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Le tourne-disque tournait tranquillement, la tige pointue lisant chaque gravure avec détails et à vitesse modérée. Par moment, la chanson « sautait » sous la présence de poussière qui recouvrait le disque depuis des années. Même en soufflant et frottant il restait encore malgré tout des fines particules sur le disque. On pouvait entendre près de ce lecteur archaïque, quelqu’un qui fredonnait les paroles de cette vieille chanson française d’une voix grave et cadavérique. Une ombre bougeait légèrement dans le coin, la source de ce fredonnement … Le golden bonnie alluma une vieille lampe à huile toute en se mouvant légèrement comme une danse. Ce n’est pas parce qu’on était un meurtrier violeur qu’on ne pouvait pas se détendre autrement. Et puis, à force d’attendre durant des jours sans visite, il fallait bien combler les trous de l’ennui.
Un écran était posé dans le coin de cette pièce qui semblait être une salle de détente comme un mini-salon. Cet écran montrait une image en noir et blanc, d’une qualité assez dégueulasse mais on pouvait parfaitement voir différents couloirs. L’écran changeait assez régulièrement, montrant qu’il y avait plusieurs caméras dans l’hôpital déserté. Cela ne faisait pas longtemps que Springtrap avait ces petites merveilles comme il disait … Cela lui permettait de savoir où était ses nouvelles victimes. Il avait pris soin de caché ce petit bouton lumineux vert sur la caméra afin qu’on pense que les caméras sont désactivées. Comme quoi … Son dernier repas lui avait été très bénéfique. Il s’agissait d’un groupe en recherche paranormal qui avait entendu comme quoi cet hôpital était hanté. C’est dommage mais ils n’ont pas eu le temps de dire au monde entier qu’on monstre habitait ces lieux …
Springtrap revint s’assoir dans son fauteuil au trois-quart déchiré et bouffé par le temps d’usure … il soupire, se frottant les mains et regarde alors l’écran. Il arrivait juste au bon moment ! La caméra fixé près de la porte d’entré montrait la présence d’une nouvelle invitée. A première vue, il s’agissait d’une femme ! Un sourire s’étend d’une oreille à l’autre …
-Parfait …
L’Usagi se lève, retire doucement la tige du disque qui se terminait … et il partit en fredonnant. « Des scoubidous bidous, des scoubidous bidous … »
Quelques minutes s’étaient seulement écoulées avant que Springtrap ne trouve la belle créature qui venait de s’offrir à lui. Il l’observe doucement depuis une zone d’ombre. Loin de se douter qu’elle l’avait repéré depuis le début, il la contemple dans la plus grande discrétion. Elle était magnifique, de la tête aux pieds. Il s’en léchait déjà les babines ; Cela aurait été une erreur pour lui de la laisser sortir sans pouvoir la toucher ! Oh non … il comptait bien se la faire cette douce humaine … De plus, elle portait une de ses tenues si … alléchante. Le golden bonnie s’imaginait déjà lui sauter dessus, la déshabiller sur place, l’entendre crier et appeler de l’aide alors qu’il noierait son biscuit dans sa petite sauce exquise. Juste à cette pensée – ou plutôt cette masturbation mentale … - le sexe du Terranide se redressa immédiatement sous son pantalon. Roh oui … qu’il avait hâte de se la faire !
De léger ricanement s’échappent de ses lèvres … cette fois-ci, il ne jouerait pas sur la peur. Elle lui donnait trop envie ! Il allait la sauter, là, au milieu de ce couloir en la forçant à le supplier de la laisser vivante ! Il adorait tellement entendre ses victimes lui supplier de les libérer et surtout de ne pas les tuer …
D’une traite, il pousse violement sur ses jambes pour se mettre à sprinter à une vitesse incroyable. L’orage dehors éclata et l’éclair qui tomba du ciel jusqu’au sol éclaira un court instant les couloirs de l’hôpital, montrant les deux ombres présentes. Springtrap, à ce moment-là, avait sauté pour atterrir sur le dos de sa victime. Il s’empressa de serrer ses mains sur ses épaules pour bien la maintenir au sol alors qu’il retire ses genoux de son dos pour les mettre de part et d’autres de son corps. Il baisse sa tête et son nez près de ses cheveux et se met à les renifler. Il rouvre ses yeux argentés et se met à ricaner à nouveau …
-Que tu sens bon ma mignonne … Cela va être un délice de te goûter ici et maintenant …