Le Grand Jeu

Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Dictature d'Ashnard => Discussion démarrée par: Fusmun le lundi 03 octobre 2016, 19:14:33

Titre: La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le lundi 03 octobre 2016, 19:14:33
Voila bien une semaine que mon ancienne maîtresse est morte. En même temps je m'y attendais. Quand les humains commencent à se flétrir et à avoir des cheveux blancs, c'est signe qu'ils vont bientôt mourir. Nous autre les dragons nous traversons les siècles et en ce qui concerne les humains c'est presque un miracle s'ils dépassent les 100 ans. C'est dommage, je l'aimais bien, elle me traitais avec respect et elle me nourrissait bien.

Mon attachement envers elle était tel qu'elle n'avais plus besoin d'avoir recours à l'anneau pour me commander. Afin de payer pour ses soins et ma nourriture au crépuscule de sa vie, elle avait vendu tout ses biens en viager à ce qui était un charmant jeune homme très riche. Aujourd'hui, il n'est plus aussi charmant et agréable qu'a l'époque. Jouait il la comédie à l'époque? ou bien les affres de la vie et du temps l'on il corrompu? Je ne sait pas si j'aurais un jour la réponse. Quoi qu'il en soit, il était à présent le porteur de l'anneau et je lui devais obéissance.

Je n'étais pas forcément enthousiaste à cette idée mais je devais m'y faire. Ce lien de soumission est vraiment contraignant entre les mains des mauvaises personnes. Cette bague régissait ma vie depuis que je suis sortit de l'œuf, parfois c'était une bonne chose et d'autres fois ça ne l'était pas. Pour ce cas bien précis, ça ne l'était pas. Mais la personne qui m'as imposé ce lien à quand même bien fait les choses car j'avais la possibilité de me soustraire à certains des ordres que l'on me donnait et avec cette personne bien précise, je ne me gênais pas pour en user et même en abuser.

Si à l'époque mon ancienne maîtresse avait vu qui il allais devenir ou qui il était, elle m'aurais sans doute demander de le manger, ce que je compte bien faire si jamais il refuse de me nourrir. Je me suis mis à mépriser ce triste sire depuis qu'il m'as demander d'arracher la tête d'une jeune terranide qui l'avais griffé après qu'il l'ai presque battu à mort.

J'ai refusé bien sur et comme il à vu que le lien ne marchais pas, il n'as pas insisté et ne la plus toucher car je lui avais bien fait comprendre qu'elle était sous ma protection. Cet évènement avait tellement ébranlé son autorité auprès des esclaves qu'il à rapidement décider de me mettre en vente sur le marché aux esclaves d'Ashnard, car il sentais qu'il commençait à perdre de son emprise sur moi et cela le terrifiais car il savais de quoi les dragons sont capable.

Me voici donc dans une cage dont je pourrais facilement tordre ou faire fondre les barreaux, mais mon "maître" m'as interdit de le faire, donc j'y reste bien sagement. N'ayant rien à faire, je me mets à observer le paysage qui est des plus monotone. Par conséquent, je change d'avis et me mets à discuter avec les autres esclaves. La route était très cahoteuse et particulièrement désagréable. Dire que dans quelques siècles j'aurais des ailes. Mais bon c'est pas pour tout de suite.

Je regarda tristement mes habits, ma tenue de Neko-Maid que m'avais offerte ma maîtresse à mon arrivée chez elle avais subit le passage du temps, mais je ne me suis jamais résigné à mettre autre chose car je me souviens clairement quand elle me l'a offerte. C'était mon premier cadeau. Cela fait remonter de nombreux souvenirs et je me sent nostalgique. Finalement, les rempart de la ville sont à portée de vue.

Mon "maître" ayant clairement énoncé son envie de me vendre, je me demande à quoi ressemblera le ou la prochaine. Tant qu'il me demande pas d'exécuter de faibles créatures sans défense et qu'il me nourrit bien ça ira pour lui ou elle de toute façon. Dans mon malheur, j'ai quand même la chance d'être un dragon car les m"aîtres sont moins enclin à faire du mal à une créature capable de leurs arracher un bras d'un simple coup de dent. Plus on s'enfonce dans le centre de la ville plus la population se fait plus dense.

De nombreux badauds attirés par ma personne viennent s'attrouper sur les côtés du chariot qui me transporte. Les gens chuchotaient sur le fait qu'il allait y avoir un dragon sur le marché aux esclaves. Je dois admettre sans être orgueilleux que les dragons esclaves comme moi sont d'une rareté absolue car pour mettre une créature aussi puissante à son service, ce n'est pas chose aisée.

Dans mon cas, il s'agit d'une sorcière qui à voler mon œuf dans le nid de mes parents et à enfermé une de mes écailles dans un morceau d'ambre qu'elle à scellé dans une bague en or pour ensuite relier l'objet par un lien de soumission avec le collier qu'elle à mis autour de mon cous alors que je suis à peine sortit de l'œuf. Ce qui est assez pratique, c'est que le collier grandit en même temps que moi. Enfin, je n'y connais pas long en magie mais quoi qu'il en soit c'est pratique dans un sens....sauf si mon cou me démange. C'est un peu ma hantise.

Car si je touche le collier, je deviens l'équivalent d'un sac de patates à écaille. J'ai essayé quand j'étais plus petit et depuis, je n'ai jamais réessayé. La préparation de l'état est longue et alors que l'on me fait sortir je m'étire un peu et respire l'air presque frais de cette citée et à peine je commence à me dégourdir les jambes voila que mon propriétaire viens m'aboyer l'ordre d'aider à décharger les cages. Je m'exécuta mais avec une extrême lenteur pour l'embêter d'une part, mais aussi parce qu'il y avait des terranides à l'intérieur et je ne voulais pas les secouer plus qu'elles ne l'avaient été durant le voyage.

Malgré le fait qu'il m'intime l'ordre d'aller plus vite, je n'en faisait rien car le collier ne se resserrais pas, je faisais attention à la santé et la sécurité d'un être vivant innocent et le sort ne marche pas quand on me demande de passer outre. Cela appartient à ma propre volonté. Il est possible de m'interdire de faire du mal mais impossible de me forcer à faire du mal.

La magicienne qui m'a posé ce collier à quand même fait du beau travail à ce sujet, il faut bien le reconnaitre. Toujours est il qu'une fois tout en place, il ne restait plus qu'a attrouper les badauds pour leur vendre la marchandise. Il se mit alors à beugler d'une voix grasse le genre de truc que l'on beugle pour attirerr les gens.

Venez mesdames et messieurs Venez admirer BLA BLA BLA BLA... Argh! J'ai vraiment l'impression d'être juste un morceau de viande et je me sent tiraillé entre l'envie de faire foirer ses ventes de la journée et celle de rester sage pour prendre congé au plus vite de sa désagréable présence.... Mais j'en doute un peu car il demande une somme assez conséquente pour ma personne. Je me sent un peu flatté mais je sait qu'il affiche ce prix par pure vénalité car intérieurement je sais qu'il me vendrais pour à peine dix pièces d'or. Je me demande s'il y a quelqu'un d'assez riche pour m'acheter dans cette foule.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 07 octobre 2016, 02:13:41
« Je n’ai jamais trop aimé cet endroit, Maîtresse...
 -  Je comprends ça, Rosaline (http://img110.xooimage.com/files/c/a/4/rosalina-508eb55.png), mais ce n’est plus toi qui es sur les stands, maintenant... »

Sa Maîtresse avait raison, bien entendu, mais, même en énonçant cette vérité, elle était quand même nerveuse. Rosaline, ou Rose, comme on l’appelait plus simplement, avait été vendue enfant, et avait passé de nombreux jours sur un stand, palpée par de multiples pervers libidineux, battue par son propriétaire quand elle pleurait. Ces évènements avaient traumatisé la jeune Rose, qui avait tenté de s’enfuir, et avait été rattrapée. Alors qu’elle allait se faire sévèrement corriger, Mélinda était intervenue, surprenant l’altercation, et avait fait une proposition d’achat bien au-dessus du marché. Depuis lors, Rosaline vivait un moment parfait, un véritable paradis.

Aujourd’hui, elle portait une tenue très élégante, celle qu’elle portait souvent au harem. Elle se composait d’un haut rouge en cuir largement ouvert, ne couvrant que ses hanches et ses côtes, dissimulant également ses lourds seins par le biais de plumes blanches, la tenue se terminant en une longue cape tripartite dans son dos, moulant légèrement ses fesses. De magnifiques collants blancs filaient également le long de ses jambes, et un parfum très sensuel se dégageait de son cou, amenant quantité de gens à les regarder. Mélinda et Rosaline étaient néanmoins accompagnées de Bran (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?action=profile;u=4797), son grand-frère et son protecteur.

Aujourd’hui, c’était la foire aux esclaves, et Mélinda s’avançait le long des étals, faisant ses emplettes. Elle envoyait parfois juste une esclave agir en son nom, mais, aujourd’hui, elle avait décidé d’y aller en personne. Il y avait, en effet, un arrivage de créatures exotiques, et Mélinda était, ce faisant, assez intéressée. Ce genre de Terranides renforceraient la valeur marchande du harem, et elle s’aventurait donc, jusqu’à voir un petit attroupement.

« Woow, c’est incroyable !
 -  J’aurais jamais cru voir ça, c’est... C’est un Terranide-dragon ! »

Le terme attira immédiatement l’attention de Mélinda.

*Un Terranide-dragon ? Ça existe ?*

Intriguée, la jeune vampire se rapprocha, se frayant un chemin parmi la foule, pour voir le Terranide-dragon, en tenue de maid, dans une cage, sur une estrade, avec un vendeur devant, qui s’adressait à la foule :

« Et oui, mes braves, un Terranide-dragon, si fait ! Un vrai de vrai, que j’vous dis ! R’gardez-le, mais regardez-le donc ! Et docile ! Grâce à ce collier, fit-il en brandissant l’objet, vous pouvez le contrôler comme vous voulez ! Le collier a été enchanté, vous voyez, enchanté par une magicienne, et contient une écaille du dragon, ce qui fait qu’il fera tout ce qu’on lui ordonne ! Vous voulez une démonstration ? Que quelqu’un lui donne un ordre, allez, n’importe lequel ! »

Il se rapprocha de l’assemblée, présentant le collier. C’était une technique usuelle chez les marchands, car il y avait souvent un de leurs complices dans la foule, qui se chargeait de faire le client surpris. Cependant, cette fois, Mélinda fut plus rapide qu’un éventuel client, car elle attrapa le collier, l’arrachant presque des mains du vendeur, et se retourna vers le Terranide-dragon. Quoique un peu surpris, le vendeur laissa faire.

Mélinda observa le jeune dragonnet, et finit par se mettre à parler, tenant le collier entre ses doigts :

« Retire ta robe de maid ! »
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le vendredi 07 octobre 2016, 08:29:43
J'écouta le blabla du marchand d'un air agacé. Au moment ou il enleva l'anneau, je fûs saisi de l'envie de tordre les barreaux car sans porteur, je ne suis plus lié à aucun ordre. Cependant, Une jeune humaine s'empara de l'objet et l'avais maintenant entre les doigts, elle était toute mignonne et adorable et elle s'était avancée vers moi pour m'ordonner de retirer ma robe. Je la regarda d'un air amusé et n'en fit rien car étant donné qu'elle n'a pas enfilé l'anneau, je n'étais pas tenu d'obéir. Je lui dis donc d'une voix taquine :

Pour que ça marche tu est sensé passer l'anneau à ton doigt fillette, mais mes habits sont vieux et tu est une adorable petite humaine donc je vais t'accorder ce plaisir!

Étant un dragon, mes organes génitaux au repos sont rangés dans une poche d'écaille, je n'avais donc aucun problème pour retirer mes vêtements. N'étant plus lié à aucun ordre, je tordis légèrement les barreaux qui me retenais prisonnier pour pouvoir sortir ma tête et lui faire un joli sourire pour ensuite continuer la discussion.

Au fait, à propos de cet anneaux, est tu certaines de vouloir endosser cette responsabilité? Il n'as pas tout pouvoir sur moi, je possède une certaine dose de liberté et certains de mes anciens maîtres en abusant de ce pouvoir se sont retrouvés dans mon estomac. Par exemple, l'homme derrière toi sensé me vendre est proche de devenir mon diner car en abusant de son pouvoir sur moi il à perdu son emprise sur ma personne. Ce genre de choses aussi pourrais t'arriver tu sais? Mais je te rassure, si tu m'achète, je me dévouerai à toi à condition que tu respecte les règles bien sur.

Je tordis alors totalement les barreaux et plia la cage en deux pour en sortir et m'étira car comme je n'avais plus besoin d'obeir au marchand, je pouvais faire un peu comme bon me semble. La foule eut un mouvement de recul et quelques petits cris effrayés se firent entendre car même si ma silhouette était graçieuse et féminine, je n'en suis pas moins une force de la nature. Je m'avança vers la jeune fille, posa un genou à terre et m'inclina respectueusement puis lui expliqua les règles :

Du moment que tu ne porte point atteinte à ma santé ou à celui d'une âme innocente, je serais ton dévoué serviteur, dans le cas contraire, je briserai la chaine qui me retiens et fera de toi mon diner.

C'est alors que la voix du vendeur s'éleva à mon encontre mais un regard mauvais le dissuada d'approcher. Déjà qu'il n'osait pas me faire du mal en portant l'anneau, je le vois mal le faire sans. Néanmoins la fillette avait gagné ma sympathie car son côté pervers me faisait penser à ma précédente propriétaire et cette jeune fille allait sans doute vivre encore 60 ou 70 ans au mieux. De plus les humains un peu pervers dans son genre sont les plus respectueux et les plus attentionnés. Le temps me le dira de toute façon. Quoi qu'il en soit, le marchand récupéra l'anneau et m'aboya de remettre la cage en état et d'y retourner. Le bougre était rouge de colère car ma petite scène avait fait fuir au moins la moitié de sa clientèle.

Il faut dire qu'un dragon sortant d'une cage sans controle est terrifiant pour les petits humains. Effrayer ses créatures est tellement simple car elles sont si faible que pour moi c'est comme un jeu. ça m'amuse de les voir courir dans tout les sens. En ce qui me concerne, que l'on m'achète ou pas m'indifférais un peu car de toute manière mon "maître" actuel n'en avais plus pour longtemps vu que dans son exces de colère et à cause de la honte subie il avait le fouet à la main, s'il est assez fou pour l'utiliser, je n'aurais pas besoin de manger ce soir. Je voyais qu'il était sur le point de basculer et le salua d'un air narquois pour le tenter à tomber dans sa propre folie.

Le voila donc qui arme son bras et l'abat sur moi en vociférant "sale bête"....ses derniers mots... je sortis alors lentement de ma cage, et avança vers lui à pas lent, il me frappa encore et encore mais sa misérable liane de cuir ne me faisait aucun mal, il en faut bien plus pour endommager mon armure d'écaille. Pour moi la morsure du fouet n'est qu'une désagréable et bruyante démangeaison. Je lui saisit alors le bras portant l'anneau et à mesure qu'il me hurlais d'arrêter, je lui arracha les bras et la tête. Le sang se mit à gicler et son odeur envahi mes naseaux. Je jeta alors le bras portant l'anneau après avoir mordu dedans et avalé une bouchée au pied de la foule et dis d'un air satisfait :

Des volontaires pour devenir mon nouveau maître? C'est une offre exceptionnelle mon prix viens subitement de descendre à zéro pièces d'or!

Tels étaient les règles ne pas porter atteinte à ma personne ou aux innocents et il avait violé ses deux règles dans la même journée. Il à choisit sa fin. Avoir un dragon à son service est un privilège dont il faut savoir se montrer digne car même si je porte cette chaine autour du coup, en passant l'anneau à son doigt, le porteur de l'anneau en mets une autour de sa vie. Toujours est il de savoir qui à présent s'emparera de l'anneau étant donné que je suis incapable de m'en emparer moi même.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 08 octobre 2016, 02:13:50
Ce qui se passa lors de cette présentation fut... Inattendue. Le Terranide-dragon se retourna contre son vendeur, et, sous les yeux médusés de son assistance, le démembra et le décapita dans la foulée, le sang venant jaillir tout autour de son cadavre déchiqueté. Il y eut un léger moment de flottement, d’incompréhension, tandis que le sang éclatait sur le sol, aspergeant aussi les plus proches personnes, dont Mélinda et Rosaline, qui eut le temps de voir l’anneau de contrôle tomber sur le sol, atterrissant entre ses jambes... Puis les gens hurlèrent, et s’enfuirent rapidement.

« Fou ! Il est devenu fou !
 -  Au secours, à moi !! »

Les Ashnardiens n’étaient pas plus suicidaires que les Nexusiens face à un Terranide surpuissant qui perdrait la raison. On ne pouvait que sermonner le vendeur pour sa bêtise, car un Terranide-dragon était en effet une bête dangereuse. La panique se propagea rapidement, et, depuis les tours de guet entourant le marché, on tira sur des cloches d’alarmes, signalant aux individus de se retirer, tandis que des gardes ashnardiens, portant d’épaisses armures de plates intégrales dorées, s’approchèrent, écartant sans ménagement les badauds. Depuis les tours de guet entourant la place, des archers ciblèrent alors le Terranide-dragon, et décochèrent des flèches, qui se brisèrent contre ses solides écailles.

Fort heureusement pour eux, ces francs-tireurs disposaient d’autres ressources. La magie faisait partie intégrante de Terra, et c’était particulièrement vrai pour l’Empire ashnardien, dont la plupart des soldats avaient des pouvoirs magiques qu’ils apprenaient à développer pendant leurs années de formation. Les gardes impériaux de la capitale n’avaient rien à voir avec les gardes des provinces. Formés et expérimentés, ils étaient redoutables, et, rapidement, leurs flèches s’enflammèrent, et ils décochèrent des flèches explosives. Fusant en sifflant, ces flèches explosaient au contact, tandis que les gardes se rapprochaient.

« Place, manants !  Faites place ! »

Le capitaine de la garde était devant, portant une longue cape noire, avec un heaume avec deux cornes. De la main droite, il écartait les individus, tout en chargeant sa magie dans la paume de sa main gauche, formant une boule lumineuse chargée d’arcs électriques qui crépitaient autour. Quand il approcha du stand, sa main se tendit, et la sphère électrique jaillit à toute allure, provoquant une épaisse explosion électrique. Une frappe préventive, car il s’avéra que le stand était vide.

« Il s’est enfui ! Retrouvez-le ! Bouclez le quartier ! »

La place du marché se situait dans l’un des quartiers agréables d’Ashnard, constitués de multiples artères et ruelles commerciales. Il y avait donc une importante concentration de soldats, qui disposaient de procédures et de plans à suivre dans ce genre de situations. La discipline était le mot d’ordre de l’armée impériale.

Et, pendant que le monde cherchait Fusmun, Mélinda et Rosalina s’étaient éloignées, rejoignant une ruelle éloignée.

« Quelle merde... Et on se demande pourquoi je n’aime pas la magie !
 -  Ça dépend quelle magie... » sourit malicieusement Rosaline.

Elle tremblait un peu, ayant, après tout, vu un démembrement sous ses yeux, suivie d’une décapitation. Mélinda se retourna vers elle, et soupira lentement.

« Ne t’en fais pas, Rose, il ne t’arrivera rien, je te le promets. »

Elle lui montra alors un objet qu’elle avait récupéré : le fameux anneau du vendeur.

« Toutefois, je crois qu’il faut aussi lui mettre le collier autour du cou... Si jamais il nous retrouve.
 -  On... On devrait rentrer au harem. »

Rosaline était blême, marquée par ce qu’elle avait vu, une chose que Mélinda pouvait comprendre, car elle était une grande sensible. Elle, elle ne regrettait pas la mort du vendeur, elle se disait surtout que ce Fusmun était puissant... Et ferait très bien dans son harem, pour peu qu’elle arrive à le contrôler.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le samedi 08 octobre 2016, 12:28:01
Dans mon empressement à déchiqueter l'idiot ayant levé la main sur moi, j'avais complètement oublié que j'étais dans une citée humaine. Bien que les humains soient faible, ils sont quand même sacrément nombreux. C'est que ça se reproduit vite ces petites bêtes là! Bref, une pluie de flèches s'abattit sur moi en représailles du mouvement de panique que j'avais crée. J'avais l'impression de me faire piquer par une nuée d'insecte, c'est très désagréable, mais pas dangereux. Puis ensuite les flèches furent recouvertes de flammes et se mirent à exploser lors de la deuxième salves.

Ne savent ils donc pas que les dragons sont immunisé au feu. bref ces explosions étaient pour moi comme un baume apaisant mais je n'allais pas riposter, je ne suis pas stupide, et c'est ce qui me permit de m'enfuir. Car le fait que les gardes pensent que je suis un animal enragé à joué en ma faveur. Je cracha du feu et créa alors un épais nuage de fumée noire complètement opaque et en profita pour tirer ma révérence en profitant du fait qu'ils pensait que j'étais assez bête pour rester sur place et continuer mon carnage. Entre parenthèses, ce sont les humains qui ont générer tout le carnage et les dommages collatéraux, pas moi!

Bref toujours est il que je profita de la confusion générale pour aller me cacher en sous sol dans les égouts car les grandes villes ont toutes plus ou moins un système d'évacuation des eaux usées. Je me mis alors à marcher dans les tunnels pour me trouver un refuge. Bien qu'a certains endroits, je devais ramper, je finis par trouver un endroit assez spacieux et décida de faire une halte. Mon collier me démangeais le cou, signe que j'étais éloigné de l'anneau mais comme c'étais léger, j'en déduisais que je devais être à environ 5 à 8 kilomètres de distance.

Je décida alors de faire une petite sieste. A mon réveil, je continua ma route dans ce système d'égout. L'endroit sentais le souffre, bon à savoir car si un problème surviens il me suffira d'une petite flammèche pour tout carboniser. Ce qui est pratique c'est que mon collier m'indiquait la direction à suivre grâce à la clochette qui y étais attaché. Vu que je ne pouvais pas rester en surface à cause des gardes qui me cherchaient, je progressais dans les égouts. Je mis environ deux semaines à parcourir la distance. Heureusement pour me nourrir, je sortais la nuit et dévorais un clochard ou deux.

Les humains ont une très mauvaise vision nocturne contrairement aux dragons car nous vivons la majorité dans des cavernes obscures donc niveau vision nocturne, nous sommes assez bien doté de ce côté. Quoi qu'il en soit, je me trouvais à présent plusieurs mètres en dessous de l'anneau. Je décida donc d'attendre la nuit pour le rejoindre.

Le soir venu je sortis la tête des égouts et vit un grand bâtiment. Je sentais que l'anneau était la, mon collier me le faisait sentir. L'entrée était gardée, mais pas les murs et mes griffes pénètrent la roche sans problème. J'escalada donc le mur et le parcourut jusqu'à trouver une fenêtre ouverte. J'atterris dans une chambre vide. C'était une bonne chose que jusque la je n'ai pas été repéré.... Mais comment cela se fait il que cette fenêtre soit ouverte? C'est étonnant! En y regardant de plus près, je me rendis bien compte que je n'étais pas le seul intrus ici car si cette fenêtre était ouverte c'est qu'elle l'avais été de force.

Soudains, des cris de paniques se firent entendre. Je ne sais pas vraiment ce qui ce passe mais je peux entendre qu'il y a du grabuge et tout à coup, je me sentis submerger par un frisson. Quelqu'un venais de passer l'anneau à son doigt et j'entendis alors une voix m'appeler à l'aide dans ma tête. Mon instinct sentant que le nouveau porteur de l'anneau appelait, pris le dessus et je me mit à courir de toutes mes forces passant à travers les portes sans perdre mon temps à les ouvrir. L'appel se faisait de plus en plus fort et je rua de toutes mes forces faisant voler les portes en éclat sur mon passage quand je tomba sur le ou plutôt la porteuse de l'anneau.

Je ne savais pas pourquoi mais elle semblais encore plus terrifiée de me voir et se terra dans un coin.

Hey! tu m'as appelé! je suis la pour t'aider! lui dis je!

Ma voix était si puissante et ferme qu'elle compris que j'étais la pour aider. Elle secoua alors la tête et me répondit d'aller sauver sa maîtresse car des chasseurs du clan Belmont sont après elle! Je n'avais pas le temps ni l'option de discuter et suivit donc les bruits du combat pour porter secours afin de suivre les ordres de la porteuse de l'anneau. J'enfonça quelques portes de plus pour tomber sur un groupe en train de se livrer bataille. D'un côté il y avais deux humains légèrement vêtus et de l'autre, quatre types encagoulé avec des espèces de croix et des arbalètes.

La logique élémentaire me poussa à cracher des flammes sur les personnes masquées de plus comme j'arrivais dans leurs dos, ils mirent un instant à réagir mais au moins j'en avais brulé un vif et la douleur était telle qu'il sauta par la fenêtre. L'un d'eux me tira dessus avec son arbalète, mais le projectile n'était qu'un vulgaire pieux en bois. Même pas de pointe en métal, et leurs épées étaient en argent, quelle bandes d'amateurs! Pourquoi prendre des armes en argent? l'acier est bien moins cher et plus efficace et solide. Quelle bande de m'as tu vu. Comprenant qu'ils n'étaient pas bien équipé, ils se mirent à utiliser de la magie mais de façon bien stupide.

De deux choses l'une soit ils sont complètement stupide soit il n'ont appris que des sorts de pyromancie. Dans tout les cas, les assaillants concentrant leurs assauts sur moi, ils furent vite dépassés et occis. Je resta un peu circonspect face à ses cadavres d'assaillants pourvu de croix et de ce qui semble être des bombes à eau. Quoi qu'il en soit, le silence s'abattit et ma nouvelle maîtresse pointa le bout de son nez avant de se ruer dans la pièce et prendre la jeune fille qui était tantôt attaquée dans ses bras. Je me sentit un peu comme un chien au milieu d'un jeu de quilles. Il me semble quand même avoir vu leurs visages quelque part, mais je ne me rappelle plus ou et décida donc de faire bruler un cadavre pour commencer à le manger en attendant que l'on s'intéresse à moi.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 09 octobre 2016, 11:15:17
Le corps se trémoussait contre le sien, la chair claquait contre la chair, les soupirs résonnaient dans la pièce. Mélinda sentit les mains de Rosaline se crisper sur ses fesses, les pinçant, pendant qu’elle continuait à la prendre, glissant sauvagement en elle, sa virilité se perdant dans son intimité. Le sexe était une thérapie très efficace, et Rosaline en faisait les frais. Dans sa chambre, elle sentait sa Maîtresse la prendre avec énergie, depuis maintenant une bonne heure. L’incident au marché était encore dans leur mémoire, surtout dans celle Rosaline. Elle avait être plus grande que Mélinda, elle était beaucoup plus sensible qu’elle, et le meilleur moyen de la calmer était encore de s’occuper d’elle. Mélinda s’évertua donc à la pénétrer rudement et vivement, sa queue défonçant sa chatte, filant d’avant en arrière, la faisant hurler et gémir.

Rosaline resta couchée sur le lit, tandis que Mélinda, après avoir joui en elle, répandant sa semence dans son corps, se redressa un peu. Elle se recoucha néanmoins bien rapidement, se vautrant contre les très confortables seins de la jeune femme rousse. La main de Rosaline se posa alors sur sa tête, et elle soupira à son tour.

« Hmmmm... Merci, Maîtresse... »

Manifestement soulagée, Rosaline ferma les yeux, et Mélinda resta également couchée contre elle. En soi, son absence n’empêchait nullement le harem de tourner, car ses esclaves étaient suffisamment grandes pour pouvoir se débrouiller sans elle. Pour l’heure, c’était Rosaline qui avait besoin d’elle, et son corps était vraiment très agréable, à la fois chaud et doux. Fermant les yeux, Mélinda se laissait donc bercer par les caresses et les soupirs de Rosaline, tout en pensant encore à ce mystérieux dragon rose qu’elle avait aperçu tantôt.



Quelques heures après, tandis que Rosaline remettait ses vêtements, elle constata que Mélinda avait laissé sur sa table de chevet l’anneau de contrôle du dragon.

*Bizarre qu’elle l’ait oublié...*

Ce genre de choses ne lui ressemblaient pas, mais Rosaline comprenait aussi que sa Maîtresse avait un emploi du temps très chargé. Rosaline observa silencieusement l’anneau, plongée dans ses réflexions... Puis entendit du bruit venant d’une chambre à côté, normalement vide ce soir.

*Que... ?!*

Perturbée, la jeune femme se rapprocha de la porte, et vit un client... Qui avait visiblement ouvert la fenêtre, aidant d’autres individus à rentrer.

*Mon Dieu, une agression !*

Le cœur de Rosaline se mit à remuer nerveusement dans sa poitrine, tandis que, adossée contre le mur, elle entendait les individus parler, se mordillant les lèvres, sous l’effet de la peur. Ce n’était pas la première fois que le harem subissait des assauts, et, depuis que sa Maîtresse avait choisi de devenir la Matriarche d’un clan, ces assauts étaient même devenus récurrents.

« Ces runes sont vraiment pratiques, nous avons pu passer les protections magiques grâce à elles...
 -  Et, maintenant, allons tuer la salope de vampire... »

Rosaline se pinça à nouveau les lèvres, et se dépêcha de s’écarter, nerveuse. Elle n’était pas une combattante, et eut le temps de se réfugier dans sa chambre. Les tueurs passèrent. Depuis que sa Maîtresse avait décidé de former un clan, elle s’était heurtée à l’hostilité des autres clans, notamment celui des Nefarius, qui n’avait pas hésité à engager des tueurs pour l’éliminer. Rosaline était sûre que ces types, avec leurs épées et leurs arbalètes, faisaient partie d’une autre faction, et avaient visiblement reçu des informations précises pour leur permettre d’entrer en contournant les défenses du harem.

La jeune femme remarqua alors ce mystérieux anneau. Difficile, par la suite, de dire ce qui l’amena à appuyer dessus, ou à invoquer Fusmun, surtout après ce qu’elle avait vu. Peut-être fut-ce seulement inconscient, mais c’est ce qu’elle fit. Elle eut ainsi la surprise de voir, seulement quelques minutes après, le dragon vert arriver. Paniquée, Rosaline réussit néanmoins à balbutier que sa Maîtresse se faisait attaquer, et Fusmun s’élança vers elle.

Mélinda se trouvait dans un salon circulaire entouré de colonnes, où l’attaque des chasseurs de vampires avait rapidement été perçue par son grand-frère, Bran Warren (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?action=profile;u=4797). Torse nu comme souvent, le puissant et beau vampire attaqua l’un des chasseurs, l’égorgeant sur place, avant de fondre sur un autre, plantant ses griffes dans son corps, avant de le mordre au cou, plantant ses crocs, atteignant rapidement la jugulaire, qu’il sectionna, provoquant une hémorragie interne. Un carreau d’arbalète se ficha alors dans son dos, et il se retourna, furieux. Du sang coulait de son dos, mais il ne fallait plus pour abattre un vampire de sa carrure. Il s’élança avec une rapidité effrayante vers l’impudent, et ses griffes entaillèrent sa côte de mailles, s’enfonçant sur plusieurs centimètres de profondeur dans son estomac, ses intestins vomis par ce dernier.

C’est à cet instant que la porte du petit salon explosa, libérant une créature verte qui cracha un jet de flammes sur l’un des tueurs, le faisant hurler de douleur.

«  Fusmun ?! » s’exclama une Mélinda surprise.

Que diable faisait-il là ? Avec son aide, il fut néanmoins assez facile de se débarrasser de ces derniers amateurs. Fusmun carbonisa par la suite un cadavre, s’en approchant pour le manger. Pendant ce temps, Rosaline, qui s’était prudemment rapprochée, observa la scène depuis le palier de la porte, espérant que l’anneau permettrait de contenir le dragon. Mélinda, elle, qui n’avait pas oublié la puissance du Terranide-dragon, s’approcha lentement de lui. Bran, de son côté, se tenait également prêt à bondir. Ses griffes étaient redoutables, mais il ne pensait pas qu’elles perceraient ses écailles. En revanche, il estimait que, avec ses dents, il pouvait le faire. Fusmun était un hybride, et devait donc avoir des écailles moins résistantes que des dragons normaux. De plus, les dents d’un vampire étaient particulièrement tranchantes.

Pour l’heure, Mélinda tenait à éviter un nouveau bain de sang, et c’est pour ça que, tout en s’approchant, elle choisit de rester à bonne distance. Tout autour du salon, des bruits de pas se faisaient entendre, les multiples gardes du harem approchant rapidement.

« Qu’est-ce que tu... Qu’est-ce que tu fais là, Fusmun ? Et... Qu’est-ce que tu veux, surtout ? »

Ce fut tout ce que Mélinda arriva à dire, encore un peu décontenancée par la situation actuelle.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le dimanche 09 octobre 2016, 14:17:54
Qu’est-ce que tu... Qu’est-ce que tu fais là, Fusmun ? Et... Qu’est-ce que tu veux, surtout ?

Je leva les yeux vers la jeune femme qui me parlais. Visiblement elle connaissait mon nom, mais je n'avais pas souvenir de l'avoir rencontré. Ou du moins ce souvenir n'était pas des plus important, il à donc sans doute du passer à la trappe. Mais je n'avais pas vraiment envie de lui répondre et continuais de manger le cadavre assis bien gentiement sur le sol sans leurs accorder la moindre importance, jusqu'a ce que la porteuse de l'anneau me demande de répondre à la question.

Je soupira et commença mon explication.

Si je suis ici c'est à cause de l'anneau que porte cette humaine à son doigt. Un sort me relie à cet objet et je dois une obéissance quasi-absolue à son porteur à partir du moment ou celui-ci respecte les règles. Car il existe plusieurs catégories d'ordres dont je peux me soustraire. C'est à dire que si le porteur de l'anneau m'impose un ordre contraires aux règles je peux soit me retourner contre lui et en faire mon repas soit consentir à cet ordre et l'exécuter mais lorsqu'un ordre contraire aux règles est proféré, à ce moment le lien qui me soumet n'est plus fonctionnel et seul mon libre arbitre entre en compte.

La détentrice de l'anneau me demanda alors d'apporter plus d'explications sur ces fameux ordres. Je pris une nouvelle bouchée de viande grillée et continua mon explication

L'anneau que porte cette humaine m'a attiré ici, il m'impose d'obéir aux ordres mais pas tous. Dans ce cas précis, elle m'a appelé à l'aide et m'as demandé de protéger sa maîtresse donc j'imagine que c'est toi qui que tu soit.

Dis je en pointant Mélinda du doigt avant de reprendre.

Si elle m'avais demandé par exemple de tuer tes assaillants, j'aurais eu la possibilité de refuser cet ordre et de me retourner contre elle pour la dévorer, mais même si elle me l'avais demandé, je l'aurais quand même fait car elle ne connaissait pas les règles et je ne suis pas le genre de dragon qui tue les créatures faibles et sans défenses comme les humains sans raisons valables.

Néanmoins même si je dois une obéissance absolue au porteur, il faut savoir que dans le cas ou je suis mal traité, ou si le porteur émet trop d'ordres douteux le lien perd également en puissance. De plus il y à des limites car il est impossible de m'ordonner d'atteindre à ma propre vie ou de me forcer à boire ou manger quoi que ce soit. Mais il y a aussi des évolutions par exemple avant que j'atteigne le stade de ma maturité, il était impossible de me contraindre aux rapports charnels se qui n'est plus le cas maintenant. Mais il est important de vous rappeler simplement une chose c'est que je ne suis pas votre ennemi sauf si la personne qui détient l'anneau en décide autrement!

Et quand bien même si elle me demande de vous tuer, je peux me soustraire à cet ordre et me retourner contre elle. Voyez cela comme une épée à double tranchant. Celui qui porte l'anneau obtient les services de ma personnes mais ses services sont conditionnels, il est donc vital pour le porteur de bien réfléchir aux ordres qu'il émet, s'il me traite bien par exemple, je ne risque pas de me retourner contre lui. Mon dernier maître avais l'habitude de m'enfermer dans une cage et me demandais de démembrer des hybrides sans défenses. Je n'ai pas apprécié et maintenant il ne reste plus grand chose de lui. Cet anneau est un grand privilège, mais aussi une grande responsabilité dont seuls quelques rares porteurs se sont montré digne.

Mais en ce qui me concerne je suis ici car la porteuse de l'anneau m'as appelé et demandé de vous aider et quand à ce que je veux, cela ne m'appartient pas car ma volonté dépend de celle qui porte l'anneau. La seule chose qui m'intéresse est d'être bien traité par celle qui porte l'anneau, le reste m'importe peu.


Ah! ces humains! il faut tout leurs expliquer mais cependant, je remarqua que le mâle qui tournais autour de moi n'étais pas humain car il avait un blessure au dos normalement mortelle pour ces faibles créatures. Je me leva car je n'aimais pas son air menaçant mais j'entendis un "reste assis" émanant de la porteuse. Je me ressaya sans pour autant le quitter de mon regard reptilien car je le sentais prêt à bondir sur moi. Un grondement s'échappa de ma gorge et on pouvais voir mes pupilles se rétracter. S'il m'attaque, anneau ou pas anneau, il va le sentir passer.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 09 octobre 2016, 20:02:11
Mélinda s’était initialement attendue à passer une soirée tranquille avec ses esclaves, en compagnie de Rosaline. Au lieu de ça, les Nefarius leur avaient envoyé les Belmont, mettant à l’épreuve la patience de la vampire. Elle connaissait suffisamment ses ennemis pour savoir qu’ils ne s’étaient faits aucun espoir dans cet assaut, et que l’idée était juste de la mettre sous pression. Les tueurs avaient envoyé un de leurs dans ce harem afin d’ouvrir la voie aux autres. Mélinda devait donc gérer ça, mais, en attendant, Fusmun restait la menace la plus importante. Dans son dos, Rosaline tenait l’anneau, et intima au dragon de rester assis quand il se redressa. Ce dernier leur expliqua que l’anneau de contrôle qu’il avait exerçait sur lui un contrôle « quasi-absolu », précisant que ce contrôle total n’était tempéré que par des règles assez strictes, et pour les moins nébuleuses. Mélinda s’efforça de se concentrer, faisant appel à son légendaire sang-froid pour se concentrer exclusivement sur Fusmun, qui était actuellement recherché par la police impériale.

Il expliqua donc à Mélinda pouvoir faire tout ce qu’on souhaite, sauf une série de choses, étant entendu que ses restrictions pouvaient progressivement disparaître avec le temps, comme celle consistant à l’obliger à un rapport sexuel. Elle écoutait consciencieusement toutes ses informations, avant de voir Fusmun regarder nerveusement Bran. Mélinda intervint assez rapidement, en regardant Rosaline :

« Donne-moi l’anneau, ma chérie. »

Plus qu’heureuse d’obéir, Rosaline se rapprocha nerveusement, veillant à s’écarter de Fusmun, et lui tendit l’anneau, que Mélinda enroula rapidement sur son doigt, avant de regarder Fusmun, en croisant les bras.

« Bon ! On va essayer de clarifier les choses... Pour l’heure, Fusmun, puisque tu m’obéis, tu vas aller prendre un bain. J’ignore où tu as été, mais tu empestes, et il faut qu’on fasse le ménage. Alors, ça va de soi, mais je t’interdis formellement de t’en prendre à qui que ce soit ici, sauf s’il s’agit de défendre une personne contre une autre qui l’attaque dans des intentions hostiles. Considère par exemple que les ordres de Rosaline sont les miens. »

Rosaline déglutit sur place, en comprenant que c’était à elle qu’il allait falloir laver le corps du dragon, qui empestait effectivement les égouts, chose à laquelle Mélinda (mais aussi la jeune Rose) était particulièrement sensible.

« B-Bien, Maîtresse...
 -  Ensuite, Fusmun, nous discuterons de ce qu’il convient de faire de toi. Je t’admets que j’ai eu une impression... Nuancée sur toi. Tu es très puissant, ce qui m’attire tout particulièrement, mais aussi très sauvage. Je connais une dragonne noire qui voulait aussi que je la soumette, et... Disons que j’ai du mal à voir dans le tempérament du dragon une appétence quelconque pour la soumission. Autrement dit, il va falloir que je détermine quoi faire de toi. Pour l’heure... Va prendre un bain ! »

Mélinda hésita un peu, puis remit à Rosaline l’anneau, juste au cas où. Cette dernière se pinça les lèvres, puis ordonna à Fusmun de la suivre. Bran, de son côté, avait retiré le carreau d’arbalète, grommelant sur place, et Rosaline fila ensuite dans le couloir, rejoignant les thermes. On pouvait sentir le délicieux parfum qui s’échappait de son corps, tandis qu’elle tournait le dos à Fusmun, effrayée par lui.

Elle descendit un escalier, rejoignant finalement les bassins du harem, où on pouvait entendre quelques gloussements venant des bassins centraux. Rosaline, néanmoins, fila sur une alcôve à gauche, s’enfonçant dans un couloir, allant ainsi vers un bassin plus petit, pour une seule personne.

« Bon... Tu vas prendre ton bain ici, Fusmun... Et pas de bêtises, hein ?! Personne ne te fera de mal, mais tu ne souffles pas, ni n’attaques qui que ce soit ! »

Rosaline était terriblement nerveuse, ce qu’on devinait clairement dans la manière dont elle lui parlait, en veillant toujours à mettre quelques mètres d’écart entre eux.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le dimanche 09 octobre 2016, 21:55:59
Visiblement c'était la jeune fille qui est la patronne. Car elle en imposais de part sa présence et son charisme. Elle exigea l'anneau et le mit à son doigt.

« Bon ! On va essayer de clarifier les choses... Pour l’heure, Fusmun, puisque tu m’obéis, tu vas aller prendre un bain. J’ignore où tu as été, mais tu empestes, et il faut qu’on fasse le ménage. Alors, ça va de soi, mais je t’interdis formellement de t’en prendre à qui que ce soit ici, sauf s’il s’agit de défendre une personne contre une autre qui l’attaque dans des intentions hostiles. Considère par exemple que les ordres de Rosaline sont les miens. »

Oui en effet il est vrai qu'un petit nettoyage ne me ferais pas de mal. Mais comme je vous l'ai dit, vous n'avez rien à craindre de moi! Je ne m'en prend pas aux êtres faibles et sans défenses! A moins que l'on m'agresse! De plus le transfert d'ordre est impossible. Étant porteuse de l'anneau, vous ne pouvez pas m'ordonner d'obéir à une personne qui ne le porte pas! Ce genre de chose dépend de mon bon vouloir. Mais ne vous en faites pas, il est normal que vous fassiez des erreur au début sur son utilisation.

Ensuite, Fusmun, nous discuterons de ce qu’il convient de faire de toi. Je t’admets que j’ai eu une impression... Nuancée sur toi. Tu es très puissant, ce qui m’attire tout particulièrement, mais aussi très sauvage. Je connais une dragonne noire qui voulait aussi que je la soumette, et... Disons que j’ai du mal à voir dans le tempérament du dragon une appétence quelconque pour la soumission. Autrement dit, il va falloir que je détermine quoi faire de toi. Pour l’heure... Va prendre un bain ! »

Il est vrai que nous sommes assez soupe au lait en certaines circonstances, mais a partir du moment ou ce qu'il advient de moi me conviens cela m'indiffère mais que les choses soient claires, je ne suis pas sauvage, j'ai été élevé par les humains après tout. Je ne vais pas vous sauter à la gorge sur un coup de tête. Je vous l'ai dit, je suis la pour vous servir et cela ne me dérange en aucune manière de vous servir car j'ai été élevé par les humains de cette manière. La seule chose qui me dérange c'est d'être mal traité ou de devoir tuer des êtres faibles et sans défenses sans raisons valable.

L’anneau changea à nouveau de propriétaire et je suivit la nouvelle porteuse qui semblais peu rassurée en ma présence. Je longea le couloir, rejoignant les thermes le délicieux parfum qui s’échappait de l'endroit.

« Bon... Tu vas prendre ton bain ici, Fusmun... Et pas de bêtises, hein ?! Personne ne te fera de mal, mais tu ne souffles pas, ni n’attaques qui que ce soit ! »

Comme il vous plaira!

La petite humaine étais vraiment nerveuse. J'entra dans le bain mais en ce qui me concerne, il était trop froid pour moi. Je ressortis et demanda à la porteuse de l'anneau la permission de souffler un peu pour le réchauffer. Comme elle n'avais pas trop le courage de me dire non elle m'ordonna de ne souffler que sur l'eau ce que je fis.

L'eau entra en ébulition et je demanda à l'humaine de reculer un peu car elle risquais de s'ébouillanter si sa peau fragile entrais en contact avec l'eau. Je ne sait pas si c'est ma silhouette graçieuse et féminine ou mon attitude attentionnée envers elle mais au bout d'un moment elle finit par être plus comfortable en ma présence car elle avais compris que même si je suis dangereux, j'avais un grand coeur. Je resta dans l'eau bouillante pendant deux heures soufflant de temps à autre après avoir demandé la permission à la porteuse ce qui lui fit comprendre que je suis délicats et attentionné envers mes porteurs du moments que ses derniers suivent les règles.

Je faisait ce qu'elle me disais de faire quand elle le disait, portant des serviettes pour me sécher et la soulevant délicatement par la taille pour l'aider à atteindre des objets trop haut. Elle réalisa alors que j'avais dit la vérité et que je n'étais pas sauvage, juste soupe au lait quand on me forçais à faire des choses qui allait à l'encontre de ma conscience. Elle étais maligne cette humaine.

Quoi qu'il en soit, elle retourna auprès de sa maîtresse pour lui rendre l'anneau et lui rendre compte du fait que je disais la vérité sur le fait que je n'étais pas sauvage. Certes il m'arrive de m'emporter mais du moment que je suis bien traité je suis tout gentil et tout serviable. A nouveau face à ce qui est la chef des lieux Rose lui expliqua qu'elle avais tout compris.

Ce n'était pas dur à comprendre en même temps, le principe est simple, plus on me demande d'attaquer les autres, plus je suis aggressif et rebelle et plus on me demande de défendre et d'être sage, plus je suis docile et servible. L'humaine avais tout compris et s'empressait de répéter sa découverte à sa maîtresse lui faisant comprendre que mon comportement dépendais en fait de ceux qui m'entourent et en particulier par le ou la porteuse de l'anneau.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 17 octobre 2016, 02:32:57
Pour Rosaline, il était difficile de voir en Fusmun un Terranide mignon et gentil, car elle l’avait vu démembrer et décapiter un individu. Un individu qui l’avait sans doute mérité, car il s’était montré assez agressif envers lui, mais il n’empêche que Rosaline avait vu ce sinistre spectacle. Elle avait donc du mal à se rapprocher de Fusmun, à lui faire confiance. Elle lui apporta donc des serviettes, faisant toujours preuve de cette distance avec lui, lui indiquant où trouver les shampooings et le savon. Le Terranide se débrouillait plutôt bien, et elle, bras croisés, l’observait sans rien dire.

*C’est vrai qu’il a l’air assez inoffensif, vu comme ça...*

Elle se titillait les lèvres, hésitant à en savoir plus sur lui. Comment diable avait-il fait pour se retrouver avec cet anneau de contrôle ? Et puis, pouvait-on vraiment parler d’un anneau de contrôle, quand Fusmun fixait tant de conditions ? Pour elle, cet anneau n’était qu’un gadget, destiné à donner l’illusion de le contrôler, car Fusmun pouvait revenir sur un ordre s’il contrevenait à des règles qu’il se fixait lui-même. Pour elle, ce n’était tout simplement pas de la servitude, c’était une forme de soumission volontaire inversée. Dans un jeu de soumission, c’était le dominateur qui fixait les règles, et le soumis qui se remettait entièrement à lui, suivant ses désirs, l’ensemble fonctionnant par l’indéfectible lien de confiance qui unissait le Maître au soumis. La relation entre Rosaline et Mélinda fonctionnait exactement sur ce principe, mais, avec Fusmun, ce lien de confiance était biaisé par les menaces sous-jacentes qu’il faisait, et par cette inversion des rôles qu’il fabriquait. Ce n’était pas au soumis de s’adapter au dominateur, mais au dominateur de s’adapter aux envies du soumis, sous peine de se faire démantibuler sur place. Pour elle, Fusmun ne raisonnait tout simplement pas comme un esclave, ce qui expliquait aussi ses angoisses, non seulement pour elle, mais aussi pour sa Maîtresse.

Rosaline conservait ses réflexions pour elle-même, et, quand Fusmun fut prêt, et nettement plus propre, elle hocha la tête. Rosaline était une jeune femme craintive, ce qu’on pouvait clairement réaliser en voyant la manière dont elle agissait envers Fusmun, faisant preuve, à son égard, d’une prudence excessive. Cette prudence était le fruit de sa peur, et elle retourna ensuite voir sa Maîtresse. Les cadavres avaient été déplacés, mais Mélinda accueillit Rosaline et Fusmun dans une autre pièce, un salon plus agréable.

Tout en remettant à Mélinda son anneau, la jeune femme expliqua à sa Maîtresse que le dragon avait été sage. Elle hocha silencieusement la tête, un délicat sourire venant ensuite se dessiner sur ses lèvres.

« C’est très bien. Je te remercie, ma petite Rose. Mais reste donc avec nous, je te sens encore un peu nerveuse, et Fusmun ne compte pas te manger, n’est-ce pas ? »

C’était une question très rhétorique, et Mélinda ne tarda pas à se racler la gorge, tournant sa tête vers le dragon.

« Bon... Avant toute chose, Fusmun, tu dois savoir que tu t’es mis dans un joli pétrin avec ton petit numéro tout à l’heure. La garde te recherche, et, s’ils te retrouvent, ils te tueront. »

Cette précision faite, elle rajouta ensuite :

« Moi, je dois admettre que ton histoire d’anneau magique m’embête un peu. Je conçois autrement le fait de se soumettre à quelqu’un. Certes, il y a des règles et ce genre de choses, mais... Je considère qu’une relation de domination et de soumission ne fonctionne que si un lien de confiance unit le dominateur et le dominé. Je suis donc assez embêtée de devoir interagir avec toi par le biais d’un anneau, car je ne veux pas d’un artifice qui fait de moi une Maîtresse fictive. »

Elle conclut donc, en le fixant droit dans les yeux :

« Je veux que tu me serves volontairement, pas à travers un pouvoir magique dans lequel je n’ai qu’une confiance des plus modérées. »
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le lundi 17 octobre 2016, 17:37:06
Le bain m'avais fait le plus grand bien. Je me sentais même un peu décontracté malgré ma situation un peu compliqué. Il est vrai que je suis une créature puissante et terrifiante. Après tout, les dragons ont une sacré réputation en général. Je me sent protégé par toute la force que je renferme et c'est ce qui m'empêche de m'attacher aux personnes que je sert. Cependant, il se passa quelque chose d'inattendu que je n'avais jamais expérimenté. Je me suis retrouvé dans la salle principale avec la propriétaire de l'anneau qui remettais l'objet à sa maîtresse.

C’est très bien. Je te remercie, ma petite Rose. Mais reste donc avec nous, je te sens encore un peu nerveuse, et Fusmun ne compte pas te manger, n’est-ce pas ?

Dis Mélinda en me regardant.

Je ne m'attaque pas aux êtres faibles et sans défenses sauf s'ils sont assez fou pour s'en prendre à moi! Rose est une maîtresse honorable. Elle n'as donc rien à craindre de moi.

Bon... Avant toute chose, Fusmun, tu dois savoir que tu t’es mis dans un joli pétrin avec ton petit numéro tout à l’heure. La garde te recherche, et, s’ils te retrouvent, ils te tueront.

Humpf! Qu'ils essayent! Les humains sont faibles et fragile. Ils ne ferons pas long feu face à moi s'ils sont assez fou pour m'attaquer.

Je disais cela avec une pointe de véhémence car cette remarque avais piqué mon orgueil à vif. Il est vrai que je pouvais m'en sortir contre une trentaine de soldats réguliers mais contre des adeptes des arcanes c'était une autre paire de manche surtout que je suis loin d'avoir atteint ma forme mature. Aux yeux de mes frères dragons, même si j'ai atteint l'age mature, je ne suis qu'un nouveau né pour eux.

Mélinda rajouta ensuite quelque chose qui suscita mon intérêt:

Moi, je dois admettre que ton histoire d’anneau magique m’embête un peu. Je conçois autrement le fait de se soumettre à quelqu'un. Certes, il y a des règles et ce genre de choses, mais... Je considère qu’une relation de domination et de soumission ne fonctionne que si un lien de confiance unit le dominateur et le dominé. Je suis donc assez embêtée de devoir interagir avec toi par le biais d’un anneau, car je ne veux pas d’un artifice qui fait de moi une Maîtresse fictive.

J'en était bouche bée tellement j'étais estomaqué de tant de sagesse et d'intelligence. Mais avant que je ne puisse répondre elle rajouta en me fixant du regard :

Je veux que tu me serves volontairement, pas à travers un pouvoir magique dans lequel je n’ai qu’une confiance des plus modérées.

A ce moment précis, je compris pourquoi elle était la maîtresse des lieux. Je ressentis le désir de la servir tant je fus éblouis par son charisme. Mais comment instaurer une telle confiance. Depuis le début de ma vie, tout n'as été qu'un rapport de force entre mes maîtres et moi à cause de cet anneau et de ce fichu collier. J'eus alors un déclic, un éclair traversa mon esprit. J'avais besoin d'en avoir le cœur net... besoin de savoir si...

Mes yeux s'emplirent d'espoir, et je la regarda avec douceur et tristesse en même temps. J'avança à pas lents vers elle et posa un genoux à terre afin qu'elle me domine par la taille. Je m'inclina et dis :

Depuis ma naissance, ce collier que l'on m'a imposé est une épée de Damocles qui hante ma vie. Je n'ai jamais connu ni répit ni repos à cause de lui. Ce collier menace de mettre fin à ma vie si je n'obéit pas aux ordres que l'on m'impose, il est la seule sécurité que tu ne possèdera jamais, il est la seule garantie de mon obéissance, sans lui tu n'aura jamais plus aucune emprise sur moi. Je ne peux m'en débarrasser car un sort m'empêche de poser mes griffes dessus.

Si tu me le retire, je jure sur le feu qui alimente ma vie que je te servirais sans aucune réserve et ferais de toi ma maîtresse. Mais tu n'auras aucune autre garantie que ma parole de mon dévouement.


Les dés étaient jetés. voici donc l'instant fatidique. Telle serais son épreuve. Tout mes maîtres avaient peur de moi et se sont toujours caché derrière l'anneau pour me forcer à faire les choses. Je n'ai jamais eu droit à la moindre confiance car après tout, je ne suis qu'une bête sauvage. Personne n'as jamais voulu voir ce qu'il y avais derrière le feu, les muscles et les écailles. Si cette lady se montre suffisamment brave pour s'en remettre à moi, alors, elle gagnera mon respect et ma dévotion jusqu'à la fin des temps. Mais je ne me fait pas d'illusion, elle va refuser et se servir de l'anneau. Les humains ne savent pas à quel point l'honneur est important pour les dragons après tout. Ils préfèrent imposer le respect plutôt que l'obtenir.

Après tout, c'est ce qu'ils vont tous, elle n'est pas bien différente des autres.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le mardi 18 octobre 2016, 16:36:09
Fusmun fut surpris, très surpris, ce que Mélinda pouvait bien comprendre. Ce n’était en effet pas tous les jours qu’on faisait une telle proposition, et il en était estomaqué. Elle était pourtant sincère. La vampire n’avait pas envie de le dominer à travers cet anneau magique. Elle aimait bien la magie, mais n’y voyait qu’un outil, très pratique, mais dont il ne fallait pas dépendre excessivement. Fusmun lui indiqua donc qu’elle pouvait le commander sans son anneau, et qu’il en serait ravi, car il regagnerait enfin une certaine forme de liberté, mais elle vit, dans ses yeux, le fait qu’il ne croyait pas vraiment à cette hypothèse. Mélinda laissa planer quelques instants de silence, Fusmun ayant mis un genou à terre devant elle.

« Hmmm... »

Rosaline se mordillait nerveusement les lèvres. Elle n’irait pas jusqu’à dire qu’elle avait totalement confiance en Fusmun, mais elle trouvait sa Maîtresse un peu trop audacieuse. D’un autre côté, Maîtresse avait toujours fonctionné ainsi, avec cette ingéniosité et ce goût du challenge et du défi. Elle avait toujours eu les yeux plus gros que le ventre, défiant plus gros que soi. Elle venait d’ailleurs de retirer l’anneau de son doigt, le faisant lentement tourner entre ses ongles.

Mélinda s’éclaircit alors la gorge, et se mit à parler :

« Je ne suis pas une humaine, Fusmun. Je suis une vampire, et, tout au long de mes multiples siècles d’existence, je n’ai toujours eu qu’une parole. Je ne veux pas d’une soumission forcée, je veux que tu sois libre de me servir. »

Elle jeta alors l’anneau. Le temps aurait pu se suspendre sur ce geste, mais il fallut moins de deux secondes à l’anneau pour rebondir sur le sol, roulant près de la tête de Fusmun, filant sous son nez.

« Reprends cet anneau... Sans lui, je ne peux pas te contrôler, n’est-ce pas ? Alors, fais-en ce que tu veux. Mais, si tu comptes me servir, garde le collier, il te va bien... »

Mélinda se racla ensuite la gorge, restant toujours assise sur son fauteuil, laissant le temps à Fusmun de comprendre toute l’importance de ce que la vampire venait de faire. N’étant plus relié à elle par un collier, la puissante et belle femme se remit à parler, abordant des sujets différents :

« Comme tu l’as vu, je me suis fait de nombreux ennemis, et certains sont puissants. Ton aide me serait donc précieuse, mais je ne compte pas que t’utiliser comme garde du corps. Tu es dans un harem, Fusmun, et un dragon rose comme toi risque de plaire à bien des clients. Autrement dit, et pour ne laisser aucun doute dans ton esprit, tu risques de faire très fréquemment l’amour. Maintenant, soit tu as encore des questions à me poser, soit tu peux faire deux choses... Retirer ton collier, et partir, ou embrasser mon pied, et jurer de me servir, et d’être le plus fidèle esclave qui soit pour sa Maîtresse. »

On ne s’en rendait pas forcément compte, car Mélinda savait parler de manière calme, mais elle était très excitée par cette situation, ce qu’on pouvait voir à ses yeux, qui semblaient briller de malice, ou à ses ongles, qui s’enfonçaient contre les accoudoirs du fauteuil. Avoir un dragon à ses pieds, pour sa fierté, c’était très fort !

Elle n’attendait donc qu’une chose : qu’il vienne lui lécher le pied !
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le mardi 18 octobre 2016, 22:06:25
Je ne suis pas une humaine, Fusmun. Je suis une vampire, et, tout au long de mes multiples siècles d’existence, je n’ai toujours eu qu’une parole. Je ne veux pas d’une soumission forcée, je veux que tu sois libre de me servir.

Cela expliquais bien des choses concernant son intellect et sa sagesse. Si cela se trouve, elle est bien plus âgée que moi. Difficile à dire avec les vampires. C'est alors que le temps s'arrêta pour moi. Ses mots résonnèrent dans mon esprit alors qu'elle jeta l’anneau à mes pieds.

Reprends cet anneau... Sans lui, je ne peux pas te contrôler, n’est-ce pas ? Alors, fais-en ce que tu veux. Mais, si tu comptes me servir, garde le collier, il te va bien...

Elle était sérieuse. Une longue minute de silence passa. Je ne faisais rien d'autre que de regarder l'objet. Je leva une main tremblante pour rassurer ceux qui me regarde et souffla un filet de feu draconique qui fit fondre l'anneau. J'étais.... libre. Elle m'offre la liberté comme ça? Comment?... Le choc que je ressentais étais immense et sans commune mesure. Je porta mes griffes avec fébrilité à mon collier, rien ne se passa. Je détacha la boucle pour le desserrer et pu pour la première fois de ma vie me gratter le cou. Jamais dans mes rêves les plus fous je n'avais espérer une telle sensation.

Comme tu l’as vu, je me suis fait de nombreux ennemis, et certains sont puissants. Ton aide me serait donc précieuse, mais je ne compte pas que t’utiliser comme garde du corps. Tu es dans un harem, Fusmun, et un dragon rose comme toi risque de plaire à bien des clients. Autrement dit, et pour ne laisser aucun doute dans ton esprit, tu risques de faire très fréquemment l’amour.

Maintenant, soit tu as encore des questions à me poser, soit tu peux faire deux choses... Retirer ton collier, et partir, ou embrasser mon pied, et jurer de me servir, et d’être le plus fidèle esclave qui soit pour sa Maîtresse.

Je restais silencieux et sous le choc encore une bonne minute. Je me massais le cou et une larme de bonheur naquit au coin de mon oeil. Je me sentais tellement heureux que j'avais du mal à respirer. Finalement au bout d'un moment qui sembla une éternité de mon point de vue et seulement deux ou trois minutes pour tout le reste du monde, je m'avança, prit son pied délicat entre mes mains et embrassa son pied en couinant un "Merci" puis l'émotion était tellement forte que j'embrassa son pied à plusieurs reprise en la remerciant encore et encore.

De tout les êtres que j'ai rencontrer, tu est la seule qui... m'ait accordé une telle confiance. J'imagine que tu as idée de l'importance de ton geste à mes yeux. Aussi longtemps que je vivrais, je t'en fais.... Je vous en fait le serment, de faire tout ce qui est mon pouvoir pour payer ma dette envers vous. Je protègerais votre vie au péril de la mienne s'il le faut! Vous m'avez rendu ma vie, et pour vous remercier de ce geste, je la dédie entièrement à votre cause.... Maîtresse!

Par ces mots et ce serment, je liais mon destin au sien pour l'éternité car les vampires comme les dragons vivent une éternité. Mais cela m'étais égal. Elle m'avais libéré sans arrière pensée, comme ça, gratuitement. Elle est la plus digne de tous! Elle est sans conteste digne que je la serve, digne que je meure pour elle.

Je me releva encore sous le choc, car je réalisais encore mal ce qu'il m'arrivais mais une chose était sure, la confiance et la dévotion absolue que j'avais placé en maîtresse Mélinda. Maintenant que je n'avais plus cette épée de Damocles autour du cou, je pouvais faire ce que je veux et réaliser mes rêves, et il y a une chose que j'ai toujours désiré faire, mais je ne savais pas si je pouvais. Pour tout dire, je n'osais pas demandé et décida de poser la question de manière détournée.

Donc... hem... si je travaille bien, est ce que je pourrais par exemple manger quelque chose qui me plait? J'ai en quelque sorte toujours eu envie de manger un gâteau à moi tout seul, et j'aimerais savoir si j'y aurais droit si je travaille dur?

Je me sentais un peu honteux de demander ça, mais je savais que je pouvais faire confiance à ma nouvelle maîtresse.

Pour un gâteau, s'il le faut, je pulvériserais une montagne pierre par pierre si vous me le demandez!

Lui dis-je avec des étoiles plein les yeux.

Il est vrai que c'est un peu puéril mais en même temps il ne faut pas oublier que je suis relativement jeune pour un dragon. Mais je comprenais à présent pourquoi Rose désirais si vivement sauver la vie de maîtresse Mélinda. Elle en vaut la peine. Graçe à elle, j'allais aborder l'avenir avec sérénité. Cependant, je n'avais aucune idée de ce que je devais faire ni comment le faire. Bah! à mon avis, il me suffira juste de cramer les gens avec des armes et les magiciens. Même si je suis loin de mon stage d'évolution final, quelques humains ne sont pas un gros problème.

Et donc! Que dois je faire concrètement?

Demandais-je.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 19 octobre 2016, 16:00:48
Le bonheur de Fusmun était presque communicatif, et illustrait très bien, aux yeux de Mélinda, toute la différence entre la servitude et la soumission. Pendant toute sa vie, Fusmun n’avait pu que suivre, qu’obéir, en étant privé, dans une très grande mesure, de son libre-arbitre. Certes, avec l’anneau, il y avait des ordres qui permettaient de le libérer de son conditionnement, mais ces ordres étaient tout de même assez marginaux. Libre, Fusmun avait maintenant volontairement choisi de se soumettre. Ce n’était pas du tout la même logique, et la petite vampire ne put que se mordiller les lèvres quand le petit dragon rose vint déposer plusieurs baisers sur son pied, acceptant de se soumettre à elle. Un sourire ravi naquit sur les lèvres de la vampire.

*Et volilà, ce n’est pas plus compliqué que ça...*

Du moins, pour l’heure. Mélinda était bien placée pour savoir que les dragons n’en faisaient souvent qu’à leur tête. Elle avait eu l’occasion de l’observer avec Ishtar, et, même si Fusmun était un dragon plus soumis qu’elle, elle ne prendrait pas de risques inutiles... Même si, après tout, en lui ôtant son anneau, elle en avait déjà pris beaucoup. Ravi, Fusmun était au bord des larmes, tandis que les yeux de la vampire pétillaient de malice, cette dernière étant déjà en train de penser à des choses plus intenses à faire avec lui.

Il avoua alors vouloir un gâteau, et elle ne put s’empêcher de sourire, gloussant aussi un peu devant cette demande.

« Un cadeau, hein ? Pourquoi pas... Mais, ici, Fusmun, tout se mérite. Si tu veux un gâteau, tu dois donc... Le mériter. »

Qu’avait-elle en tête en disant ça ? Tout allait bientôt devenir très limpide pour Fusmun, mais, avant ça, Mélinda continuait encore à prendre son temps. Après tout, il n’y avait aucune urgence, et elle voulait savourer son nouvel esclave. Même Rosaline commençait à se sentir vraiment détendue, en réalisant que le pire était effectivement derrière elles. Mélinda se racla donc tranquillement la gorge, et pencha la tête vers Fusmun, en poursuivant :

« Pour commencer, tu vas lécher mes pieds et mes jambes, et, tout en faisant ça, et en observant combien ta Maîtresse est belle, tu vas me dire... Me dire si tu as déjà eu des aventures sexuelles, et quelles sont tes préférences en la matière. Ensuite... Sache juste que tu auras un gâteau ce soir, si tu fais ce que ta Maîtresse souhaite. »

Elle n’en disait pas trop.

Il fallait bien ménager un peu le suspens.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le mercredi 19 octobre 2016, 17:32:46
« Un cadeau, hein ? Pourquoi pas... Mais, ici, Fusmun, tout se mérite. Si tu veux un gâteau, tu dois donc... Le mériter. »

J'en suis conscient! C'est pour cela que je demande ce qu'il est nécessaire de faire pour obtenir cette faveur.

Pour commencer, tu vas lécher mes pieds et mes jambes, et, tout en faisant ça, et en observant combien ta Maîtresse est belle, tu vas me dire... Me dire si tu as déjà eu des aventures sexuelles, et quelles sont tes préférences en la matière. Ensuite... Sache juste que tu auras un gâteau ce soir, si tu fais ce que ta Maîtresse souhaite. »

Cette maîtresse ci aimait bien les léchouilles apparemment. Dans mon esprit, c'était une bonne chose car la magicienne dont j'étais au service avant elle était un peu pareil et s'occupait bien de moi. De plus sa peau et ses jambes sont tout à fait adorable et embaument mon odorat de son parfum. J'ai toujours eu un faible pour les parfums féminins. Quoi qu'il en soit, je m'allongea à plat ventre devant elle et sortit ma longue langue pour l'enrouler autour de son mollet.

Ma langue est très chaude, suffisamment pour donner la sensation à ma nouvelle maîtresse qu'elle venait de plonger sa jambe dans un bain d'eau chaude. Je la regarda avec un air reconnaissant car la liberté qu'elle m'avais offerte était le plus beau des cadeau que l'on pouvais me faire. Je rengaina alors ma langue pour parler un peu et entre coupa mes phrases de coup de langue entre ses orteils délicats.

Dans le domaine du charnel, je n'ai jamais eu d'expérience de mon propre chef. Néanmoins deux de mes maîtres, .... enfin une à eu des relations avec moi. Le premier était un homme qui à tenté de me forcé à lui faire un plaisir oral alors que je n'était qu'un enfant d'a peine 107 ans. Comme vous vous en doutez, ça c'est mal finit pour lui car j'ai arraché son membre d'un coup de dent avant de le manger lui. La première personne à avoir eu des vrai relations charnelles avec moi fut une magicienne.

J'avais atteint la puberté et elle à découvert que je ne pouvais plus me soustraire aux ordres de type charnels. Et je peux vous dire qu'elle ne m'as laissé presque aucun répit. Je n'imaginais pas que les futas humaines étaient aussi insatiable. Néanmoins, elle à pris soin de moi et c'est l'une des seules maîtresses à être morte de vieillesse. Quand à savoir ce que j'aime, difficile à dire car je n'y ait jamais trop songé jusqu'à présent. Je suis certes habitué à la soumission au niveau charnel et je dois avouer que l'idée d'être au dessus m'effraie un peu car je suis trop lourd et fort pour dominer qui que ce soit sans lui faire mal.

Et je répugne l'idée de faire du mal aux êtres faibles. Cependant avoir été l'objet sexuel d'une futa eut été une expérience particulièrement agréable car pour une fois cela me donnais l'impression d'être celui que l'on protège. J'avais l'impression d'être un petit chaton tout mignon à tel point qu'elle m'avais offert une tenue de Neko maid! Mais hélas le temps à eu raison d'elle et de cette tenue que j'aimais.


Je ne lui cachais rien. Tout en parcourant ses jambes avec ma langue ardente, je lui racontais mes sentiments, mes fantasmes, comme ma curiosité envers les autres mâles ou mon fantasme sur le fait de me retrouver attaché et sans défenses face à une troupe d'herbivores en chaleur avide de se venger à leur manière du prédateur que je suis. Même si je doute que cela puisse arriver car à ma connaissance, il n'existe aucune entrave permettant de retenir un dragon. De plus même s'il y en existais, aucun herbivore n'oserais m'approcher à moins de 50 mètres.

Je lui parla aussi du fait que j'aimais bien les tenues et les parfum féminin et que les tenues de maid se mariait bien avec ma couleur violette naturelle. Je ne lui cachais rien, et l'admirais tout en parcourant ses pieds et ses mollets de ma langue afin de la satisfaire dans l'espoir aussi un peu intéressé d'avoir un gâteau pour moi tout seul. Si je plonge l'intégralité de ma mâchoire dans un gâteau au chocolat alors je pourrais mourir heureux ce soir!

De toute manière, quoi qu'elle me demande, je le ferais, car ma reconnaissance à son égard n'a aucune limite. Je n'avais pas peur de tout lui dire car je savais que c'était infaisable de me rendre sans défense ou de restreindre mes mouvements. Aucun acier n'y est jamais parvenu. Quand j'avais genre 30 ou 40 ans c'était peu être possible mais plus maintenant! Je suis hélas trop fort pour cela. Je me demande ce qu'elle peux bien penser de mon amour des futas et de ma curiosité envers les mâles. Je lui ajouta que j'aimais aussi les femelles mais que je n'ai jamais eu d'expériences avec de vraies femelles. Mais si quand bien même si un jour j'en ai l'occasion, il sera préférable pour la femelle d'être au dessus et de me dominer afin d'éviter de se faire écraser par mon poids car même si je n'en ait pas l'air avec ma silhouette svelte et féminine je pèse quand même plus de 200 Kg.

Ma morphologie m'empêche donc toute forme de domination envers les autres sauf les dragonnes bien entendu qui sont assez puissante et solide pour résister à mes ébats car si je le faisait avec une humaine ou une vampire, je risque de briser plusieurs os dans la fougue de l'instant. Car dans les moments intense comme l'acte sexuel il est juste impossible pour moi de contrôler ma force. C'est pourquoi je préférait rester dans la position du soumis. Mais en dehors de cela, je lui avoua quand même apprécier être soumis.

Après avoir finit de tout raconter, je la regarda pour lui faire comprendre que j'avais tout dis et lui demanda:

J'ai bien travaillé?
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le vendredi 21 octobre 2016, 01:33:03
Quand Mélinda sentit la longue langue chaude de Fusmun glisser sur son mollet, entourant sa peau, un profond soupir s’échappa de ses lèvres, tout son corps semblant se détendre d’un coup. Le spectacle ne manqua pas de faire doucement sourire Rosaline. Elle avait toujours su combiens a Maîtresse était fétichiste, et combien elle aimait qu’on lui lèche les pieds. Tous les esclaves de Mélinda y étaient passés, sur ses beaux pieds, mais Fusmun avait pour lui l’avantage d’avoir une langue magnifique, capable de la lécher à la perfection. Elle se laissait donc faire, soupirant, plantant ses griffes dans les accoudoirs de son fauteuil, tout en l’écoutant parler. Comme elle s’y attendait presque, Fusmun avait un passé sexuel assez riche, très tourné vers la soumission, mais avec, toujours, cette petite pointe de cruauté. Mélinda eut en effet une légère grimace quand il avoua avoir émasculé son premier maître, qui avait visiblement voulu le forcer alors que Fusmun était trop jeune.

*Une preuve supplémentaire que cet anneau ne me servait à rien...*

Elle remuait lentement des jambes, et, caressait les joues de Fusmun avec son pied qui était libre, avant que le dragon ne s’en occupe, entrecoupant ses baisers et ses lèchements de multiples explications. Il se montra très complet, avouant un certain fantasme pour les Futanaris, ces femmes hermaphrodites, ainsi qu’une passion pour les tenues de maid. Mélinda mémorisait tout cela, et s’en servirait sûrement plus tard... Mais, pour l’heure, elle savourait, et Fusmun la lécha pendant de nombreuses minutes, titillant ses orteils, glissant le long de ses belles jambes fuselées, remontant jusqu’aux cuisses, avant de redescendre, recouvrant ainsi ses jambes de sa salive chaude et agréable.

À chaque fois, on pouvait entendre Mélinda soupirer, et même rougir, ce qui amena Rosaline à se rapprocher. Elle se glissa dans son dos, et posa ses mains sur ses épaules, les massant tendrement, remontant jusqu’à son cou, diffusant ainsi le plaisir. Elle savait combien sa Maîtresse aimait les douceurs, presque autant qu’elle aimait faire l’amour voracement et passionnément.

« Hmmm... Oh, mon Fusmun... »

Il finit par s’arrêter, et releva la tête. Mélinda se pencha vers lui, et lui sourit.

« Je dois admettre que... Tu lèches très bien. Tu me lècheras encore, mais, pour l’heure, relève-toi. »

Ce que le petit dragon rose fit, puis Mélinda tourna sa tête vers Rosaline.

« Occupe-toi de lui, ma Rose... Excite-le bien, que je vienne ensuite danser sur lui... »

Rosaline déglutit lentement, et acquiesça, puis se rapprocha de Fusmun. Il était devant Mélinda, ce qui fit que Rosaline se mit aussi devant sa Maîtresse, avant de fléchir les genoux, et de caresser la culotte noire de l’homme. Elle déposa ensuite plusieurs baisers sur ce bout de tissu, et continua à le caresser, à l’emplacement de son sexe, ne tardant pas à gonfler ce dernier, déformant le vêtement du dragon.

Ses mains se posèrent ensuite sur la culotte, et la tirèrent, dévoilant ainsi le phallus de l’homme, qu’elle alla lécher plus activement, avant de le sucer.

« Offre-nous une belle érection, Fusmun... Mais ne jouis pas trop vite, je te veux pour moi ! »
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le vendredi 21 octobre 2016, 15:40:44
Miséricorde voila bien quelque chose à laquelle je ne m'attendais pas. Rose qui viens à stimuler mon intimité sur les ordres de maîtresse Mélinda. Je dois avouer que je ne me sent pas très confortable à ce sujet car sous ses baisers et ses coups de langues, mon intimité ne tarda pas à sortir de sa poche d'écaille. En effet deux morceaux de chair rose sortirent timidement. Rose sembla un peu étonnée de voir que j'avais deux pénis et sans doute encore plus de voir leur formes étranges. En effet comme les serpents, les dragons possèdent deux pénis de forme conique tout deux issus du même scrotum.

Bien que le sommet soit relativement fin, la base est terriblement large. Le sexe d'un dragon est aussi relativement long car cela permet d'atteindre l'utérus des femelles pour les féconder avec plus d'efficacité car la température interne est tellement élevée que le sexe des dragons sont faits de manière à ce que les spermatozoïdes n'aient que peu de chemin à faire pour atteindre l'ovule. Rien à voir avec ceux des humains pour résumer. Je tremblais un peu car cette partie de moi est sans défenses et expose un peu de chair nue quand elle sort de son fourreau. Et sans protection, la chair d'un dragon est bien plus sensible que celle d'un humain car elle n'est pas habituée au contacts.

Ne sachant pas comment procéder en premier lieu, elle prit un de mes membre en bouche et massa le second avec sa main ce qui me fit pousser un gémissement féminin.

R...rose! Hyyiiih! Je t'en prie! D...doucemhaaaannnnnh! J...je n'ai pas d'écaille à cet endroit làààaaaaahhhh!!!

Mon membre était comme une entrecôte qui sortais du grill, sa chaleur envahissait sa bouche et la langue de Rose se frottais contre ma peau savourant sa saveur fumée. Elle avais l'air de tellement aimer le gout de mon sexe que j'étais pétrifié de peur à l'idée qu'elle me donne un coup de dent. Heureusement, elle ne fit rien car elle savait que ce qu'elle avais dans sa bouche et ses mains était quand même un sexe de dragon. Je gémissais comme une femelle et me sentais vulnérable, tout cela m'excitais affreusement.

Je n'avais jamais rien fait de tel avec une femelle et je me sent tellement bien, mon cœur bats si fort que j'ai l'impression qu'il risque de jaillir de ma poitrine à tout instant. Je m'étendis alors sur le dos comme pour me soumettre à l'appétit de Rose et pencha la tête en arrière pour atteindre les mollets de maîtresse Mélinda avec ma langue comme une supplication de ma part de nous rejoindre Rose et moi. Bien que je me sentais nerveux d'avoir ma première expérience avec des femelles, le plaisir que je ressentais dissipais ce sentiment.

J'étais totalement à la merci de Rose... enfin presque... mais c'est quand même une situation délectable, et c'est alors qu'enivrée par l'acte, elle libère sa poitrine de sa tenue pour presser mes sexes entre ses seins et en sucer les deux sommet me forçant à pousser un couinement encore plus féminin que le précédent. Étant donné que les sommets de mes pénis étaient très fins c'était possible. Pour donner une comparaison, la base de mon sexe est aussi épaisse que celui d'un cheval et le sommet aussi fin qu'un petit doigt humain, ce qui lui donnait cette forme conique particulièrement exotique.

Mais Rose à une sacrée endurance et le plaisir qu'elle m'infligeait était si intense que mes griffes s'enfoncèrent dans le sol car je ne contrôlais plus ma force tellement j'étais perdu dans le plaisir. Le bruit qui résultat de mes griffes perçant le sol, eut pour effet d'effrayer un petit peu Rose que ce retira. Je repris mes esprits et comprit ce qui venais de ce passer. Sans le faire exprès, j'avais fait peur à Rose. Je suppose que mon fantasme d'être une petite créature sans défenses n'est qu'un rêve inaccessible.

Pardon Rose! Je suis désolé! Je....je ne voulais pas te faire peur. Une fois de plus, ma nature et ma puissance me gâchais la vie. Moi qui pensait vivre ma première expérience avec une femelle, voila qui est raté. Est ce vraiment trop demandé que d'être faible et vulnérable juste quelques minutes? J'espère seulement que maîtresse Mélinda n'est pas trop déçue. Je me tourna vers elle un peu honteux et m'excusa.

Je...je suis désolé! Je n'avais pas l'intention de faire peur à maîtresse Rose! Je n'arrive pas à contenir ma force quand je ressent trop de plaisir. J'aimerais tellement être une créature faible et sans défenses afin que les gens cessent d'avoir peur de moi. J'espère que je ne vous ait pas trop déçue maîtresse Mélinda!
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 27 octobre 2016, 11:33:52
Deux pénis ?! C’était… Relativement inattendu, autant pour Rose que pour Mélinda. Cette révélation surprit ainsi les deux femmes, mais Rose sut rapidement passer outre. Certes, Fusmun lui avait fait peur, et, certes, elle n’était pas dans son état normal, mais, avec Rosaline, Mélinda savait comment arranger les choses. Le sexe la réveillait, le sexe la stimulait, a fortiori quand c’était à elle d’agir, de faire une fellation. Elle lui avait donné pour ordre de préparer Fusmun, et elle jouait avec ses deux membranes, des queues violettes chaudes, très chaudes, aussi chaudes que dures et longues. L’aspect relativement efféminé du dragon était sensiblement composé par ses belles virilités, et Rose se plaisait à en pomper le dard, glissant d’avant en arrière, avant de retirer sa bouche, après plusieurs mouvements, pour s’attaquer à l’autre sexe. Elle n’avait qu’une bouche, après tout, et, si elle aurait pu, à l’aide de ses mains, prendre les deux en même temps, au début, elle voulait juste sentir ce plaisir ancestral, et sacré, de goûter à une belle grosse queue s’enfonçant dans sa bouche. Une traînée, une magnifique pute qui remuait son petit cul sous les yeux de sa Maîtresse, voilà ce qu’elle était !

Assise sur le fauteuil, Mélinda n’en perdait pas une miette, a fortiori quand Fusmun se coucha sur le dos, et que Rosaline continua. Elle attrapa chacun des sexes, et les serra l’un contre l’autre. La jeune femme parlait peu, respirant profondément, toute concentrée dans son art, et prit les deux en bouche. Évidemment, ils ne purent s’enfoncer aussi longuement que quand elle n’en prenait qu’un, mais elle se débrouillait, malgré tout, pour pouvoir les sucer convenablement, les léchant avec sa langue, avant de les relâcher, de les embrasser, et de les lécher.

*Dire que, jadis, elle détestait ça…*

C’était vrai, et c’était l’un des tours de force de la vampire, qui avait pu faire oublier à Rosaline sa peur enfantine du phallus La belle femme avait en effet subi des sévices sexuels de la part de son précédent maître quand elle était petite. Il en avait résulté une peur traumatisante pour les chibres masculins, et Mélinda avait longuement dû la travailler au corps pour qu’elle finisse par comprendre qu’un sexe n’était qu’un organe. Depuis lors, Rosaline l’avait admis, et adorait ça. Elle le prouvait en ce moment, et, prise par le démon du jeu, continuait à agir, sans réaliser toute l’intensité du spectacle qu’elle faisait.

Rosaline avait été surprise par les deux sexes, oui, mais c’était une chose qu’elle avait déjà pu observer. Il y avait quantité de phénomènes bizarres à Terra, et elle était surtout ravie de pouvoir y goûter. Elle finit même par écarter les espèces de plumes blanches recouvrant ses seins, les repliant sur eux-mêmes, et massa les deux sexes de l’homme entre eux, ces derniers se frottant contre les masses moelleuses de chair.

« Hhhhmmmm… Fusmuuun, haaaa… »

Les soupirs de Rosaline, onctueux, venaient remplir toute la pièce, arquant sur les lèvres de Mélinda un sourire. Ils s’étaient couchés contre elle, de flanc, et Fusmun lécha les mollets de la vampire, comme pour l’inciter à venir, ce qui amena naturellement cette dernière à le regarder, et à lui sourire malicieusement.

« Ne t’inquiète pas, mon chéri, ta Maîtresse va venir… »

Elle sentait le désir de Fusmun croître. Rosaline, les joues rouges, se concentrait du mieux qu’elle pouvait, masturbant au mieux les sexes de l’homme. Le dragon se tortillait sur le sol, et, soudain, ses griffes raclèrent sur le sol, semblant surprendre Rosaline… Ce qui amena précipitamment le dragon à s’excuser, tandis que la Rose restait au-dessus de lui, avant de lui sourire doucement.

« Oh non, Fusmun, ce n’est pas ça… Les griffes, j’y suis habituée avec ma… Hum… Avec notre Maîtresse.
 -  Si elle s’est arrêtée, c’est parce que tu es à point pour moi… »

Mélinda s’était relevée, et Rosaline s’écarta alors, permettant ainsi à Fusmun, toujours couché, de voir la vampire se dresser devant lui, jambes écartées… Puis sa main se saisit du délicat nœud noir qui se trouvait à hauteur de son décolleté, et elle tira dessus, le défaisant rapidement, ce qui eut pour conséquence d’ouvrir sa robe. Son décolleté s’élargit, et la robe tomba, comme toujours, en deux temps : d’abord en s’ouvrant comme les pétales d’une fleur jusqu’à hauteur du bassin, ensuite en glissant, tout simplement, de ses jambes.

Sous cette dernière, Mélinda était totalement nue, et la robe tomba sur les jambes de Fusmun, tandis qu’elle lui souriait.

« Tu as deux belles queues, Fusmun… Alors, je vais en prendre une sur le devant, et une autre sur le derrière, puis… Tu auras ton gâteau si tu me fais jouir. »

C’était là une magnifique récompense, et, tout en souriant encore, Mélinda se pencha lentement vers lui, s’aidant des mains de Rosaline pour relever les sexes du dragon, et ainsi lui permettre… De s’empaler dessus, les deux en même temps, dans un long et profond soupir, qui se mua en un cri de plaisir sauvage :

« Hhhhhhmmmm… HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA… !! »
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le jeudi 27 octobre 2016, 22:17:02
Je me sentis soulagé de ne pas avoir effrayé Rose. Les gens voient tellement un monstre en moi que inconsciemment je pense la même chose. Cela m'apaisa de voir maîtresse Mélinda me monter dessus. Ma première fois avec une femelle. Elle s'empala sur mes membres sans crier mot. Je sentis le sommet de mon sexe cogner contre le fond de son sexe ou le col de son utérus? Difficile à savoir mais en penchant la tête, je vis que la moitié de mon sexe était en elle. A mon avis j'ai buté contre le col. Si la température d'un corps humain est de 37 degres, celui d'un dragon est plus élevé environ 64 degrés. Son sexe était froid au toucher et je sentais ma chaleur se rependre en elle. Je fus saisit de prendre ses hanches entre mes mains mais à la place je poussa un petit cri de plaisir et planta mes griffes dans le sol. J'avais peur de lui faire mal.

J'essaya d'être le plus soumis possible et de la laisser tout faire. Bien qu'elle m'avais promis un gâteau, je ne pouvais pas me résoudre à me montrer actif. Je n'ai jamais insérer mon sexe dans un être vivant et je dois avouer que c'est une sensation saisissante. J'avais l'impression que mes verges étaient enfermées dans des étaux de chair qui les malaxais de haut en bas. Les mouvements de maîtresse Mélinda étaient un supplice et un délice. Le genre de supplice qui fait très lentement monter votre barre d'orgasme pour vous pousser à supplier que l'on vous achève et vous fasse basculer dans le délice absolu. Je me décida donc à faire de petits mouvement, les plus petits et saccaddés possible afin d'accroitre légèrement le plaisir que je ressentais. Je n'aurais pas du faire ça. A cause de ses petits mouvements que j'ai initiés, le sommet de mon sexe s'est parfaitement emboité avec le col de son utérus faisant accidentellement et intégralement entrer mes sexes en elle.

Mes sexes déformèrent légèrement le ventre de maîtresse Mélinda faisant naitre une petite bosse de chair pointu au sommet de son ventre. Surpris je poussa un cri de plaisir et m'excusa une fois de plus. Je me sentais confus et perdu et pensais lui avoir fait mal, ce qui me poussa à me redresser pressant accidentellement mon sexe dans le sien. Je pris peur et essaya de me retirer mais comme mon sexe avait pénétrer son utérus il était coincé en elle. Paniqué je donna de petit accoups pour me dégager mais sans succès. Le sexe des dragons est conçu pour empêcher tout retrait avant l'éjaculation car à cause de sa forme conique et courbé, le sommet de mon sexe accroche l'entrée de l'utérus pour empêcher la femelle de s'enfuir, sauf que dans le cas actuel s'était moi qui voulais m'enfuir.

Je me courba et me roula en boule pour attraper le clitoris de ma maîtresse avec la langue et tira légèrement dessus pour étirer un peu son sexe afin de me permettre de me retirer mais à cause d'un liquide étrange au sol, je glissa et lâcha prise empalant violemment ma maîtresse sur mes membres à nouveau. Je m'excusa encore et encore avec des larmes aux yeux car je pensais vraiment lui faire mal. Toutes mes solutions ayant échouée, il ne me restais plus que la méthode naturelle pour y parvenir à savoir l'éjaculation. Je m'excusa encore et encore et commença à me déhancher frénétiquement. Cependant les dragons sont des reptiles et donc on mets beaucoup plus de temps que les créatures à sang chaud pour jouir. Il me fallu pas loin d'une demi heure pour atteindre le nirvana et relâcher mon plaisir à l'intérieur de ma maîtresse dans un râle jouissif mais je pus enfin me retirer grâçe à la rétractation de mon sexe à l'intérieur de mes écailles.

Ses orifices ruisselaient du liquide épais et presque brulant que j'avais relâché en elle. Comme mon autre sexe était dans ses fesses je pense que ça à limité les dégâts mais ce qui me rassura c'est qu'il n'y avais pas de sang. En même temps comme elle est un vampire je ne sait pas si c'est une bonne chose.

Je demanda alors à ma maîtresse après m'être excusé une nouvelle fois :

Vous ..... vous allez bien? Je suis vraiment désolé! Je...Je... c'était ma première fois avec une femelle et j'ai tout fait de travers! Pardon!

Je me sentais mort de honte. Je ne savais vraiment pas comment faire plaisir à une femelle, c'est sans doute pour cela que j'ai cette curiosité envers les mâles. Mais vu ce qui est arrivé avec le premier, je ne pensa pas qu'il y en ait d'autres derrière. Mais en même temps j'avais à peine 50 ans. J'étais qu'un gamin. Quoi qu'il en soit je me mis à lui lécher la joue pour essayer d'apaiser ce que je pense être de la souffrance.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 31 octobre 2016, 09:05:46
Mélinda allait se faire royalement plaisir avec ce Terranide-dragon. Il avait des verges épaisses, lui rappelant celle d’Ishtar. À croire que tous les dragons ayant une apparence humanoïde disposaient d’une vigueur sexuelle exceptionnelle ! Quoi qu’il en soit, ce fut avec un plaisir féroce que Mélinda s’empala sur le dragon. Un long cri, guttural, s’échappa alors de ses lèvres, tout son corps venant se redresser, tandis qu’une terrible onde de douleur vint à la submerger, explosant furieusement en elle. Un long cri, qui fit frémir Rosaline. L’esclave s’en mordilla les lèvres, rougissant de plaisir, mais aussi d’envie. Mélinda aimait le sexe brutal, quand la douleur et le plaisir se mélangeaient pour ne former plus qu’une seule sensation, exquise, indicible, l’expression-même du plaisir sexuel. Et cette sensation, cette vague infinie, c’était précisément ce que la vampire éprouvait en ce moment, une vague de joie immense et exquise, un plaisir indescriptible, car il était mélange de plaisir et de douleur, deux émotions contradictoires, mais qui s’attiraient inexorablement entre elles.

« Haaaaaannnn... »

De profonds cris s’échappaient de ses lèvres, son corps filant d’avant en arrière. Dieu, Dieu ! Par tous les vampires, il avait une ces triques ! Ohhhh... Mélinda se sentait transportée, s’envolant dans les cieux, avant de redescendre, et de remonter, encore et encore, le corps transpercé par d’insatiables vagues de plaisir. Elle ondulait sur le corps de Fusmun, indifférente à tout ce qui pouvait lui arriver d’autres, ne pensant en ce moment qu’à lui, qu’à son corps, qu’à cette masse rose qui remuait sous elle. Ses sexes étaient si épais qu’ils s’enfonçaient loin dans son bassin, déformant même un peu son ventre, tandis que la vampire haletait et couinant, parfois au bord de la rupture, sa langue venant pendre hors de sa bouche, la salive s’égouttant lentement de ses lèvres.

Mélinda se rétablissait ensuite, serrant les dents, voyant Fusmun remuer, étirer ses lèvres intimes en se rapprochant. Elle le repoussait à chaque fois, posant son corps sur le sol, le maintenant à sa place, tout en continuant à danser. Baiser, se faire baiser, voilà tout ce que son corps réclamait en ce moment... Ça, et rien de plus ! Elle le griffait même parfois, se heurtant à ses écailles épaisses. Malgré son statut très efféminé, Fusmun avait une peau très résistante, des muscles solides, un corps massif. Se faire prendre sur lui, c’était un sport particulièrement exquis, et haletant.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »

La vampire mouillait énormément, recouvrant l’une des deux verges de la créature de sa cyprine, sentant l’orgasme se rapprocher à toute allure, au fur et à mesure qu’elle dansait sur lui. Fusmun continuait à la prendre, avec énergie, et finit ainsi par jouir. Un magnifique orgasme, où tout son corps se relâcha dans un long soupir. Fusmun l’avait pris tellement fort qu’elle remarqua qu’elle avait laissé sa salive couler hors de ses lèvres, dégoulinant un peu sur ses seins, et continuant à tomber le long de sa peau.

« Hmmmm... Hnnnnn... »

Mélinda papillonna des yeux, et sentit Fusmun venir lécher son cou, ce dernier s’excusant. Prise dans soin élan, Mélinda n’avait même pas réalisé que le jeune dragon était... Nerveux.

« Hum... ? T’ex... T’excuser, haaaa... Mais... De quoi souhaites-tu t’excuser, au juste? Tu... Tu m’as baisé tellement fort, haaaaa... »

Elle en frissonnait encore, et restait toujours assise sur Fusmun. Il s’était dressé devant elle, et elle posa ses mains sur ses épaules, venant l’embrasser sur les lèvres, remontant sa main pour agripper sa nuque, glissant sur sa peau.

« Il n’y a rien à pardonner, mon chéri... Bien au contraire, même ! Tu es un diable d’amant, haaaaa... Je vais adorer me faire baiser par toi, je le sens... ! »

Oh ça oui !
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le mercredi 02 novembre 2016, 11:17:54
Pour le compte, j'avoue avoir faillit être traumatisé par les femelles jusqu'à la fin de mes jours, mais il s'avère que je n'ai fait aucun dégâts à ma nouvelle maîtresse, ce qui est un soulagement. Et puis, d'un autre côté, il me semble que les vampires guérissent de leurs blessures non? Mais en même temps si je lui brise la colonne vertébrale en la serrant trop fort j'ai quand même des doutes sur le fait qu'elle guérisse de ça. Toutes ses pensées me font froid dans le dos ce qui est très désagréable pour moi.

Il va falloir que je soit plus prudent à l'avenir... toutes ses émotions m'ont exténués. Je ferais bien une sieste. Un bâillement s'échappa alors de ma gueule, les dragons dorment beaucoup et certains font des siestes qui durent des siècles. J'avais l'impressions de pouvoir dormir un millénaire si je le pouvais la tout de suite. Mais j'exagère. Je m'installa donc sur le sol à côté du trône de maîtresse Mélinda et me roula en boule pour piquer un petit somme. J'avais tellement sommeil que j'oublia de demander la permission de me mettre la.

Mon métabolisme de reptile me permet difficilement de résister au sommeil. Je dormis comme une masse et à cause de tout à l'heure, je me mis à rêver que je me faisait violer par des terranides lapins. Un des mes rêves récurrents depuis que j'ai atteint la maturité sexuelle pour mon espèce. Cette fantaisie que j'ai d'être faible et sans défenses. Dommage que cela n'arrivera jamais. Les dragons ne sont pas conçu pour être comme cela. Bizarrement, dans mon rêve, les mâles lapins qui me violaient se transformèrent en lapines qui me chevauchait et je me sentit doucement tiré de mes songes.

Quand j'ouvris l'œil, je vis Rose empalée sur mes verges, le ventre distordu par leurs formes obscènes et l'entre jambe ruisselant de ma semence brulante avec maîtresse Mélinda qui regardais avidement la scène depuis son trône. Mon sommeil était tellement lourd, que je ne me suis rendu compte de rien. Rose était toute haletante chevauchant mon bassin et le regard dans le vague. Surpris, je n'osa pas bouger et attendit qu'elle s'enlève d'elle même. Combien de temps j'avais dormis? Au vu de mon estomac qui gargouille, plusieurs heures. Les gargouillis de mon ventre tirèrent heureusement Rose de sa transe lubrique et cette dernière s'enleva de sur moi.

Je me releva affamé. Je savais qu'étant dans un harem je devais gagner ma croute avec mon corps mais en l'occurrence, on m'avais promis un gâteau. Je suivit maîtresse Mélinda et mangea avec elle car il est hors de question que je laisse qui que se soit faire du mal à ma bienfaitrice. Cependant, j'étais curieux et j'avais plusieurs questions que je lui posa.

En entrée, j'eus droit à un cuisseau de biche bien grillé et demanda à maîtresse Mélinda qui la protègera si je sert un ou une de ses clientes du harem? Pendant le plat principal qui était un cochon de lait braisé avec une pomme dans la bouche, je lui demanda comme marche le harem et comment je suis sensé servir les clients? et pendant le dessert qui fût un gros gâteau au chocolat, je ne posa aucune question car j'était trop occupé à savourer ma récompense. Cependant je me demande à quoi va bien pouvoir ressembler le ou la première cliente que je vais servir. Je verrais bien de toute façon, qui vivra verra.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 06 novembre 2016, 18:54:54
« Tu crois qu’il pense à toi ?
 -  Plutôt à vous, Maîtresse...
 -  Oh, je n’en suis pas si sûre... »

Tandis que Fusmun dormait devant le « trône » de Mélinda, en l’occurrence un confortable fauteuil, cette dernière commentait son sommeil. Fusmun était couché sur le dos, et, tandis qu’il dormait, on pouvait voir ses verges se redresser, signe évident qu’il devait être en train de rêver, et de faire un rêve très érotique. En même temps, le Terranide-dragon venait de recouvrir sa liberté, et avait couché avec Mélinda. Il était normal que sers rêves soient particulièrement roses. Rosaline se rapprocha de lui, en se mordillant les lèvres. Elle avait vu sa Maîtresse danser sur ces chibres, et hésitait un peu.

Elle regarda Mélinda, qui hocha la tête, comme pour confirmer ce qu’elle avait en tête. Fusmun dormait d’un sommeil assez lourd, et Rosaline, tout en hésitant à nouveau, finit par se rapprocher davantage. Elle caresses ses verges avec ses doigts, puis les embrassa. C’était une femme solide, Rosaline, très endurante sexuellement, et qui avait largement aimé assister au spectacle de sa Maîtresse se faisant prendre par Fusmun. Tout naturellement, elle décida donc de la supplanter, et poussa un profond soupir en sentant ses queues s’enfoncer en elle.

« Hnnnnnnnnnnnnn... !! »

Un profond gémissement s’échappa de ses lèvres closes, puis son corps remua d’avant en arrière, de haut en bas, ondulant progressivement sur ses deux queues. Mélinda observait cette scène, jambes croisées, un sourire sur les lèvres, ses yeux brillant de malice. C’était un spectacle assez impressionnant à voir, en réalité. Et, le plus étonnant, c’était que tout cela ne réveille pas Fusmun, dont le corps réagissait instinctivement. Rose mouillait sur lui, et, quand Fusmun finit par ouvrir les yeux, Rosaline dansait sur lui, et ne se retira qu’après avoir eu un bel orgasme. Fusmun de son côté, semblait particulièrement épanoui, mais avait également faim.

Chose promise, chose due, ils se retrouvèrent bientôt, non pas en cuisine, mais dans l’immense salle de banquet se trouvant avant. Elle était relativement vide, à l’exception de quelques esclaves qui mangeaient dans un coin. Une grande salle de banquet, avec plusieurs longues tables verticales, où tout le harem mangeait. En conséquence, les fourneaux tournaient fréquemment, et, tandis qu’on offrait à Fusmun sa pitance, à savoir de délicieux gâteaux, Mélinda, elle, se chargea de satisfaire sa curiosité.

« Ton rôle sera essentiellement de faire l’amour avec les clients, Fusmun... Sauf si tu désires rejoindre la guilde, mais, si tu veux être près de moi, alors tu serviras au harem. Et, outre les clients, il y aussi les autres esclaves... Et moi. »

Elle lui sourit malicieusement, tout en continuant ses explications :

« En revanche, si jamais il arrive qu’un client dépasse ce à quoi tu as consenti, je t’interdis formellement de le tuer, ou de le démembrer. Et, là-dessus, je ne plaisante pas. S’il abuse de toi, tu le repousses, et tu appelles les gardes. Mais, si jamais tu contredis à ce que je viens de t’ordonner, je devrais t’abandonner. »

Qu’un client abuse, cela arrivait rarement, mais il y avait parfois des individus éméchés et arrogants qui allaient au-delà de ce à quoi l’esclave avait consenti. L’idée pouvait paraître paradoxale, mais Mélinda ne vendait pas ses protégés comme des esclaves, mais plutôt comme des courtisans. Cependant, si Fusmun en tuait un, il entacherait l’image du harem, quand bien même la mort était légitime. Mélinda ne pouvait pas tolérer ça, et, en l’état, c’était surtout la violence de Fusmun qui l’amenait à se dire qu’elle allait attendre un peu avant le contact avec les clients.

« Pour l’heure, tu t’habitueras aux us et coutumes du harem, avant de pouvoir t’offrir à des clients. Je ne veux prendre aucun risque... »

Elle se racla ensuite la gorge, pendant que Fusmun continuait à manger, et poursuivit, en lui posant cette fois une question :

« Maintenant, dis-moi... Tu es bisexuel ? »
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le lundi 07 novembre 2016, 11:19:23
Donc si je comprenais bien pour rester auprès de ma maîtresse, je devais rester au harem. Bonne chose à savoir, mais le fait de ne pas pouvoir faire du mal au clients me dérangeais. J'émis toutefois une objection naturelle. J'acceptais de ne tuer personne et de ne faire mal à personne sauf en cas de danger pour ma vie ou la sienne. Bien que ma gratitude envers ma nouvelle maîtresse était illimité, si quelqu'un attente à ma vie ou à la sienne, il est hors de question que je reste à ne rien faire.

Qui plus est, je n'ai pas besoin de sécurité. Si quelqu'un se conduit de façon déplaisante, je peux le mettre dehors moi même. Cependant comme cela impliquait de faire du mal car les humains sont fragile, je consentis à contre cœur au fait d'appeler la sécurité en cas de soucis, mais je resta ferme sur l'urgence vitale en expliquant que dans le cas ou ma vie est menacée, mon instinct me poussera à survivre et à riposter. C'est une chose que je ne peux pas contrôler.

Bref, il sera nécessaire d'établir des limites. Celle-ci sont encore floue pour moi mais il est vrai que je dois m'acclimater à ma nouvelle vie. La question suivante m'interloqua un peu. Mais il est vrai que je ne me suis jamais posé de question sur ma sexualité. Je répondis simplement que le genre n'avais pas d'importance à mes yeux. J'avoua avoir une certaine curiosité envers les mâles et avoir apprécié mes relation avec maîtresse Mélinda et Rose donc cela faisait que je n'étais pas très regardant sur le genre.

Ayant bien dormis et bien mangé, je demanda alors s'il était possible de me faire découvrir le harem, de m'apprendre ce dont j'avais besoin de savoir. Je me mis donc à suivre et écouter Rose et maîtresse Mélinda car tout ceci était nouveau pour moi et il me faut apprendre les bases de ma nouvelle vie. Je suivit donc les deux femmes comme leurs ombre afin de découvrir le fameux harem. Il y avais de tout et toute sortes de clients de toutes sortes de races différentes. Je jalousais les esclaves qui étaient attachées et dominées.

Malheureusement pour moi, aucun lien ne peux me retenir. Certains ont vraiment de la chance d'être faible. Quoi qu'il en soit je détourna le regard pour éviter d'être trop frustré. Mais en général, les esclaves étaient heureux. Je posa quelques questions sur les us et coutumes de l'endroit et sur leurs vies, ce qui m'encouragea à respecter les consignes de maîtresse Mélinda à la virgule près afin de pouvoir rester car la vie semble très agréable ici et offrir son corps est un petit prix à payer pour ce privilège.

Mais pour vraiment s'adapter, c'est comme l'eau froide, il faut la faire chauffer petit à petit avant d'y entrer. Il faut donc que je commence à pratiquer et demanda donc des tâches à faire, des petites tâches simple pour commencer car il ne faut pas bruler les étapes, donc je demanda à ma maîtresse :

Est ce que vous auriez des tâches simple à me faire faire dans le harem afin que je puisse m'y habituer? Comme je l'ai juré, je ne ferais de mal à personne quoi qu'il arrive sauf si ma vie ou la votre est en danger immédiat.

J'avais envie et c'est tout naturel, de bien faire les choses car l'endroit me plaisait même si je sais que pour le moment, je n'y ait pas complétement ma place, mais je pense qu'avec le temps, je pourrais appeler cet endroit mon foyer, mon refuge.

Il me suffit juste de contrôler mon instinct et ma force pour ne pas créer d'incident. Rah! comme j'envie les humains! Ils sont si faibles qu'ils peuvent se faire attacher eux! Et personne n'a peur d'eux et ils ne crée pas d'accident. Rah! il faut que j'arrête d'y penser, je me fait du mal. Prenons les choses comme elles viennent et on verra bien.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 10 novembre 2016, 12:05:23
Mélinda n’insista guère sur le fait que, en cas d’attaque, Fusmun pouvait se déchaîner. L’important, c’était surtout qu’il fasse bien la différence. Un attaquant n’était pas un client, et Mélinda prit l’exemple des Belmont, en indiquant que, si ces derniers attaquaient à nouveau, ou des individus similaires, alors Fusmun pourrait tuer. Mais, rappela-t-elle, concernant le sort de simples clients qui abusaient de leur droit, les tuer était rigoureusement interdit. Sur ce point, Fusmun semblait être d’accord, le dragonnet se focalisant surtout sur l’idée de protéger sa Maîtresse... Ce qui, soit dit en passant, n’était pas pour déplaire à Mélinda. Avoir un garde du corps comme ça, ça risquait presque de détrôner Bran. Et, quoi qu’il en soit, Mélinda ne raterait sûrement pas cette possibilité. Depuis qu’elle avait choisi de fonder un clan, elle n’était plus une simple tenancière de bordel, elle dirigeait un clan, et les autres clans ne la voyaient pas d’un très bon œil. L’attaque des Belmont en était une illustration très parlante.

Après cela, Mélinda fit donc à Fusmun le tour du propriétaire. Plutôt grand, le harem était un bel immeuble, et le rez-de-chaussée comprenait le quartier des esclaves. Au-delà du réfectoire, il y avait ainsi un immense dortoir où la majorité des esclaves dormaient, ainsi que des thermes. Ils rejoignirent ensuite les étages. Le harem comprenait beaucoup de chambres, mais aussi des salons, des bassins supplémentaires comprenant notamment des jacuzzis. Si les clients préféraient généralement des chambres, le trio se déplaça néanmoins le long des salons, où des esclaves étaient humiliées et sexuellement torturées au milieu d’une foule. Elle put ainsi noter que l’excitation de Fusmun semblait croître en voyant ces femmes, attachées, humiliées, des bandeaux autour des yeux, des liens les entravant, se faisant torturer ou sauvagement sodomiser.

*Être dominé lui plaît...*

Mais comment dominer un si puissant dragon ? La domination tirait son plaisir de la contrainte, une contrainte qui, tout en étant consentante, devait aussi être forcée. Or, pour l’heure, soumettre physiquement Fusmun apparaissait comme étant très difficile. Autrement dit, tout en visitant les lieux, Mélinda réfléchissait à son avenir. Fusmun pouvait ainsi voir combien l’endroit était propre et élégant. Des murs en marbre, des tapisseries, d’élégants tapis, un parquet brillant se mélangeant à de la moquette... Tout transpirait le luxe, ici, ainsi que le stupre.

Ils purent le voir en rejoignant un couloir abritant l’une des spécialités du harem : les « femmes mises en vitrine ». Par ce vocable, on désignait des femmes, attachées par les poignets et par les chevilles, qui étaient fixées au mur, et avaient un bandeau autour des yeux, un gag-ball sur les lèvres, des vêtements en latex, et deux godes qui vibraient furieusement en elles. Elles étaient exposées ici, pour satisfaire les clients, qui avaient le droit de les toucher, de les pincer, de les tripoter, et même de jouir dessus. Quand le trio arriva, Mélinda put ainsi voir un homme, qui était occupé à frotter sa queue contre l’une des jambes de la femme.

Fusmun lui demanda alors ce qu’il pourrait faire au sein du harem en attendant.

« Hum... Ça dépend de ce que tu peux faire. Outre me protéger, tu peux aussi travailler à la cuisine, si tu sais cuisiner. Sinon, tu peux aussi travailler dans la blanchisserie, ou au nettoyage des chambres. Mon harem ne comprend pas que des courtisanes, tu sais, il y a même un service juridique et de comptabilité... Mais je ne pense pas que t’y connaisses. »

Elle pouvait toujours se tromper, bien sûr, mais elle imaginait plutôt mal Fusmun dans ce domaine.

« Par ailleurs, tu suivras aussi un entraînement régulier auprès des entraîneurs de ma guilde. Tu as d’impressionnantes capacités physiques et magiques, et il serait idiot de ne pas en tirer profit. »

Autrement dit, Mélinda comptait exploiter autant que possible les multiples talents de son jeune esclave.

« Alors, qu’est-ce qui te ferait le plus plaisir, de ce que je t’ai proposé, Fusmun ? Et, dis-moi aussi... Voir ces soumises se faire fouetter et dominer, ça... Ça t’a excité, non ? »

Elle posa cette ultime question avec un sourire en coin sur les lèvres.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le vendredi 11 novembre 2016, 07:44:46
Les travaux que maîtresse Mélinda me proposa me semblais hors de portée car tout ce qui est juridique et comptabilité est très surfait pour un dragon. De plus, je ne pense pas être très adapté pour tout ce qui est blanchisserie et entretien de chambre car manipuler des tissus fragile avec des griffes comme les miennes mènerais à coup sur au désastre. Il ne restais plus donc que l'option cuisine car je faisait des miracles avec la viande.

J'ai plus d'affinité avec la cuisine, de plus je grillais et fumais de la viande pour une de mes anciennes propriétaires qui était alchimiste, elle m'avais confié que la viande rôtie et fumée au feu de dragon avait des vertus revigorantes pour les humains et accroissait la longévité, ce qui fait du sens étant donné qu'elle est morte très agée pour un humain.

Quand elle me parla de la guilde, bien que je ne pensais pas avoir besoin d'entrainement, je ne la contre dis pas et me contenta simplement d'acquiescer en prétextant que ma vie lui appartenais après tout. Et en y repensant, ce n'est pas nécessairement une mauvaise chose car s'il est possible de faire de moi un meilleur protecteur pour ma bienfaitrice alors autant en profiter.

Ma maîtresse avait également remarqué la façon dont je regardais certaines de ses esclaves et j'admis à contre coeur :

Ce n'est pas le fouet ou la domination qui m'as attirer car le fouet me tape sur le système et me donne envie de tuer. Les dragons aiment le calme, nous ne craignons pas le fouet car pour nous ce n'est qu'une simple piqure d'insecte, mais le bruit nous rend complètement hystérique surtout quand on dors. J'ai d'ailleurs arraché la tête d'un de mes maître à coup de dents à cause de ça. Quand à ce qui est de la domination, je préfère cela car comme ça je suis certain de ne pas faire de mal. Non, ce n'est rien de tout ça qui à attisé mon excitation. Disons que je jalouse leurs faiblesse. Car ce qui m'a excité est le fait de les voir attaché et impuissante, cela me donne envie d'être à leurs place. mais malheureusement pour moi, c'est impossible. Voyez vous même.

Je m'avança vers une esclave enchainée et montra à ma maîtresse à quel point il m'était facile de briser une chaine de métal puis la remis en place en tordant le métal.

Comme vous pouvez le voir, même l'acier le plus solide est trop fragile pour me retenir, j'avoue que à certains moments, j'aurais aimé être d'une autre espèce pour pouvoir me faire ligoté sans espoir de m'échapper, être incapable de bouger d'un pouce entourée d'humains avide de mon corps, mais c'est infaisable sans être magicien.

J'observa encore un peu les femmes portrait jaloux de leurs condition sachant que dans mon cas, les chaines qui les retiens auraient déjà été brisée. Je fût tout de même intrigué par ce qu'elles avaient entre les jambes, car je n'avais jamais vu d'objet pareil. Je chassa ses pensées de mon esprit car je savais que c'était quelque chose auquel je n'aurais jamais accès. Je m'étais fait une raison. Pour changer de sujet, je proposa à Maîtresse Mélinda de me montrer la cuisine afin que je lui fasse gouter à mes talents de rôtisseur. Mon ancienne maîtresse pour qui je grillais la viande trouvais que mon feu lui donnait une saveur particulière qui donnais un gout bien meilleur qu'avec du feu ordinaire.

Les cuisines renfermaient énormément de viande et je suis sur que de faire cuire toutes ses bonnes choses au feu de dragon va permettre de vendre plus de nourriture étant donné que cela donne de la vigueur et favorise la longévité des humains. Mais en ce qui me concerne, j'ai toujours trouvé cela idiot de la part des humains de payer pour de la nourriture. Bah! Ce n'est pas vraiment mon problème. Il y avais beaucoup de femelle en cuisine dont certaines ne portait qu'un tablier. C'est alors qu'une personne s'avança vers nous pour accueillir maîtresse Mélinda. Sans doute la chef de la cuisine. Je vais attendre que les présentations soit faites, je n'ai pas envie de paraître grossier.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 12 novembre 2016, 12:00:26
*Hum... On va éviter de lui donner des fouets, alors...*

Le bruit d’un fouet était généralement excitant, mais, s’il irritait Fusmun... Mélinda savait que le son du fouet était très particulier. C’était un bang supersonique, car l’extrémité du fouet, en dépassant la vitesse du son, fouettait le son, provoquant ce claquement si particulier, toujours en deux temps : un léger sifflement, comme une montée en puissance, et le claquement. Visiblement, ce son perturbait Fusmun, ce qui était assez troublant. Les nekos, par exemple, qui avaient, également, une ouïe hypersensible, acceptaient sans aucun problème le son du fouet.

Fusmun expliqua que ce qui l’avait attiré, c’était la soumission... Et le fait de savoir qu’aucun lien ne pouvait le retenir. Mélinda hocha la tête, restant silencieuse, en voyant l’homme tordre le métal retenant l’une des esclaves, comme s’il s’agissait d’un morceau de chiffon. Puissant, Fusmun l’était, mais, de là à dire qu’aucune chaîne ne pouvait le retenir... Néanmoins, Mélinda préféra aller directement aux cuisines, repartant donc dans l’autre sens, conservant pour elle-même ses réflexions.

Les cuisines du harem présentaient une structure très médiévale, avec des fourneaux, des cheminées, des marmites, et de grands viviers. Si la cuisine de son manoir, sur Terre, était plus moderne, ici, il y avait une structure plus ancestrale, mais qui, paradoxalement, permettait de fournir des produits meilleurs, sans conservateurs, sans colorants...

« Il y a beaucoup de choses, et les cuisines tournent tout le temps, car, outre le réfectoire, ce sont aussi les cuisines de mon restaurant. »

On accédait directement au restaurant depuis les cuisines. Néanmoins, pour les clients, il y avait une autre entrée, soit depuis le harem (en passant par une cour intérieure), soit depuis l’extérieur, en longeant le harem pour entrer ailleurs. Le restaurant consistait jadis en un grand entrepôt désaffecté, depuis la mort de ses parents, que Mélinda avait peu à peu réaménagé. S’il y avait beaucoup de viande, de volaille, les cuisines comprenaient aussi énormément de fruits, de légumes, d’épices, de condiments... Le restaurant fournissait beaucoup de choses, même des pizzas, Mélinda ayant des cheminées spéciales pour en faire.

Elle fit rapidement le tour. La cuisine en elle-même était une longue pièce, avec de multiples garde-mangers, très bien protégés, avec des murs renforcés, de manière à éviter que des insectes ne rentrent pour contaminer la nourriture, ou pour la manger.

« Comme tu vois, il y a beaucoup à faire ici... »

Elles étaient suivies par la responsable de la cuisine, la « cheftaine », Kazua (http://img110.xooimage.com/files/4/7/e/kazua-50e1516.jpg), simple humaine originaire de la Terre, esclave de Mélinda depuis plusieurs années, et qui, pour l’heure, portait dans son ventre son premier bébé, qui n’avait néanmoins que quelques semaines d’existence.   

« Alors, comme ça, tu veux rejoindre les cuisines, Fusmun ? C’est la première fois que je vois un dragon rose, tu es... Très mignon ! »
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le dimanche 13 novembre 2016, 11:31:22
Toutes les tâches dont m'avait parlé maîtresse Mélinda me semblais hors de mes compétences mis à part la cuisine. Je ne sait pas cuisiner à proprement parlé mais je suis le meilleur en ce qui concerne la découpe et la cuisson de la viande. La chef de la cuisine était impressionnante pour une humaine, elle avait comme une aura bienfaisante autour d'elle et le fait qu'elle trouvais ma couleur violette mignonne me remplis de fièreté. Je proposa donc aux deux femmes de montrer mes talents avec la viande car j'ai accumulé plus de 50 années d'expérience en la matière avec mon ancienne maîtresse. Je saisit une carcasse de bœuf et découpa la bête soigneusement avec mes griffes qui étaient plus efficace que les couteaux humains après les avoir bien lavées bien sur. Je préleva alors deux filets que je plaça sur une grille et prit une légère inspiration et cracha une petite flamèche en continue pour allumer le grill.

Comme j'avais un contrôle absolu sur mon feu et l'expérience nécessaire, la viande était cuite à la perfection et le fumet qu'elle dégageait après avoir était cuite au feu de dragon était incomparable. Les deux dames semblaient être ravie du gout mais la chef me fit la remarque comme quoi la viande est parfaite mais le plat est triste et déséquilibré car il n'y avait aucun accompagnement. Je lui expliqua alors que je connaissait tout en matière de viande mais ignorait tout en matière de sauce et accompagnement qui vont avec car je ne me suis jamais occupé d'autre chose que la cuisson dans les plats que je préparais pour ma maîtresse. Cependant, je manifesta mon envie d'en apprendre plus afin de m'améliorer. De toute manière je suis là pour apprendre donc qu'il en soit ainsi. Je commença donc mon apprentissage aux cuisine avec Kazua. Maîtresse Mélinda me confia à elle afin que je commence à faire mes preuve et apprenne les coutumes de son harem.

En tant que protecteur de maîtresse mélinda, je dormais devant sa porte car les lits sont biens trop mous pour moi et je n'arrive pas à dormir dessus. Je n'avais pas manifesté l'envie d'avoir une chambre car je m'y sent trop à l'étroit et je préfère naviguer entre les grandes salles à la recherche d'un potentiel danger. Le matin commence par un grand nettoyage ou les esclaves vont dans les bains communs pour se nettoyer entre eux. Je ne connaissais pas grand monde et ne voulant pas faire peur à qui que ce soit, je restais un peu dans mon coin. Je passais le plus clair des jours qui suivirent avec Kazua qui m'apprenait tout ce qu'elle savais sur les sauces et les accompagnements et moi, je lui appris une ou deux nouvelles astuces sur la viande car j'avais un peu plus d'expérience sur le sujet. Il m'arrivait également de faire le service vêtu uniquement de mon tablier mais contrairement aux autres, personnes n'osait me mettre la main aux fesses.

Cependant, j'ai faillit causer un désastre car un client ivre s'est mis à frapper une serveuse. Ce qui m'as vite fait bouillir le sang. J'eus vite fait de le saisir à la gorge et il s'en est fallu de peu que je fasse l'erreur de l'étriper. Au lieu de cela, je me contenta de le mettre dans les poubelles avec les déchets. Là ou était sa place. Mon instinct à faillit me jouer un tour mais cela à causé un certain émoi. J'ai fait l'erreur d'intervenir alors que j'aurais du appeler la sécurité, ce qui à fait peur à certains clients. Le bon point c'est que je ne l'ai pas tué mais il en ressort tout de même que j'ai fauté. Cela fait à peine deux semaines que j'ai commencé mon apprentissage en cuisine et voila que je fait une bêtise qui m'amène devant maîtresse Mélinda qui avait un regard assez sévère. En ce qui me concerne, j'était tout honteux. Kazua plaida pour ma cause en expliquant qu'il n'y avais aucun membre de la sécurité en salle et qu'il y avait urgence.

De plus elle mentionna le fait que la viande grillée par mes soins attirait plus de clients que je n'en avais fait fuir. Mais le fait est que j'allais devoir être punis pour l'exemple. J'indiqua à Kazua que ce n'était pas grave et que j'accepterais ma pénitence car il faut que j'apprenne à maîtriser mes instincts. Je savais que Maîtresse Mélinda n'allait pas me chasser car je n'ai tué personne, j'ai juste fait une peur bleu à un mec qui à frappé une serveuse....... il s'en est quand même fallu de peu pour que je commette l'irréparable, mais j'ai quand même respecté les ordres en ne tuant personne. C'est une erreur de nouveau venu pas un acte de désobéissance.

J'admis donc mon erreur et indiqua à maîtresse Mélinda que j'accepterais son châtiment quel qu'il soit. Dans le but de m'aider à mieux maîtriser mes instincts et d'avoir de meilleurs réflexes d'agissement quand aux coutumes du harem.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 21 novembre 2016, 23:14:19
Il y avait deux choses que Kazua aimait énormément : la cuisine, depuis sa plus tendre enfance, et le sexe, depuis qu’elle avait rejoint le lycée Mishima, et croisé la route de Mélinda. Kazua venait d’un pays où la gastronomie était assez riche et équilibrée, mélangeant viande, légumes, et fruits de mer. Elle adorait faire des plats, et passait des heures aux cuisines, couchant avec les autres employés. Ainsi, pendant sa formation, Fusmun la vit assez souvent se faire prendre par l’arrière tout en découpant du pain. Mélinda avait aménagé une partie du couloir, creusant une niche à l’aide de maçons, car, même si Fusmun n’aimait pas dormir sur un lit, le faire dormir au sol donnait l’impression d’avoir un clochard. Il fut donc aménagé pour lui une grosse niche, depuis laquelle il pouvait rapidement sortir ou entrer. Les jours s’écoulaient sans incident, et, peu à peu, Mélinda accepta de faire de lui un serveur. On le coiffa d’une robe de maid prise spécialement sur ses mesures, et, pendant ce temps, Mélinda reçut de la part de Sylvandell un produit spécial : des chaînes en ébonite. Elles étaient utilisées là-bas pour retenir les dragons qui commettaient des infractions. Ces chaînes pouvaient donc retenir Fusmun sans problème, et Mélinda les fit installer dans l’une des pièces de son sous-sol, une grande cave s’étalant sur plusieurs étages, comprenant le donjon du harem (les clients y venaient pour des relations sadomasochistes intenses), et, tout au fond, la réserve. Elle y fit donc aménager une cellule pour Fusmun, tout en recevant également, de la part d’une société tekhane spécialisée dans le safari et la capture de Terranides, des fléchettes tranquillisantes conçues pour endormir des dragons. Elles fonctionnaient difficilement contre les vrais dragons, ceux qui faisant au moins dix mètres, mais, pour un dragon du gabarit de Fusmun, la société lui garantit « un succès à 100% ».

Mélinda ne se méfiait pas, en soi, de Fusmun, mais elle savait sa puissance, et son impétuosité. Ne pas se prémunir si jamais le dragon passait en berserk, ce serait totalement irresponsable. Mais, pour l’heure, le dragonnet s’en sortait plutôt bien. Au niveau des autres esclaves, elles avaient rapidement perçu son côté timide, mais, au harem, personne ne restait sur le carreau, et, assez rapidement, elles vinrent le voir quand le monde prenait le bain le matin. De fait, les deux verges de Fusmun étaient régulièrement mises à contribution, et Kazua en profita, elle aussi, facilitant ainsi l’adhésion de Fusmun au sein de la communauté.

Tout se passait donc bien, jusqu’à... Jusqu’à l’incident. Au restaurant, il était normal de poser sa main sur les fesses des serveuses, et même d’avoir des fellations, la note finale étant en conséquence plus élevée. C’était un restaurant sexuel, de telle sorte que, pendant chaque repas, il y avait des représentations, souvent des spectacles BDSM (http://img110.xooimage.com/files/e/a/a/01-4e571a3.jpg), mais parfois juste des coïts. Néanmoins, il était interdit de frapper les serveuses, et, quand Fusmun le vit, il attrapa l’inopportun, et sortit par la portez principale avec l’homme, qui braillait furieusement, et qui, tout en étant emmené, renversa plusieurs couverts, avant d’être finalement balancé dans les poubelles situées à l’entrée. L’affaire fit grand bruit au sein du harem, et avait mené à la convocation d’aujourd’hui.

Devant la Maîtresse, Kazua expliqua rapidement l’affaire, donnant son avis. Il ne liait évidemment pas celui de Mélinda, qui vit rapidement la gêne de Fusmun.

« Le problème, Fusmun, ce n’est pas que tu aies agi pour protéger Ilissa. De ça, au contraire, c’est tout à ton honneur. Le problème, c’est l’esclandre que ça a provoqué. Mon restaurant est un établissement plutôt bien côté, et ce genre de scandale a tendance à faire fuir mes clients. Néanmoins, je ne t’ai pas convoqué pour te gronder, mais pour te faire une promotion. »

Kazua sembla aussi rassurée qu’étonnée. Une promotion ? Mélinda, elle, y avait bien réfléchi.

« Tu pourras toujours travailler aux cuisines, mais, parallèlement, tu vas également rejoindre le service de sécurité. Si ce genre d’incidents se reproduit, tu sauras ainsi que la marche à suivre est d’emmener le client dans un coin isolé, et de le faire sortir par une sortie d’urgence, et pas en traversant tout le restaurant avec. Enfin.... Ce n’est pas très grave, de toute manière, ce con l’avait mérité. »

La vampire leur sourit alors, et referma le dossier qu’elle avait ouvert sous son nez, comprenant quelques documents, puis les regarda ensuite, tous les deux.

« Alors, parlons de choses plus importantes, puisque je te tiens... Est-ce que tu te sens bien au harem, Fusmun ? Tu y es depuis deux semaines, maintenant. J’ai cru comprendre que tu étais d’un naturel assez timide. Les filles ne t’en font pas trop baver ? »
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le mardi 22 novembre 2016, 17:51:36
Les choses se passèrent de façon assez inattendue, au lieu d'avoir une punition, j'obtins une promotion. Maîtresse Mélinda me posa quelques questions par rapport au peu de temps que j'ai passé en cuisine et par rapport à ma timidité. Je lui répondis que cette timidité, était due au fait que j'avais la crainte de faire du mal aux autres. Toutes ses femelles qui me font des avances est assez troublant. Je n'accédais à leurs désirs qu'a la condition qu'elles me monte dessus et me domine car je ne voulais pas être au dessus de peur de trop m'emporter. Ma force est une écrasante responsabilité avec laquelle je dois faire avec. J'avais donc eu de très rares relations car je me refusais à dominer. Malgré le fait que je soit un lance flamme sur pattes capable de briser des murs a poing nus, au fond de moi, j'étais une peluche sensible. J'expliqua tout ceci à maîtresse Mélinda lui avouant que les envies des filles du harem me mettait à rude épreuve.

Toutes me demandaient de les prendre sauvagement, même Kazua qui était enceinte. Refuser ses avances était de plus en plus difficile. Il était nécessaire qu'elles comprennent que se faire dominer par un dragon est dangereux pour leurs existence. J'expliqua alors à quel point le fait de dominer les autres me mettait mal à l'aise car si je me retrouve dans cette situation, je perds plus facilement le contrôle et risque de faire du mal à ma partenaire. Kazua qui était à mes côtes, compris alors concernant mon continuel refus à ceder à ses avances, n'était pas fait pour la rejeter, mais pour la protéger de moi même. Elle posa sa main sur mon dos et me présenta ses excuses car elle n'avais pas idée de mes craintes et me promis de demander au personnel de cuisine de ne plus me demander de les dominer. L'incident était don clos.

Cependant, le matin suivant, le comportement des filles de la cuisine changea car à mon réveil, je me retrouva avec une serveuse nue en train de chevaucher mes sexes. En un tour de main, je suis passé à leurs yeux d'un mâle alpha que toutes désiraient à un jouet que toutes convoitaient. A présent, elles ne me demandaient plus mon avis et exigeait que je m'allonge sur le sol pour les laisser me chevaucher ce qui était en soit une nette amélioration de mes conditions de travail étant donné que je n'avais plus cette crainte de leurs faire mal. Comme elles prenaient le contrôle, tout ce qu'il me restait à faire est de les laisser profiter de moi. Ce que je n'avais pas prévu, en revanche, c'est que les choses escaladèrent de façon inattendue.

Tout commença par l'arrivée d'une nouvelle cliente. Une Minotaure gladiatrice (http://www.gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=3188716) qui avait entendu parler de l'endroit pour se relaxer de son dernier combat et dépenser la prime qu'elle avait remporté

Elle était assez populaire car certains clients lui demandèrent un autographe. Elle avais une carrure et une musculature imposante ce qui est assez courant chez les minotaures et demanda à la responsable du restaurant suffisamment de nourriture pour nourrir un régiment, mais également, de la compagnie pour l'aider à se détendre. Cependant, elle précisa qu'elle voulais une pute solide pour ne pas se casser en deux pendant qu'elle assouvissait ses désirs. N'ayant jamais eu aucun rapport avec les clients jusqu'à présent et étant le seul membre avec des os assez dense pour résister à la force d'une minotaure, les filles me poussèrent à franchir le pas et ainsi véritablement devenir un membre à part entière du harem.

Un peu comme une sorte de rituel d'initiation. Comme elle avait l'air robuste, j'accepta car j'avais moins peur de le faire avec elle. Cependant quand j'arriva à sa table, je me suis rendu compte qu'elle était une futa et non une femelle. Qui plus est elle est beaucoup plus forte qu'elle n'y paraissait. Elle me souleva comme une feuille malgré tout mon poids et me plaqua contre la table en marbre. Elle me maintenait fermement et arracha mon tablier d'un coup sec. Elle s'arrêta un moment voyant que j'étais un mâle car sous l'excitation mes membres sortirent et voyant que son membre était aussi raide qu'une barre d'acier elle décida qu'elle n'en avais rien à faire. Alors qu'elle me maintenait contre la table elle se saisit d'un pot de crème fraiche et en prit deux poignée. Elle enduit son sexe avec la première et m'enduit les fesses avec la seconde. Ayant déjà eu une Futa très libidineuse en guise de maîtresse, je compris vite ce qui m'attendais.

Sauf que de ma vie, je n'ai jamais rien eu à faire avec quelque chose de plus puissant que moi. Elle arrivait sans peine à me maintenir contre la table en marbre et une fois qu'elle eut finit de lubrifier mes fesses et son membre avec la crème fraiche, elle me pénétra d'un coup si violent que je poussa un cri de plaisir qui attira l'attention de toute la salle. Son membre était si long et épais qu'il en déformait mon ventre faisant apparaitre une bosse révélant l'emplacement du sommet de son sexe en moi. Elle fit deux ou trois va et viens assez lent histoire de prendre ses marques puis commença à me marteler l'arrière train à toute vitesse avec son puissant membre m'écrasant la prostate au passage me forçant ainsi à hurler de plaisir et à jouir devant tout le monde alors qu'elle venais à peine de commencer.

Ses coups de reins étaient si puissants et féroces que l'on pouvait entendre la chair s'entrechoquer dans tout le restaurant. Les serveuses et les clients impressionner se mirent à tous nous regarder impressionnés par le spectacle. J'essaye un peu de me redresser pour essayer de tenir le coup mais d'un puissant coup de rein elle m'écrabouilla la prostate avec son membre colossal me faisait jouir à nouveau dans un couinement pathétique et lubrique. Elle était bien plus forte que moi et elle le savais. Elle savais aussi que j'étais résistant et me fit une prise de soumission maintenant ma tête contre la table avec sa poitrine opulente. Les sensations qu'elle me procurait étaient si intense que j'en perdis la notion du temps. Tout se que je sait c'est que de plus en plus de personnes venais au restaurant et tous nous regardaient y compris maîtresse Mélinda qui finit par faire son apparition.

Au bout d'une demi heure de ce traitement intensif, j'avais encore éjaculé trois fois enfin six vu que j'ai deux membres mais au moins, elle était proche de l'orgasme. Je sentais son membre palpiter en moi m'indiquant qu'elle n'en avais plus pour longtemps et me sentis soulager, jusqu'à ce qu'un torrent de sperme bouillonnant vienne inonder mes entrailles. Combien de litres elle avait jouit? Je n'en avais aucune idée, mais mon ventre s'était tellement déformé sous la pression de son orgasme qu'il était aussi rond que celui d'une femelle enceinte de plusieurs mois. Elle relâcha alors sa prise et je respira un bon coup. Je sentais son sperme dégouliner sur mes cuisses pour couler au sol et me dis que je serais libre dans quelques secondes. Quel espoir futile et déraisonnable.

Alors que je me pensais tiré d'affaire, elle passa son bras son mon buste et me redressa me faisant s'assoir sur elle. A ce moment précis, je pensais que c'était finit et que je n'avais plus qu'a me relever. Mais elle attrapa mes cuisses, passa ses bras derrière mes genoux et me força à me plier en deux en liant ses mains au niveau de ma nuque avant de se relever me maintenant dans une position de soumission encore plus inconfortable que la précédente puis recommença à me marteler le derrière encore plus violemment que précédemment. Son membre n'as même pas ramolli d'un iota et malgré tout ce qu'elle avait jouit en moi elle continuait à me marteler les fesses comme si de rien n'était. La cerise sur le gâteau, c'est que avant on ne voyais que mes fesses, mais maintenant, tout le monde pouvais me voir de face pendant que son immense membre me déforme le ventre et me fasse couiner comme la dernière des salopes en manque pendant que mes sexes ondulent dans les airs en éjectant leurs petit lait.

J'avais perdu toute crédibilité en tant que dragon mais je m'en fichais car pour la première fois, j'étais faible et j'adorais ça. Elle me démontais devant tout le monde comme si je n'étais qu'un vulgaire jouet et j'adorais ça. Je jouissait encore et encore sous ses implacables coup de boutoir jusqu'à ce que mes sexes soient à sec me forçant à avoir des orgasmes secs. Après de nombreuses minutes, elle finit par éjaculer en moi à nouveau en de telles quantités que je sentais le gout de son sperme remonter dans ma gorge et envahir ma bouche pour ensuite être expulsé par mon nez. Mon ventre était complètement déformé par sa semence et prenait une forme ridicule. Elle me reposa sur la table et se retira enfin! Mais mon répit fût de courte durée car elle plongea son bras tout entier jusqu'à l'épaule dans mes fesses.

Je me cambra et poussa un cris de désespoir lubrique alors que mon sperme se remit à couler à flot. Elle pressait ma prostate de ses doigts puissant et avec sa main libre, elle plaça sa chope de bière vide sous mes membres. Une fois sa chope en place, elle empoigna fermement mes deux membres et se mis à les branler. Je me mis alors à pousser des sortes de jappements alors que mon esprit s'éteignait sous l'effet du plaisir. Elle me ravagea le fondement, jusqu'à ce que sa choppe soit pleine et finit enfin par me laisser tranquille. J'étais trop épuisé pour bouger et mon anus était grand ouvert alors que le sperme accumulé dans mes entrailles s'écoula hors de moi pendant que mon visage montré que mon esprit s'était perdu dans les limbes de la lubricité.

Le jour qui suivit, le comportement des filles du restaurant changea à mon égard. Elles étaient plus dominantes et arborais des ceintures pourvues de phallus humain avec lesquels elles me demandé de jouer. Je fus alors sauvé par Kazua que m'informa que Maîtresse Mélinda voulais me voir. Après avoir assister à toute la scène, ça ne m'étonnerais pas qu'elle ne veuille plus de moi à la sécurité. Enfin. Voyons voir ce qu'il en retourne. Je me rendis donc comme demandé auprès d'elle et lui dis.

Vous....vous vouliez me voir à ce que l'on m'as dis....ce....c'est à propos d'hier soir?
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le jeudi 01 décembre 2016, 19:06:20
Au harem, les affaires continuaient à tourner. Mélinda n’avait d’ailleurs pas que le harem à gérer, mais un véritable empire commercial, florissant, qui, chaque jour qui passe, continuait à s’étaler. Elle aimait bien l’image de la pieuvre pour se comparer, car elle étirait ses tentacules à peu près partout, en utilisant ses deux principales installations, le harem à Ashnard, et le manoir sur Terre, comme des points centraux, lui permettant de gérer son clan vampirique. Le clan disposait maintenant de nouvelles propriétés, comme un harem supplémentaire à Nexus, et le Starless à Tekhos Metropolis. Étant maintenant située au moins dans les trois grandes superpuissances de Terra, Mélinda devait les gérer à distance, en recevant régulièrement des rapports, et des bilans comptables.

*Comme si ma vie n’était constituée que de deux piliers : le sexe, et les bilans comptables...*

Une vie parfaite, en un sens. Elle travaillait généralement sur ses bilans en ayant une esclave avec elle, qui entreprenait de la lécher intimement. Chaque journée avait un planning différent. Il y avait des jours où elle ne faisait que l’amour, du matin au soir, et d’autres où elle avait des rendez-vous, se rendait à des procès, ou allait sur Terre. En fait, un jour sur deux, Mélinda oscillait entre la Terre et Ashnard. On aurait pu croire que changer de dimensions soit difficile, mais la Terre et Terra vibraient à des ondes très proches. C’était comme si les deux dimensions étaient presque superposées l’une à l’autre, permettant ainsi de rapidement en changer, et, entre ses centaines d’esclaves, ses milliers de clients, et ses nombreux fournisseurs, Mélinda n’avait jamais vraiment de quoi s’ennuyer.

Elle apprit ainsi que Fusmun avait eu une soirée mouvementée avec une puissante Minotaure. Qu’ils aient fait ça publiquement était en soi relativement agaçant. Mélinda avait des chambres, et, si les clients du restaurant pouvaient peloter les serveuses, le reste se faisait dans les chambres du harem. En conséquence, la première réaction de la vampire fut d’être agacée. Depuis qu’il était là, Fusmun faisait de son mieux, mais semblait visiblement enchaîner les gaffes.

*Je ne sais pas si j’ai bien fait de le prendre, finalement... Je n’aime pas avoir des esclaves que je ne peux pas contrôler.*

Et c’était exactement ce que Fusmun était, à ses yeux. Un Terranide-dragon soucieux de bien faire, mais qui avait encore du mal à comprendre les règles de fonctionnement de son établissement. Certes, Mélinda était très libre avec ses esclaves, qui se géraient presque par eux-mêmes, mais elle veillait toujours au grain. En conséquence, elle convoqua Fusmun, tout en continuant à réfléchir. Que fallait-il faire de lui ? Elle ne se voyait pas l’abandonner malgré tout, la vampire tenant chèrement à ses possessions... Mais, d’un autre côté, son passage auprès de la sécurité avait été un échec complet. Alors, que faire ?

Mélinda était songeuse. Elle savait que, maintenant, Fusmun se faisait sodomiser par les femmes du harem, et une nouvelle idée commençait donc à germer dans son esprit. Ainsi, quand le Terranide-dragon violet arriva, elle réfléchissait, posant sa tête sur sa main, se tripotant les lèvres avec un doigt, qui glissait de haut en bas dessus.

« Oui... Je pense que t’adjoindre à l’équipe de sécurité était... Une erreur. Tu as la force nécessaire, mais... Tu manques de discipline. Aussi, ai-je pris la décision de te retirer de la sécurité, et de te réaffecter ailleurs. »

Elle remua un peu sur son fauteuil, et croisa l’une de ses jambes.

« Ce n’est pas parce que tu ne me vois pas que je ne sais pas ce qui se passe dans ma propre maison. Cette Minotaure, je la connais... C’est une bonne cliente, mais, comme toutes les femmes en rut, elle est aussi très... Disons qu’elle ne respecte pas vraiment les règles, et est régulièrement poursuivie pour exhibitionnisme. Mais... En un sens, elle m’a permis de mieux savoir quoi faire de toi. Je sais que, maintenant, mes filles adorent te sodomiser. Alors... »

Elle resta silencieuse pendant quelques secondes, le temps de décroiser sa jambe, et de soulever l’autre, pour la poser sur sa cuisse.

« Est-ce que tu aimes ça, Fusmun ? Que les filles te tirent avec une laisse, et te sodomisent à tour de rôle ? »

Fusmun ne le réalisait peut-être pas, mais la réponse à cette question serait absolument fondamentale pour décider de son futur...
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le mercredi 07 décembre 2016, 18:57:48
J'avais accumulé trop de gaffes. Aussi maîtresse Mélinda décida de me retirer de l'équipe de sécurité. Je me sentais profondément déçu et triste. Il est vrai que je manque de discipline mais en même temps, je suis un peu un animal sauvage. Il me faut un temps d'adaptation plus long c'est tout. C'est difficile de retenir toutes les règles et les recommandations que l'on me fournit. Mais bon en même temps je reconnais mon inutilité sur ce coup ci car la minotaure était plus forte que moi et c'est ça qui m'as plu et m'as inconsciemment incité à la laisser s'amuser avec moi. C'est alors qu'elle me demanda mon avis sur mes désirs.

Je n'avais pas d'autre choix que de lui répondre avec toute l'honnêteté dont je puisse faire preuve.

Je dois avouer que j'apprécie cela mais ce n'est pas ça précieusement. Ce qui m'excite, c'est de me sentir impuissant! Cette minotaure était bien plus forte que moi, je ne pouvais rien faire contre elle. Le fait de me sentir faible m'as excité au delà de la raison et mentalement je me suis soumis à elle. J'aime me faire tenir en laisse et dominer oui mais j'aime encore plus être soumis jusqu'à l'extrême, comme ses femmes portraits que j'ai vu. J'aimerais être aussi faible qu'elles, n'être qu'un jouet entre les mains d'êtres plus puissants. J'ai envie d'être celui qui supplie et d'être à la merci du désirs d'autrui. Cette minotaure m'as violé et je ne pouvais rien faire pour l'en empêcher et c'est ça qui m'as fait autant plaisir.

Alors oui j'aime être un jouet mais la magie qui alimente mon feu intérieur m'en empêche un peu et malheureusement, plus le temps passe et plus cela va devenir impossible car plus il passe plus je deviens fort d'ici quatre ou cinq siècle plus personne ne pourra me soumettre comme elle l'a fait et c'est désolant car moi c'est ce que j'aime. Je suis vraiment désolé de mes échecs car vous m'avez rendu ma vie et j'en suis conscient mais j'ai besoin de plus de temps pour m'adapter! Comprendre et enregistrer des procédures et des règles c'est plus dur pour moi que pour les humains.

Il me sembla voir un air impatient sur son visage ce qui me poussa à me taire et me rendis ensuite compte que de parler du fait de m'attacher et de me soumettre à l'extrême avais fait sortir mes sexes de leurs coquille d'écailles. Je me sentis un peu confus et les remballa à l'intérieur de ma poche d'écaille en m'excusant de mon emportement. Le fait de m'imaginer en jouet sexuel incapable de bouger jusqu'à la fin des temps m'as exciter au point d'en oublier que j'étais en présence de ma maîtresse et ma bienfaitrice.

Je n'étais pas très fier de moi. non seulement je me suis fait violer en public et ait pris du plaisir à cela malgré les règles et en plus voila qu'a présent je me conduis comme le dernier des dévergondés. J'avais vraiment rien pour être fier mais au fond de moi, j'aimais cette sensation. Quel dommage qu'il n'y ait rien en ce monde qui puisse museler ma force. Car l'idée de me faire déposséder de ma liberté de mouvement et d'être soumis jusqu'à l'extrême me rendais fou de désir mais je me résigna pensant qu'aucun métal ne peux y parvenir. Déjà que le collier que maîtresse Mélinda m'as ôte n'y parvenait pas alors qu'il contenait un puissant enchantement.

Bref il faut rester raisonnable. Je rassembla mes esprits et expliqua à maîtresse Mélinda que j'adorerais faire mon possible pour rembourser ma dette de vie envers elle. Je m'assis donc sur le sol de pierre pour attendre son verdict sur mon sort d'une part et calmer mes désirs en même temps. J'espère juste que mon châtiment ne sera pas trop sèvère. Je ne suis pas doué mais je fais de mon mieux pour rendre service.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 12 décembre 2016, 18:35:26
Visiblement, la simple idée de se soumettre vraiment déclencha chez Fusmun une belle érection, puisque ses deux queues revinrent. Fusmun, comme certaines créatures, pouvaient dissimuler son sexe derrière une poche d’écailles, ce qu’il entreprit de faire, la tâche n’étant probablement pas aisée, avec des mâts dressés. Mélinda, de son côté, maintint le silence. Sa décision de retirer Fusmun de l’équipe de sécurité était irrévocable, du moins pour le moment. Fusmun avait tout simplement une propension trop forte à la soumission pour rejoindre une équipe où il fallait instaurer le calme et l’ordre. Le petit dragon n’avait pas à se le reprocher, la faute en incombait pleinement à Mélinda. Elle réfléchissait silencieusement, et, quand Fusmun s’assit en tailleur sur le pierre, la délicieuse vampire se racla la gorge.

« Bon... En fait, je ne t’ai pas convoqué uniquement pour ça. J’ai aussi... Je suppose que tu pourrais considérer ça comme un cadeau. »

Elle ouvrit un tiroir, et en sortit une fiole, abritant un liquide doré, et le posa sur son bureau. Quelle était donc cette étrange mixture ? Mélinda ménageait son effet, convaincue que Fusmun n’avait jamais dû entendre parler de ce genre de solutions alchimiques. Elle opta donc pour une légère présentation, en se redressant, s’extirpant de son bureau.

« Comme tu es au harem depuis plusieurs semaines maintenant, Fusmun, tu as dû apprendre que j’avais des amies très puissantes. Je ne sais pas si tu as eu l’occasion de la voir, mais je suis la grande amie de la Princesse de Sylvandell, Alice Korvander. C’est une petite nation située dans les montagnes, à la population presque insignifiante, mais dont les dirigeants, les Korvander, disposent d’un pouvoir génétique très particulier, celui de perpétuer, à chaque nouvelle génération, une alliance ancestrale avec une colonie de puissants dragons. »

Où voulait-elle en venir ? Elle continuait à marcher, mains croisées dans le dos, ses petits talons claquant délicatement sur le sol tandis qu’elle marchait, poursuivant ses explications :

« J’ai été voir ma chère Alice récemment, et elle m’a expliqué qu’il existait parfois des dragons tumultueux à Sylvandell. Les Sylvandins ont ainsi développé des potions et des substances qui permettent d’affaiblir les dragons, sur la base du sang des dragons dorés. Ces solutions ne se trouvent pas dans le commerce, Sylvandell ne les vend pas. Il m’a fallu... Longuement convaincre ma petite Alice pour qu’elle accepte de me les donner. »

Pour le coup, Mélinda avait dû déployer d’importants talents de charme et de persuasion, car ces potions faisaient partie du secret militaire sylvandin. La vampire avait néanmoins pu convaincre Alice de sa bonne foi, et elle s’était même retrouvée devant son père, le puissant Tywill Korvander, qui aurait tout simplement rembarré Mélinda, en lui disant, avec son tact habituel, « d’aller faire chier un autre merdeux ailleurs avec ses conneries de pétasse mal baisée ». Sa fille avait réussi à le convaincre, et Mélinda était repartie avec ces précieuses fioles.

« Un dragon qui boit le contenu de cette fiole perd beaucoup de sa force. Tu vois, il existe certains dragons qui ont le pouvoir de se transformer en humains. C’est une capacité présente chez tous les dragons, mais latente chez beaucoup. Ces fioles exploitent ce pouvoir magique, et affaiblissent sensiblement un dragon. Pour le dire autrement... C’est une potion d’impuissance, l’impuissance étant ici, non sexuelle, mais physique. En la buvant, tu auras la même constitution qu’un humain normal, les effets étant variables selon la quantité que tu bois. »

Elle avait récupéré la fiole sur le bureau, et la brandit sous le nez de Fusmun :

« Alors... Intéressé ? »
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le lundi 12 décembre 2016, 21:16:21
Ce qu'il venait de ce passer était pour le moins déroutant. Jamais je n'avais entendu parler d'une telle potion. Qui plus est, je suis un terranide dragon et non un dragon pure souche. Mon métabolisme et mes pouvoirs sont biens différents des autres dragons. Si je pouvais me changer en humain, je l'aurais fait depuis longtemps. Cela m'aurais évité bien des ennuis. Je regardais ma maîtresse d'un air assez incrédule car j'avais du mal à y croire d'une part et de l'autre même si c'est vrai, je n'en vois pas trop l'utilité. Je resta silencieux, incrédule et immobile un moment le temps de bien réfléchir.

Je dois avouer que j'ai un peu du mal à comprendre ce que vous venez de me dire. Il est vrai que malgré ma bonne volonté, j'ai enchainé les bourdes, cependant les protocoles et les règles sont plus difficile à retenir pour moi qui suis d'une nature assez sauvage. C'est compréhensible. Mais je ne vois pas l'intérêt de cette potion et doute de son efficacité car je n'ai jamais entendu parler d'une telle chose alors que l'une de mes propriétaire était alchimiste. Je ne sais pas ce que je dois en penser. Si je perds ma force, je pense que cela me permettra de me sentir moins effrayé de faire du mal aux personnes qui m'entourent et de produire un travail plus efficace.

Cependant si un malheur venais à ce produire, je ne serais pas en mesure de vous protéger. C'est un dilemme un peu trop complexe pour moi d'autant que n'étant qu'un terranide dragon et non un dragon pur souche, je redoute les effets secondaires s'il y en a. Mais quoi qu'il en soit, je ne suis pas en mesure de prendre cette décision. C'est pourquoi, je m'en remet à votre jugement Maîtresse Mélinda! Ma vie vous appartient comme je vous l'ai dit. Si vous souhaitez que j'abandonne ma force et ma magie, je le ferais sans hésitations ni regrets. Je préfère que la décision vous revienne car si j'abandonnais ma force et qu'a cause de cela je ne soit pas en mesure de vous porter assistance, je m'en voudrais jusqu'à la fin de mon existence.

Et personnellement, je n'ai pas envie de traverser plusieurs millénaire en me reprochant cela. Vous m'avez démontré que votre jugement est plus avisé que n'importe quel autre être vivants en ce monde.


Pour moi, la réponse était évidente, elle n'aurais pas aborder le sujet ou mentionner ce produit si elle ne voulais pas que je prenne une telle chose, elle ne m'en aurais jamais parlé. J'avais compris sans même qu'elle n'eut à me le demander et m'avança vers le flacon. Je l'observa un moment et hésita longuement. Ca n'avais pas l'air très bon. Je redoutais le genre d'effet que cela pouvais avoir sur moi et n'avais aucune idée de la dose que je devais prendre. Je déboucha le bouchon afin de sentir l'odeur du flacon et l'odeur n'avais rien de très attrayant. Je me retourna donc pour regarder l'expression de Maîtresse Mélinda pour voir si c'est bien ce qu'elle voulais.

Je ne perçu rien d'autre que son expression habituelle. Je me retourna donc vers le flacon et grimaça avant de contracter mes narines et d'avaler le liquide d'un trait. Le gout est le plus horrible que je n'ai jamais expérimenté de toute ma vie et je me mis à tousser. Le monda commença à tanguer un peu.....non c'est ma tête qui tourne, je ressens ensuite une immense fatigue si intense que je pose un genoux par terre.  Ma tête tourne de plus en plus et une sensation de nausée m'envahit, je finis par tourner de l'oeil et tomber dans les pommes. Cette potion était trop forte pour moi. Cédant à la fatigue soudaine, mon corps s'écroule sur le sol qui bizarrement ne semble pas ressentir toute ma masse s'écrouler sur lui.

Je savais bien que ce n'était pas pour moi. Je sens mon esprit comme s'enfoncer dans un océan de coton sans fond.

Je ne sais pas combien de temps passa avant que je me réveille. Mais quand je repris mes esprits tout était noir....aurais-je perdu la vue? Paniqué, j'asseye de mettre l'une de mes mains sur mes yeux, sans y parvenir. Je...je n'arrive plus à bouger mes bras......ni mes jambes.... ils sont comme bloqué par quelque chose mais je ne vois pas quoi. J'asseye de forcer mais rien n'y faisait. Pendant un moment, je cru que la potion m'avais rendu aveugle et tétraplégique, mais au fur et à mesure que je retrouvais l'usage de mes sens, je sentis que j'avais quelque chose sur les yeux et que mes bras et mes jambes étaient retenus par quelque chose. Mes oreilles bourdonnaient encore mais il me semble que j'entends des voix.

Le sifflement persistant dans mes oreilles m'empêche de déterminer a qui appartiens ses voix. Je secoua la tête afin de chasser ce bourdonnement de ma tête mais ce faisant je sentis que j'avais comme une muselière sur le museau. Je ne comprenais pas trop ce qui se passait je me sentais comme sortit d'un sommeil millénaire mais d'après mon estomac, ce n'était même pas l'heure du souper. Je sens que le bourdonnement touche à sa fin et il me semble reconnaitre une voix..... Maîtresse Mélinda? mon ouïe est encore floue mais il me semble que c'est elle. Il y a d'autres voix mais je ne les reconnais pas. Inquiet je m'agite mais impossible de bouger. Mais qu'est ce qu'il se passe? C'est alors que j'entend une des voix inconnue dire :

Oh! ça y est! Il est enfin réveillé!
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 17 décembre 2016, 23:02:38
La potion n’était sans doute pas très bonne, mais, quant à son utilité... En vérité, Mélinda ne voyait pas trop comment la question pouvait se poser, quand Fusmun avait exprimé, déjà à maintes reprises, le souhait d’être aussi vulnérable que des humains. Les potions de vulnérabilité n’étaient, du reste, pas si exceptionnelles que ça. Mélinda était un peu surprise d’entendre Fusmun dire qu’il n’avait jamais entendu parler de ce genre de potions.

*L’État en utilise beaucoup pour soumettre les prisonniers puissants et récalcitrants, ou disposant de puissantes capacités naturelles...*

Toutes ces potions avaient en commun d’utiliser une version liquide de l’obsidienne, mélangent cela à d’autres éléments. Néanmoins, et Mélinda donnait un bon point à Fusmun là-dessus, il était vrai que les potions de vulnérabilité dragoniques, elles, étaient très rares. Fusmun avait néanmoins confiance en Mélinda, et but la potion... Puis tomba dans les pommes. Le petit dragon n’allait vraiment pas bien, et, surprise, Mélinda le vit s’affaler, après avoir senti son sang s’affoler.

« Oh... Ben merde, alors ! »

Elle se pencha vers lui, mais constata vite que son pouls revenait à la normale, et qu’il était juste assommé. Mélinda hocha lentement la tête, et posa ses mains sur ses épaules, et tira dessus... Et manqua tomber à la renverse. Instinctivement, elle avait mis toute sa force, et Fusmun suivit sans aucune difficulté, de telle sorte qu’elle en fut surprise. Mélinda cligna même des yeux à plusieurs reprises, avant de se redresser.

*Intéressant... Le moins qu’on puisse dire, c’est que ça marche bien !*



Fusmun émergea plus tard, et, quand ce fut fait, Mélinda esquissa un nouveau sourire. Il avait été déposé sur un lit, et la vampire perçut effectivement son sang s’agiter. D’autres esclaves annoncèrent son éveil, et la vampire s’extirpa de son fauteuil, avant de se déplacer, faisant claquer ses talons sur le sol. La vampire avait troqué son habituelle robe pour une tenue noire en latex (http://img110.xooimage.com/files/4/5/9/284-50f2bc1.jpg), moulant ses formes.

Le petit dragon rose était couché sur le ventre, et Mélinda s’assit à côté de lui.

« Tu es réveillé, Fusmun ? Tes muscles doivent être encore un peu engourdis, ce qui est normal... Mais, en attendant que tu en reprennes le contrôle, je suis heureuse de t’annoncer que l’expérience a été... Un succès ! »

Joignant le geste à la parole, Mélinda leva sa main, et l’abattit sur le fessier du jeune dragon, venant claquer son cul.

*PAF !* fit sa main.

« Tu vois ? Tu es maintenant aussi résistant qu’un humain normal... Ce qui signifie que, le temps que les effets de la potion dureront, tu pourras goûter aux joies d’être soumis ! »

N’était-ce pas merveilleux ?
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le dimanche 18 décembre 2016, 13:42:47
Mes sens étaient revenus à la normale. C'est déjà cela. J'entendais à nouveau et les courbatures cessèrent. De plus la petite claque sur mes fesses me permit de mieux évaluer mon état. La potion à eu pour effet de diminuer la densité de mon corps en général. Dans mon état normal le fouet n'as aucun effet sur moi et maintenant je ressent une petite claque sur mes fesses. Je ressentais que mes écailles avaient perdues en densité et en épaisseur ainsi que mes muscles et mes os c'est pourquoi je  ne pouvais me défaire de ses entraves.

Réaliser tout cela et la sensation d'être attaché et muselé me mit alors dans un état d'excitation que je n'avais jamais expérimenté. La claque sur mes fesses avait fait sortir mes sexes de la poche d'écailles dans laquelle ils étaient rangés. j'entendis alors des gloussements et différentes voix me dire a quel point j'étais mignon et désirable. Je sentais des mains me caresser de toutes parts. Une me caressait la tête, une autre le ventre, une paire d'autre massait mes sexes tandis qu'une main massait mes testicules et une dernière me doigtais l'anus.

Il y avais donc d'après ce que je sentais et entendais trois personnes en tout. Il y avais Maîtresse Mélinda c'est sur mais qui était les deux autres? Je n'eus pas le temps de réfléchir à la question car la main qui tantôt me titillait gentiment l'anus rentra brutalement en moi, me faisant me tordre de plaisir et pousser un gémissement étouffé par la muselière que je portais.

"C'est un joli jouet Maîtresse Mélinda! Très flexible! Ma main est rentrée comme dans du beurre! En plus c'est super agréable la dedans! C'est comme plonger sa main dans du caramel fondu tout juste sortit du four."

"Attend laisse moi essayer!" dit une voix quasi similaire....Des jumelles? La main se retire de mon fondement et une autre s'y enfonce jusqu'au coude cette fois me faisant pousser un hurlement de plaisir alors que le précum se met à ruisseler hors de mes sexes.

"Wow! c'est incroyable c'est comme un mélange entre du chewing gum et un bain de source chaude la dedans..."

Chewing gum? c'est quoi ce truc.........

Le bras s'agite alors en moi me forçant a crier de toute mes forces et jouir comme jamais je n'ai jouit avant de se retirer me laissant sur le ventre haletant.

"Wow! C'est incroyable mon bras est jamais allé aussi loin! C'est trop bizarre! Son cul est super élastique on entre dedans sans effort mais la sensation d'étroitesse est similaire à celle d'une vierge effarouchée!"

Personnellement je ne sait pas qui sont ces personnes mais elles font un éloge de mon derrière à Maîtresse Mélinda. De mon côté malgré l'intensité de l'orgasme que j'avais ressentit, mes sexes étaient encore raide mais j'étais littéralement à bout de souffle ce qui m'amène à penser que mon endurance à aussi diminuée.

Les voix similaires demandaient à maîtresse Mélinda si elles pouvaient jouer avec moi car elles avaient bien travailler. J'étais trop occupé à reprendre mon souffle pour écouter la suite mais tout ce que je sais c'est que peu de temps après, je sentis que l'on me montais dessus et qu'un épais cylindre de chair s'invita entre mes fesses... un malle? une futa?... Je reconnus alors la voix de ma maîtresse. Pourtant elle est une femelle...? Quoi qu'il en soit, en l'instant cela n'avais aucune importance.

Je ne pouvais ni bouger ni voir et encore moins parler avec touts ses liens qui me maintenaient. Je ressentis alors un membre puissant coulisser en moi dans un mouvement lents et sensuel comme pour s'habituer à la chaleur et au confort douillet de mon intérieur avant de devenir un puissant et incessant martellement qui m'arracha un nouvel orgasme. Je sentais que l'on avait jouit en moi en des quantités impressionnantes à tel point que le jus d'amour dégoulinais de mes fesses sur le long de mes cuisses.

Malgré ce deuxième round, mon état d'excitation n'avais pas diminué et j'entendis à nouveau les voix jumelles. Elles disaient qu'elles avaient bien suivit les ordres en ramenant "la boite de l'autre monde" de quoi est ce qu'elles peuvent bien parler? Quel autre monde? A peine commençais je à me poser des questions que je fus retourné pour être allongé sur le dos comme une brindille. Alors que je me demandais combien je devais peser à présent pour être aussi facile à manipuler, ma réflexion pris fin rapidement.

Je sentis alors que l'on insérait un objet sphérique de la taille d'un poing dans mes fesses puis un autre puis un autre pour un total de huit. Pendant ce temps je les entendais glousser et l'une des voix dire :

"Je parie qu'il n'as aucune idée de la sensation qui l'attend" ensuite elles se disputaient pour savoir laquelle des deux appuierais sur le bouton "ON"...Qu'est ce que c'est qu.........

La sensation de plaisir que je ressentis alors me fit sursauter et gigoter jusqu'à ce que je soit maitrisée et immobilisé par les femmes présentes. Mes sexes entrèrent en éruption et crachèrent tout le jus qu'ils étaient capable de cracher. Je sentis alors que l'on prenait mes sexes en bouche pour en aspirer le jus ce qui démultipliait mes orgasmes. Je n'arrivais plus a penser, mon esprit se perdais dans la lubricité la plus totale. Comment ses sphères pouvait elles bouger toute seule et si vite en moi?

Je n'arrivais plus à maitriser mes sensations ni la vitesse et l'intensité de mes orgasmes et au moment ou ma raison s'apprêta à voler en éclat, j'eus droit à un peu de répit vu que la vibration dans mes fesses cessa. Mon corps encore sous le choc tremblais et frissonnais de plaisir et même sans que l'on me touche, des orgasmes spontanés me traversaient le corps comme si mon cerveau sous l'intensité du flux de plaisir avait saturé et diffusait petit à petit la surcharge à mon corps.

L'une des voix gloussait en faisant remarqué que j'étais couvert de mon propre sperme. On me retira alors ma muselière ce qui me permit de mieux reprendre mon souffle et de récupérer un peu mieux. J'entendis alors les voix qui prenais congés me faisant comprendre que j'étais seul à présent avec maîtresse Mélinda. Je sentis alors une verge gentiment tapoter le bout de mon museau comme un ordre muet m'incitant à ouvrir la bouche.

Je compris instinctivement et ouvrit grand pour laisser le sexe s'engouffrer dans ma gorge. j'entendis un gémissement de plaisir car ma gorge est très chaude, c'est comme enrouler un steak cuit à point autour de son engin. Je sentais ma tête être bloquée afin de pouvoir violer ma gorge au plus vite et y relâcher un jus d'amour à la saveur presque sucrée directement dans mon estomac. Les caresses incessantes qui suivirent me firent comprendre que c'était loin d'être finit et cette idée me fit vite reprendre de la vigueur. Je me demande bien ce qui m'attend ensuite.

Ce dont je suis sur c'est que mes fesses vont être mise à contribution car je sentis que l'on les retira d'un grand coup sec qui me fit pousser un gémissement tellement intense qu'il remplit toute la pièce. Maintenant que je n'étais plus museler, j'allais pouvoir exprimer tout mon plaisir à plein poumons.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le samedi 24 décembre 2016, 08:20:55
Originaires de la Terre, Azumi & Ayumi (http://img101.xooimage.com/files/a/d/0/azumi---ayumi-466f324.jpg) semblaient avoir trouvé un jouet à la hauteur de leurs espérances. Ces deux sœurs étaient des filles très prometteuses, qui passaient énormément de temps au harem, et qui avaient particulièrement insisté pour jouer avec Fusmun. Un Terranide-dragon à la peau rose, ça ne se trouvait pas tous les jours, après tout, et c’était bien pour ça qu’elles ne cherchèrent guère à le ménager, venant le baiser sauvagement, avant de se retirer.

Ce fut ensuite au tour de Mélinda de les remplacer, la femme faisant claquer ses talons sur le sol. Elle aussi, elle comptait bien profiter de son petit Fusmun, et ne tarda pas à enfoncer sa verge, bien tendue, dans la bouche de l’homme, posant une main sur la chevelure verte du dragonnet, s’appuyant fermement dessus, tout en remuant son corps d’avant en arrière.

« Haaaa... Hmmmm... !! »

Pour l’occasion, la vampire, amatrice de latex et de tenues moulantes, avait opté pour un ensemble différent, plus élégant, mais tout aussi sensuel : une superbe lingerie sensuelle (http://img110.xooimage.com/files/7/f/b/tumblr_o0i2catoad...po1_1280-512c370.jpg), mettant ses formes en valeur, et révélant ses fesses et son sexe. Elle souriait donc, portant également, pour parachever sa tenue, de longs gants fin en dentelle (http://img110.xooimage.com/files/9/8/9/gants-en-dentelle...4889342f-512c391.jpg). Elle crispait sa main sur les cheveux de Fusmun, et filait d’avant en arrière, sa queue venant se durcir et enfler, remuant dans la bouche de Fusmun, le prenant de plus en plus fort.

La deuxième main de Mélinda finit par rejoindre la première, et, s’appuyant ainsi sur sa tête, la vampire entreprit de proprement lui ramoner la bouche, se glissant furieusement en lui, d’avant en arrière, en grognant et en soupirant, serrant ses lèvres, les entrouvrant pour soupirer et gémir, encore, encore et encore...

« Haaaa... Mon petit Fusmun, mmhmmm... !! »

Au bout de longues minutes sous ce traitement, Mélinda finit enfin par jouir, et sentit une vague traverser son corps, finissant par se concentrer à hauteur de sa queue... Puis, dans un nouveau grognement, elle expulsa tout ce foutre, remplissant la délicieuse bouche de Fusmun, en soupirant encore longuement. Sa queue tressauta dans la gorge de Fusmun, et elle alla lui remplir le ventre, en balançant encore du sperme.

Un sourire ravi se dressa ensuite sur ses lèvres, tandis qu’elle retirait lentement son phallus. Il était toujours bien raide, et caressa le visage de Fusmun, glissant sur le nez de son esclave, titillant sa peau.

« Bon... »

Elle posa son talon sur son épaule, et sourit, puis le coucha ensuite à nouveau sur le sol, l’étalant sur le dos, avant de se mettre au-dessus de lui, une jambe à gauche de son corps, l’autre à sa droite.

« Il est temps que ta Maîtresse goûte à ta queue, petit Fusmun... Après, tu recevras tes coups de fouet, mais, pour l’heure... Moi aussi, j’ai une soif à soulager ! »

Et, sur ce, Mélinda fléchit les genoux, agrippa la verge rosâtre du dragon d’une main, et se guida lentement dessus... Pour s’y empaler ensuite, non sans un intense frisson de plaisir.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le mercredi 28 décembre 2016, 12:59:46
L'idée de me faire fouetter me fit frissonner et au moment ou j'allais protester, la vampire s'empala sur mes sexes me forçant à pousser un gémissement. Mes deux sexes entrés en elle étaient comme compressé l'un sur l'autre et leurs longueurs et leurs forme exotique faisait en sorte que son sexe ressente une sensation écartèlement à l'entrée, des petit gigotements au niveau du vagin, une sensation d'écartèlement au niveau du col de l'utérus et la pointe de mes deux sexe venaient grattouiller l'intérieur de son utérus. Une sensation divine pour elle, mais pour moi c'était autre chose car j'avais l'impression qu'un étau de chair pompais mon jus d'amour hors de mon corps.

Le bassin de Maîtresse Mélinda gigotais et heurtais le mien et la sensation d'étroitesse de son sexe ainsi que la vitesse à laquelle elle me chevauchais étaient ingérable pour moi ce qui me forçais à jouir de multiples fois à tel point que je sentais mon sperme dégouliner du sexe de ma maîtresse sur mon bassin. Décidément cette potion à considérablement affecté mon endurance. Quand elle en eut finit avec moi, je n'étais plus en état de parler et je sentit que l'on me retirais le bandeau sur mes yeux. Au début je fus éblouis et je reconnus avec horreur les deux jumelles de tout à l'heure. Maîtresse Mélinda m'avait confié à elles pour me fouetter!?! Je ne pense pas y survivre et malgré le fait qu'elles m'avaient mis une laisse et me trainaient comme un chien, j'essayais d'y échapper.

Elles étaient trop forte pour moi et le fait que je faisais tout pour éviter d'avancer commençais à les faire râler. Mais en discutant un peu entre elles, elles comprirent rapidement que j'avais horreur du bruit du fouet d'une part et que cela me faisait peur d'autre part vu que ma protection naturelle avait fondu comme neige au soleil après avoir bu la potion de maîtresse Mélinda. Elles changèrent de méthode en ce montrant plus douce, gentille et câline avec moi en me promettant d'y aller doucement ce qui me décida à avancer timidement à nouveau. Arrivé à destination, elles me couvrirent les yeux et me remirent la muselière avant de solidement m'attacher avec des lanières de cuir en position de prosternation sur une espèce d'établit en bois adapter à cet effet.

La encore, je ne pouvais pas bouger mais le fait que j'allais peut être me faire fouetter m'enlevais toute excitation par rapport à la situation. Je sentis alors l'une des jumelles s'assoir sur mon dos et me caresser en me disant d'une voix douce :

N'ait pas peur! On t'aime bien! On est pas en colère par rapport à ton caprice! Mais on va faire en sorte que tu passe un bon moment, le but est que tu devienne un bon serviteur pour le harem en te soumettant par le plaisir et non la douleur donc comme le fouet est un petit peu trop pour toi on va utiliser des accessoires de notre monde pour t'apprendre à apprécier tout ça!

Sa voix et ses caresses étaient si douces et agréable que je me détendis un peu et elle le sentis, ce qui fait qu'elle me gratifia d'une caresse. Je la remercia en poussant un petit couinement tout mignon. Elle gloussa et je sentis alors un liquide visqueux me couler sur les fesses alors qu'une main féminine vint me masser l'arrière train. Mais, contrairement à mes attentes, rien n'y entra et je les entendais discuter sur un équipement d'un autre monde vu que je ne connaissait pas les mots qu'elles utilisaient. Je donnerais cher pour savoir de quoi elles parlent car cela me concerne et j'aimerais bien savoir ce qu'est une cravache et un gode ceinture. Quoi qu'il en soit, je ne tarda pas à le ressentir car je sentis qu'elle m'enfonçait un objet dans les fesses avant de me donner un petit dessus.

Bizarrement cela n'était pas désagréable car il s'agissait d'un petit claquement sourd. Ce que je n'aimait pas c'était le bruit du fouet car cela résonnait dans ma tête pendant des heures (genre de chose qui me rend complètement hystérique), mais la ça allait et malgré le fait qu'elles aient énormément perdu en matière de résistance, mes écailles faisaient en sorte que cet objet ne me fasse pas trop mal. Je dois avouer que j'appréciais la sensation.

Mais quand j'entendis un fouet claquer, cela me fit faire un mouvement brusque et une petite flammèche sortit de mes naseaux, me faisant tomber par terre avec une des jumelles ce qui les effraya un peu pendant un instant. L'une d'elle avait eu la mauvaise idée d'en faire claquer un à côté de mes oreilles et le bruit horrible à provoquer une réaction brusque chez moi car en tant que reptile je suis encore plus sensible que les êtres à sang chaud au niveau des bruits et surtout des vibrations.

Le bruit persistait dans ma tête ce qui poussa les jumelles à me laisser tranquille car comme le bruit persistait dans ma tête cela me faisait m'agiter. Elles allèrent donc voir Maîtresse Mélinda pour lui dire à quel point le fouet était une mauvaise idée car cela me rendais complètement hystérique. Heureusement pour elles que j'avais bu cette potion qui rend faible car la furie hystérique chez un dragon fait des dégâts mais dans leurs cas grâce à la potion, elles n'avaient qu'un léger bleu à cause de la chute provoquée par mon agitation.

Elles rapportèrent donc l'évènement à maîtresse Mélinda comme quoi le fouet est vraiment à proscrire avec moi et de privilégier la cravache car j'appréciais bien jusqu'a ce que le fouet claque.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le mercredi 04 janvier 2017, 22:32:09
Dans son élégante lingerie, Mélinda se faisait sévèrement prendre. Elle avait usé les deux queues de Fusmun pour remplir ses trous, un dans sa chatte, et un autre dans son fondement. Ce faisant, elle était bien remplie, et continuait à danser sur l’homme. Le dragonnet se tortillait sur le sol, haletant et couinant, tandis qu’elle-même hurlait. La potion de vulnérabilité n’entachait en rien les performances sexuelles du Terranide-dragon, qui avait une magnifique vitalité, et une érection à s’en damner. Pour Azumi et pour Ayumi, c’était un spectacle magnifique à voir. Il y avait tout simplement trop de belles choses face à elles. Leur Maîtresse, pour commencer, qui, comme à son habitude, était superbe. Que ce soit el latex, les robes, ou la haute couture, tout lui allait à ravir, et, depuis qu’elle s’était mariée, leur Maîtresse avait de plus en plus l’habitude de s’habiller de haute lingerie, troquant ainsi ses habituelles tenues en latex pour des ensembles plus sensuels, plus voluptueux, et mettant davantage en forme les courbes de son corps, par un ensemble de lignes et de fines coutures. Elle était magnifique ainsi, et, avec les deux verges du dragonnet rose plantées en elle, le spectacle était encore magnifié, atteignant d’indescriptibles sommets.

Pour Mélinda, c’était, pour le dire simplement, un pied d’enfer ! Elle aimait bien coucher avec Fusmun, car ses queues étaient épaisses, la poussant dans ses ultimes retranchements. Le plaisir explosait en elle, inondant tout son être, et elle eut un superbe orgasme, avant de sentir Fusmun s’abandonner en elle, la remplissant joyeusement.

« Haaaaa... !! »

Mélinda s’affaissa ensuite, en reprenant son calme, et sourit devant le petit dragon. Elle le libéra finalement, en se relevant, et fit signe à Ayumi et à Azumi de partir jouer avec lui. Elle-même en profita pour se reposer un peu, retournant s’affaisser sur son fauteuil, le corps en feu.

*Sacré amant...*

Elle s’attendait maintenant à ce qu’il passe un joyeux moment. Fusmun voulait se sentir soumis, humilié. Pour elle, cette précieuse potion de vulnérabilité était le meilleur moyen de lui faire découvrir les joies de la soumission, comme une sorte de récompense. Et, pour les filles, c’était aussi un sacré spectacle, le moyen de s’amuser avec lui, et de pouvoir soumettre un dragon. Autant dire que ce n’était pas le genre de choses qui arrivaient tous les jours.

Au-delà de ça, elle se redressa, et alla s’observer devant le miroir, caressant distraitement son corps, ses ongles glissant sur la fine couture.

*Ça me va vraiment bien...*

Elle avait une grande gamme d’ensembles de ce genre, venant de la maison Sweetness, une entreprise tekhane spécialisant dans la haute-lingerie. La puissante firme était dirigée par Elizabeth Shawn, dont Mélinda était l’une des grandes clientes. Elle lui faisait des tenues magnifiques, qui valaient largement leur prix. La vampire se pinça les lèvres en observant encore sa silhouette... Et, toute plongée dans al contemplation de ses formes, entendit soudain des bruits de pas affolés.

*Allons bon, que se passe-t-il donc encore ?*

Azumi et Ayumi revinrent, paniquées, et lui expliquèrent que Fusmun avait encore fait des siennes, ne supportant pas le bruit du fouet.

*Il ne manquait plus que ça, tiens... Je commence à me demander si j’ai vraiment bien fait de l’acheter !*

Un léger soupir agacé s’échappa des lèvres de Mélinda, qui suivit les deux sœurs, et retourna voir Fusmun. Il était au sol, libéré des liens dans lesquels les deux sœurs avaient voulu le poser, et le gode niché dans ses fesses gisait également à terre, ayant sorti quand il était tombé au sol, paniquant les deux humaines.

« Eh bien, Fusmun, tu fais encore des tiennes ? »

Il ne supportait pas le son du fouet, ce qui était, avouons-le, toujours un peu embêtant quand on était un soumis.

« Vous n’avez qu’à utiliser une cravache, puisque c’est comme ça ! »

Néanmoins, les deux petites n’avaient visiblement guère plus envie de s’occuper de lui, inquiètes et nerveuses. Comprenant leur embarras, Mélinda les congédia, puis se retrouva de nouveau seule avec Fusmun.

« Bon... Tes petits caprices m’ont arraché à une activité très importante, alors... Je dirais que tu mérites la fessée ! »

Mélinda lui ordonna de se mettre à quatre pattes, et de lui présenter ses fesses, afin qu’elle les gifle...
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le lundi 09 janvier 2017, 21:07:22
Bizarrement, la punition n'était pas désagréable. Si le bruit du fouet me rend complètement hystérique et hors de contrôle, le son de la cravache au contraire est extrêmement plaisant. Ce petit claquement sourd et discret est une véritable musique pour moi. De plus mes écailles même si elles ont été réduite à peau de chagrin sont suffisamment résistante afin de ne pas sentir trop les coups. Le ressentit que j'avais étais un mélange entre une petite et infime douleur qui précède un frisson de plaisir.

Une bonne chose pour moi c'est qu'après cela, il fût décrété de ne pas utiliser le fouet trop près de moi et de privilégier la cravache pour mes punitions car le son du fouet réveillait un instinct meurtrier incontrôlable en moi. Mais comme cela posait problème, les jumelles qui avaient repris leurs courage demandèrent à s'occuper de mon dressage pour éliminer ce trait impropre à la vie au harem qui restait en moi. Ce coup-ci, comme elles avaient appris de leurs erreurs, elles décidèrent de lentement m'acclimater à ce son.

Mon dressage leurs furent donc confié. Tout commença le lendemain de ma punition, je me sentais tout apaisé grâce au doux son de la cravache de maîtresse Mélinda et quand j'ouvris les yeux, je les vis devant moi. Comme je leurs en voulais d'avoir fait claquer un fouet juste à côté de mes oreilles, je leurs en voulais un peu et arborait un air bougon. Contre toute attente, elles s'excusèrent pour l'histoire du fouet car elles pensaient pouvoir m'y habituer pour faire plaisir à maîtresse Mélinda. Je bouda un peu et finit par leurs pardonner quand elles agitèrent un morceau de viande fumée sous mon museau.

Comme elles se montraient gentille et surtout qu'elles me donnaient de la nourriture, je ne pouvais pas continuer à leurs en vouloir. Elles m'expliquèrent que le fouet était monnaie courante au harem et que leurs mission était de m'y habituer pour que j'arrête définitivement d'être une menace. Il est vrai que j'avais envie d'être le chouchou de maîtresse Mélinda et non la catastrophe ambulante et j'accepta à contre cœur de les laisser me dresser à nouveau.

Elles m'installèrent donc un bandeau sur les yeux et m'attachèrent sur une espèce de cheval en bois. Mes mains étaient reliées par une chaine au plafond et mes chevilles maintenues par des entraves au cheval de bois. Je sentis alors une cravache s'abattre sur mes fesses et l'une des jumelles dire :

"On va y aller doucement, d'abord on va faire en sorte que tu aime la cravache à tel point que tu vendrais ton âme pour en recevoir juste un petit coup."

En somme c'était bien partit car rien que le coup que j'ai reçu sur les fesses avait fait sortir mes sexes. Je sentis alors une main visqueuse rentrer dans mes fesses pour palper mon intérieur et entendis une des jumelles demander à l'autre "le plug spécial"... de quoi est ce qu... je fût alors interrompus dans mes pensée en sentant qu'elles tentaient de m'étirer l'anus pour y faire entrer un objet sphérique assez massif. J'asseye de hurler de plaisir mais au moment ou j'ouvrit la bouche, on m'installa une espèce de mors pour cheval qui étouffa mon cris, puis je reçu un nouveau coup de cravache sur les fesses.

Tout ceci était déjà terriblement excitant mais en plus je sentis un liquide chaud entrer en moi par le biais de cette sphère encastrée dans mes fesses. Le traitement dura une éternité et s'entrecroisait de petit coup de cravache sur mes fesses et ensuite encore plus de liquide chaud et épais délivré dans mes entrailles. Je finis par éjaculer quand mon ventre devint tellement gros qu'il pressa mes sexes contre le cheval de bois. C'était une nouvelle forme d'orgasme pour moi et j'avais plus apprécié que je ne l'aurais cru. Le dressage dura un peu plus d'une semaine et chaque jour j'avais droit au même traitement.

Je ne savais pas si ce que j'aimais le plus était les coups de cravache, mon ventre se faire remplir et étiré par un liquide brulant, épais et inconnu ou la sensation lubrique que je ressent quand les jumelles me libèrent pour expulser ce liquide gluant de mes fesses. Peu à peu quand elles sentaient que j'étais à elles, elles commencèrent par me mettre des protection auditive et firent claquer un fouet assez loin de moi au moment ou je jouissais, et augmentais la proximité au fil des jours ainsi que la fréquence, puis encore une semaine plus tard, elles enlevèrent les protections et recommencèrent le même procédé.

Au bout d'un mois, j'étais complètement endoctriné et le bruit ne me dérangeais plus, bien que malgré tout, j'avais conservé une très nette préférence pour la cravache, j'étais enfin prêt pour servir des clients, j'étais maintenant parfaitement formé et avais perdu tout instinct sauvage. Fière de leurs réussite, les jumelles allèrent rapporter leurs succès auprès de Maîtresse Mélinda comme quoi, j'étais à présent parfaitement bien dressé et prêt à servir la clientèle dans les us et coutume du harem.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le dimanche 15 janvier 2017, 23:08:23
Par la suite, Mélinda demanda des potions de vulnérabilité supplémentaires à Alice, tout en lui demandant de réviser les dosages, afin de les adapter à la constitution de Fusmun. En effet, les effets de la potion étaient temporaires, et, quand ces derniers s’estompaient, Fusmun retrouvait sa résistance naturelle. Azumi & Ayumi eurent néanmoins la conviction que, peu à peu, l’organisme de Fusmun s’adaptait à la potion, non pas pour en atténuer les effets, mais pour les prolonger. Elles n’avaient toujours pas abandonné l’idée de le fouetter, car, aux yeux des clients, le fouet était un élément essentiel. Beaucoup aimaient la cravache, oui, mais encore plus privilégiaient le fouet. C’était l’instrument typique du sadomasochisme, et les deux femmes s’amusaient donc à le former, utilisant un casque antibruit, jusqu’à ce que Fusmun réalise que la souffrance engendrée par le fouet n’était, fondamentalement, pas si différente que cela.

Mélinda, de son côté, continuait à administrer le harem et le clan, et plusieurs semaines passèrent. Azumi & Ayumi se concentrèrent activement à former Fusmun, l’attachant pendant des jours, lui enfonçant des godes dans le corps, et le battant régulièrement. Elles se délectèrent à sentir également sa longue langue lécher leurs pieds et leurs jambes. En venant au harem, elles avaient été des soumises pendant des mois, sexuellement torturées par leurs amants, avant de devenir plus expérimentées, jusqu’à pouvoir, finalement, à leur tour, former de jeunes esclaves.

La vampire était dans son bureau, après un rendez-vous fixé avec Azumi & Ayumi pour leur présenter un Fusmun maintenant formé.

« Tu vas voir, glissa Ayumi à Fusmun, Maîtresse va être ravie de voir à quoi tu ressembles ! »

Les deux femmes gloussèrent entre elles, puis toquèrent à la porte, et entrèrent.

« Maîtresse...
 -  ...Voici Fusmun ! »

Impatientes, elles le firent entrer, l’une des deux femmes le tenant par une laisse. Le jeune Fusmun entra donc, avec un collier autour du cou, et Mélinda entrouvrit les lèvres sous l’effet de la surprise. Il se passa plusieurs secondes, avant qu’elle ne se mette à sourire doucement.

« Eh bien... »

Pour l’occasion, les deux jeunes femmes avaient bien habillé Fusmun, en lui mettant une tenue de maid, une magnifique robe qui allait à la perfection avec ses collants et ses gants noirs. Mélinda ne put s’empêcher de sourire, tout en se redressant, et s’avança vers le trio, sa main allant caresser le visage de Fusmun.

« Oui... Tu es très mignon comme ça, Fusmun... »

Il avait également été parfumé, et sentait aussi très bon. Mélinda sourit donc, puis glissa sa main sur l’épaule de l’homme.

« Alors... Es-tu prêt, Fusmun ? Prêt à avoir tes premiers clients ? »

Elle connaissait la réponse, par l’intermédiaire des jumelles... Mais elle voulait entendre confirmation de la part de Fusmun.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le mardi 24 janvier 2017, 10:22:00
Ces dernières semaines ont été les plus longues de mon existence, à tel point que ma raison s'est perdue dans la lubricité la plus totale. Durant des semaines entières les jumelles mon dressé jusqu'au point de rupture. A cause de la potion que j'ai régulièrement ingurgité, mon corps est devenu bien plus élastique et souple qu'il ne l'étais grâce aux jouet toujours plus grotesque qu'elles utilisée sur moi. En ce qui concerne mon ouïe et ma vue, elles ont perdues en acuité ce qui fait que le bruit n'est plus un problème pour moi, et suite au nombreux coup de fouets, mes écailles se sont adaptées car n'ayant pas de résistance, elles sécrétaient une sorte de liquide servant à la fois à lubrifier et cicatriser sans laisser de trace.

Au moment ou les jumelles me présentèrent à maîtresse Mélinda, je n'avais pas le droit de parler car les jumelles m'avaient interdit de le faire et elles m'avait insérer un de leurs jouet spécial venu de l'autre monde pour s'assurer de mon obéissance. Une sorte de chapelet qui émet des vibration, très long dont chacune des protubérances avait la taille d'un œuf d'autruche. Elles m'avaient dit que si je parlaient elles le mettraient en marche pendant tout un mois sans aucun espoir de le retirer. Cependant maitresse Mélinda me parlais et je me contenta donc de lui lécher les pieds et les jambes pour lui montrer que j'étais tout à elle. Cependant les jumelles eurent un regard complice. Convenant entre elles un plan des plus amusant à mes dépends.

Elles mirent leurs jouet encastré en moi et me dirent d'une voix narquoise : "Hé bien vilain dragon, il faut répondre quand on te parle!" Je poussa un couinement et continua de lécher maîtresse Mélinda alors que la vibration qui secouais mes entrailles s'amplifiaient. La robe de maid que je portais cachait mon érection et c'est alors que les jumelles dirent d'un ton coquin : "Hé bien quel manque de politesse! Maîtresse Mélinda, nous pensons que lui donner le service du groupe de clients spécial de ce soir lui apprendrais les bonnes manières qu'en pensez vous?" Visiblement elles avaient une idée en tête et utilisaient le fait que je n'avais pas le droit de parler pour y parvenir. Je sentais au regard de maîtresse Mélinda que celle-ci n'était pas dupe mais qu'elle semblais se prendre au jeu.

Les jumelles parlaient d'un groupe de clients spéciaux et leurs air ravi ne me disais rien qui vaille. C'est à ce moment que je fus pris d'un spasme de plaisir incontrollable, me faisant éjaculer sur les pieds de maîtresse Mélinda que je m'empressa de nettoyer aussitôt. Les jumelles avait poussé leurs engins de malheur jusqu'au point ou je ne pouvais plus résister. L'une d'entre elle vint alors me donner une petite fessée et retirer l'interminable chapelet coincé en moi. L'objet était imposant car il s'agissait de 8 oeuf d'autruche relié les uns aux autres par un cable d'une matière inconnue pour moi. Sous l'effet du plaisir, je jouit à nouveau et m'écroula au pieds de maîtresse Mélinda continuant à lécher mon désordre jusqu'a la dernière goutte. J'étais tremblottant comme une proie face à un prédateur et mon air ravi montrais que j'adorais ça, souhaitant inconsciemment me faire d'avantage punir par mes maîtresses bien aimées.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 30 janvier 2017, 01:14:49
Mélinda s’amusait du trouble de Fusmun. Visiblement, les deux sœurs avaient rapidement pris un important ascendant psychologique sur ce dernier, qui leur était totalement soumis. Très mignon dans sa tenue de maid, Fusmun, plus efféminé que jamais, s’attaqua à nouveau à l’exercice délicat, mais ô combien gratifiant, qui consistait à lécher les jambes de sa Maîtresse. C’était ce que le petit Terranide-dragon faisait, sous le regard amusé et bienveillant de Mélinda, qui le laissa faire. Elle s’étonnait du fait qu’il ne parle pas, mais, connaissant Ayumi et Azumi, elle savait que ces dernières avaient des idées derrière la tête. Et, effectivement, Mélinda ne s’y trompa guère, car les deux petites beautés finirent par lui reprocher de rester silencieux, tout en demandant à Maîtresse qu’il fasse partie du service de clients spéciaux de ce soir.

Intriguée, la vampire les regarda, et les vit ensuite retirer des fesses de Fusmun une série de boules de geisha, qu’elles avaient profondément enfoncé en lui.

« Eh bien... Vous ne l’avez pas loupé, les filles... »

Néanmoins, ce traitement cruel et injuste ne semblait nullement être désapprouvé par Fusmun, puisque le dragonnet ne tarda pas à jouir furieusement, et ce à deux reprises, inondant le sol d’une belle flaque de sperme.

« Diable... »

Fusmun, épuisé, s’affala devant les pieds de Mélinda, qui pencha lentement la tête sur le côté.

« Vous savez, les filles... Je veux bien qu’il rejoigne les clients particuliers, mais... Il va aussi falloir le laisser se reposer, si vous voulez qu’il survive à cette soirée. »

Le harem organisait régulièrement des soirées spéciales. Néanmoins, il y en avait parfois plusieurs, et, pour le coup, Mélinda ne savait pas vraiment ce que les deux esclaves avaient en tête. Ainsi, tout en laissant Fusmun se reposer, elle se redressa, et marcha vers un placard, récupérant une bouteille de sang qu’elle stockait là, et s’en servit une rasade. Mélinda se retourna ensuite vers les deux femmes, et posa finalement la question tant attendue :

« Alors, les filles, qu’est-ce que vous avez en tête ? »
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Fusmun le mardi 31 janvier 2017, 13:40:31
Alors que l'effet de la fatigue du à l'entrainement intensif des jumelles me plongeait dans un micro coma, j'entendais la voix des 3 femmes mais mon esprit était bien trop noyé dans la fatigue et le plaisir pour entendre la conversation. Je m'endormais ainsi au pied du trône de maîtresse Mélinda comme un gentil paillasson d'écaille.

Pendant ce temps les jumelles parlèrent à la vampire de leurs projet :

Hé bien chère maîtresse, cela nous gène de révéler notre idée tout de suite...
...étant donné que cela concerne une surprise qui vous est destinée...
...Une belle surprise...
... Merveilleuse même...
... Mais pour vous remercier de votre bonté nous avons promis de ne rien vous cacher...
... Donc nous aimerions vous proposer un pari a votre unique avantage...
... Si nous gagnions, vous nous laissez organiser notre spectacle avec le petit dragon sans poser de questions afin que nous puissions vous remercier de toutes les bonnes choses que vous nous avez apprise et apportées...
... Et si nous perdons non seulement ce sera nous qui assurerons le spectacle...
... Mais en plus nous le ferons tout les soirs pendant un mois sans possibilité de se rétracter!
... Le pari est très simple, si notre petit dragon arrive à s'occuper à lui tout seul de l'équipe terranide de Roughball qui à réservé la salle de luxe pour ce soir nous gagnions...
... et si un seul de ces messieurs n'est pas entièrement repus et satisfait nous perdons...
... Et pour éviter de tricher, nous avons enfermé notre plan dans ce médaillon que l'on vous remets...
... Tandis que ma soeur et moi garderons la clé...
... Nous savons depuis le temps que vous êtes tout aussi joueuse que nous vu que vous nous avez appris à l'être...
... Nous espérons donc que cela sera pour vous un divertissement de qualité...
... Qu'en pensez vous?


En ce qui me concerne, j'était tellement à l'ouest que je n'avais rien entendu de la conversation mais ce qui est bien, c'est que durant le reste de la journée, les jumelles m'ont laissé tranquille et j'ai eu droit à plein de viande de dessert et de jus de fruits. Cependant tout le monde me souhaitait bon courage pour ce soir ou disait que j'avais de la chance de rencontrer les rough riders. Mais de quoi est ce qu'ils parlent? C'est quoi les rough riders et le rough ball? ..... Bah! sans doute une blague.
Titre: Re : La bague au doigt [PV Mélinda]
Posté par: Mélinda Warren le lundi 06 février 2017, 00:52:47
Depuis quand Azumi & Ayumi se montraient-elles si entreprenantes ? Mélinda, pour le dire franchement, en était surprise, et ne savait plus trop quoi penser. Elle écoutait les deux femmes enchaîner leur proposition, en lui proposant un pari dont Mélinda peina à discerner les enjeux. Elles avaient donc un projet spécial impliquant Fusmun, mais refusèrent de l’expliquer, préférant soumettre cela à un défi... Ou, plutôt, à un parti, consistant à déterminer si Fusmun était capable d’endurer tout seul les Terranides de Roughball. S’il y arrivait, alors elles assureraient elles-mêmes le « spectacle ». Mélinda les observa pendant quelques secondes sans rien dire.

Elle croisa ensuite les bras, penchant la tête sur le côté.

« Hum... Je ne suis pas spécialement sûre d’avoir tout compris à votre petit jeu, mais... »

Pourquoi pas, après tout ? La vampire haussa les épaules, et décroisa les bras. Vu comment Fusmun avait l’air fatigué, elle ne pensait pas qu’il tiendrait contre un troupeau de Terranides en chaleur, mais... Eh bien, ça ne risquait pas de la déranger. Elle haussa donc les épaules, et un léger sourire amusé se mit à perler sur ses lèvres.

« Vous savez comme j’aime les défis... Alors, j’accepte ! »