Le Grand Jeu
Plan de Terra => Royaume Terranide => Discussion démarrée par: Karuta Roromiya le dimanche 23 avril 2017, 13:22:42
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Karuta n’avait pas été chez beaucoup de maîtres et de maîtresses depuis qu’elle était devenue esclave, mais depuis qu’elle était arrivée chez Evangeline, la maîtresse des poupées, elle n’avait plus besoin ni envie de partir. Sa nouvelle maîtresse était une femme merveilleuse, autoritaire et manipulatrice, qui avait su la toucher droit au cœur, et lui faire découvrir les plaisirs de la chair. Elle passa sa première nuit au manoir dans le lit de sa maîtresse, lui servant de peluche contre les cauchemars. Après ça, elle était passée au dressage animalier entre les mains des serviteurs d’Evangeline, qui lui apprirent à se comporter comme un vrai chat en la faisant vivre comme tel, mangeant dans une écuelle, dormant dans un panier, recevant des caresses et apprenant à miauler et à ronronner avec réalisme. Elle eut la chance d’avoir un dressage doux et patient, là où certains esclaves étaient brisés physiquement et émotionnellement. Et maintenant elle était un parfait petit chaton, capable de changer de l’état d’humain à celui d’animal en une fraction de seconde. Elle avait appris à faire son travail tout en profitant des différents plaisirs offerts par le manoir : les filles attachées dans la salle de bain, se détendre dans son rôle de chaton… Mais surtout, coucher avec sa maîtresse.
La journée débutait à peine et Karuta assurait le service du matin, dépoussiérant et astiquant le mobilier avec rigueur. Rien ne pouvait la distraire de son travail, hormis la présence d’Evangeline, qu’elle s’était mise à aduler comme une déesse. Et justement, alors qu’elle faisait le ménage dans l’entrée, sa maîtresse arriva en descendant par le grand escalier. Elle interrompit son ménage pour s’incliner sur son passage, et sa maîtresse demanda alors à jouer avec son petite chaton. Dans la seconde qui suivit, Karuta posa son plumeau et se mit à quatre pattes pour aller se frotter contre la cuisse de la dame en miaulant et ronronnant.
« Nyaaa… mmrraaww… »
Sa tenue de maid était si courte que, une fois à quatre pattes, on pouvait voir sa culotte, une fine culotte en dentelle blanche (http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=180941culottedentellesexyfemmeblancnoirrougestringshortytangaslipbas1091948247ML.jpg) faite pour donner envie. Un cadeau de sa maîtresse, qui la voulait la plus désirable possible.
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Evangeline profitait d’avoir peu de travail dans la gestion de son territoire pour faire le tour de ses esclave et voir le travail qu’il restait à faire. Elle avait fait son tour terminant par ses favorites du moment. Elle venait d’attaché Rosa sa démone à un mur avec des vibromasseurs dans ses orifices. Une punition pour son comportement envers une poupée gardiennes qu’elle avait refusé de servir. Maintenant c’était au tour de la dernière Kurata. Une esclaves ressente qu’il avait fallu dressé et éduqué surtout dans le sexe et son souhait d’être animalisé.
Accompagné de ses deux filles adoptives Marie et Marion (http://hpics.li/f0daa54), Evangeline arriva dans le hall où se trouvait justement Karuta occupé au ménage.
-Bonjour Karuta, viens là mon petit chaton.
Elle regarda cette dernier posé son matériel et se mettre alors à quatre patte et venir se frotté dans ses jambes. Son apprentissage c’était montré efficace, car elle imitait très bien le chat. Marie se pencha pour venir lui mettre un sert tête avec des oreilles de chat, alors Marion sa jumelle, viens profiter pour lui relever sa robe. Elle profita de l’ouverture arrière qu’offrait sa culotte pour y rentré, un peu de lubrifiant et elle glissa une série de perle anal qui permettait de lui faire tenir une queue féline. Les deux sœur se relevèrent et reviens se mettre prés de leur mère adoptive.
-Suis nous ma petite chatte.
Evangeline s’avança vers la porte d’entrée et sortie avec le petit groupe de jeune fille. Il y avait un carrosse qui l’attentait avec deux cavaliers. Un homme impressionnant qui faisait guerrier et une femme sombre qui semblait plus fragile. Tous les deux étaient des poupées gardienne qui était là pour assurer leur protection. Il arrivait qu’Evangeline fasse une tournée de son territoire, pour voir de plus près ce qu’il y avait encore à faire et l’avancé de ses projet.
-Tu vas venir avec nous, ma petite chatte. On va en profiter pour faire le point sur ton éducation et tes préférences. Aller monte.
Evangeline s’installa sur une banquette, ses filles sur celle d’en face et Karuta à leur pied. Une fois tout le monde monté, le carrosse commença à traverser l’aller du manoir.
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Karuta ronronnait en se frottant contre les cuisses de sa maîtresse, et se laissa docilement faire quand Marie et Marion, ses filles adoptives, vinrent lui ajouter quelques accessoires pour parfaire son rôle : un serre-tête avec des oreilles de chat et une queue de chat tenant grâce à un plug anal lubrifié. La sensation de se faire insérer des choses dans la rondelle lui était particulièrement agréable.
« Nyaaannn ! »
Une fois équipée, elle suivit le groupe jusqu’à l’entrée du manoir, où attendaient un carrosse et deux poupées gardiennes. Evangeline allait procéder à une inspection de son domaine, et elle voulait que son chaton soit du voyage.
« Nya nya. »
Karuta monta dans le carrosse et se coucha sur le sol tandis que ses maîtresses prirent place sur les banquettes. L’engin entama sa course, et c’était parti pour rejoindre la vallée d’Ancarla. Sur le trajet, Evangeline donna l’autorisation à sa soumise de parler pour lui dire comment elle se sentait depuis son dressage.
« Je me sens bien, très bien même. Pouvoir être un animal est un bonheur pour moi. Je reçois des caresses, on joue avec moi, et parfois je peux même faire l’amour sous cette forme. Et j’adore tout ça. »
La jeune esclave vint ronronner contre les pieds de sa maîtresse pour recevoir de l’affection, car c’était bien là tout ce qu’il lui fallait pour être heureuse : qu’on reconnaisse ses qualités et qu’on lui donne des câlins en récompense. Le reste lui importait peu.
En un éclair, le carrosse arriva à destination, et tout le monde descendit. Karuta, toujours à quatre pattes sur le sol, leva les yeux et fut émerveillé. Après tout, c’était la première fois depuis son arrivée dans la région qu’elle allait visiter ce domaine, et c’était encore meilleur parce qu’elle allait le faire avec sa maîtresse et ses deux filles adoptives.
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Forteresse Nord-Ouest :
Le trajet pour rejoindre la forteresse n’était pas très longs en soit en peine une heure. Pendant le trajet Marie et Marion, s’amusaient avec Karuta, la caressant, l’excitant, la faisant lécher leurs pieds. Evangeline se contentait de les regardés de temps en temps, elle était surtout concentré sur le paysage qu’elles traverser. L’intérêt du voyage était quand même de voir l’état de son territoire. Arrivé à la forteresse, il était déjà midi et le soleil éclairait parfaitement la vallée. La forteresse était l’une des entrées et se trouvant en haut des montages, elle offrait une vue parfaite sur tout le territoire. On voyait parfaitement la rivière qui la traversait, la grande ville en son centre avec le manoir un peu plus loin en hauteur, on pouvait aussi apercevoir plusieurs villages plutôt récents. La vallée n’était pas immense, mais avait une protection naturelle par la chaine de montagne et les fortifications qu’avait fait construire Evangeline. Envahir se territoire n’était pas à la portée de n’importe quel puissance.
Une fois arrivé à la forteresse Nord-ouest, Evangeline descendit avec ses filles et son chaton. Elle lui laissa le loisir d’observé son territoire avec Marie et Marion qui lui décrivait ce qu’elles voyaient. Evangeline elle regarda plutôt la forteresse. C’était un bâtiment construit entre un passage creusé naturellement dans la montagne. Un peu à l’image d’un barrage, la route était ouverte par deux immense porte, il y avait en permanence un bataillon qui veiller à surveiller qui rentrait sur le territoire diriger par deux poupées gardiennes. Plusieurs soldat était au garde à vous depuis leur arrivé, elle leur fit signe de repartir au travail.
-Alors Karuta, que penses-tu de mon territoire ? N’ai-je pas raison de le protéger et de le développer comme je le fais ?
Elle se rapprochât d’elle et lui fit un sourire. C’était surement la première fois qu’elle avait le loisir de le voir aussi bien, à son arrivé elle n’avait même surement rien put voir.
-Rentrons à l’intérieur, si marcher à quatre patte te fait trop mal, tu peux te remettre debout.
Après tout ici c’était purement de la roche et l’intérieur de la forteresse n’était pas prévu pour le confort, mais le côté pratique militaire. Evangeline suivit des filles se dirigea vers un bureau plutôt sombre par le peu d’ouverture sur le jour et éclairé que de quelque flambeau.
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En bon petit chaton, Karuta restait à quatre pattes sur le sol, même si ça lui faisait un peu mal, elle devait jouer son rôle au mieux. Marie et Marion lui décrivaient ce qu'elle voyait autour d'elle, et elle observait sans en perdre une miette. A son arrivée ici, quelques mois auparavant, elle avait fait tout le trajet dans une calèche aux vitres foncées, et n'avait donc rien vu du paysage. Maintenant, elle pouvait enfin admirer le domaine de sa maîtresse, contempler sa grandeur et sa beauté. On lui demanda même son avis sur ce territoire.
« C'est magnifique. L'un des plus beaux endroits que j'ai vu de ma vie. Et il doit être très bien protégé grâce à vous. »
La maid ne savait pas parler autrement à Evangeline qu'en la couvrant de compliments. Pour elle, ce n'était même pas de la flatterie, juste la vérité.
Le petit groupe rentra à l'intérieur de la forteresse qu'il fallait inspecter, Karuta eut le droit de se remettre à marcher debout pour ne pas se faire trop mal. Elle entra après ses maîtresses dans un bureau assez sombre, presque sans ouverture pour laisser entrer la lumière, juste éclairée par quelques chandelles. Evangeline s'installa à ce bureau pour travailler, la maid eut pour consigne de rester tranquille pour le moment. Elle se coucha donc au sol, près de sa maîtresse, laissant ses filles adoptives jouer avec elle.
Karuta n'était qu'une simple servante, elle ne comprenait pas la portée significative du travail accompli par Evangeline pour gérer Ancarla. Tout ça lui passait au-dessus de la tête, elle n'était là que pour suivre les consignes. Et ça lui importait peu de devoir attendre ici à ne rien faire pendant des heures, si c'était ce qu'on lui demandait, elle le ferait. De même, si on lui demandait aide ou son avis sur une question, elle aiderait de son mieux, même si elle ne voyait pas à quoi elle pourrait bien être utile.
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Evangeline était assise au bureau et commençait à lire différent papier et à recevoir différent membre du personnelle de la forteresse. Pendant qu’elle s’occupait de ça, Marie et Marion jouait avec Karuta comme un vrai chat. Au bout d’un moment les deux commençait à trouver le temps un peu long, elles demandèrent alors à Karuta de les suivre pour aller dans chambres. Evangeline les laissa sortir après tout elle en avait pour un petit moment.
Arrivé dans la chambre en question, chacune s’assirent sur le lit les jambes pendantes.
-Un chat, ça sait utiliser ça langue.
-Tu sais bien lécher les pieds, maintenant montre nous comment tu sais lécher les minous.
Chacune soulevèrent légèrement leur robe montrant d’élégant dessous blanc. Les deux leur fait un petit sourire cherchant à l’attiré à elle ,curieuse voir par qui elle vas commencé.
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Karuta aurait pu rester à sa place durant des heures, ayant juste besoin de se dégourdir les jambes de temps en temps pour ne pas avoir de courbatures sur ce sol en pierre, mais Marie et Marion ne furent pas aussi patientes. Elles entraînèrent la maid jusqu’à une chambre, et s’installèrent sur le lit avant de lui demander d’utiliser sa langue sur leurs minous.
« Tout de suite maîtresses. »
Évidemment, la demoiselle n’allait pas se faire prier, mais par où commencer ? Chacune de ses jeunes filles était une beauté, affichant une belle culotte blanche sous le bas de leurs robes, et leur sourire était très attirant. La demoiselle hésita un moment entre les deux, puis décida d’approcher de Marion et de passer sa tête sous sa robe. Face à son intimité couverte par le tissu finement travaillé du sous-vêtement, elle se remémora ses leçons de sexe pour donner le plus de plaisir possible.
Karuta commença par attaquer le minou de Marion alors qu’elle portait encore sa culotte pour attiser son plaisir sans pour autant le précipiter. C’était la première leçon qu’on lui avait enseigné : donner du plaisir sur la durée et ne pas presser les choses. Elle se régalait des couinements sonores de la demoiselle, et cela l’excitait à son tour. De petites gouttes de cyprine commencèrent à tomber de sa culotte, et elle glissa ses mains contre les cuisses de sa jeune maîtresse pour caresser sa peau, lui procurant de délicieux frissons. Seconde leçon : toujours attaquer sous plusieurs fronts en même temps.
Après quelques minutes, Karuta décida de passer à la vitesse supérieure, et retira la culotte de Marion pour aller lécher son minou à même la peau. En même temps, ses mains allèrent roder près du postérieur de la femme pour presser ses belles fesses. Elle s’était souvenue qu’Evangeline avait aimé se faire tripoter les fesses, ses filles allaient peut-être l’aimer aussi. Troisième leçon : faire monter le plaisir graduellement mais passionnément, pour que le partenaire devienne accroc.
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Les deux sœurs regardait Karuta leur faire face attendant de voir sur laquelle des deux jumelles son choix allait se porté. Après une hésitation, elle s’approcha s’occupé de Marion. Cette dernière la laissa donc faire, mais remarquant qu’elle ne s’occupait que d’elle, elle se tourna vers Marie et l’embrassa glissant une main sous sa robe. Pour elle il était hors de question que sa sœur n’est pas droit à son propre plaisir également. Forcément Marie était curieuse de savoir ce que la maid était capable de faire. Elle détacha donc les lèvres de celle de sa sœur.
-Elle fait ça bien ?
-Hum oui, il faut que tu y goute aussi. Occupe-toi donc de ma sœur maintenant.
Pour ne pas laisser refroidir Marion, Marie remplaça la langue de la servante par ses doigts. Les deux sœurs avait l’habitude de prendre du plaisir l’une avec l’autre et se connaissait par cœur, seul leur mère était capable de faire mieux que sa sœur pour leur fournir du plaisir. Marie laissa donc Kurata s’occupé aussi d’elle.
-C’est vrais qu’elle est un jolie chaton, je comprends pourquoi Mère la classe dans ses favorite du moment. Tu es bien chanceuse ça tu le sais ?
Après un petit moment aussi à profiter de la langue de la chatte, les deux se regardèrent une idée en tête.
- Petite chatte, déshabille-toi, garde juste tes accessoires de chat, et viens de coucher sur le lit.
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Karuta faisait un travail merveilleux sur Marion, elle l’avoua elle-même, mais très vite, la sœur voulut avoir droit au même traitement, Du coup la maid changea de place pour aller lécher l’intimité de Marie, et s’y appliqua avec autant de précision qu’elle l’avait fait avec Marion. En contentant les deux sœurs, elle espérait bien obtenir en retombée le contentement de sa maîtresse, et rester parmi ses esclaves favorites. Après tout, c’était là sa seule vraie source de bonheur.
En quelques minutes, Karuta parvint à donner autant de plaisir à Marie qu’elle en avait donné à Marion, qui continuait à se doigter à côté d’elle. Elle aurait bien voulu s’occuper des deux sœurs en même temps, mais elle n’était pas très douée pour gérer plusieurs partenaires à la fois. Alors tant que les demoiselles ne le lui demandaient pas, elle continuerait à s’occuper d’elles l’une après l’autre.
« Oui maîtresse. J’ai beaucoup de chance d’être une des favorites de maîtresse Evangeline, et je ferai tout pour le rester. »
Alors qu’elle était en plein cunni, les mains en appui contre les fesses de sa jeune maîtresse, la maid reçut l’ordre de se déshabiller pour ne garder que ses accessoires de chat, et de venir se coucher sur le lit. Pour rendre ça plus excitant, la demoiselle se tourna pour leur faire dos, retira lentement sa robe et ses collants, laissa les jeunes filles reluquer ses belles fesses un petit moment, puis leur fit à nouveau face, enleva son soutien-gorge et sa culotte, et vint s’allonger sur le matelas. Elle n’avait plus que ses oreilles et son plug anal sur elle.
« Nyaaannn… alors, mes maîtresses veulent-elles jouer avec leur petit chaton ? »
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Les deux sœurs venaient de gouter au plaisir de la langue de Karuta la petite chatte de leur mère. L’une après l’autre chacune doigtant sa sœur quand elle n’était pas léché tendrement. Les deux s’accordaient à reconnaitre le talent de la jeune fille. Elles avaient même du mal à imaginer qu’en réalité ça faisait si peu de temps qu’elle avait été initiée au sexe.
Maintenant qu’elles étaient suffisamment excitées, Marie et Marion demandèrent à Karuta de se déshabiller et de venir s’étendre sur le lit. La jeune fille accepta faisant ça sous forme d’une petite démonstration qui prouvait qu’on lui avait appris même à travailler le désir en se déshabillant. Sa façon de retirer ses vêtements était très agréable à regarder surtout avec ses jolies fesses d’où sortait une petite queue féline. Puis comme demandé ensuite, Karuta s’allongeât sur le lit.
Avec un sourire adorable et aussi un peu pervers, Marie monta sur le lit, lui passant par-dessus et s’allongea à côté d’elle, tandis que Marion s’allongea de l’autre côté. La petite chatte était entourée des deux adorables jumelles.
-Le petit chat sait donner du plaisir.
-Il savoir lui rendre aussi.
Chacune se tournèrent venant alors posé leurs lèvres sur les siens de Karuta, chacune commençant à jouer de leur langue sur ses tétons. Puis avec une synchro impressionnante, chacune approchèrent une main entre les jambes de Karuta, venant caresser ses lèvres intimes avec délicatesse. Jusqu’à à la sentir suffisamment humide pour chacune lui glissé deux doigts en elle et lui offrir un doigté synchronisé.
-Elle est toute belle notre petite chatte.
-Elle est toute douce aussi.
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Allongée en long sur le lit comme un bon petit chaton, Karuta observa ses jeunes maîtresses s’allonger à côté d’elle pour finir entourée. Elle écouta les compliments de Marie et Marion avant de frémir en sentant leurs bouches se poser contre ses tétons, jouant de leur langue. Et elle ne put retenir un miaulement quand elle sentit leurs mains glisser le long de sa peau pour arriver jusqu’à son intimité, la caressant délicatement pour la préparer avant de la pénétrer de leurs doigts agiles.
« Nnnyyyuuunnn… aaahhh… »
Puisqu’elle tenait son rôle de chaton, la maid se força à ne pas prononcer un mot, juste quelques miaulements et ronrons de plaisir pour ravir les oreilles des filles d’Evangeline. Son corps était piégé dans un sandwich de plaisir, et elle se laissait de plus en plus aller à ces délices corporels.
« Mmrraaww… hhhmmm… »
Karuta sentait ses tétons et sucés à l’extrême, et les doigts entre ses cuisses s’agiter nerveusement pour la faire couiner. Son plaisir grimpa, encore et encore, jusqu’à atteindre le point culminant.
« NNNYYYUUUNNN ! »
Dans un cri, la maid envoya sa mouille contre les doigts de Marie et Marion, puis son corps tendu retomba d’un seul coup. Le contrecoup de l’orgasme diffusait en elle de doux frissons, qui la firent ronronner comme un moteur tandis que ses maîtresses la caressaient.
« Nyuuu… merci maîtresses. Que voulez-vous… que je fasse… maintenant ? »
Elle trouvait normal que, en réponse au plaisir qu’on lui avait donné, elle en donne à son tour à ces deux jeunes demoiselles. Elle eut également une pensée pour Evangeline, se demandant ce qu’elle faisait et si elle allait les rejoindre plus tard.
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Chacune allonger d’un côté de la petite chatte, Marie et Marion s’occupait d’un de ses sien avec leur bouche et la doigté d’une main. Les jumelles faisant ça ensemble à la perfection, comme si le faire ensemble était leur meilleur performance.
Elles restèrent comme ça un moment savourant les ronronnements de Karuta observant à quel point son dressage était réussi à ce niveau-là. C’était un vrais plaisir à entendre jusqu’à la faire jouir une première fois.
-Elle est trop mignonne.
-Oui adorable
Karuta après ce moment de jouissance, une fois remise demanda ce qu’elle pouvait faire encore pour satisfaire les deux jeunes filles. Elles se regardèrent toutes les deux avant de sourire.
-Tu vas nous donner du plaisir aussi.
-Nous aussi on veut jouir.
Marie se redressa et passa une jambe par-dessus Karuta et souleva sa robe venant collé son intimité devant sa bouche. Marion de son coté, venais de passé ses jambe en ciseau avec celle de l’esclave, frottant alors son intimité contre la sienne.
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Karuta avait eu droit à son moment de jouissance, il était donc normal qu’elle donne autant de plaisir à ses maîtresses en retour. Elle regarda Marie passer une jambe au-dessus d’elle pour venir coller son intimité contre sa bouche, et sentit Marion se mettre en position de ciseaux contre elle. Dans cette configuration, les trois filles allaient pouvoir prendre du plaisir, et la maid allait devoir s’appliquer pour pouvoir faire un bon cunni sans se laisser noyer par l’excitation.
Dès qu’elle sentit son intimité toucher celle de sa jeune maîtresse, elle commença à lécher l’entrejambe de son autre maîtresse, lapant avec sa langue comme un chaton le ferait face à un bol de lait. Il fallait qu’elle joue son rôle jusque dans les plus petits détails pour qu’on continue à la gâter et à la récompenser, et l’avis des filles d’Evangeline comptait beaucoup pour elle. Elle s’évertua donc à offrir à Marie les meilleures léchouilles possibles sur sa vulve imberbe et mouillée, tandis qu’elle gémissait et miaulait doucement en sentant ses lèvres inférieures se frotter contre celles de Marion. Ses petits bruits mignons étaient en partie étouffées par l’obstruction devant sa bouche, mais ils n’en restaient pas moins audibles et plaisants à écouter.
Le petit jeu de ces demoiselles dura pendant environ cinq minutes, puis Karuta eut le plaisir de voir Marie jouir sous ses coups de langue. Dans un cri, elle envoya sa mouille directement dans la bouche de son petit chaton, qui l’avala avec bonheur. Elle se laissa ensuite aller et atteignit l’orgasme sous les mouvements incessants de Marion contre son sexe. Leurs mouilles se mélangèrent dans une délicieuse jouissance, puis les jumelles prirent leur animal de compagnie dans leurs bras pour la câliner tendrement. La jeune fille se mit à ronronner comme un vrai chat.
« Maîtresses… pardonnez votre petit chat mais… je dois vous dire ce que je ressens. »
Même si elle devait normalement éviter autant que possible de parler pour rester dans son personnage, ce qu’elle avait à dire était très important à ses yeux.
« Je suis très heureuse… d’être avec vous aujourd’hui… et de pouvoir combler vos désirs… comme vous comblez les miens. Nyyyaaa… »
Après tout, quel mal y avait-il à dire à ses maîtresses qu’elles étaient géniales ?
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Les deux sœur venaient de passé un doux moment de plaisir avec leur chaton. L’une avais droit à une cunnilingus et l’autre profitait d’une position en ciseau. L’une comme l’autre gémissait avec un tin de voix tout mignon, car en tant que fille d’Evangeline être mignonne était le maitre mot.
Après un petit moment de se doux échange, les trous jeune fille finirent par jouir presque en même temps. Marie et Marion se jetèrent alors sur Karuta dans un gros câlin plein de caresses pour cette adorable chatte qui en plus les complimentait.
-Trop…
-…Adorable.
Quelqu’un frappa alors à la porte de la pièce. Rapidement les deux jeunes filles se redressèrent et remirent leur vêtement comme il faut. C’est Marie qui répondit quand elles furent plus présentables.
-Oui c’est pourquoi ?
Un homme en armure de soldat ouvrit la porte et fit une courbette respectueuse.
-Maitresse votre Mère vous demande de lui rapporter son chat, elle à lui parler.
L’homme fit une nouvelle courbette avant de repartir. Rapidement les deux sœurs remirent la laisse à Karuta et la conduit au bureau ou Evangeline les attendait. Elle avait l’air d’avoir fini son travail et était seule dans la pièce.
-Merci mes chérie, vous pouvez nous laissé maintenant. Vien la mon petit chat.
Elle tendit une jambe sur le côté du bureau montrant un pied déchaussé, qui montrait qu’elle souhaité qu’elle lui lèche.
-Mon petit chaton, tu as passé un bon moment avec mes filles ? Je vais te reposer les questions que je t’ai posé quand je t’ai accueilli. J’espère que cette fois tu seras y répondre honnêtement.
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Câlinée et bichonnée par ses adorables maîtresses jumelles, Karuta ronronnait de plaisir en se tortillant sur place. Cette session aurait pu durer longtemps, mais quelqu’un l’interrompit en frappant à la porte. Les jumelles se rhabillèrent en vitesse, puis un soldat en armure entra, les informant que leur mère souhaitait récupérer son petit chat. Une fois l’homme parti, la maid se revêtit convenablement et suivit Marie et Marion jusqu’au bureau d’Evangeline. Sa maîtresse et elle se retrouvèrent seules, et elle vint immédiatement lécher le pied nu qu’elle lui présenta. La femme lui reposa les questions auxquelles elle avait eu droit lors de son arrivée au manoir, et cette fois la demoiselle avait d’autres réponses à lui fournir.
« Je sais toujours m’occuper du ménage, de la cuisine et du service. Mon expérience sexuelle est celle que vous m’avez donnée. J’ai déjà fait l’amour avec une femme, je pense pouvoir le faire avec un homme, mais je ne suis pas sûre pour les animaux. Je m’occupe déjà de personnes à l’état d’animal pour mon travail en cuisine, je ne souhaite pas devenir une poupée, et je suis prête à satisfaire sexuellement n’importe quel employé ou visiteur du manoir sur votre ordre. »
Karuta avait bien changé depuis la première fois qu’elle avait passé les portes de la demeure d’Evangeline. Elle n’était plus cette petite fille craintive et innocente, elle s’était transformée en une jeune femme plus confiante et toujours heureuse de faire l’amour, surtout avec sa maîtresse. Que ce soit en tant qu’humaine ou en tant que chaton, la maid se sentait plus épanouie que jamais. Et tout ça, elle le devait à cette femme, à qui elle léchait les pieds avec entrain et enthousiasme. Elle lui vouait une véritable adoration, elle était devenue tout son univers, sa raison d’être, et elle ne s’imaginait plus vivre autrement qu’à son service.
« Aahh… maîtresse… votre pied… est délicieux… »
Lui lécher les pieds était même si excitant pour la jeune fille qu’elle était en train d’en mouiller sa petite culotte, dans l’anticipation d’une possible récompense pour avoir bien fait son travail et comblé les filles de sa maîtresse.
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Evangeline regardait avec le sourire Kurata lui léché le pied. Maintenant elle faisait ça si bien. Depuis son arrivé au manoir, la jeune fille avait bien changé. Elle avait découvert le sexe et rapidement apprit à l’aimer. C’est pour cette raison, suite à cette évolution, qu’Evangeline jugea bon de lui reposer les questions de son arrivé. Pour ce qui est des tâches ménagères elle savait faire bien sûr et y avait même prise ses habitudes. Pour ce qui es de l’expérience sexuelle c’était elle qui la géré depuis son arrivé, donc elle la connaissait plutôt bien. Elle apprit qu’elle était prête à tester le plaisir avec un homme, mais pas forcément avec un animal. S’occupé des animaux ne la dérangeai pas en étant même devenu un par période. Maintenant qu’elle connaissait mieux, les poupées ça ne la tentait pas d’avantage. Pour se qui est de servir les invité du manoir elle était prête à aller jusque-là. Elle n’apprenait pas grand-chose, elle voyait surtout son ouverture sexuelle. Le vrais but de tout ça était de voir si elle c’était bien intégré dans la vie du manoir et ça semblait être bien le cas.
-Cela me fait plaisir, tu t’es bien faite à ta vie ici et tu sembles en plus l’apprécié. Alors dit moi maintenant que tu connais mieux tout ça. Es que tu as des envies ? Des choses que tu as envie d’expérimenté ou à apprendre ? J’ai envie de te faire plaisir, alors demande moi ce que tu veux et je te récompenserais comme il se doit.
Alors que Karuta lui léché le pied, Evangeline se pencha en avant pour lui caressé les cheveux tendrement en attendant sa réponse. Oui cette fille lui plaisait et elle avait maintenant envie de lui faire plaisir à son tour.
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Karuta léchait le pied d’Evangeline en écoutant religieusement ses paroles. Sa maîtresse était contente d’elle, ce qui rendait déjà la maid folle de joie, mais ça ne s’arrêta pas là, et elle lui demanda s’il y avait des choses qu’elle voulait expérimenter ou apprendre. Elle pouvait demander tout ce qu’elle voulait, sa maîtresse exaucerait ses vœux.
« Je… je ne sais pas trop… maîtresse… »
Jusqu’à présent, la jeune fille calquait avant tout ses désirs sur ceux de la dame, il ne lui en fallait pas plus pour être heureuse. Mais en cherchant bien, elle réalisa qu’il y avait une chose qui lui trottait dans la tête, une chose à laquelle elle pensait depuis le jour de son arrivée au manoir.
« Le jour où je suis arrivée… vous m’avez dit… que vous pouviez me faire découvrir… le plaisir absolu… grâce à votre magie. »
Karuta se sentit toute timide à l’idée d’exprimer l’un de ses désirs car elle n’en avait vraiment pas l’habitude, mais ça n’avait rien d’insurmontable pour autant.
« On… on pourrait essayer… maintenant ? Nyuuu… »
En même temps qu’elle parlait, la maid continuait à lécher le pied d’Evangeline et de frotter ses joues contre sa jambe, fidèle à son rôle de chaton. Elle était dans l’attente d’une réponse de sa maîtresse, qu’elle espérait poisitive.
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Evangeline regardait avec délice sa petite chatte qui se frottait contre sa jambe. Ce qu’elle venait de lui dire semblait lui faire plaisir. Il est vrais que Karuta n’était pas physiquement expressive, mais Evangeline avait l’habitude avec les poupées et lisait clairement en elle. Evangeline lui avait donc proposé de lui offrir se qu’elle voudrait que ce soit une récompense ou quelque chose qu’elle voudrait apprendre de plus. Finalement son choix se porta sur une proposition qu’Evangeline lui avait fait une autre fois, à savoir découvrir le plaisir absolu.
-Très bien, ça vas être agréable, mais ça vas aussi être un choc. Il faut savoir qu’après l’avoir ressentie tu risque en redemandé à l’avenir et peut être trouvé le reste plus fade. Je pourrais arranger ça, mais j’aimerais éviter d’en arriver là.
Evangeline fit de la place devant elle sur son bureau, rangeant quelque papier et poussant plusieurs objets. Puis elle recula légèrement son siège laissant de la place pour pouvoir passé.
-Si tu te sens prête à le faire, monte t’assoir devant moi, libéré-moi ta poitrine et mes-moi ton sexe en évidence.
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Karuta savait qu’elle était un gentil chaton, mais c’était toujours mieux de l’entendre dans la bouche d’Evangeline, qui accepta de lui offrir le plaisir absolu grâce à sa magie, mais elle la mit quand même en garde contre certains risques. Après ça, elle risquait de venir en redemander, et de trouver le sexe ordinaire plus fade. Mais malgré ça, elle ne comptait pas reculer.
« J’ai envie d’essayer… vraiment. De découvrir de nouvelles choses. »
Et puis tant qu’elle prenait son pied avec sa maîtresse, tant pis si les rapports sexuels avec d’autres personnes lui paraissaient moins bien. Elle suivit donc ses consignes et vint s’asseoir sur ses genoux. Elle n’eut aucun mal à retirer sa culotte pour mettre son sexe en évidence, mais ce fut un peu plus compliqué pour sa poitrine.
« Euh maîtresse… je ne peux pas retirer ma robe toute seule… vous pouvez m’aider ? »
Sa tenue de maid était certes magnifique, mais tellement complexe à enfiler et retirer qu’il lui fallait toujours l’aide d’une tierce personne. En général, elle demandait à d’autres maids, mais là elle était seule avec Evangeline et ne pouvait demander d’aide à personne d’autre. Une fois dévêtue, Karuta retira son soutien-gorge et offrit sa poitrine nue à la maîtresse des poupées.
« Voilà… je suis prête… c’est quand vous voulez. »
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Evangeline prit quand même la précaution d’avertir son petit chaton des risques de sa demande. Malgré tout Karuta le voulait quand même et Evangeline n’allait pas lui refuser.
-Très bien, dans se cas je vais m’occupé de toi.
Après être monté sur ses genoux, Evangeline aida Karuta à retirer sa robe et cette dernière retira ensuite son soutien-gorge lui laissant plus que ses bas sur elle. Une fois donc prête, Evangeline la souleva comme si elle ne pesait rien entre ses bras et la fit s’assoir les fesses sur son bureau face à elle. Avec délicatesse Evangeline caressa sa peau sur ses jambes.
-Tu es si mignonne ma petite Karuta. Laisse moi te préparé avant d’attaquer.
Evangeline se pencha lui déposant un baiser sur son petit ventre avant de descendre plus bas pour commencer à lui lécher ses lèvres intimes. Surement qu’elle n’avait pas vraiment besoin de l’humidifié avant, mais elle avait cette envie de la gouté avant. Elle lui offrit se petit cunnilingus pendant quelque minute mais faisant attention à ne pas la faire jouir, puis se redressa.
-Aller accroche toi si tu bouges trop je devrais t’attaché d’accord ?
Elle tendit sa main devant elle sans toucher Karuta, puis partant de chacun de ses doigts, un fil magique sortie pour venir se fixer sur le corps de son esclave. Un sur chacun de ses tétons, un sur son clitoris, un se glissa dans son sexe venant cibler son point le plus sensible et la dernière partie plus profonde dans son sexe et passa même a travers les parois s’enfonçant dans son corps.
-Tu es prête ?
-
Karuta fut déplacée par Evangeline pour s'asseoir sur son bureau, et sa maîtresse vint lui lécher l'entrejambe pour la préparer au plaisir qui allait bientôt l'envahir. Cela ne dure que quelques minutes, mais ce furent des minutes de bonheur pour la maid, qui appréciait toujours les attentions de sa maîtresse au-delà du normal. Et alors que la jeune fille commençait à sentir le plaisir la gagner, sa maîtresse s'arrêta et la mit en garde que, si elle bougeait trop, elle devrait l'attacher.
« Aahh... compris... maîtresse. »
Karuta regarda Evangeline tendre ses doigts vers elle sans la toucher, puis elle sentit quelque chose s'enrouler autour de ses tétons et de son clitoris et entrer dans sa chatte. C'était très fin et impossible à voir à l'oeil nu mais elle le sentait quand même. La dame n'attendait plus que le signal de sa petite esclave.
« Oui... allez y... s'il vous plaît. »
Le corps de la jeune fille se crispa un peu dans l'anticipation de ce qui allait suivre, craignant que ce soit trop intense. Et elle avait bien fait, car lorsque la magie commença à arriver, ce fut une sensation indescriptible. Des ondes de plaisir traversèrent son corps inlassablement, l'assaillant sans lui laisser une seconde de répit. Tout son corps se mit à trembler et à convulser de plaisir, et une chose incroyable arriva : Karuta, qui était restée impassible pendant des années, eut le visage déformé par l'extase et se mit à hurler.
« AAAHHH !!! OOOUUUIII !!! HHHAAANNN !!! »
Le pouvoir d'Evangeline était si grand qu'il avait brisé le sort jeté à Karuta bien avant qu'elle n'arrive dans ce manoir, mais cela n'eut pas que des effets positifs. Tandis qu'elle enchaînait les orgasmes, ses souvenirs enfouis refirent surface, et ces images horribles d'un passé douloureux la terrorisèrent.
« AAAHHH !!! NNNOOONNN !!! »
Ses pouvoirs cachés de demi-monstre s'éveillèrent, et elle détruisit le bureau d'Evangeline en se transformant. Elle garda sa forme de Gashadokuro moins de cinq secondes, juste le temps que sa maîtresse voit bien à quoi elle avait à faire, avant de redevenir humaine. Elle avait perdu connaissance, mais les visions de son passé continuaient à apparaître dans son esprit. Elle se tortillait sur place en murmurant.
« Aahh... non... non... maîtresse... au secours... »
-
Evangeline débuta l’expérience faisant gouter une forme de plaisir intense à son esclave. Les zones sexuelles et un qui enfoncé dans sa chaire stimulant une zone normalement inaccessible et qui n’avais par conséquence pas l’habitude d’être stimuler. Au début tout se passa bien, Karuta avait bien anticipé la chose et savourais son plaisir. Mais après quelques secondes il se passa un chose inattendu, pour commencer pour la première fois, elle afficha une vraie expression faciale. Une bonne chose en soit, ça voulait dire qu’elle en bonne voie pour se débrider un peu. Mais se n’était pas fini, elle le senti quelque chose de plus grave se passait et rapidement l’adorable chaton se transforma en immense squelette qui détruisit la pièce et une partie du bâtiment par sa taille.
Heureusement il n’y avait personne qui fut blessé, mais Evangeline dû rompre se qu’elle faisait et se leva. Immédiatement vue un potentiel danger pour elle, elle sentie le lien avec Echo l’avertir que cette dernière se préparait à la procédure d’urgence de protection. Dans le manoir ses plus puissante poupée ses dirigeait déjà vers le bureau prêtes à venir la sauvé ou la défendre. Evangeline les clama rapidement d’un message mental, elle avait ressenti la détresse de Karuta et que cette dernière n’était pas un danger pour elle.
La transformation de son esclave ne dura finalement que quelques secondes, ensuite Karuta repris sa forme humaine et s’effondra dans l’inconscience. Evangeline se pencha vers elle pour contrôler son état et remarqué sa détresse et dans quoi elle était prise. Pendant se temps le manoir se reconstruisait tous seul, comme si le temps revenait en arrière. La magie qui habitait les lieux était puissante et réparé de tel dégât ne pris que quelques secondes.
Evangeline attrapa Karuta dans ses bras pour l’enlacer, mais l’étreinte n’était pas que physique. Son esprit s’empara de celui de la jeune fille, l’engloutissant et l’enveloppant de sa folie. Après tout Evangeline était l’une des prêtresses de la Déesse de la folie Mania. Karuta put alors sentir la vraie nature de sa Maitresse, trois femmes en une, trois monstres en une. Une femme avide vie éternel qui transformait les hommes en bête pour les soumettre et capturé des corps de jeune fille pour ses les approprié. Une femme avide de vie qui dirigeant une tribu traquait et tuais les autres se nourrissant de leurs âmes. Une femme folle qui ne voulait pas veiller et qui massacrais des térranide et se beignait dans leur sang dans l’espoir de conservé sa jeunesse. Evangeline était la fusion de ses trois femmes et qui à l’aide de la déesse Mania avait obtenu une forme d’immortalité. Si trois monstres formaient Evangeline, sa personnalité était plus douce, mais pouvait être aussi cruel, mais à l’heur actuel, sa folie formait plus un cocon protecteur qu’une attaque cérébral.
Pendant qu’elle offrait la plus intime des étreintes à sa protéger, Evangeline c’était servie de sa magie pour faire apparaitre des fils magiques et manipulait le corps inconscient de Karuta comme une poupée. Elle la transporta ainsi au dernier étage du manoir. Karuta y était déjà venue, c’était l’étage privé d’Evangeline, c’était là où se trouvait sa chambre et aussi une immense porte qui n’avait pas était franchi. Evangeline la fit rentrer à travers cette porte pour arriver dans la plus grande pièce du manoir. L’intérieur était un immense temple grec, de grande colonne de pierre où était attaché des personnes inconscientes.La Folle (http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=632619LaFolle.jpg) la petite poupée de la déesse s’occupait de la récolte de la folie des personnes enfermé ici. D’un geste, Evangeline fit disparaitre les personnes attacher qui se fondirent dans les colonnes de pierre. Elle transporta Karuta dans le font du temple et la coucha l’autel du font et la libéra de son cocon de folie et chercha à la réveillé.
-Karuta, mon Chaton, suis ma voie et reviens moi.
La folle était posé sur l’épaule d’Evangeline et la regardait restant pour l’instant clame.
-
Perdue dans son inconscient, Karuta ne pouvait rien faire d'autre que murmurer ses suppliques pour qu'Evangeline la sauve. Tout à coup, elle sentit quelque chose l'étreindre, mais ce n'était pas que physique, son esprit aussi fut pris dans cette étreinte. Elle entrevit la vraie nature de sa maîtresse et l'étendue de la folie qui l'habitait. Elle vit les silhouettes des trois femmes la composant, et comprit que sa maîtresse cachait un terrifiant pouvoir. Pour autant, elle n'avait pas peur, elle se sentait en paix. Cette folie qui l'enveloppait formait plus un cocon qu'une prison, elle se laissa envelopper et entraîner sans aucune résistance. Désormais, son corps ne lui appartenait plus.
Quelques minutes plus tard, alors qu'elle se reposait dans son cocon de folie, cette étrange étreinte disparut et elle entendit la voix d'Evangeline lui sommer de revenir.
« Maîtresse... Evangeline... »
Karuta se concentra sur cette voix, faible mais néanmoins audible, et suivit le bruit. Sa maîtresse lui parla plusieurs fois pour la guider dans les ténèbres, la maid avançait à tâtons et dut plusieurs fois changer de direction, mais finalement elle parvint à trouver la bonne route. En avançant, elle vit une lumière briller au loin, et plus elle s'en approchait, plus elle devenait brillante. Elle avait peur de ne plus rien voir, mais c'était de là que venait la voix, alors elle se devait d'avancer. A force de marcher, la lumière finit par l'aveugler, mais elle ne s'arrêta pas. Elle avança, encore et encore...
Quand Karuta ouvrit les yeux, la première chose qu'elle vit fut le visage d'Evangeline. La seconde fut le visage de la poupée posée sur son épaule. La troisième fut la pièce dans laquelle elle se trouvait.
« Maîtresse, que... que s'est il passé ? »
Le choc avait profondément altéré ses souvenirs. Elle tenta de se remémorer les dernière minutes.
« Je... me rappelle... votre magie... dans mon corps... et là... Aahh ! »
Un nouveau flash traumatique de son passé lui revint, mais ce fut assez bref qu'elle ne replonge pas dans l'inconscient.
« Je... j'ai perdu connaissance... mais... vous m'avez ramené. Votre voix... votre pouvoir... j'ai vu... votre folie... »
Karuta savait peu de choses sur la magie d'Evangeline et sur son culte à la déesse Mania, du coup elle ne comprenait pas vraiment la portée de ce qu'elle avait vu. Tout ce qu'elle retint, c'était que sa maîtresse l'avait sauvé.
« Maîtresse... je suis... désolée. Je vous ai... causé des ennuis. »
En un sens ce n'était pas vraiment sa faute vu qu'elle n'avait pas conscience de ses pouvoirs, mais elle s'en voulait quand même. Elle s'était jurée de ne jamais décevoir sa maîtresse, d'être toujours une bonne maid, et voilà qu'elle détruisait sa propriété.
« Je suis désolée. Vous... êtes très fâchée ? »
-
Evangeline se tenais prés de l’autel surveillant de prés l’état de Karuta. Elle l’appelait sachant que ça l’aiderait à revenir à elle. Pour l’instant c’était le plus important. Après plusieurs tentatives Elle ouvrit enfin les yeux. Evangeline la laissa parler et se remettre, il lui fallait le temps de réalisé où elle se trouvait.
-Petite idiote.
Elle passa ses bras autour d’elle venant l’enlacer. Puis reprit avec voix douce.
-Bien sûr que non je ne suis pas en colère. Tu n’y es pour rien. J’ai toujours su que tu n’étais pas humaine, j’étais juste loin de me douter de ça.
Détachant des bras d’elle, Evangeline l’aida à s’assoir sur le bort de l’autel là regardant avec bienveillance.
-Ne te fait pas souci pour les dégâts, ma magie à déjà réparé mon bureau. Dis-moi plutôt comment tu te sens. Tu es Mon chaton et je tien à toi.
Evangeline était une esclavagiste, qui se montrait parfois dur et cruel avec certain de ses esclaves, mais avec la majorité elle se comportait comme une sorte de mère ou d’amante. C’était un peu différent avec les animaux dehors, mais en général elle prenait soins d’eux.
-De quoi tu te souviens ? J’ai besoin de savoir pour t’aidè.
-
Karuta s’attendait à recevoir une punition pour les dommages qu’elle avait causé, mais apparemment, Evangeline n’était pas en colère. La magie avait déjà réparé son bureau, et elle tenait à son chaton, donc tout allait bien.
« Vous… vous tenez à moi ? »
La maid se demanda pendant un instant si elle n’était pas encore en train de rêver. C’était bien la première fois qu’une maîtresse faisait preuve d’autant de gentillesse et de bienveillance envers elle. Elle ne sut pas trop quoi répondre, heureusement elle n’eut pas à le faire, car sa maîtresse vint lui demander ce dont elle se rappelait afin de l’aider à appréhender le problème.
« D’accord maîtresse. »
Karuta ferma les yeux et tenta de se remémorer ce qui lui était arrivé.
« Je… je crois que… quand le plaisir a commencé… à monter… je… j’ai vu des… des images. »
Peu à peu, quelques flashs lui revinrent.
« J’ai vu… un homme. Un homme méchant. Il… il me faisait des choses. »
L’aura violette de la maid réapparut légèrement autour d’elle.
« C’était des choses… qui m’ont fait peur… qui m’ont fait mal… »
La lumière s’intensifiait autour d’elle.
« Je… je suis piégée. Non… pitié… laissez moi… non… non ! AAHH ! »
Son aura disparut d’un seul coup et elle se jeta dans les bras de sa maîtresse.
« Maîtresse… je… je suis désolée… je ne veux pas… me rappeler. Ça… ça fait trop peur. »
Au moins, ce qui était clair, c’était que le plaisir soudain et intense qu’elle avait ressenti grâce à la magie d’Evangeline avait fait apparaître dans son esprit des images dont elle n’arrivait pas à se rappeler l’origine. Des images d’un passé que la magie lui avait fait oublier, et qu’une autre magie avait fait ressurgir.
« Maîtresse… je… je suis désolée… mais je ne vois pas… d’où tout ça… peut venir. »
Effrayée et encore sous le choc, Karuta se blottit contre sa maîtresse, savourant la chaleur de son corps en ronronnant. Ce petit chaton allait avoir besoin d’un gros câlin pour se remettre de ses émotions.
-
Evangeline se rendit vite compte des efforts que devait faire Karuta pour se souvenir et tenir se qu’elle avait vécu. Une expérience des plus désagréable à se qu’elle en voyait. Les réactions de son esclave, montrait que cette dernière avait un passé très compliqué et douloureux. Malheureusement c’était si rare chez les esclaves d’avoir des passés de douleur. Après avoir vue sa vraie nature et la douleur de Karuta à se souvenir, elle en conclue que les siens était particulièrement désagréable.
L’aura qui se dégageait d’elle au fur et à mesure qu’elle cherchait à se souvenir laissait craindre une nouvelle transformation, mais cette fois, elle s’arrêta à temps se jetant dans ses bras traumatisés. Evangeline la garda contre elle lui caressant affectueusement les cheveux.
-Tu as du vivre des choses peu enviable dans ton passé, mais justement c’est ton passé.
Elle lui fit un doux sourire et passa une main sous son menton pour la regardé dans les yeux.
-Tu fuir ton passé, y renoncé même ou alors l’accepté ou encore laisser faire les choses. Quelque soit ton choix, je t’aiderais.
Le lieux où elle se trouvait était l’un des plus charger en magie du manoir, ici c’était surtout la folie qui y régnait, même si en se moment c’était plutôt clame.
-Je suis comme tu le sais une grande magicienne ou sorcière selon les gens. J’ai le pouvoir de modeler les corps, je peu transformé le vivant en poupée, mais pas seulement. Je peu changer leur physique, leur sexe, leur race même. Avec ma magie je peu te changer pour renoncer à l’être que tu es, devenir humaine ou une néko. Mais au contraire je peu d’aidé à accepter ta vraie nature et la maitrisé et la mettre à mon service. Tu n’es pas obliger de faire un choix, ni de le faire maintenant non plus.
-
Les yeux dans les yeux, Karuta écoutait Evangeline lui expliquer les options qu'elle avait : continuer à fuir son passé, y renoncer, l'affronter, ou laisser les choses telles quelles. Au vu de ce qu'elle venait de vivre à cause de ses souvenirs, il aurait été logique de vouloir s'en débarrasser, mais elle décida d'agir autrement.
« Je... je ne veux pas oublier. Je sens qu'il y a... quelque chose d'important... dans ces souvenirs. »
Sa maîtresse lui expliqua également qu'elle pouvait la transformer, faire d'elle une simple humaine ou une neko, ou encore l'aider à maîtriser sa puissance et la mettre à son service. Le choix n'était pas urgent, et même pas obligatoire, mais la maid se sentit un devoir de choisir. D'ailleurs, elle savait déjà ce qu'elle voulait faire.
« Maîtresse, je... je ne veux pas changer. Je veux comprendre... ce que je suis. Quelque soit... ce pouvoir... je veux le mettre à votre service. »
Cependant, à cet instant, Karuta ne pensait pas vraiment à découvrir son pouvoir et ses souvenirs, elle pensait à la chaleur naissante dans son corps. Il ne fallait pas oublier qu'elle avait été interrompue alors qu'elle était en train de ressentir le plaisir immense donné par la magie d'Evangeline. Maintenant que le choc était passé et qu'elle était entre les bras de sa maîtresse, elle avait à nouveau envie de ressentir cette douce chaleur. Peut-être pas revenir tout de suite au sexe magique, mais juste quelques léchouilles et caresses.
« Maîtresse... »
Mais comment le lui dire ? Après ce qui s'était produit, demander à faire l'amour aurait pu être mal vu, et elle ne voulait pas contrarier cette femme, elle la respectait trop pour cela.
« Que... que fait-on maintenant ? »
Il fallait s'en remettre à sa sagesse.
-
Evangeline tenais blotti contre elle sa jeune esclave. Elle cherchait à apaiser Karuta après le traumatisme qu’elle venait de vivre. Pour la soutenir Evangeline lui avait fait plusieurs propositions. Allant de faire tout oublier à l’aider à tout maitriser. Pour l’instant Karuta ne semblait pas vouloir y renoncer et même prête à lui mettre à son service.
Le choix n’était pas pour lui déplaire, mais il était évident qu’il était trop tôt pour ça, mais elle comptait bien y venir petit à petit. Après tout ça surement que Karuta devais sentir une certaine fatigue physique et émotionnelle, peut-être même magique. La renvoyer en cuisine maintenant ne serais pas très productif. Karuta lui demanda se qu’elles allaient faire maintenant.
-Idéalement, il faudrait que tu te change les idées et peut être que tu te reposes. Voilà se que te propose. Sois-tu prend ta soirée de repos et tu retournes dans ta chambre et j’enverrais quelqu’un prendre soin de toi. Sois-tu reste avec moi et on va « jouer » avec Rosa. Tu connais Rosa ?
Depuis le temps qu’elle travaillait au manoir Karuta avait ut l’occasion de rencontré pas mal de monde entre les membres du personnel et les autres esclaves. Rosa (https://www.noelshack.com/2018-14-5-1523007580-rosa.jpg) était une démone qui faisait partie des favorites de la Maitresse des Poupées. Une esclave qui était doué pour dominer autant que pour se soumettre. Partageant le même étage de vie que Karuta, il est possible qu’elle est fait connaissance.
-
Karuta venait de vivre un moment très difficile, mais elle n'allait pas renoncer à sa soire avec sa maîtresse pour autant, qui sait quand une telle occasion se représenterait. Evangeline lui laissa le choix entre deux propositions : soit elle retournait dans sa chambre pour se reposer, reprendre des forces, et elle enverrait quelqu'un pour prendre soin de son petit chaton ; soit elles allaient toutes les deux se joindre à Rosa, une des favorites de la maîtresse des poupées, pour s'amuser à trois.
« J'ai déjà croisé Rosa mais... je ne la connais pas vraiment. »
La démone et elle vivaient au même étage, elles s'étaient déjà vues dans les couloirs, mais ne s'étaient jamais parlé. Elle ne savait même pas quel était le rôle de Rosa dans le manoir. Était-elle une autre maid, une assistante d'Evangeline, une invitée ou une amie ? En tout cas, il y avait quelque chose de spécial chez elle.
Pour la jeune fille, les deux choix étaient plaisants. Être dans sa chambre et avoir quelqu'un aux petits soins avec elle, ou bien rester en compagnie de sa maîtresse et continuer à faire l'amour ? Son corps était fatigué, mais avait toujours envie de sexe. Son esprit était tourmenté, et elle pouvait aussi bien se guérir avec des câlins qu'avec du repos. Pensant longuement le pour et le contre, elle se décida finalement.
« Je choisis de rester avec vous et Rosa. Faire l'amour à trois sera amusant. »
Karuta suivit sa maîtresse hors du dernier étage du manoir, et elles descendirent ensemble jusqu'à l'étage de vie des servantes. La maid suivait Evangeline de très près, toujours secouée par ce qui lui était arrivée. Elle avait envie de lui prendre la main pour ne plus avoir peur, mais savait qu'elle ne pouvait pas se permettre un tel geste. Elle la suivit donc en silence, sans jamais la quitter des yeux, avec l'impression persistante que quelque chose l'observait.
Arrivée dans la chambre de Rosa, elle salua la démone sans trop savoir comment elle devait s'adresser à elle.
« Bonsoir Rosa. J'espère que nous passons une bonne soirée. »
-
Evangeline ne voulait pas trop lui imposer après ce que Karuta venais de vivre. Elle lui avait alors proposé de rentré dans sa chambre pour se repos et avoir quelqu’un qui veille sur elle ou alors d’aller voir Rosa pour passer un bon toutes les trois. Mais Evangeline n’était pas certaine qu’elle connaissait Rosa. Karuta le confirma, mais choisi quand même d’aller la voir. C’était un choix qui risquai de la fatiguer, mais qui allait l’aider à se changer les idées c’est certain.
-Très bien allons la voir, normalement elle doit être dans sa chambre à l’heur qu’il est. A moins qu’elle déjà trouvé quelqu’un pour s’amusé.
D’un signe de main, Evangeline lui ordonna de la suivre. Sortant du temple, Karuta put reconnaitre le dernier étage. Elles venaient de franchir la grande porte et se retrouvait devant la chambre d’Evangeline. Elle la guida en redescendant les étages pour venir à celui qu’elle connaissait mieux, l’étage de vie des servantes et esclaves. Finalement leurs pas les conduisent à la chambre de Rosa.
La Démone (http://www.image-heberg.fr/files/1525080854920776192.jpg) était sur son lit et ne s’attendait pas à l’arrivé de sa Maitresse. Elle sauta du lit avec un grand sourire.
-Oh bonsoir Maitresse et Karuta c’est ça ? Vous avez besoin de moi ?
-Oui c’est bien ça. Elle a besoin de se changer les idées et je me suis dit qu’elle te plairait.
Evangeline poussa gentiment Karuta dans le dos pour la faire passer devant elle. Rosa était une esclave sexuelle. Son rôle ici était tout simplement de coucher avec les personnes qu’on lui disait. Rosa avait un caractère plutôt spécial, elle se montrait soumise face aux personnes qu’elle voyait comme supérieur à elle et dominatrice envers les autres. Ainsi en voyant Karuta, Rosa s’approcha et viens passé une main sous son menton pour le jugé.
-Hum, elle me parait pas mal en effet. Dit moi petite chose qu’aurait tu envie de faire avec moi et Maitresse ?
-
Rosa ne s'attendait visiblement pas à avoir de la visite, mais peu importe. Karuta fut légèrement poussée par Evangeline pour s'approcher de la démone, qui lui prit le menton entre ses doigts et lui demanda ce qu'elle avait envie de faire avec elle et leur maîtresse.
« Je... je ne sais pas trop. Je veux juste... des câlins... et des caresses. »
Dans sa tête, la maid était toujours le chaton de sa maîtresse, et elle y prenait goût. Elle ne désirait rien de plus que de continuer à être traitée comme un gentil chaton, et avoir tout le sexe possible en conséquence.
« J'ai besoin... de soulager mon esprit. »
Rosa continua de l'observer, caressant légèrement son visage, avant de se décider à l'attaquer de façon plus osée.
« Rosa, est-ce que vous êtes... une dominante... ou une soumise ? »
En tant qu'esclave d'Evangeline, Rosa était forcément soumise à cette dernière, mais quelle était sa position par rapport à Karuta ? La jeune fille était d'un naturel très soumis, mais peut-être que la démone l'était encore plus qu'elle. Et si c'était le cas, comment la maid pourrait-elle faire pour être une bonne dominante ?
-
Rosa observait avec attention Karuta, tout naturellement, elle ut envie de la dominé de la mettre à ses pieds. Sauf que tant que la Maitresse n’avait rien dit, elle ne pouvait pas se le permettre. La jeune fille avoua vouloir des câlins et des caresses, c’est vrai qu’elle était vue comme le chaton de la Maitresse, ce n’était pas si surprenant.
Evangeline enlaça Karuta par derrière avec un doux sourire, mais que Rosa devina qu’il cachait quelque chose derrière. La Maitresse des Poupées lui caressa affectueusement les cheveux avant d’enfin lui proposé.
-Tu vois Karuta, Rosa est une esclave spéciale et pas seulement par se que c’est une démone. Rosa est autant dominatrice que soumise, elle fonctionne à l’instinct. Elle se soumet à ceux qu’elle considère supérieur et domine les autres. Tout naturellement, elle m’est soumise.
Rosa avais arrêté de toucher Karuta attendant de savoir où elle voulait en venir, même si elle avait ça petite idée sur le sujet.
-Comme on est là pour toi mon petit chaton, je te laisse choisir. Veux tu t’offrir à elle ou au contraire tenté de la dominé ? Fit toi à ton envie, fit toi ton instinct que veux tu faire ?
-
Face à Rosa, Karuta ne savait pas si elle devait agir comme son égale ou comme sa soumise. Evangeline lui expliqua que la démone était une esclave très particulière, qui agissait à l'instinct. Selon la personne qui couchait, elle pouvait se soumettre ou dominer. Et puisque la maid était le centre d'attention, c'était à elle de voir quelle place elle voulait occuper dans leur jeu. Évidemment, la réponse la plus logique aurait été de se soumettre, vu que c'était tout ce qu'elle connaissait, mais peut-être pouvait-elle profiter de ce moment pour essayer autre chose. Cependant, elle ne voulait pas non plus se compliquer la vie alors qu'elle venait une expérience traumatisante, elle voulait se relaxer, alors elle préféra rester sur ce qu'elle connaissait, avec malgré tout une petite pointe de nouveauté.
« Je suis une soumise devant maîtresse Evangeline... mais devant Rosa... »
Elle posa ses mains sur les hanches de la démone et plaqua ses lèvres contre les siennes, le temps d'un court mais fort baiser.
« … je suis égale. Alors je ne la soumets pas... et elle ne me soumet pas non plus. »
Toujours près de la demoiselle, elle frottait sa joue dans son cou, ronronnant de joie dans l'anticipation de ce qui allait suivre.
« Mmrraaww... Rosa... ce petit chaton... a besoin... d'un gros câlin. »
A présent, Karuta n'attendait plus que l'autorisation d'Evangeline pour pouvoir commencer à jouer avec elle et Rosa de la façon qu'elle jugerait le mieux : les deux esclaves seules, ou alors coincées entre leur maîtresse.
-
Rosa laissa karuta faire, mais elle ne la considérait pas comme son égale, oh que non. Mais la Maitresse semblait l’avoir en favorite alors, dans un sens leur statue était le même. Toute les deux des favorites de la Maitresse, donc des esclaves qui ne pouvait pas être utilisé par les autres sans leur accord ou celui d’Evangeline.
Evangeline continuais à les observé. Effectivement Karuta était une de ses favorites. Elle était donc une esclave, mais tout le monde n’avait pas le droit de se servir d’elle. Contrairement aux autres filles qui était utilisé comme objet sexuel par n’importe qui du moment que le code collier était respecté.
-Bien dans se cas, pas de soumission entre vous juste a moi. Commencé par faire l’amour ensemble chauffé moi mes chéries.
Rosa était plutôt d’accord avec l’idée, de toute façon elle en avait pas le choix. Elle fit donc basculer Karuta sur le lit et commença à la déshabiller.
-Fait de même petit chaton. Le chat et le démon, vont faire des câlin.
-
Karuta se soumettait facilement à Evangeline, mais face à Rosa, elle préférait être sur un pied d'égalité. Leur maîtresse accepta cet arrangement, et leur ordonna de commencer à se faire l'amour pour la chauffer. La maid se laissa basculer sur le lit par la démone, qui commença à la déshabiller, et lui demande de faire pareil avec elle.
« Avec plaisir Rosa. »
La tenue de la jeune fille était plus facile à enlever que sa tenue de maid, mais elle dut quand même tâter un peu partout pour trouver comment faire. Elle lui retira d'abord son haut, puis fit glisser sa jupe le long de ses jambes. Sans être un canon de beauté, Rosa avait des courbes agréables à regarder, et surtout à toucher. Karuta posa une main sur son sein droit, et l'autre sur son cul.
« Hhmm... dis Rosa... tu préfères qu'on te touche... les seins... ou les fesses ? »
La maid mettait en application les leçons de sa maîtresse, et tripotait Rosa partout où elle était susceptible d'apprécier. Son but était de faire gémir la demoiselle le plus possible pour exciter au maximum Evangeline, qui les regardait attentivement. Et pendant qu'elle se faisait plaisir sur le corps de la démone, cette dernière n'oubliait pas de la caresser elle aussi.
« Haaannn... oui... Rosa... presse moi les seins... hhhmmm... »
La jeune fille aimait beaucoup qu'on lui tripote la poitrine, c'était l'un des endroits les plus sensibles de son corps. Mais ce qu'elle aimait encore plus, c'était jouer son rôle de petit chaton.
« Mmrraaww... Rosa... ce petit chaton... va te lécher un peu. »
Karuta libéra l'un des seins de Rosa de son soutien-gorge, puis alla lécher son téton déjà bien durci par l'excitation. En même temps, les deux mains de la maid se posèrent sur les fesses de la démone, pressant et malaxant sa chair moelleuse. Elle ignorait le niveau exact d'expérience de son amante dans le domaine du plaisir charnel, mais si elle était l'une des favorites de leur maîtresse, alors leur baise d'échauffement s'annonçait délicieuse.
-
Evangeline s’avança dans la pièce et s’assied dans un fauteuil à côté du lit. Rosa était une des favorite d’Evangeline depuis longtemps. A se titre, elle avait sa propre chambre qui était bien meublé. Pour une esclave elle avait pas mal de privilège, comme celui d’utilisé les autres esclaves, elle avait même une cage dans sa chambre pour s’amuser avec. Même si Evangeline s’y enfermé des fois elle-même car elle avait des fois tendance à en faire trop. Rosa étant une démone nymphomane, Evangeline la contenait de différente façon, comme lui imposant parfais de garder en elle des sexe toy, ou d’être offerte à des groupes. Bref Rosa avait pas mal d’expérience sexuel, que se soit dans sa vie d’esclave ou son passé de violeuse.
Rosa ne dit rien à sa Maitresse car bien sûr cette dernière avait tous les droits sur elle et ses possessions. Elle laissa la soubrette la déshabiller petit à petit se retrouvant alors en sous-vêtements dont un string mettait ses petites fesses en valeur. Karuta lui demanda alors ses préférences en commençant a touché à la fois un sien et une fesse.
-Hum j’aime les deux, mais peut être plus les fesses.
Se trouvant au-dessus, d’elle Rosa après défait sa robe, s’attaqua surtout à la poitrine de sa partenaire. Elle lui malaxa la poitrine, venant pincer ses tétons, oui elle remarqua vite qu’elle aimait ça. Karuta s’approcha alors venant lécher ses siens et libéré ses mains pour s’occupé comme il faut de ses fesses, se qui était pour lui plaire.
-Hum oui, joue de tes mains, montre-moi, comment tu t’occupes de mes fesses, n’hésite à joué avec mon sous vêtement.
Elle relâcha un de ses sien pour venir frotté le venant de sa culotte.
-Tu est nouvelle, montre-moi se que tu as appris.
-
Karuta avait commencé par les seins, mais Rosa lui avoua préférer qu'on s'occupe de ses fesses. Elle se mit donc à presser et malaxer son cul avec plus d'insistance. La démone lui donna quelques conseils pour faire ça au mieux tandis qu'une de ses mains lui pinçait les tétons et que l'autre caressait le devant de sa culotte.
« Nyyyaaa... »
La maid continuait de jouer avec ses fesses, et pour lui montrer qu'elle avait bien appris sa leçon, elle utilisa une de ses mains pour attraper le string de la démone pour le tirer un peu dans tous les sens. On lui avait appris qu'en tirant correctement le bord d'une culotte, on pouvait déclencher chez une femme des frissons de plaisir délicieux.
« Mmrraaww... est-ce que ça te plaît ? »
Karuta était sur un pied d'égalité avec Rosa, alors elle agissait avec plus de liberté qu'avec Evangeline. Elle faisait des commentaires, elle posait des questions, elle se servait de ses mots pour progresser et pour exciter la femme. Et tout en profitant de la sensation de la rondeur de ses fesses sous ses doigts, elle léchait ses tétons durs comme des piquets et les mordillait de temps en temps. Le sexe n'était pas sa spécialité, mais elle savait qu'il était toujours plus plaisant avec un peu de douleur. Mordre des tétons ou donner une fessée était toujours agréable.
Au bout de quelques minutes, alors que Karuta et Rosa étaient bien chauffées, la maid se demanda si Evangeline appréciait le spectacle. Elle se tourna vers elle et la regarda avec admiration.
« Maîtresse... myyyaaa... est-ce que vous voulez... que nous fassions quelque chose de spécial ? »
Après tout, le spectacle était pour elle, alors il fallait bien s'assurer qu'elle était contente.
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Rosa joua ainsi avec la poitrine de sa Karuta, pendant que cette dernière jouait avec ses fesses tirant même sur son string pour lui procurer davantage de plaisir. Rosa sentait qu’elle était encore débutante, mais aussi qu’elle s’en sortait bien. Après tout c’était la Maitresse elle-même qui c’était occupé en partie de son éducation.
-Tu t’en sort bien, on voit que la Maitresse à pris soin de toi.
Plus que lui frotté le devant de la culotte, Rosa glissa sa main à l’intérieur venant directement au contact de son sexe. Pendant ce temps assise plus loin Maitresse Evangeline les regardait toute les deux.
-Puis que tu le propose Karuta, faites chacune à l’autre quelque chose d’un peu plus extrême qui vous plait. Montre-moi ce que tu aime dans tout se que tu as déjà vue. Rosa on verra après même si je devine se que tu as envie de faire.
Rosa se décala alors pour laisser faire Karuta, qu’es qu’elle allait lui faire subir elle était bien curieuse. Que se soit de plaisir, de douleur ou d’humiliation elle était prête à tout subir pour sa maitresse.
-
Karuta pensait bien s'en sortir vu les couinements de plaisir de Rosa, et quand elle demanda à Evangeline si elle désirait quelque chose de spécial pour le spectacle. Elle répondit qu'elle voulait voir chacune de ses esclaves faire quelque chose qu'elle aime à l'autre, elle voulait voir leurs goûts et leurs envies.
« Bien maîtresse. »
Karuta fut la première à agir. Elle posa ses mains sur les fesses de la démone, les massa et les pressa avec bonheur. Elle adorait sentir ces deux belles bosses sous ses doigts.
« Aahh... Rosa... tu as un si beau cul. »
Elle passa ensuite dans le dos de son amante, se baissa pour avoir le visage au niveau de son fessier, et se mit à lécher sa peau rebondie. Et après la douceur, elle passa à la douleur. Elle se mit à fesser le petit cul rebondi de Rosa et à lui mordiller les fesses.
« Ça te plaît... quand je fais ça ? »
Durant sa formation au sexe, les formateurs de la maid n'avaient eu de cesse de lui répéter que le sexe était toujours meilleur quand il faisait un peu mal. Griffer, mordre, pincer, fesser... tout ça rajoutait du plaisir. Et à chaque fois qu'elle expérimentait avec une nouvelle amante, une chose revenait toujours : elle adorait jouer avec ses fesses et sa culotte. Elle le refaisait avec toutes les filles qui l'autorisaient à le faire.
Après encore quelques attaques sur son fessier, Karuta se releva pour faire à nouveau face à Rosa, l'embrassa délicatement sur les lèvres puis attrapa les bords de son string et les remonta jusqu'à ce que l'avant de sa culotte ne lui rentre dans la chatte.
« Hhmm... j'ai appris à faire ça... pendant ma formation. On m'a dit... que ça s'appelait... un wedgie. Tu aimes ? »
Karuta s'appliquait autant que possible pour satisfaire son amante et assurer le spectacle pour sa maîtresse. Et dès qu'elle en aurait fini avec elle, elle offrirait son corps à la démone pour voir de quoi elle était capable.
-
Rosa regarda Karuta se lancé et s’occupé surtout de son fessier ce qui était loin de lui déplaire. Elle avait bien appris sa leçon, des caresses, malaxé et même la fesser. Karuta lui demanda si elle aimer ça.
-Hum oui, j’aime la fesser…
Quand elle était soumise, il lui arrivait des fois d’être sur pilorie et se faire ainsi fesser violement ou fouetté. Que ce soit par punition ou simplement pour satisfaire sa maitresse. Rosa aimer ça, jusqu’à une certaine limite bien sûr. Rosa se demanda si une fille aussi adorable et chouchoute de la Maitresse, avait déjà ut droit à ça.
Karuta passa alors à autre chose, attrapant les coté du string de Rosa et viens tiré dessus. Le sous vêtement se trouva alors monté au maximum, le tissue passant entre ses lèvres, forant entre ses fesses et donna un agréable sensation à plusieurs endroit.
-Humm oui…Tu as était bien éduqué à ce que je vois…
Rosa en vient même à gémir par les frottements de son string sur son intimité. Elle la laissa joué ainsi encore un peu avant que ce soit son tour. Une fois ça fait, Rose se retourna et coucha Karuta sur le dos. Elle s’avança au-dessus d’elle. Elle l’attrapa par les cheveux et lui guida la tête vers son intimité.
-Moi j’aime dominé aussi, lèche moi.
Elle la maintien ainsi. Rosa avait de l’expérience et savais la maintenir ainsi sans lui faire mal, ou pas trop.
-Il y a un autre truc que j’aime…
Elle se pencha en avant pour lui murmurer à l’oreille.
-Tu as déjà bu l’urine de la Maitresse ? Tu crois que tu supporterais une chose pareil de moi ?
Rosa avait bien comprit les consigne d’Evangeline, mais aussi qu’elle n’était pas ici pour dominer l’autre fille. Alors elle ne pouvait lui imposer se genre de chose.
-
Karuta était agile dans ses gestes mais pas encore très assurée. Après tout, elle débutait dans l'art de donner du plaisir aux autres. Mais Rosa était contente de ce qu'elle lui faisait, depuis les fessées jusqu'au wedgie. Après quelques minutes à jouer avec le bassin de la démone, la maid la lâcha pour qu'elle puisse à son tour lui faire ce qu'elle voulait. Rosa la coucha sur le dos, s'avança au-dessus d'elle et la prit par les cheveux pour guider sa tête vers son intimité, avec une consigne simple : lécher.
Karuta se mit immédiatement au travail, et sa langue attaqua la vulve de son amante par-dessus son string. Elle faisait comme on le lui avait appris : doux au début, puis de plus en plus intense au fil du temps. Certaines filles aimaient qu'on leur dévore le minou, mais si elles ne le précisaient pas, il fallait faire comme ça. La démone lui maintenait la tête en position sans lui faire mal, ou alors juste en lui tirant un peu les cheveux ponctuellement, pas de quoi la faire souffrir. La maid faisait bien son travail, son amante couinait et soupirait au rythme des allées et venues de sa langue, mais après quelques minutes elle lui proposa d'aller un peu plus loin et d'expérimenter une nouvelle pratique : boire l'urine de la démone. C'était quelque chose qu'elle n'avait encore jamais fait, mais elle avait envie d'essayer, surtout en sachant qu'Evangeline les regardait. Après tout, elle ne pourrait pas progresser sans ça.
« Non... je ne l'ai jamais fait. Mais... je veux bien essayer. »
Rosa baissa son string pour libérer sa chatte, qu'elle colla ensuite contre la bouche ouverte de Karuta. Cette dernière attendit un peu, puis sentit un liquide couler dans sa bouche. Le goût n'était pas agréable comme peut l'être celui de la cyprine, il était plus acide et difficile à avaler, mais la maid continuait à le faire comme une bonne soumise. En moins d'une minute, la démone avait fini de se soulager dans la bouche de la servante, et voulut savoir comment elle avait trouvé.
« C'était... comment dire... ce n'était pas désagréable, mais je ne ferai pas ça tous les jours. Sauf si maîtresse me le demande. »
Elle était si dévouée à Evangeline qu'elle lui servirait d'urinoir ambulant si cette dernière le lui ordonnait.
« En attendant... tu n'as toujours pas joui. »
Karuta recommença à lécher l'intimité de Rosa, et elle comptait bien continuer jusqu'à ce que la démone envoie un autre genre de liquide dans sa bouche.
-
Rosa profita d’un cunnilingus plutôt pas mal. Elle n’était pas parfaite, mais se débrouillait bien, lui léchant le sexe à travers son sous vêtement. C’était très agréable comme sensation. Evangeline continuait à les regardé tout simplement avec un sourire sur les lèvres. Pour débutante récente, elle n’était pas mal du tout.
Après quelques minutes à en profiter, Rosa se penchant pour venir lui murmurer une envie et en avoir son avis. L’idée était de lui faire boire son Urine et à sa grande surprise, elle voulut tester. Rosa se redressa alors en lui caressant la joue.
-Tu es intéressante comme fille, très bien alors prépare toi.
Rosa retira son string et attendait qu’elle soit en place. Elle se soulagea alors dans sa bouche. Elle savait comment ça se passait surtout pour une première fois, Rosa se retiens alors pour laisser couler en douceur. Sinon la quantité du flux pouvait être plus important que sa vitesse à avalé et elle pouvait alors déborder et en mettre partout. Pas que sa dérangerais Rosa de lui pissé sur le visage, mais elle était quand même sur son lit. Ainsi elle se retiens pour le jet reste fin et petit, mais si elle en vient à le refaire, elle ne se montrera pas si clémente. Une fois finit elle se sentie mieux et très excité par ce que venais de faire Karuta.
-Alors c’était comment ?
Encore une fois elle fut surprise d’apprendre qu’elle avait trouvé ça pas si mal et recommencerais bien, mais pas tous les jours.
-Oh j’ai bien fait de tenté alors, je sens que ça vas plaire à Maitresse.
Karuta décida ensuite de reprendre à la lécher comptant la faire jouir, ce que Rosa bien sur laissa faire. Cette fois elle n’avait plus le string pour la gêné et pouvait sentir sa langue directement sur sa peau.
-Hum, je sens qu’on vas bien s’entendre toute les deux…
Après tout ça, il ne lui fallut pas longtemps pour jouir. Elle se décala pour s’assoir sur le lit se remettant de ce premier orgasme. Assise dans son fauteuil, Evangeline les regarda toute les deux avec le sourire.
-C’était très intéressant, je prends note de ce que j’ai vue. Bien vous m’avez suffisamment chauffé. Venez donc toute les deux me donné du plaisir. Voyons comment vous allez vous accordé.
-
Karuta léchait Rosa, mais cette fois sans le string pour lui barrer le passage. Elle dévora l'intimité de la démone avec gourmandise, passant et repassant sa langue sur son corps, récoltant sa mouille dans sa bouche et écoutant avec bonheur ses gémissements de plaisir. Elle continua à la lécher jusqu'à ce qu'elle jouisse enfin, expulsant sa mouille directement dans la bouche de la maid.
« Hhhmmm ! »
Après son orgasme, Rosa se décala pour pouvoir s'asseoir sur le lit et se remettre de ses émotions. A ce moment, Evangeline signifia à ses deux esclaves qu'elle avait aimé le spectacle, mais qu'il était temps pour elles de venir la satisfaire physiquement.
« Avec plaisir maîtresse. »
Karuta allait devoir agir de concert avec Rosa, mais ne connaissant pas du tout le fonctionnement habituel de la démone, il était important qu'elles communiquent ensemble pour ne pas se gêner.
« Rosa, je te propose d'aller lécher notre maîtresse sous sa culotte, pendant ce temps je vais m'occuper de sa poitrine. Ça te convient ? »
La maid venait de passer les dernières minutes à lécher le minou de Rosa, elle s'était dit qu'elle apprécierait d'aller goûter à celui d'Evangeline. Quant à elle, elle grimpa sur l'un des accoudoirs du fauteuil et ôta le haut de la robe de sa maîtresse avant de faire tomber son soutien-gorge et dévoiler sa belle poitrine.
« Oh maîtresse... vos seins sont magnifiques. »
Le petit chaton alla coller sa bouche sur un téton pour le suçoter et le mordiller entre ses dents, ronronnant de plaisir en sentant la chaleur du corps de la femme contre le sien. Elle aurait pu la téter pendant des heures, et elle était installée de façon à ne pas gêner Rosa pendant qu'elle passait sa tête sous la robe d'Evangeline pour aller lui lécher le minou.
-
Evangeline regarda les deux jeunes filles se mettre d’accord pour satisfaire sa demande. Rosa écouta la proposition de Karuta et sembla s’en satisfaire vue qu’elle ne la contesta pas. Ainsi les deux approchèrent de fauteuil où était assise confortablement leur Maitresse.
Karuta commença par venir s’installer à côté d’elle sur l’accoudoir. Ce n’était pas le plus confortable, mais elle avait la place et assise ainsi elle ne la dérangeait pas. La maid commença alors à lui défaire sa robe pour pouvoir accéder à sa poitrine. Elle se pencha alors pour venir lui suçoter les siens, jouant agréablement bien de sa bouche pour cela. Evangeline était satisfaite de son apprentissage dans le domaine du sexe. C’était dur d’imagine qu’il n’y a pas si longtemps elle était ignorante au point de même pas savoir ce que c’était. Maintenant elle appréciait même ça.
En même temps Rosa s’approcha aussi, à quatre patte sur le sol, elle avança tel un prédateur. La démone se glissa sous sa robe, venant s’assoir entièrement cacher dessous. Elle lui fit descendre sa culotte et commença à léché. Rosa avait une grande expérience sexuelle, devenue esclave suite à son passé de violeuse, Evangeline l’avait acheté et lui avait offert une vie entre soumission et domination où elle pouvait profiter de sa forte libido. Elle était devenue rapidement une de ses favorite et maitrisé de lui donner un maximum de plaisir.
-C’est bien mes chéries. Oui comme ça, je pourrais rester des heures ainsi.
Evangeline passa une main dans les cheveux de karuta les caressant affectueusement. La Maitresse des poupées resta ainsi à se détendre, gémissant doucement et appréciant le plaisir que lui donnaient ses deux esclaves. Oui elle pourrait vraiment rester ainsi des heures, si elle n’avait pas un emploi du temps chargé. Mais pour le moment en tout cas elle en profitait.
-Si vous voulez, je vous autorise à vous faire du bien en même temps, tant que ça n’affecte pas la qualité de ce que vous me faite bien sûr.
-
Karuta était toute heureuse en suçant ainsi les tétons d'Evangeline. C'était une esclave si dévouée à sa maîtresse que le simple fait de la satisfaire suffisait à l'exciter. A moins que ce ne soit de sentir ses caresses dans les cheveux, ou d'entendre ses compliments. En tout cas, sa culotte était toute mouillée et son entrejambe la démengeait.
« Nnnyyyuuu... »
Quand Evangeline donna à ses servantes l'autorisation de se faire du bien en même temps qu'elles s'occupaient d'elle, Karuta utilisa une de ses mains pour aller caresser sa culotte. Elle ne voulait pas se donner trop de plaisir pour pouvoir rester concentrée sur sa maîtresse, mais de simples petites caresses ne faisaient que la frustrer. Très vite, elle passa sa main sous sa culotte pour pouvoir se toucher directement, mais même comme ça, elle n'arrivait pas à se satisfaire. Du coup, elle se mit à se doigter, enfonçant son index et son majeur dans sa chatte humide, doucement au débit, puis de plus en plus vite. Et elle parvenait à le faire tout en continuant à donner du plaisir à sa maîtresse en aspirant ses tétons entre ses lèvres.
« Ggrroouu... »
A force de se doigter, Karuta parvint à se faire jouir, répandant des giclées de son jus d'amour sur ses doigts et au fond de sa culotte. Le contrecoup de l'orgasme la secoua un peu, mais en réalisant qu'elle commençait à être moins attentive à Evangeline, elle se dépêcha de se reprendre en main et de s'occuper de sa poitrine. Et pour lui montrer qu'elle n'était pas une mauvaise esclave, elle alla poser sa main encore humide sur le sein qu'elle ne tétait pas pour le peloter et jouer avec le téton. Elle espérait que son initiative ferait plaisir à Evangeline.
-
Evangeline se détendait assise dans le confort de son fauteuil. Deux de ses esclaves s’occupait aussi de son plaisir. Une assise sur l’accoudoir à lui sucée la poitrine et l’autre à genoux sous sa robe à lui offrir un cunnilingus. Toutes les deux s’y prenait très bien et pour ça Evangeline leur donna l’autorisation de se faire plaisir en même temps. Bien sûr tant qu’elles n’en perdaient pas en efficacité. Mais l’idée n’en était pas qu’a les récompensé.
Karuta sauta sur l’occasion et commença à se caresser. Evangeline voyait son excitation et son empressement. Surement que Rosa sous sa robe était dans le même état. Evangeline se contenta d’observé son chaton. Voir sa main remuée ainsi dans sa culotte trempée l’excitait aussi, l’idée était là lui faire de l’effet en l’observant faire et ça marchait. Surement que Rosa en ressentait l’effet plus bas. Rosa accentuait les sensations, surement qu’elle-même était bien excité et se donnait du plaisir intensément.
Ce fut Karuta qui jouit la première. Evangeline fut impressionné par l’intensité de son excitation. La petite maid en fut secoué un instant avant de se reconcentré sur elle, venant même se servir de sa main maintenant libre pour lui en donné davantage.
-Tu es magnifique quand tu te fais plaisir mon chaton. Je pourrais te regarder faire plus souvent
La petite langue de la démone et celle de la petite chatte, finirent par la faire jouir à son tour. Evangeline poussa un gémissement plus poussé pour marquer le coup et se lâchât dans la bouche de Rosa. Evangeline passa sa main sous le menton de Karuta lui releva la tête et viens l’embrassé.
-Vous avez été parfaite. Alors Karuta tu te sent mieux maintenant ?
-
Après avoir joui avec ses doigts et reçu un petit compliment de la part de sa maîtresse, Karuta s'employait à nouveau à faire jouir Evangeline. Elle finit par réussir, avec l'aide de Rosa, et leur maîtresse poussa un long gémissement avant de faire gicler sa mouille dans la bouche de la démone. Rien que de voir la femme être comblée de plaisir était déjà une joie pour la maid, mais le baiser qui vint après était encore meilleur. Sa maîtresse lui demanda ensuite si elle se sentait mieux.
« Oui maîtresse, beaucoup mieux. Merci pour votre aide. »
D'abord pour le rituel qui lui avait permis de recomposer son esprit, et ensuite pour lui avoir permis de se changer les idées avec Rosa. Elle avait retrouvé assez de stabilité émotionnelle pour pouvoir à nouveau réfléchir normalement.
« Maîtresse, souhaitez-vous encore jouir ? Ou peut-être avez-vous envie d'un petit spectacle ? Vous aviez dit que vous aimiez me voir me caresser, je peux le refaire devant vous. »
Karuta n'avait plus rien en tête hormis l'envie de donner du plaisir à Evangeline, peu importe comment. Que ce soit en se donnant en spectacle seule ou avec Rosa, ou en allant la lécher entre les jambes, entre les fesses, se laisser pénétrer, se laisser fesser... Elle avait juste envie de faire l'amour et que sa maîtresse en retire du plaisir.
-
Evangeline se détendit après avoir joui à l’aide de ses deux esclaves. Les deux étaient très différentes, mais s’accordait plutôt bien pour l’instant. A l’origine elle avait organisé ça pour détendre Karuta et ça semblait fonctionné. Evangeline ut un sourire en remarquant que Karuta était toujours excité et semblait vouloir continuer dans la luxure. La jeune fille avait découvert le sexe il n’y pas si longtemps et avait vite plonger dedans. La maitresse des poupées se mit à réfléchir à ce qui pourrais lui plaire.
-Tu es devenue gourmande, mais la gourmandise n’est pas un trais mignon des petits chatons ?
Elle se pencha pour l’embrassé de nouveau, oui tout ça lui plaisait à elle aussi.
-Très bien, allez s’y toute les deux. Montrez-moi comment vous vous donnez du plaisir. D’abord seulement avec les mains, mais ensuite Rosa tu sortiras tes jouets.
La Démone se leva et préféra les sortir en avance pour ne pas trop interrompre quand elles seront lancées. Elle était après tout dans sa propre chambre. Elle sortit alors une grande boite avec toute sorte de sexe toy. Partant du simple œuf vibrant, gode de forme et taille différente, mais il y avait bien d’autre chose.
-Allez s’y les filles, masturbez-vous. Je veux vous voir trempé le sol jusqu’à mes pieds que vous nettoyez ensuite.
-
Sans s'en rendre compte, Karuta était devenue gourmande dans le sexe, mais cela ne semblait pas déplaire à Evangeline. La maid devint folle de joie quand sa maîtresse vint l'embrasser, dégustant ses lèvres et jouant avec sa langue. Le petit chaton se laissa faire jusqu'à ce que la femme la relâche et ne donne ses nouveaux ordres. Ses esclaves allaient devoir se masturber pour son plaisir, d'abord avec leurs mains puis avec des jouets. Dans cette optique, Rosa alla chercher une grande boîte qu'elle ouvrit devant les yeux de la maid. Cette boîte contenait tout un tas de jouets sexuels, du simple œuf vibrant jusqu'à des gros godes. Le chaton reconnut ces objets, les maîtresses sexuelles qui l'avaient formé utilisaient les mêmes pour apprendre aux esclaves en formation à découvrir leur corps et pour s'expérimenter à quelques pratiques sexuelles comme la fellation.
Evangeline avait donné son ordre, et Krauta n'avait pas l'intention de la décevoir. Pour plus de confort, elle enleva sa robe de maid, ainsi que son soutien-gorge et sa petite culotte blanche, ne lui laissant sur le corps que son porte-jarretelles et ses collants. Elle passa deux de ses doigts entre ses jalbes et commença à se toucher intimement. Pour se motiver, elle se remémora avec bonheur les moments qu'elle a passé avec les femmes qui lui ont appris ce qu'est le sexe. Elle se souvint des sessions de masturbation, seule ou en groupe, pour découvrir son corps et ce que c'était que de donner du plaisir. Elle se souvint de ses entraînements à la fellation, au cunnilingus, à jouer avec les seins et les fesses, à se faire pénétrer. Mais surtout, elle se souvint de son entraînement pour devenir un chaton. Passer de l'humain à l'animal, marcher à quatre pattes, miauler, ronronner, et ainsi faire en sorte qu'on la traite comme un chaton. Tous ces moments avaient été délicieux, elle avait pu découvrir les joies du plaisir charnel, et chaque fois qu'elle y repensait, la chaleur gagnait son corps et elle ne pouvait résister à l'envie de se faire du bien.
Elle posa sa main encore libre sur sa poitrine, pressant et malaxant ses seins, tandis qu'elle enfonça deux doigts dans sa chatte humide pour se masturber frénétiquement. Elle ne retenait pas ses gémissements, et elle dirigeait toujours sa voix vers sa maîtresse pour qu'elle profite au maximum du spectacle.
« Aaahhh... maîtresse... votre petit chaton... est une grosse gourmande. Elle adore... se faire du bien... pour votre plaisir... nnnyyyuuu. »
Karuta se doigta avec énergie jusqu'à ce qu'elle sente l'orgasme venir. Dans un miaulement, elle laissa sa mouille jaillir de son antre pour aller se répandre sur le sol. Après ce premier orgasme, elle était un peu fatiguée mais il était temps pour elle de passer à l'étape suivante. Elle alla fouiller dans la boîte de Rosa et y prit un petit œuf vibrant, qu'elle alluma avant de le poser contre le haut de sa fente. Elle savait que son clitoris se trouvait là, et qu'en le stimulant correctement, elle pourrait se donner du plaisir rapidement mais pas trop quand même. Et pour rendre les choses encore plus excitantes, elle ferma les yeux et se mit à fantasmer en s'imaginant qu'elle était couchée sur les genoux d'Evangeline, à jouer les gentils chatons pendant qu'elle la caressait entre les oreilles et tenait l’œuf entre ses cuisses.
« Nnnyyyaaa... »
-
Evangeline resta assise à regarder les deux esclaves se préparé pour l’ordre suivant. Toutes les deux devaient se masturber devant elle, pour le plaisir de ses yeux. Karuta commença alors par se mettre plus à l’aise, retirant sa robe de soubrette et ses sous-vêtements. En la voyant faire Rosa fit de même retira également ses vêtements ne gardant que ses bas. Toute les deux fin prêtes, elles commencèrent à se toucher.
Rosa c’était mise à genoux, les jambes légèrement écartées et avec ses doigts s’écarta les lèvres avant de ses rentré deux doigts et commencé des vas et viens énergique. Avec son autre main libre, elle se malaxa la poitrine, venant tiré sur ses tétons. Son visage affiché une irrésistible expression de plaisir et de luxure. Evangeline les regardait elle-même excité par ce spectacle, mais se contentait de regardé pour le moment. Elle avait déjà reçu une première dose de plaisir et pouvais donc se retenir.
Les premiers orgasme ut lieux pour chacune d’elle, dans des gémissements de plaisir agréable pour les oreilles. Mais tout ça n’était pas finit, il était temps de se servir de la boite, enfin surtout de son contenue. Rosa sortie plusieurs choses. Elle commença par des petites pinces avec un œuf vibrant qu’elle s’accrocha à chaque tétons. Puis ensuite elle prit un plug et se mit à quatre patte les fesse tourné vers la Maitresse et commença à se l’enfoncé doucement entre les fesses.
-
Pour Karuta, utiliser l’œuf vibrant sur sa fente était déjà un bel effort, mais Rosa lui montrait qu'elle pouvait aller bien plus loin. La démone s'était collée un œuf vibrant sur chaque téton et se tenait à quatre pattes devant Evangeline tandis qu'elle s'enfonçait un plug dans les fesses. Non seulement elle était audacieuse, mais elle était aussi très excitante.
« Ooohhh... oui... »
La maid s'appliquait à être la plus excitante à regarder en se masturbant avec son œuf. Même si elle n'avait pas l'expérience de Rosa, elle n'en restait pas moins jolie et désirable, c'était à elle de bien se mettre en valeur pour faire plaisir à sa maîtresse. Elle passait le jouet sexuel le long de sa vulve, titillant son clitoris par à-coups pour se donner plus de plaisir. Elle continuait aussi à fantasmer en s'imaginant être tripotée par sa maîtresse qui jouait avec son gentil chaton.
« Aaahhh... maîtresse... nnnyyyuuu... »
Karuta se laissa aller au plaisir de la masturbation jusqu'à en jouir, laissant gicler sa mouille de son entrejambe. Ce deuxième orgasme la secoua car il était très proche du premier, mais Evangeline ne lui avait pas dit d'arrêter alors elle devait continuer. Pour aller encore plus loin dans sa démonstration de plaisir solitaire, elle retourna fouiller dans la boîte de Rosa et en sortit un joli gode de belle taille en plastique rose. Étant habituée au sexe avec des femmes, la jeune fille n'était pas des plus adroites avec une verge à gérer, mais elle savait quand même quoi faire.
Karuta caressa le jouet d'une main comme si elle le branlait pendant quelques instants puis elle commença à le lécher sur toute sa longueur comme une grosse glace. Elle l'enduit de sa salive jusqu'à ce qu'il soit bien humide, puis elle ouvrit grand la bouche et se mit à le sucer.
« Hhhmm... »
En plus d'être excitant à regarder, c'était aussi un bon entraînement pour elle afin qu'elle apprenne à se servir de sa langue pour flatter une grosse queue. Elle enchaîna les vas-et-viens dans sa petite bouche de salope en essayant de bien montrer à quel point elle aimait ça. Cette fellation dura pendant presque dix minutes, pendant lesquelles elle se régala à avaler cette saucisse en plastique, mais le meilleur restait à venir.
« Nnnyyyuuu... »
Un petit miaulement pour attirer l'attention d'Evangeline puis elle dirigea le jouet sexuel vers son intimité encore ruisselante. Il rentra en elle avec une grande facilité et elle se mit à le faire bouger. Mais tout à coup, elle appuya sur un bouton qu'elle n'avait pas vu lorsqu'elle avait pris le gode, et ce dernier se mit à vibrer.
« AAAHHH ! »
Elle n'avait pas prévu cela, mais ce n'était pas désagréable.
-
Evangeline restait confortablement assise dans son fauteuil comme une reine à regarder ses deux esclave l’excité d’avantage. C’était magnifique à regarder, chacune avait son atout qui la rendait excitante. Karuta c’était son excitation et la sincérité de ce qu’elle exprimait, elle était encore novice mais prometteuse. Rosa elle c’était une forme de folie, son visage ne cachait rien et montrait un plaisir intense, s’en était même proche de la folie.
Elle appréciât énormément de voir Karuta sucé ce jouet avec autant d’envie et se dit qu’elle pourrait peut-être lui faire travailler se genre de chose un plus maintenant. La petite chatonne passa alors à la suite se rentrant le gode dans son intimité activant la vibration et jouant des vas et viens. La vibration ne semblait pas prévu, mais pas de lui déplaire.
Rosa de son côté avait fini de se rentré le plug qui lui aussi se mit à vibré, alors qu’elle reprit à se masturbé en se frottant intensément les lèvres intime. Elle y allait presque avec violence, on voyait son plaisir sur son visage et son intimité trempé d’excitation. Mais Si Karuta était concentré sur La Maitresse des Poupées, Rosa elle regardait Karuta avec une envie dévorante.
Evangeline regardait se spectacle avec délectation, venant même relevé sa robe dévoilant son intimité au deux esclaves et commença à se caressé aussi. Les gémissements de plaisir des deux jeunes fille avaient finit par la faire craqué.
-
Karuta prenait son pied en se masturbant, et elle était tellement concentrée sur Evangeline qu'elle ne voyait pas que Rosa la regardait avec une envie dévorante. Le gode logé dans son intimité vibrait délicieusement tandis qu'elle le faisait aller et venir dans son intimité en produisant des bruits humides très érotiques. Mais le plus excitant vint après, lorsque sa maîtresse releva le bas de sa robe et qu'elle commença à se caresser en montrant son entrejambe à ses esclaves.
« Aaahhh... maîtresse... nnnyyyuuu... »
En voyant qu'Evangeline était si excitée par le spectacle qu'elle s'était mise à se toucher elle aussi, Karuta se sentit envahie d'une grande joie qui se manifesta par un gain d'énergie dans ses masturbations. Le gode s'enfonçait plus vite et plus profondément en elle, elle se tripotait les seins de son autre main et laissait sa voix éclater dans une série de gémissements et de miaulements de bonheur. Son plaisir était même si grand que son corps émit à nouveau cette drôle de lueur violette qui était apparu la dernière fois qu'elle s'était transformée. Heureusement, cette fois, son plaisir n'était pas assez grand pour mener à une transformation, il y avait juste de quoi la faire briller.
Je me sens bizarre.
C'était comme si son corps était devenu tout léger, une sensation agréable qui la porta plus loin dans son plaisir. Elle n'avait aucune idée du pouvoir qui sommeillait en elle ou de la façon dont elle pouvait l'utiliser, elle savait juste que cette lumière n'apparaissait que lorsqu'elle prenait son pied.
« Nnnyyyuuu... maîtresse... AAAHHH ! »
Quand Karuta atteignit l'orgasme, son corps brilla plus fort pendant quelques secondes, puis la lumière disparut quand son plaisir retomba. Cet orgasme l'avait bien soulagée, mais elle n'en avait pas encore assez. Elle retira le sextoy de son antre humide et le porta à sa bouche pour le lécher et savourer le goût de son propre jus. Ensuite elle retourna vers la boîte à jouets de Rosa et en sortit un autre gode, bien plus gros que le précédent.
« Hhhmmm... parfait. »
Comme avec le gode précédent, elle commença par mettre celui-ci dans sa bouche, le suçant avec appétit. Une fois bien dégusté, elle irait le mettre dans sa chatte, pour le plus grand plaisir d'Evangeline.
-
Evangeline ne fut pas surprise qu’elle provoque un tel effet. Quand elle se mit à caressé en les observant, de suite les deux esclaves ne furent pas indifférente et accentuèrent leur masturbation. Karuta fut la première à jouir avec son gode ce qui ne sembla pas la stoppé vue qu’elle en attrapa un autre plus gros. Evangeline l’observait avec attention, la lumière qu’elle avait émise se manifestait à nouveau et elle se tenait prête à intervenir. Heureusement cette fois elle semblait contrôlé. Karuta avec son plus gode repris à jouer avec sa bouche semblant prise dans la luxure.
Rosa la regarda avec envie, la voir se lâcher ainsi l’excitait fortement, même si la démone par nature était facile à excité. Elle s’approcha de Karuta à quatre patte et pris le gode qu’elle avait abandonné et se mit à le sucé avec beaucoup de sensualité et de provocation. Elle restait proche de Karuta avec une envie bien visible de cette dernière.
Evangeline sourit et s’adressa à Karuta.
-Tu me surprend, tu deviens une vraie gourmande de luxure mon petit chaton. Tu vas finir comme Rosa un jour. J’ai envie de te tester un peu. Je te laisse le choix, soit tu calme Rosa en suivant ma consigne. Soit tu goute à la consigne que je donne tous les jours à Rosa et qui à fait partie de son dressage.
Bien sûr c’était volontaire que dans les deux cas, elle n’as pas dit vraiment ce qu’elle devras faire.
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Alors qu'elle était en train de se faire plaisir en suçant un bon gros gode, Karuta entendit Evangeline lui dire qu'elle était surprise de voir à quel point son esclave devenait une vraie gourmande de luxure et lui soumit une proposition : soit elle calmait Rosa en suivant les consignes de leur maîtresse, soit elle goûtait à la consigne que la maîtresse donnait tous les jours à la démone, une consigne faisant partie de son dressage.
« Nnnyyyuuu... c'est si dur... de choisir. »
Elle avait envie de faire les deux. Elle avait envie de s'envoyer en l'air avec Rosa en suivant les ordres d'Evangeline, mais elle voulait aussi voir de quoi avait été fait le dressage de la démone pour le comparer avec le sien. Choisir l'un des deux voulait dire renoncer à l'autre, mais elle devait se décider sinon elle allait passer à côté des deux. Alors elle s'interrogea sur ce qui était le plus excitant pour elle : être dirigée par sa maîtresse pour faire l'amour, ou bien laisser sa camarade démone jouer avec son corps. Et finalement, elle se décida.
« Je veux... aaahhh... découvrir le dressage de Rosa. »
Karuta était définitivement une profonde soumise. Elle arrêta de s'enfoncer le gode dans la bouche et dirigea son regard vers la démone. Cette dernière était à côté d'elle, à quatre pattes, en train de sucer le gode avec lequel elle avait joui un peu plus tôt.
« Alors Rosa... mmrraaww... tu vas me montrer... comment notre maîtresse t'a dressé ? »
-
Evangeline observais les deux esclaves profondément excité et prise dans leur élan sexuel. La Maitresse des poupées avait alors fait une proposition à Karuta, un choix entre deux chose. Cette dernière hésita un instant, durant lequel Rosa continua à la chauffé en restant devant elle. Suivre des consignes pour calmé Rosa ou suivre la consigne que cette dernière reçoit tous les jours depuis des années. Karuta décida donc de partir sur la découverte du dressage de la démone. Evangeline sourit et laissa retombé sa robe.
-Bien dans ce cas, commençait pas vous rhabiller toute les deux.
Evangeline se leva et commença à ramassé les sextoy utilisé par les filles pour les remettre dans la boite et attendit ensuite que toute les deux soit de nouveau entièrement habiller. Elle avait retrouvé son calme malgré une touche toujours présente d’excitation.
-Karuta tu vas donc être la première, une fois prête tu viens devant moi et tu soulèves ta robe et tu la tien que je m’occupe de toi.
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Karuta avait encore envie de jouer avec Rosa, mais elle pourrait toujours le faire plus tard. On lui avait proposé de découvrir comment Evangeline avait dressé la démone, alors elle avait saisi l'occasion. Leur maîtresse leur ordonna de se rhabiller, ce que la maid fit sur le champ. Elle commença par remettre sa petite culotte entre ses jambes, qui se retrouva immédiatement mouillé quand elle entra en contact avec sa vulve trempée, puis elle réajusta son soutien-gorge pour un maximum de confort, et enfin elle renfila sa robe de soubrette et réajusta ses oreilles ainsi que sa queue de chat. Une fois revêtue, elle voulut aider sa maîtresse à ranger la pièce, mais elle n'en avait pas reçu l'ordre alors elle ne bougea pas.
Une fois ses deux servantes prêtes, Evangeline demanda à Karuta d'approcher. Elle allait être la première à profiter de cette expérience, sans doute parce que Rosa savait déjà à quoi s'attendre vu que cela avait fait partie de son dressage. La jeune fille se plaça devant sa maîtresse et souleva sa robe, la retenant par les pans comme sa maîtresse le lui avait ordonné.
« Je suis prête maîtresse. Je m'en remets à vous. »
Même si elle ne savait pas à quoi s'attendre, la maid faisait aveuglément confiance à cette femme. Depuis son arrivée, elle ne lui avait apporté que des bonnes choses, elle avait compris sa personnalité et ses pouvoirs cachés et elle s'en accommodait. La jeune fille savait qu'elle n'avait qu'à obéir en toutes circonstances et tout irait bien. Cependant, elle appréhendait quand même un peu après ce qui s'était passé quand Evangeline avait voulu utiliser sa magie pour lui faire connaître le plus grand des plaisirs. Mais si cela faisait partie du dressage de Rosa, alors il y avait peu de chances que ce soit quelque chose de trop intense.
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Evangeline laissa les deux jeune remettre leurs vêtements sans les pressés. En attendant, elle avait ramassé les jouets qu’elles avaient utilisé, mais le but n’était pas vraiment de faire du rangement, après tout elle n’était pas une domestique. Non le but était de rassemblé le matériel qu’elle allait avoir besoin.
Une fois toute les deux faces à elle et habiller, Evangeline s’approcha de Karuta. Evidement elle commençait par elle, Rosa savait déjà ce qui les attendaient, ça aurais gâcher la surprise. Comme demandé, la jolie soubrette chaton tenais sa robe relever laissant voir ses jambes et sa culotte trempé. Evangeline s’accroupie et lui baissa un peu sa culotte, elle vient alors lui écarter les lèvres avec deux doigts. Se servant de son autre main elle prit alors un gode de bonne taille et viens lui rentrer l’enfonçant profondément dans son sexe, puis ensuite elle lui remonta sa culotte pour lui maintenir en plus alors que ce dernier vibrait.
-Voilà la consigne est simple, tu ne dois jamais le retirer. Tu le garde tout le temps en toi et ça jusqu’à ce que je décide moi de te l’enlevé. Ce qui peut arriver d’ici plusieurs jours.
Elle se redressa pour se mettre debout face à elle.
-Enfin ça c’est en temps normal, pour toi sa serra jusqu’à demain ou tu viendras me retrouvé à la même heure pour que je te le retire. En attendant tu fais ta vie et ton devoir normalement. Tu as le droit de jouir, mais ça ne doit pas te ralentir sur ton travail, même si tu as les cuisses trempées.
Elle montra le second gode et s’avança vers Rosa pour lui baisser son string et lui mettre le sien en place. Rosa avait l’habitude, elle a droit à cette consigne pratiquement tout le temps, c’est devenue une consigne habituel pour elle.
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Debout devant Evangeline, tenant les pans de sa robe en l'air, Karuta regarda sa maîtresse s'accroupir devant elle pour lui baisser sa culotte jusqu'aux genoux. La maid s'attendait à quelque chose de délicieux, et elle ne fut pas déçue quand elle sentit un gode de bonne taille s'enfoncer dans son vagin. Finalement, sa maîtresse remonta sa culotte pour maintenir le jouet en place et lui expliqua en quoi allait consister cette partie du dressage.
-Voilà la consigne est simple, tu ne dois jamais le retirer. Tu le garde tout le temps en toi et ça jusqu’à ce que je décide moi de te l’enlevé. Ce qui peut arriver d’ici plusieurs jours.
Enfin ça c’est en temps normal, pour toi sa serra jusqu’à demain ou tu viendras me retrouvé à la même heure pour que je te le retire. En attendant tu fais ta vie et ton devoir normalement. Tu as le droit de jouir, mais ça ne doit pas te ralentir sur ton travail, même si tu as les cuisses trempées.
« Nnnyyyuuu... »
Tenir jusqu'à demain sans le retirer ? Karuta commença réellement à s'inquiéter, non pas parce que l'exercice ne lui plaisait pas, mais parce qu'elle n'était pas sûre de réussir. Elle en était encore à découvrir le sexe, son corps était plutôt sensible, alors comment allait-elle bien pouvoir tenir avec un gode aussi imposant qui vibrait dans son minou ?
« Aaahhh... maîtresse... mmmrrraaawww... il est si bon. »
Rosa eut droit au même traitement, Karuta se sentit même excitée de la voir se faire baisser le string par Evangleine pour être fourrée à son tour. Mais contrairement à elle, la démone semblait avoir l'habitude, ce qui paraissait normal vu qu'elle avait été dressée de cette façon.
« Haaannn... je... aaahhh... »
La maid commençait à sentir ses jambes trembler. Le plaisir était si grand, il inondait son corps et lui donnait tout le temps envie de couiner. Sa mouille coulait abondamment dans sa culotte, ainsi que le long de ses jambes. Et avant même que sa maîtresse ne puisse lui donner ses nouveaux ordres, elle jouit et ses jambes perdirent leur force, au point qu'elle tomba par terre, atterrissant lourdement sur les fesses.
« Aaahhh... nnnyyyaaa... »
Même après cet orgasme, Karuta n'avait aucun instant de répit, le gode continuait de vibrer en elle. Elle pensait qu'elle ne pourrait jamais travailler comme d'habitude avec cette chose logée en elle, mais elle savait qu'elle devait y arriver si elle ne voulait pas désobéir à sa maîtresse. Elle alla donc demander un conseil à quelqu'un qui avait plus d'expérience qu'elle pour ce genre de défi.
« Rosa... hhhmmm... comment tu fais... pour avoir l'air... aussi calme ? »
-
Evangeline regarda Karuta qui déjà venais de jouir et de tombé sur les fesses. Elle n’était bien sûr pas habituée à tout ça. Mais bon elle ne plaint pas et s’approcha même de Rosa pour lui demander conseil. Avant de laisser la démone lui répondre c’est Evangeline qui parla.
-Ne t’en fait pas si tu ne tiens pas facilement, c’est la première fois que tu te retrouves comme ça. Je t’accorde de te reposer quand tu sens que c’est trop et si tu sens que tu risques à nouveau de transformé de le retiré. Si tu penses ne pas tenir est que tu comptes abandonné, tu viendras me voir et on stoppera tout, contre une punition.
Bien sûr, Evangeline aimais son esclave et donc la punition ne serais pas trop sévère non plus. Elle caressa la joue de son chaton, puis les fesses de sa démone avant quitté la pièce et de les laisser toutes seules.
Rosa s’approcha alors de Karuta pour revenir à sa demande. Elle lui fit un sourire pervers avant de répondre.
-J’ai surtout l’habitude, j’ai toujours était nymphomane et plus j’ai subi un dressage intense d’esclave sexuel. Je doute que tu tien même une journée. Mais je vais te donner quelque conseil quand même.
Elle passa la mains sous la robe de la maid et attrapa la gode à travers sa culotte et commença à le remué en elle.
-Première chose, quand tu sens que tu es pas loin de venir, fait une courte pause et masturbe toi avec. Quand le plaisir viens et que l’excitation retombe sa fait un coup de vide qu’il vaut anticiper soit même, mais aussi ça permet de se remettre un peu par la suite.
Elle la goda encore un peu avant de stoppé le mouvement et de reprendre.
-Maitresse a dit que tu n’avais pas le droit de le retiré toi-même ce qui inclus aussi de le demandé à quelqu’un d’autre, mais si ça vient de la personne elle-même tu peux te le laisser enlever. Par contre il faudra le remettre en place quand la situation le permettra. Aussi si tu ne peux pas le retiré, tu peux le manipulé et donc faire ça.
Tenant toujours le gode de rosa dans sa mains, elle poussa le bouton et désactiva la vibration.
-Le but de se dressage, c’est bien sûr de te torturé sexuellement, mais aussi de renforcé ton endurance sexuel, mais surtout à savoir comprendre ce qu’un ordre te permet ou non.
-
Karuta se demandait comment elle allait faire pour tenir toute une journée avec ce gode dans la chatte. Evangeline la rassura en lui disant qu'elle aurait le droit de se reposer si la tension devenait trop forte, et qu'elle pourrait aussi se le faire enlever avant la fin du temps imparti. Contre une punition.
Non. Je tiendrai. Je sais que je tiendrai.
Elle pouvait également compter sur les conseils éclairés de Rosa. Elle lui expliqua qu'elle pouvait se masturber un bon coup quand elle se sentait proche de venir afin d'apaiser sa chaleur intérieure. De plus, leur maîtresse lui avait dit qu'elle n'avait pas le droit d'enlever le gode elle-même, mais quelqu'un d'autre pouvait le lui retirer s'il en avait envie. Enfin, elle avait le droit d'éteindre la vibration. Le but de ce dressage n'était pas seulement de développer son endurance sexuelle, cela devait aussi lui apprendre à comprendre ce qu'un ordre lui permettait ou non.
« Hhhmmm... je vois. Dans ce cas... ooohhh... je ferai... de mon mieux. »
La démone doutait que la maid puisse tenir plus d'une journée, mais cette dernière était très motivée. Une fois Evangeline partie, elle retourna se mettre au travail. Le manoir n'allait pas se nettoyer tout seul.
Après une heure de ce petit jeu, Karuta était déjà très remuée. Même avec la vibration éteinte, la présence de ce sextoy dans son antre intime se faisait sentir. Elle avait dû faire une pause dans le nettoyage pour pouvoir se masturber et évacuer la chaleur qui bouillonnait en elle. Mais plus le temps passait, plus elle parvenait à s'y faire. Selon elle, ce n'était qu'une question de temps avant qu'elle ne soit pleinement efficace dans cette situation.
Alors qu'elle faisait la poussière dans un couloir, Karuta croisa les filles adoptives d'Evnageline, Marie et Marion. Les souvenirs de son dernier coït avec elles lui revinrent en mémoire, et elle ne put s'empêcher de rougir en les voyant. Cependant, elle n'oublia pas de les saluer en s'inclinant respectueusement comme devait le faire une servante. Restait à voir si les jumelles allaient remarquer sa présence ou passer leur chemin comme si de rien n'était.
-
Rosa sourit intéressé par la situation de Karuta et compte bien suivre ses exploits. EN attendant quand celle-ci quitta sa chambre, Rosa sortie aussi pour reprendre son quotidien d’esclave et rejoindre la pièce où elle attendra que quelqu’un l’utilise.
Pendant ce temps Marie et Marion les deux filles adoptive d’Evangeline et donc les personnes les plus importante du manoir après leur Mère, sortait de leurs leçons. Bien qu’elles étaient proches de leurs 16ans, elles continuaient à recevoir une éducation particulière. Surtout que leur mère pouvait leur offrir un riche avenir dans son propre pays. En attendant les leçons était finit pour aujourd’hui et elles marchaient dans le couloir quand elles croisèrent Karuta qui naturellement s’arrêta dans son travail pour les saluer. Les deux jeunes filles s’arrêtèrent devant elle avec le sourire.
-Oh le chaton de Mère…
-Pourquoi elle rougie ?
Curieuse les deux l’observèrent en s’approchant.
-Tu te sent bien chaton ?
-Peut être que le chaton à ses chaleurs ?
-Dit nous tout petit chaton !
Les deux s’approchèrent prés, très près les yeux plein de malice.
-
Karuta salua les jumelles en essayant de rester la plus neutre possible, mais ces dernière remarquèrent vite que le chaton de leur mère rougissait. Elle s'approchèrent donc d'elle en l'observant et en l'interrogeant sur ce qui n'allait pas. Marion supposait que le chaton avait peut-être ses chaleurs, et Marie insisitait pour qu'elle leur dise tout. Alors évidemment, la maid ne pouvait pas refuser.
« Maîtresse Evangeline... m'a mis un gros gode dans la chatte. Il faut que je travaille... avec ce jouet en moi... jusqu'à demain. Mais dès que je bouge... nnnyyyuuu... je le sens dans mon intérieur... hhhmmm... et ça me donne chaud. »
D'ailleurs, avoir les filles d'Evangeline aussi près d'elle ne l'aidait pas à se calmer. Karuta voyait la malice qui pétillait dans leurs yeux, comme si elles cherchaient une occasion de la manger toute crue, et cela l'excitait.
« Nnnyyyuuu... vous sentez très bon... maîtresses. »
Elle avait dit ça sans réfléchir, et réalisa rapidement qu'elle avait outrepassé son rôle de servante, alors elle se dépêcha de s'excuser.
« Pardon, je n'aurais pas dû dire ça. Je suis vraiment désolée. »
Plus elle restait proche des jumelles, plus la jeune fille avait du mal à retenir ses envies. Elle s'imaginait déjà avoir droit à un nouveau coït entre leurs mains, miauler de tout son souffle en prenant son pied, et se faire prendre grâce au gode logé au fond d'elle.
« Mmmrrraaawww... je sais que ce n'est pas bien mais... ooouuuhhh... j'ai très envie... de faire l'amour... avec vous. »
-
Les deux sœurs regardaient avec malice la petite servante face à elles. Cette dernière rougissait, et pour les deux jeunes filles, c’était évident que ce n’était pas sans raison. Karuta leur expliqua alors ce que leur mère lui avait fait et ordonné. Les deux se mirent à sourire, connaissant bien cette pratique.
-Oh je comprends pourquoi elle est toute rouge alors.
Les deux étaient proche du petit chaton, au point de la perturbé et lui faire dire qu’elles sentaient bon. Oui les deux jeunes filles prenaient grand soin d’elle et leur odeur aussi importante que leur apparence. Se rendant compte de ce qu’elle venait de dire, elle s’excusa rapidement. Avec le sourire Marie lui passa une main sur la joue.
-Se n’es pas grave petit chaton.
-Tu as le droit d’aimer l’odeur de tes Maitresses.
Mais la maid ne s’arrêta là avouant même qu’elle avait envie de faire l’amour avec elles. Marie et Marion se regardèrent un peu surprise, pas par son envie, mais d’osé leur dire comme ça. Puis elle sourirent avant de répondre finalement.
-Hum, tu devrais faire attention à dire des choses comme ça.
-Heureusement on est gentille.
Marion s’approcha alors sortant de son sac une laisse. Elle lui accrocha alors au collier d’esclave de Karuta.
-Tu as pas du travail à finir ? Voilà ce qu’on te propose.
-Soit, tu vas continuer à travailler pendant qu’on s’occupe de toi, il vas falloir géré les deux.
-Soit tu viens avec nous et tu devrais rattrapé ton retard par la suite.
-
Karuta se rendit vite compte que la façon dont elle avait avoué son envie aux filles d'Evangeline n'était pas convenable. Heureusement, Marie et Marion la rassurèrent en lui disant qu'elles étaient gentilles. Marion sortit une laisse qu'elle attacha au collier de la maid et lui proposa de les suivre pour avoir ce qu'elle voulait, mais elle devrait rattraper son retard dans le travail ensuite. Sinon, elles pouvaient s'occuper d'elle ici pendant qu'elle faisait son ménage. Et elle ne savait pas quoi faire.
« Nnnyyyuuu... je ne sais pas... Maîtresses. »
Elle ne pouvait pas négliger son travail pour assouvir ses pulsions primaires, mais maintenant que les filles de sa maîtresse le lui avait proposé, elle se voyait mal refuser l'idée. De plus, elle n'était pas encore assez bonne pour réussir à se concentrer suffisamment pour faire son travail tout en recevant une bonne dose de plaisir sexuel.
« Je ne peux pas... laisser le travail non terminé. Que dirait... mmmrrraaawww... maîtresse Evangeline ? »
D'un autre côté, elle serait tout aussi agacée de la voir bâcler son travail. Mais finalement, l'appel du devoir fut le plus fort pour elle.
« Maîtresses... si vous le permettez... mmmrrraaawww... j'aimerais continuer mon travail... pendant que vous vous... occupez de moi... nnnyyyuuu... pour voir si j'arrive... à faire les deux en même temps. »
Même si elles lui avaient laissé le choix, c'était à Marie et Marion de décider si elles étaient d'accord pour câliner leur chaton au milieu des couloirs ou bien si elles voulaient malgré tout l'emmener dans leur chambre.
-
Marie et Marion regarda la jolie soubrette attendant de voir le choix qu’elle allait prendre. Laisser de côté son travail et venir avec elles dans leur chambre où tenté de travailler pendant que les deux allaient s’occuper d’elle. Ou alors continué à travailler pendant que les deux sœurs joueraient avec son corps. Après hésitation Karuta fit le second choix de travailler en même temps pour ne pas prendre de retard. Les jumelles se regardèrent avec le sourire, bien qu’elles avaient des idées pour la chambre, pour ici aussi il y avait de quoi faire.
-D’accord petit chaton.
-Reprend ton travail, on vas bien s’occuper de toi.
Marion relâchât la laisse qui resta à pendre au cou de la jeune fille. Puis elles la laissèrent reprendre son nettoyage. Quand elle fut en position favorable, Marie s’accroupit dans son dos. D’une main elle releva le bas de sa robe et de l’autre baissa juste un peu se culotte. Juste de quoi faire voir ses fesses, sans pour autant la baisser et laisser en place son gode que leur mère lui avait imposé. Elle commença alors à se sucer les doigts. En même temps Marion venait de poser ses mains sur les siens de Karuta et commença à les malaxé. Puis finalement Marie avec les doigts qu’elle venait de sucée, elle les glissa entre les fesses de la jeune fille, s’enfonçant petit à petit en elle, puis débuta alors des vas et viens dans son cul.
-
Karuta, qui ne voulait pas prendre de retard sur ses corvées, décida de profiter de la compagnie des jumelles en restant dans les couloirs pour pouvoir travailler en même temps. Marie et Marion acceptèrent, et la maid reprit son travail. Elle sentit les mains de l'une des jeunes filles soulever le bas de sa robe et l'autre baisser un peu sa culotte, juste ce qu'il fallait pour dévoiler ses fesses. Le gode était toujours bien installé en elle. Au début, la servante qu'elle allait juste avoir droit à quelques caresses sur son petit cul, voir quelques fessées, mais Marie décida plutôt de lui enfoncer quelques doigts dans son entrée secrète, de quoi la faire frémir de surprise et de joie.
« Ooohhh... »
Et pendant ce temps, Marion décida de venir caresser ses seins, mais sans la déshabiller comme l'avait fait sa sœur.
« Nnnyyyuuu... »
Les filles étaient diablement douées. Chacune de leurs caresses faisait délicieusement frémir Karuta, qui avait bien du mal à se concentrer sur son travail, mais elle faisait de son mieux. Elle époussetait les étagères et le mobilier, nettoyait tout ce qui devait l'être, mais les multiples spasmes de plaisir qui traversaient son corps la faisaient travailler plus lentement.
« Mmmhhh... maîtresses... vos caresses... sont si bonnes... »
En avançant dans son travail, la maid arriva à une table sur laquelle se trouvait un chandelier. Elle enleva les bougies et commença à le lustrer avec son chiffon, mais elle finit par faire le rapprochement avec son jeu avec Rosa dans la chambre d'Evangeline. Ce chandelier était aussi long et rigide que les godes avec lesquels elle s'était amusée, et quand son esprit fit le lien, son corps commença à chauffer encore plus.
« Mmrraaww... aaahhh... »
Après seulement quelques minutes de caresses, Karuta se sentit atteindre l'orgasme, et sa mouille coula dans sa culotte ainsi que le long de ses cuisses. Marie et Marion semblaient très amusées par l'état de leur chaton, mais ce dernier s'inquiétait surtout des saletés qu'elle laissait sur le sol.
« Oh non... nnnyyyuuu... il faut que je nettoie ça. »
Restait à savoir si les jumelles allaient la laisser faire.
-
Marie et Marion s’amusaient beaucoup, jouant avec le corps de Karuta pendant que cette dernière faisait son ménage. L’une c’était attaqué à son cul, la caressant, le doigtant et allant même jusqu’à le lécher, pendant que ça sœur elle jouait avec ses seins, les malaxant, les pinçant et même les tétant. Elles s’amusaient tout autant du plaisir qu’elles donnaient à la soubrette qu’au fait de la voir tenté d faire correctement son travail ralenti pourtant par ce qu’elle subissait. Si bien qu’avec en plus le jouet que lui avait imposé sa mère, Karuta était totalement trempé mouillant ses jambes et sa culotte. Quand cette dernière finit par jouir, elle en avait même laissé des traces au sol.
-Hum voilà qu’elle en met partout.
-Elle finira jamais comme ça.
Toute les deux la lâchèrent la laissant nettoyer le sol, la regardant avec un regard pervers. Il était évidant que les jumelles s’amusaient beaucoup de tout ça.
-On vas te laisser avec ton gode pour finir ton ménage.
-Evite de te ralentir toute seule.
Les deux se mirent à rire, puis reprirent la marche lui laissant toujours la laisse autour du cou. Puis arrivé au bout du couloir, elles s’arrêtèrent et se tournèrent de nouveau vers la petite soubrette.
-Oh j’ai une idée.
-Je pense avoir la même.
-Quand tu auras finit, viens t’occupé de notre chambre.
De nouveau avec un petit rire enfantin, elles partirent laissant à l’imagination de Karuta se qui l’attendait vraiment.
Plus tard les deux sœurs étaient dans leur chambre. Une belle chambre de princesse, lit à rideau, une belle coiffeuse, de belles armoires et jolie vêtements. Marie et Marion étaient allonger sur leur lit, les deux en nuisette l’une bleu et l’autre rose et en culotte avec des bas blancs. Elles étaient à la fois sexy et mignonnes ainsi et discutaient entre sœur tranquillement la porte ouverte.
-
Karuta commençait un peu à regretter de s'être laissée aller au plaisir avec Marie et Marion. Si elle continuait à salir le sol avec sa mouille, jamais elle ne pourrait terminer son ménage. Heureusement, ses maîtresses étaient compréhensives et elles la laissèrent faire son travail. Repartant vers leur chambre, elles s’arrêtèrent juste un moment pour dire à leur maid de venir les rejoindre une fois qu'elle aurait terminé de nettoyer les couloirs.
« Bien maîtresses. »
La jeune fille ne pouvait qu'imaginer ce qui l'attendait, mais le gode toujours logé dans sa chatte poussait plutôt son esprit à se représenter des scènes érotiques. Peut-être que les jumelles allaient l'attacher à leur lit, ou bien lui faire nettoyer leur chambre toute nue, ou juste jouer avec elle comme elles le feraient avec un petit chat. En tout cas, quelque soit le scénario qu'elle envisageait, il se terminait toujours par un orgasme délicieux, et elle en mouillait d'avance.
A cause de l'excitation qui parcourait sans cesse son corps, Karuta eut un peu de mal à bien avancer dans le ménage. Dépoussiérer les meubles, nettoyer le sol, ranger les étagères... la moindre action d'ordinaire simple lui demandait une grande concentration pour qu'elle ne risque pas de faire un faux mouvement et de casser quelque chose. Finalement, il lui fallut presque trois heures pour faire le travail qui lui restait, un travail qu'elle aurait pu accomplir en une heure si elle n'avait pas eu ce jouet sexuel entre les jambes. Elle commençait vraiment à le trouver gênant.
Une fois ses corvées terminées, Karuta se rendit dans la chambre de Marie et Marion, comme ces dernières l'avaient ordonné. En arrivant, elle eut le plaisir de voir ses maîtresses très légèrement vêtues. L'une portait une nuisette bleue, l'autre une nuisette rose, toutes deux étaient en culotte avec des bas blancs. Elles étaient à la fois sexy et mignonnes, les culottes et les bas étaient bien couvrants là où les nuisettes étaient quasiment transparentes et où la jeune fille pouvait facilement deviner les contours de la poitrine de ses maîtresses. Elle prit aussi le temps d'observer la chambre des sœurs, une belle chambre de princesse avec un lit à rideau, une coiffeuse, des armoires sans doutes pleines de superbes tenues et quelques vêtements laissés bien en vue.
La maid entra timidement dans la pièce. Revoir les jumelles après le petite interlude coquin qu'elles lui avaient donné la rendait toute chose, et leurs tenues légères n'arrangeaient rien.
« Alors maîtresses... nnnyyyuuu... que dois-je faire ? »
Est-ce qu'elle était là pour ranger ou pour jouer ?
-
Les deux sœurs qui discutaient ensemble, regardèrent alors la jeune soubrette rentrée dans la chambre. Ce n’était pas la première fois qu’elle y venais, mais cette fois elle y était venue sur demande. La pauvre semblait un peu plus fatiguer que d’habitude et avec ce qui l’attendait pas sûr que ça s’arrange. Les jumelles se levèrent du lit et viens lui prendre chacune une main pour l’attiré dans la pièce.
-Tu vas jouer un peu avec nous, et après on dira à mère qu’on t’as fatiguer et qu’il faut que tu te reposes.
-Comme ça tu serra tranquille jusqu’à demain matin, c’est gentil non ?
Elles lui lâchèrent la main, puis retournèrent sur le lit s’allongeant toute les deux. Les deux étaient installés sur le ventre de façon parfaitement symétrique.
-Tu vois la boite sur la coiffeuse ?
Sur le petit meuble, se trouvait une élégante boite joliment décoré, posé bien évidence dessus.
-Ouvre là et prend ce qu’il y a devant.
Marie et Marion la suivirent du regard, l’observant l’ouvrir et découvrir l’intérieur. Dedans se trouvé posé sur un coussin de soie, un gode ceinture de belle manufacture.
-Tu vas le mettre et nous prendre toute les deux.
-Nous on bouge pas, c’est à toi de joué.
-
Une fois dans la chambre des jumelles, Karuta fut prise par la main et ses jeunes maîtresses lui expliquèrent qu'elle allait jouer un peu avec elles. Ensuite, elles iraient voir leur mère pour lui expliquer que le petit chaton était fatigué et avait besoin de repos. Comme ça, elle sera tranquille jusqu'au lendemain matin.
« Mmmrrraaawww... merci maîtresses... c'est très gentil. »
Suivant les consignes des filles d'Evangeline, Karuta alla ouvrir la petite boîte joliment décorée qui se trouvait sur la coiffeuse. A l'intérieur, il y avait un gode-ceinture posé sur un coussin de soie, ce qui donnait un certain niveau de luxe pour un jouet sexuel. Pour plus de confort, elle enleva sa culotte avant d'enfiler le jouet sexuel. Elle eut un peu de mal à attacher convenablement les sangles autour de sa taille à cause de tous les spasmes qui la parcouraient, mais une fois équipée, elle retourna voir les jumelles, excitée comme une puce et prête à se dépasser pour elles.
« Aaahhh... laquelle... veut passer... en premier ? »
Mais c'était à elle de prendre la décision. La maid hésita pendant un moment, les jumelles étaient toutes les deux magnifiques dans leurs nuisettes, leurs culottes et leurs bas blancs. Mais finalement, elle porta son choix sur Marion. Elle préférait le rose au bleu.
Karuta s'installa au-dessus du corps de Marion et passa quelques secondes à observer son joli corps. On aurait dit une poupée avec sa silhouette fine, sa peau lisse absente de toute imperfection et son élégant visage. Ensuite, elle posa ses mains sur son bassin, pelotant ses petites fesses dodues juste comme il fallait. Elle sentait le tissu délicat de sa culotte et le moelleux de sa chair sous ses doigts, c'était un vrai plaisir de la caresser.
« Hhhmmm... nnnyyyaaa... »
Après avoir bien caressé le derrière de son amante, la maid attrapa les bords de sa culotte et la lui retira avec délicatesse. Ses fesses étaient encore plus jolies une fois nues. La jeune fille se laissa guider par ses pulsions et alla lécher ces deux bosses rebondies, douces et chaudes. La peau de sa maîtresse n'avait aucun goût, mais elle lui semblait pourtant délicieuse.
« Gggrrrooouuu... »
Et finalement, elle fit ce que les jumelles attendaient : elle écarta les jambes de Marion et fit entrer son gode-ceinture dans son vagin. Grâce au sextoy toujours logé en elle, la maid prenait son pied sans avoir besoin d'un autre stimulus, elle devait juste donner le plus de plaisir possible à ses jeunes maîtresses.
« Maîtresse Marion... je... hhhmmm... je n'ai encore... jamais fait ça... alors... ooohhh... pardon si je le fais mal. »
Karuta plaça ses mains sur le matelas du lit, de part et d'autre du corps de Marion, et elle commença à bouger son bassin pour pénétrer son amante. Tout ce qu'elle espérait à présent, c'était que sa maîtresses soit contente de sa façon de faire.
-
Les deux sœurs allonger sur leur lit, regardaient donc la jeune soubrette enfiler son gode ceinture avec toujours son gode en elle qui la faisait toujours frémir. C’était amusant à la regardé ainsi prise tout en devant les prendre. Le chaton fin prête, s’approcha leur demandant par laquelle elle devais commencer. Les jumelles se contentèrent de répondre par un gloussement parfaitement synchronique. C’était à elle de choisir et elle s’approcha donc de Marion pour commencer. Elle ut la bonne idée de pas y aller tout de suite, venant pour débuter caresser les fesses de sa Maitresse, jouant un peu avec venant même les lécher. L’effet fut rapide pour excité les deux sœurs qui déjà s’embrassaient délicieusement.
Finalement Karuta se lança et finit par pénétré doucement Marion avec son jouet. La soubrette préféra prévenir qu’elle n’avait jamais fait ça, et s’excusa si c’était mal fait. De nouveau les jeunes filles se mirent à gloussé.
-Si tu t’y prend mal, tu auras qu’à revenir t’entrainé sur nous demain.
-On t’entraina à bien te servir de ce genre de jouet. Mère serra contente si elle te demande de la faire.
Marion s’entait l’objet remué dans son intimité, pour l’instant ça se passait bien, mais comment la soubrette allait elle finir ? Se laisser prendre par l’excitation et finir rapidement ? Sauvagement ? Tout en douceur ? Es qu’elle resterait concentrée sur elle ou se servirait elle de ses mains sur Marie ? En tout cas l’une comme l’autre se contentaient de resté allonger à s’embrassé de temps en temps et savouré ce que faisait Karuta prête à la guidé si vraiment elle en avait besoin.
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Karuta avait peur de mal s'y prendre vu que c'était la première fois qu'elle portait un gode-ceinture, mais Marie et Marion semblaient plutôt confiantes dans les capacités de leur servante. Si elle n'y arrivait pas tout de suite, elle pourrait revenir s'entraîner sur elles le lendemain. En plus, leur mère serait heureuse de voir qu'elle sait s'y prendre avec ce genre de jouet.
Je peux rendre... maîtresse heureuse... avec ça ? Ooouuuiii !
La maid était folle de joie d'entendre ça. Rien que de se dire qu'elle pourrait faire plaisir à Evangeline en apprenant à utiliser ce nouveau jouet, cela lui donnait plus d'énergie pour faire l'amour à Marion. Mais apprendre à manier cet engin allait lui demander une certaine adresse.
Karuta commença par bouger doucement son bassin d'avant en arrière, essayant de trouver le bon rythme pour pénétrer Marion. Elle délogea le gode-ceinture de son intimité plusieurs fois en se retirant trop, elle tâtonnait et hésitait sur la façon dont elle devait s'y prendre, mais plus elle allait et venait, plus elle comprenait ce qu'elle devait faire pour donner du plaisir à son amante.
« Hhhmmm... nnnyyyaaa... »
Après un début un peu chaotique, la petite chatte trouva peu à peu son rythme de croisière. Elle allait et venait dans l'antre intime de sa maîtresse avec son gode-ceinture en faisant des mouvements amples et pas trop rapides pour bien savourer la sensation du corps de sa maîtresse frémissant à chaque fois que le gode s'enfonçait en elle. A mesure qu'elle prenait confiance en elle, elle accélérait un peu, mas toujours en faisant attention de s'enfoncer profondément dans la chatte de son amante. Elle sentait que c'était ce qui aimait le plus.
« Aaahhh... ooouuuiii... »
Avec le plaisir qui montait rapidement dans son corps, Karuta avait de plus en plus de mal à faire preuve de précision dans ses gestes. Elle continuait de taper profondément dans l'intimité de Marion, mais elle délaissa peu à peu les mouvements langoureux pour accélérer et bourrer sa maîtresse. Elle miaulait comme une salope en chaleur, et ses mains caressaient la peau douce de son amante.
« Nnnyyyuuu... maîtresse... ggrroouu... c'est... trop... bon ! »
Entre les mouvements d'allée et venue dans le corps de Marion et les vibrations du gode logé dans sa chatte, Karuta ne tint pas longtemps avant de jouir. Sa mouille jaillit de son antre, coulant tout autour des sangles de son gode-ceinture, et la jeune fille couina de joie pendant de longues secondes avant de sentir le plaisir passer. Elle se délogea ensuite de l'antre de sa maîtresse, sans savoir si elle avait réussi à la faire jouir.
« Alors... aaahhh... vous êtes contente... maîtresse ? »
-
Marion resta allonger à sentir le gode la pénétré et commencé à bouger en elle. C’était un peu maladroit au début, mais elle trouva rapidement son rythme. Marie resta allonger à côté de sa sœur, elle était dispo pour se faire toucher aussi en même temps, mais Karuta resta concentré sur Marion, après tout pour une première fois c’était surement préférable. Elle se contenta d’embrassé sa sœur et la regardé prendre son plaisir. L’une comme l’autre ne fit pas de commentaire durant l’acte, se contentant de gémir et de s’embrassé langoureusement. Il était évident que les deux sœurs avaient une relation plus intime que de simples sœurs.
Finalement Karuta finit par jouir se retirant de Marion demandant ce qu’elle était contente. Marion se retourna et posa une de ses mains sur son bas ventre. Elle souriait se qui montrait déjà qu’elle avait apprécier le moment
-Hum pour une première fois c’était pas mal. Mais il va falloir venir t’entrainé un peu plus.
-Par contre ne t’arrête pas quand toi tu as joui, tu fais ça pour le plaisir de tes Maitresses, pas pour toi.
Leur ton était plus celui du conseil que de la réprimande. Le petit chaton était pas mal apprécier de la mère comme de ses filles, toutes les trois ne se montrait pas si dur avec elle qu’avec d’autre. Marie se coucha sur le lit pour profiter à son tour. Après tout l’ordre était de s’occupé des deux sœurs. Marion s’approcha alors de Karuta et l’enlaçant dans son dos pour venir lui glisser à l’oreille.
-Tu veux que je t’aide pour ma sœur ?
Sa voix était excité, il était évident qu’elle avait une idée derrière la tête en lui proposant ça.
-
Ayant encore peu d'endurance sexuelle, Karuta avait joui avant Marion, qui lui dit qu'elle était contente de sa performance mais qu'elle allait devoir s'entraîner un peu plus pour être à un bon niveau. De plus, Marie lui rappela qu'elle ne portait pas ce gode-ceinture pour son plaisir, mais pour celui de sa partenaire, et qu'elle ne devait pas arrêter de la pénétrer avant qu'elle n'ait joui.
« Nnnyyyuuu... bien maîtresses. Et pardon maîtresse Marion... de ne pas vous avoir faute jouir. Oouuhh... »
La maid se sentait forcément un peu déçue de ne pas avoir assuré, mais la façon dont ses maîtresses lui parlaient lui faisait bien comprendre qu'elles disaient ça pour la conseiller, pas pour la critiquer. Elle eut ensuite l'occasion de s'exercer à nouveau, quand Marie se coucha à son tour sur le lit pour se faire prendre par leur servante.
« Mmrraaww... »
Comme pour Marion, Karuta commença par jouer un peu avec ses fesses et sa culotte. Elle caressait et pressait ces deux bosses de chair rebondies, savourant leur douceur et leur moelleux, tout comme la douceur du tissu de la lingerie fine qu'elle portait. Ses caresses avaient pour but de bien exciter la demoiselle avant qu'elle ne commence à la pénétrer.
« Hhhmmm... »
Après lui avoir bien caressé les fesses, Karuta enleva la petite culotte de Marie et utilisa sa bouche pour aller flatter ce joli derrière. Des baisers, des léchouilles, et même des petites morsures du bout des dents. L'excitation la rendait audacieuse et joueuse, ce qui était normal pour un chaton comme elle.
Finalement, après s'être bien échauffée, la maid guida son sexe en plastique vers l'entrée intime de Marie. A ce moment, elle sentit Marion se coller dans son dos et lui proposer son aide pour baiser sa sœur. Son ton était assez excité, la jeune fille en avait des frissons juste en l'écoutant.
« Nnnyyyuuu... oui maîtresse Marion. Je serais ravie... d'avoir votre aide. »
Mais en quoi cela consistait-il ? Vu la façon dont elle l'avait dit, elle n'allait pas se contenter de lui donner des conseils oraux, elle voulait faire quelque chose de plus érotique.
-
Karuta était partie pour une deuxième chance avec l’autre jumelle. Elle commençait à s’occuper de ses fesses pour la préparé, même si après tout ce qu’avait ut Marion avant elle, l’avait déjà bien excité. Marie se laissait faire, appréciant les mains et la langue du chaton. Mais alors que Karuta allait commencer à la pénétré, Marion l’enlaça par derrière, venant lui proposé de l’aide pour s’occuper de sa sœur. Alors que le chaton accepta, les jumelles se mirent à gloussé, puis Marion la relâchât.
-Je te laisse commencé alors.
Marion se retourna et passa une mains sous le lit et se leva dans son dos pour que le chaton ne vois pas tout. Elle sorti alors un autre gode ceinture qu’elle enfila à son tour. De nouveau dans le dos de Karuta, elle lui souleva la robe, mis de la crème sur le gode, puis se libéra la place vers les fesses du chaton.
-Laisse toi faire.
Elle se glissa doucement en elle, passant par derrière après tout devant il y avait toujours le jouet qui lui avait imposé leur mère. Elle s’enfonça jusqu’au bout puis reprit avec excitation.
-Bouge avec moi et fait jouir Marie cette fois.
Marion commença alors à bouger dans les fesses de Karuta pour la guidé dans ses propres mouvements pour prendre sa sœur.
-
En acceptant l'aide de Marion, Karuta savait qu'elle allait avoir droit à plus que des conseils sur la bonne façon de baiser sa sœur, mais elle ne s'attendait pas à ce qui allait suivre.
Marion la laissa commencer en douceur, et la maid se mit à pénétrer l'intimité de Marie. Encore une fois, elle sentit le gode logé en elle bouger au rythme de ses vas-et-viens, lui donnant beaucoup de plaisir. Mais cette fois, pas question qu'elle s'arrête avant d'avoir fait jouir sa maîtresse. Du moins, c'était ce qu'elle pensait avant que l'autre jumelle ne revienne se mettre dans son dos. La jeune fille sentit sa robe être soulevée, et une chose dure vint caresser ses fesses. Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre ce que c'était, et ce qui allait lui arriver.
« Nnnyyyuuu... »
Quand Marion commença à faire entrer son gode-ceinture dans son anus, Karuta sentit tous les muscles de son corps se tendre. Elle n'était pas habituée à ce genre de pratique, et sa rondelle encore vierge se dilata énormément sous le passage du sexe en plastique de sa maîtresse. Cette dernière prit son temps et fit de son mieux pour rendre la chose aussi agréable que possible. Et une fois logée au fond d'elle, elle lui demanda de bouger avec elle pour faire jouir Marie.
« Aaahhh... bien... maîtresse. »
La maid se remit à bouger avec sa maîtresse, enfonçant profondément son gode dans l'intimité de Marie, se régalant des sensations dans sa chatte et des couinements de plaisir de la demoiselle qu'elle baisait. Au début, avoir un sexe dans le cul ne la mettait pas à l'aise, mais plus le temps passait, plus les sensations s'unissaient en elle pour donner un sentiment complet de plaisir.
« Aagghh... hhhmmm... nnnyyyuuu ! »
Karuta se laissa peu à peu emporter par toute l'excitation qui la gagnait, et elle la laissa s'exprimer à travers l'intensité de ses pénétrations. Toujours en suivant le rythme donné par Marion, elle allait et venait dans l'antre humide de Marie, tapant aussi profondément qu'elle le pouvait avec son faux sexe pour donner un maximum de plaisir à son amante. Son endurance était mise à rude épreuve pour qu'elle ne jouisse pas trop vite et qu'elle puisse donner à sa jeune maîtresse le plus de plaisir possible. Elle ne savait pas si elle serait capable de retenir son orgasme avant d'en donner un à Marie, mais une chose était sûre : elle n'arrêterait pas de la sauter tant qu'elle n'aurait pas réussi à la faire jouir. Elle espérait juste que tous ces efforts n'allaient pas la faire tomber dans les pommes.
-
Marion s’amusa de la situation tout autant que Marie. Avec son gode ceinture, elle prenait la petite soubrette par les fesses s’enfonçant bien profondément dans cul, pendant qu’elle-même pénétrait alors avec le sien le sexe de Marie. Les mouvements qu’elle faisait, les vas et viens entres les fesses de Karuta, marquait le rythme pour ses propres mouvements pour prendre sa sœur.
-Comment tu trouves Karuta ? Nous prendre ainsi toutes les deux ?
-A moins que tu préfères, que ce soit nous qui te prenons toute les deux en même temps ?
Bien sûre, Karuta était l’esclave ici, et elles étaient les maitresses, mais ça ne les empêchaient pas de s’intéresser à ce qu’elle préférait, bien qu’elles agiraient toujours comme bon leur semblaient. Marie gémissait de plus en plus à sentir les mouvements en elle, avec le poids des deux filles contre elle.
-Si mère te prenait pas tant en affection…
-C’est à nous que tu appartiendrais petit chat.
Marion sentant sa sœur proche de venir, elle poussa doucement Karuta pour l’allonger sur Marie et se pencha sur elle aussi, mais sans lui monté dessus. Ses dernier mouvement dans son cul était là pour finir de faire jouir sa sœur.
-Aller petit chat, c’est bientôt finit.
-
Prise en sandwich entre Marie et Marion, Karuta s'amusait beaucoup. Son anus devait encore s'habituer à la sensation d'avoir un gode logé dedans, mais elle aimait cette sensation. Ses maîtresses l'interrogèrent d'ailleurs sur ce qu'elle préférait : faire l'amour aux jumelles avec un gode, ou bien se faire prendre par les deux en même temps.
« Eh bien... nnyyuu... si je devais choisir... ggghhh... je préférerais... me faire prendre... entre vous deux. Mais... aaahhh... je suis votre esclave alors... je ferai juste... ce que vous m'ordonnerez. »
Si elles avaient posé la question, c'était qu'elles s'intéressaient à ce que la maid pensait, mais cette dernière n'oubliait pas sa place pour autant. Elle était là pour servir et combler les désirs de ses maîtresses, ses propres envies passaient après. Mais d'après les filles d'Evangeline, le petit chat commençait à être pris en affection par sa maîtresse.
« Nnnyyyuuu... c'est vrai ? »
Cette nouvelle dessina un joli sourire sur le visage de la jeune fille, et elle se sentit envahie d'une énergie nouvelle. Une énergie qu'elle consacra à sauter sa jeune maîtresse.
A mesure que Karuta pénétrait Marie, sa sœur sentait l'orgasme venir. La maid se sentit poussée par derrière, et se retrouva allongée sur le corps de son amante tandis que Marion était à moitié penchée sur elle. Elle vint lui dire à l'oreille que la fin était proche et qu'elle devait mettre ses dernières forces dans la bataille.
« Aaahhh... oui maîtresse. »
La jeune fille rassembla son énergie et se lança dans un ultime assaut dans l'antre intime de sa maîtresse. Allant et venant à toute vitesse, essayant de taper aussi profondément que possible pour lui donner un maximum de plaisir, elle se donna à fond pour satisfaire les jumelles. Et finalement, ses efforts portèrent leurs fruits quand elle entendit Marie pousser un long couinement de délice.
« Nnnyyyuuu... j'ai... réussi ? »
Marion vint lui murmurer à l'oreille que sa jumelle avait joui et qu'elle avait rempli sa mission. Dès qu'elle entendit ça, Karuta s'écroula sur le corps de sa jeune maîtresse, incapable de se retenir plus longtemps. A mesure que l'adrénaline descendait, la fatigue gagnait du terrain. Elle était encore inexpérimentée et se fatiguait facilement, à tel point qu'elle ne se rendait même pas compte de l'offense que pourrait être une maid s'étalant sur le corps de sa maîtresse. Il fallait espérer que les jumelles ne seraient pas trop sévères avec leur chaton. Et si elles la laissaient comme ça, elle pourrait bien s'endormir.
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Marie avait fini par jouir à son tour dans un moment de plaisir intense. Elle fit descendre Karuta de sur elle. Marion s’amusa de voir la pauvre maid épuisé, surement qu’elle avait ut droit à sa dose de plaisir aujourd’hui. Marion retira son gode ceinture, puis sortie celui de Karuta, elle lui recala comme il faut le gode que leur Mère lui avait imposé et lui remonta sa culotte déposant une baisé sur les fesses de leur chaton.
-Aller on te libère petit chaton.
-Oui vas dormir, si on te demande tu dis que tu as des ordres.
Elles voyaient bien qu’elle était épuisé et qu’il fallait la laisser aller dormir. Chacune lui donnèrent un baiser avec la langue en gloussant avant de la poussé gentiment en dehors de la chambre et de refermé la porte. Karuta pouvait alors repartir et aller dormir dans son lit dans la pièce qui lui avait était attribué. Karuta avait plusieurs possibilités, sa chambre qu’elle avait à l’étage des servantes ou reprendre ses accessoires de chaton et aller dormir dans un panier dans le bureau de la Maitresse.
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Après avoir donné tout ce qu'elle avait pour satisfaire ses maîtresses, Karuta était fatiguée. Heureusement, Marie et Marion étaient compréhensives et n'allaient pas pousser leur chaton plus loin qu'elle ne le pouvait. Marie la fit descendre de son corps, Marion lui retira son gode-ceinture et le rangea, puis elles lui renfilèrent le gode qu'elle avait dans la chatte pendant son service et lui remirent sa culotte avant d'embrasser ses jolies fesses, ce qui la fit un peu frissonner.
« Mmrraaww... »
Karuta quitta la chambre des jumelles et se dirigea vers sa chambre à l'étage des servantes pour y retrouver son lit. En chemin, elle croisa d'autres servantes qui s'attelaient à leurs tâches quotidiennes, et qui étaient encore loin de l'heure du coucher. Mais en même temps, elles, elles n'avaient pas dû faire l’amour aux filles d'Evangeline pendant une heure. En arrivant dans sa chambre, la maid retira sa tenue et la rangea rapidement avant de s'étaler sur son lit. Trop fatiguée pour enfiler son pyjama, elle allait dormir en petite culotte, avec toujours le gode enfoncé dans sa chatte. Sa maîtresse lui avait dit qu'elle n'avait pas le droit de le retirer jusqu'à demain, donc elle supposait qu'elle devait dormir avec. A force, elle n'y faisait plus vraiment attention, et l'excitation ainsi que les orgasmes répétées ne firent que la fatiguer encore plus, jusqu'à ce qu'elle s'endorme profondément.
« Aaahhh... »
Le lendemain, Karuta fut réveillée par Echo, l'assistante personnelle d'Evangeline, qui lui informa qu'il était l'heure pour elle de se lever et de se préparer pour son service.
« Hhhmmm... »
La jeune fille avait bien dormi. Elle se leva doucement de son lit, prête à attaquer une nouvelle journée au service de sa maîtresse, mais elle sentit quelque chose de bizarre. Elle regarda vers son entrejambe et réalisa que les draps de son lit étaient mouillées. Elle paniqua pendant un court instant avant de réaliser qu'il s'agissait de cyprine. Elle avait probablement joui toute la nuit avec le gode toujours en place dans son antre.
« Je... je suis désolée. »
Echo lui assura que ce n'était pas grave, c'était la preuve qu'elle avait bien suivi les ordres d'Evangeline et qu'elle n'avait pas retiré le gode sans sa permission. Cela lui donna un sentiment de fierté. L'assistante de sa maîtresse lui dit qu'elle enverrait quelqu'un s'occuper des draps, que la seule chose qu'elle devait faire pour l'instant était de se préparer pour le travail.
« Bien... hhhmmm... maîtresse Echo. »
Karuta commença sa routine du matin. D'abord, un bon bain en compagnie des autres servantes, dont certaines s'amusaient de voir la jeune fille avec ce jouet sexuel dans son intimité ruisselante. Ensuite, elle enfila les sous-vêtements qu'on lui avait préparés, ainsi que sa tenue de maid. Elle se brossa les cheveux, se mit un peu de maquillage et demanda aux autres filles de vérifier que tout était bien. Ensuite, elle se rendit dans la salle commune pour prendre son petit-déjeuner, de quoi lui donner de l'énergie pour toute la journée.
« Merci pour le repas. »
Aujourd'hui, Karuta devait aller s'occuper des esclaves réduits à vivre comme des animaux. En arrivant dans leur lieu d'habitation, elle se rappela son passage ici. Sa maîtresse l'avait confiée à des dresseuses qui lui avaient appris à se comporter comme un vrai chat. Ça n'avait pas toujours été facile, mais au moins elle avait eu droit à un dressage doux, contrairement à certaines personnes ici, qui n'avaient même plus conscience de leur humanité et qui se prenaient vraiment comme des animaux. La maid commença par se rendre dans la zone des chiens, où les esclaves animaux l’accueillirent en aboyant joyeusement.
« Bonjour tout le monde. Je parie que vous avez très faim, hein ? »
La servante distribua à chacun sa gamelle de nourriture et d'eau. Une fois qu'ils auraient fini de manger et de boire, certains auraient besoin d'être promenés pour faire leurs besoins.
Alors qu'elle travaillait, Karuta vit tout à coup Evangeline arriver. Elle s'inclina devant elle.
« Bonjour maîtresse Evangeline. »
-
Le lendemain, comme tous les jours Echo passait dans les chambres de servantes. Le but étant de transmettre d’éventuelle consigne spécial du jour, ce qui n’était pas tout le temps le cas. Bien qu’un travail comme celui-là avait une forme de routine, les tâches et les lieux variait évitant une répétition constante. Le Manoir des Poupées, lui-même varié, des pièces s’ajoutait, se retiré, des étages entiers pouvait apparaitre. Pour autant de dehors le manoir restait le même, ce qui était déroutant quand on ne connaissait pas. Ainsi donc Echo était passé par la chambre de Karuta lui donnant ses taches du jour, tout en prenant note de son suivie des consignes de la veille. Elle laissa la soubrette se préparé et continua sa distribution des tâches avec les autres.
Un peu plus tard dans la matinée, Evangeline se rendit dans le jardin pour se promener, mais aussi dans le but de trouvé Karuta qu’elle savait en pleins travail. En chemin, elle avait croisé bien de ses servantes occupées aussi à leur tâche. Elle c’était aussi arrêté pour contrôlé l’entretien de ses précieuse roses. Finalement elle trouva Karuta occupé à nourrir les animaux. Ces derniers étaient en deux enclos, un dédier au humain réduit à l’état animal et l’autre au vrais chien. Parfois ils étaient mélangés également.
C’est avec le sourire qu’elle s’approcha de Karuta, la regardant avec douceur alors s’inclinait pour la salué.
-Bonjour Karuta. Alors pas trop fatiguer ? J’ai entendu dire que mes filles ont pris ton temps hier soir.
Ce n’était pas un reproche, au contraire ça l’amusait même, imaginant facilement le genre de chose que Marie et Marion est pu faire avec elle.
-Comment te sent tu ? Après avoir suivie la consigne que j’impose souvent à Rosa ? L’a tu toujours en toi ?
Si elle avait suivi la consigne elle, devait encore l’avoir. Elle attendait sa réponse, car en fait une petite idée lui était venue avec ce jouet. Pourtant ce n’était pas la première fois qu’elle imposait ce genre de chose. Peut-être que Karuta l’inspirait.
-
Evangeline salua Karuta et lui demanda si elle se sentait fatiguée après que ses filles aient pris une bonne partie de son temps hier.
« Oh non maîtresse, ça va. Je me sens... hhhmmm... bien. »
Elle lui demanda ensuite si elle avait bien suivi la consigne qu'elle lui avait donné, et si elle avait toujours le gode en elle.
« Bien sûr maîtresse. Jamais je n'oserai... aahh... désobéir à vos ordres. Tenez, regardez. »
La maid souleva le bas de sa tenue, baissa sa culotte et montra le gode à sa maîtresse, qu'on voyait bien logé dans son antre intime.
« Je ne l'ai enlevé qu'une fois... hier soir... aaahhh... quand vos filles m'ont fait mettre... un gode-ceinture. Sinon... je l'ai toujours gardé... oohh... même pour dormir... ou me laver. »
Elle se sentait fière d'avoir réussi à tenir pendant une demi-journée avec ce sextoy logé en elle. Certes elle avait passé une bonne partie de ce temps à dormir, mais elle se sentait quand même fière d'avoir réussi à suivre une consigne que Rosa lui avait décrite comme difficile pour une débutante.
« Et je peux vous assurer... hhhmmm... que ça ne m'a pas empêché... de bien travailler. »
Du moins, de son point de vue. Karuta se rhabilla et continua de regarder Evangeline, attendant de voir si elle allait lui donner un ordre ou si elle était juste passée pour vérifier qu'elle avait bien respecté la consigne qui lui avait été donnée.
-
Evangeline regardait Karuta avec le sourire écoutant ses réponses sur comment elle se sentait et sur la suivie de la consigne qu’elle lui avait donné la veille. Elle s’en sortait bien, il faut dire qu’une partie du dressage qu’elle avait subi était basé sur l’endurance et Karuta s’en sortait très bien.
-C’est bien je suis fière de toi, on voit que tu progresse ça me fait plaisir.
Elle s’approcha d’avantage d’elle une fois que Karuta avait remonté sa culotte et remit sa robe comme il faut, puis Evangeline viens lui faire une bise sur le front.
-Ça ne fait pas une journée entière que tu le porte, mais tu as déjà montré que tu tiens bien. Je m’amuserais peut-être à t’imposer des jouets comme ça un peu plus souvent.
Evangeline s’approcha des fleurs, les roses de son jardin que la magie gardait fleurie toute l’année malgré la température froides du territoire.
-Je t’ai dit hier que tu devais le porté 24h et ensuite venir me le porté. Mais j’ai ut autre idée amusante depuis.
Sans bouger de sa place caressant d’une mains une des roses, elle tourna sa tête vers Karuta avec un sourire à la fois élégant, mais aussi malicieux.
-A partir de maintenant, tu vas le gardé en toi encore, mais tu as le droit de l’imposé à qui tu voudras. Tu peux choisir qui tu veux, le retiré et lui mettre à la place. Tu peux même choisir où lui imposé. C’est toi qui lui met et ensuite tu me l’envoie. Tu peux choisir qui tu veux du manoir, esclave, serviteur ou non, qui tu veux.
L’idée de savoir qui elle choisirait et surtout de voir comment elle allait l’interprétait était plutôt intéressant. Surtout que se gode pourrais devenir un jeu intéressant dans le manoir.
-
Karuta fut ravie d'entendre Evangeline lui dire qu'elle était satisfaite de la façon dont elle avait gérée la présence de ce jouet dans son corps. Elle envisageait de lui imposer ce genre de choses plus souvent à l'avenir.
« Nnnyyyuuu... ce sera un plaisir... maîtresse. »
La maîtresse des lieux avait eu une autre idée amusante entre-temps : plutôt que de le garder 24h comme elle en avait reçu l'ordre, la maid avait maintenant le droit de l'imposer à quelqu'un d'autre. Elle pouvait choisir qui elle voulait dans le manoir, serviteur ou non, et lui mettre dans n'importe lequel de ses orifices avant de l'envoyer vers sa maîtresse.
« Vraiment ? Aaahhh... qui je veux ? »
La première idée qui lui vint en tête fut évidemment Evangeline, mais ce serait un manque de respect total envers elle. Ses filles Marie et Marion ? Ça pourrait être amusant, mais encore une fois, ce serait un manque de respect. En plus, elle était sûre qu'elles chercheraient à se venger par la suite. Rosa ? Elle avait l’habitude de ce genre de choses, ce ne serait pas très intéressant.
« Merci maîtresse. Je... aaahhh... je vais y réfléchir. »
Karuta reprit le travail. Elle apporta la nourriture et l'eau dans plusieurs cages d'animaux et les regarda manger avec plaisir. Après ça, elle en sortit plusieurs qui avaient le droit d'aller faire leurs besoins dehors et d'en profiter pour prendre un peu l'air, et elle joua avec eux. Comme de vrais chiens, ils aimaient courir dehors et aller chercher ce qu'on leur lançait. Quant à ceux qui n'avaient pas le droit de sortir, elle dût nettoyer leurs cages. C'était bien là la partie de ce travail dans les écuries qu'elle aimait le moins.
Deux heures plus tard, il était temps pour Karuta de prendre son service à la cuisine. Il fallait préparer la salle à manger pour le déjeuner d'Evangeline et de ses filles, et il fallait aussi du monde pour faire le service. Karuta allait faire les deux. Mais avant de se rendre là-bas, la jeune fille voulut faire un crochet. En effet, à force de travailler dans l'enclos des hommes-animaux, elle avait fini par décider à qui elle voulait faire porter ce gode : la dresseuse qui s'était occupée de son entraînement pour qu'elle devienne un parfait petit chaton. Ça lui était venu à l'esprit comme une évidence. Elle voulait lui mettre son gode dans la chatte.
Et elle pensait savoir où la trouver à cette heure-ci : dans le donjon de dressage.
-
Avec un sourire amusé, Evangeline laissa donc Karuta continué son travail curieux de voir qui elle finirait par choisir. Elle reprit sa marche dans son jardin de rose, un petit moment qu’elle s’accordait avant de replonger dans les affaires du pays. Alors que Karuta s’occupait des animaux de son côté.
Dans le sous-sol du manoir, se trouvait plusieurs donjons et prisons. Une partie était réservé à des criminels qui finissait par être réduit en esclavage et ensuite vendu. Il y avait une partie plus douce où le dressage était réservé au esclave du manoir, les personnes qui passait par là était soit des cadeaux à la maitresse, soit des volontaires, contre une vie de soumission guérison et une vie de luxure et de confort leur était offert. Rare était ceux qui regrettait cette allégeance. Il existait un autre lieu pour les criminels les plus endurcie, mais leur sort était bien pire que tout ça.
Angel (https://zupimages.net/viewer.php?id=20/31/zf8s.jpg) était une humaine qui travaillait maintenant depuis un moment pour le manoir, elle s’occupait du dressage des esclaves du manoir. C’était donc elle qui c’était occupée des bases pour Karuta suivant les consigne d’Evangeline. Aujourd’hui elle était en train de s’occuper d’une jeune fille blonde, une fille de marchant qui c’était elle-même porté volontaire à l’esclavage contre de l’argent pour sa famille. Evangeline touché par son geste avait acceptée. Ainsi Angel s’occupait de lui apprendre les mêmes bases qu’a Karuta, pour devenir une jolie chatte.
-
Karuta traversa le manoir pour se rendre dans les sous-sols, là où se trouvait le donjon de dressage du manoir. En passant, elle put entendre plusieurs cris et gémissements plaintifs derrière certaines portes, et cela lui donna la chair de poule, alors elle se dépêcha de se rendre là où elle voulait aller. Une fois arrivée devant la porte qui menait au donjon de dressage, elle se retrouva face à une poupée qui montait la garde.
« Tiens. Ne serait-ce pas le petit chaton Karuta ? Tu es revenue pour plus de dressage ? Pourtant j’aurais cru que tu avais eu ton compte la dernière. »
« Non… nnyyuu… je viens voir Angel. J’ai quelque chose… pour elle. »
« Ah oui ? Et qu’est-ce que c’est ? »
La maid souleva le bas de sa tenue pour montrer sa culotte, ainsi que le gode toujours logé en elle, ce qui fit bien rire la poupée.
« Ha ha. On peut dire que tu es devenue une sacrée perverse. Tu travailles avec des sextoys dans la chatte maintenant ? »
« Oui… ggrroouu… c’est maîtresse Evangeline qui me l’a mis. C’est un entraînement. Mais elle a dit que j’avais le droit… oouuhh… de le mettre à quelqu’un d’autre. Et j’ai choisi Angel. »
« Oh. Ça va lui faire une sacrée surprise. OK, je vais te laisser entrer. Mais d’abord… »
La poupée posa ses mains sur la poitrine de la jeune fille et la malaxa un peu. Evangeline avait décrété que personne au manoir ne pouvait coucher avec Karuta sans son accord, mais elle avait quand même autorisé qu’on la pelote et qu’on la caresse. Après deux bonnes minutes à se faire tripoter les seins, la maid fut finalement relâchée.
« C’est bon, tu peux y aller. Amuse-toi bien. »
La jeune fille entra dans le donjon et suivit les instructions de la poupée à l’entrée pour trouver la chambre où était Angel. Elle frappa à la porte et entra après qu’on l’y ait autorisé.
« Bonjour Angel. »
La dresseuse ne lui répondit pas, elle lui fit juste signe de faire la belle, et elle obtempéra aussitôt. Une fois en position, elle regarda la dresseuse approcher et elle ronronna quand elle vint la caresser sous le menton. Elle avait beau avoir fini son dressage depuis des mois, Angel continuait à avoir une sorte d’autorité naturelle sur elle.
« Mmmrrraaawww… »
Tout à coup, lui mettre son gode dans la chatte ne semblait plus si important.
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Angel venait d’attacher sa nouvelle élève sur le lit avec quelque accessoire pour lui apprendre à les supporté. Elle allait en avoir pour un moment à rester comme ça. Alors qu’elle allait la laisser ainsi elle entendit frappé à la porte.
-Entrez.
Elle n’attendait personne et se demanda donc qui pouvait venir la retrouvé ici. C’est alors qu’elle vit entrée Karuta, une jeune fille qu’elle avait formée il n’y avait pas si longtemps. Une élève plutôt facile et docile. Elle avait plus à lui apprendre qu’a vraiment dresser, en faire un chaton pour la maitresse. Avec le sourire avant même de répondre à sa salutation, elle lui fit un signe pour lui dire de se mettre en position. Ce que la jeune fille fit aussi tôt, elle n’avait pas oublié ce qu’elle lui avait appris. Angel s’approcha pour la félicité d’une caresse sous le menton.
-Bonjour Chaton. Qu’es qui me vaux ta visite ? Tu as peut-être besoin d’un dressage plus approfondit ? Ou Maitresse à décider de t’offrir à moi ?
Elle porta sur elle un regard de convoitise qui montrait que cette dernière idée était loin de lui déplaire. En attendant sa réponse, elle observa sa position jugeant de son comportement, voir si elle était toujours aussi efficace pour ça place.
-Tant que tu es là, vois-tu cette jeune fille maintenant à ta place ? Que dirais tu de lui montrer deux trois truc que je t’ai appris ?
-
Juste après son arrivée, Karuta commença à jouer les chatons pour le plaisir d'Angel, qui la regardait avec convoitise. Elle oublia bien vite qu'elle était venu ici pour lui offrir son gode, et elle préféra savourer les caresses qu'elle recevait sous le menton. Du moins jusqu'à ce que la dresseuse lui demande ce qui l'amenait ici.
« Mmmrrraaawww... ah oui c'est vrai. »
La maid se remit debout, souleva sa robe et lui montra le gode logé en elle.
« Maîtresse a dit que je pouvais donner ce gode... à qui je voulais. Et... nnnyyyaaa... c'est toi que j'ai choisi. »
Angel semblait intéressée par la proposition. Elle enleva le jouet sexuel logé dans l'antre de Karuta, et en attendant de voir ce qu'elle allait en faire, elle demanda au chaton d'aller montrer deux-trois tours à une jeune fille qui était en période de dressage.
« Mmyyuu... j'y vais tout de suite. »
La maid grimpa sur le lit et se plaça au-dessus de la nouvelle élève.
« Bonjour. Moi c'est Karuta. J'ai été à ta place il y a peu de temps. Si tu es sage et bien obéissante, alors ta formation ira vite. Angel est très gentille tant que tu fais ce qu'elle dit. Regarde ce qu'elle m'a appris. »
Elle colla son visage contre celui de la jeune fille et se mit à frotter sa joue contre la sienne en ronronnant. Elle pouvait même sentir que le corps de la maid frémissait comme le ferait celui d'un vrai chat en train de ronronner. Et histoire d'en rajouter, elle lui lécha aussi le nez.
« Les chattes aiment lécher leurs maîtresses... peu importe où elles le demandent. Que ce soit le visage... ou autre chose. »
Karuta commença à descendre peu à peu le long du corps de l'élève en passant sa langue un peu partout. Son cou, sa poitrine, ses hanches, son nombril... Elle s'attarda tout particulièrement sur son clitoris, lui arrachant quelques soupirs et gémissements de plaisir, mais pas au point de la faire jouir. Elle passa ensuite rapidement le long de ses jambes jusqu'à arriver à ses pieds.
« Maîtresse adore quand je lui lèche les pieds. »
Effectivement, Karuta avait avait l’habitude de venir lécher les pieds de sa maîtresse chaque fois que cette dernière la saluait le matin et qu'elle voulait de l'affection de la part de son petit chaton. La maid fit démonstration de ses talents sur le corps de la jeune fille, qui soupirait doucement en sentant sa langue caresser sa voûte plantaire et passer entre ses orteils.
Karuta faisait vraiment honneur à sa formation.
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Angel souriait contente de voir que sa formation envers Karuta avait plutôt bien marché, même si un point la dérangeait encore.
-C’est bien petit chaton, mais n’oublie pas que tu es une esclave, tu me vouvoie c’est bien comprit ?
SI elle n’était pas là à la demande de la Maitresse, elle en aurais profité pour la punir, mais se contenta d’une fessée quand elle lui apporte le gode. Elle le prit en main se demandant bien ce qu’elle devait en faire, pourquoi la Maitresse lui avait demandé de lui donner ? Elle croisa les bras et regarda plutôt le chaton s’approché de son élève et commencé à lui montré quelque truc. Déjà elle maitrisait bien le ronronnement se qui était un point important. La voir la taquiné avec sa langue était pas mal aussi, surtout que la nouvelle n’avait encore que peu d’expérience et gémie rapidement sous cette langue devenue experte.
-On voit que tu t’occupes beaucoup de la Maitresse, c’est qu’elle t’affectionne beaucoup. Tu es une belle réussite.
Elle s’approche des deux filles avec le sourire venant caressait la tête du chaton qui léchait encore le clitoris de la jeune fille en apprentissage.
-Tu vois ici une des filles qui a le plus vite séduite notre maitresse, une vraie petite chatte. Dit moi Karuta, que pense tu de ta nouvelle vie au manoir ? Parle à cœur ouvert, ça ne sortira pas d’ici.
Angel savais comment convaincre son élève de gardé le secret s’il le fallait.
-
Karuta faisait une belle démonstration de la formation qu'elle avait reçue d'Angel sur cette jeune demoiselle, visiblement en pleine formation. La dresseuse félicita la maid pour sa réussite, la présentant comme l'une des filles ayant le plus vite réussi à séduire leur maîtresse, une vraie petite chatte sur tous les plans. Karuta se sentit émoustillée par la fierté, puis Angel lui demanda de parler de sa nouvelle vie au manoir, et sans retenue.
« Mmmhhh... d'accord. Eh bien... honnêtement, tout me ravit. Chaque fois que maîtresse Evangeline me voit, elle me couvre de câlins et me récompense pour mes actions de chaton. Je me frotte à ses jambes, je miaule, je ronronne, tout ce qu'elle veut. Et grâce au dressage d'Angel, c'est vraiment devenu une seconde nature chez moi. J'arrive à passer des tâches ménagères à mon rôle de chaton en un clin d'oeil.
En fait, la seule chose qui m’embête un peu c'est... »
La maid hésita à se confier, craignant que sa maîtresse ne vienne la disputer ensuite, mais la dresseuse lui répéta encore une fois qu'elle ne craignait rien ici, alors elle osa en parler.
« J'ai toujours envie d'être avec maîtresse Evangeline... d'être son gentil chaton... qu'elle joue avec moi, qu'elle me caresse... mmmrrraaawww... qu'elle me fasse l'amour. Mais je sais que ça n'est pas possible. Elle a beaucoup de travail, et d'autres esclaves qui veulent passer du temps avec elle, et moi je dois accomplir mes tâches ménagères. Et pourtant... quand je ne suis pas avec elle je me sens... creuse. »
Les lamentations de Karuta étaient loin d'être dénuées d'intérêt. Evangeline avait passé tellement de temps à l'éduquer et à prendre soin d'elle qu'elle avait créé un lien très fort entre elle et sa servante. Un lien si fort que la jeune fille se sentait perdue dès que sa maîtresse s’éloignait d'elle. Mais comme elle l'avait dit, elle comprenait qu'elle ne pouvait pas toujours être avec elle et elle l'acceptait.
Après avoir bien léché le corps de la jeune fille, la servante remarqua qu'Angel tenait toujours le gode dans sa main. Intriguée, elle lui posa directement la question.
« Angel, pourquoi tu n'as pas mis le gode ? Il y a un problème ? »
La dresseuse la regarda, étonnée, ne comprenant pas de quoi elle parlait.
« C'est ce que je t'ai dit en arrivant : maîtresse Evangeline m'a mis ce gode dans la chatte hier, et ce matin elle m'a dit que je pouvais le donner à une autre femme dans le manoir pour qu'elle se le mette dans la chatte à son tour. Tu n'avais pas compris ? »
-
Angel regarda avec le sourire au lèvre, Karuta commencé à montrer et expliqué à sa nouvelle élève ce qu’elle avait appris et sa nouvelle vie. C’est vrai que pour elle, elle avait quand même fait un beau travail. Surtout que la jeune fille semblait apprécier cette nouvelle vie. Si bien qu’elle finit même par se confier qu’elle aimerait profiter d’encore plus de l’affection de la Maitresse, il faut avoué qu’il semblait avoir un attachement fort entre les deux. C’était plutôt une chance pour Karuta finalement.
-C’est bien que tu t’en rend compte, mais tu peux toujours tenté de joué les petites chatte en manque de câlin ça devrais lui faire plaisir.
Le fait qu’elle se soit confier à elle comme ça, lui faisait plaisir et prouvait qu’elle avait compris qu’elle pouvait lui faire confiance. Puis Karuta la regarda surprise avant de lui demander pourquoi elle n’avait pas mis le gode qu’elle lui avait donné. Angel regarda l’objet comprenant alors que ça devait surement être un jeu de la Maitresse.
-Oh, je comprends mieux…Il y a des règles avec ? Qu’es qu’elle t’a dit ?
Si ça venait de Maitresse Evangeline, elle n’avait pas le choix. Ainsi donc, elle décala le bas de sa tenue révélant sans honte son sexe et enfonça sans mal l’objet en elle. Il faut dire que dressé des esclaves l’excitait facilement. Une fois l’objet caller dans son sexe, elle remis son body en place, se qui laissait clairement voir la forme de l’objet à travers.
-Hum ça vas il n’est pas trop gênant.
-
D'après Angel, il était important que Karuta ait conscience que sa maîtresse ne pouvait pas être tout le temps avec elle, mais cela ne devait pas l'empêcher de jouer les petites chattes en manque de câlin. L'important c'était d'essayer.
« D'accord, je le ferai. »
Après avoir compris la demande d'Evangeline, Angel se mit le gode dans la chatte sans discuter. Si les ordres venaient de sa maîtresse, il n'y avait pas à réfléchir. L'objet en elle n'était pas trop gênant, elle pouvait continuer son dressage sans problème.
« Oh, il y a aussi une autre consigne. Après avoir choisi à qui donner le gode, je dois ramener cette personne à maîtresse Evangeline. Donc il faut que vous veniez avec moi Angel. »
Encore une fois, puisqu'il s'agissait d'un ordre d'Evangeline, Angel ne pouvait pas refuser. Après avoir donné quelques consignes à la blonde qu'elle était en train de dresser, Karuta ouvrit la marche en direction du bureau de leur maîtresse. C'était bientôt l'heure de son déjeuner, mais elle devait encore être en train de travailler. En chemin, elle croisa plusieurs domestiques qui se demandèrent pourquoi elle n'était pas à la cuisine comme elle était censée l'être.
« Je dois voir maîtresse Evangeline pour un autre travail. J'arrive dès que j'ai fini. »
Évidemment, s'il s'agissait d'un travail pour leur maîtresse, personne n'oserait contester.
Une fois devant la porte du bureau, Karuta frappa.
« Maîtresse ? C'est Karuta. Je peux entrer ? »
La maid entra une fois qu'on lui en donna la permission, et elle s'inclina devant sa maîtresse.
« Maîtresse Evangeline, j'ai suivi vos consignes. J'ai choisi de donner le gode à Angel, et maintenant je vous l'amène. »
Elle n'attendait plus maintenant que de voir ce que la femme allait décider. Avait-elle prévu un autre défi pour son chaton ?
-
Angel comprit donc qu’elle allait devoir repousser ses leçons à l’esclave. Si elle devait suivre Karuta pour retrouver la Maitresse, elle ne pouvait prendre le risque de la laisser seule attaché comme ça trop longtemps. Ainsi donc avant de la rejoindre, elle la détacha et lui laissa regagné sa « chambre ».
-Bon je te suis petit chaton. Je suis curieuse de la nouvelle idée de la maitresse.
Sortie de la pièce, la dresseuse marcha à la suite de Karuta pour monter les étages et rejoindre Evangeline. Marché avec un tel objet en elle, ne lui posait pas vraiment de problème, par contre monté les escaliers se montrait déjà être une épreuve plus compliqué. Bien qu’elle y arrivait, Angel avait quand même le pas plus lent. Après donc plusieurs étages à remonter ainsi et une petite interruption par une servante qui demandé à Karuta pourquoi elle n’était pas en cuisine, le duo arriva enfin devant le Bureau de la Maitresse des Poupées.
Evangeline les autorisa à rentrer souriant en voyant le choix de Karuta. Il fallait oser faire donner ainsi l’objet à celle qui lui avait appris à se comporter comme elle le faisait maintenant. Surtout qu’Evangeline voyait clairement l’objet déformé la tenue de la femme et montré sa présence dans son sexe.
-Tu as fait un choix intéressant Karuta. Je ne m’y attendais pas. Tu sais quoi j’ai envie de te faire plaisir.
Elle invita d’un geste à Angel d’attendre de son côté. Elle lui expliquera le petit jeu plus tard. En attendant elle pouvait admirer une de ses élèves qui avait réussi à se faire apprécié de sa maitresse.
-Je te laisse choisir, entre obtenir un objet de ton choix. Tu me le demande et je te le trouverais. Tu peu choisir aussi d’apprendre quelque chose. Que ce une information ou compétence. Je epeu te faire une nouvelle formation ou même t’offrir un pouvoir qui te ferrais envie.
Car après tout il ne fallait pas l’oublier Evangeline était avant tout une sorcière et une prêtresse de la folie.
-
Karuta sourit en voyant Evangeline sourire devant son choix. Elle était même tellement contente qu'elle décida de faire un cadeau à son petit chaton. Elle pouvait lui demander n'importe quel objet et elle le lui donnerait. Elle pouvait aussi apprendre un nouveau talent ou acquérir un nouveau pouvoir. En clair, elle n'avait qu'à demander.
« Vraiment ? Ce que je veux ? »
Cela offrait tant de possibilités. Mais tout ce à quoi Karuta pouvait penser, c'était qu'elle voulait être une meilleure servante pour sa maîtresse. Elle s'imagina un uniforme magique, capable de la rendre plus rapide et plus endurante pour pouvoir s'acquitter des tâches ménagères plus vite et plus longtemps. Elle pourrait aussi demander le pouvoir de déplacer la poussière par la pensée, afin de ne plus perdre de temps à épousseter son plumeau.
Puis elle se demanda si elle ne préférait pas devenir un meilleur chaton pour sa maîtresse. Le dressage d'Angel lui avait appris à se comporter comme tel, mais ce n'était que de la mise en scène. Elle n'avait pas de fourrure, pas d'oreilles pointues, pas de queue caudale. Elle pourrait demander à avoir tout ça. Ainsi, elle serait plus proche de devenir un vrai chaton.
« C'est si dur de choisir maîtresse... »
Evangeline voulait lui faire un cadeau, mais Karuta avait si peur de faire le mauvais choix. Devait-elle être une meilleure servante ? Un meilleur chaton ? Elle avait l'impression que, quoi qu'elle choisisse, elle finirait par regretter ce qu'elle n'avait pas obtenu. Mais ç’aurait été impoli de refuser l'offre de sa maîtresse. Elle ne voulait pas être déçue, mais elle voulait encore moins que sa maîtresse retire son offre si elle n'était pas capable de lui répondre, ou pire encore, qu'elle la punisse pour n'avoir pas su choisir. Alors finalement, elle prit une décision.
« Maîtresse... j'aimerais avoir le pouvoir... de me transformer en terranide chat. Avec des oreilles pointues... une queue caudale... et de la fourrure. Je veux être un meilleur chaton. »
Ça y est, elle avait fait son choix.
-
-Ce que tu veux en effet, je te laisse choisir ce qui pourrais te faire envie.
Evangeline avait envie de faire plaisir à Karuta, elle aimait bien ce qu’elle était, son comportement, sa façon d’agir et son côté adorable. C’est pourquoi elle avait ut envie de lui faire plaisir, ce qui était inattendu pour la servante. Du coup ça ne dérangeait pas Evangeline de lui laisser un temps de réflexion sur la question. Surtout quand elle lui offrait autant de possibilité. Il était normalement que le choix n’était pas évident pour elle surtout sans avoir ut à y pensé avant. Finalement, Karuta trouva son idée et lui en fit part.
-Hum un choix qui te correspond bien, alors c’est d’accord. Vas reprendre ton travail. Cette après-midi retrouve moi dans le petit salon. Vers deux heures environ. Idéalement viens avec une tenue facile à retirer. Celle qui te plaira.
Ce qui voulait dire qu’elle n’était pas obliger de venir en uniforme, mais pour faire tout ça elle devra se d’habiller et avoir une tenue qui gagnerais du temps serra une bonne chose. Evangeline la laissa donc sortir et se concentra ensuite sur Angel, venant alors lui expliqué les règles du nouveau jeu que lui avait inspiré l’expérience de Karuta.
Plus tard dans la journée, en début d’après-midi, Evangeline attendait comme prévue dans le salon en question. La pièce n’était pas bien grande, c’était un lieu de détente pour Evangeline et pas prévue pour recevoir du monde. Il y avait quelque étagère recouverte de livre, un petit bar, une table et des fauteuils confortable. Evangeline n’était pas seul, debout à côté d’elle qui était dans l’un des siège, se tenait Echo sa seconde. La jeune fille se tenait droite dans sa propre tenue de soubrette et attendait aussi sagement.
-
Evangeline avait accepté le choix de Karuta. Cette dernière reçut pour consigne de retourner à son travail, puis de venir retrouver sa maîtresse à deux heures, dans le petit salon, avec une tenue facile à retirer.
« Bien maîtresse. Encore merci d'avoir accepté ma demande. »
La maid quitta la pièce après une révérence à sa maîtresse, et même si son visage ne laissait rien transparaître, elle était toute joyeuse au fond d'elle. Non seulement parce qu'elle allait recevoir un cadeau de la part d'Evangeline, mais en plus parce que ce cadeau allait lui permettre de la servir encore mieux. Et dans sa tête, il n'y avait rien de plus important.
Karuta passa encore une heure à arpenter les couloirs du manoir pour faire la poussière et nettoyer les meubles, puis vint l'heure du déjeuner. Comme chaque jour, elle prit son plateau et alla s'asseoir à table avec d'autres maids, en pensant qu'elle allait échanger des banalités avec elles comme d'habitude. Mais cette fois, les autres maids avaient eu vent du cadeau que leur amie allait recevoir, et elles l'assaillirent de toutes sortes de questions et de commentaires. Certaines étaient très bienveillantes, d'autres cachaient de la jalousie, mais la jeune fille resta très modeste et très sobre dans ses réponses. Pour elle, ce cadeau était avant tout un geste de sa maîtresse envers elle, et elle était décidée à travailler encore plus dur pour montrer à quel point elle était reconnaissante. Mais elle ne pouvait pas nier qu'elle était aussi excitée à l'idée qu'elle allait bientôt pouvoir se transformer en terranide.
Une fois son déjeuner terminé, Karuta continua encore un peu ses tâches ménagères, puis elle retourna dans sa chambre pour se changer. Evangeline lui avait demandé de venir avec une tenue facile à retirer, et elle passa presque vingt minutes à la choisir. Une fois décidée, elle se dépêcha de rejoindre le petit salon où sa maîtresse l'attendait, ainsi qu'Echo, sa seconde. Après avoir frappé à la porte, elle entra. Elle portait une petite robe blanche qu'elle retira aussitôt pour dévoiler ce qu'elle pensait être une tenue facile à retirer : un bikini turquoise (https://img.ltwebstatic.com/images3_pi/2020/11/24/1606189080f9018cb3502f58c5fb0903b3d9326c6e_thumbnail_600x.jpg) attaché grâce à des nœuds. Il suffisait de tirer sur ces derniers pour le faire immédiatement tomber de son corps.
« Rebonjour maîtresse Evangeline. Me voici, comme vous l'avez demandé. »
La maid trépignait déjà d'impatience à l'idée de recevoir son nouveau pouvoir.
-
Evangeline regarda Karuta qui rendra dans la pièce à l’heur comme elle s’y attendait. Après tout la maid était l’une des plus sérieuse qu’elle possédait. Ses résulta et le fait qu’Evangeline s’attachait à elle, lui avait valu une récompense qu’elle allait recevoir ici même. Suivant la consigne qu’Evangeline lui avait donné, Karuta retira sa robe et se présenta donc en bikini face à elle. Elle était plutôt mignonne comme ça.
-Parfait à l’heur comme je pouvais m’y attendre. Je vois que tu as parfaitement suivie ma consigne, c’est bien. Donc si tu le souhaite toujours je vais t’offrir de nouveau pouvoir, preuve de ma confiance. Mais sache aussi que ça vas te lier davantage à moi. Magiquement tu seras comme une de mes création, ainsi je pourrais ressentir plus de chose de toi, mais je pourrais aussi communiqué avec ton esprit.
Elle se doutait que ça ne la dérangerais pas vraiment, mais elle lui laissant quand même le choix de refusé. Ce lien fort pouvais la rapprocher de sa Maitresse, ce qui avait des avantages, comme des gènes. Elle se tourne vers Echo qui approche pour venir se placé à côté d’Evangeline.
-Tu vas avoir la chance de pouvoir voir la vrais forme d’Echo, ils ne sont pas nombreux à pouvoir s’en vanté.
Evangeline tendit le bras vers Echo et passa sa main autour de son cou l’étranglant alors face à Karuta. Echo ut un hoquet avant de se transformé, son visage sembla se décoller, devenant alors un masque de oni, son corps se transforma en un sceptre d’or la partie qui était le cou était fait pour le tenir, la partie au-dessus représenté une tête de félin avait un gros rubis dans la gueule. Un troisième objet s’en était séparé, un collier en dent couverte de rune. La servante, était remplacé par trois puissant objet magique, chacun représentant les pouvoirs des trois femmes qui avait fusionné pour devenir Evangeline. Cette dernière garda le sceptre en main, alors que le collier viens se passé au cou d’Evangeline et le masque se déposa sur ses genoux.
-Tu as devant toi, les trois objets les plus précieux que je possède, ils sont bien plus vieux que tu ne peux l’imaginé. Je vais me servir de celui-là, le sceptre de la reine Lha, l’une des âmes qui me compose. Tu es prête ? Si oui retire tout tes vêtements.
-
Avant de recevoir son cadeau, Karuta eut droit à une dernière mise en garde de la part d'Evangeline. Si elle allait jusqu'au bout, elle serait liée magiquement à elle, comme l'une de ses créations, lui permettant de ressentir plus de choses d'elle mais aussi de communiquer avec son esprit.
« Alors vous aurez accès... à toutes mes pensées ? »
Cette idée pouvait faire un peu peur, d'autant que la maid pensait souvent à sa maîtresse, et pas toujours pour des pensées innocentes. Mais elle ne pouvait pas refuser ce cadeau.
« Pouvoir être liée à vous... de façon encore plus proche... mmrraaww... est un merveilleux cadeau. »
Karuta regarda Echo s'approcher d'Evangeline, et fut surprise en la voyant se transformer. Son corps se sépara en trois objets : un masque, un sceptre et un collier. Evangeline lui expliqua qu'elle allait se servir du sceptre pour la transformer, et qu'elle devait maintenant se déshabiller.
« Bien maîtresse. »
La jeune fille n'eut qu'à tirer sur les nœuds de son bikini, et les deux pièces tombèrent sur le sol, laissant son corps complètement nu, ne cherchant même pas à se couvrir avec ses bras. Après ça, elle avança vers sa maîtresse, qui se mit à agiter son sceptre et à prononcer des paroles dans une langue qu'elle ne comprenait pas. Très vite, elle commença à avoir des vertiges et sa vision se troubla.
« Aaahhh... maîtresse, je... je ne me sens pas... très bien. »
Mais Evangeline lui assura que tout était normal, qu'elle devait se laisser porter et que tout irait bien. Karuta ne pouvait que lui faire confiance, alors elle ferma les yeux et se laissa porter. Tout irait bien, sa maîtresse le lui avait promis.
-
Evangeline la regarda retiré ses vêtements se qui ne pris pas beaucoup de temps. Karuta avait été prévenue et avait donc pris comme prévue des vêtements faciles à retirer. Karuta lui posa une question quand elle lui parla du liens qui allait se crée entre elle.
-Non, tu pourras gardé tes pensées pour toi, sauf si tu décides de me les partager.
Bien sûr elle pouvait forcée pour les lires, mais elle n’en avait pas besoin, pas avec elle en tout cas. En tout cas le lien lui faisait plus plaisir que peur, ce qui était agréable à entendre. Ainsi une fois prête, Evangeline commença à utiliser la magie. La tête de léopard qui servait de tête au sceptre tenait dans sa gueule un rubis qui se mit à briller, alors que la magie s’activait sur le corps de Karuta. Cette dernière l’avertie alors que se sentait mal.
-C’est normal, ça ne devrais pas duré. Je suis là, tout vas bien.
Pour autant, elle restait prudente, car cette fille avait déjà montré la manifestions de magie étrange et comptait resté prudente si c’était de nouveau ça. Ses oreilles humaines disparurent, pour laisser place un peu plus haut sur sa tête deux adorable oreilles de chat, puis au-dessus de ses fesses, une queue féline au pelage de la même couleur que ses cheveux, se mit à pousser. Le dernier changement passa par les yeux qui passa à des yeux de chat.
-Voilà on arrive à la fin, si ça ne vas pas approche et repose toi sur mes genoux.
Elle termina alors, attendant de voir si ça magie se manifestait ou non. En tout cas, elle avait réussi à faire se qu’elle voulait. Karuta était devenue une adorable néko, mais avait aussi le pouvoir de redevenir humaine ou même de se transformé totalement en chat et pouvait passé d’une forme à l’autre autant qu’elle le souhaitait.
-
La magie d'Evangeline circulait dans le corps de Karuta. Cette dernière, très désorientée, ne sentit pas immédiatement les changements qui se produisaient sur son corps. Ses oreilles humaines disparurent, pour laisser la place à deux adorable oreilles de chat qui apparurent un peu plus haut sur sa tête. Au-dessus de ses fesses, une queue féline au pelage de la même couleur que ses cheveux se mit à pousser. Et pour finir, ses yeux changèrent de forme pour devenir des yeux de chat.
« Aaahhh... aahh... oouuhh... nnnyyyuuu ! »
La maid se mit à miauler sans même s'en rendre compte. Quand sa maîtresse eut fini d'utiliser sa magie sur elle, elle se sentait encore secouée mais déjà plus en forme. Elle commença par observer son corps, à la recherche de changements, et finalement elle vit la queue caudale qui avait poussé dans son dos. Ce qui était étrange, c'était qu'elle ne la sentait pas encore, pourtant elle bougeait, et quand elle la touchait, elle sentait les poils sous ses doigts. Après ça, elle alla se caresser ses nouvelles oreilles, et là encore, elle ne les sentait que quand elle les touchait.
« Mmrraaww... maîtresse... nnyyaa... c'est... mmyyuu... incroyable. »
Karuta ne pouvait pas s'empêcher de miauler au milieu de ses phrases. C'était devenu naturel pour elle. Et quand Evangeline lui proposa de venir se reposer sur ses genoux, elle ne se fit pas prier.
« Nnnyyyaaa... merci maîtresse. »
La nouvelle neko s'installa de son mieux sur les genoux de sa maîtresse, essayant de se mettre le plus confortablement possible en écoutant ses nouveaux réflexes félins. Dès que ses nouvelles oreilles ou sa nouvelle queue caudale touchait la robe d'Evangeline, elle frémissait en ronronnant. C'était comme si tout son corps était devenu plus sensible, et elle trouvait ça agréable.
« Mmmrrraaawww... »
Une fois installée, Karuta profita des caresses d'Evangeline, qui semblait très contente d'avoir un aussi joli chaton sur ses genoux. La maid réalisa peu à peu qu'il n'y avait pas que son toucher qui était plus développé. Elle entendait aussi mieux, et la lumière était devenue plus vive pour ses yeux. Du coup, elle préférait garder les yeux fermés pour le moment.
« Gggrrrooouuu... maîtresse... comment votre nouvelle neko... peut-elle vous servir ? »
-
Evangeline remarqua que Karuta s’habitua plutôt facilement à sa transformation, bien qu’elle avait était perturbé pendant cette dernière. Là elle avait encore un corps proche de l’humain, ce qui était plus facile, mais une fois en chat, elle sera surement plus désorienter. En tout cas la voir caressé ses nouvelles oreilles comme ça était adorable. Comme Evangeline lui avait demandé, Karuta s’approcha ensuite venant se posé sur ses genoux. Evangeline ne résista pas à l’envie de lui caressé affectueusement les cheveux. En même temps, se servant de sa magie, elle examina le corps de son esclave, pour vérifier que tout allait bien.
-Et voilà, tu as ut ton cadeau, tu peux maintenant te transformé à volonté entre humaine, néko et chatte.
Elle continua à lui caresser les cheveux, bien que la néko était nue et aurais pu être tenté de caressé bien plus. Karuta sous cette forme miaulée en parlait, c’était mignon et ça lui plaisait beaucoup. Cette dernière attendait maintenant de savoir comment la servir. C’est vrais qu’elle était plutôt volontaire.
-Tu vas commencer par te familiarisé avec tes nouveau pouvoirs. Teste tes sensations, avec tes trois corps, pour ça tu peu te touché toi-même ou expérimenté tes sens sur moi. Tu as ta maitresse rien que pour ton plaisir, mon adorable petite chatte.
-
Karuta venait de recevoir son cadeau de la part d'Evangeline. Elle pouvait désormais se transformer à volonté entre humaine, neko et chatte, et elle avait hâte d'utiliser ses nouveaux pouvoirs pour servir sa maîtresse. Cette dernière lui demanda de commencer par expérimenter ses nouvelles capacités en testant ses sensations avec ses trois corps. Elle pouvait se toucher elle-même ou expérimenter ses sens sur sa maîtresse. Elle lui assura être là pour son plaisir, ce qui ravit la jeune fille au-delà de toute raison.
« Gggrrrooouuu... merci infiniment, maîtresse. »
Karuta décida de commencer par expérimenter avec son corps humain afin de le prendre comme point de référence. En fermant les yeux et en se concentrant un peu, elle parvint à faire disparaître ses oreilles et sa queue de neko et à redonner à ses yeux leur apparence normale. Toujours sur les genoux d'Evangeline, elle se caressa dans les zones sensibles de son corps et aux endroits où ses parties de neko étaient apparues. Elle fit bien attention aux sensations qui parcouraient son corps, à la façon dont sa peau réagissait à ses caresses, pour bien les mémoriser. Ainsi, elle voyait comment elle était dans son état normal.
Après ça, la maid se transforma de nouveau en neko et revint se caresser aux mêmes endroits. Elle réalisa vite que son toucher était devenu plus sensible, surtout au niveau de ses zones érogènes et de ses nouvelles parties de neko. Les mêmes caresses lui procuraient plus de plaisir, à tel point qu'elle commença même à venir se masturber pour profiter de ce nouveau plaisir. Une de ses mains caressait son clitoris entre ses jambes pendant que son autre main touchait ses oreilles pointues et sa queue velue. Mais elle ne se laissa pas emporter pour autant. Après ce petit moment de plaisir, elle commença à expérimenter ses autres sens, notamment son odorat en venant renifler le parfum délicat qui se dégageait d'Evangeline. Elle vint coller son nez près de son cou, humant cette bonne odeur qui la rendait si heureuse.
« Hhhmmm... vous sentez bon, maîtresse. »
Après ça, Karuta décida d'expérimenter ce qu'elle ressentait en tant que chatte. Cette transformation fut la plus difficile. Après avoir fermé les yeux et réussi à visualiser le résultat, elle sentit son corps changer dans des proportions drastiques. Après avoir grandement rétréci, son dos se courba pour l'obliger à se tenir à quatre pattes. Ses bras et ses jambes perdirent certains de leurs os et articulations pour prendre une forme féline. Son crâne s'écrasa avant de se reformer pour les nouveaux traits de son visage félin. Et pour finir, tout son corps se recouvrit d'un pelage rose comme ses cheveux.
Une mignonne petite chatte (https://zupimages.net/viewer.php?id=21/35/e3jt.png) se retrouva aux pieds d'Evangeline, et vint aussitôt se frotter à ses jambes.
« Mmrraaww... »
Karuta était encore consciente d'elle-même, mais elle ne pouvait plus parler pour communiquer, et elle sentait que ses instincts félins étaient bien plus forts. En revanche, si elle voulait voir où en était sa sensibilité, elle allait forcément avoir besoin d'aide. Elle sauta sur les genoux de sa maîtresse et se coucha dessus en ronronnant.
« Nnnyyyaaa. »
J'espère qu'elle va comprendre que j'ai envie qu'elle me caresse.
-
Evangeline avec sa servante sur les genoux, l’observait reprendre forme humaine et commencer à examiner son corps. Surement qu’elle commençait par tester les sensations de son corps habituel afin de pouvoir comparé par la suite. Evangeline ne dit rien pour l’instant se contentant d’observé. Karuta repris sa forme d’adorable néko et commença une nouvelle série de caresses de son corps. Rapidement elle du sentir une sensibilité plus accrus des sens, en venant même à commencer à se masturber d’une main, alors que l’autre explorait ses membres félins qui n’existait pas jusque-là. La voir ainsi donnait envie à Evangeline de la voir jouir, mais peut être après, pour l’instant restant quand même sérieuse, sa petite chatte continua ses testes. Son odora accrut semblait lui faire apprécier son odeur plus que d’habitude.
-Merci ma petite chatte.
Elle la remercia d’une caresse entre ses oreilles de néko, puis la laissa poursuivre. Ainsi la néko changea de nouveau de forme, cette fois Evangeline sentie le poids sur ses genoux, diminuer. Karuta se transformant alors petit à petit, en adorable petite chatte au pelage rose. Devenue un vrais animal, ses sensations aller être les éloigné de ses habitues. En finissant de se transformé, elle en était même descendue de ses genoux, se retrouvant à ses pieds. Se penchant un peu en avant pour la regardé, Evangeline sourit la voyant déjà se frotté dans ses jambes comme un vrai chat. Ella laissa monté de nouveau sur genoux. La petite se mis en boule ronronnant déjà instinctivement, c’était adorable.
-Tu es adorable comme ça, je crois que tu vas plaire encore plus à Marie et Marion.
Elle sourit et avec ses mains délicates, elle commença à caressé le pelage doux du petit char rose sur ses genoux. Passant entre ses oreilles, dans son cou, sur sa petite queue. Elle n’avait aucun doute sur le fait qu’elle devait adoré ça.
-Il faudra pas trop en profité pour dormir n’importe où au lieu de travailler.
Bien sûr c’était dit sur le ton de l’humour, car sa Karuta ne l’avait jamais déçu et elle la savait sérieuse, bien qu’elle avait facilement remarqué qu’elle était facilement ouverte au sexe, ce qui n’était pas pour lui déplaire.
-
Couchée sur les genoux d'Evangeline, Karuta découvrait de toutes nouvelles sensations sous sa forme de chaton. Sa maîtresse caressait son pelage rose avec ses mains délicates en lui disant à quel point elle la trouvait adorable, et qu'elle était sûre que ses filles allaient l'aimer encore plus. La jeune fille sentait d'agréables frissons lui parcourir tout le corps, comme si des dizaines de mains lui caressaient le corps sous sa forme humaine. Elle ronronnait naturellement tandis qu'elle se faisait caresser, savourant ce délicieux moment comme s'il devait ne jamais se terminer.
Hhhmmm... c'est vraiment étrange, comme sensation... mais très agréable.
Malheureusement, alors qu'elle commençait à s'endormir sur les genoux d'Evangeline, cette dernière lui rappela qu'il ne fallait pas en profiter pour dormir n'importe où au lieu de travailler. Karuta sursauta d'un seul coup. Elle s'était tellement laissée aller dans ce petit jeu qu'elle n'avait pas vu le temps passer.
« Nyaaa. »
Elle sauta des genoux de sa maîtresse et se retransforma en humaine. Elle n'était pas encore habituée à la sensation de son corps se déformant pour se reformer ensuite, et elle fut un peu désorientée avant de finalement pouvoir s'adresser à sa maîtresse.
« Pardon maîtresse. Je m'amusais tellement... j'ai oublié que j'avais du travail. »
Mais Evangeline lui répondit qu'elle avait dit ça sur le ton de la plaisanterie, que rien ne pressait.
« Oh... »
Karuta se sentit soudain très confuse. L'embarras n'était pas une émotion qu'elle avait souvent expérimenté, et de base, ses émotions étaient profondément sous contrôle par toutes les couches de magie appliquées au fil des années. Du coup, elle resta plantée devant sa maîtresse, penaude et honteuse, sans oser bouger ou la regarder.
« Pardon maîtresse. La plaisanterie n'est pas quelque chose que je comprends bien.
Alors... qu'est-ce que je dois faire maintenant ? »
-
Evangeline s’amusa de voir que Karuta repris sa forme humaine en s’excusant, elle avait vraiment pris sa blague au premier degré.
-Je plaisante Karuta.
Elle rigola amusé quand même par la situation. Du coup, elle lui demanda ce qu’elle devait faire après ça. Elle pouvait bien sûr l’envoyer travailler, mais tant qu’à faire autant profité de la situation pour elle deux.
-Comme j’ai vue l’excitation que t’a procuré ta forme néko, j’aimerais te voir prendre du plaisir sous cette forme.
Il faut dire qu’elle aimait jouer sur le sexe avec Karuta, sa petite chatte était délicieusement excitante quand elle prenait du plaisir.
-Je te laisse le choix, tu peux te masturbé pour moi, tu peux me laisser faire ou alors tu peux aller cherché qui tu veux dans le manoir pour ton plaisir. Tu lui diras que l’ordre est de moi.
Evangeline avait quand même une petite idée du choix, qu’elle allait faire, mais elle lui laissait quand même le choix. Après tout c’était une récompense pour la servante et sa chouchoute du moment. Mais si elle choisissait d’aller chercher quelqu’un, elle se demandait sur qui se porterais son choix, après tout maintenant Karuta était bien installer au manoir et commençait à connaitre du monde.
-
Karuta semblait avoir toute l'attention de sa maîtresse pour le moment. Evangeline lui laissa le choix entre se masturber sous sa forme de neko, se laisser faire par sa maîtresse ou bien aller chercher quelqu'un d'autre dans le manoir pour s'occuper d'elle.
« Hhhmmm... »
Karuta aurait pu répondre immédiatement qu'elle voulait que ce soit Evangeline qui s'occupe d'elle, mais elle prit quand même une minute pour réfléchir et penser aux personnes qu'elle aurait pu aller chercher pour s'amuser avec elle maintenant qu'elle pouvait changer de forme à volonté. Il y avait Echo, Marie et Marion, Angel, la fille qu'elle avait rencontré dans la salle de dressage... Mais au final, il n'y avait qu'une personne dont elle avait vraiment envie d'être proche, une seule personne qui la rendait vraiment heureuse, même si elle ne le comprenait pas encore.
« Je préfère vous laisser faire... maîtresse. »
Elle voulait aussi profiter de la situation tant que ça durait. Sa maîtresse aurait sans doute une nouvelle favorite tôt ou tard et elle n'aurait plus autant de temps à lui accorder, alors il fallait savourer chaque moment de plaisir qu'elle passait avec elle.
Karuta se concentra pour reprendre sa forme de neko et elle s'approcha d'Evangeline à quatre pattes pour venir se frotter contre ses jambes. Son affection pour sa maîtresse était sans bornes, et elle voulait lui montrer à quel point elle lui était reconnaissante de tout ce qu'elle avait fait pour elle. Et elle espérait bien pouvoir continuer à la servir jusqu'à sa mort.
« Mmmrrraaawww... maîtresse... »
Elle n'attendait plus qu'un ordre de sa part.
-
Evangeline ne fut pas surprise par son choix, elle avait bien compris que Karuta lui vouait admiration et c’était pas pour lui déplaire. Elle la regarda reprendre son adorable apparence de Néko et venir à quatre patte se frotté contre ses jambes, comme le ferrais un chat. Son dressage en animal de compagnie se ressentait bien, mais maintenant qu’elle en était hybride voir un vrais chat, tout ça devenait encore plus naturel chez la maid.
-D’accord, alors c’est moi qui vais te donner du plaisir ma petite chatte. Monte sur les genoux de ta maitresse, et met toi à quatre patte comme un chat.
Avec la forme du siège, elle pouvait se tenir ainsi sans trop être gêné. Elle l’aida à monter et une fois en place comme Evangeline le souhaité, cette dernière viens alors lui caresser tendrement la tête comme on le ferrais à un chat sur ses genoux. Elle la trouvait bien réceptive, puis quand elle sentie Karuta commencé à ronronné, Evangeline posa son entre mains sur son intimité et la caressas aussi à cette endroit-là. Une main la caressait comme un chat, et l’autre la petite esclave coquine qu’elle était.
-Hum voilà une belle petite chatte coquine, tu aimes les caresses de ta maitresse ?
Elle savait bien que oui, mais l’entendre dire alors qu’elle lui caressait les lèvres toutes humides ne pouvait mentir. Elle voulait la sentir toute excité contre elle, avant de lui donner plus de plaisir.
-
Quand Evangeline lui demanda de monter sur ses genoux, Karuta s'exécuta aussitôt. Avec la forme du siège, elle pouvait s'installer sans être trop encombrante pour sa maîtresse. Cette dernière vint poser une main sur sa tête pour la caresser comme on le ferait avec un chat sur ses genoux, et une main entre ses jambes pour caresser l'esclave coquine qu'elle était.
« Mmmrrraaawww... »
Evangeline lui demanda si elle aimait les caresses, Karuta lui répondit avec des ronronnements. Évidemment qu'elle aimait ça, il suffisait de voir comment elle remuait sa queue de neko pour comprendre. Mais ne pas répondre à une question de sa maîtresse aurait été un manque de respect, et la maid était trop bien éduquée pour faire ça.
« Vos caresses sont merveilleuses... maîtresse... mmmyyyuuu. »
Le plaisir montait doucement dans le corps de Karuta tandis qu'Evangeline caressait ses lèvres bien humides avec ses doigts agiles. Elle se tortillait doucement sur place en miaulant, savourant la moindre caresse donnée par sa maîtresse. Pour elle, cette attention était un merveilleux cadeau et elle ne voulait pas en perdre une miette.
« Gggrrrooouuu... »
Le dressage de Karuta avait bien fait son œuvre. Et maintenant qu'elle pouvait aussi se transformer en félin, tout cela devenait presque naturel pour elle. Elle miaulait et remuait ses oreilles et sa queue comme un vrai chat à qui on faisait des caresses. Mais les caresses entre ses jambes étaient le plaisir qu'il lui fallait pour évacuer cette chaleur qui grandissait en elle à mesure que les secondes s'écoulaient.
« Aaahhh... maîtresse... je sens que... ça approche. »
Karuta étant encore relativement inexpérimentée dans le sexe, et sa nouvelle sensibilité de neko n'aidait pas. Si Evangeline continuait encore un peu, elle pourrait la faire jouir.
-
Evangeline souriait, alors que ses deux mains offraient des caresses à sa Karuta. Des caresses sur sa tête pour le petit chaton qu’elle était maintenant. De l’autre mains par contre, c’était des caresses plus intimes destiné à mélanger au ronronnement de la petite chatte, quelque gémissement de plaisir. C’était à la fois adorable et excitant comme moment, ce qui au yeux d’Evangeline résumais bien ce qu’était Karuta pour elle. Quand elle sentie cette dernière approché de sa limite, elle introduit deux doigts en elle et la doigta jusqu’à la faire jouir.
-Hum tu es une bonne chatte Karuta.
Elle sortit les doigts qui étaient en elle et les tendit devant sa bouche pour lui faire léché. Une fois fait, elle continua à la caressé comme un chat, mais laissa l’intimité tranquille. Il y avait un côté relaxant à la caressé comme ça, comme avec un vrai chat.
-Karuta…tu m’a prouvé que tu étais une soubrette efficace, une bonne chatte, tu es une esclave exemplaire. Je suis heureuse qu’on t’est offerte à moi.
Avec un sourire, elle vient lui déposer un baiser sur le sommet du crâne. Puis elle la prit alors dans ses bras pour la blottir contre elle, avant d’ajouté.
-Bien sûr, tu auras toujours à apprendre, mais tu es maintenant une de mes esclaves formée. Alors je vais vérifier si tu as bien appris. Je te laisse jusqu’à demain ou après-demain si tu veux plus de temps. En te servant de ce que tu as appris, je veux que tu me face un spectacle, une séance de plaisir ou ce que tu veux. Seule ou avec d’autre esclave ou maitresse, comme tu veux. Tu es libre, mais au moment du rendez-vous je veux, que sans autre consigne de ma part, tu arrives à me faire plaisir. Je te réserve une heure dans mon planning pour ça. Je te donne comme seule conseil, de te souvenir de tout ce qu’on as fait pour voir ce qui m’avais particulièrement plus.
Un teste qu’elle lui donnait, pour voir si elle était capable d’elle-même retrouvé ce qu’Evangeline avait aimer voir d’elle. Puis si elle était capable de l’exploité pour organisé quelque chose sans vraiment de détail de ce qu’elle en attend.
-
Alors que Karuta approchait de sa limite, elle sentit Evangeline enfoncer deux de ses doigts en elle et se mettre à la doigter. Ce plaisir supplémentaire était tout ce dont elle avait besoin pour atteindre l'orgasme.
« Aaahhh... nnnyyyaaa ! »
Après qu'elle ait joui, elle lécha les doigts que sa maîtresse tendit vers elle, goûtant sa propre mouille. Le plaisir était passé, maintenant elle savourait des caresses délicates et relaxantes sur les genoux de sa maîtresse. Cette dernière la félicita d'être une si bonne esclave et lui dit qu'elle était heureuse qu'on l'offre à elle.
« Mmrraaww... merci maîtresse. Moi aussi je suis heureuse... oouuhh... d'être votre esclave. »
Karuta se retrouva blottie contre Evangeline, qui lui demanda de mettre en œuvre son apprentissage : elle avait deux jours pour lui préparer une représentation prouvant qu'elle avait bien retenu ses leçons. Un spectacle, une séance de plaisir ou autre chose... peu importe mais elle devait montrer, seule ou avec d'autres, qu'elle avait bien compris comment mettre en œuvre son apprentissage pour faire plaisir à sa maîtresse.
« Bien compris maîtresse. Mmyyuu... je ferai de mon mieux pour vous satisfaire. »
Karuta essayait de ne pas trop le montrer mais elle était quand même inquiète. Faire preuve d'initiative, trouver des solutions par elle-même... elle n'aimait pas ça. Elle était faite pour obéir aux ordres, pas pour penser par elle-même. Mais Evangeline lui avait donné un ordre et elle devait l'exécuter. Pas question de la décevoir maintenant qu'elle semblait avoir été admise parmi les serviteurs du manoir.
« Voulez-vous continuer à me câliner maîtresse ? Sinon... ggrroouu... je peux retourner travailler... et réfléchir à ce que vous m'avez demandé. »
Même si elle ne savait pas ce qu'elle allait faire, elle avait déjà quelques idées pour savoir à qui elle allait demander de l'aide. Et peut-être que faire le ménage dans les couloirs l'aiderait à trouver une bonne idée.
-
Evangeline se doutait bien que l’ordre qu’elle venais de donné à Karuta n’était pas facile pour elle, mais c’était aussi le but. Une esclave devait pouvoir aussi satisfaire sa maitresse sans ordre direct. Elle lui laissa du temps, de toute façon si elle n’y arrivait pas Evangeline ne prévoyais pas de la rejeté. C’était un test de ses capacités rien de plus. Elle lui offrit encore quelque caresse, avant de répondre finalement à la demande Karuta.
-Oui retourne au travail et réfléchie bien à ce que je t’ai dit. Mais ne te prend pas la tête, tu n’auras pas de sanction si tu n’y arrive pas.
Finalement elle la relâchât et la laissa sortir de la pièce, puis se leva à son tour pour reprendre son travail. Elle avait à faire au temple au sommet du manoir. Maintenant il lui tardait de voir ce qu’elle allait faire, si elle allait le faire seule ou si elle allait demander de l’aide à une des filles avec qui elle avait fait quelque truc jusque-là. Peut-être qu’elle arriverait à la surprendre même autrement ?
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Evageline laissa Karuta retourner à son travail de maid. Bien sûr elle était déçue de quitter sa maîtresse mais elle savait qu'elle ne pouvait pas se l'approprier. Les autres esclaves devaient avoir envie de la voir aussi, et elle devait faire son travail. Elle devait aussi réfléchir à comment elle pourrait satisfaire sa maîtresse en comptant uniquement sur sa propre imagination.
De retour au travail, Karuta s'attela au ménage en nettoyant la poussière sur les meubles dans les couloirs. Tout devait être impeccable, c'était une question de respect envers sa maîtresse. Et bien sûr elle réfléchissait en parallèle à la représentation qu'elle allait lui offrir. Il y avait tellement de choses à décider : allait-elle faire ça seule ou allait-elle demander du renfort ? Allait-elle faire une prestation quelconque pour que ça fasse un genre de spectacle, ou bien allait-elle directement donner du sexe à sa maîtresse ? Le sexe était-il même obligatoire ? Sa seule consigne avait été de faire plaisir à sa maîtresse. Elle lui avait aussi conseillé de se souvenir de ce qu'elle avait déjà fait avec elle pour voir ce qui lui avait particulièrement plu. Et elle lui avait surtout appris comment la satisfaire d'un point de vue sexuel. Après, elle lui avait aussi montré qu'elle aimait quand sa servante se comportait comme un chaton avec elle. D'autant qu'elle pouvait se transformer maintenant.
Je pourrais lui organiser une réception... avec d'autres esclaves animaux... peut-être des dresseuses...
Karuta se garda l'idée en tête et continua d'y réfléchir le reste de la journée tandis qu'elle poursuivait son travail. Faire le ménage, nourrir les esclaves animaux... la jeune fille ne manquait pas de travail. Finalement elle se dit qu'elle tenait peut-être quelque chose mais elle allait avoir besoin d'aide. Avant que l'heure du dîner ne sonne elle se rendit dans le sous-sol du manoir pour retourner voir Angel (https://www.zupimages.net/viewer.php?id=20/31/zf8s.jpg), la dresseuse qui s'était occupée d'elle. Elle voulait avoir son avis sur l'idée qu'elle commençait à imaginer.
« Angel, je peux entrer ? »
La dresseuse était encore en train de travailler sur une autre esclave mais elle avait un peu de temps à accorder à la maid. Elle lui expliqua la demande d'Evageline et sollicita son aide.
« J'ai eu l'idée d'organiser un regroupement d'esclaves animaux pour faire une sorte de... comment dire... un café animal où maîtresse Evangeline pourrait boire son thé tout en étant entourée d'adorables animaux. Et bien sûr, qu'elle puisse jouir avec tous ces gentilles bêtes. Tu penses que ce serait faisable ? »
Pensait-elle seulement que c'était une bonne idée ?