-
La GeoTower (http://fc00.deviantart.net/fs71/i/2013/166/d/d/sunshower_by_jonasdero-d68ayh0.jpg) portait bien mal son nom, car, sous ce terme, on désignait, non pas un seul bâtiment, mais un ensemble de bâtiments, l’ensemble formant une place massive se découpant au milieu des gratte-ciels des affaires de Tekhos Metropolis. La GeoTower était une immense structure, kafkaïenne, avec de multiples secteurs, de multiples accréditations de sécurité variant en fonction des personnes, du grade, et du secteur concerné. Se composant d’un immense parking souterrain de quinze niveaux, la GeoTower accueillait quotidiennement plusieurs milliers d’employés. C’était une immense structure, qui accueillait, en son sommet, plusieurs étages bien spécifiques : les appartements privés de Miranda Forge, et le conseil d’administration.
Ce conseil réunissait, outre quelques actionnaires majoritaires, une Sénatrice, et plusieurs militaires, confirmant ainsi le caractère semi-public de la mégacorporation GeoWeapon Corp. Aujourd’hui, une session ordinaire avait lieu, et chacun des membres du conseil avait reçu il y a plusieurs semaines l’ordre de la séance. Elle serait consacrée autour d’un programme qui avait besoin de refinancements, « GeoHuman ». GeoHuman était un programme qui était un échec flagrant, et qui avait coûté au Sénat et à GWC la bagatelle de plusieurs millions de crédits tekhans. Conçu dans les laboratoires du Dôme, « GeoHuman » avait pour but de créer artificiellement des êtres vivants, avec des finalités pratiques infinies : possibilité de se doter d’une armée de soldats, possibilité de repeupler Tekhos en luttant contre les problèmes de fertilité croissant entre des personnes de même sexe désirant enfanter, etc... GeoHuman avait été un programme important, mais aussi un fiasco retentissant, qui avait coûté beaucoup d’argent à la société, et qui avait été refroidi. Le seul élément qui était ressorti des entrailles de ces laboratoires d’apprenties-sorcières jouant à Dieu était la majordome de Miss Forge, LaBelle... Les financements avaient été drastiquement réduits après les échecs répétés... Dégénérescences cellulaires, monstres de foire, phénomènes horribles... Les conseillères étaient venues avec des attachés-cases et des tablettes graphiques, récapitulant tous leurs dossiers et toutes leurs remarques sur la réouverture de GeoHuman. Ce programme avait coûté cher, tant financièrement que matériellement. Pourtant, c’était le sujet principal de cet entretien.
Miranda savait ce dans quoi elle s’engageait. Elle allait marcher sur des œufs ce matin, mais, cette belle matinée, elle n’avait peur de rien. Se tenant dans son immense bureau, si grand qu’il aurait pu abriter un loft entier, elle voyait, devant elle, de gigantesques baies vitrées, menant à une terrasse magnifique, avec une piscine. Une vue impayable sur toute la ville, où elle se rendit rapidement, humant l’air frais, voyant, au loin, les tours se perdre à l’horizon. C’était Tekhos... Sa ville, selon elle... Et l’égo de Miranda était suffisamment surdimensionnée pour qu’elle le pense sincèrement.
*Bientôt, bientôt... Ce que je fais, je le fais pour l’humanité toute entière.*
Elle se retourna alors, revenant dans son bureau, et, automatiquement, les baies vitrées se refermèrent derrière elle. Devant son bureau, il y avait un colossal écran plat, faisant la taille d’un petit écran de cinéma, qui affichait en direct plusieurs chaînes d’informations. Miranda avait depuis longtemps compris que le contrôle de l’information était nécessaire, et, sur l’ensemble des centaines et des centaines de chaînes de Tekhos, environ 95% étaient détenues par des mégacorporations. Outre sa chaîne officielle, GeoWeapon Corp. avait le contrôle sur plusieurs autres chaînes, une bonne dizaine. Miranda portait avec elle sa chemise noire, sans manches, une tenue ample et légère, dévoilant volontiers ses seins. Pour elle, on n’était pas puissants si on ne pouvait pas coucher en public, et elle entendait bien le prouver.
Miranda s’avança le long de son bureau, et rejoignit ses appartements, jouxtant ce dernier, et alla voir Hannah. Elkle la salua avec un tendre baiser, enfonçant volontiers sa langue dans sa bouche, comme elle avait l’habitude de le faire. Un baiser tekhan, tout simplement.
« La réunion va bientôt commencer, Hannah... Comme je te l’ai dit, tu sortiras quand je te le dirais... Et, si tout marche bien, tu auras droit à un cadeau, Hannah, car tu auras rendu ta Maîtresse très heureuse. »
-
C'était encore une énième journée de travail qui s'annonçait à la GeoTower. Ou plus précisément, aux derniers étages de celle-ci. Ce jour-là, comme d'habitude, les tâches allaient être de l'ordre organisationnelles. C'est à dire qu'il allait falloir gérer beaucoup de choses à la fois, et parmi ces choses, on pouvait retrouver absolument de tout. Paperasses et documents divers, affaires, pour dire la journée s'annonçait loin d'être ennuyeuse. De toutes les manières, il suffisait de savoir pour quel nom elle faisait tout ceci pour se redonner de la motivation, même si celle-ci ne descendait jamais en dessous d'un certain seuil, qui était déjà très haut. Ce nom, c'était tout simplement Miranda Forge. Sa majordome était dans ses appartements de la GeoTower ce jour-là, à voguer à ses occupations quotidiennes. En ce doux matin, Hannah LaBelle, de son nom complet, s'affairait à trier des dossiers de sa maîtresse dans l'une des armoires disposée à cet effet. Une tâche paraissant ingrate compte-tenu du nombre de documents, mais pour la majordome, c'était le boulot le plus fantastique au monde.
Le plus étonnant, et fascinant, était que Hannah y mettait du sien. Elle n'agissait pas comme un automate le ferait, mais elle réfléchissait, pensait et faisait son travail avec soin. Si seulement sa tâche matinale se contentait de ranger des dossiers, elle s’ennuierait cependant assez vite. La jeune femme avait tant d'autres choses à faire. Cependant, parmi tout ceci, il était prévu que ce jour-là Hannah rende un service particulier à son employeur. Celle-ci l'avait briefé il y a quelques temps, et vu que la réunion du conseil d'administration se tenait au présent jour, elle allait devoir appliquer ce que Miranda lui avait dit. Il s'agissait en réalité du projet qui a donné naissance à Hannah, justement. Cette femme, malgré les apparences, était au demeurant la seule et unique esclave en bonne santé mentale et physique à être sorti des éprouvettes. Et en vu du peu qu'elle savait, elle était apparemment un cas unique. Elle se souvient encore de ses comparses, pour la plupart qui étaient mal-formées, bien encore déficientes mentalement.
Miranda souhaitait montrer au conseil que ce programme n'était pas un échec si total que cela dans la mesure où un spécimen parfait avait réussi à voir le jour. Cela constituait la preuve qu'il était toujours possible de créer un être artificiel, et que les efforts n'étaient donc pas à lâcher. Hannah avait pas saisi tout l’enjeu, mais elle avait compris que Miranda avait besoin de sa présence néanmoins, car elle était justement ce spécimen unique. Inutile de dire qu'elle était la femme la plus heureuse du monde au simple fait de savoir qu'elle est utile à la personne qu'elle idole le plus au monde. Ainsi, alors qu'elle finissait de trier et ranger certains dossiers par ordre alphabétique, sa maîtresse fit apparition. La majordome, ayant son délicieux petit sourire aux lèvres, fut des plus ravies de voir la directrice ainsi. Et qu'elle ne fut pas un pur instant de plaisir quand celle-ci la salua comme elle avait l'habitude de le faire ; un savoureux baiser accompagné d'une sulfureuse langue. Hannah ne se contenta pas de juste recevoir ce salut, elle y participa activement comme elle y était vouée.
Sa langue chercha furieusement celle de Miranda, s'acoquinant avec. Ses douces lèvres cajolèrent celle de la patronne, donnant un lieu à un baiser agréable et envoûtant. Lorsqu'il prit fin, Hannah sourit spontanément ; de toutes les façons il lui arrivait très rarement de ne pas sourire. Cela ne voulait pas dire qu'elle était niais pour autant. Son sourire était délicat et traduisait toute la douceur de sa personne. Miranda lui confirma ce qu'elle lui avait dit à la veille, à savoir qu'à son signal elle allait devoir faire son apparition au beau milieu de la réunion. Toutefois, ce qui lui plu le plus était bien la suite. Si elle se montrait satisfaisante pour sa maîtresse, elle aurait le droit à un cadeau. Hochant vivement de la tête, la majordome répliqua. "Je ferai selon vos désirs, maîtresse. J'attendrai votre signal avant de faire apparition, comme vous me l'aviez expliqué. Avez-vous d'autres consignes concernant le moment où je serai présente ?" Demanda-t-elle de sa belle voix, d'un ton des plus poli. Ses mains étaient jointes l'une à l'autre, sciemment posées contre elle-même au niveau de son bassin.
-
La soumission totale d’Hannah était toujours, pour Miranda, un plaisir constant, et une source de satisfaction personnelle forte. Hannah était la preuve que le smillions de crédits engloutis dans GeoHuman ne l’avaient pas été
totalement en vains. Elle était une réussite, subissant régulièrement des examens médicaux, examens qui, tous, prouvaient à chaque fois qu’elle était pure, saine d’esprit et de corps. Les deux femmes s’embrassèrent goulûment, et Hannah lui sourit ensuite, exprimant tout son plaisir à l’idée d’obéir à sa Maîtresse, et de faire ce que bon lui semblerait. Miranda sourit lentement.
«
J’en suis ravie... Tu te contenteras de m’attendre dans une salle jouxtant la salle de réunion... Et, pour que tu ne t’ennuies pas... »
Plus elle pensait à Hannah, et plus Miranda se disait que, en un sens, l’affection qu’elle lui portait tenait son origine du fait qu’elle n’avait jamais pu s’occuper personnellement de sa propre fille, Kara. Miranda avait toujours eu la fibre maternelle, et, à défaut de pouvoir serrer son bébé dans ses bras et l’allaiter, elle avait trouvé, progressivement, en Hannah un parfait substitut. Un simple substitut affectif, bien entendu. En aucun cas, cette esclave ne saurait remplacer Kara... Mais, pour l’heure, elle allait leur être très utile. Miranda s’avança donc, et lui apporta rapidement une mallette argentée, conservant le suspens.
«
Tandis que je ferais mon discours, Hannah, tu te déshabilleras, et tu enfileras cette tenue, puis tu remettras tes vêtements par-dessus. »
Dans la mallette, il y avait une tenue en latex (http://img110.xooimage.com/files/7/f/7/subsuit-4a0d98c.jpg) particulièrement vicieuse, avec des vibromasseurs disposant de batteries rattachées aux collants, de pinces à hauteur des tétons, et d’un ensemble de cordes et de sangles destinées à éprouver ses formes. Miranda, pour l’heure, laissa l’esprit d’Hannah en pleine réflexion, et elle lui fit signe d’y aller, en lui donnant la mallette, elle-même s’emparant de sa tablette graphique, comprenant quelques données techniques. Miranda était en retard d’une demi-heure, ce qui ne la dérangeait nullement. Par principe, elle n’arrivait jamais à l’heure à n’importe quel rendez-vous, et ce afin de bien rappeler aux autres que c’était elle qui avait le contrôle de l’horaire.
Miranda arriva donc dans la salle de réunion, et laissa Hannah dans une chambre d’attente privée, juste à côté de la salle de réunion. Elle lui offrit un dernier baiser, puis déverrouilla la serrure de la mallette.
«
À tout à l’heure... »
Elle entra ensuite dans la salle de réunion. En la voyant, toutes se levèrent, et elle leur invita à se rasseoir, avant de rester debout, face à la longue table ovale en verre. Elle observa brièvement ses interlocutrices, et pouvait notamment voir :
- Le Docteur Aeris Rossa (http://fc07.deviantart.net/fs71/f/2010/053/2/4/Glass_by_hokunin.jpg), une Novaquienne extrêmement intelligente qui avait rejoint GeoWeapon Corp., afin de participer aux multiples et ambitieux projets menés par la société. Son rôle ici était d’apporter un éclairage scientifique sur le Programme GeoHuman ;
- La Générale Tam Ramwï (http://fc04.deviantart.net/fs70/f/2014/181/6/f/battle_pirates__greta_by_dna_1-d6f5x5m.jpg), élégante et magnifique dans son uniforme noir en latex. Une femme stricte et autoritaire qui, disait-on, avait perpétuellement un plug anal niché dans ses fesses ;
- La Colonnelle Erin Angel (http://fc03.deviantart.net/fs70/f/2012/028/c/5/fury_angel_by_generationk1ll-d4nwr68.png), une autre militaire, plus jeune que Ramwï, et qui faisait également partie du conseil d’administration, grâce à de multiples promotions-canapés ;
- La Cadre Elena Jun (http://fc03.deviantart.net/fs28/f/2008/165/c/c/Elena_Formal_Portrait_by_Lunatique_SF.jpg). Du même nom que la Reine de Nexus, Elena Jun travaillait au sein de GeoWeapon Corp., et était une experte-comptable. Elle était ici pour apporter un éclairage financier sur la reprise de GeoHuman ;
- La Sénatrice Padmé Kaorin (http://fc02.deviantart.net/fs32/f/2008/227/3/c/Open_Green_by_cryinghorn.jpg). Cette magnifique blonde au corps virginal était là afin de s’assurer que les fonds publics figurant dans le capital de GWC soient utilisés à bon escient. Son avis était très important, et elle était, fort heureusement, une amante régulière de Miranda Forge.
Des femmes fortes autoritaires. Miranda laissa planer quelques secondes, avant de leur parler :
«
Mesdames... Je suis ravie de voir que vous êtes là. »
Elle parla ensuite de GeoHuman, en revenant sur les buts initiaux de ce projet.
«
GeoHuman est un projet en gestation depuis plus de quarante ans, maintenant, et qui a connu une accélération subite après l’invasion des Formiens. Son but initial était de développer une armée de clones à partir d’une cellule-souche, et ainsi de minimiser les pertes de citoyennes en envoyant, à la place, des soldats se faire sacrifier. Un vaste programme dont le but était la constitution d’êtres humains parfaits, créées artificiellement, et qui avait également un volet civil, en ce qu’il visait à permettre aux couples tekhans inféconds de... -
Bien que passionnant, ce bref rappel historique me laisse de marbre, lâcha la Générale Ramwï.
Tout ce que GeoHuman a su accomplir, outre des monstres de laboratoire et des abominations génétiques, ce sont des filles qui se sont suicidées dans les années ayant suivi, ou des cobayes avec des désordres cérébraux... »
La Sénatrice ne disait rien, et les débats commencèrent à fuser. La Sénatrice restait silencieuse, et, comme Miranda s’y attendait, Ramwï restait le principal élément d’opposition.
«
Ce que vous devez bien comprendre, finit par dire Miranda,
c’est que, depuis plusieurs années, nous avons un cobaye qui a parfaitement su s’adapter. Ce cobaye peut tout à fait être notre sujet-Alpha, et permettre, avec le temps, un développement à grande échelle de prototypes supplémentaires. »
Elle laissa passer une courte pause, puis appuya sur un bouton, afin d’appeler Hannah.
«
Et je vais vous le prouver immédiatement, Générale Ramwï... »
Hannah entra au bout de quelques instants, et Miranda se tourna vers elle, et donna ses instructions.
«
Hannah... Je veux que tu te mettes sous la table, et que tu suces le sexe du Général Ramwï », fit-elle en la désignant de la main.
Elle se retourna vers Ramwï, qui, bien évidemment, sous sa combinaison noire, dissimulait une verge.
«
Vous pouvez même uriner dans sa bouche, Hannah ne protestera pas. Je pourrais lui dire de sauter par la fenêtre qu’elle le ferait. J’attire votre attention sur le fait qu’un tel degré de soumission, chez un soldat classique, est rare, et est d’autant plus impressionnant que, chez Hannah, il y a une véritable personnalité, soit une véritable capacité à pouvoir, en l’absence d’ordres, agir et réagir, contrairement à ce dont nos robots et nos cyborgs sont pour l’heure capables. »
Il fallait vendre son produit.
Miranda restait une commerciale, après tout.
-
Cela pouvait paraître comme un défaut mental chez certaine personne, mais dans le cas de Hannah, c'était tout sauf cela. C'était sa personne, au plus profond de son être qui était faite ainsi, et elle en était immensément fière. Si vous posiez des questions de satisfactions personnelles à Hannah, de type qu'elle est sa plus grande réussite, elle vous répondra systématiquement la même réponse ; Miranda Forge, avec le plus grand engouement que la planète ai connue. Cette réponse aurait de quoi sérieusement inquiéter sur son état de santé mental, mais comme dit, il n'en était rien. La jeune femme était saine d'esprit, à la différence que son esprit fut taillé à la racine même à penser de cette manière. Et elle ne s'en plaignait jamais, voir elle était heureuse ainsi. Pour rien au monde elle ne voudrait changer quoique ce soit en elle ; c'est valable autant pour sa personnalité que pour son physique. Le seul trait de caractère qui peut encore en étonner plus d'un, c'est sa façon de se décrire elle-même. Hannah sait qu'elle est parfaite et le dit spontanément, sans spécialement vouloir paraître prétentieuse. Toutefois, elle se dit aussi qu'elle ne sera jamais aussi parfaite que sa maîtresse, qui sera dans tout les cas de figures infiniment meilleure qu'elle …
Sa question posée, la majordome acquiesça à la réponse. Elle allait donc devoir attendre le moment où la directrice allait avoir besoin de sa personne, dans une petite salle privée à coté. Toutefois cela n'aurait pas été amusant s'il n'y avait pas la touche personnelle de Miranda … Cette dernière lui déclara qu'elle allait devoir enfiler une tenue en-dessous les habits qu'elle portait à ce moment. La dite tenue était, pour le moment, à l'abri dans une mallette, Hannah n'avait donc strictement aucune idée de ce à quoi elle pouvait bien ressembler. Accompagnant sa maîtresse, elle se sépara d'elle au moment où elle rejoignit la salle d'attente privée puis, alors qu'elle savourait un dernier baiser de la part de cette succulente femme, finit par acquiescer une nouvelle fois quand elle prit définitivement congé d'elle. Seule, Hannah n'en perdit guère le nord pour autant. Elle savait ce qu'elle avait à faire et s’exécuta dès le moment où Miranda s'était éclipsée.
Toujours avec son petit sourire candide, la jeune femme commença dès lors à déboutonner son chemisier. On avait beau la voir comme une simple esclave, une secrétaire au mieux, n'en demeurait pas moins que Hannah avait un excellent goût en matière d'habillement. Un chemisier blanc, aux manches courtes, et portant une grande partie en fin nylon au beau milieu, dévoilant son généreux décolleté et la commissure de son ventre. La majordome retira donc cette belle pièce, puis tout en se remettant en place les cheveux, poursuivit avec le reste. Bientôt la magnifique femme était aussi nue qu'un ver, et sa curiosité pour ce qui se logeait à l'intérieur de la malle était piquée à vif. Ses petites mains se posèrent dessus et, en l'ouvrant, ses yeux brillèrent presque. Là où une personne normale aurait soit rougie, soit aurait été choquée, il n'en fut ni l'un ni l'autre chez Hannah. Elle était passée par la case GeoSex, par conséquent, il n'y avait plus grand chose en la matière qui pouvait la faire rougir ou quoique ce soit. Toutefois, ses réactions étaient maintenant … Étrange. Elle aurait presque sauté de joie en voyant une telle tenue.
"Miranda sera fière de moi !" Se dit-elle. Cependant enfiler une telle chose était un peu complexe. Entre les pinces, les vibromasseurs et les sangles, l'exercice était un peu ardue. Mais c'était sans compter sur l'extrême habilité dont faisait preuve Hannah dans ce domaine. Elle se fissela d'abord le corps en passant toute les sangles et lanières de latex, puis fixa les batteries à la commissure de ses délicats collants. Le plus intéressant arriva enfin cela dit ; Hannah avait en main les vibros. En parfaite esclave docile, se fut avec un sourire transpirant une certaine extase qu'elle introduisit les sex toys dans ses ouvertures intimes. "Hmmpff …" Ne put-elle retenir au moment où les objets furent en place. La sensation était au rendez-vous. Hannah commençait déjà à chauffer, elle sentait ses jambes trembler sensiblement. Qu'est-ce que cela donnerait une fois que Miranda activerait le tout ? Hannah allait très probablement finir par jouir intensément ! Quand finalement tout fut en place, la majordome décida de se rhabiller.
N'importe quelle femme Tekhane, ou homme, la regardant à ce moment ne pourrait succomber à son charme. La belle esclave enfilait ses bas avec la plus grandes des sensualités, oscillant de ses petits pieds pour bien les mettre. De même que son soutient-gorge en dentelle, qui précéda son chemisier. Sa jupe crayon s'ajouta ensuite à son attirail. Et pour finir, elle enfila doucement sa pairs de talons qu'elle ne quittait d'ordinaire jamais, sauf au moment de dormir ou bien encore, quand elle n'est pas en service à la GWC. Elle rajusta son buste, puis ses cheveux. Hannah était prête, et d'ailleurs elle le fut juste au moment où elle entendit le fameux signal. Accourant un peu maladroitement vers la porte de la salle, on entendait le claquement de ses talons même de l'intérieur, sûrement. Soufflant un coup, elle finit par tourner la poignée et fit donc apparition, avant qu'elle ne se joigne aux cotés de Miranda.
"Bonjour !" Dit-elle de sa douce et vive voix. Sa maîtresse ne perdit guère de temps pour les présentations, et lui donna directement ses nouvelles directives. Et le moins que l'on pouvait dire, était qu'elles étaient assez franches ; Hannah devait faire une gâterie à la générale Ramwï en personne. N'attendant pas que Miranda poursuive, la majordome afficha un franc sourire et s’exécuta à nouveau. Bientôt, elle se faufila sous la table d'un mouvement à la fois agile et sexy, pour terminer juste devant les jambes de l'intéressée. Restant muette et appliquée, Hannah fit une légère pression pour inciter la femme à écarter ses jambes, puis dès lors, rapprocha drastiquement son corps et nicha sa tête à la limite même de sa combinaison en latex, au niveau de son bas ventre. Ses mains expertes vinrent délicatement dézipper l’ouverture se trouvant à cet endroit, puis toujours aussi sensuellement, vinrent finalement caresser la belle verge plaquée contre le bassin de la propriétaire.
La jeune femme se pourlécha les lèvres en voyant ce mat de chair s'exciter et gonfler devant ses yeux, s'extirpant alors de la combinaison, pointant vers elle. Elle passa sa main par-dessus, le caressant doucement, puis n'attendait guère plus longtemps avant de déposer ses lèvres sur le bout de son gland échaudé. Hannah donna un petit baiser, puis un deuxième, avant de gober petit à petit cette délicieuse verge entre ses lèvres. Commençant lascivement à effectuer quelques allers-retours, la jeune femme alla même jusqu'à user de sa langue pour presser fortement l'orifice de ce membre, s'amusant à titiller la générale ainsi. Une petite fellation édulcorée par cette langue impétueuse jouant avec l'entrée urétrale de celle-ci. Après quelques instants où elle commençait déjà à entendre des grommellements de Madame Ramwïr, celle-ci semblait apprécier ce qu'on lui faisait. Hannah sentit la main de la femme appuyer sur sa tête pour l'enfoncer d'avantage, mais elle ne se douta pas du pourquoi du comment de ce geste.
"Hmm … HRRRMMM" Gémit-elle de plaisir en sentant une soudaine pression au niveau de la verge qu'elle avait en bouche. Sans qu'elle puisse s'y attendre, la générale avait prit au pieds de la lettre les dires de madame Forge. La majordome sentit quelque chose se déverser violemment dans sa gorge, quelque chose de liquide, chaud et surtout, âpre. Ce n'était pas de la semence, pour sûr … C'était cette chose dont Miranda venait de dire le nom. La générale Ramwïr était en train de se soulager la vessie. Et, comme l'avait dit la PDG de GWC, Hannah n'émit même pas l'ombre d'une contestation. Au contraire, cette petite surprise lui plu et elle bu absolument tout le liquide ayant couler dans sa gorge. Pour démultiplier le plaisir, elle avait continué sa vigoureuse fellation pendant le soulagement de vessie , et avait fait exprès d'obstruer la voie d'écoulement avec sa langue, de manière ponctuelle, pour piquer à vif la générale. Mais la sensation perçue en couplant ce mélange de douleur et de plaisir, pour Ramwïr, devait normalement être très intense et particulièrement saisissante.
Lorsqu'elle eut finit de se vider, jusqu'à la dernière goutte, Hannah continua son labeur avec entrain et force, pompant ce membre avec désormais une grande hargne. "Hmmmm …" Continuait-elle de couiner alors que son propre plaisir était en train de monter en flèche. Nul besoin de dire que les vibromasseurs et les pinces y étaient pour quelque chose …
-
GeoHuman faisait partie de tous ces vastes projets qui, pour la compagnie, avaient représenté un investissement massif. GeoHuman n’avait eu que pour but d’améliorer la fécondation. Initialement, c’était un simple programme thérapeutique et pharmaceutique visant à aider les couples à avoir des femmes, par le biais de techniques de procréation médicalement assistées, ou de conventions de mères porteuses, conventions qui, dans un État comme Tekhos, étaient naturellement acceptées. Peu à peu, à partir de ces techniques, le programme avait évolué en développant des méthodes génothérapie, visant, non seulement à aider les couples à procréer, mais aussi à s’assurer que leurs bébés naissent génétiquement parfaits. GWC avait été un pionnier de la thérapie génique, consistant à guérir les impuretés du code génétique. Par la suite, l’idée avait germé de réussir, à partir de ces techniques de génothérapie, et de cellules souches, de créer artificiellement des êtres humains, sans aucun rapport sexuel préalable. Un projet secret, qui avait reçu le financement et le soutien de l’armée. Du clonage à grande échelle, visant à se doter d’armées optionnelles et prêtes à se sacrifier.
Malheureusement, les premières générations avaient été des échecs criants. Les fœtus étaient morts en cours de développement, ou, alors, des monstres abominables étaient sortis. Des bébés difformes, avec un œil unique, pas de cheveux, pas de dents, quatre bras... GeoHuman avait affiné la formule, dans le plus grand secret, et l’armée avait dû dépenser des millions pour s’assurer qu’aucun journaliste n’apprenne cette histoire. Même dans un État aussi libéral que Tekhos, c’était une publicité dont GWC pouvait bien se passer. GeoHuman était un programme qui était devenu vaste, avec la construction de complexes scientifiques secrets dans le désert ou dans certaines zones dépeuplées de Tekhos... Un autre des dossiers scabreux de GWC, une autre preuve que les militaires voulaient remettre la main sur la mégacorporation. De tout ce désastre, Hannah était son joker, son atout, et Miranda comptait bien le montrer aux femmes ici présentes.
*Ne sous-estimez jamais une Forge, Mesdames, nous ne nous avouons jamais vaincues...*
Sous la table, Hannah avait rapidement abaissé la fermeture du pantalon du Générale Ramwï, et s’empressa de le sucer.
« Haaaa... »
Pendant quelques secondes, personne ne parla, et Ramwï, fidèle à ses fantasmes, ne tarda pas à uriner dans la bouche d’Hannah, posant une main sur sa tête, se crispant dessus. Miranda, qui savait toujours quelques informations confidentielles, était au courant des fantasmes secrets et inavoués du Générale, notamment en matière d’ondinisme. Ce fut donc avec un plaisir évident que la femme en combinaison noire s’abandonna dans la bouche de son esclave, sa tête basculant faiblement en arrière sous le plaisir intense et jouissif qui inventait son corps. Elle soupirait, et Miranda, elle, observait avec un léger sourire.
Une fois cette séance passée, Ramwï, guère habituée à jouir rapidement, laissa Hannah continua à sucer son imposante verge, caressant ses cheveux. On disait que Ramwï adorait les fellations, et, que, dans son bureau, il lui arrivait parfois de recueillir des collègues avec une esclave sous son bureau. Sur ce point, Miranda ignorait si c’était vrai ou pas. Ce qu’elle savait, c’est qu’elle avait pu, grâce à quelques drones, accéder à la vie privée du Générale, une vie très privée dans ses grands appartements des hauteurs de Tekhos Metropolis.
« Quel est le but de tout cela, Madame Forge ? demanda la Sénatrice Kaorin. Escomptez-vous transformer GeoHuman en une composante de GeoSex ? »
Padmé Kaorin avait une voix douce et mélodieuse, et Miranda hocha lentement la tête, avant de se mettre à marcher, se rapprochant lentement du Générale Ramwï.
« Pas uniquement, Sénatrice. Je suis amplement au courant des échecs du Programme, et des raisons pour lesquelles le présent conseil a décidé de coupes budgétaires fortes concernant ce programme. Cependant, je n’ai jamais oublié ce programme. Hannah est la réussite de ce projet, la preuve que, sur les centaines et les centaines de cobayes que nous avons utilisé, il y a possibilité de réussir.
- Vous souhaitez donc que le conseil réinvestisse dans ce projet, en utilisant Hannah comme prototype-Alpha ? » demanda Jun.
Tout ce qui intéressait l’experte-comptable, c’était le chiffre d’affaires de GWC, et la rentabilité de cette dernière.
« En partie, oui... »
Ses mains se posèrent sur les épaules du Générale, qui continuait à gémir, sa queue devenant de plus en plus grosse, empêchant la belle Hannah de se retirer, en appuyant sur sa tête.
« Je souhaite développer ce programme à travers plusieurs aspects, civil, comme militaire... En développant de futurs esclaves sexuels, et de futurs soldats. En conséquence de quoi, pour vous montrer toute la soumission d’Hannah, ainsi que toute sa force de caractère, elle sera à vous, et à moi... Voyez-là comme un cadeau que je partage volontiers avec vous, dans le but de vous aider dans votre indécision. »
On pouvait voir ça comme une forme de tentative de corruption... Mais c’était, de fait, une pratique très courante à Tekhos.
-
Autant dire que, d'ordinaire, Hannah ne répondait qu'à l'exclusif plaisir de madame Forge. Cela dépassait le simple fait d'être une esclave, cela tenait à présent du fait que Hannah, en soi, n'existait que parce que Miranda existait. En d'autres termes, la majordome n'effectuait d'ordinaire pas ce genre de service aux autres, du moins si on ne le lui demandait pas. Car il ne fallait pas oublier qu'elle était issue du programme GeoSex et que, par conséquent, c'est un esclave sexuelle aussi. N'importe qui à la GWC pouvait profiter d'elle, en quelques sortes. Mais on savait qu'elle était le jouet le personnel de la patronne, donc les propositions étaient plutôt rare. Hannah se voyait plus comme celle qui donne du plaisir à tous, que comme une prostituée, en vue de ses activités. C'était sa condition, son rôle, tout simplement. Et ce jour-là, elle ne faisait que faire son travail, avec la générale. Toutefois, elle y mettait toujours du cœur, car c'était une personne appliquée. Miranda lui avait ordonné d'aller faire une petite gâterie à la générale Ramwï, ce qu'elle fit avec plaisir. Elle avait prit en bouche ce sexe gonflant qui pulsait à chaque seconde, mais surtout, avait encaissait un fantasme de la femme à qui elle était en train de faire une fellation.
Ramwï avait uriné dans sa bouche, et pour preuve que Hannah était une esclave parfaite, tant physiquement que mentalement, elle avait gémit de plaisir au lieu d'être choquée ou se sentir humiliée. Pour enfoncer le clou, cela n'avait fait que l'encourager à continuer son dur labeur. Toujours sous la table, Hannah pompait toujours ce puissant membre, sentant les mains de la propriétaire caresser ses cheveux, enfonçant sa tête toujours plus profondément afin de se faire plaisir au maximum. Elle entendait ses soupirs, signe que le traitement lui plaisait. D'un autre coté, comment ne pas être satisfaite avec une esclave sexuelle ? Hannah avait été spécialement conçue pour cela. Ainsi, la générale ne voulait pas laisser partir la majordome de madame Forge, appuyant sur sa tête. La jeune femme sentait ce sexe prendre de l'ampleur entre ses lèvres, à mesure qu'elle l'astiquait de par sa langue. Celle-ci papillonnait partout ; sur toute sa longueur, cette verge était recouverte de la salive d'Hannah.
"Hmmm" Couinait l'esclave alors qu'elle prenait personnellement plaisir à sucer ce mat de chair. Son mouvement était à la fois souple et régulier. Il ne faisait aucun doute que Ramwï finirait par jouir, et la jeune femme comptait bien là-dessus. Toutefois, ne voulant pas ennuyer sa cliente, elle ponctua cette délicieuse fellation par de petits baisers qu'elle donna. Retirant temporairement son sexe de sa bouche, cette dernière se déplaça sur le coté, donnant un savourant et langoureux baiser sur la douce et tendue peau qui composait ce pieu, laissant de remarquables traces de rouge à lèvre dessus. Sa langue décida de titiller son gland, poussant fortement sur l'orifice s'y trouvant, comme si elle tentait d'y pénétrer. Elle savait que c'était pas possible, à moins de mutiler la générale, mais elle parvint tout de même à immiscer l'extrémité de sa langue. C'était une sensation très atypique, et qui, l'espérait-elle, plairait à Ramwï. Tandis qu'elle s'occupait de cet orifice, sa main finit par se glisser à son tour sur son sexe, et commença alors un labeur soutenu.
Elle masturba doucement la générale pendant qu'elle savourait le bout de sa verge, augmentait petit à petit le rythme et l'intensité. Bientôt, son mouvement serai frénétique. Tout ceci n'avait au final qu'un seul but ; la faire jouir. Après tout, qu'elle aurait été l’intérêt d'offrir une petite séance de plaisir à la générale si ce n'était pas pour qu'elle se soulage à la fin ? Hannah déplaça ainsi sa main libre sur le coté de son genoux, prenant appui sur la femme. Ce sexe était définitivement addictif, et la majordome ne souhaitait pour rien au monde le lâcher, du moins pas tant qu'elle n'aurait pas reçue son nectar. Si elle devait tirer toutefois un bénéfice de ce qu'elle était en train de faire, elle pourrait se dire qu'elle va pouvoir ajouter à sa longue liste, le fait d'avoir fait jouir la générale Ramwï, et d'avoir eut le privilège de boire sa semence … Pour une esclave sexuelle, ce genre de choses pouvaient parfois importer, surtout quand la dite esclave possédait une personnalité.
-
La belle Hannah était une habituée du sexe oral. Tous les jours, elle devait sucer le sexe de Miranda, que ce soit son sexe féminin, ou masculin. C’était presque un rituel traditionnel entre les deux femmes. Pour se réveiller, en sortant du lit, dans sa station spatiale, elle ordonnait à Hannah de lui sucer la queue... Ou, parfois, Hannah le faisait pendant que sa Maîtresse dormait. La gaule matinale donnait souvent lieu à quelques caresses et baisers. À force, Hannah avait fini par devenir une réelle experte dans le sexe oral... Ce qui, pour autant, ne signifiait pas qu’elle était dénuée de talents dans les autres composantes et aspects du sexe. Oui, elle était sa petite fierté, et elle continuait à sucer et à astiquer la queue de la femme. Elle retirait parfois sa bouche pour la lécher et l’embrasser sur le côté, avant de retourner l’engouffrer, soupirant et couiner. Miranda avait perdu Ramwï, qui était en extase, ses mains gantées continuant à serrer les cheveux de la femme. Pendant ce temps, les autres membres du conseil d’administration continuaient à parler entre elles, Miranda caressant les épaules et le menton de Ramwï. De cette manière, elle pouvait surtout voir Hannah, en train de remuer, et les doigts de Miranda se déplacèrent pour caresser les lèvres du Générale, qui s’empressa de les suçoter.
« Haaaa... Hmmmm... !! »
Un sourire sur le coin des lèvres, Miranda observa les femmes.
« Je sais que vous n’avez pas confiance dans ce projet, et c’est pour ça que je veux le relancer en limitant les risques. Je veux que le projet GeoHuman soit une composante de GeoSex, afin qu’il fasse ses preuves. Après tout, c’est ce département qui est particulièrement en charge du dressage d’humains. »
GeoHuman avait été lancé comme un grand projet indépendant, autonome, au même titre que GeoSex, ou Cyb-Weapon. L’idée de Miranda, devant les échecs de GeoHuman, était d’en faire un sous-programme de GeoSex, au même titre que le sous-programme GeoToy. L’organigramme des projets de la mégacorporation était vaste et complexe, et la Sénatrice hocha lentement la tête, s’humectant les lèvres. Les esclaves constituaient une part non négligeable du PIB tekhan. Quantité de laboratoires et de firmes se reposaient là-dessus pour obtenir de l’argent. On trouvait toujours des clientes qui appréciaient les esclaves, et c’était aussi un moyen de lutter contre la criminalité. En effet, certaines dispositions légales permettaient, en cas de récidive, de transformer les délinquants en esclaves. C’était un moyen comme un autre de les réinsérer dans la société, suite à un dressage qui consistait à briser leur esprit, afin d’en faire de parfaits petits esclaves, dociles et obéissants. Autour de la table, toutes les femmes envisageaient l’idée de relancer ce programme.
« Autrement dit, vous comptez utiliser l’expérience d’Hannah pour créer d’autres esclaves ?
- Hannah est une pure réussite, acquiesça Miranda. Tout ce que je souhaite est de relancer ce programme.
- Haaaaa... »
Ramwï éjacula enfin, sa main venant appuyer sur les cheveux d’Hannah, contraignant cette dernière à une longue gorge profonde, tandis qu’elle jouissait en elle... Et, comme on pouvait s’y attendre, ce fut une formidable érection. Elle s’abandonna joyeusement dans la bouche de la femme, déversant tout son foutre, sans relâche, en donnant des coups de reins et en soupirant bruyamment.
« Comme vous le savez, notre département GeoSex perd de nombreux crédits chaque année, lors des procès en responsabilité intentés par des clientes mécontentes. »
Miranda appuya sur un bouton d’une télécommande, et, sur un écran plat, une image graphique apparut.
« Des esclaves récalcitrants, mal formés, à l’esprit brisé... Des produits qui ne correspondent pas à la demande, ni à l’offre, et donnent lieu à des poursuites judiciaires. Généralement, notre département judiciaire transige, en versant de grosses indemnités, car les juges ont tendance à nous condamner. Hannah est une esclave parfaite. Son esprit n’est pas brisé, et, pourtant, elle acceptera tous les fantasmes d’une cliente. Partant de là, nous pouvons établir des bilans prévisionnels qui, d’ici quelques années, amèneront une rentabilité exceptionnelle.
- Il faudra plus qu’une simple fellation pour me convaincre... »
Voilà la phrase que Miranda avait tant attendu, l’ouverture souhaitée ! Elle se retourna rapidement, et son regard se porta de nouveau vers Hannah, un sourire sur le coin des lèvres.
« Hannah ? Montre à ces femmes sceptiques tout ce dont tu es capable pour leur convaincre que tu es une esclave docile et obéissante... »
-
Il fallait dire que la générale n'était pas n'importe quelle femme. C'était, clairement, une experte en la matière, et avoir la possibilité d'obtenir ses faveurs était une grande opportunité. Hannah toutefois, de par sa condition, ne voyait pas la chose ainsi. Certes cela l'excitait d'avantage de savoir qu'elle était en train de faire une gâterie à une femme aussi importante, mais ce qui la rendait encore plus prompt était sans doute que cela provenait d'un ordre donné par son idole. Rien que pour ça, Hannah était extrêmement enthousiaste. C'était pour toutes ces raisons qu'elle était en train de donner le meilleur d'elle-même pour offrir une fellation des plus sensationnelle à la générale Ramwï. La tête nichée contre son bas-ventre, prise en un tendre étau entre les robustes jambes de la militaire, elle ne remarque cependant pas que sa maîtresse était en train de caresser les lèvres de la femme, l'incitant alors à suçoter son doigt. La seule chose que pu remarquer la majordome fut que l'emprise qu'elle avait sur sa tête se raffermit, et que la délicieuse verge qu'elle avait en bouche commençait à osciller.
Les soupirs augmentaient, la température en faisait de même. Ramwï était au bord de la jouissance et cela se voyait autant que cela s'entendait. Hannah adorait la façon dont elle plaquait sa tête contre son sexe, et pour mieux accentuer l'effet, elle s'était-elle même agrippée aux genoux de la générale pour encore plus s'enfoncer. Puis, il fallait le dire, c'était quelque part confortable. Sa petite tête toute blottie et cajolée de toute part par de si belles et vigoureuses jambes, c'était très agréable. Hannah couinait de plaisir, elle ne pouvait être plus comblée que maintenant. Enfin, c'était une façon de parler, puisqu'il suffisait d'énoncer le nom de Miranda pour réellement parler de bonheur selon la jeune femme. Ainsi, la fellation finit par arriver à son point d'orgue. Pompant toujours plus puisement sur ce sexe, elle finit par sentir une énième et puissante pression sur sa tête. Oh oui, qu'elle adorait ça … Et la cause n'en était que plus désirant. Alors que Ramwï poussa un énième gémissement, Hannah sentit à nouveau quelque chose couler dans sa gorge. Sauf que cette fois-ci, c'était ni plus ni moins que la semence de la générale.
"HMMMM !" Gémissait Hannah à son tour. Elle était littéralement en train de subir une gorge profonde. Le vit de Ramwï était parvenu à atteindre sa gorge, et déversait dans un violent torrent tout son foutre. Et, bien évidemment, en tant qu'esclave docile et dévouée, Hannah prit le plus grand plaisir au monde à tout avaler. Elle se rassasia de ce nectar avec appétit, pompant même pendant qu'il coulait pour encore mieux l'absorber. Les coups de reins furent la cerise sur la gâteau. Une fois la tempête passée, la majordome prit le soin de correctement nettoyer en pourléchant tout le gland brûlant de la générale, ne laissant aucune goutte de son précieux jus. Elle finit par apporter une petite touche personnelle ; un petit baiser sur le bout de celui-ci, afin de laisser une trace de son rouge dessus. C'était la particularité d'Hannah, elle était peut-être une esclave conditionnée, elle possédait ses propres spécificités et particularités. Ce fut avec sourire aux lèvres qu'elle prit même le soin de tout ranger, et de refermer la fermeture éclair de la générale.
"Vous étiez délicieuse, ma générale !" Dit-elle de sa jolie voix, une fois qu'elle sortit de dessous la table. Toutefois, les discussions continuèrent. Hannah, non pas qu'elle ne comprenait pas, mais qu'elle reprenait un peu ses esprits, ne comprit pas de suite ce qui se tramait. Pourtant, quand Miranda lui intima un nouvel ordre, ses esprits lui revinrent soudainement de suite. Hochant vivement de la tête, elle resta pourtant un moment immobile. Son regard scrutait celui des femmes présentes, avant de se bloquer sur celui de la Sénatrice. Oui, c'était cette femme qu'il fallait convaincre. Hannah, en plus, avait un certain désir grandissant envers cette personne. Elle lui plaisait, physiquement … Et par une simplicité déconcertante, elle avait tout bonnement envie de faire l'amour avec, maintenant. Ou plutôt, elle avait envie que cette femme le lui fasse, la différence était notable. Prenant les ordres de Miranda à cœur, la majordome prit alors l'initiative de se hisser sur la table, prenant peu en considération si cela allait éparpiller les divers papiers et fournitures dessus. Tel un félin, elle se rapprocha de la Sénatrice, puis prit assise au bord de la table, juste devant elle, passant ses jambes de part et d'autres de la jeune femme.
"La générale a eut son lot, c'est donc à votre tour de vous servir de moi comme bon vous semble. Faite-moi l'amour, Sénatrice, je vous en prie. Prenez-moi ici maintenant, laissez libre court à toute vos pulsions, même les plus inavouées … Et je me dévouerai à chacune d'entre elles." Murmura-t-elle à la jeune femme, prenant son doux visage entre ses mains, et venant chercher ses lèvres sans lui demander autorisation. Hannah prit alors tout le soin de lui donner le plus langoureux, le plus savoureux et le plus passionné des baisers qu'elle n'ai jamais donné, sans compter ceux à Miranda, bien sûr. Ses douces lèvres se mêlèrent aux siennes, et fait intriguant, elles étaient irrationnellement douce et sucrée. Hannah avait fait un très bon choix de cosmétique ce jour-ci, et elle espérait que cela plaise à la Sénatrice. En même temps qu'elle s'acoquinait avec les lèvres de la dignitaire, elle déchaussa un de ses talons, puis vint malicieusement glisser son petit pieds tout enveloppé dans un collant au niveau du bas-ventre de sa partenaire, la titillant de ses doigts à cet endroit.
-
Padmé Kaorin était probablement la femme la plus importante autour de la tablée. Définir précisément ce qu’était le régime politique tekhan était très difficile, car il oscillait entre la junte militaire et l’oligarchie. La grande difficulté, notamment, était de bien distribuer les pouvoirs entre l’autorité civile, représentée par le Sénat, et l’autorité militaire, l’armée. Avec la guerre qui durait depuis des années contre les Formiens, l’armée n’avait eu de cesse d’agrandir ses pouvoirs et son influence, bénéficiant d’un budget toujours plus généreux, et de prérogatives plus larges. Néanmoins, pour Miranda, c’était toujours le Sénat qui avait le dernier mot. Que le Sénat ait une sénatrice au sein du conseil d’administration de GeoWeapon Corp. exprimait tout à fait ‘importance que la mégacorporation avait, aux yeux du pouvoir. Miranda laissa donc Hannah se rapprocher de Padmé, qui était bien différente de Rämwi. Si la Générale adorait le sexe oral, Padmé, elle, avait des goûts sexuels différents... Et, en voyant Hannah s’approcher d’elle, Miranda eut un sourire. Le regard de Padmé oscilla entre le décolleté d’Hannah et son visage, puis la majordome se pencha sur le rebord de la table, et rapprocha Padmé de son corps, décollant un peu les fesses de cette dernière de son siège.
Hannah lui murmura des mots doux, et ses mains se posèrent sur chacune de ses joues. Elles s’embrassèrent longuement, langoureusement, et un soupir s’échappa des lèvres de Padmé, qui avait posé ses mains sur les hanches généreuses d’Hannah. La majordome était vraiment magnifique, sur tous les aspects. Miranda éprouvait pour elle une profonde fierté. Son rapport avec Hannah était très ambivalent. Elle avait été dans un programme où toutes les filles éduquées avaient grandi sur un amour profond pour Miranda. C’était elle qui avait décidé de cette orientation finale, là où le conseil d’administration, lui, voulait juste mettre définitivement fin à l’expérience. C’était Miranda qui avait sauvé Hannah, et, quand Hannah avait prouvé tout son amour pour elle en tuant ses amies d’enfance, elle était devenue, à ses yeux, une véritable fille de substitution. Indéniablement, Miranda l’aimait, mais cet amour n’était pas pur et honnête comme celui d’une mère envers sa fille. C’était un amour pervers et égocentrique, cruel et vicieux... Mais qui s’en plaindrait ? Sans elle, Hannah serait morte... Grâce à elle, la belle majordome goûtait à une vie pleine de saveurs et de passions, et elle embrassait goulûment la belle Sénatrice, pendant de longues secondes. Leurs langues se mélangeaient ensemble, puis finit par se rompre. Hannah retira ensuite l’un de ses talons, et l’un de ses pieds vint caresser Padmé, à hauteur de son intimité, frottant sa robe.
« Hum... Tu es vraiment une fille très douée, Hannah... »
Padmé attrapa alors la jambe d’Hannah, caressant ce collant, puis elle se pencha vers elle... Et lécha alors ce collant, remontant vers le haut. Elle avait appuyé avec sa main pour qu’Hannah soulève et plie sa jambe, ce qui amena la majordome à devoir un peu se reculer, ce morceau de son corps se relevant. La Sénatrice lécha sa jambe pendant quelques temps, puis son regard se porta alors vers celui d’Hannah. Un regard pervers et soutenu, qui n’échappa à personne. Tout le monde savait que Padmé était belle, une beauté magnifique, et toutes les femmes, ici, avaient envie de lui faire l’amour. Miranda savait que Padmé adorait les orgies. Son appartement, au cœur de Tekhos Metropolis, était un énorme duplex avec de nombreux esclaves, mais il y avait une chose dont Padmé raffolait... Et elle le montra en poussant Hannah, et en amenant la jeune majordome à se coucher sur la table, Padmé se penchant sur elle. Son visage s’approcha du sien, ses lèvres frôlèrent celles d’Hannah... Mais, au lieu de l’embrasser, elle les lécha.
« Humm... »
Lécher les gens et les embrasser... De manière plus générale, tout ce qui tournait autour de la bouche fascinait Padmé. Miranda savait que, quand elle se lançait dans des orgies avec des esclaves, il lui arrivait fréquemment de s’allonger au milieu de son grand lit, et d’ordonner à tous ses esclaves de la lécher, que ce soit ses doigts, ses pieds, ses jambes, ses hanches, ses mollets, ses seins, ou son sexe. C’était sa grande passion, et, en ce sens, Padmé apparaissait comme une femme émotionnellement plus stable que bien des consœurs tekhanes. La preuve en était qu’elle n’était pas hermaphrodite, et accordait un grand soin à sa beauté. Elle avait en horreur les poils et les rides, et sa peau se devait d’être aussi douce et fine à caresser que celle d’un bébé.
Padmé était donc penchée sur Hannah, léchant ses lèvres, puis lui sourit, et l’embrassa ensuite sur le cou.
« Use de ta bouche, Hannah... Lèche et embrasse-moi... »
Miranda était rassurée. Entre les deux femmes, le courant passait très bien.
*Apprécie-là, Padmé... Apprécie ma petite Hannah, c’est tout ce que je te demande...*
-
Hannah n'était peut-être qu'une simple esclave bonne à se faire bourrer par la plus somptueuse des femmes, n'en demeurait pas moins que, en fin de compte, sa vie était très tout de même très riche. La majordome vivait presque dans le luxe, elle travaillait pour un grand compte, ne manquait d'absolument rien, y comprit d'amour. Car même si on pouvait la taxer de naïve, Hannah sentait que sa maîtresse l'aimait, éprouvait un certain amour envers elle. Mais dans le cas où cela n'était pas vrai, elle n'aurait en final que faire. Tant que la jeune femme pouvait voir la raison de son existence, cela lui suffisait amplement. En somme, malgré les apparences, Hannah était une femme heureuse, au plus sincère et propre des sens. Et ce jour-là, son bonheur était grand. Elle allait faire l'amour à l'une des personnes les plus importantes de tout Tekhos ; une sénatrice en personne. Elle était si belle, si pure physiquement … La majordome avait hâte. Ainsi, pendant leur long baiser, elle avait malicieusement déchaussé un de ses talons pour venir caresser l'intimité de l’intéressée avec son petit pieds, au travers de sa robe.
Et visiblement, cela plu. La douce voix de la sénatrice retenti, et celle-ci semblait alors satisfaite du petit jeu la majordome. Elle attrapa sa douce jambe toute enveloppé dans du nylon, la caressant, la forçant à se pencher légèrement, afin de lui faciliter l'accès. Hannah observa avec délice la langue de la sénatrice qui lécha sa jambe au travers de son sensuel collant. Un petit soupir s'échappa de ses lèvres, alors qu'elle fut tentée à ce moment de caresser la belle et soyeuse chevelure de la jeune femme. Toutefois, elle finit par repousser Hannah, la forçant à s'allonger sur la table. Tel un félin, elle vint alors se glisser par-dessus elle, et commença alors à approcher son visage du sien. S'apprêtant à échanger un autre baiser, la majordome fut toutefois surprise par ce qui arriva. En lieu et place d'un baiser, elle sentit qu'on lui léchait ses lèvres. Ses doux yeux s'arrondirent sous la surprise, mais la sensation était formidable. Hannah ferma doucement les yeux au moment où Padmée l'embrassa dans le cou, entendant alors ses ordre.
"Avec plaisir, Sénatrice …" Susurra Hannah. Ses jambes se plièrent et vinrent enserrer la taille de son amante. Hannah porta un regard désireux envers la femme qui était en train d'embrasser son cou, puis posa ses mains sur chacune de ses joues afin de faire relever son visage dans la plus grande des délicatesses. À présent que leur visage étaient face à face, Hannah prit tout le plaisir au monde à approcher ses lèvres des siennes, puis à les lécher avec soin et application. "Hmmm …". La majordome finit par se décaler, et passa tendrement sa langue sur ses joues, la pointe de son nez, son menton … Elle finit par lécher tout le visage de la sénatrice, à force. Bien sur, tout ceci était ponctué par quelques chaud baisers, comme demandé. Puis, alors qu'elle écarta légèrement sa tête, Hannah eut l'idée de saisir l'une des mains de Padmée, puis d'y apposer ses lèvres sur son dos. Bientot, la langue passa langoureusement sur ses doigts, les léchant comme s'il s'agissait de délicieuses sucreries, les prenant parfois en bouche pour encore mieux les savourer.
Son bas-ventre était en feu, et en vu de la position qu'elle avait, elle ne pouvait s'empêcher de vouloir frotter celui-ci contre celui de sa présente amante. Elle était après tout toute blottie contre elle, et les jambes de Hannah étaient enroulées tout autour de la taille de la Sénatrice, comme un étau. "Délicieux …" Murmura Hannah au bout d'un moment. Elle finit par délaisser sa main pour s'intéresser à son cou. Tel un félin avec son bol de lait, Hannah lécha le délicat cou de la délicieuse femme. Elle donna quelques petits baisers, mais s'affaira essentiellement à goûter de par sa langue cet endroit si doux et si parfumé. Toutefois, tout ceci manquait cruellement d'un quelque chose qui tenaillait de plus en plus Hannah. Ainsi, passant quelques temps sur le dit cou, elle finit par arrêter. Son regard se planta dans celui-ci de la Sénatrice, avant qu'elle ne décide finalement d'inverser les places, tout en douceur. La voilà maintenant qu'elle était au-dessus de la plantureuse femme, et avait à présent un accès à sa poitrine.
Ses douces mains vinrent cajoler cette dernière, avant de commencer à lentement retirer la robe à cet endroit. Elle approcha à nouveau ses lèvres, donnant un premier baiser sur l'un de ses seins, puis poursuivant en la léchant. Hannah n'avait découvert que le dessus, pour le moment. Sa langue lécha ses seins, profitant parfois pour en faire de même vis-à-vis du petit espace se situant entre ses deux mamelles. Un espace extrêmement doux, qui excitait Hannah particulièrement. Elle espérait que le traitement qu'elle était en train de faire plaisait à Padmée. Elle voulait attendre un moindre signe de sa part pour savoir si elle pouvait continuer à descendre, ou si elle devait s'abstenir …
-
Le fantasme très particulier de Padmé surprit bien évidemment Hannah, mais elle sut rapidement s’y adapter, et y répondre. Miranda, elle, venait à son tour de s’asseoir, et, comme toutes les autres personnes assises autour de la table, elle observa le spectacle… Le spectacle fascinant d’une femme léchant sensuellement une autre femme. Kaorin avait toujours aimé qu’on la lèche, sans que Miranda n’y trouve d’explications particulières… Mais un fantasme avait-il besoin d’une explication pour exister ? Il est, tout simplement, et celui de Padmé était loin d’être choquant. Miranda connaissait LaBelle, et elle savait qu’Hannah, malgré tout le conditionnement qu’elle avait reçu, et l’obligation formelle qu’elle avait de satisfaire les désirs de sa Maîtresse, avait aussi ses propres pulsions. C’était quelque chose d’humain, et Miranda n’avait aucune envie de le lui enlever, car c’était là tout ce qu’elle avait jamais voulu créer : un être humain. Un être humain parfait, car c’est ce que Hannah était. La perfection, selon les critères exigeants des Forge. Comment ne pas l’aimer ? Elle était sa domestique, et elle avait pleinement conscience de sa chance. Hannah couchait avec une Sénatrice, elle offrait son corps aux puissantes de ce monde. Comment s’en lasser ? Comment ne pas éprouver la plus sincère et la plus profonde des attirances pour Padmé ? La Sénatrice avait un corps magnifique, une silhouette de rêve, et Hannah prenait plaisir à la lécher.
Padmé, elle, soupirait et gémissait, se frottant contre Hannah. Elle sentait les talents buccaux d’Hannah, et sa main empoignait et caressait ses cheveux. Hannah alternait entre baisers et léchouilles, sur le corps de Padmé, et sentir sa langue frotter ses joues, mais surtout ses lèvres, excitait follement Padmé. Sa langue filait sur tout son visage, Hannah alternant les coups de langue avec de tendres et sensuels baisers, déposant ses lèvres sur son visage, sur sa parfaite peau de bébé. Ses joues, son nez, ses yeux, son menton, son front… Tout y passait, et, plus Hannah agissait, plus ses lourds seins frottaient ceux de Padmé. Allongée sur la table, la Sénatrice gémissait et haletait, ses mains se serrant et se crispant sur les hanches de l’esclave. Hannah se faisait plaisir, et Miranda était loin d’être insensible à ce spectacle, ce qui amenait ses doigts à effleurer les boutons de la télécommande réglant l’appareil qu’elle avait sous ses vêtements. Elle pouvait appuyer afin de déclencher les vibromasseurs, et ainsi soulager la belle Hannah, dont elle imaginait la frustration sous de si lourds vêtements.
*Et je sais que tu en as envie, Hannah, je le ressens, car je te connais mieux que personne…*
Plus personne ne parlait, désormais, car la Sénatrice était une femme importante, et, de fait, la voir être ainsi léchée, l’entendre soupirer et gémir, de sa belle voix fluette et douce, était un régal certain. Hannah subissait régulièrement les excentricités sexuelles de Miranda. Femme puissante et délurée, Miranda considérait que l’une des expressions les plus pures du pouvoir était la capacité d’avoir des relations sexuelles quand bon lui semble… Il était ainsi fréquent qu’Hannah soit sa partenaire privilégiée pour les petits jeux pervers et osés de Miranda, des jeux qui, en d’autres circonstances, et surtout si elle avait été une autre personne, lui auraient assurément valu d’être incarcérée. Elle hésitait donc à enclencher les vibromasseurs, préférant pour l’heure laisser ce spectacle visuel, et presque artistique.
En tout cas, c’est ce que Padmé se mit à penser en voyant Hannah sucer sa main. La manière dont sa langue sortait pour lécher ses doigts, dont elle baisait sa paume, avait, à ses yeux, quelque chose de profondément artistique. Une magnifique rougeur perlait sur ses belles joues pâles et blanches, exprimant tout le désir que la Sénatrice ressentait. Coincée contre Hannah, sentant ses jambes serrer son corps à hauteur de la taille, elle remuait ses doigts dans la bouche d’Hannah, et déplaça son autre main pour empoigner et malaxer l’un de ses seins… Ce qui lui permet de sentir, sous les vêtements de la majordome, des sous-vêtements assez complets… Néanmoins, le fantasme de Padmé étant comblé, elle n’eut guère l’envie d’embêter Hannah avec ça, et déplaça donc sa main, venant caresser ensuite l’une des joues de la belle esclave.
« Hunn… Miranda, votre majordome est… Est fabuleuse…
- N’est-ce pas ? répliqua Miranda. Et, pourtant, Hannah n’a aucune véritable expérience dans ce que vous lui avez demandé de faire… Or, je suis convaincue qu’elle est plus douée que la plupart de vos esclaves, et j’entends bien celles que vous avez formé depuis des années à lécher votre corps magnifique…
- Haaaannn… »
Hannah continuait à s’approprier le corps de la Sénatrice, et finit par retourner cette dernière, puis tira très légèrement sur son décolleté, dévoilant sa ronde et tendre poitrine. Comme le reste de son corps, ses seins étaient magnifiquement proportionéns en fonction de son poids et de sa taille. Les cliniques esthétiques étaient très bien équipés, effectuant quantité de scans pour ceux qui demandaient le traitement le plus élevé. Pigmentation et coloration de la peau, masse corporelle, forme globale du corps en fonction de la taille, de l’âge, du poids, adoucissement de la peau… Tout était prévu dans des programmes très complets, destinés à doter le corps de ceux qui y allaient de l’apparence la plus belle qui soit. Miranda y avait eu droit, Hannah aussi, et Padmé également, bien évidemment.
La majordome finit ainsi par s’attaquer à ses seins, et Padmé soupira, agrippant les cheveux d’Hannah d’une main ferme et assurée. Ses seins pointaient, et la langue d’Hannah, joueuse, continua à filer sur son corps, alternant entre ses seins et sa peau, allant par exemple se fourrer dans l’espace creux qui se formait entre les seins de Padmé. La Sénatrice sentait clairement qu’Hannah aimait se fourrer ici, remuant sa tête pour se frotter contre ses seins, ce qui conduisit la Sénatrice à se demander si, pendant la période où Hannah avait été formée par Miranda, elle n’aimait pas se nicher contre ses seins.
« Vas-y, ma belle, vas-y… Continue à me lécher, continue, hummm… Tu es si douée, ma belle Hannah, si douée… Ah, je te prendrais volontiers, si tu n’étais pas si attachée à Miranda ! »
Les spectatrices alentour étaient loin de rester calmes, notamment Elena, qui avait une furieuse envie de faire l’amour. Son regard croisa celui de Miranda, et cette dernière lui sourit légèrement. Elle appuya alors sur la télécommande, et les vibromasseurs commencèrent à s’activer, remuant dans le vagin d’Hannah ainsi que dans son fondement… Et Elena Jun les rejoignit alors. Elle se glissa sur le rebord de la table, et vint caresser les fesses de la majordome. On pouvait lire un désir fort dans ses yeux, vibrant et intense, et ses mains palpèrent donc les fesses de la majordome, remuant dessus.
« Vous êtes tellement belles, toutes les deux… »
-
Si un jour on lui avait dit qu'elle finirait la tête nichée entre les deux magnifique seins d'une Sénatrice en personne … Hannah ne l'aurait certainement pas cru instantanément. Coucher avec une Sénatrice était un privilège certain, qui ne pouvait être qualifié, ni quantifié. La belle majordome, car c'était l'adjectif qui la décrivait le mieux, continua alors à savourer la délicieuse et douce poitrine de Padmée, léchant ses seins, et le creux se formant entre eux. Cet endroit était plus sensuel et délicat qu'ailleurs, et c'était sûrement cela qui excitait Hannah de surcroît. D'ordinaire, elle adorait la douceur dans les rapports, bien qu'elle adorait tout en fait … Mais cette fois-ci, elle n'avait jamais goûté à une telle chose. La Sénatrice était une femme exemplaire en matière de féminité, du moins si l'on suit la définition qu'avait Hannah de ce terme. Si belle, si douce, si délicate … Si Hannah n'était pas une esclave conditionné, elle aurait imploré cette femme de la prendre avec elle. Le petit cœur d'Hannah battait fort dans sa poitrine, au fur et à mesure qu'elle continuait d'explorer le vanillé de la peau de Padmée.
Bientôt, la majordome descendit un peu plus bas, embrassant et léchant le ventre de la Sénatrice. Sa tête frôlait le bas de sa poitrine, qu'elle embrassa tout autant ponctuellement. La logique des choses voulait que Hannah finirait par atteindre une zone très intime et sensible, si tout se passait comme prévu. Mais était-ce le but ? Si cela se produisait, on pourrait réellement affirmer à ce moment que les deux magnifiques nymphes étaient en train de se faire l'amour. Pour le moment, c'était presque cela, mais pas totalement … "Vous êtes si délicieuse, Sénatrice …" murmura Hannah, prise dans le feu. Sa tête passa sur son ventre, et ses lèvres passèrent tant dessus, que sur ses cotés, embrassant, léchant ses côtes. Elle était extrêmement tenté de vouloir la faire se retourner, et de goûter à son fessier. D'un autre coté, elle était aussi tenté de franchir le cap et de venir honorer sa féminité dans toute sa splendeur. Cruel situation, en fin de compte. Cependant, Miranda ne laissa pas les choses ainsi et, quelque part, vint au secours de sa majordome.
"Haaa-mmmmm …" Gémit soudainement Hannah. Sa patronne venait d'activer les vibros se situant dans son intimité, et dans son fondement. Ses jambes se crispèrent, et l'espace d'un moment, elle mordilla doucement la peau de Padmée, sous l'intense effet séjournant en son bas-ventre, et entre ses fesses. Ses mains se crispèrent aussi, et ses couinements se faisaient entendre. Mais, la cerise sur le gâteau fut sans doute ces mains qui se posèrent sur son généreux derrière, moulé dans sa jupe tendue. Des caresses qui avaient l'effet d'une bombe. Hannah adorait plus que tout les caresses, et sentir ses fesses recevoir un tel traitement était extrêmement plaisant. Ses joues se mirent à rougir sérieusement, elle aimait cela. D'un rapide coup d’œil, en tournant légèrement la tête, elle prit connaissance du visage de la femme qui était en train de lui peloter l'arrière train. Parmi tout les femmes présentes, c'était bien celle-ci qui, après Padmée et Miranda, lui tapait le plus dans l’œil. "Continuez … Hmmm …" Déclara-t-elle timidement à l'égard d'Elena. Elle voulait qu'elle caresse ses fesses, qu'elle tâte ce si beau et imposant cul, et peut-être même, qu'elle fasse plus que cela.
Ce qui était sur, c'est que les vibromasseurs étaient en train de remuer dans ses entrailles, et plus les minutes s'écoulaient, plus c'était difficile de rester concentrer. Hannah était littéralement prise au milieu d'un incendie ; Padmée devant elle, Elena derrière elle, et des toys en elle … Autant dire qu'avec toute son expertise et sa condition, elle restait une femme avant tout ; elle sentait ses cuisses brûler, au même moment qu'elle sentit aussi ses sous-vêtements s'humidifier. Cependant, Hannah se reconcentra et poursuivit son traitement envers la Sénatrice. Sa langue jouait avec la délicate peau qui s'offrait à elle, et elle continua à descendre, faisant tomber cette robe sur son passage. Elle arriva bientôt à l'extrémité haute de son sous-vêtement, tirant dessus afin de presser son intimité. Elle lécha l'extrémité de son pubis, donnant de savoureux baisers dessus par ailleurs.
Que lui réservait Miranda encore ? Les pinces sur ses seins n'étaient pas encore activées, ce qui laissait présager d'intenses et douloureux moments … Que Hannah avait hâte de vivre. Elle avait tout aussi hâte que Elena passe à la vitesse supérieure avec son fessier … Bien que les caresses qu'il subissait étaient exquises et excitait énormément Hannah. Sans le vouloir explicitement, ses pieds vinrent se plaquer contre chaque coté des jambes d'Elena, et commença alors à la caresser ainsi, faisant glisser ses petites pattes toute enveloppées de nylon contre sa peau.
-
La belle Hannah goûtait à des joies immenses. La peau de Padmé, douce et tendre comme celle d’une peau de bébé, était léchée par sa langue assoiffée depuis de longues minutes. Elle filait le long de sa peau, descendant toujours, mais le rythme avait ralenti... Il fallait qu’elle s’accommode de la présence des vibromasseurs remuant en elle, et ce d’autant plus qu’ils étaient plutôt gros. Hannah avait été bien formée, et cela se voyait, car ses actions commençaient doucement à exciter les femmes autour d’elles. C’est ainsi qu’Elena s’était mise sur la table, caressant les fesses d’Hannah à travers ses vêtements, ne tardant pas à sentir le contact du latex, et à comprendre qu’elle avait une tenue particulière là-dessous. Elena n’en était guère surprise. En tant que cadre supérieure de GeoWeapon Corp., elle avait goûté au programme GeoSlave, et avait plusieurs esclaves issus de ce programme. Certaines étaient ses assistantes personnelles, comme sa secrétaire, et d’autres étaient ses domestiques privées, vivant chez elle, dans une grande maison conçue par GeoWeapon Corp. dans un quartier résidentiel privé de Tekhos Metropolis, n’abritant que des pavillons conçus par la firme pour y loger certains de ses cadres supérieurs.
Hannah se rapprochait ainsi de l’intimité de Padmé, tirant sur son sous-vêtement, une élégante culotte-papillon à filets (http://img110.xooimage.com/files/b/1/9/culottes-papillon-filet-4ac1f98.jpg), afin d’accéder à son intimité, proprement épilée, très bien entretenue Quand la langue d’Hannah s’y aventura, Padmé se mit à gémir. Soucieuse de ne pas délaisser Elena, Hannah caressa avec ses pieds les jambes de cette dernière, qui esquissa un sourire amusé. Ses mains continuaient à malaxer les fesses de la belle, et elle les glissa sous ses vêtements, sentant alors la tenue en latex. Elle tira sur sa culotte noire, et posa ensuite sa main sur le vibromasseur anal, le sentant remuer d’avant en arrière en tournoyant sur lui-même.
« Et bien, et bien... Tu es décidément très bien habillée, Hannah... »
Padmé continuait à soupirer, et Miranda se déplaça un peu, ravie du déroulement de cette séance. Ramwï avait éjaculé dans la bouche d’Hannah, Rossa était ravie de la résistance et des talents d’Hannah, et Angel, elle, restait relativement calme, mais très excitée par ce qu’elle voyait. Bref, tous les regards étaient rivés sur Hannah LaBelle, et Miranda était maintenant convaincue que le conseil d’administration allait approuver la reprise du Programme GeoHuman. C’était tout ce qu’elle souhaitait. Hannah continuait à gémir, et Elena finit par se retirer, puis se pencha contre son dos, et entreprit de la déshabiller. Ses mains tirèrent sur sa ceinture noire, et elle défit lentement la boucle, puis reposa la ceinture à côté, et tira ensuite sur sa longue jupe, dévoilant les belles jambes d’Hannah, ainsi que le bas de sa combinaison de latex.
Tandis qu’Hannah léchait Padmé, Elena entreprit de la déshabiller, lui ôtant ensuite son haut, à savoir son gilet blanc à dentelle, puis son autre vêtement noir. Elle les retira également, et Hannah se retrouva en sous-vêtements, dans une tenue qui était conforme à celles que portaient les esclaves de GeoSlave.
Miranda enclencha alors les pinces électriques à hauteur des seins de la femme, et Padmé, elle, continuait à caresser les cheveux d’Hannah, envoyant des filaments de cyprine dans la belle bouche de la femme. Padmé se tortillait sous les lèchements de la femme, et continua à la laisser faire... Avant de tirer sur ses cheveux, et de l’écarter. Elena s’était également écartée, et Padmé se glissa ainsi sur Hannah, qu’elle coucha sur le dos. D’une main habile, Padmé défit son chignon, et une longue chevelure argentée tomba le long de ses épaules. En lui souriant, elle posa sa main sur son menton, et alla rouler une pelle à Hannah, en profitant pour goûter à sa propre cyprine.
« Hmmmmmmhhh... ! »
De son côté, Elena se pencha à nouveau, et posa ses mains sur les hanches de la belle domestique. Elle l’embrassa ensuite sur le ventre, léchant le curieux maillage en latex qui se trouvait là. On aurait dit une sorte de toile d’araignée faite avec des cordes et des ceintures. Le design des combinaisons utilisées dans GeoSlave était toujours très réussi, ce qui se confirmait en ce moment. Ce n’était pas pour rien si les combinaisons étaient vendues dans le cadre des boutiques en ligne de GeoToy... Et elles se vendaient plutôt bien.
De la mouille dégoulinait le long des godes, et Elena était à son tour au milieu de la table.
Padmé, quant à elle, continuait à embrasser la femme, un long et intense baiser...
-
Le moins que l'on pouvait dire était que Hannah était bien servie. Deux femmes s'occupaient généreusement de sa personne, ne lui laissant aucun moment de répit. Et s'en était que mieux ! La belle majordome n'en demandait pas autant, mais elle était heureuse en ce moment même. Elena et Padmée était comme deux nymphes du sexe, et l'une semblait compléter l'autre dans la situation. Ainsi, alors que l'esclave de madame Forge s'affairait à descendre toujours plus bas dans ses jeux de langues, elle continuait de caresser doucement l'autre dame de par ses pieds. Bientôt, sa bouche atteignit l'extrémité de l'intimité de la Sénatrice. Elle pu apercevoir une très belle et raffiné culotte papillon, qu'elle tira doucement pour dévoiler la féminité de la gracieuse femme. Sans plus tarder, ses lèvres l'embrassèrent à cet endroit, et dès lors, elle commença à entendre de petits gémissements. Un sourire naquit aux coins de ses lèvres, et elle continua ainsi. Sa langue papillonna sur son pubis proprement épilé, puis après quelques caresses, descendit un peu. Ses léchouilles prirent tout un autre sens quand elle les effectua sur l'intimité même de Padmée … Cela se sentait quand son délicieux nectar commença à jaillir timidement.
Hannah avait aussi remarqué que la belle et ravissante femme en robe noir avait passé ses mains en dessous de sa jupe crayon, et avait tâté son si beau fessier. Elle avait remarqué le vibromasseur qui remuait dans le fondement de la majordome, et qui la faisait gémir continuellement de plaisir. Mais Elena avait aussi sentit ce sous-vêtement en latex et, comme si elle souhaitait en découvrir plus, elle finit par entreprendre de la déshabiller. Les jambes d'Hannah tremblait sous les impulsions irrésistible de l'engin qu'elle avait entre les fesses. Sa mouille avait coulé depuis longtemps, et sa culotte n'en était alors que bien trop imprégnée. Ainsi, sa ceinture noir finit par tomber, de même que sa jupe, dévoilant alors tout le bas de son corps. "Hmm …" Couinait Hannah tout en continuant de lécher passionnément la féminité de la belle Padmée. Elena finit par la déshabiller complètement, en lui laissant pour seule tenue la combinaison d'esclave en latex qu'elle portait en dessous de ses vêtements.
La majordome restait silencieuse, car elle était entièrement prise dans un feu qui la consumait petit à petit. Normalement c'était elle qui procurait le plaisir. Mais cette fois-ci, elle en recevait bien plus qu'elle n'en donnait ! C'était un peu inhabituel, même si avec Miranda, cela s'était déjà produit. Elle n'avait pas l'habitude d'être autant cible d'attention, mais cela n'allait pas pour autant la déstabiliser. Preuve qu'elle était humaine, ce traitement lui plaisait énormément. Mais alors, vint un moment où elle sentit le dernier appareillage de la combinaison s'activer ; les pinces au niveau de ses tétons. "HNNN !!!" Fut-elle prise de court. La sensation était très jouissive, et cet électrisation faisait office de remontant. Finalement, Padmée finit par tirer sur les cheveux d'Hannah afin de l'écarter, après avoir généreusement remplie sa bouche de sa cyprine. Elle la glissa sur le dos et, en lâchant ses cheveux, posa une main sur son menton. Voila à présent que la majordome était réellement prise entre les deux femmes, vu que l'une était au niveau de sa tête, et l'autre au niveau de son ventre.
Hannah répondit avec appétit au baiser de Padmée, et tellement qu'elle adorait cela, elle ne put s'empêcher de faufiler ses mains dans la luxuriante chevelure dorée de la belle jeune femme. C'était comme si un chat voulait jouer avec sa pelote de fil. Elle se tortillait sur place, gémissant et couinant en permanence à cause des différents appareillages s'activant sur et dans son corps. Mais, en même temps, Elena lui caressa ses larges et généreuses hanches, et embrassa son petit ventre parcouru d'un maillage en latex. Ne l'oubliant guère, Hannah commença alors un véritable jeu de jambe. Avec son premier pieds, qu'elle glissa à hauteur du pan de sa robe, elle tira doucement afin de la relever un peu et de pouvoir accéder à son intimité, au travers ses sous-vêtement. La majordome commença à la caresser par-ici avec son délicat pieds recouvert de nylon, tandis qu'avec l'autre, qu'elle passa par-dessus elle, sur le coté, elle caressa son magnifique fessier. Tout ceci en répondant avec presque amour au baiser de Padmée qui s'éternisait, au grand bonheur d'Hannah qui sentait qu'elle était sur le chemin de l'extase. "Haaaaa …" À présent, l'esclave était au bord de l'impasse et elle faisait actuellement une belle performance en s'occupant de deux magnifiques femme à la fois.
Hannah, emportée par la fougue, finit par déplacer ses mains. Quittant la douce chevelure de Padmée, elle vint jouer avec ses seins flottant au-dessus d'elle, s'amusant à frotter avec ses pouces ses tétons pointant. Décidément, elle n'en avait pas fini n'en voir avec ces deux créatures …
-
Difficile d’en perdre une seule miette. Hannah, Padmé et Elena étaient trois belles femmes, trois magnifiques créatures, sensuelles et délicieuses. Les voir se faire l’amour ainsi était un plaisir profond et intense. Miranda avait couché individuellement avec chacune de ces trois femmes, et les voir ensemble était donc… Exquis. Padmé et Hannah, surtout, semblaient parties dans un baiser interminable, et terriblement langoureux. Un baiser qui prouvait aux yeux de toutes les femmes présentes toute l’affection de Padmé pour les baisers. La belle sénatrice l’embrassait goulûment, sans relâche, respirant par le nez, déplaçant parfois l’une de ses mains pour repositionner une mèche de cheveux rebelle derrière son oreille. Leur baiser commun était long et délicieux. La langue de Padmé jouait dans la bouche d’Hannah, roulant avec celle de la belle majordome. Dans sa tenue en latex, elle était toujours aussi belle. Elena l’avait déshabillé, et sentit les jambes d’Hannah remuer.
Sa belle Hannah savait faire plusieurs choses en même temps, et était justement en train de le prouver, positionnant ses jambes de manière à soulever la robe d’Elena, et ainsi accéder à son intimité. Elle frottait la culotte noire d’Elena, qui soupirait de plaisir, remontant ses lèvres le long de son ventre.
*Magnifique… Tout se passe encore mieux que ce que j’aurais pu espérer, même dans mes rêves les plus fous…*
Au bout d’un moment, Elena finit par se redresser. La position d’Hannah était assez inconfortable… Et puis, même malgré son orgueil, Elena savait qu’elle n’était pas une Sénatrice, elle. Même si Tekhos s’apparentait de plus en plus à une junte militaire, ou à une oligarchie, le Sénat avait encore une forte influence, et une solide autorité. Padmé était donc une femme importante, en plus d’être belle et magnifique. Il était donc normal qu’elle ait un rôle assez spécial. Sa bouche était rivée à celle d’Hannah, dans un long baiser endiablé. On pouvait parfois la voir retirer ses lèvres, laissant alors juste sa langue dans la bouche d’Hannah, ou l’écartant alors, pour jouer avec la langue de la majordome, qui la suivait. Une main était alors posée sur le menton de la majordome, l’immobilisant sur place, l’empêchant ainsi de pouvoir faire autre chose que l’embrasser.
Hannah, elle, finit par poser une main sur le sein de la belle Sénatrice, faisant soupirer Padmé. Ses seins étaient tendus, et elle sentit Elena s’écarter. La belle femme posa ses mains sur les hanches de Padmé, et la déplaça.
« Là, là… »
Elle posa ainsi Padmé tout contre le corps d’Hannah, et Padmé, en conséquence, remua ses jambes, logée contre celles d’Hannah. Padmé en profita pour continuer à l’embrasser, raffermissant sa prise sur le corps de la femme, remuant d’avant en arrière. Ses seins se frottèrent contre la poitrine lourde et généreuse d’Hannah, et, surtout, elle sentit le frottement des cordes de la tenue de la femme caresser sa peau, glissant dessus, tendrement et sensuellement. Un contact extrêmement agréable, tandis qu’Elena, elle, avait sous les yeux le beau petit cul ferme et blanc de la belle Sénatrice.
Elena se pencha vers elle, et posa ses mains sur ces belles fesses, puis déposa un baiser dessus. Ayant ensuite une idée derrière la tête, elle attrapa l’une des mains d’Hannah, et la guida sur le cul de Padmé, afin qu’elle puisse s’y crisper. Padmé, de son côté, gémit de plaisir. Une main sur la nuque d’Hannah, en appui, elle déplaça l’autre le long des côtes de la majordome, jusqu’à la glisser dans sa culotte noire. Les vibromasseurs continuaient à remuer nerveusement, provoquant un agréable ronronnement, et elle sentit, contre ses doigts, les quelques décharges électriques que les godes émettaient, ainsi que toute cette mouille, abondante, qui dégoulinait le long de la culotte. Hannah était bien cadenassée, bien habillée, et elle pouvait librement jouir.
Quant à Elena, elle continuait à s’attaquer aux fesses de la femme, les écartant l’une de l’autre avec ses mains, usant de ses pouces pour écarter la peau, afin d’accéder à la croupe de la femme, cette zone délicate à laquelle elle alla s’attaquer avec appétit, léchant sa rondelle.
« Hummm… »
Padmé aussi mouillait… Tôt ou tard, elle allait également avoir un bel orgasme supplémentaire.
-
Des soupirs, des gémissements haletants, voilà comment était réglée Hannah à ce moment. Prise en étau par ses vibromasseurs, ses pinces et ainsi, surtout, par deux ravissantes jeunes femmes, la pauvre majordome était mise à rude épreuve. Mais après, c'était là le but de l'exercice. Miranda avait voulue prouver à l'assemblée qui se tenait de l'efficacité de son programme. Hannah était son meilleur prototype, dans la mesure où elle était la seule personne artificiellement créée à ne pas être devenue folle, ou autre chose. Elle était saine d'esprit, en résumé. Obéissante, souriante, autonome, Hannah était la première humaine artificielle en parfait état. Et quoi de mieux qu'une situation à forte émotion, comme le sexe, pour montrer toute l'envergure de ce coté ? C'était une idée intelligente. Ce fut pour cette raison que la jeune femme s'adonnait corps et âme à ses deux amantes, se laissant furieusement embrasser par Padmée, qui décida à un moment de changer de position, sous la sollicitation d'Elena.
Allongée sur tout son corps, Hannah avait de plus en plus envie de faire passionnément l'amour avec la Sénatrice. Son corps en brûlait d'envie, et son esprit venait progressivement à rejoindre cela. Toute encastrée dans une tenue en latex, elle couinait sous les assauts irrévérencieux de ses outils logés en elle. Sa mouille abondait tellement que sa culotte en était trempée. Et que dire lorsqu'elle sentit la douce main de Padmée filer sur sa nuque, pour progressivement coulisser le long de son corps, jusqu'à atteindre sa féminité. "Haaaaa …" Gémissait doucement Hannah, savourant toute ces sensations. Ses jambes vinrent se lever et s'enrouler tendrement autour de la taille de la Sénatrice. Elle les remuer instinctivement, elle cherchait à se frotter contre elle, pour profiter d'avantage de son corps. Ses jambes la serrait grandement, et elle finit même par les croiser derrière son dos, prenant en otage sa doucereuse amante. Dans cette position, Elena n'aurait aucun mal à atteindre les petits pieds d'Hannah, si cela faisait bien évidemment parti de ses … Préférences.
Prise encore et encore dans un long baiser, Hannah ferma les yeux et savoura de tout son être le balai miellé qu'elle entretenait avec Padmée. Ses mains s'étaient posées sur ses joues, caressant sa douce peau rosée, les cajolant avec une grande tendresse. Toutefois, alors que le baiser s'éternisait, au plus grand bonheur d'Hannah, celle-ci finit par avoir envie de tâter le reste du corps de sa belle. Ses mains finirent donc par glisser le long de sa colonne vertébrale, afin de s'arrêter sur les fesses de la Sénatrice. En réalité, une resta sur son dos à la caresser, et l'autre partit profiter de ce tendre postérieur, n'hésitant pas à glisser dessus et pincer légèrement. Cependant, la majordome gémissait toujours plus fort et intensément. Les sex toys nichés en elle faisaient leur effet, et sa voix retentit entre deux reprises de souffle. "HMMMMMM Ouiiiiii !!! Haaaaa-Haaaaa …" La jeune femme était sur la bonne route. Nul doute qu'elle n'allait pas tarder à jouir.
Le fait que ses jambes se resserrèrent encore plus prouvait qu'elle s'approchait dangereusement du point de non-retour. Instinctivement, elle remuait son bas-ventre pour essayer de le frotter contre celui de Padmée, mais vu la position, cela n'était pas évident. Ses mains se crispèrent, tandis que son rythme s'emballa clairement. "Haa-Haaa oui … Ouiiii … HmMMmmmM !!!" Continuait-elle à soupirer intensément. Faire l'amour alors qu'on avait deux grands vibromasseurs dans ses entrés était mine de rien un réel exercice. Et, de plus, avoir des pinces électrisantes sur les tétons était tout bonnement une épreuve. Hannah s'en sortait pas si mal, mais il ne faisait pas l'ombre d'un doute qu'elle allait avoir un puissant orgasme dans les minutes à venir …
-
Autour de la belle Hannah, le trio constitué par elle, Padmé, et par Elena, continuait inlassablement leurs ébats, sous les yeux ravis et pervers de l’assemblée. Miranda, depuis sa position, n’en perdait évidemment pas une miette. Est-ce que cette conférence suffirait à relancer GeoHuman ? Elle en doutait… Il en faudrait plus pour convaincre le conseil d’administration, mais, au moins avait-elle réussi à lancer avec brio les négociations et les pourparlers à venir. GeoHuman était un projet beaucoup trop ambitieux pour pouvoir le négliger ou l’abandonner sans combattre. La firme avait investi beaucoup trop d’argent, et Miranda n’avait pas pour habitude d’échouer. Elle réussirait, et, pour l’heure, le spectacle offert était suffisamment riche pour mettre tout le monde d’accord.
Hannah avait soulevé ses jambes, les enroulant autour de la taille, et Elena les sentit taper contre elle. Occupée à embrasser et à suçoter le cul magique de Padmé, Elena releva la tête, et déposa un baiser sur l’un des pieds d’Hannah, caressant ce dernier, mordillant la plante de son pied, donnant plusieurs coups de langues, avant de se concentrer sur les fesses de Padmé. La Sénatrice avant tout, surtout quand elle avait une si belle chute de reins, et un si beau fessier. Des fesses rondes, légèrement arrondies, délicates et étroites, agréables et fines… Oui, Elena aurait pu admirer et embrasser ce cul pendant des heures. Tandis qu’elle s’amusait dessus, elle écartait avec ses pouces les tendres plis de cette doucereuse peau de bébé, et léchait sa croupe, glissant sa langue sur son fondement. Padmé était la preuve de la philosophie tekhane sur le sexe unique, et sur l’importance de la beauté.
La logique était fort simple à comprendre : l’être humain tendait à la perfection, au gommage des souffrances, des faiblesses, des inégalités. Toute l’évolution humaine était ainsi tournée vers la volonté de s’évoluer, de sortir de leur crasse, afin de s’arracher à leurs propres situations. Peu à peu, l’être humain voulait gommer toutes les différences, et les Tekhanes appliquaient ça aux plus grandes inégalités qui soient : la laideur et le sexe. Tant que l’être humain serait homme et femme, il y aurait toujours des différences. Les plus pures Tekhanes rêvaient d’un monde parfait, d’un monde fait de courbes et de douceurs, d’un monde où seule la beauté dominerait, et où il n’y aurait plus qu’un seul sexe. Plus de laids, plus de beaux, plus d’hommes, plus de femmes, seulement un sexe unique, parfait, capable de se féconder mutuellement. Une magnifique utopie pour cette société, que Miranda partageait, et qui était, sur le long terme, l’objectif final de GeoHuman, et même de GeoWeapon Corp. dans toute son importance.
« Hummm… » soupirait Elena.
Elle léchait la rosette de Padmé, qui frissonnait en embrassant Hannah, sentant la belle sur le point de se lâcher. Cette fois-ci, Elena y allait franchement, enfonçant sa langue en elle, lubrifiant ce canal étroit, tout en se tortillant sur place. Elena était évidemment une Futanari, et, sous sa robe, Miranda devina que le petit oiseau menaçait de déployer ses ailes pour montrer le bel aigle royal qu’il était. Padmé, curieusement, pour une femme de sa stature, n’avait jamais fait l’opération chirurgicale destinant à faire d’elle une Futanari. Elle était trop attachée à l’harmonie et aux courbes de son corps pour s’imaginer un truc aussi grotesque. Padmé voulait caresser tout son corps de haut en bas sans sentir la moindre aspérité, seulement des formes douces, fines, et tendres… C’était pour ça qu’elle avait fait des opérations afin d’adoucir sa peau, de la perfectionner, qu’elle soit similaire à la douceur de celle d’un peau de bébé. C’était vraiment une femme très particulière, et Miranda l’aimait beaucoup. Padmé, en un sens, était l’une de ces femmes parfaites, d’un point de vue physique, un idéal tekhan. Comment ne pas l’aimer ? Comment ne pas avoir envie de son corps ? C’était là une chose tout simplement impossible !
Padmé sentait Hannah approcher de l’orgasme. Elle l’embrassait longuement, longuement et langoureusement, et posa soudain deux doigts sur ses lèvres, en souriant.
« Je t’interdis de jouir tout de suite… Et je suis sûre que Miranda a dû te doter de quelques attributs intéressants… »
Padmé glissa sa main à hauteur des cuisses de la femme, tout en laissant ses doigts filer le long de ses cordes de latex sur son ventre. Elle tira sur le vibromasseur planté dans son vagin, et le retira, en le dévissant à l’aide de sa main de la culotte. Elle jeta ensuite le gode sur le sol, recouvert de mouille, mais veilla à conserver celui planté dans son cul. Elle enfonça alors ses doigts en elle, et força le passage, un rictus sur les lèvres. Le vibromasseur avait bien écarté les lèvres intimes d’Hannah, et elle enfonça ainsi ses doigts, puis sa main, et la ressortit, un sourire malicieux sur le coin des lèvres.
La Sénatrice lécha ses doigts.
« Allez, allez, ma chérie, fais-moi sortir ta grosse queue… »
Oui, Padmé ne voulait pas d’un chibre sur elle… Mais elle n’était pas contre l’idée que d’autres femmes puissent en avoir.
Et, sur le coup, elle savait d’avance que la majordome en avait nécessairement un, vu la passion de Miranda pour les grosses queues.
-
Si l'idée de départ était de prouver qu'Hannah était une parfaite esclave sexuelle compétente et fonctionnelle, la situation aux yeux de l'intéressée s'était rapidement transformée. Ce n'était plus elle qui occupait la fonction de donneuse. Depuis un bout de temps, la Sénatrice semblait s'être presque éprise d'elle, et depuis, l'avait comblé de toutes ses attentions. Hannah était donc la receveuse, et était donc train de se faire faire l'amour par une grande et magnifique Sénatrice. C'était une position qu'elle n'avait que rarement eut l'occasion d'expérimenter, car en général, étant l'esclave dans ses rapports, c'était souvent elle qui donnait du plaisir. Et elle était parfaitement heureuse ainsi ! Elle avait été créée pour ça après tout. Se retrouver à être celle qui recevait toutes les attentions était atypique, et cela se voyait malgré le fait qu'elle était conditionnée. Ses joues étaient aussi rouge que des tomates, son corps tremblait de toute part, et sa voix était si hachée qu'on pouvait difficilement comprendre ce qu'elle disait. Et pourtant, malgré tout cela, elle continuait d'assurer sa fonction d'esclave avec brio. Elle souhaitait plus que tout au monde rendre fière sa maîtresse, et c'était pour cette raison qu'elle donnait le meilleur d'elle-même en ce moment.
Et en parlant de donner, Padmée finit par lui formuler une demande qui, inlassablement, allait finir par arriver. Elle faufila sa main sous sa culotte en latex, et aussi habile qu'elle était, lui retira le vibromasseur qui se logeait dans sa féminité. Le sex toy lui avait bien dégagé la voie et la Sénatrice en profita. Quand Hannah sentit la main entière de son amante pénétrée dans son intimité, elle ne pu tout simplement pas se retenir. "HaaAaAA !!!" Gémit-elle intensément. Cette pratique qui consistait à pénétrer avec la main entière avait un nom ; le fist. Et à ce moment précis, même si ça n'avait été que bref, Hannah venait de se faire fister. Une pratique parmi tant d'autre qu'elle avait pu expérimenter autant au sein du programme GeoSex, qu'avec sa maîtresse sacrée, Miranda. Padmée déclara ensuite qu'elle souhaitait voir l'attribut spécial d'Hannah, qu'elle désigna par grosse queue. Éprise dans un feu perpétuel et ardent, la majordome avait néanmoins comprit qu'il était temps pour elle de sortir sa virilité, si tel était le désir de son amante.
"Hmmm …" Couinait-elle quand elle décida de pousser. Car pour faire sortir ses attributs masculins, qui étaient logés en elle-même, elle devait pousser. C'était une logique de base. "Haaaa !!!" Jouit-elle presque quand sa verge sortit brutalement. La particularité était que lorsque Hannah sortait ses attributs, ceux-ci venait remplacer sa féminité. Elle ne pouvait pas disposer des deux en même temps. Ainsi, Une grosse et veineuse verge émergea brutalement, assortit d'une imposante et juteuse sacoche contenant deux belles testicules. Toutefois, comme elle portait toujours sa culotte en latex, tout fut comprimé. La compression fut puissante. Cette dernière était si intense qu'elle provoqua instantanément une bosse disproportionnée à la surface de son sous-vêtement. Le latex était si moulant que Padmée aurait du être aveugle pour ne pas clairement et limpidement voir les reliefs ses testicules et de son gland gonflé. Toutefois, l'excitation de Hannah était extrêmement puissante et malgré que son pénis était raisonnablement proportionné, il enfla d'avantage, encore plus. "HNNNNN !!!" Gémit-elle alors que la pression devenait beaucoup trop grande. Sa verge était irréalistement comprimée dans sa culotte, et bientôt on entendait des craquement, si typique au latex, qui annonçait une seule et unique chose …
Sa culotte finit par céder, explosant presque en se déchirant de toute part. Sa verge fut violemment propulsée et pointait puissamment vers le ciel, alors que ses testicules contrebalançaient. Celles-ci semblaient être petites quand elles étaient comprimée dans le sous-vêtement. Mais maintenant qu'elles étaient à l'air libre, on pouvait clairement se rendre compte qu'elles faisaient au moins la taille d'une balle de golf chacune, si ce n'était un tout petit peu plus. Hannah gémissait fortement, ne pouvant plus s'arrêter désormais. Sa verge brûlait et cela se voyait qu'elle ne pouvait plus attendre. Timidement, son regard se porta vers Miranda, comme si elle appelait à l'aide, sans vraiment le demander pour autant. C'était un regard qui l'incitait plutôt à venir, elle voulait sa maîtresse. Coucher avec Padmée et Elena était fantastique, mais Hannah ressentait le besoin de faire l'amour aussi avec Miranda. À ce moment c'était plus inconsciemment qu'autre chose. Peut-être qu'après ses ébats, si elle réussissait sa mission, elle aurait une petite récompense … Comme Miranda le lui avait promit.
-
Miranda avait pris grand-soin d’Hannah, afin de s’assurer que cette dernière soit la plus belle possible, et la plus réussie. Son sexe masculin en était l’illustration. À Tekhos, la philosophie du sexe unique considérait qu’une femme se devait d’être hermaphrodite. L’hermaphrodisme était considérée, par la mentalité tekhane, comme l’évolution naturelle de l’Humanité, un stade dans lequel sexe masculin et sexe féminin disparaîtraient au profit d’un sexe unique, mettant, par ce biais, fin à l’une des inégalités primaires et des plus symboliques qui soit : la différence sexuelle. La technologie était le moteur de l’évolution, et c’était la technologie qui permettait ce prodige. D’aucuns s’en offusquaient, les réfractaires, les conservateurs, les arriérés. Mais nul n’empêchait la Roue de tourner, le Grand Wagon de l’Humanité d’avancer sur les rails. On ne pouvait pas stopper le progrès, et le progrès tendait à la disparition des inégalités et des différences, à l’égalité du genre humain. Le rêve d’un sexe unique et biologiquement parfait devenait chaque jour de plus une réalité encore plus concrète, et il était normal que ce sexe unique soit féminin, car c’était ce sexe-là qui portait la vie. Dans la grande évolution du monde, le rôle du sexe masculin se résumait à planter une graine, et ainsi à enclencher le processus de vie. Les Antique est les Arriérés en avaient conclu que l’Homme détenait la vie en lui, et que la femme n’était qu’une sorte de réceptacle, s’occupant des détails... Un point de vue que l’évolution des sciences avait atténué et remis en cause. L’avenir, c’était la femme. La vie germait dans son ventre, et le lien unissant une mère à son enfant était plus fort que n’importe quel lien. En bref, une Futanari était l’évolution naturelle de l’espèce humaine. Miranda était donc heureuse de voir à quel point Hannah en était une belle.
Padmé avait joué avec elle, enfonçant sa main dans son sexe, dont les lèvres intimes avaient été bien écartées par le vibromasseur la pénétrant joyeusement. Elle avait léché sa main recouverte de mouille, et vit Hannah se contracter, avant de pousser. La culotte de latex se déforma, et Padmé ne put s’empêcher de l’observer, avec un sourire ravi sur les lèvres. Oui, ce spectacle était magnifique... Elle vit la culotte se déformer, le latex moulant ce phallus énorme, et pour autant replié sur lui-même. Padmé aurait pu soulager la majordome en lui abaissant sa culotte, mais elle n’en fit rien. Elle continuait à lentement se tortiller de gauche à droite, en sentant la langue d’Elena s’enfoncer dans ses fesses. La belle Sénatrice observait ce membre en train de pousser, soulevant le latex, mettant à mal la solide culotte. Jusqu’où cela allait-il aller ? Elle se mordillait les lèvres, très heureuse, et sentit le latex craquer... Le sexe poussait trop, et la culotte finit par se déchirer, révélant une énorme verge. Une grosse queue se mit à pointer, avec des veines visibles. Un sexe gorgé de plaisir, avec de grosses testicules, amenant la Sénatrice à papillonner des yeux, s’humectant les lèvres en voyant ce membre.
« Owwww... Quel spectacle... »
La pauvre Miranda... Ne pas jouir avec une telle trique devait relever du miracle. Padmé bougeait son regard entre son sexe et la tête d’Hannah. Elle vit le regard de cette dernière glisser vers Miranda, et elle sourit, avant de poser sa main sur son sexe, l’emprisonnant entre ses doigts, tordant sa verge.
« Hum-hum... Ne regarde pas ta Maîtresse, petite Hannah... C’est moi qui détermine quand la petite pute que tu es va jouir, ma chérie... Moi et moi seule. »
Bras croisés, Miranda restait silencieuse, presque cruelle dans sa manière d’agir. Hannah ne le faisait sans aucun doute même pas exprès. Elle était comme une fille aux yeux de Miranda... Désirait-elle avoir son assentiment ? Son approbation ? Ou est-ce qu’elle souffrait tellement qu’elle voulait le soutien de sa Maman ? Difficile à dire... Miranda ne lisait pas dans sa tête, mais elle connaissait suffisamment Hannah pour savoir que c’était sans aucun doute de ça qu’il s’agissait. Chez elle, Miranda avait instauré avec Hannah une règle stricte et simple : Hannah n’avait pas le droit de se masturber, et, à chaque fois qu’elle avait envie de se caresser, elle devait appeler sa Mère, pour que ce soit elle qui le fasse. De fait, la personnalité d’Hannah était totalement effacée par celle de Miranda Forge. Elle était comme une sorte de fan hystérique, ces groupies qui suivaient avec adoration l’objet de leurs désirs, et avec un certain zeste de profonde folie.
Mais, pour l’heure, c’était Padmé qui avait la main sur les évènements, et Miranda se contenta d’un clin d’œil à l’attention d’Hannah. Je m’occuperais de toi après, pouvait être une bonne interprétation de ce signe visuel. Padmé commença alors à s’amuser avec ce sexe, à éprouver la résistance de la femme. Elle lécha sa verge, comme une grosse glace, sa main glissant le long de ce sexe massif pour frotter ses testicules, les soulevant. Elle adorait lécher, et il n’y avait aucune raison pour que ce ne soit pas la même chose avec les sexes... Surtout avec ceux qui étaient en érection. Elle mordillait un peu cette masse de chair, et releva ensuite la tête, frottant sa joue, puis son menton, contre ce gros membre.
« Tu vois, le problème, avec mes esclaves, c’est que je ne peux pas lécher trop longtemps leur sexe... Elles jouissent trop vite... Et, pourtant, c’est si bon, de lécher un sexe en érection, c’est... C’est comme une grosse glace ! Mais... Je veux que tu me supplies, Hannah... Implore-moi de m’empaler sur ta grosse queue, sois convaincante... Et je t’interdis encore de jouir... Souffre donc. »
Padmé pouvait se montrer très perverse, à tel point que sa perversion était une sorte de cruauté sexuelle... Dont Hannah était en train de faire les frais, au fur et à mesure que la Sénatrice continuait à lécher son sexe, et à le parcourir de multiples et suaves baisers.
-
Les soupirs et la souffrance d'Hannah étaient très nettement audibles. La pauvre petite, son sexe littéralement prit en otage par une véritable succube à l'apparence humaine. Et, pas n'importe quelle apparence. Une des plus belles et parfaites femme qu'elle n'ai jamais pu voir dans toute sa vie. C'était à peine croyable de voir que ce genre d'être existait. Ou plutôt, il était à peine croyable de voir qu'un tel niveau de perfection tant en terme de beauté que d'habilité, existait. Et pourtant, si la perfection de Padmée était de renommée mondiale, aux yeux d'Hannah, elle n'arrivait même pas à la cheville de sa maîtresse, Miranda Forge. Ce n'était même plus la peine de tergiverser sur le sujet ; ni dans le passé, ni dans le présent et ni dans le futur un être arrivera à surpasser cette femme qu'était Miranda. C'était, pour la majordome, la vérité unique en laquelle elle croyait actuellement, de tout son être et son âme. Peut-être en faisait-elle un peu trop, mais elle avait été conditionnée ainsi. Sa vocation était d'aduler voir presque de vénérer cette femme, dans tout les aspects possible et inimaginable. Cependant, comme Hannah possédait malgré tout une personnalité propre, cette idolâtrie s'était transformée en quelque chose d'encore plus puissant …
Mère, était le mot qu'elle se répétait inlassablement dans sa tête à ce moment. Du moins, quand ses yeux étaient rivés vers Miranda. Un simple petit clin d’œil suffit à lui faire comprendre tout son sens. Cela rassura un peu Hannah, mais ne la délivra pourtant pas de l'infâme succube ayant décidé d'arracher à nouveau son attention en appuyant sur la corde sensible. Elle compressa la verge de la majordome entre ses doigts, la tordant, faisant ainsi de même pour Hannah qui laissa exprimer le plaisir fou qu'elle ressentit à ce moment. "Haaaannnn !!!" Cri-t-elle presque. Elle savait que Padmée n'allait pas la laisser jouir aussi facilement. D'ailleurs, elle venait de le lui interdire. Et Miranda savait bien comment Hannah savait se montrer docile et obéissante ; c'était sa vocation. Se faisant toute petite, la majordome était aussi rouge qu'une tomate, et couinait en voulant à tout prix se retenir de laisser parler ses gémissements.
Padmée se mit à lécher son sexe gonflé, tendu vers le ciel, comme s'il s'apprêtait à exploser tellement la pression en était énorme. Hannah suait tellement l'effort qu'elle était en train de faire était considérable. Comment ne pas jouir en une fontaine à foutre devant un tel spectacle ? Et surtout, après tout ce qu'elle avait goûté de la part de Padmée précédemment. L'esclave sexuelle qu'elle était y arrivait, pourtant. Prouvant ainsi son efficacité, et montrant à l'assemblée la réussite que pouvait engendrer le programme dont elle était issue. La Sénatrice lui exigea de l'implorer si elle voulait ne serai-ce que espérer pouvoir avoir le privilège de la pénétrer. Une proposition qui faillit bien faire tomber les dernières défenses d'Hannah, qui n'hésita donc pas à poursuivre dans sa vocation d'esclave soumise et docile. "A-Aaah Sénatrice je … Je vous en su-supplie, par toute votre grâce ! Je vous implore de vous em-empaler sur … M-moi … Pitié … Haaa … Par pitié Sé-Sénatrice ! Laissez-moi vous faire jou-jouir !" Gémit-elle difficilement. De plus, il fallait rappeler qu'elle avait toujours des pinces lui électrocutant les pointes de ses seins, et un gros vibro encore niché entre ses fesses et en pleine activité. Cela ne facilitait pas les choses.
Padmée continuait à frotter sa joue contre sa verge, finissant aussi par la lécher langoureusement. La sueur perlait sur tout le visage d'Hannah qui était réellement en train d'être mise à rude épreuve. Ses doigts tremblaient, et s'étaient nichés dans la douce chevelure de son amante, lui caressant la tête, se retenant habilement de l'enfoncer d'avantage contre son sexe. Elle déposa des baisers autant en long qu'en large sur son pieux de chair, laissant des marques rouges des plus appétissantes qu'il soit. Comme pour se consoler, Hannah déplaça ses douces jambes sur les cotés de Padmée, la cajolant entre eux, les frottants contre ceux-ci. Désormais elle n'avait plus qu'une envie, et but ; se faire chevaucher par l'une des plus parfaites créatures, par l'une des plus suave et sensuelle des femmes existant en ce monde. Tout son corps en brûlait, et c'était bien sa verge qui en souffrait le plus dans l'affaire …
-
Padmé se délectait de cette situation. La souffrance de cette femme était quelque chose de palpable, de visuelle, et elle était, tout simplement, merveilleusement jouissive. La Sénatrice, espiègle, et volontiers cruelle, s’amusait à jouer avec son mandrin. Sa langue filait dessus, ses baisers se multipliaient, et elle frottait même son visage. C’était, pour elle, un fantasme, un objet de désir. Cette belle queue tendue, dure comme une sucette, un solide vit sur le point d’exploser, était un objet magnifique et merveilleux. De fait, sentir la souffrance de cette femme avait aussi quelque chose de profondément jouissif. Padmé était ainsi, une belle femme qui adorait frustrer ses propres esclaves. Elle adorait les voir se tortiller quand elle se refusait à elles, quand elle faisait l’amour avec d’autres, leur offrant pendant des heures et des heures, alors qu’elles étaient attachées, le spectacle de son corps en train de remuer et de se faire prendre. Chez Padmé, le sexe était une sorte d’ode à la beauté, à la joie, mais aussi à la perversion et à la souffrance. Elle faisait presque l’amour de manière esthétique, avec ce corps parfait qu’elle avait… Et, quand elle relâchait les esclaves qu’elle frustrait pendant des heures… Oh ! Il n’y avait aucun mot pour décrire ce qu’elle ressentait quand ses esclaves, oubliant toute bienséance, se ruaient sur elle pour la défoncer violemment et brutalement.
Avec Hannah, Padmé était ravie de voir sa résistance, et Miranda l’était tout autant. C’était une grave erreur de négliger l’importance du sexe à Tekhos, que ce soit dans les interactions sociales classiques, ou même dans les relations d’affaires. Le sexe était quelque chose de fondamental à Tekhos, et Miranda avait pour habitude de considérer qu’un contrat d’affaires ne se concluant pas par une sauterie mutuelle n’était pas vraiment réussie, et qu’il manquait quelque chose entre les cocontractants. C’était en suivant cette logique perverse qu’elle avait doté certains de ses bureaux et agences, comme GeoLaw, son cabinet d’avocats, d’esclaves sexuels issus du Programme GeoSlave. Elle était donc ravie de voir la résistance d’Hannah. Tant que Padmé ne lui donnerait pas l’ordre de jouir, et aussi horrible que ce soit, elle se refuserait à le faire. Autrement dit, toutes les femmes présentes autour de la table pouvaient voir la grande résistance sexuelle de cette femme, sa capacité d’obéissance, même dans une situation où tout était fait pour qu’elle désobéisse. Bras croisés, Miranda avait sciemment évité de se mêler à cette situation, afin de bien démontrer qu’Hannah était servile envers quiconque devenait sa Maîtresse… Fort heureusement, les quelques regards coulissants d’Hannah vers Miranda, loin de la desservir, n’avaient fait que l’idée. Les applications possibles de GeoHuman transparaissaient déjà : quelle Tekhane stérile ne serait pas prête à payer pour avoir un beau petit bébé issu de GeoHuman, dont toutes les caractéristiques pourraient être définies très précisément à l’avance ? GeoHuman offrait la possibilité d’aller plus loin que ce que la Nature permettait, et c’était bien pour ça que Miranda tenait énormément à ce programme, qu’elle considérait comme étant intrinsèquement liée à GeoWeapon Corp., et, au-delà de ça, comme un moyen d’évolution de la société, voire de l’humanité elle-même.
Padmé continuait donc à jouer, et finit par se redresser. Ses mains caressèrent les seins d’Hannah, s’appuyant dessus, et elle lui mordilla le creux de la nuque.
« Hum… Si tu étais mon esclave, je continuerais à te faire souffrir, juste pour e voir pleurer, et te voir devenir folle… »
Elle lui mordilla donc la peau, et embrassa sa joue, rapprochant ensuite ses lèvres de sa bouche, pour un tendre et sensuel baiser, horrible par sa lenteur et par sa douceur, alors que tout le corps d’Hannah réclamait de la violence et de la passion. Padmé savait ce qu’elle faisait. Elle remuait de haut en bas, frottant son corps contre le sien, sentant une grosse queue qui s’enfonçait dans son ventre, comme une lance de chair prête à craquer.
La Sénatrice lécha alors à nouveau ses lèvres, en se redressant un peu.
« …Mais tu n’es pas mon esclave, Hannah… Alors, tu vas pouvoir faire jouir, ma chérie… Mais il faudra que tu jouisses très, très fort, d’accord ? Je veux sentir ton foutre me remplir mon bel estomac… Sinon, c’est que je ne t’aurais pas fait assez souffrir, et que, la prochaine fois, je te souffrirais jusqu’à ce que tu pleures, jusqu’à ce que tu approches de la folie, tant ton corps voudra jouir… »
Oh, Padmé connaissait bien le sexe… Elle se redressa donc, et tourna alors la tête vers Elena, venant caresser ses cheveux.
« Tu aimes bien mon cul, toi, hein ? Petite salope… Je vais finir par croire que Miranda vous recueille pour ça… »
Elena se redressa en souriant, et se nicha dans le dos de cette femme, ses mains venant pétrir ses seins.
« Il faudrait être folle pour passer à côté de l’occasion de goûter à votre insolent petit cul, Sénatrice… »
Tendant une main en arrière pour caresser l’une des joues d’Elena, Padmé tourna la tête vers elle, soupirant dans ses oreilles.
« Tu n’auras qu’à venir chez moi un soir, si tu apprécies tant le fait de lécher mon corps… Mais, pour l’heure, je vais m’occuper de cette pauvre Hannah… »
Elena esquissa un sourire, et la belle comptable s’écarta. La Sénatrice s’humecta ensuite les lèvres, puis se redressa… Le membre turgescent d’Hannah frottait en ce moment ses fesses, et elle se releva donc… Puis guida son trou vers sa verge… Et, enfin, après tant d’attente pour la pauvre Hannah, elle s’empala dessus en soupirant longuement.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA… !! » soupira-t-elle longuement.
-
L'attente allait enfin prendre fin pour la pauvre Hannah qui atteignait progressivement ses limites. Elle venait néanmoins de faire un effort assez considérable en se privant aussi longtemps de jouir, malgré toutes les tentations et les douceurs de Padmée. Quelle femme … Quelle diva était-elle ! Si la majordome n'avait que dans ses yeux, et dans son cœur, Miranda, Padmée venait aujourd'hui d'atteindre la seconde place à son podium. Jamais elle n'avait goûté à une telle douceur côtoyant une telle cruauté dans un acte tel que le sexe. Cela la fit frissonner de tout son être, et l'effet fut puissamment jouissant pour elle. Cela se voyait à sa verge qui tirait jusqu'à ses plus infimes limites vers le ciel. Elle n'en pouvait plus, elle devait jouir, se vider de toute cette frustration, pouvoir profiter de tout ce plaisir qu'elle avait accumulé durant ces dernières minutes de pure bonheur, et de malheur en même temps. Une parfaite coexistence de deux pôle strictement contraire. Padmée venait de faire un chef d’œuvre, et le résultat avait été bluffant. De la sueur perlait sur le front de la belle esclave, qui se mordillait les lèvres en voyant son amante se redresser. Elena se blottit contre elle, dans son dos, lui tripotant les seins, l'excitant encore plus qu'elle ne l'était. Elle aussi, au fin fond de son être, désirait se blottir de la sorte contre cette sublime femme. Sa douceur, son touché, cette excitation était sans pareil, et elle le désirait du plus profond d'elle-même.
Finalement, Padmée se libéra de sa seconde amante, et se concentra pleinement sur la petite Hannah, qui se mordillait les lèvres de manière convulsive. Elle déplaça son fessier, frottant la verge de l'esclave, puis aligna son entrée sacrée à l'extrémité de son bout rosé et brûlant. "Haaa …" Soupirait Hannah rien qu'au toucher de leur peau respective. Puis, sans crier garde, la plantureuse Sénatrice s'embrocha sur ce pieux de chair aussi massif que veineux. "HAAAAAAANNNNN !!!" Cria Hannah de plaisir. On y était, le clou du spectacle. La cérémonie de fermeture, comme on pouvait aussi l'appeler. C'était l'étape final, le moment tant attendu. Les deux femmes gémissaient ensemble, les sensations étaient extraordinaire et surtout, étaient partager. Hannah sentait l'intimité de son amante engloutir son sexe, le gobant dans son entièreté, se sentant fondre dans son corps chaud et accueillant. Elle coulissa tellement bien en elle que Padmée arriva même à frôler les bourses d'Hannah, confirmant que la totalité de son sexe s'était engouffré en elle.
Et puis, commença alors une véritable frénésie. La Sénatrice fit des hauts et bas, avec grâce et volupté, permettant à la verge de l'esclave d'entrer et sortir. Hannah gémissait fortement, laissant son extase exploser à l'air libre. Ses mains s'étaient gracilement posées sur les généreuses hanches de sa partenaire, l'accompagnant dans ses mouvements. Chaque rebond pressait de plus en plus fortement son sexe, qui subissait une terrible mais si jouissive pression. De même que ses testicules qui claquaient contre son fessier à chaque descente. "HAAA-HAAA-HAAAAA …" Étaient les seuls sons qui sortaient de la bouche d'Hannah à ce moment. La pauvre était en train de perdre la tête, et cela se voyait très clairement. Un filet de bave sortait de ses lèvres, alors qu'elle avait ses yeux fermés, savourant le rodéo qu'on lui prodiguait. Elle sentait la pression augmenter toujours plus puissamment, et nul doute que le point de non-retour allait vite crier garde. Et d'ailleurs, ce fut au bout de quelques minutes que le final pointa son nez.
Hannah n'en pouvait plus. Éprouvée depuis le début de cette réunion, elle s'était contenue du mieux qu'elle le pouvait. Et, en toute modestie, elle s'en était très bien sortie. Cependant, seule Padmée et Miranda seraient les juges de ses performances en tant que seule modèle fonctionnel du programme GeoHuman. Car, à l'instant, toute sa performance prenait enfin fin. "HMMMMMM !!!" Gémit-elle intensément alors que, dans un dernier empalement, son foutre explosa littéralement hors de sa trique, provoquant un déluge de sperme dans l'intimité de Padmée. Une immense salve de semence brûlante déferlait dans les entrailles de la Sénatrice, venant la remplir de toute part. Mais la quantité était monstre, inhumaine ! Hannah jouissait comme jamais auparavant, laissant sortir sa frustration, fourrant l'utérus et l'estomac de Padmée de son foutre. Tellement y'en avait-il que l'on pouvait voir, avec de bons yeux, que son ventre prenait une légère forme arrondie quand Hannah eut finit son tsunami. "Haa … Haaaaa …" Couinait-elle, la voix éprouvée, reprenant son souffle. Du sperme coulait de l’orifice de la Sénatrice, tâchant le bureau sur lequel elle et la majordome de Miranda venaient de furieusement se faire l'amour.
-
Toute relation sexuelle en arrivait à ce moment : le point d’orgue. Un point d’orgue qu’Hannah avait chèrement désiré, et, quand Padmé s’enfonça sur sa queue, Miranda était convaincue que, pour sa belle Hannah, c’était sans aucun doute l’un des rares fois où elle avait ardemment désiré une queue. Miranda avait rarement été aussi cruelle que la Sénatrice avec sa domestique, et, on pouvait entendre Hannah gémir et hurler longuement. Sur son corps ample aux formes généreuses, Padmé dansait langoureusement. La Sénatrice faisait du sexe un art noble et sensuel, une sorte de danse harmonieuse, et sa pénétration en était une illustration typique. Son corps remuait gracieusement de haut en bas, comme s’il était aimanté par cette grosse verge joufflue. Elle dansait sur le corps d’Hannah, tendrement, avec passion, le rythme s’accroissant progressivement. Ah ! Comment ne pas savourer le spectacle magique de ce corps se dandinant, de ses corps se chevauchant mutuellement dans la douceur et dans l’harmonie ? Quoique, Miranda aurait pu revoir sa définition de « douceur », car, vu la dureté de la queue d’Hannah, et les soupirs de Padmé, ce coït ne semblait pas particulièrement doux. Yeux clos, joues rouges, corps en sueur, Padmé semblait souffrir, souffrir de bonheur. Tout son corps était tendu au maximum sous les assauts voraces d’Hannah, et le membre de cette dernière disparaissait en elle.
Miranda n’en perdait pas une miette, se mordillant les lèvres. N’étaient-elles pas magnifiques, ces deux petites chéries ? Oui, clairement. Elles formaient un duo magnifique, un duo qui avait quelque chose de magique dans sa manière d’être et de se mouvoir. Et puis... Et puis, Hannah éjacula. Un orgasme puissant, imposant, à la hauteur de sa souffrance. Padmé en recrachait parfois sa salive, tant les coups de butoir de la femme étaient forts, tant sa queue était grosse, et tant elle se sentait empalée en étant sur elle. Leur orgasme fut magnifique, et Hannah jouit avec toute la force dont elle était capable, balançant de gros chapelets de sperme, qui filèrent dans le ventre de la Sénatrice, encore et encore, fusant à toute allure, pendant plusieurs minutes.
« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »
Et puis, tout se termina. Dans un dernier soupir, le corps de Padmé s’affala sur la queue monumentale d’Hannah, queue qui, vu tout ce qu’elle avait balancé, devait avoir tout de même bien diminué. Soupirant profondément, la Sénatrice reprenait son souffle, l’une de ses mains caressant distraitement son ventre.
« Hum... On dirait que je suis en passe d’être enceinte, hihi... »
Sa main caressait tendrement son ventre, où un bon embonpoint venait d’apparaître. Pour une femme était si obsédée à l’idée des courbes, elle prenait plutôt bien tout ce foutre en elle. Son autre main caressa les cheveux d’Hannah, et ses doigts glissèrent sur son visage, glissant le long de son nez pour venir se frotter à ses lèvres.
« Tu jouis très bien, ma belle... Je te reconnais ça... »
Padmé se courba en avant, et l’embrassa tendrement sur les lèvres. Elle ne cherchait plus à jouer, car les deux avaient eu ce qu’elles voulaient en ce moment, dans cette longue et magnifique étreinte. Les deux étaient sexuellement rassasiées. S’humectant les lèvres, Padmé se redressa ensuite, restant encore un peu assise sur Hannah. La belle jeune femme appréciait tout simplement l’idée de sentir une queue plantée dans son corps, et sa tête se tourna ensuite vers Miranda. La femme avait un petit sourire mielleux sur les lèvres, la preuve, s’il en fallait une, qu’elle était particulièrement contente et rassasiée.
Quelques secondes de silence filèrent, avant qu’elle ne se parte :
« Je dois bien admettre que vos phénomènes de foire sont... Beaucoup moins monstrueux que ce que les rapports disent. »
Miranda esquissa un sourire complice, et, surtout, satisfait. Cette ébauche sexuelle avait fait objet de superbe démonstration, et Padmé finit par se redresser. Elle laissa derrière elle un chapelet de foutre, et, bientôt, tout le trop-plein qui avait filé dans son ventre jaillit... Il se déversa sur le corps d’Hannah, Padmé courbant les genoux en soupirant, poussant pour vider ses intestins sur le corps de la femme, répandant le sperme d’Hannah sur ses jambes, ses ventres, et sur sa tenue, faisant légèrement grimacer Miranda.
*Il va falloir qu’elle prenne une douche...*
De fait, le timing tombait plutôt bien. Padmé soupira, retournant à sa place, laissant une Hannah étalée sur la table, et Miranda s’approcha d’elle, lui glissant quelques mots près de son visage :
« Va te doucher, ma belle... Je te rejoindrais ensuite dans notre chambre... »
Ceci laisserait le temps à Miranda de finaliser les discussions concernant GeoHuman...
Et la PDG était ravie.
-
L'instant final avait été parfait, magistral. C'était le mot qui correspondait le mieux. Essouflée, Hannah affichait un sourire presque heureux. Elle venait de jouir intensément. Elle n'avait fait plus qu'une avec l'une des plus belles femmes de Tekhos, et même de tout Terra si cela se trouvait. Padmé, un nom qui allait rester graver dans sa mémoire pour un bon bout de temps. Une séance de sexe qui fut intense en sensations, que ce fut avant, ou pendant le grand moment. Une chose était sûre, la majordome était on ne peut plus rassasiée sexuellement. Quoique … Pour une esclave sexuelle de sa stature, elle ne pouvait pas l'être puisqu'elle se devait d'être disponible à tout moment. Mais cela était une autre affaire. Pour le moment, la belle esclave reprenait son souffle, les yeux fermés, sentant sa douce amante passer ses doigts caresser son visage, puis ses lèvres. De manière sensuelle et légère, elle se mit à les suçoter, avant de sentir Padmé de pencher vers elle, et venir lui déposer un dernier tendre baiser sur ses lèvres. Elle gémit doucement, éprouvée par l'intense exercice qu'elle venait de faire. Visiblement la Sénatrice ne semblait pas être dans le même état, mais d'un autre coté, elle n'avait pas ressentie toute la frustration de devoir se retenir de jouir, surtout quand on avait un sexe masculin.
Mais, toute bonne chose avait une fin. Et malheureusement, ce fut le cas. La doucereuse Padmé finit par se retirer, laissant la verge d'Hannah se glisser en dehors de son chaleureux corps. Cependant, l'excès de foutre finit par rapidement suivre au pas. La Sénatrice poussait un peu, et tout le jus de l'esclave finit par lui revenir en plein sur son corps, l'éclaboussant de toute part. Ses cuisses, son pénis, son ventre, ses vêtements, tout fut absolument trempé, imbibé de son propre foutre. Encore consciente, elle entendit Padmé exprimer sa satisfaction vis-à-vis de cette expérience, et du programme GeoHuman, apparemment. Mission réussie, du moins en apparence. Pour tout ce genre de détail, ce n'était plus à Hannah d'agir, mais à sa maîtresse désormais. D'ailleurs, celle-ci, de sa voix qui avait un effet des plus agréable et apaisant sur Hannah, lui demanda d'aller se doucher, et de l'attendre dans leur chambre. Hannah tourna sa tête vers celle qu'elle admirait, celle qu'elle aimait, celle qu'elle percevait à la fois comme un modèle, mais aussi, comme une mère d'un certain point de vue. Elle hocha de sa petite tête, obéissant docilement à celle dont sa vie en était dévouée. Encore en tenue d'esclave, les pieds nues, le corps tout tremblotant, Hannah se ressaisit et se fit la plus petite que possible, afin de quitter les lieux. Son intervention était à présent terminée, et il était temps de se remettre en état.
Quittant la salle de réunion, elle rejoignit assez rapidement la chambre, qui n'était rien d'autre qu'une partie des appartements de Miranda. Elle se dirigea vers la grande salle de bain, où une luxueuse douche l'attendait. Au cours de route, elle commençait à se déshabiller, laissant tomber au sol sa tenue en latex, et tout les accessoires tels que les pinces électrisantes, et le vibro qui était encore coincé entre ses fesses. Elle finit par ses collants, qu'elle retira avec délicatesse pour ne pas les abîmer. Puis, vint enfin le moment tant attendu … Elle s'invita dans la cabine de douche, refermant soigneusement la porte, puis laissa l'eau couler sur sa délicate peau. "Hmm …" Soupirait-elle de soulagement. L'eau chaude était agréable, elle calmait son corps éprouvé par le torride balais qu'elle venait de partager avec Padmé. Elle resta plusieurs minutes à se faire bercer par la douce chaleur de l'eau, profitant pour se laver et être de nouveau impeccable. L'eau finit par se couper, puis Hannah sortit enfin. Elle se passa une serviette autour de son corps et sur cheveux afin de les sécher. Elle se regardait faire en face du grand miroir de la salle de bain. Ce n'était cependant pas vraiment le moment pour accomplir tout son rituel, Miranda n'allait sûrement pas tarder à rappliquer.
La belle majordome retira la serviette de ses cheveux puis sortit de la salle de bain, se dirigeant vers le spacieux dressing où elle comptait bien prendre de nouveaux vêtements tout propre, tout pimpant. Cependant, elle eut la surprise d'entendre la porte grincer à mi-chemin. Nul doute qu'il devait s'agir de sa maîtresse, ce qui voulait dire qu'elle ne s'était réellement pas rendue compte du temps qui passait quand elle fut sous l'eau … Et c'était fort probable. Les cheveux encore humide, le corps enveloppé dans une serviette, elle s'estimait néanmoins pas encore prête pour se présenter à sa Mère …
-
Pour Miranda, tout s’était bien passé... Même mieux que prévu. L’orgasme de la Sénatrice était quelque chose de merveilleux. GeoHuman allait-il pouvoir reprendre ? La PDG ne pouvait que l’espérer, et c’était son plus sincère désir. Elle termina la réunion en invitant les différentes personnes à réfléchir aux implications possibles du projet, puis les laissa. Il n’était pas difficile de savoir ce qu’elles allaient faire. Toutes ces femmes avaient leurs propres esclaves sexuels, et, dans les prochaines heures, Miranda savait que personne n’arriverait à les appeler au téléphone. C’était quelque chose qu’elle acceptait, et qui lui arracha un sourire en coin. GeoWeapon Corp. n’avait jamais été qu’une simple entreprise, qu’une simple mégacorporation. C’était une entreprise familiale, une firme qui balayait les frontières étanches de la vie privée et de la vie publique, en demandant à ses salariées de tout sacrifier pour elle. De fait, il était fréquent que les salariées de GWC se marient entre elles, une pratique tout à fait autorisée au sein de la firme, et encouragée par les agences matrimoniales de GWC, qui se chargeaient de conseiller aux employées célibataires d’autres salariées susceptibles de répondre à leur profil.
Miranda retourna dans son immense appartement, laissant plusieurs femmes se charger de faire le ménage dans la salle de réunion. Hannah prenait sa douche, et, après quelques hésitations, Miranda décida de la laisser se reposer. Elle avait bien travaillé ce matin, et elle avait bien le droit à un peu de repos. Miranda se rendit donc dans son bureau, en lui laissant le temps nécessaire pour s’habiller. Sa petite Hannah était coquette, ce qui était ce que Miranda aimait. Elle voulait que ses sujets soient les plus belles possibles, et qu’elles prennent évidemment soin de leur capital beauté. Miranda se déplaça donc dans son bureau, longeant ainsi la salle de bains, où elle entendit l’eau de la douche s’arrêter. Hannah était propre, mais, avant de venir la déranger, Miranda voulait la laisser s’habiller, en profitant de l’immense dressing qu’elle avait dans son appartement.
*Choisis bien, je ne veux pas te mettre la pression...*
La PDG se rendit donc dans son bureau. C’était une très grande pièce, avec des baies vitrées permettant de voir l’ensemble de la ville, une terrasse avec une piscine intégrée, de grandes bibliothèques, et une cheminée entre les deux. La femme observa un peu le décor. Depuis l’une des baies vitrées, un escalier en verre descendait sur une terrasse en contrebas, avec la piscine. Son appartement était un duplex s’étalant sur plusieurs étages, et il y avait également un jardin zen sur le toit, avec d’autres terrasses comprenant des héliports. C’était un endroit qui respirait le luxe dans toute sa splendeur, et elle se déplaça ensuite vers son bureau. Son ordinateur était là, et elle consulta ses mails.
Tôt ou tard, Hannah allait revenir, et Miranda était impatiente de voir quelle tenue elle avait choisi...
-
Miranda était déjà rentrée dans son bureau. Visiblement, elle souhaitait laisser le temps à Hannah de s'occuper d'elle, de se pomponner afin d'être prête pour elle. C'était quelque chose que la majordome appréciait en sa maîtresse. Elle comprenait que même si Hannah n'était qu'une esclave, elle restait une femme qui aimait prendre soin de son corps, pour être encore plus belle et présentable face à elle. Tout ce qu'elle faisait avec Miranda comme finalité. Sinon, elle ne ferait rien. Son existence n'a pour seul lieu d'être que cette femme. Et cela, Hannah le savait, et l'acceptait volontiers. Serviette autour du corps, la jeune femme papillonnait entre la salle de bain et le dressing. Il y avait tellement de choix ! Elle hésitait tellement. Elle pourrait très bien s'habiller de manière classique, à savoir un traditionnel tailleur/jupe/talons. L'idée était très tentante. Il y avait un miroir dans le dressing, et elle s'en servit pour apposer à la surface de sa peau les différents vêtements qu'elle choisissait. Une petite séance d'essayage, en somme, sans essayer concrètement …
Hannah adorait faire cela. Un petit sourire était présent sur ses lèvres pendant qu'elle regardait plusieurs tenues possibles. Au bout d'un moment, elle finit par dénicher un chemisier classique, mais entièrement fait en cuir, et bien moulant. Il faisait professionnel, mais de par sa composition et sa découpe donnait un coté cruellement sexy à la porteuse. Elle trouva la jupe qui alla avec, faite de la même façon. "Hmm …" Hésita-t-elle, en apposant ces deux magnifiques pièces sur son corps dénudé. Cela lui allait, par-dessus tout. Elle s'imagina presque instantanément se pavaner ainsi, pour les beaux yeux de Miranda. Nul doute que celle-ci apprécierai de voir le pulpeux corps de sa majordome moulé de toute part dans du cuir. L'idée était rudement tentante. Elle déposa ce choix à coté, puis parti fouiller à nouveau. Cependant, elle ne voulait pas trop traîner non plus. Jamais elle n'oserai faire trop patienter sa maîtresse ! Jamais … Ce fut pour cette raison qu'elle se retourna pour aller chercher la paire qu'elle venait de déposer. Toutefois, en se retournant, elle aperçut son reflet.
Nue, sans aucun vêtement pour dissimiler la beauté et la perfection de son corps, elle se regardait. Hannah semblait avoir bloqué, mais pourtant, elle finit par tourner ses hanches, courber son pieds, se tordant dans plusieurs positons afin de s'admirer dans cette tenue. Et si en fin de compte, les choses les plus simples étaient les plus efficaces ? Hannah songeait, son regard se portant à nouveau sur l'ensemble en cuir qu'elle avait mit de son coté. L'hésitation était grande ; allait-elle se présenter nue ou habillée de cuir à Miranda ? Qu'est-ce qui lui ferait le plus plaisir ? Elle hésitait. Mais le temps la pressait, ou du moins, elle se mettait toute seule la pression. Néanmoins, son reflet l'harcelait toujours plus, et elle finit par se figer. Pourquoi pas ? C'était osé, mais à la hauteur de sa maîtresse ! Cela allait peut-être la surprendre, mais Hannah était convaincue de l'effet que cela allait avoir. Souriante, elle prit le soin de ranger la tenue en cuir, puis de repartir une dernière fois vers la salle de bain pour terminer son rituel.
Elle se sécha les cheveux, se coiffa, se parfuma et prit un grand soin à se maquiller, toujours aussi subtilement. Elle était enfin prête, dans l'un des accoutrements qu'elle avait le plus l'habitude de porter quand elle et Miranda décidaient de partager un petit moment intime … A savoir, nue. Toute confiante, elle marcha de sa démarche toujours aussi diablement féminine, balançant naturellement ses hanches d'un coté comme d'un autre. Ce n'était pas pour rien qu'elle était le seul modèle d'humain artificiellement créé en état de marche. Le but de ce projet était de créer des êtres humains parfaits, au sens propre, afin d'en faire les meilleurs esclaves qu'il soit ! Hannah était, par conséquent, parfaite en tout point. Mais même avec cette perfection, elle restait toujours bien en-dessous de Miranda qui, à ses yeux, son niveau ne pouvait être nullement atteint. Elle toqua à la porte de son bureau puis entra, toute fière et heureuse de voir sa maîtresse. Celle-ci pu avoir la surprise de voir sa majordome toute nue, s'avancer vers son bureau pour venir s’asseoir à l'une des chaises devant.
"Pardonnez mon retard Mère …" Dit-elle poliment, toute humble. Car en effet, si Miranda s'affichait comme étant la maîtresse de Hannah, celle-ci ressentait un profond sentiment envers elle. Un sentiment d'être son esclave (Ce qui était une bonne chose à ses yeux) mais surtout, le sentiment que Miranda était aussi, quelque part, sa mère, puisqu'elle était à l'origine de sa création. Hannah croisa sensuellement ses jambes, attendant impatiemment la réaction de Miranda.
-
« La petite Hannah s’est surpassée, donc ?
- Exactement. La Sénatrice était ravie, et c’est toujours une bonne chose pour mes projets.
- Hum... Effectivement. »
De l’autre côté de l’appareil, Morgane Fawley (http://m.img.brothersoft.com/android/87/87c62c409ec3239db683486e793c035e_screeshots_1.jpeg), la Responsable du Programme « GeoSex », écoutait patiemment le rapport de Miranda. « Rapport »... C’était un mot un peu trop formel. De toutes ses subordonnées, Miranda aimait bien Morgane. Perverse et froide, ambitieuse et cruelle, elle avait toutes les qualités requises pour briller au sein de GeoWeapon Corp. Elle était une recrue parfaite, qui avait pu rapidement monter au sein de l’échelle interne de l’organisation, jusqu’à se retrouver à la tête de l’un des programmes les plus médiatiques et les plus rentables de GWC. GeoSex s’occupait de tout le département sexuel de GWC., ce qui impliquait aussi bien le Département « GeoToy » que « GeoSlave », deux sous-programmes d’envergure.
Miranda déambulait dans son vaste bureau, quand elle entendit Hannah se rapprocher. Miranda lui tournait alors le dos, et elle coupa la conversation avec Morgane, et regarda Hannah... Et constata, avec un sourire amusé, qu’elle avait chois la tenue la plus simple... Celle de son propre corps. Délicieusement nue, Hannah se dressait face à elle, sans aucune gêne, mais avec, au contraire, une lueur profondément excitée dans les yeux.
La jeune femme alla s’asseoir sur une chaise face au bureau, et croisa sensuellement les jambes, avant de faire ce qu’on pourrait appeler la « fausse prude » :
« Pardonnez mon retard Mère… »
Miranda sourit lentement, puis s’approcha d’elle, faisant claquer ses talons sur le sol.
« Oh, je me demande bien ce qui a pu te mettre en retard... Vu tous les efforets que tu as mi pour t’habiller... »
Hannah avait été éduquée par Miranda, et l’éducation de Miranda s’articulait autour de l’idéal de perfection. Miranda ne voulait pas qu’Hannah ait un 15 ou même un 18/20. 20/20 était la seule note acceptable, et elle s’insurgeait contre toutes les personnes du corps enseignant affirmant qu’ils ne mettaient jamais la note maximale, car ça n’avait pour elle aucun sens. C’était comme une manière de faire miroiter l’Idéal aux enfants, sans qu’ils ne puissent jamais pouvoir l’atteindre, et ainsi entériner en eux l’idée préconçue que l’être humain était fondamentalement imparfait, qu’il convoitait toujours le 20, sans jamais l’atteindre.
Miranda s’était déplacée, et posa chacune de ses mains sur les épaules d’Hannah, venant la masser tendrement, ses mains se pressant sur sa peau douce, fine, et légèrement parfumée.
« Padmé t’a fait souffrir, hein... ? Je savais bien que son coït ne serait pas assez pour satisfaire tes besoins. Tu as toujours été une fille ayant d’énormes besoins affectifs, Hannah... »
Miranda continuait à masser ses épaules, se rapprochant de son cou, et massa également ce dernier, amenant progressivement le visage d’Hannah à basculer vers l’arrière, afin qu’elle regarda Miranda.
« Tu sais ce que tu es, Hannah ? Une... Petite... Pute... »
Elle lâcha ce dernier mot en fléchissant les genoux, et embrassa tendrement Hannah sur les lèvres.
Elles n’avaient pas encore fini de s’amuser, ensemble...
-
La grande différence entre Padmé et Miranda résidait dans le fait que cette dernière occupait une place beaucoup plus affective que la première. Hannah avait fait l'amour avec l'une comme avec l'autre, mais c'était bel et bien avec sa maîtresse qu'elle aimait le plus le faire. Car il y avait toute un aspect relationnel s'ajoutant à cela. Pour le comprendre, il fallait se mettre en tête que la majordome ne voyait pas Miranda comme une simple patronne, mais comme une mère. Même si elle avait été créée de toute part, sans aucun lien, elle avait été éduquée à aduler Miranda Forge, à la vénérer et à la servir corps et âme. De plus, la PDG de GeoWeapon Corp. avait elle-même réalisée une bonne partie de l'éducation de la jeune femme, ce qui renforçait ce lien. Bien qu'elle n'était pas une personne affichant ses ressenties et autres, Miranda devait quelque part voir Hannah comme une fille de substitution. C'était là toute la particularité de la relation qu'elle entretenait avec son esclave. Mère, patronne, maîtresse, c'était un peu un mélange de toutes ces casquettes. Et cela convenait amplement à l’intéressée qui, de toutes les manières, peu importe comment serait Miranda, elle continuerait de la servir avec fierté.
Miranda se déplaça donc, se plaçant derrière Hannah en lui massant tendrement les épaules. Les mains de sa mère lui firent le plus grand bien, à un tel point qu'elle émit un petit gémissement tellement cela lui faisait du bien. Ce qu'elle dit ne pouvait être plus vrai ; Hannah était une femme très demandeuse quand il s'agissait d'affection. Et seule une personne au monde pouvait combler ce besoin … Et l'on devinait facilement de qui s'agissait-il. Fermant les yeux, elle ne fit rien, profitant du petit traitement de sa maîtresse, avant de sentir ses douces mains se rapprocher de son cou, le massant à son tour. Mais elle finit par l'inciter progressivement à pencher la tête en arrière. Quand cela fut le cas, Hannah pu contempler à nouveau toute la splendeur et la beauté de sa maîtresse. Et les mots qu'elle lui adressa la fit frissonner, et ce fut d'autant plus vrai quand elle sentit les délicates lèvres de Miranda se mêler aux siennes. Elle soupira, savourant ce baiser dans toute sa saveur. Décidément elle raffolait de la bouche de Miranda, rien n'équivalait ! Ni les baisers de Padmé, ni rien d'autres …
Alors qu'elle savourait le moment, elle ne pu s'empêcher de lever l'une de ses mains pour venir caresser la joue de sa maîtresse, du bout de ses doigts. La douceur de sa peau était toujours aussi agréable au touché, et au goût … Ce qui viendrait par la suite sans aucun doute. "Hmm …" Couinait-elle, alors que le baiser devenait réellement délicieux. Sa langue jouait avec celle de Miranda et sa salive se mixait avec la sienne, alors que les deux femmes s'évertuaient à toujours mieux s'embrasser. Hannah finit par déplacer à nouveau sa main pour venir jouer avec l'une des mèches de la grande femme, venant caresser sa luxuriante chevelure blonde. Le baiser finit par se rompre au bout d'un moment, laissant la majordome rêveuse, un sourire aux lèvres. "Vous ai-je satisfaite durant la réunion, Mère ?" Demanda-t-elle de sa voix suave. Car tout dépendait de sa performance durant celle-ci. Miranda lui avait clairement fait comprendre qu'elle attendait d'elle d'être très convaincante et appliquée. Le seul moyen de savoir si sa performance avait satisfaite Miranda, était tout simplement de le lui demander … Ce que fit Hannah dès lors.
-
La belle Hannah était toujours en soif de câlins et de tendresse. Leur tendre baiser dura bien plusieurs minutes, pendant lesquelles les mains de Miranda restaient lentement posées sur son menton,. Sa langue s’enfonçait dans sa bouche, et elle pouvait sentir celle d’Hannah. Elle jouait avec cette dernière, la tortillant avec sa bouche, remuant dans son corps. La belle Miranda salivait de plaisir en l’embrassant ainsi, et elle gémissait dans la bouche de la femme. Miranda prolongeait le baiser avec plaisir, car, comme à chaque fois, elle savourait le contact d’Hannah. Les deux femmes s’embrassèrent donc, jusqu’à ce que Miranda sente les doigts d’Hannah s’entortiller dans ses cheveux, tirant sur l’une de ses mèches. Elle soupira lentement, et laissa faire sa fille, avant de progressivement écarter ses lèvres. Sa belle majordome la regardait, toute nerveuse, et finit par lui parler :
« Vous ai-je satisfaite durant la réunion, Mère ? »
Évidemment... Cette question était la seule chose qui tracassait Miranda : honorer sa Mère, que Miranda soit fière d’elle. Hannah avait été formatée conçue. Peu importe son savoir, le nombre de langues qu’elle pouvait connaître, tant qu’elle n’avait pas fait plaisir à sa Maîtresse, elle était incapable d’être heureuse. De fait, si jamais Miranda la répudiait, si elle l’affranchissait, Hannah, outre l’incompréhension totale, ne pourrait rien faire d’autre que prier, et faire tout ce qui était en son pouvoir pour que la PDG la reprenne. C’était relativement simple à comprendre... La belle Hannah avait été formatée pour lui obéir, et cette formation avait été profondément inscrite dans son esprit, que ce soit la partie consciente ou inconsciente. C’était comme si tout son sur-moi et son ça étaient unifiés autour d’une idée commune : Miranda Forge. Un tel degré de soumission était rare, car il était si profondément ancré dans l’esprit d’Hannah qu’il n’en ressortait pas à chaque fois. Elle pouvait donc très bien appeler Miranda « Miranda », et non simplement « Maîtresse ». Sa dévotion était une partie intégrante de sa personnalité, comme un tronc d’arbre à partir duquel les différentes branches de sa personnalité auraient progressivement fiat surface.
Miranda s’écarta donc, et s’assit sur le rebord du bureau, face à Hannah. Toute nue, Hannah était tout, sauf gênée... Et elle avait raison. Miranda lui avait appris la pudeur, mais elle lui avait aussi appris les bienfaits de l’exhibitionnisme, du sexe en public... La PDG avait beau être une Tekhane extrêmement puissante, elle n’en restait pas moins une profonde perverse... Et c’était un euphémisme.
En se mordillant les lèvres, Miranda releva sa jambe, et se délesta de sa sandale, puis la posa nonchalamment sur les cuisses d’Hannah, rapprochant ses doigts de pied de sa fente intime.
« Comme d’habitude, Hannah... Tu as été aussi parfaite qu’une Forge se doit de l’être... Aussi douée que ma majordome se doit de l’être... Grâce à toi, GeoHuman va peut-être pouvoir rouvrir avec les crédits requis. »
Tout en parlant, Miranda frottait l’intimité d’Hannah avec son pied, remuant d’avant en arrière, lentement. Elle était joueuse, et elle faisait ça pour avoir un préambule. Un dépôt liquide ne tarda pas à se former sur son pied, et il était assez difficile de déterminer s’il s’agissait d’eau... Ou d’autre chose.
« Je t’ai vraiment bien éduqué, Hannah, et je suis tellement fière de toi que je vais t’offrir une récompense... »
Elle laissa sa phrase en suspens, et posa son pied sur le sol.
« Je vais te faire l’amour... Et je te laisse choisir de quelle manière tu veux que je le fasse... Ou, plutôt, où tu souhaites que ça ait lieu... Dans notre chambre... Ou dans ma salle de plaisir... »
Selon le lieu, c’était deux manières de faire l’amour qui étaient accessibles...
À Hannah de choisir...
-
Le seul but d'Hannah, sa seule raison de vivre à proprement dit, était de satisfaire sa maîtresse. Pas seulement d'un point de vue acte, c'est à dire que combler ses attentes uniquement en répondant à ses ordres n'étaient pas suffisant. Il fallait répondre à tout type d'attentes, et même prendre quelques initiatives parfois. Les attentes de Miss Forge étaient multiples et variées. On avait un parfait exemple avec la réunion venant de s'être déroulée. Un événement exceptionnel, dans lequel Miranda avait eu besoin de sa majordome. Et cette dernière n'avait donc autre but que de faire son maximum pour combler les exigences de sa mère. C'était grâce à cette volonté innée et viscéral de satisfaire sa maîtresse que Hannah arrivait toujours à le faire. Elle n'avait aucun souvenir d'une fois où elle avait échouée à faire ce que lui demandait de faire Miranda. Peut-être parce que celle-ci ne lui demandait que des choses qui étaient dans son champ d'action. Voila une patronne qui avait la tête sur les épaules et qui ne demandait pas des services dantesques à une personne ne pouvant pas les faire. Mais, le champs d'action d'Hannah était bien plus vaste que le sexe. Après être l'esclave personnelle et sexuelle de Miranda, elle était aussi sa majordome. Et une majordome s'occupait d’énormément de choses, tel que la paperasse, l'organisation, etc.
Il était donc normal et naturel de voir Hannah on ne peut plus heureuse à l'instant où sa mère lui déclara qu'elle était satisfaite. Un sourire se dessina sur ses lèvres rosées, surtout quand Miranda précisa qu'elle s'était comportée comme une Forge se doit de l'être. Elle la considérait donc … Comme de sa famille ? La relation entre Hannah et Miranda avait toujours été très spéciale, dans le sens où la PDG de GeoWeapon voyait son esclave à la fois comme telle, mais aussi comme sa propre fille. C'était pour cela qu'elle pouvait être parfois dure, et parfois tendre, à sa manière bien entendue. Alors qu'elle l'écoutait, elle vu que sa mère se posa sur le rebord de son bureau, face à elle, puis se libéra d'une de ses sandales pour venir poser son pieds juste devant son intimité. Miranda connaissait Hannah comme sa poche, et devait pertinemment savoir que parmi ses goûts et préférences en matières de sexe, le fétichisme du pieds occupait une certaine place. Se mordillait les lèvres en sentant les doigts de pieds de sa maîtresse se frotter contre sa féminité, elle poussa un silencieux gémissement. Hannah ne pu s'empêcher de venir poser sa main, comme si de rien n'était, sur ce pieds et de venir légèrement le caresser de par le dos de son index.
Mais le plus important était ce qu'elle déclara. Satisfaite était-elle, et comme promis, elle décida d'offrir à sa fille une récompense. Le regard de la majordome étincelait d'une flamme, retranscrivant un savant mélange de joie, et de malice. Elle aussi été fière, très fière d'être l'esclave de Miranda, et de l'avoir satisfaite dans ses désirs. D'un certain point de vue, pouvait-on dire que Hannah était esclave dans la mesure où elle était pleinement consciente et consentante ? Il était plus juste de dire qu'elle était incommensurablement fière de servir la plus somptueuse et importante des femmes de tout Tekhos. De plus, ayant été éduquée par elle, il y avait toute une dimension maternelle qui venait s'ajouter. Hannah se sentait à la fois comme sa majordome, mais aussi comme sa fille, son enfant. Silencieuse, elle écarta sa main au moment où sa mère leva son pieds pour le reposer au sol, lorsqu'un dur choix vint à elle. Miranda allait lui faire l'amour … Et elle savait mieux que toute personne au monde à quel point Hannah appréciait ces moments. "Je … Je ne sais pas … L'un ou l'autre serait parfait." Dit-elle dans un premier lieu. Ce qu'il fallait savoir, c'est que Hannah n'était pas non plus une bête bonne à prendre uniquement ce que Miranda lui dictait de prendre. Lorsqu'un choix se posait, elle ne répondait pas 'je prendrai ce qui vous plaît le plus', du moins en matière de sexe.
Si Miranda lui avait offert la possibilité de choisir, elle était consciente que sa maîtresse attendait d'elle de s'exprimer, en quelques sortes. En sachant cela, Hannah savait donc aussi qu'elle allait devoir choisir selon elle-même, et non selon autre chose. C'était ça la plus grande force de cette esclave artificiellement créée ; son humanisme. Elle n'était pas un robot, elle n'était pas une poupée de cire. Elle était parfaitement humaine, avec des émotions, des sentiments et une pleine conscience. C'était cela qui faisait d'elle un modèle parfait, un modèle d'exception. Que ce soit physiquement ou mentalement, Hannah était parfaite, à l'image de Miranda. Reportant son regard dans celui de sa mère, elle finit par avancer sa tête pour venir déposer un délicat baiser sur son genoux. "Faisons l'amour dans notre chambre Mère …" Déclara-t-elle, faisant son choix par cette occasion. Elle avait écarté la salle de plaisir car, bien qu'elle adorerait se servir de tout les outils présents dans celle-ci, elle voulait à ce moment de la tendresse. Cela ne voulait pas cependant pas dire que l'idée d'être attachée, avec des pinces électrocutant ou autre la rebutait. Mais elle venait de subir cela durant toute la réunion. Elle avait besoin de réconfort en quelques sortes. Il était sur et certain qu'elle et Miranda allait la prochaine fois utiliser la salle à plaisir … Mais pour cette fois-ci, Hannah voulait simplement faire l'amour avec sa mère, dans leur grand et confortable lit.
Souriante, elle déposa un deuxième baiser sur son genoux puis leva la tête, pour voir ce que décidait finalement sa maîtresse.
-
Miranda aimait bien poser à Hannah des questions, et, surtout, l’inciter à faire des choix… Car il n’était souvent jamais aisé de choisir. Être une esclave, c’était obéir, et, dans l’obéissance, il y avait du réconfort. C’était la preuve que, fondamentalement, tous les êtres humains n’étaient pas conçus pour être libres. Miranda était convaincue qu’il y avait, dans l’espèce humaine, une propension très forte à la servitude et à l’obéissance. Autrement, l’esclavage ne serait pas implantée depuis si longtemps, et sous bien des formes variables. Cette obéissance servile se déclinait sous bien des aspects : le fanatisme religieux, les groupies, etc… On en trouvait partout, et tous ces gens étaient la preuve que la théorie de Miranda était la bonne : la propension naturelle des êtres vivants à la soumission. Il y avait de quoi faire des études entières, et, de fait, le programme GeoSlave avait effectivement réalisé des études scientifiques et sociologiques sur la soumission, afin d’en comprendre le fonctionnement, ou d’en rechercher les origines génétiques. Tout cela pour arriver à ce constat simple et aisément compréhensible : l’Humain aimait obéir. Il aimait qu’on lui donne des ordres, qu’on lui dicte sa conduite, car, de cette manière, il pouvait s’exonérer du prix harassant et lourd de la liberté, de la difficulté qu’il y a à choisir, et du risque de faire le mauvais choix. En acceptant de transmettre le risque du choix à une autre personne, on pouvait aussi s’en prendre à elle si cette personne se conduisait mal. Cette logique était l’existence-même des États et des politiciens, des gens à qui on confiait la responsabilité de diriger.
Tout cela pour dire qu’Hannah préférait obéir que choisir, ce qui, parfois, amenait Miranda, comme en ce moment, à la sortir de sa position de tranquillité en lui faisant cette proposition. Clairement, Hannah hésitait, ce que Miranda, bien entendu, savait. Elle l’avait anticipé, et s’y était attendue. Elle s’amusa donc de l’hésitation de sa majordome, ainsi que de la nécessité qu’elle avait de rapidement lui répondre… Et elle finit par opter pour la douceur, en déposant de tendres baisers sur le genou de Miranda, ce qui fit soupirer cette dernière. Elle se mordilla les lèvres, et hocha lentement la tête.
« Très bien, ma chérie… Alors, allons-y… »
Néanmoins, avant qu’Hannah ne se relève, Miranda alla l’embrasser sur les lèvres, en se penchant vers elle. Un bref baiser, qui se termina par un mordillement de ses lèvres et puis Miranda se redressa, en emmenant la belle Hannah avec elle, la tenant par les mains, caressant ces dernières.
Par la suite, Miranda se mit à marcher, et sortit du bureau, en roulant des hanches, invitant silencieusement Hannah à la suivre. Le duo traversa un long couloir, et grimpa une mezzanine dans un salon de repos en forme de demi-cercle, qui formait l’angle. Elle grimpa cet escalier argenté en colimaçon, et ouvrit une porte à double battant, qui menait dans une grande chambre. Elle se composait d’une grande baie vitrée à droite, et d’un grand lit central, avec des couvertures en soie rouge. Sur la gauche, il y avait un mur avec différents tableaux, et, en face du lit, une cheminée. C’était une grande pièce, avec une porte en coin menant à une confortable salle de bains. Une autre porte menait à un grand dressing, et elle se déshabilla rapidement, finissant toute nue, puis se retourna vers Hannah.
« Je te laisse diriger les choses, Hannah… Pour l’heure. Fais-moi l’amour, ma chérie… L’amour comme nous aimons tant le faire, toi et moi. »
-
Miranda avait donc accepté le choix de sa majordome. Avant qu'elle ne se relève elle avait tout de même déposé un dernier et rapide baiser sur ses lèvres. Ce genre d'attentions n'étaient jamais de refus pour Hannah qui pourraient en demander en continue, sans jamais se lasser. Ainsi, alors qu'elle tenait la main de sa mère, elle se laissa guider par celle-ci, admirant toute la splendeur et l'harmonie de son corps. Sa façon de rouler des hanches, sa démarche, son regard, tout faisait frémir Hannah de toute part. Plus que jamais elle envie de sa maîtresse, et tout ceci n'était qu'une promesse d'une intense et exquise séance de sexe. Mère et fille traversèrent donc plusieurs pièces dont le salon de repos. À la vue de cette pièce, Hannah se remémora quelque chose. Un souvenir d'elle et Miranda, en train de se faire furieusement l'amour. Pour dire, les deux femmes l'avaient fait presque partout. Chaque pièce et recoins contenait un souvenir, et le salon avait donc aussi le sien. Hannah se souvint de cette fois-ci car sa maîtresse s'était adonnée profondément. Cela s'était traduit par le fait que la majordome était littéralement à cheval sur le confortable canapé, en train de se faire abruptement sodomiser … Oui, le souvenir était très fort. Et qui savait, peut-être que cela allait un jour se reproduire … Elle ne demandait que cela.
Muette, elle continuait donc de suivre sa mère qui l’emmena dans une grande chambre, sur une mezzanine, au bout d'une porte à double battant. La chambre était spacieuse et très épurée. Un grand lit aux literies de soie rouge et une baie vitrée grande ouverte donnant un bain d'éclairage à la pièce. Plusieurs portes menaient à différentes pièces, comme la salle de bain ou bien encore le dressing. D'ailleurs, Miranda finit par laisser sa majordome pour aller se préparer dans le dit dressing. Hannah bouillonnait à l'idée de faire l'amour avec sa maîtresse, et n'en fut que plus désireuse quand celle-ci finit par se révéler à elle dans sa plus sommaire, et agréable, des tenues : Nue. Se retournant vers elle, elle lui déclara qu'elle la laissait, pour le moment, diriger les choses. Décidément elle souhaitait réellement voir si Hannah était capable de faire des choses de son propre chef. C'était ce à quoi pensait Hannah du moins. Hochant de la tête, elle acquiesça en silence, esquissant un sourire. "Avec plaisir, Mère …" Lui dit-elle de sa douce voix, tout en se rapprochant d'elle.
La majordome faufila ses mains sur les hanches de Miranda, caressant ceux-ci, comme un avant-goût. Le simple contact avec la peau de sa maîtresse l’électrisa de part en part, la faisant frémir d'avantage. Elle la caressa alors qu'elle continua en venant blottir sa poitrine contre la sienne en même temps. Pour le moment, ce n'était que de petites caresses et attention presque mignonnes dont Hannah faisait preuve. Elle se mit sur la pointe de ses pieds et vint alors déposer un petit mais tendre baiser sur les lèvres de sa mère. Elle réitéra l'opération plusieurs fois, sentant son envie grandir exponentiellement. "Hmm …" Gémit-elle doucement, alors qu'elle vint sceller pour de bon ses lèvres aux siennes en délicat baiser. Ses jambes coulissèrent contre les siennes, offrant une énième caresse des plus sensationnelles. Le fait que leur peau respective était exempt de toute imperfection, et de toute forme de pilosité, rendait le touché encore plus sensuel. Elles étaient toutes les deux parfaites, en tout point. Et, quoi de mieux il y avait quand deux créatures aussi parfaites se faisaient passionnément l'amour …
Les petites mains d'Hannah finirent par doucement se glisser vers son fessier, qu'elle palpa généreusement, tout en continuant de l'embrasser fougueusement. Blottit l'une contre l'autre, ce ne fut qu'au bout de quelques minutes qu'Hannah décida de rompre, en douceur, l'étreinte. Regardant avec un regard ardent sa mère, elle lui saisit les mains et l'incita à venir à elle tendit qu'elle recula. Elle l'enmena jusqu'au bord du lit circulaire, et la fit s'asseoir. Elle finit par prendre place sur ses genoux, calant son généreux fessier sur ses jambes, puis plaqua ses mains sur ses joues. Hannah passa un certain temps à les caresser et à admirer le regard de Miranda, avant de finalement plonger son visage pour venir l'embrasser à nouveau. Sa poitrine alla à son tour s’enchevêtrer dans la sienne. Hannah sentait ses pointes rosées se lover contre celles de sa maîtresse, lui faisant alors rougir d'avantage les joues. Elle gémissait en même temps qu'elle donnait un savoureux baiser à sa mère … En espérant que celle-ci appréciait le moment.
-
Hannah et Miranda avaient l’amour un tel nombre de fois que le calculer aurait été vain. Elles avaient fait l’amour dans toutes les positions possibles, et dans tous les endroits possibles de ce vaste appartement... Hannah avait en effet dû rapidement comprendre que sa Maîtresse avait un appétit sexuel qui était tout simplement dévorant, une soif insatiable qui s’exprimait continuellement. Deux beautés ensemble, il ne fallait pas s’attendre à les voir jouer aux dominos. Elles s’envoyaient fréquemment en l’air, et ce d’autant plus que Miranda était totalement sans-gêne. Elle pouvait tout à fait se taper Hannah pendant qu’elle avait des invitées, et c’était souvent un très bon moyen de les inviter aussi. Tout le monde était ravi de coucher avec Miranda Forge, qui était belle, richissime, et extraordinairement perverse. Sa perversion faisait d’elle une Succube humaine, ne se refusant aucun fantasme ni aucune extravagance. Les deux femmes vinrent ainsi goulûment s’embrasser, Miranda enroulant ses bras autour du cou d’Hannah. Elles s’embrassèrent ensemble, joyeusement et longuement, leurs corps se frottant l’un contre l’autre. Leurs seins se heurtaient, et, comme à chaque fois, Miranda savourait le contact de cette femme, sa belle peau, sa bouche se plaquant contre la sienne. Elle se frottait contre elle, ses doigts glissant sur ses cheveux, les empoignant.
« Hmmmmm... !! »
Sa langue s’enfonça dans la bouche d’Hannah. Sa majordome avait un corps solide, elle était mieux bâtie que Miranda, plus lourde... Mais pas dans le sens où elle serait laide, oh non ! Ses belles formes la rendaient plus énergique, ce qui, selon Miranda, expliquait volontiers pourquoi Hannah aimait tant sortir son chibre pour pénétrer ses amantes. Elle était belle, elle était forte, elle était bel et bien digne de partager le quotidien d’une Forge, et d’être son esclave. Miranda continuait donc à l’embrasser, jusqu’à ce que Hannah les déplace.
Sa majordome alla poser Miranda sur le lit, et s’assit sur ses cuisses. Après ce sulfureux baiser, qui laissa Miranda aux affûts, elle sentit les deux mains d’Hannah glisser sur ses joues, les caressant tendrement et chaudement, la faisant soupirer. Hannah avait appris à faire des massages parfaits, et à stimuler les zones érogènes de ceux et celles (mais surtout celles) qu’elle massait. Hannah avait été conçue pour être la servante la plus parfaite qui soit, ce qui sous-entendait une forte polyvalence. Après ces caresses, les deux femmes s’embrassèrent encore, et leurs seins se frottèrent. Miranda soupira à nouveau, leurs lèvres se frottant tendrement ensemble. Miranda sentait bien qu’elle allait devoir agir, mais elle comptait bien titiller encore un peu Hannah... Ce qu’elle fit en griffant son dos, le caressant en effet avec ses ongles, juste pour la faire frissonner.
Roulant des hanches, elle retourna ensuite Hannah, l’envoyant se coucher sur le lit. Miranda se retrouva donc au-dessus d’elle, et s’avança comme une féline, en posant sa main sur son ventre, un ventre chaud et doux. Elle s’avança un peu, et s’étala sur elle, pour retourner l’embrasser, ses mains retournant se faufiler derrière le crâne d’Hannah, s’appuyant sur ses cheveux.
« Viens par là, ma belle... » souffla-t-elle entre plusieurs longs baisers.
Elles s’embrassèrent délicatement, tendrement, et profondément, Miranda enfonçant sa langue dans sa bouche, jouant avec la sienne. Ses mains se crispaient contre ses cheveux, et elle frotta son corps le long du sien, de haut en bas, leurs seins remuant entre eux. Sa langue jouait avec la sienne, et elle la déplaçait ensuite, pour aller lécher son oreille, la mordillant un peu.
« Tu as aimé coucher avec Padmé, hein ? Peut-être que je devrais t’emmener avec moi quand elle m’invite à ses soirées... Je suis sûre que ça te plairait, hein ? Petite catin... »
Miranda jouait avec elle, et sa main se décala de ses cheveux pour pincer l’un de ses seins, à hauteur du téton.
-
Faire l'amour avec sa maîtresse était l'ultime récompense. Du moins parmi tout ce que Hannah avait connu en la matière. Peu importait la façon dont cela se faisait, tant que cela faisait qu'elle pouvait s'acoquiner avec, cela lui allait. En même temps, fondamentalement elle était une esclave sexuelle, c'était pour cette raison que le sexe était quelque chose de très important en elle. Même si son conditionnement a fait qu'elle était humaine, et qu'elle agissait en tant que tel, la plus grande finalité était tout de même de satisfaire sexuellement Miranda. Et l'on pouvait dire que celle-ci était exigences. Mme. Forge adorait faire l'amour sous toute ses coutures, dans tout les lieux possibles et inimaginables. Elle et Hannah avaient fait tant de fois l'acte, que cela ne se comptait même plus. Hannah s'était souvenue de la fois dans le petit salon un peu plus tôt, mais ce n'était qu'une goutte dans un vaste océan de débauche et de vice. Miranda et Hannah étaient des monstres de sexe qui s'adonnaient à toute, du moins la majorité, des pratiques existantes. Plus elles faisaient l'amour, plus cela était mieux. Il était donc tout à fait normal de constater que même si la majordome venait de le faire avec Padmé, elle avait encore une furieuse envie de le faire, avec Miranda cette fois-ci.
Elle sentait les doigts de Miranda empoigner ses cheveux à mesure que le baiser s'éternisait. Un échange mouillé et terriblement savoureux. Hannah entortillait furieusement sa langue avec celle de sa maîtresse, cherchant toujours à l'embrasser plus vigoureusement. Mais bientôt, alors que leur sein se frottait l'un contre l'autre, faisant soupirer les deux femmes, Miranda se mit à caresser le dos de son esclave et lui griffa sa peau de par ses ongles. "Haaaa …" Gémit doucement Hannah, serrant légèrement des dents. Un frisson lui parcourait l'échine à mesure que sa mère la griffait. Un frisson électrisant, qui la faisait frémir d'avantage. Mais alors que leur échange se poursuivait, Miranda prit les devants et, d'un roulement de hanches, retourna Hannah sur le dos. Celle-ci se mit en place et observa sa maîtresse s'avancer vers elle, comme un félin approchant sa proie, avant de poser une main sur son ventre. Cette main glissa au fur et à mesure, faisant couiner la majordome qui adorait ce genre de caresses. Elle bascula sa tête en arrière, se mordillant les lèvres, jusqu'à ce que Miranda ne finisse par arriver au niveau de ses lèvres.
En s'appuyant sur ses cheveux, sa mère souleva sa tête et vint mêler à nouveau ses lèvres aux siennes. Sa luxuriante chevelure tombait fièrement en arrière, et elle se laissa porter par les délices que lui procurait Miranda au travers ce baiser. Elle sentait le corps de sa maîtresse se frotter au sien, provoquant le fait que leur tétons se percutaient l'un à l'autre. Mais cela ne dura pas aussi longtemps que la précédente fois. Mme. Forge finit par retirer sa langue, et vint alors lécher l'oreille d'Hannah qui soupira de plaisir. Elle lui susurra quelque chose, qui faisait allusion à Padmé. Miranda semblait aimer l'idée de la voir à nouveau coucher avec cette magnifique femme, et Hannah ne s'en cacha point. "Oh oui mère … Oui …" Lui répondit Hannah du bout des lèvres, qui était encore mièvre de par toutes les caresses et le baiser dont elle était victime. Finalement, son téton se fit prendre d'assaut et ce fut à ce moment qu'elle se mordit furieusement les lèvres. "Haaa oui …" Soupirait-elle. Cela se voyait clairement que Miranda prenait plaisir à jouer avec elle, et que Hannah en prenait tout autant à servir de jouet. On ne pouvait pas le nier ; Hannah adorait être l'esclave de Miranda. Au-delà du conditionnement, on pouvait constater que la jeune femme, en son plus intime intérieur, adorait sa vie et ce qu'elle était.
Comment pouvait-on refuser de servir la personne la plus importante et la plus somptueuse de tout Tekhos ? C'était impossible. Et cette vérité était incorporée à l'âme même d'Hannah. Elle soupirait en sentant son téton se faire pincer et remuer, laissant sa mère jouer avec. Ses doigts se crispèrent au matelas, mais elle eut bientôt le reflex de les déplacer dans le dos de Miranda, pour venir l'empoigner vigoureusement. Elle embrassa sa douce épaule, puis son cou au fur et à mesure que sa maîtresse titillait son téton. Elle gémissait de plaisir, mais ne perdit pas en tête d'en faire autant avec sa partenaire. Hannah leva doucement sa délicate jambe et, avec sa cuisse, vint se frotter contre l'intimité de Miranda, venant alors la caresser. "Hmmmm …" Gémissait-elle intensément, alors qu'elle finit par déplacer une main sur ses fesses pour venir les palper tendrement. Cependant, sa bouche s'arrêta définitivement sur la douceur et le vanillé de son cou puisqu'elle passe du temps à l'embrasser et le lécher. Sa langue parcourait sa peau de haut en bas, et ponctua ceci par de multiples baisers mouillés. Nul besoin de dire que la température augmentait, ainsi que les caresses …
-
Le corps d’Hannah avait ceci de merveilleux qu’il était come celui d’une magnifique poupée de chair humaine. Beau, chaud, tendre, d’une douceur incroyable, sa peau était magnifique, et Miranda ne s’en lassait toujours pas, malgré les années, et les centaines de fois à lui faire l’amour sans relâche... Si ce n’est les milliers. Miranda avait perdu le compte, et elle continuait à palper son sein, tout en sentant Hannah lécher son cou. Sensuelle et tendre, Hannah était toujours aussi douée, et Miranda, en sentant ce petit morceau lingual remonter le long de son cou, était parcourue de multiples frissons de plaisir.
« Hum... »
Elle aussi, elle ne pouvait que soupirer de plaisir devant les délicats attouchements de son amante. Hannah avait été marquée par le passage avec Padmé, et Miranda en souriait lentement, en sentant sa bouche flatter sa peau, léchant son cou et sa joue, léchant tout ce qu’Hannah pouvait lécher, compte tenu de sa position. Sa confortable majordome était posée sous elle, et Miranda, tout en se faisant lécher, jouait avec son sein. Elle le malaxait, pinçait le téton, le coinçant entre deux de ses doigts, tirant dessus. Hannah était divinement belle, magnifiquement proportionnée, et jouer ainsi avec son sein était un régal dont elle ne se lassait pas. Miranda Forge jouait donc avec, tout en frottant son corps contre le sien, ce qui procurait de multiples frissons. De la chair qui se frottait, qui claquait ensemble. C’était différent de quand Hannah avait fait l’amour avec Padmé, tout en étant aussi très similaire. Miranda ne comptait pas l’empêcher de jouir, mais en profitait aussi pour se détendre.
Mine de rien, cette réunion avait été placée sous l’augure d’une forte nervosité. Elle était partie négocier quelque chose de difficile, la réhabilitation d’un vieux projet pharaonique qui avait été invalidé par le Conseil d’administration de GeoWeapon Corp. Il y avait très peu de chance que les choses fonctionnent, et Miranda avait longuement préparé cette réunion, étudiant les personnalités de chacun des membres du Conseil d’administration, afin de trouver les failles à exploiter, les arguments à faire valoir. De base, une entreprise existait pour faire du profit, mais, dans le cas très particulier d’une mégacorporation, le profit n’était pas l’unique motivation. GeoWeapon Corp. était bénéficiaire chaque année, et avec des bénéfices énormes, comme chaque mégacorporation, ces sociétés monolithiques, ces superstructures qui gangrénaient et contrôlaient l’économie tekhane par le haut. La tentaculaire GeoWeapon Corp. avait des ramifications dans toutes les strates économiques, ou presque, de l’État tekhan, et l’or tombait à foison. Miranda Forge était ainsi convaincue que l’entreprise existait pour poursuivre un but plus noble et nettement plus large que la simple question de faire des bénéfices. Et GeoHuman était l’incarnation de ce projet ambitieux.
Miranda laissa Hannah la lécher pendant quelques temps, puis retourna l’embrasser à nouveau sur les lèvres, et déplaça ensuite ses lèvres, venant suçoter ses seins et ses tétons.
« Hum... »
Hannah et sa poitrine avaient toujours servi d’oreillers pour Miranda. Quand on avait sa fortune, et son égo, on appréciait plus le fait de dormir sur de belles femmes, plutôt que sur un simple oreiller. La bouche de Miranda suça son téton, remua dessus, et ses dents raclèrent le téton, tirant dessus, avant que sa langue ne file dessus, remuant longuement dessus. Elle prenait plaisir, et jouait ainsi avec ses tétons, déplaçant sa bouche pour s’attaquer à l’autre, venant lécher son sein, avant de s’attaquer à son téton. Elle se tortillait sur elle, continuant à lui faire doucement l’amour. C’était tendre et mielleux entre elles, au moins au début. Ensuite... Peut-être que la scène gagnerait en violence et en intensité. Miranda continuait à jouer avec les seins de sa majordome, jusqu’à les sentir bien durs, pointant vers elle.
En souriant, elle se redressa alors, et déposa un énième baiser sur les lèvres d’Hannah, ses mains retournant se poser sur ses seins, les massant tendrement.
« Alors... Quelle autre partie de mon corps souhaites-tu lécher, ma belle petite Hannah ? »
C’était plus qu’une simple question ; c’était une invitation.
-
Si Hannah avait choisie, pour une fois, la tendresse au détriment de la douleur, c'était bien pour passer un moment de pur délicatesse et de volupté avec la seule personne qui comptait dans sa vie. La majordome léchait langoureusement sa maîtresse, l'embrassant dans le cou avec une fougue très visible et palpable. Ces léchouilles et baisers étaient ponctués par de savoureuses caresses qu'elle procurait à Miranda avec ses mains. Parcourant la douceur et la ligne suave de son échine du bout de ses doigts, elle ne se privait pas non plus pour peloter ses fesses de par son autre main. Sa mère avait un corps de rêve, une enveloppe charnelle exquise qui incitait à venir la goûter, et avec appétit ! Ce que Hannah faisait à ce moment d'ailleurs. Elle gémissait doucement, profitant de cette douceur régnant entre mère et fille. La jeune femme se permettait de venir embrasser sa petite joue rosée de temps à autre, l'embrassant même parfois à l'extrême limite de ses lèvres.
Elle sentit sa maîtresse se frotter contre elle. Deux corps coulissant l'un sur l'autre, faisant remuer leur sein entre eux. Si Miranda avait une belle emprise sur l'un de ses tétons, cela n'empêcha pas le fait que son autre se lova contre les siens. "Haaa …" Gémissait Hannah en sentant les doigts inquisiteurs de sa mère venir pincer sa pointe rosée. Elle était très douée pour ce genre de choses, et cela se sentait. Miranda était une femme exceptionnelle sur tout les points possibles et inimaginables. Pour le nombre de fois incalculable qu'elles avaient fait l'amour ensemble, elle arrivait encore et toujours à faire prendre son pieds à Hannah. C'était une virtuose en matière de sexe, rien ne pouvait l'égaler. C'était l'une des raisons pour laquelle Hannah était parfaitement consciente de la chance qu'elle avait de servir cette femme. Être esclave ce Mme Forge était un immense privilège à ce stade. Et que dire quand vous percevez celle-ci presque comme mère ? C'était indescriptible.
Pourtant, Hannah arrivait à retranscrire tout cela dans la plus sommaire mais sensationnelle des manières ; le sexe. Plus qu'une pratique rependue, c'était une réelle institution à Tekhos, et plus particulièrement chez Miranda. Entre elle et Hannah, le sexe était l'une des manière les plus expressifs et vivifiantes de communiquer. Cela allait du simple baiser doux et sensuel, à l'étreinte acharnée et bestiale qui se terminait généralement en une sodomie douloureusement abrupte, mais incommensurablement jouissive pour les deux parties. Combien de fois Hannah s'était-elle fait prendre par derrière ? Et combien de fois Miranda lui avait permit d'en faire autant sur elle ? Sans être certaine de cela, Hannah pouvait être sur qu'elle l'une des femmes avec laquelle sa mère avait fait le plus de fois l'amour. Une position qui malgré sa simple condition de majordome, la plaçait dans un certain niveau, bien qu'elle ne s'en rendait pas compte. Tout ce qu'elle voyait, c'était sa mère et son unique plaisir à elle.
Quand Miranda s'écarta pour mieux venir l'embrasser, Hannah soupira de désir et se laissa envahir par la langue de sa mère. Mais le baiser fut de courte durée, puisque sa maîtresse finit par s'intéresser sérieusement à ses seins. Elle déposa de tendres baisers sur ceux-ci, et venait suçoter ses tétons à tour de rôle, savourant pleinement la douceur de sa peau. Hannah hoqueta quand elle sentit ses pointes rosées se faire suçoter et malmener dans tout les sens. Le désir s'emparait d'elle de plus en plus à chaque seconde qui passait, et bientôt elle alla nicher sa main dans la doucereuse chevelure de Miranda. Elle la caressa alors que celle-ci s'affairait à lui sucer les seins, ce qui la faisait d'ailleurs gémir hautement. Cependant, ce moment d'excellence finit par se terminer quand Miranda s'écarta à nouveau et vint déposer un énième baiser sur ses lèvres. Et là, une nouvelle épreuve se présenta à Hannah. Miranda lui demanda qu'elle autre partie de son corps souhaitait-elle lécher … Et comme à chaque fois, c'était dur.
Les yeux ronds d'Hannah, et ses joues aussi rouges que des tomates, trahissaient de son hésitation mais de sa grande envie de sexe. Ses tétons criaient qu'on reviennent s'occuper d'eux. Hannah aurait pu jouir rien qu'en se faisant sucer les seins, pour dire. Mais là, l'invitation était trop grande. La majordome la regarda de son regard doux, puis se redressa à son tour. Elle hésitant tant ; ses seins, ses pieds, ou son sexe ? Nul doute que les trois allaient y passer tot ou tard, mais pour le moment, il fallait se décider sur l'un d'entre eux. Affichant un sourire, Hannah posa ses mains sur les épaules de sa mère et la poussa doucement pour l'inciter à s'allonger. Quand ce fut le cas, elle se glissa tel un félin entre ses cuisses, venant nicher sa petite tête, et vint déposer un ardent baiser sur son ventre. Elle descendit tout en cascade, venant embrasser son nombril, puis son pubis. "Hmmm …" Couinait-elle alors qu'elle donna un premier et long baiser sur l'intimité de sa mère. Ses généreuses lèvres prirent en étau son bouton intime, qu'elle lécha et suçota intensément, créant parfois un effet de succion.
Après quelques baisers, sa langue finit par sortir et elle se mit à lécher la féminité de Miranda, timidement d'abord, puis en augmentant la vigueur au fur et à mesure des gémissements de l’intéressée …
-
Hannah baignait dans le sexe depuis sa puberté. Le programme éducatif qui l’avait formé avait été extrêmement complet et riche, dans l’optique de faire d’elle la parfaite majordome. On ne pouvait pas s’attendre à autrement de la part de la majordome de Miranda Forge. Hannah devait savoir s’habiller, elle devait savoir parler, elle devait avoir une forte culture générale, scientifique, littéraire, car, par son rôle, elle était forcément amenée à représenter Miranda, que ce soit simplement pour accueillir des invités, ou pour des tâches plus complètes. Miranda avait veillé à ce que l’éducation d’Hannah soit riche, et ceci avait impliqué tout un volet sexuel. Pour Miranda, le sexe était autant un plaisir qu’une arme, a fortiori dans une société hyper-sexualisée comme Tekhos. Lorsque Miranda faisait des affaires, deux fois sur trois, le sexe était un élément de transaction, que les cocontractants s’en rendent compte ou pas. Elle avait toute une stratégie, et cette stratégie impliquait parfois juste de faire venir Hannah avec du café, qu’elle déposait devant chaque partenaire, en leur offrant une vue des plus alléchantes sur son décolleté, en inhalant son parfum, puis, quand Miranda les voyait tourner la tête pour suivre le déhanché d’Hannah, et voir son postérieur, elle arquait alors un petit sourire. Le désir sexuel rendait les cocontractants plus malléables, et plus enclins à vous suivre, et à vous faire confiance. Le sexe était donc une composante fondamentale de GeoWeapon Corp., et des stratégies financières de l’entreprise.
Miranda couchait donc avec Hannah pour quantité de raisons. Outre le plaisir pur qui s’en dégageait, c’était aussi une sorte d’évaluation professionnelle… Et, dans tous les cas, Hannah s’en sortait plus que bien. Miranda lui avait laissé le choix de la prochaine partie de son corps à « lécher », et la majordome prit sa décision. Miranda se laissa faire, et se retrouva couchée sur le dos, écartant et remuant lentement les jambes. Hannah se déplaça sur elle, et posa ses lèvres sur son ventre, descendant ensuite le long de sa peau, la parcourant de baisers et de léchouilles… Jusqu’à rejoindre son intimité.
« Hannah, hooo… »
Sa main retourna caresser les cheveux de sa belle, se crispant dessus, et elle sentit la langue de la majordome s’enfoncer entre ses cuisses, remuant dans son intimité. De longs soupirs s’échappèrent de la bouche de Miranda, qui se tortilla sur le lit, remuant son corps, en sentant la langue de la jeune femme se glisser en elle. Elle avait commencé par quelques baisers, avant de s’y enfoncer. Le sexe de Miranda était propre, épilé au laser. Il n’y avait donc aucun poil pubien, rien d’autre qu’une peau douce et tendre, conformément aux critères de perfection esthétique tekhans. Hannah put s’enfoncer en elle, après avoir embrassé cette belle peau douce, douce comme celle d’une peau de bébé.
« Lèche, ma chérie… Oui, vas-y, lèche-moi, hummm… »
Qu’elle la lèche, c’était tout ce que Miranda voulait ! Et, au fur et à mesure qu’Hannah s’exécutait, Miranda pouvait sentir la mouille de cette dernière. Elle affluait, au fur et à mesure que la PDG était excitée. À ce rythme, Miranda allait finir par jouir rapidement… Et c’était précisément ce qu’elle voulait. Tout ce que la femme souhaitait, en ce moment, c’était en effet offrir un orgasme à sa Hannah-chérie… Un bel orgasme qui sonnerait pour elle comme la plus douce et la plus merveilleuse des récompenses.
-
La plus belle des récompenses pour Hannah était sans doute de voir sa maîtresse jouir sous ses assauts linguales. Et la majordome comptait bien y parvenir, redoublant d'effort dans son labeur. Yeux fermés, elle léchait vigoureusement sa mère ne lui laissant aucun répit. Sa langue partait à l'assaut de la moindre parcelle de son sexe, en se concentrant sur son bouton intime. Elle pressait contre celui-ci, le suçotant et le prenant entre ses lèvres. Elle le malmenait dans tout les sens possibles, pour revenir s'attaquer à ses lèvres intimes après. Hannah alternait entre ces deux-là, voulant offrir à Miranda le plus intense des orgasmes. Elle savait parfaitement comment la stimuler au mieux pour lui procurer le plus de sensation. La preuve en était qu'elle avait joyeusement triturée son clitoris, point très sensible en général. Elle se régalait du volupté de sa féminité, la léchant joyeusement, sentant sa mouille affluer dans sa bouche. Mouille dont elle se repaîtra allègrement, ronronnant de plaisir au passage.
Hannah gardait sa petite tête entre les cuisses de sa mère et continuait donc à la lécher intensément, savourant tout le délice de l'instant. Elle la voyait commencer à se tordre sous ses attentions, et ne pouvait que constater cela en sentant sa mouille venir toujours plus abondamment. "Hmm mère … Hmmmm …" Gémissait-elle doucement, entre deux succions. Sa langue finit par s'introduire clairement dans son intimité, remuant furieusement en elle. La douceur était de mise, et cette petite pénétration buccale devait avoir son effet. Hannah y mit de sa propre salive pour rendre le tout plus sensationnel. Elle goûtait à un savoureux nectar composé de la mouille de Miranda et de sa salive. Nectar qu'elle avalait avec appétit et envie. Cependant, Hannah ne jouait pas qu'avec sa bouche. Le placement de ses mains avait une part d'importance. Elle avait passé ses bras en-dessous des cuisses de sa maîtresse pour venir poser ses mains sur celles-ci, afin d'avoir un appui plus fort. Du bout de ses doigts elle caressait sa peau, qui était aussi douce et lisse que celle d'un bébé. Et ce, même au niveau de son sexe.
Car la majordome avait pu goûter au plaisir d'un sexe parfaitement bien épilé, dénué de toute forme de pilosité. Une peau extrêmement douce et délicieuse, dont Hannah s'était régalée. Elle poursuivait son traitement, venant tourner sa langue à l'intérieur même de la féminité de Miranda. Cependant, elle décida de ne pas la laisser tranquille et vint ramener une de ses mains auprès de son bouton intime. De par son pouce, alors qu'elle continuait de la lécher intensément, elle pressa sur son clitoris et joua allègrement avec. Tantôt elle pressait, tantôt elle le pinçait entre ses doigts. Elle sentait sa mère qui était en bonne voie de jouir, en vue de ses grands gémissements. Et ce fut un motif suffisamment convainquant pour Hannah pour qu'elle redouble encore plus d'efforts. Ses doigts s'acharnèrent sur son bouton, tandis que de sa langue elle léchait et remuait encore plus intensément en elle. L'orgasme était sur le point de survenir, et Hannah était prête à réceptionner toute la sève intime que Miranda allait éjecter …
"Hmmmm …" Continuait-elle de gémir alors que sa mère était au bord de l'orgasme.
-
Pas de verge cette fois, offrant ainsi aux deux femmes un plaisir exclusivement féminin. C’était le genre de choses que toute Tekhane appréciait par principe. Miranda ne faisait pas exception, a fortiori avec une femme aussi talentueuse. Elle avait tendance à considérer que le sexe masculin était un plaisir de facilité. Un bâton, un trou, une recette éternelle pour un sexe faible, un sexe qui raisonnait uniquement sur la brutalité, la fureur, qui reniait la subtilité et la beauté. Le plaisir féminin, lui, était plus subtil, plus délicat, nécessitait davantage de temps, de patience. Il était plus langoureux, plus agréable, comme un excellent vin dont on se régalerait lentement, minutieusement, gorgée par gorgée. Miranda était allongée sur le lit, ses mains continuaient à remuer le long des cheveux de la femme, et la langue d’Hannah roulait en elle. Tout était dans l’art du détail avec Hannah. LaBelle avait toujours mérité ce nom de famille, car elle était belle et bonne dans tous les domaines. Hannah enfonçait sa langue en la roulant, afin d’atteindre son clitoris, et ses mains massaient ses cuisses, caressant l’aine, une zone extrêmement sensible du corps féminin. Qui mieux qu’Hannah connaissait le corps de Miranda ? Elle avait tellement léché et embrassé ce dernier qu’aucune parcelle ne lui était méconnue. Elle était donc, parmi toutes les femmes tekhanes, la mieux placée pour la soulager, pour lui faire plaisir... Et Hannah s’appliquait donc. Pour la majordome, coucher avec Miranda était une récompense à part entière, même si c’était elle qui agissait.
« Haaaaa... Mmmhmmmm... !! »
Miranda se tortillait sur le lit, en sentant les doigts d’Hannah s’approcher de son sexe. Oui, oui... Ah, que c’était bon ! C’était vraiment tout ce que Miranda aimait... Sa main se crispa davantage sur ses cheveux, elle continua à remuer sur le lit, à gémir et à soupirer, en sentant un doigt s’enfoncer en elle, rejoignant la langue d’Hannah, pour un magnifique cunnilingus. Magnifique, oui ! C’était tout ce qu’elle avait à dire, et le plaisir continua à exploser en elle.
La Tekhane gémissait longuement, et elle se laissa porter, jusqu’à offrir à Hannah un orgasme tant désiré. Sa mouille explosa contre le visage de la majordome, et ses mains se crispèrent sur ses cheveux. Elle s’abandonna tout contre elle, en hurlant et en gémissant longuement.
« HA-HAAANNNNAAAAAAAHHH... HAAAAAAAAAAAAANNN... !! »
Miranda s’abandonna en elle, jouissant joyeusement, puis s’affala ensuite sur le lit, sa mouille tout contre le visage de sa belle majordome.
« Hmmm... Oui... Aaaah, comme c’est bon... »
La femme d’affaires reprenait des forces, et se déplaça un peu, allant embrasser les lèvres trempées d’Hannah. Elle glissa sa langue dans la bouche, en profitant pour se frotter contre elle, langoureusement et sensuellement.
« Tu es vraiment douée, Hannah. »
Un compliment, ça ne faisait jamais de mal.
-
L'instant tant désiré arriva finalement. La récompense ultime, le consécration. Hannah, en redoublant d'effort avec sa langue, léchait intensément sa maîtresse jusqu'à ce que celle-ci ne finisse par jouir. Elle sentit ses mains se crisper dans sa belle chevelure, au moment où elle s'abandonna complètement aux sensations qu'Hannah lui procurait si bas. Elle avait gémit intensément auparavant, donnant le signe à l'intéressée qu'elle était sur la bonne voie. Et c'était ce qui lui avait permit d'insister et d'appuyer sur ce point jusqu'à la faire jouir. Et cette jouissance, c'était celle d'Hannah aussi. Comme dit, le plaisir de Miranda était aussi celui de sa majordome. Les choses fonctionnaient ainsi, et cela n'avait jamais posé de problèmes. Hannah s'était aidé de ses doigts pour parfaire ce cunnilingus, cherchant à offrir le meilleur des orgasmes à sa maîtresse. Ce fut pari réussi, puisque Miranda finit par jouir intensément, tant en terme de mouilles que de gémissements. Elle s'abandonna complètement, pressant le petit visage de son esclave contre son sexe à ce moment.
Hannah se reçut toute la mouille de sa mère en pleine face, et alors qu'elle jouissait, elle continuait à la lécher et à la doigter intensément. C'était si bon ! Bon de voir cette femme jouir et se lâcher de la sorte. Hannah continuait dans son labeur, jusqu'à ce que la pression retombe. Miranda reprenait son souffle et soupirait encore son plaisir, alors qu'Hannah ralentit le rythme, pour finir par arrêter. Voyant le sexe tout mouillé de sa maîtresse, elle donna un baiser sur son bouton intime, un énième. Mais celui-ci ne se voulait pas à but de la faire jouir, mais il était purement affectif. La majordome entreprit de lécher toute la mouille qui s'était éparpillée. Sa langue se mit donc à travailler langoureusement sur son sexe, mais aussi sur ses cuisses et son pubis épilé. Elle ne pouvait être plus heureuse ; elle venait de donner un orgasme à sa maîtresse, c'était le plus beau cadeau que l'on pouvait lui faire.
Souriante, elle finit par se relever et, tel un félin, vint au niveau du visage de Miranda et se laissa à nouveau embrasser. Leur corps se frottèrent l'un à l'autre, leur seins lourds et tendu se lovant l'un contre l'autre. La langue de Miranda fusa dans sa bouche et chercha furieusement la sienne. Un balais de salive et de tendresse, pendant lequel Hannah gémissait doucement. Les joues toutes rouges, elle ferma les yeux pendant ce baiser, afin d'en profiter au maximum. Puis, il finit par se rompre de lui-même, la laissant rêveuse, toute blottit contre elle. Elles étaient lovées l'une contre l'autre, Hannah sentant les bras et les cuisses de sa mère l'entourer, tandis que celle-ci lui adressa même un compliment. "J'ai eu une professeur exemplaire …" Lui répondit-elle, les joues aussi rouges que des tomates. Elle repartit l'embrasser, mais s'occupant uniquement de ses lèvres cette fois-ci. Un petit baiser à même celles-ci, en somme. Elle l'embrassa à plusieurs reprises, profitant de cette instant de douceur.
Mais, l'esprit créatif d'Hannah finit par avoir une nouvelle idée. Elle ne pouvait pas se retirer maintenant de cette étreinte, elle voulait encore faire l'amour. Et elle savait aussi que Miranda ne pouvait pas être satisfaite uniquement par cet orgasme. C'était l'expérience qui parlait ; À chaque fois qu'elles avaient fait l'amour, c'était long et terriblement torride. L'orgasme de Miranda était un très bon début, mais le temps que les esprits se reprennent, Hannah comptait bien continuer de s'occuper de sa mère. Ainsi, glissant le long de son corps, elle embrassa ses seins, puis son ventre, jusqu'à atteindre ses cuisses. Elle y déposa de multiples baisers, puis arriva finalement à ses pieds. "Vous devez avoir mal aux pieds après avoir passé toute une matinée dans vos talons …" Dit-elle sur un ton malicieux. Elle savait pertinemment que Miranda avait dépassé ce stade depuis longtemps. Elle était capable de rester pendant des heures et des heures en talons, et debout, sans avoir mal pour autant. Elle était si parfaite … Ça ne serait guère étonnant.
Entreprenant de lui masser les pieds, Hannah finit par approcher ses lèvres et déposa un tendre baiser sur sa plante, puis un autre, et ils s’enchaînèrent ainsi. Elle s'affairait à embrasser ses pieds dans un premier temps, couvrant dans sa plante que son dos de savoureux baisers, laissant de charmantes traces de rouges à lèvres dessus. Hannah finit par porter ses lèvres sur la pointe de ses orteils, qu'elle finit par suçoter de la manière la plus suggestive que possible, en commençant par le gros …
-
Elles venaient ensemble de faire l’amour, joyeusement et avec un plaisir fort et intense, qui se renouvelait à chaque fois. Maintenant, elles s’embrassaient, étalées sur ce grand lit, deux femmes qui n’étaient que des grains de poussière dans l’immensité de ce building fait de verre chromé et de poutres en acier. Elles s’embrassaient tendrement, Miranda disparaissant sous le corps d’Hannah, ses mains caressant son dos, sa nuque, glissant le long de son corps. Elle éprouvait avec ses ongles sa peau, filant le long de ce dos parfait. Elle était à l’image des Forge : parfaite en tout point. Coucher avec Hannah était toujours aussi bon, et Hannah savait ô combien elle était chanceuse. Les deux femmes s’embrassaient donc, avec le calme et la tranquillité de deux amantes venant de se faire l’amour. Elles se détendaient tranquillement, mais n’en avaient pas encore fini. Depuis le temps, Miranda connaissait bien Hannah, une sorte de connaissance intuitive qui lui soufflait qu’Hannah n’en avait pas encore fini avec elle. Sa majordome était gourmande, une gourmandise saine, que la PDG appréciait.
Hannah cessa de l’embrasser, et continua à descendre, ornant encore le corps de Miranda de plusieurs baisers. La manière dont Hannah la voyait, ou lui faisait l’amour, évoquait la dévote face à son idole. Il y avait quelque chose de religieux dans la manière dont Hannah lui faisait l’amour, avec une sorte de profonde et ancestrale révérence. Elle descendit ainsi, revenant à hauteur des cuisses de Miranda... Mais elle ne comptait pas réitérer ce qu’elles avaient fait, et choisit de descendre encore plus, elle et ses magnifiques lèvres. Elle s’attaqua à ses jambes, et fit ensuite une remarque sur ses pieds.
Miranda lui sourit en relevant la tête, s’appuyant sur ses avant-bras. Miranda et ses talons... Elle sourit donc, et répondit rapidement :
« Ça serre au niveau des doigts de pied, pour ne rien te cacher... »
Le fétichisme faisait partie des choses qu’Hannah acceptait, et appréciait... Et, de manière générale, elle appréciait tout l’ensemble du corps de Miranda. Cette dernière était sa Reine, sa Maîtresse, et, après leur orgasme mutuel, ça ne dérangeait pas Miranda de changer de ton, d’opter pour quelque chose de plus doux... De plus doux, mais qui serait tout autant agréable.
Joignant les gestes à la parole, Hannah entreprit donc de masser ses pieds, et Miranda soupira. Le fétichisme n’était plus qu’un plaisir partagé entre les deux, c’était aussi un fantasme tekhan très partagé. Elle embrassa ensuite ses pieds, commençant par la plante, glissant ensuite avec ses belles lèvres, jusqu’à se rapprocher de ses doigts de pied. Elle s’y attaqua ensuite, toujours avec la même grâce, avec cette élégance raffinée qui la définissait si bien.
« Hum... Oh oui, ma belle, lààà... »
Quand Hannah suçotait ses doigts, Miranda s’amusait à les déplacer, à les étirer, afin de mieux sentir la langue d’Hannah s’enrouler autour d’eux. Un massage plantaire... Mine de rien, Hannah avait l’habitude de le faire, et, chaque fois qu’elle se lavait, Miranda mettait toujours du produit sur ses pieds. Les Tekhanes vendaient spécialement des produits pour les pieds, ainsi que pour les chaussures. Ils visaient à permettre aux pieds de conserver leur fraîcheur, en jouant sur l’absorption et l’évaporation de la sueur. Miranda se devait d’être parfaite partout, et ceci incluait aussi bien son visage que ses pieds. Elle était une Forge, tout simplement. Et ce qu’elle offrait à Hannah, c’était l’occasion de baiser les pieds d’une Déesse.
Et Hannah savait la chance qu’elle avait de pouvoir le faire.
-
Le fétichisme du pieds était une goutte dans un océan chez Hannah. Elle avait été éduquée principalement pour être une esclave sexuelle. De ce fait, ce fétichisme n'était rien de plus qu'un parmi tant d'autre. Mais celui-ci avait la particularité d'être facile et agréable autant à prodiguer, qu'à être reçu. Une question intéressante pouvait donc se soulever ; est-ce que Hannah avait des fétiches propre à elle ? Une question qui relevait de tant de points, dont sa propre personnalité et sa faculté à réfléchir par elle-même. C'était bien là tout l’enjeu de son existence. Était-elle assez humaine pour ressentir des goûts spéciaux en matière de sexe ? Par le passé, il a été fait la preuve que Hannah possédait effectivement quelques signes présentant des fétiches propre à elle. Cependant, il fallait bien prendre conscience que toute sa personnalité, son esprit et sa raison était, en quelques sortes, tiré depuis Miranda. Bien qu'elle n'avait pas sa personnalité, elle avait hérité de beaucoup de traits de caractère. Dont les fétiches. En quelques sortes, elles partageaient les mêmes, à leur plus grand plaisir.
Cela se matérialisait à cet instant où Hannah avait commencer à jouer avec le pieds de sa maîtresse. Sa langue s'était aventurée sur sa plante, qu'elle avait généreusement comblée de léchouilles et de savoureux baisers. C'était sa partie préférée. Elle s'y était attardée longuement, prenant son temps pour faire correctement les choses, sans trop tarder non plus pour ennuyer sa mère. Ses délicates lèvres glissaient sur sa douce plante, donnant de généreux baisers, et goûtant à pleine langue cet endroit si doux et délicat. Tout ceci conforta Hannah dans sa vision de Miranda ; elle était parfaite. Tout simplement. Tout son être, absolument tout son être était parfait. Aucune parcelle de son corps présentait de défauts à ses yeux. Et cette règle s’appliquait aussi à sa mentalité, son esprit. Il n'était donc guère étonnant de constater qu'Hannah considérait Miranda presque comme une idole à vénérer, au sens propre.
On le voyait dans la manière qu'elle avait de lui lécher les pieds. Une chance inouïe, qu'elle avait bien conscience d'avoir. Elle ne savait pas si ce fétichisme était rependue ou apprécié à Tekhos, mais elle se doutait que bon nombre de femmes auraient tant voulu être à sa place, là, en train de lécher les pieds de l'une des plus puissantes et somptueuses femme de tout Tekhos ! C'était pour cette raison qu'elle y mettait tout son être dans cette petite fantaisie. Yeux mi-clos, sa langue parcourait allègrement sa généreuse plante, puis elle finit par remonter tout en baisers jusqu'à ses doigts de pieds. Elle prit le plus gros en bouche et, d'une manière très équivoque, elle se mit à le suçoter, en effectuant de petits mouvements d'aller-venu avec sa bouche. Miranda remua et écarta ses doigts, ce qui rendait le tout encore plus agréable. Hannah léchait et suçait donc chacun de ses doigts, considérant ceci comme de vrais sucreries. Il y avait quelque chose de particulièrement notable dans la façon dont Hannah léchait les pieds de Miranda. C'était comme si il y avait une sacralisation ; une dimension de sacré venait s'ajouter à ce fétichisme.
De par son autre main, Hannah venait caresser et masser doucement son autre pieds, refusant de le laisser de coté. Elle s'adonnait à fond dans ses léchouilles, jusqu'à ce qu'elle finisse par recouvrir tout ses orteils de sa salive, ainsi que sa plante. Donnant un dernier baiser sur le dos de son pieds, Hannah bascula sur l'autre et inversa les positions de ses mains. Celui qu'elle venait de traiter se fit donc doucement caresser et masser, tandis que le nouveau avait déjà sa plante langoureusement plaquée contre la bouche de la majordome. Et en léchant cette généreuse plante de pieds, elle eut une idée. Sa langue parcourait sa peau, elle devenait de plus en plus ivre. Elle l'embrassa à de nombreuses reprises, s'attardant longuement sur cette zone. Puis, doucement, elle glissa son corps, progressivement, pour s'allonger tout en gardant son précieux joujou en bouche. Son idée se mettait en place petit à petit et elle espérait que Miranda apprécierait. Bientôt, couchée ainsi, son sexe en feu finit par effleurer celui de sa mère, et ses propres pieds gisaient à portée de main. L'idée était plutôt clair … Elle l'espérait.
-
Il était très important de ne pas négliger les pieds. Après tout, on marchait toujours avec eux. Imaginez donc vivre avec des cloques aux pieds... Impossible de marcher sans grimacer, sans se crisper. Miranda, cette femme si parfaite, y avait eu droit jadis... Et il n’existait pas beaucoup de traitements contre les cloques et les champignons, si ce n’est les bains de pied. Elle en avait attrapé à force de marcher avec ses talons. Mine de rien, ses pieds étaient très serrés, et elle avait souffert pendant des jours. Elle avait fait des bains de pied à l’époque, et même les petites langues de ses esclaves n’avaient pas suffi à faire passer la douleur. Depuis lors, elle s’était promise de ne plus jamais négliger ses pieds. Hannah s’était donc spécialisée dans le massage des pieds, aussi bien avec ses mains qu’avec sa langue. Chaque jour, Miranda se relaxait dans son bureau, et lui demandait, le soir, de nettoyer ses pieds. C’était comme une sorte de séance de relaxation après une dure journée de labeur, et, peu à peu, un petit rituel s’était instauré entre elles. Avant Hannah, Miranda utilisait des esclaves, souvent de jeunes filles, car leurs petites langues pouvaient se faufiler partout, et c’était souvent pour elle un honneur que de pouvoir lécher et baiser les jambes. Même maintenant, Miranda les faisait parfois venir de temps en temps... Mais, de manière générale, c’était Hannah qui s’occupait de ses pieds.
C’était juste un nouvelle interprétation, et, comme d’habitude, elle faisait énormément de bien à Miranda. Mais, habituellement, elle était toujours en tenue de travail, assise sur son confortable fauteuil, Hannah à ses pieds. Ici, les évènements avaient été un peu différents, mais le plaisir, lui, était bel et bien là. Il était difficile à expliquer... Les pieds n’étaient pas des zones porteuses, il y avait peu de nerfs, et, en conséquence, peu de zones érogènes. Pour autant, Miranda avait toujours trouvé très excitant d’être léchée ainsi.
« Aaaahhh... Hmmm... »
Miranda se pinça les lèvres, en remuant lentement ses jambes. Hannah continuait à lécher ses pieds, à les embrasser, et à les suçoter. Elle pouvait même les mordiller aussi, elle savait que la PDG aimait ce genre de délicates attentions. Mais Miranda ne se contenta pas de rester passive. Quand Hannah s’occupait de l’un de ses pieds, elle déplaçait l’autre, pour caresser sa joue avec ses doigts de pied, se frottant ainsi contre elle, lui offrant des sortes de délicates caresses. Un sourire sur le coin des lèvres, la femme était en train de s’amuser, de prendre son temps. Elle savourait ce moment, avec la plus envieuse des envies. Hannah était toujours aussi belle quand elle se concentrait, et, quand il s’agissait de Miranda Forge, Hannah LaBelle ne négligeait rien. Elle se dévouait à fond, avec un talent qui frisait l’admiration.
La PDG se pinçait donc les lèvres en soupirant, remuant lentement sur le lit. Encore et encore, Hannah continuait à la lécher, à l’embrasser. Un magnifique massage des pieds, qui dura bien plusieurs minutes, pendant lesquelles Hannah se tortillait lentement sur le lit, remuant ses jambes contre sa tête, la caressant, jouant avec elle, et sentant des vagues de plaisir remonter en elle, se diffusant le long de son corps.
« Mmhhmmmm... »
Miranda se pinçait les lèvres, savourant ce moment, puis finit par se redresser, et caressa les cheveux d’Hannah avec sa main.
« Tu es toujours aussi douée pour me faire plaisir, Hannah... Ma belle petite majordome... »
-
Quelle était la plus ultime des récompenses si ce n'était d'être, finalement, reconnue par sa mère ? Ou tout du moins, être complimentée par celle-ci. Mère ou maîtresse, c'était la même chose dans l'esprit d'Hannah. Elle lui vouait un immense respect, une obéissance totale et jamais elle ne pourrait la contrarier. C'est dire que, peu importe ce qui peut advenir, jamais elle ne pourrait voir Miranda autrement qu'ainsi. Même en admettant qu'un funeste jour la PDG de GWC se sépare d'elle, le résultat ne serait pas surprenant ; elle serait perdue. Tout simplement. Il était très difficile d'imaginer ce que pourrait faire Hannah si elle était livrée à elle-même, c'est à dire qu'elle ne travaille plus pour Miranda. Une situation impensable, heureusement. Hannah avait été spécialement créée pour et par Miranda pour son usage unique, il serait bête de s'en séparer. D'autant plus qu'elle semblait être le seul élément viable sorti du programme dont elle était issue.
Ainsi, alors qu'elle s'évertuait à lécher et masser les pieds de sa maîtresse, Hannah gémissait doucement de plaisir. Elle se tortillait sur place, son visage se câlinant doucement contre la plante des pieds de Miranda, ses lèvres capturant ses doigts avec une douceur et une sensualité déconcertante. Hannah n'en était pas à sa première fois ; il était d'usage que tout les soirs elle s'occupe des pieds de sa mère, les massant ou les soulageant par quelconques moyens. Un rituel intime qui s'était instauré entre mère et fille, et qui avait forcément contribué à leur proximité. Et qui avait aussi contribué à rendre le fétichisme du pieds aussi présent entre les deux femmes. Les soupirs de Miranda résonnaient comme une douce mélodie dont la majordome en savourait chaque note. Chaque son qui sortait, à ce moment, de la bouche de Miranda était un pur régal auditif. Les joues de la jeune femme devinrent encore plus rouges qu'avant, surtout au moment où sa mère se redressa, la privant au passage de sa douce sucrerie.
Un compliment fusa. Un sourire heureux naquit aux lèvres d'Hannah qui ne su quoi répondre, si ce n'était de rougir comme une tomate. C'était la plus belle et agréable des récompenses ; celle de se faire complimenter, et donc reconnaître, par Miranda. Ce qui était dans la logique de la percevoir comme une mère. Sa main continua à glisser sur son pieds, le caressant de la plus douce des manières. En vérité, Hannah n'en avait pas finit et il lui restait encore une chose à faire avec sa maman. Elle passa sa main sur le bras de celle-ci, le caressant, puis se saisi de sa main qu'elle embrassa sur le dos, comme on le faisait dans les anciens temps. "C'est un immense bonheur de pouvoir être avec vous … Mère." Dit-elle sobrement, en finissant d'embrasser sa main. Cependant, elle regarda Miranda avec un regard qui en disait long sur intentions ; elle comptait lui faire plaisir une dernière fois. Plaçant ses mains sur ses jambes, elle glissa pour se coller au maximum à sa mère, comme si elle s’apprêtait à lui faire un gros câlin.
Mais, le fait qu'elle déplace ses jambes pour les croiser avec les siennes était l'indice qui dévoila ses plans. En faisant ainsi, son sexe se retrouva près de celui de sa maîtresse, leur intimité s'effleurant mutuellement. Elle se pencha légèrement en arrière pour avoir un meilleur accès. "J'aimerai que vous m'accordiez … Une dernière danse, mère !" Dit-elle sur un ton joueur. Jambes entrecroisées, Hannah finit par entamer le petit jeu en effectuant quelques mouvements de bassin. Un magnifique ciseau attendait les deux femmes, si Miranda accédait à la requête de sa majordome, bien entendu.
-
Mère… Hannah aimait souvent l’appeler ça, ce qu’elle faisait toujours quand elles étaient seules. En public, Hannah savait que Miranda n’aimait pas ça… Car, en réalité, Hannah LaBelle était la grande confidente de Miranda. Si la police venait un jour à l’interroger, Hannah aurait tellement à dire qu’il serait impossible de l’arrêter. La majordome, donc, connaissait le secret des Forge. Elle savait que Miranda avait accouché il y a des années de sa mère, et qu’elle surveillait Kara… Sa fille. Kara était maintenant une prometteuse avocate travaillant au sein de GeoWeapon Corp., et le jour approchait où Miranda se rapprocherait d’elle. Le secret des Forge… L’héritière naturelle de la firme devait comprendre que son héritage n’était pas un droit, mais un devoir, et c’était pour cela que, depuis des générations, la fille unique d’une Forge était abandonnée, et confiée à une famille d’accueil. Il fallait qu’elle voit comment le monde fonctionne, qu’elle fasse la preuve de ses talents, et chaque génération avait vu des Forge de plus en plus talentueuses se succéder. Kara était dans cette droite lignée, et Hannah le savait… Tout comme elle savait que Kara était la véritable fille de Miranda, et que c’était pour cette raison qu’elle ne devait pas l’appeler « Mère » en public. Mais, ici, dans cette chambre, dans cette zone privée, la PDG le comprenait tout à fait. Elle avait éduqué Hannah depuis sa plus tendre enfance, et elle aimait bien l’idée d’avoir une sorte de « fille de substitution », quelque chose qui permettait de pallier à la carence affective que Miranda avait., car l’absence de Kara lui avait cruellement manqué. C’était le prix à payer quand on était une Forge, mais ne jamais pouvoir allaiter son enfant avait toujours torturé Miranda, par exemple.
Hannah le savait, bien entendu, et elle savait qu’il était temps de faire plaisir à sa mère. Ainsi, après avoir léché ses pieds, elle proposa de passer à autre chose, et Miranda sourit lentement, en se redressant, et en penchant la tête sur le côté. Une « dernière danse », donc, et Miranda savait à quoi elle faisait référence. Hannah était belle, perverse, et gourmande. C’est avec joie que Miranda accepta, en souriant, et en déposa un baiser sur le pied d’Hannah.
« Allons-y, ma belle… »
Elles optèrent pour un classique d’une relation lesbienne : la position des ciseaux (http://img110.xooimage.com/files/4/b/7/wiki-tribadism-4b74139.png). Une situation de sexe dans laquelle l’idée était de frotter les vulves ensemble, en entrecroisant les jambes, et en s’appuyant avec les bras. Une position un peu acrobatique, qui nécessitait de prendre de bonnes positions. Miranda se trouvait dessous, sentant la cuisse d’Hannah sur son corps, et crispa sa main sur sa cheville, déposant des coups de langue sur son pied, et elle commença, elle aussi, à remuer, d’avant en arrière.
L’idée était de glisser le long du lit, d’avant en arrière, afin que leurs sexes tapent entre eux. C’est ce à quoi elles s’appliquaient ensemble, remuant mutuellement, soupirant et gémissant de plaisir.
« Huunnn… Haaaannnn… Hmmmm… Hannah, haaaaannn… Haaannnnhaaaaannnnn… »
L’avantage, qu’on avait un prénom compose de ‘‘han’’, c’est qu’on pouvait le soupirer sans aucun problème pendant l’acte sexuel…
Précisément comme en ce moment.
-
La dernière danse promettait d'être très rythmée. Vu le choix d'Hannah sur la position, les minutes qui allaient suivre s’annoncèrent particulièrement intenses. La belle majordome se mit en place et sa maîtresse accepta dès lors cette fameuse danse. Un magnifique ciseau les attendaient toutes les deux, et ce fut la jeune femme qui ouvrit le bal en remuant, doucement d'abord, son bassin. Des petits mouvements mais qui étaient très sensationnels. Elle s'allongea sur le lit, et pu sentir alors la féminité de Miranda se heurter à la sienne en de multiples claquements, légers dans un premier temps. Elle gémissait doucement, commençant malgré tout à ressentir une vague de plaisir remonter en elle. Surtout quand sa mère donna quelques léchouilles sur son délicat pieds. Il était vrai que dans cette position, elles pouvaient à la fois s'adonner à un ciseau et au fétichisme tant partagée par les deux femmes. Mais il fallait se concentrer sur la position car elle était très acrobatique mine de rien. Ainsi, Hannah se dandina de plus en plus en vite, progressivement, sentant la vulve de sa maîtresse frotter la sienne avec vigueur.
Elles remuaient, toutes les deux, intensément. En avant et en arrière, elles étaient en train de gémir à forte voix tellement ce qu'elles ressentaient était formidable. Hannah serra les draps autour d'elle et poussa, de sa petite voix, des soupirs de plus en plus intenses. "Haaaann … Haaaaaaa mère … Hmmmmmm …" On pouvait entendre sortir, ainsi que des bruits de frictions. Des bruits qui auraient pu dégoûter certaines personnes, qui résonnait incroyablement bon dans les oreilles des deux amantes. Leur féminité se roulait une merveilleuse pelle, s'entremêlant l'une à l'autre, partageant leur nectar respectif qui à force, finit par couler sur les draps. Finalement, la majordome déplaça instinctivement ses mains sur les genoux de sa mère afin de prendre un meilleur appui. Elle se dandinant fortement contre elle, sentant l'orgasme arriver à grand pas. "Haaaaahaaaaaaa !!!" Gémissait-elle intensément, serrant fort les dents.
Un moment de pur bonheur et de plaisir. Voila ce que c'était pour Hannah. Partager un tel moment avec une telle femme, était sans doute la récompense ultime la plus valeureuse à ses yeux. Miranda était une maîtresse, une patronne, une amie et une mère. Pouvoir profiter d'un tel instant de délice sexuel en sa compagnie était tout simplement fantastique. Pour rien au monde, strictement rien, elle ne troquerait sa place actuelle. Tout son corps tremblait sous les sensations qui l'envahissaient brusquement, qui électrisait son échine, rendant la jeune femme encore plus vigoureuse dans ses mouvements. Pour une danse, ça l'était ! Une valse endiablée que mère et fille effectuaient avec sensualité et fougue. Cependant, le moment tant attendu finit par arriver et ce fut Hannah qui craqua la première. Des papillons se lâchèrent par milliers dans sa féminité, et elle gémit du plus fortement que possible. "HAAAAAAAAANNN OUIIIII !!!" Cria-t-elle presque, ayant dès lors un orgasme électrisant. Elle continua nerveusement à se remuer contre Miranda, voulant prolonger au maximum cet instant malgré qu'elle était en train d'avoir son plus bel orgasme de la journée.
Mais la pression retomba petit à petit, et elle était essoufflée. La jeune femme reprenait doucement son souffle, toute en sueur, alors qu'elle se laissa tombée complètement sur le lit. Bras étendus, yeux clos, elle reprenait petit à petit, sa poitrine montante et descendante au gré de sa respiration haletante. "Merci mère … Merci …" Dit-elle du bout de lèvres, de sa petite voix agréable mais éprouvée. Lentement, elle ramena ses bras en les faisant glisser sur les doucereuses jambes de Miranda. Ses mains finirent par se hisser avec une douceur exceptionnel sur son pieds, qu'elle saisit et amena devant son visage. Ses bras étaient enroulés autour de sa jambe, et ses deux mains s'affairaient à lui masser son pieds, tout en déposant un grand et intense baiser sur sa plante. Hannah n'en avait jamais assez de cette petite gourmandise. Ce fétichisme était si présent entre les deux femmes, que tout un rituel quotidien avait prit place entre elles. Bien sur, si Miranda ne souhaitait plus s'adonner à cela pour le moment, rien ne l'empêcher de retirer son pieds. Les jambes d'Hannah étaient toujours entremêlées aux siennes, tandis que leur vulve étaient collées l'une à l'autre, comme si elles étaient en train de s'embrasser aussi longuement que passionnément.
-
Cette scène féérique était digne de figurer dans l’un des films pornographiques que Miranda s’amusait à faire d’elle-même... Ces films étaient volontiers offerts à destination du public, comme un moyen, pour Miranda, de marquer les esprits en défrayant la chronique. Elle aimait ça... Se dire que la puissante femme tenant des discours publics, et négociant avec des Sénatrices ou des Générales, était aussi celle qui s’envoyait en l’air en live, était particulièrement gratifiant. Miranda fonctionnait ainsi ; pour elle, le pouvoir ne s’exprimait que par la provocation, et, sur ce point, bien des Forge avaient défrayé la chronique. Il y avait même une légende circulant sur une Forge qui, accusée de viol, aurait utilisé tout son argent pour remplir la salle d’audience d’employées et de prostituées de luxe, et avait transformé l’audience en une immense orgie. Miranda, toutefois, n’y croyait pas trop, car, il y a encore quelques années, les entreprises et les mégacorporations n’avaient pas l’influence qu’elles avaient actuellement, une influence qui n’avait explosé que quand les Formiens avaient envahi Tekhos, contraignant le Sénat à accroître l’influence de l’armée et l’initiative privée. Tekhos était ainsi devenue une sorte d’étrange mélange entre une junte militaire et une oligarchie bourgeoise, le tout dominé par un ultralibéralisme exacerbé se mélangeant à un patriotisme fort et immense. Un curieux cocktail, et dans lequel Miranda se verrait bien transformer un palais de justice en immense orgie. Pour l’heure, elle avait encore du mal avec les juges, qui étaient relativement indépendants. Oh, elle avait bien couché avec quelques Procureurs, des greffières, et même avec des magistrats du siège, mais à titre privé. Qui sait ? C’était peut-être un prochain défi pour la terrible PDG...
En attendant, les deux femmes continuaient à se faire l’amour, dans cette position assez improbable des ciseaux, un défi envers l’anatomie humaine, et une preuve des prouesses magnifiques du génie humain. Elles remuaient l’une contre l’autre, ensemble et joyeusement, jusqu’à ce que les deux femmes finissent ensemble par jouir. Miranda s’abandonna dans de délicieux soupirs à un orgasme bienvenu, et resta ensuite joyeusement allongée sur son lit, couchée par le plaisir.
« Haaaa-haaaaannn... »
La PDG respirait longuement en se mordillant les lèvres. Yeux clos, elle se laissait aller, en sentant assez rapidement Hannah se tortiller à ses pieds. Elle esquissa un léger sourire en sentant sa bouche revenant la lécher. Hannah l’avait remercié, et Miranda ne répondit qu’après coup, avec un léger sourire sur le coin des lèvres.
« Oh, tu es toujours aussi douée, ma belle Hannah... »
Douée, oui, c’était le mot exact. Et, tandis que Miranda se reposait, elle réfléchissait à ce qu’elle allait faire ce soir. La PDG était une perverse, et ça, quoi qu’il en coûte, il fallait se le rappeler à chaque fois. Elle était tellement perverse que, parfois, elle organisait des live sur son site Web personnel, où elle s’envoyait en l’air sous l’œil du public, grâce à une webcamqu’Hannah tenait tandis que sa mère se faisait joyeusement prendre. En ce moment, elle avait un projet impliquant deux hommes bien musclés. Tekhos était une société sexiste, mais, pour autant, les mâles restaient une sorte de fantasme sexuel, tant qu’ils étaient cantonnés au rôle d’esclaves, et qu’ils étaient musclés, propres, et glabres, en présentant le moins de poils possibles. Et, alors qu’Hannah continuait à lécher ses pieds, et que Miranda n’avait évidemment aucune raison de la repousser, elle se demandait si elle n’allait pas organiser un live ce soir. En réalité, Miranda adorait offrir son corps au public d’Internet.
La PDG continua donc à laisser Hannah lécher ses pieds pendant quelques minutes, puis elle se redressa ensuite, en s’appuyant sur ses avant-bras. Miranda la regarda, puis se mit à parler :
« Est-ce que ça te dirait qu’on fasse un live ce soir, ma belle ? »
Il était rarissime que Miranda demande l’avis d’Hannah pour ce genre de choses... Et, en fait, à bien y réfléchir, c’était bien la première fois qu’elle le faisait.
C’était bien la signe que Miranda était ravie d’Hannah ce soir.
-
Un magnifique final qui avait mit à terre les deux femmes. Toutes les deux étaient allongées sur le grand lit, reprenant leur souffle, savourant l'après coup. Ce moment était particulier puisque même si elles avaient finit, le plaisir était toujours aussi intact. L'orgasme qu'Hannah avait eu quelques instants plus tôt l'avait complètement éprouvé, tant intérieurement que extérieurement. Mais, toujours en manque d'affection et de tendresse, la majordome finit par s'acoquiner à nouveau avec les pieds de sa maîtresse. Elle ne pouvait pas s'en passer, et dès lors, elle se mit à doucement lécher l'un d'entre eux. Sa langue fila langoureusement sur sa plante, la léchant pleinement et savoureusement. Elle s'évertua aussi à alterner avec ses orteils, qu'elle suçota avec lenteur et délicatesse. Un petit plaisir qui constituait un merveilleux digestif après une telle séance de sexe. Hannah eut le loisir de savourer l'instant pendant quelques minutes, et le moins que l'on pouvait dire, était que sa manière de s'occuper des pieds de Miranda avait toujours ce coté fort religieux et même révérencieux.
Mais sa sucrerie lui fut finalement enlevé, quand Miranda se dressa sur ses avant-bras, écartant alors son pieds. Hannah quant à elle se redressa complètement, s'asseyant sur ses deux généreuses fesses, croisant les jambes en tailleur. Sa longue chevelure ébène caressait ses épaules, elle était resplendissante. De ses petits yeux ronds et curieux, elle écouta la demande de sa mère. Elle voulait faire un live ? D'ordinaire, elle ne lui demandait pas son avis. Pas sur ce sujet en tout cas. Hannah était la cameraman quand Miranda faisait ses lives, et même si elle savait parfaitement se contenir, cela la frustrait parfois de voir sa patronne s'envoyer autant en l'air devant ses yeux, sans qu'elle puisse y participer. Hannah avait prit un air songeur, prendre une décision était toujours très difficile pour elle. Elle avait été formatée pour obéir, et non pour prendre des initiatives. Même si elle le pouvait, faire un choix était toujours une épreuve. "Vous … Vous me demandez si je veux qu'on fasse un live, ce soir ? Mais … Je …" Hésita-t-elle, ne sachant quoi répondre.
Son regard se baissa et elle se mordilla les lèvres. Quoi choisir ? Quoi répondre ? C'était dur, très dur. "Eh bien je … Oui. Faisons un live ce soir !" Répondit-elle avec un petit sourire. L'étape insurmontable était finalement passée ! Un soulagement pour Hannah. D'ailleurs, celle-ci décida de venir à nouveau quémander le corps de sa maîtresse mais d'une façon un peu plus … Innocente. Elle se mit à quatre pattes et vint se mettre à la hauteur de Miranda, au-dessus d'elle. Puis elle glissa sur le coté et s'allongea, posant sa tête au creux de son cou, déposant un savoureux baiser dessus. Elle entremêla ses jambes avec les siennes, puis posa doucement sa main sur son sein, le massant très doucement. Le but n'était pas de prolonger la séance, mais de juste se lover contre l'être qu'elle aimait le plus au monde. Elle finit par le lui rappeler, d'ailleurs. "Je vous aime, mère. Je vous aime si fort … Je suis de loin la fille la plus heureuse de ce monde, grâce à vous. Je ne pourrai jamais vous remercier assez …" Lui dit-elle d'une voix douce et au timbre tellement sincère qu'une once d'émotion la fit sensiblement trembler.
Hannah aimait Miranda, d'un amour fou et sincère. Elle ne l'aimait pas comme une amante, mais comme une maîtresse et surtout, une maman. Toute heureuse, un sourire radieux orna ses lèvres alors qu'elle se lova encore plus contre le corps chaud de sa mère, allant jusqu'à caresser ses pieds avec les siens, tout en continuant de doucement masser sa poitrine.
-
La demande décontenança un peu Hannah, ce qui se comprenait tout à fait. Miranda n’avait pas l’habitude de lui demander son avis pour ce genre de choses, l’outrepassant volontiers, en partant du principe que sa majordome ne serait jamais contre les ordres et les désirs de celle qu’on pouvait logiquement voir comme sa supérieure. Il en résulta donc, chez Hannah, une certaine hésitation, avant qu’elle ne finisse par acquiescer. Miranda sourit donc, puis, ensuite, sa fille vint se lover contre elle. Sa fille... Cette idée étonnait toujours Miranda, la troublant à chaque fois. Kara était sa vraie fille, mais éloignée d’elle, si éloignée d’elle... Il était un peu cruel de le considérer ainsi, mais Hannah n’avait toujours été qu’une fille de substitution, un moyen pour Miranda de penser à autre chose que Kara et le fait que Kara grandissait sans elle, avait grandi sans elle, et qu’elles ne s’étaient toujours pas revues encore.
Hannah se blottit contre elle, leurs jambes venant s’entremêler, leurs corps en sueur se lovant entre eux. La main de Miranda alla s’appuyer sur les cheveux de la femme, et elle ferma les yeux, son autre main venant caresser l’une de ses joues. Hannah lui avoua alors son amour profond pour elle, et la PDG ne put que sourire. Les mains d’Hannah se déplacèrent ensuite, venant jouer avec ses seins, et, encore une fois, Miranda la laissa faire.
« Tu as raison, Hannah... Mais c’est toi qui as mérité mon affection. Ne crois pas que je t’offre tout ça par sympathie, ou par générosité. Je te l’offre, parce que tu as été la meilleure et la plus talentueuse. »
Les Forge avaient une vision darwinienne du monde, et de l’évolution. La Nature ne croyait pas à la chance, à la pitié, ou à la générosité. Quand une espèce devenait trop faible, la Nature l’engloutissait sans pitié, indépendamment du sexe ou de l’âge. Miranda avait fait la même chose avec Hannah LaBelle. C’était aussi simple que ça. Hannah pouvait donc la remercier, ce qui, bien évidemment, lui faisait plaisir, mais il ne fallait pas oublier de revenir aux fondamentaux. Si Hannah avait réussi, si elle était là, c’est parce qu’elle avait réussi toutes les épreuves de sélection pour devenir sa majordome, et que, même après ces épreuves, elle n’avait cessé de lui montrer à quel point elle était talentueuse. Dans tous les domaines, Hannah excellait, et c’était bien, car Miranda n’en attendait pas moins d’elle. Oui, Miranda était une femme exigeante... Mais elle donnait autant qu’elle prenait, car elle n’était pas avare en matière d’affection, comme Hannah pouvait le remarquer.
Tandis que les deux femmes continuaient à rester allongées l’une contre l’autre, Miranda, elle, commençait à avoir quelques idées derrière la tête, et esquissa un léger sourire.
« Tu sais, j’ai eu une idée particulière pour le live de ton soir... Une idée qui t’implique... »
Miranda se tut silencieusement, s’humectant les lèvres, une lueur amusée dans le regard. Elle choisissait soigneusement chacun de ses mots, ménageant l’effet de suspens, afin d’aiguiser la curiosité de la femme. Miranda alla donc l’embrasser sur les lèvres, puis posa sa main sur l’épaule d’Hannah, pendant le baiser, avant de la repousser. Hannah se coucha sur le dos, Miranda au-dessus d’elle, et, élégamment et sensuellement, la femme se mit à califourchon sur le corps d’Hannah, conservant sur ses lèvres un délicat sourire mielleux, ses longs cheveux blonds glissant le long de ses épaules.
« Je me disais que, cette fois, nous pourrions faire ce live à deux... Entourées de puissants amants bien membrés qui nous défonceraient nos petits trous. Qu’en dis-tu, Hannah ? Nous n’avons pas l’occasion de coucher souvent avec des mâles, et, pourtant... Ceux préparés par GeoSlave sont des amants parfaits... Bien plus endurants et plus sauvages qu’une Futanari... »
C’était une belle proposition, du moins pour Miranda...
-
Miranda n'avait pas tort en expliquant, ou plutôt en rappelant à Hannah comment elle était réellement vue jusqu'ici. Si elle était belle et bien heureuse d'avoir madame Forge comme mère, en quelques sortes, elle avait été très chanceuse. L'affection était venu bien après sa sélection. Car effectivement, Hannah n'avait pas été choisi par sentiment, mais par performance. C'était ainsi que tout fonctionnait chez la dynastie des Forge. La majordome avait tué toutes les filles lui faisant de la concurrence, elle avait subit les tests et les stimulations les plus dures. Et elle avait résister, et en bonne santé. Ce n'était guère étonnant qu'elle était la seule fille issue de ce programme à avoir été … Bien formée. Les autres présentaient des troubles psychiatrique, ou des malformations. Hannah était la seule femme en bonne santé mentale et physique. Elle était le fruit d'un long travail génétique ayant pour but de créer l'esclave ultime. Obéissant et beau. Hannah était sans doute la femme la plus docile de tout Tekhos, et elle était d'une beauté saisissante … Certes pas à la hauteur de Miranda, qui surpassait tout le monde, mais elle était belle quand même.
Son origine et les raisons de sa présence lui avait donc été rappelé. Elle en avait bien conscience, et avait apprit à faire avec. Pourquoi le nier ? Tout ce qui comptait, c'était le présent désormais. Ainsi, Hannah se lova contre Miranda, jouant doucement avec l'un de ses seins, en l'écoutant lui faire une autre proposition qui la surprit. L'esprit de la PDG de GWC fourmillait toujours d'idées les plus originales et démarquées les unes des autres, mais cette fois-ci, Hannah ne s'y était pas attendue. Ses yeux s'arrondirent sous la surprise, et elle leva sa petite tête vers celle de sa maîtresse. Elle était silencieuse, elle mettait la curiosité de la majordome à rude épreuve. Que voulait-elle ? Autant de suspens était difficilement supportable, mais heureusement elle finit par rompre le silence en embrassant Hannah tendrement. "Hmm …" Soupira la jeune femme qui, aussi petit était le baiser, le savoura pleinement tout de même. C'était toujours un pur régal d'embrasser Miranda, de se laisser … Hypnotiser par ses lèvres sensuelles qui s'apposaient sur les siennes.
Elle avait eut envie de jouer avec ses mèches, tel un petit félin, mais Miranda posa sa main sur son épaule et la poussa, de manière à la faire allonger sur son dos, tandis qu'elle se mit à califourchon sur elle. Que cela ne tienne ! Hannah déplaça une agile main dans son dos, qu'elle glissa vers sa longue et douce chevelure blonde qu'elle se mit à caresser. Et à ce moment, la proposition de Miranda vu enfin le jour. Elle invitait sa majordome à participer, activement, au live du soir. Pas en tant que caméraman, mais en tant qu'actrice cette fois-ci. Des amants bien viriles, sauvages et endurants, voilà qui avait de quoi faire envie. Hannah se mordilla les lèvres, hésitant grandement face à cela. Son regard baissa un moment, puis se porta vers celui de la maîtresse des lieux, alors qu'un sourire de traça à nouveau sur ses lèvres. "Je ne peux pas refuser une telle offre, surtout venant de vous, mère …" Dit-elle de sa douce voix.
Elle frémissait déjà à l'idée de passer de tels moments avec des mâles aussi prometteurs que lui avait fait miroiter Miranda. Un moment qu'elle était désormais impatiente de voir venir. Mais en attendant, elle savourait déjà pleinement cet après-coup en compagnie de sa maîtresse, en caressant docilement sa longue chevelure et ses hanches.
-
Miranda était une femme très imaginative, et très créative. Elle était terriblement perverse, mais, en un sens, sa perversion contribuait à son imagination fertile. C’était sous son autorité que le département GeoSex de GeoWeapon Corp. avait acquis une importance prédominante. Elle avait vu tout le potentiel du sexe depuis longtemps, et la mégacorporation avait fait partie de toute cette vague d’hyper-sexualisation de la société. Et ces lives étaient prévus pour évoluer. Elle avait donc expliqué à Hannah ce qu’elle attendait d’elle, et, sans vraiment trop de surprises, sa majordome accepta l’idée de servir de sujet pour le live de ce soir, en compagnie de deux hommes bien membrés et bien pourvus. Miranda sourit donc, et embrassa Hannah sur les lèvres. Il aurait été impensable que la majordome refuse, certes, mais ça faisait toujours plaisir de voir son empressement, et de constater qu’elle ne se sentait nullement contrainte pour agir avec elle. Miranda l’embrassa donc, en posant ses mains sur ses épaules, et s’attarda sur ce baiser pendant de longues secondes.
« C’est très bien, Hannah… Je suis très satisfaite de toi… »
Elle resta logée contre elle, et posa sa tête sur son torse. Entre elles, elles pouvaient se montrer très intimes, à tel point qu’on pouvait se demander si, fondamentalement, Miranda n’était pas un peu amoureuse d’Hannah. On aurait pas eu tort d’avoir de telles pensées, car Miranda était une femme très ambivalente. Elle était haïssable et horrible sur bien des points, mais, sur d’autres, elle avait aussi ses qualités. Plus simplement, elle était à l’image de l’être humain : nuancée.
« J’ai envie de diversifier un peu mes lives, et de présenter ça comme une émission avec plusieurs actrices différentes principales. Je pensais donc te confier cet honneur, Hannah… Je ne te le dis pas assez, mais tu m’es précieuse, ma belle. »
Et c’était une chose que Miranda appréciait. Elle n’avait, en soi, jamais été injuste avec ses employées. Elle récompensait celles qui le méritaient, et Hannah, surtout après ce qu’elle avait fait tantôt, lors de la réunion, méritait bien une belle récompense. L’inviter à un live n’était que l’une de ces récompenses.
« Je te préviens, ces hommes seront très endurants… Des hommes qui sont entraînés depuis des mois pour me plaire. Ils dorment dans des machines spéciales avant de s’assurer qu’ils fassent des rêves très érotiques, et ils n’ont pas le droit de se masturber. Ils s’entraînent virtuellement pour être de parfaits amants, mais, concrètement, leur expérience est faible, afin de mieux les frustrer… Nous les droguons avec des hormones spéciales, et… Enfin, quand ils te prendront, ils te feront hurler comme jamais… Qui sait ? Si tu hurles suffisamment fort, je pourrais peut-être cesser de filmer tes formes magnifiques pour vous rejoindre… »
Miranda lui fit un sourire coquin, puis l’embrassa encore, avant de se redresser.
« Mais, pour l’heure, j’ai une autre surprise pour toi… Qui implique que nous sortions. »
Restant volontairement vague, Miranda se redressa, s’extirpant de son lit, puis alla s’habiller. Hannah fit de même, et, ensuite les deux femmes sortirent, et rejoignirent un ascenseur, qui les amena vers le bas de la GeoTower.
Quand on entrait dans GeoTower par l’entrée principale, soit après une magnifique cour avec des parterres de fleurs, plusieurs fontaines, et des écrans holographiques géants, on débarquait dans un immense hall. Il y avait un grand bureau d’accueil avec plus d’une vingtaine de secrétaires, des écrans de partout, et un immense hall. Les quinze premières étages, environ, de GeoTower, s’organisaient autour de ce grand hall, avec des couloirs filant le long des bureaux, et, au centre, une cage de verre, abritant le bureau de la Superviseuse, la responsable administrative de l’Atrium, le nom donné à l’entrée de GeoTower.
C’est dans cet atrium que Miranda et Hannah se rendirent. Il n’y avait que du verre, et on pouvait choisir entre un verre totalement transparent ou opaque depuis l’extérieur. L’Atrium était une sorte d’œil de verre permettant de voir toute l’activité de GeoWeapon Corp., grâce à de multiples capteurs et nanomachines. Chaque employée devant porter un badge, il était possible, grâce à ces machines, de repérer n’importe qui. Les vitres étaient tactiles, et Miranda appuya dessus, déclenchant un programme de reconnaissance faciale. Grâce aux caméras, on pouvait voir n’importe qui, et, en appuyant sur le visage de cette personne, le programme de reconnaissance faciale permettait de savoir qui elle était, et de sortir rapidement tout son dossier.
« Si je nous ai fait descendre jusqu’ici, Hannah, c’est pour te montrer à quel point tu m’es importante… Et à quel point tes privilèges sont importants. »
En tant que simple majordome et esclave personnelle, Hannah pouvait apparaître comme une femme sans statut, ou tout au bas de l’échelle sociale. Il n’en était en réalité rien, car elle était l’esclave personnelle de Miranda Forge, et ce simple mot faisait toute la différence.
« Choisis quelqu’un parmi les personnes qui circulent dans l’Atrium. Simple secrétaire, femme de ménage, comptable, ou haute-cadre… Choisis qui tu veux, Hannah, et nous lui ordonnerons de monter ici… Puis tu pourras baiser cette femme jusqu’à satiété. Voilà mon premier cadeau de la journée… Je te laisserais décider si tu veux que les verres soient opaques ou transparents quand tu voudras la baiser. »
-
Hannah était toute rouge à l’idée de passer sur le live de ce soir. D’ordinaire, elle assistait mais n’en était pas actrice. Cette fois-ci, Miranda avait décidé de lui offrir sa chance, et de la laisser se faire joyeusement butinée. Et aux dire de la jeune femme, ces hommes allaient être de vrais bêtes de sexe, frustrés et prêt à en découdre. Une séance intense et particulièrement torride s’annonçait d’ores et déjà. Hannah sentait qu’elle allait avoir mal au derrière après cette soirée … Mais s’en était que plus excitant. Un sourire malicieux se dessina sur ses lèvres quand Miranda descendit pour venir à nouveau l’embrasser. Ce qu’elle pouvait adorer cela … La majordome était complètement folle des baisers, et bisous, de sa maitresse. Une petite drogue à laquelle elle était addict. Ses lèvres étaient si douces et délicieuses, et le bonheur était toujours complet quand les deux femmes s’embrassaient. Hannah gémit légèrement de plaisir à ce délicat baiser, et porta un regard des plus tendres à sa mère une fois que celle-ci s’écarta.
Elle posa ensuite sa tête sur son torse, et Hannah ne put donc s’empêcher de venir caresser doucement sa belle chevelure, aimant prendre soin de sa mère. À part être l’une de ses amantes, Hannah était sa majordome et quelque part, elle s’occupait de Miranda. De ses affaires, de ses rendez-vous, de tout ce genre de détails et de tâches d’ordinaire peu passionnante, mais qu’Hannah effectuait avec le plus grand enthousiasme et fierté. Elle avait été conçue aussi pour ça, d’ailleurs. Rêveuse, elle écouta très attentivement sa mère quand celle-ci lui expliqua son idée sur les lives. Mais surtout quand elle rappela à Hannah combien elle lui était précieuse. Ses joues rougirent encore plus, il était toujours très agréable d’entendre un tel compliment venant de la personne qui occupait toute vos pensées, et votre cœur. Silencieuse, elle laissa sa maitresse lui expliquer ensuite comment la soirée allait se dérouler, et le potentiel des hommes qui seront ses partenaires. Une belle soirée/orgie en perspective, en somme.
Finalement, Miranda eut finit ses explications et se redressa, embrassant une dernière fois sa majordome. Hannah lui sourit puis hocha vivement de la tête quand la jeune femme lui dit qu’elle avait prévu autre chose, mais qu’elles allaient devoir sortir. Mère et fille partirent s’habiller, car même si se promener nue ne dérangeait pas Hannah, il y avait un minimum de présentation. Même à Tekhos. Enfilant un classique chemisier tailleur, elle enfila ses collants et ses talons puis rejoignit Miranda, puis les deux femmes s’engagèrent dans les dédales de couloirs composant le bâtiment. La GeoTower était un immense édifice et on pouvait rapidement s’y perdre si on ne connaissait pas bien les lieux. Le duo prit la direction de l’Atrium, une sorte de centre nerveux connectant toutes les données sur les employés en temps réel. C’était aussi un centre de sécurité permettant d’avoir un œil un peu partout. Hannah n’y avait quasiment jamais mis les pieds, et ce fut donc une grande occasion.
Elle laissa faire sa mère, qui lui dévoila donc la raison de sa venue ici ; elle avait pouvoir choisir une employée, celle qu’elle voulait, et pouvoir baiser avec. Tout simplement. Un cadeau qui faisait extrêmement plaisir, d’autant plus que cela relevait à nouveau de la capacité de choix de Hannah. Sauf qu’en plus, il s’agissait aussi de ses gouts personnels … La question était donc ; en avait-elle ? Avait-elle des gouts en matière de femme, autre que Miranda Forge ? Prenant un air surpris malgré elle, Hannah ne savait pas quoi choisir. Il y avait tant de belles femmes ; des pulpeuses, des discrètes, des professionnelles, et chacune avait son charme. Dur de choisir dans de pareilles conditions, mais finalement, Hannah se décida. « Hmm … Celle-ci. » Pointa-t-elle du doigt, montrant à l’écran le visage d’une jeune employée à l’air assez protocolaire (http://artgerm.deviantart.com/art/Office-Lady-II-289941377), révélateur. Elle frémissait déjà à l’idée de coucher avec, et n’attendait désormais plus que sa mère la fasse venir jusqu’ici.
Concernant l’opacité des vitres, Hannah finit aussi par se décider. « On laissera les vitres transparentes … » Dit-elle alors, de sa douce voix. Elle avait clairement hérité du coté exhibitionniste de sa mère, n’ayant aucune gêne à faire l’amour à la vue de toutes. Qui savait, peut-être que cela allait attirer d’autre demoiselles à la partie ?
-
Pour aider Hannah à faire son choix, Miranda appuya sur d’autres boutons de la vitre tactile, et une multitude d’écrans apparurent, correspondant aux différentes caméras de sécurité installées dans le hall. Quotidiennement, il y avait des milliers d’employées qui circulaient dans le hall, l’ensemble formant un brouhaha inaudible. Depuis l’Atrium, on dominait cette masse avec une écrasante impression de fierté et une forte arrogance. La PDG, elle, s’amusait des rougissements d’Hannah. Oui, sa majordome était rarement aussi gâtée. Elle avait grandi sans avoir de mère pour véritablement s’occuper d’elle, et Miranda savait que cette carence affective avait été fondamentale dans sa psyché. Les enfants issus du Projet GeoHuman n’avaient pas été éduqués comme des enfants ordinaires, mais avant tout comme des cobayes. Beaucoup étaient morts, ou avaient hérité de dégénérescences cellulaires, et, parmi ceux viables et bien portants, il avait fallu en choisir un, dans un affrontement cruel et barbare. Cependant, à ce stade, GeoHuman avait été fermé par le conseil d’administration (une décision que Miranda avait toujours contesté), et Hannah avait été la seule à survivre. Ce faisant, les deux femmes avaient des carences affectives qui se complétaient : Miranda souffrait de n’avoir jamais pu donner le sein à sa propre fille, tandis qu’Hannah, elle, souffrait du fait de n’avoir jamais pu téter un sein. Le sexe était comme un défouloir, un moyen d’oublier le manque d’affection qu’elles avaient vécu... Et un jeu entre elles. Miranda voulait faire plaisir à Hannah, car c’était grâce à elle que les expériences sur GeoHuman allaient bientôt reprendre.
La majordome regarda donc. Peu habituée à choisir, elle mit quelques instants, avant que son choix ne se porte sur une belle jeune femme. Miranda hocha la tête, et, quand Hannah appuya sur cette femme, Miranda ferma tous les autres écrans, se concentrant précisément sur elle, tandis qu’un autre écran numérique s’ouvrit, et donna les informations contenues sur cette femme dans la base de données. Asuka Kichîri. Une jeune femme originaire d’Edoras, qui était ambitieuse et intelligente, et qui remplissait à GeoWeapon Corp. le rôle de responsable marketing. Elle travaillait au sein d’un service marketing dont le but était assez large. Concrètement, le service marketing rendait mensuellement un rapport consistant en de nombreux sondages sur les clients, ainsi que des avis sur les produits de la concurrence, et, de manière générale, le rapport émettait des suggestions et des recommandations. Pour faire ce job’, Asuka avait accompli ses études auprès d’une école commerciale d’Edoras, mais avait choisi de postuler auprès de GWC. Son CV avait été réussi, et il était accessible en fichier attaché sur sa base de données.
« Très bien, Hannah... »
Miranda se dirigea vers le bureau, où il y avait un ordinateur, et le sortit de la veille, puis utilisa un programme spécial. Chaque employée était numériquement enregistrée lors de son embauche, disposant, à ce titre, d’un badge avec un numéro d’identification, ou ID. Miranda tapa donc l’ID d’Asuka, puis choisit ensuite, comme motif, le motif suivant : « Convocation au bureau du Superviseur ». Le genre de trucs qu’aucun employé ne devait refuser. Tandis qu’Asuka revenait, Hannah suggéra de laisser les vitres transparentes, faisant sourire Miranda.
« C’est une résolution que j’aime bien... »
La PDG appuya sur un bouton dans un coin, et une sorte d’onde traversa les vitres, permettant dès lors à ceux à l’extérieur de les voir. Quelques employées se trouvaient sur les couloirs en hauteur, le long des bureaux, tournèrent la tête, intriguées... Mais il fallait encore attendre l’arrivée d’Asuka.
« D’après son dossier, elle a une femme... C’est ce qui ressort des réseaux sociaux, en tout cas. »
En soi, ce n’était pas un problème. Au sein de GWC, il existait des principes silencieux, tacites. Ainsi, le harcèlement sexuel était rarement admis ; une personne refusant de coucher avec son supérieur hiérarchique était considérée comme fautive si elle venait se plaindre, car, ce faisant, elle se privait d’une promotion hiérarchique possible. Il fallut encore attendre quelques minutes avant qu’Asuka n’entre.
« Vous vouliez me voir, Ma... ? »
Asuka s’interrompit, écarquillant les yeux en voyant, assise derrière le bureau, non pas la Superviseuse, mais Miranda Forge. Les beaux yeux d’Asuka, derrière ses lunettes sévères et ses superbes collants, s’écarquillèrent sous l’effet de la stupeur, et elle se pinça les lèvres... Avant de voir Hannah assise à gauche, sur un sofa.
« Ma... Madame Forge ?!
- C’est bien moi, Asuka... Et je t’ai convoqué ici pour une raison que ma belle Hannah ne tardera pas à t’expliquer. »
La PDG esquissa un sourire ravi.
-
La raison pour laquelle Asuka avait été convoqué était très simple. On avait offert à Hannah la possibilité de coucher avec quelqu’un, et ce quelqu’un, c’était cette femme. Restait à savoir si elle serait d’accord, car Miranda venait de lire qu’elle était mariée. Est-ce que cela allait la faire refuser une telle offre ? Personne ne pouvait le savoir à l’avance. Les vitres étaient devenues transparentes, laissant aux employées tout le loisir de regarder ce qui se passait à l’intérieur de l’Atrium. Hannah allait dans quelques instants s’envoyer en l’air avec cette délicieuse femme, sous le regard amusé de sa patronne. Il y avait des jours comme ça, où l’on passait le plus clair du temps à baiser. Le matin, Hannah avait fait l’amour à une Sénatrice, elle avait satisfait le fantasme d’ondinisme de la Générale, puis elle avait fait l’amour avec Miranda. Et là, elle allait encore le faire avec Asuka, sans compter que le soir-même, elle allait participer à un des lives de sa maitresse. Cela revenait à dire qu’elle allait se faire joyeusement démolir par tous les orifices possibles et imaginables. Autant dire que la journée était clairement sous la bannière du sexe.
Et qui savait, peut-être qu’après le live elle allait avoir la chance de finir en beauté avec un énième petit câlin avec Miranda ? Elle l’espérait, mais n’osait jamais trop en demander à maitresse, jugeant qu’elle était déjà bien généreuse de lui avoir fait l’amour au moins une fois aujourd’hui, et de lui avoir fait autant de cadeaux. D’ailleurs en parlant de cadeau, Hannah allait bientôt en déballer un nouveau, quand son regard se posa sur Asuka. Elle se leva de son sofa en balançant de manière très suggestive ses hanches, montrant clairement ses intentions. « Je vous ai choisi madame. » Dit-elle en s’avançant vers la responsable marketing. Elle finit par réduire l’espace les séparant toutes les deux, puis glissa ses mains sur ses poignets, les caressant du bout de ses pouces. Son regard se planta dans le sien, et traduisait toute l’envie et le désir de sexe qu’elle ressentait pour cette femme. Finalement, elle leva une de ses mains et vint retirer ses lunettes, qu’elle nicha habilement au creux de sa poitrine. « Il faudra venir les chercher, si vous voulez les récupérer … » Déclara-t-elle, avant d’avancer lentement son visage, puis de mêler ses lèvres aux siennes.
Un baiser lent, très lent et animé par une soif de sexe grandissante. Cette Asuka avait un très beau corps, et elle le mettait en valeur de la manière la plus excitante qu’il soit. Sa coupe sévère, son costume officiel et ses talons la rendait particulièrement attirante. C’était pour cette raison que Hannah l’avait choisi. Sa langue partit doucement chercher la sienne, alors qu’elle captura ses lèvres avec les siennes. Sa main libre, celle qui n’était pas en train de caresser son poignet, vint caresser sa joue. Le sexe était monnaie courante et gravé dans les esprits Tekhan. Une société hyper-sexualisée, où ce genre de comportement était presque la norme. Surtout à GWC. Hannah soupira contre la bouche d’Asuka, les yeux fermés, alors que le désir montait de plus en plus en elle. Son autre main quitta son poignet pour rejoindre délicatement sa hanche, qu’elle effleura puis caressa doucement en un geste lent et langoureux.
Hannah était toujours douce en matière de sexe, sauf si on lui demandait autrement. Mais par défaut, elle était le genre de femme à faire l’amour doucement, tendrement, avec passion. C’était inconsciemment la définition même du sexe entre femme, dans son esprit, même si elle savait parfaitement que tout était possible. La preuve en était qu’elle possédait un sexe masculin en plus, témoignant de sa capacité à rendre l’échange plus brutal, plus vif et abrupte. D’ailleurs, l’idée de s’en servir avec Asuka lui traversa l’esprit … Peut-être allait-elle se laisser tenter par cela ?
-
Asuka était mariée, oui... Et heureuse. Elle aimait profondément sa femme, et elles avaient d’ailleurs déjà une fille, et une seconde était en cours. C’était d’ailleurs pour nourrir sa famille qu’Asuka avait fini par postuler à GeoWeapon Corp., quittant la petite société de communication qu’elle avait fondé. Elle y bénéficiait alors de l’avantage d’être indépendante, car elle était autoentrepreneuse, et donnait des conseils à d’autres entreprises ou à des écoles de commerce, sur la manière de se faire voir, de se valoriser. Elle conseillait ainsi, aussi bien les élèves en quête de travail, que les employeurs sur la meilleure manière d’avoir des relations sereines au boulot. Une spécialiste en communication, mais qui ne gagnait pas tant que ça. Et, avec la petite qui arrivait, Asuka et sa femme, Kimberly, avaient quitté leur logement pour un plus grand appartement en centre-ville. Kimberly, elle, travaillait déjà comme vendeuse dans un magasin de vêtements, une activité où, du fait du conseil à donner aux clients, tout n’était pas encore automatisé. C’était en effet un magasin vendant des costumes et des vêtements de luxe, spécialisé dans le prêt-à-porter. Asuka savait donc très bien dans quoi elle s’engageait en rejoignant ces firmes. On ne le verrait dans aucun règlement intérieur, mais, dans les firmes comme GWC, il y avait une règle tacite : la promotion sexuelle était normale.
Avec son air sévère, Asuka était la partie forte de son couple, et il n’était pas rare qu’elle et Kimberly couchent avec des amies, aillent à des clubs, ou participent à des orgies. Autrement dit, les deux étaient des Tekhanes pure souche, et qui considéraient que la fidélité n’était pas forcément sexuelle. Asuka encourageait ainsi volontiers les employeurs, à l’époque, à recruter des prostituées, et conseillait tout autant aux élèves à venir aux entretiens d’embauche avec des tenues moulantes et sexy. Le sexe était une composante fondamentale des relations sociales à Tekhos, et il ne servait à rien de le nier. Croire en la fidélité sexuelle, c’était quelque chose de désuet, de nexusien, quelque chose en quoi Asuka ne croyait pas. La preuve... Lors de son entretien d’embauche à GWC, elle avait couché avec les trois membres du jury dans leur bureau, et elle avait elle-même couché avec une récente stagiaire, une belle étudiante qui rougissait facilement.
Asuka ne fut donc nullement choquée quand elle vit Hannah s’approcher d’elle, et qu’elle comprit ce qui allait se passer... Ce fut en réalité tout le contraire. Un frisson de désir traversa tout son corps, un délicieux frisson d’excitation. Hannah, la majordome de Miranda... Asuka les connaissait, bien entendu, et même Kimberly lui demandait parfois quand elle comptait coucher avec la PDG, généralement à chaque fois qu’une brève du journal télévisé montrait l’une des énièmes frasques sexuelles de Miranda. Le tribunal avait beau à chaque fois la condamner, ça ne l’encourageait qu’à continuer. Elle n’était guère un exemple pour les jeunes adolescentes... Mais Miranda s’en moquait.
« Hum... »
Hannah lui avait pris ses lunettes, avant de doucement l’embrasser, et ses lèvres... Haaa, ses lèvres ! Elles étaient magnifiques, et la jeune femme tremblait sur place, en sentant le désir la traverser. Elle ferma les yeux en accompagnant ce baiser, empli d’une tendresse infinie, tout à fait conforme à l’image qu’on donnait de cette femme... Hannah LaBelle, une formidable amante, aussi douce que tendre, la servante de Miranda Forge, mais qui, à ce titre, avait un statut social très élevé. Asuka avait bien compris qu’elle était une sorte de cadeau pour cette femme, mais elle ne risquait sûrement pas de s’en plaindre.
Le baiser se poursuivit donc délicieusement, sous le regard amusé de Miranda. Quel joli cadeau ! Avec ses collants et sa taille de guêpe, Asuka était parfaite... Et, plus le temps avançait, et plus les informations sur Asuka défilaient. Tout était en ligne et informatisé sur Tekhos, maintenant, et GeoWeapon Corp. était véritablement une entreprise tentaculaire. Elle obtint une copie de l’état civil d’Asuka, ses bulletins scolaires, ainsi qu’un accès vers son compte en banque, ce qui lui permit d’apprendre qu’elle suivait des traitements auprès d’une clinique en chirurgie esthétique, probablement afin d’obtenir cette silhouette de rêve. Tout en elle transpirait la parfaite Tekhane, mère de famille, soucieuse d’avoir un boulot qui payait bien pour nourrir sa famille, et qui avait aussi un abonnement à un club sexuel, appartenant à une filiale de GWC... Ainsi, pendant que les deux femmes se bécotaient, Miranda, elle, se renseignait, et accéda au profil d’Asuka. On pouvait y voir el nombre de passages, les fréquences, ses préférences, ses partenaires... Ainsi que des sextapes de ses actions.
*Hum... Elle couche avec des hommes... Original... Et n’est pas contre le fouet ou les Futas... Tu choisis bien tes partenaires, Hannah...*
Voilà qui promettait d’être intéressant...
Asuka, de son côté, mit fin au baiser, le cœur bondissant dans la poitrine, et esquissa un sourire coquin.
« Désolée, Madame LaBelle, mais j’ai une devise... »
Elle se pencha alors vers la poitrine d’Hannah, et attrapa le bout de ses lunettes avec sa bouche, puis se redressa, et les remit sur son nez, avant de lui sourire, et de l’enlacer.
« Je fais toujours l’amour avec mes lunettes... »
Et hop ! Elle alla l’embrasser à nouveau, goulûment, en fourrant volontiers sa langue dans sa belle bouche, la faisant tourner avec plaisir.
Il fallait bien que le spectacle soit à la hauteur de Miranda Forge !
-
Asuka finit par mettre un terme au baiser, au ô combien succulent baiser qu’elle partageait avec Hannah, pour venir pencher sa tête vers son opulente poitrine. À ce moment, elle se saisit de ses lunettes avec sa bouche, puis les remit en place sur son nez. Affirmant par la suite que sa devise était de toujours faire l’amour avec, Hannah esquissa un sourire malicieux. Ses mains gambadaient toujours sur ses hanches, alors qu’Asuka reprit de plus belle leur étreinte. À nouveau, les deux femmes s’embrassèrent langoureusement, prenant parfaitement leur temps. Le spectacle à offrir à la PDG devait être à sa hauteur, et quoi de mieux qu’une séance de sexe entre femme de la plus pure manière qu’il soit ? Sa langue se nicha à nouveau dans sa bouche, partant chercher la sienne, souhaitant visiblement jouer avec. Hannah gloussa doucement, et répondit avec entrain au petit jeu de sa nouvelle amante, ronronnant de plaisir contre ses délicieuses lèvres. Lèvres qu’elle prenait en tenaille de temps à autre, rien que pour gouter à leur savoureux parfum.
La majordome de Miranda sentait son excitation monter progressivement, notamment au travers d’une chaleur de plus en plus poignante en son bas-ventre. Ses mains caressèrent tendrement les hanches de la jeune femme, puis elle finit par les monter pour enlacer le dos de sa compagne. Mains sciemment posées sur son échine, elle la parcourant de haut en bas, lentement, souhaitant à tout prix sentir la moindre parcelle de son chemisier sous ses mains. Le baiser dura, longtemps, et pendant celui-ci Hannah finit par céder à une envie grandissante. Son désir ne cessa d’augmenter et ce fut pour cette raison qu’elle décida de glisser une main sous le chemisier d’Asuka, afin de venir la caresser à même sa peau. « Hmm … » Gémissait-elle doucement, alors que le baiser devenait toujours plus délicieux. La langue de la jeune femme jouait furieusement avec la sienne, et leur échange fut de plus en plus mouillé. Hannah avait clos ses yeux, pour mieux se transporter dans sa petite bulle qu’elle avait formé avec Asuka.
Finalement, son autre main se décida enfin à partir pour se diriger alors vers une zone un peu plus osée. Gloussant doucement à nouveau, Hannah fit glisser ses petits doigts vers le ventre, à l’air libre, de sa partenaire. Dès lors, elle fut prise d’une envie irrésistible de la caresser encore plus, mais ce n’était qu’une escale avant la destination principale. Elle continua à descendre lentement, jusqu’à passer sa main sur tout le devant sa jupe courte, n’hésitant alors pas à appuyer doucement pour sentir les courbes intimes d’Asuka. Après quelques minutes à se lover l’une contre l’autre, à échanger un long et savoureux baiser et à se caresser tout gentiment, Hannah voulut encore pousser l’échange à un stade supérieur. L’étreinte entre leur bouche céda, puis la majordome esquissa un délicat sourire. « J’adore vos lèvres Asuka … Elles sont si parfumées et douces. » Dit-elle, complimentant alors directement sa compagne du moment.
Hannah pencha alors son visage, nichant ses lèvres sur la mâchoire d’Asuka qu’elle embrassa avec grand soin. Puis, elle descendit, embrassant alors généreusement son cou. Elle décida de s’y attarder un petit moment, le couvrant d’innombrables baisers. Pendant tout ce temps, sa main continua à taquiner sa jupe, jusqu’à ce qu’elle ne décide de la lever un tout petit peu pour y glisser sa main, caressant alors la plus propre intimité d’Asuka au travers son fin sous-vêtement. Elle resta donc ainsi, l’embrassant dans le cou et caressant sa féminité, voulant la faire d’ores et déjà avoir un aperçu de ce qui l’attendait. D’autant plus que cette fois-ci, Hannah comptait utiliser son petit plus qui faisait d’elle Futa’. L’on pouvait déjà le constater quand on regardait la bosse naissante entre ses cuisses, qui finit par déformer la surface de sa jupe crayon, frottant alors la cuisse d’Asuka …
-
Assise depuis son siège, Miranda observait avec sourire l’échange buccal entre Miranda et Asuka. Oui, la belle Asuka avait décidemment des liens avec une clinique esthétique. Il n’y avait que comme ça qu’elle pouvait avoir un corps aussi parfait. Une beauté parfaite, comme un cristal sans défaut, voilà ce qu’Asuka était. Son salaire lui permettait ainsi de se rendre mensuellement à la clinique esthétique, afin d’y suivre un traitement visant à modifier son corps : masse graisseuse, grains de la peau, rides... Le traitement comprenait énormément de choses, y compris la douceur et la tendresse des lèvres, ce dont Hannah LaBelle se rendit tout à fait compte à force d’embrasser Asuka.
Cette dernière sourit devant le compliment poli de la majordome, et hocha la tête, en glissant coquettement sa main dans ses cheveux, rabattant quelques mèches de cheveux en arrière.
« Merci... Je les entretiens tous les jours... Et je vous retourne le compliment : vos baisers sont magiques... »
La servante de Miranda était à la hauteur de ce qu’on pouvait attendre d’elle, et Asuka frissonnait sur place, tremblant de désir devant ce qu’elle subissait. Elles s’embrassèrent à nouveau, les mains d’Hannah venant ensuite caresser son corps, glissant sur sa chemise, filant dessous, se rapprochant de son pubis, Asuka écartant instinctivement ses jambes en soupirant. Oh, que c’était bon ! La jeune femme savourait ce contact, ses caresses... Et elle sursauta en sentant le chibre d’Hannah jaillir de sous la jupe de cette femme, venant caresser les siennes.
S’écartant alors, Asuka retira sa chemise blanche, qui commençait à lui coller. Sous cette dernière, elle portait un corset sombre avec des bandes horizontales, de la même couleur que sa minijupe, et on pouvait voir ses seins pointer le long de ce corset. Les joues de la belle femme étaient rouges, rouges sous l’effet du désir, et elle retourna ensuite embrasser la majordome en soupirant, fourrant sa langue dans sa bouche, une main se crispant sur ses cheveux, et l’autre descendit sous la jupe d’Hannah, et vint caresser son sexe, le masturbant tendrement, lentement et doucement.
« Hmmm... »
Ainsi, Asuka poursuivait le baiser en fourrant sa langue dans la bouche de la femme, et sa main continuait à la masturber. Elle voulait leur prouver qu’elle n’était pas totalement immobile, et qu’elle aussi, elle pouvait agir et réagir. Son corps se pressait contre celui de la femme, et l’échange buccal se poursuivit encore.
« Est-ce que vous voulez me défoncer ? Tous mes trous sont ouverts... » lâcha-t-elle ensuite, d’une voix sensuelle, et chargée d’excitation.
-
L’étreinte commençait sérieusement à prendre de l’ampleur. Alors que Hannah s’évertuait à embrasser le doucereux cou de son amante, celle-ci soupira et finit écarter doucement sa tête, répondant alors au compliment de la majordome. Celle-ci sourit presque timidement, et se laissa embrasser corps et âme, savourant à nouveau les merveilleuses lèvres d’Asuka. N’allant pas jusqu’à dire qu’elles étaient aussi succulentes que celles de sa mère, les lèvres de la jeune femme avaient un gout unique, envoutant, qui poussait la poussait à toujours en redemander. Leur corps se caressèrent entre eux, leur poitrine se blottissaient l’une à l’autre alors que l’échange buccal reprit de plus belle. Hannah avait glissé sa petite main sous la jupe d’Asuka, venant ainsi caresser sa féminité au travers sa fine petite culotte. Voilà une femme qui était attirante, pensa Hannah.
Mais se dire qu’elle n’allait pas réagir était une grave erreur. La chaleur monta, et Asuka finit par soupirer à nouveau, s’écartant de la majordome une nouvelle fois. Ce coup-ci, elle déboutonna son chemisier et le laissa tomber à terre, dévoilant alors un charmant corset, soutenant une poitrine généreuse qui pointait au travers. Hannah prenait son mal en patience, toute émoustillée et toute désireuse de poser ses lèvres sur cette si belle poitrine. Asuka repartit à l’assaut de la bouche d’Hannah, lui offrant un énième baiser. Leurs langues jouaient nerveusement entre elles, s’amusant à se coller, s’entortiller et faire toute sorte d’acrobaties. « Hmm … » Gémit langoureusement Hannah, qui savourait plus que jamais ce baiser. Toutefois, la jeune employée finit par glisser une main vers le bas, se faufilant alors sous la jupe serrée d’Hannah, venant directement caresser sa verge.
« Haaa ! » Couina la majordome sous l’effet de surprise, sentant l’habile main d’Asuka jouer lentement avec son sexe. Il était complètement comprimé dans une culotte, qui était elle-même comprimée dans une jupe crayon. Autant dire qu’Hannah allait rapidement sentir le besoin de retirer tout ça, au risque qu’elle se fasse mal … Ou que tout ceci ne craque sous la pression. La majordome était en train de se faire embrasser et masturber en même temps, succombant totalement au puissant charme d’Asuka qui était en train de jouer avec elle comme une petite poupée de chiffon. Cependant, alors que la pression augmentait, elle lui fit une proposition des plus directes. Hannah sourit à ce moment, puis lui donna un dernier baiser avant de répondre. « Bien évidemment, Asuka … » Dit-elle la voix remplie d’excitation, à un tel point qu’elle était haletante.
La question était donc de savoir, par où ? Asuka semblait prête partout, et du coup, cela donnait à la majordome un choix à faire. Avant toute chose, elle lui sourit d’une manière malicieuse, puis s’écarta. Ses petites mains se posèrent sur son chemiser blanc, qu’elle déboutonna puis retira complètement. La jupe fut la suivante, puis sa petite culotte … Hannah se retrouva rapidement entièrement nue, puis la regardant d’un air provocateur, vint s’asseoir à nouveau sur le sofa, où elle était à son arrivée, puis écarta bien ses jambes, révélant alors une trique monstrueuse qui pointait vers le ciel. Elle posa une main dessus et commença à doucement se masturber. « Approchez, je vous en prie … » Lui dit-elle. Quand ce fut le cas, elle l’invita à s’agenouiller, puis à … Tout simplement faire usage de son premier orifice disponible ; sa bouche.
« Nous allons passer par toutes vos entrées, Asuka. Et en premier, votre délicieuse bouche … Si vous le voulez bien. » Dit-elle, passant une main dans sa belle chevelure une fois qu’elle était à genoux, devant elle. Il ne restait plus qu’à la jeune employée de passer à l’acte …
-
Les Tekhanes n’étaient pas connues pour leur caractère prude et chaste, et, pour s’en convaincre, il suffisait de voir Asuka, qui avait rapidement accepté de se prêter au jeu ambiant. Un jeu magnifique, confirmant un fait très simple : il était bon de coucher au boulot. Asuka allait faire l’amour avec Hannah sous ses yeux, ce qui, tout naturellement, ravissait Miranda, qui était aux premières loges pour assister à ça. Pour l’heure, les deux femmes s’étaient surtout embrassées, embrassées avec passion, et la rapidité d’Asuka confirmait qu’elle ne devait pas en être à son premier coup d’essai. Le dossier ne le disait pas, mais la PDG était convaincue qu’elle avait dû coucher au travail, que ce soit à l’époque de l’université, ou plus tard après, quand elle était devenue une femme d’affaires.
Asuka venait donc de caresser la verge de Miranda, une verge enfouie sous une jupe et une culotte, signifiant ainsi clairement à son public qu’elle n’avait pas froid aux yeux. Hannah sembla hésiter un peu, non pas par gêne (Miranda la connaissait suffisamment bien pour ça), mais plus pour se demander par quel côté aborder la chose, et comment satisfaire au mieux cette belle Asuka, qui était comme un volcan en éruption. Miranda souriait délicatement derrière son bureau, et Hannah, au bout de quelques instants, prit sa décision... Et se déshabilla rapidement. Elle ôta sa chemise, son sous-vêtement, puis dénoua sa ceinture, faisant tomber sa jupe, révélant, sous sa culotte, un membre bien dressé. Toute nue, elle était d’une beauté impériale, et elle retira également sa culotte, offrant à Miranda le spectacle de son dos, de ses fesses, et de ses longues jambes. Une vraie perfection, qui amena Asuka à sourire de désir, tout en frissonnant sur place.
*Elle a vraiment un corps magnifique...*
Ce corps était certes entretenu par les interventions chirurgicales à la clinique esthétique, il n’en restait pas moins, de base, très agréable. Hannah s’avança lentement, d’une démarche souple et sensuelle, puis retourna se poser sur le sofa, permettant à Miranda de la voir de devant, cette fois. Ses seins lourds, ses hanches, ses jambes écartées permettant de mettre en évidence sa queue, un sexe tendu et dressé. C’était une belle verge, un membre proéminent qui se dressait devant elle. Asuka l’observa en se mordillant les lèvres, ravie de ce spectacle.
Hannah se masturbait sans aucune hésitation, offrant son membre à la vue concupiscente des femmes suffisamment perverses pour le regarder, puis fit signe à Asuka d’approcher. Docile et souriante, la jeune femme fléchit les genoux, et approcha son visage de ce phallus dressé, en conservant sur ses lèvres un tendre sourire mielleux.
« Oh oui, quelle belle queue... Vous êtes vraiment très bien membrée... »
Elle posa ses mains sur les cuisses de la femme, en s’humectant les lèvres, puis, en souriant, s’approcha... Et commença par lécher ce membre, glissant le long de cette hampe de chair, mais sans encore le prendre en bouche. Elle se contentait juste de le lécher et de l’embrasser, comme une grosse glace, une expression perverse dans les yeux.
« Hum-hum... »
Elle mordillait ce sexe sur le rebord, le tirant, puis continua à le lécher, allant lécher ses belles testicules, puis la femme finit par remonter... Et entreprit enfin de le prendre en bouche, le suçant avec plaisir et envie... Et, depuis sa position, Miranda ne loupait pas une seule miette de ce spectacle, pouvant voir une partie du cul rebondi d’Asuka, car elle s’était assise sur ses genoux, tout en suçant cette grosse queue bien juteuse.
-
Les choses sérieuses commençaient dès maintenant. Alors que la majordome s’était confortablement installée dans le sofa, aguichant volontairement son amante en se masturbant doucement, elle finit par lui faire signe d’approcher, et tout naturellement, de passer à l’étape supérieure. Asuka était tout simplement sublime ; une beauté simple et féline à la fois, avec cette touche de professionnalisme qui excitait au plus haut point Hannah, qui n’avait qu’une hâte ; la pénétrer. Mais en attendant, elle pouvait commencer à ressentir le souffle chaud de sa belle taper contre son gland rougeoyant. Celle-ci commença en douceur, s’occupant à embrasser de toute part sa longue verge, de haut en bas. Ses doucereuses lèvres couvrirent la moindre parcelle de son sexe, alors qu’Hannah gémissement doucement face à ce petit avant-gout. Sa main vint s’apposer dans sa chevelure qu’elle caressa avec douceur et, étrangement, beaucoup de tendresse. Ce début de fellation lui faisait le plus grand bien, mais Asuka finit par entamer le plus gros du travail.
« Haaa … » Couina doucement Hannah, sentant les chaudes lèvres de sa terrible amante se refermer sur son bout brûlant. La jeune femme démarra encore en douceur, gobant petit à petit la virilité de la majordome qui se mordilla nerveusement les lèvres. Sa respiration devint, petit à petit, plus lourde, causant que sa poitrine s’élevait et descendait de manière plus prononcée. Finalement, la jeune employée s’affaira à prodiguer une majestueuse gâterie à Hannah, en suçant avec envie sa belle et juteuse verge, sur tout son long. D’ailleurs, on pouvait facilement voir qu’Asuka n’en était pas à sa première fois, vu qu’elle parvint rapidement à nicher tout le sexe d’Hannah dans sa gorge, sans montrer de signe de rejet. La fille de Miranda soupirait clairement, et sa main continua à caresser tendrement la chevelure de l’employée. Cette dernière pompa sur son vit, alors que sa tête commençait un peu à être aidée par la main d’Hannah, qui en désirait toujours plus. « Ohhhh A-Asukaa … Hmmmmm ! » Couinait la belle majordome, sentant son sexe palpiter dans tous les sens alors qu’elle fourrait généreusement l’œsophage de son amante.
De longues minutes s’écoulèrent, pendant lequel la délicieuse Asuka alterna entre ses gorges profondes, ses séances de léchouilles et de baisers à même cette vigoureuse verge. Celle-ci était complètement induite de la salive de l’employée, et coulissait à merveille dans la gorge chaudement accueillante de la jeune femme à lunette. « Hmmm-Hmmmmm … » Continuait de gémir Hannah, qui sentait de merveilleuses sensations au niveau de son bas-ventre. Elle sentait la langue taquine de son amante venir s’enrouler autour de son sexe, l’enserrant tendrement dans sa bouche tandis que son gland tapait contre le fond de sa gorge. Un méli-mélo de sensations de pur plaisirs, qui s’accumulaient encore et encore. La petite cerise sur le gâteau fut quand Asuka prit le temps d’embrasser généreusement ses testicules, qui donnait des frissons supplémentaires à Hannah. La majordome avait fermé les yeux et se pinçait doucement un sein, se mordillant aussi nerveusement la lèvre. Le plaisir était là, et il était en train d’exploser en elle. Elle accompagna fermement le mouvement de tête d’Asuka, comme pour mieux l’accueillir contre son pubis à chaque descente.
Mais finalement, après de longues minutes de gâterie, Hannah finit par céder au plaisir ultime, ne pouvant contenir plus de sensations à ce niveau. Son membre vibra de toute part, alors que dans une énième gorge profonde, elle se vida et jouit dans un torrent de sperme qui déferla droit dans l’estomac d’Asuka. « Hiiiiiiiiiii !!! » Couina-t-elle fortement, alors qu’elle eut son premier petit orgasme avec sa sulfureuse amante. Son bas-ventre vibrait aussi, elle venait de jouir généreusement, par petite déferlantes successives. « Hmmmm c’était … Majestueux, Asuka. Venez par ici maintenant … » Dit-elle de sa douce voix, invitant du bout de son doigt son amante à venir s’installer sur ses genoux. Quand ce fut le cas, Hannah passa ses bras autour de sa taille et de son dos, caressant doucement son échine alors que son visage s’approcha du sien, lentement, pour venir à nouveau sceller ses lèvres aux siennes …
Il n’y avait pas à dire ; Hannah adorait les bisous.
-
Asuka devait honorer cette bite avec ce qu’il convenait de faire. Ce n’était pas n’importe quel sexe, après tout, c’était celui de la majordome de Miranda Forge… Et elle le faisait sous les yeux de Miss Forge, en sachant très bien que, avec elle, le sexe, c’était comme un entretien d’embauche. Si elle n’était pas à la hauteur, elle n’aurait pas droit à tous les avantages qu’elle pouvait avoir. À Tekhos, il n’y avait que les idiotes et les naïves pour croire qu’on pouvait s’élever socialement sans s’impliquer physiquement. Le sexe était une composante normale de la société, et le travail, en ce qu’il empiétait nécessairement sur la vie privée, se devait de le refléter. Cette raison impliquait d’avoir une approche souple et allégée du harcèlement sexuel. Le sexe était librement pratiqué dans bien des sociétés, et il existait même des systèmes de primes, valorisant les employées qui multipliaient les partenaires au bureau. GeoWeapon Corp. voyait en effet les relations sexuelles comme un moyen de se rapprocher entre employées. Miranda Forge observait donc, assise sur son fauteuil, le fascinant spectacle qui s’élaborait sous ses yeux.
Agenouillée devant Hannah, Asuka s’était amusée à la préparer consciencieusement, léchant ce membre tendu comme une glace, montrant toute son expertise. Derrière son petit air sévère, il y avait une femme sacrément excitante, et qui avait, derrière elle, une activité sexuelle débordante. Elle n’était pas arrivée à sa position sans rien. Asuka léchait donc son sexe, venant le prendre en bouche, excitant au mieux la belle Hannah, la magnifique Hannah LaBelle, qui méritait pleinement son nom. Belle et tendre, elle se tortillait sur le sofa, ses mains venant se crisper sur les cheveux d’Asuka, dont la tête filait d’avant en arrière.
« Mmhmmm... »
Toute concentrée, Asuka suçait cette queue avec passion et talent. Miranda ne pouvait qu’admirer son énergie, sa vigueur, et le fait que son traitement était en train de rudement plaire à Hannah. La belle majordome soupirait longuement, les minutes défilant, rythmées par la joyeuse fellation d’Asuka. Cette dernière enfonçait cette grosse queue dans sa bouche, y allant de plus en plus fort, avec un talent de plus en plus impressionnant.
Hannah accompagnait les mouvements d’Asuka, et cette dernière continuait à pomper sur son sexe, frémissant au contact de ce membre disparaissant dans sa bouche. Elle multipliait les gorges profondes, regardant la femme avec une lueur de plaisir dans les yeux. Rien ne semblait pouvoir l’arrêter, et elle creusait ses joues en aspirant l’air, suçant cette queue, la mordillant ensuite entre ses dents, ou la léchant goulument. Ce n’était pas la première queue qu’elle suçait, et, là, Asuka s’appliquait, y mettant tout son art. Sa bouche remuait d’avant en arrière, et elle pouvait sentir les doigts d’Hannah se crisper sur ses cheveux. Encore et encore, la fellation se poursuivait, et elle sentait le sexe de LaBelle devenir de plus en plus dur, élancé, assoiffé... Puis l’éjaculation vint.
Elle la sentit remonter en elle, réchauffant tout son corps. Le foutre d’Hannah jaillit en elle, et elle l’avala joyeusement, sans trop reculer sa tête, et en avalant tout, n’en laissant pas la moindre petite goutte. Ce qui dépassa de ses lèvres fut en effet rapidement repris par sa langue, et elle déposa un ultime bisou sur le sexe de la femme, comme pour la remercier, avant de lui sourire.
Sa bouche restait néanmoins close, car elle conservait en elle le sperme d’Hannah... Et, quand Asuka se positionna sur les genoux d’Hannah, elle alla partager avec elle un baiser bien humide, envoyant son sperme dans la bouche de la femme.
« Hmmmmm... !! »
-
Alors que la somptueuse fellation avait pris fin, c’est-à-dire quand Hannah avait joui généreusement, Asuka se dressa et se plaça sur ses genoux. Dans une telle position, les baisers allaient être de mises pour un certain moment. Et la magnifique employée mis dès cet instant sa position à profit, en partant à nouveau à l’assaut des lèvres d’Hannah, qui commençaient à avoir soif des siennes. Bien entendu, rien n’égalait les lèvres de Mme. Forge, mais Asuka se débrouillait pas mal en la matière aussi. De bons baisers bien savoureux et langoureux comme Hannah en raffolait. C’était une composante essentielle, à ses yeux, dans sa conception du rapport sexuel entre femmes. Simple erreur ou non, Hannah, dans sa constitution purement sexuelle, avait un grand besoin d’embrasser sa partenaire. Pas n’importe où ; les baisers traditionnels étaient son préféré. Elle ne pouvait pas concevoir une séance de sexe, avec une femme, sans au moins qu’elle ait embrassé sa partenaire à plusieurs reprises !
Asuka semblait l’avoir compris, et offrit donc un magnifique et torride baiser à Hannah, qui sourit à ce moment alors que ses lèvres capturèrent les siennes. Mais cette fois-ci il y avait une petite variante ; l’employée avait les joues pleines du foutre d’Hannah, et profita de cet échange buccal pour lui faire gouter. « Hmmm … » Couina-t-elle alors que son sperme mijotait entre les deux bouches, passant à l’une puis à l’autre sans arrêt. Le cocktail était tout simplement délicieux. De la salive et du sperme transitait dans ce baiser ardent, à une telle quantité que quelques gouttes tombèrent sur le menton d’Hannah. Sa langue s’entortillait avec celle d’Asuka, la serrant tendrement avec elle, avant de la relâcher pour venir racler chacune de ses dents. De temps à autre, elle sortait complètement pour venir prendre en tenaille ses lèvres, embrassant directement celle-ci. Elles étaient si douces, si délicieuses ! Il lui était difficile de ne pas résister. Hannah avait posté une main sur sa hanche, qu’elle caressa allègrement, et une autre main dans sa chevelure qu’elle frottait vigoureusement, sous l’effet d’excitation qui la gagnait.
De longues minutes, ou secondes, on ne pouvait pas savoir, s’écoulèrent. Les deux femmes s’embrassaient toujours aussi fougueusement, mais la majordome finit par rompre l’étreinte. Elle avala avec appétit tout le savoureux nectar composé de son sperme, de sa salive et de celle d’Asuka. « C’est un très bon cocktail … » Ajouta-t-elle, une fois que sa bouche fut vide. Elle afficha un large sourire ensuite, encore plus désireuse d’Asuka qu’auparavant. Ses mains glissèrent dans son dos, lentement, prenant le temps de caresser chaque parcelle de sa peau incroyablement douce. Mais Hannah se décida vite à poursuivre, en rapprochant sa tête de sa poitrine. Fermant doucement les yeux, elle se laissa transporter dans une autre dimension, au moment où ses belles petites lèvres se posèrent sur le premier sein d’Asuka. Un sein imposant et généreux, dont le téton pointait fortement. Hannah déposa doucement sa main sur l’autre mamelle libre, qu’elle commença à flatter par de curieuses arabesques qu’elle formait avec ses doigts, autour de sa pointe rosée.
Sa langue fusa sur le pourtour de son téton, tandis que sa bouche embrassait avec révérence son sein. Finalement, elle fut éprise d’un amour fou pour celui-ci, et se mit à le suçoter, comme si elle était en train de la téter. Il n’y avait rien à dire ; Hannah avait fait le bon choix en sélectionnant Asuka …
-
Asuka et Hannah se livrèrent toutes les deux à un baiser particulièrement humide, dont le contenu n’échappa pas à la sagacité de Miranda. Elle savait qu’Asuka n’avait pas bu le foutre de sa majordome, et elle savait aussi qu’elle ne l’avait pas fait par dégoût, mais parce qu’elle avait en tête un fantasme bien osé... Fantasme qu’elle accomplit sans aucun problème auprès d’Hannah, et les deux femmes, pendant plusieurs minutes, s’embrassèrent donc, pressées l’une contre l’autre. Il y avait, chez Asuka, la volonté d’être promue, le désir de plaire à Miranda Forge pour avoir un meilleur salaire, de meilleures positions au sein de la firme, mais, outre cela, il y avait aussi, tout simplement, l’envie de coucher avec une femme, une femme aussi belle que perverse. Elle voulait partager sa perversion avec elle, et leurs langues se frottaient donc mutuellement, au milieu du sperme, de ce sperme qu’Asuka n’était guère pressée d’avaler, afin de mieux pouvoir en profiter. Asuka était ici en train d’accomplir un fantasme qu’elle réservait généralement avec sa femme, quand elle enfilait sa combinaison en latex, et qu’elle s’évertuait à la dominer : les baisers humides... Et, plus elles s’embrassaient, et plus le sperme se mélangeait à leur salive, dans une tendre et longue étreinte, qui finit par se terminer, en laissant les deux femmes extatiques, toutes tremblantes de désir... En tout cas pour Asuka.
Leur baiser se termina donc, et un fin sourire étira les tendres lèvres de la femme devant le compliment d’Hannah.
« Oui, ta salive lui a apporté... Quelque chose d’exquis. »
Asuka était toute excitée, et elle avait conscience que ce moment ne faisait que commencer. Dans leur dos, Miranda continuait à être étrangement silencieuse... Mais elle comptait bien intervenir sous peu. Chaque chose en son temps... Mais, pour le moment, Asuka, elle, devint à nouveau l’objet des assauts tendres et agréables d’Hannah LaBelle, en s’attaquant à ses seins. Quand on allait suivre un programme de chirurgie esthétique, en ce qui concernait les seins, les Tekhanes avaient le choix entre deux options : la masse, ou l’harmonie. La première option vous amenait à avoir des seins énormes, et la seconde à avoir des seins de taille acceptable, mais pensés pour être harmonisés avec le reste du corps. La majorité des Tekhanes optaient pour la deuxième option, car Tekhos était un pays qui aimait les courbes, l’harmonie... Un pays qui aimait la beauté féminine, misant sur les formes et sur une sorte d’esthétisme poétique, plutôt que la beauté masculine, reposant sur la taille. Un point de vue sexiste, mais tekhan.
La jeune femme avait donc fait le choix de l’harmonie, et ses seins étaient donc très agréables. Elle laissa donc Hannah s’y attaquer, ses mains venant se poser sur les doux cheveux de la femme, les gémissements d’Asuka ne tardant pas à remplir tout l’espace de ce bureau transparent. Ce spectacle était suivi par de nombreuses employées, qu’elles soient dans leur bureau, ou dans les salles de repos. Elles attendaient le moment où Miranda agirait, si elle choisissait d’agir.
« Hummm... Oh oui, Hannah, haaa... Tu... Tu es vraiment douée... »
Elle le pensait sincèrement. Hannah n’avait pas à rougir de ses capacités ; elle n’était pas la majordome de Miranda Forge pour rien. Douée et talentueuse, elle se pressait tout contre elle... À elle et rien qu’à elle, Asuka s’offrait à Hannah sans aucune restriction... Et, plus cette dernière jouait avec ses seins, et plus ces derniers se durcissaient, devenant de plus en plus douloureux.
Et, au fur et à mesure qu’elle les suçotait, du lait ne tarda pas à en jaillir...
-
Il fallait préciser que, même si c’était facilement devinable, Hannah adorait prodiguer des longs et humides baisers. Chez Hannah, son éducation sexuelle avait été construite dans deux objectifs ; le premier était de correspondre en tous points aux préférences de sa maitresse, et l’autre point, de lui permettre de développer ses propres goûts et fantasmes. Ceci fut réussi à la perfection, puisque non-seulement Hannah partageait chacun des goûts de Miranda en la matière, mais elle possédait aussi des favoris. Par exemple, le fétichisme du pied. Ou bien encore, l’amour des baisers. Hannah adorait follement qu’on l’embrasse, et par-dessus tout, adorait quand l’étreinte était mouillée. Donc, que dire quand Asuka avait fait la surprise de garder son sperme en bouche, pour lui en faire profiter. Gouter à son propre foutre ne lui déplaisait guère, voire bien au contraire. Elle avait été faite de telle façon à ne pas pouvoir être dégoutée par cela. Car après tout, elle se faisait toujours une joie immense à boire celui de Miranda, quand elle faisait usage de ses attributs masculins.
Ainsi donc, elle était des plus heureuses à faire l’amour à Asuka. Cette dernière se laissa faire quand la majordome décida d’attaquer ses seins, et c’était tant mieux. Ses douces mains vinrent enserrer sa chevelure, ce qui la fit frissonner encore plus. Hannah posa ses délicates lèvres sur la poitrine de l’employée, et commença alors son traitement. Un pur régal, une gourmandise dont elle ne pouvait que difficilement s’en passer. Bien qu’il était et sera toujours plus agréable d’embrasser les seins de Miranda. En vérité, peu importe ce qu’allait connaitre Hannah dans sa vie sexuelle, elle allait toujours ressentir que tout serait bien mieux avec sa mère. Car elle était sa mère, sa maitresse, celle qui avait le pouvoir sur elle et sur sa vie, de manière absolue. De ce fait, Miranda représentait une figure, un modèle de perfection total, que rien ne pouvait surpasser. C’était inscrit dans son code génétique à force d’avoir été formatée depuis son enfance. Miranda Forge, c’était l’excellence parfaite et complète, et rien n’était au-dessus.
Mais cela ne l’empêchait pas pour autant d’apprécier le reste. Comme c’était le cas avec Asuka, qui était mine de rien une partenaire assez agréable. Hannah s’évertuait à s’occuper de ses lourds et délicieux seins, sa langue partant à l’assaut de ses petites pointes rosées et rigides. Cependant, à force d’insister, la majordome finit par sentir un liquide couler dans sa bouche. Vu qu’elle agissait sur ses seins, Hannah comprit alors que c’était du lait. Du vrai lait maternel. Une petite surprise qui lui fit plaisir, et dont elle se régala allègrement. Ce fur pour cette raison que ses léchouilles et baisers se transformèrent complètement. Hannah se mit, mot pour mot, à téter Asuka. Si précédemment elle mimait cela, à présent elle le faisait réellement. Elle couina doucement, alors que ses joues devinrent toujours plus rouges. Son sexe s’était remis à bander durement, commençant alors à quémander qu’on s’occupe de lui … Mais ce n’était pas le moment.
Hannah aimait bien trop ce bon lait pour s’en passer si rapidement. Pressant de son autre main l’autre téton d’Asuka, dont elle en joua doucement en le pressant entre ses doigts, sa langue et sa bouche faisait tout pour aspirer l’autre. Ce fut en faisant cela qu’une idée lui était apparue. C’était bien la première fois qu’elle tétait une femme, en réalité. Elle se demandait si Miranda, si elle lui suggérait l’idée un jour, accepterait de faire ce qu’Asuka était en train de faire. C’est-à-dire se laisser téter. Hannah n’avait jamais essayé, et comme on pouvait s’en douter, ne penserait probablement jamais à le demander. Mais maintenant qu’elle était en train de le faire, l’idée s’installa progressivement dans son esprit. Ainsi, de longues minutes s’écoulèrent pendant lesquelles Hannah se régala de cette petite douceur, jusqu’au moment où elle écarta son visage. Un sourire heureux ornait ses lèvres, alors qu’elle fixa Asuka dans les yeux. « Il nous reste votre dernière porte à explorer, Asuka … » Dit-elle, en souriant malicieusement.
Disant cela, Hannah profita que son amante était sur ses genoux pour doucement la lever, orientant alors son sexe pulsant et veineux vers sa petite rondelle. Ensuite, elle effectua une pression avec ses mains pour inciter Asuka à venir s’empaler, et ainsi entamer une longue séance de rodéo … Anal. C’était au bon vouloir de l’employée, car elle n’était après tout pas obligée d’accepter cette sodomie. Mais, comment passer à côté …
-
Asuka sentit rapidement la bouche d’Hannah venir presser sur ses seins, tirant sur ses tétons, dans le but de… De téter. De faire ce que tous les jeunes enfants voulaient et souhaitaient, tout ce que les bébés attendaient de leurs mères : pouvoir boire le lait maternel, ce bon lait de maman, innocent pour les enfants, et pervers pour les adultes… Asuka se mit à gémir, ses mains se crispant sur les épaules de son amante, et elle sentit cette dernière pomper sur chacun de ses seins.
« O-Oooouuuuiiii… Hhhaaaaaannnn… !! »
Les gémissements d’Asuka étaient un véritable régal auditif pour Miranda. La PDG de GeoWeapon Corp. entendait cette dernière gémir, et esquissait de légers sourires amusés. Les deux femmes se faisaient plaisir, et, plus Hannah goûtait au lait d’Asuka, et plus son érection était en train de s’accroître. Depuis sa position, Miranda pouvait voir sa queue en train de grossir, remuant contre le bassin de la jeune employée, glissant contre son cul, faisant soupirer cette dernière. Les mains d’Asuka, elles, continuaient à caresser les cheveux de la femme, s’y crispant quand le lait filait. Asuka avait envie d’avoir une fille, envie de pouvoir la faire téter… Comme bien des Tekhanes, elle n’était nullement hostile à l’idée d’avoir plusieurs enfants, et, maintenant que sa situation sociale était assurée, elle était convaincue de pouvoir, dans un futur proche, avoir une véritable famille.
En attendant, Asuka continuait à offrir son lait à Hannah, gémissant encore et encore, les cris de la belle femme venant remplir tout l’espace. Rien à faire, rien à dire, Miranda souriait en voyant ces deux femmes. Follement excitée, Asuka mouillait abondamment, ses seins émettant autant de la douleur que du plaisir. Elle se crispait toujours contre le corps d’Hannah. Cette femme était vraiment douée, horriblement douée ! Ah, quelle chance ! Elle couchait sous les yeux de Miranda, et ce n’était rien en comparaison de la suite… Car Hannah proposa rapidement de la sodomiser, en la retournant, ce qui fit que, concrètement, Asuka présenta son dos à Hannah, et se mit face à Miranda. Elle se mordilla les lèvres, en comprenant très bien ce qu’Hannah LaBelle voulait faire : la sodomiser.
« Ouii… Défonce… Défonce-moi le cul, Hannah… Explore ma dernière porte… »
Elle rougissait de plaisir en voyant que Miranda les regardait avec intérêt. Qui sait, peut-être que voir sa majordome lui pilonner le cul viendrait la réveiller ? Pour l’heure, Miranda restait étrangement silencieuse, étrangement… Inerte. Mais, en réalité, derrière le bureau, elle mouillait également, et frottait ses cuisses. C’est juste qu’elle était plus habituée que les autres à dissimuler ses véritables émotions, mais ces deux perverses étaient monstrueusement excitantes. Chaudes comme des volcans en éruption !
Asuka se mordilla les lèvres en sentant le bout de la verge s’approcher de ses fesses, de sa croupe, puis de son petit trou… Et un long soupir s’échappa de ses lèvres, suivi d’un cri intense… Un cri si fort qu’il renforça rapidement l’excitation de Miranda, dont la mouille dégoulinait de sa culotte, pour tomber sur le sol.
*Bon Dieu, il va falloir que je les baise !*
-
Après avoir si gentillement proposer une sodomie, Hannah n’en fut que plus heureuse quand Asuka y succomba. En effet, la majordome sentit finalement son gland tout brûlant taper contre l’entrée de la petite rondelle d’Asuka. Celle-ci faisait maintenant face à Miranda, et s’apprêtait à danser sur le mat de chair de Hannah. Une belle sodomie se profilait à l’horizon, et il n’en fallait pas plus à la majordome pour être heureuse. Elle allait se faire une joie de pilonner ce fessier arrogant, de détruire les entrailles d’Asuka jusqu’à ce que celle-ci finisse par tomber dans les pommes tellement aurait-elle jouie. Les mains d’Hannah se crispèrent sur ses généreuses hanches bien fournie, puis poussa un grand soupir quand l’employée s’empala sur ce long pieux de chair et de sang. Asuka se mit aussi à crier au moment où le sexe d’Hannah se mit à fondre dans ses entrailles, excitant d’avantage toutes les femmes présentes ici.
Agrippant fermement ses hanches, la jeune femme se mit donc à accompagner les mouvements de hauts et de bas qu’effectuait Asuka. Elle montait et descendait sur sa verge, qui était incroyablement charnue et tendue, traduisant son état d’excitation. Hannah se mordait méchamment les lèvres alors qu’elle ne pouvait pas retenir les soupirs s’échappant de ses lèvres. Sentir sa queue s’enfoncer nerveusement dans cet orifice si serré et si chaud était tout simplement … Irréel. La sensation était bien trop fantastique pour être décrite avec des mots. Sa langue se mit légèrement à prendre alors que la belle Asuka continuait son rodéo. Son gland tapait contre son fond, de plus en plus rapidement à mesure que l’employée accélérait le rythme de ses mouvements. Elle rendait littéralement Hannah folle … Elle qui était très sensible à la sodomie. Autant en étant celle qui la donnait, que celle qui la recevait.
Ce n’était pas un hasard si ses plus puissants orgasmes avaient eu lieu suite à une sodomie effectuée par Miranda. Il restait à savoir si c’était grâce à la parfaite maitrise de sa maitresse, ou bien si c’était uniquement cette pratique qui parvenait à lui faire autant d’effet. Quoiqu’il en était, elle se souvenait des innombrables fois qu’elle avait été enculée par Miranda, et qu’elle avait jouit encore et encore, jusqu’à perdre conscience parfois. Ses plus beaux et foudroyants orgasmes avaient tous eu lieu quand une monstrueuse verge, celle de Miranda, était bien nichée entre ses fesses et finissait de la pilonner. Il n’y avait pas à dire ; la sodomie faisait partie des pratiques les plus appréciés chez Hannah. Pas seulement car c’était bon, mais aussi car c’était l’une des pratiques qui l’excitait le plus. Il était donc normal de la voir dans un tel état alors qu’elle en prodiguait une à Asuka.
Son sexe, fièrement tendu, continuait de matraquer ses entrailles, faisant de plus en plus craquer la majordome. C’était qu’elle adorait le cul d’Asuka ! Rare était les fesses qui étaient aussi accueillantes et sensationnelles à baiser. C’était le coup de grâce pour Hannah, qui au bout de longue minute à sodomiser fermement et hargneusement Asuka, finit par gémir puissamment. « HAAAWWWW OUIIII !!! » Cria-t-elle, ne pouvant tout simplement plus se retenir. Ses mains finirent même par griffer la belle beau de l’employée, qui continuait malgré tout à danser de manière endiablée sur son vit. Elle s’empalait tellement profond que les bourses d’Hannah se faisaient écraser à chaque descente, apportant une petite touche de douleur dans cet échange.
Finalement, après d’interminables temps, Hannah finit par enfoncer ses doigts dans les généreuses hanches d’Asuka, sentant sa verge sur le point d’exploser en elle … « HAAAAAAANNNN !!! » Gémit-elle, ne pouvant retenir alors le déluge. Son sexe laissa exploser toute sa hargne accumulée, et cracha violemment plusieurs salves de foutre, avant qu’il n’expulse, sans interruption, un long et puissant torrent de foutre qui vinrent fourrer les intestins d’Asuka de sa brûlante semence. Pendant tout ce temps, Hannah gémissait dans tous les sens, ayant complètement perdu les pédales, tellement l’orgasme fut foudroyant. À un tel point qu’elle avait basculé sa tête en arrière, et ses yeux étaient levés au plus haut de leur orbite … Avec sa langue qui pendait.
-
Pour autant que Miranda s’en souvienne, elle avait toujours aimé sodomiser Hannah... Et, de manière générale, elle aimait toujours sodomiser ses amantes. Pour elle, c’était à la fois un signe d’affection et de domination profonde, bien plus fort qu’une fellation, et, en tant que PDG d’une immense firme, elle aimait marquer son empreinte... Elle voyait donc Hannah s’amuser à sodomiser Asuka, à enculer la belle, et les deux perverses se faisaient plaisir. Miranda remua un peu sur son fauteuil. Oh ! Rester spectatrice devenait une véritable horreur, car tout son corps lui soufflait d’agir, lui hurlait de venir, d’aller pénétrer cette salope qui se faisait défoncer le cul... Miranda ne connaissait pas une seule de ses employées qui ne fantasmait pas sur le fait de venir au boulot pour coucher avec la patronne, belle, forte, et terriblement douée au lit. Miranda estimait avoir toutes les qualités requises par la société tekhane, l’humilité n’en faisant pas partie. Les Tekhanes étaient arrogantes. Elles pouvaient se permettre de l’être, car leur technologie était très avancée sur le reste du monde. Elles dominaient le reste du monde, et ce reste ne devait leur barbarie actuelle qu’au fait que les Tekhanes étaient dans l’incapacité de venir les rationaliser, à cause des Formiens. Autrement dit, Miranda était une idole dans une société qui, de base, était idyllique... C’était dire à quel point la femme était forte, et était consciente de sa puissance. L’humilité ne faisait clairement pas partie du vocabulaire de Miranda, tout comme la chasteté, ou la décence sexuelle.
Les deux femmes se mettaient à hurler devant elle, la mouille d’Asuka dégoulinant le long de ses cuisses. Le sofa sur lequel elles étaient assises avait eu l’occasion de servir à bien des reprises, et on ne pouvait que féliciter sa résistance. Asuka se dandinait de plus en plus, la verge d’Hannah coulissant dans son cul, le contact de leurs chairs provoquant des bruits flasques, quoique légèrement étouffés par leurs vêtements. Elles se mirent ensuite à hurler, se dandinant sur place. Asuka, elle, était surexcitée, et ne simula rien... De toute manière, elle simulait assez peu, et, là, Hannah était à la hauteur de sa réputation. Une amante forte, entraînée, endurcie par sa « mère », Miranda Forge... Se faire défoncer par elle était un plaisir inouï, et, tandis qu’Asuka sentait son orgasme approcher, ses lèvres s’entrouvrirent, de la salive en coulant, alors qu’elle continuait à gémir et à soupirer faiblement.
« Haaaaaaaaaaaaa... Huuuuuuuuuuuuuuuuunnn !! »
Douleur et plaisir avaient fusionné en un seul ensemble, se déversant dans la scène... Et les deux femmes jouirent donc. Un délicieux et magnifique orgasme pour Asuka, exceptionnel dans tous les sens... Exceptionnel par son intensité, et exceptionnel par sa surprise. Asuka ne s’était clairement pas attendue, ce moment, à être choisie par Miranda pour se faire baiser devant elle... Et, tandis qu’elle revenait à elle, les joues délicieusement rouges, elle put entendre du mouvement, et rougit de plus belle en voyant Miranda, devant elles...
...Avec une verge dressée sortant de sa minijupe. La femme se masturbait lentement, faisant cliqueter les bracelets dorés situés le long de ses poignets.
« Ne vous fatiguez pas trop vite, mes chéries, car vous m’avez bien excité... Et il y a un de tes trous qu’Hannah n’a pas visité, ma chère Asuka... »
Asuka se pinça les lèvres, en sentant son excitation croître. Être prise en sandwich par Miranda Forge et sa majordome, Hannah LaBelle... C’était comme un rêve éveillé qui venait s’accomplir ! Et, en ce qui concerne Hannah, la belle allait devoir encore se forcer... Mais elle avait probablement l’habitude, car Miranda s’amusait constamment à la pousser au-delà de ses limites.
Comme en ce moment, où elle se rapprocha des deux femmes...
-
L’orgasme d’Asuka et d’Hannah avait été tout simplement magistral. La majordome de Miranda s’était joyeusement faite plaisir, en pilonnant de toute ses forces l’arrière-train de l’employée, qui s’était retrouvée ainsi forte bien sodomisée. La verge de Hannah était cependant toujours aussi vigoureuse, rigide, prête à en découdre malgré le torrent de foutre qu’elle avait craché dans les intestins d’Asuka. Les deux femmes avaient joui de concert, criant tout leur plaisir en même temps. La mouille de la jeune femme avait coulé entre ses cuisses, se déversant à la fois sur celles d’Hannah, et sur le sofa fort bien endurant. Une situation merveilleuse, que Hannah savourait pleinement. Elle avait fait le bon choix en jetant son dévolu sur cette femme. De toute évidence, Asuka était une perverse, mais aussi une femme expérimentée et très fougueuse. De quoi largement plaire à la majordome, et à Miranda, qui semblait de plus en plus échauffée.
Car ce si beau spectacle, il se déroulait sous ses propres yeux. Et bientôt, la patronne se décida à agir. Elle avait regardé avec un œil des plus attentifs comment Hannah avait martelé le fondement de son employée ; avec hargne et rigueur. Ses doigts s’étaient enfoncés dans la généreuse chaire d’Asuka, alors qu’elle faisait tout pour l’enfoncer contre elle, afin de mieux faire rentrer son sexe dans son accueillante croupe. Son orgasme avait été foudroyant, et terriblement puissant. Non seulement elle avait littéralement rempli les intestins d’Asuka de sa semence, mais elle-même, avait perdu pieds sur terre. Yeux relevés, langue pendouillant légèrement, elle était mine de rien assez éprouvée après un tel moment. Preuve que la sodomie était quelque chose d’extraordinaire efficace avec Hannah. Qu’elle la subisse, ou qu’elle la procure. Ce n’était donc guère étonnant que parmi les choses qu’elle adorait le plus faire avec sa mère, il y avait ceci.
Miranda savait mieux que quiconque comment procurer une bonne sodomie. Surtout envers Hannah. À vrai dire, on aurait presque dit que ce point a fait intégralement parti de sa conception physique ; il suffisait de voir la taille de sa croupe et son extrême tendresse pour s’apercevoir qu’elle était faite être sodomisée. Au plus grand bonheur de Miranda, bien entendu. Mais ce soir, Hannah allait expérimenter une nouvelle forme ; celle pratiquée par des hommes, cette fois-ci. Elle ne savait pas ce que cela allait donner, mais elle en mourrait déjà d’impatience. Mais en attendant, il y avait Asuka … Et bientôt, Miranda allait les rejoindre pour pimenter la partie. Ce qu’elle fit après l’orgasme des deux femmes. La somptueuse femme qu’était madame Forge se leva de toute sa magnificence, et vint se poster devant les deux amantes. Toute la majesté de son personnage se révélait à eux, dans cette position ; arrogante, dominante, dressé tel un maitre absolu face à ses adeptes.
Et pour le mieux, son gourdin de chair érigé, levant de force sa minijupe. La patronne se masturbait doucement, comme pour se mettre petit à petit dans le bain. Hannah, en voyant une telle trique, aurait bien eut envie de laisser Asuka pour venir purement et simplement offrir une fellation à sa maitresse. Mais là, les choses devaient être autrement. Asuka allait être généreusement prise en sandwich, au plus grand bonheur de la majordome et de sa maitresse. Hannah, malgré le fait qu’elle avait abondamment jouit, savait qu’elle allait devoir faire encore un effort. Mais elle était endurante, très endurante ; elle avait été créé pour ça, de toutes façons. Sa juteuse verge resta aussi ferme et dressée qu’auparavant, visiblement prête à en découdre de nouveau.
Il ne restait plus qu’à ce que Miranda se mette en place, et le tout serait parfait. La patronne finit d’ailleurs par le faire, faisant ainsi d’Asuka un matelas confortable séparant mère et fille. Une merveilleuse et sordide affaire allait commencer dans les instants à venir … Au plus grand bonheur des trois femmes présentes, qui allaient joyeusement s’envoyer en l’air !
-
Asuka allait défaillir... Dieu ! La grande patronne était là, face à elle, avec sa queue érigée, ce membre érectile, dressé sous son nez ! Et c’était bien elle ! Oui, elle ! Miranda Forge ! La grande Miranda Forge ! la PDG de GeoWeapon Corp., une femme extrêmement puissante, qui dansait avec les sénatrices, et qui allait lui faire l’amour... Malgré sa fatigue due à la sodomie lourde et intense de Miranda, Asuka se sentit frissonner en voyant la femme se rapprocher d’elle. Son cœur tambourinait follement dans sa poitrine, et elle n’osait même plus parler. Les femmes étaient toutes de belles perverses à GeoWeapon Corp., et toutes les employées avaient envie de coucher avec leur patronne. Les mains de Miranda allèrent ainsi se poser sur les épaules de la femme, et, tout en souriant, elle se pencha vers elle.
« Ouvre tes cuisses, Asuka...
- Ouuuiii... »
La jeune employée soupira, et sentit ensuite le sexe de Miranda se perdre en elle, remontant dans son vagin, la faisant soupirer longuement. Elle se dandina sur place, en sentant cette queue se perdre en elle, puis les mains de Miranda se déplacèrent sur ses cuisses, et, tout en se rapprochant des doigts d’Hannah, elle força un peu en arrière, et, avec l’aide d’Hannah, parvint ainsi à se redresser, Asuka se mettant à couiner. Debout, les deux femmes auraient plus de facilité pour pénétrer Asuka, et, sachant comment les choses se passaient, la jeune femme ne tarda pas à redresser ses jambes, et les enroula autour du bassin de Miranda, tout en allant l’embrasser tendrement et goulûment.
« Hmmmm... !! »
Fermant les yeux, Miranda savoura ce contact, sa langue ne tardant pas à jouer avec celle d’Asuka, puis elle commença ensuite à accentuer ses coups de reins, remuant dans le corps d’Asuka, tandis qu’Hannah devait reprendre sa sodomie. Les deux femmes prenaient ainsi la belle employée en sandwich, la pénétrant durement, faisant gémir cette dernière. Une main sur sa tête, Miranda la maintenait contre son visage, continuant ainsi à l’embrasser, tout en sentant le corps de la femme remuer généreusement, d’avant en arrière.
Miranda finit par rompre le baiser, un sourire de perversion sur les lèvres, puis alla mordiller le cou d’Asuka, faisant gémir cette dernière.
« Haaaaaaaaaaaaannn... !! »
La PDG mordilla le cou de la femme, tout en caressant l’autre partie de son cou...
...Comme pour inviter Hannah à venir la mordiller aussi !
-
Quelle employée, censée et rationnelle, travaillant à GWC n’aurait pas souhaité se retrouver à la place d’Asuka ? Cette femme s’était d’abord faite bien prendre par Hannah, la majordome de la patronne. Elle lui avait d’abord fait faire une merveilleuse fellation, suivit d’une bonne sodomie. Pratique largement favorite chez la majordome, qui n’y était pas allée de main morte, fourrant hargneusement sa trique douloureuse dans ses entrailles. Et le résultat n’avait pas manqué à l’appel ; les deux femmes avaient joui, grandement ! Hannah avait bien été éprouvée par cet orgasme, qui lui avait bien vidé les bourses. Toutefois, ce n’était pas la fin de tout. C’était ne pas compter avec la grande patronne, qui avait été là depuis le début, à les observer pour choisir le bon moment.
En effet, Miranda se leva et, de toute sa majesté, dévoila son sexe érigé comme une colonne de marbre, prête à en découdre à son tour. Inutile de dire qu’à cette vue, Hannah n’avait pas eu envie de laisser Asuka pour venir y gouter. C’était qu’elle avait grandement l’habitude de prodiguer de longues fellation à sa maitresse, donc c’était presque comme un réflexe. Mais là elle savait que les choses étaient différentes. Elle savait que c’était Asuka qui allait s’en prendre plein les dents, comme on disait. Et cette pensée ne fit que la réjouir, car elle savait ce qui allait se passer très précisément. Un bon sandwich, comme elle et sa mère n’en avait pas fait depuis un bon moment.
Ainsi, elle laissa faire la patronne, qui se pencha vers elle avant de l’embrasser. Hannah elle tenter de reprendre rapidement en vigueur, car après un tel orgasme, il fallait avouer qu’il était dur de reprendre. Aussi rapidement du moins. Mais, elle était Hannah LaBelle … Une femme ayant été créé artificiellement pour répondre à des besoins très précis. Dont le sexe, majoritairement. Reprendre de la vigueur n’était donc pas impossible pour elle. Hannah laissa donc sa patronne, qui finit par faire lever Asuka. La majordome suivit le mouvement, afin de compléter cette position, qui se voulait être comme un sandwich ; c’est-à-dire elle et Miranda, avec Asuka au milieu. Les deux majestueuses femmes étaient donc debout, et Asuka enroula ses délicieuses jambes autour de la patronne, comme pour prendre appui.
Hannah soutenait une partie du poids, tout comme Miranda. Elle caressa l’employée, puis attendit le moment pour bien la pénétrer de nouveau. Elle ne put que constater qu’Asuka succombait complètement face au baiser qu’elle entretenait avec Miranda. Et elle succomba encore plus quand celle-ci se mit à la besogner. Ce fut le signal pour Hannah, qui dès lors dirigea son vigoureux mat de chair entre les accueillantes fesses d’Asuka, puis lentement, commença à la faire fondre en elle. Ceci compléta alors la position, faisant que l’employée était à la fois pénétrée par d’avant, et d’arrière, se faisant ballotter dans ces deux sens. « Hmmm … » Gémit Hannah, qui adorait cette sodomie, et cette situation.
Et alors que tout était bien parti, Miranda se mit à mordiller le cou d’Asuka. Une très belle initiative, qui donna furieusement envie à Hannah. Et ce fut son jour de chance ; le petit signe de sa maitresse ne passa pas inaperçu. Un autre fait intéressant, d’ailleurs. Le fait que Hannah et Miranda se comprenait si facilement, et rapidement. À force de se côtoyer, et surtout de par la vocation de majordome de Hannah, elles pouvaient aisément communiquer par de simple petits gestes ou signes. Tout ceci pour dire que, après avoir vu cela, Hannah sourit puis, continuant de fourrer joyeusement la petite rondelle étroite d’Asuka, elle pencha son visage vers l’autre côté de son cou, puis se mit à tendrement la mordiller à son tour.
Quelle petite chanceuse était-elle, cette Asuka …
-
Trois beautés en train de se faire l’amour joyeusement et frénétiquement, voilà qui était particulièrement excitant. Miranda et Hannah prenaient la belle Asuka, cette sensuelle et magnifique beauté, arrogante et élégante, qui était prise entre les deux femmes. Elle couchait avec Miranda ! Diantre, elle couchait avec Miranda ! Il y avait, avec le sexe, un brin de folie chez certaines Tekhanes, car, en ce moment, tout ce qu’Asuka espérait, c’était que la scène soit enregistrée, filmée, et qu’elle puisse en avoir un double, afin de le montrer à sa chérie, et de lui dire : « Tu vois comme je suis belle ? J’ai couché avec Miranda Forge ! »
Coucher avec Miranda était en effet un immense honneur pour bien des Tekhanes, car Miranda avait soigné son image. Comme une sorte de chef d’État d’un régime totalitaire, elle avait utilisé son groupe de médias pour réaliser des émissions sur elle-même, et elle faisait partie des responsables de la perversité de la société. En effet, Miranda avait ses propres émissions de téléréalité, où des adolescents et des femmes organisaient des concours, juste pour avoir le droit de coucher avec elle, la PDG appréciant leurs performances pour décider qui deviendraient son amante. Luxure et avarice, car Miranda payait assez généreusement ses amantes. Luxure et avarice, les deux piliers de la société tekhane, voire de n’importe quelle société. Ici, à Tekhos, les femmes laissaient librement parler cette perversité, et c’était typiquement le cas dans les locaux de GeoWeapon Corp. Miranda pénétrait joyeusement et lourdement la belle Asuka, et, quand elle et Miranda la mordillèrent, elle se délecta joyeusement des multiples soupirs et couinements de la femme. Ses jambes allèrent s’enrouler autour de la taille de la femme, son corps se crispant contre celui de Miranda.
« Hmmmm... Haaaaa... O-O-Ouuuuuiiii... !! »
Les trois corps se dandinaient entre eux. Miranda voyait Hannah mordiller à son tour Asuka, confirmant bien le fait qu’elle était sa « fille ». Au moins au sens sexuel, car Hannah avait les goûts de Miranda. Le cul d’Asuka était rempli par la grosse verge de la femme, tout comme son vagin, pilonné par la propre queue de Miranda. Les deux femmes continuaient donc à la prendre, encore et encore, en soupirant longuement. La chemise et les vêtements d’Asuka collaient à sa peau, et elle soupirait donc de plaisir.
Miranda alla l’embrasser, et la main d’Asuka se crisper sur ses cheveux. Elle mordilla ses lèvres, tirant un peu dessus, en sentant le corps d’Asuka soupirer de plaisir. Le corps de la belle femme remuait donc contre les deux femmes, et Miranda continuait à la prendre, d’avant en arrière, suivant ainsi les mouvements d’Hannah, s’enfonçant parfois quand sa secrétaire se reculait, et, parfois, les deux s’enfonçaient en même temps, amenant Asuka à écarquiller les yeux.
« Haaaaaaaaaaaaaaa...
- Mmmhmmm... Que tu es bonne, Asuka, haaann... !! »
La PDG continuait à remuer en elle, et remonta ses mains le long des cuisses de la femme, pour sentir, du bout des doigts, le corps d’Hannah.
« N’est-ce pas... Haaan... Haannah ?! Hum... Est-ce que.. Haaa... Tu voudrais la... La re-revoir... P-Plus tard ? Hummm... !! »
Qui sait ? En tout cas, l’idée de coucher à nouveau avec ces femmes ne dérangerait sûrement pas Asuka !
-
Une bien belle situation pour une bien belle femme. Asuka était, de tout évidences, une sublime femme, telle que l’on devrait en voir à Tekhos. Hannah ne savait pas si d’un point de vue externe au pays, celui-ci devait avoir la réputation de posséder les plus belles femmes. Si l’on faisait abstraction de leur perversité, ou de leur animosité envers la gente masculine. Mais force était de constater que Tekhos, de par sa grande exigence sociale et son niveau technologique, possédait un excellent pool génétique. La majordome le constatait rien qu’à GWC ; les femmes ici étaient toute de sublimes créatures, possédant prestance, grâce et charme. Elles n’étaient pas vulgaires, du moins pas toutes. Beaucoup possédait un puissant charme, rien que parcequ’elles avaient une façon chic de s’habiller, et parcequ’elles étaient tout simplement belles.
C’était le cas d’Hannah, et de Miranda bien entendu. Et c’était tout aussi le cas d’Asuka, qui était en train de subir les assauts incessants des deux femmes, qui la pilonnaient sans cesses. Ses deux entrées se retrouvaient éprouvées, de toute part, sans aucuns répits. Asuka se laissait complètement prendre, et avait même enroulé ses deux jambes autour de la taille de Miranda. Autant dire qu’elle devait réellement apprécier ce petit jeu. Toutefois, il en aurait été très dur autrement. Comment ne pas succomber alors que deux plantureuses femmes étaient en train de copieusement s’occuper de vous ? C’était impossible. Hannah redoublait dans ses efforts, allant et venant avec une précision et une régularité exemplaire. Et avec force aussi ; ses coups de butoirs faisaient claquer sa peau contre celle d’Asuka, et sa verge parvenait à rentrer intégralement … C’était pour dire.
Le plus agréable, et ô comment sensationnel, était quand Miranda et Hannah la pénétrait en même temps ! C’est-à-dire qu’elles parvenaient à se synchroniser pour la fourrer, à ces deux endroits différents, au même moment. Quand ils arrivaient, Hannah pouvait sentir tout le corps d’Asuka frissonner face à cela. Mais plus cela allait, plus il était de plus en plus dur de ne pas jouir abondamment en elle … Il n’était pas encore le temps ! Hannah soupirait grandement, perdant la tête progressivement, ne cessant pour rien au monde de labourer encore et encore. Cependant, Miranda finit par poser une question, au beau milieu de l’effort. Hannah couina doucement, tentant de se concentrer du mieux qu’elle pouvait, et ne pas complètement se perdre au milieu de tout ce plaisir … Surtout pour une grande amoureuse de la sodomie comme elle.
« Hmmm ça … Haawww ça serait avec p-plaisir ! A-Asuka e-est … Hmmmm ! Est tellement douée ! » Répondit-elle, à sa mère. L’idée de coucher à nouveau avec Asuka lui plaisait fortement. C’était que cette femme avait un petit quelque chose qui attirait Hannah. Alors, l’idée de pouvoir de nouveau coucher avec elle la séduisait fortement, surtout si c’était pour recommencer un petit jeu à trois ! En fait … Peut-être qu’Asuka l’attirait autant car elle l’associait à des jeux à trois avec Miranda. Quoiqu’il en était, elle voulait définitivement la revoir, et dans le meilleur des cas, pour refaire une petite partie à trois joueurs avec sa maîtresse.
-
Le corps d’Asuka parlait pour elle. Comme quoi, la jeune femme avait raison de suivre une thérapie esthétique à l’une des cliniques les plus cotées de Tekhos Metropolis. Au sein de la société tekhane, la chirurgie esthétique désignait tout un ensemble de pratiques médicales, et il était fréquent que chaque femme dispose d’un programme médical prévoyant une série d’interventions et de médicaments destinés à donner au corps les plus belles formes possibles. Difficile de dire que ce n’était pas naturel, car il ne s’agissait pas de mettre du silicone dans les seins, mais d’utiliser des hormones de croissance pour augmenter la taille des seins, la forme du corps en général, la silhouette, la longueur des jambes, la douceur du corps. On parlait donc véritablement d’une « thérapie », car il y avait toute une série d’opérations à faire, avec des prescriptions médicales importantes. Asuka se faisait la plus belle possible, car, à Tekhos, la forme était autant importante que le fond. Fort heureusement, elle avait réussi dans les deux plans, car, autrement, elle n’aurait jamais eu la chance de coucher avec Miranda. Sentir sa chef lui défoncer le vagin, voilà qui était une magnifique perspective... Ça, ainsi que la promesse de la revoir ! Ce sur quoi sa majordome semblait s’accorder, ce qui ne manquait pas de la faire frissonner de plaisir.
Miranda et Hannah continuèrent donc à la prendre, leurs épaisses verges la labourant, et Asuka ne tarda pas à avoir un premier orgasme. Cependant, les deux femmes ne s’arrêtèrent pas si facilement, et continuèrent, encore, à la prendre, avec plus d’acharnement. Asuka gémissait, couinait, sa salive coulant parfois de ses lèvres. Miranda et Hannah étaient deux amantes expérimentées, et ça se voyait, car leur orgasme ne venait pas facilement. Les mains d’Asuka se crispaient sur les épaules de sa patronne, tandis que les minutes semblaient défiler à toute allure. Ses amantes soupiraient lentement, et Asuka échangeait fréquemment des baisers, ou se faisait mordiller le cou, ses vêtements continuant à remuer avec elle.
« Haaaaaaa... Hnnnnnnnnnnnnn... !! »
Quelle amante ! Comment douter, en ce moment, de la puissance de Miranda ? À Tekhos, els performances sexuelles étaient très appréciées, et, de la part d’une patronne, de la puissante chef d’une mégacorporation, on ne s’attendait pas à moins ! Asuka eut un second orgasme avant que les deux femmes ne s’abandonnent en elle... Un magnifique et ultime orgasme, comme un violent et virulent point d’exclamation à cette orgie très professionnelle ! Les ongles de Miranda s’imprimèrent dans la chair d’Asuka, et cette dernière eut droit à l’un des plus beaux spectacles qui puissent exister : voir le visage ravi de Miranda au moment de son orgasme. Ses yeux se fermèrent, et sa bouche s’entrouvrit faiblement, puis elle s’abandonna, déversant son foutre dans sa fleur intime, l’inondant totalement et joyeusement.
Asuka tomba sur le sol, atterrissant sur les fesses, et resta là pendant quelques secondes, voyant, devant elle, la verge sale de Miranda. Cette dernière respirait lourdement, soulevant et abaissant sa poitrine, mais, en ce lieu comme en d’autres, la volonté de Miranda était maîtresse en ces lieux, et, quand cette dernière lui donna un ordre, Asuka ne put que s’exécuter :
« Nettoie nos queues, petite catin... »
Et, pendant qu’Asuka léchait et nettoyait, Miranda tourna son regard vers Hannah, et caressa sa joue avec l’une de ses mains.
« Tu es contente, ma chérie ? Nous avons un nouveau jouet... » dit-elle, son autre main venant tendrement caresser les cheveux d’Asuka.
Et quel délicieux jouet !
-
Comment la majordome de la puissante Miranda Forge aurait pu ne pas aimer ce qui se passait. Elle venait de sodomiser comme il se devait une belle et ravissante employée, en partageant ce délicieux moment avec sa maitresse. Celle-ci ne s’était pas non plus ménagé pour pilonner Asuka. Cette dernière avait dû connaitre son moment le plus excitant et le plus incroyable dans toute sa vie sexuelle. Se faire baiser par deux magnifiques créatures membrées, en même temps, devait être quelque chose de particulier. Hannah revoyait comment elle gémissait et couinait fortement, surtout quand mère et fille se mettaient à la pilonner exactement de concert, remplissant ses deux orifices au même moment. Il n’y avait rien de plus sensationnel que cela.
Cependant, le grand final ne tarda guère à venir, surtout au moment où Asuka eut son premier orgasme. Mais il en fallait plus pour en découdre avec ses deux amantes, qui continuèrent encore et encore à la fourrer, l’amenant au bord de tout. Notamment, au bord d’un second et puissant orgasme, qui la foudroya encore plus violemment. Tout simplement car Miranda et Hannah se mirent aussi à jouir, relâchant alors toute la pression accumulée. Voir le visage ravie et détendu de la patronne avait quelque chose d’incroyablement gratifiant, et même … Hypnotisant, du moins pour Hannah. Celle-ci se mit aussi à jouir abondamment, remplissant généreusement les entrailles d’Asuka de sa crème brûlante. Les deux femmes se lâchèrent donc, remplissant la pauvre employée complètement exténuée de leur foutre respectif.
Un final des plus somptueux, qui se conclut d’une drôle de manière. En effet, Asuka fut lâchée et tomba alors au sol, sur ses jolies petites fesses. Mais, son repos ne fut que de courte durée, puisque Miranda, de toute sa suprématie, lui ordonna alors de nettoyer leurs queues. Ordre qui fut mis à exécution. Asuka se mit à lécher et sucer ces deux verges bien éprouvées, tandis que Miranda, en souriant, posa une de ses mains dans ses cheveux. Mais, elle posa aussi son autre main sur la délicate joue d’Hannah, qui était aussi rouge que chaude. C’était que depuis le début de cette journée elle n’avait pas arrêté de faire l’amour ! C’était donc compréhensible de la voir dans cet état … Mais elle était capable d’encaisser plus.
Elle ne put que sourire face à la remarque de sa maitresse, et pour appuyer ses dires, elle apposa sa main par-dessus la sienne, la caressant doucement. « Je ne peux être plus satisfaite que maintenant, maitresse. Mais je suis d’ores et déjà impatiente qu’on utilise à nouveau notre nouveau jouet … » Dit-elle, en regardant Asuka en train de nettoyer – offrir une fellation – à Miranda. Bientôt ça serait à son tour, cela dit. Et quand ce fut le cas, Hannah commença à se mordre la lèvre. Elle soupira doucement puis caressa tendrement la chevelure de l’employée, l’admirant en train de la nettoyer. « Même ça, vous le faite d’une manière des plus appliquée, Asuka. » Lui dit-elle, la complimentant au passage.
À présent … Il fallait s’en remettre à Miranda pour voir ce que les deux femmes allaient faire à présent.
-
Asuka nettoya leurs sexes, et Miranda alla ensuite s’étirer un peu, tout en remettant ses vêtements. La petite séance était finie, et elle savait qu’Hannah avait maintenant envie de savoir ce qui allait se passer... Mais, et même si faire l’amour toute la journée constituait un programme des plus intéressants, Miranda avait, hélas, des obligations à respecter, et du travail à accomplir. Asuka partit donc, avec la promesse qu’elle reverrait très bientôt sa PDG et Hannah. Miranda se retourna ensuite vers sa majordome, et donna quelques brèves instructions :
« Nous ferons le live ce soir, sur le plateau de télévision. D’ici là, tu as... Tu as quartier libre. Fais ce que bon te semble, et, à vingt heures du soir, nous nous retrouverons dans mes appartements. »
Le live avait traditionnellement lieu dans les locaux de GeoMedias, la partie de GeoWeapon Corp. gérant les chaînes télévisés du groupe, qui proposait tout un bouquet de chaînes à ses abonnées. Pour cela, GeoMedias proposait un décodeur, la GeoBox, qui permettait d’avoir accès à ses chaînes, ou juste un code d’accès pour un autre décodeur ou un ordinateur. Il y avait différentes formules, mais toutes incluaient, de base, « GeoNews », une chaîne d’informations, « Channel Forge », une chaîne chargée des relations publiques de la mégacorporation, et « NetForge », une chaîne plus globale. Parallèlement à ça, il y avait d’autres chaînes, comme « GeoKids », pour les enfants, ou encore « GeoMovies », destinée aux films.
C’était donc là-bas que Miranda comptait se rendre pour son show, qui faisait partie du programme de la chaîne « GeoErotic ». Le « Miranda Forge Sexual Show ! », qu’on appelait aussi MFSS, était un spectacle qui attirait continuellement un nombre élevé de spectatrices. Miranda alla donc dans ses bureaux, et passa un après-midi studieux, planchant sur des contrats, signant des papiers, consultant des mémos, et planifiant des rendez-vous. En tant que PDG, elle avait un rôle important au sein de la mégacorporation, car elle supervisait l’ensemble des projets, et, en conséquence, lisait des rapports, ou donnait des entretiens.
La femme n’avait pas oublié les conséquences de l’entretien de ce matin, et fut ravie de voir que l’une de ses secrétaires avait eu le temps de faire le compte-rendu de la réunion. Elle le consulta brièvement, puis le valida. Il faudrait ensuite l’envoyer à chacun des participants de la réunion afin que tous le signent, et, ainsi, que ce procès-verbal soit homologué, et puisse être publié. Miranda travailla donc, et continua à travailler alors que le soleil se couchait.
L’heure finit par approcher, et, quand il fut vingt heures, elle laissa Hannah entrer, mais cette dernière dut encore attendre un bon quart d’heure, avant que Miranda ne vienne la voir, dans l’un des salons de ses quartiers. Elles s’embrassèrent brièvement, puis Miranda lui sourit.
« Alors, qu’as-tu fait aujourd’hui, ma chérie ? »
-
Asuka était, de toutes évidences, une femme qui allait revenir dans les ébats entre Hannah et Miranda. Elle avait bien tapé dans l’œil de la majordome, qui était prête à la revoir un jour, quand ça sera le moment. C’était qu’elle était si … Délicieuse. Peut-être qu’Asuka n’en aurait pas demandé autant, mais si l’on se fiait à la culture commune d’entreprise, elle ne pouvait qu’être contente de voir que la PDG était satisfaite, et même prête à lui refaire l’amour ! Asuka allait potentiellement devenir une partenaire régulière, un jouet pour la patronne et sa majordome. Une idée forte bien séduisante, mais qui néanmoins n’allait pas se faire de suite. Car pour le moment, l’employée fut libérée, et Miranda se rhabilla. Hannah en fit autant, se retrouvant à nouveau pimpante et présentable devant sa maitresse.
Celle-ci lui déclara alors qu’elle avait quartier libre jusqu’à ce soir. Elle devait retrouver Miranda à vingt-heures, dans ses appartements. Entre-temps … Elle pouvait faire ce que bon lui semblait. Hannah acquiesça respectueusement, puis prit congé de Miranda. Elle fut un peu perdue au début, ne sachant pas vraiment quoi faire. Avant de se remémorer qu’elle avait une pile de choses à faire ! Mettre à jour les différents agendas de Miranda, que ce soit pour supprimer les rendez-vous annulés, effectués, etc. Elle devait aussi prévoir les futurs créneaux libres pour elle, afin que la patronne puisse facilement planifier ses journées. Après ça, elle allait devoir faire une tonne de paperasse administrative, que sa patronne lui avait donné. Entre envoi de mail, courrier, et autre régulations administrative, Hannah avait beaucoup de boulot.
Et étonnamment, cela la fit sourire. Elle prit une grande inspiration, puis se dirigea ensuite vers son lieu de travail, où elle passa alors tout l’après-midi et plus à faire tous ces travaux. Entre mails, téléphone, ordinateur et autre, la majordome ne remarqua même pas le temps qui passait. Mine de rien, c’était tout un travail d’être la majordome de l’une des femmes les plus puissantes de Tekhos. Un travail éprouvant et si stressant, que peu de personnes seraient qualifier pour le faire, même à l’idée de travailler directement pour Miranda. Hannah y parvenait car elle avait été conçue, de A à Z, pour ça. Pour servir la grande madame Forge, avec dévotion et plaisir. Tout cet amas de travail était, à ses yeux, un pur bonheur. Hannah était, de fait, une esclave parfaite, car elle était pleinement consciente de sa position, et en était heureuse ainsi.
Le bon côté des choses, était qu’elle était très proche de Miranda, et que celle-ci … Etait gentille avec elle. Hannah ne concevait pas sa vie sans Miranda, qu’elle voyait quelque part comme sa maman, même si elle ne l’était pas vraiment. Mais les sentiments étaient toujours des trucs compliqués et, beaucoup de fois, pas vraiment raisonnables. Ainsi, Hannah travailla encore et encore, jusqu’à ce que l’heure du rendez-vous approche. Elle termina ce qu’elle était en train de faire, puis se prépara. Elle s’y prit un peu à l’avance, ayant pris une curieuse initiative. Comme elle savait qu’elle allait faire partie du live de ce soir, Hannah s’était faite toute belle. Nouveau maquillage, nouvelle tenue, nouvelle coiffure. Rien que pour Miranda, et les beaux yeux des téléspectateurs. Elle n’en fit pas trop non plus, mais … Elle était très coquette, au moins.
Ce fut ainsi qu’elle se présenta à sa patronne, après un peu temps d’attente. Rehaussée sur une belle paire de talons aiguilles, Hannah espérait faire bonne impression auprès de sa mère. Elle lui sourit quand elle lui demanda ce qu’elle avait fait entre-temps. « J’ai effectué tout le travail que j’ai accumulé, mère. Actualiser votre agenda, planifier vos créneaux horaires libre, réguler les opérations administratives que vous m’avez donné … Et je me suis aussi faite belle, pour le live de ce soir. Je … Je vous plais, d’ailleurs ? » Dit-elle, de sa petite voix toute doucereuse. La suite, c’était à Miranda de gérer ! Ca, Hannah lui faisait confiance …
-
Travailler était important. Les journées de Miranda étaient généralement réparties entre le travail « pur » et ce qu’elle appelait le travail « sexuel ». Dans une société aussi dépravée que la société tekhane, il ne fallait jamais négliger l’impact du sexe dans les relations sociales, et la journée qui venait de passer l’avait prouvé dans toute sa splendeur. Une journée, somme toute, relativement classique. Fréquemment, Miranda sélectionnait une employée avec qui elle faisait l’amour, quand ce n’était pas juste Hannah qui prenait. Miranda n’avait pas été jusqu’à l’inscrire dans les clauses du contrat de travail, mais il était implicitement admis que toute employée de GeoWeapon Corp. se devait d’être sexuellement ouverte, et que se refuser aux avances de Mranda Forge était une forme de licenciement certain. Miranda, en effet, avait déjà essuyé quelques échecs, quelques femmes refusant de tromper leurs promises. Soit elle les renvoyait, soit, si elles étaient vraiment trop belles, elle les admettait au programme « GeoSlave ». Pour Miranda, la beauté ne devait pas être retenue sous le signe de l’amour, mais, au contraire, se devait d’être partagée à quiconque le souhaitait, et en était digne. Voilà pourquoi, entre autre, elle participait à ce genre de spectacles télévisés, où le principe était de s’envoyer en l’air pendant toute la soirée. Et, ce soir, elle en ferait profiter Hannah…
…Hannah qui, pour l’occasion, avait opté pour un… Un look très différent (http://img110.xooimage.com/files/a/7/f/hannah---new-look-4e17a04.jpg), axé cuir, maquillage rehaussé, et talons-aiguilles fixées à des bottes. Un spectacle visuellement attractif, qui capta l’œil de Miranda, amenant sur les douces lèvres de la femme un léger sourire moqueur… Et un regard plein de désir. S’approchant d’elle, Miranda alla poser une main sur sa joue, la caressant doucement, avant de lui sourire.
« Décidément, ma belle, tu sais toujours te mettre en valeur… »
Miranda n’avait donné aucune instruction de travail ou d’habillement à Hannah. La côtoyant depuis qu’elle était toute petite, Hannah savait comment faire pour plaire, au mieux, à Miranda. Tant d’un point de vue purement professionnel que plus intime, Hannah était toujours à la hauteur de ce que Miranda attendait d’elle. Elle s’était légèrement parfumée, et c’est donc en toute logique que la PDG alla embrasser la jeune femme sur les lèvres…
…Avant de les mordiller.
« Hmmmm… !! »
Pour rejoindre le studio de télévision de GeoMedias, il fallait rejoindre une autre partie du quartier, et Miranda avait évidemment sa limousine personnelle, qui l’attendait dans l’un des multiples niveaux du parking souterrain de GeoTower. Pour la rejoindre, elle emprunta donc un ascenseur, mais, là où la descente ne durait normalement que quelques minutes, elle fut cette fois-ci relativement plus longue, Miranda bloquant souvent l’ascenseur entre plusieurs étages, et laissant même du public monter.
Ainsi, les jeunes employées qui entraient dans l’ascenseur avaient la surprise de voir, contre l’un des murs vitrés de l’ascenseur, le corps d’Hannah, rebondissant contre ce dernier, ses jambes enroulées autour de la taille de Miranda. Par rapport à la tenue qu’elle avait présenté à Miranda, Hannah avait hérité, en plus, de longs gants noirs remontant sur la moitié de ses bras, et elle supportait maintenant, dans son sexe, la verge de Miranda, qui filait sous sa minijupe noire.
« Haaaaaaannnn… !! »
Miranda n’avait pas pu se retenir… Hannah était tout simplement trop bandante pour qu’on puisse ainsi l’ignorer et la négliger dans sa tenue.
Miranda la prenait donc jusqu’à ce que l’ascenseur arrive au parking, sous le regard ravi et envieux des employées. Et elle termina son office en jouissant en elle, soupirant ensuite de plaisir en relâchant Hannah.
« Voilà… Tu as maintenant ma bénédiction, Hannah. »
À tout point de vue !
-
Toute pimpante s’était-elle présentée à sa patronne. Hannah se donnait des airs de vraie petite femme en se pomponnant rien que pour satisfaire les exigences de sa maitresse. C’était là, le point qui faisait qu’Hannah symbolisait la possible réussite du programme GeoHuman ; elle était réussie. Entièrement créée de A à Z, Hannah était en parfaite santé, tant physique que mentale. Elle agissait, pensait et réfléchissait comme n’importe quel être humain, à la seule différence qu’elle était complètement formatée pour servir Miranda Forge. En d’autres termes, si on l’avait formaté à vivre et agir comme femme normale, elle serait tout simplement … Une femme normale. Hannah était donc le seul produit réussi sortant de GeoHuman. Elle en était fière, mais ne réalisait pas vraiment tout ce que cela voulait dire.
Mais pour le moment, penser à tout ceci n’avait pas vraiment d’importance. Vêtue de manière très sexy, avec un maquillage qui la transformait en bombe sexuelle, elle se présentait à Miranda, qui semblait fortement apprécier ses efforts. Elle lui fit même un compliment, qui fit naturellement rougir Hannah. Elle restait une femme après tout, et entendre ça lui faisait naturellement plaisir. Elle frémit en sentant la douce main de sa mère caresser sa joue, adorant toujours ses caresses. Hannah était une femme qui, constamment, était en manque de caresses et d’affection. Pas au point d’être frustrée, mais juste au point pour ne jamais en avoir marre. Surtout si ces caresses provenaient de Miranda.
Ainsi, les deux femmes étaient prêtes et la soirée pouvait commencer. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour qu’elles gagnent l’ascenseur qui allait les mener au parking, où se trouvait la limousine personnelle de Miranda. Toutefois, elles ne firent pas que marcher … En effet, peu avant d’entrer dans la cabine, Hannah se retrouva à nouveau entre les bras de Miranda, qui n’avait finalement pas pu résister longtemps à l’envie de la baiser à nouveau, dans son accoutrement des plus aguicheurs. Hannah l’accueillie à bras ouvert, car faire l’amour à sa mère était toujours bien ! Entamant avant de monter, Miranda poussa assez fortement Hannah dans la cabine, puis la plaqua contre l’une des vitres, où elle se mit à la prendre avec force. « HAAA ! » Gémit Hannah, qui dès lors enroula sa belle paire de jambes autour de Miranda, ainsi que ses bras afin de se maintenir contre la vitre.
Elle ne portait pas de sous-vêtements, et cela facilita la tâche à Miranda, qui fit sortir sa trique monstrueuse, avant de se mettre à labourer Hannah. Chaque coup de butoir la faisait taper contre la vitre, et lui faisait perdre complètement la tête. Son con se retrouvait démolit par de lourd et puissant coup, animé par une soif de sexe sans limite ! Hannah crispa ses doigts dans le dos de Miranda, puis après de longues et interminables minutes de descentes, elle finit par jouir contre elle. Miranda se vida les bourses au passage, inondant la féminité d’Hannah de son impériale semence, alors que la mouille de la majordome coula le long de ses cuisses. « Haa … Merci mère. » Répondit Hannah face à la bénédiction de Miranda. Ce merci valait aussi pour cette rapide, mais intense, partie de jeu de jambes en l’air. Elle avait donc sa bénédiction à présent, façon de parler bien entendu.
En tout professionnalisme, Hannah se releva et réajusta sa minijupe et ses gants. Perchée sur des bottes à très haut talons, elle suivit la patronne jusqu’à sa limousine. Au moment où Miranda s’était écartée pour laisser tomber Hannah, celle-ci avait eu une envie. Une curieuse et furieuse envie en voyant la verge de sa mère ; celle de venir la pomper. Mais si Miranda ne le lui avait pas demandé, ni exprimé le besoin, Hannah n’avait donc nullement le droit de venir prendre ça d’elle-même. Ce fut en entrant dans la limousine qu’elle fit un peu la grimace, en pensant qu’elle aurait pu offrir une fellation à Miranda. Mais … Ce n’était que partie remise !
-
Sous le regard ravi de ses employées, Miranda s’était joyeusement envoyée en l’air avec Hannah. Sa belle majordome avait été prise contre le mur, servant de rôle habituel à Miranda. Elle était son esclave personnel, un rôle qui plaisait énormément à Hannah, même s’il était, parallèlement, assez humiliant. Mais Hannah n’était pas là pour éprouver de la fierté. Elle était là pour servir Miranda. Elle était une parfaite réussite, une fille sans parents biologiques… Et le duo se rendit donc vers la limousine, les talons aiguilles d’Hannah claquant sur le sol. La limousine était bien évidemment là, et les deux femmes rentrèrent, Miranda ayant toujours sa verge de déployée.
Elles s’assirent donc, et la limousine commença à rouler vers GeoMedias. Cependant, le temps d’y aller, Miranda comptait bien s’occuper de sa petite Hannah, et, lorsque la voiture se mit à rouler, Miranda abaissa un peu sa minijupe, lui montrant ainsi que sa verge était là, dressée…
« Il faut que je m’enfile une tenue, moi aussi… Pendant que je choisis, suce-moi la queue, Hannah, je sais que tu en as envie… N’oublie pas que je te connais par cœur. »
Entre-temps, Miranda alla choisir sur un ordinateur de bord, à l’aide d’un écran tactile, une liste de tenues possibles, les faisant défiler pendant qu’Hannah se glissa à hauteur de ses cuisses, en se mettant à la sucer. Malgré son orgasme, la queue de Miranda était encore bien dure, dressée et raide, attendant qu’on vienne s’en occuper. C’est ce que fit donc la belle Hannah, pendant que Miranda, elle, consultait le registre, puis son téléphone portable, envoyant des messages à tel ou tel cadre.
La femme suça donc son membre, et Miranda soupira parfois, en se mordillant les lèvres. GeoMedias se rapprochait, mais elle chargea le chauffeur de faire quelques détours. En tout, il leur fallut donc une bonne demi-heure pour rejoindre les locaux de GeoMedias, Miranda finissant par tenir la tête d’Hannah entre ses mains, tout en sentant sa bouche remuer d’avant en arrière, astiquant sa queue, en la faisant soupirer et gémir.
« Haaa… !! »
Miranda finit par jouir, et balança dans la bouche de sa belle majordome plusieurs filaments de foutre. Elle se déversa en elle, puis s’affaissa contre le fauteuil. La PDG esquissa un nouveau soupir, puis la limousine s’arrêta dans le parking de GeoMedias.
« Bien… Nous sommes arrivées, ma belle. »
Elles arrivèrent dans les studios en passant par des ascenseurs, puis Miranda laissa Hannah pendant quelques instants, le temps pour elle de se changer.
Finalement, les deux femmes se retrouvèrent dans une loge, et Hannah put contempler l’apparence de Miranda, qui, pour l’occasion, avait enfilé une séduisante catsuit (http://orig13.deviantart.net/e7e5/f/2011/247/8/1/black_latex_girl_by_latexalexx-d48wnk3.jpg), et s’étira dedans, faisant crisser sa combinaison.
« Alors, comment tu me trouves ? »
-
Il ne fallait pas s’étonner que Hannah qualifie, et perçoit, Miranda comme sa propre mère. Même si elle se pliait à sa volonté de se faire appeler maitresse en public, Hannah ressentait tout ce qu’une enfant pouvait ressentir envers sa mère. De ce fait, elle avait certaines attentes, inconscientes, envers elle. Comme le fait que Miranda se devait de la connaitre par cœur, et se devait de connaitre ses petites habitudes/préférences/manies. Une fois encore, la grande Miranda Forge lui prouva qu’elle n’était pas sa mère pour rien, une fois qu’elles montèrent toute les deux dans la limousine. Car en effet, la patronne de GWC finit par regarder sa majordome, et lui déclara alors, en relevant sa minijupe, qu’elle devait choisir sa tenue … Et qu’en attendant, elle voulait qu’Hannah la suce. Elle pouvait y lire l’excitation et le plaisir s’éveiller dans le regard de sa fille, qui sourit tendrement.
Oui, Miranda la connaissait sur le bout des doigts. Quoi de plus normal ; c’était elle qui l’avait conçue de A à Z. Ainsi, Hannah se pencha en cambrant bien son dos, de manière à avoir un plein accès entre les cuisses de Miranda. Sa verge était toujours aussi assoiffée et érigée, donnant faim et soif à Hannah. Dès lors, elle entreprit de lui offrir une belle et langoureuse fellation. Miranda ne broncha pas de suite, laissant faire la majordome. Celle-ci se mit à doucement lécher sa trique, comme une bonne glace à la fraise, avec un appétit et un plaisir certain.
Rapidement elle accéléra la cadence, se mettant à mordiller, puis lécher encore plus vigoureusement cette trique délicieuse, pour finir parla gober. En bonne virtuose de la fellation, Hannah engloutit la totalité de son mandrin en elle, entamant alors une série de gorges profondes. C’était qu’après le fétichisme du pied, Hannah adorait faire des fellations à Miranda. De longues et langoureuses fellations. Ainsi, elle se fit grandement plaisir en pompant son sexe, en y mettant tout son cœur. Sa bouche gobait généreusement sa trique, et elle allait et venait, ainsi de suite. La limousine mit une petite demi-heure à arriver à destination, et … Pendant presque tout ce temps, Hannah avait sucer Miranda. Une longue gâterie en somme, qui se clôtura par la fougueuse patronne plaquant la tête de sa majordome contre elle, enfonçant plus hargneusement sa trique en elle. Jusqu’à ce qu’elle la récompense en jutant en elle, faisant donc gicler son foutre dans sa gorge.
Hannah couina à ce moment-là, de plaisir, et bien entendu elle n’en perdit pas une goutte. Elle avala la totalité du torrent, finissant par le relever en se pourléchant les lèvres, raclant les gouttes de foutre ici et là. « Merci du fond du cœur mère … » Lui dit-elle, en lui souriant. La limousine parvint finalement à destination, et les deux femmes sortirent. Elles rallièrent les locaux de GeoMedia. Après quelques temps, Miranda finit par laisser un moment Hannah, lui déclarant qu’elle devait changer sa tenue. En bonne majordome, Hannah resta ainsi sur place, aussi sage qu’une image. Elle attendit patiemment sa maitresse, et ne fut guère déçue en voyant sa tenue. Une terrible catsuit, en latex moulant … De quoi faire frémir bien du monde.
Hannah la première, qui se rapprocha de sa mère. « Vous êtes terriblement sexy maitresse … Vos formes n’ont jamais été autant mises en valeur ! » Lui répondit Hannah, en souriant. Le bruit de crissement de sa combinaison avait quelque chose d’incroyablement érotique ; cela émoustillait fortement Hannah. Comme pour se calmer, elle s’avança encore un peu puis, posant ses mains sur les hanches de Miranda, elle colla son visage soigneusement pour venir chercher un baiser. Un délicieux et succulent baiser, qu’elle venait quémander auprès de sa mère, histoire … De se donner du courage avant le début du show. Et histoire de juste l’embrasser, aussi !
-
Miranda trouvait effectivement cette tenue plutôt bien réussie. SI on avait l’habitude de la voir habillée en femme d’affaires, il ne fallait pas croire, pour autant, que Miranda ne portait rien d’autre. En tant que pure Tekhane, elle n’avait rien contre les tenues moulantes, les combinaisons intégrales, les tenues sexy... Et, donc, en toute logique, les catsuits en latex. À l’intérieur, Miranda se sentait bien, et s’étira légèrement sous les yeux d’Hannah, faisant crisser sa combinaison. Subjuguée par cette vue, sa majordome lui avoua qu’elle était belle, « terriblement sexy », un compliment attendu et logique, mais toujours aussi agréable à entendre. La vieillesse n’avait en rien enlaidi Miranda, et elle portait déjà cette catsuit quand elle avait encore une vingtaine d’années. Le fait qu’elle puisse encore la porter sans problème était, pour elle, le signe qu’elle ne s’était jamais laissée aller à dépérir, menant à bien les critères de perfection tekhane d’existence.
Elle se mordilla les lèvres devant Hannah, et les deux femmes s’embrassèrent donc, les mains de Miranda venant, comme très souvent, masser l’agréable petit cul de sa majordome. Gémissant et soupirant de plaisir, Miranda l’embrassa, ses seins se heurtant aux siens, leurs bouches se mélangeant l’une contre l’autre, dans un tendre moment, empreint de sensualité et d’amour.
« Hmmm... »
Miranda lui mordilla les lèvres, prolongeant et intensifiant le baiser.
« Voilà... Maintenant, ma chérie, il n’y a plus qu’à rejoindre le plateau. »
Pour le dire simplement, les choses sérieuses allaient pouvoir commencer. Miranda sortit donc, et rejoignit rapidement un couloir. Elle avançait d’une démarche assurée, tranquille, et aussi très sensuelle, moulant son adorable petit cul. Ses pas la rapprochèrent d’une double porte, et elle l’ouvrit.
Derrière, il y avait donc le plateau... Un grand lit monté sur un piédestal, avec un public dans l’ombre, formant un demi-cercle autour du grand lit, où des caméras se tenaient tout autour. Seul le lit était éclairé, le reste de la pièce plongé dans la pénombre.
Les spectateurs n’étaient autres que les individus appelés à coucher avec les deux femmes.
« Pour l’heure, tu ouvriras le bal, ma chérie... Vois tous ces hommes impatients, ils ont tous envie de nous baiser... Hum, ça va être formidable ! »
Oh oui ! Terriblement jouissif, même !
-
Le show allait enfin pouvoir commencer ! Dans toute sa carrière, Hannah n’avait que rarement couché avec des personnes de la gente masculine. Ce soir-là allait être l’occasion pour elle de démystifier ce pan de cette grande pratique qu’était le sexe, et si cela se trouvait, elle allait apprécier ! Bien qu’il était certain que rien à ses yeux pouvaient être aussi fantastiques, jouissif et plaisant que de coucher avec une femme, coucher un homme allait peut-être s’avérer intéressant. Elle en mourrait d’impatience et de curiosité. En attendant, elle savoura pleinement son baiser avec Miranda, qui n’hésita pas à malaxer son petit cul bien moulé dans sa jupe. « Hmm … » Gémissait-elle pendant cette douce étreinte, marquée par une sensualité et un délice dont seule Miranda avait le secret.
Elles finirent toutefois par rompre l’instant, et Hannah se mordilla doucement les lèvres, hochant poliment de la tête quand sa maitresse lui affirma qu’il était temps. Temps de rejoindre le plateau et de commencer la soirée ! Hannah trépignait d’impatience, et ce fut, comme à son habitude, avec une docilité et une obéissance totale qu’elle suivit sa mère dans le dédale de couloir, pour finalement arriver sur le plateau de l’émission. Leurs talons claquaient sur le sol à mesure qu’elles se rapprochaient du grand lit, où un spot lumineux éclairait celui-ci, laissant tout le reste du plateau dans la pénombre. Y compris les spectateurs, qui étaient complètement dans le noir.
Quand les deux femmes prirent place dans le lit, Hannah ne put s’empêcher de se mettre à caresser les belles formes de sa maitresse si bien moulées dans ce latex. Aussi histoire d’aguicher les heureux élus qui allaient bientôt passer sur le ventre de ces deux dames. Hannah souriait, et finit par entendre sa mère lui déclarer qu’elle allait être la première servie. Elle lui affirma aussi que tous les hommes dans le publique avaient envie de les baiser, toutes les deux … Il était donc vrai que de ce point de vue-là, les choses allaient rapidement devenir intense ! La majordome de la puissante Miranda Forge s’en mordilla les lèvres, et dévora le publique du regard. « Ils me donnent tous envie, maitresse ! » Déclara Hannah, sentant ses joues et son entrejambe se mettre à chauffer comme il se devait.
Après quelques instants, Hannah en conclut qu’il revenait à elle le devoir de choisir les premiers prétendants. La majordome, ayant quelque part hérité de la gourmandise de sa maitresse, en choisit deux dans le publique. Ainsi, le premier (http://mckadesinsanity.deviantart.com/art/Commission-Navarre-401317299) descendit et gagna la scène, tandis que l’autre (http://mckadesinsanity.deviantart.com/art/Commission-Carus-369334895) finit par en faire de même. Deux hommes bien portant, bien assoiffés … Hannah avait visiblement fait le bon choix !
-
Une particularité physique de cet auditorium, et qui devrait rapidement sauter aux yeux de la belle Hannah, venait du fait que tous ces hommes, sans exception, étaient nus. Si on ne le voyait pas de prime abord, en raison de l’obscurité de la pièce, au bout de quelques secondes, Miranda et Hannah purent le voir sans problème. Tous étaient assis, et avaient été soigneusement épilés, lavés, nettoyés, prépares pour ce moment. On avait dû en parfumer beaucoup, non pas pour leur donner un air efféminé, mais pour leur enlever l’odeur d’égout. Ces hommes étaient tous des esclaves, des membres du Programme GeoSlave, et, de fait, ce programme servait aussi de vitrine publicitaire pour les produits issus de GWC. Ainsi, les internautes pouvaient, sur le site de l’émission, consulter la fiche-profil de chacun des hommes, avec possibilité, soit de les louer, soit de les acheter. Beaucoup étaient, soit des prisonniers ayant choisi de commuer leur peine, soit des toxicomanes, des vagabonds, des clochards, qui trouvaient là une nouvelle existence, pas forcément voulus. Ils subissaient des régimes draconiens, des entraînements multiples, et des expériences génétiques afin qu’ils gagnent du muscle, du poids, et que leur verge augmente en taille et en épaisseur. Un entraînement typique était ainsi de mettre, autour du pénis, un brassard électrique, et de les électrocuter. Ils étaient gavés de films pornographiques, mais faisaient aussi l’objet d’un fort endoctrinement. Si les femmes, à GeoSlave, n’étaient pas spécialement bien traitées, c’était encore pire pour les mâles, et ce d’autant plus qu’ils se vendaient très bien. Tekhos avait beau prôner les relations sexuelles lesbiennes, avoir un gigolo, à domicile, était plutôt bien vu. C’était comme avoir un animal de compagnie, et, dans certaines familles, il n’était pas rare qu’on en offre un en guise de cadeau d’anniversaire, pour fêter la maturité d’une fille, et parce qu’avoir un amant sexuel à domicile, c’était quelque chose de très agréable.
Les mâles de GeoWeapon Corp. étaient extrêmement bien préparés et traités. Ils étaient épilés au laser à hauteur du torse, des jambes, des aisselles, parfois des cheveux et du visage, même si, en ce qui concerne la pilosité faciale, les demandes des clients varient. Certains sont ainsi totalement imberbes, n’ayant même plus de sourcils, et, dans l’assemblée, la tendance était plutôt à ce type d’apparences. Tous avaient de belles queues, bien dressées, à leur image. Les velléités rebelles, intrinsèques à tout mâle, avaient été domptées et broyées par des mois de rééducation, ce qui faisait que, maintenant, les mâles de GeoSlave servaient à soumettre d’autres mâles, et avaient des activités très variées. Si gigolo était leur principale activité, on les employait aussi comme subalternes, ouvriers, ou, dans les cas les plus extrêmes, pour les torturer ou s’en servir de cobayes à des fins d’expérimentation scientifique.
Miranda savait tout cela, bien entendu, mais ça ne n’empêchait pas de dormir. Au contraire, elle estimait même leur rendre service, car, sans elle, ces hommes seraient condamnés à errer dans les ghettos et les bas-fonds tekhans. Grâce à elle, ils avaient droit à une nouvelle existence, et pouvaient coucher avec de très puissantes et de très belles femmes. Or, c’était bien là tout ce qu’un mâle désirait, non ?
« Alors, Hannah, qui choisis-tu ? »
Les caméras les observaient, et Hannah finit par choisir deux hommes. Les noms de ces deux hommes étaient sans importance, et ils s’avancèrent silencieusement, leurs sexes se balançant de gauche à droite, et Miranda se redressa alors, en caressant leurs torses.
« Oh oui, vous êtes bien bâtis, tous les deux… Je vous en prie, baisez ma belle Hannah bien fort… Elle est tellement gourmande…
- Bien, Maîtresse…
- Oui, Maîtresse… »
Tandis que les deux hommes s’allongeaient à gauche et à droite de la majordome, Miranda, elle, conserva les bras croisés, une caméra venant irrémédiablement loucher sur son joli cul. Les deux hommes vinrent embrasser et caresser Hannah, leurs bouches se collant contre sa peau, leurs sexes venant frotter et caresser son corps. De beaux mandrins en érection, les témoins silencieux et vivants de l’excitation que ces braves mâles ressentaient.
Et, très rapidement, les mains de l’homme qui l’embrassait sur les lèvres glissèrent sur son cul, venant le pétrir, tandis que l’autre homme, dans le dos de la femme, malaxait ses seins, et la mordillait dans le creux du cou.
« Tous ces hommes sont formés pour être de parfaits étalons, Hannah… Laisse-moi te dire que tu vas prendre ton pied, ma chérie… »
Et c’était là bien le but recherché !
-
Il ne faisait aucun doute que Hannah allait passer un très bon moment en compagnie de ces beaux mâles. Beaux, musclés, forts, ils étaient un idéal dont la majordome n’était pas insensible. Elle les voyait s’approcher, de leur grande et forte stature, pour venir se loger à ses côtés. Sa mère lui affirma alors que ces hommes étaient faits pour être de bons amants, robustes et endurants, et que de ce fait elle allait prendre correctement son pied. C’était bien le but du jeu, après tout ! Souriant tendrement, la belle majordome se laissa caresser par ses amants, sentant leur queue frotter contre ses hanches. Ses belles et généreuses hanches, qui finirent par se faire masser par l’un des deux hommes. « Hmm … » Gémit-elle, aimant ce petit plaisir.
Toutefois, ils passèrent rapidement à l’étape supérieure en venant se loger devant et derrière elle. Tel une petite poupée de chiffon, Hannah se laissa complètement faire, laissant les commandes à ces deux mâles bien battis. Sans plus attendre, le premier, celui qui s’était placé devant elle, se mit à capturer ses lèvres avec les siennes, et l’embrassa donc. La première chose que constata Hannah était que les baisers d’un homme n’étaient pas les mêmes que les baisers d’une femme. Avec un homme, c’était différent. Il n’y avait pas cette douceur, cette sensualité typiquement féminine. Il y avait autre chose, de différent, que Hannah commençait donc à expérimenter. Elle gémit doucement pendant ce baiser, et hoqueta quand elle sentit les mains de cet homme venir se loger contre ses fesses, venant les malaxer habilement.
Elle adorait qu’on s’occupe de son cul de la sorte, elle n’allait donc pas s’en plaindre ! Quant à son deuxième amant, plaqué contre son dos, il se mit à couvrir sa fin et délicat cou de mille et un baisers, avant de venir poser ses mains sur ses seins, pour venir les peloter. Hannah était prise en sandwich entre ces deux mâles, qui l’embrassait et la pelotait vigoureusement. « Haaa … » Couina-t-elle, sentant petit à petit ses tétons se durcir sous l’effet de toutes ces attentions. Seulement voilà, ce n’étaient que des attentions … Prémices d’une séance abrupte et forte. Les hommes s’excitèrent, et Hannah le sentait bien ; leur mandrin qui durcissait hargneusement, venant taper contre ses larges hanches lui disait qu’ils étaient prêts.
Ils n’attendirent pas son signal pour commencer à se mettre en place. Le premier homme agrippa la minijupe d’Hannah et, en la faisant s’allonger, la fit glisser le long de ses belles cuisses enveloppés de collants. Hannah ne portait rien en-dessous, et sa féminité, tout comme sa petite rondelle, étaient à présent bien exposées. « Ouii … » Gémit-elle en se mordillant la lèvre, sentant que son moment était arrivé. Elle se redressa, se mettant à genoux, pour finalement sentir ses deux amants se plaquer contre elle, l’écrasant en sandwich. L’homme devant elle conserva ses mains sur son énorme fessier, qu’il écarta soigneusement, avant que l’homme derrière ne commence à frotter sa trique contre sa raie. « Haaann … » Gémit-elle à nouveau, ses joues commençant à devenir rouges. Devant, son amant en fit de même avec sa féminité, frottant doucement le bout de verge joufflu. Puis, après encore quelques baisers et caresses, les deux finirent par la pénétrer … En même temps.
« HAAAAAN ! » Cria-t-elle, étant un peu prise par surprise. Ils y allèrent d’abord lentement … Puis augmentèrent petit à petit le rythme, prenant littéralement Hannah en sandwich. Elle était en train de gouter à ce qu’Asuka avait gouté quelques heures plus tôt … Et le moins qu’elle pouvait dire, était qu’elle avait dû énormément prendre son pied, vu le bien fou que ça faisait !
-
Les mâles étaient généralement de bien piètres amants. C’était un constat scientifique. Ils jouissaient plus rapidement que les femmes, et, une fois que l’homme avait tiré son cartouche, le réservoir du pistolet était vide. Il fallait donc les entraîner, les former, les dresser, et c’est à cela que les hommes s’occupant d’Hannah avaient été formés. Quand on disait que Tekhos était une société lesbienne, c’était à la fois exact et inexact. Les Tekhanes n’étaient pas allergiques aux queues ou aux hommes, elles étaient hostiles à toute forme d’avilissement, à toute forme d’infériorité. Or, l’homme était inférieur. Le nier, c’était nier l’évidence. Voilà pourquoi il fallait les éduquer, afin qu’ils puissent avoir, en tant qu’êtres inférieurs, une vie décente, et former de bons esclaves. Servir les femmes, les hommes n’avaient aucune autre fonction. La Nature les avait dotés de muscles et d’une queue pour cela, et il avait fallu que, par une incroyable errance historique, les rôles s’inversent. Dans les premières sociétés, primitives, c’était, en effet, la femme qui était le sexe fort, car c’était elle qui portait la vie. L’homme, lui, n’était qu’une part infime dans le processus, et, à cette époque, on ignorait que le sperme fertilisait les femmes. Ce n’est que quand on l’avait découvert, notamment à travers l’élevage, que la morale religieuse avait, peu à peu, fait son apparition, avec l’institution d’une famille, et la formation de sociétés classiques, formées, non sur un concept clanique, mais sur un concept familial et individualiste, avec l’apparition de la propriété.
Des siècles et des siècles d’obscurantisme, qui avaient finalement été balayés à Tekhos. Miranda voyait maintenant le fruit du progrès, alors que sa majordome se faisait farouchement prendre par les deux hommes. Ils l’avaient embrassé, caressé, puis s’aplatirent contre elle, la prenant par la chatte et par le cul. En souriant, Miranda observait cela, une main sur la hanche, le regard des spectateurs oscillant clairement entre elle et le spectacle des deux hommes venant à prendre Hannah.
« Hmmm…
- MMmhmmmm… »
On pétrissait ses seins, on les massait, on se serrait contre elle… La belle Hannah ne savait probablement plus du tout où donner de la tête, et elle se retrouva finalement couchée sur l’un des hommes, tandis que l’autre, au-dessus d’elle, se mit à la prendre, en pinçant ses seins, avant d’aller mordiller son cou, l’homme sous elle venant alors poser ses mains sur ses seins, pinçant ses deux tétons, et les écartant l’un de l’autre. Sous l’objectif des caméras, on pouvait ainsi voir Hannah hurler et gémir de plaisir, tandis qu’elle continuait à se faire rudement prendre.
Ils avaient été bien traités, ces hommes, ils avaient subi des modifications cellulaires, des injections hormonales pour augmenter la taille de leur queue, mais aussi leur résistance et leur endurance. Dociles et talentueux, ils n’en étaient pas moins énergiques en matière de sexe, et soupiraient contre la femme, dans un coït brutal et une sodomie lourde.
Agissant ensemble, ils finirent par se déplacer, et Hannah se retrouva à quatre pattes, avant de sentir des mains claquer fermement son cul, tandis qu’une queue s’enfonçait dans ses fesses, la sodomisant douloureusement.
« T’aimes ça, hein, SALOPE ?! » l’insultait le mâle, bien membré, qui était en train de la prendre.
L’autre crispa une main sur les cheveux de la majordome, soulevant son visage, et approcha son sexe de ses lèvres. Un membre turgescent et légèrement rouge, qui alla caresser le nez de la femme, avant de glisser le long de ses joues.
« Suce, petite pute, suce… »
-
Miranda avait vu juste ; le sexe avec des hommes n’avait rien à voir avec le sexe entre femmes. La différence se jouait dans la force et la hargne déployée. Avec une femme, Miranda par exemple, on avait beau se montrer dominatrice, abrupte, le fait était qu’il y avait encore et toujours cette fine touche de sensualité typiquement féminine. À moins que la femme en question soit littéralement un garçon manqué, façon femme fortement masculine physiquement, il fallait constater que faire l’amour avec une demoiselle avait toujours ce côté sensuel. Hermaphrodite ou non, d’ailleurs. Avec un homme, c’était différent. Ils n’étaient pas sensuels, du moins pas comme une femme pouvait l’être. On sentait mieux leur hargne et leur désir de sexe, de fourrer leur engin à tout prix dans un trou. Cela avait son charme, car si l’on désirait se faire réellement péter la rondelle ou la chatte, on ne pouvait pas trouver mieux.
C’était ce constat qu’avait fait Hannah, alors qu’elle se faisait intensément prendre en sandwich. Deux queues remuaient fortement en elle, alors que les mains de ses amants pétrissaient généreusement ses seins et son cul. Elle se faisait prendre avec force, et cela provoquait un bien fou ! Même Miranda, sa maitresse incontestée, ne l’avait jamais prise avec autant de poigne. En même temps, elle avait actuellement affaire à des mâles bien portants et suffisamment frustrés pour qu’ils déploient leurs arguments avec force. Elle se faisait ramoner par devant et par derrière, et les caméras étaient braquées sur elle. Sur elle et ses intenses gémissements, émanant d’une sodomie douloureuse, mais diablement jouissive, et d’un coït intense. Un cocktail explosif qui lui faisait perdre la tête rapidement.
« HAAAA-HAAAAAANNN !!! » Gémissait-elle, continuant encore et encore à se faire prendre. Toutefois, la situation finit par changer un peu, quand les deux amants finirent par se retirer. Elle retomba sur le matelas, puis rapidement, ses amants se positionnèrent. Hannah termina à quatre pattes, avec un homme derrière, et l’autre devant. La scène était déjà toute tracée, et Hannah ne pouvait donc plus qu’attendre à ce que le rodéo recommence de plus belle. Elle sentit une grosse claque sur ses fesses, qui tremblèrent délicieusement sous le choc. Elle hoqueta de sa voix aigüe, puis serra vivement des dents en sentant une verge fondre délicieusement dans son cul. « Haaaann ouiii !!! » Couina-t-elle, en se mordillant les lèvres. Elle venait de répondre à ce que son amant venait de lui dire, en quelques sortes. Mais ce n’était pas finit ! Son second amant, devant elle, se mit à genoux et orienta sa queue de manière à ce que celle-ci frotte son délicat visage.
Sous l’ordre ferme de l’homme, Hannah bougea sa tête et donna un grand baiser sur le côté de cette généreuse queue, se mettant à la sucer de l’extérieur … Avant de la gober avec appétit. Un grand frisson la parcourut quand il se saisit de sa chevelure pour la forcer un peu plus à prendre cette queue dans sa bouche. Mais le résultat était là ; Hannah se mit à généreusement pomper dessus, la gobant progressivement, jusqu’à finir par effectuer une délicieuse gorge profonde. Sa tête allait et venait, prodiguant alors à son amant une fellation des plus sensationnelles qui soit.
-
Miranda était une femme pragmatique. Oui, bien sûr qu’elle adorait à la conception de l’unicité du sexe, cette théorie tekhane qui consistait à gommer toutes les inégalités en supprimant le sexe masculin, et en créant, en définitive, un sexe unique, autoreproducteur. Mais cette théorie, belle en théorie, était encore, en pratique, très éloignée. Le fait est que les hommes permettaient de répondre au problème de natalité que Tekhos avait depuis quelques années. Les Futanaris, c’était bien, mais, pour l’heure, les scientifiques tekhanes n’avaient pas encore réussi à développer un sérum qui permette d’avoir un taux de fécondité similaire à une relation hétérosexuelle. Malheureusement, il était fréquent qu’il y ait des fausses couches. C’était pour ça que Miranda préservait encore les hommes, et il n’y avait pas à s’en faire. Ceux de GeoSlave étaient très bien dressés, et ce même si, comme en l’espèce, ils pouvaient se montrer brutaux, dominateurs, et violents. En aucun cas, il ne fallait se méprendre, ils ne se révolteraient jamais contre leurs Maîtresses. Et, dans le pire des cas, pendant leur dressage, ils avaient tous reçu un safeword, comme en matière de relation sadomasochiste, qui permettait de les contrôler, si jamais, par extraordinaire, ils venaient à perdre le contrôle.
Pour l’heure, les deux hommes baisaient joyeusement Hannah. Sa majordome avait bien mérité un tel plaisir. Bras croisés, Miranda observait la scène, en voyant les deux mâles agir, la prenant en levrette, et par le devant, lui offrant une magnifique queue à sucer. Hannah la lécha et la mordilla sur le côté, et les mains du mâle se crispèrent ensuite sur ses cheveux quand elle commença à le pomper.
« Haaa... Ouii, haaaa... Hummm... Suce bien, petite pute... »
Et hop ! Elle se reçut une autre claque, qui vibra le long de ses fesses. Tandis que les deux hommes la prenaient, joyeusement, en soupirant. Celui dans son dos crispa ses mains sur ses fesses, enfonçant ses doigts dans sa chair, et continua à la prendre. Le corps d’Hannah se baladait d’avant en arrière, dans la joie et les beaux chibres, des queues bien dures et bien tendues.
*Ah, ma belle Hannah, voilà qui doit te faire plaisir, non ?*
Les deux hommes ne comptaient pas jouir si facilement, faisant durer le plaisir. Se pinçant les lèvres, Miranda observait cela, et finit par se déplacer un peu, s’asseyant sur le bord du lit. Sa main alla alors caresser le dos et les hanches d’Hannah.
« Tu es vraiment magnifique à voir, ma chérie... Sentir ces deux hommes en toi, ça te plaît, hein ? Vois ça comme ta récompense pour ton amour et pour ta fidélité, ma chérie... »
-
Au milieu de tous ces beaux mâles viriles et puissants, Hannah ressemblait à une petite poupée dont ils étaient en train de s’amuser. Bien entendu, elle y prenait beaucoup plaisir, surtout en sentant une grosse queue lui rentrer inlassablement dans le fondement. La sodomie a et sera toujours l’un des points faibles de la majordome de Miranda Forge. Cette dernière le savait très bien d’ailleurs. Ainsi, Hannah se faisait balloter en avant et en arrière, alors qu’elle se faisait joyeusement sodomisée, mais qu’elle pompait aussi une autre queue. « Hmmm, Hmmmmmm ! » Ronronna-t-elle en fermant les yeux, se concentrant pour sucer cette trique intensivement. Et alors qu’elle était bien, elle poussa un petit couinement quand elle sentit une main rugueuse venir claquer son généreux fessier. Celui-ci trembla tout entier sous le choc, faisant encore plus plaisir à Hannah qui sentait petit à petit son intimité surchauffer.
L’homme devant elle agrippa fermement sa tignasse, l’incitant à venir le pomper encore plus fortement. Ce que Hannah fit bien entendu, se mettant à enchainer, d’une main experte, les gorges profondes. Elle goba ce sexe dans son entièreté, l’enfouissant bien profondément dans sa gorge. Son nez tapa contre sa peau, et son menton chatouilla ses bourses ; cela prouvait à quel point la majordome était capable de gober. Néanmoins, au milieu de tout cela, elle sentit sa maitresse se déplacer et venir le coté, avant de délicatement placer une main sur son dos pour la caresser. Oh oui … De la douceur au milieu de toute cette bestialité masculine ! Ça faisait tant de bien. Et ce qui fit encore plus de bien fut les mots de Miranda, qui lui affirma alors que tout ceci était pour la récompenser de sa fidélité et de son amour.
Hannah aurait bien voulu lui répondre que c’était bien naturel, que Miranda le méritait amplement ! Qu’elle était si heureuse et chanceuse d’être sa majordome … Mais elle ne pouvait pas parler, puisqu’elle avait la bouche pleine. Et son amant semblait assez endurant pour ne pas jouir aussi facilement ! Tant pis, elle aurait une autre occasion pour le lui dire. En attendant, elle continuait de dévorer cette trique avec appétit, tout en perdant lentement sa raison à force de se faire pilonner l’arrière-train de cette façon. Elle sentait la lourde verge de son autre amant s’enfoncer si profondément en elle, qu’elle sentait qu’il tapait contre ses entrailles. Seulement voilà, il y allait si fort qu’il tétanisait complètement les muscles internes d’Hannah. Son fondement écrabouilla la verge de son amant, lui procurant encore plus de plaisir.
Mais en revanche, elle sentit son muscle retenant son autre sexe se dilater … Ce qui, contre sa volonté, provoqua la sortit de celui-ci. « Hmmmm ! » Couina-t-elle alors, quand elle sentit sa veineuse et juteuse trique sortir de sa féminité, accompagnée de sa généreuse bourse bien remplie, qui vint alors effacer sa féminité. Ce n’était guère étonnant, avec tout cela, de voir qu’Hannah bandait déjà très méchamment ! Sa verge était assoiffée et érigée au maximum. Elle était tellement tendue que, dans sa position à quatre pattes, elle la sentait taper contre son propre ventre. Quoiqu’il en était, Hannah était maintenant très bien membrée … Est-ce que cela allait changer quelque chose, au fond ? Pas vraiment, puisqu’elle continuait encore et encore à pomper la trique de son premier amant, et elle continuait encore plus à se faire pilonner la rondelle par l’autre.
-
Oui, les mâles de GeoSlave étaient des amants très efficaces. Ils avaient été formés pour, et ces deux hommes n’étaient rien de plus que des jouets sexuels géants. Des individus ramenés à une simple fonctionnalité de jouet. C’était effrayant, mais surtout terriblement excitant. Miranda, de toute façon, ne leur voyait aucune autre fonction. Les mâles, tout simplement, servaient à cela. Être des réservoirs à sperme, se vider dans le corps de leurs amantes, et à obéir à leurs moindres désirs. Voilà le rôle qu’un homme se devait d’être, à genoux devant une femme, et à même de satisfaire tous ses besoins, que ce soit ses envies de domination ou de soumission. Et, sur ce point, les spécimens présents dans cette salle étaient parfaits.
On ne s’en rendait pas forcément compte à cause de l’obscurité, mais leurs poignets étaient retenus aux accoudoirs des fauteuils par des liens hermétiques, empêchant ainsi ces braves hommes de se masturber. Ils souffraient donc en silence, ne détachant pas leur regard de ce spectacle. Les deux hommes prenaient vigoureusement la femme, pendant de longues minutes, et, en souriant, Miranda vit même la verge d’Hannah sortir.
« Oh, tu dois vraiment être très excitée, ma chérie… »
Difficile pour Hannah de répondre, mais, en réalité, ce n’était pas nécessaire, tant la scène parlait d’elle-même. Avec sa verge bien érigée, formant un délicieux mât, Hannah était effectivement très excitée, ce qui ne manquait pas de faire sourire Miranda. Les deux mâles, eux, avaient une respiration de plus en plus lourde, et Miranda se redressa, et vint caresser le sexe d’Hannah. Posée sur le côté, elle avait une main en appui sur son dos, et l’autre alla frotter son sexe, le caressant doucement, une caméra ne manquant évidemment pas de filmer cette scène.
Les doigts gantés de Miranda remuèrent le long de cette queue, glissant dessus, puis elle alla de plus en plus vite. S’il s’agissait juste d’un simple massage au début, elle s’évertua ensuite à serrer ce sexe, et à la masturber. La belle était prise dans tous les sens, et le premier orgasme vint dans son dos, quand l’homme finit enfin par se vider dans son cul, en soupirant longuement. Il se crispa contre elle, et sa verge, nichée dans son postérieur, se vida en elle, la remplissant généreusement.
Immédiatement, un autre mâle fut libéré, et, quelques secondes après, des mains se posèrent de nouveau sur sa croupe, puis une queue rentra en elle, s’enfonçant dans son postérieur, le tout accompagné d’une bonne claque.
« Le voilà, ton gang-bang, ma chérie… Une belle tournante, rien que pour toi. »
N’était-elle pas vernie ?
-
Effectivement, Hannah ne pouvait être mieux servi qu’à cet instant. Alors qu’elle était prise dans tous les sens par de beaux mâles en puissance, son excitation monta si puissamment qu’elle ne put retenir le déploiement de sa trique. Une belle et juteuse verge tomba d’entre ses cuisses, venant remplacer sa féminité. Une trique veineuse, raide, érigée comme jamais. Autant dire que cela sembla donner à Miranda l’appétit, puisque celle-ci sourit et entreprit de poser une de ses mains dessus. Hannah couina quand elle sentit les doigts de son indissociable maitresse sur son sexe, mais ne pouvait pas dire grand-chose, ayan la bouche pleine. « Hmmm ! » Se contenta-t-elle de gémir, sentant son cul se faire toujours autant pilonner, et sa gorge de même. Elle prenait réellement plaisir à se faire sauter ainsi. Mais, il fallait être honnête ; les caresses vigoureuses de sa maitresse sur sa trique étaient aussi voire plus sensationnelles que ce qu’elle subissait à l’heure actuelle.
Sa mère caressa donc son vit et petit à petit, ses caresses furent plus dures et abruptes. Ceci changea donc en une vraie séance masturbation, ce qui eut pour effet de faire bander encore plus hargneusement la belle majordome, qui ne savait plus où donner de la tête. Au bout d’un moment, elle sentit son amant derrière elle se crisper contre ses fesses, alors qu’il balança une belle giclée de foutre dans ses entrailles. Hannah gémit à ce moment-là, devinant que l’homme venait d’avoir un beau et foudroyant orgasme. Mais, croire que ça s’en arrêtait là était une grave erreur ! Car au même moment, un autre homme dans le publique s’était vu libéré, et se précipita donc vers la scène pour aller prendre la place libre. Hannah sentit donc une énorme gifle venir s’écraser contre ses belles et généreuses fesses, qui tremblèrent délicieusement sous l’impact, avant de sentir une brûlante verge se frotter contre sa raie.
Ni de une de deux, ce sexe trouva son chemin et vint s’enfoncer tendrement dans sa rondelle, se mettant donc à sodomiser de nouveau la majordome qui, en grande consommatrice de sodomie, sentit son plaisir exploser. « Hmmmmmm !!! » Couina-t-elle la bouche pleine, redoublant d’effort en parallèle pour pomper le sexe qu’elle avait en bouche. Miranda lui prodiguait une masturbation fabuleuse, qui ne faisait que raidir sa trique encore plus. Hannah sentait qu’à ce rythme elle allait elle aussi finir par jouir ! Les minutes s’égrainèrent ainsi, jusqu’à ce que moment finisse par arriver. Hannah, se faisait méchamment pilonner l’arrière-train, sentait sa maitresse prendre un malin plaisir à astiquer son membre qui avait dû au moins doubler de volume depuis qu’il était sorti.
Elle sentait la hargne la gagner et, finalement, alors que son amant de devant finit par jouir généreusement dans sa gorge, Hannah en fit de même et se lâcha complètement. Sa verge bourdonna et se mit à cracher une violente salve de foutre chaud, éclaboussant le lit de toute part. Sa trique balança de beaux et puissants filament de foutre, qui vinrent d’ailleurs un peu entacher les beaux doigts gantés de sa mère. Sa bouche étant à présent libérée, pour un moment seulement, elle put reprendre mieux son souffle. « Haaaa … » Souffla-t-elle, toute éprouvée mais pas épuisée. Elle venait d’encaisser un premier orgasme anal, suivit d’un orgasme au niveau de son sexe. Autant dire que Hannah allait encaisser pas mal de chose cette soirée !
-
Il y avait intérêt à ce qu’Hannah soit endurante, car, ce soir, son corps allait effectivement être lourdement mis à contribution ce soir. Elle avait tout un troupeau autour d’elle. Fort heureusement, Hannah était entraînée depuis des années par sa « mère ». Miranda Forge avait veillé à ce qu’Hannah soit sexuellement très performante, aussi bien personnellement qu’avec l’aide de nombreuses autres personnes, comme Asuka. Là, Hannah se faisait prendre dans le cul, comme elle l’aimait, et l’homme, lui, soupirait de plaisir. Défoncer un cul, un aussi joli cul, et à côté de Miranda Forge, c’était un vrai bonheur ! Tous ces hommes avaient subi des traitements physiques et psychologiques, avec un culte de la personnalité, afin de les amener à vénérer Miranda Forge, renforçant ainsi leur docilité et leur soumission. Et ils étaient parfaitement soumis, de vraies réussites ! Miranda souriait, et sourit encore quand Hannah, dans un soupir alla jouir joyeusement, aspergeant ses doigts de foutre, ainsi que le lit.
Le premier orgasme de la soirée, qui amena Miranda à se lécher les doigts, avant de s’allonger un peu plus, prenant davantage ses aises sur le lit, frottant ses jambes ensemble, provoquant ainsi de multiples crissements de latex.
« Hmmm... Quel spectacle magnifique... »
Hannah se retrouva avec la bouche à l’air libre pendant quelques secondes, pendant que l’homme, dans son dos, continuait à lui prendre les fesses, jusqu’à finir par jouir en elle. Cependant, aucun autre homme ne venait, car le public venait de faire un choix. Et, en voyant ce choix, Miranda ne put que sourire.
« Il semblerait que tu plaises bien au public, ma chérie... Et à moi aussi, puisque je mouille... »
Les émissions télévisées étaient de plus en plus interactives, surtout celle-ci. Miranda aimait bien écouter les fantasmes du public, des fantasmes qui étaient dopés par le fait que les Tekhanes pouvaient être anonymes.
« Le public veut visiblement que tu enfonces ta queue dans mon cul... As-tu envie de satisfaire à la requête du peuple ? »
Vu la manière dont Miranda le disait, avec un petit sourire le coin des lèvres, il y avait lieu de considérer que cette perspective ne la dérangeait absolument pas.
Bien au contraire, même !
-
Tout un troupeau de mâle docile attendait Hannah, ce soir. Son quart d’heure n’avait fait que commencer ! Il lui restait tant d’amant à satisfaire … Elle n’en voyait pas le bout. Pourtant, elle adorait ça. Se faire prendre par derrière, et pouvoir pomper encore et encore de belles triques bien juteuses. Cela ne valait pas celle de Miranda mais, le plaisir était là. La majordome se laissa donc bien butiner par ses deux courants amants, qui finirent par jouir généreusement en elle. Le premier qui se lâcha fut celui de devant, qui se déversa bien allègrement dans la gorge de la jeune femme. Jeune femme qui couina de plaisir face à cela ! Elle venait elle-même de se lâcher entre les mains de sa maîtresse, balançant son onctueux foutre sur ses doigts et sur le lit.
Aussi, son autre amant finit par s’abandonner. À nouveau, Hannah ressenti une énorme vague de plaisir l’envahir quand elle sentit la verge de l’homme se fondre totalement en elle, poussant ses chairs au maximum afin de les remplir généreusement de son foutre. « Haaaaa ! » Gémit-elle alors, en crispant ses doigts contre le matelas. Ses ongles griffèrent le lit et s’y enfoncèrent à force. Sa rondelle se contracta abruptement autour de la trique de son amant. Tous ses muscles se bandèrent pendant un moment, jusqu’à ce que la pression ne soit relâchée. L’homme finit par se retirer, laissant ainsi Hannah seule, avec sa maman. La majordome pu ainsi se relâcher un peu et elle se redressa donc, finissant assise sur ses généreuses fesses.
Son regard se porta alors vers Miranda, qui lui informa que le publique semblait avoir décidé de la suite. Cela expliqua pourquoi il n’y avait pas d’autre hommes qui étaient venu remplacer les autres. Son regard s’arrondi quand sa maîtresse lui annonça qu’elle allait devoir la sodomiser. Le publique semblait avoir fortement apprécié la trique d’Hannah et, clairement, avait envie de la voir entre les chaudes fesses de l’illustre madame Forge. Les joues d’Hannah rougirent un peu, puis elle hocha vivement de la tête, confirmant ainsi qu’elle était plus que partante ! Certes, les occasions où c’était elle qui sodomisait Miranda étaient rares, mais quand ça arrivait … Elle se donnait à fond pour faire jouir le plus que possible sa vénérée maîtresse !
Ainsi donc, elle fit un saut assez vif et se mit en place. Miranda était allongée gracieusement sur le lit, ce ne fut donc pas dur pour Hannah de venir se placer dans son dos. Elle louchait sur ses merveilleuses fesses qui étaient si bien moulées dans ce latex … Oh que ça lui donnait envie de croquer ! Pour le coup, et aussi surprenant que ça pouvait paraitre, elle s’autorisa à jouer un tout petit peu, avant de passer à ce qui était prévu. En effet, la belle majordome afficha un sourire malin, puis fit descendre son petit visage, afin d’offrir un sulfureux baiser sur l’une des fesses de sa patronne. Elle en donna un deuxième, puis se redressa, en venant fermement agripper son cul avec ses deux mains. Hannah aimait beaucoup ça … Et elle le montrait en se mettant à malaxer tendrement ces deux monts tout tendres.
« Dans quelle position souhaitez-vous que je m’enfonce en vous, maîtresse ? » Demanda tout simplement Hannah, le sourire au coin des lèvres. Elle continua de masser très tendrement ses fesses, jusqu’à ne plus retenir son envie de donner une petite gifle dessus. Un petit claquement d’air retentit, alors que la majordome asséna une petite claque coquine sur son fessier, faisant claquer l’air contre le latex très tendu. Oui, Hannah aimait beaucoup tout ce qui était en rapport avec les fesses. C’était son péché mignon … Son point faible. C’était aussi une preuve qu’elle possédait des gouts bien propres à elle ! Pour le coup, Miranda le savait déjà que sa petite Hannah était une grande fan de fesses et de sodomie … Mais, c’était toujours bien de s’apercevoir que Hannah pouvait éprouver des choses par elle-même. Pendant ce temps-là, le publique pouvait admirer la juteuse trique de la jeune femme, qui avait retrouvé toutes ses forces et sa hargne ! Il suffisait de voir comment elle bandait méchamment pour le voir.
-
Quand on passait ses soirées en compagnie de Miranda Forge, il y avait intérêt à aimer le sperme et le stupre. Le sexe, le Sexe, même, voilà bien une valeur centrale et cardinale chez Miranda, valeur dont Hannah avait hérité. Et, aussi puissante soit-elle, Miranda prêtait parfois l’oreille à la supplique du peuple. Et le peuple, visiblement, aimait beaucoup l’idée de voir Miss Forge se faire sodomiser. Ceci n’avait rien de surprenant, Miranda entretenait à la perfection son image, mélangeant totalement vie privée et vie publique. Et ça, les gens aimaient. Ils aimaient s’immiscer dans le quotidien de Miranda, ils aimaient voir en elle un exemple à suivre, une femme qui passait plus de temps dans son lit ou à faire l’amour qu’à être sur son bureau, et qui signait des contrats avec sa queue et son foutre en guise de stylo. Pouvait-on sérieusement le lui reprocher ? Ne fallait-il pas profiter de la vie ? L’oisiveté était la récompense d’une société avancée technologiquement, tellement bien avancée qu’elle avait réussi à repousser la plupart des défis naturels. Il était donc normal de profiter de la vie, et quoi de mieux que le sexe pour ça ?
Allongée devant Hannah, Miranda lui offrait la vue de son corps, une caméra située depuis le plafond filmant volontiers son corps recouvert de latex. Les commentaires des internautes glosaient volontiers sur ce spectacle. Qui n’avait pas envie d’être dans le même lit que Miranda Forge ? Hannah se pencha vers elle, et massa respectueusement ses fesses, avant de les embrasser, faisant couiner ce latex.
Suzanne_Poney
Je donnerais TOUT pour être à la place de sa majordome !! #love_miranda_forge
Candy_S3.X
Penser à Miranda Forge en plein cours et regarder discrètement son show… Mauvaise idée, je vais devoir changer de caleçon ♥ !#sextape_miranda_forge
Fetish_Girly
Le latex, sur le corps de Miranda Forge, ça fait comme une seconde peau, j’adore trop quand elle se fait gifler ! #latex_miranda_forge
Les commentaires se diffusaient et se diluaient, tandis qu’Hannah multipliait les baisers. De manière générale, sur les réseaux sociaux, le
hashtag #
miranda_forge était en train de rejoindre le
toplist des
keywords, comme à chaque fois que Miranda Forge se produisait. Un véritable culte du chef
made in Tekhos, et qui fonctionnait à merveille. Quand Hannah demanda à Miranda ce qu’elle voulait, la PDG se redressa lentement, et, se mit à quatre pattes, en bombant bien ses fesses, ce qui amena son cul à frotter la verge tendue d’Hannah.
«
Hummm… Je veux que tu me baises comme une chienne, Hannah, mais… Vraiment comme une chienne. Ne me vois pas comme ta Maîtresse, mais comme une sorte de pute… Baise-moi férocement, et insulte-moi. Traite-moi de tous les noms, ma chérie, c’est ta Maîtresse qui te l’ordonne. »
Un fantasme assez bizarre, mais Miranda avait foi en Hannah.
C’était le genre de commandes qui rentraient dans ses cordes.
-
Les désirs de Miranda Forge étaient les ordres d’Hannah. Indéniablement, elle ne pouvait refuser le moindre de ses désirs. Elle était faite pour lui obéir au doigt et à l’œil, coute que coute, qu’importe ce qui était demandé. Miranda était, heureusement, une patronne qui ne demandait pas toujours la lune à sa majordome … L’exemple fut encore démontré quand elle indiqua à la jeune femme la façon dont elle voulait se faire prendre. Rien d’impossible ! Elle désirait se faire prendre comme une petite chienne, c’est-à-dire, que Hannah la pilonne sans retenue, en la claquant et en l’insultant. Rien de difficile à surmonter, mais cela dit, cela surprit un peu Hannah. Plus par habitude qu’autre chose ; car d’ordinaire, c’était Miranda qui la sodomisait à fond, en l’insultant et en lui giflant son petit cul. Inutile de rappeler que Hannah adorait ça d’ailleurs.
Mais voir ce fantasme tout aussi présent chez sa maîtresse, c’était curieux. Mais logique, quelque part. Après tout, Hannah avait hérité de la majorité des goûts sexuels de sa mère, dont celui-ci, visiblement. Ainsi donc, Miranda se mit à quatre pattes et se cambra, faisant donc frotter son joli fessier contre la trique douloureuse d’Hannah, qui serra des dents. Elle posa fermement ses paluches sur ces jolies fesses bien rembourrées et moulées, et elle se mit à les malaxer très généreusement. « Je ferai selon vos désirs, Maîtresse. » Lui dit alors Hannah, enfonçant tendrement ses doigts dans sa chair, avant de lever une main, puis de l’abattre avec force sur ce cul qui remua délicieusement. Le latex crissa, ce qui motiva Hannah à donner une belle gifle, puis une troisième. « C’est un très beau cul que voilà … Je vais me faire un plaisir de te détruire de l’intérieur, sale chienne … » Lui dit alors Hannah, entrant complètement dans son rôle.
Ce qui était fascinant avec la majordome était que, malgré son humanité, elle agissait parfois comme un parfait robot. L’ordre que lui avait donné Miranda avait agi de suite et, malgré tout le respect et l’affection qu’elle avait envers sa maman, elle n’avait pas hésité à endosser le rôle qu’on lui avait demandé. Hannah se métamorphosa en maîtresse dominante, assénant une énième et violente gifle sur les fesses de la puissante Miranda Forge. Suite à cela, Hannah déplaça ses mains, palpant généreusement ce cul, jusqu’à atteindre la fermeture éclair de cette catsuit. Il était évident qu’elle n’allait pas pouvoir l’enculer proprement avec ça sur le dos … Ainsi donc, la belle majordome posa ses doigts sur cette fermeture et entreprit de l’ouvrir. Lentement, la fermeture éclair s’ouvrit et révéla le dos, puis la magnifique et saillante croupe de la belle Miranda.
Quand ses fesses furent enfin à nue, Hannah se pencha et donna un grand baiser sur l’une de ces fesses, la claquant juste après. Un sourire malicieux s’imprima sur ses lèvres alors qu’elle se mit bien en place, saisissant son lourd gourdin de chair pour l’approcher de la petite rondelle haletante de Miranda. Son gland frotta dessus, lui arrachant un petit soupir audible et délicieux. « Ton cul m’a l’air bien serré, petite salope … Je vais t’enculer à sec, jusqu’à ce que tu sois pleine à craquer de mon foutre … Ensuite, je te boufferai la rondelle, est-ce bien comprit ? » Lui déclara Hannah, toute excitée et électrisée par ce qui allait suivre. Elle ne plaisantait pas en disant qu’elle allait faire tout à sec ; car en approchant son gland tout chaud et avide, elle posa fermement ses mains sur les hanches de son amante puis … Poussa d’un seul coup, de toutes ses forces.
« HAAA ! » Gémit-elle subitement, ressentant une vive mais délicieuse douleur provoquée par cette pénétration abrupte. Ses doigts se crispèrent sur la chair de Miranda, la griffant même, et ne résista pas à l’envie de claquer violemment sa fesse, à nouveau. « Ahhh … » Gémit-elle encore, alors qu’elle s’enfonça du plus profondément que possible, avant de reculer son bassin, puis de l’abattre de toute ses forces, à nouveau, enfonçant sèchement sa trique en Miranda. Et ainsi de suite, elle commença à la sodomiser, à allure moyenne d’abord …
-
La passion des Tekhanes pour le latex, et, de manière plus générale, pour le fétichisme, était avérée. Quand on n’y était pas habitué, ça impressionnait beaucoup, mais c’était ainsi que ce peuple vivait et s’identifiait. C’était l’un de leurs hobbys, une passion commune à toute une société, ou presque. Miranda, en tout cas, l’aimait beaucoup, et sentir la main de sa belle Hannah sur ses fesses, crissant sur son latex, en pouvait que la faire frissonner. A priori, il pourrait sembler étrange qu’une esclave insulte sa Maîtresse, mais Hannah n’était pas comme toutes les esclaves dont on avait brisé l’esprit pour en faire des putes aseptisées. Elle, elle était différente, capable de faire tout ce que sa mère exigeait. Pour le marquer, Hannah gifla alors le cul de Miranda, à plusieurs reprises, ce qui ne manqua pas de faire trembler les internautes et les réseaux sociaux.
Hannah retira ensuite la fermeture Éclair, relevant la
catsuit et l’écartant pour pouvoir avoir accès à ses fesses. Miranda s’en mordilla tendrement les lèvres, avant de sentir Hannah proférer quelques jurons, puis venir enfin approcher sa trique. Sa grosse queue caressa les fesses de la PDG, qui soupira encore, avant de retenir son souffle, et de sentir cette queue s’engouffrer joyeusement en elle.
«
HNNNNNNNNNNNNNNNN... !! »
Une caméra fit un gros plan sur son visage, montrant ses yeux clos et ses dents serrés dans un couinement de douleur. La douleur explosa joyeusement, remontant en flèche, tandis que le corps d’Hannah vint remuer d’avant en arrière, avec sa queue plantée en elle. La stratégie de Miranda était d’enfoncer sa queue aussi loin que possible, avant de se reculer à l’extrémité de sa verge, pour se renfoncer ensuite, d’un coup sec et douloureux, faisant hurler Miranda à chaque fois.
Suzanne_Poney
Brutale sodomie ! #love_miranda_forge #anal_with_forge
Miranda avait fait main-basse sur les réseaux sociaux depuis longtemps. Sur Tekhos, on trouvait des équivalents de Twitter, Facebook, Instagram, etc... Et, à Tekhos, ces réseaux sociaux étaient souvent gérés par les mégacorporations, les réseaux indépendants étant très minoritaires. GeoWeapon Corp. avait développé son réseau social, GeoLinks, abrégé GL, qui proposait de multiples services, comme GeoInstantMessage, abrégé GIM, qui permettait de balancer des messages, reliés entre eux par des
hashtags. Les réseaux sociaux avaient aussi été une révolution à Tekhos, mais qui était maintenant inscrite dans les mœurs. Miranda avait son propre compte sur GL, où elle passait pour une femme d’affaires puissante, mais sexy, perverse, et provocatrice. Ainsi fonctionnait Miranda.
Et ainsi profitait-elle de cette joyeuse et brutale sodomie.
«
Ouiiii, ouiiii, haaaannnn... Haaaaa... !! »
Encore,
ENCORE !
-
Aux ordres de sa mère, Hannah répondait avec toute la force qu’elle pouvait. Déjà grande adoratrice et consommatrice de sodomie, la majordome s’en donnait à cœur joie ! Sa trique remuait d’avant en arrière, adoptant une méthode assez particulière ; elle sortait quasiment l’intégralité de sa queue pour venir la renfoncer, encore plus sèchement et fortement. Et ainsi de suite. Donnant à sa vénérable maîtresse des lourds soupirs. Hannah s’amusait donc ainsi, pilonnant l’anus de Miranda avec acharnement et dévotion. Même en jouant le rôle de la dominante, on voyait bien que Hannah tenait à bien faire les choses. Elle tenait à donner le maximum de plaisir à sa mère, qui pourtant lui avait ordonné d’être agressive. Mais, l’un n’empêchait pas l’autre ! Hannah était hargneuse et c’était en remuant toujours plus fortement, et rapidement, qu’elle agrémentait le tout de jurons, et de gestes.
Comme par exemple ces multiples et résonnantes gifles qu’elle assénait avidement sur cette croupe saillante. C’était qu’elle prenait un plaisir vicié à claquer ces fesses. Voir ce latex crisser, cette peau remuer, et surtout, entendre les gémissements de la grande Miranda Forge, était tout simplement fantastique. « Haaaa ! Ton cul … Hmm, souffres, petite pute ! » Lui dit-elle, assénant à nouveau une belle claque. Si ce n’était pas des gifles, Hannah enfonçait ses doigts dans sa chair et s’en servait comme appui pour donner plus de forces dans ses coups de trique. Ce moment dura longtemps, assez longtemps pour emmener mère et fille au bord de la jouissance. « Haaaaah ! » Couina alors Hannah qui sentait son sexe chauffer et gonfler, alors qu’il ne cessait d’aller et venir rapidement dans ce trou si étroit. Le plaisir explosait, il grimpait en flèche à mesure que sa verge gonflait encore et encore, se serrant toujours plus.
Et plus elle était serrée, plus Hannah avait du mal à se retenir. Sodomiser Miranda s’avérait toujours aussi exceptionnellement … Jouissif. Jamais Hannah ne prenait autant de plaisir à s’enfoncer dans quelqu’un. C’était à la fois psychologique et physique ; dès qu’il y avait Miranda dans l’équation, tout allait bien. C’était son amante préférée, sa guide, sa maitresse, sa mère, sa seule et unique garante … Et tout pleins d’autre adjectifs, qui faisait de Miranda la définition même de la vie d’Hannah. C’était aussi purement physique car madame Forge était une femme extrêmement belle et agréable, possédant un corps voluptueux et terriblement sexy. Hannah ne pouvait rassemblement prendre complètement, à cent pourcent du plaisir uniquement avec sa maitresse. Que ce soit en position de dominée, ou de dominante.
Et cela se voyait dans son état actuel. Bavant, concentrée, excitée au plus haut point, la majordome n’allait pas tarder à généreusement remplir les intestins de sa maitresse de sa chaude crème. « Haaaah … HAAAAANNN OUI ! Petite chienne, je … Je vais … !!! » Gémit alors la majordome qui donna une dernière et violente claque sur son cul, avant d’enfoncer sévèrement ses doigts dedans. Dans un dernier revers, elle fit quasiment sortir toute sa trique, avant de s’enfoncer. De toutes ses forces, de toute sa hargne, de tout son être, Hannah poussa et empala sèchement sa maitresse, dans un dernier coup qui sonna le glas de cette sodomie. « HAAAAAAAAN !!! » Cria-t-elle alors, sentant son sexe vibrer et exploser en elle. Un déluge de foutre sortit alors de sa verge qui cracha des violentes et brûlantes salves de foutre, qui vinrent onctueusement et généreusement remplir les intestins de Miranda. Pendant un temps, Hannah fut frappée d’un puissant orgasme, déversant une bonne quantité de foutre.
Cependant, l’orage finit par passer et comme toujours, la pression retomba. Reprenant son souffle, la majordome venait de passer un moment des plus intenses … Mais, elle ne comptait pas s’en arrêter là ! Souriant malicieusement, elle glissa tendrement ses mains sur les deux belles fesses de sa maîtresse, puis se retira lentement d’elle. « Ton calvaire n’est pas fini … » Lui déclara-t-elle, se retirant donc d’elle, puis se mettant en place. Elle appuya fortement avec sa main pour lui signifier qu’elle devait rester en position.
Hannah se plaça derrière elle puis, lorgnant sur sa croupe, passa généreusement ses mains dessus. « Quel cul que tu as, petite chienne … » Dit alors Hannah, massant ces deux monts, les écartant progressivement l’un de l’autre. Miranda devait se douter que le fort gout pour les fesses de sa fille allait la pousser à pousser le jeu encore plus loin ! Après une sodomie, Hannah en voulait encore, de ces fesses. Ce fut pour cette raison qu’elle approcha son visage et déposa alors un grand et intense baiser sur l’une d’entre elle, déposant d’ailleurs une grosse marque de rouge à lèvre. « Hmm … » Ronronna alors Hannah, qui continuait de masser vigoureusement cette croupe. Elle déposa toute une suite de baisers, tout en se rapprochant du centre.
N’ayant nullement froid aux yeux, et étant parfaitement dans son rôle de dominatrice, la majordome de Miranda Forge finit par franchir le pas ; elle déposa tendrement ses lèvres sur la petite rondelle qu’elle venait d’éprouver il y a quelques instants. Elle était en train de tout simplement tenir ses propos du tout début … De ce fait, après un long et tendre baiser, Hannah poussa de sa langue pour venir chaudement remuer par celle-ci dans ce fondement. Elle ronronna de plaisir, alors qu’elle se mit langoureusement à remuer dans le sens horaire, sa langue chaudement fourrée dans la rondelle de Miranda. Ses mains continuaient de lui peloter fortement les fesses, alors qu’elle faisait sa petite gourmande en bouffant la rondelle de madame Forge, le visage chaudement niché entre ses deux rives, exactement comme elle lui avait dit au départ.
-
Hannah se laissa aller, consciente que cette brutalité, cette sauvagerie, cette domination, étaient tout ce que le peuple voulait voir... Et Miranda, aussi autoritaire soit-elle, dans ce genre de moments, aimait satisfaire la plèbe et le peuple. Elle en prenait donc plein le cul, et sentait, avec une joie féroce, Hannah se défouler en elle. L’esclave prenait ses aises, sachant très bien que Miranda ne lui en voudrait jamais, et que tout cela, entre elles, s’inscrivait dans une sorte de curieux et fascinant jeu. Hannah remuait donc dans son dos, claquant ses fesses, faisant joyeusement hurler Miranda, qui se crispait sur le lit, en la sentant, encore et encore, jouer en elle.
Comme toujours, Hannah savait faire preuve d’une énergie exceptionnelle quand elle se dévouait dans une tâche.
« Haaaa... Haaaaa... !! »
Miranda haletait, la joyeuse PDG filait d’avant en arrière, le latex crissant en accompagnant ses mouvements de balancier. Hannah continuait à la sodomiser, jusqu’à ce que l’orgasme ne finisse par la traverser. Hannah sembla se crisper derrière elle. Miranda la connaissait par cœur, et sentit, vu la vitesse de ses pénétrations, ou encore vu l’intensité de ses soupirs, quand elle allait venir. Elle serra donc les dents à l’idée de ce qui allait arriver.
Chez Miranda, le sexe avait quelque chose de pathologique. Elle adorait ça, ce qui était très tekhan, mais, même pour une Tekhane, il fallait bien admettre que sa gourmandise était particulièrement élevée. Miranda serra donc les lèvres, et sentit Hannah jouir en elle. Le sperme explosa dans son cul, fusant dans son corps, et de longs soupirs de plaisir s’échappèrent de ses lèvres.
« Haaaaaaaaannnn... !! »
La PDG sentit tout ça affluer en elle, et, pendant de longues secondes, il n’y eut rien de plus qu’Hannah, qui se vidait en elle, le visage figé dans une expression éternelle de plaisir, son corps légèrement arqué vers l’arrière. Hannah se vida donc joyeusement, et Miranda, elle, se fit remplir avec la même joie.
On aurait pu croire qu’Hannah se serait arrêtée là, mais, après cette joyeuse et somptueuse sodomie, elle fléchit les genoux. Rempli de foutre, l’anus de Miranda se dilatait lentement, ce qui avait pour effet de faire ressortir un peu du foutre de la femme. Hannah enfouit alors sa langue, ce qui ne manqua pas de faire soupirer Miranda une nouvelle fois.
« Hmmm... Haaa, Hannah, tu aimes ça, hein... ? Me lécher le cul, hummm... Fais donc, ma chérie, fais donc... J’aime ça, moi aussi... »
Cette sodomie lui avait laissé le cul en feu, et, partant de là, les petits coups de langue d’Hannah ne pouvaient que lui faire le plus grand bien.
-
Au grand bonheur de Hannah, sa gourmandise plaisait tout autant à sa maîtresse. De toutes les manières, si cela avait été autrement, ça l’aurait peut-être un peu surprise. Miranda n’avait pas beaucoup de tabou en matière de sexe, après tout. Elle fut donc heureuse de voir de sa maîtresse se laissait faire et surtout qu’elle aimait ça ! Car la majordome allait, encore une fois, se donner à fond dans ce qu’elle faisait. Ce n’était pas tous les jours qu’elle avait l’occasion de faire une telle chose, mais Miranda avait parfaitement raison en affirmant qu’elle aimait lui lécher le cul. Hannah aimait plus généralement la lécher tout court, mais il fallait dire que dans le contexte, après une lourde sodomie, la majordome sentait que c’était une bonne opportunité pour s’attaquer à cette zone.
En se mettant à enfoncer sa langue dans cet orifice, la majordome avait senti un peu de son foutre. Elle le racla au passage bien entendu. Mais, son travail consistait surtout à remuer du plus fortement et du plus profondément que possible. Ce n’était pas seulement son travail avec sa langue qui faisait tout le plaisir ; c’était aussi sa position, son visage, ses mains. Quel plaisir de peloter avec appétit cette croupe de par ses mains ! Hannah n’y allait pas de main morte. Ses doigts et ses mains empoignèrent nerveusement ses deux fesses, les remuant avec beaucoup d’onctuosité et de générosité. Elle écartait ces deux monts, puis les rapprochaient, les pinçant, les malaxant dans tous les sens possibles. Miranda le savait bien ; Hannah adorait son cul et elle lui montrait à nouveau cela. Quant à son visage, il était tout simplement bien enfouit.
La majordome continua son labeur, enfonçant toujours plus franchement et tendrement sa langue dans le fondement de sa maîtresse. Elle se donnait à fond, tournant son appendice lingual dans tous les sens afin d’exciter et de stimuler au plus sa belle amante. Hannah se rendait bien compte de la chance inouïe qu’elle avait d’être là, dans cette position, avec une telle femme. Quand elle voguait sur les réseaux sociaux, afin de prélever la qualité de l’e-réputation de sa mère, elle se rendait compte que bon nombre de ses fans disaient qu’ils aimeraient tant coucher avec la grande patronne. Surtout quand elle postait des photos très sulfureuses. C’était en partie grâce à cela que Hannah s’était rendu compte de son statut, et de la chance immense qu’elle avait. Ce n’était pas toute les femmes de Tekhos qui avaient le privilège de lui léchouiller la rondelle, après tout !
De longues minutes s’écoulèrent pendant lequel Hannah accomplit son labeur, éprouvant cette rondelle jusqu’à la dernière seconde. Le moment finit toutefois par se terminer et Hannah recula donc lentement son visage. « C’est toujours un plaisir … » Dit-elle alors avec un petit sourire, sortant alors sa petite langue. Elle caressa longuement ses fesses, n’arrivant pas à décoller ses mains de celles-ci. Elle se pencha à nouveau puis donna un bref mais très tendre baiser sur sa rondelle, à nouveau, avant d’en déposer un autre sur l’une de ses fesses. Elle se redressa complètement ensuite, mais gardant encore ses mains sur sa croupe. À présent qu’elle avait accompli son travail, celui que sa mère lui avait demandé, qu’allait-elle devoir faire ? Elle en était déjà toute impatiente !
Mais, cela ne l’empêchait pas de continuer à peloter encore et encore le si beau fessier de sa maîtresse adorée …
-
Si on le demandait à Hannah, Miranda était sûre qu’elle serait d’accord pour que le cul de la PDG de GeoWeapon. Corp rejoigne le patrimoine national tekhan. Cette obsession pour ses fesses était fascinante, Hannah ayant largement repris les fantasmes de sa « mère ». Mine de rien, par sa proximité avec elle, Hannah était l’une des femmes qui connaissaient la mieux au monde Miranda Forge. Si, pour la plupart des gens, la vie se résumait à une opposition larvée entre vie privée et vie publique, pour Hannah, c’était une toute autre approche. Sa vie était un affrontement entre Miranda Forge et les scènes de son existence sans Miranda Forge. Tout simplement. Pour Hannah, Miranda était comme l’amarre autour de laquelle le navire de sa vie était ancrée. Impossible de se séparer d’elle, elle était liée, ce qui faisait d’elle la plus formidable des amantes. Docile, soumise, obéissante, elle exauçait presque tous les caprices de Miranda, avec ce sentiment exquis d’être une sorte d’élue, naviguant dans les hautes sphères, disposant, par son statut d’esclave privilégié, d’un pouvoir certain sur la masse commune et informe des mortels.
Oui, elle était privilégiée, ce dont elle avait conscience, léchant le cul de Miranda comme on flatte une idole, la léchant avec la même obsession que ces fanatiques se fouettant pour complaire à leurs divinités barbares et païennes. Elle n’était pas juste sa Maîtresse, oh non. Elle était sa Déesse, son idole, son étoile, la créature sur laquelle Hannah avait focalisé toute son existence. Une telle dévotion avait quelque chose de rare et de magnifique, et c’est ce qui rendait Hannah si précieuse.
La jeune femme ponctuait donc les fesses de Miranda de multiples baisers, après l’avoir léché, et attendait manifestement la suite.
« Hmmm… Il faut battre le fer pendant qu’il est encore chaud, Hannah. »
Des idées, Miranda et son fertile esprit de perversion en avaient déjà plein. Elle n’eut qu’à faire le tri, et se redressa alors, arrachant finalement, après de longues minutes, la palpation de ses fesses aux mains d’Hannah. Hannah, du reste, avait le droit de l’aimer, ce petit cul, car Miranda l’entretenait. Elle faisait régulièrement du sport, uniquement dans le but d’entretenir ses formes, ce qui s’appliquait essentiellement pour ses fesses. Preuve qu’il existait à Tekhos une certaine folie en matière sexuelle, on trouvait des cours de fitness uniquement destinées à avoir le cul le plus visuellement appétissant possible qui soit. Miranda suivait de multiples cours privés, et on pouvait dire qu’elle s’en sortait plutôt bien.
Pour l’heure, elle avait néanmoins des idées, et, restant assise sur le lit, une jambe à gauche et une jambe à droite d’Hannah, donna ses instructions :
« Range ta queue, Hannah… Vous autres… Libérez tous les mâles ! Je veux qu’ils soient en cercle autour du lit, je veux qu’une forêt de queues et de muscles nous entourent toutes les deux ! »
Les ordres de Miranda étaient roi, et, rapidement, le cercle se forma. Un spectacle magnifique à voir, celui de nombreux hommes, bien entretenus, bien épilés, qui se masturbaient lentement. Miranda les regardait en souriant.
« Bien… »
Miranda s’allongea alors sur le lit, et fit signe à Hannah de s’allonger à côté d’elle.
« Toi, viens me baiser ! fit-elle en désignant un homme. Toi, viens la baiser, elle ! »
Il ne fallait pas non plus croire que Miranda resterait éternellement sur le banc de touche.
Elle aussi, elle voulait goûter à ces hommes baraqués !
-
On ne pouvait pas faire plus clair et bien défini que cela. C’était peut-être un peu bête de penser que Hannah adorait autant Miranda, alors qu’à la base, elle avait été créé de cette façon, pour en arriver là. Mais c’était loin d’être bête ; il fallait comprendre toute la psychologie derrière. Hannah était un bébé éprouvette, un être créé de toute pièce. Il fallait constituer aussi sa psychologie de toute pièce et, outre par le fait qu’elle était destinée à servir Miranda Forge, il fallait lui donner les mêmes espoirs qu’un individu normal. Ses espoirs, c’étaient Miranda Forge. En réalité, tout n’était que Miranda, depuis sa naissance, jusqu’à maintenant. Ses rêves, ses désirs, ses passions, ses ambitions, ses buts, ses craintes, ses joies, tout … Tout n’était que Miranda Forge. Toute la psychologie d’Hannah, toute sa personne, son être était construit autour d’une grande pierre fondatrice, qu’était cette femme.
Sa vie entière prenait ancrage sur elle. Et elle prenait ancrage pour s’avancer dans un vaste océan, où sa destination, serait aussi cette femme. Une vie sans Miranda était bien plus qu’inconcevable pour Hannah ; elle ne pouvait tout simplement pas appréhender cette notion. Ce n’était pas une métaphore ; Hannah était physiquement et mentalement incapable d’imaginer sa vie sans Miranda. C’était un blanc, un trou, un vide, face auquel elle n’avait aucune réponse. C’était comme si on tentait d’imaginer quelque chose d’impossible ! Miranda était la lumière qui éclairait sa vie, et ce de manière éternelle. Hannah n’était pas liée à GWC, mais à elle, personnellement. Ce qui signifiait que quoiqu’il arriverait, Hannah serait auprès d’elle. Auprès de la seule personne dont sa vie dépend. De sa maîtresse … De sa mère. Car oui, aux yeux d’Hannah, Miranda était exactement comme une maman. Bien que, on pouvait douter sur sa définition de la maman mais, il n’y avait pas de doute à avoir ; elle la considérait, en privé, comme sa maman à elle. Mais … Pas n’importe quelle mère. Mère et maîtresse en même temps. Une notion en tout cas différente de celle que l’on connait.
En attendant d’être en privé, Hannah devait tout de même poursuivre le show. Après avoir généreusement mangé la rondelle de Miranda, celle-ci lui exposa la suite. Se redressant, elle plaça une jambe de part et d’autre de sa majordome puis lui ordonna de ranger sa queue. Ordre exécuté sur l’instant, puisque l’intéressée se crispa un peu puis rentra ainsi son service trois-pièce, retrouvant sa belle et fine féminité. Puis, la maîtresse de la scène ordonna que l’on libère tous les hommes, et qu’ils viennent les entourer en cercle. Tout ceci sentait l’orgie de la fin ; le moment où elles allaient se faire baiser dans tous les sens possibles et inimaginables. Déjà furieusement excitée par l’idée, Hannah le fut encore plus quand elle observa sa maîtresse s’allonger, puis l’inviter à la rejoindre à ses côtés. Elles allaient faire ceci ensemble, côte à côte.
La majordome obtempéra et vint alors s’allonger aux cotés de Miranda, attendant alors avec impatience que tout débute. La grande et majestueuse Miranda donna à nouveau ses ordres, et désigna l’un des mâles pour venir la prendre elle, puis un autre, pour venir prendre Hannah. Les joues rougies, la majordome observa alors les deux hommes approcher ; ils étaient déjà à point, bien bandés, et prêt à en découdre. L’homme vint alors au-dessus de Hannah, la surplombant de tout son corps, puis plongea pour venir puissamment l’embrasser, tout en empoignant l’un de ses seins. « Hmm ! » Couina alors Hannah, se laissant faire, s’abandonnant à ce plaisir qui pointait déjà en elle au moment où sa poitrine se faisait peloter.
-
Il était temps de montrer que Miranda avait les hanches solides. Tous ces mâles en rut avaient beau avoir été aseptisés, rééduqués et dressés pour être de parfaits esclaves, on ne pouvait pas lutter contre leurs instincts primitifs... Et on ne voulaitpas le faire. Au contraire, en les aseptisant ainsi, GeoSlave ne faisait que renforcer leurs pulsions sexuelles. Voir ces deux femmes baiser ensemble, être les témoins impuissants de ce spectacle, avaient gonflé leur frustration, sans pour autant remettre en cause leur soumission. C’est ça qui était beau. Ils étaient là, avec des triques fabuleuses, des érections à faire pâlir d’envie n’importe qui, et, pourtant, ils restaient encore silencieux, écoutant fidèlement les instructions de leurs Maîtresses. Jusqu’à quel point ce conditionnement pouvait-il fonctionner ? Miranda l’ignorait, mais elle savait que c’était un conditionnement sexuel, conçu pour s’assurer que les pulsions sexuelles ne libèrent pas les esclaves de leur soumission. Il ne fallait pas oublier que, au-delà du pur plaisir qu’il y avait dans ce show, c’était aussi une superbe vitrine publicitaire pour vendre, auprès des Tekhanes, des mâles. Dans beaucoup de couples, l’infécondité entre femmes faisait qu’on se tournait vers des mâles reproducteurs, qui avaient l’immense honneur d’engrosser leurs Maîtresses, et qui ne servaient que pour ça. Ce cas était même légalement prévu, et il était ainsi prévu que l’esclave, malgré son hérédité biologique, ne soit reconnu à aucune filiation juridique, de telle sorte que le père était inexistant.
Les mâles étaient donc là, et assez rapidement, deux vinrent s’enfoncer en Miranda et en Hannah. Hannah, après tout, avait bien mérité de tels cadeaux. Miranda soupira en sentant cette verge, ainsi que le corps de son amant, caressant son dos, puis ses fesses musclées, se crispant dessus, avant de sentir l’homme remuer en elle. Malgré la présence des hommes, les caméras continuaient à filmer, montrant l’orgie en train d’arriver.
« Haaaa... Hmmmm... Mmmhmmm... !! »
Miranda embrassa l’homme, posant ses lèvres sur sa bouche, les mordillant, et resserra ses jambes autour de son bassin. Oh oui ! Coucher avec une femme, c’était merveilleux, mais un homme... Haaa ! Indubitablement, l’expérience était différente, c’était violent, ardent, elle sentait les muscles du puissant mâle s’abattre sur son torse, son corps se redresser et s’abattre, encore, encore, avec une force ancestrale, primitive, magnifique et jouissive. Il remuait lourdement en elle, la faisant saliver.
« Haaaaaaannnn... !! »
La PDG mouillait joyeusement, griffant à nouveau la nuque de l’homme, posant son autre main sur son épaule, et le sentit, s’enfonçant en elle, durement. L’homme soupirait lourdement, tout dévoué à sa tâche, sa grosse queue trahissant le plaisir qu’il ressentait.
Au bout d’un moment, Miranda entreprit de le retourner, et se redressa sur lui.
« Haaaa... Haaannnaaahhh... !! »
Le nom d’Hannah était vraiment bien choisi. Quand on se faisait baiser, on le prononçait plus facilement. Miranda, par ce biais, invita tout simplement sa majordome à venir également se retourner, à s’empaler, elle aussi, sur l’homme. Qu’Hannah ne soit pas, biologiquement, ni juridiquement, sa fille, ne changeait rien au fait que, aux yeux de Miranda, elle était sa plus proche confidente, et que, à bien des égards, elle aurait effectivement mérité d’être sa fille.
Elles étaient donc là, toutes les deux, dressées sur des hommes qui caressaient leurs fesses, face à des queues qui les cerclaient de toute part...
Il allait bien falloir trouver un moyen de s’en occuper.
-
Cette grande sauterie était effectivement un grand moment pour Hannah. C’était une sorte de récompense, à la hauteur de ce qu’on savait le mieux faire à Tekhos. Le sexe. Si d’ordinaire Hannah avait surtout l’habitude de le faire avec des femmes, et plus particulièrement avec Miranda, là il fallait dire qu’avec des hommes, c’était différent. Le fait était que la majordome avait pas autant l’habitude et que, forcément, c’était un peu désemparant. Mais étant aux cotés de sa maitresse, ça devrait se passer bien, pensait-elle. Allongée à son coté, deux beaux mâles bien bâti finirent par s’approcher, et tout simplement, par les prendre. Alors que la grande et vénérable Miranda Forge se fit bien prendre avec force, Hannah fut servi du même dessert. L’homme s’enfonça puissamment en elle, et la jeune femme sentit avec délice cette verge se perdre dans son corps. « Haaaaan ! » Couina-t-elle alors, sentant son amant musclé remuer fortement, d’une cadence presque militaire.
Elle crispa ses cuisses contre lui, et posa ses mains dans son dos, afin de prendre un meilleur appui. L’homme la dardait de toute sa force, remuant d’avant en arrière. Il rendait Hannah folle ; folle de plaisir. C’était bien différent qu’avec les femmes mais … Ce n’était pas comparable. Le plus important était que Hannah ressente énormément de plaisir à ce moment-là. La queue de cet homme remuait si fortement en elle qu’elle en aurait cru que ça lui ferait mal. Mais rien de tout cela. Tout ne fut que pur plaisir. Elle serra fortement des dents, griffant hargneusement le dos de son amant face à ses assauts terribles. Ses coups de butoirs résonnaient bien fort, Hannah sentait ses muscles bien durs cogner contre elle à chaque descente. Ses seins se blottissaient contre lui, alors qu’il finit par décider d’abattre ses lèvres sur les siennes. « Hmmm ! » Couina alors Hannah, se laissant volontiers embrasser.
Ses lèvres se mêlèrent aux siennes, et là encore, la différence avec les femmes se sentait. Si bien que, Hannah pouvait sentir que si elle ressentait énormément de plaisir à se faire baiser de la sorte par un mâle aussi bien bâti, en revanche, elle préférait nettement les baisers aux féminins. Non pas que le baiser de l’homme ne lui plut guère, loin de là … Mais à titre de comparaison, Hannah savourait bien plus les lèvres et la langue d’une femme, que d’un homme. Ceci étant dit, la force et la bestialité de son amant étaient telles que ça ne lui laissait que peu de temps pour juger. Elle se faisait méchamment prendre, et cela, ça comptait plus que tout. Ses jambes finirent en l’air, et tout son corps remuait tendrement face à ses coups. Cependant, Hannah, au milieu de tout cet incendie qui la consumait de l’intérieur, constata que sa mère avait retourné son homme, et que maintenant, c’était elle qui le chevauchait. Elle avait pris pour habitude de gémir en prononçant son nom, même si ce n’était pas voulu. Hannah et Miranda n’avaient pas besoin de se parler pour se comprendre, et ce fut pour cette raison que Hannah su ce qu’elle avait à faire.
Elle retourna son amant et hop, s’empala bien fortement dessus. « HAAAAN OUII ! » Couina-t-elle de sa belle voix, se trémoussant de haut en bas sur cette trique juteuse et puissante. Elle posa fermement ses mains sur le torse de l’homme pour prendre appui, alors qu’elle se dandinait fortement, et rapidement. Son amant posa ses mains sur ses très généreuses fesses et commença alors à les peloter, à les malaxer, procurant ainsi encore plus de plaisir à la majordome qui, dans cette position, prenait étrangement plus de plaisir !
-
Dire qu’Hannah préférait les baisers avec les femmes aux baisers faits avec les hommes était à la fois vrai et inexact. En réalité, elle préférait surtout les baisers de Miranda par rapport au reste. C’était une chose que la PDG comprenait, car Hannah avait été éduquée ainsi. Elle était la « fille » que Miranda n’avait jamais eu, et ne pourrait jamais avoir, une majordome parfaite, qui se pliait à presque quasiment tous ses désirs. La PDG dansait sur le corps de son puissant esclave, et Hannah s’empressa de la rejoindre. La main de Miranda alla rapidement se serrer à celle de la femme, se crispant à elle, pendant que leurs deux corps remuaient à l’unisson sur les grosses queues des mâles.
« Haaaaa... !! »
Dieu, Dieu, que c’était bon ! Oh, la sensation exquise de ces mandrins qui remuaient en elles ! La main de Miranda se serra un peu plus fort contre celle d’Hannah, sa belle majordome, et elle continua à s’empaler sur sa queue, se pinçant les lèvres, avant de les ouvrir pour soupirer longuement, voire crier, sa tête basculant en arrière. Elle glissait le long de cette magnifique verge, et relâcha la main d’Hannah, faisant signe à un autre homme, en claquant des doigts, de venir dans son dos.
« Tu-Tu le sens, h-hein ? Les... Les queues des hommes s-sont... Magnifiques, haaa... !! »
Les femmes avaient beau se membre, elles n’avaient pas leurs muscles, elles n’avaient pas cette virilité préhistorique et masculine. Voilà pourquoi Miranda, tout en reconnaissant bien naturellement le caractère inférieur de ce sexe, l’appréciait beaucoup. Des mains s’appuyèrent contre ses hanches, puis, dans un soupir, l’autre homme s’enfonça dans son cul, sa queue se perdant en elle, faisant alors hurler Miranda, qui partit vers l’avant, griffant le torse de l’homme sous elle, qui soupira à son tour.
Les mains du mâle se posèrent alors sur ses seins, et, d’un coup de reins solide, il commença à remuer en elle.
« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »
En sentant cet homme s’enfoncer si lourdement en elle, Miranda ne pouvait que hurler, le souffle court, la respiration longue et haletante. Sa salive coulait même de ses seins, tandis que son corps était bringuebalé d’avant en arrière, sous les assauts furieux et jouissifs de ses puissants amants.
« Hoooooo... !! Hnnnnnnnnnnnn... !! »
De longs soupirs de plaisirs fusaient des lèvres de la PDG.
Sous un tel traitement, les orgasmes ne tardèrent pas à se multiplier...
-
Quoiqu’il en était, Hannah appréciait fortement l’instant. D’un point de vue purement sexuel, elle prenait comme il se devait plaisir à se faire pilonner de la sorte par ce mâle. Le tout était fortement exhaussé par la proximité de Miranda, qui à elle-seule était un puissant excitant pour Hannah. C’était donc en pleine jouissance, en pleine montée de plaisir que la majordome se dandinait joyeusement sur la trique de l’esclave, montant et descendant dessus avec énergie. « Haaaaw ! » Gémissait-elle inlassablement, sentant la jouissance venir petit à petit. Mais elle avait encore du chemin à parcourir avant que son corps ne la trahisse et libère tout son extase. En attendant, elle pouvait non seulement sentir les mains de son amant venir malaxer tendrement son fessier, mais aussi, et surtout, la main de sa maîtresse venir serrer la sienne. Un geste simple mais terriblement puissant auprès de Hannah qui sentit de multiples frissons la parcourir.
Miranda ne tarda guère à serrer encore plus ses doigts aux siens, consolidant ce lien physique entre elle et sa fille. Elle s’adressa d’ailleurs à elle, affirmant que les queues de ces hommes étaient magnifiques. Ce face à quoi la majordome tenta de hocher la tête. Les joues rouges, le corps en sueur et les muscles tendu, Hannah n’arrivait pas à se concentrer avec cette verge massive qui rentrait en elle inlassablement. Et qui la mettait dans tous ses états ! Sa main libre se crispa davantage contre le torse musclé de son amant, prenant fermement appui dessus alors qu’elle se dandinait encore et encore. Toutefois, le lien avec sa maîtresse finit par se rompre au moment où un autre mâle alla puissamment la prendre par les hanches, avant de s’enfoncer dans son cul. Une vision qui donna furieusement envie à Hannah de subir le même traitement.
Elle fut ravie car cela ne tarda guère. À peine quelques instants après, elle sentit un autre poids lourd lui rentrer dedans, dans son dos. Des mains vinrent méchamment empoigner sa belle poitrine, la pelotant, l’éprouvant généreusement en venant pincer ses petites pointes. « Haaaaaaa ! » Gémit-elle fortement face à ce traitement, tout en sentant une queue se frotter contre ses fesses, avant de rentrer de manière abrupte, sèche, mais terriblement jouissive ! Ceci lui arracha un cri, un râle de douleur extrême, mais qui traduisait d’un plaisir tout autant extrême. Elle en fut poussée vers l’avant, s’étalant contre le torse de son premier amant qui continuait de la prendre vigoureusement dans sa féminité. Hannah était en train de vivre ce qu’elle et Miranda avaient fait vivre à Asuka. Complètement prise en sandwich, elle se faisait prendre et sodomiser en même temps.
Et, pour une grande consommatrice de sodomie comme elle, c’était le summum du plaisir sexuel. « OUI, OUIIIII !!! HAAAAAAAAN ! » Hurla-t-elle, sa langue pendouillant légèrement alors qu’un peu de salive coula. Son corps remuait en toute violence, se balançant de haut en bas et d’avant en arrière face aux terribles coups de butoirs de ses amants. Mais il était indéniable que le plaisir était à présent situé dans son arrière-train, alors que celui-ci se faisait férocement pénétrer. Face à ce traitement, face à cette force et à cette endurance, Hannah ne tarda guère à avoir son premier orgasme. Ses cordes vocales en furent éprouvées, bien qu’elle tenta de se contenir pour ne pas casser les oreilles de sa maîtresse. Mais c’était dur ! Hannah eut donc son premier orgasme, et sa mouille gicla, aspergeant l’homme sur lequel elle était couchée.
Et malgré cet orgasme, elle continuait de sentir des innombrables vagues de plaisir. Ses entrailles se serrèrent autour du vit planté dans ses fesses. Fesses qui remuèrent tendrement face à ses terribles assauts, d’ailleurs.
-
Han, ces hommes ! Han, ces mâles ! Ces amants puissant, fougueux, et vigoureux ! Oh, qu’il était bon, de les sentir en eux ! Miranda se mordillait les lèvres, et hurlait de plaisir, tout comme Hannah. Oui, oui, les Futanaris étaient des amantes exceptionnelles, mais, quand on les dressait bien, les mâles étaient tout simplement magnifiques. Grognant et soupirant contre elles, ils s’enfonçaient en eux. Couché contre le lit, le mâle pénétrant sa chatte posait ses mains sur ses hanches, et celui dans son dos malmenait joyeusement ses seins, pinçant les tétons entre ses doigts.
La formation de ces gens était tout simplement exceptionnelle. Miranda se jetait des fleurs en pensant ça, mais elle trouvait vraiment avoir bien réussi à les dresser, en leur faisant oublier toutes ces insupportables velléités masculines. Ils étaient maintenant dociles, tendres, soumis, incapables de songer à se révolter, et uniquement désireux de prodiguer à ses femmes le plus grand et le plus ardent des plaisirs.
« Mmmmhhhmmmm… !! »
C’était un plaisir immense, incroyable, que de sentir leurs mandrins s’enfoncer ainsi dans son corps. Malmenée par une verge immense, son cul était en souffrance, et Miranda hurlait, ne tardant pas à avoir un nouvel orgasme. Le latex crissait joyeusement, sa combinaison moulant ses formes à la perfection. Du sexe intense mélangé à du fétichisme et à du latex, c’était bien là la définition du plaisir sexuel tekhan. Oh, comme Miranda se faisait plaisir ! Elle prenait carrément son pied à se faire ainsi malmener. C’est de cette manière qu’elle jouit donc, balançant sa mouille sur la queue du mâle situé sous elle, griffant ses épaules, avant de hurler.
Des cris délicieux, qui confirmaient le fait que la femme d’affaires était une femme pleine de passions. L’égérie de Tekhos, qui soignait son image de marque avec l’attention d’un régime totalitaire, fit signe à d’autres hommes de se rapprocher. Un troisième s’approcha, et posa ses mains moites sur les cheveux de la PDG, puis enfonça d’un coup sec sa queue, énorme, dans sa bouche. Cette dernière n’alla pas serrer les fesses de l’homme, mais utilisa ses mains pour masturber d’autres queues. Elle était comme dans un paradis de queues, de mandrins en érection. Toute cette odeur de sexe, de sperme, c’était à vous faire tourner la tête. Miranda adorait ce genre de sexe, un bon vieux gang-bang où son corps se trémoussait dans tous les sens.
« Hhhhhmmmmmmmmmmm… !! »
La queue de l’homme tapait dans les tréfonds de son gorge, excitant furieusement la belle Miranda. Elle ne savait tout simplement plus où donner de la tête, et ne voyait même plus Hannah. Seul comptait le sexe… Et les queues.
Des grosses queues veineuses qu’elle sentait contre ses doigts, et qu’elle pressait joyeusement.
-
Une forêt de queue ! C’était bien le cas de le dire. Hannah était complètement submergée par le plaisir – un plaisir immense, puissant, saisissant. Tous ces mâles s’affairant à leur faire l’amour, avec cette force physique si typique du genre masculin … Miranda n’avait pas eu tort en disant à Hannah que faire l’amour avec eux, c’était très différent de faire l’amour avec une femme. Elle ressentait bien, surtout entre ses fesses ; son amant derrière elle ne la ménageait guère, et enfonçait lourdement son mandrin en elle, broyant ses entrailles sur tout son passage. Autant dire qu’une telle sodomie, aussi douloureuse et brutale qu’elle était, faisait exploser le niveau d’extase en Hannah qui couinait de partout. Son amant en-dessous elle n’en démordait pas non plus, cela dit. Hargneusement il la baisait, encore et encore, s’enfonçant toujours plus profondément dans sa féminité, dont la mouille coulait à flot sur ce sexe.
« HAAAAAAAAAN ! » Hurla-t-elle presque, son premier orgasme explosant littéralement en elle. Elle tremblotait de partout, tellement son corps était si bien éprouvé. Mais, il en fallait plus pour mettre au tapis Hannah ! Hannah qui avait été spécialement conçu pour canaliser l’appétit sexuel de sa maitresse. Et qui à Tekhos était plus forte au lit que cette grande femme … Aucune. En vérité, aucune femme n’égalait, de près ou de loin, Miranda sur tous les points existants. La PDG de GeoWeapon Corp était la perfection incarnée, donc il était difficile d’être plus parfait que le parfait … C’était ce que pensait Hannah, du moins. La jeune femme continuait à se trémousser sur place, remuant même son bel arrière-train pour venir parfois d’elle-même s’empaler sur son amant, qui ne tarda pas à fourrer ses entrailles de son foutre. Les orgasmes s’enchainèrent les uns après les autres, laissant une Hannah complètement ivre d’extase et de plaisir.
Mais cela ne suffit guère ! Car bientôt, d’autres mâles se joignirent à la partie et vinrent se placer tout autour des deux femmes. Si Miranda se mit à prendre en bouche l’un de ces sexes, Hannah décida à nouveau de suivre son exemple, et sentit alors une queue venir se rapprocher d’elle, pour s’enfoncer dans sa bouche. Là, elle se mit à littéralement dévorer ce sexe, en y mettant tout son savoir-faire … Ses lèvres filèrent rapidement dessus, et ses mains, vinrent alors à saisir chacune un mandrin traînant par-là, se mettant à les astiquer vigoureusement. Une belle orgie, où d’innombrables queues se perdaient un peu partout … Une orgie typique des moyens de Miranda, où l’on pouvait sentir, au moins du bout des doigts, toute l’étendue de sa puissance, de ses capacités et de son appétit sexuel.
-
Tout comme Miranda, Hannah profita de tout ce troupeau de mâles en rut se dressant autour d’elles. Chacune était assise sur un homme, s’empalant dessus, et, pendant ce temps, ses mains n’étaient guère inactives, tout comme sa bouche, qui multipliait les succions et les fellations. Elle se concentrait sur une queue pendant certaines secondes, avant de s’attaquer à une autre, reprenant son souffle entre chaque fellation. Elle sentait ces queues glisser sur ses joues, tapant contre sa peau, en serrant entre ses doigts, les crispant joyeusement, tout en continuant à remuer de haut en bas.
« Hmmmm... Mmmhmmmm... »
Yeux clos, Miranda prenait joyeusement son pied, savourant le contact de cette queue en elle, ce membre viril qui la remplissait, encore et encore. Oh, ça, les mâles de GWC étaient très bien formés. Ils formaient des amants très endurants, après un entraînement qui durait des mois, et était autant physique que psychologique, conçu pour obtenir des amants sexuels de grande qualité. Le résultat était là, avec ses hommes intenses et pleins d’énergie, fougueux.
Miranda continuait à jouer avec eux, pendant de nombreuses minutes. Ha, que c’était bon ! Elle continuait à se les prendre, à les sentir remuer en elle, et, peu à peu, les orgasmes affluèrent. Les hommes se mirent à jouir contre elles, contre Hannah et Miranda, et le résultat final fut à la hauteur de cette orgie : des corps recouverts de semence, aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur. Les braves élus avaient pu, pendant de nombreuses minutes, pénétrer les deux femmes.
« Haaaaaa... !! »
Miranda se redressa, étirant ses bras, du foutre dégoulinant sur tout le corps, et elle se pencha vers Hannah, venant goulûment et longuement l’embrasser. Sa langue fila dans sa bouche, et leurs corps, recouverts de sperme, se frottèrent ensemble, tout en continuant à se dandiner un peu sur la queue de leurs amants. Les hommes formés par GWC étaient très endurants, et ceux sous elles le prouvaient très bien. Miranda continuait à s’empaler sur le sien, tout en mordillant les lèvres de sa belle Hannah, tirant dessus, savourant le contact de son corps, la proximité de sa peau. L’une de ses mains alla se déplacer pour pincer son sein, à hauteur du téton, malaxant ensuite ce dernier.
C’était comme ça que Miranda voulait terminer cette soirée... Comme elle avait commencé : en couchant avec Hannah.
-
Le spectacle avait certainement dû plaire au publique ! Voir deux femmes comme Mirande et Hannah se faire traiter ainsi, ça avait de quoi faire rêver. Entourées par une forêt de queue, les deux femmes étaient les cibles de ces terribles mâles, qui se soulageaient l’un après l’autre. Ce n’était pas tous les jours, pour eux, qu’ils pouvaient se permettre une telle chose, surtout avec de telles personnes. Surtout avec Miranda … Car Hannah n’était ni plus ni moins qu’une assistante. Tout cela pour dire que ce spectacle fut très grandiose, et qu’au milieu de cet amas de queue, Hannah et sa maîtresse se faisaient encore prendre. Leurs bouches papillonnaient d’une queue à une autre, de même que leurs mains. C’était avec talent et rigueur qu’elles faisaient monter les hommes tout autour d’elles … Forcément, au bout d’un moment, ils craquèrent.
Ce fut en un torrent de foutre que cette partie se termina. Les hommes jouirent dans tous les sens, arrosant tant à l’intérieur qu’à l’extérieur la puissante patronne et son assistante. Elles en furent complètement recouvertes, alors qu’elles aussi, eurent de puissants et beaux orgasmes. « Haaaaaaaannnn !!! » Couina alors Hannah, dans un dernier élan. Pourtant, ce n’était pas parceque son amant avait jouit qu’il se retira d’elle. Non, la jeune femme continua de se dandiner sur lui, alors que sa maîtresse incontestée se retourna vers elle, après s’être étirée. Miranda se pencha vers elle et, voracement, vint capturer ses lèvres. Ah, voilà qui était sensationnel ! Voilà quelque chose qui avait manqué à Hannah … Le gout des lèvres de Miranda. C’était avec cette même voracité, cette passion débordante que la majordome répondit à ce baiser, enfonçant sa langue dans cette bouche. Les deux langues jouèrent nerveusement ensemble, échangeant quantité de salive.
Leurs corps, enduit de foutre, se collaient et se frottaient l’un à l’autre, tandis que Miranda vint à poser sa main sur l’un des seins de sa majordome, pour venir le pincer. Hannah poussa un franc soupir, ses joues se mirent à rougir furieusement. Pour une rare fois, elle sentait un grand brasier s’éprendre de son être. Un désir puissant, extrêmement fort … Qui la poussa à faire quelque chose qu’elle n’avait que rarement fait. Plaquant encore plus fortement ses lèvres contre celles de sa maîtresse, Hannah posa ses mains sur ses épaules puis la poussa à la renverse, la faisait quitter son amant. Puis, toujours dans un élan extrêmement fougueux, elle plongea vers elle, quittant à son tour son amant. Elle la plaqua contre le grand lit, écrasant sa poitrine avec la sienne, et de même que ses lèvres. « Hmmhmhmhmhmmmmmmmm !!! !!! » Ronronna-t-elle fortement, embrassant frénétiquement sa maitresse.
On pouvait le dire ; Hannah avait réellement envie de coucher à nouveau avec Miranda. Tout ceci l’avait que trop excité, et à présent, elle n’arrivait plus à contenir sa passion et son désir. Elle frotta fortement son corps contre le sien ; ses seins se frottèrent aux siens, ses cuisses se mêlèrent aux siennes et ses mains vinrent à capturer celles de Miranda, croisant fermement ses doigts avec, les amenant au-dessus de sa tête. Pendant ce temps-là, elle continuait de l’embrasser frénétiquement, généreusement, passionnément. Sa langue ne se fatiguait pas, et la salive filait abondamment. Toutefois, Hannah dû faire une petite pause souffle. « Faite-moi hurler, M-Maitresse … Je vous en prie … J-J’ai besoin de vous sentir en moi ! » L’implora-t-elle, assénant un vorace baiser sur sa joue suite à ces déclarations. Nul doute à avoir, Hannah avait envie de se prendre toute la virilité de Miranda en pleine poire …
-
Miranda et Hannah avaient joyeusement fait l’amour en compagnie de tous ces hommes musclés, et, pour le final, il semblait logique que ça se passe juste entre elles… La « mère » et la « fille ». Cependant, avant de se ruer dans son corps, Miranda acheva de retirer ses derniers vêtements, et ce fut toute nue qu’elle en fit de même pour Hannah, la déshabillant à son tour. Elle agissait vite, rapidement, et, une fois nues, les deux femmes purent s’unir à nouveau. Miranda posa ses mains sur les épaules d’Hannah, la plaquant sur le lit, en plein milieu, et rentra en elle, la pénétrant dans un grand coup de reins.
« Haaaa… !! »
Un profond soupir de plaisir s’échappa de ses lèvres, tandis qu’elle s’enfonçait joyeusement en elle. Le corps d’Hannah, comme toujours, était particulièrement délicieux. Le corps de la PDG remua d’avant en arrière, sa queue s’enfonçant violemment et chaudement dans l’antre d’Hannah, ses lèvres venant l’embrasser. Leurs seins et leurs peaux en sueur se heurtaient les unes aux autres, frottant longuement et sensuellement.
Les corps des deux femmes, entremêlés ensemble, remuaient en harmonie, longuement et joyeusement, Miranda soulevant et abaissant son corps sur le sien, sa queue s’enfonçant au plus loin en elle. Sentir les mains d’Hannah se crisper sur son corps, voilà qui était plaisant, très agréable, et, tout en rompant le baiser, elle s’empressa de lui mordre le cou, se montrant bestiale, sauvage, hargneuse, sa longue chevelure blonde virevoltant dans son dos.
« Pince mon cul, hummm… Allez, Hannah, allez, montre-moi à quel point tu es heureuse de coucher avec moi ! Allez, allez ! »
Miranda l’encourageait, à sa manière, en la besognant hargneusement, s’enfonçant lourdement en elle, pinçant ses seins, continuant à s’occuper de ce beau corps, ce corps magnifique et délicieux. Ha, que c’était bon de la baiser ainsi ! Miranda n’arrivait décidemment pas à se lasser du corps parfait de sa petite Hannah adorée.
La baiser était un plaisir rare, rare et délicieux.
Encore et encore, elle couchait donc avec elle.
-
Dire que le meilleur moment de la soirée commençait était inutile, en connaissant Hannah. On le savait pertinemment ; elle était tellement accro à cette femme que quand elle faisait l’amour avec, le reste … Paraissait si fade, si inutile. Si Hannah avait pourtant bien pris son pied avec ses précédents amants, force était ce constater que tout ceci fut presque balayé d’un revers de main quand sa maitresse décida de s’occuper d’elle. La belle et puissante Miranda Forge lui accorda à nouveau ses faveurs, et la retourna donc contre le lit. À la merci totale de la patronne, Hannah se mordillait nerveusement la lèvre et n’attendait à présent plus qu’une seule chose ; se faire baiser par Miranda. C’était dit de manière un peu cru mais, c’était tout ce qu’il y avait de plus vrai. Hannah voulait se faire sauter, sans ménagement.
En place, Miranda posa fermement ses mains sur les douces épaules de sa majordome, et … S’enfonça d’un seul coup en elle, lui arrachant un délicieux râle de plaisir. Hannah sentit la juteuse trique de sa mère écarter ses chairs, puis la marteler à grand coup de burin. Elle était si forte, si endurante, si … Douée ! Ce n’était pas pour rien qu’à elle seule, Miranda pouvait être considérée comme … Une véritable déité du sexe. Ses coups de butoirs étaient forts, puissants, et terriblement bons ! Hannah en gémit fortement, à chaque fois, se crispant toujours plus contre elle. Ses mains se plaquèrent dans son dos. Dos qu’elle griffa nerveusement, à mesure que Miranda la bourrait avec énergie. Leurs corps se frottèrent entre eux, de même que leurs poitrines, qui se lovaient tendrement l’une contre l’autre. Tout cela ajoutait énormément de sensation et contribuait grandement au plaisir perçu.
« Hmmmmm ! » Ronronna délicieusement Hannah, aussi rouge qu’une tomate alors qu’elle se régalait corps et âme de la salive et des lèvres de Miranda. En effet, elles s’étaient entrainées mutuellement dans un long et langoureux baiser, très mouillé, très chaud, qui accompagnait les terribles coups de triques que Miranda infligeait à la féminité d’Hannah. La majordome était en pleine extase, comblée à tous les étages. Elle accueillait chaudement la langue et la verge de Miranda en elle, et ça, c’était tout ce qu’elle trouvait de plus merveilleux et fantastique au monde ! C’était la meilleure chose qui pouvait lui arriver ; se faire tringler par Miranda. En toute honnêteté, c’était presque comme un accomplissement pour elle que de servir de petite poupée dans ces moment-là. « Haaaaa, HAAAAANNN ! » Couinait-elle fortement et sans ménagement, ne pouvait retenir ses gémissements. Miranda lui procurait tellement de bien qu’il lui était impossible de penser et de se contrôler. Hannah laissait le plaisir l’envahir complètement, et cela la poussa à exécuter les yeux fermés l’ordre de Miranda.
Tout le corps d’Hannah était sollicité. Miranda ne lui laissait rien, pas même ses seins qui se faisaient tripoter généreusement. D’ailleurs, ceux-ci ne tardèrent pas à faire mal à Hannah, mais dans le bon sens bien entendu … La majordome serra des dents et lâchait d’innombrables soupirs, avant de fermement poser ses mains sur le grand fessier de Miranda, le claquant de toute ses forces. Deux belles gifles bien claquantes, avant que ses doigts se mirent à s’enfoncer dans sa chair. Elle se mit à tripoter avec grande avidité ce cul, qui était si tendre et si généreux. Elle écartait chaque fesse l’une de l’autre, les pinçait, les malaxait, le tout avec un profond désir vicié. Hannah vouait un culte à ce monument, et ça Miranda l’avait surement remarqué il y a bien longtemps. « Haaaa ouiiii !!! F-Fourrez-moi Maitresse !!! » Implora alors la pauvre Hannah, trahit par son propre corps qui ne répondait plus de rien.
Sa mouille coula à flot, inondant le sexe juteux et avide de Miranda qui ne cessait pour rien au monde de la perforer de l’intérieur. Nul doute que d’ici peu, Hannah allait craquer et jouir, mais elle devait au moins tenir jusqu’à ce que Miranda se vide les couilles en elle … En attendant, elle se défouler sur les fesses de la puissante femme, s’acharnant dessus en les claquant, les pinçant, en faisant toute sorte de geste dessus.
-
Comme preuve supplémentaire du culte de sa personnalité, Miranda avait organisé, par le biais de ses chaînes, des documentaires sur sa fougue sexuelle, afin de savoir d’où elle tenait une telle énergie, et si elle était effectivement bien une simple humaine. Une véritable propagande, qui marchait à merveille, les documentaires étant en réalité des films pornographiques, et une manière supplémentaire de flatter l’ego immense de Miranda Forge. La PDG s’enfonçait dans le corps de la femme, de sa belle Hannah, qui, comme toujours, se montrait entièrement réceptive aux élans fougueux et énergiques de sa « mère ». Miranda aimait toujours autant coucher avec Hannah, et, indéniablement, cette femme était toujours aussi bonne. Difficile de quantifier le nombre de fois où Miranda s’était ainsi envoyée en l’air avec Hannah. À chaque fois, elle retournait la prendre, et, après leur intense soirée, conclure avec elle, c’était assurément la meilleure chose qu’il y avait à faire.
« Hmmmm... Haaaaa... !! »
Les mains d’Hannah vinrent masser les fesses de Miranda, et les deux corps continuèrent à se tendre, à se presser l’un contre l’autre. Miranda soupirait et gémissait, embrassant régulièrement Hannah, ou mordillant son cou, pinçant ses seins. Hannah la giflait joyeusement, et les deux corps, nus, se frottaient joyeusement. Plus de latex, plus rien d’autre que la peau nue et chaude qui claquait contre l’autre, la sueur qui se mélangeait, les corps en transe qui remuaient au milieu de tous ces mâles nus qui les observaient silencieusement, et de tous ces yeux invisibles qui, depuis leurs écrans d’ordinateur, pouvaient zoomer sur le cul de Miranda.
La PDG continuait donc à remuer en elle, prenant son esclave, pendant de longues minutes. Après tant de temps à faire l’amour, il était surprenant de voir l’énergie de Miranda. Encore et encore, elle continuait à faire l’amour. Rien ne semblait devoir l’épuiser ! Sa queue restait toujours aussi grosse, et les hurlements d’Hannah emplirent l’espace.
Finalement, quelques mains vinrent caresser le dos de Miranda, un dos en sueur et rouge. Des mains appartenant aux mâles autour d’elles, qui se pressèrent ensuite un peu, embrassant délicatement ses côtes, ses omoplates, caressant son dos, ou baisant ses jambes. Il n’y avait pas une seule portion du corps de Miranda, après tout, qui ne mérite pas qu’on l’embrasse, ou qu’on la lèche.
« Haaaa... Hhmmm... »
Des queues caressaient son dos, ses hanches, et les mâles finirent par jouir, les uns après les autres, recouvrant ainsi progressivement le corps de Miranda d’une fine crème blanche, qui éclaboussa aussi les mains d’Hannah, car filant sur les fesses de Miranda.
« Ouuuii... Haaaa.. »
Finir recouvertes de sperme...
C’était un magnifique final pour elles !
-
Un magnifique final, dont même Hannah n’aurait pas espéré autant. Si chaque fois qu’elle avait couché avec Miranda était exceptionnellement jouissif, force était de constater que cette fois-ci, ça l’était encore plus. Que dire de ces terribles coups de reins, qui s’abattaient en toute violence et hargne contre elle. Que dire de cette fabuleuse trique qui la déchirait de l’intérieur, la pilonnant sans jamais s’arrêter, pas même après avoir jouit plusieurs fois auparavant. C’était indéniable ; Miranda n’était pas humaine. Aucun humain n’était capable de tenir aussi longtemps et aussi fortement. Miranda était … Autre chose, de bien supérieure aux restes des humains. C’était une sorte de métaphore pour dire qu’elle était si unique et si singulière. Hannah estimait chaque jour, chaque heure et même chaque minute la chance qu’elle avait de pouvoir la servir.
Même si Miranda lui rappellerait bien qu’elle a mérité sa place. C’était ce côté redevable et sacré, quelque part, qui faisait que Hannah était si docile. En partie, en fait. Il y avait bien sur son conditionnement dès la naissance qui y faisait pour beaucoup. Cependant, pas besoin de conditionnement pour hurler de toute ses forces face au plaisir surhumain qui l’envahissait. Miranda la labourait terriblement, ne relâchant jamais la pression. Elle faisait hurler Hannah de pur plaisir, jusqu’à ce qu’elle s’en brise les cordes vocales. Sa mouille coulait à flot, éclaboussant la verge sacrée de madame Forge. « OUI, OUIIIIIIII ! HAAAAAAAAAN !!! » Criait-elle, se défoulant complètement sur les généreuses fesses de Miranda, les griffant puis en les giflant violemment. Hannah était tellement en transe qu’elle peinait à raisonner convenablement. La tête penchée en arrière, s’enfonçant dans le lit, les doigts de pieds se crispant dans le matelas … La pauvre, Miranda la rendait complètement folle.
Finalement, les mâles finirent par demander leur part et, venant dans le dos de la sublime Miranda Forge, ils finirent par jouir, éclaboussant le corps de la patronne de GWC. Leur foutre éclaboussa aussi les mains d’Hannah qui ne quittaient pour rien au monde l’imposante croupe de son excellence. Après des minutes entières à se faire prendre en toute hargne et puissance, Hannah sentit la tornade arriver. Le final approcha, et était en train de broyer les intestins de la pauvre esclave. La lourde queue de sa maitresse l’acheva complètement, au moment où Hannah finit par avoir son orgasme. Sa voix éclata, en un grand et incontrôlable soupir. Le foutre gicla en elle abondamment, alors que tous ses muscles, un à un, se contractèrent. La foudre s’abattit sur elle, la tétanisant sur place, et l’emmenant pendant quelques instants au Nirvana. Seule Miranda était capable de faire autant jouir Hannah, et encore une fois, elle prouvait qu’elle n’avait pas volé sa réputation.
Hannah se contracta donc, en particulier ses doigts qui s’enfoncèrent dans la chair de sa mère. Au niveau de ses fesses, bien entendu. La tempête la secoua donc dans tous les sens, lui ôtant toute force, même celle de parler si ce n’était juste de crier. La lourde et juteuse verge de Miranda cracha son précieux jus en elle, fourrant chaudement les entrailles de l’esclave, qui ne pouvait mieux heureuse que pleine. « Haaa … Haaaaannn … » Couina-t-elle, tentant ainsi de prendre son souffle, exténuée temporairement par le puissant orgasme qui l’avait frappé. Mais, ce n’était pas une raison suffisante pour elle pour délaisser le délicieux arrière-train de sa patronne … Un cul comme ça, Hannah pouvait passer des heures voire des jours entiers à le vénérer. Ses mains continuèrent donc de le malaxer, tendrement, généreusement …
-
L’arrogance légendaire des Forge semblait croître de génération en génération, et, avec Miranda, elle était très impressionnante. La femme voulait se voir comme une surhumaine, et c’était à ce titre qu’elle suivait d’innombrables entraînements et formations. Hannah faisait les frais de son endurance sexuelle exceptionnelle, même si, dans le cas de sa majordome, son appréciation était faussée par le fait qu’Hannah vénérait profondément Miranda. Néanmoins, au-delà de sa vénération, Miranda était une véritable icone au sein de la population tekhane, l’archétype de la Tekhane parfaite, une puissante femme d’affaires qui n’avait pas froid aux yeux, qui avait totalement fusionné vie privée et vie professionnelle, et qui était une véritable star du sexe. Ainsi, au-delà de ses talents en affaires, Miranda était surtout connue pour être une femme à qui on ne refusait rien, et surtout pas de lui offrir son corps. Loin d’être une pratique secondaire, le sexe était, au contraire, un moyen de promotion normal à GWC. Une situation totalement ubuesque, qui n’était possible que par le caractère très érotique de Terra, et par ce diphormisme sexuel qui existait au sein de la société tekhane, où les hommes constituaient une faible minorité.
Mais, en ce moment, cette « faible » minorité avait su se prouver très efficace, recouvrant de foutre les deux femmes, surtout Miranda, qui continuait à bourrer son amante. Sa queue était bien grosse, bien assoiffée, s’enfonçant dans les tréfonds de son être, et Miranda se délectait des couinements de sa majordome, de ses soupirs, et, bien évidemment, de ses mains qui maltraitaient ses fesses, les griffant et les pinçant tandis qu’elle se dandinait sur place.
« Ha… Hannah-haaaa… »
Miranda continuait à lourdement soupirer, jusqu’à atteindre son orgasme. Sa verge sembla exploser dans le vagin de la femme, et Miranda en ferma les yeux, se mordillant les lèvres, le corps intégralement traversé par un orgasme furieux et surpuissant. Son corps sembla se liquéfier, tandis que sa verge balançait de multiples quantités de sa semence chaude.
« Hmmmmmmmmmm… !! »
Le plaisir éclata en elle, comme un océan nacré de blanc, et, durant cette vague, tout le corps de Miranda sembla se détendre. Ses muscles se crispèrent pendant son ultime érection, puis tout son corps sembla se relâcher, et elle s’écroula joyeusement sur le corps de sa majordome, posant sa tête dans le creux de son épaule, son corps en sueur dégoulinant d’un foutre chaud et poisseux, qui était également tombé sur les doigts d’Hannah et sur ses fesses.
Miranda soupirait lentement, reprenant lentement son souffle, et déposa un baiser sur la peau de sa belle Hannah, avant de frotter tendrement son nez contre elle.
« J’aime toujours autant jouir en toi, ma belle Hannah… »
Autour d’elles, les mâles s’étaient apaisés, et le sperme continuait à couler, formant comme une sorte d’improbable et insolente couverture sur le corps parfait de Miranda.
La PDG dormait fréquemment contre le corps d’Hannah, et les caméras, elles, s’étaient éteintes, tandis que les autres esclaves s’écartaient silencieusement, laissant ainsi les deux femmes entre elles, le mandrin de Miranda toujours planté en Hannah, perdant lentement en taille, tandis qu’une vague de plaisir calme venait submerger le corps de la Forge, incitant cette dernière au repos…
Il ne restait plus à Hannah qu’à la guider vers ce doux repos.
-
Les mâles commençaient à se reculer, les caméras se coupèrent, et la pression retombait tout doucement. Ce fut un merveilleux final, digne de Miranda. Celle-ci avait jouit si fort et si abondamment en Hannah, ce fut tout simplement magnifique. La majordome se sentait si pleine et si heureuse à ce moment-là. Rien ne pouvait à présent plus la combler. Recevoir le foutre chaud de sa maitresse en elle était le plus précieux des présents qu’elle pouvait lui faire, et à nouveau, elle lui en avait fait honneur ce soir. Si elles étaient des femmes normales, et vu le nombre de fois où Miranda a juté en elle de cette manière, Hannah n’en serait pas qu’à sa première grossesse. Mais heureusement les choses étaient bien faites de ce cotés-là, et l’esclave pouvait ainsi profiter pleinement de ce nectar sacré, sans aucun risque.
Ainsi donc, la vénérable Miranda Forge commençait à se détendre. Après une telle journée et un tel final, il était parfaitement normal de voir la femme vouloir se reposer un peu. C’était aussi un peu le cas d’Hannah, même si elle ne le faisait pas sentir. Elle devait toujours renvoyer une image solide, car être la majordome de la femme la plus puissante de tout Tekhos, ou du moins faisant parti des plus puissantes, ça avait une certaine exigence. Quand Miranda s’écroula contre elle, les joues d’Hannah rougirent doucement et délicieux sourire se dessina sur ses lèvres. Mains toujours sur ses fesses, elle sentait encore le mandrin de sa mère en elle, et à vrai dire, ce n’était pas vraiment la peine de le retirer. Il était bien comme ça, c’était agréable … Et ce qui l’était encore plus, c’était que Miranda désirait visiblement de la douceur dorénavant.
Ce fut pour cette raison que Hannah se détendit aussi et rougit encore en sentant le baiser sur sa belle peau, puis le nez de sa maitresse se frottant contre le sien. Miranda avait souvent l’habitude de dormir ainsi contre Hannah, se servant d’elle comme d’un gros coussin. C’était généralement toujours comme ça quand elles dormaient ensemble, même s’il existait quelques exceptions où ce fut Hannah qui dormit contre sa maîtresse. Quoiqu’il en fût c’était toujours un pur plaisir de la dorloter, et elle n’allait pas échapper à la règle ce coup-ci. Ses mains se déplacèrent donc lentement le long de son échine, la caressant tendrement, du bout de ses doigts. Elle serra sa maîtresse contre elle, et soupira doucement en sentant toute la douceur et la chaleur de son corps en sueur se lover contre le sien. Elle déposa un petit baiser sur sa tête, puis entreprit alors de la guider vers le repos.
« Hmm … Moi, je vous aime toujours autant, mère … Tout simplement. » Lui dit-elle presque comme une susurre. Elle savait les caméras coupées, donc elle pouvait de nouveau appeler sa maîtresse par ce qualificatif, sans aucun risque. Hannah aimait Miranda de tout son être, de tout son corps. Un amour religieux, à titre de comparaison. Ce n’était plus un secret que Miranda était l’oxygène d’Hannah dans cette vie. Elle était ce qui lui permettait tout simplement de vivre et de respirer. Alors lui dire qu’elle l’aimait était même un peu trop faible … Mais il n’y avait pas de mots pour décrire la puissance de ses sentiments envers elle. Une de ses mains finis par quitter son dos pour venir se perdre dans sa luxuriante chevelure blonde, étalant au passage la pellicule blanche sur tout son dos. Cette fameuse pellicule laissée par les mâles précédemment. Hannah se mit à caresser ses cheveux, à les masser en douceur. Même la chevelure de cette femme était une œuvre-d ’art à elle seule … Et Hannah ne se privait nullement de la caresser. Ses doigts filaient depuis sa tête jusqu'au bout de ses mèches dorées, jouant avec en une certaine innocence.
Hannah était donc en train de câliner sa maîtresse, la laissant doucement se reposer contre elle, tête posée sur sa poitrine. Après tout, c’était parfait pour faire un bon coussin, vu leur taille. Elle serrait la femme toute contre elle, à vrai dire elle adorait sentir le corps parfait de Miranda se presser en douceur contre le sien. Hannah aussi était un peu fatiguée et cela devait malgré tout se sentir un peu, même s’il faisait tout pour le cacher. Ses gestes doux et sa voix calme donnaient un indice. Elle se pencha et donna un deuxième baiser sur la tête de sa mère, continuant de caresser son dos et ses cheveux. « Je pense que vous vous reposerez mieux chez vous, madame … Même si vous pouvez prendre la liberté de rester ici. Et … N’oubliez pas, il nous reste notre petit rituel quotidien à faire, sauf si vous vous sentez trop fatiguée, Madame. » Lui dit Hannah de sa douce et belle voix, sur un ton des plus respectueux. Au même moment, elle avait replié un peu une de ses douces jambes, et s’était mise à la frotter sensuellement contre celle de Miranda, remontant lentement tout le long de celle-ci jusqu’à son pied, qu’elle caressa aussi avec le sien.
-
Dans l’absence du regard omniprésent des caméras, Miranda et Hannah se laissaient doucement aller, Hannah allant jusqu’à appeler sa Maîtresse par le qualificatif qui lui convenait davantage, au vu de leur relation : « mère ». Tout en se reposant, Miranda, elle, cherchait surtout à profiter du corps voluptueux de son amante. Hannah était fidèle à elle-même, une femme d’une grande beauté, avec un corps très agréable, chaud, doux, et bouillonnant. Se coucher ainsi sur ses seins, sur le reste de son corps, avait toujours plu à Miranda, qui, de manière générale, et si elle aimait bien dormir sur un oreiller classique, Miranda aimait encore plus dormir sur une femme. De fait, elle avait ainsi pris l’habitude de dormir sur le corps d’une femme, et souvent d’en avoir plusieurs dans le même lit, qui la caressait et la câlinait pendant son sommeil.
C’était un rôle qu’Hannah connaissait bien, mais Miranda n’avait pas envie de dormir ici, dans ce studio de cinéma. Elle se détendait, tout simplement, ce qui, après cette folle séance de sexe, pouvait se comprendre. D’ores et déjà, on annonçait que l’émission avait été dans la moyenne haute de l’audimat, suscitant, comme toujours, l’engouement des Tekhanes. Comme souvent, Internet n’allait pas tarder à raffoler de compilations sur les prouesses sexuelles de Miranda Forge.
Hannah la caressait tendrement, amoureusement, ses mains se recouvrant du sperme qui continuait encore à orner le corps de Miranda, lorsqu’elle finit par rappeler sa mère à la réalité. Clignant des yeux, Miranda se redressa alors, faisant craquer ses articulations, et alla embrasser la femme sur les lèvres.
« Oui, tu as raison… Mais, avant de sortir, il vaut mieux que nous prenions une douche. »
Miranda se redressa, et s’extirpa du lit, posant ses pieds sur le sol. Il y avait quelques personnes qui se promenaient encore sur le plateau, tandis que les hommes avaient été ramenés dans leurs chambres. Ils étaient des esclaves dociles, et leurs corps seraient encore mis à contribution. La PDG vit une jeune femme, en tenue de maid, s’approcher, tenant dans les bras un plateau d’argent, et sourit en voyant, outre un collier, une culotte spéciale, avec des plugs orientés vers l’intérieur. Hannah, après tout le foutre qu’elle avait reçu, avait un ventre très arrondi, donnant l’impression qu’elle était enceinte.
La jeune blonde réagit donc en conséquence, et attrapa le collier et la culotte.
« Ne te relève pas trop vite, Hannah, je ne veux pas que ce foutre se retire de toi trop vite… »
Miranda se posa sur le lit, et commença par lui mettre un collier, agrémenté d’une laisse, puis récupéra la culotte-gode, et ordonna à Hannah de se positionner de manière à ce qu’elle puisse la glisser en elle, la culotte pouvant s’ouvrir en deux et se refermer. Toujours pas de repos pour Hannah, même si les godes n’étaient pas très gros, et que l’idée était surtout de la maintenir ainsi, lui donnant l’illusion d’être enceinte.
« Bien ! Allons-y, maintenant… Mais tu vas marcher à quatre pattes, Hannah, tu es ma chienne, après tout. »
Une humiliation supplémentaire, mais Miranda aimait souvent jouer ainsi avec Hannah. De son côté, la femme allait se promener nue, et, pendant qu’elles se mettaient en place, les ordres de Miranda fusèrent.
« Chaque fois que du sperme tombera de mon dos, tu nettoieras le sol avec ta langue, Hannah. »
Pour rejoindre les douches, Miranda comptait passer par toute la production, soit filer le long des bureaux, ce qui serait sûrement l’occasion de multiples baisers ou encore de caresses et de gifles sur le corps d’Hannah. Outre une manière de rappeler à la jeune femme sa soumission, c’était aussi, et tout simplement, quelque chose qui plaisait à Miranda.
La preuve qu’elle était, bel et bien, sa petite pute.
-
Ce qui était assez stupéfiant avec Hannah était bien sa docilité. Miranda pouvait absolument tout lui faire faire, tout lui demander, sans jamais qu’elle ne le prenne mal ou qu’elle refuse. Elle était l’esclave parfaite tout simplement. Tant que les ordres avaient pour finalité de satisfaire Miranda d’une manière ou d’une autre, Hannah obéissait aveuglément. En fait il suffisait que l’ordre provienne de cette femme pour qu’elle s’exécute les yeux fermés. C’était une des forces de la jeune femme. Le fait était aussi qu’elle ne prenne jamais mal ce qu’elle pouvait lui dire. Et cela allait se vérifier à nouveau dans quelques instants. Alors que les deux femmes se reposaient l’une contre l’autre, Miranda finit par se relever et s’étira, avant de récompenser sa majordome d’un petit baiser. Les joues d’Hannah rougirent un peu ; c’était toujours aussi agréable et plaisant de recevoir un baiser de la part de sa mère, même après toutes ces années.
Cependant, la suite fut un peu moins rose. Enfin, pour Hannah tout était rose quand il s’agissait de Miranda. Celle-ci lui expliqua qu’elles allaient devoir se doucher avant de partir. Mais alors qu’une commise passait par ici, Miranda l’interpella. La commise portait un plateau à bout de bras, où se trouvait dessus une laisse et une étrange ceinture-gode. Cela ressemblait bien plus à une culotte plug, qu’à autre chose en réalité. Hannah regarda la scène puis hocha la tête quand Miranda lui annonça qu’elle ne voulait pas qu’elle se lève de suite, afin d’éviter le foutre qu’elle avait en elle coule. Visiblement, la maitresse des lieux désirait voire Hannah se pavaner avec son ventre ressemblant à celui d’une femme enceinte … Ce n’était pas pour déplaire à la majordome, en plus. Poliment, et avec sa docilité exemplaire, Hannah obéit et se mit donc en place. Miranda lui mit la laisse autour du cou, et la fit enfiler cette culotte.
« Hnnnn … » Couina cependant Hannah au moment où les godes s’enfoncèrent en elle. Droit dans sa féminité et son fondement. Ils n’étaient pas très gros, donc cela n’était pas douloureux. Hannah admirait le corps majestueux et dénudé de sa maitresse, comme si elle était en train de nourrir ses yeux d’une rare et précieuse œuvre d’art. La patronne quitta le lit et se tint debout, avant que Hannah la rejoigne à ses pieds, à quatre pattes comme ordonné. Les instructions étaient claires ; Hannah allait lécher le sol dès qu’une goutte de sperme allait tomber du dos de sa maitresse. Elle hocha de la tête et obtempéra. Ainsi donc, maitresse et esclave s’engagèrent dans le studio. Miranda, la grande et puissante femme de Tekhos qui marchait debout et fièrement, promenant son esclave dans les bureaux. Marcher à quatre pattes était pas très aisé, mais Hannah y parvenait. Tout au long du chemin, du sperme coula effectivement et à chaque fois, Hannah se penchait pour venir lécher le sol.
Le plus intéressant fut bien quand les deux femmes firent la traverser des bureaux, où tous les regards se tournèrent vers le duo. Hannah se reçut parfois des belles gifles sur ses fesses, que ce soit de la part des employées, ou de sa maitresse. Hannah ne bronchait pas et se laissait entièrement faire, étant après tout faite pour ça. Il se passa donc des choses, avant que finalement elles ne parvinrent aux douches. Il n’y avait plus de preuve à avoir pour se rendre compte que Hannah était à cent pourcent la propriété totale et absolue de Miranda Forge, et que celle-ci avait bien, bien plus que le droit de vie ou de mort sur elle. Elle possédait tous les droits et Hannah en avait parfaitement conscience … Voire mieux, elle l’acceptait à bras ouverts, et embrassait sa condition corps et âme. Car il était une chance inouie et un privilège d’un grand honneur que de servir Miranda Forge d’aussi près. Les deux femmes arrivèrent donc aux douches, et quand la sublime héritière des Forge entra dans la luxueuse cabine, Hannah en fit de même.
Elle était à ses pieds, mais finit par se redressa un peu, s’agrippant comme une mendiante à ses genoux, son visage frôlant son intimité. En chemin, sa maitresse avait fait ressortir à nouveau sa queue, et … Hannah n’avait qu’une envie ; la manger. Au sens figuré bien entendu. Elle leva donc son regard vers elle puis glissa lentement ses mains vers son fessier, alors que l’eau commença à couler. « J’ai encore soif maitresse … » Lui déclara-t-elle alors, venant sensuellement cajoler sa joue contre son membre palpitant, avant de doucement commencer à le couvrir de baisers. Hannah embrassa à plusieurs reprises ce beau et délicieux membre, jusqu’à finir par atteindre sa belle cerise … Cerise qu’elle titilla en venant donner des petits coups de langue dessus.
Hannah avait envie de sentir sa gorge se faire déformer, tout simplement.
-
La traversée des bureaux fut relativement longue, Miranda agissant comme si elle était en plein défilé de mode. Les employées la regardaient, tantôt en rougissant, tantôt en écarquillant les yeux, tantôt en se dandinant sur place. L’émission était terminée, elle savaient fait, comme d’habitude, un fantastique travail, et il était normal que Miranda les récompense de sa présence. Les téléphones portables fusèrent bientôt pour capter cette scène qui risquait encore de faire le tour des médias. Le service de communication de Miranda y veillerait, en tout cas. C’était encore un moyen de raffermir le culte de la personnalité qui tournait autour de cette femme, une femme qui ne pouvait faire de tels agissements qu’à Tekhos. Tout en marchant, elle caressait quelques femmes, les embrassant, les sentant toutes prêtes à lui faire l’amour au moindre geste. Ce spectacle était vraiment très impressionnant, et, régulièrement, on venait gifler les fesses d’Hannah.
« J’adore votre chienne, Madame !
- Et vous êtes si belle... Je vous aime ! »
Miranda ne pouvait qu’en sourire. Avec ses employés, elle était très généreuse. Après tout, Tekhos fonctionnait sur un modèle ultralibéral, et le syndicalisme avait été banni depuis longtemps. Les charges sociales étaient extrêmement faibles, et les mégacorporations disposaient d’une fortune incroyable. À Tekhos, c’était elles qui faisaient la pluie et le beau temps, et Miranda le montrait à chaque instant. Elle s’attarda ainsi dans les bureaux, caressant deux beaux corps, embrassant à tour de rôle leurs bouches.
« Hmmm... Haaa... Vous deux, je vous aime bien. »
Elle pinça leurs fesses, puis finit néanmoins par sortir, traînant encore sa belle chienne, qui avait reçu des fessées, et plusieurs bisoux, presque exclusivement sur sa croupe. Ensuite, les deux femmes rejoignirent les douches, qui étaient indispensables dans un studio de tournage pornographique. Miranda y rentra alors, toute échauffée par la traversée des bureaux, à tel point qu’elle en fit rapidement sortir sa verge, ce qui n’échappa nullement à sa « chienne » du moment.
La douche était plutôt grande, car, outre servir à l’entretien des acteurs, elle servait aussi pour des scènes. Miranda soupira légèrement en sentant Hannah approcher son visage approcher de son sexe, indiquant avoir « encore soif ». Avec son ventre bien rond, qui fuyait très légèrement, elle était tout simplement irrésistible.
« Voyons, Hannah, crois-tu donc que je l’ignorais ? »
Tout en lui souriant affectueusement, Miranda caressa la tête de sa petite Hannah, et déclencha, de l’autre main, la douche, l’eau jaillissant du pommeau.
« Suce-moi bien, ma chérie, je sais comme tu es affamée, ma petite pute... »
Dans sa bouche, c’était évidemment affectueux, et elle laissa donc la femme la sucer. Tout en faisant ça, Miranda caressait ses cheveux, et laissait l’eau ruisseler le long de son corps, son membre venant peu à peu à disparaître intégralement dans la bouche de sa majordome. Comme d’habitude, c’était ce genre de moment que les deux femmes appréciaient tout particulièrement... Du moins, surtout Miranda, qui en profitait volontiers pour empoigner et caresser les cheveux d’Hannah, comme elle le faisait en ce moment.
De délicieux soupirs s’échappaient des lèvres de la femme.
« Hmmm... Oui, ma chérie, haaaa... Hmmm... Vas-y, Hannah, haaaaaannn... »
Sentir Hannah la sucer était décidemment toujours aussi bon !
-
Ce qui était formidable, c’était que Miranda et Hannah étaient malgré tout fusionnelles. Dans le sens où elles se comprenaient rapidement l’une et l’autre. C’était normal car d’un côté, Hannah avait été conçu pour répondre aux exigences de cette femme. Mais, c’était toujours quelque chose d’admirable. Entre les deux femmes il y avait certes une puissante relation de maîtresse / esclave, même si du point de vue d’Hannah, une dimension maternelle s’y ajoutait. Cette relation maître / esclave était donc un pilier central, mais qui était nuancé par une forte complicité. Ce qui était démontré sous la douche, ou même auparavant. Miranda connaissait les goûts et les particularités de son esclave par cœur, et l’inverse était presque aussi vrai.
Hannah n’avait pas la prétention de tout savoir sur sa maîtresse, mais elle était sans doute la femme la plus disposée à la connaitre dans tout Tekhos. Inconsciemment elle usait de cette position, notamment en se permettant d’être un peu entreprenante. Comme ici, sous la douche, où Hannah s’était hissée sur ses genoux pour venir prendre la trique juteuse de Miranda en bouche. Celle-ci aurait pu faire ce qu’elle désirait ; la repousser pour lui montrer que ce n’était pas à elle de décider. La châtier, ou bien tout simplement la frustrer. Mais, Miranda s’était montrée Reine avec elle, et la couvrit alors de ses faveurs en la laissant prendre sa belle trique en elle. Un privilège toujours aussi grand aux yeux d’Hannah. « Hmm … » Couina-t-elle alors, quand ses lèvres entourèrent la délicieuse et chaude cerise de sa maîtresse.
Elle aspira pour provoquer de terribles effets de succions sur ce gland avide, finissant par l’enfouir dans sa bouche avec un appétit certain. Hannah était bien apte à sucer Miranda pendant des heures si elle le pouvait, sans jamais s’en lasser ou perdre envie. La simple vue de ce vit lui donnait grande envie, alors pouvoir y goûter en toute liberté, c’était un bien précieux avantage. Hannah assouvit donc sa faim et sa soif en pompant joyeusement ce sexe, le gobant lentement et langoureusement en finissant par l’engloutir totalement. Ses joues se creusèrent alors que sa gorge gonfla sensiblement, cette trique la déformant hargneusement à chaque passage. Hannah y allait lentement pour le moment, suçant avec délice cette sucrerie de long et en large. De temps à autre, quand elle la retirait, elle se faisait plaisir en léchant tout le coté de ce pieux. Et elle se laissa aussi aller à quelques fantaisies ; comme par exemple, quand elle penchait légèrement sa tête pour venir lécher les lourdes et doucereuses bourses de sa maîtresse. Ses gémissements étaient cristallins, doux, et n’étaient que le reflet du plaisir immense qu’elle prenait à honorer autant le corps de sa mère.
Hannah repartit assez rapidement à l’assaut, mais en y mettant plus de force cette fois-ci. À nouveau elle goba intégralement ce gros membre bien juteux, mais entreprit de le pomper plus rapidement. Sa tête filait en avant et arrière, alors que sa gorge ne cessait de se déformer face à la hargne de cette trique infernale. Elle la martelait, elle lui pilonnait la trachée si fort qu’elle en exténua de l’air à plusieurs reprises. De terribles bruits de succions en sortaient ci et là, et le membre finit par être tout luisant assez rapidement. Prise dans le feu, Hannah ferma les yeux et pompa, encore et encore, en étant clairement dans l’optique de faire jouir Miranda, et de pouvoir ainsi étancher sa grande, très grande, soif. « Hmmmm, HMMMMMM ! » Gémissait-elle sans cesse, finissant ramener ses mains fermement sur le cul de Miranda, empoignant celui-ci avec force. Ses doigts malaxèrent sa chair avec hargne, pinçant ce fessier avec obsession tandis qu’elle suçait fortement la … Légendaire Miranda Forge.
-
Dans la grande douche, Miranda et Hannah pouvaient se faire mutuellement plaisir, même si, en l’état, et comme très souvent, c’était Hannah qui était occupée. Après leur séance en compagnie de tous ces hommes, on aurait pu croire les femmes épuisées, mais ce serait mal les connaître. Miranda était une Forge, et, par nature, les Forge étaient des personnes inépuisables, pleins d’ardeur et de vigueur. Quant à Hannah, il n’était, foncièrement, pas faux de la décrire comme une sorte de « [|i]super-assistante[/i] », car elle avait été formée depuis son enfance. Elle avait été conçue et pensée pour être la femme qu’elle était actuellement, pour assister Miranda dans toutes ses tâches. C’est ce qui rendait Hannah si merveilleuse, et qui conduisait parfois Miranda à voir en elle sa fille. Hannah était le fruit d’un programme très compliqué, une réussite parfaite, la preuve que le programme GeoHuman avait réussi.
À genoux, elle suçait donc son mandrin, et Miranda s’appuyait contre la porte vitrée, en sentant sa queue grossir et enfler, retrouvant, au bout de quelques succions, sa rigidité habituelle. Une longue queue élancée, dure et grosse, pendant que l’imperturbable Hannah continuait à la sucer, retirant parfois sa bouche pour déposer une série de baisers sur son sexe. Son vit brûlant retournait ensuite s’enfouir en elle, et Miranda posait ses deux mains sur les cheveux de la femme, soupirant longuement. Hannah y allait de plus en plus fort, et Miranda se sentait frémir, jusqu’à ce que les mains d’Hannah aillent se poser sur ses fesses, les malaxant.
« Haaaa… Hmmmm… Petite… Petite catin, haaa… !! »
Infatigable, Hannah continuait à pomper son dard, et les mains de la PDG se posèrent sur ses cheveux, se crispant dessus, veillant ainsi à l’immobiliser, l’empêchant de trop remuer, tout en multipliant, à son tour, les coups de butoir. Sa trique s’enfonçait en elle, filant dans son corps, d’avant en arrière, la faisant gémir. Petit à petit, c’était Miranda qui inversait les rôles, en multipliant les coups, en baisant cette belle petite bouche d’amour, sa queue allant régulièrement taper contre le fond de sa gorge, et s’y maintenant même. Ainsi, et de cette manière, Miranda immobilisait Hannah, la soumettant à son propre désir, sans que la jeune femme ne puisse faire quoi que ce soit. Elle se contentait de devoir subir les assauts énergiques de sa Maîtresse, tout en serrant ses mains sur son cul.
« Hnnnn… Hnnnn… Hnnnn… !! »
C’était désormais Miranda qui avait pris les rênes de cette séance. Elle se crispait sur la douce chevelure d’Hannah, et filait en elle, d’avant en arrière, défonçant sa belle bouche, la contraignant à devoir suivre. Yeux clos, Miranda soupirait de plaisir, son cœur remuant joyeusement dans sa poitrine. Encore et encore, la femme continuait à la prendre, sans relâche, avec une ardeur renouvelée, son corps s’en couvrant de plaques rouges.
Au bout de plusieurs minutes, l’érection de Miranda atteignit le point critique, et, dans un ultime soupir, elle se déversa en elle, répandant son sperme dans sa bouche, jouissant généreusement. Elle relâcha dans la foulée la tête d’Hannah, et, après l’ultime mouvement, le corps d’Hannah en partit à la renverse, tombant sur le sol. Respirant lourdement, Miranda papillonna des yeux, et, jambes écartées, se tenait face à elle.
« Relève-toi, ma petite Hannah… Plaque-toi contre la vitre… »
Pas de repos pour les braves, et Miranda la laissa se placer. Collée comme ça, elle était appuyée sur la porte vitrée, et Miranda alla vers elle. Son sexe avait légèrement perdu de sa vigueur, mais était toujours, malgré tout, très raide. La belle femme blonde se glissa dans son dos, et caressa ses hanches, tout en l’embrassant dans le cou, mordillant sa peau, caressant avec son sexe trempé, recouvert de salive et de sperme, le cul de la femme. Elle se frottait ainsi très sensuellement contre elle, jouant encore avec son cou.
« Tu as vraiment un corps parfait, Hannah... Je vais adorer te violer contre cette vitre… Pas toi, ma petite salope ? »
Elle parlait sur un ton affectueux et savoureux, mais qui trahissait toute sa perversion, au fur et à mesure que son sexe se frottait contre son corps, s’enfonçant contre son petit cul.
-
Hannah LaBelle … Si elle avait été une belle et forte blonde, on aurait pu croire à un lien de parenté réel avec miss Forge. Mais, son visage et son allure disaient clairement qu’elle ne faisait pas partie de leur famille. Même si cela ne changeait rien au fait qu’Hannah voyait en Miranda autant sa patronne, que sa maîtresse que sa propriétaire … Que sa mère. Toutefois elle demeurait parfaitement consciente que cela n’engageait qu’elle de penser cela. Miranda Forge n’était pas sa mère et ne le serai jamais ; ce n’était qu’une sorte de jeu d’appellation entre les deux femmes. Une forme d’expression de leurs sentiments, et pour Hannah, le seul moyen qu’elle avait trouvé pour dire à Miranda qu’elle était tout simplement par-dessus sa tête. Si Hannah appelait Miranda maman, ce n’était donc pas pour rien. C’était que quelque part, elle ressentait cela, tout en sachant pertinemment la vérité.
C’était donc un petit jeu mignon entre les deux femmes, que Hannah entretenait volontiers quand Miranda était disposée. Celle-ci ne désirait toutefois pas être appelée ainsi en public, et c’était largement compréhensible. Cependant, là, sous la douche, seule avec sa mère, Hannah ne s’en priverai pas. Mains sur ses fesses, ne cessant pour rien au monde de les malaxer et de s’acharner dessus, elle continuait de se délecter du savoureux dard de Miranda Forge. Elle pompait inlassablement, comme une affamée. Elle suçait si bien et si fort sa maîtresse, avec un appétit et une fougue débordante ! Ses couinements ne s’arrêtèrent peu. Hannah suçait avec tant de dévotion et d’application que cela lui valut une réaction charmante de la part de sa maîtresse. En effet, Miranda finit par reprendre l’action en main et força Hannah à s’immobiliser. Tandis qu’elle continuerait de triturer ses généreuses fesses, Miranda allait lui baiser la gorge d’elle-même. Et c’est ce qu’elle fit.
Hannah se retrouva donc en posture de totale soumission, sa gorge se faisant déformée et grossir par la lourde et juteuse trique de Miranda qui la pilonnait, coup après coup. La légendaire ardeur et fougue de Miranda Forge revenait en puissance, et elle baisait cette gorge avec force. Ses gémissements, ses râles, donnaient à Hannah encore plus d’excitation. D’un instant à l’autre elle s’attendait à recevoir le précieux nectar de sa maitresse en elle, et au bout de quelques temps, elle ne fut guère déçue. La trique de la patronne devint de plus en plus lourde, mais elle finit par s’abandonner. Miranda succomba à la jouissance, couvrant Hannah de sa bénédiction ; son foutre. Son sperme coula à flot directement dans la gorge dans sa majordome, qui comblée comme jamais, se mit à boire encore et encore, se refusant de laisser partir la moindre goutte. Un nectar aussi précieux que délicieux, on n’en perdait miette ! « Hmmmm … » Ronronna-t-elle alors, avalant tout ce sperme avec délice. Ses mains finirent par se calmer au niveau de ses fesses, qu’elle finit même par relâcher quand elle tomba à la renverse.
« Oui, mère ! » Répondit alors Hannah, s’exécutant toujours à la lettre face aux ordres de Miranda. Elle se releva puis se plaqua contre la vitre épaisse, sentant sa mère venir l’approcher dans son dos. La douceur de sa peau, de son contact de sa voix, conjuguées à la rudesse de ses mots, qui résonnaient comme des doux murmures aux oreilles d’Hannah, ne faisaient que l’exciter encore plus. Miranda se lovait contre elle, frottant son délicieux corps contre le sien, tout en frottant et pressant sa trique contre ses fesses. Elle finit par ressentir ses lèvres se poser sur son cou, l’embrassant doucement et faisant tout doucement gémir Hannah, qui s’en mordait les lèvres. « Haan … » Gémit-elle, adorant particulièrement quand sa maîtresse faisait ainsi. Main plaquée contre la vitre, elle se laissait faire avec plaisir. « Oh si, mère … Votre petite salope ne désire que cela … » Lui répondit-elle d’une voix tout autant doucereuse, et perverse. Quelle femme, un tant soit peu fan ou folle de Miranda Forge, n’aimerait pas se faire prendre ainsi contre la vitre d’une douche. Hannah sentit sa verge commencer à se planter dans son cul, s’enfonçant lentement et tendrement.
Ses doigts se crispèrent contre la vitre, autant que ses dents. Hannah n’avait plus qu’une envie ; se faire défoncer l’arrière-train. « Défoulez-vous sur mon cul, mère … » Lui susurra-t-elle. Miranda et Hannah étaient complètement l’une collée à l’autre, la patronne de GWC ne cessant de lui offrir de terribles baisers dans le cou. Hannah finit par tourner son visage sur le côté, et vint alors à quémander un vrai baiser, en bonne et due forme ; elle vint plonger sa langue entre les lèvres de Miranda, tentant de venir chercher celle de sa sublime mère …
-
Le corps d’Hannah allait encore être mis à contribution, comme toujours. Il fallait bien ça, pour soulager l’immense appétit sexuel de la PDG. Miranda Forge, dans le domaine du sexe, était terriblement gourmande, étant, en ce sens, une pure Tekhane. Elle aimait le sexe pour le sexe, elle aimait faire l’amour, elle le faisait énormément, et Hannah pouvait en être témoin. Sa majordome partageant son quotidien, elle était sa partenaire sexuelle privilégiée, et là, dans son dos, Miranda se pressait contre elle, appréciant la beauté sculpturale de son corps, les formes de ses hanches, la silhouette musclée et à la fois très fine de cette beauté. Hannah était vraiment parfaite. Elle était un peu plus épaisse que Miranda, ce qui lui permettait d’avoir des formes merveilleuses. Contre elle, la jeune femme blonde mordillait son cou, léchait doucement sa peau, et caressait ses hanches avec ses mains, soupirant dans le creux de son oreille.
« Tu es vraiment magnifique, Hannah... Je sais que je te le dis souvent, mais c’est important. Tu as un corps parfait, tu es vraiment l’une de mes plus belles créations, ma douce petite pute... »
Miranda lécha ensuite le lobe de l’oreille d’Hannah, puis ses mains retournèrent masser ses fesses. La PDG aimait parfois prendre son temps, car le corps d’Hannah était comme une œuvre d’art, une sculpture qu’il fallait explorer, afin de rendre hommage à sa beauté. Et elle était effectivement, du début à la fin, une création de Miranda. Une réussite absolue et merveilleuse, qui était profondément et totalement liée à sa mère. La femme caressait donc son corps, et gifla doucement ses fesses, les pinçant aussi, son membre frottant sa croupe, la femme se délectant des soupirs et des gémissements de la belle Hannah, qui en était réduite à attendre le divin moment où, enfin, sa Maîtresse irait se perdre en elle.
Le temps passait lentement, et Miranda en vint à lécher le cou de la femme, mordillant sa nuque, puis ses pouces écartèrent ses fesses, se glissant près de sa croupe, écartant l’une de l’autre, délivrant ainsi l’accès à son cul. Ce n’était pas la première fois, loin s’en faut, que Miranda allait visiter son fondement, et elle donna un léger coup de reins, sentant son sexe taper contre sa rondelle. Un soupir s’échappa de ses lèvres closes, suivi d’un grognement, et elle recula, puis repartit en avant, emmenant avec elle le corps de la femme, avant de l’envoyer s’écraser de nouveau contre la porte de la douche.
« Hmmm... Hannah-haaaa... »
Elle soupira longuement, retournant mordiller son oreille, et déplaça ses mains, les faisant se frotter contre la paroi vitrée, jusqu’à poser chacune de ses mains sur ses seins. Elle pinça alors les tétons, et s’en servit surtout comme appui, remuant sa verge en elle, filant de plus en plus profondément. Le cul d’Hannah ayant déjà été longuement visité aujourd’hui, il était très agréable, et ce ne fut donc guère difficile de s’y enfoncer.
Miranda soupirait contre elle, remuant dans son cul, encore et encore, couinant longuement, grognant de plaisir.
« Ah, qu’est-ce que je l’aime, ton cul, ma chérie... ! »
-
Hannah appréciait particulièrement quand Miranda jouait avec elle, avant de la sodomiser de la sorte. En vérité, c’était presque comme un moment de pure complicité entre mère et fille. La manière dont Miranda échauffait Hannah, en l’embrassant dans le cou et en se lovant totalement contre elle avait quelque chose de taquin, mais de complice quelque part. Hannah adorait ça et ses couinements ne faisaient que le confirmer. Plaquée contre la vitre solide de la douche, elle subissait donc avec délice l’appétit sexuel insatiable de sa maîtresse, qui jouait avec son corps. Miranda s’amusait à faire glisser son membre joufflu entre ses fesses, à mordiller son oreille et bien encore, à lécher copieusement le fin cou de sa majordome. Majordome qui était totalement à la merci de cette femme ô combien extraordinaire, pour qui Hannah était prête à tout.
Finalement, c’était un effet de frustration tant désiré qu’Hannah ressenti, à force de sentir la trique de sa mère contre elle, mais jamais en elle. Elle se mordillait nerveusement la lèvre en crispant ses doigts contre la vitre qui s’embua très rapidement à cause de l’eau chaude qui perlait sur leurs deux corps. Miranda se laissa aller à un compliment à son égard, lui rappelant une nouvelle fois combien la trouvait-elle parfaite, physiquement. Et comme toujours quand Miranda le lui déclarait, Hannah ne pouvait s’empêcher de la remercier en lui rappelant quelque chose de fondamental. « M-Merci … Haaaaaaan maîtresse … Mais … Mais je tiens ça de vous. » Lui répondit-elle de sa douce voix entrecoupée par les terribles sensations qui la parcourait, surtout au niveau de son cul et de son cou. La façon dont Miranda le pinçait et le malaxait … C’était tout ce qu’il y avait de plus jouissif ! Hannah était sûre que si sa maîtresse continuait de la peloter ainsi, en y mettant toute sa force, elle jouirait bien rien qu’avec ça, tellement était-elle une fétichiste des fesses.
Puis, vint le moment tant attendu. Miranda, dans sa fougue finit enfin par pénétrer sa propriété. Son membre finit par s’enfoncer dans les chairs d’Hannah, qui avec tout ce qu’elle avait vécu cette journée, étaient déjà bien disposées. Donc, la patronne de GWC n’eut aucun mal à la fourrer de toutes ses forces. « Haaaaaaaan ouiii ! HAAAAAAAAN !!! » Gémit alors fortement Hannah, serrant des dents brusquement alors que sa maîtresse la sodomisa. Son corps partait en avant et en arrière, se faisant entraîner par les puissants coups de reins de Miranda. Les mains de cette merveilleuse et parfaite femme allèrent empoigner fermement sa poitrine, et ses doigts se mirent à pincer ses tétons, arrachant des râles et des gémissements à Hannah. Devenue aussi rouge qu’une tomate, elle subissait avec grand plaisir les assauts de sa maîtresse, qui la malmena comme elle savait si bien le faire. Sa queue s’enfonça avec hargne en elle, rentrant et sortant, agrandissant sa rondelle encore plus qu’elle ne l’était.
La majordome claqua donc contre la vitre qui vibrait bruyamment ; une preuve que la force de Miranda était conséquente. Du moins, la force qu’elle déployait dans ses coups de verge. « OUI ! OUIII !!! HAAAAAAAN MAÎTREEEEEEESSE !!! » Finit par gémir Hannah, perdant la tête comme à chaque fois que Miranda l’enculait. L’anus de la jeune femme avala avec appétit cette queue si avide, si juteuse et si puissante. Comme un assoiffé. Comme quelqu’un qui n’avait pas mangé depuis plus d’une semaine. Hannah se cambra un peu pour faciliter la pénétration à sa mère, qui la besogna aussi fort que vite. Elle ne relâcha pour rien au monde son emprise sur ses tétons, qui étaient durs, très durs. Ils faisaient grand mal à Hannah, mais plus Miranda les pinçait et les provoquait, plus cela procurait du plaisir à la majordome. À présent, tout son corps vibrait au rythme des assauts de Miranda. Corps qui se faisait lourdement plaquer contre la vitre tremblante de la douche.
« En-Encore ! OUI ! OUIIIIIIII !!! EN-ENCULEZ-MOI !!! » Cria-t-elle presque, devenant euphorique.
-
Miranda était gourmande. Très gourmande. Elle avait longuement baisé ce soir, et en redemandait encore. Il y avait quelque chose de surnaturel dans ce qu’elle faisait, dans son incroyable et insatiable endurance sexuelle. Miranda s’enfonçait encore en elle, déformant son cul, filant en arrière, puis revenant en avant, soulevant un peu le corps d’Hannah à chaque passage. Il fallait bien admettre que les deux femmes étaient bien membrées, et qu’Hannah était de même corpulence qu’elle, ce qui ne faisait que rendre cette sodomie plus difficile, plus longue, et plus langoureuse. Fermant les yeux, Miranda mordilla encore son cou, et continua les coups de reins, remuant doucement en elle, enfonçant sa verge. Le cul d’Hannah étant déjà bien dilaté, il n’était pas très difficile de s’y enfoncer profondément.
« Hmmm... Tu... Tu es si bonne, ma chérie ! »
La PDG soupirait profondément, reprenant à chaque fois sa respiration, et continuant les bourrades. La sodomie était plus lente que quand Miranda avait pris la femme en levrette, mais les deux femmes, à ce stade, ne faisaient plus l’amour pour assouvir un quelconque désir physique ou charnel. Il s’agissait juste de se faire l’amour, de se caresser, et d’assouvir leur perversion. C’était donc un véritable plaisir mental, qui s’exprimait à travers l’interaction des corps. Miranda soupirait longuement, continuant à la prendre, aplatissant le corps de sa servante contre la vitre, faisant un peu rebondir cette dernière quand le corps d’Hannah claquait dessus.
La buée montait, tout comme la fumée, enveloppant progressivement leurs corps.
« Han... Hnnnn... »
Miranda serrait les dents, ses mains s’appuyant sur les côtes de la femme. Elle continuait encore à haleter, gémissant, et les minutes défilaient à toute allure.
« Haaaa, putain... Hmmmmm... !! »
C’était l’ultime séance dans le studio, avant de retourner chez elle, et Miranda s’écrasa contre le dos de la femme, relevant ses mains pour les serrer contre elles d’Hannah, filant en elle. Sa verge se perdait dans son corps, comme à son habitude, y trouvant là un endroit chaud et idéal. Le temps fila le long de son phallus, jusqu’à ce que le plaisir suprême arrive. Miranda soupira alors, et eut un nouvel orgasme, balançant des filaments de sperme dans son corps.
Ah, c’était vraiment magique !
-
Parfois, Hannah dans ses petits moments où elle était seule, sans rien d’autre à faire que de penser, elle se posait des questions. Non pas dans le but de remettre quoique ce soit en doute, mais bien au contraire, pour renforcer ses convictions. Elle venait parfois à se demander ce qu’était réellement madame Forge pour elle, et inversement, ce qu’elle était pour cette même madame. Hannah se demandait si tout cela n’allait pas changer un jour ; peut-être que viendra un moment où Miranda n’aura plus besoin de ses services ? Ou que Miranda se retirera, ou … Pire encore ; qu’elle ne sera plus de ce monde. Le futur était toujours très mystérieux, même si dans la tête de la majordome, tout résonnait encore de manière quelque naïve. En fait, Hannah était quelque part aussi crédule qu’une enfant quand il s’agissait de Miranda Forge. Mais cette crédulité avait quelque chose de touchant parfois.
Comme une amie fidèle, elle était toujours à soutenir sa maîtresse quoiqu’il arrive, avec un sourire sincère. Elle était toujours là pour elle, pour la servir, parfois même pour lui tenir compagnie quand elle était seule. Dans sa tête, Miranda était éternelle, et quand elle venait à se poser des questions sur une hypothétique fin, elle en finissait pas conclure que sa maîtresse ne s’éteindrait jamais ! Elle se rassurait de cette façon, même si ce n’était pas très intelligent. Elle se voyait par conséquent la servir pour l’éternité. Quand elle se posait la question, encore une fois, elle en venait à se dire qu’elle serait toujours là, et que les choses entre elles ne changeront jamais, car c’était ainsi que les choses étaient faites. En d’autre termes ; Miranda et Hannah, c’était pour la vie. Mais, ces moments de questions étaient très souvent interrompus par l’arrivée de sa maîtresse, soit pour la mettre au travail de jour, soit pour la mettre au travail de nuit.
À ce moment, Hannah n’avait pas encore fini son travail de jour, et en vérité, elle en était encore loin. La majordome se faisait terriblement sodomisée dans la douche, perdant salive et esprit à mesure que la veineuse trique de sa maîtresse lui pulvérisait l’anus. Que c’était bon ! Il n’y avait rien de plus fantastique, de plus jouissif, de plus … Orgasmique que de recevoir la juteuse queue de Miranda entre les fesses. Son corps claquait fermement contre la vitre alors que la patonne de GWC mordilla encore et encore son cou. La buée montait, la chaleur aussi. Bientôt, Miranda serra des dents et grogna alors que Hannah sentit son sexe s’échauffer sérieusement, menaçant de la fourrer de sa délicieuse crème. Miranda finit par s’appuyer sur les côtes de sa majordome, puis la besogna de toute ses forces, entrant dans ses derniers coups de trique.
La délivrance finit par éclater, au moment où Miranda jouie et fut frappée d’un nouvel orgasme. Elle en arracha un grand râle de la part d’Hannah qui jouit au même moment, se faisant foudroyée d’un intense orgasme anal. Le sperme coula à flot dans ses entrailles, la fourrant encore et encore, finissant par lui redonner un peu de forme au niveau de son ventre. Si en venant jusqu’à la douche son corps avait fini par expulser tout, Miranda venait de la remplir à nouveau. Moins qu’avant, mais suffisamment pour qu’une petite forme se dessine. Les deux femmes venaient alors de jouir de concert, et une fois de plus, Miranda avait offert un merveilleux orgasme à Hannah. Comment ne pas s’estimer la femme la plus heureuse du monde, quand une personne comme Miranda Forge vous offrait autant de plaisir … C’était la vie parfaite ! En plus, qu’elle satisfaction était-ce que de servir une telle femme ! Rien que d’y penser, cela en donnait des frissons à Hannah.
Hannah qui couina et soupira, reprenant alors lentement son souffle. Un moment venait de se terminer, mais ce n’était pas la fin de la journée pour autant. Elle finit par se retourner, faisant sortir la belle verge de sa maîtresse de son cul, avant de lui faire face. Son regard se posa dans le sien, puis elle s’avança vivement, entourant Miranda ses bras, la prenant toute contre elle tout en venant l’embrasser. Hannah la remercia de cette soirée par un long et tendre baiser, où elle fourra généreusement sa langue entre ses lèvres. Elle dansa avec, pendant un certain temps, profitant de la saveur de sa salive et de ses lèvres, avant de lentement se retirer. Elle resta ainsi, visage collé au sien, tout en continuant de la garder dans ses bras. « Merci pour tout, Maîtresse. Merci … D’exister, et de m’avoir permis d’en faire de même. » Lui avoua Hannah de sa douce voix, donnant un deuxième baiser sur ses lèvres, avant de s’écarter doucement.
-
Jouir en Hannah, c’était quelque chose de magnifique. Quand Miranda se déversa en elle, une vague de plaisir traversa son corps, pendant et après l’orgasme. Après, en effet, la vague de plaisir se transforma en une profonde relaxation. Le sexe épanouissait Miranda, la reposait, et, elle se retira du corps de son amante, après s’être blottie contre elle pendant plusieurs secondes. Sa queue avait convenablement juté dans son corps, se vidant en elle. Une fois ceci fait, Hannah se retourna, et les deux femmes s’observèrent pendant quelques secondes... Avant qu’Hannah ne vienne se caler contre elle, lui offrant un tendre et sensuel baiser. Un baiser auquel Miranda répondit volontiers, posant une main sur les cheveux de la femme, et l’autre dans le creux de son dos. Leurs lèvres se pressèrent l’une contre l’autre, tandis que leurs corps humides, trempés par la sueur et par l’eau qui ruisselait, se serraient ensemble. Un tendre baiser, comme un point de conclusion à cette superbe et jouissive soirée. Oui, il n’en fallait pas plus pour émoustiller Miranda, qui rompit le baiser au bout de quelques secondes.
Hannah semblait toute heureuse, et elle avait de quoi l’être. La jeune femme avait passé une fantastique journée, où son corps avait été longuement utilisé. Elle termina ainsi par une touchante déclaration d’amour envers sa Maîtresse, ce qui fit sourire cette dernière.
« Oh, Hannah... »
Miranda alla l’embrasser sur la joue, déposant un gros bécot sur son visage.
« Tu es vraiment l’une de mes créations les plus réussies, ma chérie... Te voir si belle, si rayonnante, si énergique, emplit constamment mon cœur de joie et de fierté. »
Hannah, un pur produit fabriqué par les technologies de GeoWeapon Corp... Pour la redoutable PDG, aussi perverse qu’intelligente, c’était un succès sur lequel elle ne cessait de revenir, comme pour mieux s’autoféliciter davantage. Et, sur ce point, il y avait largement de quoi être fière. Hannah était une réussite, au-delà de tout ce que Miranda avait espéré, il y a encore quelques années, quand elle avait mis ce programme au point. Elle était sûre qu’il y avait encore plein de choses à faire avec la jeune femme. Hannah représentait une aubaine formidable pour la recherche scientifique tekhane, et Miranda en avait pleinement conscience.
Maintenant, toutefois, il était temps de rentrer. Propre, Miranda sortit donc de la douche, et se nettoya, ayant rangé son phallus. Elle reprenait sa respiration, puis remit ses vêtements.
« Allez, Hannah, on retourne à la maison... »
Et la maison en question se situait dans un endroit difficilement accessible pour les voleurs. On pouvait y accéder en utilisant un vaisseau spatial, ou en empruntant un Portail situé dans les quartiers de Miranda au sein de GeoTower. Ce Portail menait en effet dans l’un des projets pharaoniques de la firme : GeoSky (http://orig10.deviantart.net/9a14/f/2013/106/2/4/interplanet___space_station_by_starkadhr-d61xthd.jpg). Une puissante station spatiale qui tournait autour de Terra, alignée sur son orbite, et qui abritait les appartements de Miranda, ainsi qu’un prototype futuriste de satellite-laser, et de puissants télescopes astronomiques, permettant de photographier des parties extrêmement éloignées de l’Univers.
Depuis GeoSky, Miranda dominait littéralement au monde, et le Portail l’emmena, elle et Hannah, dans son vaste bureau, où une musique d’ambiance (https://www.youtube.com/watch?v=6RO7K4W-c9g) ne tarda pas à s’enclencher. Miranda alla lentement et lascivement s’asseoir sur un fauteuil, dans une pièce proche, abritant un agréable salon, et croisa élégamment les jambes, en regardant Hannah.
« Bon... Je crois qu’il est temps de faire notre rituel, non ? » demanda-t-elle, une lueur malicieuse dans les yeux.
-
Une belle déclaration d’amour ce fut. Hannah n’hésitait pas à dire à Miranda quand elle était heureuse, ou quand elle sentait qu’elle devait lui montrer à quel point elle lui était redevable. La jeune fille ne comprenait pas comment certain gens venaient à détester Miranda, en toute honnêteté. Elle savait que ce n’était pas tout Tekhos qui l’appréciait, et que beaucoup de personne étaient contre elle. Comment une telle chose pouvait être possible ? Comment ne pouvait-on pas aimer cette femme … Intelligente, riche, redoutable, elle avait tout ! Cela dépassait la raison d’Hannah, qui ne voyait autre solution que d’adorer et chérir la patronne de GWC. Vous en connaissez beaucoup des patrons qui se souciait de son image ? Des patrons qui étaient proches de leur communauté ? Qui étaient aussi charismatiques et efficaces ? Pas dans la mémoire d’Hannah, en tout cas.
Après sa déclaration, Miranda sembla être touchée et embrassa tendrement sa majordome sur la joue, avant de lui renvoyer la pareille, lui déclarant qu’elle la remplissait de joie et de fierté. Les yeux d’Hannah se remplirent de joie en entendant cela ! Sa maitresse était fière d’elle … Et elle la rendait heureuse ! C’était la plus belle et la plus puissante des choses que Miranda le lui avait jamais dit. Cela ne fit que renforcer sa dévotion et sa fidélité, ainsi que son amour pour elle. Elle avait eu très envie de lui faire à nouveau un câlin, mais elle savait comment sa maîtresse fonctionnait, et décida de freiner ses émotions. Les deux femmes, propres, finirent donc par sortir de la douche s’habillèrent. La patronne de GWC dit alors qu’il était de temps de rentrer à la maison, ce qui plaisait forcément à Hannah. Celle-ci hocha de la tête avec son petit sourire courtois, et suivit donc sa maîtresse, comme toujours.
Partout où elle irait, Hannah serait toujours là, à côté d’elle. Du moins, tant que Miranda le lui permettait. Hannah était potentiellement la personne la plus fidèle à elle de tout Tekhos. Il y avait de fortes chances pour qu’elle soit … Sa plus fidèle et sa plus sincère proche. Car Hannah donnait et aimait sans attendre de retour, ce qui était très unique à Tekhos. Donc elle partit avec Miranda et les deux femmes firent leur route vers les quartiers de la patronne, situés dans la GeoTower. Une fois là-bas, elles prirent un portail qui les conduisirent aux vrais appartements de miss Forge ; situés dans GeoSky, la fameuse station spatiale. Une station aux buts multiples, où Miranda avait choisi d’installer son chez-soi … Peut-être car de cette manière elle aurait l’impression de dominer le monde ? Nul doute que si elle persévérait, elle le serait réellement un jour !
Miranda et Hannah finirent dans un bureau, un grand et spatiaux bureau où une sobre musique d’ambiance s’éleva leur arrivée. Toutefois, ce fut une pièce un peu plus loin qui intéressait la patronne ; une sorte de salon très bien agencé, qui lui servait à se détendre. La belle héritière des Forge alla prendre assise sur un fauteuil, et vu sa manière de s’être posée, elle devait définitivement être un peu fatiguée. Ou bien ne serait-ce que vouloir lâcher la pression accumulée toute la journée. Hannah se tint à coté, mains jointes devant, et attendit donc la suite. Miranda fut rapide et, croisant élégamment ses jambes, regarda sa majordome d’un air malicieux. « Hmm … Effectivement, Maîtresse. » Répondit Hannah de sa douce voix, souriant avant de lentement se déplacer. Sur le court chemin, elle déchaussa bottes à talons, les laissant tomber au sol.
Si elle était habituée, force était de constater qu’après toute une journée à les porter, ça faisait grand bien de les enlever. Elle serait plus détendue et à l’aise ainsi. Restant pieds nus, elle finit donc par se placer devant le fauteuil, et s’assit ses genoux, s’abaissant aux pieds de sa maîtresse. Leur petit rituel pouvait ainsi commencer ! Hannah sourit puis alla doucement poser une première main sur le pied de Miranda, le caressant en un geste très délicat. Du bout de ses doigts, elle faisait lentement l’aller et le retour entre sa cheville et sa patte. Puis, elle finit par faire venir sa deuxième main, et souleva doucement ce pied, se mettant à le masser avec application. « Quel est le bilan de votre journée, mère ? » Lui demanda alors Hannah, désirant connaitre les ressentis de sa patronne vis-à-vis de cette énième journée de travail acharnée. On pouvait dire qu’elles avaient fait beaucoup de choses, aujourd’hui ! Alors qu’elle lui répondrait, Hannah continuerait de masser son pied avec tendresse et soin, pressant sa plante, ses doigts, et ainsi de suite. Vint cependant un moment où elle l’approcha, doucement, avant de lentement venir poser ses lèvres sur ses petits doigts. Hannah donna un premier baiser sur ce délicat pied, puis un petit deuxième. Elle vint ensuite à sortir sa petite langue pour entreprendre de le nettoyer car, après tout, le rituel consistait en ça.
Ainsi donc, Hannah fit son travail avec le plus grand des plaisirs, léchouillant les doigts de Miranda, s’attardant ci et là. Elle se concentrait pour le moment sur ceux-ci, et décida notamment de venir prendre le gros doigt entre ses lèvres, le suçotant avec une grande sensualité. « Hmm … » Couinait-elle ainsi en douceur, se délectant de son plaisir ultime de la journée. Hannah possédait beaucoup de fétiche, surtout concernant Miranda. Ses fesses, ses pieds, son cou … En fait, pas une seule partie de son corps ne méritait pas attention. Hannah le prouva en léchant avec passion son pied, tout en continuant de masser sa plante. Plante qu’elle finit par avoir en face de son visage, avant de doucement venir poser ses lèvres dessus, la léchant lentement, tout en la couvrant de délicieux baisers.
-
Chaque soir, avant de se coucher, Miranda ordonnait à Hannah de lui lécher les pieds. Entre elles, c’était leur petit rituel, un moyen de rappeler à Hannah que, malgré tout ce qui avait pu se passer dans sa journée, la majordome restait sa petite chienne, et que Miranda tenait toujours à elle. Pour Hannah, c’était un moment privilégié, lui rappelant continuellement que l’amour qui unissait les deux femmes était vertical, celui qu’une Maîtresse ressentait envers son esclave, et ce peu importe comment Hannah voulait l’appeler. Hannah resterait toujours son esclave, celle qui lui lécherait les pieds sans jamais pouvoir exiger autre chose. Elle était sa chienne, tout simplement… Et c’était comme ça que Miranda l’aimait.
Pendant qu’Hannah la léchait, la PDG portait son attention sur le bureau, et consulta différentes notes, essentiellement celles concernant Kara. Il ne s’écoulait pas une journée sans que Miranda ne songe à sa fille, et elle désirait toujours savoir ce qu’elle avait fait. Elle apprit ainsi que Kara avait passé la journée à travailler dans son bureau, à la GeoTower. Un bureau situé dans les derniers étages, et où elle avait consulté différents rapports relatifs au rendement de plusieurs usines d’armement situés dans le nord de Tekhos, tout en recevant la responsable d’un laboratoire de recherches. Elle avait couché avec elle, s’était également tapée sa secrétaire, et couché avec une femme de ménage. Miranda souriait en voyant tout cela, et apprit aussi que Kara continuait à rechercher des informations sur Miranda Forge dans la base de données de GeoWeapon Corp. Elle s’était renseignée sur son lieu de naissance, à Lobraunt, et avait découvert que l’identité officielle de ses parents biologiques était fausse.
*C’est bien, ma chérie, tu te rapproches peu à peu…*
Miranda avait semé derrière elle différents indices et autres traces, dont le but ultime était d’amener Kara à réaliser qu’elle était sa fille, et l’héritière des Forge. C’était une tâche dans laquelle elle ne devait pas l’aider. Quand Kara serait arrivée au bout de la piste, elle trouverait un code informatique, un code à insérer dans la base de données de GeoWeapon Corp., et qui lui permettrait de découvrir l’accès à des documents confidentiels, ultra-sécurisés, encodés et cryptés par Miranda Forge en personne, et dont personne, à part elle et les EVA, ne connaissait l’existence. Et, dans ces documents, il y aurait tous les éléments permettant à Kara de voir qu’elle était la fille de Miranda. Chaque Forge organisait un rituel de ce type envers son héritière, et Miranda y avait eu droit, elle aussi. Elle devait néanmoins admettre que Kara se débrouillait beaucoup plus rapidement que ce qu’elle pensait.
*Et, une fois que tu auras découvert qui tu es, je t’enfanterai, ma chérie…*
Cette idée excitait à chaque fois Miranda, qui soupira alors en sentant Hannah s’attaquer à la plante de ses pieds, les embrassant fermement. Elle baissa alors la tête, s’arrachant de sa tablette graphique, et sourit joyeusement.
« Mes pieds te manquaient, dis-moi… »
Elle consulta ensuite ses mails, et vit qu’elle avait reçu un message du Docteur Rossa, l’informant qu’elle était ravie de voir comment Hannah évoluait, et que la petite était vraiment un prodige miraculeux. Miranda ne put qu’acquiescer, en hochant légèrement la tête, un fin sourire venant se dessiner sur ses lèvres.
*Oui, la preuve…*
Miranda finit ensuite par refermer son écran, coupant l’alimentation, puis retira finalement ses pieds.
« Merci pour le bain de pied, Hannah. Maintenant… Passons à la suite. »
Elle se déplaça ensuite.
« Retire mes vêtements. »
Miranda laissa Hannah poser ses mains sur son corps, la dénudant petit à petit, et, une fois nue, la PDG se retourna vers elle, en lui souriant malicieusement, et la déshabilla à son tour. Nue, Miranda se sentait souvent plus à l’aide, et, dans sa station, il était fréquent qu’elle soit nue… Et de même pour ses invitées, alors c’était encore plus vrai pour Hannah.
« Bon… Et si tu nous préparais à manger, ma chérie ? Je dois admettre que te baiser toute la soirée m’a un peu fatigué, tu es une telle gourmande… »
Elle balança cette ultime assertion avec un nouveau sourire pervers sur les lèvres.
-
Evidemment, que son petit rituel lui manquait à Hannah. Ce qui était fascinant quelque part, c’était que celui-ci pouvait être vu de deux points de vus différents. Un point de vue plutôt Miranda, et un qui était plutôt Hannah. Miranda voyait le fait que son esclave favorite lui léchait les pieds avec dévotion, chaque soir, comme une marque pour justement prouver que Hannah était, malgré tout, son esclave et rien d’autre. Ce qui n’était pas faux ! Hannah était l’esclave de cette puissante femme, qui l’avait d’ailleurs créé de toutes pièces. Hannah ne serait jamais autre chose, et elle en était fière. Peu de personne avait le privilège d’être considérée comme son esclave et pas seulement l’une de ses esclaves. De ce fait, même en étant une simple esclave Hannah était une privilégiée ! Et ça rejoignait son point de vue.
Son point de vue qui disait que Miranda était parfaite, sur absolument tous les points, et qu’être sa chose était non pas humiliant mais, bien au contraire, la plus merveilleuse et la plus gratifiante des situations ! Servir une telle femme, lui lécher les pieds tous les soirs, ou lui servir de poupée gonflable quand ça la chantait, c’était tout ce qu’une personne, saine d’esprit et Tekhane dans l’âme pouvait espérer. En d’autres termes ; elle était littéralement en train de vivre un conte de fée, là, en léchant les pieds de sa maitresse tant adorée. Sa langue filait avec tant de passion et tant de dévouement sur sa plante. Elle l’embrassa et la lécha, copieusement, passant langoureusement et lentement sa langue sur sa peau délicate et douce. L’on pouvait là sentir, et voir, toute sa dévotion se déverser dans ce fétiche très présent en elle.
Ainsi donc, Hannah continuait de faire du bien aux pieds de sa maitresse, finissant par revenir sur ses petits doigts, les suçotant telles des petites sucreries en prenant son temps. Elle prenait réellement un grand plaisir dans cet acte, qui aussi délicieux et agréable était-il, finit par se terminer. En effet, la belle Miranda Forge finit par écarter lentement sa patte, affirmant qu’il en suffisait, et qu’il était temps de passer à la suite. Hannah hocha doucement de la tête et se releva, s’approchant de sa mère pour exécuter ce qu’elle venait de lui demander ; la déshabiller. Hannah posa ses petites mains sur son corps et entreprit ainsi de retirer le haut, puis la jupe de sa patronne, la rendant ainsi aussi nue qu’un ver. Il était vrai qu’à bord de sa station, Miranda portait fréquemment sa tenue d’Eve … En demandant aussi sa majordome d’en faire de même. Les deux femmes étaient donc toutes les deux nues, à l’aise, alors que la maîtresse des lieux demanda cette fois-ci, à manger. Hannah fit un petit sourire ravi, puis s’avança pour offrir un petit baiser courtois sur les douces lèvres de sa maîtresse.
« Hmm … Je sais ce qu’il vous faut Maîtresse ! » Répondit alors Hannah qui allait s’improviser chef cuisinière. Elle fila donc en cuisine, cherchant un peu ce qu’elle désirait ; un poulet et des patates. Hannah avait peut-être une formation d’esclave sexuelle, n’en demeurait pas moins qu’elle avait appris à être une majordome parfaite. La cuisine était donc un élément à part entière de son apprentissage car, comme on le voyait, faire la cuisine était dans ses responsabilités. Et elle ne le fit pas à moitié ; rien de mieux qu’une bonne viande pour redonner des forces à une personne comme Miranda. Hannah prépara donc le repas demandé, faisant cuir le poulet, et les patates qu’elle coupa en frite, afin d’accompagner le tout. Une pincée de ci, une pincée de ça, afin d’exhausser le gout, et voilà que quelques temps après le diner était servi ! Hannah revint avec plateau en main, servant Miranda depuis son fauteuil. « Poulet aux aromates Nexusiens, accompagné d’un lit de pomme de terre coupées … Sans oublier … » Dit-elle, en posant le plateau sur la petite table. Elle partit un moment puis revint vite fait, présentant une bouteille de vin à sa maîtresse. « Du vin Asharndien, des distilleries Carnelle. » Conclut-elle, servant soigneusement un verre à Miranda.
Hannah installa tout pour sa maîtresse, du couvert jusqu’à la distance de la table par rapport à son fauteuil. Miranda n’avait plus qu’à se servir et à reprendre des forces, en savourant au même moment un massage des pieds, encore une fois, bien mérité. Hannah s’assit au sol soigneusement et prit l’une de ses délicates pattes entre ses mains, se mettant à la masser avec attention, finissant immanquablement par l’embrasser et le lécher avec cette même dévotion mordante …
-
Dans sa station, Miranda avait l’habitude d’être nue, et, quand elle organisait des rendez-vous ou des entretiens avec des cadres ou des clients depuis cet endroit, il arrivait qu’elle leur parle nue, par l’intermédiaire d’une visioconférence. Hannah savait cela, et, naturellement, la jeune femme se déshabilla aussi, tout en faisant preuve de ses multiples talents. Hannah était comme un couteau-suisse, servant à Miranda pour d’innombrables choses. Faire l’amour, oui, mais aussi lui faire la cuisine, repasser ses affaires, faire le ménage... Hannah était pratique pour de nombreuses choses, et elle se rendit donc dans la cuisine, préparant rapidement un délicieux poulet. Pendant qu’elle s’exécutait, Miranda, elle, attrapa son téléphone portable, et se plongea dans quelques notes et mails.
D’ici quelques jours, elle reverrait une très vieille connaissance : Tanisha Malenga, la capitaine du Forge. C’était une histoire confidentielle, très classifiée, concernant la découverte, par son ancêtre, d’un centre de recherches profondément enfoui sous la terre, un Dogan. Miranda avait croisé Malenga quand elle était très petite, à une époque où Miranda venait juste d’apprendre, de la part de sa mère, qu’elle était une Forge. Tanisha avait été choisie pour diriger le Forge, et avait sollicité un rendez-vous. C’était une chose dont elle allait devoir s’occuper. Elle consulta ensuite un autre mail, concernant les recherches sur le Projet Manhunt. Elle avait envoyé de nombreuses agentes enquêter sur ce projet en fuite dans les Badlands. L’une était partie vers le Metal Meltdown, une région éloignée des Badlands, dirigée par une cinglée locale, répondant au nom de « La Hyène ». Son agente avait exploré les Abris désaffectés, désignant des bunkers souterrains construits peu après l’arrivée des Formiens, à une époque où de nombreuses Tekhanes, terrorisées par la menace des Formiens, avaient choisi de s’enterrer dans le désert, formant des bunkers hermétiquement clos au monde extérieur. Pendant des années, ces Abris avaient vécu, et, si certains existaient probablement toujours, beaucoup avaient sombré dans la folie, ou attaqué par des raiders. C’est dans l’un de ces Abris que son agente avait cherché la trace de Manhunt.
Hannah revint alors, et Miranda éteignit son téléphone portable. Elle avait fait quelque chose de simple, et de très bon, Miranda aimant bien les repas frugaux. Un poulet-frite, finement cuisiné, avec des frites coupées personnellement par Hannah, et quelques feuilles de salade. Elle déposa le plateau sur la table, devant Miranda, en lui offrant également un vin venant des distilleries Carnelle, ce qui ne manqua pas de faire sourire Miranda.
« Tu sais que ce vin a été accusé, par les vignerons nexusiens, d’être une contrefaçon ? Personne n’osait croire que les Ashnardiens puissent produire un vin de qualité... Je sais que tu l’aimes beaucoup. »
Le procès avait eu lieu devant les juridictions tekhanes, Tekhos était le principal client des viticulteurs nexusiens et ashnardiens. Un syndicat nexusien, représentant des agriculteurs, avait en effet saisi la justice en arguant que le vin Carnelle se rapprochait tellement du leur qu’il devait s’agir d’une contrefaçon, et que la personne en charge, Vanillia Carnelle, avait dû récupérer des graines ou des plants venant des fermes nexusiennes. Le procès qui avait eu lieu avait conclu au rejet des prétentions de ce syndicat, et, le vin Carnelle étant moins cher que le vin nexusien, car moins coté, il se vendait mieux. Miranda savait qu’Hannah l’aimait bien.
Ainsi, alors que la jeune femme commençait à se mettre à côté d’elle, elle remplit son verre de vin, et le lui tendit.
« Je t’en prie, tu peux en prendre aussi, tu mérites bien ça, après tous les efforts que tu as fait aujourd’hui. »
Miranda lui sourit tendrement, et commença donc à manger, récupérant par la suite son verre.
« Ce fut une bonne journée... Je te félicite encore, Hannah. »
-
Hannah s’occupait paisiblement à apporter du bien à sa maitresse, en lui massant les pieds pendant son repas. Pourtant, Miranda était une femme d’une grande bonté – selon Hannah – et elle lui offrit alors l’occasion de prendre un peu de ce délicieux vin. Avant cela, la majordome s’était un peu attardée sur son massage, réellement désireuse de relaxer sa maitresse. Après une telle journée, une partie de la fatigue était souvent dans cette partie-là, puisqu’après tout, on marchait beaucoup. Ce n’était donc pas illogique de voir Hannah masser avec application les pieds de Miranda pour soulager celle-ci. D’ailleurs Hannah entra assez rapidement dans l’optique du massage et de la détente plus que des baisers et du fétichisme. Cela se prouva assez rapidement quand elle eut terminé avec les pattes, se redressant debout pour accepter le vin que lui avait proposé sa chère maitresse.
Miranda venait d’ailleurs de la féliciter. C’était effectivement une bonne journée qui venait de s’écouler, Hannah était plus que jamais fière du travail qu’elle faisait. « Merci infiniment mère … Je suis faite pour cela après tout, pour convenir à vos attentes. » Dit-elle de sa voix polie, avec sourire. Elle vint à côté de la maitresse des lieux et put ainsi porter à ses lèvres le verre, buvant ainsi de ce vin qu’elle aimait particulièrement. Les distilleries Carnelle produisaient un vin de qualité, et cela se sentait au gout, ni plus ni moins. Une boisson digne de la table d’une personne comme Miranda Forge … Dont Hannah avait le privilège d’y gouter. Elle reposa son verre quand elle finit, puis se déplaça derrière le fauteuil de Miranda, se penchant pour poser doucement ses mains sur épaules, avant de lentement se mettre à les masser.
« Si vous le désirez maitresse, je pourrai vous masser après votre repas. Je sens votre fatigue dans vos muscles, vous auriez grand besoin que je vous aide à les détendre. » Dit-elle alors, se mettant ainsi à pincer doucement ses épaules, les massant pour chasser les tensions dans ses muscles. Ses mains se baladèrent donc par ici, descendant de temps à autre jusqu’à ses bras, ou jusqu’à ses omoplates, appuyant bien sur les muscles pour la détendre. La majordome désirait sincèrement détendre sa maitresse et pour ça, rien de mieux que la masser.
-
Jamais à cours d’idée ou d’envies pour motiver sa Maîtresse, Hannah lui proposa un massage. L’idée fit brièvement réfléchir Miranda, pendant quelques secondes, avant qu’elle ne lui sourit.
« Hum... Pourquoi pas ? Tu es très douée pour les massages, après tout... »
Après son repas, c’était en réalité une excellente idée, et, de la main, comme pour remercier sa petite chienne, elle alla caresser son visage. Ce serait probablement la dernière chose qu’on lui ferait avant de s’endormir, très certainement avec Hannah. Autant dire que cette perspective ne gênerait nullement sa majordome, qui adorait dormir avec elle. De cette manière, Miranda avait toujours l’assurance de pouvoir coucher avec quelqu’un, car, quand il ne s’agissait pas de sa propre fille, ou d’une invitée, elle pouvait toujours compter sur Hannah, qui était toujours plus que ravie de s’endormir avec elle. Et, ce soir, Miranda n’attendait personne.
La puissante femme blonde termina tranquillement son repas, puis laissa Hannah débarrasser et faire la vaisselle. Avoir une majordome, c’était bien pratique, et, tandis qu’elle s’y affairait, Miranda se replongea à nouveau dans ses affaires. Diriger GeoWeapon Corp. était une tâche de tous les instants. Miranda menait certes une vie de rêve, en étant richissime, et en forniquant très régulièrement, mais, pour autant, il ne fallait pas la croire laxiste.
Après plusieurs minutes d’examen de ses derniers mails, Miranda reposa son téléphone, puis étouffa un bâillement, avant de quitter le salon où elle était. Elle rejoignit ainsi Hannah dans la cuisine, où la jeune femme avait enfilé un tablier par-dessus son corps nu, dévoilant ses belles fesses. Les mains de Miranda se posèrent sur les fesses de sa majordome, les pinçant, tandis qu’elle se lova dans son dos, et la mordilla dans le cou.
« Je t’attends dans mon lit, tu me masseras là... »
Ce serait assurément le dernier acte de leur longue journée. Hannah avait été extrêmement bien gâtée aujourd’hui, et n’avait presque pas quitté Miranda. En réalité, la belle femme ne serait pas surprise si elle apprenait que cette journée avait été l’une des meilleures d’Hannah au cours de son existence.
Miranda se rendit donc dans sa chambre, et s’allongea sur le ventre, au milieu de son grand et moelleux lit, écartant les jambes, attendant la venue d’Hannah pour un massage... Un massage très particulier, comme seule Hannah savait les faire.
-
C’était un grand plaisir qu’éprouva la majordome en entendant sa maitresse accepter sa proposition. Elle en avait grand besoin ! Hannah n’était pas seulement son esclave qui ne faisait qu’assouvir ses pulsions sexuelles … Elle était aussi une dame qui prenait soin de la grande patronne qu’elle était. Elle était en fait un véritable couteau-suisse vivant. Hannah sentait Miranda fatiguée et savait par conséquent qu’un bon massage ne lui ferait que du bien et l’aiderai à bien se reposer pour la nuit. D’autant plus que ça lui faisait toujours autant plaisir de pouvoir servir cette femme, donc elles étaient toutes les deux gagnantes. La maitresse des lieux termina son repas, puis ce fut à Hannah de faire ensuite la vaisselle et de ranger, en général.
Se dirigeant vers la cuisine, elle enfila une sorte de tablier pour ne pas s’éclabousser de l’eau puis nettoya, tranquillement. Hannah était contente de cette journée qui effectivement faisait partie des meilleures journées qu’elle avait passé jusqu’à présent. Ce n’était pas tous les jours qu’elle passait autant de temps aux cotés de Miranda, et ça faisait donc énormément de bien. Si chaque jour elle pouvait le passer, physiquement, aux côtés de sa maîtresse, Hannah ne dirait pas non. Car Miranda était sa vie, son oxygène. Quoi de plus normal que d’aimer être en sa présence. Ce jour avait été un merveilleux cadeau en quelque sorte. Elle était donc toute contente et heureuse, jusqu’à ce que Miranda ne vienne dans son dos et pelote son fessier, en se lovant contre elle. Elle mordilla son cou, faisant sourire la belle majordome qui en fut toute chose, avant de poliment acquiescer quand elle lui dit qu’elle l’attendra dans le lit. « Compris Maîtresse, je vous rejoins aussi vite que je peux. » Lui dit-elle avec son petit sourire.
Ainsi donc Hannah termina son travail mais avant de rejoindre sa mère, elle fit un rapide détour vers la salle d’eau pour se laver les mains. Seulement ensuite elle regagna la grande chambre de Miranda, et se faufila doucement dans son lit, admirant toute la beauté de cette femme allongée sur le ventre, les jambes un peu écartées. Hannah l’admira pendant un petit moment, avant de lentement se hisser dessus, se mettant à califourchon. « Vous êtes si belle, mère … Si parfaite ... Même après une rude journée, votre éclat n’a pas terni. » Lui dit-elle, avant de doucement se penche pour l’embrasser chaudement dans le cou, portant ses mains sur ses épaules ensuite. Hannah se redressa puis partit à coté afin d’accéder à l’ensemble du corps de sa maitresse. Elle commença ainsi son massage, appuyant doucement sur ses épaules, puis descendant graduellement le long de son échine.
Hannah se concentrait pour réellement soulager Miranda, et cela se voyait par son silence. Ses doigts pressèrent sa peau et ses muscles, s’attardant sur les points qui semblaient les plus tendus et crispés. Elle y allait lentement, faisant glisser ses mains sur sa peau avec tendresse. Après un certain moment, la majordome dériva plus en bas, se mettant à masser le fessier de Miranda en le pinçant. À plein paume, Hannah massa cette partie forte bien généreuse, malaxant et pelotant ce sublime monument non une certaine obsession. Hannah s’autorisa même d’écarter innocemment ses deux rives pour sensuellement glisser sa main. Elle effleura la petite rondelle de Miranda exprès, afin de juste attiser le plaisir sans le feu allant avec. On pouvait sentir rien qu’à ses gestes qu’elle prenait un plaisir particulier à apporter du bien-être à cette partie, avant qu’elle ne descende ensuite à cuisses. Hannah ne négligeait rien et prenait son temps pour détendre sa maitresse. Ses mains filèrent le long des doucereuses et longues jambes de Miranda, appuyant et massant chaque muscle pour les aider à se détendre, avant de finalement finir par masser ses pieds.
« Ça vous fait du bien mère ? » Demanda-t-elle doucement, afin de voir si ce qu’elle avait fait jusqu’à présent était satisfaisant. Quand elle jugea avoir suffisamment masser ses délicats pieds, Hannah revint auprès du dos de Miranda mais se plaça au-dessus, à califourchon. Elle désirait essayer quelque chose de nouveau, et qui ferait sans doute plaisir à madame Forge. En effet, la majordome se cambra et avec une grande tendresse, se mit à presser sa poitrine contre son dos, massant ainsi tout le long de son échine en glissant son corps. Hannah était donc en train de masser le dos de Miranda avec sa poitrine … Après tout, elle était suffisamment généreuse pour pouvoir faire du bien !
-
Que serait une fin de soirée sans un massage pour l’accompagner dans son sommeil ? Quand Hannah la complimenta sur sa beauté, un fin sourire vint éclairer les lèvres de Miranda, qui hocha la tête, en la tournant légèrement. Ce soir, elle n’était guère avare de compliments envers sa protégée, et, tout en la sentant se mettre à califourchon sur elle, et commencer son massage, elle alla commenter ce qu’elle venait de dire :
« C’est un trait que tu partages avec moi, ma chérie. Être belle, c’est fondamental quand on est une femme. Nous ne sommes pas le beau sexe pour rien, après tout. »
Fermant les yeux, elle laissa ensuite Hannah la masser, sa tête posée sur ses bras croisés. Hannah était aussi douée pour le massage que pour le reste, la majordome d’une Forge se devant d’être parfaite. La jeune femme s’attaqua donc à son dos, à ses côtes, à ses épaules, avec ce talent exquis qu’elle avait. Ce n’était évidemment pas la première fois qu’Hannah offrait à sa mère et Maîtresse un massage complet. Elle l’avait aussi fait pour Kara, quand sa fille légitime venait dormir ici (ce qui excitait toujours Miranda), et lui donnait des ordres, Hannah se devant d’y obéir, avec le même sérieux et le même désir qu’avec Miranda. Les caresses de la majordome étaient donc agréables, car elle caressait comme il fallait, cherchant les points érogènes, déclenchant ainsi des vagues de plaisir dans le corps de Miranda. En réalité, Hannah aurait pu la faire jouir rien qu’en la massant, et ce d’autant plus qu’elle connaissait le corps de Miranda à la perfection, le moindre centimètre de peau étant connu d’elle.
Hannah s’attaquait donc à son corps, descendant de plus en plus. Avec elle, un massage était intégral, car elle ne comptait rien laisser au hasard. Elle s’attaqua donc tout naturellement au fessier de Miranda, et, quand elle s’amusa à écarter ses fesses, des vagues de plaisir amenèrent les muscles de Miranda à se crisper un peu, cette dernière se pinçant les lèvres en retenant des soupirs et des gémissements.
« Hnnnn... »
Elle était vraiment douée, cette petite ! Miranda l’aimait toujours autant, et était d’autant plus ravie de voir qu’Hannah était incapable de se lasser de son corps. Ses massages étaient magnifiques, et elle délaissa ensuite ses fesses pour s’attaquer à ses longues jambes fuselées, finissant jusqu’à ses pieds. Hannah ne laissait jamais rien seul très longtemps, et s’efforçait toujours à faire un travail impeccable. Le résultat était assurément au rendez-vous, et Hannah continuait ainsi à s’expérimenter sur son corps.
Finalement, elle se redressa, et opta pour un massage mammaire, posant ses mains en appui sur le corps de la PDG.
« Ha-Haaaannaaaahh... »
Ce mélange entre son nom et un soupir exprimait très bien tout ce que Miranda ressentait. Hannah s’appuya lourdement contre elle, remuant ses seins dans son dos, glissant sur son corps. Miranda suivait le rythme, en gémissant et en soupirant, commençant même à sentir une certaine chaleur remonter entre ses cuisses. Elle s’en mordilla les lèvres, multipliant les soupirs et les gémissements, le corps d’Hannah se frottant avidement contre le sien.
« Ohhhh, ma chérie, haaaaa... !! »
-
Hannah connaissait effectivement le corps de sa Maitresse sur le bout des doigts. Pas un centimètre de sa peau ne lui était inconnu, et c’était une bonne chose quand on voulait lui faire du bien. Elle ne connaissait pas seulement son enveloppe, elle savait aussi où il fallait appuyer et insister pour faire le plus de bien, qu’il soit purement musculaire … Ou érotique. On ne disait pas faux quand on avançait que Hannah était sans doute la femme qui connaissait Miranda Forge le mieux dans tout Tekhos. Elle vivait constamment avec elle – pas forcément physique à ses côtés cela dit – mais était suffisamment présente dans sa vie pour la connaitre en profondeur. Et avoir l’immense honneur de connaitre intimement une telle femme était sans doute le plus merveilleux des cadeaux qu’on ait pu faire à Hannah. Cette femme ne troquerait pour rien au monde sa condition d’esclave soumise rien que pour ce privilège d’être intime avec Miranda, parfois.
Cette intimité se caractérisait d’ailleurs par ce qui était en train de se passer. La majordome massait le dos de sa mère avec sa poitrine, la pressant lourdement dessus pour lui faire du bien. Elle allait et venait de haut en bas, lentement, prenant son temps pour éprouver chaque parcelle de chair. Les gémissements de Miranda lui confirmèrent qu’elle lui faisait beaucoup de bien, et cela l’encouragea à poursuivre. Elle était sûre que si elle continuait ainsi, Miranda allait jouir … Cela se sentait à la chaleur qui commençait à se déclarer entre ses cuisses. Mais, Hannah ne comptait pas poursuivre sur cette voie, du moins, pas de suite. Elle resta à la masser ainsi pendant un petit temps, avant de s’écarter doucement. La jeune femme se pencha une dernière fois pour embrasser son épaule, en un geste terriblement doux et affectueux, puis s’adressa à sa maitresse avec sa petite voix.
« Retournez-vous je vous prie. » Demanda-t-elle poliment, attendant sagement que sa mère le fasse. Hannah avait massé l’arrière, maintenant elle allait masser l’avant … Et c’était le plus intéressant. Quand Miranda se mit en place, la majordome resta quelques instants à contempler l’œuvre d’art si parfaite et si harmonieuse qu’était son corps. Pas une seule imperfection, pas une seule anicroche … Miranda était parfaitement parfaite. Le contredire ou le nier, c’était tout simplement être aveugle ou avoir une dent contre elle. Hannah sourit puis se mit à califourchon, à nouveau. Ses mains se posèrent devant ses épaules, puis elle reprit donc son massage. Ses petites pattes ne tardèrent pas à descendre à nouveau, se mettant à masser tendrement et sensuellement sa poitrine. Elle fit mine d’être innocente au fait que ses mains pelotaient généreusement ses mamelles, alors que ses doigts remuaient doucement ses petites pointes.
La majordome s’y attarda un moment, afin de faire monter le bien-être et le désir chez sa maitresse. Quand elle estima que c’était bon, elle descendit à nouveau. L’impétueuse majordome continua son massage avec ce professionnalisme si caractéristique, en venant alors aventurer ses mains vers sa féminité. Il s’agissait là plus d’un massage érotique que d’un massage pur et dur. En même temps, il était préférable qu’il en soit ainsi, quand on massait une femme telle que Miranda Forge. La majordome pressa donc à cet endroit, faisant des petits cercles avec ses pousses, avant de passer sensuellement ses doigts près de sa fente intime, pressant ses lèvres, les frottant ensemble lentement. On pouvait penser qu’elle allait se mettre à descendre encore, pour repasser à nouveau sur ses belles jambes puis sur ses pieds. Mais, Hannah savait que cela ferait redondant et décida donc d’épicer le tout.
En massant sa féminité, elle approcha lentement ses doigts, finissant alors par introduire son index à l’orée de sa fente. Elle ne pipa mot, restant dans un silence quasi religieux. Mais elle poursuivit sur cette voie, et tandis que son autre main continuait de masser, l’autre continua de doigter légèrement Miranda, enfonçant progressivement son index. Assez rapidement, un deuxième doigt vint s’y joindre, et Hannah se mit donc à la doigter plus sérieusement, toujours avec cette lenteur et cette délicatesse si caractéristique.
-
Les massages d’Hannah avaient quelque chose de fabuleux. Sentir ses douces mains parcourir chaque centimètre carré de son corps, glisser sur sa peau, éprouvant ce dernier, appuyant sur les points solides pour détendre ses muscles, la faisant frissonner dans tous les sens. Finalement, Hannah lui demanda de se retourner, et, dans un soupir, Miranda obéit. Le lit glissa contre elle, et elle se retrouva couchée sur le dos, ses bras s’étalant sur le lit, formant un magnifique spectacle, avec son visage qui disparaissait au milieu de son épaisse chevelure. Hannah se remit à califourchon sur elle, dominant la jeune PDG, qui lui sourit tendrement.
« Continue, ma chérie... Oui, continue... »
Miranda ne pouvait que soupirer de plaisir, et, pendant de multiples minutes, elle sentit les mains de sa majordome parcourir son corps. Hannah caressait sa peau avec la passion et la révérence d’une zélote devant son idole. Encore et encore, ses mains glissaient sur sa peau, et Miranda pencha la tête sur le côté, se mordillant les lèvres tout en remuant ses jambes contre la couverture, frémissant au contact des mains de la femme. Hannah savait y faire, s’évertuant à le prouver à chaque fois, et ses mains continuaient à glisser sur son corps. Elle caressa ses seins, mais sans chercher à transformer totalement ce massage en massage érotique. Elle se contentait ainsi de caresser son corps, de la titiller, de la stimuler, de chauffer chacun de ses muscles, chacun de ses nerfs, en filant sur sa peau.
Les minutes défilaient à toute allure, délicieusement, avec une saveur magnifique. Hannah faisait du bon travail, vendant du rêve avec ses doigts fins et doux... Et, tout en la massant, elle descendait petit à petit, prenant son temps, appréciant ce corps, le savourant, jusqu’à se rapprocher de ses cuisses.
« Hmmm... »
Délicatement, Hannah prenait tout son temps, jusqu’à rejoindre la zone sensible, comme un point d’orgue à ce magnifique massage. Miranda, toute excitée, tremblante de désir, gémit encore en sentant les doigts d’Hannah tourbillonner autour de son vagin, avant de délicatement s’y immiscer.
« Hmmmm... !! Ha-Hannah, haaa... »
Aucun geste de reflux, Miranda se contentait de soupirer, de saliver, et d’apprécier ce merveilleux moment.
Haa, que c’était bon ! Et c’était bien tout ce que son corps réclamait, tandis qu’elle gémissait et qu’elle soupirait. Plus, plus !
-
La majordome, même si elle n’avait pour vocation que de simplement servir la patronne de GWC, était quand même l’une des rares femmes à connaitre autant Miranda Forge en privé. On pouvait sous-évaluer le métier qu’elle faisait car après tout, il ne sera jamais aussi compliqué et fatiguant que celui d’un ouvrier ou d’un vrai scientifique. Même si, gérer la vie professionnel d’une femme d’affaire était très fastidieux. D’autant plus quand on était aussi sa servante en privé. Mais, Hannah avait le mérite et l’avantage de connaitre Miranda comme personne ne la connaissait, même si elle conservait une part de mystère. De ce fait, elle connaissait aussi son corps sur le bout des doigts. Elle savait comment il fonctionnait, et comment faire pour stimuler son plaisir le plus efficacement que possible.
Et ça, c’était l’une des plus belles réussie d’Hannah. Elle usait de cette connaissance pour satisfaire encore plus sa tant adorée maitresse et elle le lui prouva avec ce massage. Un massage qui avait pour but de la détendre, de décontracter ses muscles et de lui faire plaisir. Un massage qu’elle seule savait faire, puisqu’elle connaissait si bien le corps de Miranda. Un corps si parfait, si précieux, si … Magnifique. Quelle chance, quel privilège. Hannah en était encore toute émoustillée rien qu’à l’idée de pouvoir être aussi tactile et proche de madame Forge. C’était avec cette pointe d’excitation qu’elle continuait son massage, apportant encore du bien au corps de la merveilleuse femme qui était allongée sur le lit.
Au bout d’un moment Hannah s’était effectivement mise à venir titiller sa féminité, comme pour conclure ce massage sur une note plus savoureuse. Ses fins doigts s’immiscèrent lentement dans l’intimité de sa maitresse, la doigtant avec délicatesse et lenteur. Elle prenait son temps pour cultiver le plaisir chez Miranda, qui répondit ô combien positivement à ces caresses, faisant ainsi sourire Hannah. La question qui se posait était de savoir, compte-tenu des gémissements de Miranda, si Hannah devait poursuivre ou simplement continuer de la titiller, sans jamais basculer sur quelque chose de plus consistant. En attendant d’y répondre, la majordome sourit puis se pencha, toujours en conservant ses doigts là où ils étaient, bien au chaud. Son corps se lova tendrement contre celui de sa mère, alors que ses lèvres approchèrent les siennes.
Puis elle les scella avec une lenteur et une tendresse grande. Clairement Hannah n’était pas dans l’optique d’être dans la bestialité et la performance, mais plus dans la sensualité et la prise de temps. C’était un moment de détente et de plaisir, après tout ! Hannah se mit donc à lentement embrasser sa maitresse, capturant sensuellement ses lèvres avec les siennes avant d’entrer sa langue dans sa bouche, pour chercher la sienne. « Hmm … » Ronronna-t-elle tout en continuant de doigter Miranda. Un bon et délicieux baiser s’entretenu entre les deux femmes, qui partageaient leur dernier moment de tendresse de la journée. Rien de mieux pour faire des beaux rêves ! Hannah rompit le baiser de temps à autre pour reprendre un peu son souffle, et ponctua ces temps-morts par d’affectueux baiser sur ses joues, sur le coin de ses lèvres et, bien entendu, sur la pointe de son délicat nez. « Vous êtes si belle quand vous prenez du plaisir, mère … » Lui susurra chaudement Hannah, ne résistant pas à l’envie de complimenter un peu sa maitresse.
Son corps se trémoussait contre le sien, ne laissant aucun espace vide entre leur peau. Sa poitrine se frottait à la sienne avec cette lenteur caractéristique, alors que ses doigts continuaient leur travail d’orfèvre, et que le baiser se maintenu pendant de longues, de très longues minutes …
-
Subir les assauts d’Hannah, ses caresses, ses baisers, ses pénétrations, c’était un véritable cocktail de savoureuses sensations. Dans ce domaine, et comme en tant d’autres, Miranda avait en la majordome une confiance absolue, car elle savait qu’Hannah était extrêmement douée. Elle lui confiait donc son corps, et sentit Hannah poser ses lèvres sur les siennes, l’embrassant tendrement. Cette fin de soirée appelait à des ébats plus doux, plus calmes, plus savoureux, et, tout en faisant ça, Hannah continuait à prendre les choses très au sérieux. Elle déplaçait ainsi son corps, de manière à pouvoir le blottir le plus possible contre le sien. Leurs seins se frottaient ainsi mutuellement, et Hannah continuait son baiser, avec envie, avec appétit, sa langue jouant avec celle de Miranda.
Fermant ses yeux, la belle blonde posa chacune de ses mains sur les douces hanches d’Hannah, s’y appuyant tendrement, tout en répondant avec la même envie à son baiser. Elle caressait ses hanches, appuyant sur sa peau, tout en sentant le plaisir croître lentement dans son corps.
«
Mmhmmm... »
Les lèvres d’Hannah étaient toujours aussi magnifiques. Sa majordome était ce genre d’amantes qui pouvaient vous transporter pendant des heures avec ses baisers, et vous faire oublier tout le reste. Entre ses mains, contre sa bouche, Miranda disparaissait, laissant uniquement le plaisir la diriger et la guider. Elle se laissait donc porter, et, peu à peu, Hannah la poussa jusqu’à l’orgasme. Elle la pénétrait, glissait avec ses doigts de fée, tapotant et pressant son clitoris à chaque fois. Elle n’avait plus aucun refuge, plus aucun endroit où s’abriter, et s’abandonna donc...
Tout son corps se relâcha pendant quelques instants, ses mains se posèrent sur les fesses de la majordome, les pressant, ses ongles s’enfonçant dans sa délicieuse peau, comprimant sa chair pendant son orgasme.
«
Oh... Hannah... »
Elle soupira son nom, et posa sa tête contre l’oreiller, relâchant la pression sur ses fesses, sa main remontant pour gratter le dos de la majordome... Puis, brusquement, Miranda la renversa, et Hannah se retrouva couchée sur le dos, avec sa Maîtresse allant nicher sa tête entre ses seins, se blottissant contre elle. C’était le signe évident qu’elle comptait dormir, cette fois, se reposer contre le corps chaud, doux, et voluptueux de la femme.
«
Tu m’es vraiment... Indispensable, ma chérie, ma petite Hannah... Je t’aime, ma petite chérie... »
FIN