Le Grand Jeu

Plan de Terra => Royaume Terranide => La capitale Zon'Da => Discussion démarrée par: Antares/Pleione Lilianstar le mercredi 18 novembre 2015, 19:12:19

Titre: A moi les beaux melons ! [Enjou Sakuya]
Posté par: Antares/Pleione Lilianstar le mercredi 18 novembre 2015, 19:12:19
En temps normal, moins il y a de personnes dans une maison, plus elle est silencieuse. Mais dans le manoir Lilianstar, l'amoindrissement des résidents ne signifiait pas toujours plus de calme. En tout cas, pas quand Pleione restait seule.

« Nyaaa. Je m'ennuie ! »

Quatre jours plus tôt, Edward et Jasmine étaient venus annoncer à leurs filles qu'elles allaient avoir droit à une session de formation spéciale afin de les préparer à prendre la succession de leurs parents dans les affaires familiales, un événement qui allait probablement arriver bien plus tôt que tout le monde ne semblait le penser. Cependant, pour les besoins de cette formation spéciale, les deux sœurs allaient devoir être séparées : Antares partit avec ses parents vers une destination inconnue, tandis que Pleione restait à la maison, confiée aux bons soins d'Effie, la gouvernante, et de tous les domestiques du manoir, qui avaient pour consigne claire de ne pas se laisser commander par la jeune neko, son père sachant très bien qu'elle pouvait être insupportable quand elle n'était pas surveillée. Et après moins d'une journée de séparation, seule dans sa chambre, la cadette Lilianstar chouinait comme une petite fille, et ses complaintes pouvaient s'entendre dans tout le manoir. La plupart des domestiques n'y prêtait guère attention, ce genre de lamentations étant monnaie courante pour eux, mais l'une des personnes ici présentes n'était pas aussi insensible. Et c'était justement le but recherché par la neko : amener cette personne jusqu'à elle.

Après quelques minutes de faux sanglots, Pleione vit enfin entrer celle qu'elle attendait : une nouvelle employée du manoir, prise à l'essai par Effie il y a peu, et qui était encore l'une des rares personnes de cette maison à vraiment s'inquiéter des jérémiades de la cadette Lilianstar. Mais contrairement à ce que la femme semblait croire, la jeune fille était loin d'être une gentille neko. Cette dernière, depuis la première fois qu'elle avait posée les yeux sur cette nouvelle résidente du manoir, ne cessait de se dire que, tôt ou tard, elle la mettrait dans son lit. Pourquoi ? Parce que cette femme avait de superbes seins, de la taille de deux melons cultivés avec des OGM. Et rien que pour ça, Pleione avait envie d'elle, de cette femme qui avait de plus beaux arguments que ceux d'Antares, qui représentaient pour elle un défi à relever. Ça n'avait rien d'amoureux, c'était juste un désir primaire et bestial, mais il était si fort que la cadette Lilianstar était prête à tout pour attirer l'attention de cette femme. Ainsi, depuis son arrivée, pas un jour ne se passait sans que l'humaine ne se fasse ''emprunter'' ses vêtements pendant qu'elle prenait son bain, l'obligeant à déambuler dans le manoir le corps juste couvert d'une serviette pour retrouver ses affaires, qu'elle ne se retrouve avec plus de travail parce que la demoiselle neko s'amusait à déranger un peu derrière elle, juste de quoi la faire plus se baisser pour pouvoir reluquer son fessier, ou qu'elle ne doive faire des allers-retours entre la chambre de la demoiselle et les autres pièces du manoir pour lui apporter tout un tas de choses, depuis un verre de lait de la cuisine jusqu'à une culotte propre de la buanderie. Une fois, la neko lui avait même demandé de l'aider à s'habiller, lui donnant l'occasion de voir son joli corps à moitié dénudé mais toujours couvert par sa lingerie. Et malgré les interventions répétées d'Effie, d'Antares et des parents Lilanstar pour tenter de rétablir l'ordre, la jeune terranide continuait encore et toujours de s'amuser avec cette femme.

Quand Pleione vit la nouvelle employée entrer et lui demander ce qui n'allait pas, elle lui répondit avec sa voix de neko plaintive.

« Nyuuu. Mes parents et ma grande sœur me manquent. »

Elle tendit ses bras en avant.

« J'ai besoin d'un câlin. »

Bien qu'hésitante au début, la femme se laissa convaincre et s'approcha de Pleione qui, une fois assez proche, attrapa sa poitrine entre ses doigts et cala sa tête contre ses énormes seins. Son visage tout gentil se changea en une expression maligne et perverse.

« Nyaaa. Rrrrr... »

La neko miaulait et ronronnait de joie, toute collée contre les impressionnants attributs de la belle.

« Nous les nekos, nous adorons les coussins. Mrrraaawww… Et les vôtres sont les plus moelleux. »

En terme de confort, ils dépassaient ceux d'Antares de très loin.

« Myaaa. Au fait, je viens de me rendre compte que je ne vous ai jamais demandé votre nom. »

Peloter d'abord, poser les questions ensuite…
Titre: Re : A moi les beaux melons ! [Enjou Sakuya]
Posté par: Enjou Sakuya le mercredi 08 juin 2016, 20:35:54
La prêtresse-purificatrice a du fuir son passé depuis assez bien longtemps, elle qui fut réputée pour ses victoires écrasante contre les montres du chaos de bas-niveau et de ses exploits chevaleresque, elle fut lamentablement battue par une créature des Enfers mais heureusement pour elle, elle eut le temps de psalmodier une incantation magique dans un parchemin runique qui avait pour but d'ouvrir un passage dimensionnel entre le monde des humains et celui du Néant (son usage est unique et il fallait l'utiliser qu'en situation d'urgence), une brèche s'ouvrit et elle en profita pour filer alors que le monstre qui l'avait prise d'assaut s'apprêtait a lui sa main griffue pour l'attraper mais elle fut plus rapide que lui et s'en tira sans trop de casse. Enjou avait atterrit dans un champs boisé, de l'herbe ras et grasse fraîchement tondue dont l'odeur en émana jusqu'à ses narines, elle s'approcha doucement et cru voir un grand manoir qui avait presque la forme d'un château, elle ne savait pas elle se trouvait mis a part que c'est bien dans le monde des humains dont elle fait partie mais à une époque différente (comme si elle avait un bond dans le temps d'environ cinq-cent ans dans le futur...) de la sienne ou elle vécut au temps du moyen-âge. La jeune femme put observer les personnes qui semblait étrangement occuper a leurs tâches ménagers et elle trouva que ces gens était bizarrement vêtu, les hommes en noir et blanc et les femmes en robes bleue et blanc, qu'est-ce que cela signifia ? Pourquoi les hommes et les femmes portaient-ils tous des tenues identique assortie a leur sexe ? La jeune femme n'en avait pas la moindre idée mais elle eut une idée et si ça se trouve ces gens moderne devait probablement travailler dans cet bâtisse et leur patron devait être un riche fortuné de société ou peu importe de quel milieux, il devait apparaître, Sakuya dissimula son arme blanche et ses parchemins sous terre et se présenta à un responsable extérieur qui la conduisit à une gouvernante assez stricte et après un rapide entretien (quelle réussit avec quelques bribes de mensonge monté de toute pièce), elle fut finalement engagé en tant que domestique au sein de la famille Lilianstar.

Les jours se succédèrent et Sakuya fut sacrément tourmentée par les caprices incessantes d'une des filles jumelles de la famille du nom de Pleione qui avait l'air d'une perverse dans le corps d'une petite fille et ne tint jamais en place, prenant parfois un malin plaisir a piquer ses tenues et sous-vêtement afin de l'obliger de sortir de la salle de bain sous une serviette (bien que la miss faisait du bonnet D, elle avait du mal a maintenir dissimuler les rebords de ses seins qui dépassait presque de la serviette) et surgir au moment inopportun pour faire mumuse avec son corps... Pourtant elle avait un bon nombre de ces "Maids" a son service mais bizarrement aucune d'eux ne semblait la calculer ou que tout simplement, qu'aucune d'elle ne paraissait attirante au regard de la terranyde, ce qui pourrait laisser penser que Pleione n'avait que de yeux pour la prêtresse-purificatrice ! Sakuya ne pouvait pas malheureusement lui en vouloir ni la rejeter car en la voyant, elle se souvint alors de sa jeune disciple Sayaka et cela lui remémora de triste souvenir étant donné qu'elle n'aurait sans doute plus la chance de la revoir maintenant qu'elle est piégé dans ce monde définitivement. Un jour la famille s'absenta et le personnel avait profiter de leur absence pour prendre librement congé et profiter de ce seul jour exceptionnelle pour souffler un peu et faire une pause dans cette journée, Sakuya avait elle aussi prévu de faire un tour dehors et de retourner dans les bois afin de voir si le passage était encore ouvert afin quelle puisse regagner son monde malgré tout le confort et la vie paisible quelle menait désormais dans sa nouvelle demeure. La jeune femme ôta son tablier et sa robe de service et le rangea dans son armoire, pfiouh ! Il était temps ! Elle avait du ml a se mouvoir parfois dans son uniforme quand elle devait se baisser ou s'accroupir dans son lieux de travail a cause de sa lourde poitrine qui limitait souvent ses mouvement et les gestes, elle rendossa son justaucorps d'un banc nacré couleur perle et ajusta ses paires de gants a manche longue en tirant jusque vers l'avant-bras enfila ses cuissardes blanche en cuir et se coiffa les cheveux.

Bon ! me voilà prête !   

Alors quelle se prépara a sortir en filant en toute discrétion, elle crut remarquer une présence quelle n'aurait pas souhaiter avoir (du moins pas aujourd'hui)... La jeune femme se devait de dissiper toute les songes de la petite Pleione avant quelle ne se mette a douter de ses réels intention, et fit mine de jouer le jeu de la personne qui s'inquiétait à son sujet, elle fit de son mieux pour faire durer la comédie.

Ne vous en faites pas pour eux, ils rentreront bientôt et je suis là pour veiller sur vous en attendant leur retour

Enjou se demanda comment elle pouvoir se libérer et voici comme par hasard que le sens contraire de sa réflexion apparut quand la gamine désira se faire câliner, facile a dire qu'a faire et combien un nombre incommensurable de fois, la Munen s'était faite avoir par celle-ci et ses bêtises, on tire une leçon de ses erreurs passés pour ne pas les reproduire au tour suivant et miss Enjou avait apprit avec le temps a les anticiper mais si ce n'était qu'une marque de tendresse a donner, pourquoi jouer les rabat-joies a vouloir refuser sa requête, bien qu'hésitante, elle soupira en venant dans sa direction en tendant les bras mais sans quelle ne puisse remarquer le visage malicieux de la fille et se fit prendre les seins par Pleione qui pétrissait presque les tétons quand elle réfugia son visage au centre de sa poitrine sur le justaucorps, Sakuya couina de surprise et devint rouge pivoine.

KKKYYYYAAAAAAAHHHHH... Maîtresse Pleione... C.. C'est embarrassant... Je vous en prie... Je suis Sakuya... Hannn..          

Malgré quelle se sentit terriblement gênée que sa maîtresse lui fasse subir sa scène habituelle et désirant éviter que ses collègues ne la voit dans une posture aussi délicate qu'outrageant, elle ne pu s’empêcher de la conduire dans sa chambre (vu qu'elle se trouvait de dos derrière sa salle commune justement), elle souleva sa maîtresse qui ne pesa pas si lourde que ça et du lutter pour ne pas défaillir sur chaque suçons reçut  de ses seins, elle bascula sur le lit en rabattant la couette sur elles de la main gauche, et a présent, elle fut prête a confier les plaisirs sensuelles de Pleione, le temps qu'elle échafaudait un autre plan pour sa prochaine tentative de fuite.
Titre: Re : A moi les beaux melons ! [Enjou Sakuya]
Posté par: Antares/Pleione Lilianstar le mardi 14 juin 2016, 22:46:09
Au milieu de ses couinements de plaisir, la maid avoua s'appeler Sakuya. Au moins, maintenant qu'elle savait sous quel nom la désigner, Pleione pourrait discuter plus facilement avec sa nouvelle poupée, car c'était ainsi qu'elle voyait maintenant cette jeune femme. Alors qu'elle pelotait ses gros seins, appuyait et suçait ses tétons tous durs et frottait son visage dans le creux entre les deux globes, elle sentit Sakuya la prendre dans ses bras pour la transporter. Mais où allait-elle ? Peu importe pour la neko, elle était trop contente de pouvoir enfin profiter de ces deux melons qui l'avaient fait rêver pendant des semaines sans qu'elle ne puisse jamais les atteindre. Finalement, elle se laissa transporter jusqu'à une chambre, probablement celle de la maid. Cette dernière s'allongea sur le lit, rabattit la couverture sur le corps de sa maîtresse, et renonça ensuite à essayer de fuir ou d'argumenter, elle se laissait volontiers câliner par Pleione. Cette dernière, en voyant comment la jeune femme avait changé d'attitude du tout au tout, commença à se poser des questions.

« Pourquoi est ce que, tout d'un coup, tu me laisses faire ce que je veux ? Il y a encore trente secondes, tu me demandais d'arrêter parce que tu te sentais gênée, et maintenant tu abandonnes ? Qu'est ce que ça caches ?
Tu veux me laisser faire pour ensuite aller raconter à mes parents ce que j'ai fait ? Ou tu veux juste profiter du corps d'une jeune fille ? »


Quelque soient ses raisons, de toute façon, elle n'obtiendrait jamais gain de cause contre Pleione : Edward et Jasmine ne pourraient jamais croire que leur fille chérie avait pu coucher avec une autre femme de son plein gré, leur première pensée serait plutôt que la maid a abusé d'elle. Et sans témoins pour démentir cette version, le jugement serait sans appel. La seule personne qui pourrait croire le témoignage de Sakuya serait Antares, mais elle ne dirait rien pour la soutenir de crainte de devoir trop en dire après. Et si elle voulait juste profiter du corps de sa jeune maîtresse, elle pouvait se tranquilliser tout de suite : la Lilianstar ne la câlinait que parce qu'elle en avait envie, et pourrait même aller plus loin si elle en avait l'occasion.

« Tu sais quoi ? Si tu peux me promettre que tu n'as pas d'idée derrière la tête ou que tu ne fais pas ça parce que tu te sens obligée, alors je continuerai à te câliner, et peut-être qu'il y aura un peu plus que ça. Sinon, dis le tout de suite et je te laisse partir. »

A quoi bon vouloir s'amuser entre filles si l'une des deux filles ne s'amuse pas ?
Titre: Re : A moi les beaux melons ! [Enjou Sakuya]
Posté par: Enjou Sakuya le dimanche 22 octobre 2017, 22:22:08
Logiquement quand des gosses de riches viennent tripatouiller les servantes et domestiques ou jeune femme en soubrette, c'est parfois qu'ils (ou elles) ne peuvent cesser de se rincer l’œil, ou de vouloir leur rendre la vie dure, ou sinon parce qu'elles ont envies de les tripoter après avoir remarquer une silhouette magnifique... Dans le cas de miss Enjou, il n'y avait pas d'exception. La Prêtresse-purificatrice resta inexpressif intérieurement mais afficha un regard emplie de gêne a l'extérieur du visage au fur et a mesure que Pléione lui parla. Sakuya n'avait pas d'arrière-pensés en tête, elle n'est arriver que pour faire son job et non pas de servir comme peluche a une fifille trop gâté comme celle-ci, elle n'avait guère le choix que de céder a ces gamineries agaçante. Puis si elle a choisi de ne pas lutter, c'est pour que cette fillette se dépêche de finir ce qu'elle souhaite et qu'elle l'a laisse tranquille plus tard pendant les autres corvées. Elle n'a aucunement l'idée de balancer quiconque car même si miss Enjou est adulte, ça ne veux pas dire qu'elle est idiote, rien ne garantira que les parents de cette chouette ne la croiront (sauf si il y a des caméras et même si les films peuvent être trafiquer pour couvrir une histoire, si une personne honnête peut sauvegarder en préservant la bande et ne la détruisant pas, elle pourra toujours constituer une preuve contre Pleione pour que sa punition soit exemplaire...). L'ancienne fugitive n'avait pas pour habitude de s’accommoder d'enfants... C'est juste que ce coup-là, elle avait baisser sa garde. En la regardant de plus près, sous la chaleur qui se forma sous la couette, elle pu admirer le mignon visage enfantin de la petiote, une vraie chatte qui ne donnerait qu'envie de la caresser.

Pas du tout maîtresse, j'ai souhaitée que votre affaire soit traitée en privés et dans cette pièce qui nous dissimule des regard et nous isole du bruit, vous ne risqueriez pas de vous faire remarquer... 

Sakuya put enfin comprendre pourquoi cette fille parut si vilaine dans ses actions, elle savait que la chétive Antarés est une fille sympathique et sage, voire docile alors que sa sœur a un caractère contraire a cette dernière ado. Serait-ce que parce que les parents et les proches se sont plus intéresser a la première-née de la famille parce qu'elle sublime alors que la seconde est loin de la perfection ou de la réussite ?.. Il lui sembla que la galibot ait traverser un dure moment de solitude durant ces dizaines d'années avant d'avoir atteint l'age de l'adolescente et en faisant doubler son immaturité face a l'autorité et en manquant sans cesse de respect a tout-va. Sakuya lui caressa les cheveux avant de glisser ses doigts gantés sur son oreille féline. Elle acquiesça d'un mouvement de tête en lui donnant son accord concernant la dernière partie de son texte. Sakuya n'est pas devenue obsédée ou perverse, elle avait juste décider de lui accorder un peu d'attention en lui donnant un peu d'amour. Ok, elle est un peu grande pour ça et ni petite comme à la maternelle mais comment faire autrement ? Il est difficile de savoir si Pleione est une membre absente ou "a part" de la famille et que ses parents se contentait juste de l'ignorer pour ne pas perdre de temps et riches comme ils sont, il n'ont aucun mal a trouver une nouvelle nounou qui s'occupe de cette fille et cela peut continuer a l'infini. Peut-être que les prédécesseuse  de miss Enjou n'avait pas ce qu'il fallait en eux ou que ces gens supportaient difficilement la présence de cette minable dans les pattes pendant le travail.

Bien sure Pléione, si mes seins te plaisent tellement, tu peux toujours rester sur moi et t'amuser avec...

Elle se rougit de honte pour ce qu'elle venait de dire, elle a non seulement tutoyer au lieu de la vouvoyer mais elle lui a donner la permission de faire mumuse avec sa poitrine. Encore une seconde de plus, elle aurait fait l'erreur a coup sure de porter la tête de la fille près de ses tétons et de lui donner du lait comme si elle tenait un bébé dans les mains (normalement au vu de la taille de ses mamelles, elle doit surement en produire). Elle baissa la tête de l'adolescente et colla sa bouche sur la sienne en l'embrassant langoureusement, elle ne savait pas si Pléione avait déjà coucher ou baiser, si elle est vierge ou non, si elle bisexuelle ou lesbienne... Sachant qu'elle ne lui répondra pas, elle prit les choses en main et défia ses droits pour aller savoir par elle-même de manière plus spontanée par contact buccale. De par la réaction de la propriétaire des lieux, elle saura si elle aime ou si elle va gesticuler de dégoût, après tout, ça ne coûte rien d'essayer !
Titre: Re : A moi les beaux melons ! [Enjou Sakuya]
Posté par: Antares/Pleione Lilianstar le samedi 28 octobre 2017, 23:36:12
Non seulement Sakuya donna son accord, mais en plus elle prit l’initiative et donna un baiser à Pleione. Cette dernière, surprise par ce retournement de situation mais néanmoins heureuse, se laissa faire docilement en ronronnant, jouant de sa langue pour montrer à la domestique qu’elle n’était pas une débutante malgré son jeune âge. La neko se sépara ensuite de ses lèvres en miaulant.

« Nyyyaaa… prépare toi Sakuya… maintenant je ne te lâche plus. »

Pleione colla sa bouche contre l’un des tétons de la belle femme tandis que son autre main venait presser et malaxer son sein libre. Son corps était une merveille anatomique, à commencer par son incroyable poitrine, avec laquelle la neko ne se privait pas de jouer allègrement. Sentir ces deux belles bosses de chair moelleuses chaudes contre sa peau la ravissait au plus haut point. Elle ne regrettait plus d’avoir été laissée de côté par ses parents et sa sœur maintenant qu’elle avait quelqu’un avec qui rester. D’autant plus que Sakuya était assez câline, elle lui caressait la tête tandis qu’elle sa faisait lécher et peloter.

« Mmrraaww… caresse moi plus… Sakuya… »

Pour l’encourager, Pleione intensifia ses caresses et ses léchouilles. Entendre son amante gémir et soupirer était vraiment génial. Elle joua avec sa poitrine pendant quelques minutes puis, craignant d’aller trop loin, elle s’interrompit pour lui poser quelques questions.

« Dis moi Sakuya… jusqu’où tu veux qu’on aille ? Tu veux juste que je joue avec ta poitrine ou… je peux aller plus loin ? Tu sais… tu es vraiment une belle femme… et je… j’ai envie de toi. »

Ça n’avait pas été facile à dire, après tout leur rapprochement physique ne datait que de quelques minutes, mais c’était bien la vérité. La neko avait envie de cette domestique, elle voulait lui faire délicieusement l’amour, que leurs corps se rencontrent dans un coït fiévreux et endiablé.

« Après, si tu ne veux pas, je comprendrais. Jouer avec ta poitrine, c’est déjà plus que ce que j’espérais. »

Le plus important pour Pleione, c’était que tout ce qu’elles fassent ensemble soit consenti, qu’elle ne sente pas obliger de lui obéir. La neko était peut-être agaçante, mais ce n’était pas un monstre pour autant.