Le Grand Jeu

Bac à sable => One Shot => Discussion démarrée par: Princesse Alice Korvander le mercredi 14 octobre 2015, 14:28:59

Titre: Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 14 octobre 2015, 14:28:59
Il y a plusieurs siècles, un cataclysme a dévasté le monde. Un cataclysme majeur qui a laissé le monde ravagé d’un bout à l’autre... Un virus mortel qui a décimé la population... Mais l’Humanité réussit à survivre au Grand Cataclysme. Elle se reconstruisit de manière sauvage, dans les ruines des anciennes villes. Les Anciens, pendant trop longtemps, avaient pillé les forces de la Nature, et la Nature avait fini par répondre. Le Grand Cataclysme n’était pas un vaste désert comme les Anciens auraient pu l’imaginer, mais une immense végétation. Après l’effondrement de la civilisation humaine, la Nature reprit ses droits, les herbes venant recouvrir le monde, la végétation poussant dans les anciennes rues.

Ce cataclysme fut une épidémie, une maladie qui provoqua la mort de plus de 99% de la population mondiale. Ainsi sur les 7 milliards d’individus qui composaient alors la planète avant le Grand Cataclysme, plusieurs siècles après, il n’en restait plus que quelques millions, qui, peu à peu, eurent pour problème principal la reproduction. La végétation avait amené une nourriture abondante, ramenant l’humanité à ce que les philosophes des temps anciens avaient appelé « état de nature ». Un état sauvage, constitué de multiples clans qui s’installèrent dans les anciennes villes, et qui, peu à peu, entreprirent de se reconstruire. Les femmes devinrent les esclaves des hommes, et les hommes, eux, continuaient à se déchirer pour des territoires. Les femmes n’étaient plus que les trous à baise des hommes, et parlaient entre elles d’anciennes légendes, d’anciennes figures héroïques qui avaient combattu le dogme des hommes. Les Amazones se révoltant contre la Grèce Antique, Jeanne d’Arc défiant les anciens Rois masculins... On retrouvait dans les ruines de l’ancien monde des documents, des livres, des vestiges, et l’Histoire était interprétée dans un nouveau sens.

Cette période, qui suivait la Grande Anarchie, fut appelée « La Guerre des Clans », une période où les clans de mâles se développaient, attaquant les autres clans, à la recherche d’une précieuse ressource : des femmes. En effet, faisant suite à l’épidémie qui avait ravagé la planète bleue il y a des éons, les taux de stérilité avaient explosé, et les femmes fécondes devenaient des denrées aussi précieuses que mille trésors.

Les femmes devinrent donc des esclaves, mais, peu à peu, prirent conscience qu’elles n’étaient pas le sexe faible, mais bien le sexe majeur... Car c’étaient elles qui portaient la vie. Les femmes enceintes n’hésitaient pas à menacer de se suicider devant les exactions qu’elles subissaient, et la révolte ourdit. N’étant pas des guerrières, elles étaient consignées à des tâches secondaires : l’éducation, l’apprentissage, la formation... Elles prirent donc connaissance des livres anciens, et, peu à peu, développèrent un savoir-faire important, en parvenant à percer de nouveau le secret de la poudre et des armes à feu. Toutes les armes à feu des anciens temps avaient rouillé depuis des décennies, et elles apprirent à les utiliser de nouveau, puis se retournèrent contre leurs despotes.

Les Guerres Claniques laissèrent donc place à ce que les Historiennes appelèrent « La Révolution Féminine », soit une série d’insurrections isolées qui furent portées par un plus grand élan, et par une révolutionnaire légendaire, Jeanne d’Arc. Les femmes se battirent contre les différents clans, profitant des dissensions entre eux pour s’unir. De nombreux hommes furent tués, massacrés, et réduits en esclavage, afin de déblayer les restes des anciennes villes et y construire un nouvel empire, au centre des terres connues.

L’Empire d’Imeriän fut fondé, un Empire militaro-religieux où la Reine était considérée comme une Déesse, et exerçait le pouvoir suivant une monarchie absolue renforcée par un important culte de la personnalité. Se revendiquant de la descendance de Jeanne d’Arc, les différentes Reines bénéficiaient de l’important soutien de la population, et entreprirent ainsi de reconstruire le monde. La Révolution donna donc lieu à une nouvelle ère historique : la « Reconstruction ».

Politiquement, l’Empire se trouvait au centre du Wasteland, un vaste endroit composé de clans hétéroclites, de bandits, et de zones abandonnées. Peu à peu, l’armée d’Imeriän entreprit de reconquérir le Wasteland, aboutissant à la situation actuelle : un Empire entouré par une série de royaumes peinant à s’entendre entre eux, certains étant clairement des royaumes sauvages, peuplés de tueurs cannibales. Il y eut de nombreux conflits (http://img110.xooimage.com/files/5/2/4/conflict-4d157de.jpg), qui se terminaient à chaque fois par la victoire d’Imeriän, et par de nombreux esclaves masculins dont le rôle était de fertiliser les femmes, et de vivre comme domestiques.

Économiquement, Imeriän connut une forte période de prospérité, et développa ainsi sa culture et sa religion. Une académie fut construite, ainsi qu’une cathédrale, destinée à y célébrer la Déesse-Reine. Le pouvoir est ainsi assuré par la Reine au sommet de la pyramide, et, en-dessous, par les Archivistes, terme générique désignant les fonctionnaires. Imeriän se caractérise ainsi par une forte administration, les fonctionnaires ayant de multiples pouvoirs. Tantôt érudites, tantôt magistrates, ou hautes-fonctionnaires, elles contrôlent tout, dans un État extrêmement centralisateur, militariste, et étatiste.

Chaque esclave capturé et émanant du Wasteland est vu comme un être impur, devant faire l’objet d’un rituel précis, la Purification (http://img110.xooimage.com/files/d/e/b/purification-4d15823.jpg). Pour le reste, les hommes n’ont aucun droit dans cette nouvelle société, où ils sont même, légalement, assimilés à des animaux de compagnie, et sont donc traités comme des esclaves (http://img110.xooimage.com/files/7/8/c/slaves-4d15837.jpg).

Aujourd’hui, l’Archiviste-Chef est une femme répondant au nom de Celes (http://img110.xooimage.com/files/3/7/c/celes-4d1583b.jpg), et qui appartient à la caste des Érudites.

Le pouvoir est détenu actuellement par Vénus (http://img110.xooimage.com/files/2/0/6/venus-4d15849.jpg), et la redoutable Armée Impériale est dirigée par sa grande sœur, la belle et terrible Mercure (http://img110.xooimage.com/files/2/2/3/mercure-4d1585d.jpg).

Et, aujourd’hui, Mercure vient de rentrer avec son armée suite à une longue et victorieuse campagne...




(http://img110.xooimage.com/files/c/b/0/royal-castle-4d1586a.jpg)
Château royal

Massif et immense, le Château royal d’Imeriän accueillait en ce moment plusieurs milliers de personnes dans sa cour centrale, le Patio Bellum. Une immense cour dressée au milieu des tours d’ivoire et des hauts murs formant de ce château une pièce impressionnante, qui dominait depuis ses hauteurs toute la capitale d’Imeriän. Depuis les clochers et les tours, on pouvait entendre les vivats de la foule, qui s’étaient regroupés en masse pour saluer le retour de l’Armée. Un magnifique défilé militaire avait été organisé, permettant aux femmes présentes de voir la glorieuse cavalerie imerianne, les nombreuses soldates dans leurs uniformes... Et, évidemment, au milieu du défilé, les innombrables esclaves que les femmes avaient récupéré, et qui avançaient nus, ou presque. On leur avait donné des sandales pour qu’ils n’abîment pas leurs pieds, mais, si quelques sangles étaient là, on pouvait voir la nudité de leurs corps, les barbes, les longs cheveux poisseux, les torses sales, leurs sexes qui pendaient mollement.

L’Armée avait répondu il y a quelques semaines à des insurrections sur certaines de ses colonies agricoles. Des peuplades de barbares étaient descendus pour attaquer les fermières, et les avaient capturés, massacrant les miliciennes sur place, et brûlant les cultures. Vénus, la noble Déesse, avait immédiatement ordonné à l’Armée de les poursuivre, de les massacrer, et de capturer l’un des fils du Roi. L’Armée avait réussi avec succès, et ramenait, parmi les nombreux prisonniers, un prisonnier de marque, le Prince Tibodor (http://img110.xooimage.com/files/a/2/4/prince-4d15894.jpg). Un jeune homme qui avait été rasé du torse, par les femmes, car il était impensable de le montrer en personne à la Déesse avec des poils sur le torse. On avait également rasé sa barbe, et, alors qu’il avançait parmi les autres prisonniers, tout le monde pouvait voir le regard de hargne sur son visage.

« Ces foutus sauvages...
 -  On devrait leur arracher les couilles !
 -  Louée soit la Reine ! Louée soit Mercure, notre Générale ! »

Vénus avait attendu ce moment avec impatience... Sa sœur devait régulièrement partir à l’étranger se battre contre toutes ces hordes de barbares, et son départ était toujours pour la Reine un déchirement.

Dans ses quartiers, la Reine attendait que l’armée soit prête avant de descendre.

Il y avait beaucoup de mâles à purifier aujourd’hui...
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le vendredi 16 octobre 2015, 14:55:56
Campagne difficile et longue fut-elle, rien ne pouvait égrainer la conviction et la force de cette femme, qui avait mené l’opération jusqu’au bout. Sa mission était capitale, tant pour elle que pour ses Femmes, qui avaient vaillamment combattue pendant tout le long. À l’origine de toute cette sordide affaire ? Une malheureuse insurrection contre les civils, situés dans les provinces et les situation agricoles. Une attaque en lâche, qui avait causé la mort de bien d’innocents, qu’elles étaient miliciennes ou civils. Un assaut qui avait été mené par des barbares venus d’outre-frontière, brûlant tout sur leur passage, massacrant et pillant sans vergogne. De quoi largement mettre fou de rage les plus hautes sphères, à un tel point que des décisions durent être prises. Parmi celles-ci, il avait été décidé de mener une contre-attaque, en guise de punition pour ces maudits barbares, et de vengeance pour le peuple d’Imeriän, qui ne désirait qu’une chose ; voir la tête de ces assassins pendre au bout d’une lance !

Cependant, la tache fut plus dure à accomplir qu’à être déclarée. Ce fut une vraie opération, une véritable campagne miliaire qui se prolongea sur des semaines entières. L’honneur devait être rétablis, et seule la justice allait parler. À n’importe quel prix. Ce fut pour cela que ce fut l’Armée Impériale qui fut employée à cet effet. Toute la mission fut dirigée, en majorité, par une seule personne, une seule femme qui était rongée par un feu incessant depuis ces terribles assauts sur ses congénères. La générale Mercure, qui était à la tête de cette armée. Une fidèle à la couronne, qui d’ailleurs était sans doute la plus fidèle des sujettes de la Reine. Ce n’était guère étonnant ; d’une part elle était profondément ancrée dans les préceptes de cette société féministe, d’autre part, sa loyauté envers la monarque Vénus s’expliquait en grande partie par le lien qu’elle entretenait avec elle. Ce n’était ni plus ni moins que sa petite sœur, et cela lui donnait une raison de plus de la servir avec toute la fierté qui était possible.

Ainsi donc, la campagne menée se termina en une victoire cuisante de l’empire d’Imerïan, aboutissant alors à un grand coup de filet. En effet, il ne s’agissait pas seulement de massacrer et tuer ces impies ; l’armée fit des prisonniers … Beaucoup de prisonniers. Et en guise de trophée, afin que cette campagne perdure comme un puissant symbole de la justice Imerïan, Mercure avait à capturer en sus un notable. Pas n’importe lequel ; le prince Tibodor en personne. Fils du roi de ces barbares, il avait été enchainé et trainer de force, le jour du retour triomphal de l’armée. Ce fut en ce jour, alors que la ville entière célébrait le retour des soldats, que tout se déroula. Un jour radieux, au beau milieu de l’immense cour du château, où des centaines de citoyennes s’étaient pressées pour accueillir celles qui les avaient vengés, et surtout, pour voir de leurs propres yeux ces infâmes barbares être trainés comme du simple bétail, enchainés et humilié dans ce qu’il avait de plus précieux … À leur sens de simple mâle décérébrés ; leur virilité.

Ce fut finalement aux portes du Château royale que la marche s’arrêta, guidée par la redoutable Mercure qui officiait en tête de file. La disposition des militaires était précise, et les esclaves étaient au centre, bien entourés. Il fallait attendre à que tout soit prêt, avant de pénétrer dans l’enceinte du château. Ce qui fut finalement le cas, quand les grandes portes massives s’ouvrirent, et permirent ainsi à la cavalerie d’entrer, scellant alors définitivement le destin des stupides barbares. Mercure sentait une pointe d’excitation monter en elle, comme à chaque fois qu’elle ramenait du butin avec elle, quel que soit sa forme. C’était une guerrière dans l’âme. Ramener autant d’esclaves, après ces terribles évènements, était des plus satisfaisant et réjouissant.

Mais en vérité, ce qui l’excitait et lui faisait le plus plaisir, était bien que son retour signifiait aussi son retour auprès de sa Reine, pour qui elle était prête à donner sa vie, et plus si cela était possible. Mercure était littéralement en état de vénération envers elle, et ceci n’était que plus renforcé quand elle se rappelait alors que Vénus était aussi sa petite sœur. Sa chère et aimée petite-sœur, qu’elle désirait revoir plus que tout au monde. Elle savait qu’elle allait grandement apprécier le cadeau qu’elle lui avait ramené, qui se constituait de toute cette horde d’esclave, et surtout, du prince Tibodor. Ainsi, quand la marche arriva au centre de la cour du château, la générale éleva la voix pour proclamer, officiellement, le retour des troupes à Imerïan, et le succès de la campagne. « Soyez fière de votre victoire, camarades ! Que ce jour reste gravé à tout jamais dans les pierres de l’histoire, comme le jour où l’on on a vu ce qu’il en coutait réellement de s’attaquer à ce qui était le plus cher aux yeux d’Imerïan. Son peuple, son sang, celui qui la fait vivre ! » Rajouta-t-elle, finissant alors sa tirade.

Il ne restait plus qu’à ce que la Reine les accueille …
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 28 octobre 2015, 16:56:25
À Imeriän, pouvoir séculier et pouvoir temporel se confondaient en ne faisant plus qu’un, et nul n’y voyait de problèmes. La Reine d’Imeriän, ou Impératrice, était considérée comme une personne supérieure aux autres, une véritable divinité, l’incarnation d’une puissance supérieure, une puissance qui avait mis l’espèce humaine à l’épreuve, et qui avait réussi à s’en sortir. Le parcours avait été long, mais, maintenant, l’Empire était fermement implanté. Vénus connaissait l’Histoire du royaume, la fondation progressive de cet Empire, au milieu de tribus barbares et hostiles. Peu à peu, elles avaient su s’imposer, et, depuis le balcon de sa chambre, Vénus observait la capitale. Une belle ville, majestueuse. Ce nouveau monde n’avait plus rien à voir avec l’ancien. Il fallait maintenant se déplacer loin pour y voir les ruines de l’ancien monde, ces arrogantes hautes tours qui étaient recouvertes par la végétation et hantées par les animaux, et par les tribus barbares.

Vénus pouvait entendre son peuple qui l’appelait, son armée qui chantait ses louanges et sa gloire. La campagne militaire avait été longue, mais elle avait été un franc succès. Vénus avait lu tous les rapports des soldats. Les uns après les autres, les camps ennemis étaient tombés, et Mercure avait même réussi à leur ramener un jeune Prince barbare. On l’avait rasé et épilé afin de lui donner une meilleure apparence, et il était enchaîné aux pieds de Mercure.

*Une bien belle prise...*

La Reine devait savoir se faire attendre, mais elle n’allait pas non plus faire souffrir son armée... Surtout Mercure. À la seule idée de la revoir, Vénus ressentait de curieux battements dans son cœur, des mouvements frénétiques qui la faisaient frissonner, et dont elle avait du mal à s’expliquer la provenance. Vénus enfila donc sa robe, son manteau, ainsi que sa couronne, et entreprit de descendre. Sa robe transparente ne cachait quasiment rien, permettant de voir sa généreuse poitrine. Imeriän était un royaume où les mœurs étaient assez généreuses. Si les codes moraux imposaient une limitation du sexe au nom du savoir-vivre et du vivre-ensemble, ces restrictions étaient très faibles, et ne s’appliquaient guère pour Vénus. Elle était une monarque absolue, qui avait droit de vie ou de mort, sans avoir à se justifier. Que quelqu’un la regarde de travers, et, d’un battement de cils, elle pouvait ordonner sa mise à mort immédiate. Les trois pouvoirs tournaient autour de sa personne, confirmant son influence redoutable.

Elle rejoignit ainsi la cour centrale, et vit toutes les soldates se mettre au garde-à-vous. Vénus esquissa un léger sourire, et alla s’asseoir sur son trône, croisant élégamment les jambes, dardant son regard de braise sur le public. Le Prince était au sol, et grogna en relevant la tête, la regardant rageusement, ce qui ne fit que la faire sourire.

*Toi... Je m’occuperais de toi en temps voulu.*

Vénus laissa les femmes la saluer, esquissant un léger sourire sur ses tendres lèvres, puis les humecta, et se mit à parler :

« Soldates... Je vous félicite pour votre exploit ! »

Il y eut un vivat, et elle le laissa passer, avant de reprendre :

« Aujourd’hui encore, la civilisation a franchi un nouveau pas face à la barbarie ! Bientôt, mes soldates, l’Anarchie ne sera plus qu’un souvenir lointain et sinistre d’un passé reculé et honni. Je vous félicite du plus profond de mon cœur ! »

Des vivats, encore. Vénus s’était redressée, et leva sa main gantée en signe d’apaisement.
 
« Inutile de me féliciter. C’est avant tout vous qui êtes à l’honneur, soldates. Vous, nos courageuses guerrières, vous qui avez défendu les nôtres ! Et surtout vous, Générale Mercure ! »

Les vivats se portèrent alors sur Mercure, les femmes scandant joyeusement et furieusement son nom. Vénus sourit légèrement devant elle, puis, après de nombreuses secondes, mit fin au brouhaha, et reprit :

« Quel est donc ce magnifique présent au regard hargneux que vous m’apportez, Générale Mercure ? »

Mercure n’était pas une femme à sous-estimer, car elle était clairement, au sein de l’Empire, la femme numéro 2, juste derrière Vénus. Fort heureusement, leur entente n’avait jamais été un problème.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le mercredi 04 novembre 2015, 15:06:26
Sans pouvoir se l’expliquer, bien qu’au fond elle connaissait la réponse, Mercure était toute excitée et chose à l’idée de retrouver sa place aux cotés de sa Reine. À Imeriän, Vénus était non seulement la maitresse absolue, ayant un droit de vie et de mort total, mais sa personne était aussi sacrée. En réalité, elle était presque perçue comme une figure à vénérer, une déesse en quelques sortes. Et bien que Mercure était sa grande sœur, celle-ci n’échappait pas à la règle et vouait un respect religieux envers Vénus, par-dessus tout autre type de sentiment. Ce n’était donc guère étonnant de la voir humble et si fière quand la Reine fit apparition, et qu’elle darda du regard toute l’assemblée. Les soldates l’acclamaient, et en monarque exceptionnelle, Vénus prit assise sur son trône légendaire et se mit donc à faire une tirade, tandis que la générale resta silencieuse.

Elle avait poussé le prisonnier devant elle, le faisant tomber sauvagement à terre, puis posa un pied sur sa nuque afin de le maintenir en l’état. Il devait s’agenouillé devant la grande Vénus, devant sa majesté. Nul ne pouvait avoir la prétention de lever le regard quand la voix de celle-ci retentissait. Pas même Mercure. Le discours de sa sœur raviva son cœur d’orgueil et de fierté, étant encore plus gratifiée de la campagne, dure et éprouvante, qui venait alors de se terminer. Tout allait rentrer dans l’ordre, jusqu’à la prochaine fois du moins. Et en attendant, la générale avait fait un beau cadeau à la Reine, en lui ramenant un prince barbare, en pâture. Cependant, alors qu’elle s’attendait surtout à ce que Vénus bénisse ses Femmes, ses fières et fidèles soldates, elle fut quelque peu surprise, dans le bon sens, d’entendre que c’était à son tour d’être glorifiée.

La Reine en personne félicita et honora Mercure, qui se retrouva alors à être à son tour acclamée par la foule. Mais, elle était une guerrière, et elle sut rester solide fasse à tout ce raz-de-marée de félicitations et d’honneur, affichant alors un franc et fier sourire. Poitrine gonflée, elle se sentait plus que jamais honorée et importante aux yeux de l’empire, surtout après cette campagne. Ce n’était pas pour rien qu’elle était considérée comme la numéro deux au sein de la société ; en vérité, Mercure était juste en-dessous de Vénus. Après tout, elles étaient sœurs, cela ne pouvait qu’être compréhensible. Même si ce n’était pas la raison pour laquelle elle était aussi hautement placée. Cependant, alors que les tirades et les honneurs prirent fin, la Reine demanda à la générale de lui dire ce qu’était ce présent, qui était fermement maintenu au sol en ayant une botte posée sur sa nuque.

Un sourire s’esquissa sur les lèvres de Mercure, puis elle finit par répondre. « Un modeste présent qui vous est exclusivement destiné, ma noble Reine. Ceci est le prince Thibodor, fils du Roi du clan barbare qui nous ont posé cet affront, appartenant désormais au passé. Il est farouche, mais on lui rapidement apprit à qui il avait affaire … Et il est entièrement disposé à vous servir d’esclave. » Répondit-elle, raffermissant son emprise sur le prince déchu. Les cartes étaient dans la main de Vénus, qui elle seule avait le mot à dire sur le sort du jeune garçon. Mais Mercure connaissait sa sœur, et savait que celle-ci allait surement profiter de l’occasion … Et si cela venait à se faire, elle se joindrait volontairement à la partie.

« Il est à vous, grande Vénus. » Conclue-t-elle, le poussant en avant afin qu’il se rapprocha de la grande et noble Reine qu’était Vénus. Qu’allait-elle donc faire de lui ?
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 08 novembre 2015, 16:20:00
Le Prince Thibodor n’avait pas l’air si disposé que ça, en voyant le regard colérique et courroucé qu’il jeta vers Vénus. Assise sur son trône, avec ses jambes élégamment croisées, la Reine observa brièvement Mercure. Une expression de plaisir silencieux était perceptible sur son visage. En tant qu’Impératrice, Vénus était plusqu’une simple humaine. Elle était une divinité, la personne la plus puissante de toute la Terre... Un titre important, à ‘en pas douter. En claquant des doigts, elle embrasait des royaumes entiers, et elle avait la mainmise sur un domaine s’étalant sur des milliers de kilomètres, et comprenant des millions d’âmes. Après l’Anarchie, la Reconstruction avait été une formidable hausse de la démographie, essentiellement parce que le taux de mortalité avait énormément diminué. Vénus était une femme puissante, dirigeant un Empire puissant, qui tirait sa fortune de ses innombrables esclaves.

Mercure s’avança donc un peu, mais, soudain, la main de Vénus s’avança, faisant signe à la femme de s’arrêter. Sa grande sœur resta silencieuse, tout comme le reste de l’assemblée. La Reine s’humecta les lèvres, puis reprit finalement :

« C’est un Barbare, donc... Un homme crasseux, un sauvage sale et puant... »

Elle se tut pendant quelques secondes, les regards se portant vers elle. Son armée était fébrile. Tous la vénéraient et l’aimaient, la traitant comme ce qu’elle était : une divinité supérieure. Le culte de la personnalité était l’un des plus vieux tours du monde, et, depuis des décennies, Vénus et ses ancêtres l’appliquaient sans vergogne..

« Il faut le purger, Générale... Lui, comme le reste de son armée décadente. Ce n’est qu’en étant purgés qu’ils feront tous de parfaits esclaves d’Imeriän. »

La purge était une étape importante et fondamentale de tout prisonnier de guerre, une manière de faire évoluer son statut, le faisant passer de la position de « prisonnier de guerre » à celui d’« esclave de l’Empire », une position qui n’était pas forcément préférable, mais qui permettait au moins de faire autre chose de ses journées que d’être enfermé dans une cage en attendant le moment de la purge. C’était un moment de profonde humiliation, et, en venant de sortir cette phrase, en disant qu’il fallait purger l’armée ennemi, un sourire mielleux vint éclairer les lèvres de l’Impératrice. Voilà qui, clairement, semblait l’exciter, ou, en tout cas, semblait réveiller son appétit.

Sa langue caressa ses lèvres, et elle ordonna donc le début de la purge, ce qui fit que les soldates se mirent à se mettre en position. La purge était un terme religieux pour désigner quelque chose de très simple, quelque chose de facile à comprendre et à faire... Les soldates fixaient le long de leurs bassins de longs godes blancs, et s’en servirent pour sodomiser les hommes.

Voilà ce qu’était la purge... Un immense viol collectif passant par une série de sodomies sur les prisonniers ! Le tout sous le regarda musé et excité de Vénus, qui voyait cela comme un délicieux spectacle... Un spectacle dont le point d’orgue se constituerait de la sodomie de sa grande sœur sur Thibodor, ce Prince rebelle... Ce Prince qui serait bientôt son chien personnel.

Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, en somme !
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le lundi 09 novembre 2015, 15:33:44
Au moment même où Venus commença à s’humecter les lèvres, suite à sa déclaration, Mercure comprit ce qui allait se passer. Elle connaissait assez sa sœur pour savoir ce qu’elle allait faire. Ou plutôt, lui ordonner de faire. Et le moins que l’on pouvait dire était que l’idée n’en n’était que plus jouissive. Toute l’attention était portée sur elle et sur la déclaration qu’elle s’apprêtait à faire. Quand elle avait levé sa main, tout le monde retint alors souffle. La Reine allait parler. Et la Reine, la suprême dominante par-dessus le monde, affirma de sa voix qu’une Purge allait devoir être effectuée. Exactement tout ce dont rêvait Mercure, et sans doute beaucoup de soldates présentes à ce moment. Celles-ci s’exécutèrent, et enfilèrent une à une l’outil nécessaire à la réalisation de ce rituel, qu’était la Purge ; une ceinture-gode.

La Purge était, en résumé, une grande orgie où les femmes sodomisaient tous les esclaves présents, pour leur permettre de devenir de vrais esclaves Imerian. Une sorte de rituel d’humiliation, afin de leur priver de toute dignité et fierté masculine, qui pourrait leur donner des idées trop grandes pour eux. Ils devaient être soumis et le moins viril que possible. C’était là tout le but de ce long processus qu’était la Purge. Mais, Venus, dans son infinie générosité, donna l’honneur à Mercure de sodomiser le plus important prisonnier ; le prince Thibodor. Un sourire ravis, presque niais, tendant vers le sourire psychopathe orna les lèvres de la Générale qui inclina respectueusement sa tête, comme pour marquer l’obéissance à sa Reine et maitresse absolue.

Sans plus tarder, Mercure baissa les jupons de son armure, puis enfila à son tour une ceinture-gode. Celle-ci avait la particularité d’être doté d’un plus gros et épais gode, histoire de faire souffrir comme il se devait ce jeune prince. « Souffrez, vermine … » Dit-elle à l’attention de Thibodor, qu’elle maintenait fermement au sol en écrasant sa nuque de par son pied. Quand elle fut pleinement équipée, Mercure se pencha puis saisit fermement les hanches du jeune homme, qui tentait malgré tout de se débattre. Mais la poigne et la force de Mercure était telle qu’elle parvenait sans mal à maintenir son postérieur en place. Elle finit par se mettre à genoux, derrière lui, puis raffermit d’avantage son emprise. Le moment délicat était sur le point d’advenir. Mercure se pourlécha une dernière fois les lèvres, avant d’orienter doucement son gode vers la petite rondelle serrée du prince, qui tentait encore de se débattre … En vain.

La Générale, dans sa hargne naturelle, lui donna une violente claque sur les fesses qui retentit dans toute la cours. Puis, alors que le bout de son gode tapa contre l’entrée de son fondement, elle fixa la Reine. « En votre Gloire, ma Reine … » Dit-elle doucement, avant de soudainement donner un puissant coup de rein, qui fit rentrer abruptement son gode dans les entrailles du prince. Celui-ci gémit fortement sous la douleur, mais Mercure n’en avait que faire. Elle délaissa ses hanches pour venir attrape ses poignets, pour les tirer vers elle, afin que le jeune homme ne puisse plus se débattre, et pour mieux coller son cul contre elle. Se faisant, Mercure donna un second coup de rein, puis un troisième … Jusqu’à les enchainer, d’abord lentement.

À vrai dire, elle voyait que cette sodomie était affreusement douloureuse … Mais elle n’en avait que faire. Et bien au contraire, plus cela faisait mal à la victime, plus elle s’en réjouissait. La Générale arriva à un point où elle laboura intensément le jeune prince, détruisant ses entrailles minutes par minutes, à présent que son rythme était soutenu. « Misérable … » Dit-elle, en donnant un coup particulièrement fort au milieu de tous les autres. Une belle sodomie pour elle, mais une torture sans fin pour le jeune homme …
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 10 novembre 2015, 00:11:02
Les ceintures-godes (http://img110.xooimage.com/files/6/4/c/os_01-4d631af.jpg) de l’armée impériale étaient particulières. Oh, il s’agissait, en apparence, de simples ceintures surmontées d’un gode (voire de godes intérieurs pour les plaisirs partagés), mais, avant de les utiliser, on les remplissait d’un liquide spécial, à l’aide de tonneaux remplis de ce liquide blanc (http://img110.xooimage.com/files/a/e/c/os_02-4d631b5.jpg). Ce liquide était un mélangez de sperme et de cyprine, une décoction spéciale dont le but était de purifier l’anus des hommes. C’était une invention propre à Imeriän, qui, dans l’imaginaire collectif, avait pour but de purifier les hommes.

Un immense rituel allait donc avoir lieu, mais, avant qu’il ne commence, la bouche de la Reine s’éclaircit, sa main se redressant :

« Le Prince en premier... Que son armée de cloportes et de loqueteux le voient se transformer en une petite fiotte. À vous l’honneur, Générale... Purifiez cette merde, faites-en un parfait chien obéissant. Ici, maintenant, là où tout le monde peut vous voir... Allez, nettoyez-moi notre invité. »

Les mots de l’Impératrice résonnèrent le long de la troupe de Mercure, amenant sur les visages des soldates des sourires moqueurs et des regards concupiscents (http://img110.xooimage.com/files/f/b/9/os_03-4d631b6.jpg). Toutes les soldates aimaient Mercure, une femme à la fois forte et belle. Qui n’avait pas envie de coucher avec elle, ou n’avait pas déjà couché avec elle ? Toutes savaient que Mercure était une guerrière terrifiante, qui se faisait un point d’honneur à défier personnellement quiconque remettrait en position ses talents de stratège et de guerrière. Elle était hargneuse en bataille, et hargneuse au lit. Les soldates qui avaient couché en avaient fait les frais, car leurs hurlements avaient de quoi réveiller n’importe qui ayant le malheur de dormir à côté. Mercure était une spécialiste des sodomies brutales.

Vénus ayant requis que le rituel passe d’abord par la sodomie du Prince, des servantes se rapprochèrent rapidement. Dans leurs fines robes et ancestrales, ces femmes, les Nymphes, étaient des créatures magnifiques, d’une beauté terrifiante. Elles étaient les servantes personnelles de l’Impératrice, choisies à la naissance, formées pour être belles et perverses. Les Nymphes préparèrent donc le rituel, soulevant le Prince. Tibodor gémit en se tortillant, essayant de les frapper, mais les Nymphes étaient aussi belles que fortes, et n’eurent aucune difficulté à le mettre sur l’autel.

La scène se dressait (http://img110.xooimage.com/files/7/4/7/os_06-4d631ea.jpg), et, tandis que Mercure se préparait, les Nymphes, sous le regard excité de l’armée, entreprirent d’attacher le Prince (http://img110.xooimage.com/files/c/4/0/os_05-4d63205.jpg) en position de chien, avec le cul redressé. Elles agissaient professionnellement, sans attouchements, et, comme on pouvait voir à travers leurs robes, on pouvait voir qu’elles portaient des ceintures de chasteté, chacune disposant d’un plug anal niché dans les fesses. En étant recrutées par les services de l’Impératrice, les Nymphes avaient confié âme et corps à l’Impératrice, et c’était elle qui décidait quand elles faisaient l’amour. Elles étaient, autrement dit, des idoles, ou, de manière plus injurieuses, des fanatiques, prêtes à mourir sur simple ordre de l’Impératrice.

On attacha donc ferment Tibodor, tandis que la ceinture-gode était confiée à Mercure. Dans un sourire amusé, car sachant très bien qu’elle était l’attention de plusieurs centaines de personnes, y compris de la Reine, elle défit donc sa tenue (http://img110.xooimage.com/files/c/3/a/os_08-4d63214.jpg), puis enfila le gode-ceinture, avant de le remplir en tournant la manivelle (http://img110.xooimage.com/files/d/1/2/os_07-4d63216.jpg), déversant à l’intérieur le fameux liquide, ce mélange sexuel propre à Imeriän.

Le rituel allait donc commencer... Et un sourire perla sur les lèvres de Vénus, qui crispa ses magnifiques mains sur les accoudoirs de son fauteuil.

(http://img110.xooimage.com/files/1/c/0/os_04-4d631d1.jpg)

L’auditoire tout entier retenait son souffle... On murmurait faiblement, et Mercure commença par une bonne vieille claque...

Puis s’enfonça en lui (http://img110.xooimage.com/files/0/8/1/os_09-4d63234.jpg).

Le Prince poussa un couinement de douleur, de véritables glapissements, se tortillant sur l’autel... Puis, quand le corps de Mercure s’aplatit sur lui, comme un marteau venant écrabouiller un clou, il s’effondra sur l’autel, sa tête venant taper contre le rebord de ce dernier. Vénus se mordilla les lèvres, ressentant très clairement les cris de souffrance de l’homme, des cris délicieux et magnifiques. Ses cuisses se resserrèrent, tandis qu’elle mouillait sur place

*Mercure, oh ma Mercure...*

Toujours aussi passionnée, la femme remuait en lui, avec une force terrifiante... Et, petite particularité de cette ceinture-gode, des boules de geisha se trouvaient à l’arrière, ce qui faisait que, quand Mercure remuait, ces boules s’enfonçaient dans son fondement (http://img110.xooimage.com/files/0/f/6/os_10-4d6324b.jpg), maximisant le plaisir. Les sangles cliquetaient, se crispaient, et Thibodor gémissait, se tortillant sur place.

Vénus s’éclaircit alors la voix :

« Générale ? Générale ?! »

Elle attendit que l’intéressée tourne la tête, et, en souriant légèrement, l’Impératrice reprit :

« Inutile d’y aller gentiment, ou de vous retenir, Générale... Montrez-lui qu’il n’est qu’une bête. Baisez-le comme un chien, comme le sexe faible qu’il est. Donnez un grand coup de reins, et enfoncez-vous totalement en lui, puis baisez-le jusqu’à satiété... »

La ceinture-gode était toujours reliée au tonneau, ce qui faisait que, plus Mercure allait le prendre, et plus le liquide allait se remplir dans son corps. L’idée était de vider une bonne partie du contenu du tonneau dans son corps... Et, suite à son ordre, Vénus eut le plaisir de voir le corps de Mercure partir en arrière...

...Puis Mercure s’enfonça sèchement en lui (http://img110.xooimage.com/files/7/6/a/os_11-4d63263.jpg), faisant atteindre à Thibodor des sommets de douleur.

Mais qui irait le plaindre ?
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le mercredi 11 novembre 2015, 11:39:59
La Générale se faisait une joie de procéder à ce rituel. Une Purge était toujours une occasion multiple ; celle d’assouvir des pulsions, et de soumettre une victime, généralement masculine. Le changer en un parfait esclave démuni de toute fierté et arrogance. Car après tout, se faire brutalement sodomiser en adoptant la position du chien, c’était très réducteur. Surtout quand on se faisait, en plus, remplir complètement d’un étrange mélange. C’était ça, la Purge. Ainsi donc, Mercure commença le rituel, après qu’elle ait enfilé son beau matériel. Les Nymphes mirent en place Thibodor, qui ne pouvait plus rien faire pour échapper à son destin. Quand il fut en place, c’est-à-dire attaché et le cul bien offert à Mercure, celle-ci ne se fit pas prier. Elle aussi se mit en place, puis une fois que son gode fut remplit du précieux liquide, elle s’enfonça en lui. Après lui avoir donné une somptueuse claque sur le fessier.

Les coups de reins s’enchainèrent, d’abord doucement. Mercure aimait généralement prendre son temps, même dans ce genre de situation. Elle donna donc de multiples coups, faisant rentrer et sortir son gode d’entre les fesses du prince déchu. Une sodomie royale, qui faisait couiner le jeune homme de douleur. Les mains de la générale agrippèrent fermement ses hanches, afin de mieux le ramener vers elle. Puis, elle se pencha, afin d’avoir plus de puissance dans ses coups. Le plus intéressant, pour donner de l’intérêt à cette sodomie, était que des boules de Geisha étaient disposées de telles façons qu’à chaque descente, elles s’enfonçaient dans le fondement de Mercure, lui procurant du plaisir. Il aurait été dommage de ne rien ressentir en procurant cette sodomie.

Ainsi donc, Mercure labourait le petit fessier du prince, qui ne pouvait rien faire d’autre que couiner et serrer les dents sous la douleur et l’humiliation. Voilà ce qu’il en coutait de s’attaquer au peuple d’Imeriän ! Mercure essayait de faire retranscrire sa hargne dans la façon dont elle pénétrait le prince, jusqu’au moment où la Reine l’appela. Elle tourna sa tête, et aperçut alors le visage de sa sœur, satisfait, souriant doucement. Elle lui affirma qu’il était inutile de prendre des gants avec un sous-produit comme Thibodor. Il fallait le baiser hargneusement, sans concessions. La générale sourie, puis hocha de la tête, souhaitant volontairement s’exécuter. Ce fut pour cette raison qu’elle prit appui non plus sur lui, mais sur l’autel directement.

Puis, d’un seul coup, elle sortit son gode à moitié … Puis le renfonça avec une force et une brutalité sans pareil, s’enfonçant alors à nouveau dans les entrailles du prince, de manière plus sauvage. Les boules de Geisha la firent bientôt gémir de plaisir, car plus elle y allait fortement, plus ces merveilleuses boules s’agitaient en elle. Mercure sodomisa donc fortement, avec un rythme soutenu, le prince. Ses hanches se levaient et descendaient à une certaine allure, faisant alors souffrir au plus haut point le prince. Et plus elle le sodomisait, plus le liquide de sa ceinture-gode se déversait en lui. Mais étant directement alimentée, c’était donc le conteneur d’origine dont le niveau commençait à descendre. Mercure était en train de fourrer les entrailles de ce misérable barbare avec le liquide de la Purge, qui allait définitivement le changer une taffiole docile et soumise.

Et par-dessus tout, elle prenait plaisir à le faire … Au nom des boules de Geisha qui lui rentraient dans les fesses, et au nom de sa Reine qui semblait prendre elle aussi plaisir à regarder un tel spectacle. « Haaa !!! » Gémissait Mercure, qui plus le temps avançait, plus elle s’efforçait de rendre ses coups toujours plus forts et rapides. Elle profita du fait que le prince était attaché pour lui donner des puissants coups de reins ; au moins, il ne pourrait pas bouger sous la force des coups. Il était si bien maintenu en place qu’elle s’autorisa de le sodomiser avec poigne. Quand elle descendait, elle y mettait tout le gode, s’enfonçant du plus profondément que possible en lui. Le plaisir finit par atteindre un tel niveau que Mercure commença même à mouiller … Et cette mouille coula alors le long de sa cuisse, finissant sur l’autel.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 11 novembre 2015, 14:28:04
Il y avait longtemps que Mercure n’avait pas participé d’elle-même à un rituel, qu’elle n’avait pas enculé un homme, et voir son visage irradier de plaisir (http://img110.xooimage.com/files/3/f/8/os_01-4d67290.jpg) était un véritable bonheur pour Vénus. La manière dont ses lèvres s’ouvraient, ses magnifiques gémissements, rauques et doux... Mercure avait toujours été un garçon manqué, une femme forte, véritable tête brûlée, qui se battait contre les plus grandes, et qui, alors même qu’elle n’était qu’un simple écuyer, avait défié la capitaine pour prendre sa place. Une femme prodigieuse, un véritable génie militaire autant qu’une soldate d’exception. Une femme de statut divin, assurément.

Les coups de reins puissants qu’elle donnait ébranlaient les sangles, mais les Nymphes n’étaient pas inquiètes. Elles avaient été pensées pour retenir des ours, et on pouvait clairement entendre Thibodor hurler. Le brave homme pleurait, et on crut même qu’il allait tourner de l’œil... Mais personne ne viendrait le plaindre. Les hommes étaient un sexe inférieur, fragile... Ils avaient beau naître plus musclés, ils ne supportaient pas la douleur, et, même en étant bien charpentés, ce n’était pas eux qui enfantaient. Qu’était une sodomie, par rapport à la douleur de la natalité ? Aucune pitié ne se lisait dans les yeux de l’épaisse assemblée observant les ébats du couple, rien d’autre que des sourires mielleux, et des femmes qui mouillaient déjà, impatientes, à leur tour, de pouvoir prendre les soldats. Quant aux soldats de Thibodor, ils étaient surtout paniqués, mais étaient bien incapables de partir. On avait attaché leurs jambes et leurs mains, les coinçant sur le sol. Ils assistaient à un viol répugnant, et, pour eux, voyaient surtout une impensable humiliation. Les hommes fonctionnaient ainsi, au nom de leur stupide fierté sexuelle. Il fallait donc les briser pour les rendre obéissants, en faire de vraies petites fiottes.

L’estomac de Thibodor commença à se remplir quand le liquide se remplit en lui (http://img110.xooimage.com/files/2/4/4/os_02-4d672a6.jpg), sans interruption. On entendit Thibodor couiner à nouveau, mais ce couinement n’était pas rauque. On aurait plutôt dit une biche effrayée par un chasseur. En souriant, Vénus sentait ses seins pointer à travers sa robe. Mercure... Quelle force, quelle fougue ! Difficile de croire qu’elle était toujours vierge... Il y avait, à Imeriän, des rituels très forts, très lourds. Vénus était la Grande Déesse, et Mercure était une autre Déesse. Les habitantes ne les voyaient pas comme de simples femmes. Si Vénus chiait, on mangerait sa merde, ou on la vendrait, persuadé qu’elle avait des propriétés magiques. Et, parmi les rituels, c’était à Vénus de décider quand les autres Déesses perdraient leur virginité... Un don qu’elle conservait précieusement avec Mercure, car elle savait que sa virginité ne faisait que la rendre plus violente et plus hargneuse... Et, à voir la manière dont elle défonçait le cul de ce Prince, Vénus se disait qu’elle avait fait le bon choix.

« Quelle force..., commenta une Nymphe à côté de Vénus.
 -  Hmmm... N’est-ce pas ? Elle n’a pas pu enculer un seul prisonnier pendant la campagne... »

La campagne militaire avait été longue, et les prisonniers avaient été torturés à l’ancienne, afin d’obtenir des informations sur l’emplacement du Roi. Si Mercure avait bien dû coucher avec des femmes, c’était toujours différent quand on baisait un homme. Thibodor était le plus jeune fils du Roi barbare, une petite pédale qui était en train de perdre toute fierté... Car, tandis que Mercure le prenait, son corps le trahissait. Son membre était devenu gros et lourd, frottant l’autel, comme si, inconsciemment, il adorait ça... Et c’était en fait tout à fait le cas.

La femme continuait à le prendre, son armure cliquetant encore et encore. Un spectacle terrible, d’une beauté redoutable. Peu à peu, on entendait Mercure hurler, et hurler encore...

...Jusqu’à atteindre la jouissance (http://img110.xooimage.com/files/6/b/7/16-1--4d674fb.jpg).
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le jeudi 12 novembre 2015, 21:24:26
Il ne faisait aucun doute que Vénus se régalait du spectacle qui lui était offert. Voir la Générale se tordre de plaisir en sodomisant sauvagement une sous-espèce, ça n’avait pas prix. Il suffisait de voir le visage inondé de plaisir de Mercure pour s’apercevoir que cette sodomie était sensationnelle. Plus elle labourait les fesses du prince, plus elle frémissait. Ses coups étaient incroyablement puissants, mettant à rude épreuves les sangles tenaient malgré tout le coup. Le prince était complètement bafoué dans sa dignité et sa fierté de mâle, à force de se faire sodomiser de la sorte. Mais une fois que la Générale était lancée, rien ne pouvait l’arrêter. Elle continuait encore et encore à fondre en lui, pressant son gode bien profondément dans ses entrailles, jusqu’à même taper le fond. Et pendant tout ce temps, le liquide de Purge se déversait en lui, finissant même par déformer son ventre. Il était en train de se faire dominer, et petit à petit, son arrogance s’écrasa.

On finit même par entendre ses couinements, devenus ridicule et aigue. Le gode continuait à remplir son estomac, faisant donc gonfler celui-ci à vue d’œil. Et, dans tout cela, Mercure prenait son pied. Fougue, force et brutalité se mélangeaient dans chacun de ses coups de reins. Elle abattait férocement son bas-ventre, plongeant sauvagement et intensément à chaque descente. On entendait sa peau claquer contre celle du prince, mais aussi le bruit des sangles qui étaient éprouvées par la rude activité. Hargneuse, Mercure perdait petit à petit la tête. Son visage s’illumina de plaisir et d’extase, offrant alors un savoureux spectacle à toute l’assemblée. C’était d’ailleurs ce qui, inconsciemment, la poussait à y aller encore plus férocement. Et plus particulièrement pour rendre fière sa Reine, et sœur.

Depuis tant de semaines qu’elles n’avait pas couché avec quelqu’un ! Et encore, là ce n’était qu’une sodomie dans le but de purifier un être impur. Depuis combien de temps n’avait-elle, au sens propre, pas fait l’amour ? Depuis longtemps. Et c’était toute cette frustration qui ressortait à chacun de ses coups, qui claquaient comme de puissants et violents coup de fouet en plein dans le cul de Thibodor, qui ne cessait de couiner. Et, apparemment, le traitement semblait lui faire malgré lui du bien. Il fallait regarder sa verge qui était secouée en avant et en arrière, qui raclait l’autel tellement était-elle dressée et tendue. Il ne pouvait rien y faire ; son corps adorait se faire sodomiser. Son sexe était lourd, gonflé, se cognant hargneusement contre la surface froide de l’autel.

Mais plus les minutes s’égrainèrent, plus Mercure haletait. Elle y allait toujours plus vite, toujours plus puissamment. Ses soupirs s’intensifiaient, jusqu’à ce qu’elle atteigne le point d’orgue. Se crispant toute entière, même au niveau de son visage, elle finit par jouir, laissant totalement exploser son désir et son extase. Sa mouille afflua, venant généreusement couler le long de ses cuisses, imprégnant donc l’autel. Elle gémit très fortement, ayant alors son petit orgasme fort bien mérité. Les boules de Geisha avaient fait un admirable travail … C’était dire à quel point Mercure était sensible au niveau de ses fesses. Mais, ce n’était pas parcequ’elle était en train de jouir et d’avoir un orgasme qu’elle s’arrêta de sodomiser le prince. Alors qu’elle se tordait de plaisir, que son entrejambe la brûlait et qu’elle mouillait abondamment, ses reins continuaient leur rodéo et le gode ne cessa de fourrer le jeune homme.

Son ventre continua encore et encore à gonfler. Il ressemblait bientôt à une femme enceinte de quelques mois ! Humilié, bafoué, la Purge allait bientôt prendre effet sur ce misérable homme. Sur son dos, Mercure avait largement prit son pied, tout en l’humiliant. Le plus affligeant pour lui, était qu’il bander très, très fortement, malgré le traitement dont il était victime. Et cela, prouvait que c’était bel et bien un esclave sans valeur et sans dignité …
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 14 novembre 2015, 03:22:17
Que Thibodor ne tombe pas dans les pommes était la preuve que, malgré son statut actuel de petite fiotte, il restait un ancien Prince barbare, un homme résistant et dur. Ses yeux étaient écarquillés, et il couinait faiblement, sa salive coulant de son gag-ball, ses yeux devenant vitreux... Et, si ce spectacle était en soi excitant, rien ne valait celui de Mercure en pleine extase. Forte et dure, la Générale était l’idole de toute une armée. Que ce soit de face ou de dos, Vénus l’avait déjà vue sodomiser hommes et femmes un nombre incalculable de fois, et était toujours fascinée par sa beauté, par ce corps musclé et harmonieux venant se perdre dans les entrailles d’un corps... Mercure était toujours plus passionnée avec un homme qu’avec une femme, conformément aux critères d’Imeriän. Et Vénus adorait la voir ainsi. Elle se mordillait délicatement les lèvres, tandis que le ventre de Thibodor enflait et grossissait.

« Les hommes ne sont pas habitués à être enceinte, ils sont si faibles...
 -  C’est pour ça qu’il nous faut les éduquer, et leur rappeler leur place... »

Vénus ne dit rien. Ses Nymphes commentaient, et, de leurs bouches, sortaient la volonté de la Déesse. Elles avaient une vie très restrictive, mais aussi bien des avantages. Outre côtoyer la Déesse au quotidien, les Nymphes disposaient d’un statut sacré, qui faisaient qu’elles pouvaient faire n’importe quoi. Elles étaient judiciairement irresponsables, bénéficiant d’une immunité que seule Vénus pouvait leur retirer. Elles pouvaient par exemple tuer quelqu’un sans craindre de poursuites, sauf à ce que Vénus retire leur immunité. Ce faisant, les Nymphes étaient des violeuses passionnelles, dont la spécialité était de se rendre dans des domiciles pour coucher avec les femmes vivant dedans.

La Déesse observait donc ce spectacle. Les sangles continuaient à cliqueter, et plus rien ne semblait devoir arrêter la femme. Mercure mouillait abondamment, et, quand l’orgasme approcha, sa mouille déferla dans le corps de Thibodor, qui avait également joui à plusieurs reprises... Il couinait, en répandant son sperme sur l’autel, le faisant couler le long de ce dernier, puis finit par s’écrouler sur le sol, quand Mercure, enfin, se retira.

Un silence religieux planait sur l’assistance. Les soldates, surexcitées, n’attendaient plus que l’ordre pour pouvoir, à leur tour, sodomiser les petites putes se trouvant à leurs pieds. Vénus finit par se redresser, et Mercure se retourna naturellement vers elle, la femme descendant lentement les marches de son perron. Thibodor fut libéré de son autel, et couché sur le dos, tandis que l’Impératrice se rapprochait.

« Et bien, Générale, quelle énergie... Avec une telle force, je pense que le sperme de notre petit Prince doit être bien propre... Purifié. »

Dans l’une de ses mains gantées, l’Impératrice tenait une éprouvette blanche. Le rituel était presque terminé, et elle retira sa cape, avant de se rapprocher de l’homme, se penchant au-dessus de son sexe (http://img110.xooimage.com/files/5/a/c/os_01-4d6cff3.png).

« Mes félicitations, petit Prince, vous n’êtes pas tombé dans les pommes... Et vous n’avez pas vomi, aussi. J’en déduis donc que vous adorez vous faire sodomiser comme une petite pute... Ce qui est une très bonne chose. »

Elle récupéra un peu de sperme à la source, car Thibodor, avec son ventre arrondi, continuait à jouir, recrachant son sperme, comme une sorte de pompe. En souriant, Vénus récupéra donc le sperme, puis se redressa, et leva bien haut l’éprouvette, montrant ainsi au reste du public que l’éprouvette était remplie.

« Comme vous le savez, pour attester de la qualité de notre homme, pour savoir s’il est digne d’être un esclave, son sperme doit être pur... »

Vénus approcha l’éprouvette, et avala ce sperme d’une traite. Si proche de Mercure, on pouvait clairement voir ses seins tendus. Elle avala donc le sperme, puis jeta l’éprouvette au sol.

« Hum... Ma chère Générale, vous avez purifié cet homme de tout son vice ! Le Prince Thibodor a été purifié, et est maintenant un... Un ESCLAVE ! »

Cette assertion fut accueillie avec des cris de joie.

« Soldates... Suivez l’exemple de votre Générale ! Purifiez cette armée de sauvages !!
 -  POUR MERCURE ! POUR VÉNUS ! POUR L’EMPIRE !! LOUÉES SOIENT LES DÉESSES !! »

Vénus se retourna vers Mercure, et sourit en se rapprochant un peu d’elle. Sa main gantée vint caresser sa joue, et elle se pencha à nouveau, ses seins venant frotter son armure.

« Je suis mécontente de vous, Générale... Vous m’avez fait mouiller... Alors, il me semble qu’il est de votre devoir de réparer ça... »

De la main, Vénus écarta le pan de sa tunique, dévoilant... Son sexe. Sans aucune culotte. Elle soupira ensuite, les joues légèrement rouges.

« Venez baiser votre Impératrice, Mercure... »
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le dimanche 15 novembre 2015, 17:18:42
La Générale était une femme endurante certes, mais aussi féroce. Cela se voyait dans sa manière de pilonner le prince, qui se retrouvait victime des terribles assauts de Mercure. Cette dernière ne faisait aucunes considérations, aucunes concessions ; il fallait purifier ce malpropre coute que coute. Ce fut pour cette raison qu’elle y allait franchement, y mettant toute sa force et sa poigne pour baiser la petite rondelle de Thibodor, dont la voix ressemblait à présent à celle d’une petite pucelle. C’était tellement jouissif, tellement satisfaisant de posséder l’ascendant sur cette imbécile. Mercure jouit abondement, se lâchant complètement, finissant donc de remplir le ventre de Thibodor. Il n’avait plus rien d’un prince barbare ; il ressemblait désormais à une fillette un peu garçon manquée, qui avait juste besoin de se faire ramoner le fion plus qu’autre chose. La preuve en était qu’il avait bandé férocement durant toute cette sodomie, et qu’il avait même jouit sur l’autel.

Il n’y avait plus rien à prouver. Le prince était à présent devenu un esclave purifié. Ou tout du moins, presque. Car il restait l’approbation de la Reine. Celle-ci se leva, et descendit de son trône. Mercure se retira du minable prince, détachant alors sa ceinture gode. Son regard croisa celui de sa supérieure, et un silence religieux était tombé sur toute l’assemblée. Le ventre arrondi de Thibodor rendait la scène presque comique aux yeux de la Générale, qui avait l’impression de voir une femme enceinte. Elle était tellement tentée d’appuyer sur ce ventre rond avec son pied, afin de le voir recracher tout ce qu’il pouvait contenir, faisant donc souffrir le jeune homme. Mais elle n’en avait pas le droit. Son ventre était rempli par le liquide de la Purge, et il devait donc rester ici.

Vénus s’avança vers Thibodor, qui fut relâché de ses sangles puis trainé parterre. La Reine se pencha et, avec un petit outil, vint récolter un peu de son sperme, directement à la source. Elle absorba le contenu, puis après un lourd silence, déclara de sa voix haute et fière que la Purge a été accomplie, et que l’ancien prince Thibodor était à présent un esclave, en bonne et due forme. Une déclaration qui donna un sourire carnassier à Mercure, qui ne cessa de regarder sa sœur. Il était à présent au tour des soldates de procéder à la Purge, envers tout le reste de l’armée capturée. Une pensée qui fit frissonner la Générale, impatiente de voir une telle orgie s’allumer. Cependant, elle ne s’attendait guère à ce qui allait venir. En effet, la Reine finit par se retourner vers elle, s’avança jusqu’à ce que sa poitrine vienne frotter la sienne au travers son armure.

Même si Vénus était sa sœur, elle la craignait, elle avait peur de son courroux. Car elle était la déesse de la nation. Son cœur s’emballa, elle ne savait pas ce qu’elle allait lui faire. Et ses premières déclarations ne la mirent pas en confiance. Etait-elle réellement mécontente ? Ne comprenant pas comment cela était possible, la Générale se tût, puis comprit par la suite où venait en venir Vénus. Mercure, en sodomisant Thibodor, avait offert un spectacle digne de ce nom à la Reine, qui avait mouillé sur place. Il était donc normal que la Générale répare cela … En allant tout simplement lui faire l’amour. Elle le lui ordonna, et quand son ordre fut prononcé, le souffle de la Générale haleta de désir. Ses joues s’empourprèrent, et elle se colla davantage à elle. « Il en sera selon vos désirs, ma Reine. » Dit-elle, d’un ton fière et déterminé.

Ayant vu que Vénus avait dégagé le pan de sa tunique, dévoilant alors sa plus profonde intimité, elle planta son regard dans le sien, puis attrapa fermement la main qui se baladait sur sa joue. Un silence, puis Mercure s’avança encore, venant coller son visage au sien, ayant décidé de sceller fermement ses lèvres aux siennes. Un premier baiser tendre, mais terriblement féroce, comme Mercure savait si bien les donner. Elle serra la main de la Reine avec la sienne, puis l’orienta petit à petit vers son propre sexe, qu’elle venait de dévoiler à la Générale. Elle l’incita à se toucher d’elle-même, tout en suivant les mouvements de mains de Mercure … Qui ne la lâchait pour rien au monde. De son autre main libre, elle alla chercher les attaches de son armure, puis finit par les trouver. D’un geste habile, elle les dégrafa, ce qui en résultat de la chute du lourd plastron au sol.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 19 novembre 2015, 20:20:51
Suite au mot d’ordre de l’Impératrice, les soldates se mirent en branle, et on put entendre des mouvements communs. Cliquetis métalliques, couinements, soupirs... Les femmes enfilaient leurs ceintures-godes en rang, tout en tirant sur la fermeture de la culotte des prisonniers, révélant leur orifice anal. Eux couinaient, certains tentèrent de s’échapper, mais les soldates n’avaient qu’à tirer sur leur collier pour leur rappeler à l’ordre. Ils étaient bien attachés, et il était impossible pour eux de se redresser. D’autres restèrent sur place, en grognant, une lueur de haine dans le regard... Puis les femmes mirent un bandeau noir sur chacun de leurs yeux, afin que leur corps n’ait plus aucune autre sensation que la sodomie qu’ils allaient subir. C’était un acte de violence nécessaire, comme celui de la naissance. Une nouvelle naissance commençait pour ces vandales, ces sauvages, ces mécréants cruels et cannibales. Les civiliser n’était pas une mince affaire, et leur éducation passait par la destruction de leurs acquis.

Les verges s’enfoncèrent donc dans un même mouvement, et un soupir collectif traversa les soldates, qui avaient tant attendu ce moment, celui où elles pourraient enfin se répandre dans le corps de ces impies ! L’éducation allait commencer, et elles commencèrent à remuer. C’était un immense viol collectif, mais qui ne susciterait aucune pitié de la part de Vénus. Excitée par tout ce qui l’entourait, l’Impératrice avait naturellement proposé à Mercure de venir lui faire l’amour... Perspective qui sembla ravir sa sœur.

C’est ainsi que les deux femmes allèrent, goulûment, s’embrasser. Vénus soupira de plaisir devant ce contact, et ferma les yeux. Ah, les douces et fermes lèvres de Mercure... Un plaisir exquis que l’Impératrice retrouvait avec plaisir. Après une si longue campagne, si elle avait certes eu les corps des Nymphes, celui de sa sœur lui avait terriblement manqué. Leur baiser fut donc intense, très sensuel, et, tandis qu’elles s’embrassaient, Mercure commençait à se déshabiller, ce qui amena Vénus à rompre le baiser, afin de la voir retirer son armure. Le corps de Mercure lui avait manqué...

« Déshabille-toi, Mercure... »

La Générale obtempéra, retirant son casque, son plastron... Et, dans des cliquetis, finit par se retrouver nue, exposant la vue magnifique de son corps (http://img110.xooimage.com/files/0/b/b/os_01-4d7577e.jpg) à Vénus, avec ses pectoraux musclés, et les quelques cicatrices venant orner son dos, témoin des batailles passées. Une femme superbe, qui se tenait devant elle, avec sa longue chevelure noire.

Vénus sourit lentement, révélant ses belles dents. Mercure avait commencé à caresser son sexe avec ses doigts, et l’Impératrice retourna l’embrasser, fourrant sa langue dans sa bouche. L’une de ses mains se posa sur ses cheveux, et l’autre descendit lentement, caressant son dos, avant d’aller se poser sur l’une de ses fesses. Pendant ce temps, la main posée sur sa chevelure suivit le même geste, et alla également se poser sur son autre fesse. Ce faisant, elle se mit à les masser, les malaxant tendrement et fermement, écartant chacune de ses fesses l’une de l’autre, tout en poursuivant son baiser.

« Oh oui, ton corps m’avait tellement manqué... Cette campagne a été bien trop longue... »

Entre plusieurs baisers voraces, la femme lui parlait. Aussi divine soit-elle, Vénus avait aussi de grands besoins d’affection, des besoins que seule Mercure pouvait véritablement combler. Les deux femmes s’embrassaient donc, sous le regard de Thibodor, qui continuait encore à errer, vidant peu à peu son ventre... Et, comme pour le faire souffrir davantage, Vénus invita Mercure à faire ce qui lui avait traversé la tête.

« Pose ton pied sur le ventre de cette petite pute... Fais-lui comprendre qu’il n’a plus rien de princier, et qu’il est notre salope, maintenant... »
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le samedi 21 novembre 2015, 12:32:41
Au quotidien, la Générale ne se rendait pas toujours compte de la chance, et de la place qu’elle occupait au sein de la société. Comme tant dit, et montré en ce jour de victoire, Mercure était la grande Générale d’Imeriän et de ce fait, était l’une des femmes les plus importantes et respectées de tout le royaume. Après la suprême Vénus, bien entendu. En vérité, elle était la seconde. Ce qui n’était guère étonnant, compte-tenu de son passif, et de ses talents. Mais aussi de son sang ; il s’agissait du même qui coulait dans les veines de la Reine. Un sang pur, royal, parfait, que seules Vénus et Mercure partageaient. Sœurs dans l’âme et dans le sang, les deux femmes devaient cependant se plier aux règles de la société. Du moins, c’était comme cela que le percevait Mercure. Si, profondément, elle percevait Vénus comme l’idole de toute une nation, une figure sacrée, comme tout le reste de la population, elle n’arrivait cependant pas à le faire aussi bien. Car il résidait une part en elle qui la voyait encore et toujours … Comme sa sœur.

Mercure était cependant la plus grande adoratrice de Vénus. Elle n’avait aucunement honte de dire qu’elle était la femme la plus convaincue de tout le royaume. Dans ses campagnes militaires, cela se traduisait, pour ses ennemis, par un fanatisme exacerbé et une foi sans limite. La Générale adorait Vénus et l’adulait comme son statut l’imposait. Outre un fort et puissant respect de sa personne, la jeune femme considérait que Vénus, en elle-même, qualité de femme, était la perfection incarnée. Son corps était une bénédiction pour tous ceux qui auraient le grand privilège d’en partager les faveurs. Comme les Nymphes, qui étaient en quelques sortes, des femmes bénies. Mercure se savait chanceuse par ce côté-là, car elle faisait souvent l’amour à Vénus, du moins quand elle était là, et non pas en mouvement militaire.

Et elle s’apprêtait donc à lui faire l’amour à nouveau, au beau milieu d’une orgie s’apparentant à un viol collectif. Mais il n’y avait pas de viol quand il s’agissait d’ennemis, d’esclaves sales et pourris dont le statut n’était même pas celui d’humains. Seules les Imeriännes avaient ce statut ! Et personne d’autre. Le reste n’était que détritus et immondices, bon pour être exterminé, ou changer en esclaves, comme ces stupides mâles. Mâles qui allaient bientôt devenir de parfait petit esclaves dociles, dont la virilité et la hargne masculine allait leur être arraché à grand coup de sodomie. Briser ce qu’il avait de plus valeureux à leurs yeux, et vous les brisez tout entier. C’était sur ce créneau là que la Purge reposait. En plus de ce fameux liquide. Ainsi, pour en revenir à Mercure, celle-ci embrassa donc généreusement sa sœur, qui lui intima l’ordre de se déshabiller au bout d’un certain temps.

Ordre qui fut immédiatement exécuté, résultant en une Mercure dénudée, dont la musculature apparaissait à sa sœur, de même que ses nombreuses cicatrices. Mais malgré tous ces détails, Mercure restait forte bien féminine. À nouveau, les deux femmes s’embrassèrent, ne pouvant tout simplement pas se retenir. Cela faisait trop longtemps qu’elles n’avaient pas partager un tel moment, et cela faisait du bien. Beaucoup de bien. Embrasser Vénus avait cruellement manqué à Mercure. Le gout subtil de ses lèvres, le touché satiné de sa peau, ou encore son délicieux parfum … Il n’y avait pas à dire, Mercure avait réellement envie de lui faire l’amour dans la règle de l’art, après tout ce temps si loin d’elle.

Cependant, un nouvel ordre passa. Alors qu’elles s’embrassaient, Vénus lui parla un peu, et finit par lui demander de poser le pied sur le ventre gonflé de Thibodor, suggérant de lui faire comprendre une bonne fois pour toute qu’il n’était qu’une petite pute désormais. Un sourire vicieux s’imprima sur les lèvres de la Générale, qui embrassa une dernière fois son amante, avant de tourner son regard vers le malheureux. « Avec joie ! » Répliqua-t-elle, levant son délicat pied pour le poser férocement sur le ventre du jeune homme. Allongé à terre et nu comme un ver, il ne lui restait plus grand-chose en terme de dignité. Le pied sur lui, Mercure se mit donc à appuyer sur ce gros ventre tout rempli. Et plus elle appuyait, plus l’ancien prince gémissait de douleur, en crachant le liquide de Purge par sa rondelle, qui était forte bien éprouvée. Le plus étonnant était qu’avec tout ceci, sa trique était toujours aussi conséquente. C’était qu’au fond de lui, il prenait plaisir à tout ceci. Mercure s’amusa à appuyer par petit coups sur son ventre, regardant alors le liquide qui sortait par petits coups de son corps.

Mais la tentation fut trop grande. Voyant que son ventre était toujours aussi gonflé, Mercure appuya un grand coup, écrasant complètement la bosse. Un jet haute pression sortit de sa rondelle, le faisait hurler de douleur. Et plus il hurlait, plus elle souriait …
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 27 novembre 2015, 12:29:05
Pendant des siècles, les hommes, ces sauvages, ces barbares et ces brutes, avaient opprimé et terrorisé les femmes. Imeriän ne faisait qu’appliquer l’un des plus vieux principes des Anciens : la loi du Talion. Œil pour œil, dent pour dent. On appelait ça la « juste réciprocité du crime et de la peine », la première forme de justice, primaire, fondamentale… La vengeance. Les femmes avaient réussi à se révolter, à s’organiser, à tirer profit des anciennes technologies, et s’en étaient servies pour massacrer les clans barbares, en profitant aussi pour récupérer leurs autres sœurs, et pour coloniser le reste du monde. Preuve, néanmoins, qu’elles n’étaient pas comme ces barbares, les Imeriännes les civilisaient, ce qui passait par une période de formation initiale, consistant, en l’occurrence, par une Purge collective et douloureuse. Les courageux soldats, si fiers, étaient humiliés, traités comme des animaux. On les prenait voracement, et le spectacle de milliers de femmes en mouvement, remuant des hanches, des milliers de magnifiques femmes, avait de quoi ravir n’importe quel œil pervers. Vénus regardait son armée avec plaisir et fierté, mais, de fait, elle se concentrait essentiellement sur la belle et puissante Mercure.

Ah, Mercure ! Les deux avaient grandi ensemble, mais avec une formation différente. Mercure était sa grande sœur, une tête brûlée, là où Vénus adorait la poésie, les histoires, et les contes… Leur mère, l’ancienne Vénus, les avait donc renommés en fonction de leurs rôles à venir : Vénus, et Mercure… Et leurs anciens noms avaient été rétroactivement effacés, de telle sorte que leur ancienne identité leur était inconnue. Mercure avait suivi une formation de militaire, apprenant la stratégie militaire, la tactique, la géopolitique, et Vénus avait suivi une formation d’Impératrice : culture, Histoire, économie, relations sociales… Elles avaient été formées dès leur enfance, afin qu’elles apprennent une leçon fondamentale : gouverner n’était pas un droit, mais un devoir. Elles étaient des Déesses dont le rôle était de protéger le peuple, pas d’être des despotes. Imeriän n’avait évidemment rien d’une démocratie, car, pour preuve, il fallait voir les multiples statues à l’effigie de Vénus, de Mercure, ou encore des autres Déesses, comme Neptune, qui ornaient les différentes villes de l’Empire. À l’entrée de l’Olympe, il y avait ainsi une grande place, la Place de l’Olympe, constitué d’énormes statues des divinités actuelles.

Le lien entre Mercure et Vénus avait toujours été fort. Elles s’étaient embrassées ensemble pour la première fois dans un champ de fleurs aux Élysées, une plaine verdoyante et magnifique au cœur d’Imeriän… Un tendre baiser, leur tout-premier baiser, la preuve d’un amour éternel et divin… Un amour qui se retrouvait maintenant, au sein de l’Olympe, entourées des Nymphes, des soldats, et d’une armée d’esclaves en devenir… Et du brave Thibodor.

Thibodor, qui se mit à couiner quand Mercure alla le torturer de nouveau, appuyant sur son estomac gonflé. Le Prince, qui commençait à sombrer, se mit à couiner en gesticulant, écarquillant des yeux, les joues toutes rouges quand il se mit à balancer son surplus de sperme, en se pissant dessus. Vénus souriait devant ce spectacle, voyant Thibodor remuer comme un poisson paniqué qu’on aurait arraché de l’eau. Il gesticulait sur le sol, et couinait à chacun des coups de pied de Mercure, amenant des larmes sur ses yeux, son ventre étant marqué d’impacts rouges et violacés.

Le spectacle était saisissant… Voir la belle Mercure torturer cette petite merde, avec son corps nu, sa silhouette de rêvé, musclée et athlétique… Ah, voilà bien un spectacle dont on ne saurait se lasser ! Vénus la regarda faire pendant plusieurs minutes, jusqu’à ce que Thibodor se retrouve dans une flaque d’urine et de foutre, humilié, avec sa queue qui pendouillait, en érection.

« Tu vois ? Il adore que tu le tortures, Mercure… »

Sa main caressa le ventre de Mercure, et elle l’embrassa tendrement, faisant claquer ses lèvres, puis posa son pied sur le sexe de l’homme, la pointe de son talon venant écraser sa queue contre son ventre, le faisant à nouveau couiner.

« En théorie, les petites fiottes comme toi sont transmises aux bons soins de notre consœur, Neptune… Mais tu seras mon chien personnel, Thibodor, car j’ai des projets pour toi. Et, crois-moi, quand j’aurais fini de t’éduquer, tu me considéreras comme ta Déesse, et tu aimeras absolument tout de moi… »

Tout en disant cela, Vénus avait une nouvelle idée perverse derrière la tête, et se redressa, venant poser ses pieds à droite et à gauche de la tête de l’homme, en lui souriant… Il avait une vue sur sa vulve, et, en soupirant, Vénus se concentra… Et lui urina dessus, avant de finir sa phrase :

« …Y compris ma pisse ! »
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le samedi 28 novembre 2015, 18:05:56
Dire que Mercure était une perverse vicieuse était un euphémisme. Considérée comme la deuxième femme la plus influente et forte de toute la nation, la Générale était une personne ne possédant peu voire pas de limites en matière de sexe. En effet, la jeune femme ne se refusait pas grand-chose. Toute sorte de fétiches, de pratiques et autres joyeusetés, elle les avait faites. Avec sa sœur ou autre. Mais le plus étonnant était que dans tout ceci, elle restait vierge. Oui, Mercure n’avait jamais été pénétré de façon à se faire déflorer. Un point assez étonnant quand on voyait son degré de perversité. Coucher avec un homme, dans le sens commun, la répugnait. Et elle n’avait jamais eu l’occasion de coucher assez longtemps avec une hermaphrodite ou autre pour parvenir à se faire retirer sa virginité.

Fait intriguant. Mais cela ne l’empêchait guère de faire l’amour. Et pour dire, elle l’avait fait d’innombrables fois. Comme on pouvait s’y attendre, ses meilleures fois étaient celles avec sa sœur, Vénus. Car qui mieux que sa chère sœur, et Reine, pour la combler ? Avoir l’immense privilège, et honneur, de partager la couche de la Reine absolue d’Imeriän était quelque chose de très précieux. Mercure était une femme privilégiée par ce statut, et cette chance qu’elle avait de partager le sang, et la couche de Vénus. La Purge qui était en train d’avoir lieu ne faisait qu’amorcer une longue séance de sexe à venir. Mercure s’en mordait déjà les lèvres. Elle ne pouvait plus attendre pour faire fougueusement l’amour à Vénus, comme elle le méritait ! L’une autant que l’autre avait bien trop attendue ce moment pour le repousser à nouveau.

Et quoi de mieux qu’une Purge pour commencer. Vénus, après avoir ordonné à Mercure de stimuler un peu plus Thibodor, finit par prendre la main. C’était que la Générale avait assez bien torturé l’ancien prince ; il baignait dans son urine et son foutre, à force de se faire dessus. À chaque coup qu’avait donné Mercure, son sexe crachait le reste de son foutre, et de la pisse, qui retombait immanquablement sur lui-même. Voir un sous-produit comme lui se faire dessus avait quelque chose de terriblement jouissif. Surtout pour Mercure, qui l’avait combattu lui et ses barbares. Barbares qui, lâchement, et en toute gratuité, avaient attaqués et massacrés des dizaines et des dizaines de pauvres fermières sans défenses. Rien qu’à y repenser, Mercure avait envie de l’égorger et d’ouvrir ses entrailles pour les foutre dans sa gorge.

Mais, Vénus le voulait pour elle. C’était une punition bien plus humiliante et, au fond, bien plus gratifiante. Autrefois fier et hautain, cet imbécile était devenu une tapette qui se faisait pisser dessus. Mot pour mot, car la Reine suprême décida ainsi. En effet, celle-ci se décida à se placer au-dessus de lui, et se mit à se soulager la vessie, sans aucune gêne, arrosant correctement ce maudit Thibodor. Si cela ressemblait à une humiliation, et ça en était une, cet homme était bien chanceux. Se recevoir ça, aussi sale était-ce, pouvait presque être un privilège ! Mercure connaissait certaines Imeriänne prête à tout pour ne serait-ce que recevoir une goutte de ce liquide, pour peu qu’il provienne de leur sainte Reine. Et Mercure partageait ce point de vue ; tout était à prendre chez sa Majesté.

Cependant, elle fut aussi tenté. Esquissant un sourire presque psychopathe, Mercure se mit aussi en place et fixa Vénus. « Ça, c’est pour ma vengeance personnelle … Pardon ma Reine. » Dit-elle, demandant pardon pour l’imiter et user de son jouet sans son autorisation. Se mettant ainsi en place, Mercure se concentra un peu, puis finit par se vider à son tour. Sa vessie se soulagea, et elle se mit elle aussi à uriner sur Thibodor. Cependant, étant donné qu’elle était presque collée à sa sœur, car celle-ci avait une douce main sur son ventre, le jet fut confondu, et le pauvre ex-prince se recevait tout dans la figure.

Et Mercure savourait pleinement cette vengeance.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 04 décembre 2015, 20:19:29
Étant une Déesse, Vénus avait naturellement des ambitions et des fantasmes plus intenses et plus poussées que de simples humains normaux. C’est ainsi que, en matière de sexe, elle était insatiable, et toujours très gourmande. Elle s’était même parfois demandée si Mercure ne s’était pas musclée et formée initialement juste pour pouvoir maîtriser les ardeurs de sa sœur. La grande Déesse se devait d’être une femme insatiable et gourmande, car elle était la Déesse d’Imeriän. Même son urine était divine ! Thibodor se faisait pisser dessus, et Vénus soupirait joyeusement. Les gens le savaient, la Reine était une ondiniste convaincue, et il lui arrivait parfois de se retenir d’uriner pendant une heure, juste pour pouvoir se vider généreusement, soit sur une Nymphe, toujours heureuse de boire son liquide, soit sur un homme. Et, en disant ça, Vénus ne plaisantait pas. Dans certains régions reculées, on vendait des bocaux contenant l’urine de Vénus, afin de les revendre, en prétextant qu’ils étaient magiques, et soignaient les plaies. Tout ce que la Déesse touchait ou émettait était, par essence, divin, car elle était la Grande Déesse, et un fort culte de personnalité tournait autour d’elle. Qui n’avait pas envie de coucher avec elle, ou, ne serait-ce que de baiser ses pieds ? Point de viol ; quand elle désignait quelqu’un pour coucher avec elle, si ce dernier refusait, il encourait la peine de mort, voire le bannissement ! Vénus était une Déesse omnipotente. Après l’Anarchie et la grande période de chaos qui avait duré des siècles, il avait été nécessaire de passer d’un extrême à l’autre. Chacun savait que Vénus était la Grande Déesse, celle qui commandait au sein du Fort-Olympe.

C’est donc avec joie qu’elle urinait sur le Prince, ce dernier se tortillant faiblement. On l’avait violé, torturé, humilié... Brisé. Et, quand son regard se tournait, c’était pour voir toute son armée en train de subir les mêmes humiliations. Qu’ils soient grands, gras, gros, forts, ou musclés, tous ces hommes se tortillaient sur le sol, enculés comme des chiens, et il en voyait déjà certains succomber, la bave aux lèvres, la tête redressée. Les soldates d’Imeriän rigolaient, gloussaient, giflaient ces hommes, les éduquant en les brisant. Ils ne seraient plus jamais des soldats. On les raserait, on les tondrait, on les forcerait à maigrir, en les internant dans des camps de rééducation, où ils en sortiraient neufs. Après la purification émanant de la Purge, ils seraient éduqués dans les centres de Neptune. Mais Thibodor, lui, resterait au Palais... Même si Vénus n’avait rien contre l’idée d’aller voir Neptune, sa « sœur ».

En effet, toutes les Déesses étaient officiellement sœurs entre elles, mais ce n’était qu’avec Mercure que Vénus partageait un lien de sang, car elles étaient toutes les deux nées de la même mère et du même père, alors que les autres Déesses avaient connu d’autres pères. C’est ainsi que l’héritage avait lieu. Chaque fille de Vénus était la réincarnation d’une Déesse. Et Neptune, elle, avait été assignée à la formation des prisonniers et au dressement des esclaves, une tâche très importante, car elle permettait à la société de tenir. Imeriän, perversion exclue, fonctionnait sur un système inspiré de l’Antiquité, où les esclaves étaient le poumon économique de ces sociétés... Et les hommes les plus retors finissaient dans les arènes.

Mais Thibodor, lui, était brisé, et recueillait l’urine de Mercure et de Vénus en même temps, les deux femmes allant joyeusement lui pisser sur le visage. Il se dandina encore un peu, fermant les yeux, le visage recouvert de pisse, tout comme ses cheveux, son ventre... De l’urine avait aussi éclaté sur sa queue, et, quand les deux femmes eurent terminé, Thibodor était définitivement brisé. Quand il ouvrit les yeux, sa rage avait disparu au profit d’une sorte d’abattement, de résignation... Mais Vénus lisait toujours la rage en lui.

Un sourire amusé vint ainsi orner les lèvres de la femme.

« On dit que l’urine des Dieux sert à cautériser n’importe quelle plaie, petit Prince... Je viens d’en gaspiller beaucoup sur toi... Mais, si tu veux que je te confie une anecdote, sache que je n’ai pas de toilettes chez moi... Tu seras mes toilettes... Au moins pour l’urine. Pour les excréments... Disons que ça dépendra de ta docilité. »

Un sourire pervers éclaira ses lèvres, tandis que les yeux de Thibodor s’écarquillèrent, le jeune Prince étant visiblement paniqué à l’idée de manger la merde de Vénus. En souriant, cette dernière se redressa, et posa ses mains gantées sur les hanches de Mercure.

« Ma chérie... Tu m’as tellement manqué... »

Et hop ! Vénus alla à nouveau l’embrasser, tendrement, tout en fourrant sa langue dans sa bouche.

Pendant ce temps, autour d’elles, l’orgie collective se poursuivait...
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le samedi 12 décembre 2015, 13:52:56
Il était impensable de se dire que Mercure, même si elle était la sœur de Vénus, n’en n’était pas une fervente fanatique. Parmi tout le peuple, la générale était sans doute la femme qui était la plus convaincue et la plus fidèle envers la grande Vénus. Pour elle, elle était prête, mot pour mot, à tout. Que ce soit sacrifier sa vie, faire d’énormes concessions, ou encore ne serait-ce qu’accepter tout et n’importe quoi comme ordre. Le sexe, en faisait bien évidemment parti. Vénus pouvait être sûre d’une chose ; elle pouvait tout se permettre avec Mercure. La preuve, ou du moins une partie, étant que la générale ne fut même pas dégoutée de voir autant d’urine couler. Si ce n’était pas pour salir et humilier le prince, nul doute que Mercure aurait été plus loin et … Se serai mise à la récolter à sa place. Tout ce qui provenait de sa majesté était pureté, même son urine.

L’orgie continuait de battre son plein tout autour ; bientôt, on n’entendait que couinements et soupirs, mélangés à des cris aigue de mâles en train de devenir petit à petit soumis. Cela n’avait, vraisemblablement, pas de prix. La vengeance des Imeriänne avait été totale et complète, et ce grâce à l’armée. Et grâce à Mercure, qui avait su les diriger avec tactique et intelligence. Tous ces mois de campagne avaient fini par payer, ce jour-même. Il suffisait de voir la satisfaction imprimée sur tous les visages présents ici. Les soldates faisaient lourdement payer ces sauvages de leur affront, et plus jamais ils ne pourront prétendre être forts et dominants. De toutes les manières, cela faisait depuis longtemps que Imeriän était la seule nation possédant la puissance, la vraie.

Néanmoins, Mercure tâchait pour sa part de se concentrer sur ce malheureux Thibodor, qui aurait mieux fait de ne jamais se mêler aux affaires de son pays, et de son peuple. Elle finissait de lui uriner dessus, et elle ne put que constater que sa personne semblait définitivement brisée. Un bon esclave bien docile et obéissant, voilà ce qu’il était devenu. La générale en avait le sourire jusqu’aux lèvres. C’était si satisfaisant et si réjouissant de voir ce maudit personnage payer pour ses crimes injustes et gratuits. Le voilà qu’il baignait dans son foutre et son urine, humilié et châtié. Cela n’avait tout simplement pas de prix. Mais par-dessus tout, il y avait Vénus, sa bien-aimée sœur et Reine. Celle-ci, quand elle eut fini de se soulager, posa ses mains gantées sur les généreuses et fermes hanches de Mercure, et partit ainsi l’embrasser à nouveau.

Baiser que la générale accueillit comme il se devait, jouant furieusement avec sa langue qui se fourrait tendrement dans sa bouche. Elle le fit durer un moment, savourant chaque centimètre de sa bouche, raclant chacune de ses dents de par sa langue taquine. Quand leurs lèvres se séparèrent, Mercure lui sourit. « J’ai passé trop de temps loin de toi … J’avais tu ne m’avais tant manqué aussi, ma sœur. » Lui dit-elle, prenant son doux visage entre ses deux mains, avant de venir l’embrasser à nouveau. On pouvait mettre de côté le fait que Vénus était la supérieure de Mercure. On pouvait mettre de côté tout, sauf le fait qu’elles étaient sœurs. Les sentiments de Mercure allaient, au fond, vers cette nature primaire, cette relation de sang qui était plus forte que tout malgré elle. Mercure aimait sa sœur de tout son être, elle la protégeait autant qu’elle le pouvait et veillait sur elle. Bien qu’elle savait que Vénus n’avait strictement rien à craindre. Mais, son instinct lui dictait de le faire. C’était bien parcequ’elle éprouvait un puissant amour envers Vénus, qu’elle était si obéissante et si fidèle. Sans compter qu’elle était totalement soumise à sa condition de Reine suprême …

Séparant à nouveau ses lèvres, Mercure posa son regard fiévreux sur le sien, puis finit par lui dire quelque chose de simple, mais de terriblement puissant et sincère. « Je t’aime, Vénus … » Lui susurra-t-elle, affichant alors un sourire heureux.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 14 décembre 2015, 11:25:48
Vénus et Mercure étaient les deux têtes dirigeantes d’Imeriän. Elles ne composaient pas, à elles seules, l’ensemble du Panthéon, mais elles en étaient les deux principales Déesses. Et là, au milieu de cette purge globale, alors que les soldates de l’Empire pénétraient longuement les futurs esclaves imeriäns, les deux femmes se regardaient, face-à-face. Elles venaient de doucement s’embrasser, et restèrent proche. Mercure lui avoua alors qu’elle l’aimait, ce qui amena Vénus à un léger sourire sur le coin des lèvres. La main gantée de Vénus remonta alors, et caressa la joue de la belle Mercure.

« Oui... Je sais, ma chérie. »

Elles s’aimaient depuis l’enfance.... Depuis la promesse que Mercure avait faite à Vénus, alors qu’elles étaient dans les Champs-Élysées, de magnifiques jardins verdoyants. La promesse entre deux jeunes sœurs, qui s’étaient embrassées pour la première fois (http://img110.xooimage.com/files/4/f/3/promise-4dbe70e.jpg).

« Je me rappelle de notre promesse, Mercure... Quand nous étions dans les Champs-Élysées... »

Vénus avait toujours été plus jeune que Mercure, et plus fragile que cette dernière. Et, dans les Jardins, Vénus avait avoué à Mercure qu’elle n’était pas aussi forte qu’elle, et, alors qu’elle était prédestinée à être la Grande Déesse, au sommet du Panthéon, Alors, elle avait demandé à Mercure de promettre d’être sa Chevalière, sa gardienne et sa protectrice. Elles s’étaient embrassées pour la première fois dans ces jardins, et elles avaient fait l’amour, ici aussi. Maintenant, elles avaient grandi, elles étaient devenus des divinités à part entière, mais Vénus n’avait toujours pas oublié.

Mercure... Elle l’aimait. Autant qu’elle aimait l’Empire d’Imeriän. Et c’était bien au nom de son amour qu’elle se déplaça un peu, puis se retourna, avec un sourire légèrement coquin, en roulant un peu des hanches, pour remonter sur son trône, où elle se retourna. La jeune femme s’assit sur son fauteuil, avec un regard empli de malice, en écartant légèrement les jambes, juste assez pour révéler son intimité.

« Maintenant, Mercure, viens... Viens me montrer à quel point tu t’aimes. »

Vénus avait toujours apprécié le corps puissant de Mercure, et ses redoutables bourrades. Quand elle faisait l’amour, c’était en déployant une redoutable force, force qui, par ailleurs, expliquait son statut de terrifiante guerrière. Rien qu’à l’idée de sentir la femme venir se perdre en elle, Vénus en avait des frissons filant tout le long du corps.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le samedi 19 décembre 2015, 15:06:40
La promesse, oui. Comment oublier un tel moment, un tel jour. Il était gravé dans l’esprit de l’une comme de l’autre. C’était ce jour où l’amour entre les deux sœurs avaient réellement vu le jour. C’était bien en cette journée que Mercure, alors toute jeune mais destinée à devenir ce qu’elle est, avait fait une promesse. Vénus était elle aussi destinée à devenir reine et maitresse absolue de l’empire. Toutes les deux savaient à quoi étaient-elles prédestinées, et ce fut pour cette raison qu’une promesse fut faite alors. Celle qui visait à se dévouer à Vénus, à sa protection et à sa sécurité. Mercure avait fait l’intime parole de servir et protéger sa sœur, quoiqu’il en coute, en devenant plus tard sa chevalière. En lui promettant de l’honorer, tel que son statut l’imposait. Et tel que sa magnifique personne l’entendait. En lui promettant de la servir jusqu’à éternité, de la protéger, et de l’aimer, aussi.

Car si le plus gros enjeux était bien son allégeance et sa fidélité envers sa reine, qui impliquait d’être sa chevalière protectrice, il y avait aussi toute une part d’amour. Un amour aux composantes assez floues, cependant. Au fond, s’aimaient-elles car elles étaient sœurs ? Ou bien … Car elles étaient ce que l’on appelait, amoureuses ? Ou était-ce les deux ? Mercure, à ce jour, ne le savait pas, mais mettait tout sur le compte du sang. Mais, cela ne pouvait pas justifier le fait qu’elle allait faire l’amour à Vénus. C’était se leurrer. Il y avait bien une autre composante, mais qui de par les circonstances, et le statut de chacune des deux femmes, ne pouvaient être totalement avoué. Mais l’essentiel était là ; elles se témoignaient mutuellement de cette grande affection, notamment dans le sexe !

Et le sexe, c’était tout ce qui allait se passer dorénavant. Vénus roula des hanches puis regagna son trône, regardant profondément Mercure dans les yeux. Elle l’invita à venir lui prouver son amour, écartant doucement ses cuisses pour révéler son intimité. Voilà que les choses s’annoncèrent des plus excitantes … Après avoir purgé ce minable prince, Mercure allait enfin retrouver la chaleur et la volupté d’une partenaire digne de ce nom. Vénus en personne ! Quelle femme de l’empire pouvait ne pas succomber à son charme et à sa grâce … Surtout pas Mercure en tout cas. Ainsi, la générale s’approcha, tout en continuant de plonger son regard dans le sien. « Avec plaisir … Vénus. » Dit-elle, en souriant. Elle savait que sa sœur aimait les rapports assez vigoureux, surtout avec elle.

Elle avait pris pour habitude de faire vigoureusement l’amour avec. Chaque fois était marquée par le coté puissant et vif de la guerrière, qui redoublait toujours en efforts pour offrir le plus intense des orgasmes à sa reine. Et aujourd’hui, elle n’allait pas déroger à la règle. Quand elle fut en face de Vénus, elle ponctua son sourire par une once de malice, avant de prendre assise sur ses cuisses. Ses mains empoignèrent fermement ses seins, alors qu’elle approcha son visage et qu’elle vint chercher chaudement un baiser auprès de ses douces lèvres. Mais elle y allait voracement, fourrant délicieusement sa langue dans sa bouche. Ses doigts pressèrent sa poitrine, commençant à la masser fortement, remuant chaque sein. Deux de ses doigts finirent par prendre en étau ses pointes perçant au travers sa robe, les pinçant de manière taquine.

« Hmm … » Gémit-elle, alors qu’elle continuait d’embrasser sa sœur. Le temps s’égraina, et il était difficile de jauger combien de minutes s’écoulaient. Quand on était dans une bulle comme ici, c’était normal. Mercure finit par sentir une envie grandissante, celle d’aller soulager Vénus, dont le bas-ventre devait commencer à chauffer. Marquant une pause dans son baiser, Mercure lâcha un de ses seins, puis dirigea sa main vers la féminité de la reine, qu’elle caressa doucement en premier lieu. Ses doigts effleurèrent son bouton intime, qu’elle se mit progressivement à titiller de plus en plus fortement. Sentant sa sœur sur la bonne voie, la générale finit par s’autoriser à la suite ; c’est-à-dire qu’elle fit encore descendre ses doigts un peu plus en bas. Là, elle colla à nouveau son visage, recapturant les sublimes lèvres de Vénus entre les siennes. Et au même moment, elle commença donc à immiscer ses malicieux doigts dans cette fente si intime.

Mais, comme à son habitude … Les choses ne pouvaient pas rester sobres et délicates bien longtemps. Le rythme de ses passages s’accéléra petit à petit, doigtant de plus en plus fermement la reine. Mercure espérait au moins qu’elle n’ait pas perdu l’habitude entre tous ces mois d’absence … Seule Vénus était qualifiée pour le lui dire, ou lui faire sentir à ce moment.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 22 décembre 2015, 01:34:30
L’inceste n’existait pas entre Déesses. Et, de manière générale, à Imeriän, les mœurs sexuelles, si elles existaient pour garantir un minimum de vie sociale, n’avaient que peu d’impacts. En ce qui concernait Vénus, la loi était les mots émanant de sa bouche. Elle faisait et défaisait la loi, bénéficiant des trois pouvoirs sur sa tête. Si elle avait envie de coucher avec sa sœur, rien ne pourrait l’en empêcher. C’était Mercure qui lui avait pris sa virginité, et qui était sa plus régulière amante. Bien sûr, elle n’était pas la seule de ses amantes. Vénus avait couché avec énormément de monde, car, étant une Déesse, elle avait naturellement des besoins sexuels plus poussés que de simples humaines. La Grande Déesse avait ainsi couché avec chacune de ses Nymphes, et même avec de simples citoyennes. En tant que Déesse, elle avait un rôle important au sein de la société. Quand des individus voulaient se plaindre d’une décision de justice, ils pouvaient faire appel auprès d’elle, sous certaines conditions spéciales, et il arrivait parfois que, parmi ces conditions, il y ait la nécessité de faire jouir la Déesse. Et, par ailleurs, il arrivait aussi fréquemment que Vénus se contente de convoquer certaines personnes pour leur faire l’amour, ou qu’elle se rende dans une maison pour coucher avec les personnes à l’intérieur. Nul ne pouvait se refuser à Vénus, nul ne pouvait lui interdire quoi que ce soit. Corps et âmes des habitantes d’Imeriän appartenaient intégralement à la Grande Déesse, à Vénus. Elle était une Reine absolue.

Et la Reine absolue allait de nouveau profiter du corps de Mercure. Comprenant ce que la Déesse voulait, la Déesse de la Guerre se rapprocha d’elle, et se lova contre son corps, pour aller l’embrasser... Sensuellement, fortement. L’une des mains de Vénus alla saisir ses cheveux, tandis qu’elle se mettait à gémir et à soupirer, en sentant ce corps se presser contre le sien, ce corps fort et musclé. Ah ! La bouche de Mercure ! Ah ! La douce sensation de ses lèvres, de son corps.. Yeux clos, Vénus sentit un intense frisson la traverser, une vague qui remuait dans tout son corps. L’une des mains de Mercure jouait avec son sein, et Vénus, elle, retrouvait avec plaisir l’ardeur de cette femme. Mercure se pressait contre elle, l’isolant de la cérémonie qui avait eu lieu, de ces centaines d’hommes qui se faisaient sodomiser, à l’image de leur prince, Thibodor, qui gisait, inerte, sur le sol.

« Hmmmm... »

Ce baiser était magnifique ! Mercure lui avait beaucoup manqué pour ça... Et, sentant visiblement l’excitation de sa Déesse, Mercure déplaça sa main, caressant l’intimité de la femme, puis glissa ses doigts en elle, amenant Vénus à lui mordiller les lèvres... Puis la militaire écarta son visage, probablement pour voir le visage de Vénus traversé par le plaisir, qui se mit à soupirer et à gémir.

« Haaaa... Ouuuii, ma Mercure... »

Elle eut à peine le temps de soupirer, pour que Mercure retourne l’embrasser. Le temps n’avait pas d’impact pour elles quand il s’agissait de faire l’amour. Aucun impact, même... Elles pouvaient passer des heures à s’embrasser et à se câliner, et il était fréquent que Vénus ait annulé des rendez-vous ou des réunions parce qu’elle couchait avec Mercure. Elle répondit donc joyeusement à son baiser, joignant sa langue avec la sienne, une main crispée sur sa nuque... Et l’autre allant malaxer et masser l’une de ses fesses. Elle se crispa dessus, et alla même donner quelques petites gifles, tout en gémissant de plaisir, et en lui offrant son nectar intime.

Il fallait bien qu’elle rende la pareille à Mercure...
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le jeudi 24 décembre 2015, 15:07:45
Ainsi donc, la générale sentait bien l’excitation monter en sa sœur. Cela faisait depuis si longtemps, en même temps. Depuis qu’elle était partie. Pourtant, elles étaient des amantes régulières, et avaient l’habitude de se voir se faire des câlins. Elles ne comptaient pas le temps qu’elle y passaient, elles les faisaient, sans se soucier d’autre chose. Cela faisait donc que parfois les deux femmes passaient bien des dizaines et des dizaines de minutes à juste s’embrasser et se caresser ! Sans passer à la vitesse supérieure avant un certain moment. Le fait était qu’elles prenaient leur temps, car elles en avaient le pouvoir. Tout simplement. Elles avaient un statut suprême, qui leur conférait le pouvoir absolu. Surtout pour Vénus, d’ailleurs.

Néanmoins, après autant de temps si loin de sa sœur, Mercure avait furieusement envie de lui faire l’amour. Pas en passant des longues minutes à gouter à ses lèvres, aussi délicieuses étaient-elles. Non, elle souhaitait la prendre, lui faire l’amour, la faire hurler, la faire jouir tel qu’elle le méritait tant ! C’était donc avec cette objectif en tête que la générale ne cessait de la doigter, alternant entre un rythme plus lent et doux, et un rythme rapide et plutôt fort. Ses lèvres maintenant les siennes en otage, refusant alors de les laisser partir. Le baiser s’éternisa entre les deux femmes, qui gémissaient ensembles. Pour Mercure, c’était toujours un grand moment de faire l’amour avec Vénus. Ce n’était pas simplement un petit câlin qu’on ferait avec une femme lambda ; là, c’était la Reine ! Voire mieux, c’était sa sœur.

Il y avait tout le prestige et le respect qui en découlait. Yeux clos, Mercure continuait donc de jouer avec la langue de Vénus, danser avec elle en un balais mouillé et très tendre. Cependant, elle finit par le rompre, et regarda le doux visage de la reine. Un sourire heureux se dessina sur ses lèvres gourmandes, alors qu’elle cessa aussi de la doigter. Elle ramena ses mains à elle, puis d’un geste malicieux, vint passer lentement ses doigts sur les délicates lèvres de Vénus, les caressant à fleur de peau. En fait, elle cherchait à en introduire deux entre celles-ci, et quand ce fut le cas, elle entrouvrit elle-même la bouche, soupirant doucement en voyant cela. Mercure sentit la douce langue de Vénus venir titiller le bout de ses doigts agiles, récupérant alors la mouille présente dessus.

Elle laissa les choses ainsi pour un petit moment, puis finit par retirer doucement ses doigts, avant de les lécher à son tour. Ainsi, elle put goûter à la fois à sa mouille et à sa précieuse salive (Bien que tout était précieux chez Vénus …), en ronronnant de plaisir. « Hmm … » Gémit-elle doucement, savourant pleinement cette mixture des plus onctueuses et savoureuses. Planant dans un petit monde de délices, pendant un moment, elle finit par revenir à la réalité, en retirant ses doigts de sa bouche. À cette instant, elle avait une autre envie, qu’elle concrétisa sur-le-champ, en reculant un peu tout en se penchant. Ses mains glissèrent sur la doucereuse peau de Vénus, avant de venir rejoindre sa magnifique poitrine, qu’elle empoigna très fermement. « Depuis notre première fois tu t’es sacrément bien développée … » Dit-elle, faisait référence à la taille de sa poitrine quand elle était petite.

Ainsi, ses mains fermes commencèrent à masser tendrement ses délicats seins, les malaxant chacun dans un sens. Elle fit cependant attention à gentiment stimuler ses petites pointes rosées de par ses doigts, les roulant délicieusement. Finalement, elle ne put résister plus longtemps et vint remplacer ses doigts par ses lèvres, capturant ainsi son premier téton. Elle ronronna quand elle se mit à jouer avec sa langue, pressant dessus sensuellement. Mais, pour autant, elle continuait à flatter son autre sein …
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 27 décembre 2015, 22:09:18
Vénus et Mercure, une union sacrée, parfaite, divine. Les deux femmes ressentaient chacune, l’une pour l’autre, un profond amour, une immense affection, qui se démontrait encore en ce moment. Vénus goûta donc aux lèvres de Mercure, jusqu’à ce que cette dernière vienne rompre le baiser. Comme elle s’y attendait, Mercure prit la suite des opérations, ce qui était exactement ce que Vénus voulait. La Grande Déesse avait beau diriger le monde entier, en matière de sexe, il n’y avait qu’une seule personne qui, systématiquement, pouvait la commander et la guider : sa Déesse de la Guerre, Mercure. Les Nymphes, elles, observaient silencieusement ce spectacle, amusées et excitées. Toutes aimaient faire l’amour avec ces deux Déesses, si proches, et pourtant si différentes... Vénus n’était que grâce et finesse, élégance et courbe, là où Mercure couplait sa grâce avec des muscles saillants, et avec une force redoutable. C’était une autre forme de beauté, mais très réussie aussi. Qui oserait prétendre le contraire ?

Quand elles virent les doigts humides de Mercure se nicher dans la bouche de Vénus, elles sourirent, se regardant légèrement, tout en continuant à joyeusement les observer, de leurs regards pervers et lubriques. Vénus, elle, avala donc sa mouille, mouille qui, disait-on, avait des vertus magiques. Ses mains caressaient les hanches de la femme, et elle suça donc les doigts de Mercure, sans cesser de la regarder. Si heureuse, elle était si heureuse de la voir !

« Oh, ma Mercure... Tu fais toujours autant de bien à mon corps... Qui mieux que toi sait comment t’en occuper, après tout ? »

Après ses lèvres, Mercure avait déplacé son attention vers les généreux seins de Vénus. Sa poitrine avait effectivement bien enflé depuis le moment où, petites, elles se faisaient tendrement l’amour. Les douces et fermes mains de Mercure allèrent donc jouer sur les seins assoiffés de Vénus, pinçant ses tétons roses, s’enfonçant dessus, la faisant soupirer lentement. Vénus se tortillait sur son trône en gémissant de plaisir, se mordillant les lèvres. Mercure jouait avec ses mains, et, en sentant les tétons de la belle Vénus se durcir, elle approcha sa bouche de ses seins.

« Ooooh, Mercure... »

De nouveaux soupirs vinrent s’échapper des lèvres de l’Impératrice, qui se tortilla sur son fauteuil, crispant ses mains sur la longue chevelure noire de la femme. Ses jambes vinrent aussi se presser contre son corps. Tout, dans l’attitude de Vénus, exprimait sa soif de sexe, son envie, féroce, de coucher avec elle, de lui faire joyeusement et férocement l’amour.

« Haaaann... O-Ouiii, hummm... Tu es affamée, ma chérie, haaaa... »

Affamée, c’était bien le mot ! Et, Dieu, que ça pouvait faire plaisir à Vénus !
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le mardi 29 décembre 2015, 23:24:12
Vénus avait placé les bons mots, pour le coup. Oui, Mercure était affamée ! Elle l’était tellement depuis qu’elle avait passé beaucoup trop de temps en étant éloignée de sa sœur. C’était donc normal que, en revenant, elle soit si excitée et si enthousiaste à l’idée de coucher avec elle. Elle y mettait tout son cœur et son corps dans ceci, se traduisant donc par une attention toute particulière portée sur sa poitrine. La générale faisant donc rouler sa petite langue sur les pointes roses de Vénus, stimulant celles-ci de toute part. Ses mains finirent même par se substituer, pour venir se glisser dans le dos de Vénus, afin de la forcer à se cambrer un tout petit peu. Mercure usa de sa grande force pour faire ceci. De cette manière, elle pouvait avoir un bien meilleur accès à ses seins, qu’elle honorait comme il se devait.

Mercure ronronnait de plaisir à chaque instant, tellement qu’elle aimait ce qui était en train de se passer. Sa langue ne cessait de donner des petits coups sur les tétons pointant de Vénus, alors qu’elle léchait et goutait généreusement à son sein dans sa globalité, au même moment. Ils étaient si tendres et si délicats, il en devenait un pur régal de s’en occuper. Un véritable délice dont Mercure en savourait chaque partie, chaque instant. Ses yeux étaient mi-clos, et elle s’en allait dans son petit monde de plaisir et de douceur. À chaque seconde qui passait elle redoublait d’effort, finissant même par effectuer de petits suçons pour stimuler d’avantage ces savoureuses pointes.

Mais, au bout d’un moment, elle finit par relever sa tête et croisa son regard avec celui de Vénus. Elle lui sourit puis, approchant son visage, elle embrassa le bout de son petit nez. « Je crois qu’en fait … C’est tes lèvres qui m’ont le plus manqués. » Déclara-t-elle, avant de se pencher et de venir capturer à nouveau ses lèvres, lui donnant un baiser des plus tendres et langoureux. Sa langue partit directement chercher la sienne, et commença alors à fiévreusement s’acoquiner avec, se tordant, se mêlant à elle avec un plaisir fou. « Hmm … » Ronronna Mercure, qui ferma les yeux. Sa main alla cajoler la joue de sa sœur, frottant doucement sa joue de son pouce. Elle avait toujours été si douce et délicate, ne serait-ce qu’au niveau de sa peau. Bien que Mercure était une militaire, et que ce genre de choses n’étaient pas vraiment son centre d’intérêt, elle aurait bien aimé connaitre comment Vénus faisait pour avoir une peau aussi … Parfaite.

Après tout, de par son statut, elle se devait d’être un minimum belle. Néanmoins, en l’absence de cette formule magique, elle pouvait toujours profiter pleinement de cette douceur et de ce toucher, en la caressant de toute part. Pour le moment, c’était sa joue … Et ses lèvres car Mercure ne cessait de l’embrasser.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 02 janvier 2016, 13:02:25
Vénus et Mercure flirtaient doucement et sensuellement ensemble. Quoi de mieux, après s’être soulagées sur le corps du brave Thibodor ? Le superbe Prince continuait à être sur le sol, incapable de bouger, et se contenta juste de brièvement remuer le visage, vers la gauche, pour voir son armée en train de se faire asservir, puis la tourna ensuite à droite, où il voyait Vénus et Mercure s’embrasser ensemble. Malgré sa pisse, et cette odeur qui l’imprégnait, le Prince ne pouvait s’empêcher de les trouver superbes. C’était terrible à dire, car elles étaient clairement l’ennemi, mais il se dégageait de cette femme une arrogante beauté, à laquelle ses bas-instincts ne pouvaient s’échapper. Imeriän était un endroit rempli de superbes créatures, toute en courbe et en muscles, ce qu’il n’avait pas là d’où il venait... Et, sur le long terme, il avait peur que ce soit finalement ça qui ait raison de lui, de sa fierté, et de son honneur.

Et Vénus, elle, goûtait donc avec délice aux lèvres tendres et fermes de Mercure. Sa main continuait à caresser ses cheveux, mais, plus Mercure la titillait, et plus elle la frustrait... Et la Déesse savait très bien ce que Mercure faisait. Son insupportable grande sœur était en train de jouer avec elle en ce moment. Elle la provoquait, et Vénus mordilla la lèvre de la femme, tirant dessus, avant de rompre le baiser dans un claquement... Et, juste après ça, ses jambes s’enroulèrent autour de la taille de Mercure, et Vénus soupira longuement.

« Ne viens pas me faire croire que, après tous ces mois de campagne, tout ce que tu voulais me faire, à moi et à mon corps, c’était juste m’embrasser ? Je te connais, Mercure, hummm... Et je me connais ! »

Vénus était la Grande Déesse d’Imeriän, ce qui faisait qu’elle dominait toujours ses partenaires. Personne n’osait prendre d’initiatives, et, si elle acceptait ça, il fallait aussi admettre que, parfois, il était aussi amusant d’inverser les rôles, de devenir la proie des fantasmes de son amante, et de laisser cette dernière agir, vous posséder totalement, et être son jouet... Mais Vénus ne connaissait qu’une seule personne, au sein de l’Empire, qui puisse faire ça, qui puisse jouer avec elle en feignant l’innocence.

« Je... Je veux que tu me baises, Mercure... Tu sens comme mon corps est impatient ? dit-elle en le caressant. Il a envie que tu le prennes, envie que... Envie que tu le baises, avec ta force et ta passion, comme tu sais si bien le faire... »

La Déesse se crispa à nouveau contre le corps de la femme.

« Baise-moi ! » finit-elle par ordonner.

Tout simplement.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le lundi 04 janvier 2016, 20:38:15
C’était un fait indéniable ; Mercure adorait s’amuser de Vénus. Gentiment cela dit, mais ce qu’elle adorait voir sa sœur s’impatienter. Il fallait dire qu’elle avait tout fait pour l’exciter, pour attiser le feu en elle et maintenant … Elle continuait à la teaser, rien que pour la faire frémir encore plus. Cela passait non seulement par des caresses très spéciales, mais aussi par des petites provocations verbales. Comme ce qu’elle venait de lui dire à propos de ses lèvres. Le résultat fut immédiat, et donna à Mercure un sourire bien malicieux. Vénus n’avait fondamentalement pas changé depuis son plus jeune âge. Elle était toujours aussi susceptible ! D’un certain point de vue, bien entendu. Mercure s’amusait bien à la voir soupirer longuement, et elle en fut des plus ravie quand elle craqua.

En effet, elle finit par intimer l’ordre à sa générale, de venir la baiser. Tout simplement. Aussi clair et concis que cela. La miliaire resta silencieuse, puis lui donna un dernier baiser, court, avant de répondre. « Hmm … Je t’ai réellement manqué visiblement … » Dit-elle, faisant allusion à ses dires précédents. Vénus avait montré à Mercure combien son corps était impatient et avait besoin de sa force, de sa vigueur. La générale le comprenait parfaitement et, pour le coup, elle aussi avait grandement envie. Cela tombait à pic donc ! Trêve de flatteries en tout genre, Mercure se redressa un peu, faisant donc complètement face à sa sœur. Elle lui sourit, puis se mit à se concentrer, ses traits se crispants un peu. En réalité, Mercure était doté d’une étrange, mais utile, faculté. Elle était née en tant que Futanari, c’est-à-dire, qu’elle pouvait se doter d’un beau joujou d’homme à tout moment.

La seule chose était qu’elle ne pouvait pas utiliser ses deux sexes en même temps. Quand l’un était là, l’autre n’était plus. Donc, quand elle fit sortir son service trois-pièce, celui-ci fit complètement disparaitre sa petite fleur. Mais, c’était pour le grand plaisir de Vénus, qui demandait tant à se faire prendre. Mercure passa lentement sa main le long de sa grosse et assoiffée verge, avant de se remettre en position. « Serres les dents ! » Lui dit-elle, avant de rapidement orienter son sexe vers celui de Vénus … La teasant une dernière fois, avant de subitement abattre son bas-ventre, avec force. Si Vénus voulait se faire baiser, elle allait être servit ! Mercure commença lentement à aller et venir, et augmenta assez rapidement le rythme, estimant que Vénus était déjà suffisamment prête.

Elle poussa des vigoureux râles, ressentant un plaisir immense, qu’elle n’avait guère ressentie depuis fort longtemps. Sa queue entrait et sortait, de plus en plus rapidement. Mais, le fait que Vénus était assise sur un trône rigide n’aidait pas vraiment. La position était un peu abrupte, et Mercure faisait donc ce qu’elle pouvait. « Hmmmm ! » Soupira-t-elle, labourant vigoureusement Vénus, comme elle l’avait si gentiment demandé.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 07 janvier 2016, 10:29:03
Quand Mercure remarqua qu’elle avait « réellement » manqué à Vénus, cette dernière fronça les sourcils, prenant un air courroucé, avant de lui répondre :

« Tu... Tu oses en douter ? »

L’impertinence de Mercure ne manquait vraiment pas de limites ! Non contente de la faire souffrir en jouant ainsi avec ses nerfs, la belle allait jusqu’à remettre en question la nature exacte de sont rouble. Mais il était bien évident que Mercure avait manqué à Vénus ! Sa redoutable beauté, son autorité naturelle, sa force, son charisme... Mercure, en réalité, ne manquait pas de charme. Elle était une femme pleine de muscles et d’harmonie, une beauté très masculine, tout en étant aussi très féminine. Oui, comment pouvait-on ne pas l’aimer ? Comment pouvait-on ne pas avoir envie d’elle ? Vénus sentait sa frustration exploser, et manqua s’assécher en voyant Mercure faire finalement pousser son service trois-pièces, comme la preuve qu’elle était prédestinée à être une Déesse.

En voyant ce mandrin érigé et assoiffé, Venus se mordilla les lèvres, et regarda la femme, en souriant légèrement, une lueur de malice pimpant au fond de ses yeux. Ses mains gantées se crispèrent sur l’accoudoir de son trône, puis le corps de la Générale se rapprocha d’elle, le bout de sa queue venant flatter et jouer avec ses lèvres intimes.

« Hun... »

Vénus se mordilla les lèvres, avant de sentir la queue de Mercure s’enfoncer en elle. Sa main se crispa sur la nuque de la femme, et elle poussa un long soupir, ses lèvres s’ouvrant dans un geste de désir et de plaisir. Une magnifique expression visuelle, tandis que son autre main se posa sur son épaule. Tout son corps soupira et se tendit, et ses jambes se redressèrent, venant s’enrouler autour des hanches de Mercure, appuyant dessus.

« Haaaa... !! »

Mercure s’abaissait contre elle, la pilonnant, et le corps de Vénus s’enfonçait contre le trône, avant de repartir en arrière. Elle allait jouir dessus, sur le trône d’Imeriän, là-même où elle rendait la justice. Hum ! Quelle sensation merveilleuse ! La femme se mordillait les lèvres, et alla embrasser Mercure, plaquant son corps contre le sien, tout son corps se plaquant et fondant contre le sien. Oh oui, ce contact...

Magnifique ! Tout simplement magnifique ! Son corps en était demandeur, et elle continuait à se frotter contre le corps de la femme, en sentant cette grosse verge s’enfoncer en elle, et la ramoner de l’intérieur.

« Hoooo... O-Ouuuuiii... »

Que demander de plus quand votre aimée vous prenait ainsi ? C’était tout ce que Vénus souhaitait !
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le samedi 09 janvier 2016, 16:32:06
Mercure adorait taquiner, légèrement, sa sœur. En réalité ce cas de figure arrivait quand les deux sœurs se laissaient aller à un moment intime, personnel, sans que leur titre respectif ne soit de la partie. Ce n’était qu’à moitié le cas, actuellement, mais cela n’empêcha guère Mercure de titiller un peu Vénus. Après tout, c’était les retrouvailles non ? Tout devait être joyeux. Après avoir fait pousser son service trois-pièce, la générale n’avait guère tarder à s’en servir, pour mieux satisfaire les exigences de la noble Reine. Ainsi, elle se mit à la pilonner, lentement, et frissonna en sentant sa sœur enrouler ses délicates jambes autour de ses hanches. S’était comme si elle s’agrippait à elle, ne voulant la quitter. En la serrant ainsi, elle s’assurer que Mercure ne reculerait pas, et resterait blottie contre elle quoiqu’il arrive.

De toutes les manières, il n’était pas dans les intentions de Mercure d’arrêter. Elle continuait ses vas et viens, faisant gémir de plaisir sa sœur. Un sourire satisfait s’imprima sur ses lèvres, alors qu’elle sentait son corps se lover contre le sien. Vénus et Mercure se lovaient entre elle, leurs corps se frottant l’un à l’autre, causant mille et un plaisirs. Et que dire du baiser que Vénus finit par lui offrir. Si la générale avait dit ça pour la taquiner, c’était une vérité, quelque part. Les lèvres de sa sœur lui avaient bel et bien manqués, mais parmi tant d’autre choses. Ce qu’il était bon de sentir à nouveau ses lèvres, leur gout, leur touché … Si exquis, parfumé, délicat.

Mercure l’embrassa fougueusement, plongeant sa langue dans sa bouche avec appétit. Oui ! Elle adorait ce baiser comme jamais auparavant. Les baisers étaient la base fondatrice ; c’était la première chose qui avait déclenché tout ceci. Quand elles furent plus jeunes, ce fut un baiser qui déclencha leur première fois. Un unique et simple baiser. Ce n’était donc guère étonnant de voir que Mercure en raffolait. Le baiser avait quelque chose de très fort symboliquement. Elle continua de l’embrasser, encore et encore, entrecoupant cette douce étreinte pour reprendre souffle, ou pour laisser ses gémissements sortir. Au même moment, elle n’arrêta guère de la pilonner, enfoncer son douloureux mandrin dans son intimité, sans relâche.

Mercure accéléra le rythme, et à présent, elle y allait autant avec force qu’avec vitesse. « Haaaaannnn !!! » Gémit-elle, finissant par poser fermement ses mains sur la grosse poitrine de Vénus, pour prendre appui. Le plus agréable des appuis, d’ailleurs. Mercure en profita pour la peloter comme il se devait, remuant sur ses seins, les stimulant malgré elle. Elle sentit la mouille de sa Reine couler le long de ses cuisses, gouttant sur le trône impérial. Trône qui avait une puissante valeur, mais qui en ce moment même, se retrouver réceptacle de la mouille de la Reine. Mercure connaissant bien des Imeriannes qui auraient tout donné pour ne serait-ce qu’avoir un échantillon de cette mouille, tellement la personne de Vénus était aduler dans tout l’empire. Et à juste titre ! Et encore mieux, Mercure était la première l’aduler.

« Hawwwww V-Vénus !!! » Couina Mercure, redoublant de force dans ses coups de butoirs.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 13 janvier 2016, 00:57:09
Autour d’elles, les Nymphes souriaient légèrement, amusées devant ce singulier spectacle. Voir Mercure et Vénus se faire l’amour était un spectacle dont elles n’arrivaient tout simplement pas à se lasser, tant c’était agréable et beau à voir. Elles se mordillaient les lèvres, les humectant, se faisant des œillades entre elles, en gloussant ensuite doucement. Les multiples prisonniers d’Imeriän continuaient à être sodomisés, et nombre d’entre eux avaient déjà joui, s’abandonnant peu à peu dans les joies du sexe, et dans ce que le sexe entraînait : l’absence, l’aliénation. Peu à peu, tous ces hommes étaient, à l’image du Prince Thibodor, en train de s’abandonner. Ils ne pouvaient rien faire d’autre que subir, encore et encore, et formaient un magnifique contexte face aux ébats sexuels de Mercure et de Vénus. La puissante Déesse pénétrait l’autre, s’enfonçant généreusement en elle, sa queue tendue remontant dans tout son corps, tapant, encore et encore, contre cette dernière.

« HAAAA… Haaaaaaaaaa… !! »

Vénus se crispait encore contre le corps de la femme. Mercure la pénétrait joyeusement, profondément, l’embrassant, encore et encore. La Grande Déesse goûtait avec délice aux lèvres de la femme, mais, plus le temps passait, et plus sa soif devenait forte. Elle gémissait, crispant ses doigts sur sa nuque, et alla, à son tour, l’embrasser également. Sa langue se mélangea à la sienne, et son corps continua à se lover contre le sien… Puis Vénus la repoussa alors, avec un sourire espiègle.

La queue de Mercure sortit de son antre intime, qui dégoulinait de mouille. En lui souriant, elle se retourna alors, en s’appuyant sur le trône, lui présentant ainsi l’ourlet de ses fesses, et son corps merveilleux. La femme se cambra bien, bombant son adorable petit cul, et esquissa un léger sourire.

« Prends-moi en levrette… Je veux sentir toute ta force s’abattre sur moi, Mercure… Allez… Défonce-moi !! »

Elle ordonna ça, avec une envie forte… Forte et impériale !
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le jeudi 21 janvier 2016, 15:29:32
Mercure adorait ce qui était en train de se produire. Elle avait fait sortir son service trois pièces rien que pour satisfaire sa reine, qui demandait à être prise avec force. La générale ne pouvait que lui obéir et avait donc décidé d’avoir recours à cette particularité physique pour la satisfaire. Et le moins que l’on pouvait dire était que les retrouvailles étaient fantastiques. Très sensationnelles. Mercure ne pouvait mieux le ressentir qu’au moment où elle pénétrait hargneusement Vénus, labourant son intimité. Sa queue toute tendue et fière ne cessait ce balais terrible, pilonnant le fond de cette féminité qui lui avait tant manqué !

Au même moment, ses lèvres s’étaient prises d’un grand attachement aux siennes. Les deux sœurs s’embrassaient jusqu’à en perdre le souffle, encore et encore, faisant jouer leurs langues entre elles. Vénus était toute crispée contre le cœur puissant de Mercure, qui la prenait avec tant de hargne. Un délice sans fin, qui ne cessait pour aucune raison. C’était aussi un spectacle des plus savoureux à regarder pour les Nymphes, qui s’en donnaient à cœur joie. Ce n’était pas tous les jours qu’elles pouvaient assister aux ébats sexuels des deux plus grandes maitresses du pays. Lovées l’une contre l’autre, les deux sœurs continuaient à s’embrasser et à se faire l’amour, jusqu’au moment où Vénus décida de changer un peu les choses.

En effet, celle-ci finit par mettre fin au baiser et afficha alors un sourire qui piqua à vif la curiosité de Mercure. Qu’avait-elle donc en tête ? La générale était habituée à devoir faire face aux curiosités de Vénus, mais elle ne pouvait jamais deviner ce qu’elle allait faire à l’avance. Elle se laissa ainsi guider, et grimaça un peu en sentant sa verge toute assoiffée sortir de sa petite fleur. Si cela n’avait tenu qu’à elle, Mercure aurait d’abord finit la besogne par ici, et ensuite, elle l’aurait commencé ailleurs. Elle était endurante, elle en était capable ! Mais la volonté de Vénus passait avant tout, même avant le sien. Et, de ce fait, elle ne put que sourire en voyant la position qu’adopta Vénus.

« Je te préviens, si j’y mets toute ma force … Tu ne pourras plus t’asseoir pendant un certain temps. » Déclara-t-elle, en posant fermement ses mains sur la merveilleuse croupe de sa sœur. Elle la malaxa tendrement, écartant progressivement chaque fesse de l’une comme de l’autre. La générale se mordilla la lèvre en voyant la petite fente se présenter, l’invitant à venir se perdre en elle. Vénus lui avait donné un ordre, d’une voix ferme et impériale, qui ne laissait aucune autre possibilité si ce n’était l’obéissance. Ses mains continuèrent à masser ce tendre fessier, jusqu’à ce qu’elle dégage une main pour venir saisir sa trique douloureuse, et ne vienne l’orienter correctement. Son gland tapa contre sa petite rondelle, se frottant doucement contre, jusqu’au moment où Mercure prit solidement appui … Et donna un grand coup de butoir.

« Haaa ! » Gémit-elle, en rentrant son mandrin d’un seul coup ! La sodomie était toujours un péché mignon entre les deux sœurs ; Mercure étant une sorte d’hermaphrodite, elle avait su séduire sa sœur vis-à-vis de cette pratique. Si auparavant c’était surtout elle qui faisait tout pour y parvenir, force était de constater que désormais, c’était Vénus qui faisait le premier pas. Ainsi, Mercure s’enfonça dans ses entrailles, la pénétrant lentement, et joyeusement. Les fesses de Vénus étaient toujours aussi accueillantes, et c’était toujours un énorme plaisir que de la sodomiser. Mercure se mordillait hargneusement la lèvre, alors qu’elle ne put résister à l’envie de claquer fortement son fessier. - *VLAM* - Et voilà qu’une grande claque retentit. Ce geste l’avait beaucoup motivé, et de ce fait, la générale se mit à accélérer le rythme … Tout en fournissant une grande force à ses coups de butoirs.

« Haaaww V-Vénus ! » Gémit-elle, se mettant à faire de vigoureux vas et viens dans son fondement.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 23 janvier 2016, 00:53:29
Se mordillant les lèvres, Vénus savait tout à fait ce à quoi elle se risquait. Tournant la tête vers Mercure, elle l’incitait à venir, et ce en sachant que la pénétration allait être intense. Mercure était ainsi, une femme endurante, violente, passionnée… Et, au risque de se le répéter, c’était ce que Vénus voulait avec elle. Ses Nymphes, par exemple, étaient des amantes douées, mais douces, très douces, se refusant à la violenter trop, n’osant pas le faire, même si l’Impératrice le leur ordonnait. Seule Mercure avait le culot de le faire, et c’était ça que Vénus aimait. La belle blonde se mordilla donc les lèvres en sentant le corps de Mercure se rapprocher, et elle se positionna vers l’assemblée, de manière à pouvoir voir son armée pendant qu’elle se ferait prendre… Et, comme elle s’y attendait, ses soldates, tout en pénétrant et en violant les ennemis, ne pouvaient s’empêcher de les regarder. Mercure et Vénus, leurs Reines… Elles savaient ce qui allait se passer. Mercure aimait sodomiser ses soldates, et ces dernières considéraient comme un véritable honneur le moment où Mercure était suffisamment excitée pour sortir sa queue. C’était un attribut propre à Mercure, car l’hermaphrodisme n’était pas courant à Imeriän, la preuve, s’il en fallait une, que Mercure était marquée par les Dieux. Vénus adorait sa queue, et elle se mordilla les lèvres en sentant ce mandrin se rapprocher de son délicat orifice…

Puis son membre rentra en elle, et Vénus hoqueta, avant de soupirer longuement. Han, cette queue ! Han, ce sexe ! Le plaisir éclata en elle, et ses mains se crispèrent sur le sol, puis elle se mit à gémir, et à hurler ensuite, surtout quand Mercure se mit à la gifler.

« HAAAAAAAAAAA… !! »

Elle hurla donc en redressant la tête, yeux clos, puis continua à onduler, en accompagnant les mouvements de la femme, et ses coups de bustier. Mercure était une femme dure, entreprenante, solide et musclée… Vénus le sentait bien, et elle adorait ça, ce moment, cette sensation, ce plaisir névralgique qui éclatait, mélange de plaisir et de douleur. Tout son corps en trépignait de joie et d’excitation, et, se mordillant les lèvres, elle continuait à se faire prendre, à savourer ce joyeux bourrage de cul.

« Hmmmm… Haaaaa… Mercure, hnnnn… En… Encore, haaaa… !! Baise-moi !! Hmmm… Haaaaa… »

Les Nymphes se mordillaient les lèvres, tout en sentant leur propre excitation croître sous ce spectacle. Elles étaient, après tout,  aux premières loges d’une danse formidable, celle entre Mercure et Vénus. Un spectacle de toute beauté, où les deux amantes se faisaient rudement l’amour.

« Hoooo… !! »

Pour les Nymphes, c’était effectivement un spectacle magnifique à voir…

…Et, pour Vénus, c’était encore plus merveilleux à ressentir !
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le dimanche 31 janvier 2016, 18:21:33
De toute ses amantes, au travers toute sa vie, c’était belle et bien Vénus qui répondait aussi hargneusement à la sodomie. Pratique qu’affectionnait tout particulièrement Mercure, étant une hermaphrodite. Rare était les fois où elle sortait son mandrin, pour s’en servir. Car rare était les amantes dignes et capables d’encaisser ce sexe puissant et avide. Car quand Mercure s’en servait, ce n’était pas pour aller dans le détail et la finesse. C’était pour du labourage, du gros œuvre, du sexe puissant, assoiffé et abrupte. Pas forcément violent, mais vigoureux. À l’image de ce qu’elle était en train de faire à sa sœur, qui lui avait offert sa croupe. Une invitation directe à se faire sodomiser, que Mercure saisit immédiatement.

La générale s’était mise à lui bourrer les fesses, leur donnant de grandes gifles au passage. Vu leur masse et leur tendresse, cela ne devait nullement faire mal à Vénus. Ou tout du moins, juste le nécessaire pour rehausser agréablement la sodomie dont elle était victime. Mercure ne la ménageait pas, y allant avec force et entrain. Son bassin remuait d’avant et arrière, fourrant cette cavité si étroite et si sensationnelle. Les mains de Mercure étaient solidement agrippées à ses hanches, dont elle se servait comme poignées pour prendre appui, afin de mieux enfoncer sa trique veineuse dans son fondement. « Haaaaann ! Hmmmm ouiii, ça t-t’as manqué hein ? Je vais te b-baiser, encore et encore ! Hooooo oui, je vais te BAISER ! » Lui dit-elle, en lui assénant une nouvelle claque sur sa merveilleuse et généreuse croupe, tout en continuant de la sodomiser avec force et hargne.

La sodomie poussait à employer la force, car cette pratique était hyper stimulante et agréable. Mercure voyait et sentait sa verge se faire gober par la petite rondelle de Vénus, insatiable. Ses doigts se crispèrent sur sa chair, à un tel point que ses doigts s’enfoncèrent dedans. Elle serrait des dents, sentant la hargne la gagner de plus en plus. De longues minutes s’écoulèrent, pendant lesquelles Mercure continuait de prendre sa sœur avec toute la force qu’elle pouvait. Elle la forçait à rester contre elle, et à chaque coup de butoir, elle s’enfonçait en un gros coup, qui résonnait de partout. Sa trique s’enfonçait jusqu’au bout, et ses bourses claquèrent autant contre ses fesses. Elle y allait rapidement, très rapidement, mais toujours avec cette force incroyable. « HNNNNN ! » Gémissait-elle, faisant un immense effort pour garder le cap sans s’abandonner en elle.

Sa trique continuait à la labourer encore et encore, faisant trembler ses merveilleuses fesses de toute part. Son corps remuait d’avant et arrière, et elle sentait que Vénus accompagnait ses mouvements, pour encore mieux s’empaler sur son vit. Mais pourtant, après encore quelques temps à la prendre de toutes ses forces, Mercure craqua. S’enfonçant une ultime fois en elle, sa verge, toute brûlante et assoiffée, finit se mettre à cracher tout ce qu’elle avait emmagasiné. Un déluge de foutre s’immisça dans les entrailles de Vénus, alors que Mercure se mit à hurler, sans aucune retenue, étant complètement foudroyée par l’orgasme. « HAAAAAAAAAANNNNNN OUIIIIIIIIIIIII !!! » Hurla-t-elle, fourrant généreusement les intestins de sa sœur de sa chaude crème, se vidant complètement.

Elle lui donna une ultime gifle, faisant à nouveau claquer ses belles fesses. On ne pouvait nier le fait que Mercure semblait avoir un net coup de cœur pour la croupe de sa sœur … Elle semblait être in-love avec.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 31 janvier 2016, 22:22:26
Au rythme des vociférations et des claques de Mercure sur le postérieur de Vénus, la sodomie se poursuivait. Excitées et gênées, les Nymphes rougissaient devant une telle familiarité. Elles voyaient bien que la Grande Impératrice ne s’en formalisait pas, mais elles étaient bien incapables d’un tel degré d’irrévérence... Ces jeunes femmes respectaient tout simplement trop Vénus pour ça. Toutes les Nymphes étaient vierges quand elles rejoignaient le service de Vénus, et elles ne perdaient pas rapidement leur virginité, car il s’agissait d’un cadeau précieux, très précieux à offrir à la Reine. La Grande Déesse les traitait avec autorité, mais aussi avec soin et déférence, et, en retour, elle bénéficiait de leur obéissance servile, une obéissance qui, indiscutablement, se heurtait aux aspirations profondes et perverses de Vénus. Seule Mercure pouvait la satisfaire sur ce point, et, en ce moment, la femme s’évertuait à lui montrer tout ce dont elle était capable,  claquant et giflant sans relâche son cul, un cul bien rougi par les assauts voraces de la femme, et par cette queue massive et grosse qui remuait longuement et durement en elle.

« Haaaaannn... Haaaaa... !! »

La queue massive de Mercure continuait à la ramoner par l’arrière, faisant se déplacer le corps de Vénus, qui glissait légèrement sur le bitume. La femme soupirait longuement afin de se maintenir à quatre pattes, et ses cris se mélangeaient à ceux de son armée, les Nymphes continuant à se mordre leurs lèvres, leurs intimités doucement réchauffées, certaines se masturbant silencieusement. Oh ! Oh ! Quelle joie c’était, oui, de sentir cette dure queue remuer en elle, d’avant en arrière, sans relâche, la faisant délicieusement souffrir. Tout son corps se tendait, d’avant en arrière, sous les mouvements multiples de la femme.

« Mercure, haaaaa... !! »

Oui ! Oui ! Voilà bien tout ce qui avait manqué à Vénus : une sodomie sauvage, brutale, et pleine de passion. Le corps de la femme remuait d’avant en arrière, jusqu’à ce qu’elle finisse par sentir, dans un immense soupir, tout le corps de Mercure se relâcher. La redoutable Générale eut alors un virulent orgasme, et répandit dans son corps son foutre, se vidant longuement et profondément, intensivement. Dans un profond soupir, Vénus se mordilla les lèvres en sentant le sperme éclater, et soupira dans un ultime cri.

Vénus tremblait lentement, et se retira lentement, tournant la tête en regardant la femme.

« Ah, ma sœur, tu es vraiment... Une amante d’exception. »

La Grande Impératrice lui sourit généreusement, en se sentant délicieusement remplie.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le dimanche 14 février 2016, 21:40:44
Oh oui, ça lui avait terriblement manqué ça. Une belle et bonne sodomie dans la règle de l’art, voilà ce qui faisait du bien ! La queue de Mercure en fut toute éprouvée, mais elle venait de besogner correctement le postérieure de la Grande Imperatrice. Et cette dernière en fut, visiblement, très satisfaite. Sa petite rondelle oscillait encore alors que la sodomie était terminée, et que les souffles se reprenaient. Mercure conserva une main sur cet énorme fessier, qu’elle caressa tendrement. Elle y repensait à présent, à quel point les fesses de l’Impératrice étaient si accueillantes et agréables. Oh, ce n’était bien sûr pas ça qui lui manquait le plus, mais ça jouait pour un peu. Elle les caressait donc, un sourire satisfait aux lèvres, alors que sa tendre sœur vint à tourner sa tête pour lui confier qu’elle était une amante d’exception. Ce qui la fit naturellement sourire, en lui renvoyant chaleureusement le compliment.

Néanmoins, une idée lui traversa l’esprit. La merveilleuse croupe de l’Impératrice était devant elle, tendue, offerte. Ses yeux ne pouvaient s’en décoller et, alors qu’elle continuait de la malaxer, cette idée germa dans son esprit. Une idée bien perverse, bien entendu. Un sourire malin se dessina sur ses lèvres, alors qu’elle accentua son massage, commençant ainsi à écarter chacune des deux fesses de l’une comme de l’autre. « J’avais oublié à quel point tes belles fesses étaient si … Attirantes, ma sœur. » Lui dit-elle, sur un ton des plus coquin. Sans l’alarmer, elle rapprocha doucement son visage de cette croupe, puis colla ses lèvres contre l’une de ses fesses, l’embrassant très tendrement. Elle donna un langoureux coup de langue, puis multiplia les baisers, empoignant fermement l’autre fesse. Vénus connaissait l’appétit vorace de sa sœur en matière de sexe, et particulièrement en matière de fesses … Ce qu’elle allait faire était assez évident d’ailleurs.

Mercure ne tarda plus longtemps, et ses baisers se dirigèrent petit à petit vers la petite porte encore éprouvée de Vénus. Elle y déposa un petit baiser tout innocent, avant d’y aller un peu plus franchement. Elle prépara cette porte avec tendresse et application, jusqu’à ce qu’elle ne franchisse le pas complètement, en immisçant sa petite langue à l’orée de cette ouverture. « Hmm … » Gémit-elle, enfonçant ainsi son appendice lingual dans son fondement. Dès lors, Mercure ferma doucement ses yeux, et se mit à remuer sa langue, la faisant tournoyer tendrement. Ses lèvres enserraient le petit anneau de l’Impératrice, histoire de donner encore plus de douceur à cet instant. Ses mains vinrent quant à elles s’apposer sur chacune de ses fesses, qu’elle empoigna très fermement, en les malaxant généreusement. Il n’y avait rien de peu ragoutant dans cette affaire ; Vénus n’était que pureté. Tout son corps était pure. Tout son être était à prendre, et rien n’était dégoutant. Surtout pas aux yeux de sa sœur …

« Hmm … » Continua-t-elle à gémir, faisant tournoyer encore et encore sa petite langue à l’intérieur de ses entrailles. Elle bougeait doucement de la tête pour faire légèrement rentrer et sortir cette langue, afin de varier les sensations. Histoire d’être sûre que Vénus apprécie le moment …
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 15 février 2016, 08:54:45
Se faire baiser, se faire vraiment baiser, d’une bonne baiserie dans les règles de l’art, avec sauvagerie et brutalité, ça, elle reconnaissait que ça lui avait manqué. Tout son corps en vibrait encore, comme pour lui rappeler à quel point Mercure était une amante puissante et violente. Une femme pleine d’énergie, un vrai garçon manqué, mais avec la beauté de mille femmes réunies ensemble. Sincèrement, qui n’aurait pas envie de se faire prendre par Mercure ? La femme venait de balancer son foutre en elle, et si, en temps normal, elles auraient pu envisager de s’arrêter à ce stade, Vénus savait que Mercure en avait encore en réserve. Les deux sœurs ne s’étaient pas vues depuis des mois, et, partant de là, il était donc normal qu’elles se rapprochent très intimement.

Et, visiblement, après sa fleur intime, il y avait un autre trou du corps de l’Impératrice que Mercure avait très envie d’explorer. Toujours à quatre pattes, Vénus était en train de reprendre ses souffles quand elle sentit les mains de Mercure se crisper sur son cul... Et un gémissement, délicieux, s’échappa alors de ses lèvres :

« Haa... »

Mercure passa délicieusement à l’offensive, venant lécher la croupe de la femme, faisant délicieusement soupirer Vénus, qui ferma des yeux en se mordillant les lèvres.

« Hnnn... Mercure, hummm... »

Ça, les Nymphes pouvaient témoigner, Vénus aimait qu’on s’occupe de son cul. Elle avait un divin fessier, et, sur ce point, les Nymphes osaient la lécher, malaxer son cul, glisser des doigts, et même parfois des verges, mais toujours avec cette retenue typiquement mortelle, une retenue dont Mercure, par définition, ne faisait pas preuve. Ah oui, elle était douée ! Vénus était en train de fondre sous les délicieux et succulents coups de langue de la femme, qui s’attelait à lécher sa rondelle, à la titiller, faisant frissonner la belle Impératrice. Vénus, en conséquence, soupirait et gémissait, le corps rouge, la respiration haletante.

« Oh oui... Haaa, Mercure, tu... Hum... »

La Grande Impératrice s’en mordilla les lèvres, tout en se déplaçant d’avant en arrière.

« Encore, haaa, o-oouuuuiii... Encore ! »
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le samedi 20 février 2016, 22:12:34
Encore ! Oui, encore … C’était tout ce que désirait Vénus, autant que Mercure. Cela n’avait l’air de rien, mais s’occuper de cette petite rondelle toute frétillante avait quelque chose d’incroyablement jouissif. La générale continuait d’y introduire sa langue en la tournant dans tous les sens, afin d’éprouver d’avantage cette porte. Visiblement cela plaisait à l’intéressée, du moins si l’on se fiait à ses gémissements, qui parvenaient à l’oreille de Mercure. « Hmmm … Hmmmmm … » Continuait-elle à ronronner alors qu’elle multipliait les efforts à ce niveau. Ses mains se crispèrent tendrement sur ses belles et rondes fesses, qu’elle palpa de toute ses mains tellement étaient-elles tendres et généreuses. Un cul parfait, royal … Tout ce que l’on pouvait attendre du corps d’une femme comme Vénus ! La Grande Impératrice méritait amplement toutes les éloges possibles et inimaginables en ce monde. Elle était … Elle était tout simplement, la perfection personnifiée.

Vénus lui clama encore et encore de la lécher et de continuer ce qu’elle était en train de lui faire. Et en bonne subordonnée, obéissante jusqu’au bout des ongles, elle s’exécutait. Sa langue continuait à fourrer généreusement dans sa petite rondelle, son visage se plaquant chaudement contre sa merveilleuse croupe. Elle poursuivait ses caresses avides de ses mains, alors qu’elle ferma doucement les yeux pour se laisser transporter complètement. Vénus avait bien de la chance d’avoir un traitement si spécial … Car Mercure, avec le restant des femmes sur cette planète, n’aurait jamais osé faire une telle chose. On pouvait facilement trouver cela crade, même si en matière de sexe, ce n’était rien comparé à autres choses. Mais encore une fois, il n’y avait aucun sentiment de ce genre valable quand il s’agissait de la Grande Impératrice ; tout dans son être était pur et parfait.

Donc, aucune gêne et aucune honte à avoir. C’était d’autant plus vrai chez Mercure qui, en plus, était sa sœur. Sur cette simple relation, elle pouvait se dire que rien ne pouvait la rebuter chez sa frangine. Ainsi donc, ce fut en toute joie qu’elle continua de lécher sa petite rondelle avec amour et appétit, jusqu’à ce qu’elle ne finisse par retirer sa petite langue taquine. Un sourire délicieux s’imprima sur ses lèvres, qu’elle apposa très tendrement à même cette petite porte toute éprouvée, afin de l’embrasser. Un baiser, un deuxième, puis un troisième, avant qu’elle ne s’écarte pour de bon, en faisant attention à donner une petite tape coquine sur sa fesse droite. « Tes fesses … Hmmm tes fesses sont toujours aussi sensationnelles … » Lui déclara-t-elle, alors qu’elle se redressa complètement.

Elle lui fit donc face, puis … Fut prise d’une irrésistible et pesante envie de s’agenouiller devant ce trône. Son respect immense la reprenait, et elle s’agenouilla solennellement devant sa Reine en baissant doucement la tête, avant de parler à nouveau. « Quels sont tes désirs à présent, ma vénérable Impératrice ? » Lui demanda-t-elle d’une voix très respectueuse, attendant à présent les autres demandes de sa sœur. Elle pouvait tout lui demander, et autant qu’elle le voulait ; car outre le fait que Mercure était totalement soumise et aimante envers sa sœur, elle demeurait être à ses ordres absolus, de par son statut. Vénus pouvait donc pleinement en profiter, et lui demander encore et encore ce qu’elle désirait.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 27 février 2016, 12:21:22
Les deux beautés étaient en train de continuer à se faire l’amour. Après cette magnifique sodomie, Mercure terminait par lécher son petit cul, comme une sorte de délicieux dessert. Vénus était dans une position infamante, mais personne n’oserait le lui dire... Car la Grande Déesse pouvait faire tout ce qu’elle voulait. Elle avait le droit de déféquer en place publique si elle voulait, et personne ne pourrait le lui reprocher. Mercure léchait donc le cul de Vénus, un cul bien rempli, bien défoncé, et Mercure, après quelques instants, cessa de lécher ce cul, puis se rapprocha du visage de Vénus, en lui demandant ce que, désormais, cette dernière comptait faire.

Pour seule réponse, Vénus finit par se relever, en sentant son dos émettre de légers craquements. Elle se retrouva ainsi debout, presque nue, puis sourit devant Mercure, et l’embrassa doucement sur les lèvres.

« Haaa, je te remercie pour ton retour, Mercure, tu es... Tu es aussi douée et talentueuse que dans mes souvenirs. »

Vénus lui sourit doucement, venant ensuite caresser sa joue, avant de remettre ses vêtements. Elle remit donc sa cape, puis retourna s’asseoir sur le trône, avant de croiser à nouveau, très sensuellement, ses longues et magnifiques jambes. Elle claqua ensuite des doigts, et deux Nymphes se mirent à genoux, et vinrent chacune caresser et embrasser ses pieds, tandis que le regard de braise de Vénus se posait sur Mercure.

« Nous allons devoir dresser ton petit esclave... Pour cela, je pensais que nous pourrions aller, dans la journée, au Temple de Neptune. »

Neptune (http://img110.xooimage.com/files/e/1/1/neptune-4e886e1.jpg) était une autre Déesse, une demi-sœur de Vénus, et son temple était, en réalité, une somptueuse villa qui lui servait à dresser des hommes, faisant d’eux de parfaites filles. À ce titre, Neptune avait en charge le dressage de tous les mâles, la formation des esclaves. Un rôle civil très important, qu’elle exerçait avec sa fille, une demie-Déesse, Junon (http://img110.xooimage.com/files/6/3/9/junon-4e886e7.jpg), qui était également une femme adorant sodomiser les hommes.

C’était un endroit que Vénus aimait beaucoup voir.

« Et puis, il faut bien renouer les liens familiaux, maintenant que tu es de retour... »
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le samedi 05 mars 2016, 13:34:21
Mercure se tenait là, devant son Impératrice, en une posture droite et des plus respectueuses. Après l’avoir allègrement sodomisé, puis lui avoir dévoré la rondelle, la voilà qu’elle était revenue au point de départ. Son air dévoué trahissait de sa fierté encore plus grande la servir et d’être du même sang qu’elle. La générale lui avait donc demandé ce qu’elle comptait faire à présent, et Vénus ne tarda donc pas à répondre. Elle se remit d’abord en état, enfilant sa cape et ses vêtements, avant de se poser sur son trône. Puis, elle claqua des doigts, faisant venir deux Nymphes qui vinrent délicieusement s’occuper de ses pieds. Le regard de Mercure dévia un moment vers cette scène assez gourmande, se disant dans sa tête qu’elle aurait bien aimée en faire de même … Mais sa part avait déjà été consommé.

Ainsi, elle esquissa un malicieux sourire quand Vénus lui exposa son programme. Elle hocha respectueusement de la tête, avant de répondre. « Je suis entièrement d’accord avec toi. La famille c’est … Sacrée. » Répondit-elle, joignant ses mains devant elle. Elle savait à présent que durant la journée elle allait devoir se rendre, avec Vénus, chez ses demi-sœurs, au Temple de Neptune. Dans le but de dresser son petit esclave fraichement ramené de sa longue campagne militaire. Mercure inclina une dernière fois la tête, puis partit chercher ses pièces d’armures qu’elle enfila à nouveau. Elle se rhabilla donc, puis se dirigea vers Thibodor, qui gisait toujours au sol … Et qui baignait encore plus dans son propre foutre, avec sa queue étalée contre lui-même.

« Sale parasite, tu t’es bien rincé l’œil à ce que je vois … Rassures-toi, ça sera la dernière fois où tu auras le privilège de nous voir faire l’amour … Car désormais, la seule chose à laquelle tu auras le droit, ça sera un gode enfoncé dans ton cul. » Lui déclara-t-elle, en posant sa botte à talon sur son torse. Elle se pencha finalement pour l’attraper par ses menottes, et le releva. Il fallait qu’il soit prêt pour aller au temple, et ce n’était pas en étant allongé au sol que ça allait être le cas. Thibodor serait bientôt une parfaite et jolie soumise, que Mercure allait sodomiser encore et encore, par pur plaisir cette fois-ci.

- - -

Temple de Neptune

Vénus et Mercure étaient confortablement installées dans le cortège les amenant au Temple. Il restait encore une petite dizaine de minutes avant d’y arriver. La générale aimait passer du temps avec Vénus, et considérait que c’était un réel honneur de pouvoir le faire. D’autant plus qu’elle était assise à côté d’elle. « Je n’ai pas vu Junon depuis un certain temps … Elle a dû bien grandir depuis. » Dit Mercure, en parlant de la fille de sa demi-sœur. À vrai dire, elle estimait encore plus la chance qu’elle avait de ne pas être juste la demi-sœur de Vénus, mais d’être mot pour mot, sa sœur. Sa vraie et unique sœur, qui partageait son sang.

Et ça, ça n’avait pas de prix.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 09 mars 2016, 22:24:32
(http://img110.xooimage.com/files/b/9/d/neptune_temple-4eaddc0.jpg)
Temple de Neptune

Le temple de Neptune était en réalité un grand manoir, situé dans les hauteurs de la ville, près de l’Olympe. Le Temple était une grande zone, comprenant un grand nombre de gardes, entouré par une épaisse palissade, et avait une face publique. Neptune était, au sein du panthéon d’Imeriän, la Déesse des esclaves, garante de la société civile et de la rééducation des prisonniers. Le Temple était à la fois une institution et son lieu de vie, et beaucoup de citoyennes venaient pour obtenir des esclaves, ou pour éduquer les leurs. Le Temple était en conséquence un endroit assez grand, avec plusieurs dépendances, et, surtout, beaucoup de souterrains, ainsi que des cour, des pelouses, et des piscines. C’était une zone très agréable, et VBénus aimait bien s’y rendre, en repos.

Le cortège royal rentra dans la cour, et toutes les citoyennes s’écartèrent. Les gardes sortirent les premières, délimitant un périmètre de sécurité, puis ce fut ensuite au tour de Vénus et de Mercure. Une Nymphe tira ensuite Thibodor par une laisse. Le jeune Prince tomba mollement au sol, et dut ensuite marcher à quatre pattes, recevant, par une seconde Nymphe, des coups à chaque fois qu’il tentait de se relever. Il portait toujours un simple pagne, et s’écorchait les genoux et les mains sur le sol fait de graviers.

Vénus sourit légèrement à son peuple, voyant ce dernier se prosterner devant elle, puis s’approcha du perron.

« Oui, répliqua alors Vénus à l’intention de Mercure, elle a effectivement un peu grandi... Et elle sera ravie de te voir. »

Un domestique (http://img110.xooimage.com/files/0/1/0/trap-4eaddc2.jpg) s’approcha alors des deux Déesses, inclinant respectueusement la tête.

« Grande Déesse Vénus, Puissante Déesse Mercure, la Belle Déesse Neptune est ravie de vous recevoir, mais vous fait savoir qu’elle est actuellement en pleine formation d’esclave. Elle m’a chargé de savoir si vous désiriez y assister. »

Vénus sourit légèrement. Neptune n’avait pas assisté au défilé, ce qui n’était pas si étonnant que ça. L’armée ne rentrait pas dans ses attributions, et la Grande Déesse pouvait donc comprendre qu’elle ne soit pas motivée par l’idée d’y aller, surtout qu’elle avait beaucoup d’hommes à dresser. En effet, la particularité du personnel du Temple est qu’il se composait exclusivement, à l’exception des gardes, de Neptune et de Junon, d’hommes habillés en femmes. Des hormones de croissance leur avaient permis, pour certains, d’avoir une poitrine, tout en modifiant leurs cordes vocales. Ce domestique en était la preuve, et, comme les autres, il portait sur le corps une ceinture de chasteté avec un gode anal qui pouvait s’enfoncer en lui et grossir.

« Et bien, ma foi, j’en serais ravie... Thibodor nous accompagnera, il est bon que ce petit chien voit ce qui l’attendra... »

Le domestique hocha la tête, et leur demanda de bien vouloir le suivre. Vénus et Mercure lui emboîtèrent le pas, traversant des halls magnifiques, très aérés, avec des colonnes en marbre, pour rejoindre les escaliers menant dans les souterrains. Chaque esclave avait une cellule, où ils étaient rabaissés et humiliés de manière constante, dans des cages étroites. Tous étaient nus, et certains étaient attachés sur des croix, d’autres suspendus en hauteur, leur masculinité brisée.

Le domestique les amena près d’une porte, et l’ouvrit.

« Je vous en prie... »

Cette porte donnait sur une sorte de salon, de salle audiovisuelle, avec un immense écran géant devant deux fauteuils rembourrés. Mercure et Vénus s’y installèrent, et Vénus attrapa une télécommande située à une table. Les deux Nymphes les suivaient toujours, et forcèrent Thibodor à rester près d'elles, et à voir la télévision.

« Allons-y... Je suis sûre que Neptune doit être en train de s’amuser... »

Vénus appuya sur le bouton, et une image des plus sensuelles arriva devant elles.

Neptune était effectivement en train de se faire plaisir (http://img110.xooimage.com/files/8/4/9/19-4eade16.jpg).
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le samedi 26 mars 2016, 14:15:30
Mercure avait oublié les petits plaisirs qu’avait à offrir son royaume. Toujours planquée dans des contrées lointaines, à mener des campagnes militaires au nom de l’expansion et de la santé militaire d’Imerïan, la générale avait un peu perdu de vue tout ceci. Son regard s’était posé sur le Temple de Neptune, l’admirant au travers la lucarne du cortège. Un somptueux lieu, possédant plusieurs facettes. D’une part, il était un lieu de repos ; ses jardins, sa grandeur, son cadre paisible et calme, ses piscines … Ce lieu était un lieu de grand luxe et de volupté, où on aimait bien passer du temps. D’autre part, il était le siège de Neptune, garante des esclaves de tout bord. Heureusement s’il y avait bien une chose que Mercure n’avait pas oublié, c’étaient les fonctions que chacunes occupaient. Vénus, Neptune, Junon … Toute cette hiérarchie, et car justement il était question d’hiérarchie, Mercure n’avait pas oublié.

Ainsi donc, le cortège entra dans la cour. Des gardes se positionnèrent tout autour pour permettre à sa Majesté de sortir, suivit de la générale. On fit aussi sortir Thibodor, qui était toujours enchainé et qu’on força à rester à quatre pattes. Bien fait pour ce petit parasite qui avait osé s’en prendre à la puissance Imeriänne … Cet imbécile en avait fait les frais. Il goutait à ce supplice et bientôt, il allait en redemander. Sur le chemin menant à la grande porte d’entrée, Mercure accompagna sa sœur et celle-ci lui répondit d’ailleurs à ce qu’elle avait dit plus tôt, dans le cortège. Junon avait effectivement un peu grandi, et nul doute que cela allait lui faire plaisir de revoir Mercure. Cette déclaration fit sourire la générale qui sentait qu’elle allait apprécier revoir un peu la famille.

Les portes s’ouvrirent et les deux nobles femmes purent ainsi pénétrer le grand Temple. Il ne fallut pas longtemps pour qu’un domestique finisse par s’occuper d’elles. La générale le regarda et laissa sa sœur traiter avec lui … Pendant qu’elle le reluquait. C’était un garçon, mais il était incroyablement efféminé. À un tel point qu’il avait une poitrine. Etait-ce encore un garçon ? Il avait encore sa trique et, mis à part une allure féminine et une poitrine, il n’avait rien d’autre. De toutes les façons, c’était un esclave. Ce qui n’empêcha quand même pas Mercure de bien le reluquer, avec un petit sourire aux lèvres quand il déclara que Neptune était pour le moment indisposée. Pour une bonne raison d’ailleurs ; elle était en train de travailler.

Ce à quoi Vénus répliqua qu’il serait bon d’aller assister à cela et d’emmener ce chien de Thibodor, pour qu’il voit ce qui l’attend. Mercure ne pouvait qu’être d’accord avec cette décision et suivit donc sa noble Impératrice. Le domestique acquiesça et les conduisirent donc à destination. Des dédales de couloirs qui menaient vers le sous-terrain, où Thibodor pu voir de multiples cellules renfermant ses semblables esclaves. Nus, humiliés, c’était à ça qu’il était voué. Le domestique finit par arriver devant une porte et l’ouvrit, donnant ainsi accès à un confortable petit salon, où gisait un grand écran. Deux fauteuils confortables se trouvaient aussi ici, et Vénus et Mercure prirent place. Thibodor fut forcé de regarder ce qui se passait au niveau de l’écran ; une retransmission en direct de la cellule où travaillait Neptune.

On pouvait dire qu’elle se faisait allégrement plaisir avec son petit esclave. Une vision qui plut beaucoup à la générale, lui causant même de savoureux petits frissons. Elle admirait la manière dont elle perforait hargneusement le petit cul de cet esclave. Cela lui donnait des idées, et des envies. « Regardes bien ça Thibodor, car c’est par là que tu vas passer dans pas longtemps. J’espère que tu as bien préparé ton anus … » Lui déclara-t-elle, en toute spontanéité. Mercure et Vénus se délectèrent de ces images très sensuelles et sulfureuses. Neptune était tout simplement parfaite, dans son rôle. Que ce soit dans ses manières et pratiques, que dans son costume ; ces bottes, ce corset en latex, tout était fait pour admirer la vue … À un tel point que Mercure émit une petite remarque. « J’avais oublié à quel point Neptune était … Sexy. » Dit-elle, en se pinçant doucement la lèvre.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 30 mars 2016, 01:53:09
En matière de domination sexuelle sur des hommes, il n’y avait pas mieux que Neptune. Elle était la spécialiste, et était une immense perverse, comme Mercure semblait, avec appétit, se le rappeler en la voyant. À l’œuvre sur l’un de ses esclaves, Neptune dansait avec lui, un double gode planté respectivement dans le cul de l’esclave et dans la chatte de Neptune. Le brave homme était couché contre le sol (http://img110.xooimage.com/files/3/5/a/01-4ee58fd.jpg), ses bras et ses jambes retenus par des liens au sol, Neptune jouant sur son agilité et sur ses articulations. Tout son bassin était replié vers l’intérieur, ce qui faisait que, tout en couinant, le brave voyait sa grosse queue enfler et remuer, ainsi que le dos magnifique de Neptune, qui pivotait sur place. Impossible pour lui de protester, car un gag-ball lui barrait les lèvres.

Horrifié, Thibodor, qui était couché devant Mercure et Vénus, son dos leur servant de paillasson, ne pouvait que voir ce spectacle. Les liens de l’esclave remuaient tandis que Neptune continuait à danser sur elle, gémissant joyeusement.

« Sens comme son dos se tend, petit esclave… Tu vois que les hommes peuvent être très élastiques ! »

Oh, mais quel spectacle ! Autant pour les yeux que pour les oreilles, entendre Neptune hurler de plaisir, tout en s’enfonçant férocement et joyeusement contre l’homme (http://img110.xooimage.com/files/f/1/9/22-4ee593c.jpg), était particulièrement beau à voir.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNN… !!! »

Les yeux révulsés, l’esclave se tortillait sur ses liens. Les talons de Neptune étaient proches de ses mains, et, parfois, comme pour le faire souffrir, elle écrasait sa main ou ses doigts contre les pointes de son talon, le faisant couiner, le tout sous le regard effaré de Thibodor… Qui se mit à couiner quand Vénus enfonça son talon aiguille dans ses fesses. Elle ne cherchait même pas à le faire jouir, juste à l’humilier, à le torturer, et à le rabaisser continuellement.

« Oui, notre sœur est en forme… Elle a dû apprendre que nous avions plein de nouveaux esclaves à lui envoyer. »

Neptune continuait à danser sur l’homme. Il subissait, encore et encore, avec sa queue qui remuait d’avant en arrière. Oh, Vénus aurait presque eu envie d’être à sa place ! Être dressé par Neptune en personne, c’était un grand honneur.

L’homme finit par avoir un orgasme en ayant une vue inoubliable (http://img110.xooimage.com/files/c/0/4/24-4ee5984.jpg).

Sa queue, tendue et joufflue, se déchargea d’un coup, et le sperme fusa tout autour de lui, éclaboussant joyeusement son visage (http://img110.xooimage.com/files/8/7/5/25-4ee5998.jpg), filant dans les interstices de son gag-ball pour se perdre dans sa bouche. Neptune jouit contre lui, et se dressa ensuite, dans un immense soupir.

« Aaaahhh… Voilà qui fait du bien, tu ne trouves pas, petite pédale ? »

Épuisé, l’homme remuait lentement la tête, et Neptune fléchit les genoux, faisant crisser sa tenue, et renifla ensuite ce sexe, avant de le lécher délicatement, puis de le masturber. Le pénis de l’homme devint rapidement assez flasque.

« Tssss… Pathétique ! Tu n’es vraiment qu’une merde ! »

Elle se redressa ensuite, et sortit, le laissant là. L’image se ferma ensuite, et Vénus se redressa, tout comme Mercure, faisant couiner leur carpette.

La porte s’ouvrit au bout de quelques secondes, et une Neptune en sueur débarqua.

« Mes chères sœurs ! Quelle joie infinie de vous revoir ! »
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le samedi 09 avril 2016, 21:10:07
Passer du temps loin de sa famille, loin des affaires très restreintes à Imeriän même, Mercure en avait oublié bien des choses. Comme par exemple la splendeur de Neptune. Cette femme qui était en train de torturer un esclave devant leurs yeux à la générale et à l’impératrice. Cette femme qui faisait tressaillir Thibodor de terreur, mais d’une fine lueur de perversité qui n’échappa pas à Mercure. C’était que visiblement son corps le trahissait et demandait de lui-même à ce qu’on vienne le malmener de la sorte. Preuve encore que Thibodor était voué à devenir un misérable esclave sans valeur, en train de lécher les bottes de ses maitresses. Quelle merveilleuse revanche sur cet homme qui avait mené des assauts meurtriers sur des villages inoffensifs, sans défenses, sans armes … Tout le peuple Imeriän allait se réjouir de voir le sort qui était réservé à ce chien, et ça, Mercure s’en félicitait. Par la grâce de Vénus, elle avait gagné la campagne et avait lavé l’honneur de ses compatriotes mortes entre les mains de ces barbares.

En ce jour donc, la générale était très satisfaite. Bientôt elle allait voir Thibodor subir le même sort que cet esclave, et ça, ça ne pouvait que la réjouir. Vénus répondit à sa remarque précédente et affirma alors que Neptune devait être particulièrement en forme grâce à ce nouvel arrivage d’esclave à dresser. En effet, le succès de la campagne militaire avait fait que des centaines voire des milliers de prisonniers avaient été fait. De ce fait, cela faisait un nombre certain d’esclave à dresser. Car tout prisonnier masculin était voué à devenir des esclaves, s’ils voulaient vivre dans l’empire. C’était ça ou … Rien. Ça, ou la mort. Tout ceci revenait rapidement en tête chez Mercure, surtout quand elle admira avec délice et plaisir sa sœur, Neptune, se dandiner fortement sur le gode qui la reliait à son esclave. Que c’était jouissif de la voir ainsi. Ce latex qui crissait, ce gode qui la pilonnait … Ce garçon qui jouissait encore et encore, jusqu’à ce que le final arrive.

L’idiot s’aspergea lui-même de son foutre, étant dans une position assez prompt à cela. Neptune voulut le tester une dernière fois mais, c’était à en oublier qu’il était un sous-homme et que suite à son orgasme son sexe était devenu tout ramolli, tout flasque. Comme le dit si bien Neptune, il n’était qu’une merde. Mercure serra des dents en affichant un sourire presque carnassier face à cette scène, qui fut finalement coupée quand la dresseuse prit le chemin de la porte. Vénus et Mercure se mirent debout et eurent ainsi le bonheur de voir leur sœur débarquer par la porte, qui les accueillit alors avec une joie certaine. « C’est aussi grande joie de te revoir, Neptune. » Lui répondit alors Mercure, d’une voix calme mais chaleureuse. Oui, ça faisait du bien de la revoir … Car après tout, c’était aussi sa famille ! Vénus, Neptune, Junon … Elles faisaient toutes parties de cette même famille même si Mercure partageait concrètement son sang qu’avec Vénus.

C’était d’ailleurs pour cela qu’elles étaient particulièrement proches. Mais ça, c’était autre chose. La générale se déplaça et d’une démarche assez stricte, mais avec un léger roulement de hanche, elle vint auprès de Neptune et la gratifia alors d’un délicat baiser, comme elle avait l’habitude de le faire quand elle saluait quelqu’un d’aussi proche. Sa main se posa sur son épaule, alors qu’une odeur de sueur – certes agréable car émanant d’un être comme Neptune – se dégagea de son corps. Ses lèvres s’approchèrent et finirent par se mêler aux siennes, lui offrant ainsi un délicieux baiser. « Hmm » … Gémit alors doucement Mercure, qui y mit fin quand elle sentit que c’était le bon moment. Le gout des lèvres de Neptune était toujours aussi fameux, et ça lui montrait à quel point elle avait passé à côté de tant de choses durant sa campagne.

Mais, tout ceci était du passé car à présent ; c’étaient les retrouvailles !
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 10 avril 2016, 20:15:05
Vénus et ses sœurs formaient, ensemble, une impressionnante famille. Une famille divine, puissante, qui régnait sur Imeriän, chacune avec un culte du chef effréné. Même si Vénus était la Grande Déesse, chaque Déesse avait un culte qui lui était dédié, et des idolâtres, des dévots qui étaient prêts à mourir pour elles. Belles et magnifiques, dominatrices et redoutables, ces femmes étaient des créatures d’exception. Tout aussi horrifié qu’il soit, Thibodor ne pouvait ainsi empêcher une voix, dans sa tête, de lui souffler qu’il avait bien de la chance d’être l’esclave personnel de telles femmes. En réalité, et pour mieux comprendre ce point de vue, il fallait voir la manière dont les autres peuplades voyaient Imeriän.

Aux yeux des tribus masculines et sauvages, Imeriän était comme l’Empire romain face aux barbares ancestraux, une terre riche, très évoluée, qui inspirait envie et crainte. Ils voulaient l’envahir pour profiter de leurs richesses, mais étaient impressionnés par tout le savoir-faire technologique qui caractérisait l’Empire. Dans l’esprit des sauvages, il y avait donc l’idée qu’Imeriän était réellement un peuple élu, dirigé par de puissantes Déesses dotées de pouvoirs redoutables. Et chacune des innombrables et victorieuses campagnes militaires d’Imeriän renforçaient ce sentiment. Thibodor lui-même, tout en étant vaincu, était, inconsciemment, en train de se dire qu’il avait effectivement affaire à des êtres surnaturels, face à qui il n’était rien.

Sous le regard de l’homme, les trois femmes s’embrassèrent donc, Neptune se frottant contre l’armure de Mercure, caressant son corps à travers cette dernière, et enroula ses bras autour du cou de Vénus, pour un baiser particulièrement intense, où Vénus, elle, alla poser ses mains sur les fesses de Neptune. Nulle incitation sexuelle ici, c’était juste une manière d’être entre les sœurs. De toutes, Neptune était assurément l’une des plus perverses.

« Et bien, Mercure, je suis ravie de te revoir, le contact de tes mains sur mes fesses m’avaient manqué... Mais, avant que nous ne remontions prendre le goûter, et que tu m’entretiennes de tes aventures, ce petit résidus de merde à vos pieds est-il mon cadeau ?
 -  Précisément. Nous pensons que t’offrir un Prince te ferait grand-plaisir.
 -  Oh, un Prince, rien que ça ?! »

Souriant, Neptune se pencha vers lui, et Thibodor gémit, puis couina quand la femme lui marcha dessus, enfonçant ses talons aiguilles dans son dos.

« Nous comptons sur toi pour le rendre docile. »

Neptune leur sourit.

« Ce sera avec plaisir... Mais, avant ça... Enfin, je vais le préparer, et nous irons nous désaltérer un peu. »

Elle se tourna vers l’écran, et enclencha une vidéo, un souvenir d’une de ses formations avec deux hommes, qu’elle avait joyeusement sodomisé... Puis, pendant ça, elle amena au centre de la pièce une chaise très particulière, dotée d’un gode, et força Thibodor à s’asseoir dessus. Elle l’y attacha, et le gode s’enfonça dans ses fesses, avant de vibrer, le faisant se tortiller sur place en couinant et en gémissant.

« Voilà... Nous allons le laisser mijoter une heure ou deux... »

Disant cela, Neptune sortit ensuite, remontant avec ses sœurs dans un salon, où des esclaves leur distribuèrent du thé.

« Alors, Mercure, m’apportes-tu beaucoup de nouveaux jouets ? »
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le dimanche 01 mai 2016, 14:30:40
De toute évidence, Mercure était très heureuse de renouer le contact avec sa famille. Car Vénus, Neptune, Junon et autre, étaient sa famille. Ensemble elles formaient tout un corps d’idole et de figures correspondant chacune à un culte bien précis. Elles étaient les personnes les plus puissantes et les plus influentes du royaume, suscitant autant l’envie que le désir, le respect, l’idolâtrie, etc. Elles étaient intouchables. Mercure estimait parfois sa grande chance d’être non seulement membre de cette famille, mais aussi, d’être la sœur de Vénus. Pas seulement au sens qu’elle était de même rang ; au sens où réellement, Vénus et elle partageaient le même sang. Ça, c’était l’honneur qui primait sur tous les autres. Être réellement de la famille de l’impératrice en personne. Ainsi donc, Mercure était heureuse de faire les retrouvailles et embrassa avec grand plaisir Neptune.

Neptune qui finit par demander qui était donc le garçon qu’elles trainaient avec elles. Elle parlait sans doute de Thibodor, ce sous-être qui était vouer à devenir une parfaite petite lopette. Mercure hocha de la tête et laissa alors sa sœur répondre, qui expliqua à l’intéressée que c’était un Prince, et que c’était aussi, son cadeau. Visiblement cela lui faisait très plaisir, si l’on en jugeait pas son sourire. Neptune s’avança vers son présent et enfonça son talon aiguille dans son dos, le jaugeant. Vénus tenu à rappeler qu’elle attendait de Neptune qu’elle en fasse un parfait petit esclave, ce face à quoi la maitresse des lieux acquiesça. Mercure était quelque part impatiente de voir le résultat. Voir Thibodor réduit à l’état de minable esclave efféminé … Quelle revanche sur son peuple de barbare. Bientôt, il n’opposerait plus aucune résistance. Bientôt, il accepterait pleinement ses nouvelles maitresses, et les vénéreraient comme il se devait de le faire.

En attendant, Neptune proposa de se désaltérer, à l’étage. Le trio monta donc et s’installa, alors qu’on leur servit du thé. Mercure s’assit soigneusement et saisit alors sa tasse, buvant proprement et en faisait attention à la température. Neptune lui demanda alors si elle lui apportait beaucoup de nouveaux esclaves … Ce qui était bien évidemment le cas. Le visage de la générale s’éclaira d’un petit sourire, avant de lui répondre. « Toute une cargaison. Notre campagne militaire a été un franc succès et, nous avons pris énormément de prisonniers. Ils seront tous voués à devenir des esclaves, et ceux qui s’y opposent … Ils mourront, comme toujours. Je crois que nous en sommes à … Une petite centaine d’esclaves ? »[/b] Dit-elle, cherchant à confirmer l’information en tentant de se souvenir du nombre exact.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 02 mai 2016, 13:54:31
Neptune était très certainement, parmi toutes les Déesses, la plus perverse. Junon était sa petite-sœur, très proche d’elle, mais c’était bien Neptune qui, depuis des années, couchait régulièrement. Sa plus grande passion était de sodomiser des garçons, des petits hommes qui devaient être asservis. Oh, Neptune était pour autant loin, bien loin, d’être hétérosexuelle. En réalité, sa vie se résumait principalement au fait de faire l’amour, la Déesse bénéficiant, en ce domaine, d’une expérience redoutable. Vénus était sûre que, par jour, elle devait bien faire l’amour au moins vingt fois, sans jamais se lasser. C’était toujours aussi bond e la revoir, dans ce superbe manoir, un manoir de stupre, de délice, de plaisirs infinis.

Des domestiques leur offrirent poliment à boire, ainsi que des petites viennoiseries, et, tout en faisant, Neptune aventura normalement sa main sous l’une de leurs robes de mai, et éprouva le harnais en latex et en cuir situé autour du bassin de son soumis. Un plug anal était confortablement niché dans ses fesses, et elle tira un peu dessus, faisant brièvement gémir l’esclave, dont le sexe était coincé dans une cage de chasteté. Neptune en sourit, tout en attrapant un morceau de croissant, le trempant dans son thé, avant de le manger.

Les domestiques restaient autour d’elles, tête baissée, sans rien dire, peinant à retenir leurs érections devant le spectacle magnifique de ces trois Déesses. Impossible pour eux de se rebeller, ils avaient été soumis tout comme il fallait, et, pour eux, le simple fait de partager le même air que les Déesses était un grand honneur. Neptune avait tué en eux toute velléité d’égoïsme, toute envie de conserver, juste pour eux, leur divine Maîtresse. Ils étaient des soumis, parfaitement dociles, impossibles de se révolter. Neptune avait brisé toute volonté de révolte en eux, les rendant doux comme des agneaux, mais capables de laisser parler en eux une grande énergie, si on retirait leur cage.

« Nous avons fait des milliers de prisonniers, acquiesça Vénus. Pour l’heure, nous tablons effectivement sur une centaine d’esclaves, mais, sur le long terme, nous pensons avoir des milliers d’hommes. »

Peu subiraient le même traitement que Thibodor, seulement les meilleurs esclaves. Beaucoup seraient envoyés travailler comme des damnés dans les mines, ou à bâtir les forteresses et les murs servant à protéger Imeriän, une vie de forçats et de souffrance, où les plus chanceux et les plus dociles arriveront à devenir des majordomes. Pour ces hommes transformés en petites lopettes dociles, c’était la consécration ultime. Ils n’avaient tout simplement rien de plus à attendre de la vie, rien d’autre à espérer.

« C’est un chiffre très encourageant. Et ce Thibodor, donc ?
 -  Il est le Prince héritier du Royaume barbare de Skallige. Notre campagne militaire a ébranlé les Barbares, mais plusieurs de ses frères se sont enfuis. Je gage que ces sauvages se battront entre eux pendant une quinzaine d’années avant de déterminer qui se chargera de le remplacer. »

Sauvages et indisciplinés, les Barbares étaient faciles à diviser. Si seulement les différents clans s’unissaient, ils auraient sans aucun doute pu vaincre Imeriän, mais une telle chose n’avait jamais eu lieu. Oh, il y avait bien eu quelques conclaves, quelques réunions, mais, pour l’heure, les velléités entre chaque clan étaient trop fortes. Néanmoins, après la chute du dernier royaume, certaines expertes et érudites glissaient que les conditions étaient favorables pour un nouveau conclave.

« J’ai de grands projets pour Thibodor, confia Vénus en trempant ses lèvres dans du café. En faire une petite pute dévouée à Imeriän n’est que la première étape. Ces sauvages font très attention à leur sang, et je pense que nous pourrons utiliser Thibodor pour parvenir à les mettre davantage au pas, et afin de ruiner leur futur conclave... Car il y aura très certainement un conclave. »

Pour Mercure, ça ne faisait en réalité aucun doute. D’ici quelques années, les Barbares cherchaient à se réunir à nouveau, et cette information était préoccupante pour la Grande Déesse.

« C’est pour ça que nous comptons sur toi, Neptune...
 -  Vous ai-je seulement déjà déçues ? » répliqua cette dernière avec un léger sourire sur le coin des lèvres.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le mercredi 01 juin 2016, 13:49:35
Les explications de Neptune de tardèrent pas à jaillir. Alors que Mercure avait fait un rapide condensé de la situation, vis-à-vis du nombre d’esclave, la maitresse des lieux trouva les chiffres annoncés très encourageant. Chiffres qui furent quelque peu corrigés par la grande Vénus, y apportant plus de précision. C’était que la générale des armées n’avait pas vraiment l’esprit très statistique … Elle était forte pour diriger des femmes et les faire combattre, mais pour compter le nombre de prisonniers exact … Elle y allait à la louche. Ce faisant, elle laissa sa sœur la corriger et observa ainsi le dialogue entre elle et Neptune.

L’Impératrice exposa le problème qui, selon elle, allait devenir assez préoccupant. Un conclave de la part des barbares. Entre temps, Mercure osa finalement prendre une petite gorgée de café, accompagnée d’une douce viennoiserie. Cela la changeait des rations peu digestes qu’on servait lors des campagnes militaires. Un peu de saveur dans ce monde de brute, ce n’était pas de refus, tant que c’était fait avec parcimonie. Ainsi, elle resta passive un moment, alors qu’elle écoutait attentivement ce qui se disait. Le fait que Vénus explique ses projets envers Thibodor laissait Mercure assez curieuse à ce sujet. En faire une lopette dévouée n’était donc que la première étape ? Qu’avait-elle donc en tête ?

Le regard de Mercure se porta sur elle quand elle fit mention de vouloir ruiner leur futur conclave de cette manière. En quoi Thibodor allait jouer un rôle là-dedans … Aux yeux de la miliaire, son passé de barbare n’allait plus jamais être utile. Désormais, il était la propriété d’Imeriän et l’histoire s’arrêtait là. Visiblement, ce n’était pas de cet œil que Vénus voyait la situation. Curieuse, mais aussi inquiète quelque part, la générale osa poser une question. « Avec tout le respect que je te dois, grande Vénus … Pourrait-on en savoir plus sur tes intentions envers Thibodor ? Que comptes-tu faire exactement de lui ? Et … En quoi est-il impliqué dans le potentiel conclave de ces sauvages ? » Demanda-t-elle, redoutant alors une annonce peu réjouissante.

Dans l’idéal, Mercure aurait voulu ne plus jamais entendre parler de ce prince. L’armée, et même le peuple, avait la rage contre lui. Car les crimes perpétrés qui ont causé cette campagne furent rattachés immédiatement à lui, quand Mercure le ramena à Imeriän. Le voir servir une quelconque cause au nom de la sainte Impératrice, était un affront que ne pourrait pas forcément encaisser Mercure … À moins que Vénus a réellement une raison pour l’impliquer, et qu’elle ne pouvait faire autrement.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 01 juin 2016, 21:19:29
Pour diriger Imeriän, il fallait être intelligente, et, surtout, ne pas s’enticher de considérations morales. Vénus était loin d’être idiote. Elle savait que la cohésion du groupe venait du fait que le groupe en haïssait un autre. C’était ce que sa mère, et sa mère avant elle, disaient continuellement. Pour parvenir à l’harmonie sociale, il fallait avoir un ennemi à haïr. En l’occurrence, l’ennemi consistait en ces sauvages Barbares masculins qui vivaient au-delà des frontières. Ils étaient l’ennemi d’Imeriän, mais, paradoxalement, il n’était pas dans l’intérêt de l’Empire de les éradiquer totalement. Car, si Vénus faisait ça, les Imeriannes n’auraient tout simplement plus d’ennemis, et la paix les amènera à s’ennuyer, et à se rechercher d’autres soucis. Ainsi sont les humains, toujours en quête de problèmes, toujours en quête d’injustice. Qu’arriverait-il si jamais les citoyennes entendaient parler de ces histoires des temps anciens sur la « laïcité », la « démocratie » ? Le savoir sur ces notions hérétiques était fermement consigné et archivé, faisant l’objet d’autodafés, mais Vénus savait qu’on ne pouvait pas faire taire le savoir. Il y avait tout simplement, dans leur monde, trop d’endroits où on pouvait se renseigner sur le passé.

C’était aussi ça qui faisait de Vénus la Grande Déesse, elle avait un sens politique beaucoup plus affiné que Mercure. Ainsi, l’idée du conclave qui s’approchait l’intriguait.

« Eh bien, il n’est pas dans notre intérêt que les Barbares s’unissent. Et Thibodor est l’héritier d’un des plus grands Rois barbares. Si nous laissons passer l’information qu’il est devenu une petite fiotte, lors de ce conclave, la position du Roi, déjà mise à mal, s’ébranlera totalement, et les Barbares entreront ensemble dans une guerre civile. »

Neptune écoutait silencieusement. Elle, la politique, ça ne l’avait jamais passionné plus que ça. Elle était avant tout une grande perverse, moins frivole que Junon, mais n’ayant guère la prétention d’être autre chose que la grande formatrice des esclaves. Vénus, quant à elle, continuait sur sa lancée.

« Ce Roi m’inquiète depuis déjà un certain temps. Ta campagne a permis de le fragiliser, Mercure, mais il va tenter de rallier les autres seigneurs de clan en invoquant la capture de son fils. Voilà pourquoi, pour empêcher cette alliance, il faut leur convaincre que Thibodor ne mérite pas d’être sauvé. »

La Grande Déesse laissa passer quelques secondes de réflexion, avant de reprendre :

« Pour ça, je crois que le meilleur moyen est qu’il soit l’homme qui m’enfantera pour que je mette au monde la prochaine Vénus. »
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le dimanche 03 juillet 2016, 16:01:45
Il était certain que Mercure n’avait pas le sens de la politique aussi développé que celui de sa sœur. Celle-ci était une maitresse en la matière, capable de faire des projets et de voir ce que personne ne pouvait ou ne voulait voir. C’était aussi pour ça qu’elle était l’Impératrice de ce pays. En revanche, tout ce qui concernait l’armée, on ne pouvait mieux faire que Mercure. Sauf que là, il n’était nullement question de guerre. Il était question de politique, et de stratégie à long terme pour la nation. Suite à la question posée par la générale, la grande Vénus se décida à lui expliquer les choses de manière plus concrètes. Précisément, elle expliqua qu’il n’était pas dans les intérêts d’Imerian que les barbares s’unissent et forment un seul et même front. Il fallait qu’ils restent à l’état sauvage et désolidarisés.

Le rôle de Thibodor là-dedans venait du fait qu’il était l’un des héritiers du plus puissant Roi Barbare. Un meneur, qui avait une certaine influence sur ses comparses. Le but était tout simplement de faire écho sur le devenir de ce prince, afin de faire effondrer totalement le peu que ce conclave avait réussi à construire. En passant l’information que Thibodor avait succombé à la toute-puissance de l’empire Imerian, son père perdrait toute crédibilité et confiance auprès de ses pairs, et une guerre civile s’amorcerait alors. Plongeant les barbares dans des combats sanglants, mais surtout, les empêchant de se restructurer. Très intelligent, comme toujours. Mercure fut encore une fois impressionnée par le génie de Vénus, qui ne s’arrêta pas là. Cependant, la suite estompa vite fait le léger sourire satisfait de Mercure, qui fronça les sourcils.

« … Pardon ? » Dit-elle alors, apparemment quelque peu surprise des dires de Vénus. Venait-elle réellement de dire qu’elle désirait enfanter la nouvelle Vénus sur la base génétique de ce minable ? Voulait-elle réellement corrompre ses précieux et purs gènes avec ceux de chien galeux ? « Avec tout le respect que je te dois, puissante Vénus, je ne peux que m’opposer à cela. Je n’ai pas de pouvoir sur toi, mais je refuse complètement que les gènes de ce … Parasite se retrouve quelque part dans celui de la prochaine Vénus. Elle sera, qu’on le veuille ou non, une partie de Thibodor, donc de ce que ces maudits barbares ont de pire. Qui sait comment elle sera … » Déclara alors Mercure, tentant de rester calme. Là, elle était intérieurement en colère, et son poing était en train de se serrer. Pourquoi fallait-il que Vénus sorte ce genre de plan très risqué et absurde … Si cela se trouvait, la prochaine Vénus, en ayant les gènes de Thibodor en elle, fera tout pour changer les relations avec les barbares. Si ça se trouve, elle se rebellera tôt ou tard contre l’empire.

Avoir une partie de Thibodor dans le bassin génétique des Vénus était une très mauvaise chose, aux yeux de la générale.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 06 juillet 2016, 09:53:54
Comme Vénus s’y était attendue, car elle connaissait plutôt bien sa sœur, l’idée de porter, dans son ventre, une fille qui serait fécondée par Thibodor, lui faisait horreur, ce qu’elle signala rapidement, en énonçant, non sans une certaine couleur vibrant dans ses poings, qu’elle était catégoriquement contre cette idée. La Grande Déesse ferma lentement les yeux, pendant que Neptune, elle, choisit de rester silencieuse. Elle était, en ce domaine, plus sage que Mercure, et ne contredisait Vénus que quand on lui demandait son avis. Mercure, elle, étant très proche de Vénus, avait naturellement une approche différente, et se permettait donc de l’interrompre.

Pinçant ses lèvres, la superbe blonde ne tarda pas à lui répondre :

« Je suis une Déesse. Par définition, mon héritage génétique ne peut pas être contaminé par celui d’un homme. Mais, toute aussi divine que je sois, il me faut une héritière, afin que mon esprit se retrouve en elle. C’est ainsi que les choses fonctionnent, et, même si tu es hermaphrodite, Mercure, ton sperme est stérile. »

Dès lors, il n’y avait pas cinquante solutions disponibles pour parvenir à obtenir une fille, et, avant que Mercure ne puisse contrer, Vénus enchaîna, sur un ton légèrement agacé. En effet, la Grande Déesse n’aimait pas spécialement qu’on la contredise, et encore moins d’avoir à se justifier :

« Je ne compte pas me faire engrosser par un esclave issu des bas-fonds d’Imeriän, ni par un sauvage barbu qui voudra me violer. Thibodor est le choix parfait. C’est une lopette, ce qui fait que ma fille n’aura aucun mal à le soumettre, à le dominer, et à le torturer. »

Mercure avait parlé sur le coup de l’émotion, sans réfléchir plus loin que le bout de son joli nez, ce qu’elle avait très souvent l’habitude de faire. Fort heureusement, c’était Vénus qui dirigeait Imeriän, elle qui savait faire appel à la raison et à la logique. C’était ainsi qu’elle envisageait toute une stratégie visant à détruire le Conclave de l’intérieur, afin d’empêcher, comme les Imeriännes le faisaient depuis des années, une alliance des Barbares, alliance qui pourrait leur être redoutable.

Vénus se tut pendant quelques instants, puis posa l’une de ses mains sur celle de Mercure, avant de lui sourire, cherchant à apaiser ce feu naissant qui semblait bouillonner en elles.

« As-tu déjà eu raison de douter de mes choix ? Toutes nos Imeriännes ont en elles une part de sang barbare. On ne peut pas reprocher aux Barbares une combativité et une agressivité. Toi plus que quiconque devrais le combattre. Cette sauvagerie qui bouillonne en toi quand tu te bats, cette envie hargneuse de tuer, de massacrer, de dominer et de conquérir, elle est essentiellement masculine. Nous faisons ce que nous avons toujours fait : de ces sauvages, nous prenons le meilleur, et nous éduquons ensuite ces barbares pour en faire de parfaits esclaves, qui nous fécondent en retour. »

Et, comme pour être sûre de s’être bien fait comprendre, elle conclut, en regardant Vénus dans les yeux :

« Thibodor m’enfantera, il n’y a pas à en discuter. Mais, si tu crois un seul instant que je lui laisserais la charge de l’éducation de la nouvelle Vénus, tu critiques mon intelligence et ma sagacité, ce qui me vexe... »
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Vanessa White le mardi 01 novembre 2016, 14:36:01
Les inquiétudes de Mercure étaient légitimes. On sous-estimait beaucoup trop l’importance de l’héritage génétique. Aussi puissant et influent celui de Vénus serait, il subsisterait en la prochaine héritière une infime part de celui de Thibodor. Une part de lui, qui pouvait très bien contenir tout et rien. C’était face à cela que Mercure s’inquiétait et qu’elle avait naturellement voulu alerter Vénus. Mais celle-ci prit le temps de lui expliquer, non sans un certain agacement dans sa voix. La générale comprenait parfaitement cela, elle n’aimait pas qu’on la contredit et elle avait raison. Mais c’était dans le tempérament de cette femme, de … Poser des questions. Mercure en retiendrait à nouveau la leçon et ferait plus attention la prochaine fois, même si Vénus devait se douter qu’au fond, elle ne faisait que s’inquiéter pour la nation.

Puis elle apposa sa main sur la sienne et la regarda dans les yeux, cherchant visiblement à l’apaiser. Il était vrai que Mercure n’avait jamais eu à douter des choix de sa reine et que malgré tout, les Imeriannes avaient toute une part de ces barbares en elles. Une aberration dans les plus profondes convictions de Mercure, qui n’adhérait pas à l’idée d’utiliser le meilleur de ces barbares contre eux-mêmes. À force de penser qu’on pouvait être capable de dompter certaines choses, on a fini par se brûler les ailes. Mercure était plus adepte de cet adage en réalité. Tout ce qui provenait de ces sous-êtres était pourri, stérile et vouer à les détruire elles, les Imeriannes. Mais de cela, Mercure n’avait qu’elle-même pour s’écouter. C’était l’avis de Vénus qui comptait et peut-être, voire sans doute, avait-elle raison.

Vénus conclut en se disant vexée du fait que Mercure avait prétendu qu’elle laisserait l’éducation de son enfant à charge de cet ignoble crapule qu’était Thibodor. Le teint de Mercure blanchit avant qu’elle ne baisse les yeux. « Bien sûr que non, ma Reine … Jamais je n’oserai critiquer cela en toi. » Lui répondit-elle, d’un ton humble. Mercure pouvait se montrer sanguine et impulsive, c’était d’ailleurs cela qui faisait d’elle une excellente combattante. Mais jamais elle n’osera remettre en question quoique ce soit chez Vénus. Personne ne pouvait la considérer plus parfaite que Mercure le faisait. En d’autres termes, la générale était la femme qui adulait le plus la reine, sans aucune prétention. Ainsi donc, elle ne pouvait qu’acquiescer face à la décision de Vénus, qui savait ce qu’elle faisait. Mercure était donc résignée.
Titre: Re : Absolute Queen [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 01 novembre 2016, 20:19:51
Vénus n’avait pas le choix. Pour avoir un enfant, il fallait bien du sperme, et, le meilleur moyen, c’était encore avec un homme. Certes, Mercure était une hermaphrodite, mais elle n’était pas un homme, et il y avait donc peu de chances de succès, et un risque de dégénérescence congénitale. Thibodor n’était pas une divinité, mais, une fois bien éduqué, il ferait l’affaire. En attendant, le fait est que Vénus avait rabroué Mercure, et, fort heureusement, tout ça se faisait en privé. En public, il y avait là les embryons d’une crise diplomatique importante, car il était important que les Déesses soient solidaires entre elles. Mercure avait certes vexé Vénus, mais l’inverse était vrai. Mercure blanchit sur place, et un léger silence gênant ne s’installa... Avant que Vénus ne se retourne vers elle.

Sa main gantée caressa le visage de Mercure, se posant ensuite sur son menton, redressant un peu ce dernier. Elle croisa son regard avec le sien, et lui sourit alors doucement, puis se pencha vers sa sœur, et l’embrassa.

« Oublions ça, ma chérie... »

Neptune aimait bien ses deux sœurs, et n’aimait pas, en conséquence, les voir s’énerver. Se pinçant les lèvres, Neptune se pencha à son tour, mettant ses seins en valeur, pendant que Vénus retournait embrasser Mercure, quittant sa chaise pour se mettre debout, optant pour un baiser plus profond, plus sensuel, un baiser qui trahissait tout ce qu’elle ressentait envers cette femme. Et, tandis que les deux beautés s’embrassaient, Neptune finit par se glisser contre elles, ses mains gantées venant les caresser.

« Vous vous êtes disputées, mes chéries... Et, pour ça, il n’y a qu’une solution... Se réconcilier. »

Vénus sourit en rompant son baiser. C’était une règle tacite entre elles. Les disputes étaient proscrites entre Déesses, et, quand deux divinités se disputaient, elles se devaient alors de faire l’amour ensemble. Néanmoins, si Vénus était d’accord avec cette analyse, elle hocha la tête, se pinça les lèvres, et caressa les épaules de Mercure.

« Je t’en prie, Mercure, ne m’en tiens pas rigueur. Ta liberté de parole m’est très importante, y compris quand il s’agit de me critiquer. Je suis désolée, je n’aurais pas dû me vexer alors que tu ne faisais que m’avouer tes angoisses... »

Il y eut alors un nouveau baiser, qui fut le prélude à plusieurs longues minutes de moult baisers entre les trois femmes, la main de Vénus venant caresser, puis gifler, les fesses de Neptune, qui en gémissait de plaisir.

« Haaaa... Vous m’avez tellement manqué, mes sœurs... Je vous veux, je vous veux... !
 -  Moi aussi, je te veux, Neptune, ma douce Neptune, haaaa... »

Elles s’embrassaient dans le creux du cou, se mordillaient, se caressaient, mutuellement, sensuellement, dans des gémissements et dans des soupirs. C’était comme un prélude avant des réconciliations... Beaucoup plus intimes.