L'ordre de post les enfants ! Eph' (means me), Solace, Kamiyu , Mimi-09 and finally Ariman. Enjoy ♥
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Fuck that bullshit, grogna soudainement une sauvage amazone. Wait no ! Enduite de sang, entrailles, et organes en décomposition, Frida Fucking Suzie Handsona ressemblait plutôt à une sorte de déchet de l'Apocalypse qu'à une humaine, ou une amazone. Ses cheveux, tressés en grosses dreadlocks bien sales et ses habits en pièce, d'ailleurs déjà réduits à de la lingerie, lui donnaient un air de fille sauvage qu'on avait oublié d'éduquer après l'avoir abandonné dans une forêt. C'était un peu ce qu'était devenu Frida après l'Apocalypse Zombie. Cette merde était arrivée un peu trop rapidement pour elle, et elle avait finalement fuit une ville à la frontière de Washington quand la terrible épidémie avait fait rage. Les morts se levaient des tombes, les vivants se faisaient bouffer, mordre et toute personne dont le cerveau n'avait pas été endommagé revenait pour dévorer des humains. C'était le gros bordel. Frida en avait déduit que la civilisation n'était pas du tout la meilleure solution. L'épidémie avait déjà bien un an ... Et les survivants s'étaient regroupés en des camps dans divers lieux du pays, mais impossible d'avoir confiance dans les gens qu'on rencontrait. Quand ils ne voulaient pas vous tuer par peur que vous soyez infecté, ils voulaient vous tuer pour vos armes, parfois ils voulaient juste vous violer (frustration when you catch us ...), et d'autres fois parce que killing was their new way of fucking life. L'épidémie avait fait naître les pires vices chez les survivants. Après des semaines à sécuriser un bout de foret, seule et en tout autonomie, Frida avait compris que seul l'odeur de la vie attirait les zombies. Sentir la mort à plein nez les rendaient calmes et doux comme des agneaux. Elle s'était tranquillement endormie dans une carcasse de vache, The Atom Heart Mother of the day et avait ensuite passé la journée à tuer des zombies en étant dans la horde. Elle puait la mort à dix kilomètres à la ronde mais elle était sécure. Et finalement, elle avait rencontré ce mec. En fait, pas rencontré. La foret était pas loin d'un labo' totalement fucked up et Frida avait pris l'habitude d'aller s'y ravitailler... Un matin, plus rien. On avait tout volé. Et la personne avait le malheur de se diriger vers sa foret. Les bords de la foret étaient gardés par une horde de zombie que Frida traversait dans ses nouveaux habits de morte, mais le con était en train de les massacrer. La rencontre avait été assez brutale, et quand tous les deux s'étaient retrouvés dans des états pas très beaux à voir, ils avaient conclus qu'ils pourraient peut-être cohabiter. Il avait les ressources, elle avait la technique pour survivre et apprivoiser des zombards. Depuis, ils faisaient chemin ensemble, direction Washington.
Et c'était dans ses conditions, avec Submarine, le tigre totalement décédé que Frida avait dompter, que le couple un peu étrange se trouvait à l'orée d'un gros gros gros centre commercial, un mall abandonné et sans doute remplie de zombies prêt à bouffer tout ce qui existait.
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Frida s'étira un peu, armée d'une étrange lance/fourche qui faisait bien mal, et une arme à feu à la taille. Elle fit signe à Gerogie de s'arrêter, dans un grognement. Elle était éduquée, mais dans ce pays de fou, elle avait lentement repris des habitudes de sauvage après 6 mois dans une forêt à cohabiter avec des morts-vivants. La discutions ? Pas son truc. Elle tuait même ce qui était humain, si la tête ne lui revenait pas. Il valait mieux avoir le coeur bien accroché avec elle, parce que niveau gentillesse, c'était pas ça non plus. Elle avait une voix rauque très grave et ne parlait que peu, semblant toujours dans son monde. La vie sauvage l'avait lentement changée et elle se mit accroupie sifflant Submarine qui grognait derrière la horde de zombies que George et elle amenaient partout avec eux. George attirait les zombies, ce con, et Frida les dompter un peu comme une dresseuse dans les cirques. Les zombards étaient pour la plupart manchot et sans mâchoire, et ceux qui gardaient leurs attributs dangereux étaient regroupé au centre de la horde pour les lacher sur des ennemis humains si les rencontres n'étaient pas bonnes. Elle grogna un peu.
" - On s'ra pas seul. Y'a des gens ici... Georgette ? Tu négocies. Le Mall serait parfait pour être tranquilles une fois pour toute, ok ? S'il y a pas des tarés comme les autres groupes de survivants, je veux bien qu'on reste un peu ici." Mademoiselle Frida donnait son autorisation pour s'arrêter enfin sérieusement quelque part. C'était pas mal. Elle renifla un peu et entra dans le mall, bloquant sa horde dehors alors que Submarine piétinait à côté d'elle. L'animal était dans un état avancé de décomposition à certains endroits, mais il était plutôt pas mal. Le mall était sombre, aéré par des trous par endroits mais les différentes boutiques étaient encore totalement utilisables pour y vivre, et les denrées plus que nombreuses. Le problème serait de dénicher les habitants humains et morts et voir ce qu'on pourrait faire avec. " - Oh shit. Look that, Georgette." Ils étaient entré par le premier étage, mais le mall s'étendait sur 8 ou 9 étages en hauteur et les deux derniers étaient tout simplement remplis de zombies. Frida esquissa un sourire alors qu'elle éclata de rire. - Ready ?" Elle s'époumona, soudainement, dans un cri rauque qui devint rapidement aigu. Les zombies passèrent pour une grande partie par dessus les étages, s'écrasant au sol dans des bruits tout à fait délicieux. C'était magique, une pluie de zombards !
C'était tout aussi magique d'attirer les êtres humains comme ça. Frida se tourna sur elle même, alors que Submarine se mit à grogner. Ils n'étaient décidément pas seuls ... L'animal sentait la présence humaine, vivante, attirée par elle. Un sourire dangereux se dessina sur les lèvres de la sauvage dompteuse qui acheva un zombie sans jambes qui ne s'étaient pas totalement éclaté en morceau. " - T'crois qu'y'a un putain de sexshop ?" fut finalement la seule réaction qu'on put tirer d'elle alors que Sub' s'énervait de plus en plus, tenu par la gorge par Frida.
So ! Vous pouvez vivre dans le mall, et ne pas apprécier la visite de nouveaux, vous pouvez errer à l'extérieur et tenter votre chance aussi ! Vous pouvez faire parti d'un groupe de PNJ, aussi, si ça vous tente ! Bref faîtes vos conneries, vous êtes libres comme l'air ♥ Le mall peut déjà être remplie de gens si ça vous chante, j'ai laissé ouvert pour que ça soit vous qui lanciez les idées au fur et à mesure ~ Prenez juste en compte l'idée du voisin d'avant même si l'Apocalypse Zombie c'est le bordel !
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theme song ♥ (https://www.youtube.com/watch?v=ccY25Cb3im0)
(l'image est aléatoire et montre le bonhomme avec et sans son casque.)
La petite radio cracha quelques notes avant de s'éteindre. L'homme l’agrippa la fit tourner entre ses doigts, avant d'ouvrir le compartiment à batteries. Il jeta les piles mortes derrière son épaule, les remplaçant par des rutilantes, toutes neuves qu'il avait pioché dans l'une de ses sacoches. Il ré appuya sur le bouton et de nouveau la voix rauque de Johnny Cash s'éleva dans les airs. Assis sur le rebord d'un petit bâtiment, George observait l'effervescence sous ses pieds. Les grognements peinaient à couvrir la musique, dont le volume avait été mis à fond par le mercenaire qui observait d'un œil distrait les zombies qui s'amassait autour du petit immeuble. Il agita son majeur à l'adresse des créatures bavant plusieurs mètres sous ses pieds. Les plus malins (si cela était possible vu la bouillie qui remplaçait leur cerveau) se jetait avec force sur la façade, piétinant leurs camarades tombés au combat, déclenchant l'hilarité de l'homme.
« Suzie Q à Daddy O'. Suzie Q à Daddy O' » grésilla le talkie-walkie. Il se saisit de l'atrocité, une bestiole tellement petite qu'il lui semblait que sa main était monstrueuse. Des autocollants de fleurs et des cœurs l'ornaient. Grace aux bidouillages de "Suzie Q", la chose avait plus de portée... mais à quel prix. Pas vraiment viril de se balader avec un truc pareil, au moins ça avait le mérite de tuer de rires les éventuels pillards qui s'attaquaient à lui... ça et un canon scié dans la gueule bien entendu. « Je croyais qu'on avait changé les noms de code. Bon dieu, je suis pas aussi vieux. » s'étouffa-t-il. « Et chuis pas ta secrétaire... t'as pas oublié que tu devais retrouver Frida j'espère. » grommela la gosse. Susan, une gamine maigrichonne à laquelle il avait tout de suite accrocher. C'était peu être un des échos de sa jumelle ou une débilité dans le genre que certains expliquaient par du surnaturel pur. Milena avait requis la petiote, lui avait offert un toit, la tirant de la rue et la plongeant dans les circuits, les vieux postes informatiques défoncés. Il ne lui avait jamais paru que sa sœurette avait la fibre maternelle.
Elle en aurait fait une parfaite pourtant, une mère. Malgré le fait qu'il avait vu le jour le premier, elle avait tout le temps paru être l’aînée du petit duo, le protégeant dans ses pires conneries, venant à sa rescousse alors qu'il se faisait tabasser dans la cours de récré. Par réflexe, sa main agrippa le collier qui pendait autour de son cou, le médaillon s'ouvrit dans un claquement et sa photo était là. Milena, son étrange reflet lui renvoyant son regard depuis l'outre-tombe. A son opposée, une autre revenante, l'image décoloré de la femme qui leur avait donné la vie. Il soupira avant de se redresser.
Ses doigts se refermèrent sur le casque posé à côté de lui. Il prit une profonde inspiration et le glissa sur sa tête. Il épousait parfaitement les contours anguleux de son visage, le laissant plus rien percevoir de son anatomie comme le reste de l'armure. « Reste au QG, Suzie Q, terminé. » marmonna-t-il dans son casque, ne faisant pas attention aux protestations de la jeune fille. L'avantage de celui-ci qui rendait obsolète le talkie-walkie. Bijou de technologie, l'armure n'était pas uniquement présente pour dissimuler son odeur aux zombies. Elle le protégeait des chocs, dans une certaine mesure, et lui offrait une agilité décuplée. Un parfait prototype qu'il avait emporter lors de sa fuite du laboratoire. A ce souvenir, il grimaça...
Saloperie.
George n'avait rien demandé à quiconque. Gamin pas particulièrement brillant, plus par flemme que par manque d'intellect', il avait marché dans les traces de son père, à l'instar de sa jumelle, rejoignant l'armée après la fin de sa scolarité. Il avait fait la guerre, bien que le terme de Veteran ne lui convenait pas plus que ça. Membre respecté par son unité, il grimpa les échelons, tireur d'élite renommé parmi ses camarades. Sa sœur lui fila quelques tuyaux, medic dans son unité. Puis, quelques années auparavant, elle était morte. Le sort les avaient réunis sur une même opération, et comme il l'apprit plus tard... il n'y a jamais de hasard. Sous couvert d'un test suicide pour les unités envoyés, un nouveau type d'arme bactériologique, dérivé de la rage et autres maladies auxquelles il ne comprenait rien, qui avait retourné les soldats de leur propre camp avant de les faire périr dans une mort atroce. Comme le reste de ses camarades, il avait subit la contagion, tremblant, bavant, pris de spasmes atroces. Puis... le black out.
Les mois qui avaient suivi étaient marqués par l'incompréhension. Quelques types en blouse blanche lui avaient balancés des mots alors qu'ils gisaient dans son lit d’hôpital. Sauf qu'il n'y était pas. Le bâtiment était un laboratoire de l'armée et la résistance au virus de George lui y avait valu son pass. A sa sœur aussi à vrai dire, mais celle-ci avait succombé quelques temps après aux blessures reçues dans la bataille. Il en avait été malade. Puis, alors le monde s'était barré en couilles : à cause de ces mecs, et à cause de lui, de la maladie qu'il avait permis de perfectionner grâce à son immunité exceptionnelle. Alors que quelques scientifiques substituaient il s'était fait la belle non sans aide.
Le petit pug aboya joyeusement lorsqu'il vit George venir le chercher dans une ruelle derrière le petit immeuble. La masse de zombie avait sérieusement décru et il s'était frayé un chemin à grands renforts de coups de pieds, de flingues... oh et de grenades aussi. Le cabot avait le poil ébouriffé par la main ganté de son maître. Pauvre bête. Il l'avait tiré du même enfer que lui, cobaye de laboratoire comme il l'avait été. Le chien lui avait sauvé la mise en attaquant un des scientifiques survivants et depuis ils ne s'étaient plus quitté. L'avantage pour la petite bête c'est que, suite aux expériences dont il avait fait l'objet, il était indétectable par les zombies. Le parfait contraire de George en somme. Cette possibilité d'une durée de vie plus importante avait permis à l'ancien soldat de se faire suivre sans penser à la perte prochaine de son nouvel ami.
L'équipée avait été rejoint par Susan qu'il avait déniché dans une maison barricadée et... ah oui elle aussi.
**
Leur duo était particulièrement improbable. Mais on aurait jugé une apocalypse zombifique totalement improbable par le passé donc l'impossibilité était devenue quelque chose d'assez abstrait dans ce nouveau monde. Même solitaire de nature, il ne lui avait pas fallu calculer longtemps ses chances de survie, avec et sans miss dompteuse de fauves en décomposition. A deux, ils étaient impossibles à stopper, il lui semblait qu'ils pouvaient presque mettre fin à l'apocalypse tant ils défonçaient des zombies à tour de bras. George avait sérieusement morflé lors de leur rencontre, elle aussi à vrai dire. Il avait eut le malheur de convoité ce qu'elle recherchait puis de pénétrer dans son domaine. Mais chacun avait compris que l'autre, en vie, avait bien plus de valeur.
De plus, la (charmante) dompteuse avait le mérite de couvrir son fumet si délicat qui attirait en masse les macchabées. La vue était pas si mal aussi, un des avantages du casque qui permettait de reluquer en toute description les damoiselles. Bien sur, ses taquineries se limitaient aux mots, il tenait à sa virilité et la violence surprenante de la jeune femme, lui laissait penser qu'elle pouvait tout à fait trancher la partie de son anatomie qui dépasserait un peu trop... Enfin, ça n'avait jamais arrêté ce bon vieux George par le passé. Curious George qu'on le surnommait à l'école, une nouvelle idée de nom de code qu'il ne tardait pas de livrer à Susan.
Et maintenant, ils avaient mis la main sur la possibilité de trouver le confort d'un endroit qu'ils pourraient défendre et qui grouillaient encore de ressources. Un immense mall qui regorgeait de zombies... et apparemment de gens. Il acquiesça lors qu'elle le chargea des négociations. On avait même pas besoin de demander pourquoi.
« On va enfin avoir notre petit nid douillet, ma belle. » minauda-t-il un peu faussement avant d'éclater de rire. « Damn ! Quel spectacle ! » laissa-t-il échapper lorsque les cadavres en état avancés de putréfaction s'écrasaient devant eux. Il s'avança, écrasant sous sa botte le crâne tendre d'un des zombies qui s'agitaient encore sur le sol. « Envie de s'amuser ou juste en manque ? » rigola-t-il en guise de réponse, ponctuée par un petit aboiement joyeux du pug qui trottinait derrière lui.
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La première journée de la fin du monde était pour notre jeune étudiante dans son lycée. Tout le monde courait partout dans sa classe , même que certains se pillaient dessus sans se rendre compte et les zombies n'étaient toujours pas entré dans la classe. Tara regardait la scène en tapant de son crayon sur le coin de son bureau. Cela était décourageant de voir que les gens couraient dans tous les sens s'en prendre le temps de réfléchir un temps soit peu à une solution pour se sortir du pétrin. À la longue, elle frappa tellement fort avec son crayon qu'il se cassa en deux. Elle roula un peu des yeux avant de lancer la moitié du crayon derrière et se passa la main gauche dans ses courts cheveux mauve avant de se lever et de s'exprimer devant toute la classe.
S'il vous plaît ... DU CALME ! MERDE ....
Tara ne s'exprimait pas souvent , la plus part du temps c'était pour faire une critique ou pour dire que le monde était idiot. Cela était la première fois en fait qu'elle prenait l'initiative de parler comme cela de ce qu'elle pensait et cela semblait marcher. Tout le monde semblait un peu plus attentif à ce qu'elle disait. Notre lycéenne prit une grande respiration avant de reprendre la conversation.
Au lieu de courir comme des poules pas de tête, on devrait peut-être réfléchir à une façon de s'en sortir non ?
'' Oui c'est vrai elle à raison .
- Qu'est-ce que l'on peut bien faire , les zombies sont déjà là ? ''
Ils sont où exactement ? Au 5ième , au premier , je te signale qu'il y a plusieurs étage au lycée baka.
Elle déposa délicatement sa main gauche sur le visage pour se faire un facepalm.
* Je n'y arriverais jamais avec ces idiots * Soupira t-elle à l'idée.
... On est au deuxième étage , il y a une sortie de secours pas vrai ? On aurait juste à sortir par-là . Puis , on pourra ensuite retourner chez soi pour savoir si la famille se porte bien ou non .
'' OK , je suis partant, pas question que je reste ici à me faire manger par ces morts.
- Pfff comme si cela allait marcher , on serait mieux d'aller par les ascenseur plus tôt que ces escaliers ''
Fait bien ce que tu veux , moi dans mon cas, je dégage ceux qui souhaite aller par la sortie de secours me suivent les autres bien ... faite ce que vous voulez.
De toute façon la plupart des gens qui se trouvaient ici, elle ne les portait pas vraiment à cœur. Elle se dirigea donc vers la porte et tourna un peu la poignée. La porte s’entrouvrait un peu , juste assez pour qu'elle puisse voir dans le couloir s'il y avait des zombies ou non. Pour le moment, le champ était libre. Elle ouvrit la porte au complet et les gens la bousculaient de tout bord tout côté. Au moins, elle aurait une distraction pour s'en aller. Tout le monde était partie vers l'ascenseur. Il n'y avait qu'elle et ce jeune garçon dont elle ne connaît pas le nom qui ont opté pour la sortie de secours. Les deux se trouvèrent à la porte en question quand ils entendirent des portes se faire défoncer , Tara pouvait voir au loin des zombies qui venaient de se rendre au deuxième étage et hélas pour ceux qui avait choisi le chemin de la paresse, ceux-ci se firent tous attaquer sans exception. Il ne restait pas beaucoup de temps avant que les zombars soient proche d'eux. Alors, le garçon tira sur la veste de Tara et indiqua la sortie. Puis, il avait parfaitement raison, cela ne servait à rien de continuer de voir ce massacre. Le garçon prit le temps de fermer la porte derrière lui et Tara se trouva sur le bord de l'escalier ou elle pouvait voir la hauteur. Elle ne se sentait pas trop bien, elle commençait à avoir un mini haut le cœur.
* Courage , tu peux y arriver *
Elle descendit les marches sans prendre le temps de regarder en bas. Se trouvant au sol, elle remarqua qu'il y avait des zombies proche, mais pas autant qu'il y en avait dans le lycée. Avec un peu de chance, s'ils ne font pas trop de bruit, ils pourraient les éviter et se rendre chez eux par la suite. Elle prit les devant laissant le garçon derrière qui décida de la suivre. Tara fit simplement une signe de se taire et montra les zombies. Dans quelques pas, ils serraient à une petite ruelle qui pourrait permettre à Tara d'allez chez elle. Elle accéléra un peu le pas se retrouvant au bord du bâtiment et de la ruelle. Celle-ci se trouvait hors de portée , mais pour le gars... celui-ci ne remarqua pas la canette de coca qui se trouvait au sol et cela fit un bruit qui attira les zombies. Les monstres étaient sans doute trop près de lui pour qu'elle puisse aller l'aider , mais elle ne pensait pas le faire de toute façon. Sachant qu'elle était en sécurité elle continua sa route laissant celui-ci à son sort.
Elle se rendit enfin à la maison.
Mam' je suis rentrée ... Mam' ?
Tara fouilla un peu dans la maison pour ramasser son sac d'école et y mettre des can de nourriture quand elle remarqua une lettre sur la table. Elle prit le temps de lire rapidement et une larme coula le long de son visage.
* mais quelle merde, elle m'a abandonnée pour aller dans un de ces campements ... pourquoi elle ne m'a pas attendue ! *
Celle-ci aurait pu s’effondrer au sol et pleurer, mais elle savait que cela n'était pas le temps. À n'importe quelle moment, elle pourrait être envahis par des zombars. Alors, elle continua de ramasser de la nourriture , des bouteilles d'eau ainsi que quelques couteaux pour se défendre. Elle se dirigea vers sa chambre quand elle entendit un zombie entrer.
* Merde *
Tara ne pouvait pas rester un instant de plus dans cette maison, n'ayant pas encore l'instant de tueur, elle préféra quitter la maison et partir à l'aventure. En ayant son sac à dos avec elle bien sûr.
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Quelques jours plus tard, notre lycéenne remarqua qu'il ne restait plus beaucoup de vivre dans son sac. Par chance, celle-ci se trouva proche du centre commercial. Il y aurait peut-être encore de la nourriture en canne ou de l'eau. Elle décida de ne pas entrer par la porte principale vue que les monstres avaient sans doute pris ce chemin-là. Elle opta plus pour une des sorties secondaires. Elle tourna la poignée. Celle-ci était barrée.
*Génial ...*
Ne voulant pas s'éterniser à l'extérieur trop longtemps, celle-ci donna un coup de pied dans la porte qui s'ouvrit brusquement. Elle regarda rapidement si elle avait attirée les zombies. Cela était sans doute le cas, alors, elle partie à courir et se trouver dans une des petites boutiques de vêtements. tara se plaça derrière le comptoir et reste immobile un certain moment, pour que les zombies perdent sa trace. Elle entendit plein d'os se briser , comme si plein de personne était entrain de tomber.
* Qu'est-ce qui se passe merde ? *
Il était mieux pour elle de ne pas aller voir ce qui se passe et de rester tranquille dans la boutique encore quelques instant.
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Aya Nazume, c'est ainsi qu'elle était nommée avant l'épidémie. Elle était une étudiante prometteuse, notamment en biologie, mais deux éléments rendaient ce talent difficilement utilisable. Elle avait un goût immodéré pour les zombies et les tenues extravagante. Nombreux ont été les élèves répugnés par un de ses fantasme, la nécrophilie. Elle n'avait pas un avenir grandiose. Un avenir sans doute gravé de petit boulots ingrat et peu payer, une vie sans doute seule.
C'est à cet instant que l'épidémie vint à venir et engendrer les premiers zombies.
Si pour la plupart, cela était une catastrophe, Aya prit cela comme un signe, une bénédiction presque divine. Là où la population cherchait à fuir les zombies, elle était l'un des rare à rester proche des foyers d'infections pour observer les zombies et comparer la réalité à la fiction. Elle faillit de nombreuses fois y perdre la vie. Elle restait une humaine avec un instinct de survie et ne désirait pas perdre son humanité, comment pourrait-elle savourer chaque moment sinon ? Son caractère avait sublimer sa fascination des mort au détriment des vivants, elle se rappelait encore de se type baraqué qui avait essayé de la sauver d'un zombie, dont elle avait prit soin d'arracher chaque dents et faire sauter les ongles. Le pauvre mec eu une magnifique mort, pensant avoir une fille facile à porter de main, avant de se faire poignarder en plein coeur au moment de l'orgasme. Ce fut d'ailleurs suite au meutre de ce mec qu'elle vint à arborer une nouvelle identité.
Elle choisit de s'appeler Black Rabbit, Black parce qu'elle n'était pas pure et Rabbit, car comme les lapins elle aimait beaucoup le sexe, surtout avec les zombies.
Jusqu'à aujourd'hui, elle suivait les groupes de zombies, se pourléchant quand l'un d'eux était loin du troupeau et pouvait servir de divertissement. Aussi, le contact réguler avec les mort-vivants, avait imprégné légèrement sa peau de l'odeur mortuaire, bien pratique pour approcher son prochain amant macabre. Il arrivait qu'elle rejoint des groupes de vivants, lorsqu'elle désirait assouvir des pulsions sexuelles et meurtrières. Son extravagance et ses jolies formes, permettant aisément de monayier quelque ressources. Elle a vite laissé tombé la morale, ce n'est pas ça qui remplissait l'estomac.
Black Rabbit n'éprouvait aucune peine à pratiquer le cannibalisme, après tout les humains ne sont pas des zombies et les humains mangent de tout, alors pourquoi n'aurait-elle pas le droit de manger de l'humain. Mais elle était soumise aux même restriction que les vivants, elle devait manger et boire, de préférence de façon varier afin de rester belle et pouvoir utiliser son corps comme moyen de troc. Aussi prit-elle a direction d'un des plus gros centre commercial du coin.
Elle ne prit pas le chemin vers l'entrée principale, préférant de loin passer par l'entrée de service. Certes, il fallait faire tout le tour, mais il y avait moins de risque de tomber sur un humaine. Elle prit ensuite le temps d'observer les étages qu'elle visitait en chantonnant un peu, semblant totalement indifférente que des zombies entendent. Un seul zombie était présent devant une boutique et la blonde vint à glousser jusqu'à entendre un bruit désagréable à ses oreilles.
La nécrophile se mit à jeter un oeil vers la source du bruit et vers les cadavres qui tombaient au sol. Si elle vint à lancer un regard noir sur les vivants, elle fut beaucoup plus intéressée par cet espèce de tigre, qui vint à l'exciter. Elle n'avait vu que des humains infectés jusqu'à maintenant, la nouveauté d'une nouvelle créature cadavérique étant terriblement tentante, même si la présence d'une vivants à côté était ennuyeux. Elle comptait essayer cette bête-zombie, mais pour cela, elle devait d'abords s'approcher, devant de ce fait s'occuper du zombie qui traine. Elle prit une profonde inspiration et vint à charger vers le zombie, donnant un coup de pied circulaire, faisant passer le zombie par-dessus la rambarde de sécurité, ayant une grimace en entendant le zombie s'écraser au sol. Elle n'aimait pas tuer les zombies, elle préférait surtout en faire des jouets sexuel, laisser leurs animalités se matérialiser sous une autre forme.
Elle prit le chemin pour rejoindre cette drôle de vivante avec son animal cadavérique, se voulant la plus silencieuse possible, afin de ne pas perdre davantage de temps.