Le Grand Jeu
Plan de Terra => Territoire de Tekhos => Tekhos Metropolis => Discussion démarrée par: Jenny Moriarty le jeudi 18 février 2016, 15:14:37
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Manoir des Moriarty – Tekhos Metropolis
Le Manoir de la Grande Sénatrice n’était pas exactement ce que l’on pouvait attendre de cette appellation. Il s’agissait en fait d’une énorme tour résidentielle, exclusivement réservée à cette femme, et à celles qui lui étaient proches. Situé dans l’un des plus fervents et beaux quartiers (http://orig09.deviantart.net/56a7/f/2015/089/d/b/doxonaught_by_dqsanchez-d8nqzaz.jpg) de la mégalopole, l’immense immeuble de luxe donnait une vue imprenable sur le cœur de la ville, et sur le stade tout neuf et flamboyant. L’immeuble comprenait une arche en son centre, et la Sénatrice avait pris ses énormes appartements dans les trois derniers étages. Elle possédait tout ce dont elle désirait après tout, donc pourquoi se refuser le confort ? Jenny possédait donc un immense logement, au sommet de cette tour, s’étalant sur trois étages entiers. Elle y vivait généralement avec ses servantes, mais lorsqu’elle y avait le droit, elle y vivait aussi avec son épouse.
Ce jour-là était tout de même particulier. La nuit était tombée sur Tekhos Metropolis et, observant par la fenêtre les milles et uns feux illuminant sa ville, sa bataille, elle songeait. Ce soir, elle attendait quelqu’un. Jenny avait en effet une sorte de rendez-vous … Avec le genre de femme dont elle avait peu l’habitude de fréquenter. Pourtant, pour son nouveau projet, elle avait besoin de ce genre de femmes. Jenny avait envoyé ses chasseurs de têtes à la recherche d’un profil type ; bagarreur, acceptant tout pour un coquet cachet, et n’ayant pas froid aux yeux. Elle ne comptait pas assassiner quelqu’un, mais plutôt, intimider quelqu’un. Et rien de mieux qu’une bonne agression à l’ancienne pour cela. Or, Jenny n’allait pas le faire elle-même. Ce fut pour cette raison qu’elle avait décidé de faire appel à quelqu’un d’externe, d’inconnu.
Et visiblement ses chasseurs de têtes avaient trouvé quelqu’un. C’était donc ce soir qu’elle allait l’accueillir dans son propre appartement. Il aurait été stupide de l’accueillir au sein du Palais des Sénatrices, car cette affaire était personnelle. Jenny regardait donc par la grande baie vitrée de son immense salon, au moment où l’un de ses chasseurs (http://akirawrong.deviantart.com/art/STEAM-artifact-540716072?q=favby%3AMinstas%2F55436579&qo=8) vint à elle, lui annonçant l’arrivée de la femme en question. D’un signe léger de la main, elle fit comprendre que c’était bon, et qu’elle pouvait donc faire entrer l’invitée. Jenny avait appris son nom et avait donc mené des recherches à son sujet. Sharlie, s’appelait-elle. Une curiosité à ses yeux, tellement son dossier fut intriguant et remplie de faits intéressants.
La Grande Sénatrice était quelque part impatiente de la voir en chair et en os, afin de voir si ce que son dossier disait sur elle était vrai. Cela allait être rapidement su dans quelques instants ….
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Toujours tournée face à sa grande baie vitrée, elle entendit sa chasseuse de prime amener Sharlie derrière elle. Sans se retourner, conservant sa stature droite comme une planche, et les mains jointes derrière son dos, elle fit un signe pour qu’on les laisse seules toutes les deux. Quand cela fut le cas, un petit silence tomba, qui finit toutefois par se rompre quand Jenny prit la parole. « Bienvenue dans mon humble demeure, Sharlie. J’espère que … Le voyage n’a pas été trop fatiguant ? » Demanda-t-elle de sa voix neutre et sobre, si typique de sa personne. Le voyage car le seul moyen pour pénétrer dans ses appartements, était d’y accéder par une entrée spécialement réservée, sur le toit. Donc, seulement par voie aérienne. Jenny finit ainsi par se retourner vers sa convive, et son œil se posa donc sur ce corps géant, musclé et … Sale. Inutile de dire que même si Jenny était émoustillée par les femmes bien musclées et fortes, l’état de cette crasse jouait quelque part le rôle de frein … Quoique, ce maquillage fait de cambouis avait quelque part son charme.
Devenant à nouveau silencieuse, elle observait intensément sa convive de par son œil, attendant visiblement une quelconque réaction de sa part.
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« Grrrr ! Lachait moi ! »
Ce soir aurait put être une super soirée pour notre géante, une soirée où, encore une fois, elle se serait enquillé les pack de bière en pétant allégrement la rondelle d'une pute dans la chambre miteuse d'un hôtel tekhans. Mais non, au lieux de ça, des gonzesses en tenue moulantes lui étaient tombée dessus. Alors bon, Sharlie, les nanas style mercenaires on peut pas dire qu'elle les aime beaucoup et, bien sur, en les voyant, la futa c'était mise sur la défensive mais… Très vite, lesdites mercenaires vinrent à mettre les choses au claire en lui expliquant qu'elles n'était pas là pour la capturer mais juste pour l'amener auprès de quelqu'un… Ce sur quoi la géante avait simplement grogner en crachant sur le sol, pas du tout convaincue de la choses.
Mais… Bon, après plusieurs minutes de discussions, Sharlie vint à accepter de suivre les dames, tout en restant prudente cependant. Puis… Les mercenaires la firent monter dans un vertiptère, vertiptère qui alla par la suite vers les beau quartier de Tekhos, finissant de convaincre Sharlie que ce qu'elle était entrain de vivre n'était pas un piège, cependant, la futa resta prudente, ignorant tout d'où on était entrain de l'emmener.
« GRRrmpfrr… C'est quoi ce bazar ? » grommela t-elle alors en voyant le vertiptère ce poser sur le toit d'une immense structure futuriste et luxueuse. Ce sur quoi les mercenaire en combi' moulante vinrent à guider la futa vers son interlocutrices qui, de ce que Sharlie avait retenue, était rien de moins que la grande sénatrice de Tekhos… Une coincée du cul, quoi… Notre futa avait beau ne pas tout comprendre au jeu politique, ça lui semblait bizarre quand même qu'une telle femme ais besoin d'elle, cependant, Sharlie avait aussi retenue de sa brève discussion avec les chasseur les mots « récompense conséquente » ce qui, pour Sharlie, sonnait plutôt comme « beuverie et bourrage de cul » pour un sacré bout de temps.
La futa, d'un air légèrement blasé, entra donc dans la magnifique pièce où ce trouvait son interlocutrice et… En la voyant, notre géante haussa légèrement les sourcils, comprenant que, effectivement, elle avait VRAIMENT, affaire à une coincé du cul.
« Bon… Bas au moins je sais d'office que je vais pouvoir me la mettre sur l'oreille... »
Oui, car bon… C'est Sharlie quoi… Au fond d'elle, il y a toujours cette petite voix qui lui dit « aller, avec un peu de chance, tu peu peut être tirer un coup. » Mais là… à première vus… C'était nan d'office pour notre futa, en plus ça devais bien faire trois ou quatre jours qu'elle c'était pas lavée et autant dire qu'elle renardait pas mal notre futa alors voilà quoi… à moins que la Sénatrice aime les futa de deux mètres trente-sept avec un hygiène irrégulière, qui sais ?
« Bienvenue dans mon humble demeure, Sharlie. J’espère que … Le voyage n’a pas été trop fatiguant ? » Lui demandât alors la femme en gardant un air froid et sobre tout en restant bien droite comme un I.
« Euh… Ouai… J'ai juste gerbée dans une de vos fontaines à cause de votre tour de manège, mais sinon ça va... »
La futa ce grattouilla alors la tête puis, en fronçant les sourcils, elle vint à lui demander :
« attendez… Comment vous connaissait mon nom ? Et… Et merde, pourquoi, vous voulez me voir d'abord !? »
Et oui, en grande philosophe de comptoir, Sharlie ce posait tout un tas de questions, les mercenaires ayant étaient assez évasives sur le pourquoi du comment que la sénatrice voulez la voir.
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À vrai dire, avant de voir son dossier, Jenny n’imaginait pas Sharlie ainsi. À en croire ce qui était inscrit, elle se faisait l’image d’une femme certes rustre et crue, mais elle s’attendait à ce qu’elle soit, physiquement, dans le même ton. C’est-à-dire, qu’elle soit … Moche. Le genre de femme négligée, peu ragoutante, ne ressemblant ni à un garçon ni à une femme. C’était l’image que s’était faite Jenny en lisant son dossier. Mais, la Grande Sénatrice s’était lourdement trompée. Sharlie était … Outre sa crasse, une femme jolie. Ce n’était pas étonnant de voir que Jenny pensait à ces détails en une pareille situation, car les apparences, le corps, et plus généralement, le sexe, était inscrit dans les codes fondamentaux de la société Tekhane. Ainsi, alors qu’elle écoutait ce qu’elle avait à dire, son regard ne la quitta pas un seul instant. Bien qu’il virevolta rapidement entre son visage, et la petite bosse au niveau de son pantalon.
Ça aussi, elle l’avait lu. Sharlie n’était pas une femme comme l’on pouvait le penser. Elle avait une petite particularité ; en lieu et place d’un sexe féminin, la jeune femme se trouvait avec un appareil masculin. C’était presque monnaie courante à Tekhos. Il fallait bien remplacer les hommes sur ce terrain-là, donc de nombreuses femmes s’étaient mises à se faire des implants de ce type. Certaines conservaient leur féminité en plus d’avoir tout cet appareillage. D’autre ne se faisaient implanter d’une verge. D’autre, comme Sharlie, se voyait tout leur appareil entièrement remplacé. Le plus troublant était que certaines femmes naissaient ainsi. Directement hermaphrodite. Jenny connaissait un cas comme celui-ci ; sa mère. L’une de ses mères du moins. Elle était nait ainsi, avec un appareil génital masculin complet, en lieu et place de ce qu’une femme possède normalement.
Les merveilles du corps humains et de l’évolution. Bientôt, le genre masculin n’allait être vraisemblablement d’aucune utilité, à présent que de plus en plus de femmes parvenaient à s’octroyer leurs attributs, tout en restant féminines. Mais ça, c’était un tout autre sujet … Jenny se devait de rester présente, car Sharlie vint à lui demander le but de tout ceci. Elle détourna ainsi son regard mais s’approcha lentement de sa convive, en lui expliquant aussi simplement qu’elle le pouvait. « Je ne vais pas vous barber avec des détails inutiles. Il y’a quelqu’un que j’aimerai voir … Baigner dans son sang. Pas le voir mort, mais le voir … Bien amoché. Je cherche à l’intimider, et à lui faire valoir un avertissement. J’avais besoin de bras suffisamment musclé pour faire cela, et mes chasseuses de têtes vous ont trouvé. » Dit-elle, tout simplement.
D’un claquement de doigt à peine audible, elle déclencha une commande holographique qui fit tamiser les lumières, afin qu’un hologramme puisse se projeter au centre du salon. L’hologramme afficha dès lors un visage, celui de la cible en question. C’était une journaliste (http://ganassa.deviantart.com/art/Melany-Lemay-normal-ver-555182058) qui depuis toujours s’était opposée au règne de Jenny. Elle lui reprochait d’être trop … Conservatrice, trop sectaire et réfractaire au changement. Changement qui selon cette femme, passait par la destruction du système actuel pour migrer vers quelque chose semblable à une monarchie féodale, comme on pouvait en retrouver à Nexus. Pire de tout, cette femme pensait que même des hommes pourraient en faire partie. Jenny, tenant à prouver qu’elle n’était pas ce à quoi elle la décriait, ne l’avait pas faite censurée, et encore moins tenté de lui faire un procès.
Ses méthodes étaient plus subtils ; elle allait charger Sharlie de lui casser une jambe ou deux. L’hologramme montra donc la donzelle avec quelques informations sur elle, notamment son lieu de travail, et domicile. Jenny expliqua vite fait ce qu’elle attendait ; du cassage de gueule sans concessions. Pour ce qui allait être de sa couverture, la Grande Sénatrice allait mettre les moyens en œuvre pour que rien ne lui arrive du côté des autorités. Ainsi donc, une fois la mission exposée, elle lui révéla sa récompense. Et, encore une fois, elle ne s’embourba dans des explications interminables et trop compliquées, pour ce qu’elles étaient en toute honnêteté. « Mes chasseuses ont dû vous le dire, mais je vous le redis ; vous serez généreusement payée. À condition que vous ne fait pas trop de dégâts matériel. Ça, c’est pour la partie financière … Vous ne serez pas déçue, croyez-moi. » Dit-elle, en éteignant l’hologramme. Puis, elle s’approcha dangereusement de Sharlie, l’air de rien, toujours avec son attitude froide et sérieuse. Quand elle fut bien en face d’elle, et en vue de sa taille, c’est-à-dire quand son visage était juste devant sa poitrine, elle leva le regard.
« Pour l’autre partie … Je vous paie en deux fois ; maintenant … Et après. C’est un honnête marché, non ? » Déclara-t-elle, en apposant sa main sur les tablettes de Sharlie, les palpant doucement. C’était qu’elle était bien bâtie, cette femme ! Jenny se mordilla la lèvre, puis déclara quelque chose à nouveau. « J’ai lu votre dossier et … Je suis au courant de votre petit secret. N’y voyez aucune gêne à ce que je désire voir ça de mes propres yeux … » Dit-elle d’une voix toujours aussi sobre, mais clairement teintée d’une once de désir. Elle glissa silencieusement sa main vers le bas, et non sans un petit effort, l’immisça, sans aucune honte, dans le pantalon de Sharlie. Sentant ce gros membre pulser dans sa paume, elle se mit à caresser puis l’empoigna fermement, ses yeux se braquant vers Sharlie pour voir sa réaction. « Mais c’est vous décidez ; maintenant et après, ou tout après … Le choix vous appartient Sharlie. Mais sachez une chose, et je vais vous le dire … Clairement. Je veux gouter à cette bite, puis la sentir m’écarteler le cul … Ai-je été assez clair, mademoiselle ? » Lui dit-elle, d’une voix incroyablement calme et sérieuse. Elle avait sorti ça quasi naturellement, et elle accompagna ses dires en venant serrer encore plus fortement son sexe entre ses doigts.
Allait-elle craquer ?
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Calmement et avec une certaine froideur, la femme expliqua à Sharlie le pourquoi de sa venue ici, plongeant alors brièvement la vaste pièce dans le noir. Visiblement… Sharlie aller encore devoir sa salir les paluches. Nan vraiment... ça la dérangeait pas plus que ça elle et puis… Connaissant notre géante, elle n'allait pas que lui casser les genoux, ça c'est clair ! Sharlie souria donc légèrement en lisant les informations que la sénatrice lui donna, retenant l’essentiel, soit : lieux de travail et lieux d'habitation. Sur ce, la sénatrice qui, soit dit en passant était très belle, vint à éteindre l’hologramme avant de lentement ce rapprocher de la colosse, gardant alors un visage calme et sobre, son regard froid venant à ce plonger dans celui de notre Futa qui, une fois encore, vint à sourire quand la belle vint à palper ses beau abdos. Cette femme était… Ouaip ! Sharlie avait peut être eu des apriori au début mais là… Et bien là franchement, notre grande demoiselle commençait a bien aimer cette « bourgeoise coincée du cul » car, au fond et en s'attardant un peu sur elle… Et bien… On pouvait voir une femme chaude, au charme sulfureux, mure, sévère, une beauté très enivrante qui, en toute honnête, plaisait à la géante.
Mais voilà, alors que Sharlie ne quittait pas des yeux la Sénatrice, cette dernière vint à lui dire une phrase des plus… Surprenante, un phrase qui fit d'ailleurs légèrement hausser un sourcils à notre géante.
« J’ai lu votre dossier et … Je suis au courant de votre petit secret. N’y voyez aucune gêne à ce que je désire voir ça de mes propres yeux … »
« hmmm ? »
« petit secret ? » sérieux ? Cette assertion vint à faire sourire plus encore notre grande futa qui ce retrouva assez rapidement avec la main de la belle Jenny dans son futal, cette dernière n'hésitant pas alors à lui palper la queue sans aucune gène en gardant toujours une expression délicieusement sérieuse et calme. C'était dingue quand même comme histoire… Sharlie, une vagabonde qui n'avait jamais eu trop de chance dans la vie ce retrouvait maintenant face à la Grande sénatrice de Tekhos, une femme très belle et qui, de manière tout à fait naturel, était entrain de lui caresser la queue en lui demandant ci, par hasard, elle voulait voulait recevoir une partit de son « paiement » maintenant… Aaaah… Entre le coup de ce taper une star du porno et ça, Sharlie avait vraimentla cote ces temps ci avec les personnalités tekhannes, manquerais plus que Miss forge en personne vienne tendre son cul et ça serait le pompom sur le gâteau !
Suite à la dernière phrase de la sénatrice, un petit blanc vint à s'installer entre les deux femmes puis… Sharlie ce mit alors a longuement soupire en levant la tête au plafond puis, avec un sourire en coin, elle vint à caresser la chevelure de la sénatrice en revenant plonger son regard des le sien.
« Aaaah… Bordel… »
La femme sortit alors un cigare de l'intérieur de sa cote de travail puis, toujours en gardant le silence, elle vint à l'allumer, tirant légèrement dessus avant de dire sur un ton calme et posé :
« permettez les familiarité ? Hm ? » demandat elle d'abord en retirant le cigare de sa bouche avant d'en recracher l'épaisse fumée. « Si t'as vraiment lut mon « dossier »… Tu devrais savoir ma belle, que je refuse jamais une pipe et un sodomie… éhéh... »
Sur ce, Sharlie délivra une autre caresse sur les cheveux de la femme, avant de remettre son cigare dans sa bouche en attendant la suite avec grande impatience.
« Aaaah… Me faire sucer par la sénatrice juste avant d'aller me fritter… Putain, il me manque juste une bière et je serais au putain de septième ciel. »
Lachat elle alors, tendis que, dans son futal, sa verge était déjà à mi-parcour d'une érection de tout les diables.
Finesse, douceur, poésie… Sharlie.
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Il fallait savoir que Jenny, quand elle désirait quelque chose … Elle l’obtenait. Que ce soit au moyen d’argent, de stratagèmes, ou plus simplement … De forcing. Pour le cas actuel, elle avait effectivement assez épluché le dossier de Sharlie pour savoir qu’elle ne refusait jamais ce genre d’avances. C’était tant mieux, car la Grande Sénatrice avait terriblement envie de lui sauter dessus. Ce n’était pas tous les jours qu’elle croisait des femmes si bien musclées, si bien portantes, si bien membrées ! Bon sang, rien que par sa main, elle sentait que son sexe était gros, très gros. Bien plus gros que n’importe quelle verge qu’elle avait connu jusqu’à présent. Et c’était … Merveilleux. Jenny n’avait nullement peur de sentir une telle matraque lui rentrer dans l’arrière-train, voire même, elle n’attendait que ça.
Ainsi donc, elle la chauffa en se mettant à la caresser. Bien que ses caresses s’apparentaient de plus à plus à de la masturbation. Elle sourit face aux commentaire de Sharlie, puis tint alors à lui préciser quelque chose. « Oh, pas que se faire sucer … Tu vas joyeusement me détruire le cul, Sharlie. J’y tiens … Mais avant ça, je vais te sucer. Je vais te pomper, jusqu’à ce que j’étanche ma soif … » Lui dit-elle de sa voix suave et sobre, en compressant sa verge entre ses doigts. Finalement, sentant que son beau mandrin prenait de plus en plus de masse, et qu’il devenait de plus en plus à l’étroit dans sa prison de tissu, Jenny se baisser.
Elle se mit à genoux, puis retira sa main. Elle les posa toutes les deux sur les côtés de son pantalon, dont elle descendit la fermeture éclair, avant de tirer d’un coup franc. Elle dégagea la partie intéressante, révélant ainsi une énorme matraque de presque cinquante centimètre. Jenny arqua un sourcil en voyant cela, puis ses yeux se relevèrent un instant vers ceux de Sharlie. « Hmm … On t’a bien gâté. Je vais me faire un grand plaisir en dévorant cette queue … » Dit-elle, murmurant presque la fin. Ses yeux se rabaissèrent sur cette verge impériale, massive et lourde, alors que ses mains l’agrippèrent fermement. Elle put placer les deux sans problèmes, tellement ce mandrin était gros.
Ainsi, Jenny approcha lentement ses lèvres, son souffle chaud percutant sur la peau de cette trique. Elle souffla sensuellement sur son gland tout brûlant et avide, puis déposa un langoureux baiser dessus. « Hmm … » Gémit-elle contre cette petite friandise, avant de serrer d’avantage cette trique, et de se mettre à plaquer ses lèvres un peu partout dessus. La Grande Sénatrice préparait un peu plus le terrain, se mettant à embrasser ce sexe de mille et un baisers, tous plus ardents les uns que les autres. Elle alternait toutefois entre baisers, et coups de langues, à vif. Mais au bout d’un moment, Jenny se mit tout simplement à lécher généreusement, à la manière d’une bonne glace bien appétissante. Et ses léchages la conduisirent progressivement vers ce gland tressaillant d’impatience. Finalement, la femme s’écarta un peu, puis … Donna un grand et langoureux baiser, à nouveau, sur ce bout tout brûlant.
Mais ce n’était que le début ; car ce baiser servit à venir le prendre en étau entre ses belles lèvres. Elle l’enserra fortement, puis petit à petit, mimant des petites vas-et-viens, elle se mit à gober progressivement cette montreuse trique, avec un appétit fort bien gourmand. Elle en ferma les yeux et continua d’ailleurs à masturber ce manche de ses deux mains, tandis qu’elle l’absorbait toujours plus en profondeur. Toutefois, avaler cinquante centimètre de chibre n’était pas une mince affaire et, si Jenny était sans doute une femme très expérimentée en la matière … Elle ne pouvait pas le faire d’un coup. C’était pour cette raison qu’elle suçait tendrement ce vit, en le gobant morceau par morceau. « Hmmmmm ! » Gémissait-elle, savourant cette grosse friandise qu’elle avait réquisitionné. Sa bouche finit par arriver à hauteur de sa première main, et elle les dégagea donc toutes les deux, pour les poser ailleurs.
Sur ses fesses bien fermes, qu’elle empoigna avec hargne, afin de les malaxer, mais aussi de prendre un meilleur appui. Cette trique était tout simplement … Exquise, merveilleuse …
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Aaaaah… Les joies simples de la vie. Un cigare et une bonne pipe. Au fond, il en fallait peu à Sharlie pour être heureuse, le stricte minimum quoi… Même la douche c'était optionnelle pour elle.
Sharlie était donc bien heureuse à ce moment là, ce faire ainsi palper le chibre ça avait vraiment quelque chose de torride, cette femme, cette Sénatrice était… Vraiment belle, certes mais c'était ça manière d'agir, ça manière de parler, de la regardait qui plaisait beaucoup à notre Futa. Cette dernière, toujours cigare en bouche, ne perdit pas une miette de ce spectacle, reliquant alors allégrement cette femme mure mais néanmoins magnifique, soupirant d'aise sous ses palpations qui tait lentement entrain de faire gonfler l'engin gargantuesque de notre colosse, ce payant même le luxe d'ajouter à la phrase de Sharlie une sorte de « provocation » gentiment lubrique, à laquelle la grande damoiselle esquissa un sourire légèrement pervert. Bien entendue qu'elle allait lui péter le cul ! Et bien comme il faut en plus et, après quoi, cette somptueuse dirigeante aller pouvoir ce targuer d'avoir un véritable porte-gobelet à la place du cul, ça c'est clair !
« hmmm… ouai… Ton petit cul aussi vas bien prendre, t'inquiète pas… ahah ! » Lâcha t-elle alors en riant légèrement avant de voir la femme s'agenouiller devant elle dans l’honorable but de libérer la verge turgescente et… Odorante de notre futa.
Et oui car, quand le belle vint à sortir le monstre de sa cage de tissue, une puissante odeur de luxure vint à embaumer la scène, une odeur viril, forte, due en partit au quelque jours sans douche de Sharlie, mais aussi au hormones que la futa libérait lorsqu'elle était soumise à une forte stimulation sexuelle, comme ici présent. Ce musc était cependant à double tranchant, soit les femmes aimait et devenait encore plus assidue à la tache, soit elle aimait moins et… Bas elle faisait avec, Sharlie n'aimant pas le « travail pas terminé ».
« Hmmm… Ouai… c'est grosse putes de GeoWeapon,Corp mon bien pourvue, ça, je ne peut pas leur en vouloir… Par contre, je t'assure que le « barreau matinal » est relativement lourdingue quand il s'agit d'aller pisser… Un vrai karcher ! » Sur cette phrase, la Futa refit une tendre caresse à sa nouvelle amante qui, à présent était entrain de lui bisouter la queue avec amour, ses lèvres sautillants alors joyeusement sur sa hampe veineuse et pulsante. Aaaah… ça c'est clair, la pipe, c'était vraiment un truc que Sharlie aimait, c'était doux, chaud, humide et, quand la (ou le) partenaire venait à prendre sa queue en bouche pour la pomper avidement c'était hmmm ! Supercaléfragexpédélicieux !
« Haaaaa oui… vas y, régale toi de ma bite… Euh… Pervenche de haut-rang… éhéhé ! »
Sur ces mots, la futa revint à pencher sa tête en arrière en fermant lentement les yeux, sentant alors la femme lui masser la queue tout en lui gobant le gland avidement, Sharlie ce délectant alors de la chaude et délicieuse sensation de son gland entouré par un fourreaux de chère aspirant et humide.
La colosse tira ensuite une autre latte sur son cigare, avant de faire redescendre ses yeux vers son amante, lui offrant une fois encore un petite caresse sur la joue accompagnée d'un regard torride et avide de sexe.
« Alors ma puce… contente du repas ? L'odeur n'a pas l'air de trop te géner ma fois… C'est bien… Mon foutre est un peu dans la même « flagrance »… éhéh… bordel, tu me fout vraiment un trique de malade toi. »
La femme reporta son cigare à ses lèvre puis déplaça son autre main sur la tête de sa partenaire, en la laissant cependant faire son travail, Sharlie était certes bourrine mais elle savait ce tenir, si Jenny voulait une irrumation, elle n'aura cas lui dire au moment venu, tout simplement.
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Dire que Jenny aimait tailler des pipes tenait de l’euphémisme. La Grande Sénatrice avait un faible pour les gros engins, donc il n’était guère surprenant de voir qu’elle était littéralement tombée sous le charme de celui de Sharlie. C’était toutefois à se demander, si elle aimait tant tailler des pipes, pourquoi n’éprouvait-elle strictement aucun désir pour les hommes ? La réponse était simple. Elle était née comme ça. Son orientation sexuelle n’avait rien de décidée, ni de réfléchit. Jenny était comme ça, tout simplement. Toutefois cela ne l’empêchait guère d’aimer se faire pilonner par une verge, comme elle le montrait ici-même. Mais tant que c’était une femme à l’origine, ça passait. Si cela avait été un homme, elle aurait été incapable de lui accorder ses faveurs. C’était … Comme ça.
Mais pour en revenir à la situation présente, Jenny était donc en train de dévorer avec appétit l’énorme trique de son amante, qui semblait s’en réjouir. Elle sentit ses mains se bloquer dans sa chevelure, la caressant tout en l’incitant à la pomper encore plus. Une trique des plus savoureuses et juteuses que Jenny n’ai jamais gouté ! Sharlie ne mentait donc pas ; GWC l’avait bien gâté de ce côté-là. Etait-ce seulement possible d’avoir un pareil membre ? Il devait faire au moins une bonne cinquantaine de centimètre de long ! Au grand bonheur de Jenny qui se régalait comme jamais à le sucer et à pomper dessus. « Hmmm … » Ronronna contre elle, en guise de réponse face à sa proposition d’irrumation.
Néanmoins elle finit par faire sortir, lentement, ce membre en totalité. Elle donna un grand baiser sur son gland, à nouveau, puis leva ses yeux vers la jeune femme. « C’est un repas délicieux que voilà … Et ça tombe bien car ceci est mon plat préféré … » Lui avoua-t-elle, avec pour une fois, un petit sourire vicieux en coin. La Grande Sénatrice se reporta à nouveau vers son engin, qu’elle agrippa à nouveau de ses deux mains. Puis, elle entreprit de le masturber vigoureusement, très vigoureusement. Elle y allait lentement certes, mais ses mains se mirent à appuyer fortement tout en l’astiquant, afin de le conserver en haleine pendant qu’elle allait joyeusement gouter à ses lourdes bourses. Jenny plongea son visage, et ses belles lèvres vinrent s’apposer sur ces boules si lourdes. Elle en prit une entre elles, se mettant à la mordiller doucement, avant de se mettre à faire des doucereux succions dessus.
Finalement, elle en goba une entière, l’induisant généreusement de sa salive alors qu’elle la goutait pleinement. Les bourses, c’était parfois une partie bien souvent oubliée … Pas pour Jenny, qui savait comment faire pour s’en occuper. Elle continua donc ses attentions à cet endroit, tout en continuait de faire une masturbation musclée sur le grand vit de Sharlie. Au bout d’un moment, elle redressa sa tête, faisant à nouveau face à cette massive trique. « Bien … Baises-moi la gorge, veux-tu ? » Lui demanda-t-elle de son ton sobre, attendant donc que Sharlie ne commence son travail. Comme pour insister sur le fait, elle déplaça une main sur la sienne et la fit s’apposer de force derrière sa tête, comme pour lui informer qu’elle désirait que Sharlie ne la force un peu de ce côté-là.
À présent, la géante pouvait pleinement se faire plaisir, en fourrant chaudement sa trique d’elle-même dans cette gorge si accueillante, prête à recevoir l’intégralité de sa trique si elle le souhaitait. Et si elle le désirait encore plus, Jenny n’y verrait aucun inconvénient à avaler la moindre goutte de sa crème, si elle venait à jouir en elle …
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Une fois encore, notre Futa tenait la bonne place, celle de la dominante ! Mais… cela n'avait rien d’étonnant, Sharlie était rarement soumise… Jamais enfaîte. Les rare fois où elle c'était laissée « faire » c'était plus du « donnant-donnant », un échange de bon compromis quoi et cela ne c'était jusqu'alors fait qu'avec d'autre futa, notre grande colosse n'ayant jamais eu envie de faire ça avec un homme. Mais voilà, pour l'heure, ses pensés étaient uniquement tournées vers cette délicieuse sénatrice qui lui pomait le mat avidement, avalant goulûment sa queue tout en la branlant. Sharlie aimait bien ce genre de préliminaires, les pipes, les branlettes, les cravates, toutes ces petites gâteries la rendait folle ! Et…. Là… Dieu que c'était bon ! Lentement, la colosse ce mit à caresser les long cheveux soyeux de Jenny d'une main tout en lui caressant le joue de l'autre, son cigare ce consument lentement entre ses lèvres noire.
« Hmmm… Aaah oui… Suce moi comme ça oui… hmmm putain... » Lachat alors la femme en fermant ses yeux sous l'onde de plaisir que lui procurer les lèvres chaudes de son amante, amante qui, très vite, vint à extirper la grosse queue veineuse de notre futa de sa bouche, laissant entre les deux un long filin de salive et de pré-sperme.
« C’est un repas délicieux que voilà … Et ça tombe bien car ceci est mon plat préféré … »
«éhéh… Grande salope va... » Lui répondit alors Sharlie en faisant légèrement tapoter son gland joufflue contre la joue de Jenny, avant que cette dernière ne vienne à solidement attraper le mat de notre futa à deux mains, lui offrant alors une vigoureuse branlette, bien ferme et lente à la fois.
Sur ce, notre futa ce mit à l égèrement bouger son bassin, faisant alors glisser sa grosse queue entre les main de la Sénatrice qui, en bonne salope, vint à enfouir son visage dans les lourdes couilles de la colosse, happant l'une d'elle au passage pour ce mettre à la pomper vigoureusement avec une gourmandise non dissimulé. Aaaah… ça aussi Sharlie elle aimait bien… Ce faire tripoter les baloche c'était merveilleux ! Cependant, c'était aussi une affaire délicate à gérer, on ne tripote pas les testicules de Sharlie comme une sac à patate, attentions ! La femme avait beau avoir un service trois pièce particulièrement volumineux, ses couilles n'en reste pas moins une partit sensible.
Mais fort heureusement pour elle, l'amante de Sharlie semblait avoir un sacré nombre de bite et de couille au compteur et c'est avec une talent exquis qu'elle ce mit à lui gober une burne, la suçant alors avidement, en jouant de sa bouche et da sa langue comme une vrai déesse de la pipe !
« hmmpff… aaah ouii ! Putain c'est bon ! »
La futa grogna alors légèrement, la tête légèrement levée vers le plafond puis… Sa compagne vint à s'arrêter, faisant alors baisser la tête de notre futa.
« Bien … Baises-moi la gorge, veux-tu ?
Sur ce, Sharlie émit un petit sourire sadique, voyant par la suite sa compagne placer ses mains à l'arrière de sa tête… Une irrumation donc ? Pas de problème ! Notre Futa adorait ça… Mais… l'autoriser ce genre de pratique était risqué car, il ne faut pas oublier que sa queue faisait 50 centimètres et que… bas voilà quoi, Sharlie, une fois lancée ne s'arrêtera pas avant d'avoir balancée son sperme brûlant dans la gorge de sa partenaire, étouffement ou non.
« Pas besoin de me le dire deux fois… éhéhéh... »
Et hop, sur ces belles paroles, Sharlie attrapa fermement sa queue au niveau de la base en gardant son autre main bien à l'arrière du crane de Jenny puis, d'un air joueur, elle vint à faire frotter son gland humide et dégoulinant de pré-sperme sur le visage de son amante, avant de finalement commencer le « boulot ».
« Raaaah… Putain... »
Lentement, la futa engouffra son sexe dans la bouche de sa partenaire en lâchant un grand soupir de plaisir. Centimètre par centimètre, la queue de Sharlie ce mit à rentrer puis, une fois à mi-longueur, notre colosse remit sa deuxième main sur la tête de sa partenaire en lui lançant un regard pervers et dominant puis, doucement, elle la caressât comme une chienne en commençant de petit vas et viens dans la bouche de la femme, son gros gland joufflue allant ce légèrement ce perdre dans la gorge de la sénatrice. Ça… ça c'était de la domination, pure et dure ! C'était clairement du « suce moi et ta gueule. » rien de plus, rien de moins. Et c'était ça aussi le sort que réservait en général Sharlie à ses ennemies ou au mercenaire de GeoWeapon.corp : une branlé de tout les diables, une violente irrumation et une sodomie tout aussi brutal… D'ailleurs, en commençant son baisage de gorge, Sharlie vint à dire à sa compagne quelque mots qui, intérieurement, allait sûrement la faire rire.
« Putain… Ta journaliste là… Je lui promet une sodomie de tout les diables… Le genre… Hmmm putain c'est bon… Aaaah… Le genre sans vaseline, sent préparation et directement lancée à plein régime… c'est radicale ! Aaah ! Je lui donne déjà quatre mois de convalescence avec quadruple déchirure anale… Hmmmm… Sans compter les « petits à cotés » ahah. »
Cet alors que la futa ce remit à regarder sa partenaire d'un regard dominant et fier.
« Toi par contre… Je te promait une bonne grosse enculade de mon crue, le genre bien profonde et bien soignée tu vois… Propre hmmm ! Et efficace… putain c'est bon ! »
Sharlie lâchât alors un puissant râle tendis que dans la pièce, les gargarisme et les bruit de succion obscène vinrent à ce mêler au gémissement de la sénatrice, dont Sharlie abusée sans aucune gène, enfouissant de plus en plus loin son gros chibre juteux et pulsant.
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Effectivement les quelques mots de sa comparse avaient bien arraché un sourire à Jenny. Mais elle ne pouvait pas trop sourire non plus car elle avait la bouche bien … Pleine. Le gros membre épais et bourru de Sharlie lui remplissait complètement la bouche, à son plus grand bonheur cela dit. La Grande Sénatrice se régalait comme jamais, se faisant ainsi pénétrer la gorge avec une hargne et une force inégalable. Elle n’avait pas eu tort de faire appel à cette femme donc. Sharlie, non seulement d’être une belle femme bien musclée et taillée pour cette mission, demeurait aussi une puissante amante qui n’hésitait pas à écarteler la gorge de Jenny, qui croulait sous le plaisir. « Hmmmmm ... » Ronronna-t-elle intensément alors qu’elle sentait la lourde verge de la mercenaire lui rentrer toujours plus hargneusement dedans.
Sentir ce gland chaud et avide plonger au fin fond de sa gorge avait quelque chose de tout simplement … Grandiose. La trique de Sharlie était sans doute la meilleure chose à laquelle Jenny avait gouté, du moins en matière de fellation. Les râles de sa propriétaire ne faisaient que l’exciter encore plus, lui donnant envie de se faire sauter dans la règle de l’art. Il était indéniable que la Grande Sénatrice avait des tendances masochistes, surtout en voyant comment elle prenait plaisir à se faire prendre ainsi. Ainsi donc, le plaisir continua encore et encore, Sharlie ne cessant de lui fourrer sa gorge de son énorme membre. Cela démontrait à quel point Jenny était expérimentée en la matière, puisqu’elle parvenait à ne pas s’étouffer, tout de même !
La grande gâterie finit toutefois par arriver à son comble. En effet, Jenny se faisait si bien détruire la gorge, qu’au bout d’un moment, elle sentit ce vit palpiter. C’était le signe que Sharlie allait bientôt jouir, et comment … Un véritable raz-de-marée ! Un tsunami de foutre qui allait bientôt se déverser directement dans sa gorge. Quand cela arriva finalement, elle entendit non seulement les délicieux râles et soupirs de son amante, qui crispa complètement sa trique et ses doigts dans sa chevelure. Jenny ferma les yeux puis se prépara ; à avaler un bon litre de foutre. Elle ne fut donc guère déçue, et quand Sharlie se lâcha complètement, elle reprit la main et pompa avidement sa trique alors que celle-ci était encore en train de jouir. Le jus coula à flot, et Jenny l’avala à grande bouffée, se rassasiant de ce délicieux nectar de Futa’. Elle couina grandement, mais … Elle ne parvint tout de même pas à contenir tout le débit.
Elle finit par avoir les joues gonflées et se mit à cracher, malgré elle, le trop-plein de foutre qui s’était déversé dans sa gorge. La verge de Sharlie sortit, et continua un peu à juter, éclaboussant légèrement le visage satisfait de la Grande Sénatrice, qui se pourlécha les lèvres. « Hmm, délicieux … » Déclara-t-elle, en passant un délicat doigt sur ses lèvres, pour racler le reste de semence s’y logeant. Il était vrai que son gout et son odeur étaient forts, mais, c’était ce qui faisait son charme. À vrai dire, Jenny avait adoré ça. C’était d’ailleurs assez troublant, mais dès la première gorgée, elle avait eu envie d’une deuxième, puis d’une troisième et ainsi de suite. Un délicieux jus que voilà. Ainsi, la femme porta son regard la trique quelque peu éprouvée de son amante, puis approcha langoureusement son visage.
« Quel caractère, dis-moi. » Lui déclara-t-elle, faisant allusion à son foutre. Jenny sortit doucement sa langue et se mit à donner un immense coup de langue le long de cette trique, pour la nettoyer tout en se faisant plaisir en goutant à nouveau à ce délicieux foutre. Sa langue se pressa tendrement contre son gland éprouvé, le léchant vigoureusement, afin de ne laisser aucune goutte dessus. Ce nectar était … Etrangement délicieux. Elle finit par finir sa besogne et releva sa tête, se mettant à malaxer très fermement le petit fessier de Sharlie. « J’espère pour toi que tu n’es pas à court car là … J’ai très envie que tu m’encules, bien fort, et bien profondément … Est-ce bien compris ? » Déclara-t-elle, s’offrant à nouveau à la jeune femme, en lui déclarant, officiellement, qu’elle pouvait dès à présent la sodomiser tel qu’elle le voulait.
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Cette femme était… Avide… Avide et masochiste à la fois. Peu nombreux étaient les partenaires avec qui Sharlie avait eu droit d'y aller aussi franchement en ayant leur consentements et autant dire que, pour le coup, notre Futa s'en donner vraiment à cœur joie, bourrant vigoureusement la gorge douce et chaude de la sénatrice, son gland allant de plus en plus loin en elle, descendant vivement dans l’œsophage de la femme, tendis que Sharlie, elle, grognait et soufflait de plaisir, envoyant toujours plus loin sa grosse queue dans son amante. « Hmmmpfrrr… haaa… Vas y… Pompe moi bien !! »
Facile à dire, Sharlie était littéralement entrain de bourrer la gorge de sa compagne ! Accélérant vivement ses coups de reins en enfouissant à présent l'entièreté de sa queue en elle, planquant par moment le nez de Jenny contre son bassin tout en sentant ses lourdes couilles rebondir contre le menton de la Sénatrices, couilles qui ce recouvraient petit à petit d'un mélange de pré-sperme et de salive.
Mais… Sentant l'orgasme venir, Sharlie ce mit encore à accélérer les mouvements, bougeant de paire la tête de Jenny et son vit, l'empalant ainsi sans aucune pitié, les main de la futa ce crispant sèchement sur les cheveux de son amante à présent réduite à l'état de vide couille… Tout simplement. Il ne fallut ensuite à notre colosse pas plus d'un a deux minutes pour sentir son énorme sexe pulser, une sensation qui poussa Sharlie à faire une ultime gorge profonde à Jenny. « RAAAAAAAAAAH !!!!!...PU-TAIN !!! » Sur ce râle viril et sonore, la colosse vint ce mettre sur sa pointe des pied, expulsant dans l'organisme de sa partenaire deux litres de sperme chaud, épais et odorant, bourré d'hormones aphrodisiaque qui, chez certaines partenaires, pouvait créer une petite dépendance.
« Aaaaaah… Putain… j'adore vraiment… mais vraiment ! Me vider les couille dans des putes dans ton genre… hMmmmm... »
Sharlie, les yeux clos, la tête en arrière et toujours sur la pointe des pieds ce délectait grassement de son orgasme, remplissant goulûment l'estomac de la femme, femme qui, à un moment, fini par recracher le trop plein sur le sol, avant de ce recevoir le reste du jus de Sharlie sur la tronche, ce sur quoi la Sénatrice ce mit à tendrement nettoyer la verge légèrement dégrossie de son amante en lui disant :« Quel caractère, dis-moi. » Ce sur quoi Sharlie vint à lui dire en la regardant d'un air supérieur et amusé. « éhéhé… Tu parle de mon foutre ? Si oui, je suis heureuse qu'il te convienne… » Et hop, sur cette petit phrase la futa vint à caresser les cheveux légèrement poisseux de sa partenaire, partenaire qui, lentement ce releva, palpant par la suite les fesses de la futa en lui avouant alors vouloir ce faire enculer comme Sharlie le désirait et… Autant dire que ça non plus, fallait pas lui dire à deux fois pour qu'elle le comprenne.
« hmmm… Aller, file donc te foutre sur la banquette là-bas... » Lacha t-elle d'abord en montrant d'un mouvement de tête un luxueux canapé. « Et tend moi ton cul… Tu veux de la violence… Je vais même pas prendre le temps de t'enlever tes fringues, tu vas voir. »
La futa laissa donc sa comparse s'installer, avant d'aller prêt des fesses de la femme, fesses encore couverte par une belle combinaison bien moulantes, Sharlie, chopa la Sénatrice par les hanche, palpant avidement ces dernières avant de remonter au niveau des fesses de la demoiselle. « Putain… Comment il vas bien prendre cher ton gros cul, ma petite salope... » La futa esquissa alors un large sourire pervers en malaxant ferment les deux mont de chair, avant d'y donner un a deux petit coups de bassins. Entre temps, notre colosse avait retrouvée sa monstrueuse trique et, à présent, la sénatrice devait sans aucun doute sentir le gland de son amante glisser sur sa tenue, tenue que Sharlie attrapa alors des deux cotés… Avant de la déchirer violemment au niveau du cul, créant ainsi un trou béant, dévoilant un fondement somptueux et un chatte dégoulinante de mouille. Chatte dans laquelle Sharlie introduisit alors deux doigts taquins qu'elle fit brièvement jouer entre eux, avant de les ressortir et de les porter à sa bouche et ce, tout en donnant une grand claque sur le cul de la femme.
« prête, poulette ? »
En demandant cela, la futa c'était saisit de sa verge au niveau de la base, la faisant frotter allègrement sur les fesses rebondies de sa partenaire.
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La sodomie avait toujours été, pour Jenny, une pratique fétiche. Certes cela faisait énormément de bien de se faire prendre d’une manière plus classique, c’est-à-dire par devant, mais … La sodomie était la seule pratique mariant si bien la douleur et le plaisir. Car la Grande Sénatrice était un peu sadomasochiste sur les bords, et donc ce pic de douleur si typique à cette pratique était pour elle un ingrédient unique, fantastique et difficilement remplaçable. Avec Hegeria, elle avait pris l’habitude de se faire démonter l’arrière-train régulièrement, et c’était bien avec elle qu’elle avait pris définitivement gout à la sodomie. Il était vrai que pour nombre de femmes, cette pratique n’était pas la plus préférée car, immanquablement, elle était douloureuse. Mais comme dit, la douleur était déclencheur d’innombrable sensations toutes les plus fantastiques les unes que les autres pour des personnes comme Jenny.
C’était donc en toute confiance, et aisance, que la femme alla s’installer sur le canapé, se mettant à quatre pattes en s’appuyant sur le dossier de celui-ci. Cul bien tendu et cambré, elle attendait donc son amante pour qu’elle vienne lui détruire sa rondelle. Rondelle qui, sous son pantalon en latex très moulant, oscillait d’excitation et d’appréhension. Jenny se mordilla la lèvre, sentant Sharlie approcher dans son dos. Elle finit par ressentir son gland tout chaud et massif se frotter contre sa raie, lui arrachant un fin et délicat soupir. Son cul était immense, au sens propre. Jenny possédait des fesses massives, généreuses, tendres, qui étaient encore plus mises en valeurs par son pantalon moulant, qui lui doublait le volume de son cul.
En d’autres termes, Sharlie allait se régaler avec cette belle croupe. Jenny se mordilla la lèvre, puis finit par serrer des dents quand la colosse caressa ses hanches et ses fesses, généreusement, avant de déployer sa force pour déchirer son pantalon au niveau de sa rondelle. « Haa … » Soupira Jenny, sentant brusquement l’air taper contre sa peau, faisant osciller encore plus sa petite porte. C’était ça, qu’elle adorait ; quand on déployait de la force et de la vigueur dans les gestes. Sharlie se débrouillait comme une maitresse dans la matière, et cela plaisait donc forcément à Jenny qui sentait qu’elle allait passer un très bon moment. Finalement, Sharlie se décida à immiscer ses doigts dans l’intimité toute luisante et chaude de la Sénatrice, qui poussa un long soupir en sentant ces doigts remuer doucement en elle. « Ohhhh … Petite coquine … » Soupira-t-elle en souriant, jetant un petit coup d’œil par-dessus son épaule pour voir Sharlie en train de léchouiller ses doigts enduits de sa mouille.
C’était qu’elle venait de s’octroyer un petit privilège qui n’était pas forcément donné à tous. Ce n’était pas n’importe qui, qui pouvait gouter à la mouille de la Grande Sénatrice en personne. En dernier moment, Sharlie lui demanda si elle était prête, ce à quoi Jenny répondit tout naturellement. « Je le suis toujours, Sharlie … Maintenant cesses de parler, et e-n-c-u-l-e-s … M-O-I !!! » Lui ordonna-t-elle, en crispant ses doigts sur le dos du canapé en sentant sa massive verge taper contre sa raie. Son gland finit par bouger et se frotta contre sa rondelle, cognant hargneusement dessus … Avant de brutalement se faire gober, et s’enfoncer en toute force et vigueur dans ses entrailles. Jenny se sentit se faire écarteler de l’intérieur, tellement cette trique était surhumaine, mais elle poussa un énorme râle de plaisir et de douleur. « HAAAAAAAAAN B-BON SSSS-AANNNNG !!! » Gémit-elle fortement, la douleur et le plaisir explosant en elle comme jamais.
Cette verge était tout simplement incroyable. Surhumaine, irréelle … Mais digne de la Grande Sénatrice, qui serra complètement les dents, et les doigts, dans le canapé.
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Sharlie était… Insatiable, ce qui faisait d'elle une amante de première catégorie et, quoi qu'en dise les scientifique de GeoWeapon, quoi qu'en pense Miranda à l'heure qu'il est, notre Futa était vraiment une bête de sexe, un piston sur patte qui jamais n'était en manque de vigueur et ça, la belle Jenny allait s'en rendre compte… De manière très… Approfondie. Cet ainsi que sous les demande de son amantes, notre colosse vint à faire poker son gland turgescent contre la rondelle de la Sénatrice tout en caressant allégrement les fesses de la femme d'une main ferme et avide de chair.
Aaah… Ce cul était délicieux, gros, rebondie et ce, à tel point qu'à présent, le gland de notre futa était littéralement enfouie entre les deux énorme bosses de chair de Jenny, gland qui était lentement (mais sûrement) entrain de forcer l'entrer du fondement de la belle Sénatrice.
« Hummpffrrr... Grrrr ! »
Sharlie… Aimait beaucoup sodomiser ses partenaires, ça, c'est un fait mais… à chaque fois, c'était une épreuve de force pour notre Futa qui, à cause de sa verge monstrueuse, ce devait d'être elle aussi un minimum précautionneuse, au risque de casser le cul de ladite partenaire avant même d'avoir commencer… Et puis, c'était un peu douloureux aussi, de faire rentrer un si gros engin dans un si petit trou, faut pas croire ! Notre colosse ce crispat alors légèrement sur les fesses de jenny, balançant au fur et à mesure de son « avançée » de violente claque sur le cul de la femme, en crachant quelque jurons de son crue. « RAAAH ! Sale… PUTE DE MERDE ! HMMMRRM ! »
Elle aimait ça… Oh que oui ! Là, notre Futa dominait Jenny de toute sa force, de tout son poids, là, la Sénatrice allait vraiment pouvoir sentir toute la force et là puissance de Sharlie. Lentement, le mat de la futa ce frayait un chemin dans le fondement de son amante, fondement qui entourait et moulait la bite de Sharlie à la perfection, la faisant ainsi frémir de plaisir tout en lui arrachant de puissants râles virile et roque. C'était bon oui… Et douloureux à la fois, mais cette douleur ne fit qu'accentuer la hargne et le désir de Sharlie, Sharlie qui, un fois encore vint à faire claquer sa main contre le cul de la Sénatrice.
GRRRRMMMMPFFR !!!!! AAAAH ! Aaah… Je suis… Bientot au fond… Sale pute !
Et hop ! Sur ces belles paroles, la colosse vint à grogner une ultime fois, avant de venir ce coller contre le dos de son amante, embrassant ensuite cette dernière dans le cou tout en la tenant toujours fermement par la taille.
« Haaa… Haaa ton cul putain grrrrrmmprrrf !! »
Oui… Là, Sharlie était bien au fond… 50 putain de centimètre qu'elle venait de lui mettre dans le cul… Mais, voilà, Sharlie laissa au fondement de son amante le temps de s'habituer un peu à l'épaisse lourdeur de sa bite pulsante et veineuse, une bite puissante qui n'attendait qu'une chose : le début de la valse. Cet ainsi qu'après quelque minutes de baiser et de caresse, la futa ce mit à lentement aller et venir dans Jenny en la surplombant toujours, à la manière d'une bête dominante, grognant alors au rythme de son bassin, sa grosse queue écartant avec plus ou moins de pitié le cul chaud et serré de Jenny, un cul qui semblait aspirer avidement la bite de notre futa, un effet de succion qui, bien évidement, fit longuement soupirer Sharlie.
« HMMMMmmmpfrrr… Ton cul Jenny… HmmmmMMM ! Il EST BON ! »
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Sharlie … Quelle force, quelle hargne ! Se faire pilonner l’anus par une telle femme était sans doute l’une des choses les plus formidables qui devait existe au monde ! Rare étaient les femmes qui possédaient autant de poigne et de verve acerbe, surtout envers la Grande Sénatrice. Cette dernière adorait la façon dont Sharlie ne la ménageait pas, tout en gardant cette certaine retenue qui la rendait pas stupidement vulgaire. À vrai dire, cette femme était une grande curiosité qui allait rapidement attirer bien plus que l’œil de la Sénatrice. Sénatrice qui enfonça ses ongles dans la chair du canapé tout en serrant des dents, sentant ses entrailles se faire largement et douloureusement écarteler. « HNNNNNNG ! »Gémit-elle, en un râle supplicié mélangeant douleur et plaisir. Une bonne sodomie féroce, c’était tout ce dont raffolait Jenny !
Et ce n’était pas sa femme qui allait dire le contraire … Bien qu’ici, il était question de Sharlie. Celle-ci gifla violemment le fessier généreux de Jenny, qui ondula fermement sous ses coups. Plus elle enfonçait sa trique, plus la Sénatrice souffrait. Et plus elle souffrait, plus elle prenait plaisir ! Bientôt, elle sentit la lourde et veineuse verge de la grande femme se faire écraser dans ses entrailles, lui arrachant râles après râles, insultes après insultes, qui ne firent qu’exciter encore plus Jenny. « Ohhhh ouiii …. OUI !!! » S’exclama-t-elle, finissant par sentir ce bon cinquante centimètre en place dans son cul. Elle était bien consciente que Sharlie était très bien membrée ; mais elle aussi, était bien équipée. Jenny, non sans grand mal cela dit, parvenait à accueillir cette veineuse trique en elle, procurant ainsi à son amante d’innombrables plaisirs.
Jenny soupira sans relâche, et sentit sa mouille commencer à perler le long de ses cuisses, tellement cette sodomie lui faisait un sacré effet. Sharlie se mit à la labourer, augmentant progressivement la cadence … Mais les fesses de la Sénatrice Suprême étaient si accueillantes et douées en la matière, qu’elles firent comme un délicieux effet de succion à chaque coup de butoir. Faisant ainsi revenir encore plus hargneusement la trique de la géante en elle. « P-Plus fort … PLUS FORT ! » S’écria-t-elle, ne pouvant supporter davantage de ne pas sentir ses fesses se faire détruire, littéralement. Néanmoins, avant cela, elle laissa au fondement de Jenny le temps de s’accoutumer, et se mit alors à glisser dans son dos, couvrant son cou et son lobe d’oreille de mille et une caresses.
Sharlie marquait bien des points en optant pour cette solution, car la Sénatrice était une femme qui adorait ce genre de choses. D’un geste gracieux, elle vint tourner sa tête sur le côté pour venir chercher les lèvres de sa sulfureuses dominantes, qui continuait à lui harceler le derrière, menaçant d’abattre toute sa férocité d’un instant à un autre. Et c’était cette appréhension, cette excitation qui en découlait qui donnait de sérieux frissons à Jenny, qui savoura corps et âme les lèvres de Sharlie. C’était qu’elle avait bien caché son jeu jusqu’à présent ; cette femme avait des lèvres … Tout simplement succulentes. Pas autant que celles de son illustre épouse, mais elle se débrouillait plutôt bien ! Jenny gouta avec plaisir à sa langue et à ses lèvres, s’y perdant encore et encore, en un balais sulfureux et torride, jusqu’à en perdre souffle.
Elles s’embrassaient comme des assoiffées, et ça, c’était typiquement ce qui plaisait à Jenny. Le sexe sauvage, abrupte ! Même si elle était une femme qui aimait aussi la douceur à niveau équivalent, force était de constater que Sharlie lui donnait sacrément envie de se faire sauter encore et encore, sans ménagement. Visiblement elle le comprit, et après ce long et enragé baiser, la géante revint à sa trique et se mit à pilonner férocement le cul de Jenny, qui hurla tout en crispant les doigts. « HAAAAAAAAANN ! » S’exclama-t-elle, son corps rebondissant en avant et en arrière, sous les puissants et terriblement jouissifs coups de trique de sa partenaire. « HMmmmmMMMMM ! C’est … OWWWW OUIIII ! C’est ta BITE qui est BONNE ! » Lui hurla-t-elle, changeant légèrement de son registre sobre et respectueux de d’habitude. En même temps, il était difficile de rester l’esprit sain et lucide avec une pareille lance qui vous rentrait délicieusement dans le cul ! Jenny en voulait encore et encore, puis encore, et enfin, encore !
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Sharlie… Bien qu'étant une vagabonde vivant dans un petit taudis miteux, réussissait toujours à se trouver un bon plan et, au fond, quoi de plus normal à Tekhos ? Notre Futa était l'archétype de la « virilité » tekhanne, une femme forte, somptueuse qui, bien que finement musclée était très féminine dans la forme de ses hanches, de ses fesses et de ses seins, elle était le savant mélange de la masculinité et de la féminité, une hermaphrodite parfaite en somme ! À l'époque, Sharlie était plus banale et possédait un corps encore plus féminin, comme celui de cette belle Sénatrice au gros cul… Avec une grosse queue et une paire de couilles en plus. Mais… Depuis que les scientifiques de Geoweapons l'avait « modifiées »… Sharlie était devenue une véritable « sex-symbole » dans certains coins sombres de Tekhos sans compter les mœurs tekhanne lui facilitant grandement la taches ! Il suffit de voir comment notre belle colosse se fait accoster dans les boites de nuits et les bars pour comprendre la chose, un vrai aimant à nana en chaleur ! À peine fait elle un pas sur la piste de danse que des mains douces et délicates prennent un malin plaisir à lui palper les abdos, les fesses et, bien entendu, l'entre-cuisses. Et… Bien évidemment, durant ce genre de soirées, Sharlie fini toujours par ce vider allégrement les couilles dans une petites pute… Voir deux… Ou trois… Et pas forcement une par une.
Mais pour l'heure, notre Shasha était entrain de besogner sa Sénatrice, la seule, l'unique, Miss Moriarty en personne ! Et ça… Bas ça, Sharlie s'en fichait un peu car, quelque soit le rang d'une femme, tant qu'elle avait des trous à combler, notre colosse, elle, ça lui suffisait. Après tout, pourquoi faire compliquer ? Sharlie avait une bite et des couilles à vider, Jenny avait des orifices à remplir et une grosse envie de baiser et bien hop ! En deux trois coup de cuillère à pot, c'était fait ! Pas besoin de fleurs ou de chocolat et cela ce vérifiait encore plus au sein de la communauté tekhanne.
« Rrrrmmpfrrr… aaah ouaaai ! Hmmm putain ! »
Aaaah… Si la Sénatrice trouvait les lèvres de Sharlie délicieuse, notre belle futa, elle, n'en pensait pas moins ! Et puis… Ce délicieux parfums là, une bonne odeur de femme comme Sharlie les aimait ! La Futa huma donc sans retenue l'odeur délicate de sa partenaire en échangeant encore de long baiser avec Jenny puis… Une fois tout ceci fait, la grande futa fit longuement glisser ses lèvres sur la nuque chaude de son amante, avant de ce redresser, apposant dans la foulée une violente claque sur le cul de la Sénatrice, une claque bien sèche qui, en plus de résonner dans la vaste salle, fit une fois encore onduler la chair de sa partenaire.
« Hmmm… Je le vois bien que tu l'aime mon chibre.. Hmmmpffr… Ma belle petite salope… Haaa ! »
Notre colosse était à présent bien droite, fièrement positionnée derrière Jenny avec ses deux mains qui, fermement, tenait le bassin de la Sénatrice. Et, sans relâche, la valse des coup de reins s’enchaîna, profondément, fermement et ce dans une symphonie de râles, de soupirs et de claquements sonore obscènes. C'était chaud, doux, suave et violent à la fois, Sharlie était littéralement en rûte ! Et sans désemplir, elle continuait de piloner le cul savoureux et rebondie de Jenny, enfouissant au plus profond de la femme son énorme vit veineux et rougissant sous l'effort.
Mais… Très vite, notre colosse vint à entrevoir de petite gouttes de mouilles sur le canapé de sa partenaire et, comme elle est taquine, notre futa vint à déplacer l'une de ses main vers l'intimité de la Sénatrice, dans le but de lui caresser la fleurs, caressant alors allégrement les lèvres intimes de sa partenaire, tout en continuant de la besogner, sa queue entrant et sortant quasiment entièrement du cul de Jenny.
« Hmmpfffr… Je… Aaaah… Je croit que je vais pas tarder à lancer la purée ma belle ! Hmm ! »
Une manière plus « poétique » de dire que, Sharlie allez bientôt jouir… Mais que Jenny ce rassure, Notre Futa pouvait encore la satisfaire ! Et cet ainsi que, sans vraiment prévenir sa partenaire, notre futa accéléra la cadence en tenant toujours le bassin de la Sénatrice d'une main tout en la doigtant de l'autre, enfouissant ses doigts bien profond en elle.
« Hmmmm… Mais ra-rassure toi, quand j'aurais pissée tout mon foutre das ton jolie cul… Aaaah !
« Je m'occuperais de ta petite chatte de pute, ahah ! »
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Encore ! Encore en voulait ! Jenny perdait petit à petit la raison à force de se faire sodomisée de la sorte. Que c’était jouissif de sentir une telle lance venir la pourfendre de l’intérieur ! Jamais, de toute sa vie, Jenny n’avait vu une verge aussi lourde, aussi massive et aussi puissante que celle que Sharlie. Quelle femme ! Quelle énergie ! Comment ne pas se retrouver dans tous ses états face à un tel traitement. La pauvre femme se retrouvait être le petit jouet de la colosse, qui lui pilonnait sans relâche le fondement, enfonçant toujours hargneusement sa trique monstrueuse en elle. Les yeux de Jenny se révulsèrent alors que des minces filets de bave coulaient de ses lèvres. Elle n’était plus maitresse de rien ! Elle subissait, et elle subissait encore, encore et encore cette lourde mais ô combien jouissive sodomie que lui offrait Sharlie.
« HAAAAAN ! HANNNNNNN OUIIIIIIIIIIIII !!! HAAAAAAAAAANNNNNNNNNNN !!! !!! !!! » Hurla-t-elle alors, ne parvenant plus à retenir ses cris de douleurs et de plaisir, même si elle devait surement percer les tympans de son amante. Mais ça, elle n’y pouvait rien. Quand le plaisir explosait en elle, il ne le faisait pas à moitié ! Et là, Sharlie lui avait mis le feu aux fesses. Pour une grande sodomite comme elle, avoir un orgasme par ce canal était non seulement possible, mais ils constituaient les plus forts et intenses orgasmes. Ses doigts griffèrent le canapé jusqu’à racler la couche supérieure, et son corps, continuait inlassablement à se balancer sèchement en avant et en arrière, se faisant complètement ballotter par les puissants et impitoyables coups de rein de Sharlie.
La sodomie se poursuivit, jusqu’à ce que Sharlie, non contente de rendre ivre folle la Grande Sénatrice, décida d’enfoncer le clou en se mettant à la doigter. C’était qu’elle voulait pousser Jenny à l’orgasme, à ce stade-là. Elle ne cherchait visiblement plus à simplement la besogner ; elle cherchait à la faire hurler, la faire crier tout son plaisir et son extase, en lui arrachant le moindre râle, le moindre soupir, tout en la stimulant autant qu’elle le pouvait. Jenny cru devenir folle en sentant les doigts taquins de son amante venir taquiner sa féminité, et elle en serra fortement les dents. « HNNNNNNNNIIIIIAAAAAAAA ! HAWWWW SH-SHHHHHHARLLLIIIEEEEE !!! » Continua-t-elle à crier, se courbant de force face aux puissantes sensations qu’elle ressentait. Se faire sodomiser, très, très, très lourdement en plus de se faire doigter … C’était très conséquent comme traitement.
Sa mouille inonda les doigts de la puissante Futa’, se mettant à couler plus abondamment qu’auparavant. Il en coula sur ses doigts et le long de ses propres cuisses, venant tâcher généreusement le canapé. Puis, la femme lui dardant les fesses finit par déclarer qu’elle n’allait pas tarder à relâcher la pression, et elle se mit dès lors à empoigner encore plus fermement les belles hanches de la Sénatrice, tout en accélérant le rythme. Les fesses de Jenny tremblèrent sans cesse, ondulant délicieusement à chaque coup de trique que lui mettait Sharlie. Ses doigts se mirent à sérieusement jouer de sa féminité, s’enfoncer sans gêne et honte en elle, au plus profond de son intimité. « HAAAAAAAA ! » Couina Jenny, sentant tous ses muscles se crisper face à un tel traitement. Elle aussi n’allait pas tarder à s’abandonner complètement !
Les minutes s’écoulèrent à nouveau, et l’avertissement de Sharlie finit par arriver. Elle porta Jenny jusqu’au bord du gouffre, et elle l’acheva en balançant sa chaude crème en elle, lui bourrant complètement les entrailles. Jenny cru s’évanouir tellement son orgasme la foudroya de plein fouet, déchirant sa voix dans tous les sens alors que sa mouille explosa entre ses cuisses, aspergant généreusement les doigts et la main de Sharlie. Son fondement se contracta d’un seul, écrabouillant sans prévenir la verge de son amante qui cracha une puissante et démentielle salve de foutre en elle. La salve fut si conséquente qu’elle déforma quelque peu le ventre de la Grande Sénatrice, le rendant un peu plus rond que d’habitude.
Puis, la foudre finit par s’arrêter d’elle-même. Jenny se sentait pleine à craquer, ressentant cette délicieuse et chaude crème remuer en elle tellement il y en avait. Quand Sharlie retira sa trique, un filet de foutre s’échappa de sa petite rondelle qui était toute éprouvée, face à ce que venait de lui mettre la Futa’. Jenny reprenait lourdement son souffle ; son visage était tout rouge, et ses cheveux complètement en bataille, après un tel rodéo. « Haaaa … Ahhhh … Bon sang, on m-m’avait pas mis une telle r-rouste depuis bien longtemps … C’est de ça dont j’avais besoin … » Déclara-t-elle, le souffle lourd et la voix haletante.
Ce que venait de lui mettre Sharlie était énorme ! Il n’y avait que Hegeria qui, à ce jour, était arrivée à la mettre dans un tel état. La grande et majestueuse Futa’ qu’était ce colosse n’avait donc rien à envier. Merci à ce gros et puissant bras qui pendait entre ses cuisses. Jenny reprit donc un peu son souffle, puis finit par se redresser, finissant debout devant son amante. « Oh oui, tu vas encore me baiser … Encore, et encore … Jusqu’à ce que ça soit moi qui soit rassasiée … Mais, j’ai fort bien besoin d’une douche, cela dit … » Déclara-t-elle, passant doucement sa main sur les beaux abdominaux saillants de son amante. Elle lui offrit un regard des plus sulfureux et ardent, puis s’écarta d’elle, en lui effleurant la main, comme pour l’inciter à la suivre.
En vérité, Jenny ne plaisantait pas en disant qu’elle avait besoin d’une bonne douche. Mais, elle ne comptait pas la prendre seule … Ce qui était logique. Ainsi donc, elle emmena Sharlie dans sa luxueuse et grande salle de bain (http://www.digsdigs.com/photos/modern-big-bathroom-inspiration-2.jpg), et en quelques gestes, retira tout son attirail. Nue comme un ver, elle était toute offerte à son amante. Elle lui jeta un dernier regard sulfureux, puis ouvrit la grande cabine au fond de la pièce, toujours dans sa plus simple nudité. « Retires-moi tous ces vêtements crasseux et viens un peu par ici … Toi et moi, on a besoin d’une bonne douche … » Lui dit-elle sur un ton des plus provocateurs, lui laissant clairement sous-entendre qu’elles allaient encore se faire l’amour, mais sous l’eau chaude cette fois-ci. Tout ceci, pendant que ses petites fesses ne cessaient de laisser couler tout le stock de foutre qu’elle avait dans les intestins …
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Péter des culs, c'était clairement l'un des gros kiffs de Sharlie. Une cul était certes plus étroit et plus dur à pénétrer (surtout pour Shasha) mais le plaisir une fois à l’intérieur n'en était que plus grand !
Et… Le fait de sentir sa partenaire aimer ça en hurlant de plaisir ne fit qu'encourager plus encore notre colosse qui, bien évidement, était sur le point de cracher son jus et… Assez vite, la futa vint à honorer le cul de son amante, donnant alors deux à trois puissants coup de bassin finaux, avant d'enfouir l'entièreté de sa bite veineuse dans le cul de Jenny en poussant un puissant râle, râle qui fut immédiatement suivie d'une longue et copieuse éjaculation. « HAAAAAAAA… Hmmmm putain OUI ! » Ponctuât elle alors d'une violente claque apposée sur le cul de la Sénatrice, Sénatrice qui, à son tour ce mit à jouir sur les doigts de la colosse. Sharlie juta par la suite son foutre merveilleux dans les entrailles de sa compagne puis, après s'être bien vidée en elle, la futa s'arracha enfin du cul de la femme, laissant alors un long fil de sperme dégueuler sur le canapé de la belle tekhanne. Les deux femmes avait bien baisées… Diantre que cette sodomie avait était puissante ! Sharlie, bien que très endurante n'en était pas moins légèrement essoufflée, sa poitrine s'abaissant et se soulevant au rythme de sa lourde respiration. Elle était en sueur notre Shasha, sueur qui rendit alors ses beau abdos luisant et son débardeur blancs légèrement humide, montrant alors par transparence ses beaux mamelons.
« Haaa… On peut dire que t'es une belle gourmande toi… Hmmm... » Et hop, sur ces belles paroles, Sharlie ce mit à sucer ses doigts couverts de mouille, avant de voir venir à elle son amante qui, délicatement, ce remit à lui palper ses abdos luisant et saillants. Sharlie en profita pour voler un petit baiser à Jenny avant de la suivre vers une luxueuse salle de bain. En voyant la pièce, Sharlie émit un petit « wow... » puis, très vite, son regard revint à ce poser sur les formes de son amantes qui, lascivement ce mit à nue devant elle lui jetant par la suite un regard chaud et sulfureux.
« Retires-moi tous ces vêtements crasseux et viens un peu par ici … Toi et moi, on a besoin d’une bonne douche … »
Sharlie fronçât légèrement les sourcils avant de ce sentir… Puis, constatant qu'elle commençait à sentir un peu fort, La futa acquiesçât d'un hochement de tête, enlevant alors sa cote de travail et sa brassière assez rapidement, exhibant alors son corps finement taillé, un beau corps qui visiblement plaisait beaucoup à son amante.
« Allez… Je vais faire un petit effort pour toi darling... »
Sur ce, la futa rejoignit alors la Sénatrice dans la cabine, coinçant cette dernière dans la douche qui, fort heureusement pour Shasha, était assez spacieuse pour elle. Une fois face à Jenny, notre grande futa vint à s'approcher encore plus prêt d'elle, coinçant sa belle « patronne » contre le mur, leur deux corps ce retrouvant alors très prêt l'un de l'autre. Là, Sharlie regarda longuement son amante dans les yeux avant de l'embrasser langoureusement en posant ses deux avant bras contre le mur en céramique. Ainsi positionnée, Sharlie dominait de tout son corps Jenny et, cette proximité eu pour effet de lentement relancer la trique de notre futa, une trique qui lentement ce mit à croitre, caressant alors la peau douce de la Sénatrice.
« Aller ma belle… Nettoie donc ta grande futa-de-main… éhéh… »
Sur ces ultimes paroles, Sharlie revint à embrasser Jenny sur la bouche, volant à cette dernière plusieurs petit baiser tout en ce collant bien à elle, son corps finement musculeux et chaud frottant ainsi contre la peau douce de son amante. D'un main et en ne quittant pas la sénatrice du regard, Sharlie vint à enclencher l'eau chaude, avant de faire glisser ladite main vers l'anus de la femme, récupérant alors un peu de sperme, sperme qu'elle porta ensuite à la bouche de son amante en ne la quittant pas du regard un seul instant.
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Sharlie avait décidément tout pour plaire à Jenny. Forte et belle, entreprenante et terriblement efficace … Il ne lui restait plus qu’à voir ses compétences sur le terrain, et elle serait définitivement conquise par la belle Futa’. GWC avait fait de l’excellent boulot, avec cette femme. Jenny ignorait certes tout de son histoire, et de comment elle était parvenue à s’extirper des griffes de la mégacorporation, mais en tout cas, cette femme était exceptionnelle. La Grande Sénatrice fut donc réjouie de la voir se déshabiller à son tour, et se mordilla furieusement la lèvre en voyant son beau corps bien musclé, et féminin, se révéler à elle. Non seulement Sharlie était une femme bien bâtie, mais elle parvenait à conserver une belle part de féminité, notamment dans des courbes suaves et solides, dont elle avait furieusement envie de venir gouter.
Ainsi donc, Sharlie se déshabilla puis rejoignit Jenny dans la cabine, celle-ci étant assez large pour contenir les deux femmes avec aise. La porte se referma puis … La fougueuse Futa’ plaqua la Grande Sénatrice contre le mur, la faisant donc faire face à elle. Jenny ne pouvait que difficilement lui résister, tant son charme et son corps étaient si parfaits. La propriétaire des lieux se laissa embrasser avec désir, autant qu’elle se laissa dominer par la carrure impressionnante de son amante. Elle la surplombait, la dominait de partout, la coinçant contre le mur pour venir furieusement l’embrasser. Jenny savoura autant ce délicieux contact que le contact de son corps face au sien. « Hmmm … » Gémit Jenny face à ce délicieux et hargneux baiser que lui offrait sa terrible amante.
La Sénatrice porta une main sur ses merveilleux abdominaux, qu’elle caressa avec envie. L’eau chaude se mit à couler sur toutes les deux, les trempant de la tête aux pieds. Ses beaux muscles reluisaient sous cet effet, donnant encore plus envie à Jenny de les toucher, de les palper et peut-être même, d’y gouter. Seulement voilà, l’appétit de Sharlie remontait vite. Alors que les deux femmes s’embrassaient voracement sous l’eau, leurs langues jouant furieusement entre elle, la colosse glissa sa main un peu plus en bas et parvint à arracher un petit hoquet à Jenny, quand celle-ci sentit les doigts de sa belle amante venir dans son fondement. Elle y récupéra un peu de sa semence, puis vint déplacer ses doigts à niveau de sa bouche, venant lui faire gouter. Et, face à cela, Jenny succombait. Le gout de son foutre était certes un peu fort, mais elle ne savait pour quelle raison, elle en raffolait d’ores et déjà.
« Hmmm oui, ma Futa’ … » Répliqua Jenny en suçant allègrement les doigts de son amante, jusqu’à racler la dernier goutte de sperme. Puis, son regard se leva, croisant le sien, trahissant de ses envies perverses. L’eau chaude continuait à les rincer, mais … Ce ne pouvait pas être une vraie douche sans savon ! Sinon cela ne rimait à rien. Ainsi, Jenny s’en mit un peu dans la paume de sa main, puis avec un petit sourire vicieux, vint en étaler sur le beau corps musclé de son amante. Avec des gestes très sensuels, parfois même provocateurs, elle tartina sa poitrine saillante, puis ses abdominaux, en passant par ses bras pour enfin finir … Sur sa trique. « Surtout, laisses-toi faire ma belle … Je vais bien m’occuper de toi … » Lui confia-t-elle, reprenant un peu de savon entre ses mains. D’abord, Jenny se pencha puis ne put résister à l’envie de venir déposer férocement ses lèvres contre les muscles abdominaux de son amante.
Elle les embrassa tendrement, donnant de furieux coups de langues dessus pour ressentir le beau et dur relief. Ça, c’était de la femme bien bâtie ! Elle était taillée pour le travail demandé. À coup sûr qu’elle allait bien défoncer cette petite journaliste insolente. Rien que l’idée de la voir dans un piètre état réjouissait Jenny, qui ne doutait pas des capacités de Sharlie. Cependant, après avoir honoré comme il se devait ses belles tablettes, la Grande Sénatrice descendit un cran plus en bas. Cependant, ce fut ses mains qui descendirent par sa tête, se releva, à niveau de sa poitrine. Elle regarda une dernière fois Sharlie, puis se laissa porter par ses instincts, sûre d’elle, et du fait que son amante allait apprécier. D’une part, Jenny déposa une belle quantité de savon sur la juteuse trique de Sharlie. Puis, elle se mit à doucement la nettoyer, astiquant ce beau manche luisant et savonneux, désormais. Mais, à vrai dire, cela se transforma rapidement en une belle séance masturbation, puisque Jenny accéléra un peu le rythme, et profita de la merveilleuse sensation de glisse pour offrir à Sharlie de magnifiques sensations.
D’autre part, elle avança son visage, puis planta ses lèvres sur l’un de ses généreux sein. Jenny captura entre ses lèvres l’un de ses tétons pointant et durcit, et elle se mit à le taquiner dans tous les sens, avec sa petite langue. Elle suçait avec appétit et douceur ce beau sein, n’ayant aucune gêne et aucune retenue. Après tout, elle était la Sénatrice Suprême … Tout était censé lui appartenir. Mais ce n’était que la théorie, bien entendu. Jenny y alla si bien que ses mouvements donnaient l’image d’elle en train de la téter avec appétit et force, tandis que sa main libre, celle qui n’était pas en train d’astiquer le manche de la colosse, se mit à masser férocement ses belles fesses bien fermes et arrogantes. Ce cul lui plaisait si bien que Jenny, au milieu de son massage forcé, ne résista à l'envie de le claquer de toute ses forces, lui assénant une gifle qui claquer fortement l'air. Il n’y avait rien à dire ; Tout le corps de Sharlie était une œuvre d’art, et rien, strictement rien, n’était à jeter !
Jenny avait trouvé le moyen d’allier douche laborieuse, et plaisir !
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Sharlie voyait bien que son corps tout entier plaisait à Jenny et, au fond, c'était bien normal voir, plutot banal pour notre Futa'. Elle était bien bâtie, belle, parfaitement sculptée et, bien des fois, les amantes de notre chère Sharlie aime prendre le temps, après l'amour, de caresser les beaux abdos de notre Futa, Cette dernière devenant un peu leur grosse oursonne et ça, forcement, c'est pas Shasha qui allait s'en plaindre. Jenny ce mit donc ensuite à tendrement nettoyer le corps de notre belle Futa, en prenant un malin plaisir à bien lui palper ses muscles, les enduisant ainsi de savon. Et, pendant que Jenny lavait « sa futa' », cette dernière prit le temps de sentir le bon parfums de son amante… Hmmm… En la reniflant, Sharlie avait l’impression de sentir une ange… Ouai, elle portait sur elle l'odeur des ange cette Sénatrice et ça plaisait beaucoup à Sharlie.
« Hmmm... » Et hop… Voilà qu'une fois encore la belle verge de Sharlie allait être gatée car, après avoir délicatement lavée le corps de notre souillonne de 2m37 de haut, la belle Jenny vint à lui astiquer le mandrin d'un habile glissement de poignet, faisant bien sur soupirer Sharlie d'aise et de plaisir, son gros sexe pulsant alors joyeusement entre la main de son amante qui, comme pour enfoncer le clou, vint à prendre en bouche l'un des mamelons de la colosse, mamelons qu'elle suçât et avala goulûment en continuant de branler sa verge colossale.
Sharlie ce cambrât alors légèrement sous cette intense masturbation, frissonnant à chaque vas et viens de son amante sur son gland joufflu, amante qui vint même lui gifler le cul d'une petite claque bien sonore. Sharlie émit alors un petit rire amusé en ce laissant gentiment masturber par son amante puis, sentant l'excitation et le désir monter de plus en plus, notre Futa colla plus encore jenny, ses abdos touchant alors le corps de cette belle femme que Sharlie ne quittait pas du regard.
C'est qu'elle lui donnait une sacrée trique celle-là et, tout en l'observant, la colosse ce mordit les lèvres, avant que son souffle fort ne vienne percuter le visage de Jenny.
« Hmmm… J'ai envie de te baiser ma belle... » Lâcha t-elle alors en regardant toujours aussi intensément Jenny dans les yeux, approchant lentement son front de celui de son amante avant de finalement l'embrasser langoureusement en déplaçant lentement ses mains sur les hanches de la Sénatrice.
Et hop, d'un geste à la fois rapide et fort, la Futa attrapa Jenny par les cuisses, plaquant le dos de la femme bine contre le mur puis, ainsi positionnée, la colosse ce remit à embrasser son amante en faisant frotter la hampe de sa grosse verge sur les lèvres intimes de Jenny qui, à présent, ne touchant plus terre, uniquement maintenant en l'air par la force de son amante et par le maintiens que le mur lui offrait.
"Accroche toi mien au mur ma poule... Je voudrais pas te faire de bobos... éhéh."
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Ce qu’aimait beaucoup Jenny chez cette femme, c’était tout simplement qu’elle ne prenait pas de gants malgré son statut. Elle était, du moins le pensait-elle, elle-même. Sharlie était une femme certes abrupte et cru, mais qu’est-ce que cela plaisait à Jenny ! Voilà une femme qui en avait dans le ventre ! Une femme comme la Grande Sénatrice les aimait. Le genre de personne qui se faisait de plus en plus rare à Tekhos. Il n’était donc guère étonnant de voir Jenny prendre un certain soin avec elle, faisant attention à la satisfaire là où elle le désirait. Et encore, tout ceci n’était qu’un avant-gout ! Car le principal viendrait après sa mission. La maitresse des lieux ne faisait qu’offrir une petite avance sur son dû. Mais d’ores et déjà, elle prenait un plaisir fou à se faire prendre par cette femme. Et elle prenait encore plus de plaisir à lui rendre la pareille ; ce qu’elle matérialisa en venant suçant tendrement son beau et ferme mamelon, tout en continuant d’astiquer son vigoureux manche.
Elle voyait que son traitement faisait effet, et cela ne put que la faire sourire. Mais alors que sa langoureuse langue venait tendrement se repaitre de sa pointe rosée toute érigée, parcourant avec appétit son sein, Sharlie vint à se cambrer, se collant encore plus ainsi à son amante. Elle semblait avoir compris que Jenny avait un très nette faible pour son corps et sa belle musculature, et elle n’hésitait donc pas à le frotter contre elle. Toutefois, cela prit une autre dimension quand elle s’abaissa encore un peu, et offrit ses lèvres à la Sénatrice. Ça aussi, c’était quelque chose qu’elle adorait chez elle ; ses baisers. Elle, elle n’y allait pas par quatre chemin ! Elle fourrait délicieusement sa langue entre ses lèvres, venant complètement se régaler de celles de Jenny. Jenny qui au passage se régalait tout autant en embrassant voracement son amante, raclant ses belles lèvres et sa langue dans son entièreté.
« Hmmm … » Ronronna-t-elle face à cette étreinte vigoureuse que lui offrait sa terrible amante. Tout cela monta d’un cran quand elle lui déclara qu’elle avait encore envie de la baiser. Là, Jenny lui lança un regard des plus sulfureux et aguicheur, finissant par se laisser complètement faire quand la colosse la souleva et la plaqua bien fortement contre le mur. Jenny n’avait plus pied à terre, et reposait uniquement grâce à la force de sa terrible partenaire. Instinctivement, la femme vint enrouler sa paire de jambe autour de sa belle. Elle soupira de plaisir quand Sharlie vint voler de nouveau ses lèvres, et passa tout naturellement ses bras autour de sa nuque, afin d’avoir un appui solide. En plus de cela, elle sentait son énorme, sa gargantuesque trique taper contre sa féminité toute avide et qui n’attendait qu’une chose ; accueillir ce mandrin en elle.
« Haaa, grande fougueuse va … Tu vas me baiser, je veux sentir ta belle trique me défoncer le coquillage … Mais, tu vas continuer à m’embrasser, surtout. Je veux que nos lèvres se séparent le moins que possible … Est-ce comprit, chérie ? » Lui susurra-t-elle de sa voix solennelle et très, très sulfureuse. Elle se crispa contre elle, raffermissant ses prises pour venir encore plus frotter son intimité contre sa trique, l’écrasant contre elle. Puis, elle resta là, à dévorer Sharlie du regard en attendant qu’elle s’immisce en elle, et qu’elle vienne lui voler son souffle avec un baiser. Le moins que l’on pouvait dire, était que Jenny était rarement si enjouée de faire l’amour avec quelqu’un qu’elle connaissait à peine. Sharlie lui faisait un puissant effet, et la seule chose dont elle avait envie, c’est le lui faire encore et encore l’amour, pendant des heures, des jours si elles le pouvaient !
Elle désirait jouir et la faire jouir, et elle désirait aussi étancher sa soif en pompant encore et encore son délicieux nectar d’hermaphrodite. D’ailleurs, cela n’allait surtout pas manquer ; il ne fallait pas croire que Jenny en avait terminé avec cette verge. Verge qui finit par délicieusement lui rentrer dedans, écartant tendrement ses chairs internes, et lui arrachant un langoureux gémissement de pur plaisir et volupté. « Haaawww oui … Hmmm … » Gémit-elle, sentant sa belle partenaire enfoncer sa trique en elle …
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Haaa, grande fougueuse va … Tu vas me baiser, je veux sentir ta belle trique me défoncer le coquillage … Mais, tu vas continuer à m’embrasser, surtout. Je veux que nos lèvres se séparent le moins que possible … Est-ce comprit, chérie ? »
à ces mots, Sharlie ce mit à légèrement sourire, son regard de quittant pas celui de son amante d'une seule seconde. Notre Futa était littéralement en fusion ! Son souffle ce faisait fort, puissant et virile ! Sharlie était vraiment une femme extraordinaire dans les mœurs tekhanne, encore une fois, elle incarnait ce qui, sur terre, était l'idéale de « l'homme parfait » Une futa endurante, musculeuse et forte et il suffisait de voir l'effet qu'elle faisait à Jenny pour le comprendre.
« Hmmpffrr ! Ouai, je vais bien te baiser ! » Et hop, sur ce, Sharlie revint embrasser son amante sur la bouche tout en enfouissant lentement son énorme barreaux de chair en elle et ce jusqu'à mis-longueur. Ainsi, les deux femmes revinrent à à s'embrasser longuement, leurs langues jouant alors entre elles de la plus délicieuse des manière avant que Sharlie ne ce décide enfin à commencer sa valse rénal. Au début, le mouvement ce voulait long, langoureux et pas trop trop fort, afin de ne pas brusquer l'intimité de Jenny qui, malgré le fait que notre futa ne soit pas entièrement dedans, était déjà pleine, le gland de Sharlie venait alors à caresser le col utérin de la belle sénatrice.
«Hmmm… Aaaah oui ! Hmmm qu-que j'aime baiser de jolie demoiselle comme toi, haaaa »
ça c'était bien vrai ! Sharlie et le sexe c'était toute une histoire ! Ooooh, c'est vrai, la futa était un peu perverse mais… Qui à tekhos ne l'était pas ? Et puis, c'était aussi le but de sa création à la base, créer une futanari capable d'endurer de longues heures de sexe intense alors au fond, n'était-ce pas normal pour elle d'aimer à ce point ce vider les couille dans des petits lots comme jenny ?
Enfin, pour l'heure, la grande demoiselle s'affairait à besogner la sénatrice tekhan en prenant soin de lui offrir un coït des plus sulfureux, contractant chacun de ses beau muscle, tout en câlinant de bout de ses lèvres la bouche et le visage de Jenny, frottant ses joues contre les sienne, avant de revenir happer ces belles lèvres pulpeuses tout en continuant de la baiser de plus en plus vite.
« HmmMMgmmm Jenny.. Haaa… Dit moi que, quand viendra le moment, je pourrait remplir ton intimité de ma bonne semence… Haaa... »
AaaaH oui ! Car c'était important de demander ! Sharlie étant une futanari très fertile, il valait mieux pour elle de savoir si oui ou non elle pouvait le faire… Quoi que… Des fois (avec les putes surtout) Sharlie demande pas toujours et… Peut être qu'a leur qu'il est, des mini-Sharlie ce promène dans tekhos, qui sais.
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Ce n’était pas une simple supposition ; Sharlie était pour beaucoup de Tekhane. Quelle femme ne pourrait succomber à son charme. Sharlie était belle, musclée, forte, endurante, et très sensuelle. Extrêmement, sensuelle. Aux yeux de Jenny elle était une petite perle rare et comme toute les choses rares, ça devait se préserver. En d’autre terme ; Jenny lui avait mis le grappin dessus. Et telle une succube insatiable, elle se faisait à nouveau prendre méchamment contre le mur de sa douche, alors que l’eau chaude tombait toujours. Sa belle agente la souleva et la laboura avec toute la force qu’elle avait. Ses coups de triques faisaient perdre la tête à Jenny, qui se crispa complètement contre elle, gémissant encore et encore. Comme promit, Sharlie ne quitta guère ses lèvres et l’embrassa longuement, très longuement. « Hmm ! » Ronronna la Sénatrice, qui adorait le gout et le vanillé de ses lèvres.
Elle serra des dents ensuite, sentant le rythme s’accélérait. La lourde verge de Sharlie martelait sa féminité, poussant des puissantes vagues de plaisir partout dans le corps de la Grande sénatrice. « Ohh oui ! OUIII ! AHHH SH-SHARLIE !!! » Gémit-elle, renfonçant son emprise avec ses cuisses et ses bras. Qu’est-ce qu’elle s’y prenait bien ! Cette force, cette hargne, cette poigne … Sharlie était une virtuose du sexe. Une maestro qui menait la danse avec brio et talent, avec force et sueur. Son sexe était si gros et si juteux qu’il parvint à taper contre le fond de son intimité, lui arrachant alors de grands râles de plaisir. Elle voulait encore. Elle en voulait plus, toujours plus ! Jenny voulait se faire baiser encore et encore, jusqu’à ce qu’elle claque ou s’effondre. Et comme si son coït n’était pas suffisant, Sharlie acheva Jenny en venant chercher de la tendresse.
En effet, elle câlina son visage du bout de ses lèvres. Tantôt ses lèvres, tantôt par ses joues … Elle sentait la douce peau de Sharlie se frotter contre ses joues, les faisant encore plus rougir. Elle frottait ses joues contre les siennes, mordillaient son oreille, avant de revenir capturer ses lèvres. Cependant, ce que demanda alors Sharlie surprit un peu la Sénatrice. Mais, se faisait généreusement besogner, elle n’avait pas toute sa tête et … Donna alors une réponse un peu inconsidérée à Sharlie. « Tu rempliras tout mon corps de ta semence ... Haaa, mon intimité, mon c-ul, m-ma gorge … Tu me foutras enceinte de PARTOUT, ok ? » Lui répliqua alors Jenny, lui avouant à demi-mot que l’idée de faire des mini-Sharlie avec elle … N’était pas si mauvaise. Enfin, si jamais cela venait à arriver. Certes, Jenny était mariée et la logique voulait que si elle devait avoir un enfant, ça serait avec Hegeria mais … On était à Tekhos ! Combien de femmes puissantes et importantes faisaient des rejetons qu’elle lâchait ensuite dans la nature.
L’idée d’avoir un enfant issu de deux des meilleures femmes de la nation, plaisait quelque part à Jenny. Et aussi, la simple idée de se voir remplir à ras-bord par la délicieuse semence de Sharlie la faisait fondre de plaisir. Alors c’était un grand oui ! Sharlie pouvait y aller, à fond. Elle pouvait juter aussi généreusement qu’elle voulait, peu importe les conséquences. « Hnnn ! » Couina à nouveau Jenny, crispant ses doigts dans la nuque de sa terrible amante qui continuait inlassablement de la pilonner. L’orgasme n’allait pas tarder à pointer son nez, à ce rythme-là …
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« Hmmmpffrr ! Bordel ! Haaaa ! »
Sharlie tenait toujours aussi fermement Jenny par les hanches, bien décidée à lui bourrer la chatte comme il se devait ! La belle Sénatrice semblait vouloir se faire remplir et… Cela ne fit que accentuer la grosse trique veineuse de notre futa qui, front contre front se mit alors à baiser plus intensément encore l'intimité baveuse de Jenny, entrant son gros vit le plus loin possible en elle et ce, toute en poussant de grand rale entrecoupée de soupir. HMMMM ! Qu'est ce que c'était bon ! Notre Futa était vraiment tombée sur une sacrée demoiselle en venant ici ! « Haaaa…. RaaaaAaH OUI ! » S’exclamât alors Sharlie en levant légèrement la tête au plafond en fermant les yeux, profitant ainsi un maximum de l'étroitesse et de la doucereuse chaleur de l'intimité de Jenny. Le bassin de notre futa allait et venait de plus en plus rapidement en elle tendis que sa lourde paires de couille venaient claquer contre la peau de son amante tant la pénétration ce faisait intense.
Hmmmgmm ! Je… J-je crois que ça vient Jenny.. hmmmpffr !
Et hop ! Sur ce, Sharlie s'empressa de revenir prêt de son amante, son torse dégoulinant d'eau et de sueur dominante une fois encore la frêle carrure de Jenny, Jenny dont le regard croisa une fois encore les beaux yeux rouges de notre grande futa au muscle saillants et luisants sous la lumière et l'humidité ambiante. La colosse put alors embrasser sa nouvelle conquête avec passions et fougue, avant de faire descendre ses belles lèvres noires vers le cou et la gorge de Jenny, gorge sur laquelle elle posa par la suite un long suçon torride. « Hmmrrrrgrrrr ! Je… Raaah !!! » Et sur ce petit rale, Sharlie se mit à grogner de plus belle, en contractant son visage avant de donner trois à quatre coup de reins plus profond et lent que les autre, avant de finalement s'enfoncer une dernière fois dans l'intimité de Jenny en poussant un ultime râle de satisfaction et ce tout en levant la tête au ciel à nouveau, son vit palpitant alors en expulsant dans la cavité intime de la Sénatrice de longues razades de foutre épais et brûlant, foutre qui fini par déborder et exploser à l’extérieur de Jenny, s'écrasant alors sur le sol, avant que Sharlie ne vienne embrasser une ultime fois Jenny sur la bouche, pour ensuite retirer sa verge qui crachat un a deux dernière fois son foutre avant de lentement se remettre au repos.
« Hmmm.. Jenny... » Ronronna alors Sharlie d'une voix légèrement éreintée en collant son front contre celui de son amante, amante qu'elle embrassa par la suite sur le front en guise de petit geste tendre après cet acte fougueux !
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En toute honnêteté, jamais Jenny n’avait connu une pareille amante. Le fait qu’elle soit si puissante, si forte physiquement s’expliquait par son parcours et son histoire. Elle était une expérience de GWC, à la base, donc il était normal de voir le résultat. Une Sharlie des plus endurantes au lit. Elle était si forte, si belle, si … Jenny n’en avait plus les mots. Elle se contentait alors de se laisser baiser dans tous les sens par cette femme unique, qui ne la ménageait guère. Chaque coup de trique qu’elle lui mettait provoquait en elle un mini-orgasme, c’était dire ! A ce rythme-là, Jenny n’allait plus tenir très longtemps et elle sentait l’orgasme pointer son nez. Et qu’est-ce qu’il allait être intense, celui-là ! D’ores et déjà elle se crispa toute contre sa solide amante, dont elle griffa généreusement le dos à mesure qu’elle s’enfonçait en elle, encore et encore.
Ses couilles claquaient contre telle, donnant un petit plus savoureux. Jenny couinait et gémissait dans tous les sens, sentant que Sharlie était elle aussi sur le point de jouir. Elle le lui confirma juste après, laissant alors Jenny rêveuse mais aussi … Appréhendant. Bien qu’elle ne le montra pas, son esprit eut le temps de redevenir rationnel le temps d’un instant, et l’alerta qu’il y avait un risque … Un très gros risque, si Sharlie jouissait normalement en elle. Allait-elle tomber enceinte ? Jenny savait que la semence des hermaphrodites n’était pas très fertile, voire stérile. Mais il existait des exceptions, et sachant que Sharlie était le fruit d’une expérience scientifique, il se pouvait que ceux-ci aient tout fait pour la rendre fertile. Jenny ne savait pas, et à vrai dire son esprit se brisa en mille morceaux quand Sharlie la fourra de toutes ses forces, au sens propre, avant de venir voracement l’embrasser. Oh oui, ses lèvres ! Ses lèvres bon sang ! De belles et généreuses lèvres noires, que Jenny captura avec tant de passion et hargne, partageant ce baiser avec entrain.
Jenny roula une belle pelle à son amante, allant même jusqu’à faire couler sa salive. Puis, toute mièvre par ce traitement unique, elle se laissa embrasser encore, jusqu’à ce que Sharlie ne descende sur son cou et s’acharne dessus, le couvrant de baisers et de terribles succions. Qu’est-ce qu’elle était endurante et vorace ! Jenny adorait ça. Cette femme venait de se catapulter dans le top 5 de ses amantes favorites, aux côtés de son épouse bien entendu, mais aussi de Miranda et Milwen, suivit de Tam. Sharlie finit par grogner une derrière fois puis donna trois ou quatre derniers coups de bassin, finissant par balancer des puissantes giclées de foutre en Jenny, qui fut toute aussi frappée par l’orgasme. Sa voix se déchira, elle hurla de plaisir et d’extase, tout en se faisant remplir généreusement. C’était que Sharlie n’y allait pas avec le dos de la cuillère en la matière ; elle jutait au moins un bon litre !
Toute crispée contre elle, Jenny et Sharlie furent donc toutes les deux frappées par la terrible tempête orgasmique, et jouirent à l’unisson. Quand elle passa, quand la tension retomba, elle laissa une Jenny essoufflée, qui reprenait respiration lourdement. Du sperme coulait encore de sa féminité, alors que Sharlie, en retirant sa queue, juta encore dessus. Elle l’embrassa à nouveau, et Jenny accepta avec grand plaisir. Sa langue se mêla avec la sienne avec plus de sensualité et de lenteur cette fois-ci, profitant du délice de ses lèvres et de sa langue. Sharlie avait bon gout, et Jenny voulait tout naturellement en profiter. C’était que sous ses airs de grandes brutes, elle était toute belle en fait. C’est vrai ; elle avait de magnifiques lèvres, un visage harmonieux, des cheveux sublimes … Sharlie était indéniablement une femme très belle. Non content d’être belle, elle était douée et très forte, sachant autant foutre des coups de burins à en briser les os, que savoir embrasser avec tendresse et délicatesse, comme elle le faisait là.
Jenny la regarda presque avec amour dans les yeux, surtout quand elle se mit à embrasser doucement son front. Ses joues rougirent face à ce geste délicat, puis Jenny répliqua avec un doux baiser sur sa joue. « Hmmm Sharlie … Jamais une femme ne m’avait prise comme ça. Merci beaucoup … » Lui dit alors la Sénatrice, l’embrassant à nouveau mais sur les lèvres. Un petit bisou, rien de plus, avant de lui offrir un beau sourire. Elle se redressa, se remettant debout sur ses pieds puis … Prit Sharlie dans ses bras, venant caler sa tête entre ses seins. Oui, Jenny, la Grande Sénatrice de Tekhos, était en train de faire un câlin à cette femme. L’eau continuait à couler, venant doucement détendre les muscles éprouvés des deux femmes. Toujours blottie contre elle, Jenny finit par lui déclarer quelque chose d’assez surprenant. « Tekhos est une société faisant très attention au bassin génétique de ses habitants. Toi Sharlie, tu es une femme comme on aimerait en voir plus souvent. Tu as d’excellentes caractéristiques … Et moi, il en va de soi que je suis toute aussi parfaite. » Lui dit-elle en premier lieu, avant de lever sa tête puis de sourire malicieusement. « Si jamais je tombe enceinte, je garderai l’enfant. Car il sera le fruit de deux des meilleures femmes de toute la nation … Un produit parfait, unique. » Lui déclara-t-elle alors, lui faisant comprendre purement et simplement que dans l’éventualité où elle a été fécondé, Sharlie deviendra maman au même titre que Jenny …
Elle lui sourit puis se hissa sur la pointe de ses pieds pour lui déposer un petit baiser sur la joue, à nouveau.
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« Hm ? Un… Bébé ? »
Oui… Sharlie avait bien entendue, Jenny venait de parler de bébé. Sur le coup, notre colossale demoiselle vint à légèrement froncer les sourcils… Avant de finalement ce mettre à sourire, visiblement amusée par cette phrase. Au fond, ça ne serait sûrement pas la première fois qu'elle mettrait une femme enceinte notre futa, bien au contraire. Et puis, tant qu'elle n'a pas à s'en occuper… Oui, Sharlie n'avait pas vraiment la fibre maternelle mais ce n'était pas un manque d'amour, hein, c'est juste que… Voilà, les gosses est Sharlie… C'est pas super compatible, ou du moins, la belle colosse n'est pas vraiment encline à s'occuper d'eux et… Au fond, c'est peut être mieux ainsi.
Toujours est il, amusée par cette remarque, Sharlie alla plaquer sa main contre le ventre de Jenny puis, lentement, elle alla une fois encore l'embrasser avec passion durant plusieurs longues secondes, entremêlant alors sa langue à celle de Jenny en poussant de profond soupirs. Puis… Le baiser vint une fois encore à se rompre, laissant Sharlie reculer légèrement sa tête en regardant son amante avec un regard fiévreux et séducteur.
« Bon aller… C'est pas que je m'ennuie avec toi boss… Mais j'aurais pas une journaliste à estropier, hm ? »
Là encore, la main de Sharlie vint à sèchement claquer le cul de la Sénatrice, avant que la colosse ne finisse par sortir de la douche, attrapant au passage une serviette pour se ressuyer le corps de partout, ébouriffant sa belle crinière argenté avant de faire glisser le morceau de tissu sur ses atouts et ses muscles saillant. Cet alors que notre futa vit son amante la regarder et, cette scène la fit alors sourire, la stoppant dans son geste.
« Hmpff… T'as encore envie d' « elle » hein… Vilaine pécheresse au gros cul <3 » Dit elle en regardant brièvement son mat pour le désigner.
« Mais vas falloir attendre mon retour… Le retour de l’héroïne qui casse des cul avec sa bite ! » Fini t-elle alors par dire avant de se mettre dos a Jenny en frotouillant la serviette de gauche à droite dans son dos, serviette qu'elle roula ensuite en boule et qu'elle envoya dans la corbeille à linge.
Sharlie… Elle avait beau être en présence d'une femme influente et raffinée… Elle n'en restait pas moins Sharlie, une belle Vagabonde un poil bourrue qui n'a pas sa langue dans sa poche mais qui au fond est une gentille bonne-vivante et qui plus que tout aime jouer les spéléo-logistes tekhannes, une femme aux joies simples et au résonnement tout aussi simple qui, bien qu'étant pas adaptée au hautes sphères de ce monde, arrivait quand même à s'y faire accepter.
Une fois toute sèche, la futa enfila ses précédent vêtements et, voyant jenny l'approcher, l'embrassa à nouveau sur la bouche, passant par la même occasion ses mains derrière ses hanches pour la faire venir plus prêt d'elle encore.
« Aller… Je vais faire vite… Trois châtaignes, deux coups de barre-à-mine pour les genoux, un petit coup de quéquette à la rigueur et un supplément patate dans la bouche pour les gardes et je reviens ! »
Tout un programme donc ! On peut dire que là Sharlie était remontée, elle avait pas foncièrement envie de casser la gueule à cette nana, d'ailleurs, elle ne la torturerais pas, elle se contenterais seulement de lui péter les jambes et… à la rigueur de glisser sa teub dans son cul, par acquis de conscience, mais c'était tout. Sharlie n'était pas une cruelle tortionnaire, on lui avait proposée ce boulot, de l'argent et cette jolie Sénatrice avait déjà grassement payée de sa personne pour que la futa soit bien motivée, il était donc normale pour la colosse d'aller faire cette basse besogne.
Le temps donc de taper une fois encore le cul de son amante en la regardant avec hardeur et hop, elle allait y allez.
« Hmmrrr… Je sent déjà mon mandrin se gorger de sang à l'idée de me taper cette pute et… De me farcir ma jolie patronne juste après.»
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Sharlie fut réellement une agréable surprise aux yeux de Jenny. Là où elle s’attendait à faire affaire à une brute épaisse où seul l’argent et le sexe régule sa vie et ses paroles, elle avait fait connaissance avec une femme très particulière. Bourrue certes, peu maniérée et adaptée pour le mode de vie de Jenny, mais terriblement attachante. Sharlie était le genre de femme irrésistible car elle était, au fond, gentille. Une femme sympathique qui lui avait fait l’amour de façon si forte et si intense, qu’elle en était encore toute émoustillée. S’embrassant donc une dernière fois toutes les deux, Jenny et Sharlie succombèrent à leurs lèvres et langues une ultime fois, avant que la délicieuse colosse ne sorte de la douche, toute propre et toute luisante. Ses merveilleux muscles tout luisants faisaient encore plus envies à notre Grande Sénatrice, qui la reluqua dans son dos, pendant qu’elle se séchait.
Jenny finit par sortir à son tour, et son regard finit par se poser sur le gros morceau de viande entre les cuisses de Sharlie. Oui, elle en avait encore envie … Si ça ne tenait qu’à elle, elle lui ferait encore et encore l’amour. Cela pouvait bien durer des heures ! Mais Sharlie avait dit quelque chose raisonnable ; elle avait une journaliste à s’occuper. Ainsi, la sénatrice approcha de sa colosse et passa sa main sur ses tablettes, caressant sa peau et ses muscles. La Futa’ attrapa Jenny par les hanches afin de la ramener vers elle, et lui offrit un énième baiser, qui fit rêver Jenny. Gouter à la langue de Sharlie était fantastique, et elle adorait d’ores et déjà chaque baiser partagé avec elle. Se délectant de ses lèvres, de sa langue et de sa salive, la femme finit par séparer les lèvres, et regarda ainsi Sharlie d’un regard fort bien désireux. Après que la colosse expliqua son programme, Jenny lui sourit.
« Je te réserve plein de choses, ma grande … Tu peux déjà être sûre que tu te serviras bien de ce cul que tu te plais tant à gifler. » Lui dit-elle avec un air coquin. « Je serai ton petit paquet cadeau à déballer … Mais, cette fois-ci, je déballerai aussi le miens. » Ajouta-t-elle, se pinçant les lèvres en passant sa main sur les abdominaux de Sharlie, jusqu’à ce qu’elle glisse ses mains vers les fesses fermes et tendres de sa comparse, les malaxant. « Ce petit cul me fait envie … » Dit-elle, donnant une petite tape dessus. Jenny lui sourit, puis finit par se hisser sur la pointe de ses pieds, venant déposer un grand et long baiser sur la joue de Sharlie, à la limite de ses lèvres. Jenny faisait exprès, car elle aimait de temps à autre faire ce genre de baiser, ailleurs que sur la bouche. « Aller, file ma grande ! » Dit-elle, lui faisant rapidement un dernier bisou sur les lèvres. Sharlie était donc libre de partir accomplir sa mission ! Pendant tout ce temps, Jenny allait sagement attendre, tout en vaquant à ses occupations, l’esprit plein de rêveries au sujet de cette femme …
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« Argh, P-PUTAIN !!! Arr … Arrêtez espèce de folle ! AU SECOURS !!! » Hurla alors Melany (https://www.artstation.com/artwork/ozJ8B), la journaliste tant méprisée de la sénatrice Moriarty. En sortant des bureaux de son journal, la jeune femme avait décidé de faire un petit détour pour passer chez une amie. Pour cela, allait avait dut emprunter un passage peu fréquenté, mais qui normalement n’en était pas moins sûr. Sauf ce jour-là, où la malchance lui tomba dessus de plein fouet. En effet, quelqu’un l’attendait là. Quelqu’un qui l’avait suivi, et qui avait décidé de passer à l’attaque. La jeune femme s’était faite agressée dans la règle de l’art, par une colosse qui était armée d’une cogneuse … Une barre-à-mine plus exactement.
La femme lui avait décoché des pruneaux pour la mettre à terre, puis l’avait achevé en s’attaquant à ses jambes, afin de l’immobiliser. Melany souffrait énormément, et sentant ses jambes fortes bien endoloris. A terre, complètement démunie, il ne lui restait plus que l’injure et l’intimidation. « Allez vous faire foutre sale pute ! J-JE VOUS PROMET QUE VOUS A-ALLEZ LE REGRETTER !!! » S’exclama-t-elle, avant de se recevoir une autre châtaigne dans les dents, l’envoyant au tapis, sur le ventre. Cela aurait pu s’en arrêter là … Si elle n’avait pas entendu un bruit de fermeture éclair juste après. Dans son esprit, la chose apparut évidente … « Non, non pitié ! Pas ça, je … J-Je vous en s-supplie ! » Dit-elle de manière saccadée, puisqu’elle saignait de la bouche.
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Il avait pas fallut beaucoup de temps à Sharlie pour tomber sur la petite journaliste, un charmant petit lot qui… Malheureusement aller passer un sale quart-d'heure. La jeune femme avait par ailleurs eu la mauvaise idée de passer par un coin sombre, offrant alors a notre futanari l'endroit parfait pour opérer. S'en suivit alors une série de coup de poing qui firent tomber la jeune femme au sol, jeune femme qui ne tarda pas à hurler de douleur quand notre futa vint à lui ruiner les genoux à coup de barre-à-mine. La journaliste était une sécrée peste et, même en ayant les genoux casser, elle continuait d'insulter notre colosse qui, elle, se contentait siplement de sourire d'un air pervers et carnassier.
« ouai ouai… cause toujours, vide-couille. »
Sur ce, la Futa, d'un air calme et tout à fait détendue, vint à s'approcher de la femme, l'achant alors sa barre-à-mine surle sol, avant de déboucler sa ceinture et de défaire sa braguette. Là… Sharlie aller devenir un poil moins gentille… Voir beaucoup car, quand on fait du tort à une personne qu'elle aime bien, il faut savoir que notre futa peut vite devenir sadique et salasse en matière de viole… Enfin, pas trop quand même. C'est donc une fois sa grosse poutre molle et ses couillle de sortit, que sharlie vint à attraper les cheveux de la femme d'un main, tout en tenant fermement sa queue monstrueuse par la base avec son autre main.
« Aller… pleure pas bichette… Regarde, Jenny à même prit soin de me la nettoyer avant que je vienne te faire comprendre à quel point titiller la Sénatrice est mal. Perso, ça n'aurait tenue qu'a moi, je l'aurais laissée bien crasseuse et puante ma bite, éhéh.. Mais rassure toi… J'ai un autre moyen de t'humilier avant la « correction »
Sur ce, Sharlie vint à frotter son gland et sa queue sur le visage humide de la journaliste, recouvrant son visage ici et là de pré-sperme avant d'enfouir le nez de la femme au niveau de ses grosse couilles chaudes et pleine de sueur. De son autre main, Sharlie déchira alors le haut de la femme pour laisser sortir ses seins à l'air puis… Elle revint à prendre sa bite en main pour la pointer sur la journaliste.
« Avec toute les cochonerie que ma petite Jenny en sucre m'a fait… Je doit bien t'avouer que je n'ais même pas eu le temps de me soulager… Du coup, j'imagine que ça te dérange pas d'être mon urinoir avant que je te baise, hm ? »
Et hop, sans préter attention aux complaintes de la femme, Sharlie vint à commencer son affaire, pissant un long jet d'urine sur le visage et le corps de la femme, éclaboussant les vétement de cette dernière en lachant un grand soupir de satisfaction.
« Aaaaaaaaah… ça soulage putain… Hmmm ! »
La colosse pencha alors sa tête ne arrière en se mettant légèrement sur la pointe des pieds, sa queue continuant de cracher un long jet d'urine sur la journaliste. Une fois cela fait, la futa revint alors a faire frotter sa queue veineuse sur la joue de la femme, avant d'enfouir son gland humide dans sa bouche.
« allez zouh… Nettoie moi ça qu'on puisse commencer les chose sérieuse, sale pute de journaliste. »
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Melany était une journaliste assez controversée. Elle était une femme qui typiquement gagnait son pain en se plaçant systématiquement dans l’opposition politique. Toujours critiquer le pouvoir en place, contre vent et marée pour canalise les détracteurs, surtout en temps de crise. Même si actuellement Tekhos n’était pas en situation de crise, voire même le gouvernement de Jenny Moriarty s’en sortait pas mal, il y avait toujours un problème. Actuellement, c’étaient les Formiens et la menace qu’ils pesaient. Melany étant une journaliste de l’opposition, prenait toujours un grand plaisir à écrire ses longs articles pour décrédibiliser la politique de la Grande Sénatrice en la matière, et comme toujours, il y avait un public.
Jenny en avait eu marre, et n’étant pas une enfant de chœur elle avait décidé d’agir. Envoyer quelqu’un pour tabasser cette journaliste semblait stupide car cela donnerait une arme à braquer contre soi aux yeux de la presse impliquée. Mais Jenny savait ce qu’elle faisait et avait un plan derrière tout ça. C’était pour cela qu’elle avait commis Sharlie de faire la partie cassage de gueule. Elle avait carte blanche. Melany en fit les frais, et quand elle fut en face de la colosse, elle n’avait alors que sa langue pour se défendre. Malgré les insultes et les injures, cela ne changea rien au fait que Sharlie avait envie de lui casser des choses, notamment son cul. A terre, les jambes endoloris, elle était à la merci de cette femme qui semblait avoir été envoyé par la Grande Sénatrice. (J’en étais sûre … Quelle pute cette sénatrice !) Pensa alors Melany, qui se jura de faire ressortir cela.
Mais en attendant, elle avait un mauvais quart d’heure à passer. La colosse embraya et Melany la sentit attraper son visage pour le frotter contre son énorme sexe. Melany savait qu’elle allait se faire violer et violenter, mais elle ne s’attendait pas à voir un tel monstre en matière d’engin. Etait-ce seulement humain ? Elle en écarquilla les yeux alors avant que Sharlie frotta son gland sur son visage en y déposant du pré-sperme. Elle grommela et grimaça, tentant de se défaire de l’emprise mais elle ne pouvait rien faire. Elle déchira son haut, laissant ainsi la journaliste buste nue, puis l’écarta de son sexe. La suite fut fortement déplaisante, puisque toujours impuissante face à ce monstre, elle se fit uriner dessus. « NON MAIS !!! » S’exclama alors la journaliste qui tenta de placer ses mains pour éviter la crasse, mais qui fut fatalement arrosée. Elle se fit une raison ; cette femme était bien trop forte pour elle, et si elle tentait de trop se débattre, elle allait sans doute ne jamais retrouver usage de ses jambes.
Non pas que Melany était défaitiste et acceptait son sort ; si elle avait l’usage de ses jambes, elle aurait profité de l’instant pour bastonner les burnes de la colosse afin de la mettre au tapis. Mais, faire ça sans avoir la possibilité de courir après, ça ne servait à rien. Elle décida alors de mettre en suspens sa raison et son esprit, afin de ne pas subir le choc émotionnel de ce viol. Ou tout du moins, de le subir le moins. En faisant cela, elle s’abandonna à un état primal, sauvage et dénué de toute dignité. Cela se remarqua quand la colosse, finissant de l’arroser, vint alors à fourrer sauvagement sa trique dans la bouche de la dame. Un regard extrêmement vicieux s’empara de ses yeux, et soudainement, elle agrippa fermement le mandrin de Sharlie de ses deux mains. « C’est la reine de toute les putes qui ose me traiter de pute ! Attends un peu, sale trainée … » Dit alors Melany, se mettant à pomper hargneusement le dard de Sharlie.
Contrairement ce que la femme aurait pu s’imaginer, la journaliste préféra s’abandonner complètement à son sort, mettant en suspens sa personne et sa dignité afin de subir le moins de pression. De ce fait, elle devint ce que Sharlie l’insulta ; une pute. La journaliste nettoya avec avidité le gland chaud de la grande dame, sa langue parcourant généreusement la belle cerise. Puis, elle se mit à la masturber de toute ses forces, en la prenant à deux mains par la base. Voyant la taille du monstre, son appétit explosa en elle et, férocement, elle goba le gros morceau de viande. « Hmmm ! » Grogna-t-elle vicieusement, alors qu’elle pompa avec énergie, allant et venant sur le sexe de Sharlie. Elle libéra ses mains en finissant par les plaquer sur son fessier solide, qu’elle pressa de toutes ses forces pour le malaxer et se défouler dessus avec ses doigts, tout en continuant de pomper … Bientôt, son menton finit par taper contre les lourdes et imposantes couilles de la colosse. Bourses que Melany, au cours d’une pause souffle, fourra son visage contre pour les lécher et les aspirer, toujours avec cette alarmante soif …
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Sharlie savais pertinement qu’elle aller ce vider les couilles en abusant de cette femme et ce, tout en lui ayant en plus peter les jzmbes. Mais… alors que la futa soupirait en sentant la chaude bouche de la journaliste lui ensserer la teub, voilà que la petite peste vint à choper la grosse saucisse de notre futa avant de titiller son gros gland joufflue et pulsant. Dans un premier temps, la colosse laissa faire la journaliste, journaliste qu’elle ne quitta pas des yeux, l’observant avec délice entrain de lui pomper son gros dard.
Mais voilà… quand la blondinette vint à venir renifler les grosse couilles de sa tortionaire, cette dernière refermit alors son emprise autour de la queue de cheval de la femme, forçant la pauvre demoiselle a rester ainsi tendis que sharlie, sourire au lèvres attrapa sa queue avec son autre mains afin de se branler au dessus du visage de la journaliste.
Hmmmpff… alors vide-quéquette… on montre sa vrai nature ?
Sharlie extirpa ensuite la tête de la journaliste de sa paire de couilles, afin de lui mettre dans la gueule deux ou trois grosse bifle bien sonore et dégoulinante de pré-sperme.
“ Ahahahah tient ! Coup’d’bite dans ta gueule ! Et hop ! Hmmmgff… ma bite dans ta bouche !”
Et hop… oui, ce fut sur cette assertions que Sharlie remit sa teub odorante dans la bouche de la blondinette et ce tout en lui tenant la tête à deux mains, faisant alors coullisser sa grosse bite dans tout les sens, son gland tapant contre une joue, pyis l’autre, puis elle fit plusieurs vas et viens dans sa gorge, gorge que la futa enserra lègérement avec sa main pour augmenter le plaisir.
“Raaaaaaaah ! même pas besoin de te demander de me sucer enfaite, contente toi juste d’ouvrir ta gueule de pute !”
Et cet ainsi que Sharlie ce fit du bien pendant de longue minutes, baisant violemment la gorge et la bouche de la femme dans un concert de gargarisme et de bruit de succions humide et salasse.
Puis… finallement, alors qu’elle sentait l’orgasme poindre, la futa vint à accélerer le mouvement en poussant de grand rale de plaisir qui allèrent crescendo avec les mouvement de la tête de la journaliste et du bassin de la colosse, colosse qyi, finallement, dans un rale virile et sonore, empala la tête de la blonde sur son pieux de chair veneux et épais, avant de pisser son foutre en elle en soupirant longuement, yeux clos et la tête légèrement en arrière.
“Hmmmmllm…. Tu entend la bonne cascade de jus d’bite qui te remplie ?”
Pendant plusieurs longues seconde, sharlie laissa la tête de la demoiselle contre son pubis, afain de bien ce vider les couille, avant d’enfin retirer sa grosse demi-molle gluante et baveuse de là, ne laissant comme seul lien entre la femme et sa bite un long filet de foutre qui fut rompie suite a une petite série de bifles humiliante.
“bon allez... je m’allume une clope… toi, nettoie moi la bite pui zouh… j’y vais. Mais avant…” dit elle en laissant sa grosse bite sur le visage de la femme qui, difficilement tentait de reprendre son souffle, son visage légèrement entourée par de vapeur due à l’effort et a la chaleur libérée.
Cet alors que Sharlie, qui avait prit le temps de recuperer le téléphone de la journaliste, téléphone qu’elle prit en main, avant de ce mettre a photographier la demoiselle avec sa bite sur la tronche… puis dans la bouche… puis entrain de ce faire bifler.
Finallement, Shasha vint à se rabiller puis, en rangeant le portables dans son froc, elle vint a dire.
“tu sais qui appeler si un jour tu tiens a regoutter a ma bonne grosse bite, ahah !”
Une fois cela dit, la futa s’en alla mains dans les poches, bien heureuse d’avoir fait son boulot.
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Le temps était passé, et normalement, Sharlie ne devrait pas tarder à revenir de sa petite mission. La femme avait passé un coup de fil rapide à la Grande Sénatrice pour lui faire état des choses, et le moins que l’on pouvait dire, était qu’elle était satisfaite. Il ne restait maintenant plus qu’à faire un debrief, et passer à sa récompense largement méritée. Pour l’occasion, elle avait décidé de frapper fort ... Pour on ne sait quelle raison. Disons que Sharlie avait assez bien marquer la Sénatrice – ce qui était un très bon signe quand on voyait sa froideur normale – et Jenny avait donc décidé de la récompenser à la hauteur de ses moyens. Elle allait y aller en douceur, progressivement, afin de laisser tout le temps à la colosse d’apprécier sa récompense. Elle avait senti que sa nature de vagabonde était très puissante et présente en elle, faisant qu’elle pouvait toujours refuser ce traitement.
Jenny regrettait ne pas pouvoir l’enrôler officiellement à son service, mais si à sa liberté elle tenait, alors soit. En attendant, la politicienne l’attendait, et fut très heureuse quand finalement, on lui annonça la venue de Sharlie. Cette fois-ci, le rendez-vous n’était pas donné dans son penthouse en ville, mais dans sa résidence à l’extérieure de la ville, celle où le calme régnait, celle qui était infiniment plus grande et luxueuse ... Ce qui était très prometteur en voyant le niveau déjà prodigieux du penthouse. Néanmoins, Sharlie était arrivée, et ce fut Jenny en personne qui décida de l’accueillir, quand on la conduisit dans l’immense salon. La Sénatrice annonçait les couleurs rien qu’à sa tenue, qui consistait en une très séduisante guêpière, suivit d’une paire de bas avec porte-jarretelles et talons-hauts. Tournée vers la grande baie vitrée menant à la véranda, Jenny se retourna, et fit un signe de la main pour qu’on la laisse seule avec Sharlie.
« Tu as fait du très bon boulot, Sharlie. Cette journaliste ne devrait plus trop faire parler d’elle pendant un bon moment ... Et ça, ça mérite récompense. » Dit-elle, avec un léger sourire. Elle s’avança vers la grande dame, ses hauts talons claquants au sol, avant qu’elle ne finisse par poser doucement une main sur ses beaux abdos. « Nous avons la soirée et la nuit rien qu’à nous. » Déclara-t-elle, caressant pendant un petit moment ses muscles si solides, avant de s’écarter. Elle soupira un peu, puis lança, de manière taquine, une petite phrase. « Quel dommage malgré tout que tu ne veuilles pas réellement travailler pour moi ... Ce genre de petit rendez-vous seraient bien plus fréquents. » Déclara-t-elle, d’une voix taquine. À présent, que faire ? Il était évident que Jenny et Sharlie allaient copieusement s’envoyer en l’air mais, la Sénatrice avait envie de jouer un peu.
« Tu as carte blanche ce soir ... Par quoi désires-tu commencer ? Si tu ne sais pas, je te proposerai bien de passer chez Kath, vu ton état. Bien que je t’apprécie même couverte de poussière et de suie, je pense qu’il serait préférable de t’avoir un minimum propre avant nos petites affaires. Kath prendra bien soin de toi, je te le promets. » Dit-elle, avec un sourire malicieux aux lèvres, comme si cela cachait quelque chose. La vérité était que, oui, il y avait quelque chose, que Sharlie ne découvrirait que si elle acceptait les soins de Kath, une spécialiste en matière de bien-être, au service exclusif de la Grande Sénatrice ...