans la corruption, et, en ce moment, Elvennya pouvait comprendre tout le plaisir que sa Mère prenait à ce genre de choses. Corrompre une petite nonne au cœur pur, en faire une perverse... Ce n’était que par plaisir ! Il n’y avait aucun intérêt stratégique, aucun enjeu, à avoir une vulgaire pondeuse de plus ou moins. Sarah Kerrigan s’amusait juste avec cette femme, afin d’en faire la pire traînée possible. Marie bandait trop pour pouvoir réfléchir en ce moment, continuant donc à baiser Elvennya, à l’enculer furieusement. Pensait-elle vraiment que du sexe sauvage gênerait Elvennya ? La Cérébrate avait connu bien pire entre les mains et les tentacules multiples de sa Mère. Pour elle, tout ça n’était que du plaisir à l’état brut. Il était tout simplement impossible de la violer, car, même en la forçant, Elvennya prenait un pied phénoménal, et n’avait nullement le sentiment d’être abusée. Elle aimait le sexe déraisonnablement, comme une terrible nymphomane.

« Oh, Marie, Marie, haaaa... »

Elle gémissait son nom, le soupirait longuement, tout en sentant la religieuse continuer à s’acharner en elle. Celle-ci hurlait fermement, l’insultant, lui parlant encore de son « Dieu », et Elvennya sourit. Oh, elle aurait bien aimé embrasser la religieuse, mais cette dernière était bien trop concentrée dans sa sodomie pour ça. Elle continua donc, et Elvennya pouvait la sentir approcher de l’orgasme. Elle était comme une machine devenue folle, un train qui filait à toute allure sans que le machiniste ne puisse inverser la vapeur, et ce solide bolide entra pleinement dans la gare d’Elvennya, balançant une épaisse purée crémeuse. Elvennya sentit tout son corps fondre contre Marie quand la religieuse se mit à jouir, et se relâcha également. Elle jouit contre le bas-ventre de Marie, tout en sentant cette dernière se répandre en elle.

Marie eut un très bel orgasme, et se calma ensuite. Elle s’écroula contre le corps d’Elvennya, et, encore une fois, le décor évolua autour d’elles. Elles étaient debout quand elles venaient de jouir, et le mur se déplaça encore, de manière à ce qu’elles se retrouvent couchées. Marie était en sueur, affalée tendrement contre le corps de Marie, la tête nichée contre ses seins. D’une main douce, Marie la caressait, et relâcha ses jambes autour de ses cuisses. Son autre main caressa le bas de son dos, glissant sur sa peau, la griffant tendrement, se rapprochant de ses délicieuses fesses pour les palper.

« Mon plan ? Hmmm... »

Elle ne répondit pas immédiatement, et préféra embrasser Marie. Il n’y avait plus vraiment de résistance de sa part, comme si la religieuse, avec effroi, constatait, non seulement qu’elle avait sombré, mais aussi qu’elle avait adoré ça. Elvennya goûta donc à ses belles lèvres pendant plusieurs secondes, et pinça ensuite son cul, arrachant un soupir à la religieuse, ainsi qu’un frisson à hauteur de son sexe.

« Tu aimerais que ce le soit, pas vrai ? Mais, dans ta religion, n’insiste-t-on pas sur l’importance du libre-arbitre ? C’est toi qui as décidé de me baiser, toute seule... Alors que mes nouvelles amantes sont généralement terrorisées. Toi, tu n’as pas hésité, et je dois admettre que tu es délicieusement douée là-dedans. »

Elvennya lui sourit encore malicieusement, et caressa ses cheveux, avant de l’embrasser une nouvelle fois. Elle retourna ensuite Marie d’un coup de reins, et se retrouva au-dessus d’elle. Elle se redressa alors lentement, et se mit à califourchon sur le corps de la jeune femme, ses mains caressant encore son corps, glissant sur sa peau trempée.

« Mais je n’en ai pas encore fini avec toi, Marie... Tu as été trop loin pour que nous ne concrétisions pas ce moment. Tu vas jouir dans le bon trou, cette fois, et tu vas me donner un enfant ! »

Marie était couchée sur un lit spongieux, tentaculaire, qui pouvait se montrer collant. De petits tentacules roses en sortaient régulièrement, se frottant contre le corps de la jeune femme. Elvennya, elle, caressa d’une main le sexe trempé de Marie, son phallus. Il avait légèrement dégrossi, et un tentacule jaillit en conséquence du lit, entre les cuisses de Marie, en forme de seringue, et se planta à côté de son sexe, relâchant en elle un aphrodisiaque, qui eut pour effet de durcir sa queue, lui redonnant sa belle érection.

Ravie, Elvennya sourit malicieusement, sentant la queue de Marie pulser et grossir entre ses doigts, puis, sans guère attendre davantage, glissa ce membre en elle, s’empalant dessus, le fourrant dans son vagin.

« Haaaaa... Ouiiii, hmmm... !! »

Elvennya prenait les choses en main, et commença à danser sur le corps de Marie. La petite religieuse lui appartenait pleinement, et elle ne lui laissait même pas le temps d’avoir des doutes. La Cérébrate voulait que la vie batte dans son ventre, et elle voulait que ça vienne de Marie !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mardi 15 mai 2018, 22:03:49
Elvennya ne lui répondit pas immédiatement. Alors que Marie était crevée, et bien, elle se fit embrasser... Il n’y eut aucune réaction de résistance... Faut dire, cela aurait été complètement inutile, et presque hypocrite de sa part... Non, malheureusement, elle savait presque déjà la réponse qui allait suivre. Elle avait une réponse qu’elle voulait, qu’elle espérait du fond du coeur, le plus profondémment possible... Et une réponse qu’elle savait vrai. Malheureusement, les deux réponses n’étaient pas et définitivement pas les même. Cela serait trop beau. Malheureusement, c’étaient deux réponses tout à Fait différentes, et dont Sarah n’allait pas hésiter à en profiter, presque comme une sadique qui vient remuer le couteau dans la plaie, bref... Un côté vicieux qui lui convenait parfaitement !

« Tu aimerais que ce le soit, pas vrai ? Mais, dans ta religion, n’insiste-t-on pas sur l’importance du libre-arbitre ? C’est toi qui as décidé de me baiser, toute seule... Alors que mes nouvelles amantes sont généralement terrorisées. Toi, tu n’as pas hésité, et je dois admettre que tu es délicieusement douée là-dedans. »

« … »

Ce... Ce n’était pas vrai... Bon sang non... Et pourtant si. Elvennya avait parfaitement jouée de la frustration, l’énervement, la colère, la haine même que la fameuse Marie avait en elle, envers cette maudite créature... Et elle avait profitée du manque d’habitude de son interlocutrice pour le plaisir, pour lui faire exploser son besoin de plaisir. Encore une fois, franchement, elle mentait un peu. Marie n’avait clairement pas été prête pour cela, et donc... Ouais, en quelques sortes, on peut dire qu’elle quand même été quelques peu utilisée, son libre-arbitre franchement, c’était pas ça qui avait été le plus utilisée... Mais c’est vrai qu’au fond, et bien... Marie avait fait tout cela, et son comportement, c’était elle qui l’avait eu. Point à la ligne.

« Mais je n’en ai pas encore fini avec toi, Marie... Tu as été trop loin pour que nous ne concrétisions pas ce moment. Tu vas jouir dans le bon trou, cette fois, et tu vas me donner un enfant ! »

« Je... »


Elle ne put rien faire. Le lit avait changée, et elle était couchée maintenant sur cette ensemble tentaculaire qui était tout... Spongieux... Désagréable au toucher, sale... Bref, Marie n’aimait pas du tout. Surtout qu’elle y était prisonnière. Malheureusement aussi pour elle, et bien, elle qui pensait sérieusement être trop fatiguée pour reprendre, et bien... Elle était pas assez épuisée visiblement pour empêcher son nouveau phallus d’être actif. BON SANG DE BONSOIR pensait-elle ! Elle avait déjà jouie deux fois, et c’était pas suffisant ?! Cette excroissance devait absolument fuir de son corps... Le plus vite possible... Et malheureusement, non seulement, il était toujours là, mais il était prêt à l’action... En effet :

« Haaaaa... Ouiiii, hmmm... !! »

« Je ne veux pas aimer... »


Elle était brisée... Elle avançait lentement... Et franchement heureusement que son interlocutrice étiait celle qui menait le bal... Car là, ce n’était pas du tout Marie. Et ouais, on sentait que les choses avaient changés. Dans le tour précédent, Marie n’avait laissé absolument AUCUNE place à son interlocutrice pour faire ce qu’elle voulait... Mais là, c’était l’inverse. Marie ne faisait plus rien... Plus rien du tout même, franchement, c’était... Elle était brisée. C’était toute sa vie qui était partie en fumée, et pendant longtemps, elle avait imaginée que cela ne serait pas de sa faute... Mais maintenant, si, c’était sa faute. C’était entièrement sa faute. Totalement brisée et détruite, il n’y avait sans doute plus rien à faire... Mais...

« Je ne veux vraiment pas aimer... Mais... »

Tient ? Quand on regardait un peu le bassin de la fameuse femme... Et bien, on pouvait voir que ça s’activait ! C’était pas aussi mou que précédemment... Han... C’est intéressant vous ne trouvez pas ? Très très intéressant... Mais qu’est-ce que cela voulait dire ? Et bien, c’est tout simplement. Bravo aux Formiens, surtout Elvennya... Mais il fallait bien comprendre qu’elle avait été bien brisée et détruite... Mais après la destruction, il y a le reconstruction... Et ça y est, peu à peu, quelques choses commençait à se reconstruire, lentement, mais surement... Et cela faisait plaisir à voir ! Enfin, non, par pour Marie... Quoique mieux valait être corrompue que réduite à un légume, véritablement... Ainsi...

« Tu es si bonne... Elvennya... Je ne veux pas aimer te faire du plaisir... Mais bon sang... C’est... Si bon... ! »

Et ouais, là, cela commençait à être plus intéressant. Alors qu’elle criait sa haine, là, elle criait plutôt son plaisir, le plaisir qui avait été celle qui avait accompagnée, de façon discrète, et peu présente pendant un long moment, durant la partie où elle insultait et giflait celle avec qui elle faisait l’amour. Haine et amour, un peu les deux facettes du même pièces, la passion. Et ouais, alors qu’elle avait toujours cherchée à être une demoiselle raisonnable, sérieuse, travailleuse, et bien... Là voilà qu’elle était justement plongée dans cette passion... Et là... Elle ne pourrait plus s’arrêter, elle ne pouvait plus se libérer. La corruption avait commencé, et maintenant, à moins d’un miracle, rien ne pourrait l’arrêter. Et le très haut ne semblait pas trop intéresser en le sort de sa servante ici bas, c’était le moins qu’on puisse dire.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 21 mai 2018, 02:26:06
Il n’y avait personne pour protéger Marie contre elle-même. Ce qu’elle ressentait, ces pulsions qui remontaient... Oui, elle ne pouvait pas lutter contre ça. C’était la tyrannie du corps, et les Formiens étaient bien placés pour en connaître le poids. Marie était loin d’être la première pondeuse de Kerrigan à sombrer devant ses propres limites, devant sa frustration et, plus généralement, devant le désir sexuel. C’était une force irrépressible, irrésistible, contre laquelle Marie aurait pourtant déjà dû comprendre, vu ses précédents exploits, qu’elle était désemparée. Sous le corps d’Elvennya, elle ne pouvait pas lutter, mais essaya quand même, affirmant d’une petite voix qu’elle était « brisée », essayant manifester, encore une fois, de repousser ce bonheur qui influait en elle. Pensait-elle donc pouvoir lutter ? La Cérébrate s’en gaussait, et ondula lentement sur son corps.

« Tu es à moi, Marie... Je fais de toi ce que je veux. »

Elle aurait pu lui planter une nouvelle seringue dans le corps, mais elle constata finalement que ce ne serait pas nécessaire. Une certaine raideur venait en effet se former entre ses cuisses, une épaisseur qui ondulait et croissait. Elle se pinça donc les lèvres en le sentant, et ondula encore, déplaçant ses mains pour pincer les seins de la jeune religieuse, à hauteur de ses tétons. Il fallait bien avouer que, pour une nonne qui avait sans aucun doute décrété vœu de chasteté, Marie avait un corps bien trop beau pour ça. Elle était trop belle pour être condamnée à la nuit et au silence sexuel, et, tandis que Marie couinait, et que son phallus se réveillait, Elvennya sentit le changement en elle.

Plus de violence cette fois, Elvenny ne cherchait plus à la forcer ou à la provoquer, mais simplement à savourer son corps, et à apprécier la corruption de la femme. Elle remonta sa main, et caressa le visage de la belle, tout en se penchant vers elle. Son visage s’approcha du sien, et Elvennya alla l’embrasser après l’aveu de Marie. Un bref premier baiser, qu’elle rompit ensuite en se redressant de quelques centimètres. Son pouce s’appuya sur les lèvres de la femme, et elle esquissa un nouveau sourire.

« Mais c’est normal, Marie, le sexe est fait ainsi, ma belle... Et puis, tu vas me mettre enceinte, tu sais... C’est un immense honneur, c’est normal que tu aimes ça, ma chérie. »

Vu le ton d’Elvennya, et les mots employés, il était difficile de croire que, il y a une heure encore, Elvennya violait Marie, et, il y a à peine quelques minutes, Marie elle-même voulait la violer, lui faire mal, et l’avait baisé en la haïssant. Mais Marie pensait-elle pouvoir vaincre aussi facilement une femme comme Elvennya ? La Cérébrate était aussi belle que rusée, et retourna embrasser la femme. Pendant ce temps, à l’intérieur de son vagin, la queue de Marie continuait à remplir l’espace. Personne ne le voyait, mais, à l’intérieur du corps d’Elvennya, de fines membranes noires caressaient le membre de Marie, le pressant doucement, veillant ainsi à exciter davantage la belle Marie. Elle ne pouvait pas lutter, et Elvennya se redressa ensuite.

Elle continua à danser sur le corps de Marie, s’unissant à elle, soupirant profondément, laissant le plaisir se déverser en elle.

« Là, oui, hmmm... Ma belle Marie, hooo, si bonne, haaaaa... !! »

Elvennya comptait bel et bien jouir, mais il fallait quand même que Marie se relâche en elle pour ça, et ne vienne ainsi la féconder.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le jeudi 24 mai 2018, 10:24:35
Marie avait perdue. C’est tout, c’était tout. C’est fini, vous pouvez fermer les volets, l’histoire était fini. Ou au contraire, commençait, suivant votre avis. Bref, quoiqu’il en soit, Marie avait perdue. Enfaite, quand elle s’était lâchée, et quand elle avait commencée à perdre le contrôle de soit, c’était à ce moment qu’elle avait perdue, et donc, qu’elle s’était laissée à la corruption. Elle portait encore toujours autour du cou sa croix, mais la croix n’était plus qu’un artefact inutile, presque décoratif d’un jouet qui avait prit une toute autre fonction : bien loin était les vœux de chasteté qu’avait fait la fameuse demoiselle habillée, enfin autrefois, en nonne. Non, maintenant, elle était partie dans une autre voix, que Dieu n’approuvait pas, et une voie surtout qui était complètement sans issue. Elle n’en ressortirait pas de cette fameuse voie…

« Tu es à moi, Marie... Je fais de toi ce que je veux. »

Que répondre ? Elle n’avait pas envie de dire « oui »… Elle ne voulait pas lui dire qu’elle avait raison… Mais c’était la vérité. Pas de bol ! Il faut bien l’avouer, mais voilà, c’est comme ça ! Elle était totalement à elle, elle était dans la ruche. Elle ne pouvait plus en sortir, et même si elle était libérée… Comment elle pourrait se débrouiller ? Elle ne pourrait pas retourner à une vie normale… Franchement, elle était perdue. Enfaite, les seuls qui pouvaient la protéger et l’aider… Et bien, c’était la ruche. Ceux qui avaient capturés et fait tombé dans la disgrâce la fameuse pauvre Marie… Et bien étaient ceux qui pouvaient l’aider… Franchement, c’était… Atroce ? Sadique ? Vicieux ? Bonne question.

« Mais c’est normal, Marie, le sexe est fait ainsi, ma belle... Et puis, tu vas me mettre enceinte, tu sais... C’est un immense honneur, c’est normal que tu aimes ça, ma chérie. »

Normal… Normal… Comment pouvait-elle dire que c’était normal ? Dieu avait crée toute chose, et ainsi, il n’avait pas fait les choses ainsi mais… Si Dieu était omnipotent… Et bien tout cela faisait aussi partie de ce que Dieu avait crée… Non ? C’était compliqué. Très compliqué. Si Dieu avait crée ses créatures, peut-être que ce qui faisait… Faisait partie de la création… Réfléchir… C’était compliqué dans ce genre de situation, il fallait bien l’avouer. Elle avait du mal à penser de façon véritablement cohérente. Faut dire… Elle était entrain de baiser ! Comment réfléchir de façon cohérente, quand tu es entrain de faire l’amour ! C’est difficile, surtout pour Marie qui ne connaissait rien de rien à tout cela… Mais elle découvrait, et malheureusement, elle glissait de plus en plus la pente, comme on pouvait voir...

« Là, oui, hmmm... Ma belle Marie, hooo, si bonne, haaaaa... !! »

« C’est si bon... »

Oh oui. C’était si bon. Franchement, aucun doute. Elle aime. Elle ne voulait pas aimer… Mais oui, c’était bon ! Elle continuait de faire son vas et viens, toujours en appréciant cela. Toujours en appréciant de plus en plus. Mëme, elle allait de plus en plus vite, tandis que ses mains commençaient à masser les fesses de son interlocutrice. Sans réfléchir, comme ça, elle allait de plus en plus vite. Elle faisait tout pour recevoir plus de plaisir, car elle adorait ça. C’était tellement bon. Elle avait vécu sans se plaisir durant une vingtaine d’année, c’était logique, elle avait été une enfant. Mais maintenant qu’elle était une adulte, elle découvrait la vérité… Et c’était tellement plaisant qu’elle aimait de plus en plus cela… D’ailleurs, elle le déclara :

« Han, c’est trop bon, vraiment trop bon Elvennya ! Tu es… Haaan... »

Délicieuse ? Esquise ? Parfaite ? Bonne tout simplement ? Tant de mots se mélangeaient dans sa tête, car il y avait tant de choses. La haine et l’amour se mélangeaient complètement, ce qui faisait que même Marie ne savait plus trop quoi pensait. Détestait-elle cette femme qui l’avait poussée dans le côté obscur ? Ou au contraire, devait-elle l’aimer ? C’était l’une des deux raisons pourquoi elle n’arrivait pas DU TOUT à comprendre véritablement ce qu’elle ressentait elle. Elle était perdue, et ne se retrouvait donc dans une seule et unique chose ! Bref, ainsi, aussi incroyable que cela pouvait paraître… Mais le sexe était l’une des rares choses sur lequel elle pouvait se reposer pour ne serait-ce que se retrouver.

« AAAAAAH ! »

Et ainsi, elle s’était trouvée. Au début, elle avait tenté le déni. Puis le marchandage. Ensuite, elle avait eu la colère. Suivi par la dépression… Et maintenant l’acceptation. Oh oui, vous avez bien compris. Elle faisait le deuil de son ancienne vie, qui était presque partie en fumée. Presque, car elle n’était pas totalement brisée, elle avait encore un peu en elle, donc, qui sait peut-être qu’elle arriverait à s’en sortir, à ne pas devenir complètement corrompue. Mais finalement, elle avait fait ce qu’elle ne voulait pas faire. Et oui, elle avait jouie ! Elle avait jouie en celle qu’elle nommait une pute, un peu auparavant. Et dire que peu auparavant, elle ne voulait absolument pas lui donner le plaisir de lui donner un enfant… Sauf que malheureusement… Et bien, elle s’est retrouvée quand même à le faire… C’était trop tard, c’était fait maintenant.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 28 mai 2018, 20:14:40
Marie avait-elle sincèrement cru pouvoir lutter ? Ah, douce illusion ! Candeur d’une jeune femme qui était désormais incapable de pouvoir lutter contre ses pulsions. Elle avait goûté au fruit défendu, au péché, et elle ne reviendrait plus jamais en arrière. Elvennya en était très excitée, et le sentit en dansant sur elle. L’agressivité de Marie, sa tension... Tout ça avait volé en éclat. Comment la nonne pouvait-elle encore croire pouvoir lutter ? Elle était entre les délicieuses griffes des Formiens, leur magnifique esclave, une poupée adorable et exquise ! Dansant sur elle, Elvennya prenait franchement son pied, sentant son intimité se resserrer autour de la queue de Marie, de ce membre tendu qui se glissait en elle, qui s’enfonçait sans concession dans son corps. Les mains de Marie caressaient ses hanches, et la Cérébrate sourit doucement quand cette dernière avoua que tout cela était... Tout simplement « bon ».

Un sourire plein d’affection, tandis que la délicieuse Cérébrate continuait à ne faire plus qu’un avec Marie :

« Oui, ma belle, bien sûr, haaaa... C’est ça... C’est ça le plaisir suprême, tu sais, hmmm... ! Une vie pleine de joie, pleine d’amour, sans fin ! »

Un plaisir inouï, jouissif, et qui ne se terminerait jamais ! Autant dire que la jeune Marie avait de quoi être comblée. Sarah Kerrigan s’occuperait d’elle bien comme il faut, et... Eh bien, elle ne pouvait tout simplement pas lutter. Sous le voluptueux corps d’Elvennya, Marie se laissait aller, et, au bout de plusieurs minutes, elle atteignit à nouveau le plaisir suprême, et se mit à jouir. Avec plaisir, Elvennya laissa ce sperme s’enfoncer dans son corps, venant lui offrir le plus beau des cadeaux, la plus merveilleuse des sensations : la procréation !

Elvennya sourit doucement, et caressa de ses doigts le beau visage ovale de Marie, avant de se courber en avant. Elle l’embrassa tendrement, longuement. Tant de douceur, tant de bonheur... Voilà qui jurait clairement avec ce à quoi Marie avait, jusque-là, été habituée ! Sa langue s’enfonça dans la bouche de Marie, et elle prolongea volontiers le baiser, pendant une bonne minute. C’était comme une spirale sans fin, une boucle qui ne devait pas se terminer, et qui revenait toujours au même point.

« Voilà, ma belle... Tu m’as engrossé, mon amour. Que vais-je bien pouvoir faire de toi, maintenant ? »

C’était une question purement rhétorique, car les idées ne manquaient pas. D’ores et déjà, de légers tentacules commençaient à caresser le corps de Marie, comme pour la féliciter, la récompenser « affectueusement »... Et de manière bien gluante aussi !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 30 mai 2018, 23:30:38
Pendant tant d’année, la fameuse Marie avait pensé qu’elle n’aurait jamais le moindre soucis à garder sa virginité. Bien sûr, elle avait eu comme tout le monde des « crush » pendant son adolescence, mais cela ne l’avait jamais détournée de sa foi, cela n’avait jamais empêché la fameuse jeune demoiselle de respecter à la lettre les règles sur la chasteté, et tout ça. Bref, elle se pensait intouchable sur ce point... Quand elle avait été capturée, et qu’on avait commencé à la violer, elle pensait vraiment qu’elle serait torturée, mais qu’elle tiendrait, elle serait une martyr. Et finalement, elle n’avait pas tenue. La palme des martyrs ne sera point pour elle, elle pouvait abandonner ce fameux espoir... Elle devait maintenant se concentrer sur ce qu’elle avait fait... Et sur ce qu’elle faisait...

« Oui, ma belle, bien sûr, haaaa... C’est ça... C’est ça le plaisir suprême, tu sais, hmmm... ! Une vie pleine de joie, pleine d’amour, sans fin ! »

« Haaaan ! »


Elle ne put gémir à pleine volonté pendant très longtemps, car sa bouche fut alors remise dans le silence... Oh pas comme on pourrait croire par une tentacule... Non pas du tout. Elle avait été réduite en silence par la façon la plus douce et mignonne qu’il soit... Un baiser. Et pas un baiser forcé, volé ou méchant. Non, le plus doux des baisers, un baiser qui encore une fois faisait monter le doute dans l’interlocutrice de la Formienne. Comment des êtres qu’elle supposait aussi maléfique, mauvais et détestable pouvait à la fois être parfois aussi doux, gentil, et agréable ? Franchement, aux yeux de la fameuse de la fameuse Marie Mori, cela n’avait aucun sens. Dans sa vision dichotomique du monde, il y avait le mal et le bien. Dieu et elle était du camp du bien... Donc une personne contre elle, devait être du mal... Non ?

« Voilà, ma belle... Tu m’as engrossé, mon amour. Que vais-je bien pouvoir faire de toi, maintenant ? »

« … »

Elle ne disait rien, plus rien... On pouvait dire que cela devait faire un sacrée choc en même temps. Quand on a pas l’habitude... Bref, en tout cas, la fameuse religieuse était dans une situation complexe, très complexe... Et... Et elle ne savait pas quoi penser, elle ne savait quoi dire... Elle était dans une situation où elle ne comprenait même plus ce qui était en elle, ce qu’elle devait penser. Elle ne pouvait pas s’attacher à sa croix, sa précieuse croix qui était l’étandart dans l’obscurité. Pour l’une des seules fois de sa vie, et bien, elle avait une autre lumière. Une lumière qui ne devait absolument pas l’étirer, un peu comme cette lampe qui allait bruler ce pauvre papillon attirer par la lumière... Mais malheurueusement, exactement comme le papillon, et bien... Devait arriver ce qui devait arriver...

« Je... Je suis... »

Elle recommençait à parler ! Enfin ! Cela était rassurant dans un sens, n’es-ce pas ? Et bien, peut-être pas tant que ça. Alors qu’elle tentait donc de parler, les tentacules reprenaient leur assaut, mais pas exactement comme précédemment. Elles étaient beaucoup plus douces, beaucoup plus gentilles que les précédentes. Elles étaient là pour accompagner la fameuse Marie dans ses choix, dans ce qu’elle allait dire... Au fond, ce qu’elle allait dire, n’avait pas tant d’importance. C’est pas comme si elle disait « Non je veux pas », qu’elle serait libérée. Non, elle était piégée, et maintenant, c’en était finie pour elle... Mais... Il y avait un mais... Disons que ce qu’elle allait dire allait avoir une grande importance, donc, il fallait se concentrer sur ses choix, sur ses déclarations... Bref, ce qui allait se passer, là, maintenant. Ainsi...

« Je suis toute à vous. »

Ainsi, elle avait abandonnée. Après ce qui s’était passé, était bien loin la Marie qui avait dit « JE TE HAIS »... Alors attention, elle la haïssait toujours... Mais cela... Et bien, cela n’avait pas la moindre importance, qu’on soit clair... Ce qu’elle pensait, qu’elle aime ou qu’elle déteste, cela n’avait plus de poids dans ce qui se passait. Maintenant, elle était la docile et obéissante esclave de sa maîtresse, elle ne pouvait plus rien faire de plus... Elle détesterait sans doute encore très longtemps les Formienne... Mais dans sa tête, là, il y avait quelques choses qui s’était définitivement brisé, et qui n’allait pas se réparer. Qui ne pouvait pas se réparer. C’était fini, elle était finie, et maintenant, elle avait rejoins malgré elle la ruche. Elle ne pouvait plus y échapper, car il n’y avait plus le moindre échappatoire...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 04 juin 2018, 00:55:29
Échec et mat. La belle Marie était vaincue. Couchée sur le lit tentaculaire, elle admettait son infériorité envers Elvennya. Elle venait de l’engrosser, et, maintenant, Elvennya se sentait enfin remplie, vu que la vie pulsait désormais en elle, poussant doucement dans son ventre. La Cérébrate s’en pinça doucement les lèvres, et sa main caressa tendrement les cheveux de Marie. Elle se pencha ensuite vers elle, et l’embrassa une ultime fois, tout en se redressant encore, libérant de son con le sexe de la femme. Pas une goutte de sperme ne restait sur cette queue, et pas une goutte ne tomba du corps d’Elvennya. Son corps avait absorbé le liquide séminal jusqu’à la plus petite dernière goutte. Ravie, Elvennya se tint finalement debout.

« C’est très bien, Marie, très, très bien... Suis-moi maintenant, ma belle. »

Pensait-elle pouvoir se reposer longtemps ? Si c’était le cas, Marie avait oublié où elle se trouvait, et qui se tenait face à elle. La tenant par la main, Elvennya se dirigea vers un mur, qui s’ouvrit sur son passage, et elle s’aventura à travers ce dernier, le couloir se formant progressivement, s’étirant au fur et à mesure de leurs pas pour former un long boyau, un corridor ovale. Déambulant lentement, Elvennya observait les lieux avec un léger sourire sur le coin des lèvres. On pouvait voir des tentacules le long des murs spongieux, formant comme des veines violettes qui remuaient sur place, gonflaient et pulsaient doucement. De quoi, sans aucun doute, inquiéter Marie, surtout lorsque les femmes virent des cocons abritant des femmes. Elvennya s’amusa à retirer les couches extérieures des cocons, ce qui permit à Marie de voir des femmes dormant dans une sorte de liquide amniotique, des tentacules s’enfonçant dans leurs parties intimes, pompant leurs seins. Elles semblaient dormir, mais certaines gémissaient et se tortillaient sur place.

Elvennya ne soufflait mot, préférant laisser à Marie le soin de la contemplation, ainsi que de s’interroger sur une question essentielle, fondamentale : où allaient-elles ? Volontairement, Elvennya restait donc muette, jusqu’à ce que le mur ne s’arrête, s’ouvrant sur une sorte de grand abîme noirâtre.

« Nous y sommes, amour... »

C’était un très grand précipice. Une sorte de fissure profonde et tectonique. Impossible de voir, ni le sommet, ni le sol. Au loin, de l’autre côté du gouffre, il y avait un autre mur. Est-ce qu’Elvennya comptait la jeter dans le vide ? Pas exactement... Car ce grand espace creux était tout de même habité. À droite et à gauche, de curieuses structures roses se dressaient. Des sortes de longues tours violettes, formées d’une multitude de tentacules qui partaient depuis les profondeurs du ravin pour former une sorte de grand tronc, avec, en leur sommet, une rotonde centrale où des œufs poussaient régulièrement.

Dans le dos de Marie, Elvennya lui posa ses mains sur les épaules, et lui expliqua qu’il s’agissait des Aiguilles (http://img110.xooimage.com/files/5/1/f/aiguille2-549132d.jpg)*. Des bâtiments formiens servant à produire les unités aériennes des Formiens. Mais, surtout, à bien les observer, Marie put voir qu’il y avait de multiples corps le long des tentacules formant les Aiguilles. Des femmes ! Des tentacules les pénétraient longuement, plus ou moins gros, et leurs soupirs et gémissements emplissaient l’air. Un spectacle incroyable, tandis que la plateforme sur laquelle elles étaient se rapprochait lentement de l’une des Aiguilles.

Des tentacules en jaillirent lentement, se rapprochant de Marie, tandis qu’Elvennya la maintenait par les épaules, l’empêchant de se replier. Les tentacules commencèrent ainsi à caresser les jambes de Marie, puis ses poignets.

« Allez, ma belle... Viens danser ! »

Et Elvennya la poussa soudainement, envoyant le corps de Marie dans le vide, au milieu des tentacules roses !



* : sur l’image d’illustration, la taille des Aiguilles est réduite par rapport à leur utilisation dans ce post, ainsi que sur le nombre de tentacules ; ce n’est qu’une représentation.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 06 juin 2018, 09:52:52
Dire qu’elle avait... Engrossée un démon... Oui, effectivement, comme elle n’avait pas eu plus d’explications sur ce point, elle pensait toujours qu’elle avait affaire à une démone... Bon, franchement, on va le dire clairement : Cela n’avait pas beaucoup d’importance, hein... Ce qui restait, en tout cas, c’est qu’elle avait bien fait l’amour, qu’elle avait donnée un « enfant » à cette démone, et qu’elle avait eu littéralement tout le sperme aspirée possible... Bon sang, elle espérait d’ailleurs que ce phallus allait disparaître, elle n’en pouvait plus, elle n’aimait pas ça... Mais malgré ce qu’elle pensait, et bien, elle savait que cela ne servait à rien de dire quoique ce soit. Elle avait perdue, et elle n’était plus que maintenant une servante de ces démons... D’ailleurs, visiblement, elle allait avoir d’autres choses à faire car...

« C’est très bien, Marie, très, très bien... Suis-moi maintenant, ma belle. »

Guidée bien sagement, elle suivit alors son interlocutrice. Encore une fois, c’était inutile de songer à fuir, car elle avait abandonnée, et que tout simplement... Et bien... C’était un lieu où... Où Elvennya contrôlait les tentacules. Donc, si elle tentait de s’enfuire... Et bien, elle serait immédiatement stoppée par des tentacules ou quoique ce soit d’autres. Traversant donc une sorte de corridor de forme ovale, toujours grouillant et suintant. Non, mais cela, c’était que des détails, quand elle voyait tout ce qu’il y avait, c’est à dire, ses sortes d’oeufs où des femmes étaient emprisonnées. Parfois, certains oeufs s’ouvraient pour montrer ce qu’il y avait à l’intérieur... Et sérieux, elle aurait bien aimé ne jamais le voir. Ses femmes étaient captives et utilisées... Combien étaient là ? Peut-être des millions, facile...

« Nous y sommes, amour... »

Oui... Mais où ? Telle était la question. Et bien devant un grand gouffre... Mais un grand gouffre ! Et pas un grand gouffre désert... Oh non, il était habité ! De nombreuses structures roses se trouvaient, et emprisonnaient des femmes. Dedans... Et bien, elles étaient baisées, prises de toutes parts, ne pouvant rien faire, absolument captive. Paradis pour certaines femmes, enfer pour d’autres, sans aucun doute ! Notre fameuse Marie regardait ça... A chaque fois qu’elle pensait qu’elle ne verrait pas pire dans sa descente en Enfer digne de Dante... Et bien, elle tombait toujours dans un cercle encore plus horrible. Derrière elle, son interlocutrice lui expliquait de nombreuses choses... De nombreuses choses qu’elle devait comprendre qu’elle n’allait pas y échapper... Bref, elles s’approchaient toutes deux de ses fameuses « aiguilles », et ainsi, une fois relativement proche, au point que les premières tentacules venaient caresser les jambes de la religieuse, Elvennya déclara alors :

« Allez, ma belle... Viens danser ! »

« No... Vous n’allez pas... AAAAAAAAAH ! »

Oh si elle allait le faire. Et comment qu’elle allait le faire. Notre chère Marie voulait reculer, ne pas rester ici, partir le plus vite possible... Mais elle fut poussée. Elle tenta de s’accrocher à quelques choses, n’importe quoi, mais ce fut inutile, et elle tomba alors comme une masse. Heureusement, la chute ne fut pas trop longue. Elle ne fit pas la chute à la Roi Lion, s’écrasant misérablement sur le sol et perdant la vie... Même si encore une fois, elle aurait bien aimée perdre la vie, plutôt que ce qu’elle sentait qui lui allait arriver... Bref, en tout cas, elle tomba alors parmi les tentacules... Ohoh... Elle savait que cela allait mal finir, tout ça... Cela grouillait autour d’elle, et elle avait le droit à que quelques secondes avant que les tentacules reprennent du choc qu’avait été la chute de la jeune femme...

Et heureusement, elles se reprirent ! De suite, les mains et les pieds de la femmes furent capturés, et les écartant. Agacé par le phallus qui ne les intéressait pas, elles commencèrent à l’écarter, pour redécouvrir ce qui était plus intéressant, c’est à dire le vagin de la jeune femme, qui, il faut bien le dire, cela faisait « longtemps » qu’il n’avait pas été utilisé. Et ça, pour les tentacules, et bien, c’est dommage ! Bref, elle allait en profiter, et ainsi, son vagin fut pris... Pénétré, immédiatement... Elle poussa un gémissement, mais arriva à garder sa bouche fermée...Cela agaçait les tentacules, qui tentaient d’entrer dans cette fameuse bouche... Alors, comme si visiblement l’idée était venu à la créature, l’anus de Marie fut brutalement pénétrée, comme ça, sans préparation. De suite, elle poussa un hurlement, qui fut immédiatement arrêté par une tentacule qui se fourra dans sa bouche, terminant alors de remplir entièrement la fameuse religieuse. Les tentacules étaient alors bien installé que cela soit dans la bouche, l’anus, ou la chatte, de cette dernière...

Le tout était absolument visqueux, et Marie était donc totalement captive... Elle ne savait pas où en donnait la tête, les tentacules continuaient de jouer, aussi bien dans sa bouche, que dans son anus, ou dans sa chatte... le tout grouillait, glissait sur ses seins, ses fesses, ses hanches, et même sa tête n’y échappait pas, passant sur ses oreilles, ses yeux... Au moins... Elle ne pouvait rien faire de plus... Tout ses orifices étaient pris, et elle était entièrement captive... Il... Il ne pourrait rien arriver de pire, non... ? Et bien, sans doute que non... Mais on ne devait pas limiter l’imagination des Formiennes... Peut-être que son corps avait plus à donner, quand on voyait encore ce qu’elle avait de libre.... Mais chut ! Tout cela, comme toujours, et bien... C’est une autre histoire ! Donc, inutile d’aller plus vite que la musique...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 11 juin 2018, 00:36:15
Elvennya l’avait jeté en pâture à l’Aiguille sans ménagement, et gloussa même en entendant la religieuse hurler. Elle tomba dans un enchevêtrement de tentacules, et ces derniers la récupèrent bien rapidement, avant de la hisser. Ils s’enroulèrent autour de ses chevilles et de ses poignets, serrant contre son corps. Visqueux, ils laissaient sur sa fine peau une sorte de substance gluante, collante, et, somme toute, assez puante. Les tentacules semblaient huileux, violets, avec ce liquide qui suintait naturellement de certaines muqueuses. Partout, c’était un concert de femmes occupées à se faire baiser, certaines avec des ventres énormes, prêts à donner la vie, à accoucher de nouveaux Formiens, qui remontaient par les tentacules jusqu’au sommet de l’Aiguille. Marie n’était rien de plus qu’un ventre sur pattes entre ces tentacules, et, très rapidement, l’intelligence collective gérant l’Aiguille s’empressa de la pénétrer. Un premier tentacule dans son vagin, et un second s’approcha de sa bouche. Las, la jeune femme résista, et le tentacule tenta de forcer le passage, recouvrant ses lèvres de son mucus.

Têtue, Marie tint bon, mais l’Aiguille y était habitué. Et il savait comment réagir. Il leva un tentacule supplémentaire, et fouetta le cul de Marie, avant que d’autres ne s’approchent. Des tentacules fins tournoyèrent autour d’un gros tentacule phallique, et s’avancèrent vers sa croupe, écartant les fesses de Marie l’une de l’autre, puis le gros tentacule la pénétra violemment, arrachant à la femme un cri naturel... Qui permit alors à sa bouche d’être remplie aussi. Les trois tentacules phalliques s’enfoncèrent ainsi en elle, se mettant à remuer énergiquement, ondulant dans son corps, la prenant sans ménagement. Elvennya, qui observait silencieusement la scène pendant un moment, finit par se retourner, sans trop savoir si Marie était encore en mesure de se rendre compte de sa présence ou non.

« Tu vas passer un petit moment ici, Marie. Profite bien, ma chérie... »

Difficile de dire comment on pouvait « profiter » de quoi que ce soit, mais... Marie comprendrait. Elvennya la laissa donc. Personne ne viendrait au secours de Marie, personne ne viendrait la protéger, personne ne viendrait la retirer de là... Et pourquoi la retirer de là, d’ailleurs ? L’Aiguille suivit les protocoles de sa Reine. Habituellement, les Formiens ne se préoccupaient guère du plaisir de leurs pondeuses, mais Sarah était différente. Ainsi, un autre tentacule s’approcha, en forme d’aiguille, et se nicha dans le cou de Marie, diffusant une très puissante drogue aphrodisiaque. Impossible, tout simplement, de lutter contre ça. Une substance typiquement formienne, créée par Sarah pour veiller au bonheur de ses pondeuses. La douleur serait toujours là, bien sûr, la douleur de la sodomie, mais mélangée avec des vagues irrépressibles et irrésistibles de plaisir.

Pendant que les tentacules la prenaient, d’autres venaient sur son corps, glissant lentement dessus, appuyant sur son corps, titillant ses seins, s’enroulant dessus pour les empresser, déversant en elle des vagues de joie et de plaisir. Et, inlassablement, les tentacules la prenaient, encore et encore.

Marie allait enchaîner les orgasmes pendant des heures, de quoi perdre peu à peu sa conscience. Car les tentacules pouvaient la pénétrer à loisir, jouissant sans arrêt, la pénétrant sans relâche, nourrissant Marie par l’usage de seringues diffusant des nutriments en elle, multipliant l’usage d’aphrodisiaques, déconnectant de plus en plus les pondeuses de la réalité, pour briser leur esprit par l’usage du sexe intensif. C’était une mécanique aussi terrible qu’efficace.

Sarah n’allait toutefois pas laisser Marie partir aussi facilement...

...Mais la teigneuse religieuse allait tout de même passer un certain temps dans les tentacules, jusqu’à en perdre la notion du temps et d’elle-même. Alors, Sarah la libérerait...

Pour d’autres réjouissances !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 13 juin 2018, 20:11:07
Impossible de s’en sortir, elle était piégée, et elle pouvait rien faire. C’était un piège, où aucune femme ne pouvait sortir, un traquemare où les femmes se faisait baiser. Certaines femmes étaient bien remplies, des ventres énormes, qui parfois donnait l’impression qu’elles étaient remplis d’adultes dans leur ventres, bref, une situation où les femmes ne pouvaient que gémir, couiner, et faire des hurlements de douleurs et de plaisirs, il fallait bien comprendre que le tout allaient de concert pour ce concert de gémissements ! C’était un délice à entendre, des couinements, des gémissements, des hurlements… Mais surtout, tant et tant de plaisirs, on sentait que les sentiments qui dominaient étaient certes la peur et la haine parfois… Mais ce n’était que les seconds et troisièmes, devant l’ultime et plus important : le plaisir, ce plaisir intense qui iradiaient les différentes femmes captives...

Et Marie dans tout ça ? Car c’était quand même de Marie dont on parlait avant tout… Ressentait-elle le plaisir elle aussi ? Ou bien étaient-elle hermétiquement fermé à ce plaisir ? Et bien, déjà, il fallait comprendre ce qu’elle avait, c’est à dire… Des tentacules, des tentacules, et encore des tentacules ! Celles-ci s’enroulaient autour d’elle, sans aucune pitié, la première tentacule phallique était dans son intimité, et se faisait plaisir, tandis qu’une seconde avait pénétrée son anus, et se faisait beaucoup plaisir, et la dernière était dans sa bouche… Et se faisait énormément plaisir ! Bref, vous avez compris, tout se faisait plaisir, et l’Aiguille visiblement faisait de son mieux pour se taper la religieuse autant que possible. Cette dernière ne pouvait rien faire, à part en « profiter » si on pouvait dire ça...

Marie était seule maintenant, mais elle ne pouvait pas le savoir ni même le sentir. Tout ce qu’elle sentait, c’était le plaisir et le sexe qui la touchait. Elle n’avait personne avec elle, et surtout, elle pouvait espérer, cela ne servait à rien. Personne ne viendrait la sauver, personne. Elle était condamnée à rester là, et à devoir être baiser, encore et encore. À cette heure, sur terre, on devait avoir répéré sa disparition, peut-être que certaines personnes la cherchaient à l’heure actuel… Mais non, personne ne viendrait la chercher, car aucun policier ne pouvait savoir où elle était, et comment la sauver ! Bref, elle était condamnée à rester là, et finalement, sa disparition ne serait jamais expliqué, tous se poseraient pendant des années et des années les raisons de sa disparition, mais personne n’aurait jamais de réponse…

Mais l’ensemble n’était pas si cruelle… Alors, oui, sans doute que pour une religieuse, cela était une torture horrible… Mais une autre tentacule était là pour lui faire du plaisir, montrant que la Reine des Formiennes semblaient tenir à sa religieuse… En effet, une très puissante drogue aphrodisiaque fut alors versée dans le cou de la religieuse. C’était impossible d’y résister, et de toute façon, dans la situation où elle était… Vraiment, est-ce que cela servirait de tenter de résister ? Non, bien sur que non. Marie avait abandonnée toute résistance depuis un moment, et maintenant, elle se contentait de suivre le moment, d’obéir bien sagement. De toute façon, elle ne pouvait pas résister. Elle avait perdue, et était maintenant une esclave de la Ruche. Une esclave, une pondeuse bien sage et bien obéissante…

Ainsi, orgasmes et heures passèrent… Des jours mêmes… Peut-être des semaines ? Elle était maintenant totalement déconnectée de la réalité, et de la conscience elle-même. Elle avait l’impression d’être vide, de ne plus rien savoir… Et le plaisir était immense en elle. Si elle savait quelques choses, oh oui, quelques choses de bien… Le fait qu’elle adorait avoir des œufs dans son ventre, d’accoucher, de redonner des œufs, etc. Bref, elle était une esclave du plaisir. Elle ne savait même plus exactement pourquoi elle avait une croix autour du cou, qui était toujours là -les tentacules faisaient bien attention de ne pas la briser ou la perdre-, mais elle supposait que c’était lié à ce qu’elle était… Parfois, elle avait des souvenirs qui venaient, mais elle avait du mal à les déchiffrer, les comprendre… Cela avait sans doute du sens, mais elle ne voyait pas lequel… C’était étrange…

Marie n’était plus qu’un ventre, un immense ventre remplie d’œufs qui faisait qu’elle était gonflée comme un ballon de baudruche. Loin était la religieuse sage et austère, cachant son corps. Maintenant, elle avait rejoint la ruche, et en faisait intégralement parti… Qu’allait faire alors Sarah ? Etait-elle contente que ça y est, Marie ait accepté son destin ? Ou bien voulait-elle encore faire des choses avec la religieuse ? C’était des questions très intéressante, et sans doute que la reine avait déjà prévue ce qu’elle allait vouloir faire avec cette dernière. Mais tout cela était une autre histoire qu’on ne pouvait pas connaître pour le moment. Il y avait de nombreuses choses à dire, donc, restez pas loin, si vous voulez mon avis…
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 18 juin 2018, 00:30:46
Avec les Formiens, on apprenait une toute autre dimension au sexe. Pour les humains, le rapport sexuel était instantané. Il se terminait aussi rapidement qu’il avait commencé, souvent bien trop rapidement, et le souffle redescendait ensuite. Mais, chez les Formiens, le rapport sexuel s’inscrivait dans la durée, et devenait tout simplement la norme, là où, chez les Terriens, il était l’exception. Marie dut le comprendre, car les jours passèrent, et même plus que cela. Elle ne comptait plus le temps qui passait. On aurait pu croire que son esprit aurait fini par lâcher, son corps par craquer, mais c’était méconnaître les Formiens. Après tout, elle tombait régulièrement enceinte. Sans sperme émanant d’une Cérébrate ou d’une Annexienne, le sperme des tentacules donnait naissance à de simples œufs, et, comme Marie était perpétuellement baisée, les accouchements ne mettaient que quelques heures à venir. Elle accouchait tout en étant encore baisée, et le tentacule phallique qui la pénétrait se transformait alors en pompe, aspirant les œufs situés en elle pour les conduire au bassin génétique situé au sommet de l’Aiguille.

Entièrement nue, Marie ne portait plus que sa croix dorée, qui rebondissait sur sa poitrine, mais ne lui fut jamais retirée. Elle eut droit à quelques moments de paix, qui n’avaient que pour effet de la frustrer. Croire qu’elle s’épuiserait, c’était méconnaître les formidables capacités d’adaptation du corps humain, et Kerrigan savait y faire. Elle jouait avec la frustration de ses pondeuses. À plusieurs reprises, les tentacules s’arrêtèrent en étant proche d’un orgasme chez la pondeuse, frustrant très certainement Marie, qui devait toutefois attendre plusieurs minutes avant de sentir la délivrance venir.

Ici, au sein de l’Aiguille, elle n’était plus qu’une pondeuse parmi tant d’autres. Les tentacules la nourrissaient régulièrement par le biais de tentacules en forme de seringues, répandant en elle des nutriments, et assuraient aussi son hygiène... Pour ainsi dire. Elle recevait régulièrement des jets d’eau sur le corps, mais, globalement, il se dégageait des tentacules de l’Aiguille une forte odeur de sueur et de sexe. Deux tentacules phalliques s’enfoncèrent à un moment simultanément dans son cul, et d’autres se posèrent sur ses seins, les tentacules s’ouvrant en de belles bouches qui laissèrent passer des langues minuscules qui titillèrent ses tétons, tirant dessus.

Et, bien sûr, elle était très régulièrement fouettée. En fait, quand Marie commençait à sentir ses forces l’abandonner, l’Aiguille réagissait en conséquence, et la battait alors, fouettant son cul, utilisant ensuite une nouvelle drogue. Et, tandis que Marie se retrouvait alors dans un état comateux au bout de plusieurs jours, son esprit était assailli par des pensées externes, venant de Kerrigan. Toutes les pondeuses y avaient droit. Profitant de leur état d’extrême fatigue, Kerrigan remodelait leur esprit, façonnait leurs souvenirs, gommant ou atténuant les souvenirs positifs de leur ancienne existence, insistant sur les mauvais, sur leurs souffrances, leurs déceptions, leurs douleurs, afin de leur montrer qu’elles étaient bien ici, qu’elles avaient atteint la quintessence de leur existence...

Car, s’il ne fallait pas sous-estimer la force de l’esprit et du corps humain, il ne fallait pas non plus croire l’esprit invulnérable. Et, face à une joueuse comme Kerrigan, Marie était comme une paire de deux face à un flush royal. Impossible de se défaire de cette emprise, impossible de s’en sortir, et le temps passa donc, encore, encore, et encore... Les tentacules la prenaient énergiquement.

...Marie subit ce traitement pendant plus d’une semaine.

Les tentacules la déplacèrent encore, et Marie se retrouva finalement poussée dans le mur, où elle rejoignit un cocon. Elle se retrouva attachée au mur, et sentit des murs se former autour d’elle. Un liquide jaillit alors, tandis que le mur se refermait sur elle, l’enfermant dans le monstre. Un doux liquide amniotique, qui n’avait que pour effet de la nettoyer, même si elle devrait sûrement paniquer. Dans le noir absolu, elle ne pouvait savoir si elle allait ressortir un jour.

Son corps avait en tout cas atteint ses limites, et, le liquide aidant, la jeune femme ne put que s’endormir.

Mais que Marie se rassure, car elle allait ressortir.

En effet, elle se réveillerait couchée dans une chambre, sur un lit formien, soit un lit violet fait d’une étrange matière doucereuse, et, surtout, porterait sur elle des collants et de longs gants blancs... En latex. Le tout avec sa fidèle croix dorée, qui était toujours nichée entre ses seins. Propre, neuve...

...En attente d’un second round.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le jeudi 21 juin 2018, 08:15:47
Baiser, accoucher, baiser, accoucher, baiser, accoucher… Voilà quel était le programme depuis quelques temps pour la fameuse jeune femme… Qui faisait ça, encore et toujours, sans interruption… C’était le quotidien de la fameuse religieuse, qui sentait ainsi les coups dans son bassin était parfois transformée en ventouse pour lui retirer ce qu’on avait installée en elle. On sentait que c’était le plus important : elle était là une pondeuse, avant toute et toute chose. C’était son objectif numéro 1, et elle devait s’habituer au dit objectif, car sinon… Bah, elle allait être habitué de force, donc, il n’y avait pas vraiment de sinon, mais bon, vous m’aurez compris… Bref, elle était surtout là pour pondre, et si elle ne connaissait pas toutes les subtilités du systèmes de fécondations des forniens… Et bien, on pouvait quand même supposer que ce qu’elle faisait servait à queqlues choses…

Est-ce cela voulait dire qu’elle était dans une routine ? Pas du tout. S’il y avait en effet des éléments qui revenaient, et qui restaient relativement la même chose tout le temps, cela ne voulait pas dire que nous étions dans une routine, au contraire. Il y avait encore de nombreuses différences, dans ce qu’elle subissait. Parfois, les tentacules lui refusaient l’orgasme, chose qui avait le don de la mettre dans un état de profond manque, de profond besoin que cela continue… Cela ne durait pas forcément longtemps, étant donné qu’elle continuait de recevoir après du plaisir. C’était juste que parfois, elle avait des dizaines de minutes sans plaisir… Avant une explosion, et parfois plusieurs dizaines de minutes de jouissances, au contraire. Bref, il y avait des changements !

Tout cela sans compter le fait qu’elle était nourrie, fouëttée, nettoyée… Bref, tout un tas de changements qui modifiaient beaucoup la routine, vraiment. On ne pouvait pas s’ennuyer, car son esprit n’avait aucunement le temps de penser à autre choses… les rares moments de « calme », elle n’avait pas les forces de se concentrer pour tenter de penser à autre chose, tenter de résister… Bref, vous comprenez, elle était totalement à la mercie de ces tentacules, et franchement… Et bien, cela servait à rien de résister, donc, elle aurait honte autrefois de l’avouer… Mais elle en profitait. Personne ne la voyait ni la jugeait, et de toute façon, elle ne pouvait rien faire d’autres. Tout ce qui lui restait, et bien, c’était un peu en profiter, au moins…

Finalement, après un temps qui lui parut… Mystérieux, disons, vu qu’elle n’avait aucune idée du temps qui était passé, et bien, elle arriva pousser dans le mur. C’était… La fin, elle supposait. Elle rejoignait l’ensemble, et elle allait perdre toute individualité. Cela ne servait à rien de lutter, et même si elle voulait, franchement, elle n’avait ni la force ni l’envie de tenir. Tout ce qu’elle voulait… C’était finir une bonne fois pour toutes tout cela. Tout se fermait, et se remplissait de liquide, mais sa bouche, toujours pleine, allait lui permettre de respirer. Sans doute une sorte de stase, bref, sans doute que la fameuse Sarah c’était assez amusée d’elle, et ainsi, c’était la fin… Et tout devint noir.

Cependant, non. Ce n’était pas la fin. Elle ouvrit les yeux, et la lumière vint à elle… Elle était libre. De suite, elle bougea son bras… Ouah ce que ça fait bizarre ?! Elle avait l’impression d’avoir oublier comment faire pour bouger son bras ! C’était fou comme sensation. Bref, la fameuse jeune femme aux cheveux blanc s’installa accroupie sur le lit violet, dont elle effleura des bouts des doigts… Le tout était doux… Et c’est là qu’elle se rendit compte qu’elle n’était plus nue… Elle avait alors un vêtement, des collants et des longs gants qui couvraient alors ses jambes jusqu’aux genoux, et ses gants jusqu’aux coudes. C’était… Elle se trouvait franchement pas si laide ainsi, et elle était étonné qu’elle ait conservé un peu sa beauté malgré tout ce qui s’était passé… Mais bref, elle déclara :

« Mmh… Où suis-je… ? »

Elle était perdue. Son esprit était fracturé, endommagé, et ses souvenirs se mêlaient dans sa tête. Elle se souvenait de beaucoup, vraiment beaucoup de choses, mais le tout n’avait pas forcément de logique ou de lien entre eux… Un peu comme un patchwork, une mosaïque de mémoire, mais rien du tout de concret et de relié. Elle était un peu inquiète, elle avouait, et son premier reflexe fut de serré avec sa main sa croix. Un peu un soutien moral dans tout ce qui se passait, un moyen de se dire que tout allait bien se passer… Qu’est-ce qui allait se passer ? Cela, elle n’en savait rien, mais elle supposait que cela allait être éprouvant… Ou peut-être que cela allait faire plaisir ? Elle avait un peu peur, donc, elle regardait avec attention tout autour d’elle. Quelqu’un allait venir. Sans aucun doute.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 25 juin 2018, 00:50:41
Marie n’eut qu’à attendre quelques minutes avant que quelqu’un ne vienne la voir. Malgré tout ce qu’elle avait vécu, cette tornade sexuelle qui avait duré plus d’une semaine, et les multiples accouchements, son corps semblait parfaitement rétabli. Peut-être avait-elle quelques courbatures, mais tout cela était plutôt léger. Elle avait pourtant été baisée sans relâche pendant des heures, torturée sexuellement de manière continu pendant des jours... Et les traitements apportés sur son corps avaient permis de la soigner. Elle se sentait donc très bien, et entendit du bruit dans un mur. Celui-ci s’ouvrit brusquement en deux, et une délicieuse odeur sensuelle vint, en même temps que les claquements de talons d’une femme, qui entra dans la pièce.

« Oh, ma belle, tu es donc enfin réveillée ? »

Une voix chaude, sensuelle, des tentacules tournoyant autour d’elle. L’invitée portait, elle aussi, une combinaison noire moulante en latex. Toutefois, il ne se dégageait pas d’elle la même aura que sur les Cérébrates. Cette femme-ci se rapprocha du lit de Marie, et se présenta. Elle s’appelait Loana (http://img110.xooimage.com/files/6/6/f/loana-54b18de.png). Une magnifique peau basanée, avec des tentacules qui sortaient depuis son dos, et, plus précisément, depuis ses fesses. La femme aux longs cheveux lui fit un ravissant sourire, tout en caressant avec ses mains le visage de Marie.

« Je ne t’ai pas interrompu dans ta prière, au moins, ma chérie ? J’ai cru comprendre que tu étais une femme très pieuse... »

Après tout ce que Marie avait vécu, si elle avait été guérie, son corps était encore marqué par tout ce qu’elle avait subi. Loana se pencha vers elle, et l’embrassa tendrement. Un baiser délicieux, très différent du contact des tentacules, bien plus humide, mais aussi bien plus tendre.

« Tu as bien dormi, en tout cas... Mais je suppose que tu dois te sentir vide, non ? Ton ventre est vide, lui... »

La main de Loana caressa l’estomac de Marie. Elle n’était pas enceinte, et, avec les traitements qu’elle subissait, le fait de ne pas être enceinte devait très certainement commencer à provoquer un manque chez la jeune femme.

« Mais tu es une religieuse, non ? Alors, commence ta journée comme toute bonne sœur doit le faire... Fais ta prière ! »
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mardi 26 juin 2018, 21:17:50
La situation était extrêmement bizarre. Elle avait à la fois la pleine certitude de tout ce qui s’était passé, connaissant bien, et de l’autre côté, une impression qu’elle avait raté un train en route, et qu’elle ne savait plus ce qui s’était passé… Une sorte d’entre deux qui étaient extrêmement bizarre pour elle, elle allait bien l’avouer. Qu’est-ce qui se passait exactement ? Elle ne savait pas vraiment, mais elle se rendait bien compte qu’elle était complètement paumée. Mais complètement. Genre… Pllut. Enfin, elle se souvenait de tout ce qu’elle avait subit, elle n’était pas stupide non plus, il n’y avait pas d’inquiétude à avoir sur ses capacités intellectuelles… Mais quand même ! C’était… C’était étrange, voilà, il n’y avait pas d’autres mots. Bref, quoiqu’il en soit, une nouvelle arrivante décida d’arriver alors…

« Oh, ma belle, tu es donc enfin réveillée ? Je ne t’ai pas interrompu dans ta prière, au moins, ma chérie ? J’ai cru comprendre que tu étais une femme très pieuse... »

« Oh non… Enfin si ! Mais non vous ne m’avez pas dérangée. »


Elle disait non pour faire comprendre que son interlocutrice n’avait pas encore commencée ces prières… Faut dire, elle n’y avait même pas pensée, au tout début. Elle était un peu trop perdue. Mais ouais, elle devait y penser, quand même, c’était important. Dire que d’habitude, c’était l’une des premières choses qu’elle pensait en se levant… Mais bon, ces derniers jours, la situation avait un peu été modifié, on va pas le cacher… Donc, bon, aller, qu’est-ce qu’elle allait faire ? Elle regarda rapidement la femme : c’était une très belle femme à la peau basanée. Elle aurait pu la considérer comme une femme normale… Si celle-ci n’était pas dotée de ces fameuses tentacules, qu’elle trouvait chez trop de ces femmes ici… Et trop partout tout court ici. Faut dire des tentacules, t’en a des chiers partout.

« Tu as bien dormi, en tout cas... Mais je suppose que tu dois te sentir vide, non ? Ton ventre est vide, lui... »

« C’est vrai que ça fait bizarre. »


Elle avait bien dormie, en effet, mais c’est vrai que ça faisait bizarre après… Après… Elle ne savait pas combien de temps, mais beaucoup de temps à faire grossesse sur grossesse… Et bien, là, tout d’un coup, elle n’avait plus rien dans le bide. Donc, vous imaginez comment il y avait… Une sensation bizarre de… Vide. Ouais, c’est ça, de vide. Là, elle n’avait plus rien… Est-ce qu’elle voulait un nouveau Bébé dans son bide ? Elle avait un doute, en effet, elle se demandait si elle ne voulait pas que ça recommence… Sans doute que cela allait être… Bref, elle espérait que cela allait bien se passer… Peut-être que cette femme n’était pas trop méchante… Et qu’elle n’allait pas faire trop souffrir ? Elle écouta alors cette dernière qui déclara :

« Mais tu es une religieuse, non ? Alors, commence ta journée comme toute bonne sœur doit le faire... Fais ta prière ! »

« Tout… Tout à fait euh... »


Elle regarda rapidement son interlocutrice, et s’installa alors sur le bord du lit, à genoux. Elle prit sa croix entre ses mains… Cela faisait bizarre de faire une prière aussi peu habillée. D’habitude, disons qu’elle faisait en sorte d’être propre et habillée pour priée, car Priée Dieu, et bien, il fallait être présentable, disons… Et là, elle était propre, sur ce point, il n’y avait pas de soucis… Mais habillée… Et bien, elle était pas trop trop habillée. Mais bon, elle savait bien que cela ne servait pas à grand-chose qu’elle commence à espérer avoir des vêtements. Elle savait bien comment ça marchait maintenant, donc… Elle allait devoir priée nue. Ce n’était pas si grave… Après ce qui s’était passé, et bien, Dieu allait bien lui pardonner de juste être fortement nue, car elle n’avait plus de vêtements sur le dos… Bref, elle commença.

« Seigneur, dans le silence de ce jour naissant, je vais te demander la paix, la sagesse, la force, je veux regarder aujourd’hui le... Le... ah... Zut... »

Pourtant, elle connaissait cette prière de Saint-François par coeur ! Mais là, elle avait du mal à se concentrer dessus… C’était… On sentait qu’elle réfléchissait, qu’elle cherchait ses mots… Mais elle avait du mal. Faut dire pas mal de choses lui était passé dessus, et donc, c’était parfois un peu pas évident de bien se souvenir de tout. Donc, elle avait du mal à se rappeler de toute la prière… Pourtant, comme on peut voir, le début c’était très bien passé ! Mais cela plantait à un endroit, fallait croire que son cerveau avait été marqué par ce qui s’était passé… Peut-être que pour ajouter des trucs dans le dossier « sexe » qui était très vide, il avait du, le cerveau, supprimer quelques prières dans le dossier religion, qui lui par contre, représentaient une bonne partie du disque dur ? Ouais, je compare le cerveau à un ordi, et en pleine connaissance de cause. Si tu peux, Marie, prie pour moi.

« Revêts-moi de ta beauté, Seigneur, et qu’au long de ce jour je te révèle. Amen. »

Elle décida d’abréger et de dire seulement la fin. Elle connaissait encore parfaitement la fin, et c’était une bonne chose car c’était le plus important. Mais cela ne voulait pas dire que c’était fini. Maintenant, il y avait un long moment, très long moment, à s’installer, prier, prier longuement justement pour se demander si Dieu était encore là pour elle. Si Dieu l’aimait encore. Elle espérait, elle avait vraiment l’espoir que l’amour de Dieu soit infini… Car c’était de cet amour dont elle avait le plus besoin, le seul amour même dont elle avait besoin. Car après tout, l’amour corrompu que donnait ses femmes par le sexe… S’il était plaisant au premier abord, elle devait se souvenir que ce n’était pas le vrai amour, et le vrai amour, c’était celui qui justement, était digne de Dieu. Donc, elle priait, priait, et encore priait…
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 02 juillet 2018, 00:56:19
Loana était indéniablement plus douce et plus sympathique que les Filles de Kerrigan. Pour autant, Marie devait très certainement savoir à quoi s’attendre ici. Et, si elle avait encore des doutes, ses gants et ses collants en latex auraient dû achever de la convaincre qu’elle n’était pas avec une femme qui chercherait à préserver sa chasteté… Sans compter les tentacules qui tournoyaient autour de Loana, ou le fait qu’elle ait parlé d’emblée d’un bébé. Cependant, il n’était pas dans la volonté de la Reine d’annihiler totalement l’esprit de Marie. Après tout, la Reine avait eu mille occasions de lui retirer sa croix, mais Marie l’avait toujours. Loana ne doutait absolument pas des intentions de sa Maîtresse, mais était juste intriguée… Et assez amusée. Loana avait pleinement adhéré à la vie ici, à la Fourmilière, mais elle se rappelait encore de l’époque d’avant, du monde de Terra, de l’Ordre Immaculé, et du pois de la religion.

Marie se mit donc devant le lit, à genoux, et Loana se tint à côté d’elle. Les tentacules autour d’elle commençaient à s’agiter, mais elle leur intima silencieusement de se calmer, et sentit le symbiote niché dans son fondement se tortiller sur place, le tentacule planté en elle lui arrachant un soupir. Marie n’en nota toutefois rien, et récita sa prière… Ou, plutôt, uniquement le début et la fin, oubliant le milieu, ce qui fit glousser Loana. Celle-ci s’était assise sur le lit de Marie, jambes croisées.

« Eh bien, ma pauvre, tu perds la mémoire ? Tu dois vraiment être une mauvaise nonne, pour oublier aussi vite tes sermons. Je croyais pourtant que vous récitiez des prières tous les matins et tous les soirs… »

Elle ricana encore, se moquant de Marie. La pauvre petite religieuse en perdait son latin, et les tentacules autour de Loana continuèrent à s’agiter.

« Hmmm… Je ne te l’ai pas présenté, non ? C’est un symbiote formien… Il s’est collé à moi, mais je crois que tu lui plais beaucoup… »

Difficile de dire si Marie avait cru, à la base, que son corps ne serait plus utilisé, mais, si c’était le cas, elle se trompait alors lourdement. Loana se releva alors, dominant Marie de sa hauteur, et les tentacules jaillirent de son dos, venant attaquer la religieuse. Marie eut beau se débattre, deux tentacules s’enroulèrent sur ses poignets, et deux autres sur ses chevilles, venant la maintenir à mi-hauteur. Loana se rapprocha ensuite d’elle, ne tenant nullement compte de ses éventuelles protestations ou remarques. Le symbiote venait de continuer à pousser sur le corps de son hôte, et enfonça une nouvelle verge dans son vagin, formant une sorte de ceinture symbiotique à hauteur du bassin de la femme.

Loana soupira doucement, avant qu’une verge ne jaillisse d’entre ses cuisses.

« Ce symbiote me pénètre continuellement, Marie, tu sais, c’est… C’est si agréable ! C’est une preuve d’amour, que je vais m’empresser de partager avec toi. »

Elle parlait d’une voix sensuelle et chaude, provocatrice, et s’approcha encore, sa queue venant caresser les lèvres intimes de la femme. Elle crispa alors ses doigts sur le bassin de Marie, soupirant longuement.

« Oh, désolée, j’aurais bien aimé discuter un peu avec toi, ma chérie, mais… Tu l’excites tellement, ma belle… »

Et, sur ce, Loana s’empressa de la pénétrer, fourrant la verge symbiotique en elle, qui était une sorte de long tentacule, qui se mit à remuer et à se durcir, venant s’enfoncer dans le corps de la femme. Une nouvelle union venait désormais de commencer pour Marie !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 04 juillet 2018, 09:53:37
« Eh bien, ma pauvre, tu perds la mémoire ? Tu dois vraiment être une mauvaise nonne, pour oublier aussi vite tes sermons. Je croyais pourtant que vous récitiez des prières tous les matins et tous les soirs… »

La honte, la colère, la frustration de pas réussir à s’en souvenir… C’était magnifique de frustration ! Si Sarah avait voulu être gentille, elle aurait fait complètement oubliée sa vie de religieuse, ou bien, elle l’aurait laissé intact. L’un ou l’autre quoi ? Dans le second cas, elle avait toujours cet ancre pour survivre… Dans le premier cas, elle n’y penserait plus, et pourrait vivre sa nouvelle vie. Mais non, maintenant, elle était dans un cas assez unique. Elle se rappelait un peu de tout ça, de sa religion, de sa foi, de ces croyances et espérances… Mais malheureusement pour elle… Et bien, ce n’était pas du tout comme ça que ça marchait. Elle se rappelait qu’une partie de sa vie de religieuse, elle avait des trous, ce qui expliqua pourquoi elle n’arriva pas à finir sa phrase, sa prière… Et qu’elle ne pouvait qu’être frustrée de son manque, un peu comme une fille qui n’arrive pas à jouir, vous voyez un peu le topos ?

« Hmmm… Je ne te l’ai pas présenté, non ? C’est un symbiote formien… Il s’est collé à moi, mais je crois que tu lui plais beaucoup… »

Encore un nouveau monstre qu’elle pouvait rajouter dans la liste de tout ce qu’elle voyait, depuis qu’elle avait été capturée. Elle avait trouvée… Combien de monstre à tentacules ? Elle ne savait même plus. Tant de créatures différentes, c’était un peu comme une collection absolument infame de ce qui était pire dans le monde, des créatures qui étaient là que pour apporter malheur et désespoir pour cette fameuse femme. Elle avait été pénétrée, capturée, prise, violée, forcée à accoucher… Elle était parfois rester une petite dizaine de minutes au prise avec l’un d’entre eux. Parfois, cela avait duré des semaines… Peut-être des mois, elle ne savait pas… Bref, tout cela était absolument horrible, n’est-ce pas ? On ne pouvait pas apprécier cela, on ne pouvait pas être heureux avec ça… Mais…

Mais… Mais elle ne trouvait pas ça horrible. Enfin non, pire. Elle ne trouvait plus ça horrible. Elle regardait le symbiote avec curiosité, et, elle n’oserait pas l’avouer d’elle-même… Mais un peu d’envie.. Non, beaucoup d’envie. Non, énormément envie. Ouais, elle devait avouer, l’idée que ce symbiote, là, commence à la prendre… C’était… Incroyable… Et l’idée qu’elle soit plu par le symbiote… Ouais, l’idée lui plaisait. Pendant une demi-seconde, la langue passa sur les lèvres de notre fameuse jeune femme, jeune religieuse, qui, elle s’horrifierait elle-même, si elle y pensait vraiment… Mais elle avait envie d’en savoir plus. Et elle avait de la chance, son interlocutrice, avait plus à lui dire… Et ainsi !

« Ce symbiote me pénètre continuellement, Marie, tu sais, c’est… C’est si agréable ! C’est une preuve d’amour, que je vais m’empresser de partager avec toi. Oh, désolée, j’aurais bien aimé discuter un peu avec toi, ma chérie, mais… Tu l’excites tellement, ma belle… »

« Fai… Faites ce que vous vou... »

Elle tentait de faire croire qu’elle était toujours contre, qu’elle ne voulait pas et qu’elle refusait l’idée même de se faire baiser… Mais comme dit précédemment… Elle voulait, elle aimait l’idée… Donc, c’est pour cela qu’elle n’arriva même pas à finir sa phrase. Pour une fois, ce ne fut pas fermée car elle avait été baisée par surprise, et n’avait pas pu finir… Non, elle n’arriva même pas à se contrôler, et dire ce qu’elle voulait dire… Non, c’était bien pire que ça ! Elle pensait, elle réfléchissait, et se disait « quel déchéance ». Penser qu’elle était tombée aussi bas… C’était aussi pitoyable que terrible pour une religieuse… Elle pourrait se punir, se flageller après… Mais pour le moment, et bien, la fameuse religieuse qui autrefois avait fait de la chasteté son crédo, n’avait qu’une seule et unique chose à dire et faire :

« Haaaaan ! Han oui ! »

Prendre son pied ! Et ouais, elle se faisait pénétrée… Est-ce qu’elle allait finir encore une fois prise, enceinte, par tout cela ? Franchement, elle s’en fichait. D’habitude, la jeune religieuse avait toujours été concentrée sur le passé, sur le passé glorieux de l’Église, le Christ, etc. Depuis qu’elle était captive, elle s’était concentrée sur le futur, imaginant ce qui allait lui arriver, et surtout, sur comment elle pourrait s’en sortir. Et depuis sa captivité pendant plusieurs jours, semaines, mois, elle ne savait plus… Et bien, elle était ENFIN concentrée sur quelques choses… Sur le présent. Elle était enfin en vie, sur le présent ; sur ce qui était entrain de lui arriver… Maintenant qu’elle mettait de côté le passé, qu’elle mettait de côté le futur… Et bien, elle pouvait enfin ressentir le plaisir qu’elle s’était tant interdite.

« Si délicieux... »

Elle participait à ce qui lui arrivait, elle jouait avec ses mains, pressaient les seins de la femme qui était avec elle, se calinait, caressait les fesses… Et embrassaient la femme. Bon sang, elle finirait pas aller en enfer… Mais tant pis, cela valait le coup. Cela lui vaudrait une éternité en enfer, ce qu’elle faisait, mais là, elle pensait ouvertement une chose : Et bien, une nuit -si on était la nuit enfaite, elle avait strictement aucune idée de l’heure qu’il était- comme celle-ci, et bien, cela valait énormément, et cela valait bien une éternité en enfer. Elle pouvait accepter de finir en enfer, tant qu’elle pouvait en profiter… Tant qu’elle pouvait être autant heureuse qu’aujourd’hui. Tout irait bien, elle était heureuse. Elle était heureuse maintenant. Elle avait ses mains, son corps, son âme emprise au péché.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 09 juillet 2018, 07:28:20
Pour être entièrement honnête, Loana s’était attendue à un minimum de résistance de la part de Marie. Elle s’était attendue à ce que la jeune femme conteste cette nouvelle scène de sexe forcé, qu’elle se rebiffe, qu’elle proteste... Mais le traitement de sa Reine avait déjà commencé à faire bien effet. Tandis que Loana avait présenté le symbiote, et que celui-ci s’était rapproché de Marie, la religieuse, au lieu de sentir de la peur, avait au contraire ressenti une forte attirance. Après tout, en étant baisée sans relâche, elle avait eu un aperçu du Paradis, en étant plongée dans du bonheur à l’état brut, sous l’effet d’infatigables tentacules qui n’avaient eu de cesse de la bourrer sauvagement et longuement. Elle était ainsi prisonnière des tentacules, et... Et le rodéo sexuel put reprendre.

Loana, de son côté, si, elle ne pilotait pas directement le symbiote, ressentait toutefois le plaisir de ce dernier. Son symbiote et elle partageaient après tout une magnifique symbiose, et elle sourit donc en sentant le plaisir vif du symbiote quand il s’enfonça dans les trous de la femme, labourant son vagin, puis son fondement. Les tentacules retenant les poignets de Marie la tirèrent alors, et la jeune religieuse passa d’une position couchée à une position debout, son corps s’enroulant autour de celui de Loana, qui posa ses mains sur elle, maintenant Marie contre son corps, et s’empressa de l’embrasser langoureusement.

« Hmmmm... !! »

La belle Formienne plaqua sa bouche contre la sienne, et posa sa main sur sa nuque, serrant ses cheveux, son autre main s’appuyant sur le fessier de la religieuse. De cette manière, Loana continua à la pénétrer au plus près. Oui, même si ce n’était pas, techniquement, elle qui la pénétrait, elle agissait comme si. Elle aussi avait des verges plantées dans ses orifices, et sentit Marie répondre sans hésitation à son baiser, les mains de la religieuse, gagnant du lest, venant caresser son corps. Elle pressa les fesses de Loana, mais surtout le tentacule, sentant contre ses doigts cette masse visqueuse et collante. Dire que Loana portait cela tout le temps, continuellement... Si Marie aurait pu en être horrifiée, sa transformation en Formienne devait probablement l’amener à considérer maintenant les choses différemment.

Prolongeant le baiser, Loana se déplaça encore, et les deux femmes s’allongèrent sur le lit de Marie. Là, la porteuse du symbiote déplaça ses mains, et pinça les seins de Marie, les malaxant, tout en remuant d’avant en arrière, gémissant encore. Elle mouillait beaucoup, mais, de cela, Marie ne devait rien voir, car le symbiote absorbait tout. Comme une sorte d’éponge, il ne laissait rien passer, et, plus il se nourrissait de la cyprine des deux femmes, et plus il devenait vorace. Les tentacules phalliques enflaient en conséquence, et le rythme s’accroissait.

« Oui, Marie, ouiiii, hmmm... !! Sens comme c’est bon, haaaa... !! Ce bonheur exquis, perpétuel... Qui refuserait une telle joie, un tel plaisir constant, haaaa... !! »

Droguée par le plaisir, anesthésiée par le sexe... C’était le plus terrible des poisons, car il mettait en faillite le système immunitaire et l’organisme. Votre propre corps vous trahissait face à ce bonheur immense, vous rappelant ainsi que, malgré tout ce que la religion cherchait à enseigner sur la supériorité de l’esprit, le corps restait une base faisant de vous un animal. Marie avait cru pouvoir lutter, mais, en entraînant son esprit au détriment de son corps, sa propre nature s’était rappelée à elle sous la plus intense des manières.

Son corps appartenait à Kerrigan, et il en serait de même pour son esprit... Si ce n’est déjà le cas !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mardi 10 juillet 2018, 21:21:44
Marie n’avait pas résisté, elle avait absolument cédé, c’était quand même terrible… Elle avait été une bien faible religieuse. Peut-être que d’autres auraient mieux résistés ? Peut-être que d’autres avaient dis « Non » !  Et auraient continués à lutter ! Oui, sans aucun doute. Mais pas Marie. Elle continuait de comprendre que c’était mauvais, qu’elle ne devait pas approuver… Mais malheureusement, ce n’est pas comme ça que ça marche. Si cela marchait comme ça, cela serait parfait, tout le monde résisterait… Mais non, Marie était esclave de son corps. Son esprit résistait encore un peu, mais était malheureusement esclave de sa chair, et devait bien obéir… Donc, elle était ainsi prise, et acceptait d’être prise.

« Hmmmm... !! »

C’était à la fois horrible et merveilleux… Plus le temps passait, plus le plaisir augmentait. Plus le plaisir augmentait, plus les sécrétions naturels augmentaient. Elle avait de la cyprine qui coulait… Mais rien ne sortait. Car on sentait qu’il y en avait un bien vorace. Pire qu’Obélix dans un congrès de sanglier, et bien, le fameux plaisir était une source de puissance pour le fameux symbiote, qui en profitait, et qui avait de plus en plus de force, de vigueur… Mais vous comprenez où cela devient redoutable ? Et bien, plus il devenait vigoureux, plus il continuait, il devenait encore plus terrible… Et donnait encore plus de plaisir. Bref, les deux femmes étaient ainsi dans ce terrible cercle vicieux, qui était absolument parfait… Donc...

« Oui, Marie, ouiiii, hmmm... !! Sens comme c’est bon, haaaa... !! Ce bonheur exquis, perpétuel... Qui refuserait une telle joie, un tel plaisir constant, haaaa... !! »

Elle. Elle normalement. Elle aurait du résister, empêcher cela… Mais non, non, elle ne pouvait pas refuser, elle voulait, elle voulait vivre cela. Elle avait compris, elle ne serait plus jamais libre. Oh bien sur, elle pourrait etre libérée, mais… Mais elle ne pourrait jamais oublier ce qui s’était passé. Elle était captive de ce qui lui était arrivée, et elle n’oublierait jamais ce plaisir… Et le soucis ? Et bien, sans les Formiens, comment Marie pourrait connaître un tel plaisir ? Ce n’était pas avec des hommes normaux qu’elle arriverait à combler ce manque… Bref, elle était maintenant une membre de la ruche. Peut-être ne l’avait-elle pas encore compris, mais voilà, maintenant, elle faisait parti de l’ensemble… Dans le sens où si elle tentait de partir, elle n’y arriverait pas. Mais vraiment, elle n’arriverait pas à se libérer de cela… Donc…

« Oh Dieu ! »

OUAH CE BLASPHEME ! Vous ne rêvez pas, elle parlait vraiment de Dieu ! Et ouais, elle avait oubliée des prières, elle avait oublié des détails, mais elle savait bien qu’elle était une religieuse, et elle se rappelait de son Dieu. Et… Et elle savait que Dieu n’approuverait pas. C’était pire que Sodome et Gomorrhe… Mais maintenant, elle comprenait pourquoi les pécheurs de Sodome et Gomorrhe n’avait jamais réussi à se libérer du péché. Au début, elle pensait que c’était facile… Mais on pense que c’est facile quand on a pas encore connu ce qu’est le péché. Maintenant qu’elle sait… ce que cela est vraiment… Et bien, elle comprenait que les pécheurs étaient piégés, et que se libérer était quasi impossible.

« Dieu pardonne moi, toi qui pardonne aux pécheur, mais… C’est si bon ! »

Elle se serra le plus possible, elle voulait absolument être totalement serrée avec son interlocutrice, un peu comme si les deux étaient les plus piégées possibles, qu’elles étaient presque attachée l’une à l’autre, et qu’elles ne connaissaient que le plaisir… Bref, elle était avec son interlocutrice, et elle ne voulait plus la lâcher. Les seins se collaient, les bouches se croisèrent… Elle embrassait son interlocutrice, faisait que les deux étaient serrés aux possibles… D’ailleurs, le symbiote semblait presque le comprendre, serrant et assemblant les deux femmes. On pourrait presque prendre un sac de latex, un cocon, et les deux femmes seraient ensemble, reliées et assemblée exactement le plus serrée possible… Et cette notion de dualité, le fait qu’elle était avec son interlocutrice, et bien, Marie le fit remarquer en déclarant :

« Haaaaan ! Nous ne sommes que deux pécheresses ! »

Elle arriva à jouir, alors, alors qu’elle déclara ça, et qu’elle était dans un état de béatitude. Un peu comme la Sainte Thérèse du Bernin. Non sérieusement, regardez cette magnifique statue du plus grand sculpteur baroque, et peut-être le plus grand sculpteur que la Terre a connu… Et osez me dire qu’il n’a pas pris inspiration d’une femme ayant un orgasme pour le faire ? Car là, sérieusement, on pouvait bien le dire… Entre Sainte Thérèse et Marie, il n’y avait qu’un pas, la raison de la jouissance. Marie était heureuse, et franchement, elle commençait à vraiment se faire corrompre. Finalement, cela n’avait pas été si dure… Mal préparée, trop faible face au plaisir, car ce dernier ayant toujours été retenu, et bien, elle ne pouvait que sombrer, quand celui-ci s’est libéré, n’ayant pas de quoi ce défendre…
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 16 juillet 2018, 00:54:33
Loana s’amusait beaucoup avec la jeune Marie, et elle comprenait mieux pourquoi sa Maîtresse tenait tant à elle. Elle la prenait donc, et le corps de Marie se serra contre le sien. La main de Loana s’appuya sur ses cheveux, et elle l’embrassa énergiquement, sentant les jambes de Marie se serrer autour de son corps, sa main s’appuyant sur ses cheveux. Les deux femmes s’embrassèrent énergiquement, et le symbiote se mit à croître lentement. Un tentacule remonta pour s’enrouler autour de la taille de Marie, avant de filer dans le dos de Loana, puis serra fortement. Son ventre se colla ainsi contre le sien, et Loana soupira doucement, clignant des yeux au contact du corps de la femme, qu’elle continuait à bourrer avec son symbiote. Dans un hurlement, Marie avoua qu’elles étaient toutes les deux des pécheresses.

« Hmmmm... Petite pute !! » gémit Loana en sentant l’orgasme la traverser.

Le symbiote jouit généreusement, et elle-même eut un orgasme foudroyant, qui la fit trembler de part en part. Elle se détendit ensuite progressivement. Le symbiote venait d’engrosser Marie, et il se rétracta, les tentacules dégrossissant doucement, jusqu’à prendre une taille plus résiduelle dans le corps de Loana, mais conservant tout de même en elle les vibromasseurs. Elle esquissa donc un nouveau sourire à l’intention de la jeune femme, tandis que Marie reposait ses jambes sur le sol. Les bras de Loana la maintenaient toutefois encore contre elle, et elle l’embrassa sur le front.

Un léger sourire sur les lèvres, la Formienne se mit ensuite à parler :

« Moi, j’accepte pleinement ce que je suis, Marie... C’est toi la religieuse, ma chérie, c’est toi qui as passé des serments. Tant que tu porteras encore ta croix, tu seras toujours une plus grande pécheresse que moi. »

Ses douces mains se déplacèrent encore, et elle les posa sur les fesses de Marie, pressant tendrement son délicieux cul, le malaxant généreusement.

« Tu as moins mal, maintenant, n’est-ce pas ? Ton corps va s’habituer à vivre dans le péché de manière permanente... Car c’est bien ce que ta religion t’enseigne, n’est-ce pas ? Que le sexe est une forme de péché ? Pourtant, il est si bon de vivre dans le péché, ma chérie... »

Loana se moquait doucement d’elle, opposant ses convictions à la réalité de ce que la jeune femme ressentait en ce moment.

Et il allait être encore plus difficile pour Marie, au fur et à mesure que les jours s’écouleraient, de résister davantage...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 18 juillet 2018, 21:39:05
Le symbiote continuait son travail, et le continuait bien, étant donné que la fameuse religieuse était bien prise depuis un moment. Bien serrée contre son interlocutrice, le fait d’être sein contre sein, peau contre peau… Cela augmentait encore plus son excitation. Cela rendait encore plus plaisant ce qui se passait, et on va pas le cacher, elle adorait encore plus la situation quand elle était comme ça. Beaucoup mieux que simplement une pénétration solitaire avec tentacules… Et ouais, tout est plus plaisant quand on le fait avec des amies ! Bien que son interlocutrice ne pouvait pas encore être catégorisée véritablement comme une amie… Mais passons sur ce point, restons ouvert ! Quoiqu’il en soit, la pénétration fonctionnait bien, étant donné qu’elle arriva finalement à la jouissance, avant même que Loana ait à parler...

« Hmmmm... Petite pute !! »

Oui ! Oui elle l’était ! Non pire. Enfaite, elle n’était pas une pute. Elle n’avait pas conscience qu’elle était bien pire qu’une pute. Elle était une grosse salope. Bah oui, une pute, elle ne prend pas forcément plaisir à ce qu’elle fait, elle baise car elle doit baiser, mais il n’y a pas forcément de plaisir. Le sexe pour elle est son travail, et c’est tout… Ainsi dans les fait, qu’était-notre fameuse religieuse ? Et bien, elle était une salope. Une énorme salope… Et ouais… Bref, quoiqu’il en soit, après avoir jouie, et bien, la religieuse devina ce qui s’était passée du côté du symbiote… Elle était de nouveau enceinte… Ainsi, la partie de jambe en l’air était maintenant finie… Donc, elles allaient pouvoir parler, comme ce qu’au début son interlocutrice avait voulu faire, avant que le symbiote décide de meler son nez aux affaires.

« Moi, j’accepte pleinement ce que je suis, Marie... C’est toi la religieuse, ma chérie, c’est toi qui as passé des serments. Tant que tu porteras encore ta croix, tu seras toujours une plus grande pécheresse que moi. »

Totalement. Marie savait bien cela. Elle avait fait vœu de chasteté. Alors, c’était un vœu non officiel, étant donné qu’elle n’était pas dans les ordres, elle portait cette tenue plus par sou… Ah oui, elle avait porté cette tenue. Car cela faisait un moment qu’elle n’avait plus portée la tenue de religieuse. Faut le préciser, car bon… La jeune demoiselle ne savait même pas depuis combien de temps elle était là. Si elle était en prison, au moins, elle aurait pu garder le compte des jours… Mais maintenant… Et bien, elle ne savait plus. Elle était perdue. Donc, elle n’avait plus qu’une chose à faire, et bien, faire des estimations… Chose impossible aussi, étant donné qu’elle n’avait ni soleil ni lune ici. Rien de tout ça. Elle était perdue, et peut-être étaient-elle là depuis des mois ? Cela ne faisait pas une année, ça c’est sûr. Mais des mois ? Possible… Bien possible…

« Tu as moins mal, maintenant, n’est-ce pas ? Ton corps va s’habituer à vivre dans le péché de manière permanente... Car c’est bien ce que ta religion t’enseigne, n’est-ce pas ? Que le sexe est une forme de péché ? Pourtant, il est si bon de vivre dans le péché, ma chérie... »

« Ferme ta gueule. »


QUEWAAAAA ?! C’est Marie qui vient de dire ça ? Et ouais, c’est Marie. Elle venait d’insulter son interlocutrice… Un truc qu’elle n’aurait jamais fais avant. Mais souvenez vous avec Elvennya… Elle s’était permis de l’insulter et de la prendre violemment… Et ouais, ce qui s’était passée, et bien… Cela avait jouée dans le fait qu’elle se lachait plus. Mais comment faisait-elle pour s’assurer que son interlocutrice ferme bien sa gueule ? Et bien… Elle l’embrassa ! Wha ! Elle avait bien commencé son changement. Mais en même temps, elle n’avait pas tord, étant donné qu’elle avait décidé d’embrasser de son plein gré, et si on voulait faire fermer sa gueule à cette femme… Et bien, c’était l’une des techniques les plus efficaces… Bref, quoiqu’il en soit, finalement, Marie rompu le baiser, et commença à déclarer…

« Voilà, c’est mieux. Oui, c’est un péché, un péché grave. Et je suis sûr que vous avez été humaine avant de… Devenir… ça... »

Et ouais… Après tout, cette femme avait tout d’une humaine… Donc, en toute logique, c’était une humaine à l’origine. Alors, évidemment, la question à dix millions… C’était donc ça ce qui attendait les femmes captives de Sarah ? Sans doute… Cela, ou bien, elles finissaient dans les cocons, et ne sortaient pas… Ou peut-être les deux ? Peut-être que tantôt elles avaient des moments de liberté, tantôt des moments où elles ne faisaient que rester dans ces terribles cocons ? Elle ne savait pas, mais les deux réponses étaient presque aussi terrible l’une de l’autre… Donc, dans un sens, elle n’avait pas spécialement envie de savoir ce qui allait être la réponse… Donc, finalement, elle préféra partir dans un autre sujet… Sujet tout aussi intéressant, et auquel elle voulait une réponse depuis un long moment… Ainsi, elle déclara :

« Vous êtes quoi ? Des démons ? Vous pouvez me dire tout, je suis votre prisonnière, et mon âme est damnée maintenant. Vous avez gagné. »

Elle montra qu’elle avait bien conscience qu’elle avait perdue. Elle montra ainsi qu’elle ne comptait pas tenter de s’échapper. De toute façon, comment elle pourrait avoir la moindre chance de s’échapper ? Elle était piégée, captive, et elle ne savait même pas où elle était à chaque fois. Elle s’installa sur le lit où elle s’était réveillée, et elle attendit. Elle attendit des réponses. Peut-être que si elle savait plus sur sa situation, celle-ci deviendrait moins… Horrible disons ? C’était que des suppositions étant donné que bah… Cela restait une situation terrible, situation qu’elle ne voulait pas vivre du tout. Bref, quoiqu’il en soit, elle était toujours sur sa théorie des démons… C’était à son sens le plus probable, donc… Et bien, elle allait se reposer grandement sur cette théorie. Est-ce qu’elle se vérifierait ? Et bien, on allait bien voir… Maintenant, il fallait attendre une réponse de son interlocutrice.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 22 juillet 2018, 23:06:57
Ce fut au tour de Marie de surprendre Loana, car, après leur séance de baise, Marie coupa court aux provocations de Loana en... En l’embrassant. Un tendre baiser, appuyé, son corps nu se collant au sien. Surprise par l’injonction familière de Marie, Loana sourit silencieusement en comprenant que la jeune religieuse était confuse, et posa ses mains sur ses hanches, répondant tendrement à son baiser. Oui, il n’y avait plus vraiment de résistance chez Marie, même plus une contestation officielle, ou une apparence de rébellion. Vaincue, la religieuse l’embrassa donc, et, après ça, confessa avoir commis un « péché grave », en disant à Loana qu’elle avait sûrement été humaine avant de devenir... « Ça ». Sourire amusé de Loana, qui ne confirma, ni n’infirma.

Marie lui demanda ensuite ce qu’elles étaient, et Loana réalisa alors que... Personne ne lui avait expliqué elle était ! Elle faillit même en rire, comprenant également que, en tant que simple Terrienne, Marie n’avait probablement jamais dû entendre parler des Formiens.

« Je vais t’expliquer, Marie... Mais notre Reine souhaite te voir, et a conçu une tenue spécialement pour toi ! »

Loana désigna alors le lit de Marie, sur lequel une tenue semblait avoir été déposée comme par magie. Une tenue... Très spéciale, mais qui était sans aucun doute la chose la plus humaine que Marie ait pu voir jusqu’à présent. Entre les tentacules, les cocons, les monstres, les murs vivants... Elle se demandait tout simplement si elle n’avait pas fini en Enfer ! Une naïveté touchante, tandis que Loana l’aida à enfiler sa tenue, faisant fi de ses éventuelles protestations. Il y avait une première couche en résille, sur ses jambes, mais aussi sur le reste de son corps, avec une seconde couche en cuir reliée à la première... Et une coiffe de nonne, avec de longues bottes à lacets que Loana attacha consciencieusement.

Une fois Marie habillée, sa chambre avait encore évolué, et avait pris une apparence.... Très humaine. Un miroir venait d’apparaître, et même les murs avaient pris une apparence plus connue.

« Voilà... Regarde-toi dans le miroir, observe ta tenue de travail plus adaptée pour la Fourmilière... »

Cette première révélation sur l’endroit où elle était allait sans doute être balayée quand Marie verrait sa nouvelle tenue de nonne (https://cdn.discordapp.com/attachments/236714217607004162/324298841144688640/fr555228-ungodly-woman-nun-halloween-costumes.png) ! Une tenue très réussie, mais aussi très provocante, qui épousait ses formes à la perfection. Loana en profita pour caresser ses hanches, se blottissant dans son dos.

« Regarde comme tu es belle, Marie ! Tu vois ? Si tu es sage et obéissante, ma pécheresse, notre Maîtresse te récompense. »

Les tentacules de Loana caressaient également les jambes de la jeune religieuse. La Formienne laissa encore la femme s’observer, avant de glisser sa main gantée dans le creux de la sienne, puis marcha vers une porte en bois, qui venait également de se former. Elle l’ouvrit, et les deux femmes plongèrent ensuite dans le décor plus habituel des lieux.

« Bon, alors... Tu n’es pas en Enfer, petit bout. Enfin, il arrive que nous capturions des démons, mais... Nous n’avons rien à voir avec les démons, ou avec les flammes. Tu es dans ce qu’on appelle la Forumilière. C’est une sorte de très grand astéroïde qui s’est écrasé sur la planète Terra il y a quelques années. Un astéroïde qui a apporté aux habitants de Terra leur salvation, à travers un peuple merveilleux, les Formiens ! Ce symbiote que tu vois sur moi est un Formien. Les murs sont des Formiens, et, dès lors que tu couches avec un Formien, ton corps est imprégné de leurs gènes, ce qui fait donc, de toi aussi, une Formienne ! »

Une espèce dont Marie n’avait sans doute jamais entendu parler, et, tandis que les deux femmes marchaient, quelque chose se mit à pousser dans le corps de la religieuse, à hauteur de son sexe. En jouissant en elle, le tentacule avait visiblement laissé un souvenir, qui était en train de croître en elle, prenant la forme d’un vibromasseur, retenu par son uniforme de nonne.

« Les Formiens sont une espèce bio-organique qui est bien plus vieille que tout ce que peux imaginer. Ils forment un gigantesque ensemble, un esprit collectif qui obéit aux ordres d’une entité supérieure omnipotente. Au sein de ce peuple, nous sommes tous égaux, tous unis, tous œuvrant pour un but qui nous dépasse et nous transcende. Finalement, c’est un peu ça, le concept de la religion, non ? »
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 25 juillet 2018, 22:46:46
Ce qu’elle avait fait, l’impressionnait elle-même. Mais dans cette situation, et bien, cela lui avait semblée la meilleure chose à faire, étant donné qu’elle n’avait absolument aucune idée de comment réagir dans ce genre de situation plus que… Etrange. Et puis, de toute façon… Que faire ? Elle ne pouvait pas s’enfuir, elle était coincée et piégée… Donc, peut-être quelle tentait de s’habituer à sa nouvelle vie. Cela faisait maintenant … ? Elle n’en n’avait aucune idée, mais cela faisait un moment qu’elle avait disparu. Même si elle revenait, bien, sans aucun doute que les gens seraient extrêmement surpris de la voir, car ils auraient acceptés sa mort… Donc en toute logique, elle n’avait plus rien à faire à part… Accepter. Accepter ce qui était arrivé, et écouté ce qu’elle pouvait apprendre.

« Je vais t’expliquer, Marie... Mais notre Reine souhaite te voir, et a conçu une tenue spécialement pour toi ! »

La reine voulait la voir ? Ouh lala… Mais elle n’avait pas le temps de penser à ça. En effet, elle se faisait habillée. Une nouvelle tenue.. elle ne pouvait pas voir exactement, mais elle sentait que cela était extrêmement moulant, donc, bien loin de ces anciennes tenues, qui au contraire, avaient été des tenues plus… Sobre, plus acceptable socialement parlant. Mais là, elle avait le droit à une tenue qu’elle devinait, allait être très aguicheuse, très… Sexuelle. Bon, c’était mieux qu’être nue, pensait-elle, donc, dans le fond, elle y gagnait au change. Son apparence n’était pas la seule à apparaître. En effet, elle commença à voir la salle se transformer et prendre une forme quasi… Humaine. Comme ce qu’aurait pu être sa chambre, si ses goûts avaient été différents… Quoiqu’il en soit, devant le mariage apparu, elle pu se voir et ainsi :

« Regarde comme tu es belle, Marie ! Tu vois ? Si tu es sage et obéissante, ma pécheresse, notre Maîtresse te récompense. »

« Je préfère ça à des punitions j’avoue… C’est une version… Corrompue de ce que je porte d’habitude, autrefois... »

Oui… Sa tenue n’était pas si loin de ce qu’elle avait tenue, on restait dans la thématique, mais elle avait été changée pour être plus sexuelle. Un peu comme tout ses jeux sexuelles où on pervertissait des choses, que cela soit des métiers, ou même parfois des animaux ! Bref, Marie bien entendu, ne connaissait ça que de TRES TRES loin, étant donné qu’elle n’était pas spécialement dans le BDSM ou dans le Role-Play… Mais quoiqu’il en soit, effectivement, elle comprenait le coup… C’était le jeu du miel et de la claque. Ou un truc du genre… Si elle était obéissante, elle n’aurait pas trop à souffrir… Donc, oui. Elle serait obéissante. Elle n’avait pas envie de souffrir, et maintenant, même si elle arriverait à s’enfuir… Elle finirait… Elle n’oserait même pas penser ce que dirait son pauvre père. Il succomberait d’une crise cardiaque…

« Bon, alors... Tu n’es pas en Enfer, petit bout. Enfin, il arrive que nous capturions des démons, mais... Nous n’avons rien à voir avec les démons, ou avec les flammes. Tu es dans ce qu’on appelle la Forumilière. C’est une sorte de très grand astéroïde qui s’est écrasé sur la planète Terra il y a quelques années. Un astéroïde qui a apporté aux habitants de Terra leur salvation, à travers un peuple merveilleux, les Formiens ! Ce symbiote que tu vois sur moi est un Formien. Les murs sont des Formiens, et, dès lors que tu couches avec un Formien, ton corps est imprégné de leurs gènes, ce qui fait donc, de toi aussi, une Formienne ! Les Formiens sont une espèce bio-organique qui est bien plus vieille que tout ce que peux imaginer. Ils forment un gigantesque ensemble, un esprit collectif qui obéit aux ordres d’une entité supérieure omnipotente. Au sein de ce peuple, nous sommes tous égaux, tous unis, tous œuvrant pour un but qui nous dépasse et nous transcende. Finalement, c’est un peu ça, le concept de la religion, non ? »

« C’est… C’est fourbe ce que vous faites alors que je tente de me concentrer… Bon… Bref... »

En effet, pour des raisons de compréhensions, j’ai décidé de réunir tout le paragraphes en un seul, mais il faut bien savoir qu’alors qu’elle expliquait tout cela… Et bien, il faut savoir qu’alors qu’elle parlait, alors qu’elles marchaient, sa tenue lui fit une petite surprise… Elle décida de s’inviter en elle, sans dire bonjour, et vibrer. Bien sûr, moins habituée que la plus part des autres formiennes, dont elle faisait partie, elle dut s’arrêter un moment, et offrit de magnifiquement gémissement, car bah… Elle ne s’y attendait pas… Jolie cadeau cette tenue… Bref, quoiqu’il en soit, elle tentait de bien se concentrer, et d’accepter ce qu’elle avait en elle, histoire de ne pas être trop destabilisée… Donc, elle déclara, pour répondre à ses révélations :

« Et Dieu ? »

Évidemment… Elle pensait à Dieu. Alors vous allez me dire « Ouah, elle est drôlement pas étonnée ! Pourtant, ce qui a été dit est vraiment incroyable... » Alors, deux choses, on a à faire de Marie, qui croyait déjà une entité divine omnipotente, et omnisciente… Donc, franchement, elle avait l’habitude de ce genre de truc. Mais surtout, oui, là, elle ne pouvait croire ce genre d’histoire. Fallait le vivre pour le croire et… Et bah oui, elle l’avait vécu ! Elle les croyait, car elle avait eu une… Expérience disons de tout cela en première main ! Donc, elle croyait car elle avait eu l’expérience, elle avait subit les assauts de ces « aliens » donc… Mais elle pensait avant tout à Dieu. Qui sait, elle pourrait peut-être les évengeliser ? Je sais que normalement, ça serait la dernière chose à laquelle on penserait… Mais on a affaire à Marie…

« Dieu vous a conçus aussi ? Ou… Ou vous avez aucune conscience de Jésus-Christ, notre sauveur ? Celui qui est mort pour racheter nos péchés ? »

Alors là, question intéressante. Marie avait énormément lu à travers la question de la Controverse de Valladolid, qu’est-ce qui arriverait si on découvrait une nouvelle terre. Le message de Dieu était universel, mais Marie savait bien, elle était pas stupide, que les Apôtres n’avaient pas pu voyager jusqu’en Amérique. Finalement, tous s’étaient mis d’accord pour expliquer que l’homme était un tout, une humanité, et donc, n’importe qui aurait accès au pardon du Sauveur chez les humains, même si les Apôtres pour des raisons humaines n’avaient pas réussi à les rejoindre. Mais voilà le soucis… Qu’en est-il des extraterrestre ? Et ouais, c’était une question problématique. Etaient-ils pardonné apr le Christ ? Etaient-ils des créations de Dieu ? Impossible de savoir. Quoiqu’il en soit…

« Par contre, euh… On dit planète « Terre ». Pas « Terra ». »

Rooooh tu chies dans la colle là, Marie ! Surtout que là, t’es japonaise, donc, cette différentiation, elle marche très certainement pas en Japonais ! Donc, cela fait un paradoxe linguistique qui est irrésoluble, créant un trou noir et détruisant toute l’humanité. Donc, on va dire qu’on a rien vu. Mais il faut bien comprendre que déjà cela voulait dire une chose : Marie n’avait pas conscience de l’existence de Terra ! Donc, l’elfe de tout à l’heure, elle n’avait pas captée que ce n’était pas une humaine. Et ouais, elle avait encore beaucoup à apprendre, et sans aucun doute, Dieu, la notion même du Dieu de la Chrétienté, elle allait prendre cher dans sa bouche… Car beaucoup de chose entrait en contradiction avec les Testaments, aussi bien l’Ancien que le Nouveau…
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le jeudi 02 août 2018, 10:27:57
« Dieu ? » s’étonna Loana.

Pensive, elle s’arrêta de marcher pendant quelques secondes, faisant mine de réfléchir. Dieu... Un concept qui, en réalité, n’était pas si étranger que ça aux Formiens, puisque ce peuple disposait effectivement d’une divinité. Mais elle y allait par étapes, s’amusant des tentatives de Marie de mener une discussion théologique ici, de se rattacher à ses croyances et à son dogme, alors qu’elle portait une tenue de nonne corrompue, et que ses trous étaient explorés par des vibromasseurs en latex générés par cette tenue.

Un sourire amusé éclaira donc les lèvres de Loana, qui s’empressa de lui répondre, non sans lui caresser tendrement au passage la joue, presque affectueusement :

« Parce que tu crois qu’il n’existe qu’une seule planète, petit ange ? Tu es vraiment mignonne, tu sais...  Mais passons. De quel Dieu est-ce que tu parles, dis-moi ? Le tien ? Celui du peuple juif qui ne reconnaît sien que les Juifs ? Le Dieu musulman, qui professe le jihad ? La religion humaine, ma chérie, n’a pour but d’unir les gens qu’autour d’elle-même en faisant de l’autre un ennemi absolu. Il en est ainsi, et il en sera toujours ainsi. L’Homme ne se développe qu’à travers la haine, le meurtre, la barbarie, et n’hésite pas, au nom de l’amour, à commettre les pires atrocités qui soit. Alors, ne me parle pas de ton Dieu, je ne le reconnais pas, et il n’existe pas. Mais il existe bien un Dieu, un être omnipotent, qui sommeille et vit en toute chose... »

Une définition qui semblait se rapprocher de la définition usuelle qu’on se faisait de Dieu. Loana recommença à marcher, et le duo longea une grande salle où de multiples bêtes étaient occupées à baiser de nombreuses pondeuses. Certaines hurlaient, mais beaucoup avaient des tentacules dans la bouche, ou des créatures étranges recouvrant leur visage (http://img110.xooimage.com/files/5/a/9/5-54d92c3.jpg), les empêchant de parler, tout en enfonçant en eux un tentacule phallique crachant des œufs dans leur ventre. Contre un mur put voir une femme se faire également prendre par un tentacule (http://img110.xooimage.com/files/c/3/c/hentai-01-54d92c5.jpg), le visage recouvert d’un masque à la texture formienne... Accompagnée par une dizaine d’autres femmes dans la même position. D’autres filles les surveillaient tandis que de gros tentacules phalliques venaient ensuite perforer leur anus, et que les murs se transformaient en des bouches venant se rapprocher du corps des pondeuses, comme pour les engloutir (http://img110.xooimage.com/files/9/c/8/hentai-02-54d92cb.jpg).

Le spectacle était aussi fascinant que morbide, et les corps des pondeuses étaient ensuite moulés dans une couche formienne (http://img110.xooimage.com/files/5/3/5/hentai-03-54d92cd.jpg), se débattant lentement, faiblement, avant qu’une seconde couche n’apparaisse ensuite, les faisant disparaître dans d’énormes œufs (http://img110.xooimage.com/files/a/4/f/hentai-04-54d92cf.jpg).

Marie pouvait ainsi voir en direct ce qui l’attendait, et, avec les tentacules en elle, Loana se demandait jusqu’à quel point la religieuse était bouleversée... Ou fascinée. Y voyant là une opportunité, Loana la saisit par la main, et rejoignit ce groupe.

« Notre Dieu est amour, Marie. Nous l’appelons... Overmind. Il veille sur nous, sur chacun de nous, et lui existe réellement. Il est l’esprit collectif de notre peuple, celui qui nous permet d’exister. Regarde... Ces filles sont des hérétiques, comme toi, des incroyantes. Regarde comment nous les convertissons. Pas de bûchers, pas de fouets, pas de procès inquisitoriaux, mais de l’amour, l’amour dans sa forme la plus brute, la plus pure... »

Elles s’approchaient d’une femme qui hurlait dans sa cagoule, un gros tentacule lui perforant le cul, tandis que la grosse bouche se rapprochait. Loana se glissa alors près de Marie, et la caressa intimement. De la même manière, les filles déguisées en lycéennes qui observaient la scène mouillaient également sur place.

« Vois, ma belle, susurra Loana en étant blottie dans son dos. C’est ça, l’amour, c’est ça, la foi... Des centaines, des milliers de personnes qui se transcendent pour une cause commune. Nous ne sommes pas plus effrayants et plus cruels que tes propres religieux, ma douce colombe, mais nous, notre foi offre une harmonie que tu ne trouveras nulle part ailleurs. Pas de solitude ici, ni de souffrance, mais une joie béate, un plaisir infini... »

Loana conclut ensuite :

« Tu n’es pas prisonnière, tu es... Une élue. »
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mardi 07 août 2018, 22:45:06
Alors… Il fallait savoir que l’entrée de Marie chez les Formiens, c’était acté, mais du côté de Marie, c’était encore fragile. On la sentait beaucoup plus récéptive qu’avant, qu’au début, quand elle avait été kidnappée… Et franchement, bon, je pense que cela ne va surprendre personne hein. Mais tout cela n’était que fragile, elle n’acceptait pas encore totalement sa nouvelle condition. Le sexe elle avait finit par l’accepter, mais elle avait encore des doutes sur les fonctions de pondeuses -bien qu’elle avait beaucoup aimée quand cela lui était arrivée… Hein sale coquine ? Bref, quoiqu’il en soit, elle avait encore des doutes, et surtout, elle se reposait encore entièrement sur sa vie antérieur, celle de suivante de Dieu. Le Dieu.

« Parce que tu crois qu’il n’existe qu’une seule planète, petit ange ? Tu es vraiment mignonne, tu sais...  Mais passons. De quel Dieu est-ce que tu parles, dis-moi ? Le tien ? Celui du peuple juif qui ne reconnaît sien que les Juifs ? Le Dieu musulman, qui professe le jihad ? La religion humaine, ma chérie, n’a pour but d’unir les gens qu’autour d’elle-même en faisant de l’autre un ennemi absolu. Il en est ainsi, et il en sera toujours ainsi. L’Homme ne se développe qu’à travers la haine, le meurtre, la barbarie, et n’hésite pas, au nom de l’amour, à commettre les pires atrocités qui soit. Alors, ne me parle pas de ton Dieu, je ne le reconnais pas, et il n’existe pas. Mais il existe bien un Dieu, un être omnipotent, qui sommeille et vit en toute chose... »

Dieu… C’est Dieu ! Les juifs, ils n’avaient juste pas reconnu le sauveur, mais leur Dieu était le même ! Allah, c’était un peu complexe… Elle ne connaissait pas bien le Coran, mais Jean-Paul II avait dit que leur dieu était similaire au notre ! Et donc, si le Pape l’a dit, alors, c’est que c’est vrai ! Et c’est faux en plus ce qu’elle dit ! Dieu est Amour ! Dieu n’est pas haine ! Oui, les humains faisaient de la haine une puissante force, et ils n’hésitaient pas à s’en servir. Il fallait que les gens qui ne croyaient pas en Dieu, mais y compris les gens qui croyaient en Dieu, arrête de l’utiliser pour justifier leur pourriture ! Les humains sont corrompus par le vice du péché originel ! Mais Dieu est là ! Dieu pardonne aux humains ! Mais malheureusement, Dieu, enfin le Dieu que devait vénérer maintenant notre chère Marie était bien différent de ce qu’elle croyait.

« Notre Dieu est amour, Marie. Nous l’appelons... Overmind. Il veille sur nous, sur chacun de nous, et lui existe réellement. Il est l’esprit collectif de notre peuple, celui qui nous permet d’exister. Regarde... Ces filles sont des hérétiques, comme toi, des incroyantes. Regarde comment nous les convertissons. Pas de bûchers, pas de fouets, pas de procès inquisitoriaux, mais de l’amour, l’amour dans sa forme la plus brute, la plus pure... Vois, ma belle, susurra Loana en étant blottie dans son dos. C’est ça, l’amour, c’est ça, la foi... Des centaines, des milliers de personnes qui se transcendent pour une cause commune. Nous ne sommes pas plus effrayants et plus cruels que tes propres religieux, ma douce colombe, mais nous, notre foi offre une harmonie que tu ne trouveras nulle part ailleurs. Pas de solitude ici, ni de souffrance, mais une joie béate, un plaisir infini... »

« Je… je... »


Elle se faisait caresser l’intimité… Et évidemment, bah, elle ressentait un grand plaisir, non négligeable quand cela lui arriva. Renforcé par le vibro qui occupait toujours son intimité justement… Mais… Mais devant un tel spectacle, elle… Elle ne voulait pas ressentir du plaisir ! Elle regardait les pauvres femmes former des œufs… Elle voyait enfin le processus qui permettait de faire ces œufs depuis le début, depuis qu’elle était là… Car ces œufs, elle les avait souvent vu. Elle avait aussi très vite et très bien compris qu’ils étaient peuplés de femmes… Mais maintenant, elle voyait le processus. Elle voyait ce qu’endurait les femmes pour finir ainsi… Et ainsi… C’était ça Dieu ? C’était ça le Dieu qu’elle avait tenté voulu vivre ? Et surtout, dans ce contexte, ce fut mainteant que son interlocutrice déclara !

« Tu n’es pas prisonnière, tu es... Une élue. »

« Non ! »


Elle serra alors vivement de sa main libre sa croix chrétienne. Elle n’allait pas être une élue de… De ça ? Cela voulait dire quoi ? Être une élue de ça ? Et ses filles, c’étaient des élus aussi ? Sérieusement ? Non, ce n’était pas possible ! Franchement, l’idée même de considérer des femmes comme des élus, c’était pas possible, ses femmes ne pouvaient pas être élus, et subir autant, cela ne serait pas humain ! Alors quoi… Elle était une élue, car justement, elle n’avait pas à subir cela ? Mais elle n’avait pas envie de subir cela, certes, mais elle avait pas envie que d’autres subissent cela, et qu’elle, l’élu, puisse admirer cela ! C’était assez ironique, car la Religion Chrétienne était une religion d’élu. Après tout, on disait bien que ceux qui seraient sauvés après le Jugement Dernier, étaient les élus !

« Non ! Dieu existe mais il ne peut pas laisser passer ça… Pas... »

Cette partie pouvait sembler cruelle… Mais elle était enfaite nécessaire. Elle était nécessaire pour notre jeune religieuse. Il fallait qu’elle comprenne qu’il n’y avait PAS de compromis avec son Dieu. Elle devait accepter que son Dieu, s’il acceptait, l’avait abandonné dans les mains d’une autre divinité, un petit peu un cadeau diplomatique, si vous voyez ce que je veux dire ! Pour le moment, Marie avait du mal à l’accepter, mais cela allait bien finir par passer ! Surtout que dès qu’elle commençait à avoir du plaisir, elle commençait à oublier un peu plus son Dieu… Mais pour le moment… Elle déclara, toujours confuse…

« Pas mon dieu… Pas celui qu’on m’a fait croire… Ce… Ce n’est pas possible… Non. Non je dois rester forte. Sarah… Enfin, elle m’expliquera. »

Elle se corrigea de suite. Elle voulait éviter de la familiarité avec Sarah… Et cela pour deux raisons. Bien entendus, pour ne montrer aucun attachement. Mais aussi… Car c’était un peu sa cheffe, sa maîtresse… Donc, elle n’avait pas le droit de l’appeler « Sarah » juste ! Et ouais, quand même… On sentait une pointe de respect, ce qui était assez drôle vu ce qu’elle avait dit juste avant ! Donc, elle baignait donc dans le plus totale flou, on sentait qu’elle était dans un moment clef,dans un moment où elle pouvait basculer d’un côté ou d’un autre. Celui de la rebelle à mater, ou celui de la Formienne parfaitement intégré. Quel choix elle allait faire ? Et bien, c’était complexe à dire, et dans la situation actuelle, on ne pouvait être sûre de rien. Sans doute que les prochains moments allaient être décisif.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le mercredi 08 août 2018, 17:55:08
Marie résistait, évidemment. Comment concilier ce qu’elle voyait avec sa conception de la religion, de la vie ? Confuse, elle alla même jusqu’à se montrer insolente, en appelant Kerrigan « Sarah ». Loana en fronça brièvement les sourcils, un peu contrariée par une telle familiarité. Elle allait d’ailleurs le lui signaler lorsque le mur remua à proximité, et une voix familière résonna dans la pièce :

« C’est parce que le message de la religion a été perverti par les hommes, Marie. »

Sarah Kerrigan venait d’entrer, et Loana s’agenouilla immédiatement, puis fronça les sourcils, en ordonnant à voix basse à Marie de faire pareil. Si la religieuse refusait d’obtempérer, des tentacules la contraindraient. Kerrigan n’était en effet pas n’importe qui, elle était l’Annexienne de cette Horde, leur Maîtresse, leur Reine absolue ! Elle était, pour reprendre la métaphore chrétienne, une apôtre de l’Overmind, et était d’ailleurs bien placée pour, à terme, prendre le contrôle de l’intégralité de la Fourmilière.

La Reine des Lames n’avait certes pas été physiquement présenté, mais elle avait assisté à l’entretien entre Loana et Marie. Le moment était venu pour elle d’intervenir, et elle ordonna aux deux femmes de se redresser. La Reine embrassa Loana, puis lui demanda de les laisser. La jeune pondeuse acquiesça avant que des tentacules ne jaillissent du mur pour la prendre par les poignets et par les chevilles. Les tentacules s’enroulèrent autour de son corps, puis de son ventre, et elle se retrouva plaquée contre le mur, où des tentacules phalliques vinrent s’enfoncer dans sa bouche et dans son vagin, lui arrachant des soupirs silencieux, des couinements étouffés par le bruit spongieux des tentacules. De son côté, Sarah posa ses mains sur les joues de Marie, la releva, et l’embrassa pendant de longues secondes, collant son corps au sien, serrant d’une main sa coiffe, et caressa avec l’autre ses hanches.

Après ce bref interlude, Sarah rompit le baiser, et lui sourit encore, puis s’écarta un peu de la femme, observant les œufs et les pondeuses en action.

« Tout, dans ta religion, est affaire de manipulations. Tous les Évangiles que tu connais ont été rédigés plus d’un siècle au moins après la mort du Christ. L’existence même du Sauveur est historiquement contesté, et, pourtant, les humains continuent encore à y croire, et à y croire avec une dévotion admirable. C’est là la preuve que, fondamentalement, les humains sont en quête d’une puissance supérieure, d’une réponse au sens de leur existence. Cette réponse, ils la connaissent, pourtant, mais ils l’ont perverti. »

Kerrigan se déplaça doucement, et approcha sa main du mur. Ce dernier se décolla lentement, faisant apparaître une femme attachée à ce dernier, engluée dedans. Sa main caressa son visage, son pouce glissa sur ses lèvres pendant quelques secondes.

« Ta religion a été redéfinie par l’Empereur Constantin. Tu sais qu’il existe plus de quatre Évangiles, n’est-ce pas ? T’es-tu jamais demandée pourquoi certains sont reconnus comme canoniques, et d’autres comme apocryphes ? Je suis sûre que la petite fervente que tu es a entendu parler du concile de Nicée. Pour résoudre les problèmes d’interprétation et de divergence entre les Évangiles, certains ont été canonisés, et d’autres ont été rejetés. Le tout était de donner à la religion chrétienne une interprétation qui siérait à Constantin et à sa visée politique. C’est tout. C’est historique. Indéniable. Ta religion est biaisée, tronquée depuis le début. La mienne est réelle, comme tu peux le voir. »

Il suffisait de tourner la tête pour le constater.

« Le principal point, c’est le péché originel. Une idée absurde, tu ne trouves pas ? Une manière de pervertir les hommes et de les amener à se rapprocher de la religion. En partant du principe que les hommes naissent dans le péché dès leur naissance parce que leurs parents ont baisé ensemble, et en retenant que seule l’Église peut absoudre les gens de ce péché originel, les fondateurs de ta religion ont réussi un joli coup de poker. Mais, la vérité, c’est qu’il n’existe pas de péché originel. Le sexe, Marie, est le plaisir le plus puissant qu’un homme puisse connaître. Ta religion a perverti cela pour engrosser son nombre de fidèles. Tu le vois ici, sous ton nez... Votre raison d’être, l’existence des hommes... C’est de copuler, de faire l’amour, et de servir votre Créateur et Dieu tout puissant : l’Overmind... Et donc, moi, par extension. »
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le jeudi 09 août 2018, 19:27:39
C’était pas facile pour elle hein ! Il fallait bien se dire qu’elle était une humaine qui découvrait un nouveau pan de réalité, et surtout, que le pan de réalité qu’elle pensait existant, et bien, elle découvrait qu’il était faux, que ce n’était qu’un ramassis de conneries inventés surtout pour contrôler les hommes. Là, elle découvrait une religion beaucoup plus… « Naturel ». Et oui, beaucoup moins de construction artificiel ordonnés par des Livres, qui étaient forcément artificiel, même s’il avait été inspiré par Dieu. Là, elle découvrait des femmes violées, pondeuse, continuellement, et voilà… Bref, c’était une autre réalitée dont elle avait encore du mal à se mettre… Mais d’abord, écoutons la nouvelle arrivante.

« C’est parce que le message de la religion a été perverti par les hommes, Marie. »

Ce ne fut pas l’interlocutrice de tout à l’heure qui déclara cela… Mais Sarah Kerrigan elle-même ! Celle-ci arriva, tranquillement, se révélant. Loana s’inclina de suite, et Marie s’inclina elle aussi. Elle eut à peine le temps d’entendre que Loana lui disait de le faire, qu’elle le fit de suite toute seule, presque par reflexe… Loana visiblement n’était plus désirée, étant donné que Sarah lui demanda de partir. Elle fut alors installée dans un cocon, qui commença à l’attacher solidement à l’aide des tentacules. Bien sûr, celle-ci s’installèrent aussi dans la bouche et dans les intimités de la fameuse ancienne interlocutrice de la religieuse…

Une fois que Loana fut ainsi, littéralement « rangée », et bien, il ne restait maintenant que deux personnes : Sarah et Marie. Elle devinait qu’elles allaient parler, sans doute baiser… Et qu’elle serait rangée de la même façon… Gloups. Bref, cela ne commença pas par un discours, enfin, si, mais entre deux parties dudit discours, la fameuse Sarah offrit un baiser à Marie. Les deux femmes s’embrassèrent. Il faut bien dire les deux femmes, car Marie accompagna le baiser… Les mains de la Cérébrate passait alors sur le corps de Marie… Mais l’inverse était vrai aussi ! Cela voyait bien que malgré ce qu’elle disait, elle commençait à s’installer ici, elle commençait à comprendre ce qu’était justement le milieu, et qu’elle l’acceptait, même si cela était inconscient. Quoiqu’il en soit, après cela, Sarah commença à déclarer :

« Tout, dans ta religion, est affaire de manipulations. Tous les Évangiles que tu connais ont été rédigés plus d’un siècle au moins après la mort du Christ. L’existence même du Sauveur est historiquement contesté, et, pourtant, les humains continuent encore à y croire, et à y croire avec une dévotion admirable. C’est là la preuve que, fondamentalement, les humains sont en quête d’une puissance supérieure, d’une réponse au sens de leur existence. Cette réponse, ils la connaissent, pourtant, mais ils l’ont perverti. »

Oui, elle savait l’histoire de sa religion. Et elle savait que de tout temps, presque, l’homme avait cherché à trouver des réponses à ses questions. D’ailleurs, elle avait cru comprendre que certains justifiaient la montée de l’Athéisme, justement lié à cela. Comme de plus en plus de questions autrefois impossible à répondre étaient répondus par la Science, le besoin de Dieu diminuait. C’était quelques choses qui avait toujours attristée la fameuse religieuse, car bien entendue, notre chère Marie estimait que Dieu était plus qu’une simple recherche de réponse. Non, suivre Dieu, c’était une façon de vivre. Voilà pourquoi elle allait finir par bien s’intégrer à la ruche. Comme les autres, elles pensaient à une façon de vivre dans la religion.

« Ta religion a été redéfinie par l’Empereur Constantin. Tu sais qu’il existe plus de quatre Évangiles, n’est-ce pas ? T’es-tu jamais demandée pourquoi certains sont reconnus comme canoniques, et d’autres comme apocryphes ? Je suis sûre que la petite fervente que tu es a entendu parler du concile de Nicée. Pour résoudre les problèmes d’interprétation et de divergence entre les Évangiles, certains ont été canonisés, et d’autres ont été rejetés. Le tout était de donner à la religion chrétienne une interprétation qui siérait à Constantin et à sa visée politique. C’est tout. C’est historique. Indéniable. Ta religion est biaisée, tronquée depuis le début. La mienne est réelle, comme tu peux le voir. »

L’en… L’ensemble était plus compliqué que ça ! Mais encore une fois, impossible de nier. C’est vrai qu’il existait de nombreux Evengiles Apocryphes. D’ailleurs, malgré leur mise au ban par l’église dès le IVe siècle après Jésus-Christ, de nombreux avaient continués d’inspirer durant tout le Moyen Âge. Par exemple, le symbole de Joseph ? La fleur de lys sur un rameau autrement sec ? Et bien cela vient de l’évengile apocryphe de Jacques. Pareil pour toute la vie de la Vierge, hautement racontée, mais pourtant, dans les évengiles reconnus par l’église, que cela soit les synoptiques, ou celui de Jean, et bien, pas grand-chose est dit sur la mère du Christ. Quasiment tout vient des évengiles apocryphes, montrant bien que même si l’église avait tenté de le rejeté, de montrer une version biaisée… Et bien, cela n’avait pas tant marchée !

« Le principal point, c’est le péché originel. Une idée absurde, tu ne trouves pas ? Une manière de pervertir les hommes et de les amener à se rapprocher de la religion. En partant du principe que les hommes naissent dans le péché dès leur naissance parce que leurs parents ont baisé ensemble, et en retenant que seule l’Église peut absoudre les gens de ce péché originel, les fondateurs de ta religion ont réussi un joli coup de poker. Mais, la vérité, c’est qu’il n’existe pas de péché originel. Le sexe, Marie, est le plaisir le plus puissant qu’un homme puisse connaître. Ta religion a perverti cela pour engrosser son nombre de fidèles. Tu le vois ici, sous ton nez... Votre raison d’être, l’existence des hommes... C’est de copuler, de faire l’amour, et de servir votre Créateur et Dieu tout puissant : l’Overmind... Et donc, moi, par extension.»

Echec et mat… Elle pouvait dire ce qu’elle voulait… et bien, la situation faisait que sa maîtresse avait entièrement raison. Pourquoi dire cela ? Et bien, car elle avait ressenti ce plaisir. Elle ne pouvait le nier. Rien que là, on put voir que la notion de « plaisir » annoncé par Sarah, fit trémousser la fameuse religieuse, qui avait toujours sa tenue qui lui en offrait justement du plaisir. Elle comprenait la place du plaisir, et elle comprenait qu’en effet, cela ne faisait aucun doute… Si l’église avait tenté de bannir justement ce plaisir, et bien, c’était très probablement pour des raisons politiques, pour renforcer sa puissance. Elle chercha encore quelques minutes des choses à dire, des contre-arguments, mais finalement ne put que déclarer :

« Je suis désolée, Seigneur. »

L’usage du mot « Seigneur » voulait tout dire. Elle reconnaissait littéralement son interlocutrice comme « Seigneur », le terme qu’on donne à Dieu justement. Et oui ! C’était quand même important ! Ainsi de nouveau, elle s’inclina devant Sarah. Elle avait du mal à croire qu’elle faisait, disait cela, etc. Mais bon, comment faire autre chose ? Comment ne pas accepter ? Elle pourrait rester à nier. Oui, en effet. Mais à quoi bon ? Même elle, même une chrétienne comme elle commençait à avoir des doutes… Le doute était l’ennemi du chrétien, beaucoup de penseurs des premiers temps de l’Église l’avait dit… Mais justement. Justement s’ils l’avaient dis cela était peut-être pour cette raison...

« Je vous prie d’excuser mon insolence. Je reconnais j’ai perdu. Si mon père m’avait présenté Dieu, j’aurais bien cru à ce que j’ai toujours appris. Ma foi, ce que je sentais, me faisait dire que… Que ces incohérences, ces transformations du canon, tout cela était l’oeuvre de Dieu… Mais j’ai rien à dire maintenant. L’Overmind est donc le véritable Dieu ? »

Tout ce qu’elle avait appris reposait sur le fait qu’elle y croyait, car on lui avait dit. Mais maintenant… Elle découvrait une autre réalité, peut-être moins plaisante, mais existante, elle aussi. Et puis, elle était captive, et voyait tout ce qu’était capable de faire la fameuse Sarah Kerrigan. Elle pouvait contrôler l’espace, elle entendait, elle voyait… Contrairement à son Dieu, dont elle n’avait jamais compris pourquoi il avait laissé passer tant de choses. Tant de souffrance. A chaque fois, elle s’était dit que c’était que les voix de Dieu sont impénétrables, qu’elle ne peut pas comprendre. Mais là, depuis qu’elle était là elle voyait une femme qui contrôlait entièrement tout comme Dieu, mais qui contrairement à lui prouvait cela.

« Mais pourquoi ? Si l’Overmind est-il le vrai Dieu, pourquoi n’apparait-il pas ? Toute ma vie chrétienne, on m’a demandé pourquoi Dieu n’est pas là, pourquoi Dieu n’intervient pas ? Pourquoi… Pourquoi moi ? »

Elle ne pouvait pas accepter l’idée qu’elle avait été choisie car… Car elle était une excellente pondeuse ! Bref, elle parlait, et posait toujours plus de question, ce qui pouvait peut-être être pour son interlocutrice un brin énervant. Après tout au bout d’un moment ça va quoi ! Fallait qu’elle comprenne qu’elle n’était qu’une femme parmi tant d’autres qui entraient dans ce milieu. Mais voilà, c’est là qu’on sentait la Chrétienne, qui loin d’être dans l’humilité que soit disant faisait croire les chrétiens, étaient au contraire dans l’hybris de toujours se prendre pour au centre de l’univers Mais bon… On allait bien voir ce qu’allait dire la fameuse Sarah à cela ! Donc, comme on dit dans le jargon… Just wait’n see !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 13 août 2018, 00:59:19
« Il existe bien des Dieux, Marie. Ton Dieu n’est qu’une notion floue. Il y a bien des Dieux qui existent… Mais le mien est le plus puissant de tous, et celui qui s’apparente le plus à ta notion de Dieu. »

Sarah sentait que Marie était sincère. Depuis qu’elle était arrivée au sein de la Fourmilière, la jeune femme avait fait l’amour à de nombreuses reprises, dans des circonstances totalement impensables pour elle. Et, avec l’aide des drogues, des stimulants, elle avait pris son pied à chaque fois. Comment nier l’existence d’un tel plaisir ? Comment adhérer à tout ce qu’on lui avait enseigné ensuite ? Sarah ne mentait pas. Elle lui présentait une société très différente de la sienne, une société collectiviste, véritablement collectiviste. Un mode de vie et de pensée qui n’avait rien à voir avec tout ce que Marie connaissait. Il était normal que la jeune femme s’adapte, et Sarah était la mieux placée de toutes pour la guider. L’Overmind avait choisi de transformer une puissante humaine en Annexienne, décelant l’incroyable potentiel des êtres humains, mais avait été suffisamment intelligent pour ne pas tuer toute humanité en elle. C’est ce qui rendait Sarah si dangereuse, si redoutable, et faisait d’elle la véritable Reine de la Fourmilière.

Elle se déplaça lentement, ne manquant pas de se rincer l’œil en observant la nouvelle tenue de religieuse de Marie. Celle-ci s’était agenouillée devant Sarah, et la femme lui ordonna de se relever, et l’embrassa une nouvelle fois. Sarah, il y a encore quelques mois, ne connaissait quasiment rien de la Terre. Elle avait toutefois appris à s’en rapprocher, car elle avait sur Terre, plus précisément à Seikusu, un refuge, un point d’ancrage lui permettant d’étudier ce monde, et d’essayer de comprendre pourquoi Terra intéressait tant l’Overmind.

« Tu dois bien comprendre que l’Overmind ne t’a pas créé, Marie. Dans notre civilisation, il n’y a pas de mensonges de ce genre. L’Overmind est la conscience collective d’une espèce unique en son genre, une espèce qui assimile les autres, et se développe ainsi. Je souhaite que tu commences par étudier, Marie, par voir par toi-même combien je ne te mens pas. »

Sarah s’approcha d’un mur, qui s’ouvrit sur son passage, et les deux femmes s’avancèrent le long d’un couloir. Un boyau plutôt long, avec des tentacules qui apparaissaient ici et là, et qui les conduisit jusqu’à un escalier. De là, elles rejoignirent une pièce cylindrique haut de plafond, de forme cylindrique, totalement vide à l’exception d’un étrange pupitre au centre avec une flaque dedans.

« Quel est le but de la religion, Marie ? Quand les Chrétiens ont commencé à se développer, et à se répandre sur de nombreuses terres, il s’agissait de civiliser d’autres contrées, de mettre fin à des cultes barbares. Les Formiens poursuivent exactement le même but. Ici, tu trouveras de nombreuses données sur les civilisations et les mondes qui ont rejoint la conscience collective. »

La Formienne attrapa la main de Marie, et la posa dans la flaque. Le décor évolua alors, et, tout autour des deux femmes, une sorte de carte spatiale se mit en place, avec une multitude de points brillants. Sarah retira alors la main de Marie, et toucha du doigt une étoile. Une image se forma alors devant elles, montrant une glorieuse civilisation, tandis que, dans sa tête, Marie entendait une voix, les images défilant en conséquence.

*[MT] Astaros… Un monde très avancé technologiquement. Une technologie mécanique, industrielle. Mais les hautes tours des glorieuses cités d’Astaros ne sont réservées qu’à une certaine catégorie de population. Au pied des immeubles, des millions d’Astrosiens vivaient dans des conditions abominables, sous le regard méprisant d’une caste avancée utilisant les pauvres comme des esclaves pour leurs besoins multiples. Ils travaillaient dans des mines volcaniques s’enfonçant profondément dans le sol, dans des exploitations agricoles où ils s’entassaient comme des bêtes dans des cages pour dormir. Pourtant, la civilisation astrosienne était dépeinte dans ce coin de l’Univers comme l’une des plus belles. Les touristes galactiques s’y agglutinaient pour observer ses magnifiques jardins, ce monde en paix qui était chéri et respecté. Est-ce là l’idéal d’une civilisation séparée de la Conscience ? Une exploitation massive pour quelques ingrats se moquant d’eux ? Une vie de labeur pour des milliers afin qu’une poignée des leurs vivent dans la plus indécente opulence ? [/MT]*

Sarah caressa Marie au visage, la retirant de cette vision, et lui sourit à nouveau.

« Tu te trouves dans l’un des terminaux nerveux permettant de nous relier aux banques de données de la Conscience Collective. Tu y auras accès, Marie, pour voir, te renseigner sur nous. Les Formiens sont une espèce infiniment plus avancée que ce que tu penses, ma beauté. Et, pour te répondre… L’Overmind vit très loin d’ici. Peut-être le rencontreras-tu un jour, mais, même moi, je n’ai pas eu cette chance. Je l’ai eu en pensée, c’est tout. »

En se plongeant dans les banques de données formiennes, Marie allait pouvoir voir que rien n’était idyllique. Mais, pour l’heure, Sarah ne pouvait guère rester plus longtemps sans réaction face à sa tenue. Une verge se mit à caresser les fesses de Marie, tandis que Sarah s’était glissée dans son dos.

« Cambre-toi contre le pupitre, ma chérie… »

Marie obtempéra, et sentit alors le chibre de sa Reine se planter en elle, venant la pénétrer vigoureusement, tandis qu’une main massa l’un de ses seins, l’autre caressant et empoignant ses cheveux.

« Là, hmmm… Un magnifique avenir t’attend ici, ma petite Marie, hmmm… Tu n’as pas idée de ce que… Hmmm… De ce que je te réserve… »
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le jeudi 16 août 2018, 14:00:19
Etait-elle la seule ? Vu le nombre de femmes ici, sans doute pas. Sans doute que beaucoup de femmes comme elle, avaient toujours cru qu’elles résisteraient. Qu’elle, elle ne tomberaient pas. Qu’elles arriveraient à garder leur résistance mentale, à défaut de la résistance physique, et qu’elles ne tomberaient pas dans le piège des Formiens. Beaucoup. Enormément sans doute. Mais combien avaient vraiment réussis ? Sans doute extrêmement peu. Sans doute que très peu avaient réussi à vraiment avoir une force mentale suffisamment forte… Non pas forte. Bornée. Car Marie était une femme à la résistance mentale forte. Mais, et là était toute la force de ces Formiens, c’était que la fameuse Sarah avait CONTOURNE la force de Marie, plutôt que tenter de la briser. Très malin de sa part...

« Tu dois bien comprendre que l’Overmind ne t’a pas créé, Marie. Dans notre civilisation, il n’y a pas de mensonges de ce genre. L’Overmind est la conscience collective d’une espèce unique en son genre, une espèce qui assimile les autres, et se développe ainsi. Je souhaite que tu commences par étudier, Marie, par voir par toi-même combien je ne te mens pas. »

Donc, la science avait raison ? C’était probable. L’être humain n’était donc pas une création d’une entité supérieure, mais bien le processus d’une évolution… Et cette évolution aurait une conscience ? L’Overmind ? Elle songeait qu’elle atteignait peut-être des niveaux Métaphysique qu’elle ne maîtrisait pas. Après tout, de nombreux domaines dans la religion chrétienne… Et bien, elle n’avait pas eu le niveau de l’étudier, car c’était quelques choses de trop complexe, de pas adaptée à son niveau de connaissances, ou bien même à son niveau de conscience. Peut-être était-elle encore trop une novice… Pour comprendre cela ? Sans aucun doute. Bref, quoiqu’il en soit, elle continua d’écouter comme une bonne élève.

« Quel est le but de la religion, Marie ? Quand les Chrétiens ont commencé à se développer, et à se répandre sur de nombreuses terres, il s’agissait de civiliser d’autres contrées, de mettre fin à des cultes barbares. Les Formiens poursuivent exactement le même but. Ici, tu trouveras de nombreuses données sur les civilisations et les mondes qui ont rejoint la conscience collective. »

Elle n’était pas d’accord, mais elle ne chercha pas à argumenter. Enfin, oui, sans aucun doute que la religion chrétienne avait eu cette objectif… Parmi d’autres. C’était bien plus compliqué de trouver les raisons de la religion chrétienne, c’était sans doute tout un réseaux de raisons, toutes étant trop compliqués à élaborer, et sans doute que de nombreuses étaient impossible à savoir en l’état. En effet, cela faisait maintenant quasiment 2000 ans que la religion chrétienne existait. Comment alors expliquer tout, sans machine à remonter le temps ? De nombreuses connaissances avaient été perdus, que cela soit volontairement ou involontairement. Car si on avait détruit volontairement certaines données, beaucoup avaient tout simplement disparu avec le temps. Il ne fallait pas chercher plus loin parfois !

Mais cela, ce n’était que du détail. Pourquoi cela ? Et bien, car elle n’avait pas, ou plutôt plus à penser à tout ça. Sarah décida de lui faire une petite… Entrevue de ce qu’elle pouvait comprendre, de ce qu’elle pouvait apprendre. Des images étaient apparus, et directement dans sa tête, elle entendit. Elle découvrit. Un monde qui était à la fois beau et horrible, un mélange entre le paradis et l’enfer. Toute sa vie, Marie avait du fonctionner dans une binarité, où il existait un Paradis, un Bien, et un Enfer, un Mal. Là, elle découvrait, directement dans sa tête, un monde où le pire et le meilleur se cotoyait. Elle savait pourtant théoriquement que cela existait aussi sur Terre, un ensemble où une poignée exploitait la majorité, elle connaissait la théorie du capitalisme, de l’esclavage etc. Mais jamais ces connaissances n’avaient été aussi… Vivante ! Consciente !

« Tu te trouves dans l’un des terminaux nerveux permettant de nous relier aux banques de données de la Conscience Collective. Tu y auras accès, Marie, pour voir, te renseigner sur nous. Les Formiens sont une espèce infiniment plus avancée que ce que tu penses, ma beauté. Et, pour te répondre… L’Overmind vit très loin d’ici. Peut-être le rencontreras-tu un jour, mais, même moi, je n’ai pas eu cette chance. Je l’ai eu en pensée, c’est tout. »

« Je… je... »


La fameuse Marie avait du mal à aligneur deux mots cohérents après… Après ça ! Enfaite, ce n’était pas tant le fond qui l’avait marquée, bien qu’il était très intéressant, et surtout important pour la fameuse Marie… Mais il avait aussi une importance dans la forme. La forme ne primait pas sur le fond, cela serait faire une exagération, mais le fait qu’elle avait eu accès comme ça au fait, de cette « Conscience Collective »… Il n’y avait pas de doute, oui, elle avait vraiment envie, vraiment, de découvrir cette conscience collective, elle avait vraiment envie de découvrir plus. Enfaite, même si la vérité n’était pas idyllique… Et si elle allait découvrir des choses sans doute horrible… Et bien, sans aucun doute, elle était excitée comme une puce. Un monde entier s’ouvrait à elle. Un nouveau monde, après celui du plaisir, celui de la Conscience Collective.

« Cambre-toi contre le pupitre, ma chérie… »

« Oui, ô ma seigneur ! »

Mais ce monde de la conscience collective devait encore attendre. En effet, la fameuse religieuse devait servir à autre chose là. Et de nouveau, elle n’emit aucune résistance. La résistance chez la fameuse religieuse devait maintenant être extrêmement faible, juste des petites pointes, des petits détails de temps en temps qui la ferait rechuter légèrement, très légèrement dans une rigueur morale issu du catholiscisme. Mais maintenant, elle obéissait à « sa seigneur » comme elle disait elle-même. Comme dit précédemment, l’usage du terme seigneur voulait tout dire…. Ainsi, contre ses fesses, la verge de Sarah commençait à se présenter. Elle pouvait être rassurée, cette fameuse verge, la fameuse Marie était tout à fait prête visiblement ! Ainsi...

« Là, hmmm… Un magnifique avenir t’attend ici, ma petite Marie, hmmm… Tu n’as pas idée de ce que… Hmmm… De ce que je te réserve… »

« Haaaan ! »


Elle poussa un râle de plaisir. Elle était surprise, même si elle n’avait pas du tout le temps de penser à cela, on va bien le dire, mais il n’y avait quasiment plus de douleur. Oh, cela faisait parfois mal, mais voilà, elle commençait à avoir plus l’habitude ! Et pourtant le chibre de la reine était de loin le plus impressionnant qu’elle avait eu ! C’était bien plaisant. Elle gémissait comme une chienne, alors qu’on s’occupait d’elle… Et on continuait de bien s’occuper d’elle ! Etant donné que la main de Sarah, la première, caressant ses cheveux, ses beaux cheveux blonds, tandis que de l’autre côté, le sein de la fameuse religieuse était lui aussi occupée, on le caressait, et elle offrait en retour des gémissements… Et des mots ! Etant donné qu’elle commença à déclarer !

« Maî… Maîtresse ! Seigneur !!! »

Elle avait toujours un rôle globalement passif, et on va bien le dire, elle ne risquait pas de gagner de véritable rôle actif, à part pour des moments ponctuels, justement, et des moments qu’on lui autoriserait… Et encore moins avec Sarah, qui était sa « maîtresse », sa « seigneur », et je vous assure, on pourrait rajouter de nombreux termes. Mais malgré cela, malgré le fait que comme dit précédemment, elle n’avait souvent qu’un rôle passif, elle faisait en sorte de quand même accompagner l’ensemble. Elle avait suffisamment baiser pour avoir acquis quelques compétences. Elle avait encore beaucoup à apprendre, mais voilà, maintenant, la religieuse qui autrefois avait été si prude, si éloignée du monde du sexe, et bien, maintenant, tentait d’accompagner les fameuses positions et les mouvements de son interlocutrice… Elle avait bien progressée… Très bien même !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le dimanche 19 août 2018, 22:00:52
Marie se trompait sur un point essentiel. Ce n’était pas les Formiens qui raisonnaient comme ça, mais bien elle. La Fourmilière comprenait bon nombre d’Annexiens, et Sarah était en train de devenir la principale Annexienne, précisément en raison de ses méthodes. Les autres Annexiens n’auraient fait qu’une bouchée de Marie, ils l’auraient mis dans un œuf, en auraient fait une pondeuse, et l’auraient oublié là. Sarah fonctionnait de manière différente, cherchant à corrompre Marie, tout en lui laissant sa libre volonté... Dans la mesure du possible. Faire d’elle son esclave était une optique très intéressante, car promettant bien d’autres choses. Mais, pour l’heure, elle devait encore éduquer sa religieuse. Marie était de plus en plus convaincue, séduite par son plan, et ne manqua pas de saluer dignement sa Maîtresse, allant jusqu’à blasphémer en l’appelant « Seigneur ». Sarah, en tout cas, s’efforça de la pénétrer, s’enfonçant sans difficulté en elle, et sentit le corps de la religieuse remuer d’avant en arrière, accompagnant ses mouvements, la religieuse se mettant à gémir de plaisir.

Sarah sentait bien qu’elle n’en avait pas encore totalement fini avec elle. Il en fallait plus pour véritablement laisser Marie en roue libre, mais, pour l’heure, Kerrigan restait très satisfaite des évolutions de Marie. Elle le sentait dans son esprit. Sarah avait touché un point sensible en s’attaquant aux croyances de Marie, en en exposant les limites et les faiblesses. Il n’y avait là rien de compliqué. La religion était un concept curieux, rétrograde et archaïque. Sarah véhiculait avec elle sa personnalité tekhane, celle d’une femme croyant par-dessus tout aux miracles de la science, et voyant la foi comme une absurdité, comme le triomphe de la bêtise intellectuelle sur tout le reste.

« Là, voilà... Hooo, ma chérie, tu es toujours aussi étroite, haaaa... »

La Reine des Lames la prenait par l’arrière, et tira volontiers sur ses cheveux, faisant mal à Marie, souriant en entendant cette dernière se mettre à hurler, à gémir, tandis que Sarah continuait à la pénétrer fortement. Elle amplifiait le rythme, gémissant tout contre elle, et finit par retourner Marie. Sarah l’embrassa alors, écrasant son corps contre le sien, et retourna la prendre, sa verge se plantant dans son con. Elle s’unit à elle fortement, la baisant sans relâche, accélérant l’intensité de ses mouvements, se délectant du corps onctueux de sa partenaire.

« Oh, comme tu es belle, ma chérie... »

Sarah déplaça sa main, et saisit l’une des fesses de Marie, puis la souleva brusquement. Le corps de la religieuse se retrouva contre le sien, et Sarah retourna fourrer sa langue dans sa bouche, une main sur les cheveux, l’autre venant gifler le délicieux cul de la religieuse.

« Là, tu vois, Marie... Le sexe, c’est la seule véritable passion en ce monde, c’est ta seule vraie religion, ma chérie... »

Comment pouvait-il en être autrement ? C’était bon, c’était si bon...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 22 août 2018, 22:04:11
Marie était encore loin de tout comprendre, mais une chose intéressante, elle commençait vraiment à s’y intéresser. On allait voir ce que cela allait donner. On allait voir comment elle allait vivre avec cette nouvelle vie. Peut-être qu’elle allait approuver cette nouvelle vie et totalement l’embrasser finalement ? Peut-être qu’au contraire, elle allait croire que ce n’était jamais pour elle, et qu’elle allait l’accepter, mais voilà, il fallait bien le dire, elle allait jamais totalement accepter ce qui se passait pour elle ? Tout était encore possible, il était encore trop tôt pour vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tuer, comme on dit ! De toute façon, là, ce n’était pas vraiment le moment de réfléchir profondément, non, là, le moment, c’était celui...

« Là, voilà... Hooo, ma chérie, tu es toujours aussi étroite, haaaa... »

« … Dé… Désolée… ! »


DU SEXE BIEN SUR ! Et ouais, elle était encore étroite. Bon, on va bien le dire, c’était loin d’être aussi étroit qu’avant… Mais voilà… On pouvait encore profiter de son étroitesse ! Il fallait en profiter, néanmoins, cela n’allait sans doute pas durer éternellement. Maintenant, elle avait bien compris qu’elle devait réaliser que le sexe allait faire partie de sa vie quotidienne. Mais elle allait mieux maintenant qu’elle comprenait que cela ne voulait pas dire pour autant que maintenant, le sexe allait être la seule chose et unique de sa vie. Elle allait quand même pouvoir vivre d’autres choses dans sa vie. Du savoir, de la connaissance, et peut-être des amitiés ? Il fallait qu’elle accepte cependant que le sexe… Oui… Elle gémissait, et se faisait bien prendre par son interlocutrice, qui controlait parfaitement la situation. Ainsi…

« Oh, comme tu es belle, ma chérie... »

« Vous… Vous l’êtes aussi ! »


Elle avait donc été retournée, et faisait face à Sarah. Autrefois, cela aurait été impensable qu’elle dise que la fameuse Sarah soit « belle », « joli » ou n’importe quoi. Non qu’on soit clair, cela aurait été pensable encore il y a peu. Mais quelques choses avait changé… Autrefois, elle ne voyait une beauté enfaite qu’en Dieu. Il n’y avait que Dieu qui avait donc ce privilège, non négligeable, d’avoir accès à la beauté. Maintenant, le fait qu’elle avait atteint… Un nouveau plan d’existance, lui permettait de voir la beauté ailleurs qu’en Dieu. Et cela… N’était-ce pas une très bonne chose ? Qu’elle puisse voir du beau non seulement en une entité supérieur, mais aussi en Sarah, qui était là, qui contrairement à dieu, était une réalité tangible ? Bref, après une vie à être sur des concepts, elle commençait à vivre…

« Là, tu vois, Marie... Le sexe, c’est la seule véritable passion en ce monde, c’est ta seule vraie religion, ma chérie... »

« Je… Je ne vous croyais pas... »


Le sexe était pourtant partout. La vie naissait grâce au sexe. Sans sexe, il n’y avait pas de vie. Les puritains avaient tenté de remplacer le sexe par Dieu, mais même cela, ils avaient du rendre le sexe comme une punition pour le retirer de la vie. Voilà pourquoi pendant longtemps, notre chère Marie n’aurait pas cru donc son interlocutrice. Elle avait été formée à haïr cela. Après tout, n’était-elle pas née d’une mère pécheresse ? Une mère qui était morte alors qu’elle commettait l’adultère ? Et ouais, voilà pourquoi, elle, personnellement, avait été élevée à chasser cette chose pourtant naturelle… On avait tout fait pour qu’elle n’apprécie pas le sexe, et d’ailleurs, avant de rencontrer les Formiens, elle n’avait jamais connu cela… Mais maintenant… Tout cela avait bien changée...

« Mais ô seigneur, c’est si bon... »

Car ce qu’on lui avait cachée, c’est que le sexe n’était pas punition, c’était au contraire récompense. Elle gémissait, et commençait vraiment à être active, à bouger des hanches… elle accompagnait le mouvement, et elle ressentait tellement de plaisir dans ce qui se passait. Elle s’était fait gifflée le cul, bien violemment, et elle avait aimée ça. Elle se faisait pénétrer, et elle aimait ça. Bref, la situation, se clarifiait peu à peu. Faire l’amour, ce n’était pas de la violence, de la souffrance… Une punition éternel. Ou alors, Dieu aurait masqué une récompense dans sa punition, qu’on soit clair. Elle avait eu tord depuis le début, et elle faisait pénitence. Comme après péché de chair, il fallait faire abstinence des bonnes choses… Et bien pour faire pénitence de cela, elle n’avait qu’une seule et unique chose à faire… En profiter plus que possible !

« Vous êtes si bonne ! »

Ouah ! Elle avait le droit de dire ça ? Espérons qu’elle allait être punie, cela risquait d’être rigolo. Mais vous vous souvenez quand elle avait traitée de pute Elvennya ? Oui, oui, vous vous en souvenez… Et bien, elle avait de nouveau ce genre de « coup de sang ». Alors bien sûr, il était infiniment plus respectueux que tout à l’heure… Mais voilà, elle embrassa fougueusement Sarah, et commença à malaxer de ses mains les seins de la fameuse Sarah… Voilà qu’elle tentait presque de prendre l’ascendant sur celle qui pénétrait… C’était donc une réussite totale pour Sarah. Elle aurait pu brisée Marie. Elle aurait même réussie. Elle avait choisie une autre voie, et celle-ci s’était révélée tout autant payante que l’autre. Maintenant, Marie allait s’intégrer progressivement à la ruche… Mais là, maintenant, qu’allait faire Sarah devant cette gain de confidence de Marie ? Bonne question…
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 27 août 2018, 00:50:20
Sarah l’avait retourné comme une crêpe. La colère de Marie, ses doutes, ses angoisses… Rien de tout ça n’avait tenu bien longtemps contre l’insistance de la Reine des Lames. La redoutable Annexienne avait parfaitement réussi son office, corrompre la jeune femme, non pas en la traumatisant à vie, mais en la faisant succomber. Qui aurait cru que cela puisse autant marcher ? Le sexe aidant, ainsi que la télépathie, elle avait fait admettre à Marie cette vérité, terrible et simple : Sarah était sa Déesse. Elle était la représentante de l’Overmind, sa messagère, tout comme le Christ avait été celui du Seigneur. Quoi de mieux pour satisfaire l’égo démesuré de la Formienne que la dévotion de belles femmes ? Elle avait ses pondeuses, elle avait ses Cérébrates, ses délicieuses filles… Mais il lui manquait encore quelque chose… Une chose que Marie, à sa façon, incarnait pleinement, et qui rendait ce moment si agréable, si pétillant. Sarah l’observa donc en souriant.
 
« Oui, ma belle, hum… Sens la queue de ton Seigneur en toi… De ta Déesse ! »
 
Si le mensonge était convaincant, c’est parce qu’il abritait un fond de vérité. Après tout, était-il si difficile que ça de voir en l’Overmind une sorte de divinité omnipotente ? Techniquement, l’Overmind était en effet déjà  omnipotent, un être omniscient dont la conscience se répandait d’un bout à l’autre d’un Cosmos. Rien n’empêchait donc de le considérer comme un Dieu tout-puissant, puisque, techniquement, c’est ce qu’il était. Un Dieu… L’image avait de quoi impressionner. Marie prenait à peine conscience de l’immense entreprise dans laquelle elle venait de se fourrer.
 
Et, pour l’heure, Sarah continuait à la baiser. Elle y allait avec passion, presque avec une certaine forme de dévotion. Contre elle, Marie soupirait et gémissait, et la Reine sourit quand la femme, en faisant preuve d’une certaine insolence, alla l’embrasser. La main griffue de Sarah se crispa sur ses cheveux, et elle soupira contre les lèvres de la religieuse, avant de glisser sa langue dans sa bouche, jouant tendrement avec elle.
 
« Hmmm… »
 
Sarah esquissa un nouveau sourire malicieux en rompant, un mince filet de salive rejoignant ses lèvres aux siennes. Elle le rompit d’un coup de langue, tout en écartant les fesses de Marie avec ses mains, crispant au passage ses doigts dessus.
 
« Là, làààà, je sais que tu as une grosse soif, Marie, et… Hmmm… C’est normal… Laisse-moi la combler, là… » soupira doucement la Reine des Lames.

Un sourire moqueur sur les lèvres, elle avait écarté les fesses de la femme, et un tentacule phallique apparut alors, venant brusquement s’enfoncer dans le cul de la religieuse.

De quoi bien la remplir...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 29 août 2018, 22:27:10
Prise comme un vulgaire insecte dans une toile d’araignée, c’est ce qu’on avait cru au début de Marie… Mais c’était plutôt le cas d’une mouche attirée par le suc sucrée d’une plante carnivore… Elle avait fini par se laisser séduire, et maintenant, elle ne pouvait plus s’enfuir… Et de toute façon, il fallait bien comprendre… Pourquoi, oh grand pourquoi, elle irait s’enfuir ? Pourquoi elle déciderait maintenant de partir ? Qu’on soit clair, son ancien monde avait été dynamité, détruit, il n’existait plus maintenant. Si elle décidait de partir, imaginons… Cela serait pour aller où ? Où ? Elle ne pouvait plus rentrer chez elle. Elle douterait de Dieu, elle le chasserait de chez soi. Donc, elle était maintenant officiellement chez elle dans la ruche.

« Oui, ma belle, hum… Sens la queue de ton Seigneur en toi… De ta Déesse ! »

« Oui déesse ! »


Elle avait compris que non, Sarah n’était pas une déesse… Mais la situation faisait que là, elle était la déesse dans la position donnée, dans la situation donnée, bref, elle était la déesse aux yeux de la fameuse Marie. Dans les faits, ok, elle ne l’était pas, mais elle l’était dans la situation donnée, et cela suffisait amplement à Marie. Marie avait un besoin d’une divinité, et on pouvait supposer que cela, Sarah l’avait bien compris. Qu’elle avait bien compris que oui, en effet, Marie avait besoin d’une déesse, d’un Dieu, ou de quelques choses à s’accrocher. Et oui, vous avez bien deviné… Une fois qu’elle serait accrocher à ce fameux quelques choses, c’était bon. Bref, quoiqu’il en soit, la fameuse Marie se faisait de plus en plus entreprenante, et bien...

« Là, làààà, je sais que tu as une grosse soif, Marie, et… Hmmm… C’est normal… Laisse-moi la combler, là… » 

« Je… ? »


Elle fut surprise… Qu’est-ce que ? Sarah avait un sourire moqueur, et elle étirait ses fesses… Elle faisait ce qu’elle devait faire dans ce genre de situation… Quand tu décides d’aller plus loin que ta place, et bien, faut t’y remettre. Où cela ? Et bien à ta place justement ! Et ouais, c’était quand même très important ! Après tout, Marie restait quand même une bonne grosse soumise, et donc, comme toutes les bonnes grosses soumises, et bien, elle doit rester… Attention, à votre avis quoi… Et bien… Tout simplement, soumise ! Ouais, c’était un peu le genre de paragraphe que je fais pour grossir mes RP. Je suis parfois une grosse arnaqueuse, on va pas se cacher. Bref, quoiqu’il en soit… La fameuse Marie ne s’attendait pas à quelques choses… Mais quoi donc ? Et bien, pas d’inquiétude, voilà la réponse !

« MMH ! »


Elle poussa un grand gémissement… Car alors qu’elle se faisait déjà prendre dans le vagin, et bien, son autre trou, gentiment ouvert et présenté par les mains de la fameuse Formienne… Et bien… Une tentacule apparu de nul part, et vint se présenter à l’entrée de l’anus de la religieuse. Celle-ci n’eut à peine le temps de dire « SEIGNEUR » qu’elle se retrouva prise à la fois par l’Anus et la chatte. Ok, cela était déjà arrivée pour elle, mais quand même ! Cela surprenait quand même toujours un peu ! Elle poussait des gémissements, et du mettre quand même, on va bien l’avouer, un peu de temps avant d’être capable de vraiment aligner les quelques mots qui allaient suivre, quelques mots qui étaient visiblement surtout là pour montrer qu’elle avait une énorme reconnaissance envers ce qui venait de se passer… Car en effet, elle déclara :

« Oh, c’est si gentil maîtresse… Merci... »

Elle gémissait comme une grosse chienne, alors qu’elle se faisait bourrer. La bite de Sarah était de loin la meilleure qu’il y avait, et ainsi, elle ouvrait grand la bouche en haletant. Là, cela pourrait presque être le moment où les faces huggers qui avaient fait des œufs, un peu auparavant, pourrait apparaître, et la prendre, car elle serait tout à fait prête à le recevoir. Ce qui serait quand même un comble pour une femme qui avait trouvée cela horrible quelques minutes auparavant. Après, fallait voir si la fameuse Sarah avait envie de baiser une religieuse qui se faisait bouffer et englober en même temps. Cela serait drôle à voir, si vous voulez mon avis. Mais bref, maintenant, il fallait juste attendre ce qui allait se passer, et qu’on soit clair, la fameuse religieuse était bien prête, gémissante comme une grosse chienne à la suite des événements.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le samedi 08 septembre 2018, 15:25:21
Faire de Marie une pondeuse était une première étape. Sarah avait de plus grandes ambitions pour elle qu’utiliser son corps à pondre, même si elle allait être beaucoup utilisée pour ça. La Reine des Lames la pénétrait donc, et un tentacule phallique l’accompagna, s’enfonçant dans le cul de Marie, qui se tortilla sur place. Sarah posa ses mains sur chacune de ses fesses, et accéléra encore ses mouvements amplifiant ses coups de reins, sa queue grossissant et durcissant dans le corps de Marie. Sarah aimait profondément le sexe, ces moments où sa queue tendue et douloureuse se serrait dans le corps de ses partenaires. Elle se pinça les lèvres pendant quelques secondes, puis embrassa à nouveau Marie, fourrant sa langue dans sa bouche. Marie venait de la remercier pour les coups de reins qu’elle recevait, pour ce tentacule anal qui se planta en elle, et qui se mit à onduler sur place, remuant énergiquement dans son corps.

Sarah rompit à nouveau le baiser, un filet de salive liant leurs lèvres pendant quelques secondes.

« Hmmm... Oui, ma chérie... Mais je n’en ai pas encore fini avec toi... »

Sarah se concentra alors, et continua à la bourrer. Au bout de plusieurs minutes de ce traitement intensif, un premier orgasme la traversa. Que Marie le veuille ou non, l’orgasme de Sarah se répercuta sur elle, car son orgasme s’accompagna d’une onde psychique qui fit également jouir Marie. La religieuse se relâcha contre elle, et Sarah répandit son sperme dans son corps. Elle l’honora de son foutre, puis ordonna ensuite à Marie de se mettre à quatre pattes.

Tandis que la religieuse obéissait, Sarah se concentra alors, ses mains se posant sur le bassin de Marie, et poussa un léger grognement. Sa verge grossit démesurément, atteignant une taille énorme... Puis se découpa en deux. Elle usa de ses capacités métamorphiques pour se doter de deux sexes ! Sarah gémit doucement suite cette transformation, puis esquissa un léger sourire.

« Prête pour la suite ? Maintenant que je viens de me relâcher en toi, je devrais te baiser pendant... Quelques heures. »

Une habitude pour Marie maintenant. Le sexe formien était à la fois long et intense, dur et éprouvant, s’étalant sur la durée. Et Marie allait de nouveau en avoir la démonstration, car Sarah la pénétra à la fois dans la chatte et dans son cul, ce dernier ayant été préparé par le tentacule phallique. Ses doigts griffus se pincèrent sur le cul de Marie, serrant sa peau, et un long gémissement aigu s’échappa des lèvres de Kerrigan. La Reine des Lames la pénétra donc par les deux trous, et se régala des hurlements que la religieuse se mit à pousser.

La religieuse... Sa religieuse, une sœur qui viendrait répandre sa bonne parole, et qui la vénérerait comme une Déesse. Oui, Sarah avait de grands projets pour Marie, mais elle n’oubliait pas sa priorité... Baiser furieusement Marie Mori !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 12 septembre 2018, 19:15:17
Prise aussi bien dans l’anus que dans la chatte, elle avait encore beaucoup à faire avant de devenir aussi douée que ses collègues au sein de la ruche. Après tout, sur le coup, c’est vrai qu’il fallait voir en elle la « petite nouvelle ». Elle ne le serait pas éternellement, cependant, et peut-être qu’un jour, ce sera elle qui recevra une « nouvelle » , et qui justement fera en sorte qu’elle devienne une bonne pondeuse. Peut-etre qu’elle irait fureté aux côtés des églises, pour trouver de jeunes et jolies vierges, qui ne serait plus tard que des futurs pondeuses ? Tout dépendant des plans qu’avaient Sarah, et ces plans étaient souvent issus d’idées qui étaient déjà très certainement entrain de germer dans la tête de son interlocutrice… D’ailleurs, il fallait se concentrer sur son plan actuel, plan qui était d’ailleurs en route, étant donné qu’elle déclara :

« Hmmm... Oui, ma chérie... Mais je n’en ai pas encore fini avec toi... »

« Merci !!! »


Ce fut un vrai merci, totalement pensé, totalement assumé, sans la moindre hésitation… Et ouais, on allait bien pouvoir le dire : la fameuse Marie remerciait de ce qui était entrain de lui arriver. Faut dire, c’était quand même un immense honneur… Car en effet, elle allait quand même recevoir un cadeau de la part de Sarah. Le plus beau des cadeaux maintenant, elle l’avait bien compris, c’était le foutre ! Mais bien sûr ! Le fameux foutre, qui était si bon, si délicieux ! Mmmh ! Elle sentait le foutre en elle, car en effet, Sarah venait de jouir, de jouir une bonne quantité dans la fameuse religieuse, qui gémissait comme une sale chienne. Malheureusement, toutes les bonnes choses avaient une fin, et malgré la faim de la religieuse, il fallait bien l’accepter… Ou peut-être pas, car en effet...

« Prête pour la suite ? Maintenant que je viens de me relâcher en toi, je devrais te baiser pendant... Quelques heures. »

« Oh… Encore plus ?! »


Elle avait obéit à sa maîtresse sans aucune hésitation. Sa maîtresse lui demandait de ce mettre à quatre pattes ? Et bien, soit ! Et surtout, elle était contente, car elle devinait bien que si elle était dans cette position, et bien, cela n’était pas pour rien. Allait-elle se refaire prendre ? On pouvait légitimement craindre au bout d’un moment une certaine répétitivité non ? Et bien, déjà, il fallait se rappeler que pour Marie, cela allait être difficile, car bon, elle n’avait jamais connu ça. Mais surtout, Marie ne savait pas que la fameuse reine de formienne avait fait… Un peu plus que simplement se contenter de lui ordonner de se mettre à quatre pattes. Non, elle ne pouvait pas voir cela… Mais pas d’inquiétude, elle allait pouvoir le sentir ! Car en effet, ce qui devait arriver arriva, et ainsi, ce fut non pas dans sa chatte, non pas dans son anus, mais dans les deux qu’elle senti !

« MMMMH! AAAAAH MMMMH !! »

Elle se fut violemment pénétrée des deux côtés ! Il y avait une grande différence entre se faire pénétrer par deux objets dans un seul trou, deux objets indépendants, qui donc, avaient des rythmes et des formes différentes bien souvent, que quand c’était une seule personne qui te pénétraient avec deux énormes phallus ! Car là, le rythme était le même, Sarah controlait tout, et faisait en sorte que douleur et plaisir se ressente pour la religieuse, qui se trouvait à hurler de plaisir, gémir en parfois tentant de se retenir de hurler encore plus, et même gémir comme la sale chienne qu’elle était et qu’elle revendiquait être donc. Elle était heureuse de ce qui lui arrivait, et était bien loin le temps où elle ne voulait pas de cela. D’ailleurs, si elle pouvait y réfléchir, elle se demanderait vraiment comment elle a pu rater cela ! Ainsi, elle déclara :

« Je… Je… dois vous… Vous remercier... »

Ces mots furent dur à dire, et sortirent entre deux gémissements, ce qui rendait peut-être la compréhension un peu plus compliqué que la jolie ligne de dialogue que j’ai écris ça. Fallait peut-être imaginer plus de « mmmh » et de « aaaah » ! Bref, quoiqu’il en soit, des heures ainsi ? Est-ce que la religieuse allait réussir à résister ? Cela ne faisait pas l’unanimité chez les spectateurs, vu que le vote du public montrait que la moitié pensait que oui, l’autre moitié que non. Ouais, je m’amuse à imaginer des votes du public. J’ai pas honte. Qu’est-ce que tu vas faire ? Hein ? Qu’est-ce que tu vas faire contre moi, l’autrice de ces vers ! C’est pas des vers, mais vers ça rimes avec faire… Voilà pourquoi j’ai dis ça… Bon je m’enfonce, donc, je vais m’arrêter là. Hein, donc, je vous dis à la prochaine les cocos !

Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 17 septembre 2018, 00:56:33
« N’ESSAIE PAS DE PARLER ! HURLE, SALOPE !! »

Voilà qui coupa court aux tentatives de dialogue de la jeune nonne. Sérieusement ! Comment pouvait-elle espérer discuter dans de telles conditions ? Sarah venait de lui sortir le grand jeu, un spectacle intense, insoutenable, qui allait amener Marie à la limite de l’inconscience. Même avec l’entraînement que la nonne avait reçu, et son endurance, Sarah lui imposait un rythme soutenu avec sa double queue. Il était rare qu’elle se lance dans de telles extrémités avec ses partenaires, et le fait qu’elle le fasse était indéniablement la preuve qu’elle tenait beaucoup à sa religieuse.

Elle la prenait donc vigoureusement, et attrapa ses cheveux d’une main, soulevant le corps de Marie, continuant à la baiser furieusement contre l’autel formien. Le corps de Marie se soulevait et s’abaissait régulièrement, son bassin emporté par les mouvements puissants et frénétiques de la femme. La Reine des Lames y allait avec toute l’énergie dont elle était capable, et relâcha les cheveux de Marie au bout de multiples coups de reins, laissant la femme s’effondrer sur l’autel. Ses mains se posèrent sur ses hanches, et elle continua à la prendre, griffant légèrement sa peau, y prenant appui, tout en la besognant... Encore et encore. Avec appétit. Avec énergie. Sarah n’y allait pas par quatre chemins, elle s’enfonçait en elle, profondément, déformant ses parois, défonçant ses trous, grognant sur place, libérant toute sa sauvagerie et toutes ses pulsions sexuelles.

« Allez, allez... SALE PUTE, HMMM !! HURLE !! HURLE, BORDEL, HURLE !!! »

Sarah devenait méconnaissable. Sauvage, hargneuse, endiablée, énergique, furieuse ! Quelle séance, quel enfer ! Sarah prenait clairement son pied, et sa main gifla le cul de Marie, la frappant douloureusement. La Reine des Lames y allait avec toute la passion dont elle était capable, manquant d’en briser les reins de Marie, qui se contorsionnait sur place, hurlant à en perdre son souffle. Elle se frottait sur l’autel, tandis que, inlassablement, Kerrigan continuait à la prendre.

La Reine des Lames était lancée dans un rodéo furieux et torride, et elle ne comptait pas s’arrêter en si bon chemin. Au contraire, elle continuait encore et encore, faisant souffrir la belle Marie...

...Mais il ne faisait désormais plus aucun doute que la belle Marie appréciait également pleinement ce qu’elle ressentait !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 19 septembre 2018, 22:50:33
« N’ESSAIE PAS DE PARLER ! HURLE, SALOPE !! »

« AAAAAAAAAAAH ! »

Chose demandée, chose reçue ! Faut dire, évidemment qu’elle allait hurler. Là, elle avait TOUTES les raisons de hurler. Son corps était pris avec une très grande violence, sans aucune hésitation, sans aucun ressenti pour l’humaine qui avait été autrefois Marie, celle qu’il y a encore quelques semaines, mois maintenant peut-être, une femme qui n’avait jamais connu la moindre expérience sexuelle, et qui maintenant, se retrouvait prise comme une vulgaire chienne, et avec une violence qui était d’une force non négligeable. Bref, on sentait qu’elle était prise avec une violence non négligeable, une violence qui ne faisait aucun doute… Elle devrait hurler, et ouais, elle hurlait… Comment le plaisir pouvait s’engoufrer dans tout cela ? N’importe qui qui verrait cela, ne verrait que de la violence et de la cruauté, et surtout… Qu’une seule des deux personnes qui prendrait du plaisir dans l’histoire !

« Allez, allez... SALE PUTE, HMMM !! HURLE !! HURLE, BORDEL, HURLE !!! »

« OUI MAITRESSE !! »


ELLE A PARLE ! Cela fait beaucoup de majuscule, je vous l’admet. Mais bref… Vous vous souvenez de mon paragraphe précédent ? Et bien… Et bien, voilà il faut que vous compreniez… Que Marie prenait COMPLETEMENT son pied. Mais vraiment, elle adorait ce qui lui arrivait. Alors, bien sûr, cela ne retirait en rien ce qui avait été dit précédemment. Oh que oui, elle douillait, elle douillait grave même, cela ne faisait aucun soucis, aucune incompatibilité avec le fait qu’elle prenait son pieds comme jamais. Ça, c’était du plaisir totale… Faut dire, le tout était si bon ! Elle avait envie de jouir, elle devait jouir, la jouissance, le sexe, le plaisir, il ne restait plus que tout cela dans sa tête, et bien, on sentait que cela allait bientôt amener une chose, une chose importante… Et elle était arrivée, étant donnée que :

« MMMMMHHH AAAAAAAAAAAAH ! »

Douleur et plaisir se mêlait donc, comme dit précédemment… Et bien, il fallait croire que cela marchait parfaitement ! Sarah ne cachait pas ses talents, et on comprenait mieux comment son… Disons… Talent avait réussi à convaincre plus d’une femme dans la cause des Formiens. Car après cela, il était sûr, plus jamais de sexe ne paraîtrait normal, plus aucun moment intime avec même Rocco Sifredi, ou des clones génétiquement modifiés du même Rocco Sifredi pourrait réussir à satisfaire une femme. Et bien, là, dans le cas de Marie, c’était clairement le cas, elle gémissait comme une bonne grosse salope, et ce « MMMMHHH AAAAAAAAAAH » n’était pas un cri anodin… Il refletait un truc clair et nette… Elle venait de jouir, elle venait de jouer à l’assaut qui la prenait depuis tout à l’heure, et on sentait que son orgasme n’était pas un petit orgasme de rien du tout… Oh non…

« OOOOOOOOOOOOH ! »

Elle faisait typiquement la tête du « fucked silly ». Vous savez, quand vous avez une expression totalement débile, après la jouissance ! Et bien, là, c’était totalement le cas. Elle était incapable d’aligner ne serait-ce que deux pensées cohérentes entre elle, elle ne ressentait plus rien d’autres que ce mélange entre jouissance et douleur, plaisir et souffrance. Totalement abandonnée dans les mains de Sarah, celle-ci pouvait maintenant faire ce qu’elle voulait de Marie. Là, venait dans cette magnifique jouissance sauter le dernier boulot de résistance mentale de Marie. Elle s’offrait maintenant complètement en la Ruche Formienne. Non, il fallait même arrêter de dire ça… Ainsi, bientôt remplise par la reine des Formiens, elle était maintenant une Formienne, corps et âme confondu !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 24 septembre 2018, 01:05:54
« Tu vois, tu es déjà plus résistante, jeune femme... »

Sarah avait baisé énergiquement Marie, avant de se relâcher copieusement en elle. Un nouvel orgasme, et un nouveau bébé à venir bientôt pour Marie ! La religieuse était en effet à nouveau enceinte, ce qui, à terme, allait devenir pour elle une situation habituelle. La Reine des Lames la relâcha ensuite, et laissa Marie reprendre ses esprits, tout en se calmant elle aussi. Mine de rien, le sexe était une activité très intense, et assez épuisante. Sarah se déplaça encore doucement, jusqu’à se rapprocher de Marie, et s’assit à côté d’elle.

Pour une fois, elle ne retournait pas la baiser sauvagement. La religieuse avait besoin de se reposer, mais il fallait aussi que Sarah lui explique ce qu’elle attendait d’elle. Pourquoi n’avait-elle pas fait de Marie une simple pondeuse ? Pourquoi l’avoir conduit ici ? Sarah poursuivait un objectif très particulier avec Marie, presque une sorte de lointain fantasme qu’elle allait enfin pouvoir accomplir. Marie allait sans aucun doute être ravie d’apprendre qu’elle avait un rôle à jouer dans les plans de la redoutable et sensuelle Reine des Lames.

« Tu te demandes sûrement ce que j’attends de toi, Marie, hein ? »

Question purement rhétorique. Sarah se releva encore, et désigna de la main l’autel que Maire avait vu, et qui lui avait permis de voir l’immense banque de connaissances de la Nuée.

« Vois-tu, j’étais jadis une humaine, tout comme toi... Je suis une expérience unique, une créature hybride façonnée par les tentacules d’Abathur, sur la volonté spéciale de l’Overmind. Les humains fascinent l’Overmind, vois-tu... En un sens, j’ai été choisie pour assurer le lien manquant entre les humains et les Formiens. Et toi, ma chérie, tu vas, dans une moindre mesure, contribuer à ce lien. »

S’il y avait bien une chose chez Sarah dont il ne fallait pas douter, outre sa grande perversion, c’était bien de son orgueil. Et, orgueilleuse, Sarah l’était, indéniablement. À un point que Marie allait bientôt réaliser...

« Je veux bâtir une religion, Marie. Une religion autour des Formiens, et sur moi. Et je veux que tu sois ma première Grande Prêtresse, ma chérie. Je veux que tu répandes la vraie foi, la foi en un Dieu qui existe vraiment, et non en une chimère illusoire. Une religion formienne qui agira au début comme une secte, comme le fut le christianisme à l’égard du judaïsme, et qui gagnera plus d’adeptes, encore et encore... »

C’était son fantasme, l’un de ses nombreux plans. Une manière de satisfaire son ego, mais aussi, somme toute, de développer la Nuée. Un plan illusoire ? Honnêtement, quand on voyait le nombre de sectes qui fleurissaient sur Terre, il y avait de quoi tout remettre en perspective. Une secte formienne était loin d’être absurde, d’autant que Sarah promettrait aux fidèles et aux adeptes de véritables facultés, et non de simples promesses illusoires et trompeuses comme la plupart des sectes.

En somme, c’était un arrangement magnifique pour tout le monde...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 26 septembre 2018, 10:35:51
« Tu te demandes sûrement ce que j’attends de toi, Marie, hein ? »

Finalement, après un long moment, une longue session d’érotisme et de baise, et bien, voilà que finalement Sarah finalement arriva à jouir au sein de la religieuse. Dans la chatte. Et dans l’anus. C’est merveilleux d’avoir deux bites franchement, faudrait qu’il y en ait plus comme cela. Genre encore plus de bite. Mais bref… Qu’on soit clair, Marie, elle, n’avait pas jouie une fois. Elle avait jouie BEAUCOUP de fois. Non, sérieux, elle avait vraiment énormément jouie pendant tout cela, et c’était logique. Qu’on soit clair, la fameuse Sarah était la reine de la jouissance, sans aucun doute, et elle avait bien foutu sur les rotules notre chère Marie… Car ouais, ça avait été un rodéo éreintant, et là, s’il y avait le moindre doute, voir Marie, et on comprenait tout de suite à quel point cela l’avait été…

C’est pour cela qu’il n’y eut pas de réponse dans un premier temps ! Pas de « Oui, je me demande » ou de « Non j’en ai strictement rien à foutre, prend moi sauvagement sur une commode et renfonce tes deux grosses bites dans ton fondement ! » Ce qui, on va le dire, est un poil plus long que la première proposition. Mais qui a le mérite d’être plus clair ! Alors après, même si la seconde proposition avait le mérite d’être très intéressant, il fallait bien le dire, si elle était capable de bien parler et articuler dans la situation, après être restée un bon long passager à juste hurler, et bien, elle aurait répondus qu’en effet, elle se le demandait. Mais voilà, elle n’avait pas été capable de le demander… Donc, pas de réponse ? Et bien heureusement, si ! C’était une question rhétorique, ce qu’avait demandée notre chère Sarah !

« Vois-tu, j’étais jadis une humaine, tout comme toi... Je suis une expérience unique, une créature hybride façonnée par les tentacules d’Abathur, sur la volonté spéciale de l’Overmind. Les humains fascinent l’Overmind, vois-tu... En un sens, j’ai été choisie pour assurer le lien manquant entre les humains et les Formiens. Et toi, ma chérie, tu vas, dans une moindre mesure, contribuer à ce lien. »

Le lien manquant entre les Formiens et les Humains… Oui, on pouvait deviner qu’il manquait, étant donné que Marie était persuadée que mise à part les captifs -et heureux de l’être, je rappelle que maintenant, notre chère religieuse était à 100 % d’accord-, personne n’avait jamais entendu parler de ces fameux aliens ! Et pourtant, Dieu que cela était bon ! Ouais, encore un blasphème, bien qu’on puisse se demander si cela avait vraiment un poids, maintenant qu’elle semblait avoir couper les ponts avec la religion chrétienne… Mais passons. Quoiqu’il en soit, elle avait grosso-modo reprit la plupart de ces esprits, et bien qu’elle n’avait pas pu répondre à cette parties des déclarations, maintenant, il semblait presque sûre qu’elle pourrait répondre aux restes des demandes et des remarques de la fameuse Sarah ! Tant mieux, car la partie suivante la concernait directement, d’où son importance !

« Je veux bâtir une religion, Marie. Une religion autour des Formiens, et sur moi. Et je veux que tu sois ma première Grande Prêtresse, ma chérie. Je veux que tu répandes la vraie foi, la foi en un Dieu qui existe vraiment, et non en une chimère illusoire. Une religion formienne qui agira au début comme une secte, comme le fut le christianisme à l’égard du judaïsme, et qui gagnera plus d’adeptes, encore et encore... »

« Comment pourrais-je refuser maîtresse... »


Alors, là, il va falloir écouter. En effet, on pourrait croire que simplement, elle dit ça car voilà, elle veut bien se faire voir par celle qu’elle considère comme sa maîtresse. Après tout, ça serait logique. Depuis qu’elle avait fini sa « corruption », peut-on dire, et bien, elle était clairement, ça se voit, dans une vénération de sa maîtresse. D’ailleurs, le fait qu’elle utilisait le terme « maîtresse », ou même « seigneur », et bien, cela voulait tout dire. Pourtant la réalité, comme toujours est un peu plus complexe. Ce n’est pas une simple soumission, une obéissance aveugle qui serait donc lié à la situation où elle était, et à un certain amour qui serait née du fait qu’elle se serait prise une bonne grosse bite dans le cul ! Non, il y a une vraie raison. Ainsi, se levant et se redressant, malgré quelques maux aux fondements, elle put déclarer alors :

« Tout… Toute ma vie j’ai été convaincu de l’amour de Dieu. Qui a amené tremblement de terre, épidémie, guerres… »

Ouais, ça, chez les gens qui avaient quelques doutes sur Dieu, c’était souvent quelques choses qui était difficile à digérer. Dieu est amour ? Ouais, et les tremblements de terre, les épidémies, et les guerres c’est THE moyen de donner l’amour. D’ailleurs, vous connaissez la naissance pour beaucoup de l’athéisme moderne ? Le tremblement de terre de Lisbonne, en 1755. Le Portugal, pays extrêmement pieux, qui avait une grande concentration de Jésuite, et bam. Sa capitale est quasi rasée par un des pire tremblements que l’Europe a connu depuis la fondation du christianisme. Même on peut le dire, le pire. Pour beaucoup de personnes, ce fut la preuve que Dieu est amour, c’est faux. Voltaire (qui n’était pas athée, juste théiste.) d’ailleurs montre la connerie que fut alors de croire que le Dieu Chrétien était un dieu d’amour.

« Le début fut violent, mais ce fut avec vous que vous m’avait donné de l’amour. Vous m’avez fait comprendre que le sexe, même dans sa violence et dans la douleur, n’était qu’amour et plaisir… C’était si bon... »

L’Overmind, contrairement aux déclarations du dieu chrétien, n’était pas un Dieu omnipotent qui promettait amour. L’overmind n’était pas là pour justifier les séismes, tremblement de terre, ou pourquoi ton voisin avait chié sur ta pelouse ! Cepeeendant ! Il était capable de donner de l’amour. Tellement d’amour ! Tellement de plaisir ! Là, encore une fois, le début avait été un peu… mmh… Comment dire… Violent ! Oui, ça avait été un rapt, un viol, une maltraitance, qui avait duré… Combien de temps ? Elle ne savait même pas, elle avait plus aucune notion du temps qui était passé depuis son rapt, on va bien dire. Mais bref, le début avait été violent. Mais finalement, elle avait cet amour… Et donc, elle était prête à faire en sorte que cet amour soit partagé par tous, pour tous ! Et ça, c’est beau… Ainsi, elle déclara :

« Je veux vous aider à transmettre cet amour. »

Avec Marie comme prêtresse, disons que cela pouvait tenter d’amener un peu de douceur. Bien que Formienne maintenant, et bien… Elle n’était pas tout à fait non plus dans le même délire. Elle était loin d’être violente comme beaucoup ! Mais elle serait totalement dans le même délire ! Bref, elle acceptait d’être la prétresse d’une nouvelle religion, et portez l’étandart de cette nouvelle religion ! Et cela, elle le faisait non seulement avec plaisir, mais aussi l’honneur, et l’intime convinction qu’il était temps de rendre à tous une vraie religion d’amour et de vénération ! Elle était contente d’elle, et cela faisait très plaisir, n’est-ce pas ? Bref, on allait bien voir ce que cela allait donner, mais cela était très intéressant. Très très intéressant.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 01 octobre 2018, 01:04:09
La religion était un concept qui avait toujours surpris les Formiens. La croyance en des spiritualités, en des idoles dont l’existence même était suspecte, sujette à caution. Les Dieux existaient, pourtant. Sarah le savait, les Formiens le savaient, mais la religion se moquait de leur existence. Le christianisme, le judaïsme, l’islam... Ces religions majoritaires sur Terre surprenaient Sarah, et se retrouvaient dans tous les autres mondes, sous des formes plus ou moins différentes. De manière générale, l’être vivant avait une tendance naturelle au mysticisme et à la superstition, et ce qui était encore plus étonnant, c’est que ce mysticisme perdurait même dans les sociétés scientifiquement évoluées. Sarah était donc assez troublée par tout cela, mais elle y voyait surtout une opportunité. Après tout, elle avait encore en elle des facettes humaines, suffisamment pour y voir le potentiel de la religion.

Car la religion avait toujours été utilisée, et avait toujours servi à des fins politiques. L’histoire du christianisme sur Terre en était une bonne illustration, tout comme l’ensemble des religions de manière générale. Les Romains voyaient d’ailleurs en la religion un outil de manipulation sociale, permettant de contrôler les foules, en intégrant dans leur panthéon les Dieux venant d’autres cultes. Une philosophie qui s’était heurtée au développement des religions monothéistes niant la présence de panthéons, au profit d’une seule divinité supérieure. Marie, de son côté, accepta son offre sans rechigner. Sarah sourit doucement en la regardant, et caressa tendrement son visage, avant de retourner l’embrasser sur les lèvres.

« Hmmmm... Oui, voilà, ma chérie... »

Sarah s’écarta doucement d’elle, un sourire mielleux en coin, et caressa son visage, restant proche d’elle. Oui, elle pouvait sentir les pensées de Marie. Ses doutes avaient disparu, ou, du moins, s’étaient profondément atténuées, au profit d’une silencieuse et jouissive acceptation de la situation présente. Elle aimait l’idée de servir Sarah, de vénérer sa Maîtresse. Et Sarah se voyait très bien avec une foule de cultistes.

« La Terre est un monde où les Formiens ne sont pas très présents, ma belle. C’est aussi un monde où je ne peux pas me déplacer librement. Les Terriens sont aussi obtus que toi en venant ici. Ils ne voient pas l’opportunité que la Fourmilière offre, et préfèrent vivre dans la morosité de leur existence, à croire en de fausses idoles, que ce soit Dieu, l’argent, ou quoi que ce soit d’autre. »

Les talents de persuasion de Sarah se couplaient avec ses pouvoirs mentaux, permettant ainsi à la Reine des Lames de contrôler les proches, de les influencer, comme elle l’avait fait avec Marie. Elle lui caressa encore le visage, déplaçant sa main sur ses cheveux, et l’embrassa une nouvelle fois, son corps tendre et sensuel se collant contre celui de la religieuse. Sarah continuait à la guider, car c’était là tout ce que Marie méritait.

Elle lui sourit ensuite.

« Il faudra que tu récupères d’autres personnes sur Terre, tu sais... Je dispose d’un point de chute à Seikusu, un manoir abandonné qui sera mon temple. Et, pour te récompenser de ta dévotion, je t’autoriserai à voir l’Overmind en personne... »

Marie rencontrerait ainsi directement son nouveau Dieu ! Mais Sarah ne lui offrirait pas cette récompense ultime trop rapidement, car elle devait être la consécration de toute une vie vouée à servir sa Maîtresse.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le vendredi 05 octobre 2018, 18:46:59
Maintenant, il fallait comprendre que notre cher Marie était une formienne, comme beaucoup d’autres, elle l’avait accepté, elle l’était corps et âme, et en était bien heureuse. Encore une fois, elle n’aurait jamais pensée être heureuse de cela… Mais voilà ! Il faut appeler un chat un chat, et comprendre qu’elle avait acceptée son nouveau destin ! Et visiblement, cela plaisait beaucoup à son interlocutrice. Alors qu’elle ne s’y attendait pas, la fameuse Sarah approcha la religieuse d’elle, et commença à l’embrasser. De suite, Marie arriva à suivre le mouvement, et accompagner le baiser, histoire de le rendre encore plus torride… Elle avait appris à s’améliorer sur ce point, et franchement, pour Sarah, cela ne faisait aucun doute que c’était mieux que les premiers baisers qu’elle avait fait !

« Hmmmm... Oui, voilà, ma chérie... »

Elle était contente ! Elle avait rendus satisfaite sa nouvelle déesse ! Le pire, c’est qu’elle se souvenait comment elle avait été amené ici, ce qu’elle avait subit, mais… Mais elle l’acceptait. Ne disait-on pas « on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs ? » Et bien, ouais, on dit ça, donc, cela voulait dire qu’elle devait l’accepter. Elle avait souffert, mais ce qu’elle avait gagnée grâce à cette souffrance valait largement les heures -jour peut-être- de souffrance ! Car cela avait été nécessaire pour sa transformation. Elle avait été plusieurs fois dans des cocons depuis qu’elle était arrivée dans la ruche. Et bien ces cocons avaient été nécessaires à ses yeux pour sa transformation. Sa transformation en un magnifique papillon. Comment pourrait-elle rester sourde devant le fait que plusieurs de ces compatriotes, eux, n’étaient pas encore transformés ? Elle devait aider ! Absolument !

« La Terre est un monde où les Formiens ne sont pas très présents, ma belle. C’est aussi un monde où je ne peux pas me déplacer librement. Les Terriens sont aussi obtus que toi en venant ici. Ils ne voient pas l’opportunité que la Fourmilière offre, et préfèrent vivre dans la morosité de leur existence, à croire en de fausses idoles, que ce soit Dieu, l’argent, ou quoi que ce soit d’autre. »

« Nous avons été bercé de faux-dieu, de fausses croyences... »

Totalement… Elle pensait que c’était logique que les humains soient aussi obtus… D’ailleurs, elle avait posé une fois la question à son père, elle se souvient… Elle était toute jeune. En effet, un homme se faisait arrêter par des policiers et quelques agents psychiatriques, qui amenaient un homme qui hurlait à s’en décrocher la machoire : « JE SUIS LE FILS DE DIEU ! JE SUIS LE FILS DE DIEU ! »… Elle avait demandé alors à son père « Si Jésus revenait, il se ferait arrêter et mettre en prison lui aussi ? ». Son père ne l’avait pas répondu, et elle avait oublié cela peu à peu… Les humains n’étaient pas des êtres qui croyaient si facilement, bien qu’il pouvait aisément suivre des sectes et des religions… Bref, quoiqu’il en soit, elle tentait de justifier le comportement des humains, un peu comme si elle avait peur que Sarah s’énerve contre ces derniers !

« Il faudra que tu récupères d’autres personnes sur Terre, tu sais... Je dispose d’un point de chute à Seikusu, un manoir abandonné qui sera mon temple. Et, pour te récompenser de ta dévotion, je t’autoriserai à voir l’Overmind en personne...»

« Je donne quelques cours à des élèves... »

Elle allait commencer par ces derniers. c’était une bonne idée, elle pensait. Après tout, elle avait des filles et des hommes lors de ses cours d’italien, des lycéens, qui pourraient progressivement être convaincu. Par quelques déclarations, quelques chemins… Bref, elle avait une petite communauté qu’elle pourrait progressivement aider à retourner dans le droit chemin. Celui des Formiens ! Les pauvres, ils devaient découvrir leur vrai place, et même si cela serait difficile au début… Et bien, cela devait arriver ! Oui, c’était difficile d’accepter, de se faire violer… Mais c’était un sacrifice acceptable, quand on savait ce que cela nous apportait après ! On souffrait un temps relativement court, et après, on pouvait accepter qu’on avait rejoint un rang supérieur… Et cela, chez les personnes fortes, puissantes, dans les sommets des hiérarchies religieuses et sociales, ce n’était pas spécialement utile… Mais dans le cas d’autres personnes… Comme celle dont la fameuse Marie allait parler, là, maintenant…

« Mon niveau social est bas, et je côtoie beaucoup de jeune défavorisée, perdue, perdue en recherches de religion, d’aide, de soutien... »

Ouais, cela jouait beaucoup. Comme dit précédemment, ce n’était pas les puissants, les riches, les installés, qui allaient l’écouter… Non ! C’était au contraire des gens des classes populaires, des gens dont la vie était difficile, insatisfaisante, malheureuse… Bref, vous avez bien compris le genre de soucis qui arrive, et qui brise votre vie… Oh oui !!! Maintenant que la fameuse Sarah avait montré la vérité, et promettait même qu’elle puisse un jour rencontrer… L’Overmind… Et bien, Marie était convaincue… D’un côté, elle voulait absolument rencontrer l’Overmind, cela serait sans aucun doute l’un des plus grands honneurs possible… Mais de l’autre côté, il y avait aussi, et cela était tout autant important, faut pas croire…

« Je me ferais un honneur de les sauver... »

Aux yeux de Marie, ce qu’elle allait faire, c’est vraiment sauver ces personnes, cela ne faisait aucun doute. Elle devait les sauver, les sauver le plus vite possible, car ils étaient perdus, abandonnés, maltraités… Ainsi, Marie se voyait vraiment comme la gentille dans l’histoire. Mais était-elle pour autant la « méchante » ? Non, bien entendue ! Il n’y avait ni gentil ni méchant dans l’histoire, ni bonnes personnes, ni mauvaises. Non, c’était juste des chemins, des chemins différents mais important à reprendre… Et Marie avait décidée quel chemin elle allait prendre. Le bon chemin : Le meilleur des chemins même ! Maintenant, cela allait sans doute devenir, si vous voulez mon avis, très intéressant… Très très intéressant même ! Marie avait bien prit son chemin, et elle allait être la lumière aux yeux de beaucoup, elle en était sûre !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 08 octobre 2018, 01:05:17
Sarah n’allait pas encore relâcher Marie, même malgré sa motivation et ses explications. La jeune femme paraissait prête, mais, en revenant sur Terre, il était tout à fait possible que son ancienne personnalité reprenne le dessus, qu’elle retrouve ses esprits, et décide, finalement, de rester dans l’ignorance. Et, même si elle ne le réalisait pas encore, Marie était précieuse pour Kerrigan. Elle avait jadis vu la Terre comme un eldorado, un vivier de pondeuses et de proies potentielles, mais elle avait compris que la Terre avait ses propres défenseurs. Le SHIELD, les super-héros... Ils étaient très actifs à Seikusu, compensant l’absence des Tekhanes. Sarah devait donc y aller sagement, en utilisant des femmes comme Marie, des humaines corrompues, mais qui n’avaient pas encore été transformées en Formiens. De cette manière, ses espions évitaient d’être repérés par les radars adverses. Tout cela, Sarah devait aussi en parler à Marie.

Pour l’heure, elle lui désigna de la main l’instrument sur lequel elles avaient fait précédemment l’amour.

« Tu pourras accéder à ce registre quand tu veux, Sarah. Il est important que tu comprennes ce que nous apportons, et le bien que notre race procure aux autres espèces de l’univers. »

Toutes les planètes absorbées par les Formiens, toutes les civilisations assimilées dans la Nuée, se trouvaient ici. C’était un relais, comme une sorte d’ordinateur permettant d’accéder à un serveur. Bien sûr, les données en elles-mêmes ne se trouvaient pas ici, sur Terra, mais Marie pourrait y avoir accès. Elle y verrait quantité de civilisations, certaines étant restées à un statut très embryonnaire. Des peuplades barbares, sauvages, cruelles, qui s’entretuaient régulièrement, et, même dans les civilisations les plus évoluées, elle verrait les défauts, les imperfections, alors qu’ici, au sein de la Nuée, il régnait une forte harmonie, une union totale. Personne ne mentait sur son rôle, et tout le monde acceptait sa situation.

Marie aurait tout le temps de réaliser ça. Sarah retourna encore l’embrasser, plaquant sa bouche contre la sienne, et soupira doucement, sa main jouant sur les cheveux de la nonne. Oui, elle sentait les convictions de Marie, mais elle avait encore besoin de se montrer prudente. Même en lisant dans son esprit, Sarah ne pouvait connaître ses pensées inconscientes, sauf à véritablement forcer le passage, ce qui était toujours risqué. Elle ne voulait prendre aucun risque.

Le baiser se termina au bout de plusieurs secondes, et elle sourit doucement à Marie.

« Je vais mettre ça en place, Marie. En attendant... Sois une gentille fille ! »

Sarah la poussa alors en avant, et Marie fut aspirée par des tentacules. Elle disparut ainsi dans une sorte de long toboggan, qui la conduisit à une autre partie de la Fourmilière, et tomba au milieu d’une pièce. Alors qu’elle reprenait ses esprits, Marie put voir deux cocons, contre le mur, s’ouvrir. Ils libérèrent un liquide verdâtre, mais aussi deux corps massifs, monstrueux... Deux Formiens verdâtres insectoïdes (http://img110.xooimage.com/files/d/2/e/green_monsters-5531a15.png), des créatures massives avec une langue très particulière (http://img110.xooimage.com/files/9/9/0/monster_tongue-5531a1f.png), et, évidemment, d’énormes chibres.

Les nouveaux amants de Marie s’approchèrent d’elle en poussant de sourds grondements...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 10 octobre 2018, 23:39:44
Dans un premier temps réticente, là voilà une partisante totale de Sarah. Alors, bien sur, une retrouvaille avec son père pourrait tout gâcher : Elle admirait son père, elle le vénérait, donc, bien entendu cela risquait d’être difficile. Elle pourrait rechuter du côté obscur, le côté de la foi… Et évidemment, pour Sarah, cela ne serait pas bon du tout ! Ce n’était pas ce qu’elle voulait. Elle voulait une bonne prétresse, pas une prêtresse qui doute de sa foi. Qu’est-ce qu’une prêtresse qui doute de sa foi ? Sinon une mauvaise prêtresse ! Bref, quoiqu’il en soit, visiblement, la fameuse reine des Formiennes avait donc une bonne idée derrière la tête, et l’avantage, c’est qu’elle avait maintenant beaucoup moins de résistance de la part de son interlocutrice qu’autrefois. Et encore une fois, cela, cela faisait plaisir !

« Tu pourras accéder à ce registre quand tu veux, Sarah. Il est important que tu comprennes ce que nous apportons, et le bien que notre race procure aux autres espèces de l’univers. »

« J’apprendrais le plus possible ! Je me dois de connaître toujours plus ! »

Point qu’on élabore peu en général quand on parle de Marie, car on se concentre sur sa foi… Mais Marie est une érudite ! Elle est une savante. Bien souvent, d’ailleurs, elle avait été bloquée par le fait qu’elle hésitait entre sa foi, et la connaissance pur et dur. Alors, la plupart du temps, la foi gagnait. Faut bien l’avouer. Mais parfois, elle décidait de fermer les yeux sur sa foi et elle croyait la raison. C’était ainsi qu’elle avait accepté certains poncifs que des anciens co-religionnaire eux critiquaient. Genre par exemple, l’héliocentri… Non, je déconne, sur ce point, cela faisait bien longtemps que l’église avait accepté ce principe. Mais d’autres plus débattus, comme par exemple, la théorie de l’évolution, que si beaucoup de catholique acceptait… Et bien d’autres étaient plus réticent … Mais bref, assez de blabla, vous le voulez bien ! Concentrons-nous sur le plus important, c’est à dire, l’action !

« Je vais mettre ça en place, Marie. En attendant... Sois une gentille fille ! »

« Quoi ? »


Soudainement, une ouverture dans les tentacules s’ouvrit. Et sans crier gare, ni même aéroport, et bien, l’ouverture fut utilisée pour faire entrer la fameuse Marie ! Ouah, cette phrase était hyper complexe pour une idée hyper simple ! Mais que voulez vous ! J’adore dans ma vie me complexifier la vie pour des trucs hyper simples. Vous ne saviez pas, c’est mon petit plaisir secret ! Et ouais ! Bref, quoiqu’il en soit, la fameuse religieuse, sans s’attendre à quoique ce soit, commença à glisser vers les profondeurs. Elle ne savait pas ce qui l’attendait, mais elle supposait que cela faisait partie de son entraînement ! Après tout, elle avait maintenant parfaitement confiance en Sarah, et elle savait que si elle ressentait de la douleur, cela faisait partie de ce qu’elle devait faire pour être prête, pour faire ce qu’elle devait faire ! Cependant, cela n’empêchait que la descente fut un peu brutale….

« Ouuuh... »

Elle avait mal au cul. Elle s’était en même temps un peu vautré à l’atterrissage, on pouvait pas lui donner la meilleure note sur toute la descente ! Et ouais, désolée Marie ! Je suis gentille, mais là je peux pas te donner la meilleure note. Tu te contenteras d’un… 7/10. C’est pas si mal 7 sur… Quoi ?  Vous en avez marre des digressions ? Et bien, euh… je… Ah oui ! Donc, des sortes de créatures… Canines ? Quadrupède en tout cas, approchaient donc lentement -mais surement- de notre religieuse. Ceci étaient équipés de langues étranges, et surtout, avaient des énormes queues, dans le devant. Pas dans le derrière… Vous comprenez ? Des énormes BITES, qui allaient sans doute servir d’ici peu, Marie n’était pas dupe. On pourrait imaginer qu’elle allait commencer à paniquer… Mais… Mais ce ne fut pas exactement ça qui arriva :

« Oh… ? Bonjour vous ? Vous êtes là pour vous accoupler, c’est ça… ? »

Bien différent d’autre fois n’est-ce pas ? Autrefois elle aurait crié, hurlé, dit aux monstres de ne pas approcher le moins du monde… Mais là, elle semblait même pas… Inquiète ! Elle semblait parfaitement rassurée, comme si c’était normal… Mais vous ne comprenez pas… C’est normal maintenant pour elle ! Enfin, non pas totalement. On va pas mentir, elle n’était pas non plus totalement rassurée, en mode « Oh ouais, je vais me faire prendre par ces énormes queues » ! Mais la différence par rapport à avant, c’est que maintenant, elle était prête à se lancer. Même si cela allait sans doute être TRES éprouvant, et bien, elle était prête… Elle caressait ainsi les étranges créatures, ne sachant pas comment se révéler encore plus : elle ne savait pas encore comment retirer cette étrange tenue… Mais pas grave, cela allait sans doute se faire tout seul, comme tout ici ! Bref, on allait bien voir, se disait-elle !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 22 octobre 2018, 00:58:18
Marie rencontrait de nouveaux pensionnaires de la Fourmilière. Elle avait à nouveau la démonstration de la diversité biologique qui existait ici. Elle ne le réalisait pas encore, vu que son regard était braqué sur les deux monstres face à elle, mais la jeune femme avait débarqué dans une sorte de serre, de jardin. Il y avait des plantes dans les coins, diffusant des arômes aphrodisiaques, de délicieux effluves. Ces créatures elles-mêmes étaient à l’origine une espèce insectoïde vivant en harmonie avec la flore dans un monde presque exclusivement végétal. Rattacher cette espèce à la Nuée avait été très facile, et ces créatures avaient bénéficié de superbes changements. Les deux Formiens se rapprochèrent ainsi de Marie. Ils n’avaient jamais été capables de parler, ni  même de communiquer, ce qui fit que, même si la religieuse leur avait interdit de venir, ils seraient quand même venus. Pour ces Formiens, et comme pour tous les Formiens, la notion de viol n’existait pas vraiment.

Toutefois, ils n’étaient pas des amants inutilement brutaux, et Marie allait pouvoir le constater. Debout, elle vit l’un d’eux se glisser dans son dos, tandis que leurs visages vinrent se frotter contre le sien. Ils avaient une peau légèrement gluante, un peu collante, et celui resté devant elle approcha son visage du sien... Et lui offrit un baiser. Un baiser assez particulier, car de multiples langues s’enfoncèrent dans la bouche de Marie, prodiguant à la religieuse un plaisir inattendu, tandis que la salive du monstre se déversait depuis ses nombreuses langues. Il avait une haleine assez repoussante en soi, mais également aphrodisiaque, ce qui ne devrait pas manquer de perturber Marie, tandis que des mains la caressaient. Le Formien qui l’embrassait avait en effet glissé ses doigts rocailleux entre ses cuisses, la masturbant, et l’autre en fit de même, mais avec ses seins.

Ses deux épaisses mains serrèrent ces derniers à travers la combinaison, et lécha le cou de la femme avec les nombreux tentacules sortant de sa bouche. Autrement dit, Marie était en ce moment plutôt bien entourée (http://img110.xooimage.com/files/b/6/f/monster_kiss-553b83a.png) ! Contrairement aux autres Formiens, qui avaient pénétré d’emblée Marie, ceux-ci étaient inhabituellement « doux », veillant au plaisir de la femme. Ils caressaient ainsi ses parties intimes, exploraient son corps. Les langues jouant dans sa bouche se tortillèrent autour de sa langue, et filèrent même contre le fond de sa gorge, diffusant un mucus spécial, un liquide qui allait dilater le fond de sa gorge, afin d’empêcher la religieuse d’avoir un phénomène de régurgitation.

L’autre Formien dénuda alors ses seins, et, peu à peu, Marie sentit sa combinaison se replier, se rétractant elle-même. Les doigts du premier Formien s’enfoncèrent ainsi directement dans son intimité, ses doigts se recouvrant de sa mouille, et l’autre Formien alla s’attaquer à ses seins (http://img110.xooimage.com/files/b/1/f/monster_boobs-553b840.png), en attrapant un dans sa bouche, ses multiples tentacules linguaux se tortillant sur ce sein, le serrant, se crispant dessus.

« Hooonnn... !! » hululaient les Formiens.

Contre ses cuisses et ses fesses, Marie pouvait également sentir les épaisses triques des deux Formiens. Le long de leurs verges, des aspérités se formèrent, et des tentacules jaillirent, poussant depuis leurs sexes pour caresser les parties intimes de Marie, notamment ses fesses, écartant l’une de l’autre. Les tentacules adhéraient à sa peau, s’y collant. La religieuse se trouvait ainsi progressivement en sandwich entre les deux, l’un devant, s’occupant de ses seins, l’un après l’autre, répandant sur eux sa délicieuse salive aphrodisiaque (ce qui eut pour conséquence de faire considérablement durcir les tétons de Marie), l’autre dans son dos, frottant sa verge contre son cul. Celui-là continuait à la masturber, et retournait régulièrement embrasser Marie.

Un délicieux effeuillage, une séance étonnamment douce, assurément la partie de sexe la plus doucereuse que Marie avait eu l’occasion d’avoir jusqu’ici au sein de la Nuée ! Difficile, dès lors, de croire que tout cela ne faisait pas partie d’une stratégie élaborée de Kerrigan pour continuer à davantage perturber Marie, et à s’assurer d’elle qu’il n’y ait plus jamais de retour en arrière !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 24 octobre 2018, 10:37:28
Là, on pouvait voir à quel point elle avait changé. Elle avait un tout petit peu peur, car on ne change pas entièrement comme ça d’un seul coup, mais elle restait calme. Elle était parfaitement calme, dans cette situation qui aurait mis pas mal de femmes dans une situation plus qu’inconfortable. Car en effet les créatures n’étaient loin d’être dans ce que tu imagines comme « sexy » quand tu es une femme avec des goûts traditionnels occidentaux ou orientaux. Bien sûr, des amateurs de Xenobiologie pourraient avoir un avis différents. Très différents. Mais bon pour le bien des mes déclarations on va faire comme s’ils n’existent pas. Ok, c’est pas très gentil pour eux, mais bon, faut bien le faire. Bref, donc, les créatures étaient les bienvenues, et elles n’allaient pas se déranger ! Elles allaient venir sans aucun doute. De toute façon, il est très probable qu’elles seraient venus même sans l’accord de notre chère Marie. 

Alors que les nouveaux venus approchaient de plus en plus, Marie en profita pour voir un peu le paysage. Comme les créatures, il y a encore peu, Marie aurait trouvé tout cela horrible, dégueulasse, elle aurait détesté cette vision, bref, vous aurez compris… Elle n’aurait pas spécialement aimer. Ouais, dis comme ça, ça baisse pas mal, mais voilà. Disons que j’aime bien jouer dans l’euphémisme. C’était un milieu naturel, avec plein de plantes… Beaucoup lui étaient totalement inconnus. Etaient-elles extraterrestres ? Possible, mais elle ne se connaissait pas non plus beaucoup dans toutes les questions de biologies… Bref, quoiqu’il en soit, c’était quelques chose de naturel, et cela lui faisait du bien. Beaucoup de bien. Cela changeait des décors tentaculaires qu’elle avait pu voir depuis un moment.

Mais revenons en aux créatures. Voyant bien que Marie n’avait absolument aucun recul, aucune tentative même de les chasser, et bien, il n’y avait aucune hésitation. Ils étaient totalement ouvert, et invité à venir justement. Donc, pourquoi s’empêcher hein ? Ouais pourquoi ? Et ainsi, elle put recevoir beaucoup de baiser, de vrais baiser par ses créatures, baiser avec qui elle participa volontiers. Oh que non, les créatures n’allaient pas profiter d’elle comme une passive, elle aurait un peu d’actif, dans ses actions. Pas grand-chose, bien sur, mais quand même ! L’autre, pendant ce temps, la dénudait complètement, et visiblement, la tenue vivante de notre chère jeune dame s’adapta, et ainsi, bientôt, son corps s’offrait à ses nouveaux venus, qui pouvaient donc en profiter pleinement !

« Hooonnn... !! »

Mmh… Cela commençait en beauté, cela ne faisait aucun doute. Tout ce que cela faisait ? Gémir bien sûr ! Faut dire, plus le temps passait plus la situation devenait excitante. Mais ce qu’il fallait rappeler : la douceur. C’était quelques choses qu’elle avait pas eu depuis longtemps, et qu’on soit clair, qu’elle n’aurait pas cru avoir avec ces créatures. Même maintenant. Car bon, quand on voit les créatures, on se dit pas que ce sont des créatures douces et gentilles. Mais comme quoi, les clichés ont la peau dur, mais sont pas forcément très bon. Car là, on voyait bien que la douceur n’avait pas été du côté des créatures humanoïdes, mais plutôt de celle-ci, et cela, et bien, cela faisait chaud au coeur, et plaisir à voir, cela, je vous l’assure. Enfin, je sais pas si vous pensez la même chose que moi, mais bon, à vous les stu...

OUAH OUAH OUAH ! C’est pas la fin espèce de fou ! On a pas parlé du plus savoureux. La substance aphrodisiaque avait une grande efficacité sur Marie, ce qui se voyait sur deux points. Le premier point, étaient visible au niveau de ses seins. Elle pointait, littéralement. Elle ne tirait pas, donc, certains Marseillais seront mécontent, mais que voulez-vous, faut bien faire un choix, à la pétanque. De l’autre côté, elle mouillait, aussi bien dans la bouche qu’au niveau des lèvres. Entre sa bave, et la bave aphrodisiaque de la créature, qui se mêlait allègrement, cela donnait un nectar divin, parfois avalé par l’ancienne religieuse, parfois par la créature, il n’y avait pas de jaloux. Chacun profitait presque à tour de rôle… Donc, nous avons vu la bouche, il nous reste donc les lèvres plus bas, comme on dit… Intéressons-nous à cela.

Pour finir, donc, concentrons-nous sur ce bas. Prise en sandwich par les deux créatures, il n’y avait pas que son intimité qui était charmée, mais aussi son anus… Elle se faisait masturber, efficacement, mais ce n’était pas suffisant. En se tortillant, elle ne faisait pas ce que faisait la plupart des dames prises en sandwich par deux mâles (là, effectivement, on est plus dans le mâle que dans l’homme), mais elle faisait l’inverse. Au lieu de chercher à éviter une pénétration, elle tentait de l’encourager… Elle embrassait ainsi continuellement ses créatures, et entre deux petits soupirs extatiques, et gémissements, et bien, elle demandait que cela arrive ! Elle espérait que ses créatures viennent lui donner la jouissance d’une bonne pénétration. Comme quoi, elle n’était même pas rassasiée après ce que lui avait fait Sarah… C’était fou !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 29 octobre 2018, 01:09:22
Les deux monstres étaient très excités, et très enflammés à l’idée de voir leur hôte répondre si favorablement à leur avance. Certes, ces créatures n’étaient pas des êtres particulièrement intelligents. Techniquement, ils étaient même idiots, avec une intelligence limitée, mais ils avaient tout de même suffisamment de réflexes cognitifs pour sentir la femme l’embrasser, pour constater qu’elle ne se débattait pas, et qu’elle leur offrait son corps bien volontiers. Ces Formiens-ci n’avaient donc aucune raison de se mettre en colère. Ils étaient après tout les descendants d’une espèce insectoïde, une espèce qui aimait l’harmonie, la discipline, et le sentiment d’union permanent. Ils la préparèrent donc, puis se glissèrent l’un et l’autre contre elle.

La suite était logique et prévisible. Leurs grosses queues se mirent à remuer, et se dressèrent à l’entrée des orifices de la jeune femme. Ils avaient d’épais vits verdâtres, légèrement gluants. Le monstre devant elle déplaça ses mains, et saisit alors la jeune femme par les cuisses, la soulevant. La tenue que Marie portait avait évolué, laissant apparaître de longs collants noirs brillants en latex. Les doigts du monstre se crispèrent dessus, faisant légèrement crisser la combinaison. Peu importe les monstres, il semblait que les Formiens de Kerrigan partageassent ses fantasmes, son attrait pour le latex. Mais cela n’avait rien de bien surprenant, car tous les Formiens de la Ruche obéissaient à leur Maîtresse.

En tout cas, le Formien la pénétra, et, rapidement, son comparse le rejoignit. Il posa ses mains sur les seins de Marie, les pinçant, et se pressa dans son dos, tandis que son vit se redressait. Des tentacules jaillissaient autour de son membre, et se posèrent sur la croupe de Marie, guidant ainsi son membre, l’orientant pour qu’il s’enfonce brusquement en elle.

« Hoooonnnn... !!
 -  Skreeeeee... !! » hululaient-ils.

Ils se tortillèrent sur place, la prenant de concert (http://img110.xooimage.com/files/a/3/a/monster_penetration-5549c60.jpg), se mettant à ruer brutalement, poussant de nouveaux grognements. Leurs queues tendues s’enfonçaient concomitamment dans son corps, et Marie ne tarda pas à hurler, se crispant contre leurs deux corps massifs. Les deux Formiens la pénétraient fortement, durement, sans relâche, grognant contre elle.

Leurs membres remuaient profondément en elle, offrant à la jeune femme un plaisir immense et jouissif. Marie devait être en train de vivre un véritable rêve éveillé !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le lundi 05 novembre 2018, 16:34:44
C’était un magnifique cercle vertueux. En effet, Marie n’avait plus peur de ce genre de monstre. Donc, les monstres étaient calme, et malgré leur manque d’intelligence -sans aucun doute que Marie était bien plus intelligente qu’eux deux réunis… Comme ils étaient calmes, et bien, Marie n’avaient absolument pas peur. Et donc, comme Marie était calme, ils étaient encore plus calmes. Et comme… Bon, je crois que vous avez compris… Bref, ainsi, la fameuse Marie était si intégré maintenant dans cet univers qu’elle attendait qu’une seule chose ! Qu’arrive ce qui doit arriver, presque comme si elle se demandait pourquoi cela n’arrivait pas plus tôt ! Après tout, sans doute que ces créatures avaient très envie de faire ce qu’elles voulaient faire… Elle était disponible, qu’elles se fassent plaisirs !

Il suffisait de demander ! Progressivement, à l’entrée de ces deux orifices, que cela soit le vagin ou l’anus, et bien, apparu deux beaux membres, qui étaient prêt à faire ce qu’ils devaient faire. La tenue s’adaptait, pour que tout soit PARFAIT. Et ouais, c’était très important que la pénétration se passe dans les situations optimums. Donc, Marie se fut pénétrée pour une première fois, par l’avant. Pour son anus, il y eut un tout petit peu plus de préparation, mais je vous rassure, c’était quand même du spontané. On sentait que le tout était extrêmement bon… Et puis, cela se sentait que cela faisait plaisir à tout le monde… Et ouais !

« Hoooonnnn... !!
 -  Skreeeeee... !! »

« HAAAAAN ! »


Bon sang quel plaisir ! Elle était pénétrée des deux trous, et totalement prise. Elle pouvait à peine bouger, elle était vraiment prise en sandwich par ces créatures qui étaient parfaitement installés. Faut dire, pourquoi n’en profiteraient-elle pas ? Et ouais ! La fameuse Marie s’offraient à elle. Mais il y avait vraiment ce côté « Je ne peux rien faire », qui plaisait énormément à Marie… Et ouais, je vous rappelle que le Christianisme est quand même, et de très loin, la religion de la soumission, de l’acceptation, de l’obéissance. Donc, même dans une situation aussi éloigné des canons du christianisme, son éducation jouait beaucoup : cela se voit, elle était heureuse à l’idée qu’elle soit prise ainsi, par ses créatures qui continuaient de faire ce qu’elles devaient faire...

Donc, finalement, la réponse à la question : Prenait-elle son pied ? MAIS OUI ! Bien sûr que oui, elle prenait totalement son pied, elle était énormément contente… Ces monstres étaient vraiment parfaitement prêt à se faire des femmes, il y a pas de doutes. Franchement, messieurs, vous pouvez vous inquétez, car là, vous avez plus doux, plus attentionnés, et franchement bien meilleur que vous au lit ! Je plaisante bien sûr… Ou vraiment ? Oui, vraiment. Mais dans le cas de Marie… Et bien, cela passait par des hurlements, mais absolument pas de douleur. Oh non ! Des hurlements de plaisir bien entendus, elle prenait son pied, et était extrêmement heureuse de ce qui se passait. Par tout les Dieux, que cela était bon ! Mais bon ! Bon sang, elle allait devenir accrocs, elle arrivait pas à le croire…

« Allez-y mes amours… Allez-y… Prenez l’amour de Dieu... »

Encore un blasphème ! Et beh, tu es lachée Marie c’est dernier temps. Ouais, faut bien le dire, elle ne croyait plus du tout en Dieu, le Dieu Chrétien, mais elle avait encore… Son éducation chrétienne. Mais elle la corrompait, exactement comme elle avait été corrompu elle, c’était pas beau ? Bref, elle voulait donner l’amour de Dieu. Elle avait l’impression que son nouveau Dieu, l’Overmind lui donnait une mission, une mission extrêmement importante, un peu comme si elle était une nouvelle Jésus, et qu’elle allait devoir ramener la divinité, le plus possible. Bref, une chose était sûre : Elle était heureuse, le plaisir était immense, et elle voulait que cela continue, car… Tout cela est bon. Elle vu que cela était bon, comme dirait la Bible !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le mardi 13 novembre 2018, 01:17:59
Mary était clairement en train de partir, de prendre un pied d’enfer tandis que les deux créatures insectoïdes, inlassablement, continuaient à la baiser. Ils étaient aussi endurants que monstrueux, et, comme la religieuse ne leur opposait aucune résistance, ils prenaient volontiers leur pied. Les deux Formiens la baisaient donc longuement, leurs verges s’enfonçant profondément en elle, lui arrachant des cris supplémentaires. Elle se tortillait sur place, ses cris entrecoupés de baisers profonds et appuyés. Les Formiens se plaisaient en elle, continuant à la baiser sans relâche, avec une passion appuyée et soutenue. Un plaisir immense qui déferlait dans le corps de la jeune femme. Ensemble, ils continuaient à la prendre longuement, passionnément, faisant durer le plaisir, grognant et grondant sur place, fourrant leurs langues adipeuses dans sa bouche. Celui la prenant devant s’enfonçait en elle, faisant doucement se courber le corps de Marie, l’autre l’accompagnant.

Plutôt bien musclés, ils écrasaient leurs torses en sueur sur elle, serrant le corps de Marie en la pressant comme une tranche de jambon prise entre les deux pans d’un sandwich. Et le plaisir, encore et encore, déferlait, s’instaurant en elle, s’imposant dans son corps. Les minutes défilaient inlassablement, tandis que les deux Formiens continuaient à la bourrer sévèrement, arrachant à Marie des couinements supplémentaires. Elle continuait à violemment se tortiller sur place, mouillant frénétiquement sur la queue du Formien devant elle, qui s’en gargarisait volontiers. Oui, ces monstres ne vivaient que pour le sexe, uniquement pour ça, et rien que pour ça ! Leur existence n’avait pas d’importance en-dehors du sexe, alors ils allaient bien se faire plaisir avec elle !

En tout et pour tout, les deux Formiens prirent Marie pendant plus d’une dizaine de minutes. La jeune femme avait beau enchaîner les orgasmes, ils n’étaient clairement pas pressés de jouir, témoignant ainsi de la redoutable endurance des Formiens en matière sexuelle. Ils continuaient donc à la prendre, jusqu’à finir par jouir... Et le firent avec un synchronisme qui trahissait leur symbiose. Autrement dit, les deux monstres se relâchèrent simultanément, balançant des filaments de foutre dans la chatte et dans le cul de Marie, grognant longuement en s’abandonnant en elle.

« Hoooooooooooonnnn... !! »

Leurs corps se crispèrent longuement tandis qu’ils jouissaient copieusement dans le corps de Marie, avant de progressivement se calmer. Leurs mouvements ralentirent, et ils restèrent ensuite nichés en elle, se frottant contre son corps, en sueur. Leurs mains griffues et musclées caressaient doucement ses hanches, ses formes, tandis qu’ils semblaient réclamer... Une sorte de câlin ! Une très étrange et inattendue affectuosité, qui tranchait clairement avec la sauvagerie et la brutalité dont ces monstres pouvaient faire preuve !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le jeudi 15 novembre 2018, 14:14:44
Prise en sandwich, la situation ne gênait pas plus que ça Marie. Le plaisir était immense pour elle, et on pouvait dire qu’elle prenait son pieds entre ces deux « monstres »… Entre deux baisers, c’était concert de couinement et gémissement, passant parfois par un hurlement bien senti, mais peu de douleur. Oui, cela faisait un peu mal parfois, mais on va bien le dire, la douleur et le plaisir n’étaient que les deux facettes d’une même pièce. Cela ne faisait aucun doute que ce soit normal qu’elle ait se genre de sentiment pendant sa prise. Et puis, on va bien l’avouer, ouais, c’était parfois un peu du hard… mais quel pied bon sang ! Pour une fois, Marty ne pourrait pas dire que ce n’est pas (le pied). N’est-ce pas ?

La grande différence entre les insectes Formiens et notre chère Marie ? Et bien, tandis que la religieuse nous faisait orgasme sur orgasme, cela en devenait presque indécent, et bien, c’était pas la même chose pour les monstres. On sentait que Marie, bien qu’adoptée, était encore une humaine, et donc, avec une résistance et une capacité d’orgasme d’humaine… Ce qui était bien loin des insectes, qui sans doute qu’en temps normal, étaient déjà bien plus endurants… Alors vous les imaginez, quand en plus, ils ont été assimilés par les Formiens ! Cela ne faisait aucun doute qu’une simple humaine comme notre chère Marie ne pouvait donc que prendre chère ! Heureusement, les insectes, comme s’ils avaient conscience de la fragilité de leur amante, n’était pas trop violents… Tant mieux ! Cela éviterait de récupérer la religieuse à la petite cuillère...

« Hoooooooooooonnnn... !! »

« Han… MMMMMH ! »


Et ce fut magnifique ! Pourquoi cela me demanderiez-vous ? Et bien tout simplement car la fameuse religieuse arriva à jouir en même temps que les deux insectes ! Et oui, ce fut donc une jouissance en trois qui arriva ! Alors, d’accord, vous allez me dire « ouais, c’est facile pour la religieuse, elle a pas arrêté... » Et vous n’auriez pas tord, on va bien le dire… Mais voilà, quand même, c’est comme ça, ça avait été franchement assez magnifique à voir, si vous voulez mon avis. Bref, donc, après une bonne partie de jambe en l’air, on pouvait dire que cela avait été intense… Mais ce n’était pas fini…. Enfin, peut-être que la sexualité, c’était en pause pour le moment, mais il y avait encore tant de choses à faire…

« Oh, mes mignons, je suis là, pas d’inquiétude... »

Elle s’approcha d’eux, et commença à les caresser, à les serrer dans ses bras… Un peu comme pour les rassurer, leur dire qu’elle était bien là, et qu’elle ne comptait pas pour le moment partir… N’était-ce pas mignon ? Cela changeait des prises de sexes extrêmement violentes qu’on pouvait admirer d’habitude sur ce forum, moi je vous le dis ! Elle était là pour eux… Après tout, elle devait montrer l’amour de Dieu. Mais ce Dieu n’était donc plus le Dieu chrétien, mais un dieu de chair, qui était l’Overmind… Ouais, c’est assez amusant à imaginer, car dans les faits, bah, c’était pas comme ça que ça marchait… Bref, quoiqu’il en soit, la fameuse jeune femme était entrain de toujous les prendre dans ses bras, et elle continuait de leur sussurrer des mots doux… Comprenaient-ils ? Sans doute les gestes, mais les mots ?

« Vous êtes les plus beaux... »

Qui aurait cru il y a encore peu de temps qu’elle aurait appelé ces créatures des « beaux » ? Franchement, on avait l’impression qu’elle parlait à des amants… Ce qu’ils étaient, après tout, cela avaient été ses amants là sur le coup, non ? Pour revenir à la question qu’on posait juste avant, sur la compréhension, il fallait bien imaginer qu’elle s’en fichait complètement qu’ils comprennent ou non. En effet, elle disait cela pour eux, et dans un sens, elle était persuadés qu’ils comprendraient, quoiqu’ils arrivent. N’était-ce pas des formiens ? N’étaient-elles pas une formienne ? Les mots n’étaient peut-être pas compris, mais les gestes, la délicatesse, et surtout le sexe, voilà un langage universelle, le vrai langage d’autrefois ! Celui que Dieu avait bannis avec la Tour de Babel… Et bien, voilà, elle, avec les Formiens, retrouvaient ce langage… Cela ne faisait aucun doute… Et elle en était très heureuse.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 19 novembre 2018, 00:46:32
Les changements étaient efficaces. Même si Sarah n’était plus physiquement en compagnie de Marie, elle veillait sur toute sa couvée. La Nuée était sienne, et elle sentit donc le plaisir, sincère, de Marie. Elle ne ressentait pas de répulsion envers ces deux monstres, et allait même jusqu’à faire preuve de douceur, se collant à eux. Sarah en sourit légèrement, amusée par cette situation. Certes, ses pouvoirs psychiques avaient permis de faire basculer la femme, d’amener la religieuse dans la situation où elle était actuellement, mais... Il aurait été injuste de réduire la situation à ça. Elle avait aussi su convaincre Marie de sa nouvelle existence. Elle l’avait retourné, lui faisant découvrir une vie inédite. Finalement, ne pouvait-o, pas voir en la Fourmilière un Jardin d’Eden ? Si on en lisait la Bible, le Jardin d’Éden était un Paradis originaire, un endroit où Adam et Ève vivaient en abondance, sans se soucier du temps futur, sans se soucier de leurs ressources. Un état de nature primitif où ils se contentaient juste d’être heureux. Somme toute, l’analogie pouvait tout à fait se tenir ici, où la Fourmilière offrait à la belle religieuse une vie pleine d’insouciance et de bonheur.

Après ce bref câlin, les deux Formiens frottèrent leurs visages au sien, léchant ses joues en grondant encore, hululant de plaisir. Dans le ventre de Marie, de multiples spores étaient en train de se développer, arrondissant joyeusement son ventre. Marie en était à reprendre ses esprits quand une paroi s'ouvrit derrière elle, livrant passage à une femme portant une délicieuse odeur.

« Et bien, et bien... Tu fais du bruit, toi... »

C’était une nouvelle personne, une femme que Marie n’avait encore jamais eu la chance de rencontrer. Presque entièrement nue à l’exception d’un long manteau noir largement ouvert, Zoey (http://img110.xooimage.com/files/f/a/3/zoey-556253f.jpg) lui sourit légèrement. Ses yeux luisaient d’une étonnante lueur orange, et elle s’avança vers la femme, dégageant une aura très sensuelle. Qui était-elle ? Généreuse, Sarah usa de ses pouvoirs mentaux pour donner à Marie toutes les informations dont celle-ci avait besoin, pendant que Zoey, tout naturellement, se rapprocha d’elle, et l’embrassa tendrement, posant ses mains sur ses hanches pour les caresser délicatement.

Zoey était une Tekhane particulière, qui avait grandi dans une ville tombée entre les mains des Formiens. Le temps que les renforts arrivent, elle s’était battue avec un petit groupe de réfugiés contre des zombies et contre d’autres Formiens. La jeune femme avait finalement, lors d’une exploration, été capturée par des zombies formiens. Ceux-ci l’avaient copieusement violé, et elle avait, peu à peu, été transformée en Formienne. La particularité de Zoey est qu’elle était née avec un fort potentiel magique, et était une sorcière. Sa transformation en Formienne avait permis à sa magie de se développer, et, depuis lors, elle était devenue l’une des concubines de Kerrigan. Sarah édulcora évidemment ce passé, occultant par exemple le fait que Zoey avait trahi son clan de réfugiés en les transformant en zombies. C’était une femme dangereuse mais non moins sensuelle, l’une des nombreuses personnes composant la vaste cour de Sarah Kerrigan.

Elle embrassa donc Marie pendant de nombreuses secondes, avant de lui sourire tendrement.

« Tu es très belle, ma chérie... Magnifique, même. »

Un sourire chaleureux et sincère, qui s’accompagna d’un nouveau baiser.

Marie venait de rencontrer une nouvelle amie !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mardi 20 novembre 2018, 23:10:26
Marie était heureuse. On le redit ? Et ouais on le redit… Elle n’avait pas été heureuse comme ça depuis qu’elle avait été entrée dans ce cocon ! Mais comme dit précédemment, si elle était comme ça, et bien, c’était aussi grâce à son éducation. Et ouais, elle était vraiment dans une sorte de paradis, de jardin d’Eden, où tout était plus calme, plus paisible. Enfaite, faire l’amour à ses créatures l’avait grandement calmé de plein de chose… Le stress de la vie, les poids… Là, elle avait fait un acte gratuit, dont les répercussions étaient uniquement positive… C’était ça le Jardin d’Eden. Pareil pour sa gentilesse! Et ouais, la charité, c’est l’une des plus grandes vertus chrétiennes, donc, vous comprenez mieux… Bref, quoiqu’il en soit, alors qu’elle câlinait ses nouveaux amies… Et bien...

« Et bien, et bien... Tu fais du bruit, toi... »

« Dé… Désolée !! »


elle remarqua la femme qui arrivait, non pas grâce à ses yeux, mais grâce à deux autres sens. Son ouïe, qui avait entendue ce qu’elle disait… Et donc, son odorat ! Et ouais, car la femme était non seulement belle, cela ne fait aucun doute, mais elle sentait bon aussi. Elle avait une odeur qui ne faisait aucun doute, elle sentait très très bon. Et c’était agréable au nez… Et tout d’un coup, elle sentait alors l’histoire de Zoey entièrement venir en elle. Elle comprit qui était son interlocutrice, ce qui lui était arrivée, ce qui se passait… Bref, elle comprit qui était son interlocutrice, ce qui augmenta de suite l’empathie pour elle… Et la poussait à faire exactement ce qu’elle devait faire, n’est-ce pas ?

« Tu es très belle, ma chérie... Magnifique, même. »

« Mmh… merci Zoey... »


Elle rendit le baiser à son interlocutrice. En effet, auparavant, elle eut le droit à un baiser où elle eut dans un premier temps le rôle de passive. Surtout de passive… Puisqu’elle eut le droit à une second baiser, ensuite ! Donc, dans le troisième baiser, qu’elle rendit, et bien, elle chercha avant tout à faire un baiser actif, pour montrer que là, c’était elle qui rendait le baiser, et donc, que Zoey l’avait parfaitement mérité ! Et ouais, cette femme était sans doute une potentielle nouvelle amie. Et comme son interlocutrice, et bien, cela ne faisait aucun doute qu’elle était autrefois une victime de la ruche, pour finalement devenir une nouvelle occupante de son plein gré, et extrêmement heureuse de cela… Bref, quoiqu’il en soit, après un long baiser, elle déclara :

« Vous l’êtes aussi... »

Elle ne mentait absolument pas. Ouais, si dans un premier temps, ce qu’elle avait remarqué était avant tout donc une odeur, et bien, maintenant, après l’odeur, venait la vision. Et la femme était belle. Contrairement à Marie qui était entièrement couleur chaire, logique étant donné qui elle était, et bien là, elle avait une peau magnifiquement grise ! Très très belle, cela ne faisait aucun doute… Cette femme était magnifique. Elle n’était pas de la Terre. Autrefois, cela aurait choquée donc Marie, maintenant, elle avait bien compris qu’elle ne devait plus penser ainsi. Il y avait de nombreux mondes, et c’était ainsi ! Et c’était une très bonne chose… Après tout, cela avait permis de rencontrer ses fameux insectes, hein ?

« Vous dites bonjour, vous aussi, mes chéris ?
-Hooooooooon ?
-Hoooooooooooooooon !
-C’est bien mes beaux… mes tout beaux... »


Ouah ! GG Marie ! Et ouais, on sentait qu’elle les avait presque apprivoisé, à force de gentilesse et de douceur, étant donné que les deux insectes obéissaient bien à ce qu’elle disait. Bien sûr, c’était limité, en vrai, mais cela montrait que sa douceur et ce qu’elle avait fait avait un rôle positif pour ces créatures ! En tout cas, c’était ce qu’on pouvait interpréter. Après libre à vous de ne pas être d’accord sur la notion de « positif ». Quoiqu’il en soit, la fameuse Marie les caressait, mais elle avait sa concentration toute acquise pour sa future nouvelle amie. Car oui, cela serait impolie de laisser tomber Zoey après tout ! On allait voir comment elle allait réagir… Cela risquait vite de devenir fort intéressant, si vous voulez mon avis.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 26 novembre 2018, 00:40:24
Zoey sourit encore, et posa ses mains sur ses hanches en voyant Marie commander aux deux Formiens. La jeune femme en avait profité pour l’embrasser à plusieurs reprises, allant jusqu’à surprendre Zoey en lui volant un nouveau baiser. Curieuse, la Formienne n’avait pas encore tout dit à Marie, elle ne lui avait pas tout révélé, car, s’il était exact qu’elle était une concubine de Kerrigan, elle appartenait concrètement à une autre Annexienne... Mais elle aurait le temps de lui en parler ensuite. Pour l’heure, Marie semblait sincèrement ravie de la voir, imbibée par son odeur. Zoey, elle, observa la croix religieuse de la jeune femme, ce pendentif doré qui glissait près de ses seins, et sourit encore. Les Formiens insectoïdes se pressèrent contre le corps de Marie, frottant leurs visages contre ses joues, leurs longues langues sortant pour lécher affectueusement ses joues. Zoey sourit brièvement, amusée par cette scène, une scène qui trahissait étrangement une certaine forme de... De camaraderie. La Reine des Lames avait indéniablement bien choisi en portant son choix sur cette humaine !

Tandis que Marie jouait avec les deux Formiens, Zoey se déplaça un peu, et finit par glisser sa main dans celle de Marie, l’arrachant à son câlin formien.

« Ne me snobe pas comme ça, petite impertinente... »

La Formienne sourit à nouveau à la jeune femme, et caressa son visage, puis s’approcha ensuite du mur. Celui-ci s’ouvrit, et elles sortirent ainsi de cette ruche, rejoignant un couloir. Zoey avait une démarche très libre, une poigne assurée, et il se dégageait un parfum entêtant et entraînant de luxure, quelque chose d’irrésistible qui revenait régulièrement à l’esprit des personnes proches d’elle. Marie était loin d’y être insensible, et, tout en marchant, Zoey ne tarda pas à parler de nouveau :

« Tu sais, quand je suis arrivée ici, j’étais une femme très rebelle, convaincue que cet endroit était infernal... Qu’il fallait que je m’enfuie à tout prix. J’avais peur de finir dans l’un de ces cocons, à perdre peu à peu toute volonté... »

Un scénario un peu commun à Marie, mais, finalement, les deux femmes étaient libre.s Zoey et Marie pouvaient se déplacer librement, baignant dans une aura de stupre et de luxure.

« C’est ce qui fait la force de la Reine, estima Zoey. Et c’est notre devoir de contribuer à la rendre plus forte, Marie. C’est bien le minimum qu’on puisse faire pour elle, non ? »

C’était là une simple question rhétorique, car la réponse allait de soi. Zoey s’arrêta alors de marcher, et, en souriant malicieusement, posa sa main sur le ventre de la femme.

« Tu as une dizaine d’œufs en train de grossir dans ton ventre... C’est très bien, Marie, tu es une femme très fertile ! »

C’était le cas de le dire !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le samedi 01 décembre 2018, 23:43:09
Marie ne voulait pas du tout être méchante, ne voulait pas du tout laisser sur le fil son interlocutrice… Non, ce n’était pas du tout son genre ! Sauf que parfois, on ne fait pas attention, et voilà qu’on se retrouve, malgré soit, à ne pas être très poli… Et c’était le cas de notre chère Marie, qui snobait sans le vouloir son interlocutrice ! Ohlalala !!! C’est pas bien ça, ma chère Marie ! Surtout que Zoey était quand même une beauté, cela ne faisait aucun doute ! Encore elle serait moche, on pourrait comprendre, mais voilà quand même ! Quoi ? Je dis n’importe quoi ? Mais vous avez entièrement raison mes amis ! Bref, donc, après un moment de pause, un blanc, finalement, elle fut arrachée à ses amis/amants ! Maintenant séparée, elle allait sans doute se concentrer un peu plus sur Zoey...

« Ne me snobe pas comme ça, petite impertinente... »

« Désolée !!! »


OHMONDIEU ! Elle avait été tellement impolie ! Ce n’était pas bien ! Pas bien du tout ! Elle avait qu’une envie, là, c’était se répendre en excuses ! Mais elle ne put : en effet, elle avait déjà quitté la salle, amenée par Zoey. La démarche de cette formienne était envoutente, Marie aurait pu faire des kilomètres et encore des kilomètres, sans même remarquer à quel point cela arrivait ! Elle était totalement envouté, cela ne faisait aucun doute, elle marchait en ne remarquant même pas ce qui se passait autour d’elle, ne remarquant même pas où elle était… Elle ne se concentrait que donc sur une seule chose ! Son interlocutrice… C’était donc bien différents de tout à l’heure, ou comme dit précédemment, elle l’avait un peu laissée de côté…

« Tu sais, quand je suis arrivée ici, j’étais une femme très rebelle, convaincue que cet endroit était infernal... Qu’il fallait que je m’enfuie à tout prix. J’avais peur de finir dans l’un de ces cocons, à perdre peu à peu toute volonté... »

Oh… Elle se rendait compte que c’était presque la même situation qu’elle… Bah ouais, elle aussi elle avait pas voulu dans un premier temps obéir aux ordres… Elle s’était enfermée dans une vision réductrice du monde… Pendant si longtemps elle s’était fermée à tout, car elle croyait qu’elle ne devait pas suivre d’autres enseignement que ceux qu’elle avait appris en temps que Chrétienne. Sauf que voilà, elle avait compris qu’elle avait tord sur toute la ligne ! Et dans le cas de Zoey, donc, en compagnie de son interlocutrice, et bien celle-ci visiblement avait fait les même fautes ! Donc, elle se sentait moins… Coupable disons ! Et puis, elle allait pas le cacher, la peur qu’avait eu son interlocutrice… Elle l’avait eu aussi ! Elle écouta la suite des déclarations !

« C’est ce qui fait la force de la Reine. Et c’est notre devoir de contribuer à la rendre plus forte, Marie. C’est bien le minimum qu’on puisse faire pour elle, non ? »

« Tout à fait ! »


Tu sais quoi Marie ? Les questions rhétoriques… Bah, t’as pas besoin d’y répondre. C’est justement le principe des… Questions rhétoriques. Bref, laisse tomber. Elle approuvait totalement ce que disait Zoey ! Il fallait rendre plus forte la Reine… Mais surtout, le plus important aux yeux de Marie, c’était répendre la bonne parole ! Et ouais, on sentait sa tradition, son héritage qui revenait en force, étant donné qu’elle venait quand même d’une religion qui était connu pour ses prédicateurs ! Bref, donc, il fallait répendre la bonne parole, c’était ainsi, cela était très important, qu’elle allait permettre de donner plus de force à sa Reine ! Il fallait que plus de femmes comprennent le bien du message des Formiens, qu’ils comprennent ce que l’OverMind pouvait apporter à tous !

« Tu as une dizaine d’œufs en train de grossir dans ton ventre... C’est très bien, Marie, tu es une femme très fertile ! »

« Oh… Merci... »


C’est vrai… Les femmes ne faisaient pas de la multi-ovulation, pensa-t-elle, donc, cela voulait dire que c’étaient sans doute les enfants de Sarah, et non point les enfants des créatures insectoïdes… Sauf si son corps avait été modifiés… Oh ce n’est pas grave, de toute façon, c’était ses enfants, et elle les aimait tous de la même façon… Après tout, elle devait donner amour à tous, quelques étaient ses personnes, n’est-ce pas ? Et ouais, notre chère Marie était totalement plongée maintenant dans son idée qu’elle devait donner de l’amour à tous… Et cela, vous savez quoi ? C’est beau. C’est très beau. Tu es une très bonne personne, Marie ! Mais elle pensait donc à l’amour… à l’amour pour tous ! Tout le monde ! Et donc, quelqu’un qui aurait aussi besoin d’amour… Et elle était en face d’elle ! Ainsi, elle déclara :

« Je ne sais pas si vous en avez, vous, Zoey. Incubez-vous… ? »

Oh oh ! Bonne question… Contrairement à Zoey, Marie n’était pas encore assez… Dans la « connaissance » de tout cela, pour réussir à maîtriser ce que son interlocutrice avait fait. D’un simple toucher, Zoey avait deviné que son ventre contenait donc une bonne dizaine d’oeufs… Elle, elle ne pouvait rien deviner pour le moment ! Petit hors-sujet rapide, quand même, elle était relativement fière de se rendre compte qu’elle était assez « fertile » ! C’est quand même un sacré honneur dans ce genre de ruche non ? Elle allait devoir pondre souvent des œufs, et elle allait sans doute de temps en temps finir dans un cocon… Encore une fois, l’idée n’était pas… Si horrible à penser maintenant, faudrait qu’elle voit… Mais pour le moment elle avait une autre idée en tête… Une autre idée bien riche…

« Ou… Euh… Le… Le voulez-vous… ? »

Oh ! Ah oui quand même ! Là, ça, c’était totalement nouveau. Elle proposait -de manière détournée-, de chercher un moyen… Et bien de donner des bébés à son interlocutrice ! Après tout, elle l’avait fait un peu plus tôt, donc… Pourquoi pas le refaire ? Zoey méritait bien des œufs elle aussi, et si elle en avait pas… Fallait bien que quelqu’un le fasse. Ainsi, elle se proposait, donc, bien qu’elle n’avait pas le matériel pour le moment. Mais… Sans aucun doute qu’il y aurait un moyen de lui donner le dit matos ! Mais tout cela n’était qu’une proposition, sous-entendus, qui de toute façon ne pourrait être fait vraiment que si elle n’était pas enceinte déjà… On allait bien voir ce que Zoey allait répondre… Et est-ce que l’envie allait être là ! Bah oui, c’est quand même important à noter, scrogneugneu !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le mardi 11 décembre 2018, 00:54:51
Zoey sourit doucement devant la dernière question de Marie. Portait-elle un bébé ? Elle ne répondit pas encore immédiatement, et, tenant la main de la religieuse, rejoignit une nouvelle demeure. C’était une étonnante maison, celle de Zoey, avec un salon, une cheminée, des plantes... Une preuve supplémentaire sur les particularités de ce lieu. Et, rapidement, Marie et Zoey purent entendre des gazouillis joyeux. Souriant encore, Zoey se dirigea vers une sorte de grand panier au milieu du salon.

« Regarde, Marie... »

À l’intérieur de ce panier surélevé, plusieurs bébés (http://img110.xooimage.com/files/7/f/c/zoey-babies-557480c.png) se tortillaient dans ce qui était en réalité un grand couffin.

« Ce sont mes bébés... »

Ils tendaient leurs petits bras potelés vers les deux femmes. Zoey en attrapa un, et le tendit à Marie. Rapidement, le bébé remuait des lèvres, et alla téter le sein de Marie. Zoey, de son côté, attrapa un autre bébé, et le fit également téter, tout en donnant à Marie quelques explications complémentaires.

« Jadis, la Fourmilière n’acceptait pas les hommes, puisque, contrairement à nous, ils ne peuvent pas enfanter. Mais notre Reine a su faire évoluer les choses, en transformant les mâles en incubateurs. Nous aurons l’occasion de les voir plus tard, Marie. Pour l’heure, je tenais à te montrer ma maison, là où j’éduque ma dernière portée. »

Cette fin de phrase laissait entendre qu’elle avait déjà eu bien d’autres enfants ici. Elle restait toutefois énigmatique là-dessus, et allaita ensuite les autres bébés, tout en expliquant à Marie combien leur Reine était intelligente, talentueuse, et combien elle méritait leur respect. Toutefois, Zoey ne servait pas directement la Reine, mais une autre personne, qui n’était pas davantage sa Cérébrate, et dont elle n’avait pas encore parlé à Marie. Et, enfin, elle répondit aux interrogations de Marie sur l’état de sa fécondité actuelle.

Zoey caressa ainsi son ventre, et reposa le dernier bébé, puis saisit encore Marie par la main. Elle l’embrassa à nouveau, brièvement, tendrement, sensuellement.

« Je n’ai pas encore trouvé un homme pour me féconder... Mais tu feras parfaitement le rôle, ma belle... Mais pas devant mes petits bébés. »

Ils auraient tout le temps de grandir, et les soupirs de leur mère risquaient de les réveiller. Ils étaient en effet en train de s’endormir, tandis que le haut du couffin se recouvrait d’une fine membrane, afin de les mettre au chaud. Zoey, elle, grimpa des marches pour rejoindre sa chambre. Sa maison avait une drôle d’apparence, car elle était un patchwork de pièces reliées entre elles par de longs boyaux déguisés en couloirs humains.

Les deux femmes rejoignirent en tout cas une chambre, et Zoey s’assit sur le rebord du lit. Un tentacule émergea alors du plafond, et se nicha dans le cou de Marie, diffusant dans ses veines un puissant sérum hermaphrodite. Rapidement, Marie allait sentir entre ses cuisses des démangeaisons, puis, tout aussi rapidement, une belle verge émergea, déformant pendant quelques instants ses parois vaginales, avant qu’elle ne se retrouve dotée d’un superbe service trois pièces, sous le regard enjoué et ravi de Zoey.

« Voilà ! C’est mieux comme ça, non ? Pour m’engrosser, en tout cas... » s’amusa doucement la voluptueuse Formienne.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le samedi 15 décembre 2018, 16:01:41
Notre chère Marie avait décidé de suivre notre chère Zoey. Ca fait beaucoup de cher, cela, je vous le confirme. La main tenue par cette dernière, l’ancienne religieuse (oui, car dire qu’elle l’était encore était un peu compliqué, si vous voulez mon avis) suivait tranquillement celle-ci, et arrivèrent donc… Dans une nouvelle demeure… Une maison. Une vraie maison. Ouah, elle en était abasourdie… Bah, ouais, après les tentacules et tout ça, il fallait bien dire que voir une maison, c’était un peu comme imaginée au beau milieu de New York, et bien, un énorme château ! Ouais, vous imaginez un peu le truc ! Bref, quoiqu’il en soit, elle revint vite à ses moutons, surtout quand son interlocutrice montra alors :

« Regarde, Marie...  Ce sont mes bébés... »

« HAN ILS SONT TROP MIGNONS ! »


C’est vrai ! Ouais, franchement, les bébés étaient adorables ! Là, il n’y avait pas de doute ! Elle fut vraiment honorée par la suite de ce qui se passa : Quoi donc, me demanderiez-vous ? Et bien c’est simple de chez simple : Enfaite, l’un des bébé  fut donné dans les bras de Marie. Celle-ci fondit littéralement. Ce fut là qu’elle n’eut aucun doute sur la situation, sur le fait qu’elle avait fait le bon choix. Pourquoi cela ? Et bien, tout simplement, elle avait maintenant vu des bébés, des vrais, comme des bébés humains, tout aussi mignon et adorable. Et elle leur donnait le sein. Tout cela était naturel, et ce qu’elle avait imaginé que comme des atrocités, de l’horreur à l’état pur… et bien, elle se rendait compte qu’il y avait une grande normalité comme situation. Elle écouta alors la suite des déclarations :

« Jadis, la Fourmilière n’acceptait pas les hommes, puisque, contrairement à nous, ils ne peuvent pas enfanter. Mais notre Reine a su faire évoluer les choses, en transformant les mâles en incubateurs. Nous aurons l’occasion de les voir plus tard, Marie. Pour l’heure, je tenais à te montrer ma maison, là où j’éduque ma dernière portée. »

D’accord… Donc, les mâles étaient acceptés, mais que pour devenir des incubateurs… Contrairement à elles, les femmes, qui avaient donc, parfois, cette double natures : Elles pouvaient à la fois porter des bébés (d’ailleurs, c’était ce qu’elle faisait en ce moment, qu’est-ce que ça tombe bien pour mon exemple, ahlala), mais aussi, pouvait… Et bien, donner des bébés ! En gros, jouer le rôle « mâle » et le rôle « femelle. » Logique, ouais, elle comprenait bien maintenant comment cela marchait. Elle était bien contente de commencer à comprendre comment cela fonctionnait ici. Elle sera sans doute encore souvent surprises par certaines choses… Mais bref, il fallait se concentrer. En effet, elles avaient autres choses à faire ! Une mission très importante pour les personnes de la ruche, n’est-ce pas ?

« Je n’ai pas encore trouvé un homme pour me féconder... Mais tu feras parfaitement le rôle, ma belle... Mais pas devant mes petits bébés. »

« Oui, bien sûr, je te suis, ma… belle… ? Ma belle. »

Alors, elle n’avait pas hésité sur le fait que son interlocutrice soit belle ou non. Non, elle était belle et cela ne faisait aucun doute… Elle avait hésité sur « est-ce que j’ai le droit de l’appeler belle ? » Ouais, c’est une bonne question, non ? Bref, quoiqu’il en soit, et bien, après avoir décidé qu’en effet, elle pouvait l’appeler ainsi, elle approuvait à 200 % ce que déclarait Zoey. Elle n’allait pas faire l’amour avec son interlocutrice comme ça, devant des enfants ! Cela ne serait pas acceptable, quand même… Ce qui montrait, pensait-elle, que malgré ce qu’on disait, les formiens avaient de la désense contrairement à ce que certaines mauvaises langues dont elle avait fait parti il y a encore peu de temps. Les deux partirent alors, laissant les enfants dormir, et ainsi irent dans la fameuse chambre de Zoey. Une fois installé, il y avait encore quelques préparatifs à faire, très important, étant donné :

« Voilà ! C’est mieux comme ça, non ? Pour m’engrosser, en tout cas... »

« Tout à fait, j’en aurais besoin... »

Et ouais ! A l’aide d’une tentacule qui se planta alors dans le cou de la fameuse ancienne religieuse, après quelques moments, un superbe service trois pièces vint en elle, et sortit, prêt à être utilisé… C’était nécessaire, vu qu’elle allait devoir engrosser la fameuse Zoey. Elle se demandait si cela convertissait ses ovules en spermatazoïdes ? Ou bien, est-ce que c’était un processus plus compliqué ? Franchement, elle n’en savait rien, et elle supposait qu’elle n’allait pas le savoir avant un petit moment. Après, le plus important était de permettre à son interlocutrice d’avoir de nouveaux bébés ! C’était important ! Donc, la technicité de tout cela, et bien, elle aurait tout le temps de l’étudier plus tard… N’est-ce pas ? Là, elle devait aller directement au vif du sujet, et c’était le cas :

« Allez, allonge toi, Zoey... »

Oh oh ! Elle prenait les devants. Elle posa délicatement ses mains sur les épaules de son interlocutrice, l’invitant à lentement se basculer pour se retrouver allongée sur le lit. Pour le moment, on était quand même dans de l’archi classique pour ce qui est de la position. Il n’y avait guère d’originalité dans ce choix du traditionnel missionnaire. Dans un sens, c’était relativement logique. Dans la religion chrétienne, faut pas croire, mais de nombreuses personnes s’étaient posés la questions : Comment faire l’amour. Et ouais ! ¨Même dans la religion. Et finalement, après des études, finalement, les autorités chrétiennes avaient fini par estimer que la position du missionnaire… Et bien était la meilleure pour procréer. Ainsi, elle était en position du missionnaire presque plus par habitude religieuse que d’autres raisons...

« Je suis débutante, je l’ai très peu fait… Si je fais quoique ce soit qui pose soucis, dis-le moi Zoey… ok… ? »

Ainsi, elle s’approcha… Et pénétra son interlocutrice. Ouais, elle s’intégrait peu à peu à la mode formienne. Elle commença alors un vas et viens, qui n’étaient pas encore trop violent. Oh, elle savait bien qu’elle était une débutante, tandis que celle qui recevait le traitement, elle, était largement plus habituée… Mais voilà, elle comptait bien tirer son épingle du jeu, et montrait qu’elle était capable de satisfaire son interlocutrice ! Elle allait montrer qu’elle avait adoptée la vie des Formiens, et qu’elle comptait bien les rendre fier ! Et donc, cela, et bien, il y avait une chose à dire… Elle faisait des efforts, et c’était à encourager. Bien guidée, sans aucun doute qu’elle allait montrer une excellence dans la matière, ça, c’est moi qui vous le dit !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 24 décembre 2018, 00:50:26
Zoey avait offert à Marie une magnifique opportunité, et elle se pinça doucement les lèvres en voyant une très belle verge jaillir. C’était une magnifique pièce, une belle verge avec des testicules, qui confirmait que Marie était très réceptive aux gènes formiennes. Zoey avait eu un aperçu de ce que la religieuse avait vécu, et elle n’était guère surprise. La Reine des Lames avait un talent presque inné en la matière, et, quand on voyait ce qu’elle avait réussi à faire avec sa femme (que Marie n’avait pas encore eu la chance de rencontrer), il était évident que ce n’était pas une adolescente religieuse qui allait la gêner. L’envie de fonder sa religion, son propre culte, était sûrement encore une expression du côté humain de Sarah, et la démonstration supplémentaire qu’elle n’était pas une Annexienne comme les autres. Kerrigan était capable de choisir, d’opter pour des alternatives très séduisantes, comme elle l’avait démontré avec Marie, ou même en choisissant d’épargner les prisonniers mâles pour les transformer en incubateurs Formiens. Difficile encore pour Zoey d’évaluer les plans à long terme de la Reine, mais elle était convaincue que Marie, à sa hauteur, était l’un des rouages de ce plan vaste.

La religieuse demanda à Zoey de se coucher sur le lit, ce que celle-ci fit donc. Elle portait toujours son manteau noir, et sourit quand Marie la rejoignit. Il n’y eut guère d’originalité dans la position que la jeune femme prit, car elle se coucha contre elle, et planta sa verge contre ses lèvres intimes.

« Hmmm... Ma belle Marie... »

Zoey serra l’une de ses mains sur les fesses de la religieuse, et l’autre alla s’appuyer sur ses cheveux, puis elle embrassa la femme, laissant ensuite la religieuse se frotter doucement contre elle.

« Là, là, je vais te conseiller, ne t’en fais pas... »

Une voix douce, tendre, tandis que Marie remuait... Un peu trop lentement. Craignait-elle que Zoey soit une statue en porcelaine ? De la briser ? La femme sourit doucement, et gifla alors brusquement le cul de Marie, abattant sa main sur son postérieur. Elle la fessa encore.

« Plus vite, plus profond, lâche-toi ! Tu crois que je n’ai pas vécu ce que tu as vécu ? Allez, plus vite ! Insulte-moi, allez ! Baise-moi, petite pute, BAISE-MOI ! »

Marie devait comprendre toute la corrélation qu’il y avait entre les mots et les gestes. Il fallait motiver la religieuse, il fallait qu’elle la prenne plus vite, plus fort ! Zoey l’embrassa encore, mais ce fut cette fois-ci un baiser mordant, car elle serra avec ses dents la lèvre inférieure de la femme, et la relâcha ensuite, un sourire moqueur sur les lèvres. Venant du plafond de la chambre, un tentacule émergea alors, prenant une teinte plus violette, et descendit vers Marie.

Zoey posa alors son autre main sur le cul de Marie, serrant ses fesses, et dévoila sa croupe avec ses pouces, ce qui permit au tentacule phallique de s’approcher de son fondement, et le titilla sur place. Quitte à l’aider, autant y aller à fond... Et le tentacule alla donc la sodomiser, se plantant dans son cul. Un tentacule de très bon calibre, qui allait offrir à Marie le coup de fouet dont celle-ci avait besoin pour se lâcher pleinement ! Du moins, c’était ce que Zoey espérait...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 26 décembre 2018, 21:28:34
Il ne fallait pas oublier que pour Marie, c’était… Ah oui, non, ce n’est pas la première fois. Non, en effet, ce n’était pas la première fois, vu qu’elle l’avait déjà fais. Mais bref, c’était l’une de ces premières fois… Bon par contre, l’excuse de la première fois qui marche pas, bien… Ca me fout grave dans la merde, car c’était de ça dont je comptais vous parler… Bon, euh… Ca vous dit un petit spectacle de magie ? Un discours sur les pénis de canards ? Non, sérieux, les canards ont une bite dégueulasse, je suis sur que même sur un forum hentai, je parle de ça, ça choque. Non, sérieux, je vous l’assure. C’est pas cool les bites de canards. #Noauxbitesdecanard dans les écoles ! Quoi ? On me souffle qu’il n’y a pas de bite de canards dans les écoles ? Je sais pas, j’y suis pas allé, faites quelques choses !

« Hmmm... Ma belle Marie... »

Allez, un peu de sérieux… On ne pouvait pas décrire la sexualité ambiante de la ruche comme seulement une chose, il y avait des tas et des tas de types de sexualité, qui n’étaient pas forcément contradictoire, comme vous allez le voir un peu plus loin… Donc Wait’n listen. Oui, pas see, vu que bah c’est un RP, et les RP c’est écrit. Bref, donc, vous devinez qu’il y avait toute une sexualité violente, fait à base de viol et de… Et bien de faire l’amour. Cela, vous l’avez bien compris, et on a pu le voir avec satisfaction durant tout le RP. Mais il y avait aussi des formes d’amour plus douce, dont la sexualité est moins violente… Bref, vous avez parfaitement compris. On devinait, sans trop de soucis, que la fameuse Marie était plutôt dans cette seconde forme de sexualité, disons que c’était plutôt son habitude… Heureusement, quelqu’un était là...

« Là, là, je vais te conseiller, ne t’en fais pas... »

« Mer… merci… ! »


Elle remerciait, car elle sentait qu’elle en avait bien besoin. Il fallait pas hésiter à la guider dans ce monde franchement méconnu d’elle. Heureusement… Qu’est-ce que cela faisait du bien de se faire des amis dans ce nouvel univers ! Sans doute que beaucoup étaient comme elle… Si ça se trouve, là, cette demoiselle auparavant avait été aussi chaste et prude qu’elle ? Oh, aucune chance, sans aucun doute qu’elle avait été la plus mauvaise élève de Sarah, celle la plus désagréable… Bon sang, elle n’arrivait pas à se dire qu’elle avait été si aveugle et si irritante ! Elle ne pouvait que remercier Sarah d’avoir été aussi compréhensive, bien qu’un peu violente parfois. Mais encore une fois, elle l’avait cherché, et elle l’avait bien mérité… Bref, quoiqu’il en soit, donc, le cours avait commencé, et Marie se devait d’être concentrée.

« Plus vite, plus profond, lâche-toi ! Tu crois que je n’ai pas vécu ce que tu as vécu ? Allez, plus vite ! Insulte-moi, allez ! Baise-moi, petite pute, BAISE-MOI ! »

« Bi… Bien ! »

Elle… Elle pouvait le faire ! Bon en vrai, elle avait encore des doutes, des tas de doutes. Pas sur sa nature d’être ici, ou sur le fait qu’elle avait envie de le faire. Oh non, après avoir vu les bébés, après l’avoir fait, après s’être sentie ici… Cela faisait bien longtemps que ses craintes par rapport à l’envie de le faire c’était totalement, mais alors, totalement envolé ! Donc, ça, c’est cool, on est content… Maintenant, où était donc la peur ? Car là, on sentait bien qu’elle avait de la peur… Et bien… Elle n’était donc plus dans le fait qu’elle hésitait à le faire ou non… Mais elle se demandait si elle en était capable, si elle allait y arriver, si elle n’allait pas juste faire passer un mauvais moment à tout le monde… Ce qu’elle ne voulait pas, bien entendue, non, elle voulait que cela se passe bien… S’il pouvait se passer quelques choses...

« OOOOOH ! »

Et il s’était passé quelques choses ! Mais quoi donc me demanderiez vous ? Et bien, elle s’était prise… Une bonne grosse tentacule ! Celle-ci avait été discrète… Et avait réussi à bien passer derrière notre chère Marie. La porte d’entrée arrière était alors ouverte… Et tel un voleur le soir du nouvel an, elle s’y était engouffré ! Oh bon sang, ce fut l’électrochoc, et elle poussa ce « oooh » d’extase qui voulait tout dire ! Cela avait été un mélange d’extase, de plaisir, de surprise, et avec une petite pointe de douleur pour relever tout cela… Bref, que du bon, que du meilleur : elle avait adorée… Mais cependant, il y avait quand même la surprise… Cette petite pute aurait pu prévenir de ce sale tour… oh elle allait le payer… !

« Mmmh… Alors, ça, ma pute, tu vas me le payer ! Au centuple ! »

Elle se redressa, après s’être écrasée sur son interlocutrice, et commença à donner des coups de reins bien plus efficace, bien plus redoutable, et surtout… Bien plus agréable ! Vous devinez quel type de coup de rein ? Plus violent, plus agréable, plus efficace… Ouais, c’est ça, vous avez parfaitement compris ! Elle était plus physique, mais n’y connaissant pas encore assez, elle n’avait pas encore tentée de changer de position, restant dans le trop traditionnel missionnaire. Elle devait absolument faire un peu plus attention, et faire des tentatives plus osés, si vous voulez mon avis ! Mais bref, quoiqu’il en soit, il y avait plus d’énergie, et moins de crainte : Son amante, elle s’en rendait compte, n’était pas en sucre ! Elle pouvait donc se permettre d’y aller franco ! Et autant y aller Franco alors !

« Allez, prépare toi... Han... Gro... grosse pute ! »

Elle usa de ses mains, et commença à torturer alors les tétons de son interlocutrice, et vas-y qu’on tire, vas-y qu’on les presse… Eheheh… Elle devinait qu’elle était encore très… Trop même, classique… Mais heureusement, la « grosse pute » qu’était son interlocutrice n’allait pas hésiter à la guider et lui donner plus de conseils ! Et ouais, cela ne faisait aucun doute… Si Marie n’était pas encore douée, et bien, elle était une élève motivée et travailleuse, et cela ne faisait aucun doute… N’est-ce pas ? On allait voir cependant si ce qu’elle faisait niveau motivation était suffisant pour convaincre son interlocutrice que ça y est, elle était prête à franchir le pas, et devenir une dominante, enfin… Une un peu plus dominante que la grosse soumise qu’elle est d’habitude… N’est-ce pas ?
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le jeudi 27 décembre 2018, 21:32:51
La petite Marie était en train de se laisser aller, mais le véritable électrochoc vint surtout du tentacule anal qui s’enfonça douloureusement en elle. La religieuse se crispa sur place, sentant ce membre s’enfoncer douloureusement en elle. Elle cessa de bouger pendant quelques secondes, cessant de bouger le temps de s’adapter à la présence de ce membre. Marie recommença ensuite à la prendre, et accéléra considérablement le rythme, tandis que, dans son temps, le tentacule se dandinait dans son dos, remuant longuement, ondulant sur lui-même. Un tentacule phallique, gros, gluant, qui s’enfonçait donc dans son postérieur, ce qui ne manqua pas de donner à la jeune religieuse un coup de fouet supplémentaire. Quelle énergie, quel appétit ! Contre elle, Zoey sentit rapidement le rythme.

De fait, quand le tentacule alla la prendre, Marie, déstabilisée, tomba en avant. Souriant doucement, Zoey la réceptionna, tout en feignant la surprise lorsque celle-ci indiqua qu’elle allait lui payer ça.

« Oh, vraiment ? Mais je n’ai rien fait de mal, ma belle... »

En tout cas, le changement se fit sentir, et même bien sentir. Se redressant furieusement, Marie prit de nouveau appui sur ses hanches, et entreprit de bourrer plus énergiquement le seyant corps de la belle Zoey. En retour, celle-ci se mit à gémir longuement, soupirant de plaisir, se dandinant sur place tout en sentant le bassin de Marie claquer contre son corps. La religieuse y allait avec un appétit manifeste, ce qui ne manquait pas de satisfaire la Formienne, qui sentit ensuite les délicieuses mains de la religieuse remonter pour maltraiter ses seins, tirant sur ses tétons, les pressant, les relevant... Autant de gestes qui ne purent qu’exciter Zoey, qui se mit à gémir longuement.

Fermant les yeux, la Formienne savourait, pressant son corps contre le sien, et mouillait en conséquence de plus en plus abondamment le long de la queue de la jeune femme. Oh ! Oh ! Marie se faisait bien à son rôle, au fait de porter la culotte, et d’avoir une verge. Clairement, il y avait dans le fait de corrompre cette jeune femme, de la séduire et d’en faire sa chienne, une sorte de plaisir viral et viscéral qui excitait très profondément Zoey.

« Hmmm... Oh, ma beauté, haaaa... !! »

Gémissant encore, Zoey la laissait faire, impatiente de voir jusqu’où elle était capable d’aller, et attendant avec un plaisir grandissant le moment où cette perverse religieuse viendrait jouir joyeusement en elle...
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le vendredi 28 décembre 2018, 21:02:59
Peut-être ne l’ai-je pas assez précisé, mais donc, je vais le faire… En effet, il faut bien le dire… Mais qu’est-ce que la tentacule dans le cul lui faisait du bien. Comme dis précédemment, il y avait un poil, une pointe de douleur. C’était ce qui donnait du piquant dans tout cela ! Mais sinon, et bien, elle commençait « doucement » à se faire ramoner le cul, et cela, c’était… mmh… Si plaisant ! Elle gémissait de plaisir, mais elle devait pas se concentrer uniquement sur cela ! Oh non non non ! Elle était active là, dans ce qui se passait, donc, elle devait se concentrer aussi sur ce qu’elle faisait, d’abord, cela semblait évident… Mais aussi sur les réactions de celle avec qui elle faisait l’amour ! Car elle donnait des conseils, et comment faire certaines choses.

« Oh, vraiment ? Mais je n’ai rien fait de mal, ma belle... »

Ouf ! Un peu plus, et ça aurait été la catastrophe. Mais pourquoi donc, me demanderiez-vous étonné ! Comment la catastrophe pourrait venir ? Et bien, simplement car… Elle manqua de peu de dire « oh désolé, je voulais pas dire ça, c’était euh… Je tentais juste de... » Mais elle se rattrapa juste avant, comprenant que son interlocutrice était entrain de jouer le jeu ! Hors si elle joue le jeu, ça va, il y a pas de soucis… C’est justement ce qu’elle était entrain de faire ! Bien sûr qu’elle n’avait rien fait de mal, au contraire même… Mais voilà, elle s’était rattrapé. Pfiou, on avait frolé la catastrophe ! C’est moi qui vous le dit ! Bon ok, j’exagère un tout petit peu, mais franchement, un tout petit peu. Donc, recontrôlons-nous, et parlons un peu de ce que déclara, dans l’extase totale, notre chère Zoey.

« Hmmm... Oh, ma beauté, haaaa... !! »

« Tu… Tu es la plus belle... »


Elle ne mentait pas, et n’exagérait pas, elle trouvait vraiment Zoey magnifique ! C’était une femme tellement belle, en plus, elle avait plein de choupi enfants et qui allaient être magnifique quand ils allaient être grand ! Oh mon dieu, elle se demandait si ses enfants allaient être aussi beau. C’était qui le « père » exactement ? Elle ne savait point, mais cela allait sans doute être des enfants magnifiques… Quel dommage qu’elle ne pourrait pas montrer à son père ses bébés, étant donné que bah… Sans doute qu’il allait peu apprécié, s’il voyait ses enfants, qu’elle avait copulé, déjà, hors mariage, ça fait beaucoup, et avec des aliens ! Ouais, pour un chrétien, ça ne marchait pas trop, et donc… Sans doute qu’il n’allait pas du tout apprécié. Ahlala, parfois, ce que les papas pouvaient être peu ouvert d’esprit !

« Oh… Je sens… mmmh... »

Mais retournons à du plus… Physique ! Vous le voulez bien ? Elle avait donc fortement accéléré le rythme… Et faisait en sorte que cela soit plus physique, plus intéressant pour tout le monde… Le plaisir était si grand en elle, et elle sentait tant en elle, cette fameuse tentacule qui faisait des vas et des viens dans son anus… Bon sang, cela, elle aimait… Mais en plus, elle se rendait pas compte à quel point le plaisir venait vite quand on était un homme… C’était pas du tout pareil que quand on était une femme ! Elle sentait que cela allait venir, et elle tentait de se retenir ! Non, c’était minable là pour le moment, franchement minable ! Elle devait absolument faire mieux, car c’était misérable… Malheureusement, elle n’en n’était pas encore capable, et arriva ce qui devait arriver...

« Haaaaaaaaan ! »

Et elle lâcha la crème ! Bon sang, c’était rapide… Elle haletait… Mais… mais elle se rendit compte de quelques choses… oh mon dieu… Elle… Elle était toujours dur ! Donc… Donc ce n’était pas terminée ! Bon sang, il fallait profiter de l’occassion… Alors qu’elle faisait semblait d’avoir fini… Elle reprit de plus belle pour un second tour ! Ainsi, elle espérait que Zoey allait être fortement surprise par ce second tour qui n’était pas attendu, montrant que si elle avait joui rapidement… Et bien, elle avait quand même repris… Et ouais, elle était prête à montrer qu’elle allait être une religieuse qui savait s’y faire avec sa bite, là, maintenant… On allait bien voir comment Zoey allait réagir, si vous voulez mon avis ! Mais en tout cas, elle avait montré que là, elle avait eu plus d’un tour dans son sac, et qu’elle faisait tout pour faire en sorte que le plaisir, et bien… Il soit non pas seul, mais à deux !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le vendredi 04 janvier 2019, 00:35:09
Marie avait définitivement succombé au sexe, à son appel, à son attrait… Espérait-elle secrètement pouvoir, un jour, changer ? Revenir à la situation d’antan ? À la période où elle n’était qu’une simple femme, qu’une simple religieuse à Seikusu faisant son office tous les jours, sans se soucier du lendemain, dans sa croyance bienheureuse du Seigneur ? Une telle chose n’était plus possible. Quand on avait goûté à Sarah Kerrigan, et à tous les bonheurs que la Reine des Lames vous prodiguait, on ne pouvait plus revenir en arrière. Même les soldates tekhanes qui étaient reprises par les leurs, après un séjour au sein de l’Essaim de Kerrigan, rêvaient encore d’y retourner. On avait beau les soigner de toute contamination, de toute trace physique d’infection formienne, la principale infection était mentale. Elle ne s’analysait pas par des scanners, elle ne se voyait pas sur les radars, elle ne se décortiquait pas, elle ne diagnostiquait pas, mais elle était là, bien présente. Cette infection revenait vous hanter la nuit, dans vos rêves, elle revenait vous hanter quand vous faisiez l’amour avec votre partenaire pour n’en sentir qu’un plaisir morose et fade… Elle était là, persistante, prégnante, et elle était ce qui faisait que vous apparteniez corps et âme à Sarah Kerrigan.

Et la belle religieuse occupée à fourrer Zoey avait atteint ce cap. Quand le tentacule phallique s’était enfoncé dans son fondement, Marie en avait ressenti un plaisir féroce. Et, si le tentacule se retirait, elle en ressentirait corrélativement une frustration immense, ce qui était la démonstration de la corruption formienne. Une corruption passant par du sexe intensif, et qui marchait à merveille sur les personnes frustrées comme elle. Dès le début, Marie n’avait eu aucune chance, et elle resterait à jamais une délicieuse esclave sexuelle. Il n’y avait pas d’échappatoire, pas d’alternative, elle allait au contraire profiter pleinement de sa situation ici, de cette nouvelle vie faite de stupre et de luxure.

« Hmmm… Marie, haaaa… Ouiiii, ma chérie, haaaannn… !! »

Comme pour l’accompagner, Zoey hurlait en cadence, accompagnant par ses cris lancinants les coups de reins de la jeune femme. Marie ne put plus se retenir, et Zoey sentit avec plaisir la jeune religieuse s’abandonner en elle, connaissant ainsi son premier orgasme masculin. Un orgasme similaire et à la fois différent de l’orgasme féminin, plus vif, plus intense, mais moins profond. Elle s’abandonna en tout cas avec délectation, et constata ensuite que le sexe formien n’avait rien à voir avec le sexe ordinaire, car sa queue restait encore dure, même si elle avait légèrement dégrossi. Si Marie pensait en finir là, la jeune religieuse se trompait lourdement ! Elle continua d’ailleurs ses coups de reins, sans relâche, grognant sur place, enchaînant les pénétrations, pénétrant plus durement encore la jeune femme.

« Làààà, oui, haaaa… En-Encore, hmmmm… !! »

Zoey releva sa main pour saisir la nuque de Marie, et la poussa en avant. La religieuse s’allongea ainsi contre son corps, le tentacule phallique la suivant au passage. Là, dans cette position, Zoey put langoureusement embrasser la jeune femme, savourant ses délicieuses lèvres, déplaçant sa main pour empoigner ses fesses, les malaxant fermement, tout en sentant la religieuse s’enfoncer pleinement en elle, lui insufflant des vagues de plaisir, qui déferlaient joyeusement en elle.

Oh, comme c’était bon ! Bon et jouissif ! À ce rythme, Zoey allait aussi se mettre à jouir…
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mardi 08 janvier 2019, 21:05:25
Il était sûr que quand on prenait donc l’historique de la religieuse, on aurait jamais pensé que cela arriverait un jour. Certaines mauvaises langues pourraient dire « mais si ! Rappelez-vous, sa mère avait cédé au péché, et elle avait sucé un homme ! Et même que c’était pour ça qu’elle était morte, donc, comme la fille hérite des péchés de la mère, et bien c’est logique que cela soit arrivé ! Je vous l’assure ! » Bref, si vous voyez quelqu’un dire ça, et bien vous pouvez officiellement dire qu’il a de la merde aussi bien dans la gueule que dans les yeux. Voilà c’est cadeau, c’est offert, si vous voulez mon avis ! Bref, plus sérieusement, il était sûre que normalement, elle n’aurait jamais été ainsi… Mais voilà, dès qu’elle était entrée dans la vie de la Ruche, et bien, elle avait été condamnée. Dès sa capture. Enfaite, elle n’avait eu que deux choix… Accepter ou refuser cette vie, mais dans les deux cas, elle aurait fini accro au sexe.

Ainsi… Imaginons qu’elle soit libérée… Elle retrouverait donc son père, qui la fouterait à la porte vu que Marie serait incapable de mentir, et avouerait tout… Elle se retrouverait toute seule, et ne retrouverait même en devenant la plus grosse salope humaine possible, et bien, elle ne retrouverait jamais ce plaisir, cette immense plaisir qu’elle avait là, maintenant ! Surtout qu’en devenant la plus grosse salope, elle ne ferait plus que du sexe… Pour faire du sexe. Alors que là, avec Zoey… Il y avait plus, il y avait plus que le simple sexe, elle avait vraiment l’impression de passer quelques choses avec cette femme, plus que juste faire du sexe sauvage… Donc, qu’on soit claire, elle était maintenant adoptée dans un nouvel endroit, aux antipodes de l’ancienne vie qu’elle avait eu… mais elle allait aimer cette vie… Comme elle aimait ce moment. Mais elle l’aimait vraiment, vraiment, vraiment…

« Hmmm… Marie, haaaa… Ouiiii, ma chérie, haaaannn… !! »

« Ouii... »


En choisissant d’accepter cette nouvelle vie, elle découvrait le bonheur… Autrement. Je tiens à préciser, car elle aurait été très heureuse dans sa vie. Mais là, elle découvrait un bonheur que la religion lui avait toujours interdit, celui charnel… Et bon sang, bon sang, bon sang ! Qu’est-ce que c’était bon ! Elle était à la fois la pénétrante et la pénétrée ! Car oui, dans son cul, bon sang de bonsoir, c’était aussi bon ce qui se passait. C’était un merveilleux moment, aussi bien donc étant que pénétrante que pénétrée. Elle continuait de prendre son pied, mais elle donnait du pied… Du mieux qu’elle pouvait, et vu qu’elle avait jouie… Elle se devait de rendre la pareille, au moins, à son amante et interlocutrice… Allait-elle y arriver… Vous le saurez… Au prochain épisode ! Non, je déconne bien sur !

« Làààà, oui, haaaa… En-Encore, hmmmm… !! »

« Han tu es si bonne... »


Elle avait jouie, certes une fois, mais cela n’empêchait pas son rythme d’être vraiment bon. Elle était digne d’un amant masculin plutôt bon ! Bien sûr, sans doute que Zoey arriverait aisément à trouver mieux, surtout dans la ruche, les futanaris étaient nombreuses, et l’immense majorité était plus douée que notre chère Marie… Mais Marie faisait de son mieux, et les imperfections de ce qu’elle faisait rendait aussi son acte sexuelle… Peut-être plus attirant que d’autres actes sexuelles. Et ouais, cela peut vous sembler absurde, et totalement con, mais cela était bel et bien le cas ! Il faut pas croire ! L’imperfection rend aussi l’acte sexuel plus intéressant ! Il y avait maintenant motivation vigueur, intérêt, envie… Bref, notre chère Marie mettait toutes les cartes à jouer là, sur la table, prête à faire ce qu’elle devait faire !

« Tu auras les… Les plus beau… Enfants… Que je peux donner !!! »

Et oui, il y avait ça, il y avait aussi ça qui jouait, le fait qu’elle comptait offrir non pas juste une bonne séance de baise à son interlocutrice… C’était plus important que ça, plus puissant, plus… Intime ! Elle comptait aussi offrir des enfants à son interlocutrices, un ou plusieurs bébés qui, si notre chère Zoey le revoyait, se dirait « lui, c’est mon fils et celui de Marie. Mais si tu sais, l’ancienne religieuse de la Terre qui était si timide au début ! Ohlala, maintenant quelle grosse salope, paraît qu’elle s’est fait encore une nouvelle race d’alien… Je vous raconte pas, il y en avait partout et… » Ok, peut-être que je vais un petit peu loin dans les détails, mais vous voyez ce que je veux dire dans tout cela ? Bref, ainsi, cela faisait que cette partie de baise était beaucoup plus importante qu’une simple partie de jambe en l’air… Et Marie comptait bien offrir ainsi un orgasme à son interlocutrice pour fêter cela !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 14 janvier 2019, 00:47:37
Rien n’avait été épargné à Marie pour qu’elle en arrive là. Les tentacules, les aliens, Sarah Kerrigan elle-même, les modifications génétiques renforçant son corps... Sarah avait brièvement réussi, et, chaque jour passant, elle continuait à transformer Marie, à convaincre la religieuse, afin d’en faire une parfaite Formienne. La formation de la belle était encore loin d’être terminée, il y avait encore du chemin à faire avant de vraiment pouvoir la relâcher pour ramener d’autres fidèles... Mais la courbe de progression était très progressive. Le tentacule phallique continuait de sodomiser Marie, qui continuait elle aussi à pénétrer Zoey, bien décidée à l’engrosser, à avoir avec elle un beau bébé, similaire à ceux qu’elle avait vu dans le panier. La Formienne gémissait sous elle, et embrassait régulièrement Marie, jouant avec sa langue, s’unissant à elle, se tortillant sur place.

« Hmmm... »

La petite Marie continuait à la prendre... Même si sa queue n’était plus vraiment « petite ». Zoey continuait à mouiller, et glissa sa main, pinçant les fesses de sa partenaire, et prolongea le baiser. Elles s’embrassèrent ainsi assez longuement, pendant plusieurs minutes, le baiser se prolongeant avec un délice évident pour les deux. Zoey commençait clairement à bien apprécier sa religieuse, et la guida ainsi jusqu’à leur orgasme mutuel. Elles jouirent là, comme ça, allongées l’une contre l’autre. Le tentacule phallique besognant le cul de Marie se relâcha aussi, crachant sa semence en elle, s’abandonnant copieusement dans ses fesses.

Zoey soupira ensuite, reprenant peu à peu ses esprits, redescendant du cocon de plaisir dans lequel elle avait été plongée. La Formienne gémissait doucement, le cœur battant follement la chamade. Après quelques instants, elle s’adressa à Marie, qui était toujours lovée contre elle :

« Ça y est, ma chérie... Je porte notre bébé. Nous pourrons le voir grandir ensemble dans mon ventre, et... Tu pourras continuer à le nourrir avec ta semence ! »

Elle lui sourit à nouveau, ce qui fut l’occasion d’un énième baiser, son corps se collant doucement contre le sien. Là, Zoey était bien, heureuse, flottant dans un petit rêve léger, un sentiment d’euphorie consécutif à cette séance de sexe. Marie venait de goûter au plaisir masculin, à la sensation atypique et inédite d’avoir une verge entre les cuisses. Une situation perturbante, inattendue, qui amena naturellement la Formienne à faire preuve de curiosité :

« Alors, comment ça fait, Marie, de porter la culotte ? »
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 16 janvier 2019, 14:43:41
Il y a à la fois une véritable brutalité bestiale dans cette amour entre les deux femmes… Mais aussi une tendresse absolument délectable. On sentait que là, dans ce cas de figure, les deux situations étaient tout sauf antinomique, oxymorique, ou tout ce que vous voulez… En gros, Marie était certes entrain de prendre avec toute la sauvagerie qu’elle pouvait, tenter d’offrir un acte sexuel digne de ce nom… Mais cela n’empêchait pas les deux femmes de se partager des tendres baisers, qui parfois pouvaient sembler hors sujet dans ce genre de situation ! Mais non, pas avec Zoey et Marie ! Car là, elles étaient dans un bonheur absolu, et ce qui devait arriver arriva… Elle put finir cette partie de jambe en l’air dans une extase commune, une jouissance ensemble absolument délicieuse… Que de bonheur en ces deux femmes.

« Ça y est, ma chérie... Je porte notre bébé. Nous pourrons le voir grandir ensemble dans mon ventre, et... Tu pourras continuer à le nourrir avec ta semence ! »

« Cela sera avec grand plaisir… Faut que notre bébé soit grand et fort, donc, bien nourris mon amour... »


Les petits mots doux montraient bien que la relation était vraiment affectueuse, Marie était vraiment heureuse de transmettre son amour d’une nouvelle façon que par la faon qu’elle avait fait autrefois, c’est à dire par le classique et traditionnelle prosélytisme. Et pour en revenir donc au bébé, cela ne faisait aucun doute que ce bébé allait avoir le droit à tout ce qu’un bébé formien pouvait avoir le droit. Marie comptait bien faire tout ce qui était en son pouvoir ! Bref, les deux femmes étaient ainsi, ensemble, allongée côté à côte, et se reposaient un peu de leur exploits sexuelles, étant donné que cela avait bien fatigué les deux femmes, elles pouvaient se reposer ainsi… Et discuter de tout et de rien, mais surtout… Et bien de ce qui venait de se passer ! Et ouais, Zoey avait plein de question pour notre Marie !

« Alors, comment ça fait, Marie, de porter la culotte ? »

« Oh… C’est tellement plaisant ! »


Elle ne mentait absolument pas, elle avait vraiment aimer… C’était totalement différents. Ces derniers jours, elle avait beaucoup expérimenté ce qu’était l’orgasme féminin, mais voilà qu’elle se retrouvait avec un phallus, et donc, elle faisait ce qu’on appelle… Et bien l’orgasme masculin, bravo, vous avez compris, très bien, je vous donne 10/10 ! Donc, c’était totalement différents, et pas forcément plus puissant… Ouais, c’est ça, c’était différents ! Elle n’avait pas vraiment de préférence entre l’orgasme masculin et féminin, car ces deux là étaient tellement différents… Enfaite, elle était extrêmement heureuse d’avoir pu tenter les deux justement, et de pouvoir voir comment ça se passait dans un cas ou dans l’autre… Donc, la préférence ne pouvait pas passer par là… Elle passait donc forcément par autre chose, et pas d’inquiétude, notre chère Marie va vous l’expliquer !

« Mais je vais pas me cacher, je préfère être soumise et me faire prendre… »

Et ouais, c’était plus une question de soumission ou domination, uke ou seme, masochistes ou dominatrice, bref, vous avec compris ce que je veux dire par là ! Notre chère Marie préférait donc être celle qui se fait engrosser… Enfaite, maintenant qu’elle y pensait, être une pondeuse, ce n’était pas une si mauvaise chose… Se faire prendre dans un cocon sauvagement, pondre des œufs, et ravoir des œufs… Tant qu’on l’assurait de sortir de temps en temps, et bien, ce n’était pas si mal… Non ? Bref, elle était pas contre en soit… Bref, elle devait pas penser à cela pour le moment, elle devait se concentrer un peu plus sur ce qu’elle avait dit … Surtout qu’elle avait une idée d’explication supplémentaire à donner, et qu’elle avait très envie de la donner…. Ainsi, elle déclara amusée :

« C’est mon côté religieux… Autrefois, dans ma religion, on était toujours des soumis, j’ai du garder cela... »

Cette moquerie de sa propre religion ne sortait pas de nul part ! Il était vrai, on avait même reproché cela à l’Église, que la religion chrétienne était à la base une véritable religion de soumission, d’obéissance totale et aveugle à un Dieu Absolu. Donc, voilà que notre chère Marie était littéralement entrain de l’utiliser pour… Pour… Pour faire comprendre qu’elle était entrain d’apprécier dans le sexe ! Ouah ! On peut dire qu’elle a encore fait un blasphème, mais bon… Elle espérait que cela fasse sourire son interlocutrice, mais en tout cas, involontairement ou non, on ne pouvait pas trop savoir, elle montra bien ce qu’elle pensait donc maintenant de son ancienne religion, et ce qu’elle avait choisie comme nouvelle voie… Une bien meilleure voie, cela ne faisait aucun doute !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 21 janvier 2019, 01:15:51
Zoey gloussa doucement quand Marie, tout en avouant avoir apprécié beaucoup le fait de porter un phallus, préférait tout de même être dominée. La main grisâtre de Zoey se posa sur les fesses de la religieuse, lovée contre elle, cette dernière lui expliquant ensuite que sa soumission devait venir de ses origines religieuses. Zoey savait que la femme venait de la Terre, mais elle ne connaissait pas grand-chose des cultes locaux... Si ce n’est que, du peu qu’elle en savait, le christianisme ressemblait beaucoup à l’Ordre Immaculé. Zoey hocha donc doucement la tête, son regard venant croiser celui de Marie :

« Je te rassure, Marie, cette séance était une parenthèse. D’ici quelques heures, tu seras à nouveau prise dans tous les sens... Voire moins. »

Une telle phrase devait sonner comme une punition à n’importe qui, mais, pour Marie, ce serait au contraire une délicieuse récompense. Ses veines étaient perpétuellement injectées de gènes formiennes, de substances et de mutagènes renforçant son endurance sexuelle... Et, psychologiquement parlant, Marie était en train de devenir une véritable nymphomane, appréciant fortement le sexe. La Reine des Lames n’avait pas fait que la briser pour en faire une loque humaine, elle l’avait patiemment et énergiquement reconstruite, afin d’en faire une religieuse fanatique, une nonne qui avait détourné sa religion au profit d’une autre. Zoey était admirative, mais elle savait que Kerrigan était forte. Depuis son arrivée au sein de la Fourmilière, les Formiens avaient évolué. Dire qu’elle était à la base initialement une simple Cérébrate... Elle était maintenant une Annexienne très dangereuse, la plus puissante de la Fourmilière, et en passe de régner sur toute la Fourmilière.

Zoey revint à la situation présente, et embrassa alors Marie, déposant un bref baiser sur ses lèvres.

« C’est précisément pour ça que notre Reine t’a récupéré, Marie... Tu es sa religieuse. »

Elle lui sourit à nouveau, et l’embrassa encore, plus longuement, palpant ses fesses.

« Repose-toi, ma chérie, reprends des forces... »

Après tout ce que Marie avait fait, du repos était sans aucun doute le bienvenu, et elle s’affaissa progressivement contre les seins de Zoey, goûtant à un sommeil bien mérité...



« Alors, c’est elle...
 -  Une belle religieuse...
 -  J’admets que Sarah a de bons goûts. »

Une main violette et griffue s’appuya sur le ventre endormi de Marie. Elle dormait au milieu du lit, ses jambes et ses bras enlacés par quelques tentacules. Un sommeil apaisant, tandis que la main remonta le long de son ventre, flattant son sein, le titillant légèrement, avant de pincer le téton, ce qui provoqua un frisson sur le corps de Marie. La religieuse ouvrit alors lentement les yeux, et sentit un corps se mettre à califourchon sur le sien.

Puis, dans le même temps, un tentacule phallique alla la pénétrer, offrant à Marie un réveil typiquement formien.

« Voilà une bonne manière de se réveiller, tu ne trouves pas, Marie ? »

La Formienne se pencha vers elle, et l’embrassa sensuellement, serrant son corps contre le sien. Elle se redressa ensuite, et sourit à Marie une nouvelle fois, sa main venant écarter plusieurs mèches de cheveux. Elle se présenta alors, et Marie put ainsi comprendre qu’elle n’était pas n’importe qui... Car il s’agissait de Nova (http://img110.xooimage.com/files/9/2/3/nova_mistress-55a44aa.jpg), surnommée « La Maîtresse des Lames »...

...Autrement dit, la femme de Kerrigan.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mardi 22 janvier 2019, 22:39:55
Cela n’avait franchement pas été très désagréable, et si elle n’avait pas hâte de chez hâte de recommencer, et bien, elle ne serait pas contre recommencer un de ces quatre ! Puis, c’était sûre qu’elle allait devoir recommencer… Pourquoi cela ? Et bien, tout simplement car elle allait devoir faire ça pour ses enfants ! Et ouais ! Elle l’avait dit Zoey, et Marie la croyait tout à fait. Faut dire, elle avait absolument aucune raison de ne pas la croire. Après tout, Zoey était l’exemple même de ce que cherchait Marie dans cette zone… Du réconfort, du soutien, de l’aide… Et elle représentait les trois à la fois. Donc, c’est nickel, comme disent nos amis qui disent nickel régulièrement… Ouais, là, j’avoue, j’ai eu du mal à la sortir celle là, tellement elle est complètement débile, n’est-ce pas ?

« Je te rassure, Marie, cette séance était une parenthèse. D’ici quelques heures, tu seras à nouveau prise dans tous les sens... Voire moins. »

« Hihi, j’ai hâte... »


Et elle avait vraiment hâte ! Elle ne disait pas que ça pour faire plaisir à son interlocutrice ! Ohlala… La coquine ! Cela ne faisait aucun doute, elle était vraiment changée. Bref, elle s’imaginait déjà reprise par des tentacules… Cela faisait plaisir à imaginer. Mmh… Elle devenait vraiment coquine, pour pas dire… oh, si autant le dire, elle était une grosse salope, et elle en était bien heureuse. Mais genre super heureuse ! Quel bonne grosse salope cette fille ! Donc, d’ici quelques heures ? Ouais, il fallait qu’elle soit à la hauteur, sinon, que dirait ses camarades… Elle estimait qu’elle avait du gagner de nouvelles capacités en endurance, depuis qu’elle était venue… Ou alors la baise l’avait permis de comprendre ses capacités… Elle ne savait pas trop.

« C’est précisément pour ça que notre Reine t’a récupéré, Marie... Tu es sa religieuse. Repose-toi, ma chérie, reprends des forces... »

En effet. Comme dit précédemment, elle avait besoin de bien dormir, si elle voulait être en forme demain -serait-ce bien demain ? Est-ce que les jours étaient les mêmes dans la Ruche que dans son monde ? Sans doute pas, elle ne savait pas trop… Bref, on allait dire demain pour faire plus simple, mais c’est pas sur hein.-. Bien dormir était important… Et bien dormir aux côtés de quelqu’un qu’on apprécie, cela était encore mieux ! Cela ne faisait aucun doute. Ainsi, bien lovée contre Zoey, elle ne tarda pas à sombrer dans les bras de morphée… Un sommeil réparateur était le bienvenue maintenant, car pour elle, pour les bébés qu’elle portait, pour tout ce qu’elle représentait… C’était important de bien dormir. Demain est un autre jour, de nouvelles expériences… Et peut-être même des surprises…

***

Qu’est-ce qu’elle dormait bien… Elle dormait mieux que chez elle. Faut dire, elle était plus fatiguée quand elle allait dormir, contrairement à l’époque où… Bah euh… Comment dire… Elle faisait pas grand-chose de physique de ces journées. On va pas le cacher, sur ce point, il y avait eu quelques changements qui avaient leur importance. En effet elle était un peu plus active dans ce qu’elle faisait, par rapport à avant, n’est-ce pas ? Ouais, cela ne faisait pas de doute. Bref, quoiqu’il en soit, elle dormait encore pendant un moment… Et la Belle aux Bois dormant semblait avoir du mal à se réveiller, malgré les discussions qui avaient lieu autour d’elle, et qui pourtant parlait… Et bien d’elle ! Cela serait bien d’écouter, mademoiselle ! Oh, pas de soucis, vous inquiétez pas, on va la redynamiser !

« Mmmmmh… HAN ! »

« Voilà une bonne manière de se réveiller, tu ne trouves pas, Marie ? »

« Oh… Oui… ! »


ET UNE TENTACULE ! UNE ! On pouvait dire que c’était un réveil en fanfare ! Cela ne fait absolument aucun doute. Déjà enfaite, elle avait déjà sorti de sa sommnolance dans un premier temps, car on avait commencé à titiller ses seins… Cela avait déjà commencé à la faire quitter les bras de Morphée… Mais ça, alors, c’était quand même pas mal ! Et voilà qu’elle se retrouvait avec une tentacule qui était bien entrain de faire son plaisir, la pénétrant totalement… Et que une nouvelle femme, que Marie n’avait encore jamais vu, était à par dessus elle, à califourchon sur le sien, et était entrain de l’embrasser sensuellement… Chose qu’évidemment, Marie répondit avec un énorme plaisir… C’était tellement plaisant d’offrir un baiser après une nuit de sommeil… Surtout cumuler avec cette tentacule, oh oui, cela ne faisait aucun doute...

« Han… Bon… Bonjour… ! »

Et donc, un bonjour, primordial après tout. Elle était polie, correct, namého ! Surtout qu’elle ne connaissait pas cette dame… Elle ne se rendait pas compte de l’importance qu’elle avait au sein de la Ruche… Mais aucune importance ! Pour Marie, l’amour arrivait à tous et de la même façon pour tous, cela était important à faire noter. Elle embrassait alors de nouveau la femme, et commença à caresser le corps qui lui faisait face, sans la moindre hésitation. Juste car elle avait en face d’elle une femme de la Ruche, et qu’elle avait envie donc de faire partager son amour et sa satisfaction d’être ici ! Encore une fois, nous nous répétons mais c’est important aussi de se répéter de temps en temps… Cela montrait comment la fameuse Marie s’était parfaitement intégré à son ensemble… Et c’est chouette.
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 04 février 2019, 01:29:23
Parler était quelque chose de subsidiaire et de secondaire quand on était, comme Nova, une puissante Annexienne. Elle avait été intriguée par cette petite religieuse, se demandant bien ce que Sarah voulait en faire. La Maîtresse des Lames était donc venue la voir en personne, et elle n’était pas déçue du voyage. Sa femme commençait à développer des hôtes qui n’étaient que peu modifiés par les gènes formiens, de sorte qu’elles ne seraient pas repérées par les Tekhanes à l’extérieur. Mais celle-ci venait de la Terre, et non de Terra. Fallait-il y voir là la volonté de sa femme de créer, sur Terre, une secte destinée à lui ramener de nouvelles hôtes pour la Ruche ? Nova savait que sa femme cherchait à prendre le pouvoir au sein de la Fourmilière, à renverser les Annexiens pour s’imposer comme la seule et unique Reine des Lames. Elle avait fait de Nova sa femme dans ce but, car Nova aurait été trop puissante pour être une simple Cérébrate.

Tout comme Sarah, Nova avait été à la base une soldate tekhane d’élite, une Ghost. À ce titre, elle était une femme très indépendante, qui disposait surtout d’un puissant pouvoir psychique, faisant d’elle une ESPer terrifiante. Sarah Kerrigan avait réussi à la capturer, et avait mis des mois à la remodeler. La tâche n’avait pas été facile, car Kerrigan n’avait pas voulu endommager son cerveau. Nova s’était régulièrement rebellée, tuant au passage un certain nombre de Formiens, avant que Sarah n’arrive enfin à la transformer, et à faire d’elle une Formienne. Convertir Nova à sa cause avait été bien plus difficile que de convertir la belle Marie, où Sarah avait pu user plus facilement de ses pouvoirs télépathiques sur elle. Le résultat était toutefois admirable. Sarah avait tout simplement réussi à convaincre Nova que Tekhos était sur le déclin, et qu’il était préférable de s’allier avec les Formiens pour corriger la Ruche, et pour éviter que ce que Nova avait vécu dans son enfance (le massacre de sa famille par les Formiens) ne survienne à nouveau. Car Sarah fonctionnait clairement de manière différente que les autres Annexiens.

Et ça, Nova en avait la présence entre ses cuisses en voyant la manière très spontanée dont Marie réagissait. La jeune religieuse goûta aux lèvres de l’Annexienne, qui se pencha pour cela vers elle, avant de se redresser encore. Sa main se posa sur le corps de Marie, laissant celle-ci couchée sur le lit, et elle diffusa ensuite dans son esprit quelques images, des songes dont le but était de permettre à Marie de comprendre qui elle avait en face d’elle. Nova ne rentra pas dans les détails, mais donna juste les informations essentielles à Marie, à savoir qu’elle était la femme de Kerrigan, qu’elle dirigeait sa propre Ruche, et qu’elle était actuellement enceinte de la Reine.

« Et toi, tu es la petite fleur de ma femme, Marie... »

Une délicieuse petite fleur, en réalité, et Nova se pencha encore vers elle. Elle l’embrassa tendrement, à nouveau, frottant son corps contre le sien. Sa langue se glissa amoureusement dans sa bouche, et roula en elle, tandis qu’elle diffusa dans l’esprit de Marie un souvenir de ses parties de sexe endiablées avec sa femme (http://img92.xooimage.com/files/f/f/2/07-3c3f5a4.jpg). Nova était au moins aussi perverse que sa femme, et rompit ensuite le baiser. Elle se déplaça alors, et d’autres tentacules apparurent alors, s’enroulant autour des poignets de Marie, les plaquant sur le lit, ainsi que sur ses chevilles.

Deux autres tentacules-bouches se posèrent ensuite sur ses seins, et vinrent tendrement les pomper. Les tentacules ondulaient autour de Nova, qui sourit lentement.

« Tu aimes ça ? Est-ce que tu es prête à aller répandre notre bonne parole, Marie ? À recueillir les ouailles de Seikusu pour les conduire à nous ? Pour leur faire partager ce bonheur inouï ? »

Car c’était bien là la finalité recherchée !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le mercredi 06 février 2019, 14:20:39
En premier lieu, Marie ne connaissait pas la femme qui était devant elle… Mais elle devinait très aisément qu’elle avait à faire à une autre formienne. Et qui disait autre formienne… Disait très certainement du sexe ! Et elle n’était même pas lassée de cela. La preuve ! Comme dit précédemment, l’un de ces premiers reflexes, c’était quand même d’avoir embrassée la femme, sans aucune hésitation, non, elle l’avait fait, en étant sûre d’elle… Elle le fut néanmoins un peu moins quand elle appris, grâce à de la télépathie, à qui elle avait affaire… Oh mon dieu, ne venait-elle pas de faire un acte vraiment pas terrible, de totalement marcher sur la bienséance ou quelques choses du genre ?! Heureusement, les déclarations suivantes de Nova furent fortement rassurante pour notre religieuse.

« Et toi, tu es la petite fleur de ma femme, Marie... »

« C’est trop d’honneur ! »


C’était donc grâce à cette déclaration et les images qu’elle avait eu, qu’elle avait commencé à montrer un immense respect pour la femme qui était toujours par dessus elle ! Bon sang, si elle avait su plus tôt, elle n’aurait pas dis ce qu’elle avait dit un peu plus tôt… Ce qui était sans doute exactement pourquoi Nova ne l’avait pas fait plus tôt. Sans aucun doute qu’elle avait voulu voir la spontanéité de la religieuse, plutôt que voir comment elle réagirait donc… Quand elle savait déjà tout ! Et c’était une bonne chose. Trop souvent, quand on apprend un peu trop sur une personne, et bien, on se retrouve à ne plus être naturel, à ne plus faire ce qu’on aurait fait en temps normal… Sauf que voilà, Nova, elle voulait savoir qui était Marie, en vrai. Et donc, elle pouvait bien plus s’amuser avec la religieuse ainsi.

« Tu aimes ça ? Est-ce que tu es prête à aller répandre notre bonne parole, Marie ? À recueillir les ouailles de Seikusu pour les conduire à nous ? Pour leur faire partager ce bonheur inouï ? »

« Oh… Que de magnifiques souvenirs, madame... »

Elle avait eu en tête les souvenirs de Nova, et de ces parties de sexe avec Sarah. Cela ne faisait donc aucun doute, oui, elle trouvait ses souvenirs magnifiques. Elle était même un peu rouge de gène, mais plus car elle avait l’impression d’être la spectatrice voyeuriste d’une scène où à l’origine, elle n’avait pas été conviée. Et ouais, elle restait encore Marie, n’avait pas été rebooté, pour devenir une autre personne ! Elle avait énormément changée, mais elle gardait encore un peu de timidité, un peu de naïveté encore vis à vis du sexe. Pourtant, le sexe était bien public ici ! Mais voilà, une sorte de timidité encore présente faisait qu’elle était légèrement rouge. Mais cela n’empêchait pas que ces souvenirs étaient magnifique...

« Vous savez, j’ai fais ça toute ma vie mais pour la mauvaise divinité... »

Et ouais, le prosélytisme, elle s’y connaissait ! Cela ne faisait aucun doute qu’elle allait adorer faire de nouveau du prosélytisme, mais pour la vraie religion ! L’unique vraie religion, du plaisir ! Elle comptait bien faire découvrir à des jeunes demoiselles ce qu’il fallait faire pour être une bonne formienne… Et elle allait s’amuser ! Cela l’excitait fortement, et l’idée lui plaisait donc énormément ! Vivement, vivement ! Mais là, elle avait encore un peu de formation à faire, sans aucun doute, elle n’était pas encore parfaitement prête pour être libérée. Et ouais, elle-même le considérait ainsi ! C’est quand même très fort, si vous voulez mon avis ! Bref, elle déclara pour conclure ce sujet...

« Tant d’âme perdu, qui serait si heureuses… En venant… »

Et ouais, elle le pensait vraiment ! Elle était sûre que bien des femmes devraient partir et s’aventurer dans cette quête ! Des hommes aussi, elle se souvenait de ce que lui avait dit Zoey ! Des femmes surtout, mais peut-être que quelques hommes pourraient trouver la voie, l’unique, la vraie ! Bref, il n’y avait pas de doute à son avis, et elle était très heureuse d’être une guide, une femme qui allait pouvoir montrer ce qu’il fallait faire à ces pauvres gens. Hors, les vrais, savent ce qu’il faut faire… Il faut suivre le conduit ! Donc, voilà, après cette référence obscure, et bien, elle était persuadée qu’elle pouvait faire de grandes choses… Mais encore une fois, n’allons pas trop vite, étant donné qu’elle avait d’autres choses à faire… Actuellement…

« J’adore maîtresse… J’adore quand on s’occupe de moi, quand je suis votre petite soumise, à vous à et à votre femme... »

Elle montrait ainsi qu’elle était une petite soumise entièrement dévouée à ses maîtresses ! Et ouais ! Cela apportait donc deux choses à comprendre. La première, c’était de comprendre que comme dit précédemment… Et bien, donc, elle était prête à faire ce que voulez donc la fameuse Sarah en matière de religion, elle comptait bien donc suivre le chemin tracé… Mais elle montrait aussi qu’elle était la petite soumise prête à faire ce que voudrait donc Nova… Maintenant ! Surtout que sa position actuelle était parfaite pour cela. Jambe et bras écartée, elle s’offrait donc en son intégralité à Nova, ne cherchant absolument pas à faire autre chose que se tenir prête à obéir… Et faire plein de truc géniaux ! Mmmh… Elle avait hâte, elle n’allait pas le cacher. Nous aussi, on va pas le cacher !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 11 février 2019, 01:04:33
La géopolitique interne de la Fourmilière était sans doute encore un peu obscure pour Marie. En résumé, Sarah n’était pas la seule Annexienne à bord, et il n’y avait pas vraiment de grand chef de la Fourmilière, si ce n’est l’Overmind... Qui se trouvait à des années-lumière d’ici. La Fourmilière était ainsi dirigée par plusieurs Annexiens, mais, quand Sarah Kerrigan était devenue la Reine des Lames, son pouvoir n’avait cessé de croître. Elle était en guerre interne froide contre les autres Annexiens, et, après avoir transformé Nova, son contrôle ne cessait de s’accroître. Car Nova était trop puissante pour être une Cérébrate, c’est-à-dire une lieutenante... Elle était une Annexienne à part entier, tout en étant très proche de Sarah, et en agissant de concert avec elle. Ensemble, les deux femmes avaient pris un poids significatif dans les luttes intestinales de la Fourmilière. De base, les Annexiens avaient beaucoup de mal à s’allier entre eux. Ils avaient un fonctionnement très primaire, très bestial, digne de certains animaux primitifs. Ils ne s’associaient pas entre eux, et préféraient se battre, et, quand ils attaquaient ensemble, chaque Nuée suivait les ordres de son Annexien, sans obéir aux autres. Une logique étroite et contre-productive, que Sarah avait fait voler en éclats. Grâce à ce savoir-faire humain qu’elle avait su conserver, elle avait conçu avec Nova des liens très étroits, à tel point que les deux femmes agissaient d’une même voix, partageant les mêmes intérêts. Ainsi, Sarah pouvait aider Nova à contrôler sa Horde, et, réciproquement, Nova pouvait le faire. Elles vivaient ensemble une relation extrêmement fusionnelle, car chacune avait instantanément et sans limite accès à l’esprit de l’autre, à ses pensées, à ses souvenirs... Et même au contrôle de son corps.

C’est grâce à ce lien fusionnel que Nova avait perçu la présence de marie, et s’en était intéressée. Contrairement aux pondeuses habituelles, elle avait senti le vif intérêt de Kerrigan pour cette créature, une femme qui, de prime abord, n’avait pourtant rien d’exceptionnel. Elle était juste une belle femme, avec de jolis seins, de belles hanches... Autrement dit, une bonne pondeuse, mais il n’y avait pas là de quoi susciter à ce point l’intérêt de sa femme. Nova s’était donc renseignée, et avait compris que sa femme avait des plans intéressants avec elle... Nova avait déjà eu l’occasion de visiter la Terre, car elle savait que sa femme y avait une sorte d’antenne, et avait été agréablement surprise de voir tout le potentiel de Seikusu. Partant de là, cette religieuse était très intéressante.

Ainsi, et plutôt que de perdre son temps à expliquer ce qu’elle était, Nova avait directement utilisé son esprit pour laisser Marie prendre connaissance des informations la concernant. Et apprendre cela émut un peu la religieuse, qui lui offrit son corps. Nova sourit alors, et le tentacule se retira, tandis qu’elle se redressait.

« Tu adores donc être notre sac à foutre... C’est une bonne chose, ma belle. Allez, mets-toi à quatre pattes, et cambre-moi ton petit cul d’amour. »

Nova avait été très difficile à transformer. Sarah avait passé des mois à le faire, mais elle ne regrettait pas le temps passé. L’Overmind s’était personnellement chargé de transformer Kerrigan en Reine des Lames, et elle avait cru à plusieurs occasions qu’elle n’aurait pas réussi... Puis, à force de persévérance, elle avait su retourner Nova, puisant dans sa haine des Formiens pour la retourner contre elle, en lui montrant que les Formiens allaient dominer, que la guerre était perdue d’avance... Une stratégie qui avait fini par payer.

Quand Marie se positionna, un tentacule vint naturellement fouetter ses fesses, marquant sa chair... Puis elle put ensuite sentir contre son corps les mains de Nova. Elle caressa son cul, malaxa ses fesses, et pinça sa chair avec ses doigts griffus, puis... Marie sentit ensuite un membre plus pointu s’appuyer contre ses fesses. Nova se pinça les lèvres, ayant fait sortir sa verge, et puisa encore dans son énergie. Son membre veineux se mit alors à gonfler, enflant démesurément sur place, gagnant plusieurs centimètres de diamètre, ressemblant à un muscle sur le point d’exploser...

« ...Haaaa... !! »

Nova gémit en serrant encore les fesses de Marie, tandis que sa queue se dédoubla ! Deux belles verges apparurent, l’une sous l’autre, et caressèrent le corps de Marie.

« Pardon pour t’avoir fait attendre, ma belle... Mais, avec toi, je crois qu’on peut déjà passer au comblement de tous tes trous, non ? »

Et, suite à cela, Nova la pénétra donc avec chacune de ses verges... À la fois dans son vagin et dans son anus !

Une double dose de sexe pour un plaisir décuplé !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le jeudi 14 février 2019, 22:09:28
Avoir tout les renseignements sur Nova permettait deux choses. Premièrement, cela permettait à Marie de savoir plus sur la Formienne, et donc, ce qui allait avec. Elle comprenait mieux pourquoi elle était là, et quel rôle elle avait dans la Ruche. Ouais, c’est relativement important quand même, on va le noter ! Enfin pas besoin, vu que c’était directement dans la tête de Marie. Mais la seconde partie, c’était que Marie pouvait vraiment devenir une force. Elle ne paraissait rien, mais sa dévotion, qui pouvait presque devenir du fanatisme, pouvait être une force dans les jeux de pouvoirs des Formiens, qui pourtant, dépassait à ce stade complètement notre chère religieuse ! Une force cachée, pas encore accessible ni visible, mais bel et bien présente.

« Tu adores donc être notre sac à foutre... C’est une bonne chose, ma belle. Allez, mets-toi à quatre pattes, et cambre-moi ton petit cul d’amour. »

Ni une, ni deux, elle se mit en position ! Hors de question de faire attendre la femme de sa précieuse déesse, après tout ! Il fallait qu’elle soit vite en position, histoire de, le plus vite possible, se faire prendre ! À peine réveillée, et voilà qu’elle était déjà partante pour un petit tour de bite, c’était quand même totalement fou ! On pouvait voir qu’elle avait bien changée. Mais bon, je ne vais pas développer cela, car bon, vous devez en avoir marre, cela fait quand même une bonne dizaine de post de ce RP, facile, que je sors cette phrase tout le temps ! Donc voilà… Concentrons-nous plutôt sur ce qui se passait, c’est à dire, elle se faisait fouetter les fesses, là, par la tentacule qui l’avait pénétré un peu plus tôt… Une sorte de mise en bouche avant ce qui allait se passer… C’est à dire la vraie pénétration.

« Pardon pour t’avoir fait attendre, ma belle... Mais, avec toi, je crois qu’on peut déjà passer au comblement de tous tes trous, non ? »

« Oh mon Dieu… Carrément… Aaaah ! »

Oh mon dieu ! En effet ! Faut dire, les talents des Formiennes ne cesseront jamais d’étonner notre fameuse religieuse ! Voilà que non seulement la fameuse Nova n’avait pas un phallus d’une belle taille, mais voilà qu’elle en avait maintenant deux ! Bon, dans les faits, ce n’était pas la première fois, mais au début, elle avait cru que voilà, Sarah était la seule à pouvoir le faire ! Mais enfaite, en y réfléchissant un peu, elle se dit que… Ouais, enfaite, c’était parfaitement logique que la femme de Sarah soit tout autant capable de le faire. Bref, si cela était totalement logique, cela restait quand même la seconde fois seulement que cela arrivait… Et cette fois, à part la tentacule un peu plus tôt, pas de préparation… Et ouais, c’était direct, comme l’avait dit Nova. On allait direct au comblement de tout les trous ! Ainsi… C’était deux choses aux yeux de Marie… Mais nous n’allons pas le dire… Nous allons laisser Marie le dire !

« C’est trop d’honneur ! Que c’est bon ! Haaan…  »

Et ouais ! Comme quand c’était Sarah qui l’avait fait, et bien… C’était un immense honneur ! Se faire pénétrer comme ça, c’était un grand honneur, et alors, imaginez quand c’est carrément les deux bites qui se mettent à vous pénétrer ! Les deux bites, de la même personnes ! Alors, là, cela ne fait aucun doute… Cela vous rendre euphorique devant tant d’honneur… mais aussi tant de plaisir ! Car oui, c’est bien de déblatérer (ce mot est tellement dégueulasse. T’as l’impression que quelqu’un vomit. Déblatérer. Beurk), mais il faut rappeler la réalité… C’est à dire qu’elle était entrain d’avoir un plaisir absolument inégalé ! Enfin, si, quand Sarah l’avait prise… mais plus le temps passait, plus elle prenait du plaisir, car moins elle se bridait. Elle était presque totalement débridée, et elle en était bien plus heureuse, cela ne faisait aucun doute.

« Je risque de gémir comme une pute à l’église, Ô Nova… Il faudrait me faire fermer la bouche, non… ? »

On sentait qu’elle maîtrisait mieux les petits jeux qui avaient cours… Elle faisait exprès de dire cela, invitant Nova à la bailloner d’un moyen ou d’un autre, ce qu’elle voulait… Elle pouvait avoir toute l’imagination qu’elle voulait, étant donné qu’elle était en pleine prise. Bref, vous avez compris… Et sa déclaration ne sortait pas de nul part. Vous avez bien entendu deviné qu’elle ne sortait pas qu’elle était une « pute à l’église » pour rien ! Elle était littéralement une ancienne de l’église, et voilà qu’elle se retrouvait à être une bonne grosse pute ! Quel dommage que l’expression, c’est plutôt « suer comme une pute à l’église » oh, mais attendez… Oui, sans aucun doute que vu le caractère sportif de la parti de jambe en l’air de notre duo… Sans doute qu’elle allait suer comme une pute à l’église !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 18 février 2019, 01:05:42
Nova était la plus grande réussite de Sarah, une femme si puissante et si belle que Sarah se félicitait à chaque fois de voir ce qu’elle avait réussi à faire. Évidemment, en ce moment, alors que Nova baisait furieusement Marie, Sarah le savait, et elle n’en était nullement familiarisée, bien au contraire. Sarah offrait toujours ses partenaires (nombreux) à sa femme, et inversement. Quant à Nova... Elle savourait plus que de raison ! Avant que Sarah ne la transforme, elle était une femme obtuse, perdue dans sa haine et dans la manipulation des Tekhanes, menant une guerre perdue d’avance contre les Formiens. Sarah lui avait montré qu’on ne pouvait pas vaincre les Formiens, et que, plutôt que de chercher vainement à les battre, il fallait les faire évoluer de l’intérieur. Elle lui avait expliqué que certains Annexiens étaient pervertis, mais que le but de la Fourmilière n’était pas de tuer les autres espèces, de massacrer les autres mondes, mais au contraire de les unifier, de les faire vivre ensemble, sous le signe du désir et d’une vie facile. Tous les pondeurs de Kerrigan menaient une vie heureuse, tout simplement idyllique. Ils n’avaient plus besoin de travailler, plus besoin d’obtenir de l’argent. Les ressources étaient abondantes, et ils appartenaient ainsi à une grande et immense famille, où personne ne s’entretuait, vivant joyeusement et simplement. Comment ne pas avoir envie d’une telle vie ? Une vie loin des artifices de Tekhos, loin de cette vie fade et tortueuse où les humains étaient les esclaves de mégacorporations avides de profit ? Sarah avait fait de Nova une perfection, et Marie était en train de le réaliser aussi.

Nova la pénétra donc avec deux verges, une dans son vagin, et une autre dans son cul. La première s’enfonça dans son fondement, un espace plus étroit et surélevé, tandis que l’autre s’enfonça ensuite. Pour cela, de petits tentacules s’échappèrent de sa verge inférieure, venant se poser sur les lèvres intimes de Marie, et agirent pour redresser son sexe, venant l’enfoncer dans ses lèvres intimes. Les mains de Nova se crispèrent sur les fesses de Marie, pinçant sa chair à ce contact. Elle poussa ensuite un long soupir, et donna un coup de reins supplémentaire, ses deux queues venant coulisser dans son corps. Deux membres bien gros et assoiffés, qui se tortillèrent dans son corps.

Poussant un nouveau soupir, Nova continua ensuite, esquissant un sourire devant les hurlements de Marie.

« Oh, ma petite chérie, hmmm... ! Petit trésor, haaaa... !! »

Nova était aussi perverse que sa femme, mais pouvait se montrer, sous certains aspects, plus affectueuse... Et plus cruelle sous beaucoup d’autres. En tout cas, elle se régalait toujours autant. Nova avait sans doute des centaines, si ce n’est des milliers, de partenaires sexuels à son actif. Pour autant, elle était encore bien incapable de se lasser de ce genre de choses, du fait de faire l’amour avec sa partenaire. Elle la besognait furieusement, encore et encore, faisant couiner le lit, et arrachant à Marie de nouveaux hurlements. Elle se dandinait sur place, incapable de lutter, subissant avec grand plaisir tout ce que Nova lui infligeait.

« O-Ouuuii, hmmm... »

Sa main n’hésita pas à se déplacer, venant gifler sèchement le postérieur de sa partenaire. La petite religieuse hurla encore, se tortillant sur place, et, entre plusieurs soupirs, lui demanda de s’occuper de sa bouche. Nova sourit malicieusement, et se concentra alors. Ses muscles se bandèrent, tandis qu’elle fit pousser dans son dos, juste au-dessus de ses fesses, une longue queue caudale violette. Sa queue fouetta le sol, et ondula ensuite, avant de s’étirer, s’allongeant sur plusieurs mètres, son extrémité prenant une allure phallique.

« Oui, ma Marie, j’ai pensé à tout pour toi... »

Et la queue phallique s’enfonça dans la bouche de Nova, optant pour une série de gorges profondes...

...Elle était ainsi clairement prise par tous les trous !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le jeudi 21 février 2019, 21:00:40
Pour Marie, les différences entre les différentes cérébrates, tout ça, ce n’était pas encore très accessible, compréhensible. Non qu’elle ne faisait pas attention, ou pire encore, qu’elle s’en fichait, mais disons qu’elle n’avait pas encore le contexte et le recul pour tout comprendre. Mais une chose, disons qu’elle ne le ratait pas… C’était à quel point en effet, Nova était devenue sans la moindre hésitation une femme d’excellent goût, et avec de grands talents dans ce qu’elle faisait. Oh, vous devinez sans soucis que quand je parle de ce qu’elle faisait, je parle bien entendu du sexe. Hein, pas de la couture sous hypnose, de l’apnée en haute montagne, ou bien de la pétanque en zéro-gravité. Oui, ces trois exemples d’activités n’existent pas, mais ainsi, je ne me tape pas de soucis de copyright… Malin n’est-ce pas ?

« Oh, ma petite chérie, hmmm... ! Petit trésor, haaaa... !! »

« Oh… oui… HAAAAN ! »


Les surnoms affectueux de Marie était très important, et elle aimait beaucoup les entendre. Elle avait déjà entendu ce genre de surnom… Mais pas dans ce genre de contexte ! Est-ce que cela étonne quelqu’un ? Franchement, j’espère pas quand même… Mais bon, quoiqu’il en soit, les surnoms affectueux que lui donnait Nova était très bon pour elle… à ses oreilles… Bien entendue, elle devinait que ce genre de surnom était très certainement donné à toutes les femmes qu’avait connu notre chère Nova… Mais quand même ! Mais quand même ! C’est quelques choses qu’elle apprécie, et qu’elle va pas refuser… Après tout, elle est pour l’amour de Dieu, et l’amour de Dieu, c’est pour tout le monde ! Donc, pas de jalousie !

« O-Ouuuii, hmmm... »

« mmmh… AAAAH ! »


Bon sang, qu’est-ce qu’elle prenait son pied… Le double chibre des deux femmes, je parle bien entendue de Nova et Sarah, se valaient niveau taille, et sans aucun doute que les deux femmes se valaient niveau talent au lit. Donc, il n’y avait pas à tergiverser pendant mille ans, la fameuse Marie prenait son pied exactement comme quand cela avait été quand c’était notre chère Sarah qui l’avait défoncée les orifices avec ses deux énormes chibres. Le tout continuait, sans interruption, avec un talent qui ne faisait aucun doute. Marie était comme une grosse chienne qui gémissait, ou alors, pour reprendre ce qu’elle avait dit un peu plus tôt, comme une pute à l’église. Ouais, j’aime bien cette expression, faut dire, dans le cas de Marie, cela lui convenait relativement bien, il faut bien le dire…

« Oui, ma Marie, j’ai pensé à tout pour toi... »

« MMPH !! »


ET BAM ! D’un seul coup, elle fut en effet baillonée pour ne plus gémir comme la pute à l’église. Mais le baillon était digne de la pute qu’elle était. D’un seul coup, son cou reçu littéralement en son sein une tentacule qui n’hésiterait pas à aller jusqu’au sein s’il pouvait ! Vous avez compris ? Non ? Parfait ! Bref, alors qu’elle l’avait demandée, et bien, elle le recevait sans aucune hésitation. Nova n’était pas du genre à faire dans la demi mesure, et cela se voyait, enfin, plutot dans le cas de Marie, cela se sentait. La tentacule qui avait trouvée logement dans sa bouche n’hésitait pas à faire des gorges profondes, ne laissant aucun répit à la religieuse qui n’était quand même pas spécialement forte à ce point… Mais elle allait apprendre ! D’ailleurs, n’était-ce pas en quelques sortes des travaux pratiques ? Mais oui !

« Mmmh... »

Elle s’habituait peu à peu à cette triple pénétration, où aucun de ces trois trous principaux n’était pénétré. Elle était totalement prise, sans aucune hésitation, et le rythme devenait peu à peu dans ce que Marie pouvait gérer… Et pouvait apprécier du plus haut point ! Mmh… Elle se sentait pleine ainsi, elle se sentait entièrement emplie. Il n’y avait pas de doute, aux yeux et oreilles de Marie, il fallait qu’elle soit comme ça bien pleine, pour ne pas se relacher. C’était quand même très important. Après tout, elle se devait d’être une bonne grosse salope pour ses maîtresses, tout comme elle pourrait être la représentante de cette religion si importante. Bref, une sorte de Double-Face, une sainte qui amènerait les gens à la religion, et une grosse salope qui se ferait niquer… Mmh… Ou les deux à la fois, et en même temps ? Bref, du plaisir… Du plaisir...

« MMMMMH !!! »

Du plaisir tu veux ? Du plaisir tu en as ! Et ouais… Visiblement, se faire pénétrer par les trois trous en même temps, c’était un peu la faiblesse de notre religieuse, étant donné que c’était difficile pour elle de résister à cela… Elle était dans une situation de plaisir immense, et elle ne pouvait rien faire à part… à part… Mais oui ! Elle offrit à Nova ce magnifique plaisir de la jouissance absolue, un beau déluge de mouille, alors que son gémissement et même dirait-on hurlement de plaisir n’était qu’étouffé par le fait qu’elle avait un gros calibre dans la bouche, en plus des gros calibres qui étaient eux dans son anus et dans sa chatte… Bref, un plaisir immense, qu’elle serait bientôt invité à avoir de nouveau, étant donné que si elle, elle avait jouie… Et bien, ce n’était absolument pas le cas de Nova !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 25 février 2019, 01:01:58
Nova se mit à sourire malicieusement, tout en pénétrant violemment Marie. La petite religieuse avait d’ores et déjà eu l’occasion de comprendre la règle d’or applicable au sein de la Fourmilière : le plaisir s’étalait dans la durée. Les Formiens pouvaient se relâcher vite, mais le désir croissait toujours en eux, remontant furieusement et rapidement. Et Nova se devait, somme toute, d’être une amante d’exception, puisqu’elle était une femme d’exception. Or, au sein de la société formienne, le sexe était quelque chose de bien plus important que dans la civilisation humaine. Les Annexiens se devaient d’être des amants très endurants, et Nova, dans ce domaine, offrait une excellente prestation. Ses double queues labouraient le fondement et la chatte de Marie, n’épargnant rien à la religieuse, dont les hurlements de douleur et de plaisir se coupèrent quand un tentacule phallique la pénétra. Le membre s’enfonça goulûment dans sa bouche, arrachant à Nova des frissons complémentaires, des crispations musculaires nouvelles, et de nouvelles fessées sur le corps de sa partenaire.

« Haaaa, bordel, tu es si bonne... Hmmmm... !! »

Sarah avait fait aimer le sexe à Nova. C’était la première et indispensable étape pour faire d’elle la belle Formienne qu’elle était devenue. Et la Maîtresse des Lames était à la hauteur de tout ce qu’on pouvait attendre d’elle. C’étai tune pure beauté, une perle magnifique, qui venait labourer énergiquement et efficacement sa partenaire. La religieuse se dandinait sur place, ne tardant pas à avoir un premier orgasme... Qui serait loin d’être le dernier !

Pour améliorer les choses, le lit se mit à remuer, et deux tentacules en émergèrent, venant s’enrouler autour des seins de la religieuse, et les pressèrent. D’autres tentacules s’enroulaient autour du ventre de la religieuse, aidant ainsi la femme à se maintenir sur place. La Maîtresse des Lames gémit encore, et sa main gifla à nouveau le postérieur de la femme, violemment. Les claques résonnaient dans la pièce, tandis que Marie continuait à se faire baiser de toute part.

« Hmmm... Haaaaannn... !! »

Oh, que c’était bon ! Que c’était bon ! Nova gémit encore, et continua donc à la besogner. Les minutes s’écoulaient rapidement, encore et encore, ponctuées par les multiples coups de reins de l’Annexienne. La Reine des Lames gémissait de plaisir, son corps vibrant sur place, des ondes de désir la traversant régulièrement. Le corps de la religieuse rebondissait, et elle savourait, incapable de se lasser, incapable de s’ennuyer !

« Haannn, ouuuii... !! »

Cette séance dura bien une bonne heure, avant que, finalement, Nova ne se relâche en elle. Ses queues crachèrent des filaments de sperme qui se relâchèrent joyeusement dans son corps.

« Hmmm... Voilà qui fait du bien, ma chérie... Tu ne trouves pas ? »

Les tentacules se retirèrent progressivement du corps de Marie, qui s’effondra mollement sur le lit, tandis que Nova reprenait son apparence normale, conservant toutefois son phallus pour le moment, toujours légèrement dressé, et sali de sperme et de mouille.

« N’espère pas te reposer si vite, ma belle, viens nettoyer ma queue avec ta langue... Et récite ta prière en le faisant. »

Que serait une religieuse sans prière, après tout ?
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Marie Mori le jeudi 28 février 2019, 19:42:20
Tout se fait dans la durée. Il faut bien comprendre cela : Marie était meilleure dans la durée que sur des courtes périodes. Surtout que le cadre était absolument parfait. Alors qu’elle avait eu son premier orgasme, des tentacules sortirent alors du lit, et commencèrent à s’offrir une bonne séance de bondage que notre chère religieuse était loin, très loin même, de refuser. Au contraire, elle en était très contente, car non content de seulement la tenir, les tentacules par exemple autour de sa poitrine n’hésitait pas à lui offrir encore un peu plus de plaisir. Vous allez me dire que c’était une goutte d’eau dans l’océan de plaisir qu’elle ressentait, et vous n’auriez pas tord… Mais voilà, quand même, c’était une… Grosse goutte d’eau, cela ne faisait aucun doute ! Donc, elle était très heureuse, cela ne faisait pas de doute.

Et cela durait ! Durait ! Durait ! C’était tellement long, mais en même temps tellement court. Ouais, car qu’on soi clair, si je viens là maintenant, et… Bon, je finis avec des tentacules dans tout mes fondements, et en bonne pondeuse pour la ruche. Mais si je venais maintenant et que je disais que cela faisait une heure qu’elle se faisait besogner, Marie ne me croirait pas ! C’était tellement bon, et le temps passe bite, euh je veux dire, vite quand on prend autant son pied. Elle sentait les coups de rein de son interlocutrice, et c’était dans un plaisir immense qu’elle recevait chaque coup de rein, qui était comme une offrande d’une déesse à sa suiveuse. Ce qui était incroyable, et peu habituel si vous voulez mon avis. Mais toutes les bonnes choses ont une fin…

« Hmmm... Voilà qui fait du bien, ma chérie... Tu ne trouves pas ? »

« Et co… et comment… ! »


Elle s’était effondrée sur le lit. Bon sang que de plaisir… Il n’y avait pas de doute, Nova était du niveau de Sarah, elle avait pas ressenti un tel plaisir depuis… Bah depuis Sarah, justement ! Sans offense pour Zoey, qui avait été une merveilleuse amante ! Mais elle et Zoey, et bien, elles n’étaient rien face à des boss comme Sarah ou Nova. Sans aucun doute que celle-ci comprendrait, et penserait exactement la même chose ! Quoiqu’il en soit, il fallait bien imaginez, je ne l’ai pas précisé avant, mais elle avait eu bien une bonne dizaine d’orgasme en une heure ! Ce qui fait presque un orgasme toutes les six minutes ! Et ouais, je sais ce que vous vous dites, c’est énorme. Surtout que je dis une « dizaine », donc, c’est plus de 10. (enfaite, elle en a eu 14 si vous voulez savoir.) Mais… Ce n’était pas fini ! Elle avait encore à nettoyer après son passage. C’est totalement logique non ?

« N’espère pas te reposer si vite, ma belle, viens nettoyer ma queue avec ta langue... Et récite ta prière en le faisant. »

« Oh bien sûr… ! »


Bah oui ! Après avoir fait l’amour, faut nettoyer derrière. Franchement, Marie, comme tu as pu n’y pas penser ! Sauf que voilà, il ne fallait pas se contenter de nettoyer… Il fallait aussi sortir une petite prière ! Alors, là, de suite, elle pensa à l’Ave Maria, ou le Notre Père… Mais c’était trop facile et pas adapté à la situation. Non, elle devait trouver quelques choses de différents, quelques choses qui claquait, et qui serait parfait dans cette situation… mmh… Elle réfléchissait… Il fallait qu’elle trouve une bonne idée. Elle réfléchissait dans les prières des Bienheureux qu’elle connaissait. Il y en avait beaucoup, et elle en connaissait beaucoup… Une qui devait être bien adaptée, et ainsi, correspondre totalement à la situation… Oh bon sang ! C’était bon, elle avait enfin trouvée ! Et ainsi, elle déclara, se mettant à genoux devant sa compagne :

« Mmh… Oh, je sais. Excusez-moi, Bienheureuse Elisabeth de la Trinité... »

Elle prit un air coquin, et déclara, juste devant le phallus encore dressé de Nova.

« Ô trinité que j’adore… Aidez-moi à m’oubliez entièrement pour m’é… que que vous vous établissiez en moi, comme si mon âme était déjà dans l’éternité... »

La Trinité ? Overmind, Sarah, Nova ! Tout simplement ! Et ouais, voilà, elle était entrain de honteusement -ah non, pas honteusement étant donné qu’elle n’avait absolument aucune honte dans ce qu’elle disait-, parodié une prière qui visait justement à montrer qu’on était pur… Sauf que les paroles pouvaient être prise dans un tut autre sens. Bien sur, elle devait adapter, changer des formes… Changer l’ordre du texte… Mais bon, elle devait parler, certes, mais elle devait aussi sucer, deux activités qui sont d’habitude plutôt contradictoire. Ta maman n’a jamais dis que tu ne devais pas parler la bouche pleine ? Enfin, je dis ça, mais ta mère est morte une bite sur la bouche après s’être crashée en voiture avec un mec… Donc, bon, on peut dire que tu es pardonné pour cet écart de conduite ?

« Immensité où je me perds… mmh… miam… Je me livre à vous comme une proie... »

L’immensité ? C’est bien entendue la bite de Nova, bon, ça, pas compliqué. On peut même dire que c’était facile… Mais quand même ! Quoiqu’il en soit, concentrons-nous un peu sur la bite, et nous analyserons les paroles plus tard, vous le voulez bien ? Oui ? Merci vous êtes adorables ! Donc, elle décida de faire exactement ce qu’elle devait faire dans cette situation : Du nettoyage. Et ouais, elle avait bien sali le magnifique phallus de Nova, ce n’était pas acceptable de le laisser dans cet état ! Ohlala ! Elle devait absolument réparer cela, et au plus vite. Donc, elle léchait bien, tentant de tout récupérer… Et c’était bon… mmh, sa propre mouille, mais également le sperme de Nova… Cela ne faisait aucun doute que cela formait un mélange onctueux !

« Et vous, Ô Nova, penchez-vous vers votre pauvre créature… Couvez-là de votre ombre… Et votre foutre... »

Elle reprit en bouche, et opta alors pour une gorge profonde. Là, c’était donc la fin pour le moment de la prière, étant donné qu’elle n’était plus trop en état de parler. Mais quand même, Nova pouvait être fière de l’intelligence et la perversité de sa compagne, qui avait quand même réussi à bien parodier une prière, mais pas seulement gratuitement, juste en rajoutant des gros mots… Non, elle l’avait fait en adaptant à sa situation, s’offrant comme une proie -ce qu’elle a dit tout à l’heure-, et demandant littéralement de se faire « couver par du foutre », donc, vous imaginez bien à quel point c’est adapté ! Elle était ainsi entrain de faire sa gorge profonde, tentant d’être efficace. Les gorges profondes n’étaient pas encore sa spécialité, et elle en avait rarement fait sans en être contrainte… Mais on pouvait dire qu’elle se débrouillait bien ! Nova pouvait être contente !
Titre: Re : Holy Luxury Spirit [Marie Mori]
Posté par: Sarah Kerrigan le lundi 04 mars 2019, 00:58:08
La prière fut très agréable à entendre, entrecoupée de soupirs, de baisers, et de léchouilles. Devant Marie, il y avait effectivement une éternité qui s’offrait à elle : un phallus bien dressé. Une queue assoiffée, une verge tendue et recouverte d’un mélange de mouille et de sperme, le tout collé à sa queue. L’ensemble était très beau, avec une délicieuse odeur de sexe et de sueur… Une odeur qui aurait jadis repoussé Marie, mais qui agissait ici comme un excellent aphrodisiaque. La Fourmilière était la définition même du paradis, un endroit où on oubliait tous ses soucis, tous ses préjugés, pour ne devenir qu’un être de pur bonheur, pour se transcender au sein de la collectivité, pour ne faire plus qu’un avec l’Infini et le Merveilleux, et pour enfanter la Vie… La vie sous toutes ses formes et sous ses aspirations les plus nobles. Ici, point d’individualité mortifère, point de jalousie ni de convoitise, mais une égalité parfaite et pure. La Fourmilière était l’aboutissement des rêves égalitaristes utopiques, ceux revendiquant un monde sans propriété privée, un monde d’union, un monde où l’individualité s’effaçait dans la collectivité, tout en restant là… Car Marie restait Marie. Elle était toujours une religieuse, une belle religieuse, et, en même temps, elle était aussi une Formienne, insérée au sein d’une nouvelle société, d’une société idyllique, une société qui avait réussi à combler les paradoxes et les contradictions inhérentes au genre humain.

Il existait entre la religion monothéiste et la Fourmilière une porosité, une perméabilité que Sarah Kerrigan avait su utiliser pour convaincre Marie de la servir. La religieuse était maintenant leur religieuse, une magnifique dévote qui adapta à merveille une prière religieuse, excitant Nova. Celle-ci sourit doucement, tandis que sa queue se redressa. Elle laissa ensuite Marie continua à la lécher, la nettoyer, tandis que sa queue retrouvait de sa superbe, devenant un membre fièrement élancé, assoiffé et impatient. Une belle verge tendue qui avait furieusement envie de se perdre dans la bouche de sa partenaire.

« Oh, quelle gourmande, haaaa… »

Marie opta alors pour une gorge profonde, et la main de Nova alla se crisper sur sa tête. Elle serra ses cheveux, immobilisant sa proie, et la regarda en souriant. Son membre durci tapait contre le fond de sa gorge, palpitant doucement dans sa bouche, visiblement bien heureux, là, au chaud… Une sensation des plus délectables, qui excitait furieusement Nova. La Formienne frémit doucement, et donna quelques coups de reins.

« Là, là, inspire fort… Respire par le nez, ma toute belle… »

Nova s’enfonça encore, maintenant la pression, sa verge disparaissant jusqu’à la garde dans son corps. Elle se pinça à nouveau les lèvres, tremblant doucement sur place, et donna encore un coup de reins, sa queue ondulant dans sa bouche.

« Très bien, très bien… Tiens le rythme, et tu auras droit à ta récompense, ma belle salope… Ton délicieux foutre ! »

N’était-ce pas là tout ce que Marie pouvait souhaiter avoir ? Qu’elle continue à ce rythme, et… Hmmm… Au bout de quelques minutes (en réalité un bon quart d’heure), Nova sentit sa queue tressauter, et se relâcha joyeusement en elle. Son sperme éclata dans la bouche de Marie, et se déversa dans sa gorge, allant jusqu’à son estomac.

« Bien… Bien, c’est parfait… Tu ne trouves pas, ma petite chérie ? »

Sa queue était maintenant bien propre !