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Les monstres existe c'est indéniable mais être un monstre ne ce limite à l'aspect physique mais plutôt à l'âme de l'individus et aux atrocités qu'il as commis par le passé à telle point qu'ils sont devenus des légendes urbaines, des croquemitaines. Mais si en général les monstres sont des solitaires ou en groupe restreint, jamais un endroit en dispose autant que le village d'Inunaki.
Il s'agit d'un mystérieux village se trouvant quelque part au Japon dans la foret d'Aokigahara. Les habitants du village vivraient de manière assez spéciale puisque l'inceste, le cannibalisme et le meurtre y seraient monnaie courante. Pour des raisons inconnues, les appareils électroniques ne fonctionneraient pas dans le village. Tous ceux qui s'y sont rendu n'en sont jamais revenu.
Bien entendu la majorité des gens ne sont pas forcément au courant ce fut le cas du conducteur et des passager d'un minibus en voyage scolaire. Suite à un problème et une erreur de navigation pour aller jusqu'à un temple, le minibus fut contraint de se dérouter pour trouver un racourcit qu'il ne trouva jamais et les ennuis continuèrent quand le bus rencontra un problème technique quand ses roues roulèrent sur quelques chose qui déchira deux de ses pneus forçant à s'arrêter. Le chauffeur bougonnant sortis pour constater les dégâts et poussa un juron avant de prendre son portable mais raccrocha pour rentrer à nouveau dans le bus annoncer la mauvaise nouvelle aux élèves et au professeur.
- On as deux pneus déchiré mais je n'ai qu'une roue de secours. Je suis désolé mais je crois qu'on est coincé ici. Dit il.
- On peu pas essayer de de remplacer une des roue et essayer de rejoindre la route ou téléphoner pour appeler de l'aide ? Demanda le Professeur.
- La route est trop mauvaise on risque de casser le moteur et le réseau ne semble pas fonctionner ici. J'ai remarqué un panneau indiquant un village pas loin. Ils ont peu être une ligne de téléphone fixe ou un garage avec du matériel. Peu être que nous pouvons peu être faire une halte pour réparer. Dit le chauffeur.
Le professeur lis sa montre et fronça les sourcils.
- Il est assez tard la nuit va tomber dans une heure et vu la chaleur ici, peu être devrons passer la nuit ici en espérant que ce village ai un hôtel ou une auberge. Dit il avant d'appeler les élèves et les inviter à descendre et prendre leurs affaires.
Le petit groupe ce mis en marche au bout d'une bonne heure à suivre un chemin défoncé ils finirent par voir une grille et un panneau indiquant le nom du village mais aussi un curieux message écrit à la peinture rouge sous le nom.
"les lois constitutionnelles du Japon ne s'appliquent pas ici !"
La grille n'était pas fermé et un tunnel à flanc de colline semblait mener à destination.
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L’année scolaire touchait à sa fin et le lycée avait prévu, comme il est coutume en fin d’année de faire un voyage d’une petite semaine afin de s’aérer un peu avant la période tant redoutée des examens où ils n’y auraient que très peu de temps pour se détendre et s’amuser. Il avait donc été décidé de faire un petit tour des différents temples, l’idée avait plu aux élèves et aucun ne manquait à l’appel. Quelques professeurs accompagnaient les élèves ainsi que, bien évidemment, le conducteur du bus.
Le voyage se déroulait plutôt bien, les lieux visités étaient très beaux et intéressants, le professeur d’histoire ne manquait pas une occasion pour parler des évènements s’étant déroulés dans les alentours ou l’histoire de la construction des temples qu’ils visitaient. Tout se passait bien pour le moment, Anaëlle suivait assidûment les cours improvisés, étant toujours à la tête du groupe que ce soit lors des visites ou dans le bus.
Tout se passait bien jusqu’à ce que le bus doive se rendre au troisième temple faisant partie de leur itinéraire. Quelque chose passa sous le bis en lui déchirant les pneus, obligeant donc le conducteur à s’arrêter pour trouver une solution. Bien évidemment, il n’y avait qu’une seule roue de secours, ce qui ne permettait pas de reprendre la route puisque deux des pneus avaient été déchirés. Quand on y pense, c’est idiot de n’avoir qu’une roue de secours quand le véhicule à plusieurs roues.
Alors que la panique commençait à monter dans le groupe d’élève, le professeur les rassura en disant que le village que les panneaux indiquaient avait peut-être de quoi les héberger pour la nuit. Les élèves descendirent donc du bus et prirent leurs affaires dans les soutes avant de se mettre en marche en suivant le professeur pour trouver le village.
Une heure fut nécessaire pour que le groupe arrive à la grille qui semblait indiquer l’entrée du village. Cependant ce qui était écrit n’était pas vraiment des plus rassurants. Les lois du Japon ne s’appliquaient pas ici… c’était plutôt effrayant comme déclaration, mais semblait trop gros pour être vrai alors le professeur continua de mener ses élèves pour les faire entrer dans le village.
Derrière le groupe, Anaëlle avait du mal à suivre la marche et soufflait d’épuisement pendant qu’elle se faisait de plus en plus distancer par ses camarades qui continuaient d’avancer derrière le professeur plutôt pressé de trouver un endroit pour passer la nuit en sécurité.
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Après le passage dans le tunnel sombre et glauque aux néons tremblant le groupe sortis enfin et fit une pause afin de s'orienter. La nuit commençait à tomber mais l'ambiance de cet endroit n'avait rien de rassurant loin de là. Même si quelques réverbère éclairait cet endroit le village semblait mort. La zone ou se trouvait le groupe devait être le quartier commerçant mais les stores étaient fermer des planches verrouillaient les fenêtres et il y avait de nombreux trous sur les toits. La végétation semblait commencer à envahir la zone mais malgré tout ce quartier donnait l'impression d'avoir un bon siècle de retard vu l'ancienneté de lieux.
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Le chauffeur essaya à nouveau son téléphone imité par d'autres afin de voir si ils pouvaient contacter quelqu'un mais sans plus de succès que la dernière fois.
- Mince on dirait que cet endroit est complètement abandonné. Dit le professeur d'histoire.
- Pas sur si il y as encore de l'électricité c'est que cet endroit est peu être encore habité. Il faut bien quelqu'un pour entretenir le générateur à moins que le réseau soit connecté par une centrale nucléaire et qu'on ai oublier de couper le jus. Dit le chauffeur.
- En tout cas on peu pas laisser tout le monde passer la nuit dehors tout le monde en route et ne vous éloigner pas les un des autres ! Ordonna le professeur.
Pour Anaëlle ce fut plus facile à dire qu'à faire et se retrouva à nouveau derrière alors que le groupe sillonnait les rues du village. Elle se retrouva à nouveau éloigné du groupe qui ce mis à tourner dans une ruelle alors qu'elle se dépêchait à les rejoindre à son tour elle trouva la rue vide et aucune trace de la présence des professeurs et ses camarades comme si ils c'étaient volatilisés. Pourtant même si ils avançaient vite Anaëlle aurait quand même eu le temps de les rejoindre et même les voir. C'est comme si ils avaient été avaler par le village. L'angoisse commençait à monter d'un cran et la jeune fille eu l'impression d'être épier au travers des planches disjointe des maison et entrepôts en ruine.
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D’habitude elle n’avait pas trop de mal à suivre même lorsqu’il fallait marcher e longue distance, elle arrivait à tenir la cadence, mais cette fois-ci c’était trop. Ses jambes avaient de plus en plus de mal à la porter et elle commençait à être fatiguée, la journée avait été longue et cette marche nocturne avait été l’épreuve de trop. Elle essaya de presser le pas, car pour rattraper les autres, mais rien n’y fit, en plus les lieux n’étaient absolument pas accueillant et elle commençait à avoir un peu peur.
Elle espérerait les avoir rattrapé lorsqu’ils c’étaient arrêter un petit temps pour essayer d’appeler l’extérieur sans succès, mais à peine elle arrivait de nouveau à leur hauteur, qu’ils repartaient pour mieux la devancer, elle commençait à en avoir marre. Elle vit le groupe tourner dans une rue et accéléra le pas jusqu’à presque courir afin de ne pas les perdre de vue pour ne pas se retrouver toute seule. Mais lorsqu’elle arriva dans la rue, il n’y avait plus personne alors que la rue était toute en longueur et que même avec son retard, elle aurait dû les voir en face, mais il n’y avait personne.
L’atmosphère commençait à se faire pesante et elle était de moins en moins tranquille, on aurait dit une scène de film ou de jeu vidéo où l’idée la plus intelligente qu’on les personnages est de se séparer et d’aller chacun de leur côté alors qu’il y a un danger omniprésent. La jeune fille aux cheveux bleus continuait d’avancer en essayant de voir où ses camarades avaient pu aller, mais toutes les portes étaient fermées.
Elle commençait à trembler un peu et tournait sur elle-même, totalement perdue et sur le point le craquer, totalement épuisée.
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Alors qu'elle tournait en rond Anaëlle perçut un bruit de moteur au loin en avançant cela semblait provenir d'une ruelle pensant peu être que les autres aient entendu le bruit. Elle finis par débarquer dans une petite cour de ce qui ressemblait à une ferme. Un tracteur était garé le moteur tourné et les lumière des phare était allumé et les fenêtres semblaient allumé. Outre le bruit du moteur un bruit terrible d'animaux se faisait entendre dans le bâtiment derrière le tracteur des porc vu les grognement et les couinement qu'on pouvait entendre. Alors que Anaëlle s'approchait un silhouette apparus d'un auvent tenant quelque chose de gros et lourd voulant charger la remorque. Anaëlle pensait trouver de l'aide mais se figea en le voyant.
La créature était très loin du critère humain. Il mesurait plus de deux mètres. Il était revêtus d'un imperméable en loque et une écharpe qui avaient certainement vu des jours meilleurs ainsi qu'une ceinture contenant des objets et des outils. Ses mains étaient pale et grisâtre mais l'aspect le plus monstrueux était son visage. Il portait un masque intégral en fer sans ouverture ce qui l'empêchait pas de marcher bien qu'il semblait mesurer ses pas afin de charger son fardeau dans la remorque du tracteur, un porc égorgé et trancher en deux. La pauvre bête était encore vivant car sa pate remuait encore.
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La créature jeta son fardeau dans la remorque du tracteur et fit une pause. Anaëlle se figea alors que la créature resta sur place comme si elle essayait de percevoir quelque chose elle semblait aveugle à cause de son casque et émis un claquement de langue resta fixe quelque secondes jusqu'à ce que le porc à demi mort emis une gargouillement que le géant perçu. Il revins à la benne et se saisit d'un lourd marteau en bois qui devait trainer dans la benne avant de le lever et l'écraser sur la tête du porc. Jetant le maillet dans la benne il sembla attendre quelque chose jusqu'à ce que un cris inhumain provenant de la ferme attira son attention. La créature poussa un grognement étouffé sous son masque et émis un nouveau claquement de langue avant de rentrer dans le bâtiment laissant Anaëlle épouvanté mais chanceuse de n'avoir pas été perçue par la créature.
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La jeune fille avait entendu un bruit à l’autre bout de la rue et s’était donc empressée de se rendre à la rencontre du bruit espérant trouver quelqu’un, le bruit ne se faisait pas tout seul. Elle trouva donc la force de marcher encore quelque dizaine de mètres pour aller voir de quoi il s’agissait. Elle espérait aussi retrouver ses camarades, ils étaient partis dans cette direction alors ils avaient dû rencontrer la personne qui faisait ce bruit. Elle faisait du mieux qu’elle pouvait pour se dépêcher, mais ses pas restaient lents et lourds, la fatigue et la peur lui faisant trembler les jambes qui peinaient à la porter.
En arrivant là où elle entendait le bruit, elle s’aperçut que c’était le son du moteur d’un tracteur, il n’y avait pas de bruit à part ce moteur et en s’approchant pour voir qui était là elle se figea. Elle aperçut un… homme ou quelque chose qui pouvait y ressembler, il était bizarrement habillé et tout son visage était recouvert d’un masque. Elle le regarda sans bougeant, il n’y avait pas de lumière là où elle était alors peut-être qu’il ne la verrait pas surtout qu’il était tout sauf accueillant, ses bruits de langue résonnant sous son masque étaient effrayants et ce qu’il était en train de faire était répugnant et Anaëlle eu des haut le cœur en voyant les carcasses de porc dans la remorque du tracteur.
Un cri retentit depuis l’intérieur de la ferme et l’inconnu s’y dirigea sans avoir vu la jeune fille. Cette dernière était toute tremblante et incapable de bouger, mais elle ne pouvait pas rester là. Elle ne savait pas si elle devait aller voir ce qu’il avait dans la ferme, mais le cri avait été terrifiant ou si elle devait faire demi-tour et retourner au bus, au moins à bas elle serait à l’abri et elle n’aurait qu’à attendre que les autres reviennent. Mais les autres étaient allés dans cette direction et leur disparition et le cri terrifiant avait peut-être un lien. Sachant que de toute façon elle n’était pas en mesure de s’en aller et qu’elle se ferait voir une fois que le jour serait revenu, elle décida d’aller voir d’où venait le cri, d’un pas discret elle suivi donc le chemin que l’autre avait pris. Se cachant dans chaque recoin au cas où.
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Le chemin menait vers un entrepôt la créature n'était pas discret et faisait du bruit en marchant à pas lourd et lent. L'endroit devait être une porcherie car de nombreux cochons était entassés derrière des barrière à l'intérieur de l'entrepôt sous une lumière jaunâtre éclairés par plusieurs ampoules électriques défaillantes.
Le géant finis par arriver et attendit en face ou un autre cri terrible se fit entendre et une autre silhouette émergea de la porcherie. Si le géant aveugle était affreux l'autre était horrible au delà de l'inimaginable. De taille plus respectable que le colosse il était scarifier de partout et des élément métallique semblaient ficher dans sa chair à de nombreux endroit. Il avait une sorte d'appareil dentaire préhistorique qui lui maintenait la mâchoire ouverte et cela semblait être lui qui poussait ses cris désarticulés car il en poussa un effrayant. Il tenait entre les mains une grosse barre de fer et n'était vêtus que d'un pantalon et un tablier en loque.
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Le hurleur frappa avec sa barre de fer sur un des enclos ouvert et le géant se dirigea à l'intérieur suivis par le hurleur.
Anaëlle était en train d'observer cela quand un bruit lui fit tourner la tête une autre créature avait fait son apparition aussi gros que le géant aveugle. On aurait dit qu'il était vêtus comme un agent de sécurité avec uniforme et casquette mais il était tellement gros que son uniforme craquait de tout les coté. Il était armé d'une massue ou était encastré des crâne et une lourde chaine et avait l'air de patrouiller dans ce secteur en fouillant chaque recoins de la ferme il avait des tête accrocher à la ceinture mais parmi ses tête à demi décomposer Anaëlle vis une tête fraiche. Celle de son professeur d'histoire.
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Elle avait sans doute fait la chose la moins intelligente et sensée qu’il y avait à faire dans ce genre de situation, elle avait suivi le géant pour voir ce qu’il se passait et même si elle essayé d’être prudente et discrète cela restait une idée idiote, mais il était trop tard pour faire demi-tour. Elle put donc voir avec effroi la créature qui avait poussé le cri horrible qu’elle avait entendu depuis le dehors, ce n’était pas un de ses camarades et c’est à cet instant qu’elle réalisa qu’elle avait été stupide. La chose qui poussait des cris était encore plus horrible que l’autre géant masqué et semblait encore plus effrayante.
Anaëlle tremblait et avait désormais envie de s’en aller, mais elle ne pouvait plus bouger, cachée dans un coin de la ferme dans l’ombre de grosse caisse de bois. Et elle entendit quelque chose qui lui ôta tout espoir de fuite, un autre monstre remontait vers elle en vérifiant chaque recoin, on aurait dit un vigile et elle savait qu’elle allait être découverte, mais elle était complètement tétanisée. Et ça ne s’arrangea pas lorsqu’une tête arriva à sa hauteur d’yeux, la tête fraichement décapitée de son professeur d’histoire, elle n’eut même pas la force de crier de terreur à cette vision d’effroi.
Elle avait espéré passer inaperçue en ne bougeant pas, mais elle réalisa que ce n’était pas le cas quand elle ne vit pas la tête s’en aller. Elle leva alors doucement les yeux et regarda le vigile qui lui faisait face et la regardait, il ne lui avait pas encore donné de coup avec sa grosse masse qui aurait pu la tuer sur le coup… elle se mit à trembler en le regardant dans les yeux. Et elle se sentit partir, s’évanouissant devant cette vision d’horreur. Elle ne savait pas que quand elle se réveillerait, elle ferait la connaissance de tout le village.
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Anaëlle fut évanouis quand le garde la découvris il regarda attentivement la fille et la renifla avant de la tâter avec son gourdin et finalement la prendre et se ramener vers l'entrepôt la jeune fille sur les épaules. Ce que la jeune femme ne savait pas c'est qu'à l'instar du géant aveugle le garde bien qu'ils arrivant à distinguer quelques chose avait une très mauvaise vue. assez pour distinguer un bipède d'un animal mais pas assez pour faire la différence entre une personne évanouie et autre chose. La créature dans le doute avait pris la jeune femme et l'avait amener dans l'entrepôt.
Anaëlle se réveilla dans l'inconfort d'une pièce crasseuse, bruyante et vide de tout mobilier. Elle avait certainement jeter là mais elle découvris avec horreur trois choses la première c'est que son pied était entravé par une chaine fixé solidement au mur la seconde c'est qu'elle était presque nue hormis quelques lambeaux de vêtement qui collait à son corps et sa culote. Enfin elle n'était pas seule. Malgré la pénombre elle vis des formes et compris qu'elle avait affaire à des porcs, des truies pour être exact entravés comme elle mais mangeant ou faisant la sieste.
Alors qu'elle observait l'endroit des pas lourd se firent entendre. Quelques instant plus tard la porte s'ouvris sous le passage d'un type massif et affreux et difforme bien que plus normal que les trois autres. Il était assez grand mais pas impressionnant comparés aux autres. Il avait quand même des bras musclés. Il avait la peau très pale et il avait une tête déformé au dents mal planté et jaunâtre.
(http://images.akamai.steamusercontent.com/ugc/40857439158815303/2C150229F6545332A3540765F542B6426DC5136D/)
Il venait visiblement nourrir les porcs car il avait un sac qui contenait de morceau de viande fraiche qu'il jeta allègrement et dont les cochons venaient se nourrir. Quand son regard se porta sur Anaëlle il se mis à baver et parla d'une voie érailler.
- Truie... Jolie ! Viens voir Neun ! Dit il en essayant d'appâter Anaëlle avec un bout de viande d'un aspect douteux tout en essayant de la bloquer pour essayer de l'attraper. Son sexe était visible sous son vieux pantalon en toile et il était tendu.
- Viens jolie truie ! Neun te veux ! Dit il en s'approchant.
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Elle ne savait pas combien de temps elle était restée évanouie, mais lorsqu’elle se réveilla elle sentit tout de suite que quelque chose clochait, elle se rendit compte qu’elle n’avait presque plus de vêtement, son haut avait été déchiré et il ne lui restait que la culotte pour son bas. Elle essaya de bouger, mais quelque chose la bloqua en se retournant elle aperçut que ses pieds étaient enchainés, elle était donc immobilisée. Elle regarda donc ce qui l’entourait, elle était au milieu de l’enclos des porcs, les créatures l’avaient peut être confondu avec une truie.
Elle ne savait vraiment pas quoi faire, elle ne pouvait plus bouger, elle se trouvait au milieu des porcs et elle était presque nue, si elle en avait eu la force, elle aurait pleuré, mais elle n’y arrivait même pas. Un autre bruit se fit entendre, une autre créature arrivait pour nourrir les porcs, on ne pouvait pas dire que c’était un homme, il était peut-être humanoïde, mais il n’avait rien d’un homme. Il lançait des morceaux de viande aux porcs, Anaëlle déglutit lorsqu’il se mit face à elle pour la regarder. Il essayait de l’appâter avec de la viande et disait que Neun voulait la jolie truie. Lorsqu’elle vit que derrière son pantalon, son sexe était tendu, elle comprit ce que ça voulait dire et que Neun c’était lui.
Elle se mit à trembler et recula comme pour fuir, mais elle ne put faire que quelque pas en arrière avant de se retrouver contre le mur. Ses jambes plièrent et elle s’effondra au sol, toute tremblante. Elle ne pouvait rien faire d’autre que subir ce que cette créature allait lui faire. Elle voulait juste que cela ne lui fasse pas trop mal.
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- Bien ! Bien ! Gentille truie ! Dit Neun qui deboutonna son pantalon et sortis sa grosse queue. L'odeur qui en dégageait était épouvantable. Elle était énorme noueuse et sale. De gros grumaux jaunâtre et gluant en maculait le prépuce.
- Pas mordre sinon Neun méchant et arracher dents ! Dit la créature qui cola son membre infect contre le visage d'Anaëlle laissant une trace jaunâtre sur son visage en se frottant contre elle. Son odeur était immonde de près mais le supplice ne faisait que commencer. Non seulement il frotta son membre immonde contre le visage d'Anaëlle mais en plus força la jeune femme à ouvrir le bec pour y enfourner son gland. Le gout en était horrible très amer et salé et Neun se montra une véritable brute en enfonçant son membre brutalement jusque dans la gorge de la jeune femme et faire des va et viens brutaux.
- Rrrr ! gueule étroite ! Truie première qualité ! Neun aimer ! Peu être pas couper viande tout d'suite ! Aaaaarg ! Beugla Neun qui se cambra en en enfonçant à nouveau son membre immonde dans la gorge d'Anaëlle une nouvelle fois. Le face fuck dura cinq bonne minutes, cinq bonne minutes qui dura d'interminables heures. Ce fut au bout de d'un moment que Neun se mis à jouir son jus épais et puant manquant d'étouffer Anaëlle et se retira ensuite jouissant encore et souillant la jeune femme.
- Bien ! Bien ! Gentille truie ! Rrrrrg ! Répéta Neun qui semblait limite en vocabulaire.
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Elle le regardait pendant qu’il était juste devant elle alors ce son dos était contre le mur, elle ne pouvait pas fuir malgré qu’elle l’aurait bien voulu. Elle écarquilla les yeux lorsqu’il déboutonna son pantalon pour en sortir son sexe puant et immonde. L’odeur était si forte qu’elle avait failli s’évanouir à nouveau, il aurait peut-être mieux valu qu’elle s’évanouisse, elle n’aurait pas eu à sentir ce qui allait se passer ensuite. L’autre créature pressa son sexe contre son visage et le caressait avec, c’était atroce, les porcs étaient plus propre que lui.
L’individu ne s’arrête pas là et l’obligea à ouvrir la bouche pour s’enfoncer bien en elle, la remplissant totalement. Le goût était encore plus ignoble que l’odeur. Elle se faisait violet la bouche, jusqu’à sentir le bout du membre lui taper dans le fond de la gorge avec force. Elle ne pouvait pas faire grand-chose et elle refusait de faire comme on pouvait voir dans les films pour adulte pour essayer de rendre la chose plus agréable, il était bien trop dégoutant et sale pour qu’elle le touche.
Cela sembla durer une éternité, elle ne sentait même plus sa gorge, tellement il avait frappé fort et souvent contre. Elle commençait à s’habituer à l’odeur, ne la sentant plus, mais ce répit fut de courte durée quand elle senti quelque couler en elle. Il avait joui au fond de sa gorge, l’obligeant donc à avaler pour ne pas finir par étouffer, la substance était horrible comme tout ce qui venait de lui. Lorsqu’il se retira il continuait encore de jouir et Anaëlle se retrouva donc le visage couvert de cette substance ignoble et dégoutante. Elle eut une violente remontée et vomit tout ce qu’elle venait de ravaler sur le côté.
Elle regardait son ravisseur en tremblant, voulant que tout cela se termine, qu’il en ait fini pour cette fois, maintenant qu’il s’était vidé. Elle n’arrivait même plus à parler même si de toute façon cela n’aurait servi à rien, il n’aurait surement pas compris ce qu’elle aurait pu dire.
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Neun avait beau c'être vider dans la bouche de la jeune femme il n'en n'avait pas finis avec elle. Après avoir bien jouis une fois Neun jeta Anaëlle sur le coté et la jeune femme se retrouva à quatre patte sur le sol dégoutant de sa geôle. Neun se sentant tranquille pouvait laisser libre cours à ses plus bas instincts et à ses penchants sexuels les plus vils.
Anaëlle sentis les mains de Neun se poser sur son arrière train et se saisir de sa culote d'un coup sec Neun l'arracha d'un coup avant de poser sa tête sur les fesse de la jeune femme et commencer à lécher son arrière train. Anaëlle sentis cette langue gluante et baveuse explorer son intimité vagin et anus et même essayer d'en forcer l'entrer du bout de sa langue énorme et gluante. Finalement Neun décida quel trou il allait baiser.
Anaëlle sentis quelque chose de gros se poser contre son anus étroit tandis que Neun l'agrippa par les seins brutalement et soudainement il enfonça d'un coup son dard dans les entrailles de la jeune femme. La pénétration fut brutale et Neun l'allas pas avec le dos de la cuillère avec ses va et viens. Il agrippait la poitrine d'Anaëlle avec tellement de force et ramonait avec tellement de brutalité que cela fit très mal.
- AAAARRRG ! Truie avoir sacré bon cul chaud. Neun aimer fourrer queue dedans. Moi attendre un peu avant de manger truie. Neun la fourrer avant comme une dinde RRRRRG ! UAAAA ! Dit la créature qui donna un nouveau méchant coup de rein plus profondément dans le cul de sa victime.
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Cet instant avec été horrible, elle voulait que tout s’arrête pour pouvoir enfin quitter cette puanteur ambiante, mais le supplice allait continuer encore un peu. La créature difforme la poussa sur le côté, heureusement pour elle, du côté opposé à celui où elle avait vomi, elle se retrouvait donc à quatre pattes.
Elle savait ce qui allait se passer, mais ne pouvait rien y faire, perdre sa virginité dans un endroit aussi crasseux et avec un être aussi immonde n’était pas ce qu’elle avait imaginé. Il la léchait et cela la remplit de dégout. Puis elle sentit quelque chose de dur se presser contre l’entrée de son anus.
Elle cria fort quand il rentra brutalement en elle en lui attrapant les seins au passage et il allait et venait avec force pendant qu’elle criait de plus en plus fort, il lui faisait mal. Elle pouvait le sentir bien profond en elle, ses fesses se pressant contre le sexe qui la prenait comme pour le bloquer, mais chaque pénétration était encore plus douloureuse.
Elle était contrainte de le laisser faire, totalement sous son emprise et ne sachant pas combien de temps allait encore durer se calvaire et si quelqu’un viendrait la sortir de là… même si vu à quoi ressemblait les autres habitant du village, elle n’était pas sur de vouloir sortir finalement.
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Neun ne tarda pas à jouir une grande quantité de foutre dans le cul de Anaëlle cela semblait avoir suffis à le calmer. Repus il se retira et remis son pantalon et jeta à la jeune femme un morceau de viande bien gras et sanguinolent avant de partir pour la récompenser il partis ensuite et referma la porte laissant Anaëlle seule avec les animaux à peine éclairé par une ampoule électrique.
En regardant le bout de viande Anaëlle vis une chose horrible la viande cru avait encore de la peau et sur cette peau un tatouage de rose était dessiné à moins que ses fou furieux aient dans l'idée de tatouer leur animaux la chair donner aux cochons devait être surement de la chair humaine.
En regardant à nouveau le mur ou elle était enchainée Anaëlle vis une planche de salut. Neun en prenant la jeune fille avait pris ses jambes sur la chaine et en baisant la jeune fille comme un bœuf Neun avait desceller l'anneau du mur. Avec un peu de force il y avait peu être moyen d'enlever la chaine du mur. Cela ne libèrera pas Anaëlle de ses chaines mais cela pourrait lui permettre de sortir le la pièce en portant la chaine. Neun ne semblait pas avoir verrouiller la porte en la fermant pensant surement que les chaines suffiront pour maintenir tout le monde en détention.
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Le supplice dura moins longtemps qu’elle l’aurait cru, après l’avoir pris aussi violemment, la créature finit par éjaculer en elle. Anaëlle sentait l’épais liquide chaud lui remplir l’anus, au moins elle n’avait pas à le sentir une nouvelle fois dans sa bouche. Elle laissa échapper un long soupir de soulagement après qu’il se soit retiré et rhabillé, le liquide lui ressortait des fesses en d’épaisses flaques.
Avant de partir, l’autre lui avait lancé un morceau de viande, mais en le regardant elle n’y toucha pas. Mais ce n’était pas le fait que ce soit de la viande humaine qui lui faisait horreur, mais plutôt l’aspect de la viande, elle n’avait pas l’air d’être très saine et ne voulait pas tomber malade. Même si après avoir gouté au sperme de cet être dégoutant, tomber malade n’aurait pas dû être son principal souci, qui sait combien de cochonnerie pouvait se trimbaler dans le sperme d’une créature aussi négligée.
En se retournant vers le mur elle eut cependant une illumination, l’autre l’avait pris tellement fort que lorsqu’elle avait bougé, ses chaines s’étaient détachées du mur. Elle essaya donc de tirer sur le peu de chaine qui restait accrochée et réussit à se détacher du mur. Elle ne pouvait pas détacher ce qui lui cerclait les pieds, mais au moins elle n’était plus attachée.
Elle se leva donc en attendant assez pour laisser le temps à l’autre de s’en aller. Elle tenait les chaînes pour ne pas les faire tomber et ne pas faire de bruit, elle passa la porte de l’entrepôt avec succès, elle n’était pas fermée. Il était temps pour elle de s’échapper, mais elle ne savait pas où aller.
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Anaëlle passât la porte pour tomber dans un couloir tout aussi crasseux menant vers une ouverture fermé par un simple rideau de plastique jaunâtre. N'entendant pas de bruit vu que cela semblait le seul passage possible vu que sa prison était à l'autre bot du couloir elle fut bien obligé de passé par là mais une fois le rideau de plastique passé une scène abominable se présenta sous ses yeux.
C’est un charnier, une salle remplie de cadavres, des empilements de corps, tous dans différents états de décomposition du cadavre nécrosé au tas emmêlé d’os et de tendons gluants disposé un peu partout dans cette salle et montant jusqu'au plafond. L’atroce odeur était omniprésente une vive odeur de putréfaction s’échappant des corps à en donner la nausée. Le charnier contient de nombreux corps, des deux sexes et de tout âge, certains sont habillés décemment, d’autres ne portaient plus que des lambeaux de sous-vêtements.
La pièce était vaste et plusieurs passages semblaient avoir été disposés pour permettre de circuler dans cette salle. Il semblait avoir d'ailleurs plusieurs sorties au fond à gauche et à droite de cette horrible salle. Alors qu'elle observait la jeune femme entendit des grattements et des grognements semblant provenir de plusieurs chiens mais les monticules de cadavre ne permettait pas de les localiser exactement par contre prés du rideau plastifier le pied d'Anaëlle heurta quelque chose de dur. Elle vis une grosse caisse à outil contenant des pinces, des tournevis une grosse pince coupante un marteau et une sorte de gros pistolet pneumatique qui semblait servir à planter des clous.
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Anaëlle avançait doucement pour ne pas faire trop de bruit, ses chaînes ayant tendance à bouger un peu et à s’entrechoquer dans des cliquetis métalliques qui pourrait la faire repérer. En passant la porte de l’entrepôt, une forte odeur la repris, l’odeur de la viande découper et de la mort. Elle avait atterrit dans au milieu d’une pièce où les cadavres s’empilaient jusqu’au plafond, des cadavres d’animaux mais aussi d’humains. Cela horrifia la jeune fille mais elle ne pouvait pas rester là, à regarder, elle décida donc de tracer au travers du passage au centre des monticules de chair.
Son pied heurta quelque chose alors qu’elle se décidait à y aller et trouva une caisse avec pas mal d’outillage qui ne lui serait d’aucune utilité et qu’elle ne pourrait pas porter de toute façon. Elle prit quand même une pince coupante et le pistolet à clou, peut être qu'un tir bien visé d’un clou dans la tête pouvait blesser les monstres qui peuplait le visage même si elle en doutait et les pinces coupantes pourrait être la sortir d’une mauvais passe.
Avec ces deux nouveaux objets elle se fraya un passage jusqu’à la sortie de ce charnier, les chiens qu’elle entendait ne l’avait pas remarqué et c’était tant mieux, elle ne se serait pas sentit capable de lutter dans cette endroit. Elle se demandait ce qui allait bien encore pouvoir l’attendre.
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En avançant et en évitant les chiens Anaëlle trouva une sortie barré par un autre rideau en plastique semi rigide il déboucha à ce qui ressemble à un abattoir. La salle était plus grande que le charnier et plus froide aussi. De nombreux cadavre de porcs étaient pendu par les pattes arrière par ce crochet et suivaient un rail qui les faisaient avancer lentement les un derrière les autres vers un passage obscur mais dont émanait un affreux bruit métallique de scie et d'os brisé. De nombreuses caisses et de cages étaient empilé un peu partout dans la salle et il y avait un établis. Anaëlle vis aussi une grosse porte en fer à double battant prés d'elle mais une grosse chaine rouillé avec un cadenas fermait la porte.
Anaëlle vis qu'elle n'était pas seule non plus lui tournant le dos un grand type était en train de travailler sur l'établis. Il avait l'air plus humain que tout les autres mais balaise aux muscles noueux. Il semblait porter un tablier de cuir, un marcel taché et un vieux jeans. Anaëlle n'arrivait pas à déterminer ce qu'il faisait exactement vu qu'il tenait un hachoir et frappait quelque chose avec il semblait vouloir découper de la viande.
Alors qu'elle observais l'endroit Anaëlle entendit un grognement et elle vis une bête sortir du passage où disparaissait les carcasse de cochons pendus. Il s'agissait d'un gros chiens aux yeux rouge. Il était aussi hideux que les bipède vivant dans cette endroit. Il lui manquait des touffes de poils il était borgne et une de ses oreille était manquante. Ses crocs était immense. Il avait l'air de chercher sa pitance car il ce mis à chercher des bout de viande par terre et lécher le sang au sol s'approchant dangereusement de la jeune fille.
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Anaëlle aurait préféré trouver un endroit plus calme afin d’avoir le temps de couper ses chaînes, car même si les fermoirs étaient trop difficiles à casser, la pince coupante pouvait tout de même couper les chaînes qui pouvait la trahir à tout moment en cliquetant au mauvais moment.
Elle regardait donc ce qu’il se passait dans ce nouvel endroit, c’était un abattoir à en jugeait des carcasses et de ce que faisait l’inconnu avec son hachoir. De l’autre côté de la pièce se trouvait la porte de sortie et la pince lui serait très utile puisque celle-ci était cadenassée.
Elle commença à se diriger vers son échappatoire lorsqu’elle entendit un des chiens à proximité d’elle. Elle savait que s’il la trouvait, ça en serait fini d’elle alors elle attrapa un des morceaux de viande qui trainait et le lança vers le chien qui se jeta dessus sans se demander d’où ça provenait. Le boucher ne semblait rien avoir remarqué et elle en profita pour se ruer vers la porte de sortie et utilisa les pinces pour l’ouvrir en coupant le cadenas.
Faisant le moins de bruit possible, elle sortit de l’endroit et se retrouva enfin dehors. Cependant, elle ne reconnectait pas l’endroit, ce n’était pas au même endroit que l’entrepôt où elle était tombée inconsciente ou alors c’était un peu plus loin. Elle était donc toujours autant perdue même en étant dehors. Elle en profita pour se cacher sur le côté pour couper ses chaînes avant de repartir. Elle était désormais libre, mais le danger était encore plus grand puisqu’elle avançait sans savoir où elle allait et à découvert
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Par chance Anaëlle ne rencontra personne le village était affreusement calme et désert mais il commençait à faire un froid mordant et le fait qu'elle était nue ne favorisait pas pas la marche.
Alors qu'elle marchait la jeune fille semblait atteindre une des extrémité menant à l'extérieur du village malheureusement l'endroit était entouré de forêt ténébreuse. Anaëlle entendit au loin et au fond des bois des hurlement de bêtes sauvage et des bruits bizarre provenant de la ténébreuse forêt. Comble de malchance le temps commençait à ce faire menaçant. Le glacial qu'elle avait ressentis était le prélude d'un orage à venir.
Regardant autour d'elle Anaëlle vis pourtant plusieurs issue. Au loin dans la foret il lui sembla voir une lumière. Il y avait certainement une cabane ou une maison dans les bois. Elle vis aussi deux bâtiments qui ne semblait pas fermer à gauche et à droite prés de la sortie de la ville. A gauche Anaëlle vis un vieux temple Shinto. La zone menant au temple était recouvert de guirlande blanche de fétiche et de papiers de prière comme si cet endroit avait été consacré pour repousser l'invasion d'une armée démoniaque. Le temple n'avait néanmoins rien d'engageant. Il semblait très vieux et si fragile qu'il donnait l'impression qu'il allait s'effondrer à tout moment.
Le second bâtiment plus important ressemblait à un lycée ou une école. Il y avait un terrain de baseball envahis d'herbes folle dans la cour le bâtiment était aussi décrépis que les autres pourtant Anaëlle vis que sa chaine à la grille semblait avoir été couper il n'y as pas longtemps et que sa porte principale plus loin avait été forcé. Les planche qui la barricadait avait été arrachés et sa porte grande ouverte.
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Il commençait à faire horriblement froid et Anaëlle tremblotait à cause de sa nudité, elle voulait à tout prix partir de ce village et retrouver le bus qui les avait amenés ici pour pouvoir se rhabiller avec les affaires qu’elle y avait laissées.
En marchant elle arriva à une des extrémités du village, la sortie n’était plus très loin, mais cela ne la rassurait guère, tout était délabré et elle avait le choix entre la forêt ou de vieilles bâtisses pour s’abriter. Elle savait que la forêt n’était sans doute pas une bonne idée à cause des bruits qu’elle entendait en provenance de celle-ci et puis le temps se gâtait et elle ne tiendrait surement pas toute nue dans le froid.
Cependant, le temple et l’espèce de lycée ne lui donnaient pas envie non plus, tout semblait abandonner, mais ça sentait le piège à plein nez. Cela ne l’étonnerait pas de tomber face à d’autres créatures en voulant s’y rendre.
La jeune fille tremblait de plus en plus à cause du froid et il fallait qu’elle se décide vite. Plus par dépit que par raison elle entreprit d’entrer dans la grande bâtisse qui semblait être un ancien lycée, car c’était le plus proche de sa position. Elle espérait n’avoir qu’à attendre là-bas quelques heures pour que le temps se calme et qu’elle puisse enfin partir.
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En entrant dans le hall du lycée Anaëlle fit une découverte. En passant le hall poussiéreux la jeune femme vis poser dans un coin un empilement de vêtement en tout genre masculin ou féminin de toutes les tailles. Les vêtements étaient recouvert de poussière sentaient légèrement le moisit et étaient tachés mais au moins ils étaient sec. Les vêtements étaient principalement des uniformes scolaire ou des tenues de sport certains semblait être récent mais d'autres avaient l'air de dater des temps passés.
Elle vis aussi des casiers ouvert avec de nombreuses chaussures à l'intérieur l'un d'entre eux curieusement contenait une grosse lampe torche métallique qui semblait fonctionner et pour cause quand Anaëlle la vis elle était en état de marche.
Malgré la poussière accumulé l'intérieur du lycée semblait être en meilleur état que les autres bâtiments mais les lumière ne semblait pas fonctionner ce qui rendait l'endroit assez glauque. Anaëlle se trouvais dans le hall face à l'escalier qui menait à l'étage. Dans le couloir de gauche à côté de l'escalier se trouvais une rager de salle de classe et une porte au fond menant à un gymnase d'éducation physique. A droite en plus des salles de classes se trouvais un escalier menant à la chaufferie en sous sol et la salle des professeurs se trouvais au fond du couloir.
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L’endroit était vieux et poussiéreux comme s’il n’avait pas servi depuis des années elle soupirait doucement en se demandant si elle avait bien fait de venir jusqu’ici, l’endroit n’était pas du tout accueillant. Elle aperçut une pile de vêtements et s’en approcha, une grande partie n’était pas utilisable, mais elle ne voulait pas rester nue et au moins même avec qu’un peu de tissu sur elle, elle aurait moins froid. Elle chercha donc des vêtements qui ne serait pas moisi et elle en trouva, ils n’étaient pas à sa taille, mais a moins ils étaient relativement propres. Elle se retrouvait donc avec une jupe lui descendant seulement à mi-cuisse et une chemise trop petite qui laissait son ventre nu et tellement serré que ça lui remontait la poitrine. Ce n’était pas le plus confortable, mais au moins elle était un peu couverte. Elle prit aussi de petites ballerines pour ne pas marcher pieds nus.
Elle regarda ensuite le couloir en cherchant où aller, elle n’avait pas envie de se perdre dans la bâtisse, elle n’était là que pour attendre que le temps soit plus propice pour fuir le village. Elle prit donc la lampe torche qu’il y avait dans le casier et rentra dans une des salles de classe, elle resterait là jusqu’à ce que ça se calme puis elle partirait.
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La première salle de classe qu'elle trouva était aussi miteuse et poussiéreuse que le reste du bâtiment mais ne semblait pas avoir bouger depuis des année vu la poussière accumulée. L'endroit semblait ordonné malgré la crasse et la poussière et il y avait suffisamment de tables et de chaise pour que Anaëlle puisse s'assoir ou même s'étendre avec un peu d'imagination.
Anaëlle pus se reposer mais une bonne heure plus tard un bruit se fit entendre dans le Lycée. Au début ce fut un claquement sec provenant d'en bas prés de l'entrée, ensuite des bruits de frottement et de grincement provenant d'au dessus comme si quelqu'un en train de trainer un objet lourd. Enfin un chuintement continus.
En regardant autour d'elle la jeune femme vis que la conduite d'aération de la classe était en train de cracher une sorte de fumée jaunâtre et asphyxiante. Anaëlle sentis une étrange torpeur l'envahir mais eu aussi l'impression d'étouffer.
Malgré la torpeur et le bruit de ce gaz qui envahissait toute la pièce il sembla à Anaëlle d'entendre de nombreux bruits de pas converger vers son refuge transformer en piège mortel. Des ombres nombreuses se dessinèrent derrière les vitres sales de la salle de classe.
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Elle avait pourtant prévu cette probabilité que les abris étaient en fait des pièges qu’il fallait éviter, mais elle était quand même allée se réfugier dans le vieux lycée. Elle avait enfin pu se reposer dans une salle de classe en s’asseyant et en soufflant un peu. Mais le répit ne dura qu’une petite heure où elle fut tranquille dans la vieille salle de classe, les ennuis revenaient encore une fois.
Du bruit se fit entendre dans le bâtiment et cela ne présageait rien de bon, il y avait de grandes chances que c’était d’autres créatures comme celles qu’elle avait vues plus tôt. Les bruits se rapprochaient d’elle, elle ne pouvait donc pas fuir par la porte. Elle essaya d’ouvrir les fenêtres mas celles-ci étaient verrouillées, elle ne pouvait donc pas fuir par là non plus.
Puis l’air commença à se faire plus étouffant, un drôle de gaz s’échappait des bouches d’aération de la salle. Elle se sentait un peu endormie, mais restait tout de même consciente et éveillée. Puis des silhouettes firent leurs apparitions derrière les vitres de la salle de classe, elle savait que son heure était venue, mais elle eut quand même la force d’aller se cacher sous le bureau du professeur. Ce dernier était surélevé et on voyait bien qu’il y avait quelque chose en dessous, mais elle espérait que ça suffise pour que les bêtes qui la chassaient ne la trouvent pas. Après tout, l’espoir fait vivre.
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Anaëlle se cacha sous le bureau mais le gaz eu tôt fait de l'intoxiquer elle tarda pas à tomber inconsciente au bout d'une minute d'exposition et après l'avoir respirer plusieurs fois.
Quand Anaëlle se réveilla elle se rendit compte qu'elle n'était plus dans la salle de classe mais dans une vaste salle ressemblant à un gymnase au vu des ballons et du matériel de sport trainant un peu partout au sol. Vu l'absence d'électricité la salle était plongé dans la pénombre seulement éclairé par des bougies ou des braseros éclairés un peu partout dans la salle. Quand Anaëlle voulus bouger elle se rendit compte qu'elle était incapable de bouger. Elle était allonger sur un cheval d'arçon. Ses poignet et ses chevilles entravés par des liens très serrés faisant tout le tour du meuble ou elle se trouvais ses jambes était écarté laissant voir son intimités. Mais il y avait pire elle n'était pas seule et des ricanement nombreux se firent entendre alors que des silhouettes se matérialisèrent autour d'Anaëlle.
Ils étaient revêtus de tenus d'étudiants tachés principalement les haut car ils n'avaient pas de pantalon et branlais avec frénésie leur membre raidis par le désir. Leur peau était blanche et blafarde avec des veines noire. Il était impossible pour Anaëlle de voir leur visage car ils portaient tous des masques sans trait arborant un sourire grotesque comme on les vois sur les Smiley exepter certains d'entre eux portant des masques à gaz.
- Ah r'garder les gars la grosse vache s'daigne enfin à se réveiller. Dit une voie attirant tout les regards sur Anaëlle.
Deux des masqués s'approchèrent de la jeune fille et soulevèrent le haut de son uniforme d'emprunt pour ensuite lui peloter caresser et malaxer ses seins.
- Elle as au moins des gros seins bien moelleux. On va bien profiter de cette poubelle à sperme jusqu'à ce que nous soyons repus. Dit il l'un des deux alors qu'une queue se présenta sous le nez d'Anaëlle.
- Suce moi ! Ordonna son propriétaire.
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Même si elle avait essayé de se cacher pour échapper aux inconnus, elle savait bien que ça n’allait pas suffit. Le gaz finit donc par faire son effet et Anaëlle tomba inconsciente, encore une fois. Quand elle se réveilla, elle se trouvait dans le gymnase du lycée. Cependant, elle était attachée et elle ne pouvait donc pas bouger malgré ses essais infructueux. Elle se rendit vite compte qu’elle avait les jambes écartées et qu’elle n’était pas seule, il y avait une foule d’hommes autour d’elle en train de se masturber.
Un des inconnus remarqua qu’elle s’était réveillée et le fit remarquer aux autres en la désignant comme grosse vache. Deux autres hommes s’approchèrent d’elle et commencèrent à jouer avec sa poitrine, annonçant ce qui allait se passer. Surtout après avoir entendu les dernières paroles, ils allaient se servir d’elle pour contenter leur désir et à en juger le nombre de personnes qu’il y avait, la jeune fille allait devoir tenir pendant un bon moment.
Un sexe se fraya un chemin jusqu’à elle et on lui ordonna de le sucer, mais elle fit mine de ne pas pouvoir à cause des liens qui la maintenaient attachée. Ce n’était sans doute pas la meilleure des idées, mais c’était le seul moyen qu’elle avait pour gagner du temps même si au final ça ne changeait rien à ce qui allait se passer ensuite.
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Anaëlle avait beau fermer le bec on lui pinça le nez pour l'empêcher de respirer et lui forcer à ouvrir la bouche avant de lui fourrer sa queue massive mais flasque qui durcie petit à petit dans sa bouche. Le masqué se montra brutal car plaqua le visage d'Anaëlle contre sa queue et bloqua quelques secondes. La queue du masqué fourré dans la gorge Anaëlle eu du mal à respirer bien que le membre du sadique était moins massive que celle de Neun. Il finis par se retirer brutalement faisant tousser la jeune fille suite à se traitement mais elle n'eu pas le temps de se reposer.
- A moi ! Dit un autre masqué qui força Anaëlle à le sucer à son tour. Cela ne dura pas pas longtemps car un autre pris sa place tandis qu'on lui fit des commentaire salace.
- Bouge en rythme et utilise bien ta langue.
- Oublie pas de caresser mes noix de temps en temps.
- Allez suce la mienne en y mettant du cœur.
- Elle est douée cette vache.
Alors que les queue s'amoncelait sur elle un des masqué relava sa jupe trop courte dévoilant son vagin. Il se mis alors à la caresser enfonçant ses doigt en elle. Un autre montra à cheval sur Anaëlle et après avoir soulever sa jupe il se mis à se branler en utilisant les seins lourd de la jeune femme.
- Héhé ! C'est génial des nichons aussi gros cela me fout plus la trique. Dit il avant qu'une queue dans la bouche d'Anaëlle se mis à jouir lui remplissant la gorge d'un jus amer.
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Même si elle avait tenté de résister jusqu'au dernier moment, le sexe qu'elle avait refuser de prendre en bouche trouva tout de même le chemin pour rentrer de manière très brutale. Anaëlle se retrouvait avec le membre tout entier en train de grossir au fond de sa gorge, la faisant manquer d'air, au moins même si ce n'était pas très bon, c'était déjà meilleur que ce qu’elle avait du prendre avec la créature de la porcherie.
Dès que le premier se retira, il fut directement remplacé par un autre de ses amis masqués qui força une nouvelle fois la fellation en y allant rapidement et avec force. Elle avait du mal à respirer mais elle tenait quand même le coup. Cependant quand elle sentit une main llui remonter la jupe et commencer àa la caresser à ce niveau là, elle resserra les jambe en guise de protestation. C'est alors qu'on se posa sur elle pour placer un sexe entre ses seins et se branler avec pendant qu'au même moment, le sexe qu'elle avait en bouche éjacula et l'obligea à avaler le liquide horrible.
A peine vidé, l'homme masqué laissa sa place à un autre, continuant ainsi la tournante, la jeune fille n'arrivait pas à voir combien il y avait de personne, plus d'une dizaine, c'était sûr, une vingtaine peut être voir plus, elle allait devoir être endurante et ses liens n'étaient pas là pour l'aider, toujours attachées, elle se retrouvait obliger de subir.
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Anaëlle Avait beau essayer de serrer les cuisses les liens qui l'entravait aux jambes l'empêchait à peine de bouger le genoux et elle sentis un corps étrangers la pénétrer. Le membre du masqué glissa à l’intérieur de 4 ou 5 centimètres. Il fut surpris de trouver humide le vagin de cette femme paniquée. Sortant, il savoura la sensation de la pénétrer à nouveau, lentement, jusqu’au bout. Il voulait qu’elle sente chaque centimètre de cette intrusion. Puis il commença sur un rythme régulier à la limer, ses hanches tapant son cul, sa bite s’enfonçant au fond du vagin encore et encore.
- Han ! Elle est bien humide et ouverte pour une saints Nitouche. Une vrais chienne en chaleur. Dit une voie probablement celui qui la pénétrait.
Tout d’un coup, le masqué en train de frotter son membre entre lesseins d'Anaëlle se contracta, jeta la tête en arrière alors que ses couilles se vidaient aspergeant sa prisonnière de sa sauce blanche. Une fois fini, il sortit son membre et céda la place à un de ses camarade. Le manège recommença de plus belle tandis que Anaëlle fut contrainte de toujours sucer des queues et encore des queues. C'était un épuisant marathon qu'elle subissait. Des dizaines de queues s'enchaînèrent à violenter sa bouche et sa gorge souvent par deux. Anaëlle eu bientôt le visage recouverte de bave et foutre venant de ses créatures sans pitiés.
- Prend tout cela grosse vache ! Ça t'en bouche un coin hein ! Espèce de sale roulure de merde ! Ah ! Ah ! Ah ! Demanda le prochain masqué prêt à fourrer sa queue dans la bouche de la jeune fille.
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Elle s'était mis à se débattre pour essayer de faire reculer celui qui s'apprêtait à rentrer en elle mais les chaînes lui empêchaient tout mouvement alors elle ne pu que le sentir rentrer dans son intimité. Il y allait lentement et elle sentait chaque centimètre du sexe qui rentrait en elle. Elle voulait crier mais elle ne pouvait pas, sa bouche aussi était prise d'assaut par d'autres sexes, plus violent.
Elle subissait sans pouvoir rien faire, elle se noyait avec le sperme qui coulait dans sa gorge à tel point que certains lui giclait au visage, elle était toute gluante et ça ne se faisait que commencer car ceux qui se servaient de ses seins aussi lui giclait dessus.
Elle essayait de ne pas y penser mais elle sentait le sexe qui la violait et ne pouvait s'empêcher de mouiller abondamment, elle avait envie de pleurer mais ne pouvait pas. Mais ça pourrait être pire, au moins dans cette position, un seul pouvait s'enfoncer en elle á la fois.
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Le calvaire dura un bon moment avant que les tortionnaires avant se rendent compte d’un changement en Anaëlle.
- Oh ! Cette salope à jouis ! Dit l’un d’entre eux.
- Ah ! Ah ! Sans déconner ? En dit un autre.
- Elle est mure ! Détachez là ! Ordonna une troisième voie.
Anaëlle fut détacher et les liens trancher. Elle tomba lourdement du cheval d’arçon ou elle était juchée. On lui retira ce qui restait de ses vêtements moisis et couvert de semence et arrosée copieusement d’eau froide. Une fois « nettoyé » elle fit de nouveau face à ses tortionnaires. Ils bandaient plus fort qu’avant.
- Maintenant on va passer aux choses sérieuses. A partir de maintenant tu seras notre esclave notre vide couille attitré. T’as intérêt à te montrer coopérative si tu veux qu’on se montre gentil. Pour commencer grosse catin tu vas nettoyer gentiment nos queues afin que nous puissions te fourrer et t’engrosser j’crois qu’on va repeupler à nouveau village. Pas vrais les gars ? Dit l’une des brutes qui eut pour réponse un grand éclat de rire.
Il approcha sa queue du visage de la jeune femme.
- Allez grosse truie nettoies mon canon et astique le bien qu’il bien lisse et et bien glissant quand je le fourrais dans ton cul. Ordonna-t-il.
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Elle tremblait et se retenait de pleurer, elle ne voulait pas mais elle arrivait à prendre du plaisir avec ce sexe qui la violait alors qu'elle était attachée. Lorsqu'il s'apperçu qu'elle mouillait bien elle le fit remarquer aux autres qui se mirent à rire. Elle fut détachée et elle tomba sur le côté et on lui retira le peu de vêtements qu'il lui restait.
Elle laissa couler une larme lorsque l'homme qui parlait lui disait ce qu'ils allaient faire et en lui disant ce qu'elle devait faire. Elle tremblait et ne voulait pas le faire mais elle ne voulait pas qu'on lui fasse du mal alors elle s'approcha à quatre pattes du sexe qui lui faisait face et le prit en bouche et le nettoya en allant et venant tout du long en tournant la langue autour.
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Anaëlle fit sa besogne jusqu’à ce que la queue du violeur masqué soit bien imprégnée de sa bave et rendu glissante. Le violeur en profita pour se saisir des seins de la jeune femme par les tétons et se branla avec tandis que Anaëlle suça le bout de cette queue. Le membre devins beaucoup plus raide et énorme. On y voyait les veines à travers la peau.
- Cela suffit comme cela. Tourne-toi maintenant que je t’enfile ! Ordonna l’homme alors que Anaëlle fut mise en position de levrette contre le mur et retenue par plusieurs mains pour l’empêcher par se débattre.
Elle sentis la grosse queue du violeur se frotter sur son vagin un instant mais finalement la queue choisit une autre cible. Anaëlle sentis un corps étranger se presser contre son Anus et soudain une pénétration violente dans son cul. Le violeur était en train de la sodomiser et il mettait de l’entraint dans ses coups de boutoir au point de faire mal à la jeune femme.
- Han ! Elle est étroite du cul ! Je le croyais plus large avec tout ce que cette génisse a dû bouffer dans sa vie. Ricana le violeur qui fit hurler Anaëlle de douleur.
- T'aime cela grosse cochonne avoue que t'aime cela ? Demanda quelqu'un dans l'assistance.
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Elle se laissait totalement faire, il valait sûrement mieux ainsi même si c'était plutôt douloureux, ça l'était moins que si elle résistait. Elle l'avait bien sucer l'avait accueilli entre ses seins pour le faire bander très dur.
Comme il lui demanda, elle se tourna dos à lui, toujours à quatre pattes et elle fût maintenue par les autres contre le mur. Elle serra fort les dents lorsque le sexe de l'homme s'enfonça dans ses fesses. Ça faisait mal et il y allait franchement en la faisant crier de douleur. Elle devait attendre que ça passe pour ne plus avoir mal. Les violents mouvements la faisait violemment se balancer malgré les mains qui la tenaient, ses seins balotant se frappaient entre eux avec bruit et toute sa peau faisait des vagues à chaque coup.
Quand on lui demanda si elle aimait, elle couina doucement, elle essayait de trouver une pointe de plaisir pour mieux faire passer la douleur.
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Le calvaire dura encore quelques temps quand soudain la porte du gymnase s'ouvrit avec fracas. Anaëlle entendit quelqu'un courir et s'adresser au violeur d'une voie paniqué.
- Chef ! Chef ! Les Ogres ils sont en train de débarquer ici en nombre.
Au grand soulagement de la jeune femme le violeur se retira le cul quand même bien chargé de sperme.
- Comment ça les Ogres débarque. J'croyais que chacun restaient dans leur territoire. Demanda le chef furieux.
- Apparemment on aurait quelque chose qui leur appartiennent Neun est avec eux et il est fou furieux. Il hurle comme un damné réclamant qu'on lui rende sa génisse. Et ils sont venus avec tout leur attirail cherchant la baston.
Le chef regarda Anaëlle avec une certaine colère.
- Les enculés pas questions qu'on leur laisse celle là. Cette truie est destiné à enfanter pas servir de casse dalle à cette bande de dégénérer. Prenez vos armes on va casser de l'Ogre. Dit le Chef qui saisit Anaëlle par les cheveux et la redressa.
Toi la catin tu viens avec nous. Dit il alors que le groupe s'habillèrent sommairement et se saisirent d'armes blanches diverse caché dans un coffres, des couteaux, des battes et des nunchaku. Anaëlle fut attaché par un collier pour chien pourvus d'une chaine et entrainer dans les couloirs de l'établissement.