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Kenji Uchimara était un lycéen japonais comme il pouvait en exister tant d'autres, ce jeune homme de seize ans appartenait toutefois à une catégorie bien à part: celle des "sans-amis". Solitaire et assez renfermé sur lui même, il était extrêmement doué en classe, mais bien moins pour ce qui était des relations sociales, ses règles avec lesquelles il avait du mal à composer. Son look frêle, un peu emo, et ses goûts en général qui sortaient du lot, en avaient rapidement fait un marginal au sein de sa classe, puis du lycée ou la plupart des gens l'ignoraient. Il pouvait toutefois s'estimer heureux, car il était abonné à l'indifférence, et non pas aux harcèlements dont faisaient généralement preuve d'autres élèves plus...populaires du lycée, qui se sentaient toujours obligés d'emmerder ceux qui ne demandaient rien, ou qui s'éloignaient trop de la "normalité".
Faible niveau en sport, très haut niveau dans toutes les autres matières, bon dessinateur et amateur de musique classique, Kenji avait tout d'un premier de la classe, et de fait l'était, sans toutefois tomber dans d'autres travers. De fait, le fait qu'il soit seul venait surtout des autres, car il aurait aimé parler avec certaines personnes qui semblaient avoir des goûts semblables aux siens, mais qui refusaient de lui laisser sa chance, car il était une sorte de paria avec qui il valait mieux ne pas s'associer. Rude était la loi du lycée entre élèves, pas écrite dans le marbre, et se transmettant pourtant de générations en générations, celle de discriminer quiconque pouvait sortir du lot.
Kenji en avait souffert, au début, puis il avait fini par s'habituer à ne pas avoir d'amis durant sa période au lycée. Pas vraiment pas choix, mais plus par nécessité, il ne pourrait rien y changer de toutes manières, alors autant accepter cette période difficile, et espérer qu'une fois rentré à la faculté il pourrait la mettre derrière lui, rencontrer des gens moins cons, moins prompt à juger sur l'apparence et les goûts propres à chacuns.
Ses cours de la journée s'étaient terminés, et il était assis à sa place habituelle à la cafet', bien isolée du reste des autres tables, sans compter qu'à cette heure pas grand monde demeurait au lycée, la plupart rentrant chez eux. Mais c'était justement ce calme qui attirait Kenji, cette ambiance de fin de journée, où seules quelques rares personnes se trouvent devant les lieux, à peine une heure avant la fermeture des locaux. Il avait fini ses devoirs depuis un moment, et avait sorti ses crayons et une feuille de papier pour dessiner, comme à son habitude quand il avait un moment de libre. Avec la lecture et l'écoute de musique, c'était l'un des grands passe-temps de Kenji, qu'il pratiquait déjà depuis quelques années, et qu'il maîtrisait maintenant assez bien, sans encore en être au rang de grand maître. Il espérait néanmoins parvenir un jour à se perfectionner assez pour pouvoir en faire son métier, et était actuellement en train de s'entraîner, avec succès, à dessiner les courbes du corps humain en détail, et plus particulièrement celles d'une personne qui le hantait depuis maintenant presque un mois.
Vivre isolé au sein d'un nombre aussi considérable de personnes ne voulait pas dire toutefois éviter tout contact avec les autres, particulièrement en cas de travaux en binômes, ce qui finissait forcément par arriver au cours d'une année scolaire. Kenji en avait déjà fait quelques uns, mais le dernier l'avait plutôt marqué, puisqu'il avait travaillé avec une fille de sa classe, Asami...et en était tombé amoureux. Cela aurait pu être une belle histoire, mais il en était autrement, car Asami appartenait à cette catégorie de gens populaires au lycée, et même si malgré ça la jeune fille ne l'avait jamais traitée de bizarre, ils étaient de deux mondes différents.
De plus, belle comme elle l'était, Asami sortait évidemment avec quelqu'un déjà, un membre de l'équipe de foot, un connard qui prenait parfois son pied à brutaliser les plus faibles que lui. Et de toutes façons...qu'est-ce qu'une fille comme elle aurait bien pu lui trouver ? Il avait abandonné l'idée même de lui avouer ses sentiments au moment où ils étaient nés, mais l'esprit humain aimait à se faire souffrir lui même, car il n'arrêtait pas de penser à elle depuis bien trop longtemps. La dessiner était une façon pour lui de se calmer, et même si cela contribuait à le faire souffrir encore d'avantage par après, son esprit était soulagé le temps que son coup de crayon immortalise sa grâce sur papier. Il avait déjà fait une bonne quinzaine de jolis dessins, mais les avait récemment perdus, sans moyen de remettre la main dessus malgré ses recherches, et il avait donc abandonné en espérant qu'ils ne soient pas tombés dans de mauvaises mains.
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Chaque lycée avait ses propres codes, ses clans, ses clubs, ses gangs... Il y avait les types qui étaient destinés à devenir des ouvriers, des chômeurs, ou des taulards, les racailles se baladant en survêtements, se réunissant en bandes, et qui terrorisaient les autres élèves. Dans un lycée japonais, ils avaient le même uniforme scolaire que les autres, mais, souvent, leurs chemises étaient froissées, non rentrées dans leurs pantalons, leurs cravates étaient défaites, mais, malgré ça, ils restaient les habituels costauds du lycée. Ceux qui vous foutaient la tête dans la poubelle, volaient votre argent de poche, vos mangas, vous foutaient la tête dans les poubelles, menaçaient de vous massacrer si vous en parliez aux surveillants, ou vous enfermaient pour la soirée dans votre casier. Il y avait ces terreurs, il y avait aussi les otakus, qui parlaient entre eux de jeux vidéos, de mangas, un clan à grande majorité masculine, mais dans lequel on trouvait de plus en plus de filles. Il y avait aussi les gothiques, qui, même avec les uniformes, portaient souvent du mascara pour afficher leur appartenance. Un lycée était un ensemble de conformismes s’articulant autour d’un conformisme sociétal, particulièrement fort au Japon.
Et puis, il y avait les autres... Il y avait ceux que tout le monde aimait, comme les sportifs, ou comme Brad Walker. Un gaijin, ou, plutôt, un métèque. Sa grand-mère était Japonaise, son grand-père un soldat américain qui avait été débauché lors de la reconstruction du Japon, après la guerre. Ils étaient tombés amoureux, et son grand-père avait toujours été un passionné du Japon, et un Américain scandalisé par son pays, un pays qui, tout en prétendant défendre les libertés, n’avait pas hésité, pendant le conflit, à déporter tous les Asiatiques vivant aux États-Unis pour les enfermer dans des camps. Un chapitre méconnu de la glorieuse époque américaine. Lui avait été vu comme un sympathisant, et donc comme une menace potentielle, car il avait toujours été fasciné par le Japon, par leurs traditions ancestrales, par leur approche de la spiritualité, par ces gens préférant le calme et la méditation à la vie frénétique de l’Occident. Brad Walker avait tout pour plaire. Il était un Américain, un blond, qui allait souvent à New York pour revoir le reste de sa famille, et qui revenait toujours avec de superbes photos. C’était aussi quelqu’un qui adorait lire les mangas, notamment Captain Tsubasa, et c’était, aussi et surtout, un grand sportif, qui était dans l’équipe de football du lycée. Brad était même le capitaine, un homme musclé et grand, et, lors du dernier championnat national junior, il avait réussi à faire monter l’équipe jusqu’à la demi-finale. Un exploit qui lui avait valu un petit encart dans la presse, que ses parents avaient découpé et accroché sur la prote de leur réfrigérateur. Ses résultats scolaires, eux, étaient souvent en branle, car il se consacrait à ses deux passions. Le foot... Et elle.
Elle ? Elle était la coqueluche du lycée. Celle dont tout le monde parlait, celle qu’on jalousait ouvertement tout en la jalousant secrètement. On la jalousait pour sa réputation, pour sa beauté, pour sa bonne humeur, pour ses notes exceptionnelles. Elle, elle était la preuve que, au 21ème siècle, on pouvait « être intello’ et être cool », et on aurait presque pu en faire un slogan. Elle était déléguée de sa classe, et vice-présidente du conseil des élèves, une institution du lycée chargée de représenter les intérêts des élèves lors des réunions du conseil d’administration. Elle avait un profil Facebook avec plus de 300 amis, et s’affichait fièrement avec Brad, « couple n°1 du lycée » selon les classements sur l’Intranet de Mishima.
Elle, elle était une gymnaste et une grande danseuse. Sa famille était une famille aisée de Mishima, un banquier dans un grand groupe international, et une magistrate. On l’avait inscrit très tôt à des cours de danse et de gymnastique, et, dans sa chambre, sur une étagère, il y avait toutes les coupes qu’elle avait gagné. Elle était inscrite au club de gymnastique du lycée, club grâce auquel elle pouvait rester tard le soir, afin de s’entraîner. Elle était à chaque kermesse, lors du spectacle de fin d’année.
Elle, elle s’appelait Asami (http://img110.xooimage.com/files/5/3/2/53245c8f6692599af...ea514976-4c0c4a0.jpg), et, aujourd’hui, elle se dirigeait vers ce qu’on appelait les « loosers ».
Les loosers, on savait qui c’était dans un lycée. Ceux qui filaient rapidement, longeaient les murs, allaient au fond de la salle, avec des écouteurs sur les oreilles. Ils n’avaient aucun pote, si ce n’est d’autres loosers. On se moquait d’eux, on les bousculait... Il y avait toujours un looser dans un lycée. Pourquoi ? Parce que. De la même manière qu’il y avait des riches, des pauvres, des gros, des maigres, des moches, des beaux, il y avait des Asami et il y avait des Kenji.
Kenji Uchimara était l’archétype du looser. Il portait souvent une capuche rabattue sur sa tête, et était enfermé dans ses dessins. Lui et Asami avaient travaillé ensemble une fois, en chimie. Elle savait qu’il était doué, mais, pourtant, quand il savaient bossé ensemble, à chaque fois qu’elle lui souriait, il avait cafouillé dans ses mesures, et avait même une fois renversé un peu de flacon, la faisant glousser. Elle avait posé un doigt sur ses lèvres, puis lui avait souri en sortant un mouchoir, et en essuyant vite la trace sur le bureau :
« Ce sera notre petit secret, d’accord ? »
Kenji savait qu’il n’avait aucune chance avec elle. Brad n’était pas qu’un sportif, il était aussi un homme possessif, et très jaloux. Il suffisait qu’un garçon parle trop avec Asami, et il envoyait ensuite ses potes, des gros bras, calmer l’inopportun, diffusant ainsi le message à tous les dragueurs potentiels : ils étaient en couple. Un couple parfait. Mais, quand on commençait à gratter un peu le masque doré, la pourriture apparaissait dessous.
Toujours.
Asami tenait dans les bras un classeur. Elle savait que Kenji y entreposait tous ses dessins, et elle avait réussi à le piquer il y a plusieurs jours. Ce n’était pas bien difficile, elle avait juste attendu qu’il s’écarte de sa table, et elle en avait profité pour le prendre. Sa surprise avait été de taille en voyant que tous ses dessins, ou presque, portaient sur elle. Ceci avait fait naître en elle quelques idées... Et expliquait pourquoi elle marchait vers lui.
Elle le trouva à la cafétéria du lycée, seul, comme d’habitude, et marcha vers lui, son attaché-cases dans son sac. Elle se rapprocha de lui, et se tint debout devant la table, puis lui sourit.
« Salut, Kenji ! Tu n’as pas encore pris le bus pour rentrer chez toi ? Tu attends quelqu’un, peut-être ? »
Elle ne lui laissa même pas le temps d’enchaîner, et s’assit alors, face à lui :
« Et bien, tu m’as trouvé ! »
Asami lui fit un beau sourire angélique, puis laissa planer quelques secondes, et reprit :
« J’ai quelque chose pour toi... Je suppose que tu as dû le chercher partout, alors... Tiens. »
Elle sortit de ses affaires son classeur, et le déposa devant lui.
« Tu me dessines plutôt bien, je trouve... »
En disant ça, elle s’était penchée en avant, son visage se rapprochant ainsi du sien, un sourire sur le coin des lèvres. Kenji devait savoir ce qu’il risquait si jamais Brad apprenait qu’il avait fait tout un tas de dessins sur sa copine...
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Lorsque Kenji était plongé dans ses dessins, le monde autour de lui devenait plus flou, et il avait même tendance à l'oublier pour se concentrer et se perdre dans les traits qu'ils traçait. Cette faculté à s'isoler momentanément du monde extérieur par ce biais, et à ne plus penser à autre chose, lui permettait concrètement de tenir le coup. La solitude n'était vraiment appréciée que par de rares personnes, et Kenji était plutôt du genre à la subir car on ne lui avait pas trop laissé le choix. Ses passions étaient fort heureusement chronophages, et il s'y investissait tellement qu'elle lui apportaient une sorte de substitut à la présence d'amis. C'était triste dans un sens, mais dans l'autre...il devait faire avec, au moins le temps que durerait sa scolarité au lycée, ce qui était une raison supplémentaire pour lui de donner son maximum.
Plongé complètement dans son dessin, qui commençait à sérieusement prendre forme, Kenji n'avait donc pas remarqué l'attention que Asami lui portait en ce moment même, et n'avait même pas remarqué sa présence à proximité. A cette heure ci, la jeune lycéenne n'avait pas son cortège habituel d'amis ou même son idiot de petit ami, et Kenji ne pensait pas la croiser dans le lycée à cette heure, et comme personne ne s'approchait jamais de lui, il se pensait tranquille pour pouvoir dessiner. Encore une fois il représentait Asami, un beau portrait d'elle, souriante et joviale, comme la totalité de ceux qu'il avait déjà faits mais perdus depuis quelques jours. Ce n'est donc que quand elle lui adressa directement la parole qu'il se redressa, assez vivement d'ailleurs car il était surpris, au point qu'il en fit même une rature sur sa feuille, qui risquait d'être difficile à ratrapper.
Kenji avait tout juste eu le temps de redresser la tête droit devant lui pour voir la jeune fille qui l'obsédait depuis un bon moment, il déposa maladroitement sa trousse ainsi que ses bras sur sa feuille de dessin pour camoufler ce qu'il était en train de faire, mais n'eu concrètement pas le temps de répondre quoi que ce soit avant que Asami ne vienne s'asseoir à sa table. Malgré ce coup de flippe, et l'adrénaline qui pompait à présent dans ses veines, faisant battre son coeur à fond les pédales, le jeune lycéen sentit à nouveau cette étrange réaction de son corps à la vue directe d'Asami. Le gorge se serrant, et une légère crispation au niveau du ventre, il était l'exact opposé de la jeune femme à cet égard, il n'était pas à l'aise. Et surtout, comme il en était éperduement amoureux, ça ne pouvait pas arranger les choses.
Dans sa tête un millier de choses se bousculaient. Elle était assise à sa table, une table occupée par un looser du lycée.
C'était...pour ainsi dire étrange, inattendu, et complètement sorti de nulle part. Il ne pouvait croire au fait que leur récent duo en chimie les avait rapprochés à ce point, surtout au vu du fiasco (de son point de vue) que ça avait été. Un silence de mort pesa durant les quelques secondes où Asami ne parla pas, car concrètement Kenji était en train de se reprendre, essayait de se contenir dans cette situation un peu embarassante, et très inattendue.
Et puis, elle sortit un classeur, son classeur à dessin, il aurait reconnu ce jaune foncé entre mille. Et là il comprit. Car dans ce classeur se trouvait en bonne partie de nombreux croquis d'Asami, que cette dernière n'avait sans doute pas manqué de voir.
Ah...je...
Il aurait dit merci à toute autre personne qui le lui aurait rapporté alors qu'il l'avait perdu au courant de la journée, mais cela faisait plusieurs jours, probablement autant de temps passé entre les mains d'Asami, qui devait à présent le prendre pour un sale pervers doublé d'un looser associal. Il n'avait pourtant pas dessiné une seule fois la jeune femme en position "compromettante", mais il y avait quand même une quarantaine de croquis...de quoi imaginer des choses pour quiconque autre que lui tombant dessus.
Il poussa un long soupir, à la fois pour se calmer, mais aussi en anticipation de ce qui, selon lui, allait arriver.
Je suppose que Brad est au courant de ça et que tu lui a demandé de me casser la gueule. Je peut pas t'en vouloir, ça doit avoir l'air...effrayant venant de moi. Je suis désolé que...bref...que tu sois tombé sur ça.
Ton petit-ami m'attends à la sortie du lycée pour m'éclater du coup ?
Il était...blasé, triste de sa propre négligence, et surtout que désormais la fille qui l'aimait le voie comme un taré et un détraqué sexuel. Du moins, c'était l'image de la situation qu'il se faisait.
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Asami se mit à sourire en voyant Kenji s’écrouler sur place. Elle avait tout lu dans ses yeux en quelques secondes : la surprise, la gêne, le désarroi, puis une peur panique. Asami avait mis la main sur ses dessins, elle avait vu ce qu’il dessinait, elle connaissait son secret... Et il savait ce qu’il risquait. Brad était effectivement quelqu’un de très jaloux, et, si Asami appréciait beaucoup l’idée d’être une muse pour de jeunes artistes en herbe, Brad aurait assurément une approche très différente. Kenji paniquait donc, avant d’accepter, avec un certain fatalisme, le fait qu’il allait peut-être finir à l’hôpital ce soir. Aurait-elle été un peu plus malicieuse qu’elle aurait pu continuer à jouer avec lui, mais Kenji semblait sincèrement paniqué, et elle leva donc les deux mains vers lui.
« Hey, hey, du calme, petit scarabée ! Si j’en avais parlé à mon copain, tu crois qu’il aurait accepté que je vienne te voir ? Ou même que tu aurais toujours tes dessins ? Il les aurait déchirés, ou te les aurais fais manger. »
Vu la manière dont Asami parlait des méthodes de Brad, il était difficile de croire qu’elle n’était pas au courant de sa violence Brad était un garçon ayant plein de qualités, mais la perfection n’était pas de ce monde... Et ça, Asami le savait. C’était difficile à comprendre pour Kenji, mais, parfois, quand on était un looser, on était en meilleure position qu’en étant la starlette du lycée.
« Pas de panique, Kenji, y a que moi qui ait vu tes dessins... Et tu pourrais me gronder, tu sais... Après tout, je te les ai piqués... »
Elle lâcha cette phrase en penchant légèrement la tête sur le côté, baissant un peu les yeux, se pinçant les lèvres. C’était la tactique classique du « j’ai-fait-une-bêtise-que-je-confesse-avec-un-visage-tout-mignon-tout-plein », et qui, jusqu’à un certain âge, marchait très bien avec les adultes. Et, une fois cet âge dépassé, ça marchait toujours aussi avec les jeunes. Asami avait son air de spéciale innocente, cet air qui faisait que personne ne savait ce à quoi la jeune femme pensait vraiment. Elle laissa passer quelques secondes, puis se pencha à nouveau en avant.
Asami n’était pas aveugle, elle avait compris depuis longtemps que Kenji avait le béguin pour elle... Mais, en voyant ces images, elle avait compris une autre chose : Kenji n’avait pas qu’un simple béguin. Il était en fait grave amoureux d’elle, et c’était ça qui la faisait réfléchir depuis quelques jours. Elle avait été déçue de ne voir aucun dessin cochon, mais elle aimait à se dire que c’est parce qu’il la trouvait trop parfaite, et qu’il n’arrivait pas à coucher sur le papier ses fantasmes.
« En tout cas, tu dessines super bien... Je m’attendais au moins à trouver un dessin de moi à poil, mais... Je suppose que tu as dû avoir peur de déformer mes seins ou mon tour de hanche. »
Dans une société aussi formatée que le Japon, parler si ouvertement de sexe, dans un espace public, était très osé. Et, vu le sourire ravi qu’Asami faisait, avec cette lueur espiègle dans ses yeux, elle ne semblait guère plus choquée que ça. Mais, si Kenji était déjà surpris, qu’est-ce que ce serait ensuite ? Elle se pinça à nouveau les lèvres, et enchaîna, en plantant son regard dans le sien :
« Maintenant, dis-moi... Est-ce que tu te masturbes en pensant à moi ? »
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Jouer à l'ascenseur émotionnel, c'était éprouvant, mais c'était aussi parfois pour le mieux lorsqu'on passait d'un stade de peur à celui de réconfort. kenji aurait été d'avantage sur ses gardes avec une toute autre personne, spécialement parmi les élèves considérés comme les plus populaires du lycée. Si cette personne devant lui n'avait pas été Asami, il aurait alors été certain qu'elle se jouait de lui, faisant semblant de le réconforter pour mieux le laisser chuter par après, tout en se marrant sur son dos et sur sa naïveté. Mais surtout Kenji était fou amoureux d'elle, et probablement parce qu'en plus d'être belle comme un coeur, elle ne faisait pas preuve de cruauté gratuite. Elle n'avait pas cherché à lui nuire durant les rares fois où ils avaient eu à travailler ensemble, et malgré le nombre de dessins d'elle qu'elle avait trouvé, elle n'était pas partie du principe qu'il était un gros cinglé méritant une bonne correction.
Quand il assimila enfin cette information, que Brad ne savait rien de ses dessins, et que seule elle y avait eu accès, il se détendit. Un peu, mais pas totalement, car après tout il demeurait proche physiquement de celle qui avait capturé son coeur, et le maintenait prisonnier depuis maintenant quelques semaines. A la voir de plus près, elle était encore plus belle à chaque fois qu'il posait ses yeux sur elle. Les courbes de son visage, ses beaux yeux, et surtout son sourire qui devait lui permettre de se faire pardonner n'importe quoi. Kenji était bien faible de ce point de vue, il le savait, mais il ne pouvait résister à ce beau sourire qui, franchement, illuminait sa journée car il lui était destiné.
C'est...c'est pas très grave. Je peut déjà m'estimer heureux que tu n'aie pas pris mes dessins de la mauvaise façon, et que t'aie gardé l'information pour toi. Alors disons qu'on est quittes.
C'était même incroyable qu'il aie moins bégayé cette fois, mais c'était sans nul doute du au fait de savoir qu'il n'allait finalement pas se faire casser la gueule. Et puis, qu'Asami soit au courant pour ses dessins et les trouve jolis, c'était...gratifiant, et c'était une sensation qu'il ne connaissait que très peu. Ce simple fait d'avoir de la reconnaissance de la part de quelqu'un, et puis même, ce petit air qu'elle prit alors...il se sentit presque fondre sur place. Kenji était un grand romantique, et plaçait effectivement l'élue de son coeur sur une sorte de piedestral, pour lui elle était une chose s'approchant de la perfection, surtout si il la comparait aux autres poufs décérébrées qu'il avait déjà eu le malheur de croiser.
Asami était...juste plus humaine, dans de multiples aspects de sa personnalité. C'était en tout cas comme ça qu'il le percevait, et maintenant d'autant plus qu'il savait que ses dessins l'avaient touchée. Pour sa défense, Kenji ne l'avait effectivement jamais représentée de façon obscène, non seulement car il n'avait pas de représentation visuelle correcte de son anatomie, mais aussi car il estimait que ce serait lui manquer de respect. Et puis bon, il était amoureux d'elle, la représenter de cette façon aurait laissé penser qu'il aurait juste voulu la sauter dans un coin, mais c'était bien plus que simplement ça. Il était fou d'elle.
Mais si Kenji avait trouvé juste de ne pas la dessiner nue, Asami elle avoua être presque...déçue ?
Je...hum oui...sûrement...
Le peu d'assurance qu'il avait pu regagner se mit à fondre comme de la glace face à un Soleil de plomb, Kenji était issu d'une famille plus modeste, et un peu plus traditionnaliste que celle d'Asami sans doute. Parler ainsi ouvertement de sexe était en effet pour lui une sorte de tabou, et son trouble n'alla pas en s'arrangeant quand elle lui demanda si il se masturbait en pensant à elle.
Quoi ? Non ! Enfin je...le prends surtout pas mal...enfin...oh merde...
Wow voilà il se sentait de nouveau gêné comme jamais. Il ne pouvait même pas croire qu'il avait cette conversation là, heureusement que personne n'était à proximité immédiate d'eux, et que l'emplacement où ils se trouvaient était assez isolé, ce qui était probablement la raison pour laquelle Asami avait pris le risque de venir lui parler. Il respira un grand coup, puis repris.
Écoute je sais pas ce que tu t'imagine sur moi Asami, mais il me viendrait jamais à l'idée de te manquer de respect de la sorte. Je...c'est pas mon style, et...et toi moins que les autres mériterait qu'on te traite mal.
C'était sorti tout seul, au point que Kenji se demandait vraiment comment il avait pu oser dire ça devant Asami, mais sur le coup c'était son coeur qui parlait, l'euphorie qu'elle aie trouvé ses dessins d'elle beaux, qu'elle soit venue lui parler...qu'elle s'intéresse à lui. Pour le jeune homme qu'on mettait très souvent à l'écart, un peu de considération signifiais beaucoup pour lui. Et à ce moment là, son amour pour la belle dulcinée n'avait sans doute fait que croître, malgré les risques que cela posait.
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Elle sourit en voyant Kenji s’écrouler à nouveau sur place. La jeune fille pouvait presque deviner ce qu’il pensait dans sa petite tête. Est-ce qu’elle était sérieuse ? Pourquoi poser cette question ? Était-ce un piège ? La réalité était qu’on imaginait toujours les filles comme des petites saintes, qui s’offusquaient devant la moindre allusion sexuelle, et qui, jamais ô jamais, ne penseraient à ça. La vérité, c’était que les filles savaient bien masquer leur jeu, et que les hommes se faisaient toujours avoir, a fortiori quand ça tombait sur l’élu de leur cœur. Kenji avait eu pour elle un vrai coup de foudre, et lui assura qu’il n’aurait jamais pu lui manquer de respect à ce point. Asami ne put s’empêcher de pouffer, et posa ses deux mains devant sa bouche en baissant la tête, puis la releva rapidement, un sourire cristallin sur les lèvres. La jeune lycéenne pencha ensuite la tête sur le côté :
« Tu sais que tu es mignon quand tu rougis ? Enfin... Tu es mignon sans, bien sûr. »
Son esprit devrait probablement s’échauffer en entendant Asami dire qu’elle le trouvait mignon. Elle attendit encore un peu, et poursuivit, en parlant sur un ton un peu plus bas :
« Tu sais, quand on se masturbe sur quelqu’un, c’est qu’on le trouve beau, non ? Donc, si je suis bien ton raisonnement... Tu ne te masturbes pas sur moi parce que je suis laide ? Tu préfères jouir en pensant au gros cul de la cantinière ? »
Asami sourit à nouveau. Kenji la voyait comme une sainte, mais la vérité était qu’Asami était juste une fille. Et, avant même qu’il ne puisse dire quoi que ce soit, elle rajouta :
« Moi, je te trouve mignon, tu sais... Et, avant de sortir avec Brad, je me caressais en pensant à lui... Mais... Tu veux que je te confie un secret ? Car, depuis quelques semaines, je ne me touche plus en pensant à lui... »
Pauvre Kenji, il devait probablement avoir les oreilles en sang à force d’entendre tant d’insanités qui suintaient de la bouche d’Asami. La jeune fille venait tout simplement d’un milieu où elle devait toujours être la petite fille parfaite. Interdiction de dire la moindre injure, de hausser le ton, de hurler... Sa vie avait toujours été quadrillée au poil de cheveu près par sa mère, qui avait toujours voulu le meilleur pour sa fille. Asami devait savoir jouer du piano, faire la cuisine, danser, avoir une excellente ligne alimentaire, faire régulièrement du sport, ne pas passer trop de temps devant la télévision, prendre soin de son corps... Une vie réglée, trop bien réglée pour une jeune femme rêvant juste d’indépendance. Une indépendance qu’elle pensait avoir trouvé auprès de Brad, avant de comprendre que sa jalousie le rendait très possessif, et qu’Asami n’était pas libre de faire grand-chose.
Ces éléments étaient indispensables pour comprendre pourquoi Asami agissait ainsi face à Kenji. Elle se rapprocha donc de lui, et murmura quelques mots dans le creux de son oreille :
« Je me masturbe en pensant à toi... Une fois par jour, au moins. »
La bombe était lâchée, et elle le regarda ensuite, continuant encore à le déstabiliser :
« Tu trouves que je te manque de respect ? Est-ce que je te traite mal en disant que je trouve très mignon avec ton côté ténébreux, et que j’adorerais que tu m’embrasses... Ou que j’adore que tu passes tant de temps à dessiner sur moi... Est-ce que c’est mal, Kenji ? »
Elle reprenait ses propres mots, comme pour mieux le piéger... Car Asami était très intelligente.
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Le romantisme, c'était bien, mais un peu dépassé, cette pensée lui effleura l'esprit lorsque Asami se mit à glousser à sa réponse. Du moins le romantisme "candide" devait lui apparaître comme étant matière à rire, et Kenji était assez surpris de cette réaction face à sa confession qu'il la respectait trop pour oser se masturber en pensant à elle. Mais à sa décharge, Kenji était issu d'une famille qui voyait ce genre de choses comme sales et impures, et avait donc tout naturellement assimilé ces mêmes idées qui étaient celles de ses parents. Des gens aimants, mais qui étaient très prudes en matière de sexe, et qui ne voulaient avoir aucune conversation avec leur fils unique sur le sujet, se contentant juste de lui dire que c'était "mal".
Donc forcément, la réaction d'Asami le déconcerta un peu, mais pas tant que la suite. Elle déclara qu'il était mignon.
Mignon...
Durant l'espace d'un instant, Kenji se sentit très troublé, pour peu il aurait presque pu avoir un malaise tant c'était inattendu et...intense. La fille qu'il aimait venait de lui dire qu'elle le trouvait mignon. Son coeur aurait pu faire un bond dans la poitrine après s'être arrêté le temps d'un battement, il était gêné en ne sachant plus ou se mettre. C'était la première fois qu'une fille lui faisait un compliment...voire même le draguait. Kenji ne s'était jamais imaginé avoir un jour le courage de faire la cour à une fille, mais alors qu'une fille prenne elle même l'initiative de venir à lui...c'était surréaliste. Il s'était toutefois apprêté à répondre quand, en suivant son raisonnement, Asami lui demanda si il la trouvait laide, mais c'était une question de pure réthorique car elle enchaîna rapidement, sans lui laisser le temps de nier.
Kenji était complètement mené par elle, car il était loin, très loin de sa zone de confort habituel, qu'il avait quitté sans étapes progressives. La jeune fille le draguait ouvertement, il s'en rendait bien compte, ou plutôt pensait rêver et se faire des films, tout en crevant d'envie que ça soit vrai. Que l'affection qu'il lui porte soit partagée pouvait le rendre heureux, mais Asami jouait aussi avec lui, le poussait dans ses retranchements, dans des positions qu'il n'avait jamais eu à affronter.
Elle était en train de lui donner des détails sur sa vie intime, lui avouant elle se masturber sans honte sur quelqu'un qui lui plaisait. Autant cela écornait un peu l'image de princesse qu'il avait d'elle, autant une partie de lui trouvait ça...excitant. Kenji était après tout, malgré toute l'éducation stricte qu'il avait pu avoir, en pleine période d'adolescence, et les changements de son corps ne le laissaient pas de marbre. Il était actuellement une explosion d'hormones sur pattes. Et quand, alors qu'il était tétanisé ou presque, ne savant vraiment pas où se mettre ou quelle attitude adopter, elle s'approcha de son oreille pour lui avouer qu'elle se caressait en pensant à lui, il crû vraiment qu'il allait tomber dans les pommes.
Je...hum...
Pas très loquace sur le coup, Kenji devait enmagasiner beaucoup d'informations très importantes et porteuses de lourdes conséquences. Ce n'était certes pas la façon dont il aurait imaginé, dans ses rêves les plus fous, qu'ils s'avoueraient leur attirance mutuelle, mais il ne pouvait nier que à ce moment, il était aussi heureux que complètement déboussolé. Il lui fallu toute sa force mentale pour se reconcentrer, tout en l'écoutant.
Je...je ne sais pas Asami...la simple idée que tu...ça me paraît trop beau pour être vrai.
Il y croyait pourtant, car il en avait envie, de toutes ses tripes il avait envie de serrer cette belle fille contre elle, l'embrasser, certes un peu maladroitement, mais sentir ses lèvres contre les siennes, lui tenir la main. Mais il y avait toujours un "mais", et c'était son propre manque de confiance en soi. A force de se faire rejeter par tout le monde, c'était malheureusement un trouble qui pouvait naître assez facilement chez quelqu'un, sans compter le fait que même si il aimait ce qu'Asami lui disait...elle était en couple avec un mec qui ne déconnais pas.
Je mentirais en disant que je trouve ça mal...j'arrive pas à croire que je vais dire ça mais...enfin tu as du te rendre compte que contrairement à la plupart des mecs de ce lycée je n'ai pas juste envie de "tirer mon coup" avec toi. C'est...autant perturbant que flatteur ce que tu me dis, et t'a été à deux doigts de me faire tomber dans les pommes, c'est dire...
Mais je...je suis pas de taille contre Brad. Je doute de pouvoir t'apporter ce que tu recherche, sans compter que si ça venais à se savoir les autres se mettraient à jaser aussi sur toi. Et crois moi, c'est pas quelque chose que je te souhaites.
Puceau, Kenji n'avait aucune expérience avec les femmes, et vu le milieu dans lequel il avait grandi, ne s'était même jamais masturbé. Difficile en pleine période d'adolescence, surtout depuis qu'il éprouvait de forts sentiments à l'encontre d'Asami, mais de fait il doutait tout simplement de sa capacité à la satisfaire. Brad était limite secondaire, Kenji aurait volontiers échangé une semaine à l'hopital pour une minute entre les bras d'Asami, mais Brad était un sportif entraîné et lui...le contraire...
Autant dire qu'il ne se sentait pas à la hauteur de ce qu'Asami pouvait attendre de lui, de ce qu'il s'imaginait. Même si l'envie de tenter le coup quand même, elle, n'était pas absente.
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Elle avait balancé plusieurs affirmations qui ébranlèrent Kenji, comme si des missiles avaient explosé sur son mur. Lui, le grand timide, l’ignoré du fond de la classe, celui dont on oubliait de citer le nom en faisant l’appel, celui qui était le dernier à être choisi quand il fallait faire des équipes de sport, se retrouvait face à lune des plus belles filles du lycée, qui venait juste de lui dire qu’elle se caressait intimement en pensant à lui. Qu’il n’ait pas encore tourné de l’œil en tombant dans les pommes relevait du miracle. Au lieu de ça, il finit par lui répondre, en lui avouant être sceptique, et termina par l’obstacle Brad. Asami ne put que sourire, à nouveau, en comprenant tout ce que cette phrase sous-entendait.
« Tu aimerais être à sa place, hein ? »
Cette question n’appelait pas de réponse, car elle était plus une constatation qu’autre chose. Qui n’avait pas envie d’être à la place du beau mec du lycée ? Celui qui avait eu droit à son article de presse ? Celui qui avait des groupies, un profil Facebook très populaire, et qui pouvait embrasser, peloter et caresser Asami quand il le voulait ? Brad en tirait une grande fierté, n’hésitant pas à l’embrasser en plein milieu du couloir, juste pour se pavaner auprès de ses amis. Oui, tout le monde avait envie d’être à sa place... Car tout le monde se contentait du masque d’or, et personne ne voulait gratter un peu dessous.
Rien n’était parfait, et sûrement pas Brad.
Asami cessa de sourire, se pinça les lèvres, et parla alors :
« Au début, je l’aimais, et lui aussi m’aime... Mais je crois que nous avons des conceptions différentes. Pour lui, je suis une femme parfaite, tout comme tu le penses... Mais, là où toi, tu es un grand romantique qui préfère m’observer en douce et souffrir en silence, lui, il préfère m’exhiber. Je pense que vous manquez tous les deux de confiance, mais lui l’extériorise, et toi tu l’intériorises. Il m’affiche auprès des autres parce qu’il n’a pas confiance en lui, et a soif de reconnaissance. Tu comprends ? Il m’aime, mais pas pour ce que je suis... Ou, plutôt, il m’aime pour l’image qu’on se fait de moi. Tu vois la nuance ? »
C’était assez difficile à expliquer, car ça l’était déjà à comprendre. Ce qu’Asami était en train de dire, c’était que Brad l’aimait de la mauvaise manière, en l’idéalisant, ce qui expliquait ses crises de jalousie, et son côté possessif.
« Je suis une fille cultivée, marrante, jolie, et tout ce que tu veux... Mais, avant tout, je suis une fille à qui on a toujours tout cadenassé. J’ai eu une éducation stricte, et je pensais que sortir avec le capitaine de l’équipe de foot’ me permettrait d’être libre... Mais il s’avère que Brad est très jaloux. On peut trouver ça touchant... Mais je n’aime pas qu’il se batte, ou qu’il s’énerve à cause de moi, ou qu’il me reproche parfois de sortir avec mes copines. Je veux dire... Je suis une fille, moi, pas un trophée qu’on peut exhiber, ni... Ni une petite Princesse qu’il faut idolâtrer comme si elle était une espèce de sainte ou j’sais pas trop quoi... »
À force de parler, Asami se lançait dans un vrai discours, et elle secoua la tête, puis la prit entre ses mains. Le léger silence fut rompu quand l’une de ses mains attrapa celle de Kenji.
« Je sais que tu m’aimes, Kenji, et je sais que tu ne veux pas juste coucher avec moi... Mais on est des adolescents, pas des vieux grabataires. Alors... Hum... »
Après ce ton sérieux, le petit sourire espiègle revint sur ses lèvres.
« Okay, je vais te soumettre un truc... Demain soir, je serais seule dans le gymnase-C. Je m’y entraîne souvent le soir, pour être tranquille. Je veux que tu me retrouves à cet endroit-là... Mais pas les mains vides. Je veux que tu me fasses un joli dessin. Et ce dessin devra représenter ce à quoi tu penses quand tu te masturbes en pensant à moi. Car tu es un garçon, et je sais que les garçons font ça. »
Asami lui fit un clin d’œil, et relâcha sa main.
« Si tu n’es pas là demain, ou si tu n’as pas le dessin, je comprendrais tout à fait... Mais on ne se parlera plus jamais. Cette conversation sera comme si elle n’aura jamais eu lieu. Inversement, si tu viens avec le dessin... »
Elle lui sourit à nouveau, un sourire coquin, et parla ensuite à voix basse :
« Je suppose qu’il faut garder un peu de mystère... »
Et, comme pour lui prouver qu’elle ne plaisantait pas, elle se pencha un peu en arrière, et commença à dénouer quelques boutons du haut de son chemisier, révélant un beau soutien-gorge blanc à dentelles.
« Tu peux prendre une photo... Pour te montrer que j’ai confiance. »
Asami avait de jolis arguments mammaires... Mais ça, Kenji allait pouvoir le confirmer.
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Oui, en un sens Kenji aurait aimé être à la place de Brad. Pas être comme lui, car il n'enviait pas sa personnalité, mais sa popularité et le fait qu'il soit le petit ami officiel d'Asami, difficile de ne pas espérer pouvoir obtenir la même chose. Kenji s'était alors contenté d'un bref haussement d'épaules et d'une petite moue pour afficher le fait qu'effectivement, la situation actuelle de Bran était à envier...et en même temps pas tant que ça au final. Car sur le moment, et c'était assez rare pour être souligné, Kenji était très bien dans sa propre situation.
Puis Asami se mit à s'expliquer plus en détail, et Kenji lui prêta une oreille attentive, si bien qu'elle se mit à confesser des choses qu'elle n'avait probablement pas du dire à grand monde...voire probablement à personne, au vu du contenu de ces dires. La jeune fille ne se complaisait pas entièrement dans sa situation de star du lycée, surtout dans le fait que tout le monde attendait trop d'elle, et que cela la bridait, que sa vie lui semblait être un carcan. La volonté de s'échapper semblait prédominer, peut-être étais-ce une des raisons qui la poussait à l'approcher ? Cela l'étonnait mais...ils se ressemblaient plus qu'il ne l'aurait cru au premiers abords.
Je crois que je vois ce que tu ressens, en fait. Prisonnière d'un modèle de vie qu'on t'impose sans que tu le choisisse, je vis ça également. Et ma foi si ça peut te faire plaisir, j'essayerais de moins te traiter comme une princesse...j'essayerais...
Il afficha alors un léger sourire, stressé certes, mais il essayait de détendre un peu l'atmosphère. Il l'avait écouté sans l'interrompre, car elle avait visiblement besoin de quelqu'un qui l'écoutait sans la juger, et au final Kenji se rendit compte que Asami était un peu comme lui: elle aspirait à être un peu plus "normale", un peu moins cadenassée dans un rôle qu'on aurait défini sans qu'elle aie son mot à dire.
Puis elle posa sa main sur la sienne, juste après qu'il aie encore vérifié que personne ne se trouvait à proximité, car il ne voulait pas que sa mauvaise réputation au sein du lycée n'impacte celle d'Asami; Elle lui fit alors une nouvelle proposition, tout aussi indécente que le reste, mais c'était également une sorte d'ultimatum, elle allait le forcer à prendre une décision. La dessiner telle qu'il pouvait l'imaginer en se masturbant le soir, une chose qu'il n'avait pas encore faite mais...son esprit avait néanmoins quelques idées, il trouvait toutefois la chose très osée, lui qui était d'un naturel assez prude.
Mais la promesse voilée qu'elle lui fit acheva d'exciter son imagination débordante. Demain soir, dans un gymnase désert, où ils seraient seuls, lui et elle coupés du monde pour un peu de temps ensemble.
Tu sais, même si j'ai jamais été aussi gêné que maintenant...je crois que tu peux pas imaginer à quel point ce que tu m'a dit m'a touché. Donc okay, si ce sont tes conditions je...je le ferais...
Ses joues redevinrent rouges à ces derniers mots, il avait des notiosn d'anatomie, et saurait finalement parfaitement dessiner le corps nu d'une femme, particulièrement celui d'une qu'il observait en secret depuis des semaines. Il sortait là clairement de sa zone de confort, mais il n'avait pas non plus que cette discussion qu'ils venaient d'avoir soit la dernière, sans compter qu'Asami vint enchaîner avec quelque chose de...d'inattendu, encore une fois. Elle déboutonna sous les yeux ébahis de Kenji sa chemise de lycéenne, et lui fit voir son soutien-gorge, ses beaux seins moulés dedans. Prendre une photo d'elle ainsi...elle ne plaisantait alors vraiment pas, il hésita alors quelques secondes, puis d'une main fébrile sortit son portable de sa poche et prit, tant bien que mal, une photo bien cadrée de son visage et de sa poitrine, toujours avec ce sourire qui le faisait fondre.
C'est...c'est bon...
Je vais être honnête, ça me fait...très bizarre tout ça, mais c'est la première fois dans ce lycée que j'ai une discussion aussi longue avec quelqu'un, et j'aurais envie que ça continue. Je serais présent demain soir, avec ce que tu m'a demandé...et du coup ben j'aurais même un modèle de référence avec ça.
Que quelqu'un lui parle en toute simplicité semblait lui faire un bien fou, et qu'Asami le poussa un peu semblait doucement, mais un peu, le faire sortir de son solide carcan.
C'est à ce moment que la dernière sonnerie du lycée retentit, la fin des derniers cours, avant la fermeture de l'établissement.
Je ferais mieux d'y aller...bye et...merci, vraiment.
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Qui aurait pu résister à ça ? Ce n’était pas tous les jours qu’une fille devait montrer à Kenji ses seins au détour d’une conversation en plein réfectoire du lycée... Toujours aussi chaste, la petite Asami ? Kenji était bien loin du compte, mais elle ne lui en voulait pas. D’elle, il ne savait rien, si ce n’est l’image fantasmée qu’il se faisait d’elle, et l’image qu’on se faisait d’elle à partir de sa réputation. Et, bien entendu, entre cette image et la réalité, il y avait tout un monde. Le jeune homme hésita un peu, puis finit par prendre une photo, faisant sourire Asami. Depuis le début, elle avait vu juste... Oh, bien sûr, elle savait que Kenji ne voulait pas juste coucher avec elle... Mais, comme elle l’avait dit, ils étaient jeunes, leurs hormones les travaillaient, et il était normal qu’il ait des pulsions de ce genre. En fait, Asami n’avait jamais compris pourquoi le sexe devait être gênant. C’était un élément de sa personnalité qu’elle ne s’expliquait pas. Les relations sexuelles ne l’avaient jamais choqué. Pour elle, c’était quelque chose de normal, de naturel, une attraction physique intime entre deux êtres. Et, surtout, elle ne comprenait pas cette hypocrisie consistant à apprécier qu’on vous dise qu’on est belle, mais à s’offusquer qu’on se branle en pensant à vous. Pour elle, c’était incohérent. À quoi bon être une femme belle, si ce n’est pas dans le but d’exciter les hommes, ou les femmes ? Asami n’était pas plus choquée d’entendre qu’on voulait coucher avec elle que d’entendre qu’elle était belle, car, pour elle, c’était à chaque fois un compliment relativement similaire.
Kenji prit donc la photo, et elle lui sourit. Il lui expliqua qu’il aurait un « modèle de référence », comme ça, et elle se contenta d’un léger sourire, en se mordillant à nouveau les lèvres, avant de remettre en place sa chemise.
« Ma foi, dans ce cas... Je t’attends pour demain soir. »
Le gymnase-C longeait la cour principale du lycée Mishima. Le lycée était un grand ensemble scolaire, avec plusieurs bâtiments, plusieurs cours... Un vrai ensemble, assez labyrinthique quand on venait d’arriver. Le gymnase-C, lui, avait la particularité de jouxter le bâtiment principal, et était donc facile à rejoindre. Plusieurs portes y menaient, et, en ce soir, Asami était la seule à s’y trouver. En tenue de sport, à savoir un minishort noir et un haut blanc sans manches, elle était en train de faire ses exercices, remuant le long de barres parallèles sur lesquelles elle s’appuyait avec ses bras pour danser. Ses jambes filaient d’avant en arrière, et elle se laissait aller, répétant, encore et encore, les mêmes exercices depuis des années. La gymnastique était quelque chose qu’elle appréciait, surtout ici, en ce moment. Là, il n’y avait personne, et elle pouvait se laisser aller... Personne. Ou presque.
Asami avait passé une longue journée aujourd’hui. Elle avait été rarement aussi excitée, ce que ses amies avaient remarqué, mais sans en dire trop. Brad, lui, était préoccupé par la saison de football qui se rapprochait. Comme elle l’avait dit à Kenji, elle se caressait... Et elle s’était caressée hier. Elle avait rendu à Kenji ses dessins, mais... Elle avait fait des photocopies auparavant, qu’elle conservait prudemment dans un classeur sous son lit. Elle s’amusait à les regarder, et c’est en imaginant l’homme la dessiner qu’elle finissait lentement par se masturber. Elle avait pensé à lui en se tortillant sur son lit, et elle avait même susurré son nom.
Le grand avantage de Kenji, c’est qu’il était timide, nerveux... Et donc facilement influençable. En l’état actuel des choses, c’est tout ce qu’Asami voulait... Ce que Kenji avait vu au réfectoire n’était qu’une minuscule et infime partie des fantasmes et des projets d’Asami.
*Mais, pour l’heure, il faut encore qu’il arrive...*
Qui sait ? Il pouvait toujours avoir eu des doutes pendant la journée... Après tout, elle était la petite amie de Brad, et lui pouvait sentir ses vieux démons revenir... Asami avait envie de se dire qu’il allait arriver, avec le dessin.
Et qu’ils pourraient à la suite...
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Kenji était rentré chez lui, en étant bien incapable de penser à quoi que ce soit d'autre qu'à la conversation qu'il avait eu avec Asami. Il y reprensait, encore et encore, se repassant la scène de la jeune fille venant s'asseoir face à lui, et lui parler. Son coeur battait la chamade tandis que son esprit cogitait comme jamais auparavant, son métabolisme balançait énormément de dopamine et d'adrénaline dans son sang, le rendant euphorique et motivé. Au delà de toute règle de prudence, il avait bien l'intention de revoir Asami et de lui rapporter ce dessin qu'elle souhaitait tant, la menace de son petit-ami lui passait désormais au dessus de la tête. C'était idiot, mais Kenji ne s'était pas sentit aussi bien depuis tellement de temps qu'il était décidé à prendre le risque.
Le trajet en bus jusqu'à son petit studio avait été long, pressé de rentrer qu'il était, il avait alors gravi les marches de l'escalier de son immeuble trois par trois, ouvert la porte rapidement, balancé ses affaires dans un coin pour ensuite s'installer sur son petit bureau. Là, tout son nécessaire à dessin, des crayons avec différentes mines, plusieurs types de gommes et de papiers. Une fois débarassé de son haut à capuche, Kenji se mit alors à dessiner, tout en ayant à côté de lui son portable allumé, présentant la photo d'Asami qu'il avait pris. Ce sourire le fascinait, mais ce décolleté le laissait rêveur, car c'était bien la première fois qu'une fille lui laissait voir une partie intime de son corps. Entre une image et la réalité, la différence était nette, mais il pourrait s'en servir pour représenter au mieux les proportions corporelles de la belle jeune femme.
Les minutes passèrent, puis les heures alors que le Soleil s'était couché, son dessin était terminé depuis un moment, mais Kenji était traversé par un élan créatif sans précédent, et il enchaînait les dessins représentant Asami, chacun étant plus osé que le suivant. Si on les assemblait et qu'on les plaçait dans un certain ordre, ils représentaient une scène de striptease, Asami étant de plus en plus dénudée à chaque dessin, et il était maintenant en train de faire un nu complet. Il devait imaginer pour celui là, mais il était particulièrement satisfait du précédent, où il l'avait représenté prenant une pose sexy, bombant ses fesses en direction du spectateur, tout en portant encore ses jolis sous-vêtements en dentelle. Là maintenant, il dessinait les courbes de son corps sans aucun vêtement, laissant son imagination le guider pour ces zones qu'il n'avait jamais pu voir...mais qu'il avait comme la sensation qu'il serait bientôt familier avec.
*On va faire l'amour...j'ai encore du mal à y croire...*
Bien entendu son imagination s'emballait, l'adolescent qu'il était ne pouvait faire autrement que d'être excité à cette perspective, même si c'était pas digne d'un roman à l'eau de rose, il avait très bien compris qu'un romantisme platonique n'était pas du goût d'Asami, et au final pas du sien non plus. Le jeune homme bandait en permanence depuis les trois derniers dessins, et heureusement le dernier était en passe d'être fini, car sa main directrice devenait de plus en plus tremblante. Il porta les derniers coups de crayons, les derniers détails, avant d'enfin lâcher son outil qui avait bien baissé en longueur. En s'adossant pleinement dans son fauteuil, il jeta un coup d'oeil à l'heure, pour constater qu'il commençait à être tard, mais il avait tenu à finir ce qu'il avait commencé pour ne plus à s'en soucier. Kenji n'avait au final pas pu se contenter d'un dessin, mais de sept au total, représentant Asami en train de faire un striptease intégral. Et maintenant qu'il avait terminé, il se remémorait les paroles de la jeune femme...
*Je me masturbe en pensant à toi... Une fois par jour, au moins.*
Cet élément en particulier l'avait marqué. Savoir qu'il était l'objet du désir de l'élue de son coeur, savoir que, si ça se trouvait, elle était en train de le faire en ce moment même, en murmurant son nom tout en glissant sa main...
Kenji ne tint alors plus, et dans un grand soupir, il déboutonna son pantalon et le fit glisser le long de ses jambes, en même temps que son boxer, et entreprit de se branler. Il savait que ses parents considéraient ça comme étant mauvais, mais en l'état actuel des choses, leur avis ne comptait pas pour lui. Il avait mal putain, à force de dessiner Asami nue, la pression dans tout son corps était montée jusqu'à un niveau insoutenable, et il fallait qu'il la relâche. Kenji, pour parler crûment s'astiqua le manche tout en regardant la photo d'Asami, qui le narguait en quelque sorte de cette façon. La belle lycéenne lui avait avoué que l'idée qu'il se masturbe en pensant à elle ne la dérangeait pas, au contraire, ce qui lui avait permis un déclic. Kenji se branla frénétiquement jusqu'à jouir une grosse quantité de sperme, jusqu'à ce qu'il ne nettoye avec un mouchoir avant d'aller prendre une douche et se coucher. Il eu toutes les difficultés du monde à s'endormir ce soir là...
La journée elle passa très lentement, si cela ne l'empêchait pas de suivre les cours comme à son habitude, il était très pressé d'être à ce soir, mais ne montra aucun signe extérieur d'excitation ou de joie. Il serait alors sorti de son rôle de looser, et quelques cons en auraient sans doute profité pour l'interpeller et le faire chier. Kenji était fort heureusement le genre de mec qui n'était pas très drôle à martyriser, car il abordait ce genre de situations d'un air blasé plutôt qu'effrayé, ce qui n'était pas drôle pour des gens qui voulaient du spectacle.
Les heures passèrent sans évennement particulier, Kenji fit son maximum pour éviter au possible de croiser Asami, car il saurait qu'il ne pourrait pas la regarder aussi discrètement qu'à son ordinaire, et il ne souhaitait pas éveiller les soupçons de qui que ce soit, ce devait être une journée comme les autres. La fin de journée arriva enfin, le lycée désert en fin d'après-midi, mais Kenji n'avait pas pris le bus cette fois, et attendait dans un parc à proximité que l'heure soit assez avancée pour pouvoir y aller sereinement. Il avait aussi besoin de ce temps pour essayer de se calmer un peu, car plus le moment de leur rendez-vous approchait, et plus il commençait à flipper. Et si c'était au final un coup monté ? Et si les dessins ne lui convenaient pas ? Et si il n'était pas à la hauteur de ses attentes ? Il y avait une multitude de raisons pour Kenji de flipper, il allait dans ce qui s'apparentait à un premier rendez-vous amoureux, et c'était dans un lieu non conventionnel dans les plus grand secret avec une fille déjà maquée. Pour une toute première fois, ça faisait autant de raisons supplémentaires de flipper un peu, en plus des traditionnelles raisons de tout premier rendez-vous de ce genre.
*J'ai l'impression d'avoir une boule de plomb dans l'estomac putain, ça l'air si facile pour elle et pour les autres...et si jamais ça foire...*
Il ne voulait même pas y penser. L'heure était arrivée, et même un peu dépassée, alors il se leva du coin d'herbe, à l'ombre d'un arbre, qu'il s'était trouvé pour écouter de la musique, ce qui avait contribué à un peu le calmer. Mais maintenant qu'il marchait en direction du gymnase, c'était reparti comme avant, alors il abandonna toute idée de déstresser, et entra dans le bâtiment par la porte, qui était ouverte. Il arriva dans un petit hall, peu éclairé, qui donnait sur des portes de vestiaires, dont une qui laissait filtrer de la lumière, un vestiaire de filles.
Comme il n'y avait personne d'autre que lui, il s'autorisa une escapade dans cet endroit interdit, et y trouva entre autres les affaires d'Asami, car il aurait sû reconnaître ce sac entre mille, ainsi que ces vêtements. Il dégluttit alors, car ça signifiais qu'elle était en tenue sportive, un détail logique mais qui lui avait échappé, car la tenue de sport des filles était pour n'importe quel garçon de leur âge une torture ambulante. Il s'avanca alors encore un peu, puis entrouvrit la porte donnant sur la grande salle, qui était bien éclairée, avec de multiples accessoires de gymnastique, et surtout...elle.
Asami était en train de s'entraîner,et en la voyant, Kenji n'entra pas tout de suite, mais la regarda un moment faire ses exercices. Elle était souple, grâcieuse, et semblait vraiment aimer ça. C'est à ce moment qu'il remarqua une nette différence en elle, ici elle ne jouait pas un rôle, mais elle était elle même, en dehors de son carcan de belle fille populaire. Il trouva le spectacle beau, et attendit qu'elle finisse ce qu'elle était en train de faire pour ensuite pleinement entrer.
Hey...salut.
Il s'approcha tranquillement, les mains dans les poches de son sweat à capuche rouge foncé. Il s'efforçait de sourire en essayant de ne pas avoir l'air trop stressé, mais c'était peine perdue.
Désolé d'être un peu en retard, j'ai pas pu m'empêcher de...te regarder. On sens les années d'entraînement derrière tes gestes, et que c'est un truc qui te plaît. Dommage que je sois aussi souple qu'un rocher et avec la silhouette d'une crevette, je pourrais pas en faire autant.
Il ne souhaitait pas entrer directement dans le vif du sujet en lui présentant les dessins, au risque de passer pour un gros lourd qui ne serait venu pour ça. Enfin, venu "que" pour ça, car il semblait assez clair qu'ils allaient...faire des choses, peut-être, Kenji ne savait plus très bien.
Et désolé aussi d'être stressé comme ça. C'est...pas souvent qu'une fille me donne un rendez-vous, c'est même la première fois, et les circonstances étant ce qu'elles sont...nan je crois que je vais juste arrêter de parler en fait, je dis de la merde.
Petit rire gêné, il se frotta l'arrière de sa nuque, vu qu'il avait retiré sa capuche pour qu'elle puisse le reconnaître, et ne pas de loin le prendre pour un intru. Oh bordel ce qu'il avait mal au bide. Puis il se rappella soudainement qu'il avait, et bien, quelque chose à lui donner. Cette résurgence de mémoire se vit à travers ses yeux, puis le fait qu'il prenne rapidement son sac en bandouillère, et en sortie une poche protectrice en carton bleu, et ne la tende à Asami.
Et encore désolé...j'avais presque oublié que tu m'avais demandé de...de venir avec ça. Y'a plus d'un dessin par contre...j'ai pas pu me contenter d'un seul...
Et là, il se mit à rougir comme une pivoine, considérant les instructions qu'elle lui avait laissé, à savoir la dessiner telle qu'il l'imaginait en se masturbant. Autant dire qu'il avait eu pour le coup une imagination débordante.
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Les angoisses de Kenji répondaient à celles d’Asami. Tandis qu’elle se déhanchait, elle se demandait s’il allait venir... Ou si elle allait se retrouver sur Internet avec la photo qu’elle lui avait donnée et une légende de choc, du style : « ASAMI EST UNE GROSSE S***** ». C’était le genre de fait divers qu’on lisait sur le journal, dans la rubrique « Faits divers ». L’art et la manière de voir une coqueluche devenir la cible du lycée. Asami était lucide, suffisamment lucide pour savoir que la popularité était éphémère, et que, si on appréciait voir les gens populaires, on adorait encore plus les voir s’écrouler sur place. Voilà pourquoi Asami ne cherchait pas à être populaire. Elle l’était devenue sans le vouloir, parce qu’elle était belle, avenante, souriante, sportive, et qu’elle sortait avec Brad. La jeune femme dansait donc, remuant d’avant en arrière, sans savoir que Kenji l’observait, tout en continuant à se dire qu’il était en retard... Et, mine de rien, elle avait peur qu’il ne vienne pas, non seulement parce que cela voudrait dire qu’il avait sur elle une image compromettante... Mais aussi parce qu’elle avait envie qu’il vienne, tout simplement. Avec lui, elle se disait que les choses pouvaient être différentes. Kenji n’était pas un garçon très viril, il était très discret, très mystérieux... Mais elle l’aimait bien. Avant même le cours de chimie, elle était intriguée par lui, car elle l’avait déjà vu dessiner en arts plastiques, et, même au-delà de ça, il avait toujours attiré sa curiosité. Peut-être était-ce cette attirance légendaire envers les garçons mystérieux ? Mais, en tout cas, Asami avait vraiment très envie qu’il vienne. En réalisant qu’elle tremblait un peu sur place, du fait de la nervosité, elle bondit sur le côté.
Ses pieds se posèrent sur les tapis de sol entourant les deux barres, et elle reprit son souffle. Asami était seule dans ce grand gymnase. Elle avait pris l’habitude d’être seule, et elle n’avait pas encore tout avoué à Kenji... Elle ne lui avait pas dit qu’elle s’amusait parfois à s’entraîner nue, dans l’espoir que quelqu’un la surprenne, et ne lui fasse secrètement l’amour... Des idées débiles de gamine... Du moins, c’est ce qu’elle avait toujours pensé. Mais, chez elle, l’exhibitionnisme était quelque chose d’un peu plus poussé qu’un simple fantasme lubrique qu’on exprimait sur Internet. Elle était déjà venu en cours sans sa culotte. Pour elle, c’était comme un moyen d’exprimer sa liberté, à travers la perversion et le frisson que procurait la privation sexuelle.
*J’ai dansé nue sur cette barre... J’aurais peut-être dû me déshabiller...*
Ceci était dit, ça aurait peut-être été dur pour Kenji... Elle ne voulait pas l’effrayer, mais, avec lui... Ah, elle avait hâte ! Un jeune homme transi d’amour, nerveux, timide, et prêt à tout pour exaucer ses désirs ! Et, en plus, Asami était sincère quand elle disait qu’il était mignon. Elle avait très hâte qu’il vienne, et, alors qu’elle regardait autour d’elle, elle sursauta en le voyant arriver, et lui sourit de toutes ses dents. Étrangement, son cœur battait chaudement dans sa poitrine, bien plus fort que ce qu’elle aurait pensé, ou bien plus fort que quand elle était avec Brad, même à une époque où elle tremblait sur place quand il l’embrassait. Nerveux, Kenji se rapprocha, tenant entre ses mains un classeur, et elle sourit, en comprenant qu’il avait dessiné.
« Salut, Kenji... »
Il parla rapidement, mais finit par se taire, en sentant sa timidité revenir. Elle, elle se contenta de prendre le classeur, lui fit un clin d’œil, et l’invita à s’asseoir sur une chaise.
« Pas de panique, okay ? Détends-toi pendant que je regarde... »
Et, tandis qu’il s’installait, elle lui tourna le dos. En dansant, elle avait senti son minishort s’enfoncer contre sa croupe. Autrement dit, il moulait bien son petit cul, et elle voulait offrir cette vue à Kenji, comme une sorte de racolage passif. Elle ouvrit ensuite le classeur, et constata qu’il avait été inspiré, en effet, puisqu’il avait dessiné sept dessins.
« Et bien... Ta main a été très active cette nuit ! »
Libre à Kenji d’interpréter sa phrase comme il l’entendait. Elle regarda les dessins, et vit qu’il avait dessiné à plusieurs reprises la même scène, sous des angles et dans des temps différents. Sur une image, elle était de dos, à quatre pattes, et bombait ses fesses, la tête penchée sur le côté. Sur une autre image, très similaire, elle ne portait plus sa culotte ou son soutien-gorge. Sur d’autres, elle était face à l’écran, et prenait des poses lascives, digne des magazines de pin-up. Les minutes s’éternisaient, tandis que la femme souriait.
« J’aime beaucoup la manière dont tu dessines mes cheveux... Et mes fesses. Tu as dû beaucoup les observer, je ne savais pas que j’avais un cul aussi joli... »
Elle plaisantait, bien sûr. Elle se vit en train de se caresser avec deux doigts, portant ses collants, sa chemise ouverte sur ses beaux seins, et, avec l’autre main, elle léchait ses doigts, son regard envoûtant et mielleux happant le regard du lecteur. Asami se pinça les lèvres, et sentit quelque chose vibrer entre ses cuisses, au fur et à mesure qu’elle découvrait les images. Sur une autre, elle était couchée sur le dos, la tête penchée en arrière, les mains malaxant ses seins. Asami savait que Kenji l’aimait... Mais, en voyant ces images, elle réalisait que cet amour était très fort. Asami en était touchée...
Et elle se retourna alors, puis se rapprocha de lui, sans rien dire pendant quelques secondes.
« Je dois admettre que... Tu dessines vraiment très bien, Kenji. C’est... Woow, tu as un talent inné ! »
Elle lui sourit en restant proche de lui, puis, sans attendre plus longtemps, grimpa sur son corps, prenant appui avec ses mains sur le dossier de la chaise, glissant ses jambes à droite et à gauche des siennes, ses seins venant heurter son torse.
« Je suis flattée d’être ta muse... Et, comme tu as fait sept beaux dessins, je crois que ça mérite que je sois ton bon petit génie, et que je t’exauce sept vœux... »
Asami sourit à nouveau, rapprochant son visage du sien, tout en déplaçant ses mains, les posant sur ses épaules.
« Qu’est-ce que tu veux, Kenji ? Un French kiss langoureux ? Palper mes fesses ? Que je te masturbe ? Ou... Que je suce ta queue ? glissa-t-elle sur un ton plus bas, dans le creux de son oreille. Ou alors... Que je te fasse un strip-tease en murmurant ton nom ? Et, bien sûr, si tu veux que je prenne ta virginité... Nous pouvons le faire. Par contre... »
Asami, qui jouait sur place, avec une lueur malicieuse dans les yeux, cette fameuse lueur, sourit à nouveau, se tut pendant quelques secondes, et reprit :
« Je veux que tu saches que je suis encore vierge... Au niveau de mes fesses... »
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Kenji prit place sur une chaise, comme le lui avait demandé Asami, tandis que cette dernière avait pris en man la pochette contenant ses dessins. Le jeune homme stressait à mort pour de nombreuses raisons, et le fait de s'asseoir lui permit d'essayer de se focaliser sur le fait de se calmer. Mais ce fût difficile, notamment à cause du spectacle qu'Asami lui offrit, volontairement ou pas, sous la forme de ses fesses moulées par son short. Kenji pouvait parfaitement voir la raie de ses fesses se dessiner, le vêtement laissait parfaitement apparaître leur rondeur, il imaginait leur fermeté, la douceur de la peau à cet endroit, et il du serrer les poings pour se contrôler. Le jeune lycéen avait une trique d'enfer depuis qu'il avait posé les pieds dans le lycée, dès le matin, et cela avait quelque peu handicapé sa journée, mais ce fût surtout l'attente, des heures et des heures à imaginer ce qui se passerait. Le fait de la dessiner nue avait emballé son imagination, et le pauvre ne menait pas large face à elle qui se maîtrisait bien d'avantage que lui.
Kenji déglutissait, respirait fortement tout en essayant de contrôler le rythme de sa respiration, afin de se calmer, mais bordel c'était difficile, surtout avec les petits commentaires taquins d'Asami, et surtout la façon dont elle regardait ces dessins. Le jeune homme avait à un moment eu peur d'être allé trop loin en ayant dessiné Asami en train de se caresser, presque nue, mais plus il regardait ses réactions avec attention, et plus il semblait convaincu qu'en réalité il avait plutôt bien joué. Les premiers dessins étaient soft, mais avaient fini par devenir de plus en plus osés, et ce fût sur ces derniers au final qu'Asami s'attarda d'avantage, tandis que lui...et bien ne pouvait pas non plus détacher trop longtemps son regard de son cul qui le narguait. Il avait envie de...de fourrer son visage contre...
Puis elle se retourna, Kenji sortit alors subitement de sa torpeur et la regarda. Elle était terriblement belle, sexy, attirante, en comparaison Kenji continuait à se demander ce qu'elle pouvait bien lui trouver, mais c'était une question qu'il conservait pour lui, car il n'était pas désireux de casser ce moment. Asami sembla...touchée par ses dessins.
Et ben merci...j'ai eu un peu peur d'être allé trop loin, mais si ça te plaît...
Puis vint le moment, tant attendu, et craint en même temps. Asami posa sa pochette sur un côté, et vint s'asseoir sur Kenji, à califourchon sur lui. Tout s'emballa dans la tête du jeune homme. Une fille était assise sur lui, il avait presque son torse collé contre ses seins, et il sentait le short de son uniforme proche, si proche de la grosse bosse de son pantalon. La chaleur de son corps, le souffle de sa respiration, sa voix toute proche. Asami était littéralement collée contre lui, et c'était bien la première fois qu'une fille se posait ainsi contre son corps, surtout avec des intentions clairement énoncées. Son coeur n'avait jamais battu aussi vite que maintenant, il en sentait les bondissements dans tout son corps, et il manqua de perdre toute contenance quand Asami cessa clairement toute forme de faux semblants.
Palper ses fesses, se faire sucer, perdre sa virginité, un strip-tease...ça y est...Kenji allait donc faire l'amour avec une fille.
Je...je...
Oh qu'est-ce qu'il avait du mal à parler, il était presque tétanisé, mais sa volonté de ne pas paraître complètement comme un gros looser lui permit de reprendre un peu de consistance. Juste le minimum, une fois qu'il eu prit quelques secondes pour fermer les yeux, respirer un grand coup, et regarder à nouveau Asami.
Désolé...c'est si nouveau et si intense que je suis...déboussolé...
Il respira de nouveau. Il ne savait pas trop quoi faire de ses mains, qui étaient pendues le long de la chaise, les bras branlants. Il osa aller les poser sur les cuisses d'Asami, et éprouva le contact doux, chaud, de sa peau épilée.
Je...je sais pas trop par où...oh putain...par où commencer...le...le baiser peut-être ?
Kenji était un grand romantique, avec certes un côté un peu pervers qui ne demandait qu'à se développer, mais il demeurait assez fleur bleue. Tout autre garçon aurait probablement commencé par demander à Asami de se foutre à poil, et de lui sucer la queue avant de la prendre, mais Kenji lui malgré son état ne voulait pas sauter les étapes. Le baiser était pour lui le point de départ, ce merveilleux échange à partir duquel tout pouvait ensuite découler, et puis il trouvait que là dans cette position, c'était le moment parfait.
Je l'ai jamais fait par contre alors...j'espère juste que ça sera pas...trop foireux...
Il se mit à sourire nerveusement, puis attendit que la belle fasse le premier pas. Il n'était clairement pas dans l'état de prendre des initiatives, mais ferait par contre clairement tout ce que Asami lui demanderait, suivrait ses consignes et conseil à la lettre. Il devait déjà apprendre à embrasser avant toute chose, après tout.
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Asami eut un sourire en sentant la « petite » bosse contre ses cuisses... Une bosse qui était toutefois assez consistante, et qui lui faisait plus plaisir que n’importe quel bouquet de fleurs ridicule. Ce n’est pas qu’Asami avait un cœur de pierre. Au contraire, en un sens, elle était très romantique... Mais son romantisme était comme nimbé dans un gant de perversion, un gant insoupçonnable. Tout le monde la voyait comme une petite princesse candide et idiote, du genre à s’énerver quand un garçon faisait devant elle une plaisanterie grivoise. Il y avait tout simplement deux Asami : la Asami publique, cette femme parfaite et gracieuse, et la vraie Asami, celle qu’elle n’avait encore montré à personne, pas même à Brad... Avant maintenant. Un chat semblait avoir avalé la langue de Kenji, qui ne savait clairement plus du tout où se mettre. Asami s’en était doutée un peu. La plupart des filles cherchaient des mecs virils, des hommes forts et musclés, baraqués comme Sylvester Stallone, afin de pouvoir les protéger et veiller sur elles... Mais pas Asami. Un mec viril, c’était un mec comme Brad, et ce qu’ils avaient en muscles était absent de ce qu’ils avaient dans le cerveau. Non, ce que la jeune femme voulait, c’était d’un petit soumis, un petit garçon qui manquait de confiance en lui, qui idéaliserait Asami, et serait incapable de refuser ses fantasmes. Et c’était exactement ça avec Kenji. Totalement soumis, tout ce qu’il parvint à faire, après de longues secondes, fut de poser ses mains moites sur les cuisses de sa future amante, et de murmurer la possibilité d’un baiser.
Un gloussement s’échappa des lèvres d’Asami, qui se rapprocha de lui, penchant la tête vers le bas... Et posa un doigt sur ses lèvres.
« Tu bandes comme un taureau, Kenji, je n’ose croire que tes fantasmes se résument à un baiser... Mais soit. Tu as demandé un baiser, et je vais t’en donner un... »
Maîtresse de la situation, et follement amusée, Asami rapprocha son visage du sien, comme pour l’embrasser... Puis, alors qu’on pouvait légitimement s’attendre à ce baiser, elle se releva alors, se redressant en arrière, une lueur espiègle dans le firmament de ses yeux.
« Tu as juste oublié de préciser où... »
Où, oui... Et cet élément avait son importance. Kenji allait vite découvrir, si ce n’était pas encore le cas, qu’Asami était joueuse... Le sourire ravi qu’elle arborait sur les lèvres signifiait clairement qu’elle avait une idée derrière la tête, et qu’elle comptait bien la mettre à exécution. Asami s’écarta donc, et se posa sur le sol, debout... Et ses mains se posèrent sur les cuisses de Kenji.
« Écarte bien les jambes... »
Elle les écarta elle-même, puis fléchit les genoux, et sa tête se retrouva entre les jambes de l’homme, venant se rapprocher de son bassin. Son regard oscilla entre la vision de son sexe et son visage tout gêné, définitivement irrésistiblement mignon, et elle se pinça ensuite les lèvres, puis posa la main sur la fermeture de son pantalon. Sans rien dire, elle le déboutonna alors, puis déboucla ensuite la ceinture, et écarta ensuite les pans du pantalon, pour voir le sexe pointer à travers le sous-vêtement de Kenji, formant une belle bosse.
Un sourire ravi explora les lèvres d’Asami, qui se rapprocha ensuite, et plaça son visage juste à côté de ce sexe... Elle attendit encore un peu, puis glissa ses mains sur le rebord de ce sous-vêtement, et tira dessus. Elle le sentit glisser le long de son sexe érigé, puis il passa de l’autre côté, révélant cette verge qui se redressa, avec cette odeur si caractéristique... La première fois qu’elle l’avait senti, elle avait trouvé ça horrible, mais... Et bien, c’était comme un dentifrice infect, ou un médicament. À force d’en prendre, on finissait par s’habituer au goût, et même par le trouver agréable. Pour le sexe, c’était pareil avec Asami.
« Prêt pour ton premier baiser, Kenji ? » demanda-t-elle d’une voix innocente.
Elle n’attendit pas vraiment une réponse, et déposa un simple baiser sur sa queue, en la tenant contre sa main. Soin nez caressa son sexe, avant que ses lèvres en s’y posèrent, et, après ce petit geste, elle releva la tête, en sentant le sexe de l’homme caresser sa joue.
« Encore, mon beau Kenji ? » rajouta-t-elle ensuite, tout simplement.
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Kenji était totalement à la merci d'Asami actuellement, la jeune femme menait la danse, elle était celle du duo qui avait bien plus d'expérience, savait ce qu'elle faisait, Kenji lui ne pouvait vraiment rien faire d'autre que la suivre...et la laisser faire comme bon lui plaisait. Sentir l'index d'Asami sur ses lèvres alluma un brasier supplémentaire en lui, alors qu'il était déjà en feu depuis des heures et des heures, car le moment crucial approchait. La jeune femme devenait de plus en plus tactile, multipliait les contacts physiques, dans une sorte de crescendo qui culminerait dans l'union de leurs deux corps. Si pour Asami un baiser semblait un piètre fantasme, il fallait se remettre du point de vue de Kenji qui n'avait jamais eu le moindre contact intime avec une fille...autrement dit, un baiser pour lui était un fantasme.
Le jeune homme sentit sa respiration lui manquer lorsqu'il vit le visage d'Asami se rapprocher du sien, ses lèvres de plus en plus proches, il pouvait presque les goûter...lorsqu'elle se retira au moment même où elles se frôlèrent. Kenji cligna des yeux, ne comprenant pas, alors que l'espiègle jeune femme lui rappela un léger détail, qu'il n'avait pas précisé "où" il voulait son baiser. Pour Kenji cela avait semblé couler de source, et dans l'absolu il était certain que pour Asami aussi, qu'elle avait précisément sû ce qu'il voulait dire. Mais à voir la lueur d'amusement dans ses yeux, et son petit sourire, Kenji comprit qu'elle avait fait exprès d'utiliser ce petit détail à son avantage.
Si il était du genre à vouloir y aller progressivement, elle semblait en revanche vouloir sauter quelques étapes. Kenji avait bien trop la gorge serrée pour dire quoi que ce soit, et avait bien trop besoin de ses forces pour essayer de garder un minimum de contenance, ne serais-ce que pour ne pas tomber dans les pommes. Asami se releva, tout en posant ses mains sur les cuisses de Kenji, et en lui demandant de écarter. Le jeune homme avait beau être un complet puceau, il n'était pas pour autant naïf...et devina alors ce que sa partenaire avait en tête. Son souffle lui manqua à nouveau, alors que la douleur qu'il ressentait dans son entrejambe, qu'il avait un peu réussi à occulter, se manifesta à nouveau par anticipation.
Kenji ne parvint pas à réagir à temps, mais encore une fois, Asami prit les choses en main, sans doute consciente que dans son état, le jeune homme ne serait pas très loquace, ni à même de prendre des initiatives. En revanche, il se laissait faire docilement, et il la vit alors se mettre à genoux devant lui, puis rapprocher sa tête de son entrejambe.
*Oh putain...elle va vraiment le faire...oh putain...*
Kenji avait l'impression d'être dans un rêve tant ça lui semblait surréaliste, seules les sensations du toucher d'Asami pouvaient le convaincre qu'il n'était pas en train de délirer. Il avait chaud, très chaud, et alors qu'elle prenait place, Kenji parvint à réunir assez de coordination pour enlever son sweat qui vraiment lui tenait bien trop chaud. Il se retrouva en T-Shirt, alors qu'Asami elle...s'attaqua à son pantalon. Heureusement, Kenji parvint à se retenir, mais il eu une telle décharge de plaisir au moment de sentir les mains de la jeune femme déboutonner son jean, défaire sa ceinture, qu'il crû bien être à deux doigts de jouir dans son caleçon...l'idée de passer vraiment pour un gros looser dans ce cas lui permit, par miracle, de se contenir.
Asami le déshabilla alors, et abaissa son jean et son caleçon à hauteur de ses chevilles, pour libérer son sexe qui était tendu comme jamais. Kenji ne se souvenait pas avoir eu aussi mal à cause d'une érection, cela faisait des heures au bas mot qu'il bandait en pensant à ce qui allait se passer dans ce gymnase. Et là...une magnifique fille avait son visage si proche de sa verge mise à nue, et il se tendit quand elle déposa son tout premier baiser dessus. Les lèvres d'Asami était douces, chaudes, et cette partie de son anatomie était très sensible en ce moment.
Aaaaaah...
Kenji avait vraiment les nerfs à fleur de peau, il se tendit un peu avant de se calmer un peu, mais il eut ensuite la sensation de sa verge, tendue, posée contre la joue d'Asami qui, joueuse comme elle l'était, le regardait avec ses yeux pétillants de malice. Le pauvre n'en pouvait plus, il aurait vu les choses différement initialement, mais il fallait savoir s'adapter et puis...ce n'était pas pour lui déplaire. Asami allait le sucer, tout ce qu'il avait à faire était de lui demander. Il déglutit un bon coup alors...
S...s'il te plait oui...
Je...je bande depuis ce matin à force de penser toi Asami...j'ai tellement mal...
Kenji s'étonna lui même de sortir des mots aussi crûs, ou même d'avoir avoué ça...mais il était poussé dans ses derniers retranchements.
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Elle s’était presque attendue à ce qu’il jouisse du fait de ce baiser... Ce qui ne l’aurait pas dérangé. Pauvre Kenji, depuis combien de temps rêvait-il de lui faire l’amour ? Il lui avait dit qu’il n’avait jamais pensé à ça, que c’était trop infamant... Mais elle n’y croyait pas. Asami était intelligente, et elle s’était renseignée sur sa perversion. Pourquoi avait-elle envie de tant de sexe ? Pourquoi est-ce que l’exhibitionnisme la tentait tant ? Pourquoi est-ce qu’elle avait déjà fait du sport, ici, en étant nue, et en espérant tomber sur un voleur, ou un gardien, qui lui ferait l’amour, comme dans tout bon scénario foireux de hentaï ? La réponse était venue quand elle avait commencé à s’intéresser à la géographie de l’esprit, quand elle avait appris que l’esprit était découpé en plusieurs zones, et qu’il existait, inconsciemment, deux zones : une zone de plaisir, le « ça », et une zone de devoir, le « sur-moi ». Ce qu’on représentait généralement sous la forme d’un diable et d’un ange, le diable vous incitant à laisser parler vos envies, l’ange vous rappelant le devoir. Tout cela parlait beaucoup pour Asami, qui avait toujours été contrainte de jouer la petite fille parfaite. Avant Brad, il y avait eu sa mère, et sa mère était assez autoritaire, ne voulant que le meilleur pour Asami. S’il n’y avait pas eu son père, qui avait insisté, Asami aurait été dans une école privée. Elle avait toujours vécu en suivant les ordres, ce qui faisait que la frustration s’était développée en elle, et avait fait irruption avec la puberté... Pendant un temps, elle avait pensé que Brad pourrait la satisfaire, qu’il serait à même d’exaucer tous les fantasmes osés d’Asami, mais le sexe, avec Brad, restait terriblement classique. Et le sexe, en réalité, intéressait beaucoup Asami. Sur le long terme, ça poserait peut-être problème à Kenji, vu qu’il lui avait dit qu’il était amoureux d’elle, amoureux d’une manière romantique, c’est-à-dire platonique... Mais, en voyant son érection, Asami avait tendance à relativiser cet élément.
Sa queue était fièrement dressée, et, rien qu’à la voir tendue ainsi, si forte, si lourde, et si dure (elle l’avait senti en l’embrassant), elle comprenait qu’il souffrait, ce qu’il ne tarda pas à avouer. La jeune femme avait, dans sa tête, une échelle de l’érection, allant du niveau 1 (le truc tout mou et riquiqui qu’un garçon ne montrait jamais) au niveau 10 (le grand aigle prêt à balancer son océan de foutre), et, à voir la queue de Kenji, elle se disait qu’il devait osciller en ce moment entre le niveau 9 et le niveau 10. Le pauvre en avait du mal à parler, et dut reprendre son souffle avant de le dire.
Asami aurait alors pu le sucer, mais ce ne serait pas aussi simple... Comme dit, elle aimait jouer, et, avec un homme aussi soumis, elle comptait bien jouer. C’était la soumission de Kenji qui l’avait attiré, car elle se disait qu’un garçon secret devait forcément avoir des envies sacrément perverses. Pour ça, il suffisait de voir Brad, si extraverti, si fier de lui, et qui ne connaissait rien d’autre du kama-sutra que la position du missionnaire. Comment se lancer dans des envolées exhibitionnistes avec lui ? Non, il lui fallait quelqu’un qui avait tout un tas de fantasmes tordus en tête, mais qui n’avait jamais eu l’occasion de les exprimer. En fait, peu importe l’angle sous lequel elle regardait, Kenji était parfait pour ce qu’elle avait en tête, et, si Asami avait été surexcitée comme une puce toute la journée, c’était bien parce qu’elle avait l’intime conviction d’avoir enfin, sous le nez, l’homme parfait.
« Mal, hein ? Je veux bien le croire, tu bandes dur, mon beau... Je ne suis même pas sûre de pouvoir la prendre en bouche, tu sais. Je ne pensais pas que tu avais une queue aussi grosse... »
Bon, elle en rajoutait un peu, mais elle savait que les hommes adoraient qu’on leur dise qu’ils avaient une grosse queue. Et puis, c’était vrai ; Kenji avait une belle érection. Rien qu’à imaginer ce morceau rentrer en elle... Ah ! Elle se pinça encore les lèvres, puis ajouta une ultime condition :
« Je veux que tu me regardes te sucer, Kenji... Si tu regardes dans le vague, j’arrête tout. Regarde-moi pendant tout le temps où je vais te sucer, mon chéri, d’accord ? »
Tout le temps, ça risquait d’être court, s’il y pensait depuis ce matin, mais elle était sérieuse. Sans attendre sa réponse, elle posa sa main sur la base de son sexe, l’immobilisant, ressentant, contre ses doigts, ce contact gluant et sec. Brad aussi aimait qu’on le suce. En fait, Asami se disait que tous les mecs devaient secrètement aimer qu’on les suce. Ça tombait plutôt bien, car Asami aimait bien faire ça aussi. Elle ouvrit donc la bouche, et goba le bout du sexe, puis leva les yeux, afin de capter le regard de Kenji, et commença à remuer d’avant en arrière...
...En s’attendant à sentir des jets de foutre venir inonder sa bouche.
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Kenji était bien trop submergé pour s'en rendre compte, mais qu'Asami le complimente ainsi flattait son ego qui l'était bien peu souvent, rien que le fait d'être là néanmoins était en soit flatteur. Non seulement il était là avec Asami, ce dont beaucoup de gens devaient rêver, mais surtout il avait pour ainsi dire la satisfaction de...donner symboliquement la plus grosse claque qu'il soit possible de donner à ce gros con de Brad. Ce mec était haïssable, pas parce qu'il était capitaine de l'équipe de foot et très populaire, mais parce qu'il prenait plaisir à martyriser tous ceux et celles qui étaient en dessous de lui, juste pour se donner satisfaction. Asami le trompait avec lui, et Kenji imaginait de multiples raisons pour ça, mais il était de loin incapable de les formuler actuellement.
Lui, il était complètement sous son emprise, Asami le menait à la baguette, là où bon lui semblait, et très franchement Kenji n'avait aucun problème avec ça. Pas machiste pour un sou, lui qui avait d'ailleurs plutôt tendance à idéaliser les femmes, il laissait sa première fois entre les mains expertes d'Asami, et jusque là il n'avait pas à s'en plaindre. La jeune femme savait comment exciter un homme, le flatter, ce dont Kenji avait bien besoin au vu de son manque de confiance en lui. "Mon beau", "mon chéri", il fondit sur place quand elle lui parla ainsi de sa voix douce et mielleuse. Elle était aussi belle que perverse, aussi joueuse que gentille. Si Asami n'avait eu pour elle que son apparence physique, Kenji n'aurait probablement jamais eu le béguin pour elle, mais il se rappelait de sa simplicité, et de la façon dont elle l'avait traité différemment. Sans le considérer comme un looser, un raté, ou un mec étrange, c'était ça qui l'avait charmé.
Maintenant Kenji était sous l'emprise d'un autre charme, celui de sa propre excitation. Asami lui déclara qu'elle allait le sucer, tout en exigeant que ses yeux ne la quittent pas une seconde pendant qu'elle le ferait. Il déglutit, alors qu'il se sentait presque partir sous l'effet de la forte anticipation qu'il ressentait. Elle avait son visage si près de sa verge, qu'il pouvait sentir son souffle, et la chaleur proche de sa peau. Oh bordel, elle allait prendre sa queue dans sa bouche, elle allait le faire.
O...okay...
Ce fut tout ce qu'il parvint, et avec difficulté, à dire, avant qu'Asami ne pose ses lèvres. Il sentit, et surtout vit, son gland disparaître dans la bouche d'Asami. Nerveusement, instinctivement, le jeune homme se tendit en poussant un gémissement. Fidèle à sa promesse, il la regardait, son regard se plongeant dans le sien, alors qu'Asami se mit à le sucer, en bougeant sa tête d'avant en arrière. Les lèvres de la jeune femme glissèrent le long de sa hampe de chair dure, il sentit sa langue contre, et ses dents frotter parfois.
Ha...aaaaah...
Kenji avait l'impression de devenir fou. C'était...c'était bon ! Jamais il n'aurait crû ça, il s'était attendu certes à ce que ça soit agréable, mais à ce point certainement pas. Asami le suçait comme une pro, et lui essayait tant bien que mal de se retenir un peu, mais sous la langue de la jeune femme, dans sa bouche toute chaude, toute humide, c'était impossible. Il se sentait pour ainsi dire comme pompé, et la regarder prendre son sexe en bouche n'aidait pas à se retenir.
Complètement pris par le plaisir qu'il ressentit, Kenji ne parvint pas à prévenir Asami de l'imminence de son orgasme, et lui même ne le sentit venir qu'au dernier moment, comme une puissante vague qui soudainement se pointa, et qu'il ne parvint pas à retenir d'avantage. Il s'était retenu toute la journée, et c'était sa première fellation. Le jeune homme dura bien moins d'une minute, avant de se tendre une nouvelle fois, et s'enfonça du coup légèrement plus dans la bouche d'Asami pour cracher son sperme. Son sexe tressauta, à de multiples reprises, libérant encore et encore des chapelets de semence dans la bouche d'Asami, chaude et gluante. Kenji n'avait jamais joui autant, il remplit en bonne partie la bouche de sa partenaire, et alors qu'il se détendit, il prit alors conscience de ce qu'il venait de faire.
Oh merde ! Asami je...je suis désolé j'ai...j'ai pas pu...
Il la voyait déjà le baffer pour ne pas l'avoir prévenue, ou se moquer de lui pour une prestation aussi minable. Il aurait voulu faire bien meilleure impression que ça, et il avait essayé mais...c'était impossible.
Asami le rendait fou, difficile de se retenir dans de telles conditions.
Il espérait juste ne pas avoir tout foiré.
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Kenji était un jeune homme, encore puceau, et qui était en train de se faire sucer par celle qu’il voyait légitimement comme l’amour de sa vie. Il avait fantasmé sur ce moment depuis ce matin, et probablement même cette nuit. Asami était sûre qu’il avait rêvé de quantité de choses folles, qu’il avait rêvé d’elle hurlant son nom alors qu’il lui faisait l’amour. Oui, Asami pouvait imaginer tout le fil dans sa tête, et en arrivait à une conclusion simple : elle allait avoir droit à une éjaculation précoce. Oh, elle l’admettait volontiers, car il fallait bien commencer quelque part. Quand Brad avait commencé à lui faire l’amour, Asami avait aussi joui très violemment, trempant rapidement sa culotte. Et, pour un homme, retenir son plaisir devait être très dur quand on avait une queue, et qu’elle était si grosse. Tout le manque sexuel de Kenji s’exprimait, et, alors qu’elle le suçait, Asami pouvait le voir, en relevant la tête, et en voyant la manière dont l’homme se tortillait, retenant difficilement ses soupirs, les joues rougies par le plaisir.
La belle lycéenne s’amusait donc avec sa queue. Un sexe bien dur, qu’elle mordilla, le heurtant avec ses dents, juste pour en éprouver la dureté. Miam ! Miam ! La belle femme savourait cette belle queue, qui était longue et grosse. C’était comme une sorte de grosse sucette. Asami avait lu, quelque part, que les femmes n’aimaient pas trop les fellations, là où les hommes, eux, adoraient ça. Pour les femmes de ce magazine à qui on avait fait un sondage, une fellation était assez infamante, en plus de présenter le risque de goûter au sperme, dont on disait qu’il était dangereux pour la santé... Ce dont Asami avait des doutes, car elle avait lu que, en fait, le sperme était plutôt bon pour le corps. Comme l’urine, quoi... Mais elle, elle aimait boire le sperme, de toute manière, et, alors qu’elle suçait la queue de Kenji, et le masturbait avec sa main, elle attendait le moment où il jouirait. La lueur espiègle continuait à brûler dans ses yeux, et, avec son autre main, elle massait ses belles testicules, s’amusant à les remuer, à les soupeser avec ses doigts, tout en sentant Kenji soupirer de plus en plus, la respiration rauque.
*Il essaie de se retenir... Comme c’est mignon !*
Hélas pour lui, Asami voulait le faire juter, et sa langue s’amusa alors à lécher le bout de ce sexe. En fait, sa langue était sous ce sexe, et elle s’amusait à le relever avec sa langue, puis continuait à le lécher, tout en déplaçant sa tête de haut en bas. Elle aurait pu opter pour une gorge profonde, mais... Chaque chose en son temps. Toute excitée, Asami sentait sa culotte s’échauffer, sous l’effet de la mouille, et elle continua à le prendre, encore et encore... Même si, concrètement, ce ne fut pas très long. Elle sentit quand Kenji allait venir, comme si tous ses muscles se contractèrent, avant de se relâcher.
« Hmmmm... !! »
De longs soupirs s’échappèrent de la bouche d’Asami. Kenji se vida en elle, en balançant de multiples giclées de sperme, un foutre chaud qui éclaboussa ses lèvres et ses dents, se perdant dans sa bouche. Il balança plusieurs chapelets, jutant plutôt bien, et sembla ensuite s’écraser contre sa chaise. Asami avait alors baissé son regard, ce qui faisait qu’on ne voyait rien d’autre que ses cheveux. Le sexe de Kenji avait, de son côté, bien diminué, passant du niveau 10 au niveau 4 (ou 5), tandis que, tout penaud, il s’excusait d’avoir joui en elle.
Pour seule réponse, Asami se redressa, et ferma la bouche. Sur le sexe de l’homme, il y avait encore quelques filaments de sperme, collés à sa peau, avec des poils pubiens filant le long de ces derniers. La salive d’Asami avait aidé à coller l’ensemble. La lycéenne se redressa donc, et sourit à l’homme, qui s’était mis à l’aise, en retirant son pull. Les joues d’Asami étaient pleines, et on pouvait entendre le bruit de sa langue remuant dans sa bouche. Que préparait-elle donc ? La réponse fusa quand elle se rapprocha de lui, retournant entre ses cuisses, et ouvrit la bouche, tête levée vers le haut, permettant ainsi à Kenji de voir tout ce sperme dans sa bouche, qu’elle retenait.
Elle referma ensuite ses lèvres, puis l’avala, bruyamment, sa gorge provoquant un déglutis significatif, tout en massant son estomac avec sa main, comme pour signifier que c’était bon. Asami se lécha ensuite les lèvres, car un peu de sperme avait coulé le long de son menton. Sa main essuya ensuite son visage, et elle la lécha, puis sourit à l’homme.
« Tu es désolé de quoi, Kenji, hum ? Si je t’ai sucé, c’était bien pour avoir ma récompense, non ? D’ailleurs... Je crois qu’il en reste un peu à la source... »
Et, aussi tôt dit, Asami retourna à genoux, et lécha son sexe, notamment à la base, le nettoyant en avalant ce sperme, le léchant de la manière dont on pourrait lécher une glace.
« Hmmm-hummmm... »
Une fois ce sexe bien propre, elle se redressa à nouveau, et son visage resta près du sien. Encore une fois, Asami avait un sourire ravi sur les lèvres.
« Alors, ça t’a plu ? Si ça peut te rassurer... Tu as un très bon sperme. »
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Kenji resta sur la défensive pendant encore un moment, puisque Asami cachait son visage avec ses cheveux, il lui était donc impossible de voir ses réactions. Dans sa tête, il venait de lui juter copieusement dans la bouche sans même la prévenir, et avec toute son expérience, soit aucune, il ne pouvait pas se dire que si elle n'avait pas voulu de son sperme en bouche, Asami se serait tout de suite retirée. Il se sentait un peu idiot de n'avoir pas pu la prévenir, et un peu minable que ça aie été aussi court. Asami l'avait sucé tellement bien, le plaisir avait été si fort, que pour une première fellation le jeune homme n'avait tout simplement pas pu se contenir.
Asami fini toutefois par relever la tête, et Kenji pouvait entendre qu'elle semblait jouer avec quelque chose dans sa bouche, une lueur de perspicacité le traversa alors, quand il vit qu'il n'y avait aucune colère sur son visage.
*Elle...elle aime avoir mon sperme en bouche ?*
Au détour de conversations qu'il avait parfois pu espionner discrètement chez certaines de ses camarades féminins, qui n'hésitaient pas à parler ouvertement de sexe, beaucoup se plaignaient du goût de la semence de leurs partenaires, aussi était-il évident pour lui qu'Asami devait partager ce dégoût, mais il n'en était de toute évidence rien. Elle le fixa avec sa lueur maligne dans le regard, puis ouvrit la bouche. Kenji la vit jouer avec son sperme, le faisant tourner avec sa langue, avant de l'avaler sans aucun signe de rejet ni hésitation. Kenji ne savait pas trop pourquoi, mais la voir ainsi l'avaler fût suffisant pour commencer à lui redonner un début d'érection. Il en restait un peu sur le menton de la jeune femme, mais cette dernière le récupéra pour ensuite l'avaler, avant de déclarer vouloir aussi récupérer le peu restant à la source.
Kenji retint sa respiration, puis souffla longuement en sentant à nouveau la langue de la jeune femme se poser sur son sexe, qui reprenait rapidement sa dûreté. Dans son imaginaire, Asami n'était pas aussi perverse que ça, mais peu à peu il commençait à intégrer cette donnée. C'était...différent, de ce qu'il avait fantasmé, mais pour autant il ne pouvait pas se plaindre d'être tombé sur une jeune femme aimant le sexe, car ça en faisait au moins un élément qui savait quoi faire, et pouvait donc le diriger.
Quand elle se redressa finalement, et lui demanda si il avait aimé ça, Kenji sembla se décoincer un chouilla, et se mit même à légèrement rire.
Si ça m'a plu ? C'était...wow...sans doute la meilleure chose qu'il m'aie été donné de ressentir dans toute ma vie.
Il n'exagérait pas, il avait beaucoup essayé d'anticiper ce que pouvait faire une fellation, mais celle qu'Asami lui avait faite était au delà de tout ce qu'il avait pu fantasmer...même si forcément vu qu'il était amoureux d'elle, les sentiments entraient en considération en prime. Il la regarda un moment, puis reprit la parole.
Il me reste donc encore quelques voeux je crois ? J'aimerais bien un baiser Asami, mais un vrai cette fois, j'en démordrais pas. Et après...hum...et bien...j'aimerais te voir nue...ne serais-ce que pour avoir des modèles pour mes prochains dessins...si tu en veux d'autres bien sûr.
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Asami avait sucé la queue de Kenji, et elle l’avait fait avec un plaisir certain, qui ne laissait place à aucun équivoque. Elle avait goûté son sperme, et, effectivement, elle avait trouvé ça infect... Au début. C’était poisseux, gluant, ça collait, et, la première fois qu’elle en avait bu, plus par curiosité qu’autre chose, elle l’avait recraché... Cependant, Asami voulait être une femme parfaite, ou, du moins, la plus parfaite possible. Elle s’était donc forcée, jusqu’à réussir à pouvoir avaler ce truc sans recracher, et, à défaut de pouvoir encore vraiment en apprécier le goût, elle appréciait le fait de l’avaler, et de voir le visage très excité des hommes à l’idée de voir leur partenaire avaler leur propre semence... Ça, ce regard-là, celui que Kenji avait fait en entendant la femme déglutir, ça valait bien les autres sacrifices. Elle se redressa donc, et finit par s’asseoir sur l’homme, ses jambes se glissant de part et d’autre de son corps. Kenji retrouvait peu à peu l’usage de la parole, et émit ses autres vœux : un baiser, un vrai baiser – ce qui fit sourire Asami – et qu’elle se montre toute nue... Ce que Kenji justifia par le fait de pouvoir ainsi améliorer son modèle.
Cette ultime réflexion ne put que faire sourire de manière plus franche encore Asami, révélant ses belles dents blanches. Elle embrassa alors l’homme, un bref baiser, sur le bout du nez, tout en s’appuyant un peu contre lui, venant ainsi sentir, non sans un certain plaisir, le membre de l’homme caresser ses fesses.
« Si c’est strictement artistique, alors... Il faudra que tu prennes des photos, non ? J’ai un appareil photo, si tu veux... Et je t’autorise à prendre autant de photos de moi que tu veux, et ce dans toutes les positions que tu veux... Après tout, si c’est le meilleur jour de ta vie, il faut faire en sorte qu’il le soit jusqu’à la fin, non ? Tu sais comment parler aux filles, toi... »
Asami avait en effet très largement apprécié son compliment. La « meilleure chose » qu’il lui ait été donné de ressentir dans toute sa vie... En même temps, sa vie était une chose plutôt courte, mais, même malgré cela, le compliment restait très agréable, flattant la fierté de la belle lycéenne. Néanmoins, elle n’avait pas oublié les désirs de l’homme, et, maintenant que son visage était proche du sien, elle était bien décidée à le lui offrir... Un vrai baiser.
Elle s’humecta les lèvres, puis les entrouvrit, et se pencha vers lui, le silence venant s’installer... Puisque c’était un vrai baiser, rien ne devait venir le gêner, et surtout pas des commentaires déplacés ou inutiles. Rapprochant donc sa bouche, Asami sentait sa respiration s’accélérer légèrement, puis elle ferma les yeux et l’embrassa... Un simple frottement des lèvres au début, mais ce n’était que le début... Peu à peu, elle appuya contre lui, déplaçant l’une de ses mains pour saisir ses cheveux, l’incitant à faire de même, et elle soupira tout contre sa bouche, venant tirer sur sa lèvre inférieure, la coinçant entre ses dents. Elle l’avala goulûment, avant de soulever sa lèvre supérieure, nichée entre les deux lèvres de l’homme, et, ainsi, entreprit de la soulever, délivrant un passage dans lequel sa langue put se faufiler habilement.
Un tendre baiser donc, mielleux, qui dura, Asami respirant par le nez, se refusant à le rompre. Elle se crispait contre son corps, et jouait avec sa langue, la caressant, la titillant, puis l’incitant à la suivre, en repliant sa langue vers sa bouche, de manière à ce que l’homme soit tenté de la suivre. Le duo venait ainsi à s’embrasser longuement, avec plaisir et envie, se pressant l’un contre l’autre.
« Hmmmm... »
Asami continuait à jouer avec lui, tout en déplaçant aussi un peu son corps, de haut en bas, frottant ses seins contre son torse, mais aussi son bassin contre sa queue. Elle voulait l’inciter à lui palper le corps, voire à masser ses fesses... Mais Kenji était encore un jeune bourgeon, même si Asami comptait bien faire de lui une petite poupée prête à exaucer le moindre de ses – nombreux – fantasmes. Elle termina donc en mordillant ses lèvres, après un langoureux baiser, qui avait bien dû durer cinq bonnes minutes, et le rompit.
Un mince filet de salive relia leurs bouches, qu’Asami coupa d’un trait de langue, avant de se redresser.
« Je te demanderais bien si ça t’a plu... Mais je crois que j’ai déjà ma réponse.... »
Elle lui sourit alors, puis se redressa, avant d’étirer ses bras.
« Alors... Je vais me déshabiller, mais... »
Elle ne termina pas sa phrase, et préféra aller récupérer son téléphone portable, qui faisait photo’, et le balança vers Kenji.
« Je vais te faire un strip-tease, mon grand... Et je veux que tu me filmes. En fait, je crois que je vais te faire un strip-tease chaque soir, et tu les filmeras à chaque fois... Puis on les regarda ensemble ensuite, tu en dis quoi ? »
Perverse, elle l’avait bien dit...
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Kenji, si il se sentait peu à peu redescendre sur terre, et arriver à considérer le fait qu'il était bien dans la réalité, trouvait encore un peu surréaliste le fait qu'Asami s'offre ainsi de coucher avec lui. Kenji avait toujours eu des problèmes de confiance en lui, non pas en terme de réussite scolaire, car il se savait intelligent, mais dans ses rapports à autrui, notamment à cause de son look. Il était à part dans le lycée, alors qu'une des filles les plus populaires du lycée lui fasse une fellation et semble aimer ça, vu qu'elle avait pris pleinement l'initiative, c'était presque trop beau pour être vrai. Il aurait pu se méfier d'avantage, croire que c'était un piège, mais ce qu'il vivait était tellement bon qu'il avait surtout envie de croire que c'était honnête et véritable. Asami était à nouveau assise à califourchon sur lui, et il en fallait peu pour un adolescent en pleine puberté pour retrouver une érection, même si il venait tout juste d'éjaculer dans la bouche de la jeune femme.
Mais même si sa première fellation avait été une expérience géniale, bien qu'un peu courte, Kenji n'avait pas démordu de son envie de se faire embrasser, et avait cette fois précisé en détail ce qu'il voulait, même si honnêtement l'attitude taquine et joueuse d'Asami lui plaisait. Elle décida toutefois de satisfaire sa demande, et au moment où la jeune femme s'humidifia les lèvres avant de se rapprocher, Kenji sentit comme une boule se former dans son ventre, un mélange d'excitation et de stress, car il allait enfin embrasser une fille.
Il sentit ses lèvres, douces et chaudes, se poser contre les siennes, ce qui lui fit comme un léger choc électrique. il aimait ça, la douceur de ce contact, le corps d'Asami qui avait du se rapprocher du sien au point de se coller contre, il sentait la respiration de la jeune femme toute proche, ses mains qui s'étaient posées sur ses cheveux. Kenji lui, avait posé les siennes sur les cuisses d'Asami. Il aurait pu les remonter plus haut, sur ses fesses, il était presque certain qu'Asami aurait aimé ça, mais il lui manquait encore un peu de confiance pour oser prendre ce genre d'initiatives. Vu toutefois la vitesse à laquelle il s'adaptait, il ne faudrait pas trop longtemps à Kenji pour adorer et même chercher à palper le joli cul rebondi de sa partenaire. Pour l'instant, il profitait de ce baiser, qui en devint un véritable quand Asami glissa sa langue dans sa bouche. Fort heureusement, si il fut un peu surpris, Kenji n'eut pas le réflexe de fermer sa bouche, au contraire il laissa bien sa partenaire se faufiller et aller à la rencontre de sa langue. Kenji se laissa mener, tout simplement en suivant le tempo et les mouvements de la langue de la jeune femme avec la sienne, tandis qu'il respirait fortement par le nez. Leur baiser fût long, et même langoureux sur la fin, lorsque Kenji commença à prendre les bases d'un baiser, jusqu'à ce qu'Asami ne se retire.
Kenji avait alors les joues bien rouges, et le coeur qui battait si fort qu'il avait l'impression qu'il allait sortir de sa cage thoracique.
C'est donc aussi visible que ça que j'ai adoré ? C'était...wow...
Pour le coup les mots lui manquaient, il avait souvent fantasmé sur le fait qu'on l'embrasse, mais de toutes les sensations qu'il avait pu imaginer, tout ça avait été bien en deçà de la réalité. Puis Asami se remit debout, avant d'aller chercher son portable et de le lancer en direction de Kenji, qui malgré son état avait encore ses réflexes et parvint à le choper en plein vol. Asami ne voulait pas que se déshabiller devant lui, mais lui faire un strip-tease pendant qu'il la filmerait, et il sentit une nouvelle bouffée de chaleur à cette idée. Toutefois, preuve qu'il commençait doucement à se lâcher, Kenji ne se démonta pas devant cette proposition.
Ma foi, je suis certain que tu dois également très bien rendre face à une caméra, et c'est clairement le genre de choses qui mériterait d'être immortalisé.
Il activa donc la fonction caméra du téléphone, et pointa ensuite en direction d'Asami avant de lancer l'enregistrement. En parallèle, Kenji avait sorti son portable en faisant une rapide recherche internet, puis lancé une chanson correspondant à l'ambiance recherchée. Il trouvait qu'Asami aurait plus de facilités à faire un strip-tease avec de la musique, en suivant un rythme, plutôt que d'être face au silence du gymnase. Et puis après tout, ils étaient seuls, rien que tous les deux...et Kenji était l'homme le plus heureux du monde rien qu'à cette pensée.
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Qui aurait cru que les choses auraient pu évoluer ainsi ? Sûrement pas le brave Kenji, qui était tout décontenancé par ce qu’il venait de vivre… Une fellation, et un baiser… Un baiser qui, visiblement, l’avait encore plus ému que le fait de sentir sa queue dans la bouche d’Asami. Comme quoi, les goûts et les couleurs… Mais Asami pouvait tout à fait comprendre ça. Une fellation, c’était un acte purement sexuel, alors que, un baiser… Il y avait toute une symbolique dans un baiser, dans le fait d’embrasser quelqu’un. L’union buccale était un lien fort, symbolique, mais très agréable, car les deux corps se frottaient l’un à l’autre. Elle avait été surprise que l’homme ne se risque pas à palper ses fesses. Soit son cul ne l’excitait pas (très peu probable), soit il était tellement nerveux qu’il n’avait pas osé faire quelque chose qui aurait pu gêner Asami… Ce qui, en un sens, était mignon, mais aussi relativement absurde. Elle venait de lui faire une fellation, et lui avait proposé un grand nombre de choses salaces. Et, maintenant qu'elle lui proposait un strip-tease, Kenji, ce jeune homme timide, si aisément malléable (ce qui le rendait adorable) récupéra le portable, et sortit le sien, lançant une musique.
Asami sourit alors, puis lui fit un clin d’œil.
« On verra, trésor… »
Elle se mit face à l’objectif, jambes écartées, puis ferma les yeux, et remua alors, en déplaçant juste les hanches. Des mouvements simples et innocents pour commencer, avant de passer à des choses plus sérieuses. Asami remuait, tout simplement, et l’une de ses mains tritura ses cheveux, tira dessus, puis elle continua à danser, seule, au rythme de la musique. Elle se retourna alors, et continua à danser, en remuant des jambes, puis se pencha alors vers le bas, étirant ses jambes, et soulevant sa minijupe d’écolière, offrant ainsi une vue impeccable sur son fessier et sur sa culotte blanche à dentelle. La femme se mit alors à remuer lentement des hanches, avant de tourner la tête, et de lui faire un sourire des plus provocants.
« Tu aimes ça ? Cette vue, cette croupe, mon cœur ? »
Nouveau sourire moqueur. Elle s’humecta les lèvres, puis donna une claque sur ses fesses, et se coucha sur le sol, puis se retourna, s’allongeant sur le ventre, et fit alors une sorte de curieuse danse du ventre à même le sol, dont le but était de soulever ses seins, tout en regardant l’homme... Et l’objectif du téléphone portable. Elle continuait ainsi à danser, puis se redressa à nouveau, et, tout en roulant des hanches, lentement et lascivement, ses mains vinrent, glisser sur son haut, ce body qui lui collait au corps. Elle souriait lentement, malicieusement, révélant ses belles dents blanches, et posa ses mains sur le rebord du vêtement, puis le souleva, et le retira finalement, avant de le jeter au sol, s’exposant avec ses soutiens-gorges... Puis ses mains allèrent ensuite s’attaquer aux agrafes de son sous-vêtement... Mais, alors que ce dernier allait tomber sur le sol, elle le retint par les pans, en souriant lentement, ses doigts coinçant chacune des bretelles.
« Tu veux me voir sans, Kenji ? Dis-le moi... Dis-moi comme je suis belle... »
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Kenji, si il était toujours extrèmement gêné et un peu mal à l'aise, du fait de se trouver nu face à une fille, se trouvait au moins tout autant aux anges. C'était là toute la complexité de ce qu'il ressentait, car il sortait de sa zone de confort, en étant ainsi dans un cadre aussi intime avec la fille qu'il aimait, mais justement dans le même temps, jamais il n'aurait espéré que cette situation devienne réelle. Kenji était nu, assis sur un des bancs de touche du gymnase, il avait posé son propre portable, qui difusait de la musique, juste à côté, tandis qu'il tenait celui d'Asami pour la filmer, d'une main un peu tremblante.
*Oh putain...elle va vraiment le faire...*
Pour Kenji tout ça demeurait irréel, même si il avait pourtant parfaitement conscience de ne pas rêver, et que tout ça était bien vrai. Mais il avait tellement rêvé de se trouver seul avec Asami, et qu'il puisse l'embrasser, que ce strip-tease qu'elle commençait devant lui c'était...indescriptible. Kenji sentit sa gorge devenir sèche lorsque Asami commença à danser devant lui, et il la regardait, tout en ne perdant pas trop de vue son cadrage qui devait rester convenable. Pour la jeune femme, qui débordait d'assurance, cela semblait si simple et naturel qu'il se sentit tout petit face à elle, et il serait indéniable qu'elle allait le mener à la baguette si elle le voulait. Kenji lui était tout simplement transi d'amour et d'excitation, et il eu presque l'impression que son coeur allait sortir de sa poitrine quand il la vit, en lui tournant le dos, se baisser pour lui révéler sa divine croupe.
Oh Asami...
Il parlait peu, car il ne souhaitait pas la perturber, et ne pas perturber la beauté de ce qui se produisait sous ses yeux. Lentement, elle ôta alors son haut, et Asami se retrouva en soutien gorge. Kenji loucha alors sur ses seins, ses belles épaules, son ventre plat...il ne trouvait absolument rien à redire, aucune imperfection à noter, sur ce corps qui était selon lui l'incarnation même de la beauté féminine. Puis, à genoux pas très loin de Kenji, Asami dégrafa alors les bretelles maintenant son soutien-gorge, libérant ses épaules que Kenji soupira de voir nues, mais elle maintint le tissu contre elle, cachant encore sa poitrine. La jeune femme réclama des commentaires de la part du jeune homme, resté jusque là un spectateur captivé et silencieux.
T'es...la plus belle fille que j'aie jamais vu Asami. Toutes les autres du lycée, elles ne t'arrivent même pas à la cheville. T'a pas besoin de maquillage ou d'autres artifices pour te rendre belle, tu l'es, tout simplement.
Et ça, ça sortait directement du coeur. Il se surpris même d'être aussi direct, mais quand il s'agissait de flatter un être aimé, Kenji pouvait se montrer étonnament moins timide qu'à l'ordinaire. Il dégluttit alors, regardant la belle, puis poursuivit.
J...je veux te voir toute nue Asami. Que tu puisses hanter mes nuits, et mes dessins. Je...risque d'être très productif je te préviens...
Il essayait, tant bien que mal, de blaguer un peu afin de lui même essayer de se calmer, car il était autant stressé, qu'impatient et excité. Bordel, cette fille était magnifique, son sourire malicieux ne cessait de le faire fondre, et elle était presque nue devant lui et...et ils allaient faire l'amour après. Kenji anticipait déjà le moment où Asami serait nue, telle une déesse de l'antiquité, et où son corps se blottirait contrele sien, et où ils s'uniraient commeil en avait tant rêvé.
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Aussi belle que sensuelle, et aussi énergique que provocatrice, Asami se régalait, en ce moment, de l’effet qu’elle suscitait sur le corps de Kenji. Médusé et anesthésié, le brave jeune homme semblait incapable d’aligner deux mots d’affilée, tant le spectacle de la sensuelle danse d’Asami l’avait scié. Assis sur son fauteuil, il l’avait observé avec la fascination et la révérence d’un dévot devant son idole. Une image qui, en réalité, ne manquait pas de piquant. Maintenant, Asami se tenait devant Kenji, quasiment nue, et l’homme lui demanda alors qu’elle se déshabille. Un grand sourire perlait sur les lèvres de la sensuelle créature.
« Oh, répliqua-t-elle d’un ton moqueur, alors, tu me souhaites nue juste pour tes dessins ? »
Son ton signifiait clairement que la femme n’était pas dupe. Mais l’homme avait rempli sa part du marché, et Asami acheva donc, sans surprise, de se déshabiller. Tous ses derniers vêtements tombèrent au sol, et elle se tint devant l’homme, nue… Mais guère gênée. En réalité, et comme Kenji devait probablement commencer à le réaliser, il y avait, chez la jeune femme, un puissant fond de perversion, un fond qui s’exprimait notamment par son attirance vers l’exhibitionnisme. Asami aimait être nue dans des endroits où elle n’était pas censée l’être, et encore plus faire des cochonneries dans ce genre d’endroit.
Nue, elle se sentait en confiance, et elle se rapprocha de l’homme, qui semblait avoir perdu sa salive, donnant sa langue au chat en voyant la silhouette magique de la femme. Les longues jambes magnifiques d’Asami ne faisaient guère ombre devant la rondeur de ses seins, la finesse de ses hanches, les courbes de son corps, et elle ne dissimulait nullement son sexe, proprement épilé. Se tenant devant lui, elle posa une main sur sa hanche, et ne dit rien, allant même lui tourner le dos, en montrant ses fesses.
« Mate-moi, Kenji… Je veux sentir le désir dans ton regard, ton corps se fixant sur le mien… »
Elle continua à rouler des hanches pendant quelques instants. Asami maîtrisait la situation à la perfection, mais l’entreprenante jeune femme avait encore des idées derrière la tête.
« Tu peux me toucher… Mais à la condition que, toi aussi, tu te déshabilles. Moi aussi, j’ai envie de mater… »
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Kenji était bien trop excité, à ce stade, pour pouvoir disposer d'assez de répondant pour enchérir sur la légère provocation d'Asami, surtout quand cette dernière laissa tomber son soutien-gorge. Il vit enfin, pour de vrai, la poitrine nue d'une femme, mais à plus forte raison celle d'Asami, la fille dont il était éperduement amoureux. C'est avec un silence religieux qu'il la regarda ensuite achever de se déhabiller, elle n'avait plus eu qu'à ôter sa mini-jupe, et sa petite culotte blanche, ce qui ne manqua pas de sérieusement augmenter l'émoi du jeune homme quand il la vit dans son plus simple appareil. Elle s'exhiba sans gêne devant lui, en lui demandant de la matter, ce que bien entendu le jeune homme ne manquait pas de faire. Que pouvait-il y avoir de plus merveilleux, et de plus intéressant, que cette jeune femme nue devant lui ?
Kenji sentit sa respiration lourde, alors qu'il ne savait même plus où poser ses yeux, tant le corps d'Asami était parfait. Il alternait entre ses seins, son ventre, ses fesses, mais surtout sa jolie intimité parfaitement épilée, elle était là devant lui, belle, sans gêne, telle une déesse apparaissant à son fidèle adorateur. Lui, il était sans voix, il avait d'ailleurs la gorge tellement sèche qu'il se demandait si en l'était il pourrait encore aligner des mots, d'autant qu'Asami lui montrait son corps sous tous les angles, en faisant de petits tours sur elle même, et en remuant un peu ses hanches. Oh il avait de nouveau une trique d'enfer, et de fait, elle lui proposa de la toucher, à la condition que lui même finissepar se déshabiller.
Okay...
Il avait même galéré à prononcer ce simple mot, mais il était excité comme jamais, le corps tout tendu. Il parvint toutefois à se lever. Le fait de se retrouver tout nu devant une jolie fille l'intimidait, mais son excitation était telle qu'il ne pouvait faire qu'une chose, suivre les instructions qu'Asami lui donnait, car il était en ce moment sa petite chose docile. Kenji, avec ses mains tremblantes, galéra un peu à déboutonner sa chemine, sa putain de chemise avec sa dizaine de boutons, mais il y parvint finalement et se retrouva torse nu devant la jeune femme. Si il n'avait pas vraiment des abdos de sportif, il n'avait cependant pas non plus un pet de graisse en trop, un ventre plat, un tout petit peu de muscles, et un torse imberbe. A mesure qu'il se déshabillait, et qu'il sentait le regard d'Asami sur lui, le jeune lycéen se sentait un peu mal à l'aise, car fondamentalement intimidé, mais il en avait envie malgré tout, aussi poursuivit-il jusqu'à se retrouver lui aussi nu...avec sa trique monumentale.
Arriverait-il toutefois à prendre l'initiative de la toucher ? Il ne pensait pas, il était un peu comme paralysé par la situation. Il ne pouvait s'empêcher, intérieurement, de se dire qu'Asami allait le comparer avec son petit ami, le capitaine de l'équipe de foot, qui devait être vraiment un athlète, un Apollon en comparaison de lui. Il s'attendait à ce qu'elle le compare, et à ce qu'intérieurement elle se dise qu'il ne serait pas un si bon coup que ça finalement.
Je...je suis pas trop...décevant ?
-
Oui, Asami voulait que l’homme l’observe. Elle souhaitait ardemment que son regard ne se détache pas de son corps, en vérité, l’idée que Kenji puisse penser à quelqu’un d’autre qu’elle-même lui était insupportable. Le brave homme ne s’en rendait pas compte, mais Asami était très possessive, ce qui était paradoxal, car elle était aussi terriblement libérale, et ouverte à bien des ébats qui lui auraient valu de tourner dans un film pornographique très osé. Les fantasmes d’Asami avaient quelque chose de terrible car ils étaient très intenses, et particulièrement pervers. Comme le simple fait d’obliger Kenji à la regarder, à la mater… En quelque sorte, elle l’obligeait à devenir un pervers, lui qui aurait, sans aucun doute, préféré une relation plus romantique, plus sensuelle et plus épanouie. Au lieu de ça, il devenait l’esclave sexuel de la redoutable Asami, qui lui intima donc de se déshabiller… Et, cette fois, il n’y avait nulle échappatoire pour l’homme, qui dut lutter contre sa timidité, et entreprit donc de se dévêtir. L’homme se déshabilla donc sous les yeux ravis de la lycéenne, qui put le voir dans son plus simple appareil… Et il était visiblement très gêné. Il fallait bien admettre qu’il n’était pas très musclé, et que, ce faisant, sans être gros, son ventre était légèrement arrondi. Pas d’abdominaux, pas de pectoraux luisants, et Kenji en était gêné, mais, au moins n’essayait-il pas de dissimuler, avec ses mains, son sexe en érection. Gêné et confus, il la fit sourire en demandant s’il n’était pas trop « décevant ».
Sans lui répondre sur le coup, la belle Asami se rapprocha lentement de lui, et sa main glissa vers le sexe de l’homme, venant tout simplement, et sans difficulté aucune, le caresser et le serrer.
« Allons, Kenji, pourquoi serais-tu décevant ? Tout ce que je veux, c’est que ton sexe soit dressé à chaque fois que tu me regardes. Tu vois, ce n’est pas compliqué… Je le veux au garde-à-vous, et, tant que tu me feras ça, je me moque du reste… Tu pourrais devenir gros comme une barrique que j’en aurais rien à foutre, tant que je pourrais encore te caresser… Et tu aimes que je te caresse comme ça, hein ? »
Sa main emprisonnait son sexe, le soulevant, avant de le rabaisser, puis elle le grattait. Elle savait que les hommes adoraient ça, et qu’on pouvait jouer avec leur sexe sans leur faire mal, même si, en se durcissant, il devenait bien moins malléable. Et là, il était bien tendu, et Asami, elle, continuait à jouer avec, masturbant ainsi son amant. Elle l’avait déjà sucé, et elle sentait bien, à l’avenir, qu’elle le referait encore, à bien des reprises. On pouvait dire qu’elle était perverse, et ce n’était pas spécialement faux. La lycéenne était même extrêmement perverse, et, le pire, c’est qu’elle ne ressentait aucun remords à l’idée de l’être.
Un fin sourire se dessinait sur ses lèvres.
« À partir de maintenant, voici les règles de notre couple, Kenji… Plus jamais tu ne te masturberas. En fait, plus personne d’autre que moi ne touchera ta queue. Et, de la même façon, personne d’autre que moi n’est autorisé à voir ton sexe. C’est moi, et moi seule, qui, à partir de maintenant, te masturbera, alors, dès que tu auras envie de jouir, tu me le dis, et je viendrais t’aider à te branler, que ce soit chez toi, chez moi, ou dans un lieu public. »
Les yeux d’Asami flamboyaient sur place, comme pour dire que, cette fois, elle ne plaisantait pas. Elle serra même ses doigts sur le sexe de l’homme, provoquant vraisemblablement une légère crispation.
« Ensuite… Je vais plaquer Brad pour toi, mais, pour éviter qu’il ne se venge sur toi, nous allons devoir entretenir une romance secrète pendant quelques temps. Si personne ne te touche, personne ne doit me toucher non plus. C’est logique. Maintenant… »
N’en ayant pas encore fini, la femme exposa sa seconde règle :
« Je ne veux aucun tabou dans notre couple, aucun mensonge, rien…Tous nos fantasmes devront être connus et réalisés. Et des fantasmes, je sais que tu en as avec moi… Mais, comme tu es timide, on commencera d’abord par les miens. Et, enfin, quand on sera seuls chez toi ou chez moi, je veux qu’on soit à poil… Comme ça, tu n’auras plus honte de ton corps, et je saliverais en te voyant regarder le mien avec l’envie furieuse de me baiser… »
Qu’on ne vienne plus dire, ensuite, que les hommes étaient plus pervers que les femmes ! Asami était en train de démembrer cette théorie, pièce par pièce.
Son visage s’était rapproché du sien, ses lèvres soufflant sur les siennes, et elle reprit, en tenant toujours son sexe en main :
« Maintenant, si cela te veut… Embrasse-moi et dis que tu m’aimes… »
-
Kenji ne s'était pour ainsi dire pas attendu à une réaction qui soit aussi...tolérante, de la part d'Asami, elle qui pourtant avait l'habitude de coucher avec Brad qui était un athlète. Le jeune n'avait après tout rien d'un sportif, même si il n'était heureusement pour lui pas en surpoids, on ne pouvait pas non plus dire que son physique le faisait sortir du lot, il se considérait au mieux comme banal. Mais à cela, Asami lui répondit en s'approchant de lui, et en venant avec un naturel déconcertant se saisir de sa queue toute dure, pour commencer à doucement le branler.
Aaaaaah...A...Asami...
Kenji était là, debout, terriblement proche de cette fille qui était nue, et qui était en train de caresser son sexe, de le presser entre ses doigts. Kenji se crispait car il n'était pas habitué à sentir une main autre que la sienne se saisir de son sexe, mais cette nouveauté était plus que bienvenue, car Asami arrivait à le branler sans lui faire de mal, bien au contraire même. Elle lui déclara alors qu'il n'avait rien de décevant, et que tant qu'il banderait en la voyant, elle se foutait du reste. Pour Kenji, c'était surréaliste, car qu'une aussi belle fille qu'Asami s'intéresse à un garçon banal physiquement comme lui le dépassait, même si son style un peu emo lui donnait une certaine présence, mais dont il ne savait pas profiter.
O...Oui c'est...aaah !!!
Kenji était tendu, perché pour ainsi dire au bout de cette main qui était en train de le branler, car le côté imprévisible de ces caresses était tout nouveau pour lui. Quand il se branlait, seul le soir, il pouvait prévoir tout, mais là il n'avait le contrôle sur rien. Asami, toujours en masturbant son sexe dressé et tendu, exigea alors qu'il arrête à partir de ce moment de se branler, et qu'elle seule puisse voir et toucher sa queue. Il se crispa quand, pour appuyer le sérieux de sa demande, elle serra d'avantage son sexe entre ses doigts,mais juste après, Kenji se demanda si sous l'effet du plaisir il n'était pas en train d'halluciner. Asami déclara alors qu'elle allait plaquer ce gros con de Brad pour lui, et que bien qu'il doive rester en cachette durant un moment pour éviter toute représailles, qu'elle avait donc bel et bien l'intention de sortir avec lui...d'être sa petite copine. Le jeune homme en resta sans voix, tandis qu'il sentit son coeur s'arrêter de battre un moment avant de repartir de plus belle, à fond.
Elle qualifia leur relation de couple, et commença à énumérer d'autres conditions toutes plus perverses les unes que les autres, mais honnêtemet Asami aurait pu demander n'importe quoi qu'il aurait accepté. Il n'en revenait pas, c'était le plus beau jour de sa vie. Si il avait été heureux d'être seul ce soir avec Asami, le fait qu'il ne soit potentiellement qu'un coup d'un soir l'avait dérangé au plus profond de lui même, de même que l'idée qu'en parallèle elle continue à se faire tringler par Brad. Mais là...putain ça changeait tout, peu lui importait alors qu'Asami soit une perverse, ce qui ne correspondait pas à l'image initiale qu'il s'était faite d'elle...il allait très, très, facilement s'en accomoder.
Alors il l'embrassa quand elle le lui demanda. Il était encore pressé, et inexpérimenté, mais cette fois Kenji se montra plus entreprenant car il initia effectivement le début de ce baiser, même si il allait d'avantage suivre le rythme d'Asami pour le mouvement de leurs langues. Mais, Ô grande surprise, il osa cette fois poser ses mains sur le corps de la jeune femme, sur ses hanches au début, mais alors qu'ils s'embrassaient, Kenji se surprit à les glisser vers les fesses de sa belle. Le fait qu'elle veuille vraiment sortir avec lui venait de faire sauter un grand nombre de verrous qui l'avaient un peu gêné jusque là, alors il alla, enfin, prendre les fesses de la jeune femme dans ses mains. Oh ce cul, ce cul divin, qui comme le reste de son corps était parfait, enfin il pouvait le toucher, et il se mit à respirer plus lourdement durant leur baiser tandis qu'il pétrissait ces fesses fermes, mais à la peau si douce.
Tout ce que tu voudras Asami, je le ferais...je t'aime c'est...c'est le plus beau jour de ma vie, je sais pas si tu peux imaginer à quel point j'ai espéré ça sans y croire.
-
Un rêve... C’était l’impression dominante chez Kenji. Le sentiment que tout cela n,’était pas réel, qu’il allait bientôt se réveiller dans son lit, en constatant que, non, ce n’était définitivement pas possible qu’Asami plaque Brad pour lui, le garçon ténébreux, isolé, le « cassos » toujours réfugié dans ses dessins, qui fuyait le sport, et dont les filles gloussaient quand elles le voyaient souffler comme un buffle en tentant de faire un 3x500 mètres. Comment donc était-il possible, par quelle force surnaturelle, qu’Asami soit nue devant lui, et qu’il puisse, pendant leur baiser, pétrir ses fesses ? Asami lui en mordilla même les lèvres, car elle aimait bien qu’on palpe son cul. Elle était perverse, et Kenji n’en avait eu, pour l’heure, qu’un léger aperçu. Ses seins s’enfonçaient contre son torse, et, d’une voix étouffée, suite à ce baiser, l’homme lui confia qu’il était d’accord pour tout, tout en ne croyant pas à sa chance.
« Hum... Tu sais parler aux filles, toi, Kenji... Alors, si tu veux un conseil, n’espère plus, et vis-le... Car ce n’est pas un rêve, c’est la réalité. Même si je pense que la réalité doit avoir un parfum onirique à tes yeux, maintenant... »
Asami lui sourit encore, et l’embrassa de nouveau, en enroulant ses mains autour de sa nuque, sentant toute l’érection de l’homme. Elle avait déjà des idées qui venaient pulluler dans sa tête, et qui étaient les témoins silencieux de cette perversité dont elle venait de lui parler. Oui, des idées, Asami en avait beaucoup, et, au fur et à mesure qu’ils s’embrassaient, elle en avait une qui avait sa préférence. Kenji, de toute façon, lui était soumis. Il était transi d’amour pour elle, et elle comptait bien se servir de ça. Toutefois, il ne fallait pas se méprendre. Il y avait la perversion, certes, mais, au-delà de ça, Asami ressentait réellementquelque chose pour lui. Elle aimait son côté romantique, soumis, et ce grand talent pour les dessins. Elle en avait assez des gens comme Brad, des machos qui sortaient surtout avec elle pour s’afficher en public, et qui avaient une imagination sexuelle aussi réduite que leur quotient intellectuel. Elle, elle voulait un vrai amant, quelqu’un avec qui elle pourrait faire des trucs fous, et quelqu’un qui, en prenant de l’assurance, pourrait la suivre dans ses fantasmes, mais aussi la calmer, la maîtriser, et envisager les choses plus sereinement.
Elle rajouta rapidement, après ce nouveau baiser :
« Les prochaines semaines vont être difficiles, le temps que Brad m’oublie, mon chéri... Je n’ai pas envie de cacher mon amour, mais je ne veux pas que Brad vienne te frapper... Car il n’y a que moi qui ait le droit de te frapper, désormais. »
Asami ponctua cet aveu par un mordillement de l’épaule de l’homme, et fourra son nez contre sa peau, caressant cette dernière.
« Et si on s’occupait de ta virginité, maintenant ? Tu t’occuperas de mon cul plus tard... Mais on ne va pas la prendre dans le vestiaire, Kenji... »
Asami lui offrit un sourire espiègle, puis l’invita à se rhabiller. Elle en fit de même, et, ensuite, le duo sortit. Asami le tenait par la main, un sourire amusé sur les lèvres, et ils retournèrent dans le lycée, maintenant désert, puis filèrent le long des couloirs. Étant une élève-modèle, Asami avait un double des clefs, comme elle l’avait expliqué à Kenji, et elle le guida vers leur salle de cours, et ouvrit la porte.
La femme rentra ensuite, et imposa une nouvelle règle :
« Bien.. Je veux que ce soit toi qui me déshabille, et moi qui te déshabille... Dans la mesure du possible. Et... Noius allons prendre ta virginité ici, sur ton bureau. Comme ça, quand tu retourneras t’asseoir à ta place, tu repenseras à moi en train de jouir sur toi et d’hurler ton nom pendant que ta queue me labourera le corps. »
À sa manière, et ce d’une façon bien perverse et bien osée, Asami était une grande romantique.
Mais c’était à sa manière...
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C'était réel, il faudrait à Kenji encore un peu d'auto-conviction pour parvenir à réellement y croire, mais il lui suffisait de se dire que tout ça avait l'air tellement réel que ça ne pouvait que l'être. Ces sensations nouvelles, même un rêve très convaincant ne pouvait pas les simuler avec autant de réussite, et puis quand bien même, il était certain d'être éveillé. Tout ça lui faisait beaucoup à assimiler en un coup, surtout le fait qu'Asami veuille vraiment être sa petite amie, alors qu'il était d'avantage habitué à être au mieux ignoré par la gente féminine. Toujours aussi joviale, Asami l'aidait toutefois à se décrisper un peu, en faisant des blagues pour le faire sourire, ce qui marchait diantrement bien. Mais, alors qu'il étaient en train de se serrer l'un contre l'autre dans un câlin, la jeune femme déclara qu'il était temps qu'elle prenne la virginité de Kenji, et forcément cette simple idée suffit à le rendre de nouveau...et bien un peu paniqué intérieurement.
Heureusement, fort heureusement, Asami avait suffisament d'expérience et de cran pour mener la danse, et la mener là où il le fallait. Kenji se rhabilla quand elle le lui demanda, ne posant pas de questions quand à l'endroit où ils allaient effectivement faire l'amour, car il était évident qu'Asami avait une idée derrière la tête. Fourrer à nouveau son sexe tendu dans son boxer puis dans son jean était une expérience peu agréable, car en l'état actuel des choses, en sachant pertinnement qu'il allait enfin faire l'amour d'ici peu de temps, Kenji n'arrivait tout simplement pas à débander...ce qui se révéla être un peu problématique pour marcher. Heureusement, alors qu'Asami le menait en le tenant par la main, ils n'eurent pas à aller très loin, et rentrèrent dans le lycée, vu qu'Asami avait le privilège de disposer d'un double des clefs. Elle le mena alors dans leur salle de classe, du moins celle que lui et Asami fréquentaient de loin le plus souvent, elle le tira dedans après avoir ouvert la porte, qu'elle referma ensuite derrière lui.
Quand à ce qu'elle avait effectivement comme projet de faire, à savoir qu'ils fassent l'amour sur son propre bureau, là où il passait la quasi totalité de ses heures de cours, pour qu'il s'en souvienne...il trouva l'idée très osée, et pas dénuéede symbolique.
O...okay...au moins je saurais qui blâmer si mes résultats baissent ma foi...
Il blaguait, mais sa respiration était lourde alors qu'il prenait pleinement conscience que ça y est, il allait faire l'amour à cette fille, dont il avait fini par s'approcher et à poser ses mains sur ses hanches. Sa verge, tellement tendue et tellement serrée dans son pantalon, lui faisait mal.
Écoute Asami...avant qu'on commence, j'dois te demander un truc. J'ai...pas tenu longtemps tout à l'heure, et y'a de fortes chances pour que je fasse pas une meilleure performance là. Je te poses la question car j'ai comme des doutes que Brad te l'aie déjà proposé mais...est-ce que...est-ce que ça te tenterais que je te rendes la pareille ? Que je te fasses un...un cunni' ?
Kenji était rouge comme une tomate au moment de poser cette question, mais poursuivit néanmoins.
Je...je veux pas être le seul de nous deux à prendre mon pied ce soir. Si tu me guides je penses...j'espère...pouvoir au moins une fois faire en sorte que le plaisir soit réciproque ce soir. Qu'est-ce que t'en dis ?
Oh qu'est-ce qu'il avait chaud putain, il venait tout juste de proposer un truc, mais qui en plus faisait partie de ses gros fantasmes. Avoir son visage fourré entre les cuisses d'Asami, en train de lécher son intimité parfaitement épilée, pour la faire jouir.
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Ils étaient là, dans la salle de cours, cette salle où ils avaient l’habitude d’être, et de se morfondre en silence en attendant la fin du cours. Ici, c’était une toute autre activité qui allait se dérouler, et Asami était sûre de son fait. Elle voulait s’envoyer en l’air avec cet homme, là, maintenant, tout de suite, sur le bureau, et elle savait qu’il en avait aussi envie. Son pantalon ne suffisait plus à dissimuler son énorme érection. L’homme bandait comme un taureau, et la lycéenne ne savait même pas comment il avait fait pour la suivre jusqu’ici sans avoir envie de se masturber. Maintenant qu’ils étaient là, l’un face à l’autre, sur le point de commettre l’acte ultime, le désir ne pouvait que croître, montant rapidement en eux. Asami avait envie d’y aller, sentant, contre ses fesses, le rebord de la table de l’homme. Mais, au lieu de ça, Kenji la surprit encore, en réussissant, d’une voix essoufflée, comme anéantie par le désir et l’envie qu’il ressentait, à lui demander un cunni’.
Asami cligna des yeux, surprise, et finit par sourire.
« J’aime quand tu te désavoues toi-même, c’est mignon… Mais n’en fais pas une habitude. »
Ne répondant pas sur le coup à sa demande, elle approcha sa main, et défit sa braguette, puis attrapa sa queue, et la fit sortir, sans tenir compte des soupirs de l’homme.
« Regarde-moi ta queue, comme elle est grosse et tendue… Merde, même quand Brad se donnait à fond, elle avait l’air ridicule, par rapport à toi ! »
Comparer la taille des queues, c’était toujours un bon moyen pour flatter les mecs. C’était idiot, Asami en avait conscience, mais les filles réagissaient de la même façon quand on leur parlait de leur tour de poitrine. Un truc débile, clairement… Mais humain, désespérément et profondément humain, avec tout ce que l’humain avait d’idiot. Elle retira sa main du sexe de l’homme, et la posa sur son torse, serrant sa chemise.
« Oui, tu me suceras la moule si tu veux, Kenji… Mais je ne crois pas que ton sexe puisse attendre plus longtemps. Et puis, c’est mieux comme ça. Tu me fourres, puis tu me nettoies ensuite… Il paraît que le mélange de sperme et de cyprine, c’est plutôt bon à la langue, ce sera l’occasion de vérifier ça… »
Un fin sourire espiègle éclaira ses douces lèvres, puis elle se les mordilla, et entreprit alors de le déshabiller, totalement. L’homme finit totalement nu, et elle dut ensuite le guider, prenant d’elle-même les mains de Kenji pour les positionner sur son corps, et, ainsi, l’amener à la déshabiller, voire à la peloter. Sa queue caressait ses cuisses, comme une sorte d’incitation sexuelle, de douce tentation avant de passer à l’acte.
Les deux amants finirent finalement nus, et un sourire amusé dansait sur les lèvres de la jeune Asami, qui grimpa sur la table, et se pencha vers l’arrière, une moue séductrice sur le visage, ses longues jambes venant à gauche et à droite de l’homme.
« Tu as vu comme mes jambes sont belles ? Il faudra aussi que tu les embrasses… Mais, pour l’heure… »
Asami fourra alors deux doigts dans son intimité, un sexe très bien épilé, et écarta ses lèvres intimes, dévoilant un gouffre rosâtre et noirâtre, le puits de toute forme de vie sur Terre.
« Je te laisse décider, finalement… Soit tu plantes ta queue maintenant, soit ta langue… En sachant que j’ai une très grosse faim, et que tu n’as pas qu’un seul trou à contenter… »
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Ce soir, Kenji était en train d'enchaîner les situations inattendues, et oser proposer un cunni' à la fille dont il était amoureux en était clairement une. C'était surprenant venant de sa part, mais le jeune homme s'était senti pousser des ailes lorsque Asami avait déclaré qu'elle plaquerait ce gros con de Brad pour effectivement sortir avec lui. Le fait qu'il ne soit pas une sorte de vulgaire plan cul, mine de rien, ça changeait grandement la façon dont il voyait ce qui était en train de se passer, et il faisait même abstraction du vrai caractère d'Asami qui ne correspondait pas trop à l'idée qu'il s'était faite d'elle. Mine de rien la lycéenne avait plutôt bien caché son jeu d'accroc au sexe, frustrée de ne pouvoir que se contenter du basique avec son copain actuel. Kenji aurait eu, dans l'absolu, une vision un chouilla plus romantique de leur relation...mais comme Asami prenait sur elle de ne sortir qu'avec lui, et de ne pas en faire qu'un vulgaire sex-toy, le jeune homme s'était alors dit que finalement il devait accepter ce côté de la personnalité d'Asami.
D'autant plus que, franchement, étais-ce si désagréable que ça ? Asami pour le coup compensait ainsi la timidité et la nervosité de Kenji, et le guidait donc, car il fallait bien que quelqu'un le fasse. Elle se rapprocha de lui, et défit rapidement sa braguette pour faire sortir son sexe, et le tenir entre ses doigts. Kenji, comme n'importe quel garçon de son âge, s'était bien entendu déjà branlé sur du porno, mais sentir les doigts d'une fille sur son sexe était une expérience tout à fait différente. L'entendre dire qu'il avait une plus grosse queue que Brad aussi, c'était plutôt pas mal. C'était con, mais sur le moment, dans son état d'excitation, qu'Asami le trouve bien membré était très gratifiant, et contribuait à lui donner un peu plus confiance en lui. Le pauvre se cambrait légèrement alors que la lycéenne le branlait doucement, il avait le sexe tendu, dur comme du béton, et même quand elle s'arrêta il continua à avoir mal. Asami lui déclara alors qu'elle était d'accord pour son idée de cunni, mais doutait qu'il puisse tenir d'avantage en se retenant ainsi, et avec ses caresses supplémentaires...lui aussi en doutait maintenant.
Okay...on fait comme ça...
Le jeune homme avait la respiration rauque, il avait presque du mal à parler sous 'leffet de l'excitation, sous l'effet d'Asami retirant avec ses doigts délicats, tous les vêtements qu'il portait. Puis elle le guida, et il la déshabilla en prenant son temps, il galéra un peu pour ôter les agraffes du soutien-gorge, mais fut récompensé par le fait de pouvoir lui peloter un peu les seins. Tout aussi maladroit qu'il était, Kenji était toutefois motivé par la volonté de bien faire, aussi ne pressa-t-il pas trop fort, mais il caressa pendant un bon moment des doux seins de la jeune femme. Il lui retira également le reste, sa petite culotte en dernier, et dégluttit en ayant cette fois une vision plus proche, et précise, de son intimité épilée. Nue, elle était absolument magnifique, et Kenji en restait sans voix un peu comme un bête, mais réagit toutefois quand Asami lui proposa un choix.
Je...je peut plus tenir Asami...
Elle avait les cuisses écartées, et son sexe tout tendu n'avait désormais jamais été aussi proche de ce moment que tout garçon de son âge rêvait de faire, se glisser dans la chatte chaude d'une fille. Il s'approcha peu à peu d'elle, en tenant son sexe d'une main, tandis qu'il posa l'autre sur une des cuisses de la jeune femme, juste pour sentir sa peau toute chaude, toute douce, puis il la regarda.
Je vais...essayer de tenir le plus longtemps possible.
Puis il ne tint plus, il s'approcha encore, en guidant le bout de son sexe contre l'entrée du vagin d'Asami. Il sentit cette surface molle, chaude dans laquelle il pouvait s'enfoncer...et en mettant en mouvement son bassin, Kenji s'enfonça en elle. Le frottement des parois internes du vagin d'Asami contre son sexe, la chaleur dans laquelle il s'engoufra avec son sexe...il s'avança afin de s'enfoncer jusqu'à la garde.
Aaaaaa...oh putain !
Le jeune lycéen commença alors à remuer en elle, contre elle, faisant bouger et grincer son bureau. Il n'en revenait as, c'était si bon ! Il venait de perdre sa virginité et putain, c'était la sensation la plus géniale qu'il aie connu jusque là !
-
Ça y est, ils y étaient. Le moment tant attendu, probablement fantasmé bien des fois par Kenji. Le petit timide allait enfin avoir l’occasion de se planter dans une fille, de participer à cette communion ancestrale des corps, et, en somme, de ne faire plus qu’un avec Asami. Qu’il soit surpris par la propension naturelle de la jeune femme à la perversion n’avait, en soi, rien de fondamentalement surprenant. Asami était comme ça, une femme pleine d’énergie, pleine de vigueur, et qui vouait un amour incommensurable envers le sexe. Le sexe, oui, elle aimait ça, profondément, sincèrement, et amoureusement. Elle avait une soif sexuelle énorme, et ce même en considérant que, à son âge, on avait très naturellement soif de sexe. Chez elle, elle avait le sentiment que c’était pathologique, plus fort encore que chez d’autres personnes. Ainsi, là où la plupart des gens se contentaient juste de fantasmes, et épanchaient leur soif avec des masturbations nocturnes, Asami, elle, avait toujours voulu plus. Sur ce point, Brad n’avait jamais pu la satisfaire. Même si Kenji voulait d’une relation plus romantique, et que la perversion d’Asami puisse le surprendre, il n’aurait pas d’autres solutions ; Asami était comme un package où il fallait tout prendre, sans rien pouvoir rejeter.
Fort heureusement, elle avait bon espoir de trouver en Kenji un aussi grand pervers qu’elle. Sa soumission allait en ce sens, et c’était tout ce qu’elle voulait. Beaucoup auraient pu y voir un défaut, mais elle, elle préférait ça. Pour la suivre dans sa folie, il lui fallait un homme soumis, pas un abruti comme Brad, qui jouissait en elle dans la classique position du missionnaire, avant de se retirer, de fumer un joint, et de péter en dormant. Elle aurait été une quadragénaire, elle aurait pu s’en contenter, et se soulager en lisant des fanfics érotiques sur Internet, mais, voilà, elle était jeune, dynamique, en pleine force de l’âge, et n’avait donc qu’une seule envie : coucher et baiser joyeusement.
Et Kenji se rapprocha donc d’elle, après l’avoir lentement déshabillé. Il agissait gauchement, maladroitement, les mains tremblant du fait de l’excitation, mais elle le laissa faire. Elle aimait cette spontanéité, ce naturel, ces mains qui glissaient et empoignaient ses seins, les soupirs lourds du jeune homme, son sexe qui se frottait contre ses cuisses, remontant pour taper ses fesses.
« Hmmm… »
Sagement, elle le laisse faire, et elle finit finalement toute nue. Kenji contempla sa culotte pendant quelques secondes, comme une sorte de relique, ce qui ne manqua pas de la faire sourire. Au Japon, le fétichisme était une véritable institution, qui se manifestait notamment à travers la passion des Japonais pour les culottes. Cette passion était si forte que les Japonaises pouvaient même faire commerce de vieilles culottes usagées, pratique appelée le « burusera ». Dans les rues d’Akihabara, le quartier otaku de Tokyo, il y avait des distributeurs vendant en effet des strings ou des culottes usagées pour mille yens pièce.
Ceci amena Asami à sourire, sa jambe venant effleurer le corps de l’homme.
« Hey… Quand tu es face à un cadeau, intéresse-toi à ce dernier, plutôt qu’à l’emballage… »
Une précision presque inutile en réalité, car, en voyant son sexe, Kenji sembla se liquéfier sur place, puis abandonna, au moins provisoirement, l’idée du cunni’. Il se rapprocha de la femme, assise sur son bureau, et elle le laissa venir, puis l’enlaça, une main sur sa nuque, l’autre en appui sur son épaule. Ses seins s’enfoncèrent contre son torse, et ses jambes s’enroulèrent autour de sa taille, puis elle sentit sa belle et grosse queue, extrêmement tendue, s’approcher… Elle avait eu largement l’occasion de voir ce mandrin, et avait clairement vu toute l’excitation de l’homme. En conséquence, sentir cette verge taper contre son bassin ne manquait pas de l’exciter, l’émoustillant… Ça, ainsi que le fait qu’ils étaient en pleine salle de cours.
Puis le membre s’enfonça en elle.
« Haaaaa… !! »
Tout le corps d’Asami sembla se crisper contre celui de Kenji, et elle soupira longuement, en sentant cette queue vorace s’enfoncer en elle. Ses ongles s’enfoncèrent dans sa peau, et elle soupira longuement, gémissant contre l’oreille de l’homme.
« Hmmmrrpfff… En… Encore, Ken… Kenji, haaa… Ooooohhhh… »
Elle se maintenait contre lui, mais aussi contre la table, qui était en train de remuer sous les coups de reins de l’homme, le rebord de la table s’enfonçant contre les fesses d’Asami.
« Haaaaaaaaa… !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAA… !!! »
Poussant de joyeux cris, elle laissait sa mouille glisser le long de ses cuisses, venant se répandre sur le sol.
Que c’était bon !
-
Si la sensation d'enfoncer son sexe dans le vagin d'Asami n'avait pas été aussi intense, Kenji aurait continué à se demander si il n'était pas dans une sorte de rêve particulièrement réaliste...il ne fallait jamais sous-estimer le pouvoir de l'imagination et des rêves, surtout qu'il avait déjà eu des rêves un peu similaires, où il sortait avec Asami. Cela n'allait jamais aussi loin bien sûr, mais dans ses rêves très convaincants il avait toujours eu des sensations diffuses lorsqu'il lui tenait la main, ou la serrait contre elle...avant de se réveiller. Maintenant qu'il était nu, tout contre elle, et en train de la pénétrer, il se rendait compte à quel point ses rêves étaient tellement éloignés de la réalité. Asami gémissait contre lui, et vu qu'elle fourrait son visage contre son cou, ses gémissements lui arrivaient directement dans les oreilles. Leurs corps étaient tout proches, pas seulement car Kenji était en train pour la première fois de faire l'amour à une fille, mais aussi car Asami se serrait contre lui. Ses mains l'entouraient, de même que ses jambes, la sensation d'avoir les cuisses de la jeune femme entourer son bassin, et ses pieds se réunir pour former une sorte de cocon c'était...presque aussi bon que le fait de remuer en elle.
Car oui, ça par contre, c'était la meilleure sensation qu'il avait ressenti de toute sa vie. Kenji, en tant qu'adolescent en pleine puberté et grouillant d'hormones, se branlait fréquemment en regardant du porno à défaut d'autre chose, mais putain, maintenant il comprenait pourquoi tout le monde cherchait autant à baiser, pasque c'était...merde c'était bon ! Asami se serrait tout contre lui, il avait ses merveilleux seins, tout tendus, collés contre son torse, et elle gémissait de plaisir alors que lui remuait sa queue dans son antre chaude et humide.
A...Asami...Aaaaaah...
Pénétrer sa camarade...sa petite amie, était à ce stade un réflèxe qu'il ne pouvait pas contrôler, son bassin remuait tout seul par automatisme, car il sentait bien que s'arrêter lui prodiguerait une douleur encore plus forte que de continuer. Car oui, il avait malgré tout mal à son sexe. Asami l'avait frustré avec son strip-tease, sans compter le fait qu'il avait dû se rhabiller pour venir jusqu'ici, puis il avait du encore attendre le temps qu'ils se retrouvent tous les deux nus. Sa queue était tendue comme jamais, même après qu'elle l'aie sucé plus tôt. Il avait un peu peur que la table ne tienne pas le choc avec ses coups de rein, ou qu'Asami se trouve déséquilibrée, mais ces petites raisons de stresser allaient de pair avec surtout une plus grosse peur: celle de ne pas tenir longtemps. Pour le coup, si Kenji n'avait pas réussi à se retenir lorsque Asami avait pris sa queue en bouche, il essayait là malgré tout de se contenir, de travailler sa respiration...mais putain c'était hardcore, car là elle était nue, et il était en elle. Son sexe était assailli vraiment de toutes part par les parois internes, délicieusement chaudes, du vagin de la jeune femme, qu'il sentait comme masser sa queue alors qu'en prime la mouille chaude venait s'ajouter à ce cocktail de sensations.
Elle mouillait, et elle gémissait...non criait même de plaisir alors qu'il était en train de lui faire l'amour sur son propre bureau, là où dès le lendemain il irait s'asseoir durant les cours. Cette première fois ne correspondait pas trop à ce qu'il s'était imaginé, mais du fait qu'Asami le guide, il se laissait ainsi emporter par les envies et les fantasmes de sa camarade. Jamais de lui même il n'aurait osé faire ça dans une salle de classe, mais cette considération s'était vite envolée face à l'offre irrésistible de perdre sa virginité avec elle.
Kenji pour sa part avait donc les mains posées dans le bas du dos d'Asami, afin d'appuyer ses coups de rein, qui étaient plus fort qu'il ne s'y attendait. En grand romantique, il avait toujours eu dans l'idée de faire des mouvements lents, un peu comme dans certains films, mais la réalité était là, et il ne pouvait se retenir. la table grinçait sous ses coups, et il s'enfonçait pleinement entre les cuisses d'Asami, sa verge s'engoufrant bien profondément dans son vagin, et ses testicules tendues heurtaient à l'occasion les fesses de la jeune femme...qu'il alla au bout d'un très court moment aller empoigner avec ses deux mains, tout en soufflant fortement.
Il se sentait proche de jouir, mais comme il avait déjà éjaculé tantôt, ses tentatives de se retenir se trouvaient d'avantage couronnées de succès.
Et c'était tant mieux, car il voulait prolonger ce moment le plus possible.
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Kenji et Asami faisaient enfin l’amour. Un moment décisif pour Kenji, et, malgré toute sa perversion, Asami se sentait flattée par le fait de lui prendre sa virginité, d’être sa première fois. C’était toujours un moment important, et elle, elle devait bien admettre qu’elle l’avait un peu gâché. On se disait toujours que la personne avec qui on faisait l’amour pour la première fois serait la bonne personne, et qu’on ne la quitterait jamais, et Asami pensait que ça s’appliquait davantage pour les filles que pour les garçons, car, si un mec ne perdait rien en tirant son coup, une fille, elle, perdait son hymen, le symbole de son innocence enfantine. Ainsi, bien que terriblement perverse, Asami n’en restait pas moins une femme empreinte d’une certaine forme de romantisme, un romantisme qui avait été jadis assez fort chez elle, avant de se tarir pour s’exprimer à travers une forte perversion.
« Haaaa… Haaa… Kenji, hummm… !! »
Sa queue était là, solidement et fermement plantée en elle. Il remuait d’avant en arrière, et, pour un puceau, il fallait bien admettre qu’il avait une bonne allonge. Mais ce n’était pas surprenant. Un homme comme Kenji s’excitait bien plus facilement qu’un boulet comme Brad, et, en conséquence, son érection allait de pair. Kenji était très bien membré, et Asami était sûre, à le sentir en elle, remuer ainsi, crispant ses mains contre le bas de son dos, d’en faire un futur amant, avec un pieu en guise de queue. Elle couinait et gémissait contre lui, une main sur sa nuque, enfonçant parfois ses ongles dans sa peau, imprimant ainsi sa chair de ses marques.
La grosse queue de l’homme remuait en elle, et Kenji s’efforçait de ne pas jouir trop vite, étant, en ce sens, similaire à un marin qui essaierait de remonter la marée lors d’une tempête. Il ne pourrait guère que s’accrocher à un récif avant de se faire balayer, mais Asami comprenait cela. Et elle ne le jugerait certainement pas pour une éjaculation précoce. En un sens, c’était flatteur, et l’homme respirait bruyamment, les muscles tendus, tout son corps trahissant l’excitation qu’il ressentait en ce moment. Une sensation particulièrement grisante qui excitait également Asami, amenant la verge de Kenji à baigner dans sa mouille.
« Kenji, hmmmm… »
La table continuait à remuer d’avant en arrière, et, sans prévenir, Asami appuya un peu plus sur la nuque de son amant, et enroula ses jambes autour de sa taille, avant de se soulever. Comme l’homme avait ses mains dans le bas de son dos, il put la retenir, surtout quand elle lui glissa :
« Attrape mes fesses… Tiens-moi par là… »
Les deux corps étaient ainsi collés l’un à l’autre, les fesses d’Asami à quelques centimètres de la table, et, alors que la queue de l’homme était maintenant profondément enfoncée en elle, et que ses coups de bassin étaient restreints par leur proximité, elle alla l’embrasser avec gourmandise, enfonçant sa langue dans sa bouche. Faisant preuve de son expertise, c’était elle-même qui se remuait un peu, soulevant et abaissant très lentement son corps, grâce à ses appuis sur le corps de l’homme. Kenji n’était pas très musclé, mais le sexe vous amenait parfois à trouver en vous des réserves insoupçonnées.
Asami rompit ensuite le baiser, conservant un léger sourire sur ses lèvres.
« Je t’aime, Kenji… Haaa… Tu as vraiment une belle queue, mon chéri… Hmmm… Dis que tu m’aimes, toi aussi… Dis-le pendant que tu me baises, mon amour… »
Il pouvait la remettre sur la table s’il le voulait, mais elle voulait l’entendre.
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Kenji se sentait bien, véritablement bien, et c'était la première fois depuis de longs mois qu'il avait enfin une sensation de pleinitude et de joie. Même si il s'en accommodait, être une sorte de paria et d'isolé au sein du lycée lui pesait quand même, mais il préférait encore ça que d'enfiler un masque et de se plier au plus grand nombre juste dans l'espoir de rejoindre les rangs. Mais ce qui lui avait pesé le plus sur la conscience au cours de ces derniers mois, c'était clairement son amour pour Asami, qui en plus d'être belle comme un coeur faisait partie de ces rares élèves à ne pas chercher à se servir de lui comme bouc émissaire. Kenji était tombé instantanément amoureux d'elle quand il l'avait vue, et quand ils avaient fait un TP de chimie ensemble qui s'était superbement bien passé, et où ils avaient même discuté, ce sentiment n'avait fait que se renforcer.
Il en avait pourtant beaucoup souffert, à cause de Brad, mais toutes ses tentatives pour passer à autre chose avaient été vaines. Mais maintenant, il se sentait d'autant plus heureux que sa souffrance et sa frustration avaient été grandes. Asami ressentait des sentiments réciproques à son égard, certes d'une manière moins romantique, mais il pouvait sentir qu'elle n'était pas hypocrite quand elle déclarait qu'elle l'aimait. Putain, elle allait plaquer ce gros con de Brad pour lui quoi ! Et ça, ça c'était ce qui avait achevé de lui faire accepter que ce n'était pas un rêve. Quand bien même coucheraient-ils ensemble, ce qui était d'ailleurs présentement le cas, Kenji se serait senti vraiment mal à l'aise d'être l'amant secret qui n'aurait droit qu'à de brèves parties de jambes en l'air dans le plus grand secret. Certes là, Kenji et Asami devraient se voir en secret pendant un temps, mais le fait qu'elle aussi ne coucherait avec personne d'autre que lui rendait du coup cette nécessité du secret acceptable, c'était un mal pour un bien, finalement.
Et puis bon dieu, le voilà qui était en train de lui faire l'amour. Certes c'était pas le summum du romantisme le fait de le faire dans une salle de classe déserte, mais toutes les questions que Kenji aurait pu se poser s'étaient trouvée balayées quand il avait planté sa queue dure comme un rocher dans l'intimité acceuillante d'Asami. Elle gémissait sous ses coups de butoir, et surtout, elle mouillait. Il avait pu le voir quand elle avait écarté ses cuisses, l'invitant à se plonger en elle, mais maintenant il le sentait, et c'était une expérience toute différente, et autrement plus intense. Kenji avait déjà tenté de s'imaginer la sensation que ça pouvait faire, que de plonger son sexe dans l'intimité d'une fille, mais même dans ses rêves les plus fous il s'en rendait compte, il avait grandement mésestimé le plaisir qu'il en ressentait. C'était bien simple, il en était à un stade où c'était sa queue presque qui dirigeait ses actions, l'amenait à remuer pour sentir, encore et encore, ces délicieuses frictions des parois intérieures du vagin d'Asami contre son sexe, ou également pour entendre les bruits humides que cela faisait quand il remuait en elle.
Hmf ! Haaaaa !!!!
Kenji se retenait, autant que possible, mais il sentait qu'il ne tiendrait plus très longtemps à ce rythme, qu'il ne pouvait ralentir de lui même, il en était incapable. C'est à ce moment qu'Asami s'agrippa à lui, en enroulant ses jambes autour de la taille du jeune homme, qui se retrouva à la porter, et en suivant ses indications, il descendit ses mains sur les fesses de la jeune femme pour la maintenir ainsi contre lui. Kenji avait beau ne pas être du genre musclé, il parvint toutefois à porter Asami un certain temps. Le baiser qu'ils partagèrent le revigorait, et l'incitait à trouver des forces pour le prolonger. Lui ne parvenait plus à remuer, mais Asami elle le faisait en bougeant son bassin, ce qui fit que Kenji crispa ses mains sur son cul en soupirant. Asami retira alors ses lèvres, et lui parla, le complimentant sur la taille de sa queue, lui disant qu'elle l'aimait...en somme, tout ce que Kenji aurait pu rêver d'entendre de la bouche de cette fille là, qui était la seule qui comptait à ses yeux. Là, agrippée contre lui, sa peau frottait la sienne et leurs corps étaient aussi proches que possible, collés l'un contre l'autre.
Je...je t'aime Asami...je t'aime...
Kenji se remit alors à remuer en elle, mais même avec toute la bonne volonté du monde, il ne pouvait pousser d'avantage son corps, aussi dut-il reposer Asami sur le rebord de la table. Mais une fois qu'elle fut posée, les mouvements de Kenji ne s'en firent que plus intenses, tandis qu'il revint l'embrasser, en soufflant fortement, il avait une main posée sur une des hanches de la jeune femme, tandis qu'il se faisait plaisir avec l'autre à malaxer l'un de ses seins.
Il allait jouir, c'était désormais au mieux une question de secondes, son sexe lui faisait désormais trop mal pour qu'il puisse se retenir d'avantage. Alors, en brisant le baiser pour aller fourrer son visage dans le cou d'Asami, Kenji accéléra encore le rythme de ses coups de bassin, puis finit par jouir en se plantant complètement dans l'intimité de la jeune femme. Kenji poussa des grognements et des soupirs, qui se perdirent contre le cou de la femme, tandis que ses mains se crispèrent contre le corps de sa partenaire. Et c'est ainsi, tout à fait collé contre elle, qu'il se vida. De mémoire, jamais Kenji n'avait eu un orgasme aussi intense que maintenant, et il éjacula longuement dans la chatte d'Asami, couvrant ses parois internes d'un foutre chaud, en grandes quantités. Quand il termina de jouir, Kenji sembla subitement se détendre, mais ne voulait pas se retirer dans l'immédiat. Sa queue était encore bien au chaud, même si elle commençait à perdre de sa raideur, et il retira alors doucement son visage du coup d'Asami, et la regarda d'un air un peu hagard, encore sous le coup du plaisir intense qu'il venait de ressentir.
C'était...wow...j'ai pas de mots...
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Frustrer un amant était une chose nécessaire, car le désir était ainsi fait. Plus on frustrait un homme, et plus il serait enclin à se lâcher par la suite. C’était une leçon qu’Asami avait comprise, et qu’elle avait appliqué avec Kenji. En réalité, elle aurait pu passer à l’acte depuis bien longtemps... Depuis leur TP de chimie, en fait. Avant ça, Kenji l’intéressait, l’intriguait, mais c’était surtout à l’occasion de ce TP qu’elle avait commencé à construire à plan, à échafauder tout ce travail qui, finalement, devrait les amener, à se faire l’amour sur la table de travail de Kenji. Elle avait voulu le frustrer, sexuellement parlant, mais aussi sentimentalement, pour qu’il soit nettement plus enclin à la perversion. Sur ce point, Asami était douée. Pendant ces dernières semaines, elle avait multiplié les allusions, les sourires, les regards concupiscents à son égard, de quoi troubler Kenji, tout en se débrouillant pour que personne d’autre que lui ne s’en rende compte. Elle l’imaginait volontiers, se demandant s’il fantasmait sur elle, comme tous ces jeunes amoureux, transis de désir, qui interprétaient chaque allusion comme un signe évident.
Et, maintenant, le duo était là, se faisant l’amour, Kenji finissant par lui avouer combien il l’aimait, tout en jouissant en elle. L’homme se vida, balançant sa généreuse crime, et Asami s’en sentit toute émoustillée, furieusement excitée à l’idée d’être ainsi sa première fois. Ce n’était pas la première fois que Kenji jouait en elle, prouvant sa vigueur exceptionnelle.
« Kenjiiii, hmmmm... !! »
Asami mouillait également abondamment, mais, bénéficiant d’une meilleure expérience sexuelle que lui, elle n’avait pas encore joui... Car elle estimait que la soirée de Kenji était encore loin d’être terminée. Elle vit l’homme s’écarter d’elle, un peu sonné par la puissance de cet orgasme, tout en n’arrivant pas à trouver ses mots. Asami, elle, sourit donc, et glissa sa main contre ses cuisses, recueillant un peu de sperme le long de ses doigts, puis, sans cesser de lui sourire, alla suçoter ses doigts.
« Ça, Kenji, ce nectar, ça vaut tous les discours creux du monde... »
La jeune femme lui fit ensuite un clin d’œil. Assise sur le bureau de Kenji, elle s’en retira ensuite, sautant sur le sol.
« Alors, mon petit chéri, qu’est-ce qu’on va bien pouvoir faire ? »
Elle disait ça sur un ton amusé en lui tournant le dos, et posa ensuite un doigt sur ses lèvres, pivotant lentement sur place, comme pour lui faire croire qu’elle réfléchissait. Finalement, la lueur dans ses yeux s’accentua légèrement, signe qu’une idée venait de germer dans son esprit. Sans rien dire, elle remonta alors l’allée menant au bureau du professeur, et s’assit dessus, avant de s’y coucher sur le flanc. Une main appuyait sa tête, lui permettant de maintenir cette dernière un peu au-dessus du bureau, et, avec sa main libre, elle se caressait intimement.
« Viens, mon beau Kenji, rejoins-moi... Puis tu te coucheras sur moi, et tu me lécheras pendant que j’en ferais de même. Je veux sucer ta queue, Kenji, la sentir durcir en moi, et je veux jouir en toi pendant que tu me rempliras à nouveau le ventre. »
Et, même si ça n’était pas possible (vu qu’elle prenait la pilule), Asami le tança encore un peu, le provoquant, comme elle aimait si bien le faire :
« Qui sait ? À force de te répandre en moi, tu m’offrirais peut-être un bébé... »
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Kenji n'avait effectivement pas de mots pour décrire l'explosion de plaisir qui l'avait parcouru, car aucun n'aurait vraiment pu décrire avec exactitude à quel point jouir en elle avait été bon. Même si il était moins prompt à se masturber que d'autres de ses camarades, Kenji était un adolescent en pleine puberté, bourré d'hormones, et qui donc avait de temps à autres besoin de se soulager. Mais faire l'amour à une fille, et surtout à cette fille en particulier, sur laquelle il avait flashé depuis des mois, ça dépassait de loin toutes les branlettes devant du porno ou en lisant des hentai qu'il avait pu faire. Jamais il n'avait autant balancé de foutre qu'en venant dans l'intimité d'Asami, et il pu voir à son regard que ce n'était pas fini, car en effet il lui devait encore un cunni', vu qu'elle n'avait pas joui. Pour autant, le jeune homme n'était pas mécontent de sa performance, et aurait sincèrement cru qu'il ne tiendrait pas plus de cinq secondes, il avait encore du travail à faire pour se contrôler mais...pas mal, pour une première fois, pensait-il.
Asami peu après descendit de la table, et réfléchit un bref moment sur la suite des événements. Sur ce côté là, il était dores et déjà évident qu'Asami serait celle qui allait décider, au moins pour un bon moment. c'était elle la plus expérimentée, et la plus dévergondée des deux, et si Kenji sentait son imagination s'enflammer, il avait encore du chemin à parcourir avant de se libérer assez pour oser exécuter ses fantasmes. Pour le moment, il se contentait de mater le cul d'Asami, vu qu'elle lui tournait le dos. Ces fesses qu'il avait empoigné, et dont la seule vue ainsi que celle du reste de son corps, suffisait à commencer à lui redonner envie. Il la regardait, sous toutes les coutures, non seulement pour le plaisir évident de ses yeux, mais aussi pour s'imprégner de ses formes dans sa mémoire, car il avait bien l'intention de continuer à la dessiner, et cette fois avec l'exactitude des proportions.
*Elle est tellement belle...et perverse...*
Ce deuxième aspect, Kenji finirait par s'y habituer. Cela avait été une surprise quand il avait découvert cet aspect de sa personnalité, et s'était attendu à ce que ça soit un frein pour lui. Mais au contraire, maintenant qu'ils étaient nus, et qu'ils faisaient l'amour, Kenji était même plutôt content qu'elle soit aussi expérimentée, et entreprenante, car lui même n'aurait pas été capable d'assumer ce rôle. Asami sembla finalement trouver ce qu'elle voulait faire, car son visage et surtout son regard, reprirent la lueur coquine qu'il commençait à adorer, et il la vit alors s'avancer vers le bureau professoral. Kenji devina alors un peu ce qu'elle avait en tête, car ce bureau, en dehors de la table à laquelle il s'asseyait, était le deuxième élément de cette salle sur lequel Kenji devait régulièrement poser son regard, et il s'approcha un peu tandis qu'elle prenait position dessus, l'aguichant en se masturbant sous ses yeux.
Je vais avoir du mal à regarder ce bureau autrement après ça, mais c'est tout l'intérêt de la chose hein ?
Elle lui lança alors une petite pique, affirmant qu'à force de jouir en elle, il finirait par la rendre enceinte. Sur le moment, Kenji se sentit presque partir, car en effet il avait bien répandu sa semence dans la chatte d'Asami, mais il se rendit tout aussi compte rapidement qu'elle plaisantait.
Hum...ben qui sait, plus tard peut-être ?
Il émit un bref rire lui aussi, mais d'un certain côté, lui se voyait bien passer le reste de ses jours avec cette femme là. Bon après, avoir un gosse, là tout de suite, il était aussi assez intelligent pour savoir que c'était autant peu une priorité pour lui que pour elle, sans compter le fait qu'Asami prenait régulièrement la pilule, ce qu'il avait pu déduire en voyant une tablette dans le sac à dos de la jeune femme, il y a quelques jours par hasard. Il s'approcha alors de nouveau, sa queue était encore ramollie, mais montrait de clairs signes d'un redressement progressif. Tout aussi nu qu'elle, Kenji soupira avant de grimper à son tour sur le bureau. Il s'allongea aux côtés d'Asami, en se collant tout contre elle, sa queue venant taper contre le bas ventre de la lycéenne tandis qu'il allait l'embrasser pendant un moment. Puis, Asami s'allongea sur le dos, et Kenji lui prit place, dans la bonne vieille position du 69, avec lui qui était au dessus, à quatre pattes, son visage tourné vers l'intimité luisante de mouille et épilée d'Asami, qui écartait ses cuisses. Kenji commença alors les préliminaires, en abaissant son visage et en allant embrasser le bas-ventre d'Asami, et plus précisément son mont de Vénus, vierge de tout poils, terriblement doux, qui était comme l'autoroute descendant ensuite vers le saint graal de l'entrejambe d'Asami. Seulement, à force de déposer des baisers et de se rapprocher de son intimité, Kenji sentait Asami fébrile, ce qui lui sauta de plus en plus aux yeux à mesure qu'il avançait.
Asami ça...ça va ? Je m'y prends pas bien ?
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Les parents d’Asami auraient dit que la jeune fille avait besoin d’un homme pour la redresser, pour la recadrer. Petite, elle avait toujours été comme ça. Une fonceuse qui adorait les défis, qui ne se refusait rien. Et, avec les années, cette facette de sa personnalité s’était accentuée, se réfugiant dans le sexe. Brad était, ainsi, selon eux, l’homme parfait. En réalité, loin de la recadrer, il était surtout un frein, et c’était pour ça qu’Asami avait étudié Kenji, afin de s’assurer qu’il soit un parfait amant. Les filles recherchaient toujours un homme viril, bien bâti, qui les protègerait et veillerait sur elle. Asami, elle, c’était l’inverse. Ce qu’elle voulait, c’était un soumis, un jeune homme transi d’amour qui ferait tout pour lui plaire, et la suivrait dans ses fantasmes très osés. En ce point, Kenji était donc l’homme idéal.
Nu, l’homme s’approcha donc, rigolant suite à la provocation d’Asami... Mais jusqu’à quel point la femme plaisantait-elle ? Difficile de savoir, avec Asami, qui était totalement imprévisible. Elle n’avait pas encore tout révélé à Kenji, car elle sentait que, derrière son amour, le jeune homme était surpris par toute cette perversion. Asami n’était pas stupide, elle voyait bien que, dans le fond, Kenji était, si ce n’est déçu, au moins décontenancé par cette facette de la personnalité d’Asami. Elle y allait donc progressivement avec lui, afin de le corrompre, en partant du principe que, étant un homme, par définition, il aimerait bien les trucs pervers et osés. Quel mec ne rêverait pas d’avoir une petite copine bien perverse, rien que pour lui ? Asami se voyait juste comme une femme lucide, et non ces hypocrites mal baisées qui passaient leur temps à gloser sur l’inutilité du sexe, afin de mieux masquer leur manque. Elle, elle voulait vivre une vie pleine de passion et d’énergie, et n’avoir aucun regret. Pour ça, il fallait donc satisfaire ses multiples fantasmes.
Elle se mordilla donc les lèvres en voyant l’homme se rapprocher, et sourit en voyant que sa queue avait bien décru.
*Tout ce qu’il lui faut, c’est un coup de langue magique made by Asami...*
Asami se coucha sur le dos en écartant les jambes, pendant que Kenji la rejoignait. Le bureau était plutôt grand, ce qui permettait aux deux amants de s’allonger. Tout, ici, était fait pour exciter au mieux la jeune lycéenne. D’une part, ils allaient coucher sur le bureau du prof’, et, d’autre part, Kenji allait satisfaire l’un de ses fantasmes. Avec un amant aussi peu imaginatif que Brad, qui faisait l’amour, soit en levrette, soit en missionnaire, les choix étaient peu nombreux. Il n’avait jamais fait de cuni’ à Asami, et, donc, jamais de cette fameuse position, qui l’avait toujours excité.
Elle salivait donc sur place en voyant Kenji se déplacer, et releva ses mains, caressant avec ses doigts sa virilité, et l’aida à se rapprocher, le corps de l’homme s’abaissant lentement sur le sien. Ses mains se crispèrent ensuite sur ses hanches, et elle les déplaça sur ses fesses, fébrile. Kenji embrassait sa peau, et, en se rapprochant de son sexe, il commença à percevoir le trouble, et, alors que sa queue décrivait des mouvements de balancier devant le nez d’Asami, choisit de la provoquer en lui demandant si elle allait bien.
Pour réponse préliminaire, elle lui donna une petite gifle, et lui répondit ensuite, en comprenant son désarroi.
« Kenji... Tu ne vas sûrement pas me croire, mais... Ce que je vis, là, c’est encore mieux que quand j’ai perdu ma virginité. Si seulement je t’avais connu avant, je l’aurais perdu avec toi, mon chéri. Mais, si cela peut te rassurer, sache qu’aucune langue ne s’est jamais glissée dans ma chatte. »
Il y avait donc, de ce point de vue-là, une virginité relative à lui prendre.
« Je veux que tu me lèches bien, Kenji... Et je veux que tu t’allonges bien sur moi, que tu enfonces ta queue aussi loin que possible en moi. »
C’était ses ultimes ordres, et elle adorait ça. Jouer la Maîtresse, former sexuellement le jeune homme au plaisir et au désir. Elle soupira donc, et releva un peu la tête, léchant l’extrémité de ce sexe.
« Vas-y, Kenji... Unis-toi à moi. »
L’homme s’enfonça en elle, et elle posa ses mains sur chacune de ses fesses, se crispant dessus, et ferma les yeux, en gémissant de plaisir quand cette queue s’enfonça en elle. Ça, la fellation, elle connaissait bien, car Brad aimait qu’on le suce... Comme tous les hommes, en fait. Fort heureusement, elle aussi, elle adorait, mais là... Là...
Il fallait aussi tenir compte du fait qu’elle n’avait pas joui quand Kenji l’avait pénétré sur la table, ce qui faisait qu’elle était bien chaude, et, quand l’homme glissa sa langue, la mouille d’Asami afflua sur ses lèvres.
Cette fois, elle allait lui offrir un bel orgasme.
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La légère gifle qu'Asami lui donna suite à sa question le perturba, et pendant un moment il avait vraiment cru faire quelque chose de très mal, sans pour autant savoir quoi. Et oui, on ne pouvait pas effacer comme ça des années à se sentir un peu mal dans sa peau et à manquer de confiance en soit, surtout que Kenji était pleinement en territoire inconnu ici, et il agissait juste à l'inspiration et en improvisant complètement ce qu'il faisait. Toutefois, Kenji se trouva rapidement rassuré, mais aussi surpris, quand Asami lui avoua qu'elle était un peu fébrile car c'était la première fois qu'on allait lui faire un cunni'.
Attends, sérieux ?
Pour le coup, Kenji était vraiment surpris d'apprendre qu'elle n'avait jamais eu droit à ça. Pour Kenji, qui ne voyait pas son plaisir qu'à travers le sien, mais aussi et surtout au travers de celui de sa partenaire, il lui avait semblé pourtant évident que Brad lui aurait rendu la pareille de ses fellations. Quand Asami lui avait proposé de le sucer, tout à l'heure, le fait de lui rendre la politesse s'était instantanément imposée à lui. Il n'y croyait pas, mais Asami avait l'air bel et bien sérieuse sur ce sujet, aussi lui donna-t-elle de nouvelles instructions d'une voix qui trahissait clairement une grande excitation. Et, veillant à l'encourager, Asami redressa sa tête pour aller lécher le bout de son sexe, qui en sentant le contact de sa langue mais aussi de ses doigts, était en train de se dresser à nouveau.
Okay...je vais faire de mon mieux.
En posant ses mains sur l'arrière des cuisses d'Asami, pour les conserver écartées, Kenji rapprochait son visage de l'intimité de la jeune femme, tandis qu'en même temps il abaissait son bassin pour glisser sa queue dans la bouche ouverte d'Asami, qui se mettait à le sucer. Vu que la lycéenne avait ses mains posées sur les fesses de Kenji, cette dernière était libre d'inciter les mouvements qu'elle voulait de la part de son partenaire, ainsi que leur profondeur, et le jeune homme se mit à longuement soupirer quand Asami se mit ainsi à le sucer gouluement. Lui, regarda un moment son intimité épilée, si attirante, et se demandait comment en voyant ça on ne pouvait pas avoir envie de s'y fourrer. Lui en tout cas, n'allait certainement pas bouder son plaisir, et en utilisant les doigts de ses mains pour écarter un peu les lèvres intimes d'Asami, Kenji fourra ses lèvres dans l'intimité de la belle, et entreprit littéralement de lui lécher la moule.
Le jeune homme se mit donc à goûter la mouille de son amoureuse, qui tout en le suçant en retour, semblait gémir de plaisir à la délicate sensation de cette langue parcourant son trou intime. Kenji avait beau ne pas être expérimenté sur le sujet, les hentai et le porno lui avait donné une éducation vaguement théorique sur comment faire, et eut ainsi le bon réflèxe de chercher le clitoris de sa chérie, qu'il pensa trouver quand cette dernière se tendit d'avantage à l'occasion d'un coup de langue, qui produisit le même effet une fois répété. Le simple fait de sentir sous lui Asami se courber de plaisir, un plaisir qu'il lui prodiguait lui, l'encourageait à continuer, et ainsi quand sa langue trouva son bouton de plaisir, il ne s'en décala pas, et le lécha amoureusement. Se sentant l'âme aventurière, kenji glissa même un doigt dans la chatte d'Asami, sa petite copine. Tout en lui léchant la chatte, Kenji la doigtait, et sentir son doigt s'enfoncer dans cette antre humide et toute chaude, produisant des petits bruits de succion quand il remuait ce doigt, l'excitait au plus haut point, sans compter le fait qu'Asami était en même temps en train de lui faire une fellation d'experte.
Plus en bas, Kenji percevait parfois le petit trou étroit, et vierge, de l'anus d'Asami, et même si il n'était pas encore question de s'attaquer à ce morceau...il espérait, si les choses se passaient bien, qu'il aurait l'occasion aussi de la prendre par là. Quand Asami lui avait avoué qu'elle aurait aimé perdre sa virginité avec lui, Kenji s'était senti revigoré, et ça se sentait à la façon dont il léchait avidement l'intimité de la jeune femme. Bien qu'inexpérimenté, Kenji compensait en partie par le fait qu'il soit très attentif aux réactions de son amante, notant les fois où elle semblait plus se cambrer de plaisir, afin de répéter ce qui lui avait fait plaisir encore et encore. Il voulait concrètement la faire jouir, et boire sa mouille, l'entendre gémir tandis qu'elle se cambrerait, tout en lui suçant la queue. Peu bavard en l'état, Kenji ne faisait pas décoler ses lèvres de l'intimité de sa belle, et sa langue inquisitrice jouait et roulait sur son clitoris, tandis qu'il venait de rajouter un deuxième doigt dans le vagin de la jeune femme.
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On ne pouvait pas faire totalement abstraction des sentiments non plus. Apprendre qu’Asami n’avait jamais senti la moindre langue dans son vagin, c’était une information que le brave homme avait visiblement retenu. Tendue, sa queue s’enfonçait dans la bouche d’Asami, pour le plus grand plaisir de cette dernière, qui accueillait ce membre de manière la plus naturelle au monde, en soupirant, en gémissant, crispant ses mains sur ses fesses, et en léchant son membre. Sa langue filait dessus, mais il fallait admettre que la position était assez inédite pour elle, et qu’elle avait du mal à se concentrer, car, pendant ce temps, son ventre tapait contre celui de l’homme, et elle sentait la langue de Kenji filer dans sa cavité buccale, écartant ses lèvres, se régalant de sa mouille. Ce n’était clairement pas aussi intense qu’une queue bien tendue et bien grosse, mais... Bien loin, très loin, d’être désagréable.
« Mmmhmmmm... »
Soupirant de plaisir, Asami laissait cette queue s’enfourner en elle, son esprit étant surtout concentré sur les intenses mouvements de Kenji. Il la léchait amoureusement, férocement, allant jusqu’à glisser un doigt en elle, l’amenant à se tortiller, ses pieds tapant contre le rebord du bureau, la femme clignant des yeux à de multiples reprises en sentant l’homme continuer à la lécher. Imperturbable, Kenji continuait à se montrer un amant passionné, encore et encore, les coups de langue s’accentuant en elle. La jeune Asami ne pouvait que soupirer de plaisir, et Kenji put sentir ses mains pincer ses fesses, se contractant quand le plaisir croissait, encore et encore.
Elle soupirait, gémissait, laissant l’homme remuer ses hanches, Asami soupirant contre sa queue, yeux clos. Les sensations qu’elle percevait étaient uniques, intenses, et, sous ce rythme, elle se sentait, peu à peu, basculer. Sans rien pouvoir faire d’autre, la jeune lycéenne finit ainsi par s’offrir à lui, et, au bout d’un laps de temps plus rapide que ce qu’elle aurait pensé, son corps plia pour de bon, et la mouille éclata contre les lèvres de Kenji. Elle eut un orgasme, qui la fit encore soupirer, son corps remuant faiblement sur le bureau. Elle se laissait porter par cette vague, sans chercher à la retenir.
« Hmmmm... »
Après cet orgasme, elle recommença à lécher le sexe de l’homme, et déplaça l’une de ses mains, l’approchant de son visage, s’en servant pour caresser les testicules de Kenji, son autre main s’appuyant sur lui, ses ongles se rapprochant de sa croupe, comme un signe annonciateur des prochaines séquences à venir... Mais, pour l’heure, Asami flottait sur un petit nuage, sa mouille recouvrant le bureau du professeur, après avoir éclaté sur le visage de Kenji, et elle voulait, pour l’heure, sentir cette belle queue en elle.
Si les femmes trouvaient la fellation avilissants, Asami, elle, aimait vraiment ça. Sentir ce gros mandrin en elle, cette énorme sucette juteuse pleine de chair, c’était un bonheur peu commun. Elle se régalait de la sentir en elle, et appuyait parfois sur le bassin de Kenji, utilisant alors les deux mains, pour que son mandrin s’enfonce dans sa gorge, la faisant couiner et gémir.
Pour le coup, elle était sous le corps de l’homme, et laissait donc Kenji décider quand il voudrait se retirer, mais, pour l’heure, elle adorait énormément sentir ses coups de langue, et constater qu’il semblait très occupé à boire sa mouille.
C’était tout simplement très excitant.
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Tout en ayant parfaitement conscience de ce qu'il faisait, Kenji en était parfois à se demander si il n'étais pas dans une sorte de rêve, ou une autre connerie du genre. Il n'y avait là que son sens du toucher, très sollicité, qui était là pour lui rappeler en permanence que non, il n'était pas en train d'halluciner, mais bel et bien en train de faire l'amour avec Asami.
Kenji compensait son inexpérience par une réelle envie de bien faire, et un amour ardent pour la jeune femme, qui était de fait désormais sa petite amie. Kenji ne doutait nullement que ça ne serait pas facile, surtout les premiers mois où ils devraient se voir en cachette...mais honnêtement, c'était quelque chose qu'il était prêt à endurer, à défaut de pouvoir vraiment se défendre contre Brad, le désormais ex petit ami d'Asami.
Mais pour le moment, ces considérations futures étaient loin, bien loin de la tâche actuelle de Kenji, qui accaparait la totalité de sa concentration: le cunni' qu'il était en train de prodiguer à Asami. A force de tatonner, il avait plus ou moins fini par voir à quels endroits ses coups de langue la faisaient plus vibrer, et c'est par cette exploration minutieuse que le jeune homme avait pu mettre le doigt, ou plutôt la langue, sur le trésor caché d'Asami, son clitoris. Une fois qu'il l'eût trouvé, ses coups de langue s'étaient focalisés dessus, et suite à ça, et bien il ne lui fallu que peu de temps pour la faire grimper aux rideaux, et lui offrir un bel orgasme.
Surpris par le premier jet de mouille quand elle se tendit finalement, Kenji se rattrapa bien vite en collant sa bouche contre l'intimité de la jeune femme pour boire les effusions de son jus intime, qu'il adorait boire. Pas forcément du fait du goût, qui était plutôt neutre, mais bel et bien car c'était le signe qu'elle était en train de jouir, et de fait, qu'elle était en train de jouir grâce à lui et contre lui. C'était ça, le fait qu'il en soit le responsable, qui lui avait donné envie de se fourrer tout contre l'intimité de la belle, de sentir son visage pris en étau entre ses cuisses, dans un cocon de chair et de chaleur féminine.
A cet instant, Kenji sentit son ego prendre du galon, ce qui n'était pas arrivé depuis très longtemps.
Une fois la vague passée, Asami s'était alors remise à lécher son sexe, puisqu'ils étaient en position de 69, avec Kenji sur le dessus. Même après avoir joui une première fois, Asami faisait ainsi part de son envie de continuer, car la verge de Kenji était elle encore toute tendue. Gémissant et grognant un peu tandis qu'il achevait de lécher la mouille de la jeune femme, Kenji se trouva pris face à un dillème de taille, et deux envies...continuer à se faire sucer, ou retourner visiter l'antre chaude et humide d'Asami ?
Le fait, le simple fait, d'avoir ce genre de choix à sa disposition, était en soit déjà terriblement grisant, mais il lui fallait choisir. Il finit donc par doucement se retirer, et revint se joindre à Asami en venant doucement s'allonger sur elle.
Bon...ben j'aurais au moins réussi à te faire jouir une fois on dirait...
Souriant un peu bêtement, Kenji était dans un sens vraiment fier de lui, car il considérait un peu ça comme un exploit. Délicatement allongé sur elle, il se maintenait toutefois à l'aide de ses bras, posés sur le bureau de part et d'autres d'Asami, un peu relevé de façon à ne pas l'écraser...même si concrètement Kenji était sans doute d'avantage un poids plume qu'Asami qui était contrairement à lui sportive.
Il avait choisi de prendre cette position, s'apprêtant à la pénétrer à nouveau, car il pouvait la voir. Son visage un peu couvert de sueur, son regard plein de malice.
*Et elle est ma petite amie...ma petite amie...*
Il commençait doucement à s'en rendre compte, et cette pensée l'ammena de façon assez soudaine à aller l'embrasser, tout en retournant s'enfoncer en elle.
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Ensemble, ils allaient former un magnifique couple. Bien sûr, il faudrait attendre quelques semaines, le temps qu’Asami se débarrasse de Brad. L’homme tenait beaucoup à sa réputation, et il fallait donc laisser un moment de latence, attendre qu’il se trouve une nouvelle copine. Autrement, si la rumeur glissait qu’Asami avait largué Brad pour ce nullos de Kenji, son amant risquait de subir les attaques de Brad... Et ça, Asami ne le voulait pas. Tout ce qu’elle souhaitait, c’était faire l’amour avec Kenji, encore, encore et encore. Elle voulait corrompre ce beau romantique, donner à sa romance un zeste important de perversion, et faire de lui le parfait petit soumis. Kenji était à la hauteur de tout ce qu’Asami souhaitait, et elle ne comptait donc pas le laisser partir si facilement.
Kenji venait de la faire jouir, et se retira, refusant visiblement de jouir dans la bouche de sa copine, et préféra viser autre chose. Il se déplaça sur le bureau, et approcha son visage de celui d’Asami. La belle lycéenne lui fit un ravissant sourire, et remonta sa main, venant caresser son visage, puis leurs lèvres se collèrent ensemble, dans un tendre et sensuel baiser.
« Hmmmm... ! »
Le baiser se rompit ensuite, et Asami lui offrit un tendre sourire, caressant encore son visage, se mordillant les lèvres. Elle sentait la verge de l’homme glisser contre ses lèvres intimes, et comprit ce qu’il avait en tête, ce qu’il désirait faire. Elle lui sourit donc, et l’embrassa encore, puis lui fit signe de venir, déplaçant sa main pour la poser sur ses fesses.
« Viens... Viens en moi, Kenji... »
Et il vint donc, s’enfonçant d’un coup en elle, sans guère attendre. Asami l’avait bien préparé, et sa verge, recouverte de la salive de sa chérie, était bien tendue. Un épais mandrin de chair se planta ainsi dans son corps, et un long soupir de plaisir s’échappa des lèvres d’Asami, qui ferma les yeux, gémissant encore, et laissa l’homme remuer en elle. Le corps de Kenji se retira, puis s’enfonça encore. Des couinements de plaisir s’échappèrent des tendres lèvres d’Asami, qui se tortillait sur le bureau, en sentant son amant venir en elle, encore et encore, agissant de plus en plus rapidement, au fur et à mesure de son excitation grandissante.
Les deux amants continuèrent à danser ensemble, et Asami posa une main sur la nuque de l’homme, et l’autre, toujours sur ses fesses, commença à le palper amoureusement, glissant sur lui, tapotant ses belles fesses. Elle caressait sa croupe, grattant ses fesses, et alla jusqu’à glisser un doigt dans son fondement, tout en soupirant encore.
« Làààà... Ouuuiii... Hmmmm... En-Encore, haaaa... Encore, Kenji, ouiiiii... Haaaaaaaaaaaannnn... !! »
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Kenji avait compris au cours de ces dernières heures pourquoi le sexe était un acte unanimement recherché par autant de personnes sur la planète, et il avait la confirmation du pourquoi maintenant qu'il s'était de nouveau enfoncé dans l'intimité d'Asami...c'était...c'était l'acte le plus agréable qu'il aie jamais ressenti. Bien entendu, en pleine période d'adolescence, Kenji avait vu l'émergence de ses premiers émois, et avait l'historique de son ordinateur rempli de liens vers des sites à caractère pornographiques. Il s'était masturbé à de multiples reprises sur des images, des vidéos, ou même des textes érotiques, mais il se rendait compte à présent à quel point tout ce qu'il avait pu essayer n'était rien en comparaison de cet acte là, faire l'amour avec une fille dont on était éperdument amoureux.
A...Asami...Haaaaaan...
Kenji remuait son bassin, et s'enfonçait pleinement dans l'intimité d'Asami tout en se collant à elle. Il était en position de missionnaire, un classique parmi les classiques, mais vu que Kenji était ily a peu un puceau, cette position conservait chez lui toute son attraction puisque c'était la première fois qu'il la pratiquait.
Le jeune homme transpirait un peu sous l'effort qu'il devait fournir pour remuer son bassin tout en restant au dessus d'Asami, mais il se découvrait des forces nouvelles du fait de son excitation, et du plaisir inouï et inédit qu'il ressentait. Jamais son sexe ne lui avait prodigué autant de plaisir qu'en se fourrant dans l'intimité humide d'Asami, qui l'enserrait avec ses douces parois et provoquaient un délicieux frottement à chaque fois qu'il s'enfonçait en elle, et ce de plus en plus rapidement. Et puis, il aimait cette position pour le simple fait de l'avoir en face delui, de voir les mimiques du visage d'Asami pendant qu'il faisaient l'amour, de la voir prendre sincèrement du plaisir à coucher avec lui. Pour Kenji qui mettait le plaisir de sa partenaire largement au dessus du sien, c'était même quelque chose de fondamentalement important.
Kenji se sentait aussi tout particulièrement excité par la main d'Asami qui s'était posée sur ses fesses pendant qu'il était en train de la pénétrer, et alors qu'elle massait son petit cul, Kenji fut complètement pris par surprise quand, sans prévenir, la jeune femme glissa son majeur dans son anus.
Aaaaaaah ?!?!
Surpris, Kenji poussa une légère exclamation d'étonnement...et de plaisir, ce qui ne pouvait clairement pas échapper à Asami. En effet, alors qu'elle commença à remuer son doigt dans son cul, la jeune femme ne pourrait pas ne pas constater que Kenji ne se braquait pas, et même au contraire semblait prendre un plaisir qui, bien qu'il soit inédit, lui était aussi fort étrangement...familier.
De là, il n'y aurait qu'une seule conclusion à en tirer, et Kenji comprendrait vite qu'Asami aurait compris par le biais de son regard...le fait que ce n'était pas la première fois que le jeune homme recevait quelque chose dans ses fesses pour son propre plaisir.
Kenji s'en trouva terriblement gêné, mais il était aussi bien incapable de s'arrêter en plein élan, d'autant que le délicat doigtage de son anus par Asami sembla le faire bander encore plus dur si c'était possible. La jeune femme de fait était en train de titiller avec son doigt la prostate de son amant, qui n'était de plus visiblement pas un complet étranger au plaisir anal. Le fait était que Kenji ne lui demanda pas de retirer son doigt, et la prit même au contraire avec une vigueur renouvelée et renforcée, au point que ses coups de bassin faisaient légèrement bouger le bureau à l'occasion.
Face à ce traitement, le pauvre Kenji ne parvint pas à se retenir très longtemps de jouir. Il avait compté sur le fait qu'il aie eu un orgasme il n'y a pas si longtemps pour pouvoir tenir plus longtemps, mais ça avait été de fait sans compter sur la malicieuse Asami...il n'avait tout simplement pas anticipé le fait qu'elle vienne le doigter, ce qui provoqua chez lui une hausse aussi subite que significative de son plaisir.
Il se fourra dans un dernier mouvement de bassin au pus profond de l'intimité d'Asami, et se laissa s'allonger sur elle en se collant tout contre son corps, et en collant son visage contre le creux de son cou pour étouffer un peu ses gémissements. Et juste à l'oreille, ces gémissement n'étaient pas si éloignés de ceux que pourraient pousser une jeune femme...
L'orgasme de Kenji fut toutefois plus long et plus intense que le précédent, et il se vida pendant une bonne vingtaine de secondes en jutant une grosse quantité de sperme dans l'intimité d'Asami. Il était heureux que la jeune femme prenne la pillule, car dans le cas contraire elle serait très probablement tombée enceinte. Kenji demeura ensuite un long moment contre Asami, la respiration lourde, puis il se retira doucement d'elle.
Au moment où son sexe quitta le délicieux fourreau de l'intimité d'Asami, un gros filet de sperme s'échappa alors du vagin de la belle, coulant depuis son antre intime pour filer entre ses fesses et sur son anus, avant de finalement couler sur le bureau.
D...désolé je...
Kenji était de fait rouge comme une tomate. Impossible de cacher qu'il avait pris un plaisir bien supérieur du fait qu'elle lui avait doigté le cul, ce qui était pour ainsi dire impossible à obtenir dans cette proportion pour une première fois.
Et pour être honnête, il avait un peu peur de sa réaction quand elle apprendrait la raison, et le grand secret de Kenji.
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Kenji et elle étaient en train de faire l’amour, et Asami sentit clairement l’excitation de son amant croître quand elle enfonça un doigt dans ses fesses. Et la sienne crut aussi... Asami avait toujours ressenti d’inexplicables attirances pour tout ce qui traitait à l’anal, mais, la seule fois où elle avait voulu doigter Bran, il l’avait repoussé. Bran faisait partie de ces hommes qui adoraient sodomiser les filles, mais sûrement pas l’inverse, au grand dam d’Asami, qui, elle, adorait glisser ses doigts dans ces trous sinueux. Le fait est qu’elle n’avait même pas consciemment envisagé de glisser son doigt dans l’anus de Kenji, elle l’avait fait... Instinctivement. Elle enfonça son doigt, et vit ce dernier se crisper, avant de rougir, et de couiner plus fort, ses gémissements prenant une allure terriblement féminine, et...
...Et, en fait, maintenant que Kenji dansait sur elle, avec ses mèches de cheveux qui remuaient, ses mains se crispant sur elle, et le plaisir qui s’emparait d’eux, Asami lui trouvait un air... Furieusement féminin. Elle avait déjà inconsciemment noté cela, mais là, si proche de lui, avec la chair qui claquait contre la chair, elle remarquait que, en réalité, Kenji était un homme terriblement efféminé. Asami ne l’avait pas spontanément réalisé, car, généralement, Kenji s’isolait, parlait peu, et dissimulait son corps derrière un uniforme large... Mais là, maintenant qu’il était nu, qu’il couinait, gémissait, il ressemblait vraiment furieusement à une fille.
« Ke... Kenji, haaaa... »
Asami remua plus nerveusement son doigt, en sentant des fantasmes éclater dans son esprit, qui la firent mouiller, provoquant en elle une rafale de séquences chaudes. Son corps frémit, sa main se crispa sur la nuque de l’homme, et elle l’embrassa goulûment, en se hissant. Sa langue se fourra dans sa bouche, puis elle laissa ensuite Kenji continuer à la prendre, enfonçant plus profondément son doigt en lui, crispant sa main sur sa peau. Le brave homme se dandinait contre elle, soupirant, gémissant, les joues toutes rouges. Il eut un orgasme en pensant à ce doigt tripatouillant son fondement, elle en eut un en sentant ses fantasmes s’amplifier.
« Aaaaaaahhh... !! »
La jeune Asami eut un nouvel orgasme, particulièrement impressionnant. Tout son corps se crispa sur le bureau, et Kenji se vida également en elle. La jeune femme sentit son sperme affluer en elle, encore, encore et encore, Kenji s’excitant frénétiquement sur elle. Il se vida longuement, avant de, peu à peu, ralentir les mouvements, son corps se détendant progressivement. Kenji soupirait lourdement, et Asami papillonnait des yeux, la respiration également lourde et pantelante. Il était dressé au-dessus d’elle, les cheveux en bataille, et Asami, conservant jusqu’à présent don doigt en lui, le retira, et lui sourit.
Quelques secondes passèrent, leurs jambes entremêlées se caressant, le sperme de l’homme ressortant de sa chatte pour couler sur le bureau. Elle se pinça alors les lèvres, et, quand il s’excusa, elle posa son doigt sur ses lèvres. Ce n’était pas n’importe quel doigt, c’était celui qui s’était enfoncé en lui.
« Désolé d’avoir jouir en moi ? Tu aurais dû être désolé si tu n’avais pas joui, mon chéri... À moins que... Que tu ne sois désolé d’avoir laissé ce doigt s’enfoncer en toi, hum ? »
Sa voix était légèrement fatiguée, et Asami reprenait son souffle, mais enfonça malgré tout ce doigt dans la bouche du jeune homme. Elle sentait encore sa verge contre ses cuisses.
« Chaque fois que je glissais mon doigt dans le fondement de Brad, il me repoussait toujours... Moi aussi, Kenji, j’adore tout ce qui a lieu à l’anal, mais j’adore surtout explorer le cul de mes amants... Et le tien est très propre, et très tendre... »
Elle tourna lentement son doigt dans sa bouche, et l’enfonça un peu, avant de le reculer. Un léger sourire perlait sur les lèvres d’Asami, qui releva son autre main, et caressa tendrement son visage.
« Au contraire, Kenji, tu devrais te sentir honoré, car tu m’as donné une idée... Une idée pour que nous soyons ensemble, que nous sortions tous les deux sans craindre la jalousie de Brad. Enfin... Je devrais plutôt dire... Toutes les deux. »
Le sourire d’Asami s’accentua à nouveau, et une lueur coquine brillait dans ses yeux.
« Est-ce qu’on t’a déjà dit, Kenji, que... Que tu ressemblais beaucoup à une fille ? Quand tu as joui, j’ai fermé les yeux, et... J’avais l’impression d’entendre une fille couiner, c’était... C’était très mignon, en réalité ! »
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Asami sembla pleinement satisfaite de la réaction de Kenji, et ne s'offusqua absolument pas qu'il n'aie pas duré plus longtemps que lors de leur premier rapport. Pour sa chance, Kenji avait senti sa copine jouir en même temps que lui, il était donc satisfait de ce côté là, l'équilibre ayant été atteint. Pour autant et bien...il était gêné, même si Asami elle était absolument comblée, comme elle le lui rapporta. Brad, son désormais ex petit ami, même si elle devait encore le lui dire, n'acceptait pas qu'elle le doigte comme elle venait de le faire avec Kenji. Une information qui ne surprit guère le jeune homme, qui en reprenant son souffle, prit une place assise sur le bureau de leur prof. Il faudrait le nettoyer avant qu'ils ne partent, car Asami avait bien joui, en plus du sperme de Kenji, dont le trop plein s'écoulait depuis son intimité.
Et puis...Asami sembla lui faire part d'un début d'idée pour afin qu'ils puissent sortir ensemble, même sous les yeux de tout le monde, et Kenji dégluttit en semblant comprendre à quoi elle pensait.
Je...tu peux garder un secret Asami ? Un très gros secret...je suis sérieux, si jamais ce que j'vais te montrer venait à tourner, ma vie serait plus ou moins foutue, même si je peux difficilement tomber plus bas.
Kenji fouillait en même temps dans son sac, qu'il avait posé pas très loin, les mains fébriles. Une petite voix dans sa tête lui disait qu'il était fou de faire ça mais...et bien Asami avait pris un risque équivalent en le laissant prendre une photo d'elle lui montrant son décolleté, il se disait presque d'un côté, ça équilibrerait la balance. Il sortit son portable, le dévérouilla, puis accéda à un fichier photo qui nécessaitait l'entrée de deux mots de passe, ainsi que l'utilisation d'une appli' pour scanner son empreinte digitale...puis il montra alors l'image à Asami...rouge comme une tomate.
Sur cette photo, Kenji avait pris son reflet dans un grand miroir en photo et...et bien Asami comprendrait immédiatement pourquoi Kenji avait pris autant de précautions pour dissimuler cette image.
Il s'y trouvait cosplayé en fille neko, dans une tenue de maid. Il y avait tout, les fausses oreilles, le léger maquillage, la tenue intégrale de maid avec la robe, les gants et les collants, et aussi ce qui semblait être une fausse queue caudale qui semblait trouver sa base dans le bas du dos de Kenji.
C'est...c'est un plug, c'est pour ça que...enfin...que ça tiens mais...t'a probablement du le deviner...
Kenji s'était presque attendu à ce que Asami lui rie au nez, mais la vue de cette image semblait, au contraire, plutôt l'enjouer. Dessus, Kenji ressemblait terriblement à une fille.
Ma...ma mère est tombée dessus, juste avant la rentrée...c'est pour ça que j'habite dans une chambre étudiante...mes parents ne veulent plus me voir, ils ont juste étouffé l'affaire pour pas que le reste de ma famille le sache mais...enfin tu vois comment peuvent être deux parents très traditionalistes.
Une très mauvaise expérience, à n'en pas douter, qui expliquait encore plus pourquoi Kenji était du genre assez solitaire, avec ce genre de poids sur la conscience.
Et tant qu'ils y étaient, ils m'ont balancé pas mal de trucs à la figure, au sens propre comme figuré, dont le fait que je suis né hermaphrodite...un cas rare, mais qui explique pourquoi...ben je ressemble pas mal à une fille.
Kenji semblait avoir en tout cas bel et bien besoin de parler, et le faire avec quelqu'un qui semblait partager avec lui le fait de sortir de la "normalité", et qui semblait même fascinée par ça, lui faisait en effet du bien. Il sortit de son sac une paire de lunettes, le jeune homme portait des lentilles pour corriger sa myopie. Il apssa alors quelques secondes à se râcler la gorge...puis reparla.
Et aussi pourquoi je peux prendre une voix de fille qui je me concentre un peu dessus.
Disparue, la voix légèrement grave de l'adolescent, c'était une voix très douce, timide, et définitivement féminine qui sortait de ses lèvres.
Mais...tu penses quand même pas à me faire me travestir au lycée ? Jveux dire...si je me pointe au lycée en habits de fille...fin les profs devront quand même m'appeler par mon propre nom et...
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« Vu tout ce qu’on vient de faire, je crois que tu peux me confier tous tes plus grands secrets, mon chéri. »
Asami s’était rarement sentie aussi vivante, aussi excitée. Elle se pinça lentement les lèvres, continuant à détailler Kenji. Elle lui avait avoué toute la réalité sur l’état de son couple avec Brad. Ce n’était clairement pas l’amour fou. Le temps passa alors, Kenji tripatouillant sur son portable, pendant qu’Asami, joignant ses mains dans le dos, se demandait ce que l’homme cherchait. Mais, visiblement, il semblait encore plus gêné, à l’idée de lui montrer ça, qu’après tout ce qu’ils avaient fait. Ils venaient de s’envoyer en l’air dans la salle de cours, après tout.
Elle ne dit rien en voyant la photo, les yeux légèrement entrouverts. Kenji continua à lui parler, lui expliquant qu’il aimait se déguiser en fille, et s’était fait un magnifique cosplay de maid, avec des oreilles de neko, et...
*Un plug ?!*
Elle le regarda brièvement, les joues rougies, puis observa à nouveau la photo. Kenji lui expliqua que sa famille avait vu cette image, probablement en découvrant les factures du cosplay, ou tout simplement par malchance, et qu’ils avaient mal réagi. Asami hocha la tête, en voyant surtout là une magnifique opportunité. L’homme était né hermaphrodite, ce qui expliquait sa voix androgyne, et il continua en mettant des lunettes sur son nez, et en adoptant une voix plus efféminée. En fait... C’était littéralement une autre voix ! Ce n’était pas cette voix de crécerelle qu’un mec prenait en essayant d’imaginer la voix d’une fille, mais une véritable voix de fille, plus aigue, plus douce.
Kenji évoqua alors une possibilité, qui sembla sortir Asami de sa torpeur. La surprise dans ses yeux se mua en une lueur d’amusement, un regard vorace, et elle répondit rapidement :
« Moi ? demanda-t-elle, sur un ton faussement innocent. Je n’ai rien, c’est toi qui as évoqué cette possibilité... »
Elle se rapprocha alors de l’homme, et son sourire s’élargit, révélant ses dents blanches.
« Bon... Tu sais... Outre être la pom pom girl, je suis aussi membre du club social des Morimoto. »
Les Morimoto étaient l’une des plus riches familles de la ville, présentes depuis la fondation de Seikusu. Leur fille, Leona Morimoto (http://media.animevice.com/uploads/3/31804/544173-2222282_20.jpg), était lycéenne, et était la dirigeante du club social, le plus puissant club de Seikusu... Et elle était surtout une terrible perverse. Néanmoins, si Asami en parlait, c’était pour une raison bien précise.
« Je ne suis pas censée le dire, mais la spécialité des Morimoto est de falsifier les dossiers scolaires. Comme elles sont très proches de l’administration, personne ne regarde. Et je suis l’amie de Leona, alors... »
Asami sourit encore, se demandant si Kenji voyait où elle voulait en venir.
« Je ne pense pas à te travestir, non... Je pense à envoyer Kenji très loin d’ici, dans un autre lycée, et à faire entrer une fille à sa place... Une délicieuse fille à lunettes qui aime se travestir en maid neko... Et une fille face à qui Brad ne pourra jamais rien faire. »
La lycéenne sourit encore, et se rapprocha de lui, venant enrouler ses bras autour de son cou. Elle l’empêcha de parler en l’embrassant tendrement, pendant un certain temps, et reprit ensuite :
« Puisque tes parents se désintéressent de toi, c’est l’idéal. Si je me mets à sortir avec une fille, Brad me lâchera vite. Qui a envie d’être avec une gouine, hein ? Mais il va falloir qu’on t’entraîne, Kenji... Que tu sois une belle fille bien comme il faut. »
Asami trouvait cette idée géniale. Kenji avait vraiment eu une bonne idée de lui en parler !
« Oh oui, tu seras une délicieuse fille... Il va falloir te trouver un nouveau prénom... Ah, et... »
Elle sourit ensuite.
« Ton plug... Tu aimes te l’enfoncer dans les fesses, hein ? Je l’ai senti quand j’ai enfoncé mon doigt en toi... Tu l’as déjà mis plusieurs fois, n’est-ce pas ? »
-
Kenji n'avait jamais parlé à qui que ce soit de ce qui s'était passé, ni même de ce qu'ilaimait faire dans l'intimité...mais encore une fois, Asami et elle en étaient déjà au stade de partager beaucoup de secrets. Il disposait sur son portable d'une photo d'elle lui montrant fièrement son décolleté, et ils avaient couché à plusieurs reprises ensemble cette nuit, cocufiant de fait ce gros con de Brad. D'un point de vue purement pragmatique, Asami avait donc tout autant intérêt que lui à ce que tout ça reste uniquement entre eux deux, et pour Kenji, c'était un vrai poids en moins que de pouvoir parler avec quelqu'un de ses "kinks" qui sortaient de la norme, et qui ne la jugeait pas.
C'était même d'ailleurs tout le contraire. Initialement surprise, Asami changea bien vite d'attitude en semblant...ravie, que Kenji soit à l'extrème opposé de la normalité en terme de sexualité. Kenji était né hermaphrodite, et ses parents avaient choisi de le faire opérer rapidement...mais ce fait expliquait entre autres que le jeune homme aie des traits très fins, que la barbe n'allait jamais lui pousser sur le visage, et le fait qu'il pouvait prendre une voix clairement féminine...ainsi que probablement d'autres faits moins liés au physique. Aussi loin qu'il s'en souvienne, Kenji n'avait jamais été attiré par les activités ou le shabitudes à forte connotation masculine, par contre...il avait souvent porté des vêtements de fille en cachette, bien trop conscient qu'il n'était pas censé le faire, que c'était tabou. Il avait essayé depuis le début de l'année scolaire, après son accrochage avec ses parents, de refouler ça au plus profond de lui, mais ça le rendait malheureux et renfermé.
Mais Asami...elle, allait peut-être l'aider plus qu'elle ne le pensait.
Sa désormais petite amie lui parla de ses relations avec l'une des Morimoto, et surtout de l'influence que ces dernières pouvaient avoir au niveau administratif, un fait qu'il ignorait, mais qui était justement secret. Celà semblait fou...remplacer son identité, et mettre en scène un faux départ pour qu'il soit remplacé par une nouvelle, qu'il incarnerait...
Mais le pire, c'était que ça pouvait bien marcher. Avec ses lunettes, et sa voix transformée, Kenji se disait qu'il était déjà possible pour lui de se faire passer pour une fille, alors avec une coiffure un peu plus effeminée, quelques accessoires, et des vêtements féminins...
Asami en tout cas semblait bel et bien lancé sur cette idée, et Kenji était de toutes façons bien trop plongé dans ses propres réflexions pour songer à l'interrompre, même si il l'écoutait. Cela semblait tellement faisable, du coup, que le jeune homme malgré ses réticenses et sa peur, se sentait bien de sauter le pas. Après tout, ses parents avaient été clairs, ils subviendraient à ses besoins les plus essentiels jusqu'à ce qu'ils n'aient plus à le faire légalement, mais ne voulaient plus jamais le revoir ni entendre parler de lui...alors...qu'est-ce qu'il avait à perdre a finalement prendre une identité avec laquelle...elle se sentirait plus en accord ?
Depuis lors, Asami s'était rapprochée de lui, elle l'avait enlacée tout en l'embrassant, insistant sur le fait qu'il faudrait lui trouver un prénom...et revint sur le sujet de son plug, ce qui ne manqua pas de le faire rougir comme une tomate.
Et bien...o...oui...
Kenji se frotta l'arrière de la nuque avec la paume de sa main, visiblement gêné, mais néanmoins envieux de partager ça avec quelqu'un qui ne jugeait pas.
Je me souviens plus trop de comment ça m'est venu mais...ben c'est quand j'ai commencé mes premières masturbation que je me suis rendu compte que c'était encore meilleur. Puis avec internet j'ai appris le rôle de la prostate dans tout ça. T'sais finalement...les mecs sont ceux qui pratiquent le moins ce genre de trucs alors que...ben dans l'absolu on en tire encore plus de plaisir que les filles.
Kenji s'ouvrait, peu à peu. Ce n'était clairement pas évident pour lui, mais il avait envie de faire confiance à Asami, et vraiment, ça semblait lui faire du bien.
Mais ouais...j'aime beaucoup...j'en suis même plus tellement au stade de ressentir de la douleur, vu que je le met presque tous les jours, en rentrant chez moi. Mais sentir ton doigt c'était...c'était encore meilleur.
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Asamli sourit devant sa réflexion, et frotta son nez contre le sein.
« Oui... Les mecs sont malheureusement trop machos. Défoncer un cul ne les dérange pas, mais, dès qu’on inverse les rôles, leur instinct primaire de mâle néanderthalien s’y oppose. Je suppose... Que ça fait de toi encore davantage une fille. »
Kenji allait vite constater que, chez Asami, il y avait quelques principes simples. Quand la belle avait une idée derrière la tête, elle allait jusqu’au bout, et la faire changer d’avis n’était vraiment pas simple. Et là, en ce moment, l’idée de transformer Kenji en fille était une véritable idée fixe, dont elle commençait déjà à envisager les modalités... Ce qui ne manquait pas de l’amuser. Elle l’embrassa donc encore, et déplaça sa main, la posant sur la fesse de l’homme, pressant cette dernière.
« Pas de douleur, hein ? Ma foi, je dirais que je me dois de vérifier ça... »
Asami se déplaça alors, sur cette phrase énigmatique, et lui fit signe de la suivre. Ils sortirent de la salle, et rejoignirent rapidement les vestiaires. Chaque élève disposait de son propre casier, où on entreposait des livres, l’uniforme scolaire... Ou des affaires personnelles. Asami l’ouvrit rapidement, et farfouilla à l’intérieur, avant d’attraper un objet rosâtre, et se retourna, sourire aux lèvres. Il s’agissait d’une culotte rose en latex, qui présentait la particularité d’avoir un joli vibromasseur sur le devant, et un autre orienté à l’intérieur.
« Ça, c’est mon trésor personnel... Et je crois qu’il est tout indiqué pour toi, ma chérie. »
La jeune femme avait également d’autres trucs prévus, à long terme. Les Morimoto disposaient notamment de pilules hormonales très spéciales, qu’on ne trouvait nulle part ailleurs, et qui, chez les personnes hermaphrodites, stimulaient certains penchants sexuels.
« N’est-ce pas ? »
Elle lécha délicatement ce gode, avant de commencer à l’enfiler, et s’enfila le plug en elle, droit dans son vagin, soupirant et fermant les yeux à ce contact, avant de retrouver peu à peu ses esprits, et de lui sourire.
« Han, j’adore vraiment cette sensation... Et, puisque tu t’es vantée avec tant d’assurance devant moi, ma chérie, je n’ai aucune raison de me retenir... Je vais te défoncer le cul bien comme il faut ! »
Peut-être que Kenji voudrait une préparation avant ? Mais, d’un autre côté, comme il avait l’air de fréquemment s’enfoncer son plug dans le fondement, son cul devait se dilater très facilement. Le choix lui appartenait... S’il se décide vite !