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L’entrepôt sinistre se trouvait le long de la zone portuaire. Entouré par une clôture solide, le bâtiment était le long d’un quai, et de l’herbe sauvage poussait le long des pelouses l’entourant. Pour autant, il n’était pas vide, contrairement à ce qu’on pourrait penser de prime abord. Deux élégants vans noirs se tenaient à l’intérieur de l’entrepôt, et avaient délivré passage à de multiples personnes. Ils amenaient avec eux deux jeunes femmes paniquées, un bandeau noir autour des yeux, et les avaient attaché à de solides cordes en chaîne, avant de longuement les violer, à l’aide de drogues et de produits aphrodisiaques. Ils étaient une vingtaine d’hommes, des personnes musclées et solides, extrêmement bien baraquées, et bénéficiant eux aussi de drogues spéciales les rendant plus voraces. Quand ils les prenaient, tous leurs hormones explosaient, et ils devenaient alors de véritables bêtes sexuelles, des pervers affamés et sauvages. Ces deux femmes étaient les deux dernières femmes que le gang avait capturé. Un gang n’ayant aucun nom, même si la police enquêtait sur les vagues de disparition sévissant depuis quelques semaines.
Ils avaient, en tout, capturé une dizaine de femmes, des adolescentes qu’ils récupéraient à la sortie des discothèques, des night clubs, ou même des lycées. Ils étaient reconnaissables par leur haute carrure, n’hésitant pas à frapper les hommes accompagnant ces donzelles, et à les blesser sévèrement. Plusieurs étaient actuellement à l’hôpital, l’un ayant un traumatisme crânien après qu’une bouteille en verre lui ait explosé la tête. Les hommes avaient donc capturé toutes ces femmes, et les avaient emmené dans leur repaire, cet entrepôt, où ils les nourrissaient et les violaient tous les jours. Maintenant, la Cérémonie était arrivée, et toutes les femmes étaient sorties de leurs cellules, attachées sur des poutres autour d’un immense glyphe central, que plusieurs hommes avaient dessiné à la craie, en suivant les instructions du Grand Maître.
Le Grand Maître voyait tout ce qui se passait avec fascination. Les vingt hommes présents avaient tous des tâches réparties. La plupart couchaient avec leurs esclaves, et les autres traçaient prudemment les glyphes. Lui se tenait devant un piédestal, avec un énigmatique livre devant lui. Tous ces hommes étaient musclés, bien bâtis, nus, et au crâne rasé, avec des tatouages complexes filant le long de leur dos, de leurs hanches, ou même sur leurs visages, leurs bras, les épaules…
« Humm-hnnnn…
- Haaaa… Haaaaann !! »
Elles étaient prises tous les jours, et toutes les nuits. Des tournantes sans arrêt, les hommes utilisant des drogues spéciales, qu’on ne trouverait pas chez un dealer classique. Le Grand Maître avait fourni ces drogues, et elles venaient tout droit de l’Enfer, conçues par des alchimistes infernaux. Elles contenaient du sang de succube ou d’Incube, et rendaient les personnes complètement accroc au sexe. Elles se faisaient régulièrement prendre depuis plus d’une quinzaine d’heures, maintenant. Le Grand Maître les laissait faire, inhalant avec plaisir l’odeur permanente de sexe qui flottait dans la pièce.
Au bout d’un moment, le glyphe fut prêt, et il fit signe d’arrêter.
« Enfilez vos tenues de cérémonies, mes enfants… L’heure est venue. »
Épuisés, les hommes obtempérèrent, après quelques ultimes orgasmes, laissant des femmes totalement sonnées, pendouillant le long de leurs chaînes et de leurs bandeaux. Chacun enfila des robes noires en velours avec un capuchon triangulaire, et se glissèrent dedans. Les robes étaient ouvertes, permettant de voir leurs torses glabres et musclés, et leurs sexes. Le Grand Maître les laissa s’agenouiller tout autour du grand glyphe d’invocation, et lui prononça la mélopée figurant dans le livre.
Il n’avait pas été écrit en japonais, mais dans une langue antique, et, quand il se mit à parler, les lignes magiques tracées par la craie se mirent à s’illuminer, émettant une lueur rose agréable, chaude et vive. Du vent s’éleva alors, un vent chargé de luxure. La mélopée du Grand Maître monta, alors qu’il répétait les mêmes mots, encore et encore. Les minutes passèrent, et les hommes sentirent leurs érections revenir en force. Ils serrèrent les dents, bien conscients qu’ils allaient enfin avoir ce qu’ils voulaient, ce qu’ils désiraient tant, et qui les avaient amenés à suivre le Grand Maître.
La lumière explosa brutalement, et, dans un écran de fumée, une fine silhouette féminine apparut. Le Grand Maître soupira lentement, et fléchit les genoux, avant d’abaisser son capuchon, en voyant, peu à peu, les formes de la femme apparaître.
« Digne Succube… Nous cherchons à t’invoquer depuis des semaines… Nous avons réuni suffisamment de perversion et de Luxure ici pour que tu puisses sentir notre appel. »
Il s’éclaircit la gorge, avant de reprendre :
« Tous ces hommes ici sont des pervers… Des exhibitionnistes, des violeurs patentés… Ou de simples gigolos… Je les ai réunis ici pour qu’ils puissent tous goûter au corps des plus parfaites courtisanes de l’Enfer : les Succubes du clan Magoa ! »
Restait à voir si la Succube allait accepter cette invocation, maintenant… Même s’il était rarissime qu’un démon refuse de pouvoir se rendre dans les Plans Intermédiaires.
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Le sexe… Cette endroit empestait le sexe et la lubricité à plein nez ! Et dieu que cela lui plaisait… Cela faisait prêt d'une semaine qu'un groupe de petits humains avait dans la tête de l'attirer ici, capturant et violant de pauvre jeunes femmes innocentes sans relâche, ne leur laissant aucun répit et ce, tout en ne cessant de les droguer encore, encore et encore. Il y avait là tous ce qu'il fallait pour réussir l'invocation, la glyphe, les inscription, le livre… Ils avaient tout préparés très soigneusement, ne loupant aucune étapes sous peine de foirer l'invocation.
Et oui, car invoquer une démon (ou une démone) n'était pas toujours aussi simple que ce que les films et autres série montrais à la télé. Pire encore, une mauvaise invocation pouvant très facilement ce retourner contre son prêcheur, attirant alors un malédiction sur ce dernier ou le bien tuant, tout simplement. Un exemple concret étant les messes noires dites de « sang ». Ces dernières étant plus pour une invocation (ou l'offrande) d'un démon « guerrier » alors que les messes roses, comme c'était la cas là, avait-elles comme but d'invoquer (ou encore « d 'honorer ») une succube, un incube ou tout autre créature liée à la luxure et à la lubricité.
Enfin, toujours est il que le but de cet attroupement de pervers était d'attirer une succube, mais pas n'importe qu'elle succube… Une succube de la lignée des Magoa ! Une noble famille Démonique qui avait la farouche réputation de pondre de beaux et belles démones emplis de lubricité, des succubes et des incubes de premier choix et qui plus est, de sang noble.
Finalement, le but de tout cette perversité réunie vint à pointer le bout de son petit nez et ce, dans une grand flash suivit d'un mur de fumée qui dans sa dispersion laissa apparaître le corps de la jeune démone, fruit de tout ceci, fruit de la lubricité elle même, ils voulait une enfant de la luxure… Ils aller êtres servis !
La jeune démone était là, au centre de la Glyphe, les mains posées sur ses hanches, le regard espiègle dans lequel une lueur d'amusement briller. Finalement, ce fut l'un de ces hommes qui vint a parler au nom de tout les autres, expliquant à la succube pourquoi ils avaient fait tous ceci.
« Tous ces hommes ici sont des pervers… Des exhibitionnistes, des violeurs patentés… Ou de simples gigolos… Je les ai réunis ici pour qu’ils puissent tous goûter au corps des plus parfaites courtisanes de l’Enfer : les Succubes du clan Magoa ! »
La petite démone esquissa un petit sourire en coin, avant de longuement regarder l'attroupement d'hommes en rut qui s'offrait à elle. Doux jésus… Tout l'air était emplis d'un odeur de musc et de sexe qui fit légèrement frissonner la démone, avant que cette dernière, après quelque seconde de silence, ne vienne enfin prendre la parole.
« Hmmmmm… Je vois que ces messieurs ont bon goût en matière de succubes, j’ignorais que de simples humains connaissait le nom des Magoa et surtout, j’ignorais qu'il y en aillent de suffisamment capable pour mobiliser tant de moyen pour seulement, afin s'offrir le plaisir de goûter à la noble chair de mon clan… »
La jeune démone poussât un petit gloussement, avant de finalement ce présenter.
« Je suis Bafamelle Magoa, fille de Onixiane Magoa, grande matriarche des enfers et de Salabog XIII, Archiprêtre et proche conseillé de Lucifer… lachat elle alors avec une pointe de supériorité toute relative a son rang de démone. Mais… vous savez… »
La jeune démone s'avança alors lentement vers le gouroux, puis, du bout de sa queue elle vint à lui titiller le menton d'un air joueur.
« Invoquer ainsi une succube de mon rang a un prix, fuhu ! J’espère ne pas être déçue, mon bon monsieur, je suis du genre très gourmande en matière de paiement. » Finit elle part dire en ce reculant légèrement, reprenant sa place au centre de la glyphe, lançant au passage plusieurs coup d'oeil au membres qui l'entouraient. De beaux membres turgescents et avide de sexe, tous prêt à la prendre… Voilà ce qui l'avait attirée… Un jolie Gang-Bang, rien que pour elle ~♥
Bafamelle était espiègle, joueuse et un assez prétentieuse, elle avait sa petite fierté et était du genre chipie avec certaine de ses consœurs succubes, un peu comme une petite princesse que l'on aurait un peu trop gâtée. Enfin bon… La dite petite princesse, toujours au centre de la glyphe vint alors à lentement ce pencher, en faisant glisser ses mains sur ses cuisses, prenant appuie sur ses genoux tout en fouettant l'air avec sa queue.
« Mais… Peut être me suis-je trompée, peut être n'y a-t-il là qu'une bande faux mâles, un ramassis d'éjaculateurs précoces sous viagra… tsihihi ! ♥ »
Elle jouait avec eux, elle savait qu'elle aller prendre cher mais… C'était son petit caractère et aussi ce qui la rendait si… Hmmm… excitante !
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Le Grand Maître préparait ce plan depuis si longtemps… On aurait pu se demander si une telle stratégie, ayant uniquement pour but de coucher avec une succube, n’était pas un peu disproportionné. Pour le comprendre, il fallait comprendre la stratégie à long terme du Grand Maître. Il ne voulait pas juste que coucher avec une succube, même si, en l’état, il se satisfaisait pleinement de ce moment. Après tout, elle était une Succube, d’une beauté incroyable, et, maintenant qu’il était face à elle, l’homme ne pouvait que le reconnaître. Plus personne n’osait parler ni bouger, et, mis à part les gémissements assoupis des jeunes femmes prisonnières, le silence était d’or ici. La Succube était maîtresse en ces lieux, et, quand le Grand Maître sentit la queue caudale de la femme s’enrouler autour de son cou, il eut un long frisson, et sa verge l’élança à nouveau, douloureusement. Son membre tendu se redressait, et il ne cherchait nullement à le cacher. Bafamelle Magoa le relâcha ensuite, sa peau douce s’échappant de son corps, et elle se retourna, allant au milieu du glyphe, palpant son corps en fléchissant les genoux, et en narguant les hommes présents alentours.
« Mais… Peut être me suis-je trompée, peut être n'y a-t-il là qu'une bande faux mâles, un ramassis d'éjaculateurs précoces sous viagra… tsihihi ! »
Bafamelle semblait joueuse, et le Grand Maître, lentement, se redressa. Son objectif dépassait le simple cadre de cette soirée. Pourquoi tant d’investissement ? C’était simple…. Ce qu’il voulait, c’était arriver à devenir l’un des Disciples du clan, à marquer suffisamment les puissantes succubes du clan Magoa pour qu’elles consentent à autoriser l’homme à devenir un Disciple. Et, ma foi, à choisir entre tous les clans peuplant les Enfers, il n’y avait pas vraiment de meilleurs clans à servir que ceux des succubes. Depuis son adolescence, il se renseignait sur les démons, et, depuis son adolescence, l’homme était un pervers… Du genre à glisser une caméra cachée dans les toilettes d’une fille, à diffuser sur les réseaux sociaux qui couchait avec qui, ou à devenir particulièrement jaloux et mauvais quand les filles qu’il voulait se taper lui échappaient. Il aurait pu devenir un tueur en série, à massacrer les filles avec une tronçonneuse… Au lieu de ça, il était devenu un violeur et un sataniste. Tout avait commencé par de simples agressions sexuelles, banales, croissant progressivement. Vol de culottes, tags, messages anonymes sur les réseaux sociaux… Sa virginité, il l’avait perdu avec une prostituée. Le Grand Maître avait passé son adolescence dans les maids coffees, payant pour avoir de multiples fellations. C’était avec l’une de ces maids qu’il avait perdu sa virginité, en la violant à la sortie de l’établissement où elle travaillait. Il s’en rappelait encore avec délice… Cette jeune femme était une étudiante qui travaillait ici pour financer ses études, en enchaînant les masturbations. Un visage de belle petite fée, une fille d’une grande beauté, pleine d’innocence, comme un Ange, avec sa bouille angélique. Il l’avait donc pisté dans une impasse. Elle portait encore sa tenue de maid sous un long manteau, et se retournait fréquemment, convaincue qu’on la suivait. Il l’avait pisté jusque dans une impasse, et l’avait pénétré entre deux poubelles, avec une cagoule sur la tête. Il l’avait prise par le devant, et avait été tellement excité qu’il avait joui très rapidement.
Maintenant, ce joyeux souvenir n’en était qu’un parmi tant d’autres, et, en voyant Bafamelle ainsi, à les aguicher, il esquissa un léger sourire. Sa verge lui faisait mal, et il se releva. Ses apprentis ne feraient rien avant lui, et il s’avança vers la femme.
« Vous allez avoir l’occasion de le vérifier par vous-mêmes… »
Il se rapprocha d’elle, et défit sa longue robe cérémoniale, révélant son corps musclé, glabre. Ses cheveux avaient été rasés, et de multiples tatouages ornaient son torse, filant jusqu’à son nombril, ainsi que d’autres le long d’un bras.
« J’ai entendu parler de votre clan lors de mes recherches, Bafamelle… D’Onyxian Magoa. J’ai cherché à invoquer une puissante Succube du clan, afin de vous montrer à quel point je vous suis respectueux. »
Pour les démons, l’honneur était une chose centrale, ce que le Grand Maître savait. Il rejoignit le glyphe, et approcha son sexe de la bouche de la femme. Il posa ses mains sur le visage de la femme, et, sans plus attendre, enfonça sa grosse queue dans sa bouche, ne tardant pas à donner des coups de reins, d’avant en arrière. Il savait ce qu’on disait sur les succubes : des trésors aux mortels interdits. S’il n’arrivait pas à la satisfaire, elle avait le droit de manger son âme. Il s’efforça donc d’enchaîner les gorges profondes, ses mains s’appuyant sur ses cheveux, sa queue s’enfonçant lourdement en elle, remuant d’avant en arrière. Plus le temps passait, et plus l’homme était brutal et agressif, grognant et gémissant. Sa première Succube… Quelle bouche ! Quel corps ! Ah, putain, ce qu’il pouvait aimer ça ! Il remuait en elle, encore et encore, ses mains se crispant à ses cheveux, les serrant.
« Là, là, suce… Suce, ma petite pute infernale, hum… Suce, et sens mon foutre… Je vais te gicler dans la bouche, et nous allons ensuite tous te prendre… Encore et encore, sans relâcher, pour honorer l’incroyable belle salope que tu es ! »
Il grogna à nouveau, ses doigts se crispant encore à sa longue chevelure noire.
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La jeune Bafamelle avait la farouche réputation d'être une succube particulièrement espiègle et hautaine, à la fois joyeuse compagne de jeux et véritable petite chipie infernale, jouant volontiers de de sa noblesse pour ce débarrasser d'autres petites succubes et démones un peu trop fières à son goût. Oui… Quand elle le voulait, Bafamelle pouvait être une charmante petite peste. Mais pour l'heure, la jeune succube avait bien d'autres projets en vue et plus particulièrement une vingtaine de beaux chibres turgescents et fiers, tous prêt à la besogner avec respect. Finallement, le chef de ce groupes de bonhommes vint à se dévêtir devant la démone, exhibant alors fièrement sa verge au proportions plus que convenable pour un simple humains, ce qui ammena d'ailleurs notre succube à discrètement ce pourlécher la lèvres supérieur avec toujours ce brin d’espièglerie et d'amusement au fond des yeux.
L'homme approcha ensuite son gland de la bouche pulpeuse de Bafamelle, avant de s'y enfoncer avec délice, en emplissant tout l'espace qui s'y trouvait puis de ce mettre à y aller et venir de manière assez forte. La jeune succube pouvait sentir les mains de l’homme sur sa tête, offrant à ce dernier un formidable point d’appui afin de baiser profondément sa gorge de démone gourmande et avide de sexe.
« Là, là, suce… Suce, ma petite pute infernale, hum… Suce, et sens mon foutre… Je vais te gicler dans la bouche, et nous allons ensuite tous te prendre… Encore et encore, sans relâcher, pour honorer l’incroyable belle salope que tu es ! »
Bafamelle, suite à cette charmante tirade, leva lentement les yeux vers ceux de l'homme tout en ce mettant a genoux afin d'être plus à l'aise. Le regard de notre Succube était toujours empli de lubricité et d'amusement, comme ci tous ceci n'était qu'un jeu, un divertissement… Ce que c'était dans un sens. La jeune démone, toujours entrain de ce faire baiser la gueule, ce mit a faire travailler les muscles de sa gorge tout en creusant ses joue, afin de bien englober la verge chaude et suave de ce mâle en rut, passant par moment sa langue d'un noir luisant sur la gland et dans tout les interstices de cette belles queue.
« HmMmMgmMMmaaann… Ssshlllrrrp ! »
Gentiment, alternant entre les phases de sucions et de léchage, la démone continuait de regarder l'homme avec un regard espiègle, ses yeux ne quittant ceux de ce « Maître » seulement pour observer les autres mâles de la pièces ou alors pour simplement fermer les paupières l'espaces de quelques secondes. Sentir ce bon chibres dans sa bouche commencer petit a petit a réveiller ses hormones, les légendaires phéromones de succube ! L'un des plus puissant aphrodisiaque connue, si ce n'est le plus puissant avec les fluides corporels de ces dernières. Le jeune femme à la peau rouge transpirait légèrement et l'odeur épicée de ses hormones commençait petit à petit à emplir le centre de la Glyphe, tendis que la cyprine de Bafamelle commençait à elle aussi légèrement ce faire sentir.
« HMMmMM… »
Lentement, la démone entreprit de malaxer les bourses joufflues de ce belle hommes d'une mains, tendis que son autre mains, elle, s'affairait à caresser son intimité au travers de sa culottes en résilles fines.
Autant Onyxian et les autres frères et soeurs de Bafamelle ce fichait plutôt bien de cette débauche propre au statut de la jeune femme, autant son père… N'aimais pas vraiment qu'elle passe son temps à courir les plans-culs toute la journée. Salabog XIII est un démon très respecté et, bien qu'étant parfaitement conscient de la nature de sa jeune fille, il n'aime pas vraiment sa boulimie de débauche. Au plus profond de lui, il aimerais qu'elle devienne un jour une grande prêtresse infernale, tout comme lui… Mais bon, le démon prend toujours sa fille avec beaucoup de recule, tolérant du mieux qu'il le peut ses écart de conduite et sa vie emplie de frivolité.
Pour l'heure, la démone prenait son pied en gobant cette verge dur et violente et c'était bien là la seule chose importante,
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Le Grand Maître était heureux, heureux comme il ne l’avait jamais été. L’accomplissement de toute une vie se trouvait ici, dans la bouche de cette femme, dans cette queue qu’il remuait en elle. Une vie à travailler sur des drogues spéciales pour améliorer les performances sexuelles, une vie à se renseigner sur les Enfers, et à trouver un moyen de se rapprocher des clans. Sa queue était grosse, longue, et bien dure, s’enfonçant en elle. Bien loin d’être vierge, le Grand Maître avait eu l’occasion de travailler ses pulsions sexuelles, dans l’attente de ce moment. Honorer une succube, et, qui plus est, l’une des succubes du clan Magoa. Le Grand Maître savait que ce clan était un clan assez influent en Enfer, et que leur Matriarche, Onyxian, ne se déplaçait plus pour de simples invocations, ou, quand elle le faisait, tuait très souvent ses amants. Une salope, aussi cruelle que belle, qui n’offrait ses cuisses que pour les membres de sa famille, ou pour les personnalités infernales influentes dans le monde rouge. Il y avait, dans le comportement de l’homme, une ambition démesurée, mais aussi, de manière plus modeste, la simple envie de se taper une succube. Son fantasme était en train de se réaliser, et ses mains se déplaçaient sur la tête de la femme.
Sa queue tapait contre sa gorge, s’enfonçant profondément et lourdement en elle. Elle avait une bonne bouche, une bouche faite pour recevoir sa queue, faite pour l’avaler, faite pour le sexe. Il s’enfonçait en elle, et ses doigts se déplacèrent, remontant le long de ses cheveux pour caresser ses petites cornes. Son corps ondulait d’avant en arrière, ses testicules venant peu à peu se plaquer contre les lèvres et contre le menton de la femme.
« Haaaa.. Haaaa ! »
Il ne comptait pas jouir trop vite, et, quand il vit Bafamelle se caresser, il sentit une onde de plaisir supplémentaire le traverse, l’amenant à soupirer davantage. Ce petit geste anodin voulait dire qu’elle prenait son pied, que la succube appréciait ce qu’on lui faisait… Et qu’il ne risquait donc pas de finir mort sur le sol quand elle avalerait son âme après son orgasme. Tout autour du couple, les hommes de la secte observaient en silence, leurs queues tendues pointées vers le duo. Ils avaient envie de baiser Bafamelle, et chacun de ces hommes n’était ici qu’un atome de sexe et de frustration, même ceux qui avaient eu l’occasion de se soulager sur leurs captives. Peu importe ce qu’ils avaient pu être jadis, ils ne regrettaient rien. Leur esprit était embrumé par les drogues et les potions du Grand Maître, les transformant en pervers… Mais obéissants envers le Grand Maître. Ils attendaient patiemment leur tour, et le Grand Maître, au bout de longues minutes, finit par jouir.
L’homme enchaînait alors de grosses gorges profondes, enfonçant son mandrin en elle, tapant contre sa peau chaude et humide, à l’intérieur de sa peau. Son vit se perdait en elle, ses mains s’enfonçaient dans ses cheveux, et il remuait d’avant en arrière, longuement, lourdement, ses bourses claquant contre son visage, lui violant sa belle petite gueule d’amour.
« Hummm… Ah, tu aimes ça, HEIN ?! Petite pute… Salope, haa !! C’est si bon de te défoncer la GUEULE ! Et ce n’est qu’un début, haaa… Suce, suce, SUCE, SUCE MA QUEUE, HAAAAA… !! »
Il devenait violent, agressif, dominateur, ses mains se crispant davantage sur les cheveux de la femme. Il la baisait depuis maintenant un bon quart d’heure, confirmant son statut d’homme doué et talentueux, en phase avec la magie rose, cette délicieuse magie qui permettait de faire durer l’acte sexuel pendant des heures. Le chef de la secte, dont le nom était sans importance, car il l’avait renié en abandonnant ses parents et sa famille, la prenait donc, longuement, violemment… Et c’est dans ce contexte qu’il jouit donc en elle.
Une jouissance explosive et intense, où il passa, pendant plusieurs minutes, des filaments de foutre en elle, claquant dans sa bouche chaude son sperme, jouissant profondément dans sa gorge, le plus loin possible, avant de se reculer, pour balancer sa crème dans sa bouche, entre ses belles et pulpeuses lèvres rouges. Il soupira longuement, et se retira ensuite, son vit recouvert de salive et de sperme, et il relâcha la femme. Son corps était en sueur, sa respiration longue et profonde. Il s’écarta de quelques mètres, et, pour les autres hommes, ce fut le signal.
Leurs robes de cérémonie tombèrent au sol, et ils s’avancèrent lentement vers la femme, l’encerclant, formant un cercle qui se rapprochait, un cercle de torses glabres, de tatouages, de cheveux rasés, d’hommes musclés et bien bâtis, et d’épées de chair pointées vers elle. Des mains la saisirent, la soulevèrent, et des sexes rentrèrent en elle. Un sexe s’enfonça dans ses cuisses, heurtant sa fleur, butinant son bourgeon, et, dans son dos, une autre queue se perdit dans ses fesses, des torses venant se plaquer contre son corps, des soupirs dans ses oreilles et des baisers âpres sur ses lèvres.
*Ma brave petite sœur, toujours à déchaîner les passions…*
Depuis un pont en hauteur, bras croisés et adossé contre le mur, un démon aux yeux bleus observait la scène avec un léger sourire sur le coin des lèvres. Il espérait bien qu’ils baiseraient bien Bafamelle… Car c’était tout ce qu’elle voulait en répondant à cette invocation.
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Il fallut un peu moins d'un petit quart d'heure à notre homme pour finalement jouir abondement dans l'orifice buccale de la jeune succube, une belle performance pour un humains au vue de l’expérience et de la perversité de Bafamelle qui, bien qu'étant jeune pour une démone avait tout de même un long parcours lubrique derrière elle. Toutefois, le fait que tous ces messieurs présent ici ais usés de drogues démonique n'avait nullement échappé au sens affûtés de la belle succube qui choisie toutefois de ne rien dire à ce sujet, préférant une foule d'hommes dopés, qu'un ramassis d’impotents.
HmmMm !!!
Bafamelle sentie alors la jouissance laiteuse et blanchâtre de ce gourou exploser dans sa gorge, filant directement dan son estomac et ce, pour son plus grand plaisir, un plaisir gourmand et pervers que notre succubes ne se cachait pas de montrer, avalant avec délice ce doux nectar chaud et gluant dont elle était folle. Une fois que l'homme eu finit d'abondement juter en Bafamelle, il se retira, laissant ainsi à ses disciples le corps de la jeune succube. Cette dernière put alors voir venir vers elle de beaux monts de chair turgescent, s’attroupant tous autour de sa tendre personne.
Bafamelle sentie alors le gland de plusieurs d'entre eux glisser sur sa peau, tendis que l'un de ces « disciple » vint à lentement la soulever pour finalement venir l'empaler sur son vit tendis que de l'autre cotés, un autre homme vint quand à lui à enfuir sa grosse verge dans les fesses de la démone.
« HmMmnnn ! Haaaan… »
Bafamelle remua légèrement son bassin en sentant ses deux mat l'enfiler avec rudesse, tendis qu'autour d'elle et plus particulièrement de son visage, un attroupement de glands se disputait la bouche de la succube, tendis qu'elle br anler la verge de deux hommes en même temps.
« Allez… y… Hmmpff… Sucez moi noble succube ! »
« Oh oui et moi aussi ! »
La jeune démone ouvrit alors la bouche afin d'y faire entrer deux glands en son seins, passant avec gourmandise sa langue dessous et dessus tout en regardant les hommes avec un regard toujours aussi espiègle et lubrique. Un regard qui était d'ailleurs entrain de légèrement luire et ce, à cause de toute la luxure qui s'échappait de cet attroupement de verges tendues, offrant à la démone une grande bouffée d'énergie qui la fit redoubler d'effort quand l'un des deux homme dont elle était entrain de lécher le gland vint à attraper deux de ses cornes afin de profondément lui baiser la gorge ;
« hMMMGmMm !! »
« Allez… Hmm oui ! »
Pendant ce temps, les deux hommes qui pénétraient simultanément son cul et sa chatte s'activèrent de plus belle, accélérant leurs coup de reins afin d'offrir à la noble succube qu'était Bafamelle une baise mémorable. La démone était à présent prise de toute part, les autres verges se frottant alors contre ses sein, son visage, ses fesses, en attente de baiser avec fougue l'une de ses délicieuses entrées. L'odeur de toutes ces grosse queue en aurait presque fait tourner la tête de Bafamelle, cependant, la démone n'était pas n'importe quelle démone, c'était une succube du clan magoa, elle se devait donc d'honorer son clan en baisant avec tous ses hommes qui l'encerclaient, ce masturbant volontiers au dessus de son visage et de son corps.
Et tous ceci, sous les yeux d'une personne qu'elle connaissais très bien ♥ Mais dont elle ignorais la présence.
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Alastar n’avait pas œuvré dans l’ombre pour organiser cette secte. S’il en avait été le gérant, il n’aurait jamais admis qu’on puisse violer et droguer de belles femmes, tout simplement parce qu’il avait trop de respect pour le beau sexe pour les traiter comme de vulgaires marchandises. Il savait que cette secte se composait de violeurs et de pervers en tout genre, allant de ceux ayant des casiers judiciaires à ceux qui s’étaient contentés de surfer sur le Net pour regarder des vidéos pornographiques et se masturber. Le Grand Maître, en retrait, était celui qui leur avait fourni des drogues spéciales, reposant sur le sang de succubes. Comment avait-il fait pour les récupérer, voilà bien la question qu’Alastar se posait, car les succubes n’avaient pas pour habitude de les offrir… De fait, ce qu’il faisait était une sorte de vol, mais le Diablotin savait que ce minable ne pouvait pas être le voleur. Il était plutôt le receleur. Alastar, de fait, enquêtait sur ces drogues. Le sang de succube était une arme dangereuse chez les humains, qui pouvait les faire sombrer dans la folie la plus profonde. Face à ce sang, toutes leurs pulsions hormonales se réveillaient totalement, pouvant amener à une réduction ou à une diminution de leurs capacités cérébrales. Alastar enquêtait donc, et, alors qu’il enquêtait, il avait senti la présence de Bafamelle, qu’il considérait comme sa petite sœur, alors même que, techniquement, elle était sa nièce. Elle était la fille de sa grande sœur, après tout, mais, Onyxian n’ayant jamais véritablement songé à éduquer Bafamelle, Alastar s’était chargée de ce beau bébé à la peau rouge et douce. C’était lui qui l’avait bordé, et qui, quand elle avait atteint l’âge requis, lui avait fait l’amour.
Bafamelle sautait sur toutes les occasions de sentir des verges en elle. Elle participait donc à une magnifique orgie, et, depuis les hauteurs de l’entrepôt, où Alastar s’était rendu pour se renseigner dans le bureau du Grand Maître, il en profitait pour observer le spectacle. Un homme, couché sur le sol, avait laissé la succube s’empaler sur lui, et, dans son dos, un autre s’était assis sur ses genoux, et son sexe était niché dans le cul de la femme. La succube avait un corps parfait et une peau incroyable. La toucher, c’était comme caresser et sentir la douce peau d’un tendre bébé. Naturellement, ils ne furent pas que deux à la prendre. D’autres hommes se rapprochaient, des mains s’agrippèrent sur les cheveux de la femme, et deux verges s’enfoncèrent dans sa bouche, les queues se croisant en elle. Deux autres verges se nichèrent dans le creux de ses mains, et, ainsi, Bafamelle se retrouva au cœur d’une véritable orgie. Chaque centimètre carré possible était exploité par des corps et par des sexes se frottant contre sa peau. Depuis sa position, Alastar voyait ainsi un cercle rapproché autour de Bafamelle, le corps de sa succube disparaissant sous celui de tous ses hommes.
*Elle a hérité de tout l’appétit d’Onyxian…*
Alastar continua à les regarder. Ils soupiraient et gémissaient, heureux de pouvoir se taper une succube, de pouvoir s’enfoncer en elle, de la faire jouir longuement… Des hommes en rut, gras et forts, qui la griffaient, crispaient leurs mains contre son corps. Les queues remuaient en elle, provoquant des claquements de chair et des soupirs. C’était un film porno’ sauvage qui se déroulait sous ses yeux. Il l’observait donc, en oubliant ses recherches. L’homme pilonnant le cul de Bafamelle mordait sa nuque, ou l’insultait dans le creux de l’oreille :
« Petite salope… Ton cul est parfait pour recevoir ma queue… »
Les hommes que Bafamelle masturbait soupiraient longuement en sentant les ongles très pointues de la succube meurtrir leurs saucisses. Tout n’était qu’une débauche de sexe, et, au bout de plusieurs minutes, les érections fusèrent, le sperme jaillit, remplissant les mains de Bafamelle, ainsi que sa bouche. Les adeptes de cette secte de pervers hors-normes se soulageaient dans son corps, et ce n’était qu’un début. Alastar l’espérait pour eux… Une succube du clan Magoa était une femme insatiable, le Diablotin était bien placé pour le savoir.
Avec tant d’hommes autour d’elle, Bafamelle risquait de passer par toutes les positions sexuelles connues et possibles…
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Après plusieurs longues minutes de sexe intense, les premiers jet de foutre fusèrent sur et dans notre jeune succube, cette dernière ce cambrant et ce contorsionnant sous tout ce plaisir, sentant affluer en elle de belles quantités de foutre chaud lui emplissant copieusement le derrière, la bouche et le vagin d'une manière délicieuse, tendis que d'autres jets vinrent à éclabousser son dos et son visage.
Bafamelle avait quand à elle les paupières closes et la bouche ouverte, sa langue de serpent noirâtre pendouillant alors à l'air libre, un long fil de sperme dégoulinant de cette dernière pour finalement atterrir dans le creux de sa poitrine pas encore mis à nue.
« Haaa… Hannn… »
La jeune succube aimait ça, sentir tout ce foutre sur elle, sentir son goût sur sa langue, humer son odeur mélanger à l'odeur de toutes ses belles queues autour de son visage venant se ressuyer contre ses joue et ses cheveux. La démone était, si l'on puis dire, au anges avec tout cela et, à peine les hommes avaient ils fini de juter, que la démone sentie les mains fortes d'un homme l'attraper afin de l'asseoir sur son mandrin, ce dernier s'enfonçant alors dans son cul béant et dégoulinant de foutre tendis qu'une autre queue vint à ce frotter contre le latex de son corset, avant de s’enfoncer entre les deux monts de chair rouge de la démone au aboie sous toute cette délicieuse lubricité.
« Haaaannn… Li-libère les et prend les en m-main si tu le désire ! HmmMMgmmm ! »
A peine avait elle bredouillée ses mots qu'une grosse verge vint à s'enfouir dans sa bouche. L'homme qui était entrain de baiser les seins de la démone ayant quand à lui exécuté à la lettre les mots de notre noble succube, extirpant de son délicieux corset les deux seins ronds de Bafamelle, les attrapant ensuite avec fermeté afin de ce branler dedans avec fougue. La démone put à nouveau sentir les verges de ces messieurs ce coller à son visage déjà copieusement arrosé de sperme.
« HmMMm ! Votre rond-rondelle est délicieuse noble succube ! »
Bafamelle, bien que rendue muette à cause de la lourde bite qui obstruait sa bouche, répondit à l'homme en dessous d'elle en bougeant le bassin de haut en bas, c'était un bien délicieux moment pour notre succube, tout ce sexe, tout ça là… C'était rien que pour elle ! Mais voyant que personne ne s'occupait de sa fleur, Bafamelle prit la libre initiative de s’enfoncer le bout de sa queue caudale dans le vagin, décuplant alors son propre plaisir et son appétit sexuel. Pendant ce temps, plusieurs des hommes autour d'elle c'était empressés d'enrouler leur grosse verge dans des mèches de cheveux de la démone, ce branlant alors avec tout en contemplant de la jeune succube entrain de ce faire baiser les seins par leur comparse. Ce dernier s'amusait à tirer et à pincer les jolie mamelons noirs de Bafamelle, mamelons que la démone avait joliment décorée avec des piercings style barbell. (http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/ae/Piercing-Barbell.jpg/220px-Piercing-Barbell.jpg) L'homme prenait un malin plaisir à maltraiter les nichons de la démone qui, bien entendue, trouvait ça plus délicieux encore, alors que l'homme qui lui baisait la bouche avait maintenant les deux mains sur ses cornes.
« HmMMGmmm… Ghhaammnnmm ! Sllrpgmm… »
« Ha… Avale la ma grosse bite ! Hmmmpff ! »
« HmmmPPff… M-Moi je vais lui prendre sa petite chatte bordel ! » S’exclamât alors l'homme qui ce branler dans les seins de Bafamelle, avant de retirer de là sa verge gonflée de désir puis de s'accroupir en retirant délicatement la queue caudale de la démone de son antre baveuse, remplaçant de-suite la dite queue par sa verge afin de baiser sans vergogne la petite succube.
Oui… Là, Bafamelle était divinement entrain de prendre son pied ! Et, alors qu'elle ce faisait une seconde fois troncher de toute part, elle ouvrit les yeux afin de regarder tout ces hommes autour d'elle, exhibant à la vue de ses dernier, deux pupilles rosées et luisantes tel deux joyaux dans la nuit.
Entre temps, la démone avait sue tirer partie de ses pieds, utilisant ces dernier afin de branler deux autres verges ainsi qu'une autre autour de laquelle elle avait habilement enroulée sa queue caudale.
Elle avait à présent tout les membres d'occupés et il en était de même pour les trous, les hommes ce partageant toutefois sa bouche, entrant dedans à tour de rôle.
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La belle Bafamelle était au cœur d’une véritable et interminable orgie de sexe et de luxure. Disparaissant au milieu d’une forêt de queues et de verges tendues, en érection, elle était prise de partout, dans tous les trous, par des hommes assoiffés et impatients, qui, au fur et à mesure que le temps passait, gagnaient en nervosité et en agressivité. Ils devenaient de plus en plus incontrôlables, de plus en plus bestiaux. S’ils voyaient au début la Succube comme un don providentiel, ils la voyaient maintenant plus comme un morceau de viande royale, impossible à user, et qui ne demandait qu’à se faire baiser et défoncer. Autant dire qu’ils comptaient largement en profiter. Leurs qu’eues s’enfonçaient en elle, dans les tréfonds de sa gorge, et, à peine un homme avait-il inondé sa bouche en la remplissant de foutre qu’une autre queue apparaissait, s’enfonçant dans ce sperme, ramonant sa gorge, s’agrippant à ses cornes pour faire remuer la tête de Bafamelle, d’avant en arrière, rapidement et douloureusement. Aucun ne cherchait à la ménager, tous y allaient franchement, avec une envie dévorante et croissante au fur et à mesure que le temps s’écoulait. Les vits tapaient contre sa gorge, s’enfonçaient en elle, et il allait de même pour les chibres plantés dans son cul et dans son con.
Tous ces hommes remuaient autour d’elle, et la position de Bafamelle ne tarda pas à évoluer. Il s’écoula bien une bonne demi-heure dans cette position, à sentir des queues glisser en elle, avant que les hommes ne la changent de position. Elle se retrouva à quatre pattes, des mains râpeuses toujours en appui sur ses cornes, une queue lui bouffant la gorge en remuant d’avant en arrière. De longs soupirs gutturaux s’échappaient des gorges de l’homme, qui se masturbaient à côté d’elle, formant un cercle de queues dressées et de mains en sueur glissant sur des sexes gros et gras. Dans son dos, des gifles sèches s’abattirent sur ses fesses, et une main lui ôta sa robe, en tirant dans son dos, jetant la tenue au loin.
« Ouais...
- Ce qu’elle est bonne...
- Suce ma queue, salope ! »
Un sexe s’enfonça à nouveau dans son cul, se plantant jusqu’à la garde, s’enfonçant dans son rectum. Ils avaient totalement déformé son anatomie interne, et continuaient à remuer en elle. Sous le corps de Bafamelle, un autre homme s’allongea, et planta sa verge dans son vagin, le corps de la Succube s’abaissant vers le sol, sa tête redressée, afin de pouvoir réussir ce prodige. Et, tout autour, un bukkake s’organisait dans les règles de l’art, avec filaments de foutre, sperme à outrance, et explosions de plaisir. Les hommes étaient en train de jouir sur le corps de Bafamelle, invitant sa queue caudale à venir masturber certaines queues. Tous ne pensaient qu’à la Succube, et à cette peau rouge se recouvrant, ici et là, de foutre.
Grâce aux injections magiques qu’ils avaient prises, ces hommes étaient de véritables océans de foutre, balançant à chaque giclée des foutres et des foutres. Cette drogue galvanisait leurs hormones à un stade surnaturel. Ils pouvaient mourir d’épuisement en appuyant trop sur leurs corps, mais ça, ils s’en moquaient. Le désir sexuel occultait peu à peu toute la raison qui se trouvait en eux, n’en faisant rien de plus que des animaux assoiffés de sexe...
...Des animaux qui jouissaient généreusement sur le corps de Bafamelle.
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Une pluie de laitence… Voilà en somme ce que Bafamelle était entrain de subir, un délicieux bal de foutre et de verges tendues et pulsantes que ne cessaient de la prendre et de lui donner du plaisir. Car oui ! Bafamelle sentait au fond d'elle l'orgasme pointer le bout de son nez, alors qu'une fois encore deux pieux de chair lui pilonner simultanément le cul et la chatte. La belle petite succube au teint rougeoyant gémissait et couinait de plaisir sous cette avalanche de luxure décadente. Mais, le plus affolant dans tout ça, c'était que l'excitation de Bafamelle faisait croître celle de cet attroupement de pervers, libérant ainsi des hormones aphrodisiaque puissantes qui ne manquèrent pas de piquer le nez de ces messieurs, faisant alors pulsait leur grosse queues joufflues de plus belle, queue qui semblaient d'ailleurs pouvoir cracher des litres de sperme sur la démone, recouvrant sa belle peau rouge d'un liquide blanchâtre et fortement odorant.
« Plus… Plus ! Haaaa... Donnait m'en plus ! » S’exclamât alors la jeune succube avec une lueur de gourmandise au fond des yeux… Avant qu'un autre sexe vienne lui baiser la gorge
« Hhgmmmmnnn !!! Bordel ! »
« Haaaaan ! Haa… Haaaa ! Je vais…. J-JOUIR !!!! Haaaa-hmmmgmggg !! »
« Tais toi et suce ! »
Et hop ! D'un coup, tout le corps de Bafamelle ce mit à trembler, explosant alors en une onde de plaisir gigantesque. Mais la pauvre était littéralement prise dans tout les sens et elle n'avait pas la possibilité de bouger beaucoup, n'étant ainsi réduit qu' a un simple sac à foutre que ces hommes remplissait sans relâche, écartant sans aucune pitié son cul et sa chatte, utilisant chaque parcelle de son corps comme cible pour éjaculer, certain allant même jusqu'à lui uriner dessus dans la foulé.Mais la jolie Bafamelle n'avait que faire de tous cela, seul le sexe comptait pour l'instant et dieu sais qu'elle allait être plus que comblée avec cette vingtaines de bites en rut se collant à elle, l'enfouissant sous une rivière de foutre collant.
« HmMmhaaaa ! Haaaaa ! Hmmggmmgg !!! »
Toutefois, elle avait beau être encore « jeune », Bafamelle démontrait un bel appétit sexuel, la rendant bien plus vorace que certaines de ses consœur et ce gang bang était pour elle une sorte d'épreuve, un petit défi qu'elle c'était lancée à elle même, quoi qu'elle savait pertinemment qu'elle le remporterais haut la mains. Elle pourrait ainsi aller ce vanter de son petit exploit.
Dans le hangars, c'était donc un véritable concert de râles et de gémissement, entrecoupé de bruit de succion et de pénétration, formant une sorte de sinistre bruit de fond pervers qui allait de paire avec l'odeur de sexe de plus en plus présente, une odeur forte qui petit à petit faisait tourner la jolie tête brune de bafamelle dont les yeux ce révulsaient par moment sous cette avalanche de plaisir. La démone avait donc jouit, accroissant à chaque fois la libido de ces messieurs dont les chibres étaient maintenant rouges à cause de la chaleur et de l'effort, chibres qu'il continuait d'insidieusement glisser sur et dans Bafamelle, quand il ne ce branler pas au dessus d'elle pour lui envoyer une énième rasade de sperme sur sa tendre et belle peau rouge. Un homme vint ensuite à s'allonger par terre, enfouissant sa queue dans la bouche de la démone, tendis qu'un autre vint à la prendre en levrette, gratifiant la belle succube d'une bonne dizaines de fessées qui claquèrent bien comme il faut dans le hangar.
« HmmmMMM ! Qu'elle adorable petit cul bordel ! Les anges eux même ne pourraient y résister, pour sur ! »
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L’orgasme de Bafamelle devait sonner comme une libération pour eux. Alastar, qui connaissait mieux que personne sa petite sœur, savait qu’elle avait joui... Même sans la voir visuellement, il le sentit, aussi certainement qu’une personne en fuite pouvait sentir que voir tris fourgons de police s’arrêter devant le motel où il était risquait d’être problématique pour lui. Le Diablotin la sentit jouir, et, si c’était une bonne nouvelle pour ses hommes, c’est parce qu’ils avaient honoré leur part du contrat. Satisfaire la succube en lui offrant un orgasme. Une Invocation obéissait à certaines règles, et, si on arrivait à faire la jouir la succube, cette dernière ne pouvait pas, ensuite, vouloir prendre vos âmes. Bien sûr, avec un gang-bang, les choses étaient différentes, et on pouvait tout à fait imaginer une succube qui soit plus exigeante, et demande bien plus d’un seul orgasme, vu qu’elle est prise par toute une tripotée de mâles en rut...
Son orgasme, cependant, accrut encore l’excitation des mâles, en diffusant de puissants aphrodisiaques. Ils continuaient donc à la prendre, Bafamelle à quatre pattes, et certains de ses amants en profitaient pour exprimer des paraphilies plus osées, plus... Tendancieuses. Dans la bouche de la succube, un homme urina pendant plusieurs secondes, avant de remuer son corps, d’avant en arrière. Le cul de Bafamelle était défoncé par le sexe d’un homme, et tous soupiraient, gémissaient, grognaient. Les minutes défilaient à toute allure, et les hommes continuaient donc à la prendre.
Bafamelle était une succube terriblement belle, qui déchaînait l’imagination des hommes. Si elle fut à quatre pattes pendant longtemps, des mains finirent par la soulever, la redressant. L’homme qui avait sa verge plantée dans son cul s’assit sur le sol, avec Bafamelle qui la suivait. Autrement dit, la succube se retrouva assise sur lui, et des hommes se placèrent devant elle, pour qu’elle continue à les sucer, comme si la fellation et les gorges profondes étaient le plaisir unique et récurrent de ces hommes excités et assoiffés.
« Baise-nous, salope !
- Baise-nous bien... »
Ils continuaient encore à s’agglutiner autour d’elle, et, dans son dos, l’homme qui la sodomisait, et qui était aux anges (pour ainsi dire) lui léchait et lui mordillait le cou. Même la peau de Bafamelle était magnifique, emplie de douceur, comme celle d’une peau de bébé. Il s’y frottait généreusement, tout en sentant le corps de la succube remuer d’avant en arrière, sous les verges des hommes venant remuer en elle.
Les positions se multipliaient, et, plus le temps passait, et plus tout puait autour d’eux. Le sexe remontait, et on pouvait le sentir...
Quelle chanceuse, cette Bafamelle !
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Le plaisir… Encore et toujours le plaisir, Bafamelle avait jouis, certes, mais… C'était bien mal la connaître que de croire qu'elle serait satisfaite d'un seul et unique orgasme, oh grand non ! La jeune succube était gourmande et si c'est messieurs voulaient tous garder leur âme, ils avait plutôt intérêt à y mettre du leur. Tous continuèrent à s'agglutiner autour de la démone, faisant coulisser leur queues collantes sur sa douce peau rougeâtre, tendis que son cul était une nouvelle fois entrain de ce faire prendre par un homme alors que dans sa bouche, les sexes d'autres hommes ce succédait les un après les autres et, bien évidement, le grand frère de Bafamelle, sans qu'elle ne le sache, ne perdait pas une miette de ce délicieux spectacle lubrique.
Alastar et Bafamelle avait toujours étaient très proches l'un de l'autre et, au fond, quoi de plus normal sachant que c'était Alastar qui avait prit sous son aile la jolie succube à l'époque où cette dernière n'était encore qu'un petit bébé gazouillant à la peau rouge. L'incube l'avait par la suite éduqué et protégé, avant de finalement être le premier à l'avoir déflorée, un moment dont la démone ce souvenait avec délice.
« HmMmGmmmm ! »
Mais pour l'heure, Bafamelle était encore entrain de sauvagement se faire prendre par ces mâles en rut qui semblait ne jamais s'épuiser. Enfin… Jamais… Voilà maintenant deux bonnes heures que ces hommes enchaînaient les coïts multiples et les éjaculations sur la démones et, bien qu'ils ais tous prient des drogues infernales, Bafamelle sentie chez certains d’entre eux un légère épuisement. Toutefois, la démone ne comptait pas les laisser filer ainsi, au grand non ! Ils avait décidés de l'invoquer pour jouer avec elle, alors ils aller jouer, quitte à ce retrouver avec des raisin de Corinthe à la place des couilles ! Cet alors que l'homme qui enculer sèchement la démone vint à ce mettre debout, soulevant la belle succube à la seul force de ses bras, tendis que l'un de ses comparses vint à ce mettre face à Bafamelle afin d'enfouir son vit dans la fleur humide et dégoulinante de la démone. Cette dernière ce faisant alors prendre par deux hommes à un mètre du sol, ses seins rebondissant au grès des coups de reins de ces messieurs, messieurs qui (pour celui de devant du moins) prenait par moment un malin plaisir à téter le délicieux lait aphrodisiaque de bafamelle, suçant et tirant sur son mamelons noire avec délice, tendis que les autres ce branler sur cette scène oh combien stimulante.
« HmmmmMm aaaah ! Aah ! Oui ! Oui ! »
Pendant ce temps, l'un des homme vint à ce rapprocher de la queue caudale de la succube, avant de s'en saisir pour que cette dernière le masturbe avec, ce qu'elle fit sans broncher, embrassant à tour de rôle les trois hommes qui furent ensuite rejoins par d'autres, décidant ensuite de ce partager le cul e la chatte de bafamelle sans que cette dernière ne touche le sol, jouissant à tour de rôle en elle comme celle n'était qu'une vulgaire poupée.
Bafamelle, elle en tout cas était, si l'on puis dire, comblée ! Tout ce sexe brutale était si bon et sentir tout ses torse viril ce frotter à elle c'était.. rrrrRR ! Elle en frissonnait, Embrassant tout ces messieurs tant qu'elle le pouvait, enfouissant dans leur bouche sa délicieuse langue serpentine.
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Leur joyeux gang bang se poursuivit dans le vice et dans la luxure. Les heures se succédaient aux minutes, les soupirs se mélangeaient aux hurlements, et, silencieux, Alastar observait ce spectacle avec délice. Ah, comme sa petite Bafamelle était douée ! Ça, il ne pouvait que le reconnaître. Elle se retrouvait maintenant suspendue au-dessus du sol, coincée entre deux hommes, au torse viril, qui la prenaient en sandwich. Des corps en sueur, des chairs claquant les unes contre les autres. Oh, que c’était beau à voir ! Alastar était sorti du bureau, et, adossé contre le mur, il ne pouvait qu’observer ce spectacle, avec une lueur malicieuse dans les yeux. Les deux corps remuaient devant et derrière Bafamelle, et celui devant avait la chance infinie de pouvoir l’embrasser, de fourrer sa langue dans sa bouche, et de sentir, en retour, celle de la belle succube. Elle se tortillait contre eux, leurs grosses queues venant la pilonner joyeusement, la faisant hurler et couiner. Les mains de l’homme glissaient le long de ses côtes, venant ensuite se poser sur ses seins, qu’il se mit à empoigner et à malaxer fermement. Sa bouche, elle se déplaçait parfois sur le cou de la succube, venant lécher et mordre sa peau. Il était alors rejoint en ce sens par le partenaire dans son dos, celui qui enfonçait sa verge dans son cul, et qui, parfois, remontait ses mains pour empoigner ses seins, pinçant ses tétons et les malaxant vigoureusement. Ces deux hommes étaient intenses, ardents, soupirant dans les oreilles de la magnifique succube. Leurs verges s’enfonçaient longuement en elle, et, parfois, ils étaient tous les deux plantés dans son corps en même temps.
« Hmmmm… Hnnnn !!
- Haaaaa… Haaaa !! »
Celui dans son dos posa sa main sur le menton de la succube, et tourna sa tête, afin de pouvoir l’embrasser, et, surtout, de sentir sa langue en lui. La langue serpentine d’une succube, sa salive… Ou tout simplement le goût de ses lèvres. Le Diablotin les regardait faire. Le trio se faisait longuement l’amour, et, quand celui de devant finit par jouir, un autre le remplaça bien vite, embrassa Bafamelle, et planta son bâton en elle, remuant en elle, son membre turgescent s’enfonçant dans un ensemble de mouille et de foutre. Bafamelle, pour autant, n’était pas réduite à un simple rôle de réservoir à foutre, car sa queue caudale se devait de masturber des vits et des queues. Ces derniers soupiraient, et leurs mains caressaient cette longue queue rouge et douce. Chaude et douce, elle les masturbait bien, et, à plusieurs reprises, la queue de Bafamelle était tachetée de sperme.
Ils continuaient donc à la prendre, sans relâche. Le temps se poursuivait, encore et encore, et Alastar pouvait clairement entendre ces hommes soupirer de plus en plus, sous l’effet de la fatigue. Pour autant, ils savaient toute la chance qu’ils avaient en couchant avec cette femme, et, en aucun cas, ils ne tenaient à la gaspiller. Ils se dévouaient à fond, oubliant totalement les femmes qu’ils avaient capturé, se concentrant sur Bafamelle, l’embrassant parfois de longues minutes. Ils se mordaient entre eux, tirant sur les lèvres de Bafamelle, jouant avec leurs langues, jouissant en elle, encore et encore…
*Ma pauvre petite Bafamelle…*
Toujours aussi silencieux et inactif, Alastar observait ce spectacle, et décida de se rappeler à la présence de Bafamelle. Se concentrant, l’Incube ferma les yeux, et envoya un message télépathique vers elle :
*[MT] Tu es vraiment la Reine des putes, ma Bafamelle adorée… [/MT]*
C’était une bonne entrée en matière, selon lui.
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Et voilà, Bafamelle était une fois encore prisent de tout les cotés, les hommes ce succédant tous les un après les autres afin de copieusement lui remplir les orifices sans jamais la laisser toucher terre. Mais… Notre petite succube aimait beaucoup ça ! Le fait de sentir toutes ces mains moites et fortes la tenir par les cuisses pour la baiser, alors que toutes une tripoté d'autres paires de paluches s'empressaient de la caresser rien que pour sentir sa belle peau douce, une peau a laquelle encore une fois de nombreux gland venaient ce frotter, avant de finalement venir combler l'un des deux potentiel trous laissait vaquant. L'appétit de bafamelle semblait sans limite et… Dans tout ce déluge de coup de verge, la démone revint à s’abandonner une seconde fois, son corps venant alors à ce crisper d'un coup, avant d'expulser sur le sol un long filin de cyprine. Malheureusement, Bafamelle commençait à s'ennuyer un peu, bien qu'ayant jouis deux fois, elle trouvait ce manège de bites de plus en plus redondant et ce, malgré le plaisir qu'il continuait à lui apporter…. Paradoxale comme réactions, non ?
« Hmmm… Haaaaa ! Haaaannn… »
La petite succube embrassait sans compter tout ces hommes tendis que son petit cul ce trémoussait sans discontinuer sur les imposants chibres qu'on venait lui enfoncer profondément dans ses orifices. Tous ces hommes en rûte avait beau commencer à fatiguer, ils semblait ne pas vouloir lâcher le morceau, enfouissant leur sexe jusqu'à la garde dans le cul et le vagin de Bafamelle, claquant avec force sur ses belles petites fesses, pendant que d'autre hommes empoignaient avec fermeté ses seins, afin d'en boire le délicieux lait, comme pour ce donner un peu plus de courage afin de baiser encore un fois la belle succube.
Mais bientôt, dans ce dédale de sexe à outrance, dans cette boulimie de luxure, la jeune succube vint à entendre une voix des plus familière résonner dans sa tête…
*Tu es vraiment la Reine des putes, ma Bafamelle adorée… *
A ces mots, la démone vint à légèrement sursauter, avant de discrètement bouger ses jolies oreille pointues… Elle n'avait pas rêvée !? C'était lui, son frère ?! Mais que pouvait il bien faire ici ? Et diantre pourquoi la regardait il ? Enfin… Ça à la rigueur… Ça ne la gênait pas vraiment, au contraire, maintenant qu'elle savait qu'il la regardait, la petite succube trouvait la situation encore plus érotique. En y songeant, Bafamelle vint à fermer les yeux en ce mordant les lèvres puis, ne voulant pas paraît être impolie, tachât de ce concentrer afin de répondre à son grand frère adoré.
*Hmmm… Al' Que… Que fais tu là... tu t'es Hmmm-mit au Voyeurishmmmaa ! *
Oui… Malheureusement, la jeune succube avait un peu de mal à ce concentrer avec toute ces verges en elle et autours d'elle.
-
Initialement, Alastar ne voulait pas se faire repérer. Ce moment était celui de Bafamelle, pas le sien. C’était elle qui avait été invoquée, et qui se faisait tringler dans tous les sens. Depuis des heures, Alastar voyait son corps être l’objet de multiples assauts fougueux émanant de la part de mâles en rut, dopés par des stimulants issus des Enfers. Loin de le lasser, ce spectacle était pour lui une grande fierté, car il voyait que son éducation avait été efficace. Bafamelle tenait le choc, voyant les hommes se succéder les uns aux autres. Mais il connaissait sa petite sœur, et il savait qu’elle allait se lasser rapidement... Il ne fallait pas oublier qu’elle tenait d’Onyxian, même si la Matriarche l’avait assez peu éduqué. Or, Onyxian n’était pas réputée pour sa patience légendaire. Il était donc logique que ce soit aussi le cas pour Bafamelle.
En sentant la présence de son grand-frère et mentor, Bafamelle paniqua, avant de se calmer, et de réussir à lui envoyer un autre message télépathique, qui fit sourire le Diablotin. Il décida de noyer le poisson, et de ne pas dire que sa véritable raison était dans le cadre d’une enquête diligentée par Onyxian... Car il n’avait rien obtenu de concret en fouillant le bureau du Grand Maître. Il devrait mener des enquêtes plus approfondies afin de retrouver son fournisseur, et, si cet élément justifiait sa présence initiale ici, qu’il choisisse de rester ne s’expliquait que parce que Bafamelle était là.
*[MT] J’ai toujours aimé le voyeurisme, ma chère... Mais, pour être honnête, je voulais voir comment ma protégée chérie s’en sortait, avec une bande d’abrutis décérébrés avec des queues énormes. [/MT]*
L’amour et l’affection, c’était Alastar qui l’avait insufflé à Bafamelle. Onyxian n’était pas très maternelle, et c’était lui qui s’était chargé de lui faire des câlins affectueux quand elle était encore aussi petite qu’un gobelin. Un démon grandissait en soi comme n’importe quelle espèce : il était petit, puis grandissait... Ce n’était qu’une fois arrivé à l’âge adulte que les choses différaient, car, contrairement aux êtres humains, les cellules d’un démon ne dépérissaient pas rapidement sous l’effet du temps. Le vieillissement était quelque chose de pratiquement inexistant chez les démons, ce qui expliquait pourquoi, à ses 83 ans, Bafamelle était encore considérée comme une jeune Succube.
Et elle s’ennuyait, pauvre petite chose... Alastar se concentra donc, et utilisa sa propre magie rose sur les hommes prenant soin de Bafamelle. La tâche ne fut pas difficile, car ils étaient déjà très excités, et il insuffla en eux de nouvelles idées, plus perverses, plus... Violentes. Il aurait aussi pu tous les neutraliser, mais c’était toujours son désir de ne pas gâcher la première Invocation de Bafamelle qui le motivait en ce sens.
*[MT] Permets que je change un peu les règles, ma belle... [/MT]*
On poussa Bafamelle, et on ouvrit des placards. Les hommes grognaient et éructaient, et, assez rapidement, Bafamelle se retrouva dans une autre grande pièce, une pièce sombre, sans fenêtres, avec différents instruments de tortures dédiés à un usage SM. Il y avait notamment un chevalet (http://img110.xooimage.com/files/8/2/3/chevalet-triangulaire-4b69527.jpg), sur lequel on installa la Succube, en attachant ses poignets et ses chevilles, avant de lui donner de grosses claques, et de lui mettre un bandeau noir autour des yeux.
« Ouais...
- Traitons-là comme une pute, mes frères ! »
Alastar était toujours là, et, surtout, le cercle d’Invocation aussi. Tandis que des coups de fouet s’abattaient sur le corps de Bafamelle, et qu’on retournait la sucer ou lui défoncer le cul, notre homme se rapprocha du cercle, et le caressa avec ses doigts.
*Il y a beaucoup d’énergie sexuelle résiduelle dans l’air...*
Le cercle était rempli de foutre et de mouille. Alastar posa sa main sur un glyphe, et le cercle d’Invocation ne tarda pas à s’illuminer de nouveau, la magie vibrant au bout de ses doigts. Il rentra directement en contact avec le clan Magoa, bien décidé à offrir à Bafamelle une belle surprise, qui ferait un peu office de clou de la soirée pour elle. Il ne tarda pas à rentrer en contact avec la personne qu’il recherchait au sein du clan, et lui envoya ses propres souvenirs de la soirée, afin de l’inciter à venir... Mais de préférence sous une forme d’emprunt.
Quelques minutes de battement filèrent, avant que le cercle ne se mette à vibrer dans tous les sens. De fortes bourrasques d’air annonçaient la présence d’une Succube très puissante, le genre de démone que ce cercle d’Invocation minable ne pourrait pas retenir. Une silhouette ne tarda pas à émerger... Une redoutable femme blonde dans une tenue noire en cuir (http://img110.xooimage.com/files/6/8/2/mistress-4b6954c.jpg) qui était comme un appel au sexe sauvage.
« Je n’aurais loupé ça pour rien au monde... » glissa la mystérieuse femme.
Pour ainsi dire, c’est un peu comme si c’était la première fois de Bafamelle...
-
-Permets que je change un peu les règles, ma belle...
-Hein ? Que… Quoi ?!
Et hop, à peine la démone eut elle était avertie par son frère d'un « changement de règle » que cette dernière vint à être déplacée vers une autre pièce, avant d'y être attachée sur le ventre à un chevalet avec en prime un bandeau sur les yeux. Bien évidement, tout cela parut un peu brusque au yeux de notre jeune succube qui ce demandait bien comment les choses allaient tourner. Et bientôt… Enfaîte, à peine une dizaine de seconde après avoir attachée Bafamelle, les hommes ce mirent à la fouetter, l'un d'eux ce remettant à la prendre par derrière, enfouissant son chibre dans la jolie paire de fesses de Bafamelle.
«haaa… Haaan ! »
- « tiens, prend sa petite chienne ! »
« Ha ! »
Et hop ! L'homme venait d'offrir une autre fessée à la jeune succube qui répondit à cet acte par un petit gémissement tout à fait adorable. La pauvre était un peu désorientée par ce changement soudain, un changement qui toutefois ne la rebutait guère. Ce sentir ainsi contrainte et attachée, en proie à tout ces hommes sans pouvoir faire quoi que ce soit avait le dont d’émoustiller un peu plus notre jeune succube qui sentie petit à petit les glands turgescent de tout ces mâles ce remettre à ce frotter contre ses joues tendis que derrière elle, l'autre pervers continuait de lui piloner les fesses avec hardeur.
« Haaaa ! HmMaaa !!!
« tient, suce ma bite, petite salope ! » s'exclama alors l'un des hommes en saisissant deux des cornes de Bafamelle avant de faire rentrer son chibre dans sa bouche.
« HmmMmgg !! »
Et voilà, une fois encore notre jeune succube était entrain de ce faire méchamment démonter et ce, d'une manière tout aussi délicieuse que la précédente. Bafamelle pouvait alors sentir certains de ces messieurs ce remettre à jouir sur elle, tendis que l'homme qui la prenait par derrière ne ménagait pas ses effort, enfouissant son membre au plus profond de son fondement et ce, tout en lui tenant sa queue caudale fermement.
Mais alors qu'une véritable tournante ce mettait tranquillement en place, notre Petite démone, bien qu'ayant les yeux bandés, vint à ressentir la présence d'une autre démone en ses lieux, sans pour autant savoir qui était cette mystérieuse inconnue,
Mais à vrai dire, notre jeune démone n'était pas vraiment en parfaite condition pour réfléchir clairement à qui était cette mystérieuse personne qui, à n'en pas douter, aller surement prendre part à cette infernal petite sauterie.
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Si Bafamelle n’avait pas été dans cet état, elle aurait sans aucun doute reconnu l’odeurde la femme venant de rejoindre l’assemblée. Une femme qui, par sa simple présence, semblait écraser tous les mâles en rut autour d’elle. Et, de fait, aucun d’entre eux n’osait venir vers elle, comme si sa présence les terrifiait instinctivement. Elle n’était venue ici que pour Bafamelle. Elle se glissa donc près d’elle, et observa tous ces hommes en train de lui faire sauvagement et intensivement l’amour. C’était violent, ardent, et puissant. Alastar observait lui aussi ce spectacle. Bafamelle était par nature une superbe femme, extrêmement belle, et la voir ainsi se faire prendre avait quelque chose de profondément excitant. Le chevalet grinçait et couinait sous les multiples coups de butoir que les hommes étaient en train de lui faire. Il n’y avait, pour Bafamelle, aucune échappatoire possible. Elle était condamnée à se faire prendre par eux, et ce n’était pas pour la déranger. Une grosse verge était plantée dans sa bouche, et les mains d’un homme se crispaient à sa chevelure, donnant des coups de reins en elle. Dans son dos, on continuait à bourriner son cul ou sa chatte, et, tout autour, des hommes se masturbaient et éjaculaient sur elle, balançant leurs filaments de foutre sur son corps, faisant luire son dos. Le sperme dégoulinait de ses flancs pour tomber sur le sol, glissant le long de la cravache.
Les mâles soupiraient, gémissaient, et la femme blonde leva son fouet, et l’abattit sur le corps de la femme, afin de la faire souffrir un peu... Car elle savait que, chez Bafamelle, cette souffrance ne ferait qu’exprimer son profond plaisir. La femme releva son fouet, et l’abattit encore, continuant à mordre le dos de la femme. Se mordillant les lèvres, la femme se faisait ainsi plaisir, et multiplia les coups. Bafamelle était une Succube, et pouvait donc l’endurer, tout comme ce long gang-bang. Le bandeau autour de ses yeux glissait de plus en plus, et son nez s’enfouissait parfois dans les poils pubiens des hommes venant se relayer dans sa bouche.
Alastar finit par intervenir, son sexe gonflé et tendu. Lorsqu’un homme jouit en elle, l’Incube agit également, et posa ses mains griffues sur les fesses de Bafamelle. Cette dernière put ainsi sentir ses ongles tranchants, répandant des ondes de douleur en elle.
« À mon tour... »
Un léger sourire sur les lèvres, le Diablotin s’enfonça en elle, sa verge se perdant dans son con. Entre-temps, son corps se transforma, devenant plus rouge, plus démoniaque. Alastar récupéra sa véritable forme, et poussa un long soupir, sa verge grossissant et enflant dans l’intimité de Bafamelle, la violant sur place. Sa queue caudale ondula sur place, et fila sur le côté de l’Incube. Avec ses mains, le redoutable diable écartait les fesses de la femme, montrant l’accès à sa porte arrière, et sa queue caudale s’y enfonça rapidement. Les trous de Bafamelle étaient déjà très humides et très élargis, et il fut donc assez facile, pour Alastar, de s’y perdre.
« Haaaa... Ouiii... Allons, Bafamelle, ne me dis pas que tu ne sais pas qui nous a rejoints... »
La mystérieuse femme blonde s’avança, et le bandeau de Bafamelle se retirait, tandis que la femme se tenait juste devant elle, caressant ses cheveux.
« Ma belle petite Bafamelle... J’ai cru comprendre que tu te languissais de ta Maman... »
Maintenant, il n’y avait plus aucun doute possible. La Polymorphie était l’art de prédilection des démons de Luxure, et la femme devant elle prit sa forme normale, permettant ainsi à Bafamelle de voir... Onyxian Magoa (http://img95.xooimage.com/files/e/3/f/onyxian-4203fd3.jpg), sa magnifique et éternelle mère. La Matriarche du clan Magoa venait d’arriver, et, tout autour du trio, les hommes semblaient comme atones. Ils étaient entièrement sous le contrôle de la magie d’Onyxian.
Cette dernière caressa à nouveau les cheveux de sa fille. Alastar continuait à prendre cette dernière, et Onyxian se concentra, puis fit pousser une verge entre ses cuisses, et l’enfonça dans la bouche de Bafamelle.
Autant dire que cette dernière était très bien entourée !
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« À mon tour... »
Quand Bafamelle sentie la mains griffues de son grand frère lui caresser la croupe, elle ce mit à légèrement frissonner sur place… Enfin… Après plusieurs longs mois sans revoir son beau diablotin de frère, elle aller enfin pouvoir le re-sentir en elle et diantre que cela aller être fabuleux !
Bafamelle est Alastar était très liés l'un à l'autre et la jeune succube, bien qu'étant une vrai petite chipie avec ses sœurs et ses autres frères, était avec Alastar beaucoup plus « sage »(quoi-que, des fois, même avec lui Bafamelle était une vrai peste). Finalement, après un court laps de temps, la jeune succube fini par sentir l'imposant membre de son frère lui écarte la fleur, s'enfonçant ainsi progressivement en elle.
Hmmm… Ah... Al' ! Lâchât elle alors en ce trémoussant légèrement sur le chevalet tout en remuant gracieusement sa queue caudale sous le nez du facétieux diablotin. Je… OH ! Al' !?
Et hop !Et voilà qu'en plus de prendre sa propre petite soeur, Alastar vint à écarter les jolie fesses dodue de bafamelle, avant d'y introduire sa queue caudale, comblant ainsi les deux trous mis à sa disposition et ce, pour le plus grand plaisir de cette jolie succube à la peau rouge qu'il aimait tant et, bien évidement, ce serait mentir de dire que Bafamelle n'aimait pas ça.
Aaaaah… HmmMmM Al' ! Houuuhmmouii !
Petit à petit, sous les coups de reins encore léger de son aîné, le bandeau que Bafamelle avait sur les yeux fini par tomber, offrant ainsi à la vue de la jeune tentatrice rougeâtre, la vision de cette belle et mystérieuse femme blonde. Cette dernière gratifia la jeune succube d'une tendre caresse délicatement apposée entre ses petites cornes, avant de finalement lui adresser la parole.
« Ma belle petite Bafamelle... J’ai cru comprendre que tu te languissais de ta Maman... »
Que.. HmmMmquoi !? Mam...haaan !?
Sur ce, la petite succube releva légèrement la tête avec les oreilles dressées et le regard surpris et… Cet alors qu'elle vit apparaître devant elle la véritable forme de sa chère mère : Onyxian Magoa.
Sur le coup, Bafa ne savait pas trop quoi en penser et disons que… Bas qu'elle n'en eu pas vraiment le temps non plus car a peine Onyxian avait elle enlevée son masque que la démone vint à faire apparaître une verge au niveau de son entre jambe, verge qu'elle s'empressa ensuite de mettre dans la bouche de sa tendre fille.
« HmmmMgmmm ! »
Et voilà qu'au centre de cet attroupement d'homme complètement atone, une belle et chaude réunions de famille venait de ce mettre en place. La jeune Bafamelle, alors prise entre sa mère et son cher frère était à présent comblée de toute part, ne pouvant que subir avec délice les traitements de ses aînés en parfaite petite succube qu'elle était. Les coup de bassin d'Alastar vinrent par la suite à ce faire plus vifs, ce dernier prenant toujours appuie sur les hanche doucereuses et les fesses rebondies de bafamelle, envoyant au plus profond de son con son chibre de bonne taille tout en enfouissant dans le fondement de la jeune succube son insidieuse queue caudale, tendis que, de l'autre cotés, la belle et sulfureuse onyxian prenait avec délice la bouche de sa fille, une mains posée sur sa tête, cette dernière venant alors faire office de maintient. Cependant, notre jeune succube était loin d'être inactive ! D'un cotés, elle tachait de ce dandiner légèrement sur le chevalet, tout en prenant un malin plaisir à taquiner son frère en faisant passer le bout de sa queue sous son nez, tendis que pour l'affaire de d'onyxian, Bafamelle s'affairait à enrouler sa longue langue noir et glissant sur le vit de sa mère tout en suçant avidement son mat.
Et tout ceci, dans une ambiance chaude, lubrique, et saturée d'énergie sexuelle, ce qui, bien évidement, ne faisait qu’accroitre la libido de notre trio rougeoyant tout en les alimentant.
-
Le chevalet fut bientôt bien insuffisant pour la retenir, et bien injuste, car Onyxian avait envie d’entendre sa fille hurler. Alastar connaissait bien Bafamelle, et il savait que cette dernière en voulait à sa mère, lui reprochant son manque d’affection. Onyxian, de fait, était la Matriarche du clan Magoa, et était une femme aussi puissante qu’autoritaire, perverse et indéniablement cruelle. Comment pourrait-elle être autre chose ? En Enfer, on ne régnait pas par la douceur et par l’amour, mais par la peur, et la cruauté était le moteur de la peur. Pour autant, Alastar savait qu’Onyxian avait des nuances, et Bafamelle aussi allait le découvrir bientôt. La belle Bafamelle était prise entre les deux diables quand Onyxian déchira les liens la retenant, puis souleva cette dernière, tout en écartant magiquement le chevalet, qui alla s’exploser contre un mur. Aucun des hommes ne réagit, et, en réalité, ils gisaient tous sur le sol, baignant dans leur foutre, certains ayant les yeux révulsés... Mais ils étaient encore en vie. Pour le moment, du moins.
Les deux diables prenaient donc Bafamelle, Onyxian en plantant son pieu dans sa chatte, et Alastar dans son cul. La Succube avait droit à deux amants intenses et résistants, redoutables et puissants, qui la défonçaient joyeusement. Onyxian était l’incarnation pure de la sauvagerie dans le sexe, surtout de cette nature, avec un membre de sa famille. Toute la Luxure environnante la rendait encore plus sauvage, et ses ongles s’enfonçaient dans les hanches de la femme. Pendant plusieurs minutes, les deux démons la pénétrèrent donc, puis Onyxian finit par se rapprocher. Maîtrisant la situation, elle avança vers elle, et une longue langue fourchue sortit de sa bouche, similaire à celle de Bafamelle, et lécha sa nuque.
« Viens embrasser Maman, Bafamelle... » siffla-t-elle ensuite.
Onyxian avait senti la longue langue de Bafamelle quand cette dernière avait sucé sa queue, et Onyxian voulait la sentir dans sa bouche. Les deux femmes s’embrassèrent donc, tandis qu’Alastar, lui, continuait à remuer dans le cul déformé de Bafamelle. La petite succube partageait bien des points communs avec Onyxian. Elle était une sorte de « mini-Onyxian », son côté chipie étant inspiré d’Onyxian. La Matriarche n’était pas une chipie, mais plutôt une sorte de garce, cruelle, et Bafamelle, elle, aimait embêter les autres, rappelant ainsi ses talents et son autorité. Il y avait ainsi, pour le Diablotin, énormément de points communs entre les deux, et il savait que, tôt ou tard, les deux femmes allaient se rapprocher de cette manière. Autant dire qu’il profitait du spectacle, car le cul de Bafamelle était magnifique.
Ses mains s’appuyaient sur ses seins, se crispant dessus, tandis qu’Onyxian, elle, prolongea ce baiser en retirant sa bouche. Sa langue s’était enroulée autour de celle de Bafamelle, et, quand leurs bouches s’écartèrent, leurs langues les retinrent encore un peu, coincées entre elles, remuant délicatement, comme de petits serpents joyeux.
« Hmmmmmm... »
Onyxian récupéra sa langue, en léchant l’une des joues de Bafamelle, puis lui sourit.
« Tu... Tes vraiment délicieuse, Bafamelle... Magnifique à baiser...
- Oh que oui ! »
La langue d’Onyxian alla lécher les seins de la femme, Onyxian baissant pour cela sa tête, puis, ensuite, et pendant de longues minutes, l’Incube et la Succube prirent Bafamelle dans tous les sens, remuant longuement dans son corps, longuement et joyeusement. La verge d’Alastar s’engloutissait dans son cul, ses testicules claquant contre ses fesses, puis il revenait en arrière, et repartait en avant, s’avançant voracement dans le corps de sa petite sœur. Il en allait de même pour Onyxian, qui finit par susurrer dans le creux de l’une des deux oreilles pointues de Bafamelle une indécente proposition :
« Utilise ta queue caudale, Bafamelle... Choisis quel cul tu veux pénétrer... »
Généreuse, Onyxian lui laissait le choix. Quelle chance !
-
Très rapidement le chevalet sur lequel Bafamelle était affalée vint à êtres mis aux oubliettes, offrant alors de nouvelles possibilités au deux aîné de notre adorable succube. Cette dernière venant alors a ce faire prendre en sandwich par son frère et sa mère, tout deux étant alors munis d'un énorme pilonne de chair qui déformait sans scrupule les pauvres orifices de la jeune succube en proie a l'excitation et au plaisir le plus chaud et torride qu'il soit. Ensuite, la jeune démone vint à voir sa mère se reprocher un peu plus d'elle, avant de finalement lui susurrer ces quelques mots à l'oreille.
« Viens embrasser Maman, Bafamelle... »
« hanwmmm… »
Et hop, sans en dire plus, les deux succubes vinrent a entremêler leur longue langue serpentines entre elles, s'offrant ainsi un long et langoureux baiser et ce, sous le regard lubrique de ce cher Diablotin. Il est vrai qu'Onyxian ne c'était jamais vraiment occupée de Bafamelle et que cette dernière, une fois bien au chaud dans son petit berceau d'Orichalque, avait durant les première année de sa vie était éduquée tantôt par son frère, tantôt par certaines de ses sœurs. Maintenant, Bafamelle était devenue une succube très importante, très peu de ses sœurs osait la contredire ou lui crêper le chignon car il faut savoir que la belle petite succube n'était pas n'importe quelle démone, au grand nom ! Fille unique de Salabog XIII, Bafamelle avait de ce fait un status particulier, une sorte de noblesse qui lui permettait (injustement d'ailleurs) d’embêter, d'insulter et de critiquer toutes les autres succubes de clan. Bafamelle était une charmante petite vipère, une adorable peste qui, toutefois, quand elle allait un peut trop loin dans ses bêtises, ce faisait gentiment remettre en place par Alastar, mais toujours de manière « ludique » évidement.:3
Le seul dans tous ça à ne pas vraiment aimer la situation « débridée » de Bafamelle était… Son père… Ce dernier savait certes que la jeune femme était une succube mais il préférerait bien mieux la voir pratiquer la magie noire et les arcanes démonique, plutôt que de batifoler avec son bon à rien de frère ou ses autres putes de sœurs (ce sont ses mots). Salabog était dur, cruel et sévère. C'était un puissant démon, descendant direct du grand Lazaruss dont la réputation continuer de résonnait aux enfers comme celle du démons ayant libéré la puissante Déesse Méphistoria. Et… Bafamelle dans tout ça ? Et bien elle ça lui passait au dessus des cornes, son éducation ce faisait au fil des coup de butoir et des jeux entre copine, hédoniste et luxurieuse, Bafamelle vivait de sexe et au chiotte l'éducation… Enfin pour l'instant, car Salabog, comme Onyxian, savaient bien qu'en jour ou l'autre, la jeune démone finirait par devenir quelqu'un dans les enfers, c'était écrit et c'était d'ailleurs la raison de sa naissance : transmettre l'héritage de la lignée de Salabog.
Mais pour l'heure, la jeune peau rouge était tout bonnement prise entre ses deux ainés, sa garce (mais très belle) mère et son charmant frangin. Les coup de reins ce succédaient joyeusement et, quand le doux baiser entre les deux femmes vint enfin à ce rompre, Onyxian, toujours aussi perverses, vint à faire une sulfureuse proposition à sa charmante progéniture.
« Utilise ta queue caudale, Bafamelle... Choisis quel cul tu veux pénétrer... »
Entendant ces mots, le sang de bafamelle ne fit qu'un tour… Dans le bon sens du terme, évidement. Elle n'avait pas rêvée ? Onyxian lui demandait de choisir qui pénétrer avec sa queue ? L'espace d'un instant, la jeune succube se mit à regarder l'un après l'autre sa mère et son frère, puis, après quelque seconde de battement, elle fini par tourner sa tête vers sa mère (qui la prenait toujours) avec un regard lubrique et jouer, tendis que la jeune succube vint à faire claquer sa queue sur les fesses de la matriarche.
« Il es… HmmmMm… Grand temps pour moi de te montrer mon expérience… HmMaman… Tihihi ! »
Lentement, Bafamelle souleva sa queue caudale, avant de ce concentrer quelque secondes, suite à quoi le bout de sa queue vint à devenir un peu différent. La belle succube venait de faire usage de sa magie rose, donnant alors au bout de sa queue la forme d'une verge, bout qu'elle s'empressa ensuite de glisser entre les belles fesses charnue de sa mère, enfouissant autant qu'elle le pouvait sa queue caudale en elle. Cela eu pour effet de double le plaisir de la jeune Bafamelle qui, comme tout les membres de son espèce, avait une queue particulièrement érogène.
« HmMmmMM !!!! Gémit alors la petite succube en envoyant sa tête légèrement en arrière tout en ce mordant les lèvres. Je… HmMm ! Je peut aussi la faire plus grosse si tu veux… M'man. »
Et hop, avec toujours une lueur espiègle au fond des yeux, la jeune succube vint à ré-embrasser sa mère, tendis que derrière, Alastar continuer de sèchement enfouir son vit dans le cul de sa propres petites sœur.
Les joies des relations incestueuses...
-
Pour Alastar, il était évident que Bafamelle n’allait pas rater cette occasion. Elle avait déjà sodomisé Alastar, car l’Incube, en matière sexuelle, était un démon très ouvert d’esprit, et partait du principe qu’il se devait de tolérer tout ce qu’il infligeait à ses amants et amantes, ce qui, partant de là, impliquait la pratique de la sodomie. C’est donc ce qu’Alastar faisait en ce moment, remuant son sexe dans les fesses de Bafamelle. En Enfer, ou, plutôt, dans le clan Magoa, la sodomie était une pratique sexuelle tout à fait normale, et non une déviance. Alastar avait entraîné Bafamelle dans les voies du sexe, car, même si elle était la fille d’un puissant démon adepte de la magie noire, elle avait aussi, en elle, le sang d’Onyxian... Et Onyxian était avant tout une spécialiste de la magie rose. Trop souvent, on sous-estimait la magie rose, alors que, en réalité, c’était une magie capable d’émettre des sorts redoutables. C’était une magie aux arcanes terrifiantes, et il fallait voir Onyxian se battre pour le combattre. Alastar pouvait, sans trop d’erreurs, prétendre qu’Onyxian était l’une des grandes spécialistes de la magie rose. Elle avait eu quantité d’enfants, généralement avec de puissants démons, et avait envoyé ses propres Succubes devenir les consœurs de bien des Princes, y compris de Lucifer. Oui, on sous-estimait beaucoup trop les succubes, et c’était bien évidemment le cas pour Onyxian... Une erreur à laquelle Alastar ne se risquerait pas. Ils avait entièrement de quoi Onyxian était capable.
Ce fut donc sans surprise qu’il vit la queue caudale de la jeune succube s’enfoncer dans le cul d’Onyxian. Sodomiser sa Maman... Une idée qui aurait fait horreur à n’importe quel humain, mais qui, chez des succubes et des incubes, était une chose, non seulement normal, mais aussi dont on pouvait se sentier fier. L’inceste n’était pas une notion propre aux démons de Luxure, où les clans n’étaient que d’éternelles sauteries consanguines. Bafamelle avait enfin l’occasion d’explorer le fondement de sa Maman... Et elle n’allait certainement pas passer à côté.
« Haaaa... !! »
Onyxian laissa un soupir de plaisir s’échapper de ses lèvres quand la queue caudale de Bafamelle remua en elle. Ses mains se crispèrent sur ses cuisses, et Alastar déplaça alors les siennes, venant les poser sur chacun des seins de sa petite sœur, les pétrissant amoureusement, ses doigts jouant avec ses tétons, le tout dans le seul et unique but de la faire couiner davantage. C’était intense et douloureux, comme on pouvait s’y attendre. Le sexe d’Alastar était toujours perdu dans son cul, s’enfonçant toujours un peu plus, et il se délectait des hurlements et des soupirs des deux femmes. Bafamelle indiqua qu’elle pouvait faire grossir sa queue, et, pour seule réponse, Onyxian alla l’embrasser, plaquant ses lèvres contre les siennes.
« Hmmmmmmmmmmm... !! »
La Matriarche releva ses lèvres, avec un sourire, et sa longue langue lécha sa joue.
« Défonce-moi le cul, Bafamelle... Sois une digne Magoa... Défonce-moi autant que nous te défonçons, ma puce... ! »
Onyxian ponctua cette phrase d’un violent coup de reins, et Alastar fit de même, leurs deux membres s’engloutissant ainsi dans les tréfonds du corps de la petite Succube, formant comme deux lances de chair qui la massacraient sur place. Les démons comme eux mettaient tout leur temps à jouir... Et ça se vérifiait en ce moment.
-
« Défonce-moi le cul, Bafamelle... Sois une digne Magoa... Défonce-moi autant que nous te défonçons, ma puce... ! »
« HaaAaAnwmmm ! »
Sous tous ce plaisir et cette luxure, notre jeune succube ne pouvait que gémir et vrombir de désir et de satisfaction ! Sentant ce perdre en elle les délicieux membres rougeâtre de ses aînés qui, par un soucis d'éducation, ne la ménageait pas. La jeune succube était donc prise d'un coté par sa mère, la lascive et plantureuse Onyxian, Matriarche des Magoa, une succube plus qu'expérimentée et dont la solide réputation de dominante sadique et brutale n'était plus à faire et, de l'autre coté, profondément planter dans le cul de bafamelle, il y avait le facétieux Alastar, l'un des rares incubes du clan mais aussi le grand frère chéri de notre jeune succube, celui qui lui avait tout appris du sexe et de ses bienfait.
Enfin, toujours est il, notre espiègle petite peau rouge était à présent partagée entre deux monts de puissance, deux démons bien plus expérimentés qu'elle et cela pouvait aisément ce ressentir et s'entendre ! Bafamelle ne cessait de couiner de de gémir sous les coups incessant de sa mère et de son frère qui semblait ne pas ce lasser d'aller et venir en elle, comme s'il cherchait à aller toujours plus loin. Fort heureusement, la jeune succube avait de quoi répondre ! (à sa mère tout du moins) Enfouissant dans le fondement de cette dernière sa queue caudale avec assiduité et expertise, tachant d'extirper quelque gémissements et autre couinement qui serait pour bafamelle, fort réjouissant.
HaaaAAnww ! AH ! NyuuUUhMMmm !
Et hop ! Bafamelle, en voyant les alléchantes mamelles de sa mère rebondir sous son nez eut alors la délicieuse idée d'en attraper une, gobant de suite le délicieux mamelons qui l'ornait avant de finalement ce mettre à le sucer avec avidité et gourmandise, tirant dessus, le mordillant, entrelaçant sa langue autour… Oui, la jeune bafamelle venait de trouvait un délicieux moyen d'offrir encore plus de plaisir a sa mère… Quoique… En réalité, c'était plutôt Bafamelle qui ce faisait plaisir, sucer un sein était toujours très agréable, c'était quelque chose d'apaisant et, de plus, chez les succubes, cela avait un autre avantage. Et oui, contrairement aux humains, les démones était pour la plupart capable de produire du lait n'importe quand. Il fallut donc peut de temps avant que Bafamelle vienne à sentir le bon lait de sa mère couler dans sa gorge, un lait que la jeune succube avala avec gourmandise et avidité, pompant amoureusement lé tétine noire de sa mère comme une vrais petite morfale !
« HmmmMmgmm ! »
Là, blottie contre le corps chaud de sa mère, prise entre deux verges au dimensions gargantuesques, la jeune succube tétait amoureusement le sein de la matriarche Magoa. Quand… Au bout d'un moment, la jeune bafamelle vint à sentir une intense sensation de chaleur et d'exaltation s'emparer d'elle. Lentement, la petite succube vint à lever les yeux vers sa mère, tendis que ses joue (déjà rouge) ce mirent à rosirent et ses pupilles à luire de plus belle. Sans vraiment le savoir, Bafamelle venait d'ingurgiter un très puissante aphrodisiaque, ce qui vint à la faire mouiller de plus belle, tendis que son bas ventre vint à s'emplir d'une excise chaleur, chaleur de laquelle des millions de frissons s'en allèrent émoustiller tout le corps de la jeune succube qui, sous cette explosion de sensation, accentua les aller et venue de sa queue caudale qu'elle vint a faire grossir, élargissant ainsi l'orifice de sa mère.
« HmmmMmMMmmmMMgggg !!!!!!! »
Les corps des trois démons étaient en nages, collés ensemble, peau contre peau et il fallut peu de temps pour que l'aphrodisiaque vienne à ce transmettre et, alors qu'elle continuer d'avaler le lait de sa mère tout en lui défonçant le fondement, bafamelle sentie la verge de son grand frère ce mettre a grossir et grandir en elle, poussant alors Bafamelle a remuer d'elle même sur les deux chibres de ses aînés.
-
Alastar et Onyxian prenaient cette femme ensemble, avec une passion forcenée et dévorante. La petite Bafamelle était bien ravie, et avait droit à un sacré traitement entre ces deux démons à la peau rouge. Un Incube et une Succube, tous les deux très expérimentés, de véritables bêtes de sexe, qui avaient derrière eux des milliers d’heures de sexe, des milliers de coups de triques, de mouvements de reins, de soupirs, et de pénétrations. On aurait pu croire qu’ils puissent s’en lasser, mais le sexe était au cœur de l’identité d’un démon de Luxure, comme génétiquement encodé en eux. Se pinçant les lèvres, Alastar remuait dans le cul de Bafamelle. Ce n’était pas la première fois qu’il la sodomisait, loin de là, mais c’était toujours aussi bon à faire. Il sentait le délicieux corps de Bafamelle, ce corps doux et chaud, rebondissant contre le sien, revenant parfois s’empaler contre sa queue quand Onyxian donnait ses coups de reins. Que Bafamelle profite d’elle était tout à fait normal, et Alastar trouvait ça mignon. C’était de l’amour filial, une scène qui contredisait l’image qu’on se faisait d’Onyxian, cette femme cruelle et insensible, froide et glaciale envers ses propres enfants. Onyxian était ça, bien sûr, mais elle était aussi autre chose, et cette autre chose s’offrait en ce moment à la petite Bafamelle. Sans trop le savoir, l’espiègle petite succube était bien plus proche de sa mère que ce qu’elle ne pensait, et Alastar était très heureux d’être là. Onyxian avait certainement dû tout manigancer dès le début, c’était le genre de scènes qu’elle aimait bien, surtout quand il y avait, à la clef, des âmes à récupérer.
Leurs verges enflaient et grossissaient, encore et encore, car Bafamelle pouvait l’endurer. Ils ne la ménageaient bien entendu pas, et Alastar s’enfonçait très profondément en elle, jusqu’à la garde, ses mains continuant à peloter les seins de la femme, pinçant ses tétons. Bafamelle adorait jouer avec les seins, et elle adorait qu’on tripote ses nichons. Alastar ne le lui avait jamais dit, mais c’était un point commun avec Onyxian. Le Diablotin était l’une des rares personnes du clan à savoir qu’Onyxian adorait faire des cravates de notaire, que c’était son grand fantasme, et qu’elle adorait avoir du sperme nichée entre les seins, et sur les seins. C’était un secret qu’Alastar n’avait pas le droit de partager, et, pour le lui rappeler, elle le fouettait régulièrement en lui tirant les cheveux.
« Ton cul... Il est si bon, ma petite Bafamelle, haaaa... »
Il lécha son cou, et mordilla ensuite sa peau, puis la parcourut de baisers Bafamelle s’avança alors, et vint sucer les seins d’Onyxian, qui poussa un soupir, en écartant ensuite la tête d’Alastar, afin de poser ses mains sur les cheveux de la femme. Bafamelle s’attaqua à ses seins, s’astiquant autour de ses tétons, faisant gémir l’intéressée.
« Ooohhh... On a envie de téter les seins de Maman, hein ? Ma belle petite fille... »
Tant de compliments en une seule phrase... Impressionnant ! Alastar avait posé ses mains sur les hanches de Bafamelle, et ne se privait pas de continuer à bourrer son cul, ce délicieux petit trou qui était très malléable, après avoir été tant de fois enculée sur place depuis le début de cette soirée. Le lait d’Onyxian ne tarda pas à filer dans la bouche de Bafamelle, un lait terrible, très bon, mais aussi très aphrodisiaque. Bafamelle le buvait goulûment, en digne petite succube gourmande qu’elle était, et elle se tortillait contre Onyxian en avalant ce lait. Sa queue caudale, elle, vint à grossir encore, et continua à malmener le cul de la matriarche.
« Huuurrrmpffff... » soupirait-elle.
Même elle, aussi expérimentée soit-elle, ne pouvait retenir la douleur... Et c’était tant mieux, car une sodomie se devait d’être douloureuse pour être efficace. Onyxian gémissait de plaisir, et ses mains se posèrent sur les cuisses de Bafamelle, une fois que cette dernière eût fini de goûter à son lait, et elle accrut encore plus fort ses mouvements, griffant sa peau. Son lait était maintenant dans son ventre, et Onyxian savait ce qui allait se passer sous peu... Chez les Succubes, le lait d’Onyxian avait pour effet de déclencher instantanément un orgasme... Ou, plutôt, une série de multiples orgasmes, ininterrompus et continuels, pendant un long moment.
Autrement dit, Bafamelle allait vivre un trip sexuel sous peu...
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Les flatteries et autres compliments aller bon train ici bas et, tendis que deux beau pilonne coulissaient vivement en elle, Bafamelle ce mit à devenir de plus en plus chaude et fiévreuse, une fièvre torride et luxurieuse qui emplissait son corps à une vitesse folle !
Petit à petit, l’espiègle succube vint à ressentir des centaines de petits frissons lui parcourir l'échine, faisant bouillir son sang tendis que sa peau, elle, devint beaucoup plus sensible.
Chacune des caresses de sa mère, chacun des mouvement de rein de son frère, vinrent a devenir extrêmement plus intense et jouissif. Bafamelle, la bouche entre-ouverte ce mit alors a haleter en tirant légèrement la langue, ses yeux fuchsia devenant quand à eux encore plus brillant face à cette monté de luxure faramineuse.
« Haaaa… Haaaa… HmMmmHAAAAAAaaaannn !!!! »
Face à tout ce plaisir, la facétieuse petite diablesse vint à bouger son délicieux petit cul rebondie avec plus de vigueur encore, engloutissant les queues de ses aînée à chaque vas et viens et ce, dans un bruit de claquement fortement audible et ce, jusqu'à ce que, d'un coup, Bafamelle vienne a s'enfourcher avec violence sur les deux pilonnes rougeoyant de ses paires en hurlant de plaisir, la bouche et les yeux grands ouverts.
HMHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNWWWWWW !!!!!
Et voilà… La jeune démonette venait de jouir… Mais, a peine avait elle eu le temps de ce remettre de ce premier orgasme, qu'un autre vint à lui traverser le corps… Puis un autre… Et encore un autre ! Bafamelle était maintenant prise dans un extraordinaire torrent d'orgasme qui, loin de l'épuiser, ce mirent même à la booster ! Augmentant ainsi son appétit sexuel de manière inouïe !
HAAAaAaaAaWMMmMMmmmm !!!! HAAAAAAA !!!! Hummmmppfff !!!
Sans aucune douceur, Bafamelle vint alors a embrasser sa mère avec passions, enfouissant dans la bouche pulpeuse de la matriarche sa langue tout en lui pelotant les seins avec fermeté et agressivité, tirant sur ses tétons, les pinçant, griffant les sein de sa propre mère tout en continuant bien entendue de lui pilonner le derrière avec tout autant de violence. La jeune succube était en fusion, son corps en était à une bonne dizaine d'orgasme et alors que ses deux aînés continuer d'enfouir en elle leur grosse verge, Bafamelle vint a rompre son baiser, avant d'approcher sa bouche de l'oreille de sa mère.
"Haaaaa… HmMmmAaaa… hungMMmmaannnh… Tu… HaaA ! Tu voudras qu'on Martyrise Al' HaAaaAprès... HgMmMmm… ça… ?" Lui susurra elle alors la jeune succube, visiblement en proie à une forte monté d'hormones.
L’espiègle Bafamelle mit finalement fin a cette phrase par un grand coup de queue dans le fondement endoloris de sa mère et ce, tout en lui mordant l'oreille alors même que plusieurs orgasme continuait d'affluer dans le corps de notre jeune succube.
Est c'était dans ce genre de moment qu'on était en droit de ce dire que, oui, Bafamelle avait bel et bien héritée de tout l'appétit sexuel d'Onyxian.
[PS : Quoiqu'il puisse ce passer ensuite, Alastar doit savoir que Bafamelle le respectera et l'aimera toujours :'3]
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C’était un plaisir que seule une Succube pouvait supporter... Ou un Incube dans le cas opposé. L’abus d’orgasmes à répétitions était épuisant pour la santé, et, dans certains cas, Onyxian avait même vu des amants en perdre la raison pendant quelques instants, devenant ensuite complètement amorphe, comme si toutes leurs forces les avaient vidé. C’est à ce prix qu’on goûtait au fruit défendu : le lait aphrodisiaque d’une Succube. Tous les hommes étalés autour du trio en avaient fait les frais en se droguant avec le sang des Succubes. Bafamelle était traversée par des séries incontrôlables d’orgasmes, lui procurant un plaisir infini, exquis, et indescriptible. Aucun mot et aucun superlatif ne semblaient être assez forts pour décrire ce que, en ce moment, sa chère fille ressentait. Et, en la voyant ainsi, irradiant de bonheur, traversée par la plus sincère des joies, la Matriarche ne pouvait que s’en féliciter, et être heureuse pour elle. Bafamelle restait sa fille, son adorable petite chipie de fille, et la voir ainsi, si heureuse, était magnifique. Onyxian s’en pinçait les lèvres de joie, et continuait naturellement à lui rendre hommage en bourrant sa petite chatte.
Sa mouille se déversait sur sa queue, lui donnant l’impression d’être dans une piscine. Quant à Alastar, le brave Diablotin continuait à lui ramoner le cul, mais il savait ce que Bafamelle avait fait, et ce qui lui arrivait en ce moment. Et c’était pour lui un grand moment, qui le faisait trembler d’envie. Son corps remuait plus voracement, sa chair claquant contre la sienne. Bafamelle n’était plus qu’une poupée sexuelle se tortillant entre les deux démons, qui la pénétraient rudement, profondément.
« Haaaaa... !!
- Hnnnn... Hnnnnn !! »
Il y avait, dans ces mouvements vifs et intenses, une sorte de violence innée et instinctive. C’était magnifique, tout simplement magnifique... Onyxian en jouissait aussi, envoyant son sperme chaud dans le corps en transe de Bafamelle. Et Alastar aussi, galvanisé par le plaisir des deux succubes, se déversa aussi dans son corps. Ainsi, le petit ventre de Bafamelle s’arrondit rapidement, car ils jutaient généreusement, balançant de nombreuses giclées, sans se retenir. Pourquoi se seraient-ils retenus, d’ailleurs ? Cette femme était magnifique, une beauté sans pareille, et la défoncer était le plus grand cadeau qu’ils pouvaient lui faire.
Bien sûr, la proposition indécente de Bafamelle n’échappa pas à Onyxian, qui n’y répondit toutefois pas, se contentant d’un léger sourire. Le bon Alastar n’entendit rien, et Onyxian se contenta de soupirer et de gémir quand elle sentit sa fille la mordre, ou sa queue caudale s’enfoncer plus lourdement en elle. En ce moment, Bafamelle, cette petite créature rebelle et sauvage, était en train de lui montrer à quel point elle avait envie de sa chère Maman, et à quel point il était bon de la baiser.
« Aaaah, ma chère petite.... »
La mouille de Bafamelle était en train de maculer le sol. C’était comme le bouquet final d’un feu d’artifice. Alastar et Onyxian se déchaînaient sur elle, et Onyxian était plus que jamais bel et bien convaincue que la petite créature se tortillant entre eux était bel et bien sa fille. Une Succube espiègle, voilà bien ce qu’elle était... La digne fille de sa mère. Les deux diables rouges se lâchèrent en elle dans un ultime jet... Puis se retirèrent ensuite. Sans aucun soutien, Bafamelle tomba sur les fesses, avec le ventre bien rond. On aurait pu croire qu’elle était enceinte, vu comment son ventre avait grossi.
Le sperme coulait de tous ses trous. Alastar s’était défoulé sur son cul, et il reprenait son souffle, tout comme Onyxian, même si elle se masturbait devant Bafamelle. Elle n’en avait pas encore tout à fait fini... C’était comme si un petit fond se trouvait encore dans ses testicules, et, après quelques instants à se masturber, elle sentit la vague venir. De sa main libre, elle invita Bafamelle à venir sucer sa queue, puis jouit en elle.
« Bois ta belle sou-soupe, ma fille chérie... »
Elle laissa Bafamelle la sucer, et Alastar se rapprocha à son tour, bien décidé à honorer également Bafamelle. Cette dernière les suça donc, pouvant ainsi les masturber. C’était comme des caresses après une étreinte passionnelle entre deux amants, un moyen de reprendre des forces.
« Lààà, lààà, goûte bien, ma puce... Ch’est bon, hein ?
- Oh, Bafamelle... Aaaah, tu es très douée, ma chérie, très, très douée... »
Le sperme dégoulinait parfois de ses lèvres, glissant le long de son menton, tandis que, progressivement, son corps recrachait tout le foutre en elle. Autant dire que ce n’était pas très beau à voir. Une épaisse flaque de foutre et de mouille était en train de couler sous le corps de Bafamelle, s’étalant de plus en plus.
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Petit à petit, Bafamelle ce sentie « redescendre » de son trip qui, sans l'avoir vider de toute son énergie, l'avait avouons le un peu fatiguée. Pour autant, cela n’empêcha pas son frère et sa mère de continuer à lui pilonner ardemment les orifices et ce, sans aucun ménagement, jusqu'à finalement jouir en elle de manière assez conséquente. Les éjaculations d'incubes et de succubes était réputées pour être particulièrement copieuses et, même Bafamelle du haut de son jeune age, était capable d'envoyer de bonnes quantités de foutre lors de ses éjaculations. Cet alors que sans aucun remord, les deux aînés de notre facétieuse petite succube vinrent à la remplir de leur semence, a un tel point qu'au final, la jeune démone vint à avoir un jolie ventre légèrement arrondie sous l'effet de tout ce sperme amoureusement introduit en elle.
« Gueu… » Gémit alors la démone en posant l'une de ses mains sur son bedons, tendis que sa mère, verge à la mains, vint à s'approcher d'elle.
La Matriarche prit ensuite la délicieuse initiative d'engouffrer dans la bouche de Bafamelle sa verge luisante de mouille et de sperme, allant même jusqu'à la complimenter ! Choses que fit également le beau diablotin. Notre jeune succube, bien que légèrement essoufflée et dégoulinante de foutre, était heureuse. Cela faisait bien longtemps qu'elle ne c'était pas autant amusée et elle espérait bien que cela aller continuer ! Dans son jeune esprit, des millions d'idée perverses ce mirent alors à fleurirent, tendis que dans sa bouche, les belles verges de sa mère et de son frère vinrent à ce lâcher une dernière fois, offrant à notre petite peau rouge un délicieuse en-cas de minuit.
Bafamelle avala ensuite contentieusement le bon liquide offert par ses aînés, avant de regarder sa mère avec une lueur espiègle au fond des yeux tout en passant le dos de sa main sur ses lèvres, afin d'essuyer le reste de sperme qu'il rester ici est là sur sa bouche.
« Pfiuuuuu… Tu... Tu as réfléchit à ma… Petite proposition ? »
Lentement, Bafamelle vint alors à ce relever, du sperme continuant encore de couler le long de ses jolie gambettes, gambettes qui, bien que solides, était toutefois encore un peut tremblantes. Ensuite, la petite succube, toujours avec un regard de chipie au fond des yeux, allât ce mettre prêt de sa mère enlaçant cette dernière tout en regardant le bel Alastar avec un petit sourire.
« Fuhuhu… Al'… » Ponctuât elle ensuite d'un claquement de sa jolie queue caudale.
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Bafamelle goûta aux deux queues présentes pendant quelques minutes, avant de demander à sa mère si elle avait réfléchi à sa « petite proposition ». Alastar, qui n’était pas au courant, fronça les sourcils, en se demandant à quoi cette petite chipie faisait référence. Il regarda Onyxian en fronçant les sourcils, mais cette dernière se contenta de sourire, sa main allant caresser les longs cheveux bruns de sa fille. La manière dont Bafamelle le regarda ensuite amena l’Incube à froncer les sourcils.
« Qu’est-ce que vous manigancez, toutes les deux ? »
Onyxian, si froide, était aussi une femme pleine de passion, et, même si elle ne le montrait pas beaucoup, elle aimait profondément ses filles. Bafamelle avait certainement profité de ce moment d’intenses pénétrations pour lui soumettre une idée, et Alastar, qui n’était pas si naïf que ça, savait que ça le concernait. Cependant, Onyxian choisit de maintenir le suspens, et préféra tourner la tête vers les hommes endormis. Ceux qui avaient baisé Bafamelle en long, en large, et en travers, avant que les deux diables n’interviennent. Ils gisaient encore, mais certains commençaient à se réveiller. Or, c’était bien vers eux que le regard d’Onyxian se tournait en ce moment.
« Il faut s’occuper de ces hommes, ma puce... Tu es encore debout, et eux sont à terre. Ils n’ont donc pas réussi à te satisfaire, et, en conséquence, tu peux prendre ton dû. »
Leurs âmes. Était-ce de ça dont il était question ? Alastar avait envie de le croire... Mais son instinct lui disait que ces deux femmes avaient parlé d’autre chose. Onyxian se déplaça un peu, se rapprochant d’eux. Ils étaient endormis, inertes, et elle laissa Bafamelle se rapprocher.
« C’est ainsi que tu deviendras forte, Bafamelle. Absorbe leurs essences, et elle renforcera la tienne, accroissant tes caractéristiques et tes performances. »
Onyxian avait dévoré tellement d’âmes au cours de son existence... Des princes, des clochards, de riches aristocrates, de simples fermiers... Tous succombaient à la Luxure, et, tous, elle les tuait, les dévorant. C’était la rétribution d’une Succube, et il était temps que Bafamelle y goûte. Toute cette force allait être à elle. Onyxian lui avait montré comment faire. Il suffisait de tendre ses mains, de fermer les yeux... Et de les avaler. L’essence vitale de ces gens allait alors s’échapper de leurs corps, les condamnant à une mort rapide. Bien sûr, Bafamelle pouvait aussi refuser... Mais ce serait à leur avantage. Ils se retrouveraient dans les Limbes, et avaient toutes les chances d’atterrir dans les Cours du Palais Magoa, où, s’ils étaient à leur hauteur, ils pourraient redevenir les amants de Bafamelle.
Ainsi fonctionnait le pacte.
« Absorbe-les... Puis nous irons nous amuser comme tu le souhaites au Palais... Mais sache que, j’ai, moi aussi, une petite surprise pour toi... Ainsi que pour Alastar. »
Onyxian aussi savait se montrer cachottière.
Oh, comme Alastar pouvait ne pas aimer ça !
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Quand Bafamelle vit son frère froncer les sourcils en demandant qu'est ce qu'elle et sa mère était entrain de fomenter, la jeune succube retint un petit rire malicieux. Bafamelle aimait beaucoup son grand frère, certes, mais êtres ainsi avec sa maman lui donnait de nouvelle envies et la rendait plus sur d'elle et plus « joueuse ». Mais très bientôt, notre facétieuse petite démone vint à devoir faire ses preuves d'une toute autre manière qu'en faisant l'amour et ce, en dévorant les âmes de tout ses messieurs ici présents. Une chose que la succube n'avait en réalité jamais fait.
« C’est ainsi que tu deviendras forte, Bafamelle. Absorbe leurs essences, et elle renforcera la tienne, accroissant tes caractéristiques et tes performances. »
Là, face à ce ramassis de pauvre bougres au existence insignifiante, Bafamelle ne savait pas trop par où commencer. Toutefois, après quelques petites secondes de battement, la petit démone vint enfin à tendre les mains, fermer les yeux et à entrouvrir la bouche, ce concentrant ensuite quelque secondes avant de finalement commencer à sentir l'essence vital de ses messieurs monter en elle, tendis qu'eux, les pervers à l'origines de ce gangbang, commencèrent à gémir et à couiner dans leur « sommeil », des gémissement qui finirent par s'éteindre au bout de plusieurs secondes… laissant alors une vingtaines de corps sans vie sur le sol, le visage pale et vieillit.
« HMMmmm… pfiuuu ! »
Lentement, Bafamelle vint à rouvrir les yeux, ses iris luisants alors d'une belle et somptueuse lueur fuchsia. La jeune succube ce sentait bien… Très bien même ! Elle avait recouvert l'ensemble de son énergie et de sa vitalité et était à présent prête à repartir pour un tour ! Sa queue caudale gigotant joyeusement à la manière de celle d'un serpent à sonnette. La jeune succube ce retourna ensuite vers sa mère et son frère avec toujours la même lueur espiègle et joueuse au fond des yeux.
« C'est fait ! Je les ais tous bien mangés <3 »
Bafamelle était fière, c'était son premier « repas » et dieu qu'elle c'était régalée. Maintenant, elle ne désirait qu'une chose : retourner en enfer afin de connaître la jolie surprise que lui avait préparée sa maman ! À elle et… à Alastar.
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Alastar n’avait jamais mangé de partenaires. Un Incube avait pourtant autant le droit qu’une Succube de le faire, mais il n’avait jamais pu se résoudre à tuer ainsi ses amantes. Trop fleur bleu, sans doute... Ou trop romantique. Le Diablotin se contentait de leur faire sauvagement l’amour, et, de toute manière, comme elles redoublaient généralement d’efforts pour lui faire plaisir. En réalité, l’absorption d’une essence reposait en grande partie sur la volonté d’une Succube, car il était rarissime qu’un humain parvienne à épuiser un démon de Luxure, et ce dans la mesure où les démons se nourrissaient, justement, de la Luxure. C’est bien pour ça qu’un vieux proverbe disait que les succubes étaient des trésors aux humains interdits, car cette rencontre était souvent mortelle. Et, en laissant à Bafamelle la possibilité d’absorber une vingtaine d’âmes, Onyxian était en train de lui faire un grand cadeau. Elle aurait tout aussi bien pu les avaler pour elle-même. Qui oserait encore prétendre, après ça, qu’elle était une mauvaise mère ? Elle resta à côté de Bafamelle, sa main caressant affectueusement ses cheveux, et la petite succube tendit ses beaux doigts en avant, puis les avala. Alastar vit des lueurs dorées s’échapper des corps. Les hommes gémirent de douleur, se tortillant faiblement. Généralement, une succube prenait son dû juste après l’orgasme, dans les quelques secondes qui suivaient ce moment, généralement le moment qui, autant pour un homme et une femme, était le plus joyeux qui soit. La mort était ainsi douce, et il n’était pas rare que les amants partent même avec le sourire.
Le Diablotin vit donc les essences vitales filer, renforçant celle de Bafamelle. La magie se mit à vibrer dans la pièce, et Bafamelle retrouva toute sa vitalité. Cependant, elle n’avait pas juste fait que recharger ses batteries ; en les mangeant, elle avait augmenté ses performances, accru sa puissance. C’était là le grand pouvoir des Succubes, et ce qui expliquait pourquoi les succubes très âgées étaient souvent des démones extrêmement puissantes, et pourquoi il fallait toujours se méfier d’une succube dans son lit.
Alastar, lui, était de fait souvent fouetté pour son refus à manger des âmes. Ça ne plaisait pas à Onyxian, car la Matriarche estimait que ça donnait une mauvaise image du clan Magoa... Mais c’était plus fort que lui. Quand il voyait les beaux visages endormis, les corps encore chauds de femmes désolées presser contre son torse, il était incapable de se résoudre à les tuer. La queue caudale de Bafamelle remuait dans tous les sens, signe qu’elle était contente, et, en souriant, sa mère l’embrassa sur les lèvres, puis caressa son ventre.
« C’est bien, Bafamelle... Maintenant, je pense que nous pouvons rentrer.
- Euh... On fait quoi pour les femmes qui étaient capturées ? »
Alastar songeait aux femmes prisonnières de ce gang, et Onyxian haussa les épaules.
« Je vais envoyer l’un de nos agents. Nous n’aurions pu obtenir sur la provenance de ces drogues par ces camés, l’un de nos agents se chargera de les interroger, puis les convaincra d’oublier ce qu’elles ont vu. La procédure usuelle. »
Sur Terre, les démons et les anges étaient beaucoup moins acceptés, et, pour vivre dans l’ombre, les démons avaient développé des méthodes. Le clan Magoa disposait de contacts sur Terre, des dévots qui travaillaient pour eux, généralement dans le but d’obtenir une place chaude au palais en cas de mort. La Luxure était souvent une chose très attirante, surtout pour les vieux croulants, ceux qui avaient envie de redevenir jeunes, et qui ne savaient plus quoi faire de leur argent. Onyxian allait se charger d’envoyer quelqu’un, qui enquêterait, et utiliserait des méthodes d’hypnose et d’autosuggestion pour convaincre ces femmes qu’aucun démon n’était passé par là.
Rassuré sur le sort des femmes (que voulez-vous, Alastar avait un grand cœur !), mais moins sur le sien, il hocha la tête. Onyxian tendit ensuite un doigt, et forma un vortex, un passage transdimensionnel permettant de rejoindre le Palais Magoa.
« On retourne à la maison... »
Alastar était loin de se douter que la soirée était encore loin d’être finie. Onyxian et Bafamelle passèrent ensemble...
...Et se retrouvèrent dans l’une des chambres du Palais. Onyxian se retourna alors vers son vortex, et ses yeux flamboyèrent brièvement.
« Voilà... J’ai ralenti de quelques minutes la durée du passage. Ça nous laissera le temps de nous préparer pour Alastar. Toi, enfile des vêtements propres, ma puce. »
Elle l’embrassa à nouveau, puis se prépara. Le vortex les avait emmenés dans la chambre de Bafamelle, et elle était fournie en accessoires multiples, comme toutes les chambres du Palais. Onyxian ouvrit un doigt, ouvrit un placard, puis fit sortir des cordes noires. Quatre cordes qui se mirent à flotter, et filèrent dans des sangles et des boucles sur le plafond et sur le sol. Chaque pièce était équipée pour ce genre de choses, et, quand Alastar arriva, tout ce qu’il put voir, ce fut Onyxian devant lui... En train de sourire.
« Hein ? Oh non ! »
Alastar savait ce que ce sourire signifiait, mais, avant qu’il ne puisse réagir, les cordes vinrent s’enrouler autour de ses poignets, et le soulevèrent, tandis que d’autres s’enroulèrent également autour de ses chevilles, maintenant le Diablotin en croix. Bras croisés, Onyxian les serra en fermant le poing, et Alastar couina en sentant les cordes meurtrir sa chair.
« Bafamelle a exprimé l’envie de t’exprimer sa reconnaissance... Après tout, tu es un oncle très dévoué envers elle, tu t’en occupes depuis qu’elle est bébé. Je me rappelle encore quand tu la donnais à tes concubines pour qu’elle puisse téter. Tu es un amour, mon petit Alastar... Alors, Bafamelle va te remercier... À ma manière. »
Ce n’était pas la première fois qu’Onyxian torturait « affectueusement » Alastar... Et ce dernier ne put que déglutir, en attendant la suite.
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« Voilà... J’ai ralenti de quelques minutes la durée du passage. Ça nous laissera le temps de nous préparer pour Alastar. Toi, enfile des vêtements propres, ma puce. »
Suite à cette petite phrase, Bafamelle acquiesça joyeusement d'un hochement de tête, avant de lentement ce diriger vers l'une de ses belles armoires en ébonites. Là, la jeune démone s'empressa d'enfiler sur elle une autre de ses belles robes en latex diablement sexy par ailleurs.
Notre petite chipie était toute pimpante et heureuse de pouvoir enfin s'amuser avec son illustre mère, cette belle femme à qui au fond, elle ressemblait beaucoup.
Une fois que notre jeune succube eu fini de ce changer, elle revint alors à faire face à sa mère avec toujours le même petit regard espiègle, toute fière de montrer à sa mère sa belle tenue quand, d'un coup, le bel Alastar vint a faire lui aussi son entrer dans la luxueuse chambre de Bafamelle. Le diablotin, loin d'être dupe, compris très vite en voyant le sourire d'Onyxian qu'il allait prendre cher et cette impression ne mit pas longtemps à ce confirmer. Rapidement, les quatre sangles d'Onyxian vinrent à immobiliser ce cher Alastar, laissant le pauvre diable au mains de ses deux sœurs, la peste et la garce <3.
« Bafamelle a exprimé l’envie de t’exprimer sa reconnaissance... Après tout, tu es un oncle très dévoué envers elle, tu t’en occupes depuis qu’elle est bébé. Je me rappelle encore quand tu la donnais à tes concubines pour qu’elle puisse téter. Tu es un amour, mon petit Alastar... Alors, Bafamelle vaT te remercier... À ma manière. »
« Fuhuhu ! »
Lentement, la petite succube vint à ce pencher, son visage arrivant alors tout prêt de celui d'Alastar.
« Mon petit Diablotin, fuhuhuhu !<3 » Lâchât elle alors avant de gaiement faire frotter son petit nez en trompette sur le visage de son grand frère tout en lui léchant la joue affectueusement. Suite à quoi, la jeune succube vint a fouetter les bourses de son frère avec sa queue caudal. Bafamelle savait pertinemment que ces petites choses étaient sensibles et à quel point Alastar aurait « mal » si elle venait à les fouetter gentiment. Cependant, il ne s'agissait pas là d'une mauvaise douleur, oh grand non ! Bafamelle savait que son Diablotin de frère aimait avoir mal de temps en temps et, commencer par cet endroit était une bonne entré en matière pour la jeune peau rouge qui, un fois son petit coup de queue donné vint à ce mettre derrière Alastar, lui donnant au passage un autre coup de queue sur les fesses, mais sur les fesses cette fois ci."
« Alors ma petite mamounette, qu'elle charmant supplice allons nous faire subir à ce vil supplicié ? Tihihihi ! »
La jeune succube était en fusion, elle voulait jouer ! Et pour une fois que c'était elle qui était au commandes, elle comptait bien en profiter.
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Au sein du Palais Magoa, Alastar était connu pour être un peu le souffre-douleur attitré d’Onyxian. Et cette dernière n’avait pas besoins de beaucoup de raisons pour le punir. Alastar avait sa chambre principale à côté de celle d’Onyxian, et, même si les murs étaient insonorisés, quand la Succube était réveillée ou dérangée par les hurlements hystériques d’une servante que le beau diable était en train de prendre avec force, elle se devait bien de lui infliger une petite correction… Peut-être était-ce là l’origine du comportement si « gentil » d’Alastar. Oh, c’était un pervers, et même un sacré pervers, oui, mais il était aussi, à sa manière, très tendre et très gentil. La preuve : il n’avait jamais tué une seule de ses amantes… Raison de plus pour se faire fouetter ! Ou peut-être aussi, tout simplement, qu’il aimait se faire battre par sa sœur. La nouveauté, ici, ce fut de voir Bafamelle le narguer. Sa petite Bafamelle… Il l’avait tenu dans ses bras quand elle était bébé, et qu’elle s’amusait à lui mordre le doigt quand il essayait de pincer son nez.
Onyxian eut au moins la décence de lui expliquer que c’était Bafamelle qui voulait le battre, et, en réalité, plutôt que de l’effrayer, cette information révéla en Alastar une trique d’enfer. Bafamelle… Onyxian avait eu si peur que sa fille soit une chiffe molle, une petite émotive… La voir ainsi, joueuse, perverse, vicieuse… Ah, c’était bien la preuve que l’éducation du diable avait marché ! Alastar était donc fier comme un paon, et vit que Bafamelle, pour l’occasion, avait mis sa belle robe noire en latex, celle qui moulait ses seins, avec le soutien-gorge en forme de triangle s’arrêtant à hauteur des tétons. Alastar avait une fantastique vue sur eux, et poussa un soupir quand la queue caudale de la femme frappa ses testicules.
« Alors ma petite mamounette, qu'elle charmant supplice allons nous faire subir à ce vil supplicié ? Tihihihi ! » »
Alastar ne put s’empêcher de sourire, et répondit à la place d’Onyxian :
« Je croyais que c’était toi qui devais me torturer, Bafamelle… Tu sais, torturer quelqu’un, c’est important. Onyxian est là pour t’assister, mais c’est à toi qu’il revient de gouverner les opérations. Si tu te sens prête, ne le dis pas, mais agis en conséquence. »
C’était vraiment une situation incongrue, où c’était l’homme attaché qui donnait des instructions à son bourreau… Mais, bras croisés, Onyxian était d’accord. Elle pouvait comprendre que Bafamelle ait besoin d’aide, mais c’était surtout à elle d’agir, de prendre les bonnes décisions. Tout ce que la Succube pouvait faire, c’était servir d’assistante, ou, à la rigueur, de conseillère, pour indiquer ce qu’elle pensait des techniques choisies par Bafamelle… Mais, en aucun cas, elle n’agirait à sa place. Bafamelle avait voulu cette situation, ce qui, bien entendu, était tout à son honneur, mais c’était à elle d’en tirer toutes les conséquences.
« Ne t’inquiète pas, ma chérie, ton grand-frère est résistant… Fais juste appel à ta créativité. Fais-moi hurler, jusqu’à ce que je te supplie d’arrêter… Sinon, tu seras toujours, à mes yeux, une succubette. »
Oui, c’était un mot qu’il venait d’inventer… Mais il voulait piquer un peu l’égo de Bafamelle, car, chez les Succubes, c’était souvent un très bon moyen de les motiver à devenir méchantes. Et Dieu sait qu’une Succube méchante était belle… Oh oui !
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« Ne t’inquiète pas, ma chérie, ton grand-frère est résistant… Fais juste appel à ta créativité. Fais-moi hurler, jusqu’à ce que je te supplie d’arrêter… Sinon, tu seras toujours, à mes yeux, une succubette. »
Succubette ? Est ce que bafamelle avait bien entendus !? Ah ! Ça, c'était fort ! En entendant ces mots, le visage de notre jeune succube se tinta d'une légère pointe de colère tout à fait adorable et qui lui allait à ravir. Aaaah… Pour sur, Bafamelle était une vrai réussite ! Un jolie rubis sulfureux que bien des démons en enfer aimerait avoir dans leur couche rien qu'une nuit. L'espace de quelques instant, la jeune succube fut quelque peut décontenancée par cette adorable petite pique mais bien vite, la « succubette » revint à l'attaque !
« Ah ! C'est moi ou le petit « diablotin » ce met il à rejeter sa frustration sur sa petite sœur chérie, hm ? » Lui répondit alors bafamelle en posant ses mains sur ses hanche et en ce penchant légèrement en avant, toujours en gardant un ton adorablement hautain et chipiesque.
Bafamelle aimait beaucoup son frère, et ce dernier le savait très bien. Tous ceci n'était qu'un jeu, une affectueuse petite joute verbale, Bafamelle savait très bien que le surnom de son frère n'avait rien de glorieux, Alastar avait toujours était le souffre douleur d'Onyxian et des autres succubes du clan, Une chose que Bafamelle trouvait à la fois amusante et... un peu bête. Alastar était son principale tuteur et avait fait office de père de substitution à la jeune succube, il s'était occupé d'elle avec attention et Bafamelle entretenait donc un lien très fort avec lui.
Toutefois, il était hors de question de ce débiner ! Bafamelle avait envie de jouer avec lui et elle savait qu'Alastar voulait qu'elle ce donne à fond, d'où le petit « succubette », proféré dans le seul et unique bute de titiller la fierté et l'orgueil « légendaire » de Bafamelle.
« Hmpfff ! Tu vas voir ! »
Et hop ! Sur ce, la jeune succube s'en alla vers sa belle armoire en ébonite, armoire qu'elle ouvrit alors en grand, offrant au yeux de sa mère une large collection de jouets divers ainsi qu'une belle gamme de fouets. La « succubette » resta longuement devant son armoire à chercher le meilleur outil pour satisfaire les fesses et le dos de son aîné et… Et bien elle opta pour un long fouet noir en cuir plutôt basique dont le bout ce terminé par une petite pointe ressemblant à la l'excroissance ce trouvant au bout de la queue d'Alastar.
Une fois en possession du précieux objet, la petite Bafamelle, toujours aussi joueuse fit tournoyer le bout de son fouet tout en s'approchant du délicieux cul de son frère. La succube ce mordit légèrement les lèvres puis, une fois qu'elle fut à bonne distance, elle lui dit :
« HmMmmm… Al'… Tu est vraiment un adorable petite pourceau… Combien de pauvre petites nonnes as tu déflorées, hm ? »
En disant cela, la petite succube continuais à faire tournoyer son fouet avec un sourire malicieux au bout de ses jolies lèvres pulpeuses.
« Aller mon Diablotin… Dit le. Combien de pures et pieuses petites demoiselles à tu souillées avec ses… Bourses ! »
Et clac ! Voilà que sans aucune retenue, Bafamelle envoya le bout du fouet contre les testicules de son frère ! Suite à cela, bafamelle ne put retenir un petit ricanement diablement mignons <3.
« Tiihihihihhi !
La succube, toujours aussi espiègle ce remit ensuite a faire des moulinet avec son fouet, tenant la poignée de ce dernier de la main droite tendis que la mains gauche, elle, tenait la longue lanière à mi-longueur. Bafamelle fit ensuite quelque pas en arrières puis… Sans aucune douceur ni aucun avertissements, elle enchaîna plusieurs coup de fouets qui vinrent à s'abattre sur le dos, les fesses et les épaules d'Alastar.
« Ahahaaaahahahha ! Prend ça ! Petit porc que tu es ! Regard maman comment ton fils bande ! Ahahahah ! Il adore ça ! »
La petite succubette était fière et impétueuse ! Car plus encore qu'un simple jeu, cet exercice était aussi une manière de montrer à quel point elle pouvait être une succube forte et autoritaire… Comme sa mère.
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À bien y réfléchir, Alastar aimait le surnom qu’il lui avait trouvé. Une « succubette », voilà un terme assez infamant, tout en étant aussi mignon. Et, en un sens, il résumait bien la relation entre Alastar et Bafamelle. Il l’avait tenu dans ses bras alors qu’elle était un beau bébé rouge. Onyxian ne l’allaitait pas, car le lait maternel d’une succube pouvait être dangereux pour les bébés. Elle s’allaitait sur les esclaves, et, dès qu’elle était bébé, Bafamelle se révélait déjà espiègle, aimant mordiller, surtout le doigt d’Alastar quand il jouait avec elle. En un sens, il la voyait un peu comme sa fille... Ce qui expliquait pourquoi il se considérait comme son oncle, alors que, techniquement, il était juste son grand-frère... Et ce même si la mère de Bafamelle était sa sœur. Les relations familiales étaient compliquées entre humains, mais, dans un clan de démons, c’était encore pire. Et Bafamelle avait toujours été espiègle, joueuse... Un esprit machiavélique, mais elle était, pour autant, adorable. Alastar et elle avaient fréquemment fait l’amour ensemble, mais, ici, Bafamelle se proposait pour autre chose. Quelque chose de plus intense, de plus dangereux... Et Le Diablotin la provoquait donc.
Bafamelle en retour, sembla rougir encore plus, et ouvrit son placard. Le Diablotin savait très bien ce qu’il y avait dedans. La Succube y entreposait tous ses jouets, et il ne pouvait pas la voir. Serrant les poings, il vit qu’Onyxian la regardait, avec un sourire sur le coin des lèvres. Ils n’étaient que trois, ici, et Onyxian savait qu’elle pouvait faire confiance à Alastar et à Bafamelle. Aucun des deux ne chercherait à la renverser... Quoique, pour Bafamelle... Le pouvoir n’intéressait pas Alastar, mais Bafamelle... Pour l’heure, la Succube était surtout une petite chipie qui aimait les bêtises, mais comment serait-elle d’ici quelques siècles ? L’amour chez les démons était quelque chose de très virtuel, mais, ici, il y avait bien quelque chose qui y ressemblait.
« Quelle frustration ai-je à rejeter ? glissa-t-il alors. Je faisais déjà des orgies quand tu étais un petit bébé, Bafamelle... »
Le Diablotin avait été tellement fouetté et battu par sa grande sœur que la douleur ne l’effrayait plus vraiment Bafamelle revint alors, après avoir choisi un fouet, et caressa son corps avec la pointe du fouet. L’Incube s’en pinça les lèvres, puis le fouet claqua sur son sexe, le faisant gémir. Ses poings se serrèrent, et son sexe grossit. Alastar était tout nu, aussi nu qu’un ver, et Onyxian se mit à sourire. Tout en le narguant, Bafamelle commença à le fouetter, ici et là. Le fouet de Bafamelle claqua après un délicieux rire sur son cul, son dos, ses épaules, léchant sa peau. C’était un solide fouet, et, sur la peau d’un humain, ce fouet aurait fait des ravages. Le cuir aurait ouvert la peau, laissant des traînées sanguinolentes. Mais Alastar avait une peau nettement plus résistante qu’un humain normal.
Onyxian observait ce spectacle en souriant, et vit la belle érection de l’Incube. Oui, elle savait qu’il aimait se faire battre. C’est ça qui était bien avec Alastar ; il pouvait autant être un dominateur redoutable qu’un adorable soumis. Ce n’était pas un Magoa pour rien, et il était excellent dans sa partie. Son membre se dressait, tapant contre son estomac au fur et à mesure que son corps allait d’avant en arrière, rythmé par les coups de fouet de Bafamelle, par ces *SCHTAAAAC !! (https://www.youtube.com/watch?v=LCRRx1AG2zk)* qui s’abattaient sur lui. On sentait le fouet déchirer l’air juste avant de s’abattre, et, le plus étonnant avec un fouet, c’est qu’il claquait même en tapant dans le vide. Alastar savait que l’origine de ce bruit venait du fait que la vitesse de la pointe du fouet dépassait la vitesse du son, le claquement étant le fait d’un minuscule bang supersonique. Par conséquent, un coup de fouet était toujours douloureux.
Le fouet claquait sur chacune des fesses de l’Incube, qui enfonça ses ongles dans ses doigts, soupirant de plaisir, de la sueur coulant le long de son corps.
« Haaa, Bafamelle... Torture-moi, haaaa... C’est bien, ma chérie, très bien... »
Il fallait bien la complimenter pour tout ce qu’elle faisait.
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Alastar semblait nullement dérangé par les nombreux coups de sa petite sœur, bien au contraire ! Ce dernier semblait avide de cette luxurieuse douleur et, pour preuve, il vint même à féliciter sa généreuse petite peste de sœur qui en sachant comment son frère aimait ça, vint à redoubler d'effort ! Cependant, ce que la petite succube voulait de base, ce n'était pas tant faire souffrir son diablotin de frère, mais de le soumettre ! Comme un gentil petit toutou infernale.💝
Oui car, bien qu'amusant, battre Alastar n'était pas non plus ce que Bafamelle trouvait de plus jouissif, peut être était elle encore un peu jeune pour ça ? Bafamelle, elle, elle aimait toucher, mordre, griffer et humilier !
Au bout d'un moment, Bafamelle vint à ralentir la cadence, avant de finalement ce stopper… Elle était légèrement en sueur et Alastar aussi, leur corps luisant alors légèrement à la lumière rouge qui emplissait la pièce. Bafamelle, à la vus des petites gouttes de pre-sperme qui étaient à présent sur le sol en dessous d'Alastar, en conclue que le beau diablotin était bien « tendu » et, en ce remettant a faire tournoyer son fouet, elle vint à ce remettre face a son frère. Sa marche était lascive, son déhanchait était lent, provocateur et sensuel, notre succube ce voulait la plus attirante et bandante possible afin que sin frère puisse être fier d'elle et… Sa mère aussi. Une fois rendue face à Alastar, Bafamelle regarda longuement le corps de ce dernier, s'attardant alors sur sa belle verge dont la vision vint une fois encore à la piquer intérieurement, brûlant son bas ventre déjà bien en feu. Puis, avec toujours le même petit sourire espiègle, la succube vint à ce tourner vers sa mère.
« Maman… Puis je me permettre une remarque ? Je pense que...»
Là, Bafamelle ce remise à regarder son frère dans les yeux…
« Je pense que les coups de fouet ne punisse pas suffisamment ce petit Diablotin il faudrait… »
Son regard, lentement vint a descendre vers la verge de son frère, verge qu'elle titilla du bout de la poignée de son fouet.
« Il faudrait le toucher là où sa fait « mal », Tihihihihi ! »
Sur ce, la succubette vint à claquer des doigt, faisant alors disparaître les sangles en cuir qui le retenait. Onyxian, nullement inquiète, fronçat cependant les sourcils, avant de finalement voir sa fille s'approcher d'Alastar et, du bout de son pied, venir mettre le bel incube sur le dos.
« Tu sais Alastar… J'ai beaucoup apris en étudiant la magie noire avec papa… La compréhension de cette dernière ma permis de progresser bien plus en magie rose… Mais ça, tu vas t'en rendre très vite compte, petit diablotin, tihihihi ! »
Lui dit elle alors en faisant lentement glisser le bout de ses orteil sur la cuisse d'Alastar, venant ensuite lui caresser les bourses. Mais diantre, de quoi pouvait elle bien parler ? Et bien… Sans rien dire, la jeune succube ce mit à réciter un mandra dans sa tête et, au moment même où son pied avait toucher les bourse du démon, elle avait lancer sur lui un sort provisoire qui l’empêcherais tout bonnement de… Et bien de jouir… Cruelle ? Nan… Juste joueuse. Bafamelle, tout en gardant son regard joueur et espiègle, fixait son frère avec amusement tendis que son pied vint a malaxer ses bourses avec force. Bafamelle ignorait si Onyxian avait sentie le sort que bafamelle avait lancée sur Alastar mais, toujours est il, la matriarche resta les bras croisés, avec toujours un léger sourire au lèvres. Lentement, le pied de la succube ce mit à remonter vers le sexe d'Alastar, glissant alors sur la hampe de ce dernier, hampe que la succubette enserra entre son gros orteil et le seconde orteil, avant de ce mettre a masturber son frère avec le pied.
« Tihihihi ! Et bien Alastar… Je ne te savez pas aussi… Résistant… »
Machiavéliquement mignonne… Bafamelle était un mélange sulfureux mais au combiens réussie, sa mère pouvait être fière d'elle.
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Le beau diable était vraiment dans une fâcheuse posture... Les coups de fouet se multipliaient sur son dos, dans ce qui était une véritable séance de flagellation. L’Incube soupirait et gémissait, crispant ses dents, bandant ses muscles en sentant les coups de fouet se multiplier. Sa queue caudale remuait légèrement, et, parfois, le fouet de Bafamelle claquait dessus, répandant des ondes de douleur supplémentaires. Il serrait ses mains, et continuait à bander, férocement, son membre pointant en l’air, au fur et à mesure que la succube le battait... Elle le fouetta bien pendant de nombreuses minutes, le fouet filant en avant, léchant violemment sa peau, avant de repartir, pour le fouetter à nouveau. Encore, et encore... Alastar couinait et se tortillait, son corps remuant d’avant en arrière, jusqu’à ce que le fouet, enfin, ne cesse de s’abattre. Il soupirait longuement, la respiration alourdie, son torse s’abaissant et se soulevant, quand il entendit les pas de Bafamelle. Prenant tout son temps, la succube se glissa devant lui, avec une lueur malicieuse dans les yeux, et un petit sourire victorieux.
Ce petit air-là, Alastar le connaissait... C’était le petit air de la fille qui avait une idée derrière la tête, un regard qu’il lui connaissait bien... Car, après tout, Alastar était sans aucun doute la seule personne en Enfer pouvant se targuer de connaître la mieux possible Bafamelle. Il l’avait éduqué, et connaissait donc ses expressions faciales. Alastar sentit un frisson la traverser, surtout quand Bafamelle parla à sa mère, avant de le détacher. Alastar tomba sur les fesses, puis sur le dos, un peu surpris.
*Par la malepeste, que me prépare-t-elle donc ?*
Bafamelle se dressa ensuite au-dessus d’Alastar, et le Diablotin frissonna en sentant le pied rouge de la femme s’approcher de son sexe... Elle lui expliqua ensuite qu’elle manipulait la magie noire, ce qui était vrai, et Alastar hocha la tête, en la regardant.
« Je sais... C’est toujours moi qui t’emmenais au palais de ton Papa, tu avais peur de sortir toute seule... »
Il la narguait, encore. L’Enfer était un environnement extrêmement dangereux, bien plus que sur Terra, et on ne rejoignait pas facilement un palais relevant d’un autre Cercle Infernal. Il y avait des dédales caverneux à emprunter, et, entre les monstres et les autres démons, c’était toujours dangereux. Et, si Alastar était un sacré tombeur, il savait aussi se battre, et avait donc, à l’époque, veillé à protéger la petite Bafamelle, empruntant des chemins sûrs, et en repoussant les quelques monstres venant les attaquer. Alastar savait donc que Bafamelle manipulait magie rose et magie noire... Comme beaucoup de succubes, en réalité, ce qui incluait aussi Onyxian. À partir d’un certain point, certains sorts de magie rose relevaient en fait de la magie noire. Très souvent, les différences entre les différentes branches de la magie étaient très superficielles, ce qui était le cas ici.
Mais où donc voulait-elle en venir ? Alastar était, en toute sincérité, intrigué, et frissonna en sentant la magie vibrer autour de son sexe... Ce qu’Onyxian ressentit aussi. Bafamelle utilisa un sort ne relevant en réalité pas vraiment de la magie noire. La privation sexuelle était une technique relevant de la magie rose, et elle créa donc, autour du sexe d’Alastar, un verrou magique, quelque chose qui interdirait à son pénis de jouir. Onyxian esquissa ensuite un sourire en comprenant que Bafamelle voulait jouer avec ses pieds, ses beaux petits pieds.
« Hum... Ba... Bafamelle, hummm... »
Le membre d’Alastar était bien gros, bien tendu, dur comme un bâton, et l’Incube en vint à se tortiller sur le sol. C’était l’arroseur arrosé. Lui qui adorait narguer ses partenaires, lui qui adorait les frustrer, se retrouvait dans la situation inverse. Sa respiration était lourde, précipitée, mais il ne comptait pas se rendre si facilement. Oh ! Ce serait vraiment très mal le connaître que de croire qu’il comptait s’avouer vaincu aussi facilement.
Le pied de Bafamelle vint ensuite masser son sexe, et le Diablotin se pinça les lèvres. Provocateur, comme toujours, il ne put s’empêcher de lâcher, le corps vibrant de désir :
« Et bien, hummm... On dirait mes servantes quand... Quand elles me massent... Hummmm... Sur ce point, tu t’en sors bien, ma... Haaaannn... Ma petite puce. »
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« Et bien, hummm... On dirait mes servantes quand... Quand elles me massent... Hummmm... Sur ce point, tu t’en sors bien, ma... Haaaannn... Ma petite puce. »
Et hop ! Une autre pique vint à être proférée par le bel Alastar visiblement sur le point de craquer. Et oui… Même dans cette situation, le Diablotin continuait toujours de fanfaronner fasse à Bafamelle, n'acceptant pas une seule seconde de perdre la fasse devant elle. Face à cette nouvelle provocation, la jeune succubette fronçât une nouvelle fois les sourcils en fixant toujours son frère avec un petit regard espiègle et, en réponse à cette énième petite pique, Bafamelle vint à resserrer un peut plus fortement ses orteils tout en écrasant la verge turgescente d'Alastar contre le ventre de ce dernier.
« Hmpf ! Oserait tu me comparer à ses succube de petite vertus Alastar ? Moi… Ta petite sœur ? Ahah ! Tu mériterais que je demande a Fahoraa de venir s'occuper de ton petit derrière ! »
Fahoraa (http://www.zupimages.net/up/15/29/275p.jpeg)… HooOow… Oui, ça... ça serait vraiment pas sympa ! Car, en plus de posséder quatre bras capable de tordre une poutre en acier, cette démone originaire du cercle de la gourmandise possède une verge au dimension bien supérieur à celle du diablotin, bien que ce dernier puisse la « gonfler » grâce à sa magie. Fahoraa était une habituée du lit de Bafamelle, toutes deux étant bonnes amantes et confidentes, sans compter que, quand Alastar n'était pas là, C'était elle qui veiller sur la succubette. Et puis… Onyxian n'en disait rien mais… Elle n'était pas non plus sans avoir eu quelque relation brutale et torride avec la démone.
D'ailleurs, Onyxian… Que pensait elle de cette scène ? Ho, Bafamelle, comme Alastar devait bien ce doutez que voir ainsi son fils et sa fille jouer ensemble devait amuser la Matriarche mais… N'avait elle pas envie d'apporter son petit grain de sable à tous ça ? Sûrement que ci, mais cette histoire ce passait entre Alastar et Bafamelle, elle n'avait donc pas à intervenir, c'était leur « petit moment à eux » Une joute entre frère et sœur comme il n'y a qu'en enfer que l'on peut en voir.
Suite à cette petite phrase donc, Bafamelle ce remise à masser la grosse verge de son frère, appuyan et malaxant ce mat du bout de son pied, frottant cette chair à la fois molle, dure, chaude et pulsante de désir. Le beau diablotion était en sueur et deson mat s'écoulait du pré-sperme qui vint à « lubrifier » l'ensemble, permettant alors à la succube d'augmenter la cadence, avant de finalement faire remonter son pied jusqu'au gland rond et dur du Diablotin, gland qu'elle saisit alors entre ses orteil et sa plante de pied, faisant ensuite un mouvement circulaire.
« Tihihihihi ! Regarde toi Alastar, tu est au aboie ! Tu meurt d'envie de souiller mes petit petons, je le sais… Je le sent… Ta verge pulse entre mes orteils ihihi ! »
La succubette s'en mordit les lèvres, une fois de plus. Cette verge… Bafamelle mentirait de dire qu'elle ne lui faisait pas envie et, c'est en ça que le « blocage » qu'elle avait activée sur son frère était amusant, elle aller jouer avec jusqu'à ce que le beau diable la supplie de le libérer, signant alors la victoire de la succube !
« Fuhuhu… Je vais devoir me montrer plus… avide. »
Lentement… D'un geste gracieux et en ne quittant pas son frère des yeux, la succube vint à ce mettre à quatre patte au dessus de son frère, le dos cambré et les fesses bien relevées. Bafamelle fut, dans un premier temps, face à face avec son frère, nez contre nez, la succube lui lançant alors un beau regard, langoureux, fiévreux et toujours teinté d'une pointe d’espièglerie.
Tihihi ! Hooow… Alastar… je te seeent si… Hmmmmtenduus ! Lui soufflât elle alors avant de l'embrasser langoureusement durant quelque secondes puis… De rompre le baiser en mordant la lèvres inférieur de son frère, tirant dessus, pour de finalement la lâcher.
Ensuite, la Succube ce mise à embrasser le coup de son frère… Puis le torse, apposant sur le corps rouge d'Alastar plusieurs petits suçons tout en trémoussant ses petites fesses et sa queue caudale. Langoureusement, avec sensualité et expertise, la succube léchât l'un des pectoraux de son frère, gobant par la suite le tétons de ce dernier, le suçant, le mordillant, tirant dessus puis l'abandonant avant de ce remettre à descendre embrassant les beaux abdos d'Alastar avant de finalement arriver à sa verge, cette dernière tapant contre le menton de Bafamelle qui vint alors a embrasser le gland du diablotin, en le regardant toujours avec amusement.
« Tihihi ! Te voir te tortiller ainsi en soupirant Al'… Tu ne peut pas savoir comme ça me donne faim, roaaAaanhwwmm !»
Et hop… Le gland de beau diablotin disparut dans les lèvres noires et luisante de la petite gourmande qu'était sa sœur, cette dernière s'amusant alors a mordiller le bout de son frère avec amusement en entrelaçant sa langue autour de sa verge.
Tout ceci sous le maître regard d'Onyxian.
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Alastar jouait avec le feu, et lui-même le reconnaissait... L’Incube, tout simplement, fonctionnait ainsi. La provocation faisait partie intégrante de sa nature, et c’était encore plus vrai avec Bafamelle, envers qui il avait toujours eu un lien étroit. En retour à ses provocations, Bafamelle menaça d’aller chercher Fahoraa, dont le nom n’était pas inconnu à Alastar. C’était une démone, plutôt solide, un véritable garçon manqué avec une carrure d’athlète. La seule idée de la sentir vous pilonner le cul avait effectivement de quoi faire trembler ! Cependant, Alastar savait que c’était une menace en l’air... Face à Onyxian, Bafamelle n’allait pas botter en touche en allant voir une autre personne. À côté d’eux, la Matriarche était en train de s’amuser. Voir Alastar insolent ne la surprenait guère, le Diablotin avait de l’expérience dans ce domaine. Ce n’était pas la première fois qu’on venait ainsi le dominer et l’humilier, ou encore le battre et le fouetter. Il tenait à prouver sa réputation, et Bafamelle opta donc pour une autre approche.
Elle avait bien masturbé l’Incube avec ses pieds, et se pencha contre lui. Il soupira de plaisir, serrant ses poings en sentant ses seins contre son torse, puis sa bouche qui se mit à jouer sur son torse. Ah ! La petite peste ! Elle prenait son pied, et Alastar l’imaginait bien dandiner du cul en faisant ça... Elle prenait tout son temps, jouant avec ses abdomens et ses tétons. Eux aussi étaient des zones érogènes pour l’Incube, qui soupira, enfonçant ses ongles dans la paume de sa main. Un sourire sur le coin des lèvres, Onyxian se décida alors à aider très légèrement sa fille, en faisant apparaître autour des poignets et des chevilles du Diablotin des liens, qui vinrent l’entraver contre le sol, l’empêchant ainsi de pouvoir toucher la Succube, ce qui, en un sens, était encore plus frustrant. Ce faisant, l’Incube ne pouvait que subir els assauts digitaux et buccaux de Bafamelle, qui explorait sa belle poitrine imberbe sans aucune hésitation. Sa belle bouche délivrait une multitude de baisers et de mordillements en glissant le long de son corps musclé et bien constitué.
« Hmmm... »
Le Diablotin gémissait en se tortillant sur place, serrant ses poings. Sa verge caressait le corps de la femme, glissant le long de la belle robe noire moulante de Bafamelle, cette robe avec laquelle notre Incube adorait la prendre. Oui, Bafamelle était définitivement talentueuse. La « succubette » avait depuis longtemps placé à une superbe succube, ce qu’elle avait prouvé ce soir. La Succube ne l’avait peut-être pas réalisé, mais ce gang bang dans l’entrepôt avait été pour elle une sorte de rituel initiatique, la preuve qu’elle était désormais prête à sortir du cocon familial pour venir honorer le nom des Magoa en devenant une Succube puissante. Avec sa maîtrise de la magie rose et de la magie noire, elle avait amplement les arguments pour conquérir un jour lointain le palais Magoa, et ainsi avoir la mainmise sur le clan. Pour l’heure, ceci semblait relever d’un lointain fantasme... Mais il fallait savoir voir les choses en grand, tout simplement.
De manière très naturelle, le visage de Bafamelle atteignit le sexe tendu et impatient d’Alastar, qui avait du mal à respirer. La frustration commençait à se faire sentir.
« Ba-Bafamelle... Tu... Tu ne devrais pas faire ça à ton... Hum... À ton grand-frère... »
Son sexe caressait le menton de la femme, glissant sur sa peau, cette belle peau douce et agréable. Ah ! Pauvre homme, il était assoiffé, et n’arrivait plus, ou très difficilement, à se retenir. Et, bien évidemment, Bafamelle ne comptait pas le laisser ainsi, et commença à le sucer. Tout le corps du Diablotin sembla se tendre, et il soupira longuement, remuant sur le sol, bougeant des jambes. Malheureusement, les liens l’entravant étaient solides, et il était donc condamné à sentir cette bouche remuer sur sa queue, le suçant, pompant son dard, sans lui permettre de cracher son délicieux venin. Et, malheureusement, dans le domaine du sexe oral, Bafamelle était une professionnelle... En effet, quitte à l’éduquer, autant l’éduquer bien, et Alastar lui avait appris le sexe oral. Quand Bafamelle en avait eu l’âge, elle faisait ainsi au moins trois fellations par jour à Alastar. Il fallait bien entretenir sa belle bouche aux lèvres noires, et tout ce talent vint s’exprimer en ce moment, dans le but de frustrer sexuellement l’homme.
Cependant, l’Incube était teigneux, et, alors que ses poings se contractaient, et qu’il se tortillait sur place, en sentant sa queue enfler encore, sous l’effet du désir qui explosait dans son bassin.
« Tu... Tu perds ton temps, hum... Je... Je ne m’avouerais pas vaincu si facilement, haaa... Espèce de... Hummm... Sale petite salope !! Oser me faire ça... Haaa... À ton grand-frère... Hum... Ooohhh, tu me le paieras !! »
Ah, si c’était terrible, cette sensation ! Alastar le savait, car il en jouait beaucoup avec ses amantes humaines, jusqu’à les sentir craquer. Bafamelle avait été formée à bonne école ; Alastar n’avait cessé de lui dire que la frustration sexuelle était la plus délicieuse des tortures, et ceci se vérifiait en ce moment.
*C’est ça le drame de ma vie, je l’ai trop bien formé...*
Et, maintenant, il ne pouvait que le constater !
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Le bel Alastar pouvait bien fanfaronner, Bafamelle sentait que son diablotin de frère commençait à « souffrir » lui, le fier et impétueux incube qui, du bout de son vit, faisait chavirer les plus pures et innocentes femmes que la Terre et Terra puissent offrir, lui, ce grand amateur de nonnes effarouchées qu'il venait prendre au sein même de leur église, leur extirpant à la force de son sexe et de ses reins, des hurlement de jouissance et des orgasmes refoulés. Attaché et et soumis à la magie de Bafamelle, cet illustre incube était maintenant entre les griffes de son espiègle petite sœur, même pas centenaire en plus !
Cette dernière lui pompant alors langoureusement la verge, aspirant avec un délice la queue pulsante et joufflue de son aîné, une bonne bite que la jeune succube avait déjà mainte fois eu en bouche. Lorsqu'elle avait eu l'age, le bel Alastar lui avait expliqué comment marchait le sexe oral, chose qu'elle appris de manière très assidue tant cela lui avait parut délicieux et ce, pour le plus grand plaisir de son frère qui, en bon formateur, lui avait aussi appris les rudiment du cunnilingus en présentant a Bafamelle certaine de ses amantes infernales mais aussi certaine de ses sœurs.
La jeune Bafamelle filait donc sur le mat d'Alastar, lustrant sa belle verge avec délice, verge sur laquelle chaque aller et venue faisait soupirer et couiner le beau diable. La jeune succube prenait un malin plaisir à prendre son temps en jouant sur plusieurs choses à la fois. Tantôt la succubette entourait la queue d'alastar avec sa langue, tantôt l'aspirant goulûment avant remonter au sommet de cette dernière pour mordiller son gland puis, sans aucune douceur, lui avaler entièrement. Enfonçant alors cette magnifique bite au tréfonds de sa gorge étroite et doucereuse, un délicieux fourreau noir et luisant qui là, pour le coup, était un véritable enfer pour Alastar. Tout en faisant cela, Bafamelle avait les mains posée sur le torse de son frère, torse qu'elle griffer de temps à autres, en particulier quand il s'agissait de faire un gorge profonde car, bien que délicieuse, la verge d'Alastar était colossale !
« HmmMmMmMMhaaan… Shhllrrpphggmmm ! »
Dans la pièce, les gargarisme et les bruits de succions de bafamelle venait ce mélangeait au gémissement de son frère.
Finalement, Bafamelle, après une énième et langoureuse gorge profonde fini par ce retirer, terminant son office par un petit baiser sur le gland de son frère, suite à quoi, le succbe vint a descendre son visage vers les testicule du démon en faisant glisser son nez sur la hampe de cette belle verge rouge.
« Tihihih ! En voilà de beau fruit bien murent et gorgés de jus… Un jus que je ne suis pas encore décidée à faire sortir… Haanngmmm !
Et hop, l'insatiable succube vint a gober l'une des boules d'alastar, la mâchonnant alors légèrement, un acte cruel et sadique au vus de la situation et ce, tout en branlant le mat chaud et luisant de son frère d'une main gracile et lente. Mais forte « heureusement » pour le Diablotin, Bafamelle ne s’attardât pas trop sur lesdits « fruit », mettant finalement fin à cette douloureuse fellation.
Toujours en tenant le dard proéminent de son frère au niveau de la base, Bafamelle vint à ce redresser, faisait par ailleurs tapoter le gland de l'homme entre ses seins le temps de lui parler.
Alors Alastar… Toujours pas vaincus, hm ? Faut t'il que j'utilise mes seins ?
Bafamelle hésita… Mais très vite, son appétit personnelle vint à parler.
« Bien… »
Là… La succubette vint à enfin libérer la queue du beau diable le temps de ce mettre à… Et bien le temps d'enlever sa culotte, tout simplement, un culotte qu'elle vint alors à accrocher à l'une des corne d'Alastar en gloussant de plus belle.
« Fuhuhuhu ! Voilà… Parfait ! »
Sadique et humilante maintenant, Bafamelle était vraiment entrain de devenir une mini onyxian pour le coup et ce, sous le regard de la Matriarche qui était toujours aussi silencieuse.
« Allez bon beau… Il est temps pour mes lèvres intimes d'entrer en jeu ! »
Et Hop ! La Succube, une main sur le torse de l'incube, l'autre tenant sa verge à la base, vint à lentement faire descendre son vagin vers ce vit turgescent. Bafamelle était en feu ! Son intimité était brulante et trempé de mouille, un mouille qui suintait en long filament brillant s'écrasant alors sur le gland de son frère, un gland qui lentement, s'enfonçat dans l'intimité noire de la la démonette.
« HmmMmmmhaaa… Qu'elle est gr-grosse et B-Bandée ! HmmmMhaa ! »
Une fois le quart de la verge d'Alastar passée, La succube vint à poser son autre mains sur le torse de son frère, continuant alors sa descente, les yeux fermés et le lèvres pincées.
« HmMm ! Haaaaaaa ouiIIiIiI ! »
Lentement mais sûrement, le gros sexe d'Alastar vint à écarter le vagin de sa chipie de sœur, extirpant à cette dernière plusieurs longs gémissements et couinements de plaisir.
A peine avait elle « engloutie » les deux tier de la queue du démon, que Bafamelle peut le sentir taper au fond de son vagin, juste au niveau de son col, là, pour sur, Alastar était bandé comme jamais ! Mais… Bafamelle était une Magoa, pas une petite succbe de basse vertue ! Son Appétit était à la hauteur de son nom et s'arrêter là serait comme une petit preuve de « faiblesse » et risquait de redoner à Alastar de quoi ce moquer d'elle. C'est donc en lançant un petit regard éspiègle, vicieux et coquins, que Bafamelle vint à dire c'est mots, sa voix quelque peut étouffée par le plaisir et la jouissance.
« HmmMggMMMmm… Aller mon beau… Je vais… T'engloutir… Hmmgmm... » Lâchât elle alors avant de ce mettre à forcer le passage en gémissant et en couinant légèrement, tout en bougeant légèrement son bassin. « HmMMGMmMHaaaan…. Ha… HmMmmHAAAAAAAAAAAA !
Et vlam ! D'un coup d'un seule, la succube enfonça la verge de son frère entièrement en elle et ce dans un grand râle de plaisir proféré dans un lancement de tête arrière des plus vif et sensuel !
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Oh, mais qu’elle était douée ! Le sexe oral était vraiment quelque chose que Bafamelle maîtrisait à la perfection, sur le bout de la langue. Le beau diable avait joué avec le feu, il avait joué avec le vent, et la tempête lui arrivait en plein dans la figure. Une tempête de sexe et de frustration. Bafamelle, la jeune Bafamelle (même pas centenaire !), s’en sortait à merveille, confirmant cette idée selon laquelle, de génération en génération, les gènes ne faisaient que s’affiner. Elle optait pour une longue fellation, et... Oh, Diable, qu’il adorait ça ! La bouche de la femme s’enfonçait profondément dans son sexe, un membre devenu bien gros, une bite bien joufflue, qui témoignait de toute sa frustration. Il serrait les poings, et frissonna quand cette petite chipie vint même à le griffer. Elle prenait tout son temps, et le verrou magique, solide, retenait un océan de foutre prêt à inonder la pièce entière ! Alastar en rajoutait peut-être un peu, mais, en ce moment, Le Diablotin était effectivement bien excité, se tortillant sur le sol, subissant les assauts délicieux et magnifiques de la femme. Bafamelle jouait merveilleusement bien avec lui, savourant avec sa bouche la belle grosse queue qui lui était offerte... Et, en toute honnêteté, elle avait bien raison d’en profiter, car Alastar était plutôt bien membré.
Il continuait à se tortiller sur le sol, frissonnant et soupirant, quand elle finit par retirer sa bouche de son sexe, le ramenant à l’air libre, sa hampe de chair pointant vers le ciel, un sexe tendu et veineux, qui ne demandait qu’à se faire prendre et sucer davantage. Et, en réalité, il était particulièrement jouissif d’imaginer les délicieuses lèvres noires de Bafamelle glisser sur son sexe, le suçant, encore et encore, avec ce talent si particulier qui la caractérisait à la perfection. Douée, Bafamelle était décidemment une véritable perle. Elle jouait avec talent sur la queue d’Alastar, délaissant le mât dressé pour venir s’attaquer à ses testicules.
« Hmmm... »
Alastar soupira en sentant ses lèvres s’y attaquer. Les testicules étaient une zone plus sensible, en raison des poils pubiens, extrêmement sensibles. Le Diablotin s’était toujours dit que, s’il fallait torturer un homme, il n’y avait pas besoin de cinquante mille objets ; tout ce qu’il fallait, c’était arracher ses poils pubiens. Fort heureusement, même Bafamelle n’était pas assez cruelle pour faire ça, et délesta donc rapidement ses bourbes, se contentant juste de les flatter, elles aussi, avec sa salive. Elle avait matraqué le petit corps du pauvre Incube avec ses mains et sa bouche, et, maintenant, elle allait passer au stade supérieur.
Maudite femme ! Alastar avait envie de la mordre, de la griffer, de l’insulter. Quelle salope ! Une si adorable salope ! Le beau diable ne pouvait s’en prendre qu’à lui-même ; il avait tout simplement trop bien formé cette petite, ce qu’elle ne cessait de lui prouver. À chaque instant, elle se montrait talentueuse, espiègle, joueuse, très joueuse... Et aussi sadique. Elle s’empala sur lui, et tout le corps du Diablotin se tendit et se détendit d’un coup, une vague venant le traverser de part en part. Un profond soupir s’échappa de ses lèvres.
« Haaa... Ba... Bafamelle, haaannn... »
Le bassin de la femme s’enfonça un peu plus contre lui, le faisant soupirer encore. Quelle torture ! Ah, quelle terrible torture ! Le Diablotin ne pouvait rien faire, rien faire d’autre que subir. C’était horrible ! Elle s’empalait contre lui, jusqu’à enfouir totalement son sexe en elle... Et ça, c’était courageux, car, sous l’effet de l’excitation sexuelle, et de la frustration qu’il ressentait, sa queue était vraiment grosse, et douloureuse... Autant pour lui que pour elle.
« Haaa... Bafamelle, non... Petite peste, haaa... Cherches-tu à me rendre dingue ?! Re... Retire ce verrou !! Retire ce putain de verrou, ou je te jure que... Haaa... Tu vas me le payer, petite peste !! »
Comment osait-elle lui faire ça ? À lui ? Lui qui n’avait jamais empêché Bafamelle de jouir... C’était injuste !
Tout simplement !
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« Haaa... Bafamelle, non... Petite peste, haaa... Cherches-tu à me rendre dingue ?! Re... Retire ce verrou !! Retire ce putain de verrou, ou je te jure que... Haaa... Tu vas me le payer, petite peste !! »
« Ahh.. AaaalaaAah ! Ahah ! Alastar, à qui croyais tu t’adresser en me traitant Oh… auss-aussi impunément de succubette ! Ah… ahah ! Te voilà bien punis ! Tihihihiih ! »
Cruelle ? Peut être… Il est vrai que ce pauvre Alastar en prenait là pour son grade et, quant il disait à bafamelle qu'il ne l'avait jamais frustrée ainsi, il avait raison, ce bon démon n'avait jamais fait ça à sa petite sœur chérie et, voilà qu'elle, elle ce permettait de le faire… Oui, c'est là, dans ce moment de sexe intense que la succube montrait toute l'étendue du mélange entre Onyxian et salabog, une succube gourmande qui pouvait devenir relativement méchante et ce, même dans le cadre d'un jeux comme celui là.
Mais le résultat était là ! Alastar « souffrait ». Ah ! Le voilà bien notre Diablotin, lui qui habituellement fait subir la frustration à ses pauvres partenaires de jeu, il était à présent dans la même situation qu'elles, un véritable petit arroseur arrosé !
« Je ne retirerais pas ce verrou tant que… hMMmMGmmm… Haaa… Tant que tu ne m'auras pas supplié de le retirer… Aaaahahahaha-haaAnwMmMMMMmah ! »
La jeune succube ce trémoussait lascivement sur le mat d'Alastar, remuant alors son bassin avec grâce, cambrant son dos tout en bombant sa jolie poitrine rendue légèrement luisante par la sueur, ses beaux seins bougeant alors au rythme des ondulations lancinante et sensuelles de la succube qui, tout en regardant son frère dans les yeux, ce mordait parfois les lèvres de douleur et de plaisir car, elle devait bien l'avouer, son mat était particulièrement gros, ce dernier pulsant chaudement dans son vagin, des pulsation que Bafamelle pouvait sentir dans tout son corps, la faisant frémir et soupirer comme une folle.
« Aaah… HAAAannwMMmM ! » Lâchât elle alors en ce mettant alors a légèrement sautiller sur le bas-ventre d'Alastar, comme pour bien lui faire comprendre que c'était elle la petite chef ici.
« Aller… Aller fichu Diablotin… DiiiihaaaaaaAaNnMMm… Dit le ! Supplie moi ! »
Avec plus de fougue encore, Bafamelle revint à ce déhancher sur le corps humide et fiévreux de son frère avant de légèrement ce pencher sur lui, les ongles plantés dans ses pectoraux. Là… La succubette vint alors à l'embrasser, en continuant ses mouvements, allant même jusqu'à fouetter les testicule d'Alastar avec ça queue caudal. La belle succube était taquine et cruelle mais tout ceci, toute cette torture n'avait pour seul et unique but que de montrer à Alastar qu'elle était plus forte ! C'était un jeu de domination et la seule chose qu'elle voulait, c'était un ensemble simple de mots.
Cet alors que lentement, la bouche légèrement entrouverte, la succube revint a souffler quelque chose à son frère.
« Aller mon beau… Dit l-le HgMmmM !!! S-supplie moi et tu pouRAaAah hanwMmg !
Et tu pourra juter où bon te semblera… Sur moi et en moi… Hihihihi ! »
Sur ce, la succube embrassa une dernière fois son frère avant de ce redresser, accélérant alors la cadence avec un regard qui ce ce voulait toujours aussi espiègle, pervers et supérieur. Main sur le torse d'Alastar, Bafamelle ce mit alors a aller et venir sur le gros mat joufflue du démon, les chairs respectives des deux diables claquant alors fermement en produisant un son des plus excitant, un son venant ce mélanger au soupir et au grognement des deux êtres.
Mais… Et Onyxian… Que pensait elle de tout ça ?
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Alastar soupirait lentement de plaisir, ainsi que de souffrance. Oh, si c’était terrible ! Quelle garce ! Bafamelle était en train de prouver qu’elle n’était pas une petite poule, mais bien une Magoa, avec tout ce que ça impliquait. Le clan Magoa avait toujours été un clan puissant, et, sous la main d’Onyxian, il n’avait cessé de croître, et Bafamelle en était la preuve. Elle était la fille d’Onyxian, oui, mais aussi d’un puissant démon, ce que ce dernier n’aurait jamais toléré venant de simples Succubes. Seulement voilà, Onyxian avait ses rentrées auprès des Grands-Princes Infernaux. L’une des Succubes du clan se trouvait ainsi dans la cour de Lucifer. Autant de placements qui avaient amélioré la réputation du clan, sa renommée, et son influence. Maintenant, Alastar se faisait torturer par Bafamelle, et gémit quand elle l’embrassa, ses mains se crispant sur el sol, toujours retenus par les maudites lanières noires de sa grande sœur. Les griffes de Bafamelle pinçaient sa chair en sueur, et son sexe, oh, son sexe était si douloureux ! Quelle souffrance, quelle torture ! Bafamelle continuait à glisser sur lui, et sa queue caudale alla fouetter ses testicules, le faisant faiblement soupirer. L’Incube ne pouvait rien faire d’autre que de gémir, quand Bafamelle se retira, lui disant de la supplier, de s’abaisser à un acte profondément humiliant.
Il s’humecta les lèvres en clignant des yeux, lèvres entrouvertes, et commença à gesticuler, serrant ses poings.
« Ba... Bafamelle, j-je... »
C’est à cet instant qu’Onyxian se déplaça, et se retrouva à côté de son visage, une jambe à gauche, une autre à droite. Un sourire étira ses lèvres, alors qu’elle tenait dans la main une belle ceinture-gode. Depuis sa culotte trempée, quelques gouttes de sa délicieuse mouille tombèrent sur le nez et les lèvres du Diablotin. Les individus qui avaient violé Bafamelle tantôt, ces hommes qui l’avaient invoqué pour un long gang-bang, avaient utilisé une drogue reposant sur la cyprine d’une succube. Elle avait des propriétés magiques, et la langue d’Alastar vint lécher ses lèvres.
« Ne fais pas jouir tout de suite ce pleurnichard d’Alastar, il sait comment chouiner pour obtenir ce qu’il veut... Mais, crois-en ta mère, il est résistant... Alors, nous allons jouer toutes les trois... »
Onyxian fléchit les genoux, et mit alors la ceinture-gode sur son visage, faisant gémir Alastar, qui, au bout de quelques instants et de cliquetis, se retrouva avec une ceinture-gode fixée sur son visage (http://img110.xooimage.com/files/5/4/9/gode_face-4b9b299.jpg), le gros gode pointant en plein milieu de son nez vers le ciel. Onyxian eut ensuite un sourire narquois, provocateur, et le Diablotin cligna des yeux, en la voyant retirer sa culotte. Tout ce qu’elle eut à faire fut de retirer les attaches de son string rouge, et ce dernier tomba mollement sur le torse d’Alastar.
La Succube fléchit ensuite les genoux, Alastar voyant ses lèvres intimes se rapprocher... Puis il gémit quand sa bouche intime s’empala sur le gode, et que ses lèvres intimes heurtèrent son visage.
« Haaaaaaaaaarrrrghhhh... !!
- POooohhhh... Hhhhhmmmmmmhhhhmmmmm... !! »
Onyxian soupira longuement, se pencha alors vers Bafamelle, venant poser ses mains sur ses épaules, afin de l’embrasser, tout en s’écrasant avec ses cuisses sur la tête du pauvre diable rouge, son corps remuant alors de haut en bas, afin de sentir ce gode s’enfoncer le plus loin possible en elle. Ah, si c’était bon pour elle ! Mais, pour Alastar... Ah, c’était une vraie torture !
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« Ne fais pas jouir tout de suite ce pleurnichard d’Alastar, il sait comment chouiner pour obtenir ce qu’il veut... Mais, crois-en ta mère, il est résistant... Alors, nous allons jouer toutes les trois... »
« Oh ouiii-hMmmhaa ! Haaa… En voilà une riche idée ! HmmMm ! »
Notre jeune succube peut ensuite voir sa mère fixer sur le visage de son diablotin de frère une sorte de gode ceinture qui, ainsi positionné, donnait un air plutôt ridicule à Alastar. Bafamelle put ensuite voir la matriarche ce libérer de son string, avant de venir gracieusement s'empaler sur la belle « corne » nasal d'Alastar. Le voilà maintenant en proie à deux belles peaux-rouges, toutes deux étant ses sœurs et toutes deux avide de sexe et de jouissance, une jouissance que notre pauvre diable n'allait malheureusement pas connaître de si tôt car, maintenant qu'Onyxian était là, Bafamelle comptait bien faire durer le plaisir.
Lentement donc, les mains de notre succubette vinrent à remonter le long des hanches doucereuses de sa mère, effleurant sa peau délicieusement douce tout en savourant le baiser que la matriarche venait de ce mettre à lui faire.
« HmMmm… Haaa »
Tout ceci eu bien évidemment pour effet de booster la libido et l’appétit de la jeune succube qui, en gardant ses mains sur le corps d'Onyxian, vint a accélérer la cadence, bougeant avec plus d'entrain encore son délicieux fessié sur le mat turgescent du pauvre diable et ce, dans un mélange de claquements de soupirs des plus érotiques ! Bafamelle était comme emmenée, enivrée par une délicieuse sensation mélangeant douleur et plaisir, son vagin était littéralement « plein » tant la verge de l'incube était colossale mais ça n'arrêtait pas le moins du monde Bafamelle qui, la bouche entrouverte et les paupières mi-closes, vint a redoubler d’efforts, ses cuisse et ses fesse vibrants alors au rythmes délicieux de cette valse perverse et délurée.
« Hmmmmgmm ! HaaaaaaAaWIIiiii ! »
Alastar n'était à ce moment là plus qu'un jouet, une sorte de gros sextoy rouge et chaud sur lequel deux infame (mais magnifiques) succubes ce dandinaient allégement, leurs seins luisant de sueur bougeant alors au rythme de leurs vas et viens sur ce pauvre Diablotin don la verge était sans cesse engloutie par les lèvres intimes de Bafamelle, sa charmante petite nièce d'amour, cette adorable petite succubette rougeoyante à qui le démon avait tout appris en matière de sexe et qui, là, était entrain de devenir son pire cauchemar… Hooo oui, mais... quel délicieux cauchemars.
Lentement, la belle succube vint alors à ce pencher vers sa mère, embrassant alors cette dernière avec passions tout en prenant ses beaux seins bien en mains.
« Haannwmmm… Je pense que… Je pense que je vais changer « d'endroit » Tihihihi ! »
Et c'est ainsi que Bafamelle vint à lentement ce redresser, libérant alors la verge colossale d'Alastar de son intimité.
« Tihihihi ! On vas voir… Haaa… Si tu aime toujours autant mon cul après ça... »
Et hop ! Tout en revenant poser ses mains sur les cuisse solides d'Onyxian, Bafamelle vint ce redresser en enserrant la verge de l'incube avec sa queue, juste au niveau de la base. Puis, tout en regardant par dessus son épaule, la succube vint à guider le gland de son frère vers sa rondelle, cette dernière étant maintenant bien plus malléable, la jeune démonette n'eut aucun mal à engloutir la verge de son frère dans un grand soupir.
« HmMmhaaaa ! Q-qu'elle est grosse ! Hmmpfff ! »
lentement, tout est en gardant une belle position cambrée, la succube vint à ce dandiner sur le beau diable, enfouissant alors au creux de ses belles fesses le mat proéminent d'Alastar, ce dernier écartant les chairs molles de la femme avant d'aller ce perdre dans son rectum qui, bien que plus facile à pénétrer, enserrait toujours aussi fermement la verge du démon.
« Haaaa ! J-je sent ton membre battre dans mon cul vil diablotin ! Tihihihi ! Hmmmpff ! »
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Pauvre Alastar ! La souffrance explosait en lui, et, avec ce gode ridicule sur la tête, il avait l’air d’un vrai bouffon... Mais le sexe, lui, se moquait de ce genre de choses, et, quand on savait ce pour quoi Onyxian avait mis cette ceinture-gode sur sa tête, on oubliait vite le ridicule de la scène. En fait, si Alastar avait été une femme, il aurait probablement fait ça. Jouir sur le visage d’un homme, lui pisser dessus ensuite, quelle sensation gratifiante et exquise ! Onyxian adorait ça faire avec ses esclaves masculins, et, après joui sur eux, elle terminait souvent en leur urinant dessus. Succube... Et une Succube digne de ce nom. La Matriarche s’empalait sur ce sexe artificiel, et ses lèvres vinrent se sceller sur celles de Bafamelle. Les mains de sa fille pétrirent généreusement ses seins, et elle alla jouer avec ses hanches, les caressant, les griffant même légèrement. Alastar était leur matelas, et sentit peu à peu les liens magiques se retirer. Il put ainsi récupérer l’usage de ses mains, et les serra, les redressant pour caresser les jambes de sa grande sœur. Son sexe se tortillait dans le con de Bafamelle, et ses lèvres s’imbibaient de la mouille d’Onyxian. Cette dernière n’avait pas tort, en disant qu’Alastar pouvait endurer ça. L’Incube avait dû endurer des heures et des heures de souffrance, avec ce maudit verrou magique. Et Onyxian comptait bien continuer à le frustrer ainsi, car elle savait son petit-frère endurant, et agissait ainsi jusqu’à ce que la soif de sexe lui fasse perdre la raison. Car la Luxure était un élément déterminant des Incubes et des Succubes, et, quand la Luxure atteignait un point élevé, alors il était impossible de faire marche arrière.
Le Diablotin savait ce qu’Onyxian voulait... Montrer à sa fille de quoi Alastar était capable quand sa conscience partait, quand l’Incube laissait la place à la Bête, quand le démon devenait vraiment infernal. Les deux femmes s’embrassèrent donc, jusqu’à ce que Bafamelle ne se relève. Onyxian sourit, toujours assise sur la tête de son frère, qui crispait ses ongles dans sa chair, lèvres entrouvertes.
« Haaa... Ce diable d’Incube me griffe, hihi ! »
Alastar soupira quand il sentit la queue caudale de la femme s’enrouler autour de son sexe. Elle se déplaça alors, et il savait ce qu’elle prévoyait... Les fesses de la femme frôlèrent son membre tendu, gros, assoiffé... Puis il gémit longuement en sentant son membre disparaître dans le cul étroit et serré de la femme.
« Haaaa... Haaaaaaaaaaaaa... !! »
Le Diablotin ne pouvait que se tortiller sur le sol. Oh, comme c’était douloureux ! Son piston s’enfonçait dans le cul de cette salope de succube, et il sentit soudain la queue caudale d’Onyxian s’enfoncer dans sa bouche, comme pour le réduire au silence, l’amenant à se tortiller et à gargouiller sur le sol.
« Là, voilà... Empale-toi bien, Bafamelle... Tu n’as pas l’impression de te faire défoncer le cul en ce moment, comme si... Comme si un Minotaure était en train de t’enculer ? Ah ! Et encore, ce n’est qu’un début... Crois-moi, quand notre Diablotin sera bien frustré, il sera... Il sera plus fougueux encore qu’un Lycan ! »
Oh que oui ! Mais tout ça, pour le moment, n’était qu’un heureux et magnifique début... Onyxian avait encore bien des idées, et elle ne doutait pas que ce soit aussi le cas pour Bafamelle.
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Bafamelle connaissait la cruauté et la perversion de sa mère et elle la savait très fourbe et sadique envers ce pauvre diablotin mais… Bizarrement, aussi loin qu'elle puis-ce s'en souvenir, notre succubette n'avait jamais souffert de cela. Oooh certes, la matriarche n'avait pas était une bonne mère, loin de là même mais, outre ce manque d'affection et bien… Il n'y avait rien, jamais la succube n'avait eu a souffrir de coups ou de torture, il y avait bien eu quelque brimades et remontrance mais c'est tout. A une époque, Bafamelle c'était sentit rejetée et mal aimée d'Onyxian mais, avec le temps ce sentiment avait fini par s'estomper au profit d'un sentiment de neutralité et d »indifférence mais là, maintenant qu'elle voyait sa mère jouer avec elle sur ce bel incube qu'était son frère, Bafamelle sentait qu'elle n'était pas rejetée, mais aimée d'onyxian oooh ça oui ! Ça se voyait dans les yeux de la femme et ça ce ressentait, Onyxian aimée bafamelle et la succubette avait même envie de dire qu'elle était sa préférée… Et.. Se tromperait elle au fond ? Hmmm… Pas sur. Bafamelle ne s'en rendait pas toujours compte mais elle était une succube de premier choix, un savant mélange entre une succube du clan Magoa et un démon noir, un mélange détonant qui avait produit la jeune et impétueuse Bafamelle.
« Là, voilà... Empale-toi bien, Bafamelle... Tu n’as pas l’impression de te faire défoncer le cul en ce moment, comme si... Comme si un Minotaure était en train de t’enculer ? Ah ! Et encore, ce n’est qu’un début... Crois-moi, quand notre Diablotin sera bien frustré, il sera... Il sera plus fougueux encore qu’un Lycan ! » Vint alors a lui souffler Onyxian bien profondément empalée sur le museau de son propre fils et… Frère.
« HMMmmhoowmm ! En… Han-en voilà des qualificatifs pour un seul et même incube, tihihih ! »
C'est vrai… Mais Bafamelle devait bien reconnaître que ceci était vrai, Alastar et peut être le souffre douleur de la matriarche, mais il était un bon incube bien pourvu et très endurant, comme on ne peut en trouver que dans le clan Magoa. Aaaah… Oui, ça Bafamelle en savais quelque chose, elle qui aime tant lui rendre visite dans sa chambre pour passer la nuit a ses cotés. Notre succubette avait beau le torturer depuis pas mal de temps maintenant, il était clair qu'elle l'aimait beaucoup son diable de frère, car en plus d'être d'une gentillesse rare pour un démon, il était beau et… Terriblement expérimenté~ Notre jeune succube prenait donc un malicieux plaisir a ce dandiner sur le mat joufflue et pulsant de son frère, un mat qu'elle ne cessait de limer de haut en bas en poussant de large soupir entrecoupés de gémissements. Les deux femmes ne ménageait poins Alastar qui, maintenant, avait aussi la queue caudale de la matriarche au fond de la bouche. Un bien délicieux baillons, à n'en point douter !
« HmmMmmhoo ouiiii ! HmmM Je crois qu-que je commence à venir, hmmpfff ! »
La jeune succube, alors en proie à un début d'orgasme, vint à tout bonnement ce mettre ce caresser le seins droit, le malaxant ainsi avec vigueur. Ensuite la belle peau rouge vint a langoureusement faire descendre sa main le long de son ventre, palpant ce dernier du bout de ses trois centraux, avant de ce cambrer en arrière pour ce masturber et ce, tout en continuant de faire un lent et gracieux mouvement circulaire avec ses hanches.
« HmMmM MamaaaaAan… Viens, prend mes seins en mains… Haaaa... »
et hop, sur ces mots, la jeune succubes vint alors à caresser le ventre d'Onyxian de sa mains gauche, remontant par la suite vers le sein droit de cette dernière pour finir par lui attraper l'avant bras. Là, une fois la main de la charmant matriarche a porter, Bafamelle, tout en regardant sa mère d'un air fiévreux, vint a lui sucer les doigts, enroulant alors sa langue autours desdits appendices qu'elle ira, bien évidement, poser sur son sein.
« Hmmm… Vas y Maman hmmm.. F-Fait jouir ta fille sur ce pourceau ! »
Notre succube était en pleine effervescence et sa petite masturbation n'arranger rien à cela.
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Alastar pouvait sentir le foutre s’accumuler dans sa verge, gonflant et tendant cette dernière, le faisant monstrueusement souffrir. Une douleur inhumaine, mais, après tout, il n’était pas humain. Un démon se devait nécessairement d’en endurer plus qu’un simple humain, non ? Alastar comprenait tout à fait cette leçon, lui qui était la serpillière de deux magnifiques succubes en train de jouer ensemble. Bafamelle, visiblement toute heureuse de pouvoir coucher avec sa mère, alla l’exciter, en se masturbant devant elle, un sourire sur le coin des lèvres, le désir jaillissant entre elles. Alastar, qui connaissait bien Bafamelle, était même capable de prédire quand elle allait jouir en fonction du rythme et de l’intensité de ses soupirs. Or, de ce que ses oreilles attentives parvenaient à saisir malgré les généreuses cuisses d’Onyxian, ce moment approchait. Bafamelle était peu à peu en train de succomber, et sa mouille emplissait le ventre d’Alastar, glissant le long de son corps pour tomber sur le sol.
Onyxian était ravie de coucher avec sa fille, et suivit ses ordres en souriant, approchant sa main de son sein... Pour voir sa fille la prendre alors en bouche, sa langue noirâtre reptilienne venant s’enrouler autour de ses doigts, se crispant sensuellement sur eux. La Matriarche ne put que sourire, et récupéra l’usage de ses doigts... Mais, plutôt que d’aller jouer avec ses mains sur ses seins, sa bouche alla se plaquer contre l’un de ses seins, Onyxian arquant son corps vers l’avant, faisant soupirer le brave diable rouge se trouvant sous elle. Elle continuait à onduler ses hanches, et, peu à peu, Alastar se sentait envahi et recouvert par la mouille des deux puissantes femmes. Onyxian joua avec l’un des généreux tétons de la grosse poitrine de Bafamelle, son autre main allant pincer l’autre téton, malaxant ce sein, le remuant dans tous les sens.
« Hmmm... »
La Matriarche soupirait longuement, sa langue continuant à jouer sur son sein, et elle déplaça ensuite sa main, pour écarter celle de bafamelle en train de se masturber, et d’y glisser ses doigts. Le corps d’Onyxian était bien penché vers l’avant, insistant davantage sur ses hanches, faisant se crisper l’Incube. Alastar souffrait, mais cette souffrance avait quelque chose de profondément jouissive, et, si on lui demandait réellement son avis, on y verrait qu’il était tout à fait heureux de son sort, satisfait de servir d’esclave sexuel pour la belle Matriarche du clan Magoa, car il savait que, de la part d’Onyxian, ce qu’elle lui faisait était une preuve d’amour. Onyxian remuait donc ses doigts en elle, y enfonçant deux doigts, au début, remuant rapidement, ses longs et gracieux appendices touchant le bouton d’amour de la petite succube, le pressant et l’enfonçant. Encore et encore, sans relâche, la Matriarche la prenait, et mordilla même le sein de la femme, levant les yeux, amusée.
Voir Bafamelle si excitée était un plaisir magnifique, qui excita aussi Onyxian... Ce qui eut pour effet que, quand sa fille eut son orgasme, et balança sur le torse de son iimbécile de petit-frère son fluide, elle en fit également de même, recouvrant dans de longs soupirs la tête d’Alastar.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !!! »
Les deux femmes s’abandonnèrent sur le corps du Diablotin, dans de longs soupirs joyeux, balançant des filaments de mouille pendant plusieurs minutes. Les deux femmes se vidèrent donc, puis Onyxian soupira longuement, avant d’embrasser Bafamelle sur les lèvres, un baiser plein de passion, torride et amoureux... La plus belle preuve qu’Onyxian n’avait jamais cessé d’aimer sa fille, mais l’avait toujours aimé à la manière des démons.
« Hmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmhhhhhhhhhhmmmm.... »
Elle l’embrassait longuement, et finit par se relever, libérant Alastar. Onyxian rompit ensuite le baiser, en se mordillant les lèvres, debout, tout comme Bafamelle... Puis tourna la tête vers le corps d’Alastar. De la main, elle lui ôta sa ceinture-gode, et esquissa un léger sourire, en regardant sa verge bien grosse.
« Regarde dans quel état mon pauvre Incube se trouve... »
Tout en parlant, elle serrait le corps de Bafamelle contre le sien, caressant ses hanches, sa main glissant lentement vers ses fesses. Elle récupéra un fouet, et le fit claquer, en ordonnant à Alastar de se mettre à quatre pattes. L’Incube se reçut le fouet sur son ventre, et soupira, sa peau rouge étant mélangée ici et là par le foutre des deux femmes. Hochant la tête, il se mit alors en position, puis se retrouva avec un collier autour du cou, suivie d’une laisse, qu’Onyxian tendit à sa folle en souriant, entrecoupant leur câlin de multiples baisers.
« Allons nous amuser dans ta chambre, Bafamelle... Frustrons encore un peu notre beau diable, jusqu’à ce qu’il soit suffisamment à point pour vraiment te baiser... »
Et, en disant cela, Onyxian eut un grand sourire ravi sur les lèvres.
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C'est donc à l'unissons que les deux femmes vinrent à jouir sur ce « pauvre » Alastar, recouvrant le corps rouge de ce beau diable de leur cyprine. La Matriarche vint ensuite à ce relever, entrainant avec elle sa fille qui ne put retenir un bref soupir en s'extirpant de la verge de son frère, cette dernière glissant alors sans aucun mal entre les jolie fesses rebondie de la démone. Les mains d'onyxian vinrent alors à tendrement caresser les hanches doucereuses de Bafamelle qui, en guise de réponse, vint à faire de même, entortillant même sa queue caudale autour de celle de sa mère.
« Regarde dans quel état mon pauvre Incube se trouve... »
« Tihihihi ! Oh oui ! »
Les faits était bien là, ce pauvre Incube était complètement bandé et, il est vrai que Bafamelle ressentait une certaine fierté d'avoir réussie à frustrer ainsi son grand frère et ce, toute en ce permettant le luxe de jouir sur lui avec sa mère, un acte cruelle et particulièrement dominateur, une preuve que Bafamelle était belle et bien une succube du clan Magoa !
La matriarche vint alors à fouetter Alastar avant de lui mettre autour du coup un charmant collier accompagné d'une belle et longue laisse de cuir, laisse que la succube tendis à Bafamelle en lui demandant d'aller dans sa chambre afin d'augmenter la frustration de ce beau diable et, bien évidement, c'est avec une large sourire pervers et taquin que notre adorable succubette vint a prendre la laisse en main.
« haaanw ! Regarde comme il est mignons ce petit animal ! »
Et hop ! Comme ci ce n'était pas assez humiliant comme ça, Bafamelle vint à ébouriffer les cheveux de son frère avant de faire glisser sa main le long de son épine dorsale en terminant ce geste d'une petite claque sur les bourse du beau diable en rute.
« Tihihi ! Allons y alors ! »
Bafamelle tira donc légèrement sur la laisse, ordonnant à Alastar de prendre les devant de la marche . Une fois cela fait, le trio vint alors à passer les grande porte de la chambre où ils ce trouvaient, entrant alors dans un vaste corridor richement décoré de tenture en velours rouge, bordeaux et carmin ainsi que de nombreux meuble en obsidienne et en ébène. Il y avait de part et d'autre de ce couloir de longue et solides colonnes en marbre noir. Bafamelle traversât donc ce long corridor accompagnée d'Onyxian et d'Alastar qui ce trouvait devant les deux femmes. Dans les couloirs, le trio vint a croiser d'autres succubes du clan qui, en voyant Alastar, ce mirent à glousser entres elles, pointant furtivement du doigt l'incube en lançant quelque œillade à Bafamelle qui, en guise de réponse, tira la langue en la faisant frétiller à la manière d'un serpent.
Bien vite, le trio vint à arriver devant la luxueuse chambre de bafamelle, chambre que la succubette s'empressa d'ouvrir, offrant alors à la vue de son frère et de sa mère une chambre décorée de tentures rouges, roses et noires. Au centre de la pièces, il y avait un grand lit a baldaquins noir sur lequel une couverture en fourrure rouge était mise. Dans le coin de la pièce il y avait grande armoire en ébène tendis qu'a coté du lit, une large commode sur laquelle plusieurs gode et œuf vibrant était posés.
« et voilà ! Voici mon petit nid douillet à moi, tihihihi ! »
-
Quelle humiliation ! Tout démon avait sa fierté, son amour propre, et Onyxian s’amusait régulièrement à chier sur celui d’Alastar. Le Diablotin était maintenant promené comme un chien, après une tapote de Bafamelle, et une tape sur ses fesses. Serrant les poings, l’homme suivait, se retrouvant ainsi dans l’un des couloirs du palais, où plusieurs Succubes gloussèrent en le voyant passer, ainsi que des esclaves et servantes, notamment les belles demoiselles en tenue de maid qu’Alastar, généralement, adorait sodomiser contre les murs. Le Diablotin était traîné par ces femmes, incapable de pouvoir se défendre, vers la chambre de Bafamelle. Elles avaient joui sur lui, et leur mouille emplissait encore son corps. Soupirant et serrant les dents, chaque mouvement le faisait souffrir, car, dans sa position, sa verge frottait contre son ventre. Son sexe, en effet, était toujours aussi tendu, et, parfois, on lui fouettait le dos ou les fesses.
« Regardez donc ! Le chien du Harem !
- Regardez comme il est content d’être promené par ses Maîtresses, il a la queue bien dressée ! »
Alastar n’était pas habitué à être autant humilié, et il se pinça les lèvres, soupirant faiblement. La chambre de Bafamelle était assez éloignée, ce qui prolongeait donc son calvaire… Un délicieux calvaire, mais qui restait malgré tout un long supplice. Onyxian fit plusieurs pauses, embrassant goulûment de simples maids, ou encore d’autres femmes. Elle s’amusa même à parler de lui envers une maidn, tout en l’embrassant dans le creux du cou, faisant gémir la jeune femme.
« Quand Alastar t’a défoncé le cul quand tu refaisais la chambre de Petronella, j’étais juste à côté… Tes hurlements hystériques m’ont réveillé en pleine nuit…
- Pardon, Maîtresse… Je… Ce n’était pas de ma faute, je… »
Onyxian l’embrassa alors, faisant rougir de plaisir la jeune maid.
« Oh, mais je sais… Alastar reste notre seule coupable. Ce diable adore réveiller sa grande sœur en pleine nuit. Il faut toujours qu’il fasse son intéressant, et, maintenant, c’est mon petit chien… Lèche-lui les pieds, Alastar. »
Le Diablotin se mordilla les lèvres, refusant manifestement d’obéir… Et Onyxian serra les doigts, puis le verrou magique sur le sexe de l’homme se serra alors un peu plus fort, le faisant soupirer. Le Diablotin se crispa en se tortillant lentement, la douleur explosant tout contre sa queue. Il couina, puis alla lécher les collants de la maid, faisant rougir furieusement cette dernière. Onyxian adorait humilier son petit-frère. C’était une forme d’amour vache, la spécialité de la redoutable Succube.
Le trio rejoignit ensuite la belle chambre de Bafamelle, une agréable pièce, grande et chaude, avec un lit à baldaquin pouvant contenir plusieurs personnes. C’était un endroit charmant, très chaud, très vif, et Onyxian esquissa un léger sourire.
« Charmant, oui… Tellement que je pense que nous pourrions inviter d’autres amies pour venir jouer avec nous, non ? »
Onyxian accompagna sa requête d’un sourire vicieux et évocateur…
-
« Charmant, oui… Tellement que je pense que nous pourrions inviter d’autres amies pour venir jouer avec nous, non ? »
« oh !? Je… Sais vrai ? Je peut ? »
Pour sur que la phrase d'onyxian n'était pas tombée dans l'oreille d'une sourde, à ça non ! Bafamelle était en règle générale d'un tempérament joueur et à fortiori ce soir, après avoir humiliée et frustrée son grand frère tout en faisant l'amour avec sa mère. Sur le coup, Bafamelle eut une bonne vingtaines de noms à l'esprit, la forçant à réfléchir brièvement en posant son index sur le bout de son menton tout en levant les yeux au plafond en prenant un air songeur. Bafamelle eu sur le coup une multitude de noms en tête mais après un petit temps de réflexions, une « candidate » vint à sortir du lot, une démone à même de combler toutes les attentes (et les trous) du petit trio.
« HmmMMm… j'ai trouvée ! »
Rapidement, Bafamelle vint a prendre entre ses mains une petite clochette qu'elle fit tinter vivement dans les air, tintement qui, bien évidement ne tarda pas à faire venir dans la chambre une servante du palais. Cette dernière avait les joues légèrement rouges.
« Euh… Vous avez besoin de quelque chose ? »
Bafamelle hocha alors de le tête avant de calmement s'approcher de la belle servante, lui caressant alors la joue avant de venir lui souffler quelque chose à l'oreille, une chose qui fit d'ailleurs rougir de plus belle la jeune femme qui en guise de réponse, hocha la tête respectueusement.
« Tu as compris ma belle ? »
« Ou-oui… Bien mademoiselle... »
Bafamelle esquissa un autre petit sourire puis embrassa une dernière fois la jeune servante sur le front avant de lui mettre une petite tape sur les fesses.
« Allez, zouh ! »
Et hop ! Sur ce, la jeune servante s'en allât de la pièce en refermant silencieusement la porte derrière elle… Avant de revenir quelque minutes plus tard… Accompagnée cette fois ! La jeune femme tapa donc à la porte de la chambre, Bafamelle répondue et… Quand la porte s'ouvrit, les trois démons rougoyant purent alors voir la silhouette massive de Fahoraa, un sourire en coin, avec deux de ses quatre bras de croisés et les deux autres posés sur ses hanches. Il y a pas à dire, Fahoraa était vraiment colossale, une vrai armoire à glace, une montagne de muscle et d'hormones avec en prime une véritable monstre entre les jambes et, mécontente d'être une démone à l'appétit sexuel démesuré, notre belle futa est aussi la fâcheuse tendance à cracher des quantité gargantuesque de sperme.
« FAHORAA !!! » s'exclama alors Bafamelle en tapotant joyeusement dans ses mains.
« éhéhé… C'est moi ou il y a une orgie familiale dans le coin ? » Lui répondit alors Fahorra en s'approchant, posant alors ses mains sur les fesses de la jeune succube, avant de regarder la matriarche dans les yeux… Puis de l'embrasser.
« Oh ? Et… Salut Al' ! » lâchât alors la futa en saluant l'incube d'un petit geste de la main.
« Et voilà… J'ai fait venir mon « invitée », mais toi, n'a tu pas envie de faire venir quelqu'un ? Hm ? »
-
Les démons avaient leur petite fierté. Partant de là, on aurait pu croire qu’Onyxian aurait éprouvé quelque gêne à torturer et à humilier Alastar en public, et qu’elle aurait pu le faire en privé... Mais ça aurait été mal connaître Onyxian. La Luxure, de fait, était essentiellement une affaire féminine, et les clans étaient généralement des clans composés majoritairement de Succubes. Un choix compréhensible, dans la mesure où la plupart des personnes invoquant les démons de Luxure étaient des hommes. Alastar était donc en infériorité numérique, et, comme Onyxian l’aimait bien, elle se faisait plaisir à le torturer... Et, bien sûr, en public ! Il était fréquent qu’il y ait des servantes, de simples humaines qui venaient apporter des instruments de torture, et qui rougissaient en voyant Alastar, l’Incube qui les besognait si sauvagement, se faire sodomiser, fouetter, humilier, ou battre. Le Diablotin était le souffre-douleur de sa sœur, et la Matriarche en tirait un grand plaisir. Immobilisé, maintenu par les liens qui l’entravaient, Alastar souffrait en silence. Les deux femmes avaient joui sur lui, et son sexe lui faisait un mal de chien. Le pauvre en avait maintenant même du mal à parler, et respirait lourdement, en sueur, attaché par les poignets et les chevilles, même si ses pieds étaient posés sur le sol. Devant lui, il y avait un superbe lit, et Onyxian et Bafamelle l’observaient comme un morceau de viande prêt à cuire.
*Maudites succubes, je vous ferais couiner !!* se promettait mentalement l’Incube.
Ses options restaient malheureusement plutôt limitées, et Bafamelle alla une servante. Une jeune femme en tenue de servante médiévale, avec des jarretelles et un corset blanc, débarqua, les joues cramoisies. Elle acquiesça rapidement, et se dépêcha, tout aussi vite, d’aller chercher Fahoraa. La servante savait bien entendu qui était Fahoraa. C’était une espèce de Minotaure du sexe, et on disait que se faire prendre par elle, c’était comme mourir une fois. Elle trottina donc rapidement vers son antre, tout en espérant ne pas être prise par elle, car il lui faudrait bien des jours pour s’en remettre.
Entre-temps, Alastar se tortillait sur ses liens, tirant faiblement dessus, essayant de ne pas regarder les Succubes... Ce qu’Onyxian nota, car, tandis que les femmes attendaient, un fouet claqua sur ses fesses, le forçant à relever la tête.
« Quelle autre partie de cette pièce est plus attirante que nous, Alastar ? Si tu observes le sol trop longtemps, ou ferme les yeux trop longtemps, crois-moi, tu me le paieras ! Je t’enfermerai dans l’und es gibets qui pendent autour du palais pendant plusieurs jours ! »
Alastar glapit, car sa grande sœur en était tout à fait capable ! Quand on vous disait qu’il était un pauvre Incube battu... Il soupira donc, son sexe endolori continuant à le meurtrir, et observa donc les deux femmes.
« Observe nos courbes, Alastar, nos hanches, notre silhouette, nos généreuses poitrines... Bref, tout ce qui fait de nous des créatures désirables et magnifiques. »
Le Diablotin serra les dents. Onyxian s’amusait à le torturer psychologiquement, mais il ne baissa pas les yeux, souffrant en voyant Onyxian passer le temps en embrassant sa fille. Il s’écoula bien plusieurs minutes, pendant lesquelles Bafamelle se retrouva sur les genoux de sa mère, cette dernière l’embrassant, une main s’appuyant sur ses cheveux, l’autre caressant ses fesses. Un spectacle magnifique, à tout point de vue, empli de beauté, de sensualité... Mais aussi de frustration et d’une souffrance silencieuse et terrible. Alastar soupirait, le souffle rauque, son membre revenant se dresser, alors qu’il voyait la main d’Onyxian parcourir lentement le dos de Bafamelle, griffant sa belle peau. Cette simple image dégageait un tel potentiel de sexe qu’Alastar en soupira encore...
...Puis Fahoraa entra. Évidemment ! Il ne pouvait s’agir que d’elle, la redoutable démone, qui usait de ses quatre bras pour immobiliser poignets et chevilles de ses amantes, avant de les embrocher méchamment à l’aide de sa verge géante. Les trois démones s’embrassèrent en se palpant le cul, et Alastar continuait à ronger son frein... Puis Bafamelle proposa à Onyxian d’inviter quelqu’un, ce qui fit sourire cette dernière.
« Pourquoi pas ? »
Pour l’inviter, Onyxian ouvrit la fenêtre, puis frotta entre ses doigts, et fit tomber de la poussière rosâtre. Sous le Palais, il y avait des rivières volcaniques et des grottes. Le « sol » infernal, pour autant qu’on puisse le considérer comme tel, était constitué de magma en fusion et d’immenses bandes de lave. C’est au milieu de ces champs que la pousisère alla trouver quelqu’un... Puis un courant de feu s’éleva, et passa par la fenêtre, avant de tournoyer autour d’Alastar, qui sentit des flammèches sur son sexe, qui devinrent ensuite des doigts, tandis qu’une langue glissait contre son cou, et que des seins s’enfonçaient dans son dos.
« Mes amours... »
La femme qui venait de parler était une démone affiliée au clan, une Pyromancienne répondant au doux nom de Ravaa (http://orig04.deviantart.net/1418/f/2014/021/8/9/flaming_fusion_ravaa___01_by_alexpascenko-d734k26.jpg).
Suite à cette apparition, Onyxian posa sa main sur les fesses de Bafamelle, avec un sourire sur le coin de la bouche, tout en la pinçant un peu :
« Alors, que souhaites-tu faire, maintenant, ma chérie ? »
-
Après Bafamelle, ce fut au tour d'Onyxian d'inviter une amie à cette petite sauterie, amie qui ne fut autre qu'une belle et charmante pyromancienne du nom de Raava. Cet alors qu'Onyxian vint à demander à sa fille la suite des événements, ce sur quoi la petite succube, toujours aussi espiègle, vint à répondre :
« Hmmmm… Je ne sais pas... » Souffla t-elle alors en ce déplacent derrière Alastar, taquinant ensuite les bourse de ce dernier du bout de son pied. « Je me dit qu'il serait peut être temps de libérer ce cher petit diablotin de son entrave… Après tout, n'a t'il pas était assez puni comme ça ? »
La jeune succube fit ensuite le tour de son frère, en caressant du bout des doigt, la verge de Fahoraa puis les seins de Raava.
« Cependant, je peut sentir au fond de lui une certaine… Colère… Serais tu en colère contre moi Al' ? Contre ta petite sœur chérie, celle que tu a dorloté et câliné durant tant d'années ? »
En disant cela, Bafamelle c'était placée juste devant son frère, bien penchée vers son visage, son nez frôlant celui de l'incube.
« Hein, Monsieur l'incube… Tu ne ferait pas ça à ta petite sœurette ?
Et il n'avait plutôt pas intérêt car, derrière elle, il y avait Fahoraa qui, en guise de message, décalotta sa grosse verge en regardant Alastar d'un air vicieux. Cet ainsi que Bafamelle, enfin, daigna libérer son frère de de son sortilège de frustration et ce dans un petit claquement de doigts. Bafamelle c'était certes beaucoup amusée a frustrer ce petit diablotin mais… Elle sentait bien que le pauvre n'en pouvais plus et ne demandait qu'une chose : ce vider un coup ! Mais voilà, même ci la petite succubette avait levée le sort, Alastar ce devait de rester bien tranquille sinon… Fahoraa ce chargerais de lui apprendre les bonnes manières.
Bafamelle ce redressa alors en gardant les yeux rivés sur Alastar puis, d'un petit air joueur, elle vint à dire ces mots :
« Bon… Notre cher petit diablotin à besoin d'une purge avant de commencer notre orgie… Qui s'y colle ? »
Un léger silence vint alors à s'installer, tendis que les trois autres démones ce regardèrent l'une après l'autre.
« Je pense que c'est à toi que reviens cette tache, petite succube… Nan ? » expliqua fahorra en ayant ses quatres bras croisés.
« Haaaan ! Mais… Pffff… C'est pas drôle !… Ont est quatres jolies demoiselles… Enfin, trois et demi alors… Autant faire ça ensemble non ? »
« Ah non ! » ajouta encore Fahoraa en tournant le tête sur le coté. « Moi je ne lui fait rien du tout… A la rigueur, je veux bien m'occuper de l'une d'entre vous pendant ce temps là mais… Voilà. »
Bafamelle émit alors un petit soupir en baissant les oreilles puis, en ce retournant vers Onyxian, elle ajouta.
« Mamounette… Tu est un peut la plus « gradée » ici… Alors, que décide tu ? »
-
Oui, le pauvre Alastar était en souffrance... Une souffrance terrible ! Il était entouré de bombes sexuelles, mais on continuait encore à lui refuser le droit de jouir ! Le pauvre diable en avait presque pleuré, la souffrance étant d’autant plus redoutable qu’il se devait de les regarder. Au moins, on pouvait féliciter son obéissance face aux ordres d’Onyxian. La Matriarche le regardait lentement, et lui vit Bafamelle se rapprocher d’elle, avant de faire sauter ce verrou. Alastar en soupira, mais, en ce moment, l’homme souffrait. C’était comme se retenir d’uriner... Au fur et à mesure qu’on se retenait, la vessie devenait de plus en plus lourde, de plus en plus douloureuse. Alastar était dans cette situation, et avait du mal à se contrôler, respirant lourdement. Tendu et énorme, joufflue et intense, sa queue était sur le point d’éclater contre son corps.
Bafamelle avait donc fait sauter le verrou, mais demanda ensuite quoi faire. Fahorra, rapidement, se désintéressa du spectacle, et Ravaa haussa les épaules, ce qui amena la Succube à se retourner vers sa mère, pensive. Onyxian, elle, eut un simple sourire. Alastar semblait plongé dans son monde, et pourtant... Onyxian esquissa un léger sourire, et sa main caressa l’une des joues de sa fille, puis elle cessa ensuite de regarder sa pensive fille, et se retourna vers le Diablotin :
« Alastar ! »
Le Diablotin la regarda en déglutissant... Et Onyxian, après quelques secondes de silence, reprit :
« Défonce-moi cette belle salope... »
Il grogna... Et les liens se retirèrent. Les pieds d’Alastar se posèrent sur le sol, et l’Incube bondit vers la femme. Il fondit sur elle comme un terrible prédateur sexuel en manque... Ce que l’homme était. Le couple s’écroula sur le lit, et Alastar plaqua sur les lèvres de la femme un baiser vorace, tout en enfonçant sa queue en elle, et en commençant à la bourrer, ses dents venant mordre ses lèvres, l’homme grognant et soupirant, sans aucune considération pour la brave Bafamelle, qu’il se contentait de baiser rageusement et violemment, faisant grincer le lit sous ses mouvements amples et forts...
Excité, voilà tout à fait comment se trouvait Alastar en ce moment...
-
« Alastar !... Défonce-moi cette belle salope... »
Cette simple phrase résonant alors dans toute la pièce et Bafamelle ce sentit d'un coup beaucoup moins fière… C'est oreille vinrent alors à ce baisser en voyant son grand frère ce redresser avec en prime une trique tout les diables.
« euh… Alinou… c'était poOUAAaahmmmgm ! »
Et hop, à peine notre jeune succube eut elle le temps de finir sa phrase qu'Alastar, visiblement en proie à ses pulsions, vint à bondir sur elle, la plaquant sur le lit en l'embrassant avec fougue et passions tout en la pénétrant sèchement sans même avoir prit le temps de la prévenir ou de la préparer à quoi que ce soit. Bafamelle était donc maintenant sous son grand frère, ce dernier la pilonnant sévèrement sans lui laisser le moindre répit, ce contentant simplement de la baiser et, au fond, c'était plus que compréhensible. Ah ! Cette petite peste c'était bien jouée de lui et elle avait bien rit en le frustrant, mais voilà que maintenant, toute cette frustration et ce désire ce retournait contre elle… Toutefois, dire que Bafamelle ne prenait pas goût à ce semi-viol serait mentir car elle le savait bien que son petit jeu aller ce retourner contre elle et… Et bien c'était chose faite à présent.
« Haaa ! Hannn… Ha… A-Al… Alastar ! A-Arrête ! Ah.. HmMMmpff… Hmgmm ! Ah ! J-Je vais t-tout dire à p-papa ! HaaaN!!!! »
Le lit grinçait et craquait sous les coups de butoir de l'Incube, des coups de butoir secs et violents, à la hauteur de la frustration que le pauvre homme avait subit. Bafamelle, elle, elle ce tortillait en soupirant et en couinant sous son diablotin de frère et ce, dans un sentiment oscillant entre le plaisir et la douleur. Les aller et retour d'Alastar était ample et lourds, faisant tressauter le jeune succube sur ses draps, ses seins rebondissant gracieusement à chaque fois. Bafamelle pouvait d'ailleurs sentir le gland de son frère pénétrer son col utérin et ce, sans aucun ménagement, attestant une fois encore de l'appétit démesuré qu'avait réveillée Bafamelle. Ce bon vieux Alastar n'était plus vraiment le gentil diablotin qui, facétieusement aller cueillir les jeunes nonnes un peu prudes dans leur église. Nan… Là, Alastar semblait transformé par le sexe et la frustration, frustration qu'il rejetait allégrement entre les belles cuisses de sa petite sœur.
« Ahaaa… Ah-Oh ! Ala-Hmmgmm… Ha… AlastaaAAaaR !!!! »
[HRP] petit bonus humoristique :3 ===> (http://zupimages.net/up/15/40/yhpf.jpg) (http://zupimages.net/viewer.php?id=15/40/yhpf.jpg)
Bafamelle quand elle a vus son frère prêt à la troncher <3
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Raisonner Alastar en ce moment était aussi efficace que de tenter de calmer un vampire assoiffé. Alastar ne se contrôlait plus, et avait réveillé en lui la part sauvage et animalière qui se dissimulait dans l’esprit des démons. Il avait laissé sa part de sauvagerie s’exprimer, et se trouvait donc sur le corps de Bafamelle, se tortillant contre elle. Ses mains s’enfonçaient contre ses épaules, et seul le contact de sa queue se plantant en elle parvenait à le soulager... Ou à tenter de le soulager. Sa queue était disproportionnée, énorme, et Alastar n’arrivait même plus à parler, se contentant de grogner et de soupirer.
« Rrrraaaaahhh... Hgggnnnnnnn... !! »
On pouvait le lire dans les yeux d’Alastar. Ce n’était plus de doux yeux bleus innocents, joueurs, rieurs et un brin ironiques, mais des yeux rouges, chargés d’agressivité, tandis qu’il grognait, grognait comme un animal sauvage, tout en continuant à la prendre, écartelant ses cuisses, faisant craquer le lit, soulevant le corps de Bafamelle sous ses mouvements. Il fallait clairement être une Succube pour endurer ça, et, tandis qu’elle continuait à remuer, Alastar, lui grognait de joie et de soupir.
Le plaisir lui avait été tellement refusé ces dernières heures qu’il n’arrivait pas à jouir tout de suite, et pénétrer Bafamelle était si bon que des larmes coulèrent de ses joues... Puis une main s’abattit violemment sur ses fesses, résonnant dans toute la pièce. Onyxian venait de gifler son cul, et esquissa un sourire moqueur. Elle se déplaça ensuite un peu, s’extirpant du lit, et posa ses mains sur les hanches de l’homme, tout en faisant pousser une verge. Une belle verge rouge qui se mit à pointer.
Un sourire sur les lèvres, ses mains caressèrent ses fesses, et elle posa ensuite sa main sur son sexe, puis l’approcha de ses fesses... Et le pénétra alors, optant pour une sodomie qui fit grogner Alastar. Ce dernier alla alors s’attaquer aux seins de la femme avec sa bouche, et le mordilla à hauteur du téton, tandis que sa main pinça l’autre sein de la Succube, la faisant couiner. Elle avait beau gesticuler ou se débattre, elle était la proie de la frustration sexuelle d’Alastar, et, maintenant qu’Onyxian venait lui labourer le cul, l’Incube sentit le plaisir croître.
Sa queue caudale se déplaça alors, remontant, et, tandis qu’Alastar suçait le sein de la femme, sa queue alla se fourrer dans la bouche de la jeune femme, optant pour une série de gorges profondes. Du sexe sauvage et démoniaque, avec, au centre, un Incube surexcité, qui se faisait enculer par sa grande sœur, et recevait régulièrement des claques sur ses fesses.
« Hnnnnnn...
- Ah, Alastar !! Ta vigueur est... Jouissive !! Alors, Bafamelle, heureuse, ma petite pute ?!! Tu te fais traire comme une grosse vache !! »
Et, pendant ce temps, Alastar déplaça son autre main pour la glisser sous le corps de la femme, et enfonça deux doigts dans son fondement, continuant ainsi à la prendre de partout...
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Pauvre petite bafamelle, elle avait beau ce tortiller sur le lit en couinant et en gémissant, rien n'aurait put arrêter Alastar à ce moment précis. Mais… Bientôt, Bafamelle put sentir une charge supplémentaire s'ajouter a son calvaire… Sa mère ! Cette dernière, visiblement attiré par ce spectacle vint a ce faire pousser une belle verge rouge, Verge que notre jeune succube imaginait déjà au fond de sa bouche ou dans ses fesses mais… Très vite, les doutes de Bafamelle s'en allèrent quand elle vit sa mère ce mettre à sodomiser Alastar, un acte que notre jeune succubette avait déjà eu l'occasion de faire elle aussi par ailleurs. Mais pour leur, la seule chose que Bafamelle ressentait, c'était la lourdeur des coup de reins de son frère lui raboter l'intimité et ce, couplé à la sodomie d'Onyxian qui elle non plus y aller pas de main morte. Cependant… Ce serait mentir que de dire que Bafamelle n'aimait pas ça, tout ce sexe brutal là, ça avait beau être un peu rude, c'était agréable au fond et lentement, la jeune succube ce mit à y prendre goût, à telle point que quand son frère vint à enfoncer sa queue caudal dans sa bouche, la jeune succube ce mit a la sucer, péniblement, certes, car Alastar exercer un puissant mouvement de vas et viens avec, mais elle la sucer quand même.
« Hmmmggm !! Shhhllrppp, ggghmm ! ! »
Notre succubette avait les yeux clos, elle soupirait parle nez et, tant bien que mal, elle gémissait et, bientôt, la jeune femme put sentir les doigts insidieux de son frère s'enfoncer dans son cul, extirpant de la bouche de notre succube, un bref petit glapissement, rapidement étouffé par la queue caudale d'alastar.
Mais… Pendant ce temps, deux autres démone regardais la scène et il vas s'en dire que l'une d'elle commençait à s'impatienter.
« Dit moi ma poule… Sa te chauffe pas tous ça ? Hm ? » Glissa alors Faorha à l'oreille de Raava tout en posant sur les hanches cette dernière deux de ses mains.
« Je ne me souviens pas avoir eu affaire toi encore… Et tous ce spectacle, on peut dire que ça met en appétit cependant... »
Là, Faohra prit sa verge (encore au repos, mais déjà particulièrement massive) en main, avant de la faire glisser sur les cuisse de la belle pyromancienne.
« Si tu veux me durcir… Il vas falloir y mettre du tiens. »
La démone esquissa alors un petit sourire, avant de ce pourlécher les lèvres tout en continuant de palper fermement les hanches de Raava puis, de descendre vers ses fesses.
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Les lits du Palais Magoa étaient solides, pensés pour ce genre de choses. Alastar était un amant très fougueux, et cette fougue était en train de se justifier en ce moment, de se délivrer dans toute sa force. L’Incube prenait la femme, il défonçait la petite Bafamelle, lui ravageait sa petite chatte de salope, en la prenant avec force. Le moqueur et joueur Alastar, très doux, laissait ici parler sa nature profondément démoniaque, réveillée par sa frustration et par les jeux pervers des Succubes. C’était savamment calculé, et, loin de la réfréner, la brutale sodomie d’Onyxian déclencha en lui une vague de douleur qui l’amena à prendre Bafamaelle encore plus fort. Sa queue caudale s’était ainsi enfoncée dans la bouche de la femme, remuant rapidement et profondément, tandis que ses mains maltraitaient son petit cul.
« Hnnnn...
- Aaaaaah, mon Alastar adoré !! »
Dominant joyeusement ce couple de pervers, Onyxian était en train de se faire grandement plaisir, le pénétrant lourdement, griffant et fouettant son cul avec ses mains et sa queue, savourant ce moment. Ce n’était pas la première fois qu’elle enculait ce brave Alastar, et, tout comme Bafamelle, elle adorait ça. Sodomiser un homme, c’était toujours excitant, a fortiori quand l’homme avait un cul aussi beau que celui d’Alastar. Le Diablotin avait toujours été très sexy, et Onyxian avait ainsi toujours aimé le prendre.
Les femmes le baisaient joyeusement, et il prenait lourdement Bafamelle, sa bouche allant mordiller son cou., se plantant dans sa chair... Et, pendant ce temps, Onyxian tourna la tête, en voyant Ravaa et Fahoraa commencer à flirter ensemble... Mais la queue caudale d’Onyxian se déplaça alors, et vint s’enrouler autour de la queue de la femme, la pressant.
« Tût-tût ! Nous vous avons invité ici pour jouer avec nous, pas en vous branlant dans le coin... Si tu veux planter ta queue quelque part, Fahoraa, mon cul est là... »
Onyxian lui sourit sensuellement, puis, tout en la masturbant, gifla à nouveau le cul d’Alastar. Ses coups de reins étaient faits pour accompagner ceux de l’Incube, la cible finale étant la belle Bafamelle, qui se tortillait sous les deux corps la prenant, même si Onyxian, par rapport aux deux, était redressée. Debout, elle faisait preuve de tous ses talents de Matriarche pour, non seulement sodomiser Alastar, mais aussi afin d’en profiter pour masturber l’amie de Fahoraa...
Et, de cette manière, une orgie démoniaque allait pouvoir commencer !
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Pour sur que le traitement était féroce ! Bafamelle, en plus d'être littéralement défoncée par son impitoyable grand frère, notre pauvre succube devait supporter les assaut de sa mère qui, sans aucune gène était entrain de prendre son fils. Bafamelle était donc plus ou moins prise entre deux feux et autant dire que la situation, bien que très stimulante et fort instructive pour la jeune succubette, ne manquait pas de devenir physique… voir très physique ! La pauvre était entrain de gémir comme une véritable petite pute sous tout ce plaisir brutal, elle pouvait sentir glisser en elle la verge de son frère et ce, à toute allure ! C'était bon.. dieux que c'était bon ! Mais diantre, que c'était violent aussi, ouille ouille ouille, pour sur que si Alastar avait prit sa rosette, notre pauvre succubette en herbe n'aurait pas put marcher pendant une bonne semaine !
« HmmmGMMPFFF Haaamm ! »
La jeune femme était petit à petit entrain d'entrer dans un état second à cause de cette queue caudal enfouie dans sa bouche c'était… c'était pas dégueu, hein mais alastar était trop brutus !: La pauvre bafamelle était sur le poins de suffoquer et, fort heureusement, le fait qu'elle soi une démone let le fait d'avoir subit le long de sa vie nombre incalculable de gorge-profondes bien solide lui avait permis de devenir très résistante à ce niveau là. Cependant… Quand Bafamelle, de ses yeux légèrement humide, vint à voir la queue rougeâtre de sa mère ce mettre à glisser sur l'épaisse queue de Fahoraa… Et bien notre charmante démonette rouge eu un peu peur mais, visiblement, ce n'était pas le petit cul de sa fille que la Matriarche voulait qu'elle défonce, mais le sien et, c'est bien sur avec un large sourire remplie d’envie que la grande démone vint a ce mettre juste derrière Onyxian, avant de violemment faire claquer deux de ses quatre mains contre ses hanches en mouvement.
« Alors comme ça… La Matriarche des Magoa veut que je lui offre l'extraordinaire don de pouvoir s'asseoir sur des petit suisses sans les écraser… hm...Intéressante ça... »
La Grande démone avait maintenant son barreau monumentale fierement dressé et, sans aucune forme de douceur, elle ce mit à malaxer les bonnes fesses d'Onyxian avant de les écarter, ouvrant ainsi la vois à sa queue.
« Avec un cul pareil, même moi j'aurais peur de plus voir ma bite… Hmmm… Les courtisan du clan Magoa son vraiment de sublime petit lot, c'est moi qui vous le dit. »
La démone esquissa alors un autre sourire, avant de grassement ce pourlécher les lèvres avec sa langues bleuatre puis… Sans aucune autre forme de procès, elle amena son gland contre la rondelle d'onyxian, forçant alors un peu sur cette dernière.
« Hmmpfff ! Onyxian… t'as fille à exactement le même petit cul toi… On vois bien que tu es sa mère, ahahah ! Hmmpff ! »
Et hop ! Petit à petit, la verge de fahoraa vint à écarter l'anus d'Onyxian, tendis que deux de ses mains écartait et palpait toujours autant les fesses de la matriarches… les autres mains, elles, s'était entre-temps déplacé ailleurs, l'une vers les des fesses d'Alastar et l'autre sur l'un des seins de la matriarche… Oui, c'était là l'un des nombreux avantages d'avoir quatre bras.
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C’était une bien étrange cérémonie, et un bien curieux spectacle, que de voir ainsi ces quatre démons en train de se faire joyeusement l’amour. Une véritable chaîne de queues et de sexe à profusion qui était en train d’éclater. Fahoraa enfonça sa queue dans le cul d’Onyxian, faisant hurler cette dernière. La Matriarche se targuait d’avoir déjà participé à un gang bang avec plus de mille mecs, mais elle devait bien admettre que la queue de Fahoraa était... Terrible. Onyxian, en effet, avait une fois décidé de participer à des émissions pornographiques spéciales à Tekhos Metropolis, dont une consistait à tenir le plus longtemps possible, en étant filmée en direct, avec une foule interminable d’amants. Il y avait, en tout, eu plus de mille amants, pour une séance qui avait duré plusieurs jours. Tekhos était le refuge des Succubes, car cet État tout entier semblait entièrement voué à la luxure. C’était donc avec plaisir qu’Onyxian s’y réfugiait parfois, et elle avait même, là-bas, une couverture civile... Mais là, elle se contentait juste d’enculer son cher petit-frère, tout en se faisant aussi joyeusement prendre par Fahoraa, dont la grosse queue lui ramonait l’arrière-train.
« Hmmmmmmm... !! »
Quelle force ! Oh, quelle force ! Onyxian en était toute retournée, sentant la femme remuer dans ses boyaux, la faisant trembler sur place. Fahoraa, oui, avait une force légendaire, une force qu’elle appliquait en ce moment, ne ménageant guère la belle... Et c’était tant mieux, car, en réalité, c’était vraiment tout ce qu’Onyxian souhaitait. Sentir une belle grosse bite bien juteuse lui ramoner le cul en la perforant par l’arrière, c’était une sensation qui, en réalité, n’avait pas de prix. Le corps de la redoutable démone remuait contre elle, ce qui avait aussi pour effet de renforcer son ardeur sru Alastar. Elle enfonçait plus fermement sa queue dans son cul, et le griffait, faisant couler son sang.
Alastar, de son côté, gémissait, en continuant à prendre la femme. Toute cette luxure était en train de réveiller sa conscience, mais tout était noyé sous le plaisir, et le fait est qu’il était effectivement en train d’étouffer Bafamelle avec sa queue, tant cette dernière était enfoncée en elle. Il lui meurtrissait les seins, et griffait son corps, faisant aussi couler le sang de la belle démone.
C’est à ce moment qu’une douce main vint caresser le visage de Bafamelle, tandis qu’une autre s’empara de la queue caudale d’Alastar, la relevant. Il s’agissait de la dernière démone, celle qui, étant visiblement laissée sur le carreau, avait décidé d’intervenir... Ravaa (http://orig04.deviantart.net/1418/f/2014/021/8/9/flaming_fusion_ravaa___01_by_alexpascenko-d734k26.jpg), belle et sensuelle, chaude comme un volcan en éruption.
« Enfonce ta queue en moi, Alastar... »
Ravaa positionna son bassin au-dessus du visage de Bafamelle, lui offrant un spectacle visuel fabuleux, car la queue caudale du Diablotin alla directement s’y nicher, faisant soupirer Ravaa, dont le corps s’enflamma pendant quelques secondes, avant que les flammes poussant le long de son corps ne se calment. Cette dernière soupira lentement, sa mouille venant tomber sur le visage de Bafamelle.
« Haaaa... Haaaaannn... !! »
Maintenant, la chaîne était complète ! Un improbable tableau sexuel, et Fahoraa était si forte que chacun de ses coups de reins influait sur tous les maillons de cette chaîne.
Bafamelle, pour le coup, se retrouvait bien entourée !
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Aie ! HaaAA aie ! Haaa-ahête Ahinoux ! T-tu me m'hai-hait hAaaal !
C'était complétement fou et suréaliste… Bafamelle, qui, quelques minutes auparavant semblait fière et sur d'elle, était maintenant entrain de gémir comme une gamines et, au fond, il y avait de quoi ! Cette brute d'Alastar était littéralement entrain de griffer la chair de sa chair sans aucune forme de pitié, tout la labourant de long en large. Pauvre Bafamelle… Elle qui pourtant aimait tellement son grand frère (oncle ?) était en proie a sa frustration sexuel, frustration qu'ELLE, avait prit soins de créer. Mais là… même pour elle c'était un peu trop, Alastar, passe encore… Puis Onyxian… puis Fahoraa.. ; seigneur, c'était trop de coup de reins pour elle ! Surtout ceux de Fahoraa bordel ! Cette démone était un monstre de puissance et, maintenant qu'elle c'était mise à sèchement péter le cul d'Onyxian et, avec tous ça, Bafamelle ce sentait plus comme un espèce de coussin qui devait amortir les coups de bassins de trois démons membrés… et certes, c'était bon… Mais c'était atrocement douloureux aussi. La succubette avait beau couiner, taper contre le buste d'Alastar en ce trémoussant de toutes ses forces… rien n'y faisait, elle était complètement soumise à ce trio de bites en rûtes
« Hampfff… M-hahan… f-hahorhAAaa ! Arrêt-tez... hanwwmm... »
Autant pisser dans un violons tiens… La pauvres petite succube était bien impuissante et, au final, même elle ce fit une raison. Alors, sans en dire plus, elle ce décontracta en levant ses yeux mis clos et larmoyant vers le ciel, voyant alors l'intimité de Ravaa ce placer au dessus d'elle. Cette dernière était elle aussi désireuse de sexe et, avec un ton chaud et sulfureux, la belle démone demanda alors à Alastar de lui enfoncer sa queue dans la chatte, chose que le Diablotin fit sans aucune autre forme de procès. Bafamelle esquissa une faible mou avant de commencer à recevoir sur son doux visage de lourdes gouttes de cyprines qui la firent alors fermer les yeux et légèrement remuer sa tête.
« Hmmpff je… je veux partir ! » C'était alors dit Bafamelle en elle même.
Pour sur qu'Alastar était peut être bien heureux pour l'instant, mais après ça… Pas sur que Bafamelle soit très gentille avec lui ! Ce sera du boudage en bonne et due forme car telle est le caractère de cette petite chipie ! Aaaah, pour taquiner son grand frère, il y a du monde, mais quand il s'agit d'essuyer à la sueur de son front les lourdes conséquences de ses actes, là, il y a plus personne. Alastar connaissait pourtant sa petite sœur et… Enfin, espérons qu'il comprendras qu'elle est encore jeune et que son sale caractère viens de sa mère… ou de son père… Ou des deux.
Pour l'heure, la succubette essayer au mieux de supporter cette orgie démoniaque… Essayant tant bien que mal d'y prendre plaisir en ce pourléchant les joue et les lèvres, afin de récupérer la délicieuse cyprine douce-amer de ravaa… Avant de lentement venir titiller la rondelle de cette dernière du bout de sa langue.
Fahoraa, quant à elle, s'affairait toujours à enculer Onyxian qui, de tout ce jolie quatuor, était la seule à réellement pouvoir encaisser une sodomie « à plein régime » de la part de la lourde démone car, Bafamelle, bien qu'elle ais déjà eu des rapport anaux avec Fahorra, n'a jamais pus engloutir sa queue jusqu'à la garde, chose qu'Onyxian était entrain de faire là, à tel points que la paire de bourses des deux femme s'entrechoquer l'une à l'autre. Le démone pourpre prenait un plaisir certain à pouvoir ainsi baiser cette chère onyxian, palpant et maltraitant les formes de la matriarches en malaxant à tour de rôle ses fesses, ses seins, seins avec laquelle elle aimait beaucoup jouer d'ailleurs, écrasant les beau mon de chair de la femme toute en pinçant fermement ses tétons bruns.
"Rrrrmpffrr ! Raaah !*
La belle démone soufflait et grognait de plaisir, son visage ce contractant sous le plaisir que le jolie cul d'Onyxian lui offrait et... Pour sur que la Matriarche devait prendre le même pied divins.
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Qui sème le vent... Alastar était un Incube extrêmement gentil et doux. Un plaisantin, un dominateur, mais quelqu’un qui n’était pas mauvais, et qui, s’il aimait se moquer des femmes frustrées, et n’était pas contre du sexe forcé, ne le faisait jamais juste pour faire mal. Il était un démon inhabituellement doux et gentil... Mais il restait un démon. Trop le pousser, c’était prendre le risque de le voir perdre la raison. C’était le lot commun des démons de Luxure. La Luxure était une force formidable, mais, quand elle s’emparait de vous, elle annihilait votre esprit, ne laissant plus qu’un esprit colérique et rageux, rempli de désir et de pulsions destructrices. Alastar s’était retrouvé dans cette situation, et il fallut attendre son premier orgasme pour qu’il aille mieux, pour que sa conscience revienne... Et pour qu’il réalise qu’il avait terriblement mal au cul.
Onyxian le claquait, le griffait, et lui-même, sous l’effet de la douleur, du plaisir, et de ses sensations intenses, avait griffé sa petite Bafamelle. Alastar soupirait et gémissait, tout contre elle, mais n’arrivait pas à rétracter ses griffes, et ce parce qu’il était tout simplement trop excité. Il soupira, sa salive tombant sur l’épaule de Bafamelle, sentant les coups de reins de Fahoraa.
*Fahoraa, putain... Elles ont pété les plombs !*
Avec sa queue géante, Fahoraa était une sorte d’abomination de la Nature. On disait qu’Onyxian avait fait des expériences sur elle, afin de voir jusqu’où un être vivant pouvait avoir une queue grosse avant qu’elle explose. Alastar ignorait si c’était vrai, mais Fahoraa était un peu effrayante... Et lui, il connaissait Bafamelle depuis qu’elle était tout bébé, et il voyait qu’elle n’en pouvait plus, et qu’elle avait envie de partir. Le lit craquait et couinait, car Fahoraa s’aventurait de plus en plus... Et le lit finit par s’écrouler, ce qui relâcha un peu la prise sur Alastar, qui en profita alors pour embrasser Bafamelle, et pour se téléporter, la queue d’Onyxian s’étant légèrement desserrée de son cul.
Les deux amants roulèrent en boule, et se retrouvèrent séparés, épuisés, dans l’une des grottes volcaniques situés dans les fondations du Palais Magoa. Couché sur le ventre, Alastar respirait lourdement. Sa salive coulait sur le sol, et il était... En fait, son dos lui faisait un mal de chien, mais ce qui était encore plus troublant, c’est qu’il avait toujours une érection d’enfer... Mais, pour l’heure, le brave Diablotin pensait à autre chose.
Bafamelle avait atterri contre le mur, et il se rapprocha d’elle, venant poser une main sur son épaule.
« Bafamelle... Ma pauvre petite... »
Il alla la serrer contre lui, caressant ses cheveux, avec une tendresse infinie.
« C’est cette orgie d’il y a quelques jours... Tu t’es surestimée, ma belle. Inviter Fahoraa... Ce n’était vraiment pas raisonnable... »
Alastar soupira encore, avant de rajouter :
« Je suis désolé d’avoir griffé ta belle peau... Mais, si ça peut égaliser, sache que je n’ai jamais eu aussi mal au cul qu’en ce moment. Je crois bien que même chier me fera un mal de chien... »
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Le sexe, c'était bon, certes, mais comme toute les bonnes choses, il ne faut pas en abuser et, notre petite succubette était entrain d'en faire l'amer expérience. Toue cette débauche de luxure, toute cette force lubrique, c'était trop pour ses jeunes épaules ! Alors certes, elle avait déjà eu des rapports avec plusieurs hommes en même temps, mais là… C'était différent, là, ils s'agissait de supporter la force d'un Incube, d'une matriarche démonique, d'une démone au dimension et à la force colossale et d'une pyromancienne de feu ! Tout ceci était donc un peu trop pour elle. Mais bientôt, la jeune Bafamelle, dans tout ce déluge de sexe, vint à entendre le lit craquer… Craquer… Et Craquer une dernière fois avant que le lit ne s’effondre.
Mais, au lieux de ce retrouver sous le poids de trois créatures infernales, la jeune succube était… Dans une sorte de cavernes volcanique, dos à un mur et, en-face de son frère qui, visiblement, était désolé de tout ce qui venait de ce passer. Mais… Bafamelle qui, lentement reprenait ses esprits, vint à froncer les sourcils, avant de mettre une gifle à Alastar. La petite succube avait les joue rosie par la colère, colère qui ce lisait aussi au fond de ses jolie yeux rouge.
« Je t'ais dit stop Alastar ! STOP ! » S’écria t-elle alors en bondissant de sa place.
« STOP ! S.T.O.P ! Stop stop stop stop stop STOP !!!!!! »
La jeune succube accusateur sur le torse de l'incube en le regardant droit dans les yeux, avec toujours cette pointe de colère en elle. Ah ça oui, elle lui avait dit stop mais… Lui aussi, pauvre bougre qu'il était, il lui avait dit « stop » Mais non, Bafamelle ne voyait ici qu'un seul et unique coupable, son frère !! Injuste ? Bien sur que oui ! Mais que voulez vous, Bafamelle était ainsi.
Elle avança donc, son doigt toujours contre le torse de son frère, le faisant alors reculer à mesure tout en pestant sa rage et sa frustration contre lui*
« Alastar ! Je vais tout dire à mon père ! Et pour sur qu'il se fera une joie de te montrer à toi, imbécile d'incube, que tu ne salit pas sa fille comme ça ! Ahah ! Tu t'es crut malin, hein ! »
Le regard de bafamelle était emplie de rage mais… mais… plus elle le regardait, plus elle avait du mal à garder ses sourcils froncés.
« Hein… Hein… T-tu tu vas… RHUMPF ! »
Et hop, Bafamelle ce retourna alors d'un coup, bras croisés et dos à Alastar. Aaaah, la petite chipie avait la tête dure mais… Au fond, pouvait elle vraiment en vouloir à son grand frère, hm ? Et bien… Et bien pas vraiment car, une trentaine de secondes après qu'elle lui ais tourné le dos, Le succube vint à légèrement tourner la tête avec un petit regard triste au fond des yeux, le genre à dire « j'ai fait une boulette » et, tout en ce mordant légèrement les lèvres, la petite démone vint à ce retourner vers son frère avec les oreilles et le regard bas.
« Je… Je suis désolé Alastar… Je… Je… C'est pas toi qui... »
Du bout de son pied, la démone ce mit alors a gratter le sol, un peu gêner avant de lever ses yeux vers l'incube. Puis… Timidement, elle ce mit à marcher vers lui en gardant le même regard mutin au fond des yeux, avant de lui dire.
« tu… Tu m'aime toujours dit… ? »
-
Il avait mal au cul, mais il était aussi désolé pour Bafamelle... Qui, naturellement, alla le gifler, avant de lui reprocher d’être responsable de tout ceci. Il savait que c’était faux, et que c’était elle, Bafamelle, qui était responsable de toute cette histoire... Mais il était incapable de lui en vouloir. Alastar était un être fourbe, un petit diablotin qui aimait jouer avec ses proies, qui aimait les torturer sexuellement, les dominer, les fouetter, les griffer, les mordre, et les insulter copieusement... Mais Bafamelle, elle, était particulière. Il l’avait éduqué, et, pour lui, elle était comme sa fille. Et elle était une véritable enfant gâtée, car Alastar lui avait offert tout l’amour paternel qu’un Incube pouvait offrir. L’amour, Bafamelle ne l’aurait pas reçue de la part d’Onyxian, et encore moins de son père, Salabog XIII, qu’on disait être un fou et un dément. Mais Alastar, lui, avait toujours aimé Bafamelle. Il se rappelait encore de la première fois qu’elle avait marché. Elle sautillait à quatre pattes avec sa queue en tire-bouchon, et Alastar tirait dessus. La tête en bas, elle riait en remuant des bras... Et, déjà, à l’époque, elle s’amusait à lui uriner sur la figure ! Mais Alastar l’avait toujours aimé. Il l’aimait quand il lui faisait faire son petit rot, quand elle avait fait sa première masturbation, et quand ses petites cornes avaient commencé à pousser. Et Onyxian, elle, avait toujours accordé tout ce que Bafamelle voulait, y voyant là un moyen de se débarrasser de sa fille sans qu’elle ne l’embête. Salabog XIII, lui, se rirait d’elle si elle venait se plaindre.
Boudant dans son coin, Bafalmelle finit par sentir qu’elle avait dépassé les bornes, tandis que le Diablotin, lui, avait toujours très mal au cul. Elle se retourna ensuite, en lui faisant une petite mine boudeuse. Alastar était contre le mur, et esquissa un léger sourire, puis lui fit alors un câlin, en glissant sa main dans ses cheveux, et déposa un baiser sur son front.
« Allons, Bafamelle, comment pourrais-je un jour cesser de t’aimer ? »
Il lui sourit à nouveau, et l’embrassa tendrement sur les lèvres.
« Mais, si j’étais toi, j’éviterais de parler de ça à ton père... Si tu lui dis que tu te plains d’avoir été pénétrée, il risque de te prendre pour une faible... »
Les démons étaient, par nature, des êtres orgueilleux et forts, qui crachaient sur la faiblesse des autres. Le Diablotin, en réalité, se moquait un peu d’elle, car il savait très bien qu’elle n’irait jamais parler de cette histoire à son père. Son oncle continuait donc à la câliner, et l’une de ses mains glissait lentement le long de son dos, se rapprochant ainsi de plus en plus de ses fesses... Mais elle alla caresser sa queue caudale, à la base.
« Toi aussi, si je te frustrais autant, tu réagirais ainsi... Le sexe, c’est une force d’aliénation, et c’est particulièrement vrai chez les démons. »
Alastar vint l’embrasser une nouvelle fois, sa main caressant ensuite son menton et ses douces lèvres.
« C’est la preuve que tu as encore du progrès à faire avant d’être au niveau d’Onyxian, ma chérie... »
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Si Alastar était bien incapable d'en vouloir à Bafamelle ou même de lui faire la tête, il en était de même pour elle à l'égard de son diablotin d'oncle. Bafamelle entretenait donc un lien très fort avec Alastar car, contrairement à ces deux parents (et surtout à sa mère), le Diablotin avait toujours sut être là pour la jeune succube qu'était Bafamelle et, même si dans la tête de cette dernière les souvenir d'elle quand elle était bébé n'était pas très clair, Alastar lui s'en souvenait très bien !
Bafamelle ignorait pourquoi Alastar c'était toujours aussi bien occupé d'elle… Enfin, c'est pas comme ci il n'y avait pas d'autres succubettes dans le palais et puis, Bafamelle n'était pas la seule fille d'Onyxian non plus et pourtant, plus le temps passe, plus notre jeune femme à la peau rouge ce rend compte qu'elle est un peu la « chouchoutte » de ce cher diablotin… En plus d'être pourri gatée par sa mère. C'est d'ailleurs ça qui a sûrement rendue bafamelle aussi peste et chipie au fil du temps, la douceur et l'amour d'Alastar, couplé au désintérêt de sa mère qui, pour que la jeune démone lui foute la paix, lui offrait (et lui offre toujours) tous ce qu'elle désire.
Mais voilà quoi… Bafamelle sans son petit tempérament, ça ne serait plus bafamelle ! Et dieu sais qu'Alastar, même s'il en chie de temps à autre avec elle, l'aimera toujours comme un fou.
C'est donc après une petite séance d'excuse que ce cher Alastar vint à s'approcher de sa soeur, avant de tendrement lui caresser le dos puis, la base de sa queue caudale, queue que Bafamelle remua joyeusement en regardant son frère dans les yeux avec un regard amusée et joyeux.
« ranwf… J'ai encore le temps de devenir comme maman tu me diras… Elle est toute vieille elle, ihihi ! »
Et hop, une fois cette petite pique envoyée, Bafamelle allât embrasser son grand frère sur le front en ce mettant légèrement sur la pointe des pieds. Aaaah… Pour sur qu'elle avait encore du temps devant elle notre succube, plusieurs millénaires même ! Mais Alastar ce devait de l'admettre, pour une jeune novice de 83 ans, Bafamelle ce débrouillait bien quand même.
« Bon... » Lâcha t-elle alors en attrapant les mains de son grand frère. « Ont fait quoi maintenant Alinoux… Hm ? Ont vas taquiner des gens ?»
Il y avait au fond des yeux ne la démone un petit air joueur et très guais qui luisait, comme ci, tout ce qui venait de ce passer lui était sortit de la tête… Enfin, non, bien sur que non que ça lui était pas sortit de la tête et puis, la pauvre, elle avait encore un peu mal à l'entre jambe mais… Quoi de mieux que quelque facétie en compagnie de son mentor pour détendre l'atmosphère, hm ?
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Alastar était un Incube autoritaire et dominateur, mais, face à des femmes comme Bafamelle, toute cette autorité disparaissait, laissant placer à une profonde douceur. Le jeune démon sourit légèrement quand la Succube l’embrassa sur le front, avant de lui demander ce qu’ils comptaient faire, maintenant… Comme embêter des gens. La maintenant contre lui, Alastar sourit, et embrassa, en retour, la femme sur les lèvres. À ce stade, entre eux, on ne pouvait même pas parler d’un acte sexuel, c’était juste une manière de se saluer. Il l’embrassa donc, affichant ensuite, sur ses lèvres, un léger sourire. Ses mains, elles, s’empressèrent d’aller caresser les beaux cheveux de Bafamelle, qui semblait être toute ragaillardie. À tel point qu’elle avait encore envie de faire ce qu’elle savait faire de mieux… La peste !
Le Diablotin ne put que sourire, plus amusé qu’autre chose.
« Pourquoi pas… Mais, cette fois, c’est toi qui va trouver quelqu’un à embêter ! »
Le duo se téléporta à nouveau, et arriva dans une petite pièce cylindrique, avec un plafond voûté. Pour aller dans les Plans Intermédiaires, les démons avaient quelques règles à respecter. Le principe était qu’ils ne pouvaient venir que si un humain les invoquait, mais cette notion d’invocation pouvait aussi, notamment au niveau des démons de Luxure, être entendu de manière indirecte. Ils avaient le droit de se déplacer vers une personne frustrée… Enfin, pour être honnête, Alastar ne savait pas si cette interprétation avait l’approbation des Anges, mais, comme il avait toujours pu le faire sans problème, il ne pouvait que supposer que c’était bon.
C’était depuis l’un de ces endroits, une « Chambre de Résonance », qu’Alastar pouvait percevoir les appels de la Luxure. Généralement, c’était lui qui le faisait, mais, cette fois-ci, il s’assit avec Bafamelle, au milieu de la pièce, au centre d’un impressionnant sceau magique, et les deux se concentrèrent.
« Ferme les yeux, Bafamelle, et cherche… Cherche des cibles qu’il te plairait… »
En fermant les yeux, on pouvait voir n’importe qui, hommes comme femmes. Et, contrairement à une idée reçue, les personnes frustrées étaient autant de sexe masculin que de sexe féminin. Pour plus de simplicités, Alastar limitait ses recherches à la Terre, un monde proche des Enfers, ou encore à Terra. Ils purent voir quantité de choses…
« Hmmm… En voilà une qui pourrait nous plaire… »
Les instincts d’Alastar se portèrent autour d’une femme qui était en train de se masturber dans son bureau… Une superbe blonde qui avait fait passer sa carrière avant le plaisir, et qui était maintenant… En manque. Elle dirigeait une petite entreprise, et s’appelait Eliona (http://orig02.deviantart.net/dc5c/f/2015/350/f/8/eliona_by_elias_chatzoudis-d9kbypt.jpg), et rêvait de se faire prendre par tous ses employés.
Une belle candidate, non ? Elle se masturbait dans son bureau, formant un appel pour les démons de Luxure, à charge pour eux d’y répondre ou non…
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Une fois dans la pièce cylindrique, Alastar proposa un premier choix à Bafamelle qui, de son coté, avait elle aussi fermée les yeux dans le noble bute de trouver une victimes. Cependant, la jolie blonde que son grand frère avait trouvé était certe très sexy mais… Hmmm… Elle ne plaisait pas à Bafamelle, elle la jugait trop… Salope ? Nan… Provocatrice ? Non plus ! Nan… C'était autre chose, elle ne lui plaisait pas, voilà tout ! Et, en signe de mécontentement, Bafamelle ce mit a remuer son petit nez un peu comme samantha dans ma sorcière bien aimée et ce tout en fronçant les sourcils.
« Ah non Alinoux, t'as dit c'est moi qui choisissait… Je veux pas d'une bimbo au gros seins ! »
Une fois cela dit, Bafamelle se remit à chercher de son coté en fronçant les sourcils (ce qui, comme 99,9 % de ses expressions facial la rendait adorable) puis, après quelque seconde de battement, la demoiselle toute rouge vint à remuer son nez à nouveau en affichant un petit sourire, ses dent blanche ressortant magnifiquement grace au contraste de ses lèvres pulpeuses et de sa peu.
« huhu… J'en ais trouvée une ~ » répondit elle alors en remuant gracieusement sa queue caudale. « et en plus… C'est une princesse ! Mouhahaha ! »
Aaaah… Bafamelle. Si elle savait… Une princesse, franchement, n'aurait elle pas pue trouver plus compliquer à piéger et à taquiner, hm ? La succubette était bien mignonne mais… Qui dit princesse dit bien souvent rideau magique, protection divine ou que sais-je encore ! Et bien sur, si il venait à y avoir des répercutions, pour sur que c'est sur les épaules de se pauvre diable d'Alastar que ça aller retomber.
« Allez Alinoux ! Je la veux ! En plus elle ressemble à une poupée… nyunyunyu ! Elle est trop mignonne !» S'exclama la demoiselle en remuant ses petite fesses et ses petit bras dans tout les sens, visiblement très pressée de rencontrer cette demoiselle… Demoiselle qui n'était autre que… L'actuelle petite princesse de Sylvandell, Alice korvander.
« Allez Alinoux ! Je veux ! Je veux ! je veux ! » Enchaînâ t-elle alors en tapant du pied, alors même que son grand frêre n'avait encore rien dit.
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Bafamelle était une insupportable peste, capricieuse, orgueilleuse… Mais comment lui dire non ? Elle rejeta rapidement la proie d’Alastar, et se plongea ailleurs. Circuler dans le monde des désirs et de la frustration n’était pas si simple que ça, mais Bafamelle avait appris à s’y nager. Tout individu, dès qu’il était frustré, ou, même, dès qu’il faisait l’amour, appelait inconsciemment les démons comme Alastar ou Bafamelle. Alastar laissa donc sa petite sœur choisir, et cette dernière choisit donc… Ce qui ne manqua pas de surprendre Alastar.
« Oh… »
Une tête blonde qu’Alastar connaissait. Le ‘‘Joyau de Sylvandell’’, la Princesse héritière Alice Korvander, fille du redoutable Tywin Korvander, puissant Roi de Sylvandell. Une nation montagnarde austère, entourée de dragons, dans un coin reculé d’Ashnar,d limitrophe. La lignée des Korvander avait toujours produit des durs, des costauds, jusqu’à la demi-portion de Tywin. Une fille menue, épaisse comme un biscuit sur le point de craquer, mais d’une incroyable beauté. Entre eux, l’image d’Alice flotta en l’air, dans une élégante robe de noble, avec des gants en cuir, chevauchant un cheval noir en rentrant dans l’enceinte du Château royal.
Alastar hocha lentement la tête, tandis que Bafamelle se mit à lui faire un caprice. Le doigt d’Alastar se tendit alors vers elle, et il lui lança un sort de Mutisme, qui fit taire Bafemelle pendant quelques secondes dans ses piailleries.
« La Princesse de Sylvandell n’est pas une proie facile, Bafami’. Elle est entourée par des cristaux magiques qui nous empêchent de nous téléporter directement dans le château, ainsi que par de nombreux gardes. Mais, si nous recevons de la frustration, c’est que, ce soir, elle doit être seule dans son château. Donc… Il nous faut intervenir pour soulager Sa Majesté ! »
Le Diablotin s’était relevé, et, tandis que Bafamelle avait retrouvé l’usage de sa langue, il se déplaça vers un miroir magique. En soi, tout démon pouvait rejoindre les Plans Intermédiaires, dès lors qu’il ne faisait pas un usage excessif de ses pouvoirs magiques, sous peine d’attirer la colère des Anges. Le Diablotin ouvrit donc, à l’aide de runes, un portail magique qui filait droit vers Sylvandell. Alastar l’enclencha donc, et le vortex s’alluma, puis il attrapa sa charmante succube par la main, et entreprit alors de l’embrasser sur les lèvres, doucement et tendrement, comme pour lui confirmer, encore une fois, son amour éternel.
Ensuite, les deux démons filèrent, et, quelques instants plus tard, arrivèrent dans les hauts-plateaux de Sylvandell, face au Château royal. Ce dernier brillait sous une nuit magnifiquement étoilée, et Alastar huma l’air frais. Les hauts-plateaux se composaient de grands espaces et de structures en pierre, abritant des casernes, par exemple.
« Bon… Commençons par le commencement, ma chérie. Allons nous trouver des uniformes, on pourra passer plus facilement la garde ! »
Les deux démons partirent donc en vadrouille… Et, en un sens, Alastar comprenait tout à fait le choix de Bafamelle. Plus l’enjeu était difficile, plus ce serait gratifiant !
Et Dieu sait que baiser à deux la petite Princesse de Sylvandell, ce serait gratifiant…
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« Bon… Commençons par le commencement, ma chérie. Allons nous trouver des uniformes, on pourra passer plus facilement la garde ! »
« Hanw ouaiii ! Chouette ! Je veux être une servante !!! » S’exclamât alors bafamelle en bondissant joyeusement sur place, visiblement très heureuse que son frère ais acceptée sa requête. C'est vrai que cette petite princesse était drôlement jolie et Bafamelle se voyais déjà entrain de la taquiner amoureusement, comme l’insupportable petite succube pleine de malice qu'elle était.
Mais… Une fois encore, il fallait que les deux êtres rouges trouve des déguisement, afin de ce faufiler dans le palais sans rencontrer de problème, un peu comme deux agents secrets de la luxure !
Mais avant même de parler de vêtement, c'était en terme d'apparence que les deux démons devait changer et oui, car deux démons rougeoyants, c'est pas ce qu'il y a de plus discret. Cet ainsi qu'en un petit claquement de doigts, Bafamelle vint à transformer sa charmante peau rouge en une peau mate , cachant par la même occasion ses cornes, ses ailes ainsi que sa queue caudale.
« Et pouf ! Je suis humaine ! Mouhahaha ! Tu me trouve comment Alastar comme ça ? Hm ? »
Demanda alors la jeune succube en se dandinant devant son frère tout en gardant un air malicieux et joueur sur le visage. Ainsi, Bafamelle avait tout d'une belle jeune femme orientale, un charme très exotique donc qui, même ci ce n'était qu'une couverture, était aux yeux de notre succubette un détail important ! « Allez ! Change toi à présent !
Et oui, c'est qu'elle était rudement pressée la petite ! Elle en avait envie de sa petite poupée princière ! Cet ainsi qu'une fois Alastar changé, les deux comparse démoniques vinrent à s'infiltrer dans une caserne, jouant de la discrétion du mieux qu'ils purent afin de ne pas se faire voir tant qu'ils n'étaient pas « déguisés ». Et… Une fois arrivés dans ce qui semblait être une buanderie, nos deux incestueux amants commencèrent à farfouiller partout, Bafamelle cherchant tant bien que mal une tenue de soubrette dans tout se bazar de vêtements, principalement composés de vêtement de gardes. Toutefois, après une cherche intensive, Bafamelle fini par tomber sur des vêtements de servante, vêtements qu'elle enfila en vitesse avant de se tourner vers son grand frère adoré.
« Alastaaaaaaaar… Regarde comme je suis belle ! »
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Première chose à faire : changer d’apparence. Rien de bien compliqué, pour un démon. Les Incubes et les Succubes étaient par nature polymorphes, adaptant leur apparence en fonction des désirs et des souhaits de leurs cibles. Alastar opta donc pour une apparence d’homme, modifiant juste la couleur de sa peau, faisant disparaître ses cornes et sa longue queue caudale. Il sourit ensuite devant Bafamelle, visiblement toute excitée à l’idée d’aller coucher avec une Princesse.
« Tu es ravissante, ma chérie. Notre Princesse ne pourra que succomber à tes charmes, c’est une certitude. »
Ils se téléportèrent ensuite, et arrivèrent dans la ville haute de la capitale de Sylvandell, un haut-plateau assez désertique, à l’exception de structures se dressant ici et là. Le Palais royal était trop petit pour contenir tout ce qu’il était supposé abriter, et, en conséquence, les domestiques avaient un manoir bâti en-dehors du Palais. C’était par là que le duo se rendait, tout en voyant des dragons tournoyer lentement autour du Palais royal. C’était bien Sylvandell, et Alastar, qui connaissait les lieux, aida Bafamelle à se faufiler dans le manoir des domestiques.
Pages, cuisiniers, assistants, scribes, il y avait du monde en général, mais, cette nuit, la maison était presque vide, n’abritant que le personnel de nuit. Les deux démons n’eurent aucune difficulté à passer par l’arrière, enjambant le mur, et rejoignirent ensuite les couloirs du manoir, évitant les quelques gardes et autres domestiques. Le Diablotin et sa petite-sœur se rendirent dans une sorte de grand cagibi abritant quantité de tenues, et optèrent tous les deux pour des tenues de page, Alastar enfilant un uniforme de domestique, et Bafamelle... Une séduisante tenue de maid (http://img110.xooimage.com/files/5/4/5/maid_suit-501a060.png), dans laquelle elle se pavana joyeusement.
Souriant légèrement, Alastar se rapprocha d’elle, et posa ses mains sur ses fesses, la plaquant contre le mur, et l’embrassa goulûment, avant de rompre le baiser, non sans regret.
« Ne me tente pas, Bafamelle, nous avons un timing très serré... »
Elle était toujours aussi espiègle, toujours aussi insouciante. Une petite Succube arrogante et orgueilleuse, mais c’était comme ça qu’Alastar l’aimait, après tout, avec ses caprices, et sa mauvaise foi typiquement féminine. Néanmoins, ici, s’ils voulaient avoir une chance de finir dans la chambre de la Princesse, il fallait agir vite. En remontant le long du couloir, Alastar entendit du bruit émanant d’une pièce, et entrouvrit légèrement la porte. Une épaisse buée attaqua son visage, et il perçut une odeur de parfum.
« Oui, elle tient à ce que je l’enfile... Notre petite Princesse se dévergonde de plus en plus.
- C’est à force de côtoyer cette Mélinda, j’ai toujours dit que cette personne était une très mauvaise fréquentation. Elle tient un harem. »
Une jeune femme, et une autre plus âgée.
« Cette uniforme de maid a été offert par elle, poursuivit la femme âgée.
- Il n’empêche qu’il est très agréable à porter. La Princesse m’en a fait cadeau, et, quand je suis retournée chez moi... Albert tirait une de ces têtes ! »
Alastar écoutait silencieusement cette conversation, comprenant que Bafamelle avait piqué la tenue de cette maid, et qui devait préparer le lit d’Alice. C’était un plan idéal ! Alastar sourit lentement, et se retourna vers Bafamelle.
« Cette fille va sortir de son bain pour aller prendre ta tenue. Il nous suffira juste de l’endormir, et tu te feras passer pour elle. Les gardes te conduiront directement chez la Princesse ! »
Mais... Quid d’Alastar ? Ce dernier trouverait bien, de son côté, un moyen de s’infiltrer. Comme toujours, la priorité était de songer à Bafamelle. Tout ce qu’il fallait, maintenant, c’était tendre une embuscade à cette jeune femme, et lui offrir un congé pour la nuit.
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« Cette fille va sortir de son bain pour aller prendre ta tenue. Il nous suffira juste de l’endormir, et tu te feras passer pour elle. Les gardes te conduiront directement chez la Princesse ! »
« Ouip ! »
Bafamelle hocha ensuite de la tête en attendant le moment propice, une fois la charmante demoiselle sortit de son bain et seule, la petite succube s'empressa d'aller à sa rencontre, fermant alors la porte derrière elle en souriant.
« Que... Eyh toi ! Que... Mais c'est ma tenue ! Rend moi ça tu veux ! »
Bafamelle gloussa alors avant de s'approcher de la demoiselle en lui souriant.
« Attend... Shuuut... Tu entend ? » Lui dit elle en s'approchant plus prêt, faisant par ailleurs légèrement reculer la servante, emmitouflée dans sa serviette.
« Entendre quoi !? Retire immédiatement cette tenue, morue, où j'appelle la garde ! »
Cet alors que Bafamelle, toujours en esquissant un petit sourire espiègle, vint à approcher sa mains du visage de la demoiselle puis... D'un simple claquement de doigts, elle la fit tomber dans les vapes... Enfin, pas immédiatement, la demoiselle due tout d'abords lutter contre une irrépressible envie de dormir puis... Elle s’affalât mollement sur le sol.
« Bon, endormir la grognasse, c'est fait ! »
La succubette se tourna alors vers Alastar qui observait le tout dans l’entrebâillement de la porte tout en gaitant l'entrée, lui faisant un petit pouce en l'air accompagné d'un clin d’œil complice. Ensuite, la démone n'eu plus qu'a revêtir l'apparence de la demoiselle, avant de la dissimuler dans un placard, placard quelle ferma a clé.
« Bon... Voilà ! Maintenant...ho ! »
La succube vit alors sur une petite commode un flacon de parfum qu'elle s'empressa de prendre afin de s'en mettre quelque gouttes, puis, d'un pas guilleret, elle prit les draps que la servantes avait préalablement préparée pour la princesse et sortit de la pièce... Ne voyant plus Alastar dans les parages. Cet alors que deux gardes vinrent à sa rencontre, assez souriant par ailleurs, sourire qui accompagnait un petit regard envieux du corps de la demoiselle.
« Tu es prête ? » Lui demanda le premier.
« Oui, bien sur. »
« Parfait. Suis nous. » Lâcha finalement le second, escortant alors la demoiselle jusqu'au appartement de la princesse.
Une fois devant la porte, les deux gardes laissèrent Bafamelle rentrer avec les draps. Une fois dans la chambre, la petite succube ne peu cependant pas s’empêcher de regarder a droite et à gauche tout les bien de la demoiselle qui, il faut bien l'avouait, avait vraiment une belle collection de bibelots, sans compter les riches ornements qui agrémentait les murs, le lits, les fenêtres... Enfaîte, les princesse de terra n'était pas si différentes des princesse des enfers niveau luxe, même ci pour le coups, tout était un peu trop.. Rose. Cet alors qu'un bruit d'eau interpella la succube, cette dernière comprenant alors que la princesse était entrain de se doucher. Puis... Une autre servante vint à apporter une tasse de tisane, saluant au passage d'un petit hochement de tête Bafamelle qui pour le coup lui sourit en retour, commençant à déplier les draps afin de ne pas paraître suspect... Mais une fois l'autre gourde repartit, la succube s'empressa de commencer à farfouiller partout, pour chercher quoi ? Et bien rien, juste pour jauger un peu le potentielle de la princesse et par orgueil typiquement féminin aussi.
« Voyons les tenue de cette demoiselle... » dit elle en ouvrant alors l'armoir d'Alice, visualisant un nombre affriolant de tenue... Tenue parmi lesquelles l'une d'entre elle attira l'attention de la démonette... Une belle tenue de latex qui arracha un petit sourire envieux à Bafamelle.
« Et bien coquine... Ont a les même goût on dirait, huhuhu ! »
Rapidement, bafamelle remit la tenue à sa place, reprenant ses investigations, farfouillant dans plusieurs tiroirs puis... Finallement sous le lit, où la démone pue alors apercevoir des jouet d'ordre sexuelles. La succube en prit alors un et elle le considéra avec un sourire amusée.
« Si monsieur le roi savait ça didonc... uhuh ! Oups ! » lacha t-elle quand l'objet lui échappa des mains, objet quelle remit ensuite rapidement à sa place avant de se tourner vers... La petite tisane de sa majesté Korvander. Là, Bafamelle esquissa un énième petit sourire vicieux, avant de finalement s'approcher de la dite tasse en veillant à faire attention à ce que la princesse ne rentre pas tout de suite... Fort heureusement, cette dernière semblait très prise par sa toilette, laissant alors le temps à bafamelle de se mordre légèrement le pouce pour y laisser tomber quelques goutte de son sang, avant de murmurer quelque mantra en araméens. Avec une telle tisane, pour sur qu'elle aller passer une bonne nuit !
Ensuite, par soucis de crédibilité, la succube s’affairât à mettre en place le lit de sa majesté... Mais... Assez maladroitement car, comme toute princesse pourrie gâtée, Bafamelle ne savait pas faire son propre lit... Diantre, que c'était emmerdant de faire un lit ! La succube rouspéta toute seule en cherchant un moyen d'y arriver mais... Au final, le résultat fut assez mitigée mais, pour bafamelle, c'était très bien... Bon, il y avait des plis ici et là, mais au moins, c'était fait ! Et puis crotte, c'était pas son lit ! (oui, car si son lit venait un jour à avoir se n'est ce qu'un plis... Houlala... Le drame.)
Fière de son travaille de sagouine, la peau-rouge prit une petite pose enjouée, avant d'entendre la porte de la salle de bains s'ouvrir, là faisant aussitôt se retourner vers... Et bien vers la princesse. Un jolie petit brin de femme qui ne manquait pas de charme, à la voir comme ça, on aurait dit une angelote toute droit sortit du paradis !
« Hum... Bonsoir majesté. » lâcha alors bafamelle en faisant un salue respectueux à la demoiselle.
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La priorité d’Alastar avait été d’offrir à Bafamelle une couverture tenable. Lui se débrouillerait ensuite pour en trouver une qui tiendrait la route. Il se ferait passer pour un garde, trouverait une autre approche... Ainsi, quand les gardes se rapprochèrent, le Diablotin se dissimula, et laissa sa princesse partir. Il savait que Bafamelle pouvait être une vraie peste, mais savait aussi que, quand il le fallait, elle pouvait se montrer intelligente, et s’en tenir au plan. Leur opération d’infiltration dans le Château royal de Sylvandell n’était pas aisé, surtout qu’ils visaient la demeure de la Princesse, ses quartiers intimes, et donc sécurisés.
Bafamelle, fort heureusement, réussit à y aller sans difficulté. Elle arriva ainsi dans une sorte de petit couloir. Il y avait plusieurs portes à droite et à gauche, donnant à une penderie, une chambre d’amis, ou encore la salle de bains. La porte était fermée, mais on pouvait entendre des clapotis à l’intérieur, ainsi qu’un peu de buée sortant par la porte. Alice prenait un bain, et, prudemment, Bafamelle alla au fond du couloir. Il y avait, ici, une sorte de petit salon avec une fenêtre dans un coin, et une porte menant tout droit à la belle chambre de la Princesse.
On avait déjà mis un feu à brûler, et le bois craquait doucement, laissant s’échapper de magnifiques lueurs cendrées. Bafamelle devait, elle, préparer le lit. Les bougies de plusieurs candélabres étaient déjà allumées, et, tandis qu’elle s’effectuait, la Princesse termina son bain, et se sécha un peu, tout en chantonnant. Bafamelle pouvait l’entendre siffloter, et Alice ouvrit ensuite la porte de la salle de bains, et rejoignit ensuite sa chambre.
« Oh... Bonsoir, Sandra. Vous allez bien ? »
Évidemment, il était impossible pour Alice de savoir que la femme devant elle n’était pas Sandra. La Princesse portait une serviette autour de son corps, dissimulant ses formes. Elle avait pris pour habitude de dormir nue, mais, pour ne choquer personne, portait une serviette sur elle quand elle se déplaçait. La jeune femme inspecta brièvement le lit, et vit, ici et là, quelques bourrelets. Ses sourcils se voilèrent imperceptiblement pendant quelques secondes, puis elle se déplaça encore.
« Vos enfants se portent bien ? Paul veut toujours devenir un Commandeur ? »
Alice n’était pas une dirigeante hautaine et arrogante, qui prendrait de haut ses subordonnés. Au contraire, elle essayait, dans la mesure du possible, d’être proche d’eux. La jeune femme se déplaça vers sa tisane, et l’attrapa, puis souffla délicatement dessus, comme pour s’assurer que la tasse n’était pas trop chaude. Ensuite, et sans se poser davantage de questions, elle en avala plusieurs rangées, et cligna des yeux à plusieurs reprises.
« Hmmm... Merci d’avoir fait le lit, Sandra, je ne voudrais pas vous retenir plus longtemps, vous... »
La jeune tête blonde secoua alors la tête et cligna des yeux, en sentant une sorte de torpeur s’emparer d’elle.
« Je... Pardonnez-moi, je... Je dois être plus fatiguée que ce que je ne pensais... »
Elle se mit ensuite à toussoter, et se racla la gorge, en sentant une chaleur féroce naître dans sa gorge, pour se diluer ensuite à hauteur de son ventre, et remonter ensuite tout le long de son corps. Confuse, elle se mit à rougir.
Mais qu’est-ce qui était en train de se passer ?
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« Vos enfants se portent bien ? Paul veut toujours devenir un Commandeur ? »
« Euh... Oui, très bien et oui, Paul ne cesse de vouloir continuer dans cette voie. »
Bafamelle était un peu embêtée par de telles questions ! Diantre, pourquoi fallait t-il que cette petite demoiselle soit à ce point attentionné, c'est vrai quoi, les serviteur n'on pas à raconter leurs vie, ils font leur boulot, puis c'est tout ! Toutefois, après cette question, Bafamelle vit la princesse saisir la tasse qui lui était destinée et, ce fut tant bien que mal que la succubette cherchât à dissimuler un petit sourire en coin.
Et... hop ! Voilà que sans se demander quoi que ce soit, la petite princesse vint à boire plusieurs lourdes gorgées du précieux liquide, avant de gentiment congédier sa « servante » mais, à peine eu t-elle le temps de finir sa phrase, que la petite tête blonde vint à ressentir les effets du philtres sans vraiment comprendre ce qui était entrain de lui arriver par ailleurs.
« Je... Pardonnez-moi, je... Je dois être plus fatiguée que ce que je ne pensais... »
« Fuhuhu... Mais bien sur, la fatigue. » Lâchât alors la servante d'un air joueur, avant de finalement claquer des doigts, afin de dévoiler sa véritable apparence et ce, dans un somptueux nuage de brume rosé.
« Je ne suis point votre servante, altesse, mais votre délicieuse compagne de ce soir... Bafamelle, Magoa, pour vous... Hmmm... remplir ? »
Et oui, Bafamelle avait suffisamment endurée de coup de reins pour l'instant et, à dire vrai, elle avait envie de tester de nouvelle choses avec cette charmante demoiselle, dont l'ont disait qu'elle aimait les futanari. Cet ainsi que, toute en se tenant les hanche, la Succube vint à faire apparaître un service trois pièce de bonne taille avant de sourire avec une pointe de vice à la princesse.
« n'ayait pas peur, nous, chez les Magoa nous n'avons pas pour habitude de laisser nos proie insatisfaites ! »
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S’infiltrer dans le château n’était pas aussi facile que ça. Ce dernier était petit, de soprte que les gardes étaient assez fréquents. Pour autant, Alastar avait relevé le défi, et ce avec un certain succès. Pour s’infiltrer à l’intérieur du château, il avait tout simplement pris l’apparence d’un voyageur, et avait bu dans la salle commune en compagnie de plusieurs gardes, jusqu’à en alcooliser suffisamment un pour le neutraliser dans un coin discret, et prendre son armure. Le brave Sylvandin allait passer la nuit à dormir dans les écuries royales, dissimulé au milieu des bottes de foin et des chevaux. Alastar, quant à lui, remonta le château, jusqu’à rejoindre les quartiers privés de la Princesse.
*Je suis sûr que Bafamelle est déjà là...*
La connaissant, elle avait dû jouer son rôle à la perfection. Lui n’avait plus que les gardes postés devant l’appartement à passer. Il se rapprocha donc de ces derniers. Alastar avait précisément choisi qui neutraliser. En l’occurrence, il s’agissait d’un elfe, qui était connu pour passer ses soirées à protéger intimement la Princesse : Melendil ! Alastar avait usurpé son apparence. Nul doute que l’elfe lui en voudrait par la suite, alors il espérait bien pouvoir user de tous ses talents auprès de la Princesse de Sylvandell pour qu’elle fasse plaider sa cause ensuite auprès de l’elfe.
*Je ne voudrais pas me fâcher avec un si bel homme, après tout...*
Sa ruse marcha en tout cas à la perfection. Les gardes le laissèrent passer sans rechigner, et, dès qu’Alastar entra, il perçut instantanément l’odeur de sa chère Bafamelle. Manifestement, la succube s’était manifestée auprès d’Alice. Alastar s’avança rapidement, sentant l’excitation pointer. Les quartiers d’Alice étaient assez petits, formant un appartement intimiste et chaud, agréable et accueillant, et où il sentait beaucoup de sexe. Même sans la présence des Magoa, Alice était bien plus coquine que ce que ses sujets semblaient penser.
Alastar s’avança donc, et défit son armure dans le couloir, prenant également sa forme normale, puis ouvrit la porte de la chambre.
« Princesse... ? »
Un séduisant spectacle l’attendait. Sur le rebord du lit, sa sœur était assise, et embrassait à pleine bouche la Princesse de Sylvandell. Cette dernière portait une belle nuisette blanche avec des gants et des collants, et l’une de ses mains caressait la verge de Bafamelle. En entendant des bruits de pas, Alice détourna la tête, et rougit en reconnaissant l’homme qu’elle avait déjà vu à plusieurs reprises au harem de Mélinda.
« A-Alastar ? Mais... Qu’est-ce que vous faites ici... ? Je... Je ne comprends pas... »
Alastar sourit en se rapprochant.
« Eh bien, ma chère, c’est une passionnante histoire... Que je vais laisser Bafamelle prendre le soin de vous conter, puisque c’était elle qui tenait absolument à venir vérifier si la réputation du Joyau de Sylvandell était à la hauteur de la réalité... »
Alice rougit brièvement.
« Ma... Ma réputation ? Co-Comment ça... ? »