Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Jody Radwell le mercredi 16 mars 2016, 12:50:35

Titre: Apprendre à se connaître, c'est passer par une baston [Pv - Sanguilia]
Posté par: Jody Radwell le mercredi 16 mars 2016, 12:50:35
Ce soir-là, j'erre dans les rues de Seikusu. À croire que c'est une réelle habitude comme Kant se baladait pour philosopher et déduire les théories qui régissent la vie des épicuriens mais, ce n'est pas mon cas. Mes pas sont maladroits, je vacille et penche sur le côté alors que la terre semble tourner, vaciller comme si elle cherchait à me faire perdre mon équilibre. Je suis imbibée. D'alcool bien entendu, je sors du bar où j'ai avalé quelques bières et whisky pour gagner cette plénitude des sens que seul l'alcool peut nous offrir. Et peut-être la drogue mais ça, je préfère ne pas le savoir. J'erre donc dans les rues sans objectif, ayant simplement envie de profiter de l'air frais qui caresse ma peau et semble la brûler très légèrement. Je suis habillée d'un pantalon beige, de basket et d'un gros sweat qui me protège du froid mais, peut-être pas assez. Les températures post-hivernales sont fraîches et humides. Je connais autre chose qui est humide... Un soupire se délivre de mes lèvres. Cette soirée avait pour objectif de m'offrir de la compagnie et je me retrouve avec l'alcool dans le sens et la vision floue, seule. Il n'y a pas meilleur moment que la solitude pour se rendre compte à quel point l'alcool nous a enivré et sans doute plonger dans le plus pitoyable des états mais, étrangement, je me sens saine. Au loin, je remarque même cette ombre qui se décèle dans les rues : une femme à la longue chevelure brune et aux petits yeux qui semble me percer dans l'obscurité.

Peu à peu, la distance entre nous se réduit. À chaque pas, peu à peu. J'ai l'impression de faire une fixette sur cette femme sans réellement l'expliquer. Mon regard la perfore de part en part et ne semble pas daigner la lâcher. Sans raison, comme ça. Ma tempe cogne légèrement comme animée de palpitations mais, ce n'est que l'alcool qui se réveille. Finalement, je baisse la tête et continue mon chemin feintant un désintérêt total pour la dite humaine qui me fait face. Seulement, le hasard n'en a pas décidé autant. Je ne saurais dire s'il retourne de sa faute ou de la mienne - l'alcool me retirant autant mes capacités à me mouvoir précisemment que d'observer correctement mon environnement - mais, nous nous sommes heurter. J'ai senti son épaule s'écraser contre la mienne ou vice-versa et je chancèle légèrement de cet affront. La colère me monte à la tête et retourne mon sang dans mes veines. Je me retourne alors qu'un rictus déforme son visage et que mes poings sont serrés. La colère ne découle pas de l'alcool mais, de mon caractère, j'ai toujours eu du mal à rester calme. J'ai conscience du manque de causes concernant cette colère mais, j'ai envie de me mettre en colère. Envie de serrer les poings et même de les écraser sur son joli minoi mais, il me faut une raison. « Oh salope ? Tu pourrais au moins t'excuser quand tu bouscules quelqu'un. 'tain sérieusement, ça me gave les gens comme toi grognais-je en lui adressant un regard qui mêle mépris et colère. » Nous étions dans le quartier de la Toussaint, ce genre d'altercation n'a rien de surprenant.

Instinctivement - et oui, la boxe vous offre ce genre de réflexe - je saisis son col et attire son visage tout près du miens jusqu'à sentir son souffle chaud s'écraser sur mon visage en laissant échapper un petit nuage de buée. Elle est belle. Un joli visage, une belle chevelure, une jolie poitrine et de beaux yeux légèrement injectés de sang. Détail qui me surprend mais, je ne m'en soucie pas. Elle oscille légèrement devant moi ou alors, est-ce moi qui oscille. « Alors ? Tu as perdu ta langue ? T'es une tapette à ce point m'exclamais-je entre deux gloussements. »
Titre: Re : Apprendre à se connaître, c'est passer par une baston [Pv - Sanguilia]
Posté par: Sanguilia le jeudi 17 mars 2016, 08:27:55
Cela fait quelques temps que je suis sur Terre, un moment que j'apprends à connaitre l'évolution de cette planète et cette nuit, je me sens l'âme à explorer les divers rues de Seikusu, cette ville au double visage, tantôt moderne, tantôt pittoresque. Une ville qui évolue sans oublier son passée même si la plus part des êtres humains ont déjà tiré un trait sur leurs passées commun avec les divinités que je suis. Il doit être tard, très tard, la ville est de plus en plus silencieuse, de plus en plus calme, les ruelles sont sombres et silencieuses, temps en temps un chat passe près de moi mais s'enfuit immédiatement lorsqu'il me voit, ils sont forts ces chats. J'ignore le mois de l'année mais on a passé les saturnales depuis bien longtemps et le printemps fait son petit bonhomme de chemin.

Au bout de la ruelle, une forme humaine se dessine devant moi, je lève légèrement la tête pour sentir son odeur mais beaucoup d'informations arrivent en même temps mais une encore plus forte que les autres, l'alcool. Cette femme avance vers moi, titubante cherchant appui pour tenir debout, quelle misère, quelle déchéance. Comment peut-on se mettre dans un état pareille mais soit, peut être que je rate quelque chose d'unique et de divertissant. Elle se rapproche de moi toujours en me fixant, elle a l'air hypnotisé par ma présence, je la fixe aussi voulant savoir son but. Mais lorsqu'elle arrive à ma hauteur, elle perd l'équilibre et son épaule gauche vient heurter mon épaule gauche. Sur le coups, je n'ai pas de rancœur contre elle, l'alcool la rend tellement pitoyable. Je me surpris de sourire par pitié, elle n'apprécie pas cela.

"Oh salope ? Tu pourrais au moins t'excuser quand tu bouscules quelqu'un. 'tain sérieusement, ça me gave les gens comme toi"

Cette femme avait le mérite d'être forte ou peut être que l'alcool la rendait téméraire mais elle avait de la répartie, j'adore une femme forte cela m'a toujours excité. Mais son dernier geste, de colère soit, est d'attrapé mon col de mon gilet rouge pour tirer mon visage près du siens. Ca... Ca... C'est la chose à ne pas faire... La colère monte en moi, j'ai l'idée de la faire bruler sur place mais bon soit, elle est alcoolisée, fort alcoolisée. Son haleine confirme ma première impression. Mais de plus près, elle a très jolie visage, les traits fins, une bouche qui semble taillée pour des baisers langoureux et un corps... Tellement d'idées coquines dans ma tête avec cette petite gamine...

"Alors ? Tu as perdu ta langue ? T'es une tapette à ce point"

Je serre les dents pour éviter de l'étriper sur place, mais pour qui elle se prend cette petite pute, j'attrape sa main gauche sur mon col avec ma main droite et tord son poignet sur la gauche afin d'ouvrir sa garde. Elle pousse un petit cri et de ma main gauche, je l'enfonce dans son ventre, le point fermé, pour la faire reculer de moi. Elle titube un peu en arrière et je recule pour tenir une distance raisonnable.

- Ferme ta gueule petite trainée!!! Me cherche pas, je suis pas n'importe qui...

Je contemple le corps de la jeune femme, elle est excitante même si elle avait pas une tenue courte mais on peut avoir un avant gout de ce jolie temple qu'est le corps de mon assaillante.
Titre: Re : Apprendre à se connaître, c'est passer par une baston [Pv - Sanguilia]
Posté par: Jody Radwell le dimanche 20 mars 2016, 14:15:50
Malgré la situaton, le fait que l'alcool m'imbibe, j'arrive à déceler son regard qui me dévisage totalement . Ses yeux sur mes traits, mes lèvres, plus bas. Une légère teinte de rouge nuance mes joues et c'est étonnant, je n'ai pas l'habitude de rougir. Je pince mes lèvres avant de lui retourner ce regard inquisiteur qui décèle chaque partie de son corps. Un visage fin d'une pâleur étonnante, j'y décèle la colère et, elle est mignonne quand elle est en colère, mignonne et même sexy. Je mordille ma lèvre avant de rapprocher lentement mon visage du sien, mon souffle s'écrasant sur son visage et réciproquement. Perdue dans mes pensées à observer cette femme ravissante, je n'ai pas vu venir son geste.

Une douleur me vrille le poignet alors que je plie sous le mouvement en poussant une petite plainte. Je ne suis pas habituée à gémir mais, l'alcool me surprend. Je déglutis difficilement. Elle en a profité pour s'éloigner de moi et ça me fait rire. Je souris, amusée, en frottant mon poignet endolori. Moi ? Une traînée ? Et c'est elle qui me dévisage comme une chienne en manque. Mon souffle accélère et les battements de mon coeur aussi. « Je ne suis pas une traînée... je ne fixe pas les femmes comme une chienne en rut. Tu as envie de moi hein ? Je le lis sur ton visage.... dis-je en approchant lentement d'elle. »

Un sourire pervers étire mes lèvres. La distance qui nous sépare se réduit mais, je ne montre aucune hostilité, frottant simplement mon poignet en avançant maladroitement. Je n'arrive pas à marcher droit mais, j'arrive à l'atteindre. Je glisse une main autour de ses hanches en exerçant une prise ferme avant de glisser jusqu'à ses fesses. Un long frisson me parcourt l'échine. Elles sont fermes et agréables, aucun doute, cette femme est parfaite. J'humecte mes lèvres en la déshabillant du regard. Aucun doute, elle est plus âgée que moi et pourtant, elle est si sexy. Avec sensualité, je colle mon corps au sien, mon bassin embrassant le sien pour lui faire sentir mon érection naissante. « Dis... tu n'as pas envie de passer une soirée chaude et sensuelle avec moi... t'es carrément sexy et, je sais que je te plais. Que tu as envie de moi. » Ma voix est assurée mais, j'hésite parfois. Je niche ma tête au creux de son cou pour en mordiller et suçoter la peau. J'essaye de lui donner envie comme possible. Dis oui... La moindre résistance risquerait d'engendrer ma colère mais, il faut avouer que malgré son corps sexy, me battre me plaisait aussi. J'aime les femmes fortes et violentes.
Titre: Re : Apprendre à se connaître, c'est passer par une baston [Pv - Sanguilia]
Posté par: Sanguilia le lundi 21 mars 2016, 23:01:59
Mais qui est cette nana, un coup de genou dans le foie et elle est encore debout, surprenante, sexy et surprenante, en voilà une qui atise ma curiosité. Elle tient debout devant moi, se tenant le poignet que j'ai tordu fortement il y a peu, mais elle me semble ne pas trop en souffrir. Elle me sourit traitant de chienne en manque, elle a pas tellement tord, cela faisait un moment que je n'ai pas été culbutée sauvagement, pour une Déesse succube c'est énorme. Mais pas aussi énorme que la réaction de la jeune femme devant moi. Elle avance doucement et elle se love contre moi, il n'y a plus d'hostilité dans ses mouvements mais de l'appétit. Un bras longe ma hanche et vient cramponer ma fesse qu'elle palpe allègrement. Je la vois frissoner de plaisir, impossible de dire si cet était est dû à l'alcool ou à l'envie. Sa bouche cherche mon coup et une fois trouvé, elle dépose de petites morsures et de petits suçons très excitants. Mais la vraie surprise est lorsqu'elle a collé son bassin contre moi, contre mon pubis, je sens une érection, encore une peu molle, mais une bite. J'ouvre de grands yeux.

- Mais qu'avons nous là...

J'adore les surprises mais je n'aime pas que l'on m'insulte et l'incident de l'épaule n'est toujours pas passé. Mais mon corps me trahi, ma poitrine gonfle légèrement de désir et mon antre s'humidifie quelque peu. Je souris mais un sourire carnacier, une belle idée me traverse la tête lorsque la fille me demande si je voulais d'elle pour un moment chaud et sensuel.

- Ok, mais à une condition petite princesse...

A ces mots, je me dégage de son étreinte et me glisse derrière elle, j'attrape son bras droit avec mon bras gauche de telle sorte de la plié sur le coté gauche, une prise de soumission qui était très répendue dans la Grèce antique (hrp:Abdominal stretch, comme ça tu imagines la position). Lorsque la prise est fermée, je me penche sur son visage.

- Que tu me mettes à terre, que tu me battes en un contre un, tu peux utilisé tous les coups. Mais pour te motiver un peu, regarde ce que j'ai pour toi.

Avec ma main droite, je glisse mes doigts sur son ventre tordu par ma prise et je déscends vers son pantalon, légèrement déformé par une bosse naissante, je la glisse en dessous de la ceinture pour attraper cette verge. Je commence doucement en la décallotant, des petits va et vient sur le gland qui durcit de plus en plus. Mes caresses font de suite effets puisque les premières goutes de préspermes se pointent sur le gland, lorsque  mes doigts sont humides, je relache la prise, la poussant plus loin. Quand elle est face à moi, je suce mes doigts mimant une felation.

- Si tu veux me sauter, faut le mériter petite cochonne.

Je me place en position de défense car je ne dois prendre d'initiative et surtout que je reste calme, je ne veux pas la tuer.
Titre: Re : Apprendre à se connaître, c'est passer par une baston [Pv - Sanguilia]
Posté par: Jody Radwell le jeudi 24 mars 2016, 21:51:50
Quand ma bosse entre en contact avec le creux de ses reins, mon corps gainé, je lis la surprise sur son visage et m'en délecte bien que ça n'ait pas l'air de lui déplaire pour autant. L'alcool m'enivre mais, je sais encore déceler l'envie et le plaisir sur un visage. Sa poitrine gonfle contre la mienne. Je suis certaine qu'en bas c'est tout humide... mmmh. Un long frisson me parcourt l'échine, sans aucun doute dû à l'excitation naissante qui commence à prendre possession de mon corps et remplacer les fléau de l'alcool. Finalement elle daigne répondre et pose une condition. Je fronce les sourcils avant d'écarquiller les yeux. Mon bras droit est sous son emprise et elle me force à me contorsionner dans une position de soumission pour avoir le dessus. Pour le coup, la colère monte et mon visage vire au carmin jusqu'à qu'elle glisse sa main là. Je la sens. Elle parcourt mon ventre, se rapprochant de l'endroit tant attendu. Mon sexe frémit comme pour répondre à ce début de caresse et pour finir, elle le saisit tendu et dure.

Une teinte de rouge nuance mes joues, j'observe la situation mitigée entre plaisir et légère honte. Quelques mouvements et mon chybre est dur, épais et suintant de pré-sperme. Seulement, rapidement elle m'envoit valser loin d'elle, une protubérance en plein milieu des cuisses, imposante et dure comme le roc. Je suis totalement excitée, mon sexe emprisonné dans cette prison de tissu qui rend mon érection presque douloureuse et elle continue de m'exciter feintant une féllation. Je dois la défoncer... Malgré la douleur entre mes cuisses, je suis prête à me battre, légèrement désavantagée par la perversion. « Tu viens de me désavantager là... t'es vraiment une trainée dis-je avant d'éclater de rire. » Ouvertement, je cherche à l'énerver jusqu'à qu'elle soit assez en colère pour donner tout ce qu'elle a. Les premières prises, elle m'a eu par surprise, ce n'est plus pareil maintenant. Un point devant l'autre, une jambe devant l'autre, une partie du corps en retrait prête à esquiver le moindre de ses coups. Je ne sais pas si c'est l'excitation ou l'adrénaline mais, mon coeur s'emballe.

J'oscille d'une jambe à l'autre, sautillant comme pour la frustrer avant de lui bondir dessus poing brandit. Je lui met un premier crochet dans l'estomac avant d'enchaîner avec un uppercut dans la mâchoire. Je ne suis pas certaine que mes coups l'atteignent tous alors je veille à pouvoir reculer et esquiver si elle riposte. Ma respiration est saccadée, mon coeur me fait presque mal à cogner si fort ou alors est-ce une illusion due à l'alcool ? J'enchaine avec un chassé violent dans les flancs comme on m'a appris à la boxe et je recule. À aucun moment je n'ai tenté d'avoir son visage car baisé une nana pleine de sang ne fait pas parti de mes fantasmes.
Titre: Re : Apprendre à se connaître, c'est passer par une baston [Pv - Sanguilia]
Posté par: Sanguilia le samedi 26 mars 2016, 03:03:20
Tout ce que je peux dire c'est qu'elle en a dans le pantalon, quand elle a une idée en tête, elle ne l'a pas ailleur. Mais, j'aurais pas dû la mettre dans un état pareil car moi aussi je suis toute excitée par la situation. Une si belle femme avec un sexe aussi dur et tendu, je peux concidérer cela comme un hommage à la divinité que je suis. Je m'attarde tellement sur son sexe tendu que la femme m'envoie un coup dans le foie et un uppercut dans la machoire. Je recule de trois pas mais ne fléchie pas encore. Elle est déchainée et dans un état telle que sa posture de combat n'est pas coordonnée, entre ses jambes et ses bras, l'harmonie n'est pas là mais sa vitesse compence le tout. Elle fait peuvoir une avalanche de coup sur moi, que je contre avec mes bras et même parfois mes jambes quand les coups sont bas.

- Allez salope vient me chercher!!!

Je voulais la mettre vraiment en rage, la frustrer jusqu'à sa libération, enfin si elle me mérite, mais pour le moment, elle est sur la bonne voie. Je recule de plus en plus, elle me laisse pas beaucoup de choix, elle est rapide et que je veux pas utiliser la magie pour la frapper, une si belle femme ne doit pas être abimée. Encore deux pas en arrière et mon dos vient heurter un mur, je suis acculée et plus moyen de sortir de là, et cette nana qui continue à frapper et se dérober de ma porté. Je devais la frustrer et c'est qui suis frustrée. Je la regarde, elle le visage rouge de désir mais mon instinc me dit que l'on nous observe depuis peu, je me concentre sur mon aura de perception et je distincte une ame qui tente de voir ce qu'il se passe par sa fenetre au dessu de moi, trois ou quatre étages plus haut.

- Attend, arrête, calme toi un peu...

Mais rien à faire, elle me veut et plus rien ne la résonne, faut que je la chope pour la maintenir et l'empécher d'ameuter tout le quartier. Elle tente un crochet au niveau de mes cotes, j'encaisse le coup mais je l'attrape par le poignet et la tire vers moi. En tirant et de ma main libre, je la saisi par le colle pour la coller contre moi et le mur. Je l'embrasse tendrement.

Au même moment, une fenêtre s'ouvre, une silouhaite tente de regarder par en bas mais elle ne voit rien, du moins il me semble. Lorsque la fenêtre se referme au dessus, je la repousse un peu, je vais pas mentir, j'ai adoré le baiser mais si j'ai un peu forcé la main.

- Merde, tu n'écoutes jamais quand on te parle!!! Bon qu'est qu'on fait? Tu continues à vouloir me sauter ou tu abandonne?

Je lui fais un clin d'oeil, relevant légèrement mon pull jusqu'au bas de les seins. Je la veux aussi mais j'ai prie gout à la torturer un peu. Elle m'excite grave en faite et elle le sait très bien. Cette fille va me plaire je le sens bien.
Titre: Re : Apprendre à se connaître, c'est passer par une baston [Pv - Sanguilia]
Posté par: Jody Radwell le lundi 28 mars 2016, 00:41:34
Venir la chercher ? Je me déchaîne. J'enchaîne les coups, toujours plus violente, accentuant la puissance de ceux-ci à chaque fois que je propulse mon poing sur ma victime avec un grand sourire digne d'une psychopathe. Et elle vient me chercher, toujours plus vulgaire, toujours plus salope, ça me plaît, ça m'excite et me pousse à me défoncer dans cette baston où j'essaye d'être toujours plus rapide. Elle prend mes coups, les esquive parfois mais, ne riposte pas et c'est étrange. Pourtant, je fais au mieux et la fatigue commence à m'élancer dans les muscles alors que ma respiration accélère peu à peu et la sueur coule le long de mon front et mon cou, collant des mèches de cheveux sur celui-ci. Une fois plaquée au mur, elle m'ordonne d'arrêter. Tu as peur ?! Comme si j'allais arrêter bwhahaha. Je jubile, je souris et je continue. J'enchaîne toujours plus rapidement avec un grand sourire qui étire mes lèvres quitte à endolorir mes joues. Soudainement, elle attrape mon poing, j'écarquille les yeux, surprise et perdue et ses lèvres se plaquent aux miennes Mmmmmh, ce baiser. Nos langues se mélangent, le baiser est tendre et sensuelle. Elle me colle à elle, mon bassin bloqué au niveau de son bas-ventre, lui faisant sentir mon énorme protubérance.

Dans la nuit, j'entends le bruit d'une fenêtre qui s'ouvre, quelques craquements au-dessus de nous et des bribes de mots incompréhensibles. J'ai envie de rire, un petit rire discret et maladroit une fois le baiser rompu. Et voilà, elle recommence à m'exciter vulgairement avec son pull qui remonte jusqu'au bas de ses seins. Le spectacle est tellement... je n'ai même pas de mot. Je suis totalement en rute, je bave à moitié et la dévisage totalement. Je veux... me la faire. Là, maintenant. Plus aucune envie de se battre, de toute manière, elle ne rispostait pas, tout était lassant. Ainsi, je lui saute dessus, la plaque au mur et je glisse entre ses jambes que j'écarte légèrement. Entre mes dents, j'agrippe sa culotte que je fais descendre le long de ses cuisses. « Je vais te sauter mais, je vais te donner envie autrement dis-je sur un ton joueur. » Et sans plus attendre, j'entame les autres jeux linguistiques pour lesquels je suis particulièrement douée. D'abord son clitoris, j'entrouvre les lèvres et vient le saisir, le pinçant légèrement avant de faire rouler ma langue dessus. Je l'aspire, le suçote et l'effleure même de mes dents par intermittence. Les yeux relevés, j'observe les réactions de ma partenaire, cherchant la trahison de son plaisir.

Et je continue. Je veux l'endendre me supplier de la prendre... Deux de mes doigts écartent ses lèvres intimes avant de s'y glisser, se logeant contre ses parois à la recherche de son poing le plus sensible. L'oreille tendue, je me prépare à accueillir les gémissements qui me guideront vers mon objectif. Mes mouvements sont de plus en plus rapides et accentués à certains endroits alors que je m'active toujours sur son petit bourgeon, bien décidée à lui procurer un maximum de plaisir.
Titre: Re : Apprendre à se connaître, c'est passer par une baston [Pv - Sanguilia]
Posté par: Sanguilia le samedi 02 avril 2016, 09:57:45
Le fait de lui montrer le bas de mes seins ont eu un effet direct sur elle. Elle semble encore changer et son visage ne repressente plus un mélange entre colère et excitation. Alors que je me remets en garde, elle charge tête baisée sur les hanches, elle me replaque au mur, tire mon pantalon et ma culotte.

- Mais que fais tu?

Le ton est la surprise et mon visage aussi, avant même que je puisse me défendre, ses lèvres se collent à mes lèvres vaginale et elle commence un cunnilingus. Je ressens une décharge dans tout mon corps, oui j'étais déjà excitée mais maintenant, toute cette excitation se relache dans mon corps. Je gémis, couine et soupire de plaisir, sa langue est douce et sa technique parfaite. Mon clitoris devient son nouveau jouet et elle le manipule avec dextérité. Je mouille comme une folle, je regarde son visage qui est coupé en deux, le haut est mouillé par la sueur et le bas par ma cyprine qui coule à flot. De ma main droite, je suis caresse le font pour dégager sa mèche bloquée par la transpiration. Je peux voir son doux visage, elle est belle cette nanna, digne d'une Déesse, elle doit maintenant se montrer à la hauteur de mes envies.

Je passe ma jambes droite au dessus de son épaule gauche afin de la bloquer contre mon vagin, elle ne peuxplus sortir de mon entre-jambe. Son regard me fixe, elle veut voir quand j'aurais un orgasme. Faut dire qu'elle manipule sa langue tellement bien que l'orgasme ne devrait plus tarder. Mais elle n'a pas dit son dernier mot et voilà que deux doigts me pénètre.

- Aaaaaaah ouiii comme ça c'est encore mieux... vas y petite salope...

L'insulte n'est que pour la frustrer encore un peu mais sans plus, elle est déjà dans un état bien avancé, il n'a qu'à voir son pantalon pour voir son énorme érection. Promis, cette bite sera à moi mais attendons encore un peu. Je passe mes mains sur mon ventre et les remonte doucement sur mes seins que je libère de leur tissus pour lui montrer totalement, je les malaxe et les pétrie comme de la pate, pinçant un peu mes tétons. Un peu de douleur me donne encore plus de plaisir. Et soudain, la chaleur de mon bas du ventre augmente, voilà l'orgasme arrive en trombe. Je ressère ma jambe sur elle, je convulse et me crispe.

- Aaaah ouiiiiiii... putain que c'est bon... aaaaaaaaaah...

Lorsque je récupère le contrôle de mon corps, je repousse mon assaillante de moi, elle tombe sur les fesses, je suis essoufflé mais toujours excitée. Avant qu'elle se relève, je me mets à genou et je me dirige vers elle à quatre pattes. Au contact, je l'embrasse tendrement.

- C'est bon, calme toi, tu as gagné, relaxe ma belle.

Alors que je me love contre elle

- Par contre ma belle, je te sucerais pas ici, le soleil va se lever et il y aura du monde, trouvons un endroit tranquille et je m'occuperais de toi comme tu le mérites.

Je la fais basculer sur dos et me place sur le long de son corps afin de mieux l'embrasser.