Avec son allure d’innocente et de petite ange française, Sarah Fournier (https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/564x/29/5a/db/295adb177cfe50f52e6227fd5f3aca26.jpg), fille unique des richissimes Fournier, était l’une des élèves les plus populaires de Mishima, encore plus que d’autres belles blondes, comme Doutzen Kroes. Sarah était même une élève très appréciée, car, tout en étant déléguée de classe, elle était aussi membre du conseil des élèves, et avait même été élue Présidente de ce dernier. Avec sa voix souriante, sa magnifique chevelure blonde, ses talents en matière de gymnastique, de danse, de piano, ou de théâtre, faisaient d’elle l’élève-modèle japonaise. Elle était d’ailleurs aussi belle qu’humble, bien loin de la prétention et de l’arrogance qu’on associait habituellement aux Longs-Nez, terme peu affectueux pour désigner les Occidentaux.
Les Fournier étaient de riches bijoutiers français, qui, après un grand succès à Paris, avaient décidé de partir vivre au Japon, un pays qui les avait toujours fait rêver, et aussi pour se rapprocher de leur clientèle, majoritairement asiatique. À Seikusu, les Fournier disposaient d’un atelier de luxe, proposant des bijoux d’une valeur très élevée, tout en acceptant aussi de récupérer les bijoux dont les clients ne voulaient plus. Toute cette richesse avait permis à Sarah, dès son plus tendre âge, de recevoir une éducation très intensive, et ce d’autant plus que ses parents l’aimaient énormément, et qu’elle était d’une grande intelligence. Mélinda le savait, car elle avait consulté son dossier, et Sarah ne lui cachait absolument rien. Ainsi, elle savait que, dès l’âge de trois ans, Sarah savait lire, et, contrairement à bien d’autres humains, avait eu des désirs pour le sexe alors qu’elle était encore en primaire. Elle s’était ainsi masturbée très jeune, mais, quand elle avait réalisé que les autres enfants ne le faisaient pas, et étaient même sincèrement choqués quand elle en parlait, Sarah avait toujours intériorisé en elle ses fantasmes.
Ça, Mélinda l’avait su la première fois qu’elle avait discuté avec Sarah. Elle était en effet la déléguée de la classe de Mélinda, et, devant les absences répétées de cette dernière, avait demandé un entretien avec Mélinda. Une excuse officielle parfaite, et Mélinda avait reconnu que Sarah était douée, car il lui avait fallu un quart d’heure avant de comprendre que Sarah s’était renseignée sur elle, et savait que Mélinda était une Maîtresse, que son manoir était un baisodrôme géant. Elle ne savait pas tout, bien entendu, par exemple que sa camarade était une vampire venant de Terra, mais suffisamment pour que la vampire comprenne ce qu’elle voulait.
*Une Maîtresse... Une Maîtresse pour la former, et pour réaliser ses fantasmes...*
Mélinda avait commencé dès l’entretien, plaquant la jeune femme contre le mur, la prenant dans le dos, tout en susurrant dans le creux de son oreille quantité de choses qu’elle comptait lui faire. Elle avait senti Sarah mouiller sur place, et... En fait, Mélinda lui avait fait l’amour dans ce bureau, et, depuis lors, Sarah était son esclave. Une esclave extrêmement pratique, car, du fait de sa position au sein du conseil des élèves, elle pouvait aider Mélinda à couvrir ses absences, et ses multiples irrégularités au règlement. Sarah lui était donc bien pratique, et, pour la récompenser, Mélinda prenait soin d’elle.
C’était d’ailleurs ce qu’elle comptait faire aujourd’hui. Comme à son habitude, elle avait séché les cours, et avait sommé Sarah de la rejoindre pour le dernier cours de l’après-midi dans l’un des couloirs du lycée. Elle avait, pour l’occasion, enfilé une tenue très spéciale, puisqu’il s’agissait d’une robe noire en latex (http://img110.xooimage.com/files/9/d/e/m-linda_suit-49f4db1.jpg)... Ou, plutôt, d’un long corset noir avec des espèces d’élégantes fanfreluches blanches le long de ses cuisses, le tout agrémenté de longs collants, et de gants.
Mélinda avait enfilé cette tenue en entrant dans le lycée, et attendait maintenant Sarah. Quand la belle Française s’approcha, à vingt minutes de la fin des cours, Mélinda lui sourit, salivant sur son corps magnifique, sur ses magnifiques yeux bleus, sur sa longue et élégante chevelure blonde, sur cet air d’innocence et de bonté qui se dégageait d’elle.
« Alors, ma chérie... »
Elle lui souriait malicieusement, et posa autoritairement sa main sur son menton, serrant un peu, avant d’aller l’embrasser.
« Tu t’es bien masturbée aujourd’hui ? Car moi, je n’ai pas cessé de penser à toi... Et au fait que cela faisait longtemps que je ne t’avais pas baisé un bon coup... Bien trop longtemps, en fait ! »
Mélinda aurait pu venir la prendre dès le début du cours, mais elle savait combien Sarah était attachée à ce que personne ne sache ce qu’elle aimait vraiment, car, quand elle était petite, et qu’elle avait confessé se masturber à ses camarades, elle en avait souffert, car ses parents l’avaient su. Depuis lors, elle s’efforçait pour que personne ne le sache, et Mélinda, en conséquence, jouait beaucoup là-dessus, sur sa nervosité, et sur les sentiments paradoxaux qu’elle devait ressentir quand elle lui faisait des propositions salaces...
Des offres qu’elle ne pouvait évidemment pas refuser.
La particularité de Sarah, c’est qu’elle était parfaite, et voulait être parfaite. Elle était intelligente, cultivée, dévouée, aimante, belle. La jeune fille avait tout pour réussir. Au conseil des élèves, elle était une déléguée influente, et faisait la fierté de ses familles, avec une moyenne générale qui crevait les plafonds. Autrement dit, ce que Sarah cherchait n’était pas un petit-ami, mais bien une Maîtresse, une femme qui la formerait sexuellement. Sarah avait probablement dû essayer d’apprendre à gérer par elle-même ses pulsions, avant de finir par se convaincre qu’elle avait besoin d’une formation en la matière. C’est comme ça que Mélinda était intervenue.
Sarah était pleine de promesses, non seulement à court terme, mais aussi à long terme. Mélinda avait de grands projets pour elle, des projets qui dépassaient de loin le fait de la transformer en une prostituée. Elle savait que Sarah Fournier était disposée à être riche, et Mélinda la voyait bien, plus tard, devenir une très influente femme d’affaires, qui, tout en même temps, resterait son esclave. Les idées fourmillaient dans sa tête, mais, pour l’heure, elle allait juste se contenter de jouer avec elle.
La belle blondinette lui avoua qu’elle s’était beaucoup caressée aujourd’hui, ce qui fit sourire Mélinda.
« J’ai donc bien fait de plus te remettre ta cage de chasteté, n’est-ce pas ? »
Il y a quelques jours, Mélinda l’avait forcé à aller en cours avec une cage de chasteté. Il était fréquent qu’elle dote ses esclaves d’outils de ce genre, et les plus endurantes avaient, non seulement droit à la cage, mais aussi à deux vibromasseurs qui remuaient en elle. Pour l’heure, Mélinda n’avait pas encore doté Sarah d’un tel appareil, mais, quand son esclave lui indiqua s’être caressée plus d’une dizaine de fois, la Maîtresse se dit que, finalement, ce ne serait pas une mauvaise idée.
Sa main gantée caressa le visage de Sarah, son pouce glissant sur ses lèvres, et, avec l’autre, elle déboutonna le chemisier de la femme, sentant ses seins pointer, ses tétons durcissant furieusement, tandis que Sarah recommençait à mouiller, son sang palpitant furieusement dans ses veines. Une lueur malicieuse traversa alors les yeux de la femme.
« Bien... Nous allons commencer, ma chérie, parce que j’ai un programme très chargé pour toi ! »
Les doigts de Mélinda s’approchèrent de sa culotte, et elle tira dessus, venant al déchirer rapidement, puis la laissa avec ses collants.
« Mets-toi vite à quatre pattes, petite pute... »
Mélinda lui sourit, et la laissa se positionner, en plein milieu du couloir, face à une porte menant à une salle de cours. Dire que, d’ici vingt minutes environ, cette porte s’ouvrirait... Ce risque-là n’était-il pas terriblement excitant ? Et si quelqu’un sortait précipitamment, pour aller aux toilettes ? Ou si on entendait Sarah couiner ou gémir ?
« Il ne tient qu’à toi de ne pas faire trop de bruits... »
Et, comme pour la provoquer davantage, Mélinda la gifla alors, puis guida ensuite son sexe, et l’enfonça dans son vagin trempé, commençant ainsi à la pénétrer.
« Hmmmm.. Ouiiii... !! »