Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Les alentours de la ville => Discussion démarrée par: Tessia le jeudi 12 février 2015, 19:04:31

Titre: [FINI] Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le jeudi 12 février 2015, 19:04:31
Un appartement dans un immeuble nouvellement construit.
Fin d'après-midi

Tessia regarda autour d'elle et hocha la tête, satisfaite. Elle n'était pas fan des travaux manuels, aussi avait-elle prit le temps de séduire les deux déménageurs qu'elle avait engagé pour son déménagement ce afin qu'ils fassent quelques heures supplémentaires pour lui aménager ses quartiers. Elle les avait bien sûr récompensés ensuite : en leur déniant cruellement le droit de jouir alors qu'elle les caressait avec toute la dextérité que des décennies de pratique au palais des délices de Dame Fierna, reine des succubes et princesse de la quatrième strate des enfers, le Phlegethos, lui avaient permis d'acquérir.

Elle avait trouvé leurs mines déconfites des plus charmantes, mais il y avait longtemps que jouer avec des mâles ne l'amusait plus guère. Et les deux hommes étaient partis en ramassant leurs salopettes sur son carrelage tout neuf l'air penaud, sans se douter que s'ils n'avaient pu aller au bout de leur plaisir, c'était uniquement parce qu'elle le leur avait dénié. Et ce alors qu'à voix haute elle s'était plainte qu'ils étaient des bons-à-rien, des peine-à-jouir et que si ils n'étaient pas capables de se déverser dans ces conditions, elle se refusait à les laisser poser leurs sales pattes sur elle et à voir plus que son chemisier et sa jupe n'en révélait, c'est-à-dire presque rien.

Tessia était faite ainsi. Elle était née avec un corps apte à répondre à tous les fantasmes de ses amants, mais elle ne voyait pas l'intérêt de le révéler à tous sous prétexte d'être attirante. Elle se savait attirantes et n’avait nul besoin de se le prouver, pour en voir plus d'elle, il fallait l'avoir mérité, point final !

Elle repassa distraitement la décoration de son cinq pièces et demi en vitesse. Le palais où elle avait été élevée en tant qu'une parmi des milliers de succubes était d'un luxe parfaitement obscène qui convenait très bien à sa propriétaire. Tout chez Dame Fierna était fait pour pousser à la luxure et évoquer l’obscénité.  Quand Tessia était venue sur terre, elle avait découvert un autre style qui l'avait plutôt séduite. Plutôt que d'accumuler le plus possible de richesses dans tout l'espace possible, elle avait fait sienne l'expression "une austérité classieuse".

Son appartement contenait peu de meubles ou d'ornements tels que des tableaux ou des photos. Au contraire, ceux-là étaient là pour souligner la quantité d'espace libre dans son logement. Sobre et fonctionnel, mais cela avait aussi son charme. Et un véritable connaisseur reconnaîtrait que malgré tout, la quasi-totalité des meubles étaient faits sur mesure et que le tout valait une petite fortune. En tout cas plus qu'une pauvre enseignante n'était supposée posséder. Mais Tessia n'avait pratiquement pas de soucis d'argent. Elle connaissait deux ou trois riches femmes accro à ses "talents" qui lui viraient de régulières "donations" pour conserver le droit de la fréquenter.

Mais elle avait emménagé ici pour tout autre chose. Bientôt elle serait enseignante et elle accéderait à ce trésor tant convoité qu'était le vivier de jeunes femmes que les humains appelaient "lycée".

Mais en attendant, elle devait commencer par prendre encore un peu son mal en patience. Elle avait trouvée une agence en ville qui proposait des enseignants pour des cours de soutiens sur diverses matières à des jeunes filles. Elle s'y était inscrite et on lui avait téléphonée pas plus tard qu'une heure auparavant, alors qu'elle avait les mains occupées sur les membres masculins de ses décorateurs temporaires, pour lui dire qu'une élève souhaitait des cours du soir en informatique.

L'oreille appuyée contre le téléphone que lui tenait l'un des déménageurs qu'elle était en train de masturber, Tessia s'était empressée d'accepter, l'informatique faisant partie des branches supplémentaires qu'elle avait choisie comme complément à son diplôme de langues et lettres en tant qu'enseignante.

Elle repassa dans la pièce qui lui servait de bureau et alluma la machine qu'elle utilisait comme poste de travail : à savoir un serveur dans son armoire de refroidissent insonorisée. Depuis qu'elle avait découvert les joies de la virtualisation, elle avait cessé de se casser la tête avec des ordinateurs pour privés et pour "gamers" pour passer sur du matériel pour professionnels de l'informatique lui permettant d'émuler autant de configurations qu'elle souhaitait afin de pouvoir créer des clones parfaits des machines avec lesquelles elle pourrait être amenée à travailler. Mais ce qui l'avait poussée à acheter un objet aussi cher et même un peu encombrant, c'était la puissance de calcul dont elle disposerait dans le futur pour gérer les bases de données des personnes qu'elle se faisait fort de "convaincre" de rejoindre son futur réseau d'influence.

Et puis, en tant que professeur d'informatique, c'était toujours plus pratique d'avoir autant de machines que souhaité pour permettre aux élèves de s'entrainer sans risquer de perdre leurs propres données en flinguant leurs ordinateurs personnels. Tout ce qu'ils risquaient de casser matériellement parlant, c'était une souris, un clavier ou encore potentiellement un écran. Rien de bien compliqué à changer en somme.

Sifflant une comptine qu'elle avait apprise elle ne savait plus trop où, Tessia se rendit ensuite dans sa cuisine pour s'y faire un thé en attendant que sa nouvelle élève arrive. D'après sa montre, et si la petite était ponctuelle, elle ne devrait plus tarder.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 13 février 2015, 01:36:30
Quand on venait d’un royaume médiéval, maîtriser un outil aussi compliqué que l’informatique n’était pas une sinécure. Dans son uniforme scolaire, Alice descendit du bus en s’approchant de l’immeuble où, d’après ce qu’on lui avait dit, se trouvait la professeur privée censée lui apprendre, par le biais de cours du soir, à davantage maîtriser cet outil. Alice avait beau être une Princesse, le fait qu’elle n’ait encore aucun pouvoir décisionnel chez elle faisait qu’elle pouvait librement vaquer à ses occupations, généralement dans le but de s’instruire, et de se renseigner sur le reste du monde... Étant originaire de Terra, elle avait appris l’existence de la Terre par le biais de sa femme, Sakura, une Terrienne qui avait été asservie par un esclavagiste nexusien, avant d’être finalement, après moult péripéties, libérée par la Princesse, par le biais d’un mariage. Une fois Sakura libre, Alice avait voulu se renseigner sur ce monde extérieur, sur la Terre, un monde curieux où les monarchies n’existaient plus, et où les gens faisaient confiance à un système consistant à élire leurs propres dirigeants : la démocratie. Une bien curieuse chose... La Terre, comme cela, recélait de choses curieuses et incroyables, et Alice, curieuse, voulait davantage se renseigner. Pour cela, l’informatique était le meilleur moyen à sa disposition. Seul problème, elle avait bien du mal à manipuler cet outil. C’était très compliqué pour elle, encore plus maintenant que le tactile tendait à se développer, la contraignant à devoir jouer des doigts sur les écrans, tout en se fatiguant les yeux.

Mélinda, son amie, une vampire qui l’hébergeait quand elle venait sur Terre, s’était alors débrouillée pour lui trouver quelqu’un afin de la former. Le lycée dispensait des cours d’informatique, mais Alice voulait plutôt un formateur privé, afin d’avoir des cours plus adaptés à ses besoins et à ses difficultés. La vampire avait trouvé quelqu’un susceptible de l’aider, une femme qui venait récemment de s’installer, et, sans savoir qu’elle prévoyait de devenir prochainement professeur au lycée Mishima, elle avait planifié un rendez-vous initial avec Alice, à charge pour elle d’en prendre d’autres si cela lui plaisait.

Ceci expliquant cela, Alice se retrouvait donc devant un immeuble, après la sortie des cours. Elle portait donc encore son sac de cours, ainsi que son uniforme scolaire, son sailor fuku (http://i23.servimg.com/u/f23/09/01/37/01/a0132d10.jpg), se composant d’une chemise blanche, d’une minijupe bleue marine, d’un nœud papillon rouge faisant office de cravate, et de longues chaussettes blanches. Elle rejoignit la grille, et trouva rapidement le nom du professeur : « Tessia ». Prenant son courage à deux mains, ou plutôt à un doigt, la Princesse s’empressa d’appuyer sur le bouton d’interphone, et se racla la gorge :

« Bonjour, Tessia-senseï... Je suis Alice, votre élève pour le cours d’informatique... »

Une fois qu’on lui eût indiqué l’emplacement de l’appartement, elle s’empressa de grimper. C’était un immeuble japonais, ce qui signifiait que l’escalier était à l’extérieur, et qu’on entrait par les terrasses, chaque porte permettant de filer dans un appartement. Alice grimpa rapidement, jusqu’à atteindre l’étage concerné, puis s’approcha de la porte, légèrement intimidée. Elle espérait ne pas tomber sur une personne trop stricte. La Princesse était une véritable bille en informatique, ce qui amenait souvent les filles de Mélinda à se moquer gentiment d’elle, et ensuite à la consoler... Elles avaient, sur ce point, de solides arguments.

Alice atteignit donc la porte, tenant le sac à deux mains, puis tapa délicatement à cette dernière, avant de faire, prudemment, un petit pas en arrière, sa main retournant se poser sur le haut de son sac, la tête légèrement penchée vers le bas. Mélinda ne lui avait absolument rien dit sur ce formateur, juste que c’était une femme... Elle espérait juste qu’elle ne serait pas trop stricte.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique
Posté par: Tessia le vendredi 13 février 2015, 10:26:15
Tessia regardait consultait le revers d'un paquet de thé quand elle entendit le tintement clair de l'interphone.

- Cortana, interphone je te prie. Énonça à voix haute la succube, faisant appel à la petite application de pseudo intelligence artificielle qui lui servait aussi à gérer la domotique de son appartement.

Le réseau complexe de capteurs, de caméras, de micros et de hauts parleurs qui lui avait coûté une autre petite fortune a faire installer chez elle avant son emménagement s'anima.

- Connexion, Annonça l’assistante numérique de son artificielle voix de soprano.

Le son légèrement parasité de l'interphone se déversa par les hauts-parleurs de la cuisine et une voix fluette de jeune fille se fit entendre.

« Bonjour, Tessia-senseï... Je suis Alice, votre élève pour le cours d’informatique... »

- Bonsoir mademoiselle Alice, lui souhaita chaleureusement Tessia. Vous êtes à l'heure, c'est bien. Je suis au dernier étage, appartement du fond.

Les hauts-parleurs émirent un léger crissement quand la communication fut interrompue et l'instant d'après, Cortana coupa le haut-parleur, ayant perdu le signal avec l'interphone.

Tessia versa un peu des feuilles séchées de son sachet dans le filtre de sa théière et profita du temps mis par sa nouvelle élève pour attendre que l'eau soit prête. La bouilloire émit un petit "bip" quelque secondes plus tard pour annoncer que l'eau était chaude et la succube versa l'eau chaude dans sa théière de porcelaine, puis elle le laissa tirer pendant qu'elle se dirigeait vers la porte d'entrée.

Peu avant qu'elle ne l'atteigne, elle entendit quelqu'un y toquer et Cortana réagit au bruit en affichant diligemment sur le petit écran à côté de la porte l'image de la caméra de son pallier.

La succube prit quelques secondes pour détailler la jeune fille aux longs cheveux blonds, aux superbes yeux saphire et au très attirant physique portant un uniforme de type sailor fuku sur son palier.

"Que Satan me condamne ! Cette demoiselle partage plus de traits avec une ange qu'avec une humaine !" Songea la démone en ouvrant des yeux surpris. "Quoique... Ce genre de formes qui pousse à la tentation et au vice ne sont pas très angéliques..."

La succube sourit, elle avait décidément beaucoup de chance. Que sa première élève soit aussi jolie serait un régal pour ses yeux. Et puis, elle pourrait peut-être lui enseigner d'autres choses qu'uniquement l'informatique si elle se montrait réceptive.

Se composant une mine honnête et accueillante tout en rajustant son tailleur (http://dicasmodafeminina.com/wp-content/uploads/2011/08/tailleur-01.jpg) sur elle, Tessia ouvrit la porte un sourire ravi aux lèvres.

- Bonsoir jeune fille, ravie de faire enfin votre rencontre, lui souhaita-t-elle chaleureusement en rajustant ses lunettes sur son nez. Entrez seulement, ne restez pas sur mon pallier, la saison ne s'y prête guère, l'invita-t-elle ensuite en lui désignant l'intérieur tout en s'écartant de l'entrée.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 14 février 2015, 01:50:59
Elle l’avait salué à l’occidentale à l’interphone. « Mademoiselle Alice »... Ce n’était donc pas une Japonaise. Une étrangère ? Ce genre de détails vous trahissaient souvent, et, en l’état, il était significatif. Seikusu, de fait, attirait beaucoup de personnalités étrangères. Devant la porte, elle réfléchissait donc à cela... Jusqu’à ce que la porte s’ouvre. Relevant la tête, Alice vit une belle femme arriver. Chevelure brune, agréable queue-de-cheval, lunettes, des formes voluptueuses enfoncées dans un tailleur noir qui la faisait ressembler à une femme d’affaires vénéneuse... Elle était terriblement belle, et Alice déglutit brièvement, un peu intimidée. Elle ne s’était pas attendue à une tenue aussi professionnelle, mais, après tout, on était au Japon... Et elle avait bien compris que, dans ce pays, le respect des convenances sociales était très important. La politesse, si elle était purement anecdotique dans certains pays, avait encore, dans ce pays, une importance capitale. Ne pas saluer son interlocuteur était une grande marque d’impolitesse, par exemple, presque une sorte de profonde insulte.

« Bonsoir jeune fille, ravie de faire enfin votre rencontre, glissa-t-elle d’une voix charmante. Entrez seulement, ne restez pas sur mon pallier, la saison ne s'y prête guère
 -  Je vous remercie, Tessia-senseï... »

Il faisait effectivement un peu frisquet, et Alice entra rapidement, tenant son sac dans une seule main, et s’infiltra dans le logis de la femme... Pour rapidement voir qu’il ressemblait presque à un appartement tekhan. Cette femme l’avait bien aménagé, et elle vit même un écran digital à côté de la porte, ainsi que de multiples capteurs, et autres appareils, qui trônaient ici et là. D’un rapide coup d’œil, elle fit le tour du salon, tout en voyant quelques objets plus normaux, comme une bouilloire dans un coin, avec une théière... La chaleur subite provoqua un choc thermique entre la température externe et celle de l’intérieur, ce qui eut pour effet de faire poliment rougir la Princesse. Ses joues s’empourprèrent, et elle se retourna vers la femme, en joignant ses deux mains dans son dos, en mode timide. Ce tailleur l’impressionnait, et il y avait quelque chose de chaud et de réconfortant dans cet appartement.

« Vous venez d’emménager, non ? On m’a dit que votre annonce était récente... Je dois vous prévenir, Tessia-senseï, je ne suis pas très forte en informatique... On se moque de moi au lycée quand j’essaie d’écrire sur Word... »

Elle baissa nerveusement la tête. Sur Word, elle tapait avec seulement deux doigts, et mettait un temps fou à écrire. Elle était sidérée quand elle voyait les autres pianoter sur les claviers à toute allure, les doigts filant sans même qu’ils aient à regarder les touches. Parfois, quand elle avait du traitement de texte à finir, elle demanda à un garçon de l’aider, en appliquant la technique dite des « yeux-de-biche », et qui marchait toujours sur les garçons, surtout quand elle se penchait dans leur dos, enfonçant ses seins contre eux. Elle en avait déjà vu plusieurs ayant des érections tout en écrivant, ce qui la faisait toujours sourire, à défaut de la choquer.

Il fallait dire que sa poitrine était plutôt agréable, et elle ressortait volontiers avec son uniforme scolaire. Même si la chemise était adaptée à sa taille, son tour de poitrine restait très beau à voir.

« Et... Votre installation est très impressionnante... J’espère que vous ne me trouverez pas trop médiocre... »

Alice avait une telle plume, suite à ses cours privés de dactylographie à Sylvandell... Ce faisant, c’était horrible de devoir aller sur l’informatique, un style si impersonnel... Mais c’était comme ça. C’est ce qu’on appelait le progrès... Et il fallait le suivre.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le samedi 14 février 2015, 09:42:06
« Je vous remercie, Tessia-senseï... » avait dit la jeune fille en pénétrant dans son appartement.

Sans le vouloir, Tessia tressailli en s'entendant appeler "sensei". Elle senti le cœur de sa forme charnelle pomper plus furieusement le sang dans des parties de son corps réservées à d'autres usages que pour donner une leçon d'informatique.

Intérieurement, elle s'en amusa. Autant elle exerçait un contrôle total sur son corps immatériel et était dans l'impossibilité de ressentir autre chose que ce qu’elle souhaitait ressentir, autant ce corps de chaire mortelle réagissait à des pensées, des sons et des odeurs parfois surprenants, traduisant ses émotions de manière étrange.

La jeune fille parcouru son salon du regard, visiblement curieuse comme un chat qui découvre son nouvel environnement. La simple idée de doter cette jeune fille d'oreilles de chats et de la faire miauler suffit à son corps pour provoquer une importante chaleur à son appareil génital et la succube dut batailler ferme pour éviter de trahir cette réaction.

« Vous venez d’emménager, non ? On m’a dit que votre annonce était récente... Je dois vous prévenir, Tessia-senseï, je ne suis pas très forte en informatique... On se moque de moi au lycée quand j’essaie d’écrire sur Word... »

Tessia haussa les sourcils et afficha un air de surprise polie.

« Et... Votre installation est très impressionnante... J’espère que vous ne me trouverez pas trop médiocre... »

- Pour quelle raison devrais-je vous trouver médiocre ? S'étonna poliment la succube. La médiocrité est une question d'état d'esprit, pas de compétences. Aussi incomplètes puissent êtres vos connaissances ou votre manière de travailler brouillonne, personne n'a le droit de la qualifier de "médiocre" tant que vous ne leur donnez pas cette autorisation, jeune fille. À mes yeux, la médiocrité est un renoncement à s'améliorer et la satisfaction d'un travail insuffisant.

Ce disant, la succube glissa deux doigts sous le menton de la jeune fille pour le lui relever et pouvoir la fixer dans les yeux. Elle reprit ensuite avec un sourire encourageant.

- Le simple fait que vous soyez ici prouve votre volonté de vous améliorer et vous retire d'office de la catégorie "médiocre". Je dirais même plutôt que ça fait de vous une guerrière qui refuse d'abandonner le combat avant même qu'il n'ait commencé. J'ignore qui vous a élevé jeune Alice, mais ce doit être quelqu'un qui ne s'avoue jamais vaincu même quand tous lui hurlent que son adversaire ne saurait être défait. C'est une qualité rare et c'est avec cette volonté de s'améliorer et de corriger ses défauts qu'on fait, à mon sens, les plus grands chefs d'états, les meilleurs généraux et les plus vaillants défenseurs de toutes les causes possibles et imaginables.

La succube relâcha le menton de la jolie blonde et lui posa la main sur l'épaule.

- Alors cessez de fixer ainsi vos pieds jeune demoiselle et regardez vos interlocuteurs dans les yeux avec fierté. Avoir des doutes à votre âge est des plus naturel, je dirais même que ne pas en avoir serait de l'inconscience ou du narcissisme poussé au dernier degré. Mais il ne faut pas que cette indécision vous paralyse. Vous avez tout ce qu'il faut là-dedans pour surpasser tous les autres, j'en suis certaine, dit-elle en lui tapotant le front d'un doigt.

Satisfaite de sa petite remise en forme mentale, elle relâcha sa nouvelle élève avec un sourire de fierté.

- J'ai fait du thé, vous en voulez avant que nous n'abordions vos soucis de Word ? Proposa la succube d'un ton engageant tout en se déportant d'un pas élégant vers sa cuisine. Je ne promets pas que vous pourrez en remontrer à une spécialiste MCTS, mais si votre principal soucis se situe dans ce programme, je vous garanti que d'ici quelques leçons, ceux qui se sont moqués de vous viendrons ramper à vos pieds pour quémander la faveur que vous leur expliquiez quelques bribes de ce que vous allez apprendre ici.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 16 février 2015, 01:56:24
Évidemment, elle était un peu intimidée... Elle ne connaissait pas Tessia-senseï, et elle ne savait donc pas à quoi s’attendre. De plus, elle était chez elle, dans un cadre assez intime, en territoire inconnu. Certes, elle savait qu’elle avait continuellement un garde du corps qui, de loin, la surveillait. Son père n’acceptait que sa fille aille sur Terre qu’à la condition qu’un Commandeur veille toujours sur elle. Fort heureusement, ce dernier était suffisamment discret pour qu’on ne le voit jamais. Silencieusement fidèlement, il accomplissait sa tâche, veillant sur la jeune Princesse... Qui se retrouvait maintenant dans cet appartement. Après sa petite tirade, Tessia-senseï s’approcha d’elle, et Alice, en rougissant, fixa à nouveau ses pieds, comme si le bout de ses chaussures était plus intéressant que la superbe professeur se trouvant devant elle. Elle posa alors une main douce, mais non moins ferme, sur son menton, relevant cette dernière. Alice se les pinça en croisant le regard de cette femme... Et l’écouta.

Les joues un peu rouges, elle sentait son cœur rebondir lentement dans sa poitrine. Tessia-senseï avait une voix douce, envoûtante, autoritaire et ferme. Elle ne se laissait pas marcher sur les pieds, et ce qu’elle disait était très vrai... Si vrai que, pendant un bref moment, Alice ne se demanda pas si elle savait qu’elle s’adressait vraiment à une Princesse. Tout ça semblait tellement absurde... Une Princesse médiévale en train de prendre des cours privés d’informatique ! Dans n’importe quelle histoire, le décalage serait tellement gros qu’on accuserait le scénariste d’être alcoolique. Elle lui ordonna de fixer ses interlocuteurs « avec fierté », et Alice hocha lentement la tête, déglutissant lentement, opinant du nez. Oui, oui... Elle ne connaissait pas cette femme depuis très longtemps, mais elle avait entièrement raison. La Princesse ne devait pas avoir peur. Au contraire, elle se devait de rester digne, de montrer un visage fier et déterminé. Elle hocha donc la tête, et Tessia se détacha ensuite d’elle, l’invitant à prendre un thé :

« J'ai fait du thé, vous en voulez avant que nous n'abordions vos soucis de Word ? Je ne promets pas que vous pourrez en remontrer à une spécialiste MCTS, mais si votre principal souci se situe dans ce programme, je vous garanti que d'ici quelques leçons, ceux qui se sont moqués de vous viendrons ramper à vos pieds pour quémander la faveur que vous leur expliquiez quelques bribes de ce que vous allez apprendre ici. »

Alice sourit devant cette comparaison, et gloussa même doucement, avant de secouer la tête de haut en bas.

« J’accepterais volontiers votre thé, Tessia-senseï, et je vous remercie de vos... Encouragements. »

C’était sincère. Cette femme était très gentille, et avait également l’air très intelligente. Alice ne savait pas ce qu’était une « spécialité MCTS », mais ça avait l’air important. Elle s’approcha du petit salon, et s’assit face à Tessia-senseï, tenant la tasse de thé dans sa main, et en but quelques gorgées, avant de la reposer sur le couvercle. On pouvait voir une certaine aisance dans le maniement du thé, et, plus généralement, une certaine grâce dans ses actes. Elle s’était posée avec le dos bien droit, et semblait instinctivement faire attention à chacun de ses gestes. Aucune main qui venait se perdre, elles étaient posées le long de son corps. Elle qui avait l’habitude de protéger ses doigts du froid avec de longs gants blancs fins sentait ses jointures et ses phalanges frissonner, à cause de cette différence de températures.

Le thé était bon, et Alice ne tarda pas à se racler la gorge, avant de se mettre à parler :

« Je n’ai pas été éduquée avec un ordinateur, pour tout vous expliquer... Ces instruments me sont totalement étrangers, mais, dans notre monde, il est indispensable de maîtriser cet outil. C’est avant tout pour ça que je viens vous voir, Tessia-senseï... Je n’aime pas les ordinateurs, mais, si je veux briller en société, il faut que j’apprenne à m’en servir. Je ne demande qu’à maîtriser la bureautique... Ce sera amplement suffisant. »

Plutôt curieux... Généralement, les personnes les plus opposées à l’informatique étaient les personnes âgées, comme Mélinda (qui, malgré son corps bien entretenu, avait quand même plusieurs siècles d’existence dans les pattes), mais Alice, elle... Ce n’était tout simplement pas son truc, et, en un sens, être une jeune femme ne sachant pas comment lire une vidéo sur YouTube était encore plus horrible.

« En tout cas, votre installation est vraiment impressionnante... L’informatique est l’une de vos passions ? »

Curieuse, Alice se renseignait un peu...
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le lundi 16 février 2015, 09:01:21
« J’accepterais volontiers votre thé, Tessia-senseï, et je vous remercie de vos... Encouragements. »

Tessia sourit pour elle-même autant que pour son élève. Au moins semblait-elle réceptive à ses arguments, ce qui était, en sois, déjà un bon point. La succube servit le thé pour elles deux avant de prendre place dans le salon en face de la jeune blonde. Elle en profita pour l'étudier un peu pendant qu'elle goûtait le contenu de sa tasse. La démone fut assez impressionnée par le maintient ainsi que les manières de la jeune demoiselle. Elle avait déjà fréquentée des terriennes, mais c'était la première fois qu'elle faisait face à une jeune femme ayant une manière si stricte de suivre l'étiquette en bonne société. La succube nota pour elle-même de penser à questionner la demoiselle sur ses origines et à prendre quelques renseignements à parts.

« Je n’ai pas été éduquée avec un ordinateur, pour tout vous expliquer... Ces instruments me sont totalement étrangers, mais, dans notre monde, il est indispensable de maîtriser cet outil. C’est avant tout pour ça que je viens vous voir, Tessia-senseï... Je n’aime pas les ordinateurs, mais, si je veux briller en société, il faut que j’apprenne à m’en servir. Je ne demande qu’à maîtriser la bureautique... Ce sera amplement suffisant. » Reprit Alice d'une agréable voix.

« En tout cas, votre installation est vraiment impressionnante... L’informatique est l’une de vos passions ? » Demanda à nouveau la jeune demoiselle.

Tessia lui sourit à nouveau, amusée par la curiosité de la jeune femme, mais également par sa détermination a avoir des réponses.

Il me semble pourtant qu'il y a un dicton au japon qui dit "c'est la curiosité qui a tué le chat."

- Oui, l'informatique fait partie de mes petits dada, admit-elle sans honte. Je suis un peu comme vous jeune fille, j'ai découvert cet outil sur le tard, pendant mes études. J'ai été immédiatement séduite par les possibilité qu'il offrait et, si je devais comparer ma rencontre avec l'informatique à une rencontre avec une autre personne, je parlerais de coup de foudre immédiat suivit d'une relation brûlante et passionnée, sourit la succube.

Ce qui était littéralement vrai par bien des points. Sa propre professeur d'informatique avait finie presque violée à chaque cours tellement la succube était excitée non seulement par elle mais aussi par ce qu'elle en apprenait. Et pourtant, cette enseignant était toujours revenue la voir, avec son petit air mutin et son absence chronique de sous-vêtements depuis leur première rencontre.

Le simple fait de repenser à elle fit à nouveau monter la chaleur dans ses parties intimes et Tessia commença à doucement s'agacer de la sensibilité de son incarnation charnelle. Mais sans le montrer, elle décida de donner un aperçu à son élève de ce qu'elle pouvait faire avec l'informatique.

- Vous savez, il n'y a pas que la bureautique en informatique, même si elle en occupe une part importante. L'informatique a bien d'autres applications, que ce soit logiciel ou pratique. Par exemple, Cortana ? Appela la succube en tournant la tête vers la table basse du salon.

Réagissant à l'appel de son nom, la pseudo-intelligence artificielle alluma le projecteur situé au plafond de la pièce pour afficher son beau visage parcouru de lignes de codes en mouvement sur la plaque de verre transparente du meuble.

- Oui maîtresse ? Demanda l'assistante informatique, sélectionnant au hasard l'une des réponses préprogrammées par Tessia.

- Affiche sur l'écran du salon le résumé d'activité informatique N°3 je te prie, ordonna la succube avant de reprendre une gorgée de thé.

- À vos ordres, acquiesa la pseudo-intelligence artificielle avec un sourire charmant, presque aimant. Connexion.

L'installation home cinéma de Tessia s'alluma et afficha ensuite sur le mur derrière celle-ci une présentation power-point des possibilités offertes par l'informatique. Dans le même temps, Cortana tamisa les lumières de la pièce pour faciliter l'affichage et baissa les stores électriques de la pièce pour l’assombrir davantage. Tessia se leva ensuite pour se déporter derrière son élève.

- Voici un exemple non-exhaustif des possibilités offertes par l'informatique, entamma-t-elle en récitant sa présentation.

Tout en faisant cela, elle se pencha sur le dossier du canapé, amenant innocemment son opulente poitrine à la hauteur où la jeune Alice risquait fort de laisser aller sa tête si celle-ci relâchait sa posture droite. Après-tout, savait-on jamais, cela pouvait lancer un autre sujet tout aussi trépidant.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 18 février 2015, 01:37:29
Un « coup de foudre passionnant »... Pour Alice, ça avait juste été un coup de foudre... Au sens littéral du terme. L’informatique l’avait autant passionné que de se recevoir un éclair sur la figure. Elle n’y arrivait tout simplement pas, peinant à coordonner ses mouvements. À chaque fois qu’elle jouait avec une souris, elle allait dans tous les sens, Alice peinant à la déplacer confortablement sur l’écran. De plus, et c’était encore plus problématique, elle avait du mal à taper sur le clavier. Quand il fallait faire des combinaisons en appuyant sur plusieurs touches en même temps, comme « ALT » et « TAB », c’était toujours, pour la Princesse, une redoutable épreuve. De base, elle ne comprenait pas pourquoi, sur les claviers, le mot « TAB » n’apparaissait pas à chaque fois sur la touche correspondante. C’était à croire que l’être cynique et pervers ayant conçu les claviers avait pensé à le rendre incompréhensible afin de mieux torturer les petites Princesses blondes !

Alice laissa ensuite Tessia-senseï lui montrer tout ce dont l’informatique pouvait faire... Mais, sur ce point, c’était bien l’élève qui avait une longueur d’avance. Alice connaissait Tekhos, et s’y était déjà rendue en vacances. Ce faisant, elle avait vu tout ce que l’informatique pouvait faire, notamment le cyber-sexe... Le principe était de s’attacher à un fauteuil spécial, et, par le biais d’implants et de capteurs très sensibles, de faire l’amour en ligne pendant des heures, grâce à un casque de réalité virtuelle, le fauteuil rendant coup par coup les scènes de sexe qui avaient lieu. On n’arrêtait pas le progrès, et, même si elle avait vu ça, Alice se montra impressionnée par l’automatisme régnant dans cet appartement. Clignant des yeux, ébahie, elle vit les stores électriques se fermer d’eux-mêmes, tandis qu’une voix informatique féminine s’était mise à parler, répondant au doux nom de Cortana. Même si les filles de Mélinda avaient « Halo », Alice n’y avait jamais joué, et ne pouvait donc percevoir la référence subtile derrière ce terme. Elle vit une présentation PowerPoint s’allumer, dans une pièce qui était devenue un peu plus sombre, et qui listait tous les avantages de l’informatique : communication, information, accessibilité... La révolution numérique en marche. Alice avait lu, sur un site, que, chaque année, il se vendait environ 410 millions d’ordinateurs, soit 13 par seconde. Elle trouvait ce score ahurissant, tout simplement.

« Voici un exemple non-exhaustif des possibilités offertes par l'informatique » avait alors dit Tessia-senseï.

Elle en était là de ses réflexions quand elle sentit la senseï s’approcher dans son dos, ses seins à hauteur de sa tête. Alice se détendit un peu, et, presque machinalement, inconsciemment, bascula sa tête en arrière, venant ainsi frotter la poitrine de la femme. Elle croisa ensuite ses jambes, afin d’observer le diaporama, laissant les diapositives défiler, lui montrant tout l’apport de l’informatique. Le Web 2.0, l’ouverture des réseaux sociaux, la possibilité d’échanger instantanément d’un bout à l’autre du monde... Elle était effectivement tombée sur une convaincue, ce en quoi Alice n’était pas contre. Pour elle, l’informatique était quelque chose de merveilleux, et c’était bien pour ça qu’elle voulait en savoir plus.

« Je... Vous savez, j’aimerais bien maîtriser davantage l’informatique pour me rendre sur des salons de discussion, et discuter avec des personnes venant du reste du monde. »

C’était pour ça qu’elle apprenait aussi, en parallèle, l’anglais, et quelques autres langues terriennes. Contrairement à Terra, où il y avait une langue commune globale, sur Terre, les choses étaient plus compliquées. Le japonais, qui se rapprochait énormément de la langue commune de Terra, n’était pas la langue commune de la Terre, et elle apprenait donc aussi l’anglais. Alice releva alors la tête, ce qui eut pour effet de frotter davantage les seins de la senseï. Elle la regarda dans les yeux en posant sa question :

« Vous êtes une femme très douée avec l’informatique, en tout cas... J’ai hâte de commencer mes leçons avec vous ! »

Alice était enthousiaste, oui, et lui fit un joli sourire... Et puis, ses seins étaient très confortables, aussi...
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le mercredi 18 février 2015, 08:54:06
La démone eut la petite satisfaction de voir la jeune blonde s'émerveiller des systèmes automatisés de son appartement. Elle la regarda cligner des yeux et regarder avec attention les divers systèmes entrer en action tandis qu'elle commençait sa présentation. Tessia haussa cependant un sourcil surpris en sentant la tête de la jeune fille basculer sans autre dans son décolleté. Elle avait prise la jeune blonde pour une demoiselle timide et probablement prude. Elle se rendait maintenant compte que si la timidité semblait bien présente, la pruderie, elle, semblait absente. Elle se le trouva confirmée par l'absence de réaction du type, rougeur, retrait soudain de la tête, ou encore excuses débitées à un rythme de mitrailleuses.

Soit la demoiselle n'est pas étrangère aux plaisirs du corps, soit elle provient d'une culture où cet acte est considéré comme anodin.

Malgré elle, la succube se senti intriguée. Cette première élève se révélait pleine de surprises plus inattendues les unes que les autres. Elle s'étonna malgré tout qu'elle ai pu conserver une telle familiarité au japon, pays très à cheval sur les convenance s'il en était.

Puisqu'elle se permet se genre de familiarité avec moi, ma foi, pourquoi ne pas lui en retourner quelques unes ? Songea la succube en commençant à caresser machinalement la tête de la jeune fille comme s'il s'agissait d'une jeune chatte particulièrement affectueuse.
« Je... Vous savez, j’aimerais bien maîtriser davantage l’informatique pour me rendre sur des salons de discussion, et discuter avec des personnes venant du reste du monde. » Lui avoua la jeune fille d'une voix douce tout en redressant la tête, ce qui la frotta un peu plus contre ses seins. « Vous êtes une femme très douée avec l’informatique, en tout cas... J’ai hâte de commencer mes leçons avec vous ! » Termina cette dernière en lui faisant un joli sourire.

- J'aime votre enthousiasme mademoiselle Alice, lui sourit la succube d'un air taquin. Mais je crains de devoir commencer cette leçon par un tout petit reproche...

Ce disant, elle posa un doigt autoritaire sur le front de la jeune fille afin de l'empêcher de bouger hors de son décolleté.

- Ça vous arrive souvent de considérer la poitrine de vos senseï comme un oreiller ? Questionna la succube d'un ton amusé. D'ordinaire, il est de convenance de demander poliment la permission avant de plonger sa jolie petite tête blonde dedans. Et j'insiste sur le poliment car, sinon, l'usage exige que l'impolitesse soit punie... Par des moyens appropriés à la faute commise...
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 19 février 2015, 01:49:35
Sur le coup, Alice n’avait même pas réalisé qu’il aurait pu être inconvenant de caresser ainsi, avec sa tête, les seins de la senseï. Elle savait que le Japon était très à cheval sur les politesses sociales, notamment sur l’interdiction de se toucher en public, mais, comme Tessia-senseï s’était rapprochée d’elle, Alice avait juste penché la tête en arrière, sans réaliser à quel point elle était proche d’elle... Et elle sentit rapidement un doigt se poser sur son front, tandis que la senseï lui annonçait qu’elle allait devoir la sanctionner... Ce qui amena sur les délicates lèvres d’Alice les premières traces de rougeurs. Elle se pinça les lèvres, en sentant son cœur s’emballer nerveusement. Avait-elle fait une bêtise ? Les reproches... Alice ne les aimait pas beaucoup ! Elle n’était pas une Princesse pour rien, dans le fond. Même avec ce doigt posé, la professeur avait une poigne formidable, impressionnante, et elle ne tarda pas à se mettre à parler, devant une Alice, qui, pour le coup, était totalement attentive :

« Ça vous arrive souvent de considérer la poitrine de vos senseï comme un oreiller ? lâcha-t-elle alors. D'ordinaire, il est de convenance de demander poliment la permission avant de plonger sa jolie petite tête blonde dedans. Et j'insiste sur le poliment car, sinon, l'usage exige que l'impolitesse soit punie... Par des moyens appropriés à la faute commise... »

Alice cligna des yeux à plusieurs reprises, devenant blême... Et ses joues, qui avaient déjà pris une jolie teinte rouge, devinrent, pour le coup, cramoisies.. La « jolie petite tête blonde » peinait à dire à Tessia que, grâce à Mélinda, elle avait déjà couché avec des professeurs... Et, même sans Mélinda, elle avait pu goûter aux charmes de certains professeurs, notamment Isley-senseï, une exigeante professeur de biologie, très amie avec les plantes. Mais... Qu’est-ce que cette femme venait de dire, déjà ? Dans sa tête, Alice se refaisait le fil de ses propos, ses yeux bleus remuant à gauche et à droite dans leurs orbites. Elle avait toujours les seins de Tessia-senseï contre sa tête, et, à vrai dire, à la regarder, à observer ce beau visage à lunettes qui lui faisait face, elle semblait davantage amusée que réellement choquée par ce qu’Alice, bien involontairement, avait eu l’audace de faire.

« Des moyens appropriés à la faute commise »... C’est ce que Tessia-senseï avait dit. Mais qu’est-ce que c’était censé vouloir dire, exactement ? C’était une phrase très alambiquée, qu’on pouvait interpréter de bien des manières. La petite Princesse déglutit, et entrouvrit les lèvres, ses mains jointes devant elle, se frictionnant entre elles. Était-il possible que Mélinda l’ait emmené chez une femme... Spéciale ? Une femme qui n’avait pas en tête qu’une simple formation professionnelle ? Cependant, ce qu’elle avait dit était tellement vaseux que cette phrase voulait tout dire et rien dire.

Consciente que la créature devant elle attendait une réponse, Alice finit par répondre :

« Je... Je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses si je vous ai offensée, d’une manière ou d’une autre, Tessia-senseï. Je... C’était bien involontaire de ma part, et, et je... Euh... S’il faut me sanctionner, je... J’accepterais de me plier à ladite sanction... »

Sa voix, si calme auparavant, avait ici pris une légère intonation aigue, trahissant son angoisse et son inquiétude.

Pour le coup, elle ne savait pas du tout à quoi s’attendre, car elle savait que son expérience avec les professeurs de Mishima n’était pas révélatrice du corps professoral de l’ensemble du Japon... Qu’allait-il donc lui arriver ?!
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le jeudi 19 février 2015, 09:48:50
Tessia s'amusa beaucoup à regarder la jeune fille cligner des yeux, se tordre les mains, se mordiller la lèvre et adopter différentes teintes de rouge au niveau des joues. Elle se demanda pendant le silence qui suivit quelle serait la réaction de la jeune blonde. Enfin, celle-ci ouvrit sa jolie petite bouche pour répondre d'une voix légèrement plus aigüe.

« Je... Je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses si je vous ai offensée, d’une manière ou d’une autre, Tessia-senseï. Je... C’était bien involontaire de ma part, et, et je... Euh... S’il faut me sanctionner, je... J’accepterais de me plier à ladite sanction... » Finit par lâcher la jeune demoiselle après plusieurs secondes de silence gêné.

La succube jubila intérieurement. Le renoncement était rapide avec cette nouvelle élève et qu'elle se porte spontanément en situation de soumission lui plaisait beaucoup. Mais elle ne devait pas brusquer les choses. Pas encore. Pas tout de suite.

Avec un sourire charmant, elle reprit la parole, fixant intensément la jeune fille blonde dans ses beaux yeux bleu.

- Bien, votre punition sera d'abords de demander mon autorisation pour user de ma poitrine comme d'un oreiller. À voix haute et en utilisant tous les termes je vous prie. Cortana ?

- Oui maitresse ? Demanda la pseudo-intelligence artificielle.

- Enregistre mademoiselle Alice jusqu'à ce que je dise stop. Continua Tessia avec un petit sourire sadique, tout en gardant ses yeux fixés dans ceux de son élève.

- À vos ordres, acquiesça l’assistante numérique. Enregistrement débuté. Attente de la piste audio de mademoiselle Alice.

Ce faisant, la démone utilisa sa main libre pour caresser délicatement la joue de sa protégée. Car elle avait finalement décidé que c'était ce qu'elle deviendrai. Sa petite protégée à l'air angélique.

Je sens que je vais adorer cette ville. Songea pour elle-même Tessia en souriant plus largement.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 20 février 2015, 01:28:51
« Bien, votre punition sera d'abord de demander mon autorisation pour user de ma poitrine comme d'un oreiller. À voix haute et en utilisant tous les termes je vous prie. »

Alice déglutit à nouveau, un peu perdue, et déboussolée. On aurait pu croire qu’une Princesse aurait pu se montrer plus farouche, afin de repousser cette femme, mais la détermination d’Alice s’exprimait de manière différente. Elle-même ne savait pas trop comment l’expliquer, mais, inconsciemment, elle faisait une différence selon le contexte. Quand la situation l’exigeait, dans un cadre public, la Princesse se réveillait, imperturbable, forte... Mais, là, dans ce contexte très privé, relativement intime, elle restait la femme timide et nerveuse qu’elle était habituellement, la fille d’un Roi immense et autoritaire, un homme avec une voix bourrue et forte, qui l’effrayait par sa grosse voix.

Tessia-senseï se mit à parler à Cortana, le nom donné à la curieuse machine qui parlait avec une voix sensuelle, en ordonnant de la filmer. Alice rougit, encore plus confuse, et cligna des yeux à plusieurs reprises. Était-ce une sorte de jeu de domination ? Elle ne savait rien de sa senseï, et, en conséquence, elle ne pouvait émettre que des suppositions. « Mademoiselle Alice » hésita un peu, continuant à pincer ses belles lèvres, faisant pointer ses dents, puis, comme pour l’aider à se détendre, Tessia-senseï caressa tendrement et doucement sa joue, avec l’une de ses mains. La Princesse soupira à nouveau, puis son regard croisa celui de Tessia-senseï.

Piégée comme une mouche dans son filet, ou un poisson capturé par un pêcheur, elle ne tarda pas à lui répondre, en réfléchissant rapidement, afin de pouvoir bien formuler, dans sa tête, ce qu’elle avait à dire pour sa défense :

« Je... Hum... En tant que votre élève, Tessia-senseï, je vous demande humblement l’autorisation de... De pouvoir user de votre confortable poitrine co... Comme... Comme d’un o-oreiller... »

Les joues toutes rouges, elle bégayait à moitié, car elle avait pleinement conscience de tout le caractère pervers et osé de ce qu’elle disait. En effet, on n’utilisait pas la poitrine d’une professeur comme oreiller ! Cependant, Alice était intelligente, et, malgré sa gêne, elle savait très bien que Tessia-senseï avait fait exprès de se blottir ainsi contre elle. Tout ça était un jeu savant et calculé à l’avance, par une femme qui maîtrisait son sujet, et, si elle espérait tomber sur une petite fille qui serait facilement gênée, elle avait frappé à la bonne porte. Même après tout ce qu’elle avait vécu, il était encore possible de facilement la gêner... Comme cette femme le faisait en ce moment.

Ce faisant, Alice n’osait plus parler, attendant la suite des évènements et des ordres. Toutefois, elle finit par remuer à nouveau sa bouche, posant, malgré tout, une petite question :

« Dois... Dois-je vous... Vous appeler ‘‘Maîtresse’’ ? »
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le samedi 21 février 2015, 02:01:45
« Je... Hum... En tant que votre élève, Tessia-senseï, je vous demande humblement l’autorisation de... De pouvoir user de votre confortable poitrine co... Comme... Comme d’un o-oreiller... » Demanda finalement la jeune fille après s'être timidement mordu la lèvre pendant plusieurs minutes.

Tessia lui fit un large sourire, bien consciente que Cortana avait tout enregistré de la demande éminemment perverse de la jeune demoiselle. Le point où elle eu droit à une nouvelle surprise fut la phrase qui suivit.

« Dois... Dois-je vous... Vous appeler ‘‘Maîtresse’’ ? »

Cette fois j'en suis sure, elle connaît déjà ce genre de jeux. Cette question est trop spécifique et tombe trop à point pour que ce soit un hasard.

Malgré tout, la succube ne se départit pas de son sourire et prit un air séduisant.

- Moi, Tessia Alexanders, autorise mon élève, Alice Korvander, à user de ma poitrine pour y reposer sa tête ce pendant le cours d’aujourd’hui. Répondit-elle à la jeune fille sans la quitter du regard.

Ce disant, la démone glissa ses mains sur son tailleur et en déboutonna plus amplement le haut afin d'ouvrir son décolleté à un point tout sauf chaste, laissant entrapercevoir son soutien-gorge de dentelle rouge sang en-dessous. Elle pressa ensuite ses amples seins contre l'arrière de la tête de son élève afin que celle-ci se niche confortablement entre eux, procédant à quelques ajustements discrets sur la forme et le moelleux de sa poitrine afin d'en faire le "coussin" de chaire le plus optimisé pour sa petite élève.

- Bien, ce point de détail mis au clair, nous allons pouvoir poursuivre le cours. Si d'aventure d'autres parties de mon anatomie venaient à vous troubler, vous êtes astreinte à la même demande que précédemment pour obtenir l'autorisation d'en jouir, termina la succube avec un petit sourire innocent à son jeu de mot vaseux. Pour ce qui est de m'appeler maîtresse, Senseï suffit largement à mon bonheur... Pour le moment du moins, mais si vous souhaitez passer à ce therme, je ne vous en empêche pas, termina la succube avec un petit sourire aguicheur avant de reprendre d'un ton plus sérieux. Cortana, affiche-nous un clavier numérique sur la table du salon et active le logiciel de dactylographie.

- À vos ordres maîtresse, acquiesa l'assistante numérique avant de projeter sur la surface en verre transparente une reproduction d'un clavier japonais tandis que l'affichage du home cinéma basculais vers l'interface d'un soft d'apprentissage de dactylographie sur clavier.

- Bien, nous allons tout d'abords voir la position des mains sur le clavier, Continua Tessia en attrapant gentiment les petites mains de la jeune femme avec les siennes pour ensuite les poser sur le clavier affiché sur sa table de salon.

Elle manipula les doigts de la demoiselle avec une dextérité consommée pour les mettre en douceur sur la bonne position sur la clavier numérique tout en les caressant largement au passage. Sa position pour supporter la tête de son élève contre sa poitrine lui permettant de lui parler presque dans l'oreille, elle s'en servit également pour lui souffler ses conseils d'une voix chaude et sensuelle.

La démone se doutait bien que la jeune fille devait avoir la tête ailleurs qu'à son cours, mais elle était employée pour donner un cours d'informatique. Si son élève souhaitait dévier du sujet, cela devait venir d'elle avant tout. Même si elle devait bien admettre la pousser un peu dans ce sens.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 22 février 2015, 02:23:04
Tessia-senseï était une femme terrible, très douée, et, pour Alice, il ne faisait aucun doute qu’elle avait tout en tête, sauf le simple fait de lui apprendre l’informatique, ou à écrire sur Word. Elle se demandait même si cette femme ne venait pas de Tekhos, ce qui expliquerait cette technologie futuriste... Une technologie qui, du peu qu’elle savait des Terriens, lui semblait être en avance... Quoi qu’il en soit, réfléchir sur son environnement devint difficile quand elle sentit Tessia-senseï rejeter l’appellation de « Maîtresse », tout en déplaçant son corps. Alice, toute rouge, pivoine, n’osait rien faire, et laissa les seins de la femme se déplacer. Elle ouvrit son chemisier, et Alice eut une brève vision de son beau soutien-gorge sensuel, avant que sa tête ne se retrouve proprement nichée entre les deux obus de la femme.

« Hum... ! » ne put-elle s’empêcher de gémir.

Le couinement s’échappa de ses lèvres, et, quand Tessia-senseï agrippa ses mains, afin de les poser sur un clavier virtuel, Alice sentit l’espace entre ses cuisses se mettre à chauffer, et à la titiller un peu plus. Le désir sexuel était en train de monter en elle, et elle sentait que, sous ce traitement, elle n’allait pas tarder à sentir sa culotte s’humidifier. Pour l’instant, le plaisir était lentement en train de monter, et se traduisait, corporellement, par une forte chaleur et de délicieuses plaques rouges venant orner ses joues. Les doigts de Tessia-senseï jouaient avec les siens, et, dans sa tête, Alice revoyait ce qu’elle avait dit... Si Alice voulait utiliser d’autres parties de son corps, elle devrait le demander... Et, dans sa tête, elle songea au délicieux fessier de Tessia-senseï, avec elle lui donnant de délicieux baisers, et elle soupira à nouveau, se tortillant lentement sur sa chaise. Elle était prisonnière, sentant le corps de Tessia tout contre elle, s’abattant sur elle. Une véritable prédatrice, qui la narguait, la titillait, et l’excitait. La pauvre petite Princesse n’en menait pas large, et les hypothèses se multipliaient dans sa tête. Une Tekhane venue s’installer sur Terre afin de coucher avec les belles adolescentes nippones ? Ou une esclave de Mélinda ? Est-ce que tout cela était un piège de la vampire ? Alice ne savait plus à quel Saint se vouer, et les hypothèses éclataient dans sa petite tête blonde.

Alice soupira donc, et appuya sur les touches virtuelles, déglutissant donc, avant de rouvrir les yeux, peinant à parler. Sa gorge s’était asséchée, elle tremblait nerveusement, et pianotait sur le clavier.

« Que... »

La Princesse se pinça les lèvres, reprit son souffle. Son cœur bondissait furieusement dans sa poitrine, ce qui nécessitait de devoir se calmer, afin d’avoir l’esprit apaisé. Plusieurs secondes passèrent donc, avant qu’elle ne reprenne sa question, avant de la finir :

« Que... Que voulez-vous que je fasse, Maî... Senseï ?! »

Sa langue avait fourché !
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le dimanche 22 février 2015, 23:05:16
« Que... Que voulez-vous que je fasse, Maî... Senseï ?! »

Tessia sourit plus largement. La jeune demoiselle commençait à avoir la langue qui fourchait. Mais si elle avait failli commettre l'erreur de l'appeler maîtresse, elle ne l'avait pas complètement fait. Et ce "pas complètement" était le frein actuel de la succube. Car elle avait une téhorie : celle que chaque être vivant, quelle que soit son appartenance ou son origine, avait toujours une sorte de bastion, une forteresse mentale qui n'avait que deux états : fermé ou ouvert. Ce bastion, elle l'appelait ainsi car une fois fermé, il était d'une difficulté à ouvrir frôlant l'impossible à moins de causer des dégâts irréversibles. Et une personne avec des dégâts irréversible n'était même plus un jouet pour elle. C'était une épave dont elle ne voulait même pas entendre parler. Elle y avait eu recours une ou deux fois par le passé et chaque fois elle s'en était mordue les doigts. C'est pourquoi, elle prenait sur elle de toujours amener sa victime à l'inviter dans sa "forteresse". Si elle prenait quelque chose à quelqu'un, c'était après qu'il l'aie laissée investir son "bastion" de son plein gré. Et ce consentement obtenu, on obtenait ensuite quelque chose de beaucoup mieux que n'importe quel soumise ou esclave sexuel. On obtenais ainsi une "volontaire à l'asservissement". Une personne qui trouvait son plaisir et pouvait même trouver son épanouissement dans son état librement consenti, donc bien plus efficace et créatif pour la suite des jeux et socialement tout à fait sortable.

Mais pour cela, il faut d'abords amener la personne à renoncer à son bastion.

Tessia avait entendu les quelques gémissements de la jeune fille. À ce stade, la leçon d'informatique n'avait plus le moindre intérêt. Elle pourrait parler politique des enfers que la demoiselle n'y prêterait probablement même pas attention.

- Prenez garde mademoiselle Alice, la prévint doucement la succube. La Senseï est la personne qui vous enseigne l'informatique. Ne faites pas l'amalgame avec la Maîtresse qui a des domaines d'enseignement d'un genre bien... Différent... Dit la démone en relâchant les mains de son élève pour poser les siennes sur le ventre de la jeune blonde.

De ses pouces, elle caressa gentiment l'abdomen de la jeune demoiselle, effleurant le bord de son nombril à travers le fin tissus de son haut.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 24 février 2015, 01:32:53
« La Senseï est la personne qui vous enseigne l'informatique. Ne faites pas l'amalgame avec la Maîtresse qui a des domaines d'enseignement d'un genre bien... Différent... »

Glups ! Alice soupira faiblement, n’osant plus rien dire, et ferma les yeux, tout son corps se mettant à bouillonner sur place. Elle sentit les mains de Tessia-senseï libérer les siennes, et venir se poser sur son ventre, appuyant doucement et chaudement dessus. La Princesse déglutit légèrement, à nouveau, et ses doigts se posèrent sur le clavier virtuel. Un nouveau soupir s’échappa de ses lèvres, et son corps se mit à rougir encore plus. En sentant la senseï s’abattre davantage sur elle, afin de poser ses mains sur son ventre, la jeune tête blonde sentit aussi ses confortables seins s’enfoncer davantage contre sa tête, la faisant trembler sur place. Cette femme était terrible, agissant dans la douceur, la délicatesse, un certain raffinement... Et une forte expérience en matière de sexe. Alice n’avait même pas besoin de le demander pour en être sûre, et elle savait maintenant, désormais sans aucune hésitation possible, ce que Tessia-senseï avait en tête. Cette différence terminologique, entre « Senseï » et « Maîtresse », exprimait pour elle toute la perversion de cette femme.

Se pinçant les lèvres, Alice essayait de se calmer, mais, plus elle sentait les doigts de la femme jouer sur son ventre, et plus son sexe la démangeait, se rappelant à elle. Les pouces de la femme s’approchaient de son nombril, et, quand les ongles de la femme manquèrent le toucher, Alice couina en se tortillant sur place, un gémissement s’échappant clairement de ses lèvres :

« Haaa... »

Elle n’avait pas pu le retenir, et elle s’en pinça les lèvres, papillonnant des yeux à plusieurs reprises. Alice devait se calmer, se retenir, se contrôler. Elle soupira donc, et ses doigts continuèrent à se crisper sur le clavier virtuel. Elle ne savait pas trop comment le dire... Mais l’idée finit par venir. Dans sa tête, tout commençait à germer, à évoluer. Son cœur remuait faiblement dans sa poitrine, et elle soupira à nouveau, puis finit par parler :

« Je... Et... Je crains de... De ne pas être en état de... D’améliorer mes... Mes compétences informatiques... »

Alice se mordilla les lèvres, et, se rappelant les ordres et les consignes de Tessia-senseï, elle reprit son souffle, et poursuivit :

« Est-ce que... Hum... Est-ce que moi, votre élève, puis-je embrasser et sucer vos doigts, Maîtresse ? »

Ses joues étaient toutes rouges, et, lentement, lentement mais sûrement, Alice commençait à succomber, et à se laisser emporter par le plaisir.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le mardi 24 février 2015, 13:53:04
« Haaa... » Soupira sa petite élève depuis sa poitrine.

Tessia continua à sourire tout en se concentrant sur son léger massage de l'abdomen de la jeune blonde. Elle ne disait plus rien depuis plusieurs minutes, pourtant la demoiselle était encore crispée avec ses mains sur le clavier numérique et ne faisait pas le moindre geste pour l'arrêter.

Cependant, la succube restait un peu méfiante. Elle avait compris que certaines humaines était si timides que même révoltées au dernier degré, elle n'exprimaient pas toujours leur opinion et on se retrouvait par la suite avec tout un tas de soucis juridiques aux fesses pour des histoires de "viol" ou elle ne savait pas encore trop quoi d'autre comme âneries.

Pour le moment, tout semblais se mettre tranquillement en place. Elle pouvait sentir le rythme cardiaque de la jeune fille monter et décroître sans cesse correspondant aux phases où elle se laissait aller et à celles où elle reprenait un peu de contrôle sur elle-même.

« Je... Et... Je crains de... De ne pas être en état de... D’améliorer mes... Mes compétences informatiques... » >Fini par haleter Alice, ce à quoi la succube hocha positivement la tête sans pour autant s'arrêter de caresser le ventre de la demoiselle à travers son haut.

« Est-ce que... Hum... Est-ce que moi, votre élève, puis-je embrasser et sucer vos doigts, Maîtresse ? » Lâcha finalement la jeune blonde en rougissant considérablement.

Tessia jubila intérieurement. Elle y était, le "bastion" était ouvert et prêt à l’accueillir.

La succube se pencha à l'oreille de la jeune demoiselle et lui susurra d'une voix sensuelle et pleine de chaleur :

- En tant que votre Maîtresse, moi, Tessia Alexanders, autorise mon élève, mademoiselle Alice Korvander, à user de mes doigts pour les lécher et les sucer.

Ce disant, elle libéra une main de l'abdomen de la jeune fille et la présenta devant le petit minois rougis de timidité de la petite princesse, laissant flotter son index et son majeur sur les lèvres de cette dernière.

De son autre main, elle descendit gentiment sur la jupe de la petite blonde et commença à caresser la limite de son intimité à travers le tissus de son uniforme scolaire. Dans le même temps, Tessia commença à donner de petits bisous sur le lobe de l'oreille de son élève. Elle souriait désormais comme un prédateur qui a attrapé sa proie.

Les choses intéressantes commencent. Voyons jusqu'où cette petite réclamera son plaisir...
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 26 février 2015, 01:43:02
« En tant que votre Maîtresse, moi, Tessia Alexanders, autorise mon élève, mademoiselle Alice Korvander, à user de mes doigts pour les lécher et les sucer. »

Maîtresse... Le mot était lâché, et, en l’entendant, Alice soupira à nouveau, avant de sentir l’une des mains de Tessia-senseï... Ou, plutôt, de Maîtresse Tessia... Se relever, afin de s’approcher de sa bouche, et de ses lèvres tremblotantes. S’humectant ces dernières, Alice papillonna des yeux. Elle peinait à parler, peinait à réfléchir, peinant à calmer ce corps en feu qui fumait en elle. Elle se mordilla les lèvres en sentant la main de Tessia-senseï, inquisitrice, descendre vers sa culotte, vers le bas de sa jupe... Alice serra l’une de ses mains, se tortillant un peu sur le siège, puis approcha sa bouche des doigts de la femme, entreprenant de les suçoter.

C’était quelque chose que, là aussi, elle avait appris à faire avec Mélinda, et qu’elle réutilisait dès qu’elle le pouvait. Soupirant faiblement, clignant des yeux à plusieurs reprises, sa langue filait le long d’un de ses doigts, et sa bouche se crispa dessus, s’apposant sur ce monceau de chair, reculant et ondulant dessus, d’avant en arrière. C’était un contact merveilleux, même si elle ne pouvait, rationnellement, le justifier. C’était juste comme ça, c’est tout... Elle aimait ça, sans raison particulière. Sa bouche filait le long de ce doigt, puis elle la retirait, pour s’attaquer à un autre doigt, couinant et gémissant faiblement. Ses jambes s’étaient, par ailleurs, instinctivement écartées, de manière à pouvoir accueillir plus facilement les doigts de la jeune femme sur elle.

« Hmmm... »

Maîtresse Tessia délivrait désormais de petits baisers sur son oreille, ce qui avait tendance à la faire soupirer, et, parfois même, à l’amener à mordiller ses doigts. On pouvait ainsi entendre les adorables bruits de succion que la petite Princesse émettait en sentant la femme jouer avec elle, la titiller, la caresser, et s’amuser ainsi avec elle. Tessia était douée, oh que oui, et être entre ses doigts et sa bouche était un véritable régal pour elle. Après des bruits de succion qui durèrent de longues minutes, Alice finit ainsi par basculer sa tête en arrière, sentant le corps chaud de sa Maîtresse contre le sien, ses seins, mais aussi son menton, le goût proche de ses lèvres.

« En... Encore, Maîtresse, encore... S’il-vous-plaît, encore... »

Alice haletait et soupirait de plaisir, clairement sous l’effet du plaisir, d’une forte dose d’envie... Et, plus le désir était là, et plus ce dernier montait, se nourrissant de la frustration, et inversement... Un véritable cercle vicieux de la luxure dans lequel Alice était en train de plonger.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le jeudi 26 février 2015, 08:56:15
La petite princesse soupirait entre ses mains, léchait ses doigts, les suçait avec entrain. Pour Tessia il était de plus en plus évident que la demoiselle n'était pas à son coup d'essai. Elle avait déjà les réactions et les demandes d'une fille habituée à se comporter en se dégradant elle-même au profit d'un ou d'une partenaire. Et cette facilité, cette aisance, cette acceptation qu'elle mettait dans sa prononciation du mot "maîtresse" lui firent songer que la demoiselle devait probablement déjà avoir été usée par une autre femme de cette manière.

Il faudra que j'aborde le sujet avec elle, histoire de ne pas empiéter sur les plates-bandes d'une autre, songea la succube en se rappelant à quel point il pouvait être frustrant de se faire piquer ses soumises.

Mais pour le moment, elle avait autre chose à faire. En tâtonnant, elle avait fini par localiser l'élastique de la culotte de sa victime. À travers le tissus de sa jupe, elle commença à caresser la jeune fille le long de ce repaire. Elle aimait bien ces matières très souples qu'on trouvait sur terre. Elle donnaient de parfait guides sur les limites de ce que les humains considéraient comme leur "intimité". Et se servir de ce guide avait toujours été payant pour la démone car il indiquait assez clairement où passer pour ne pas toucher directement les zones érogènes de sa victime, mais les stimuler suffisamment pour pousser cette dernière à en réclamer plus.

La tête toujours appuyée dans son opulente poitrine, la jeune ALice continuait son ouvrage sur ses doigts avant de commencer à se laisser aller.

« En... Encore, Maîtresse, encore... S’il-vous-plaît, encore... » Réclama la demoiselle en rejetant sa tête en arrière contre sa poitrine.

Elle était haletante, se consumant littéralement de plaisir entre ses mains, en train de fondre de frustration et de désir, l'un alimentant l'autre.

Bien. Pas mal, mais insuffisant...

Le bastion était ouvert, les troupes étaient à l'intérieur, mais la dame du donjon s'accrochait encore mordicus à sa vertu même si elle était prête à lui remettre les clés de la forteresse. Cela ne convenait pas à la succube. En se rendant à ses soins, la dame du donjon souhaitait se libérer de la responsabilité de ce qui arriverait ensuite, et cela n'était pas négociable dans l'esprit de Tessia. La forteresse serait à elle, mais pas parce qu'on la lui aurait laissée comme un déchet dont on ne voudrait plus. Elle serait à elle après que sa dame aurait elle-même abattu ses murs, prostitué son peuple et supplié pour qu'elle la viole avec sa propre clé.

Cela était acceptable ! Rien d'autre !

C'est pourquoi, malgré la supplique de son élève, la démone ne fit que glousser sans pour autant prendre d'initiative. C'était elle qui dominait le jeu, mais qui était à l'heure actuelle la plus passive des deux. Elle donnait à la jeune demoiselle le rôle de s'humilier elle-même en réclamant que ses attouchements deviennent plus intimes. Elle chargeait la petite blonde de réclamer à voix haute ses orgasmes. Elle la forçait à quémander sa délivrance de ce plaisir dont elle usait pour ronger sa volonté et dissoudre sa pudeur.

- Encore quoi, mademoiselle Alice ? Questionna Tessia avec un air de prédatrice, les yeux plongés dans les iris azur de son élève. Que désirez-vous encore de votre Maitresse ? Que Réclamez-vous ? Demanda-t-elle en soufflant sa chaude haleine presque dans la bouche de la jeune blonde.

La démone savait que malgré tous les dentifrices et autres soins buccaux qu'elle avait bien pu utiliser sur terre, sa propre haleine conservait toujours une sorte d'arrière-goût impossible à ôter. Un arrière-goût de luxure, le genre qui ne s'obtient qu'après avoir avalé des dizaines de litres de semences aussi diverses que variées et après avoir bu des lacs de jouissance féminine. Un parfum qui avait tendance à donner envie aux mortels de se rouler de façon orgiaque dans le sexe le plus débridé possible. Mais qui, utilisé à faible dose, pouvait aussi se révéler un excellent stimulateur de libido.

Même si elle doutait fortement que la petite princesse dans sa toile avait besoin d'être encore plus stimulée de ce côté-là...

Ça peut malgré tout être amusant...
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 01 mars 2015, 01:52:12
Maîtresse Tessia continuait à jouer avec la Princesse. Cette dernière, dont la gorge était sèche, déglutit à nouveau, en voyant la femme se rapprocher d’elle, se penchant vers son visage. Leurs lèvres se rapprochaient, et, alors qu’Alice penchait la tête sur le côté, comme pour s’attendre à un baiser, Maîtresse Tessia, plutôt que de le faire, choisit de s’arrêter à quelques centimètres. Les joues rouges et les yeux bleus d’Alice se reflétaient sur le visage de Maîtresse Tessia. Imperturbable, la femme soufflait sur son visage, et, si Tessia commençait à comprendre qu’Alice avait déjà été une soumise, inversement, et réciproquement, Alice comprenait que cette femme avait déjà dû dominer d’autres personnes. Elle savait comment s’y prendre pour jouer avec cette chose sensible et difficile, délicate et glissante, qu’on appelait le désir. Le désir sexuel était comme un feu de cheminée, qui, si on ne le contrôlait pas bien, pouvait, soit s’éteindre en s’étouffant sur place, soit sortir de son antre, et brûler la maison. Il fallait savoir comment le manipuler, ce qui nécessitait un certain talent, talent dont, fort heureusement, sa Maîtresse n’était pas dénuée.... Ou malheureusement. Alice souffrait, cette souffrance issue de sa frustration, et qui l’amenait à lentement remuer les jambes, et à cligner des yeux frénétiquement, à soupirer et à gémir, ses seins devenant douloureux, ses tétons n’aspirant qu’à ce qu’on s’occupe d’eux.

L’haleine de Tessia était délicieuse, et Alice remuait faiblement ses lèvres. Elle savait qu’elle devait parler, mais les mots peinaient à sortir de sa bouche, les syllabes avaient du mal à trouver le bon chemin. Alice déglutit à nouveau, ferma la bouche, la rouvrit, inhalant à nouveau l’haleine de cette femme, puis soupira en retour, soufflant sur ses lèvres.

« Je... Je réclame de... De ma Maîtresse... »

Nouveau soupir, nouvelle oscillation de son désir, de sa frustration. Les deux étaient fondamentalement liés, car on ne pouvait désirer que quelque chose qu’on n’avait pas, ce qui, paradoxalement, engendrait de la frustration. Et, plus l’objet de votre convoitise était proche, et plus la frustration était forte, comme en ce moment. Alice aurait pu se pencher vers cette femme pour l’embrasser, mais elle avait bien compris que ce n’était pas ce que Tessia voulait. Sa Maîtresse voulait qu’Alice le dise avant d’agir, et, mine de rien, c’était presque encore plus compliqué. Qu’était-elle censée dire, exactement ? Oh, elle le savait, mais... Les mots peinaient à franchir ses lèvres.

Leurs nez se frôlaient, et, à nouveau, un certain temps passa, avant qu’Alice ne parvienne à poursuivre ce qu’elle avait à dire :

« Je réclame son amour... Qu’elle s’occupe de moi, de... De mon corps... Qu’elle... Qu’elle me f-forme... Se... Sexuellement... »

Ses mots étaient hachés, ce qui, encore une fois, ne faisait que trahir son désir. Alice peinait à expliquer rationnellement ce qu’elle éprouvait face à cette femme. Tessia était assurément une étonnante créature, fascinante et magnifique... Autrement dit, c’était une parfaite Maîtresse.

Et Alice sentait bien qu’elle allait lui en faire voir de toutes les couleurs.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le dimanche 01 mars 2015, 23:36:16
La petite princesse était à quelques centimètres seulement de sa bouche avec la sienne. Elle inspirait l'haleine chargée de luxure de Tessia avec une expression de suppliciée des plus alléchante pour la démone qui la regardait en souriant, telle une araignée guettant sa proie. Elle haletait, cherchait ses mots, bégayait par instant.

« Je... Je réclame de... De ma Maîtresse... » Essaya la jeune demoiselle sans pourtant parvenir à formuler ses pensées.

Tessia la regarda avec patience. Elle avait tout son temps. Tout le temps du monde. Elle n'avait rien à faire, la petite avait déjà bien assez de discipline pour ne pas chercher à obtenir une chose qu'elle n'aurait pas réclamée correctement. Elle aurait pu, d'un simple mouvement de tête, accoler ses lèvres à celles de la succube, mais elle ne le faisait pas. Elle essayait de mettre ses esprits en ordre pour demander ce qu'elle voulait.

« Je réclame son amour... Qu’elle s’occupe de moi, de... De mon corps... Qu’elle... Qu’elle me f-forme... Se... Sexuellement... »

Tessia sourit, cette fois elle avait ce qu'elle voulait. Un blanc-seing pour la suite.

Libérant ses mains, Tessia cueilli délicatement celles de son élèves.

- Moi, Tessia Alexanders, vais vous donner mon amour... Et vous promets que vous le regretterez autant que vous l'adorerez, termina-t-elle d'une voix suave tout en approchant les mains de la demoiselle de son propre entrejambe.

Elle glissa les poignets de la jeune fille sous sa jupe et posa ses mains très proche de sa petite culotte dont elle ignorait encore la couleur.

- Voici ma première instruction jeune demoiselle, sourit sadiquement Tessia en regardant sa pupille droit dans les yeux. Pas touche.

Ce disant, la démone remonta ses main, agrippant au passage le chemisier de la jeune blonde dont elle fit délicatement glisser le tissus alors qu'elle le remontait au-dessus de sa poitrine, afin d'enfin pouvoir voir le soutien-gorge de sa protégée. Tout en gloussant, la démone passa ensuite ses mains dans le dos de la petite princesse pour le dégrafer et ensuite le faire passer au-dessus de ses beaux seins.

- Vous savez mademoiselle, j'ai appris que poussée à son paroxysme, même la frustration peu devenir un déclencheur de l'orgasme, lui susurra Tessia. Alors j'ai développé une petite technique qui m'est bien particulière...

Ce disant, la démone passa ses petits doigts juste sous les tétons dressés de la jeune blonde.

- Et cette technique, consiste à faire jouir les jolies petites filles dans votre genre, simplement en usant et en abusant de leur poitrine, termina la démone en commençant à titiller les seins de sa protégée.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 05 mars 2015, 01:13:40
Qu’était-elle censée pouvoir faire contre elle ? Tessia-senseï, maintenant sa Maîtresse, était aussi belle que talentueuse, et, même si Alice avait une certaine expérience sexuelle, elle avait encore bien du mal à calmer ses hormones, et à maîtriser ses nerfs. Sa Maîtresse le découvrait, et réalisait qu’elle pouvait volontiers s’amuser avec Alice. La jolie tête blonde aurait du mal à la repousser. C’était curieux, venant d’une Princesse, mais elle avait été élevée et éduquée dans la soumission, à subir les ordres furieux de son père, et à les suivre sans oser rechigner. Cette éducation primaire l’avait durablement marqué, et, face aux femmes, un élément qui était assez rare à Sylvandell, au moins pendant ses premières années, Alice était relativement démunie. Tessia semblait le sentir, et en jouait volontiers. Elle guida les mains d’Alice sous sa jupe, et cette dernière soupira en crispant ses doigts sur sa culotte. Sa Maîtresse lui intima l’ordre de ne pas la retirer, et Alice hocha lentement la tête, les joues rouges de plaisir et d’impatience.

Tessia lui ôta ensuite son soutien-gorge, déboutonnant quelques boutons de sa chemise, jusqu’à pouvoir voir l’ourlet de ses seins, recouverts par un soutien-gorge noir. Elle s’empressa ensuite de la retirer, avançant ses mains pour dégrafer le sous-vêtement. Entre-temps, Alice déplaça ses mains de la culotte de Tessia, et les reposa sur les accoudoirs du fauteuil, peinant à les maintenir ainsi. Elle soupirait de plaisir, ses seins endoloris, ses tétons se mettant à pointer à l’air libre. Les joues rouges, Alice avait le sentiment qu’elle n’était pas au bout de ses surprises, ce que sa Maîtresse ne tarda pas à confirmer :

« Vous savez mademoiselle, j'ai appris que, poussée à son paroxysme, même la frustration peut devenir un déclencheur de l'orgasme. Alors j'ai développé une petite technique qui m'est bien particulière... »

Elle déglutit, et comprit ce que cette dernière avait en tête quand ses mains vinrent empoigner ses seins, les malaxant généreusement et fermement. De la belle bouche d’Alice, des gémissements supplémentaires s’échappèrent, et elle se tortilla de gauche à droite sur le fauteuil, remuant ses belles fesses. C’était intense, et le plaisir, s’il était là, s’accompagna rapidement de souffrance. Elle n’avait pas le droit de se toucher. Or, son intimité commençait à s’enflammer, s’impatientant. Elle chauffait entre ses cuisses, mouillant sur place, et ses tétons, eux, devenaient assoiffés. Ils étaient douloureux, et, quand sa Maîtresse vint à jouer avec eux, sa bouche se rapprochant de la sienne, cette douleur se transféra entre ses cuisses, le plaisir se mélangeant à cette dernière.

En somme, la petite Princesse se mettait à soupirer et à gémir, se tortillant sur son siège.

« Haaaaaaaaaaaan... Haaaaaaaaaaaannn !! »

De longs soupirs fusaient donc de sa b ouche, et elle sentait, tout contre son corps, celui de cette belle femme qui allait lui faire mourir, et comptait la faire jouir simplement en tripotant ses seins... Ce qui serait indubitablement une belle performance. Toutefois, Alice avait d’autres requêtes à formuler, et, tout en soupirant et en gémissant, elle s’empressa de les formuler, ses belles lèvres remuant sur place pour émettre des sons :

« Em... Embrassez-moi, Maî... Maîtresse... »

Sur les lèvres, oui... Alice voulait les sentir, elle voulait avoir un vrai baiser, quelque chose de magique et qui la ferait rêver.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le samedi 07 mars 2015, 18:47:04
Tessia sourit car entre ses doigts, la petite princesse semblait se tordre de plaisir autant que de douleur. Elle ne faisait que lui toucher la poitrine pourtant. Tantôt la palpant avec fermeté, tantôt la malaxant, tantôt la pétrissant, tantôt l'effleurant, tantôt la caressant. Elle sentait bien qu'à l'heure actuelle, c'était un brasier qui couvait dans l’entrejambe de la demoiselle. Celle-ci se tortillait d'ailleurs comme si elle était assise sur une plaque brûlante. Par conte, pour le plus grand bonheur de la succube, elle gémissait comme si elle était en train de subir les derniers outrages alors qu'elle ne se touchait même pas.

La démone continua son manège avec ses seins, leurs faisant subir tous les types de caresses et d'attouchement qu'elle avait pu développer aux cours des décennies. Ses tétons semblant particulièrement sensibles, elle insista dessus, forçant malgré elle la petite à gémir plus fort. Elle les tourna entre ses doigts, les pinça, les caressa, leur donna des pichenettes, les effleura.

Au milieu de tout ça, elle fut à nouveau surprise de constater la discipline de la jeune fille. Malgré qu'elle n'ai qu'à tendre les doigts pour pouvoir toucher sa petite vulve enflammée de désir, malgré qu'elle ait la tête entre ses seins et donc le visage à quelques centimètres du siens et malgré que sa poitrine subisse la plus cruelle et la plus douce des tortures à la fois, la petite restait obéissante te ne bougeait pas, se contenant de se répandre en gémissement, en couinement, en halètement et en cyprine sur son canapé.

Qui que soit la personne qui l'a entrainée, elle a fait un travail remarquable. À croire qu'il ne lui viendrais même pas à l'idée de se soulager elle-même sans en avoir reçu l'autorisation.

Et en parlant d'autorisation, celle-ci ouvrit ses jolies lèvres et pour lui gémir une phrase d'une voix tellement chargée de désire que Tessia se senti malgré tout tressaillir d'envie.

« Em... Embrassez-moi, Maî... Maîtresse... » Soupira-t-elle d'une voix extrêmement sensuelle aux oreilles de la succube.

La démone se pencha plus près d'elle, amenant son visage et ses lèvres à seulement quelques millimètres de celles de sa petite élève blonde, mais n'alla pas plus loin. À la place, elle pinça durement les tétons durcis de la petite princesse.

- Je suis déjà en train de vous donner une friandise mademoiselle. Alors savourez-là et finissez-là avant d'en réclamer une autre, la sermonna-t-elle doucement avant de reprendre ses gestes à l'intention des seins de la petite tête blonde.

Elle accéléra doucement le rythme, alternant de plus en plus les stimulus sur les seins de sa petite victime, sentant celle-ci s'approcher de plus en plus près de l'orgasme. Pour cette première fois, elle la laisserais jouir, elle la pousserait à la jouissance par ses attouchements mammaires. Ensuite, elle réclamerai son dû pour avoir contenté la petite. Son objectif était assez simple, à la fin de l'heure et demi de cours qui lui était alloué, elle devait convaincre la jeune fille de téléphoner chez elle pour dire qu'elle aurait finalement beaucoup de retard. Enfin, Tessia devrait probablement commander un taxi car elle doutait fortement que la petite arrive encore à tenir sur ses jambes après ce qu'elle commençait à envisager de lui faire.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 11 mars 2015, 01:29:39
Comment la faire jouir sans la caresser intimement ? Pour Alice, c’était un mystère, et la pauvre petite tête blonde se dandinait lentement sur son fauteuil. Sa Maîtresse se refusa à la satisfaire, se refusa à l’embrasser, préférant continuer à la faire languir... En jouant avec ses seins, et en rapprochant terriblement près de son visage le sien. Alice déglutit lentement, en voyant les belles lèvres de Tessia-senseï, toutes proches des siennes, mais se refusant à faire l’ultime pas demandé. Un baiser, ce n’était pourtant pas la mer à boire, ce n’était pourtant pas une tâche insurmontable, et, avec ses lèvres qui la brûlaient, Alice n’en demandait pas plus... Mais sa Maîtresse se refusa à la satisfaire :

« Je suis déjà en train de vous donner une friandise mademoiselle. Alors savourez-là et finissez-là avant d'en réclamer une autre
 -  Hunnn... !! »

Cruelle femme ! Les poings d’Alice se serrèrent, et elle ferma les yeux, ne pouvant empêcher ses lèvres d’exprimer un long soupir. Elle mouillait sur place, stimulée par les mains de Tessia jouant sur sa poitrine. Tendus, ses seins étaient gonflés de plaisir, douloureux et chargés. Elle se tortillait sur sa chaise, en sentant le plaisir et la frustration former un tout indissociable et terrible. Elle en pouvait rien faire d’autre que subir, et ne recevait aucune autre stimulation corporelle que ce frottement massif de ses seins. Sur ce point, il fallait bien reconnaître que Tessia avait un certain talent. Alice tâchait sa culotte, et continuait à soupirer, encore et encore, gémissant sur son siège, mais l’orgasme, lui, tardait à pointer le bout de son nez. Elle se pinçait les lèvres, soupirant encore. Tessia lui avait dit de savourer cette friandise, mais Alice avait le sentiment de devoir se contenter de la part ratée d’un gâteau au chocolat, tandis qu’on lui exhiberait le reste du gâteau, réussi et onctueux, avec sa crème anglaise chaude et magnifique, sous le nez. Autrement dit, ce qu’elle vivait était une véritable torture, accentuée par le fait qu’elle ne pouvait rien faire. Elle était habituée, avec Mélinda, à être physiquement immobilisée. Le bondage était une source de plaisirs incalculables dans le sexe, mais, ici, la difficulté venait du fait que la Princesse devait juste se reposer sur la discipline, face à une femme qui était décidée à se limiter aux attouchements mammaires. C’était très frustrant, car, ayant déjà goûté au fruit défendu, Alice peinait d’autant plus à atteindre le sésame requis. C’était comme si Tessia voulait alimenter un feu de forêt avec un simple soufflet.

Alice continuait donc à gémir, remplissant l’espace, basculant sa tête en arrière, en continuant à remuer sur son siège. Elle avait envie de jurer, d’exprimer son mécontentement, sa frustration, et une certaine colère qui commençait à poindre en elle... Mais elle était trop respectueuse pour se laisser ainsi aller de cette manière, et, plutôt que de s’énerver, elle continuait à soupirer, à gémir, et à grogner.

« Huuuunnnnngggg... !! »

En définitive, pour prendre son pied, elle avait fini par écarter ses jambes, et continuait à déplacer son corps, frottant sa vulve contre le siège. Ce n’était pas grand-chose, du même niveau que les lycéennes qui se masturbaient sur le rebord d’une chaise de cours. Elle mouillait lentement, et sa cyprine atterrissait sur le sol, débordant de sa culotte, mais l’orgasme se refusait à venir... Alors, Alice décida de faire ce qu’on avait pu lui apprendre : elle décida de le simuler. Elle se pinça les lèvres, les joues toutes rouges, soupira à nouveau, plus profondément, avança son corps en avant... Puis s’affala contre la chaise en gémissant longuement.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »

Est-ce que ce serait suffisant pour convaincre cette maudite bonne femme ? Alice ne pouvait que l’espérer...
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le mercredi 11 mars 2015, 10:19:19
Tessia continua à jouer avec la poitrine de son élève cependant quelque chose clochait. Que ce soit le rythme de respiration, les battements de son cœur à ses tempes ou son expression, elle devinait que la jeune tête blonde, bien que dramatiquement excitée, n'était pas sur le chemin de l'orgasme.

Aurais-je perdu la main ? Songea la succube en se sentant elle-même frustrée.

Elle constata aussi les tentatives de la petite princesse de faire passer ses remuements sur son canapé pour de simples tentatives de trouver une position plus confortable alors qu'en réalité elle cherchait à trouver un moyen de stimuler son intimité sur le bord du meuble de cuir, l'humidifiant largement de la cyprine qui coulait à travers sa culotte trempée.

Bon, je ne voulais pas en arriver là, mais il faut croire que cette jeune demoiselle à l'habitude de stimulations plus intenses, Songea la démone en appelant doucement ses pouvoirs.

Mais presque au même moment, la jeune demoiselle poussa un gémissement plus long et bien plus... Orgasmique...

Tessia eut toutes les peines du monde à ne pas froncer les sourcils, consultant à nouveau la respiration, le poul et la dilatation des pupilles de la jeune fille, elle constata que celle-ci ne pouvait pas avoir réellement joui.

Ho la petite... Elle vient de simuler !

Comme une enfant qui ne veut pas finir son assiette, elle venait d'essayer de lui faire croire qu'elle n'avait plus faim alors qu'en réalité elle attendait le dessert avec impatience.

La succube se senti vexée et piquée dans son amour-propre. En des siècles, elle n'avait plus eu de partenaire ayant simulé depuis ses tout début en tant que sœur du plaisir des harems de sa reine. Que cette petite humaine ait le culot de vouloir lui faire avaler qu'elle avait joui alors que ce n'était pas le cas lui donna envie de la prendre par la peau du cou comme n'importe quel chaton désobéissant et de la jeter hors de son appartement.

D'un autre côté, elle réalisa aussi qu'elle était intriguée. Cela faisait des dizaines d'années qu'elle faisait, pour ainsi dire, jouir ses partenaires sur son seul bon vouloir. C'était même devenu si routinier que ça en perdait presque sa saveur. Ho, elle ne serait jamais sevrée de son envie de sexe, mais parfois elle trouvait cela presque barbant de réaliser que tout c'était passé comme elle l'avait prévu, sans une once inattendue, sans rien pour pimenter l'acte.

C'est pour cela qu'au lieu de jeter la petite princesse hors de chez elle, Tessia se dit qu'elle allait au contraire continuer à jouer cruellement avec elle.

Elle veut le dessert en avance ? Elle va être servie. Et je lui garanti une indigestion.

Arborant un grand sourire, Tessia relâcha la poitrine de son élève et applaudi de manière guindée.

- Très jolie tentative de simulation ma chère petite demoiselle, dit-elle d'un ton froid comme la glace. J'imagine que c'est votre manière à vous de montrer que vous vous ennuyez...

Tessia n'écouta que très peu la réponse de la jeune tête blonde avant de la faire taire en collant ses lèvres contre les siennes. Toute douceur oubliée, c'était un baiser sauvage, bestial, presque violent. Le genre qui vous laisse sans souffle mais pas forcément dans le bon sens du terme. Quand elle le rompit, son élève était haletante.

- J'ai bien compris le message. Je pensais commencer en stimulation douce, mais visiblement ce n'est pas ce qu'il vous faut, dit la succube en posant la main sur la culotte d'Alice. Non, j'ai bien compris que vous êtes du genre à prendre votre plaisir dans la "surstimulation", termina la démone en arrachant le rempart cottoneux d'un mouvement brusque.

Puis sans plus attendre, elle reprit la bouche de son élève avec la sienne, recommença à lui malaxer les seins d'une main tandis que de l'autre elle enfonça trois doigts sans grande douceur dans l'intimité de la petite avant de commencer à la masturber à un rythme éffréné tout en attaquant son clitoris du pouce.

Tu veux jouir petite ? Et bien JOUI ! Songea la succube en déversant par sa bouche et ses doigts dans l'intimité de la jeune humaine une partie de son pouvoir.

Grâce à cela, elle ne supprima pas les sensations de douleur, mais au contraire rendit quatre à cinq fois plus intenses les sensations de plaisir, surchargeant en quelques secondes les canaux permettant à une jeune humaine de le ressentir. Celle-ci se retrouva noyée sous deux à trois fois le plaisir nécessaire pour une humaine moyenne afin d'atteindre l'orgasme en moins d'une minute.

Maintenant voyons combien tu tiens jeune insolente.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 13 mars 2015, 01:34:30
Deux femmes qui trichaient chacune sans s’en rendre compte. Alice ne pouvait guère espérer duper une succube. Tessia était tout simplement trop intime avec le sexe pour croire qu’Alice puisse avoir réellement joui. D’un autre côté, le traitement de Tessia n’était pas assez efficace, car Alice avait une bonne expérience sexuelle, ce qui n’apparaissait pas vraiment quand on la voyait, car, malgré sa relation intense avec Mélinda, ou avec d’autres personnes comme Melendil, Cirillia, ou Tinuviel, elle restait toujours une jeune femme timide et relativement effacée, ce qui coïncidait souvent avec l’image de la jeune vierge qui mouillait sa culotte à la moindre caresse. De plus, et pour ne rien arranger, Alice avait dans les veines le sang du Dragon, un sang fort et puissant, un sang qui appelait la vie et l’énergie, et qui ne laissait rien au hasard. Tous ces éléments faisaient que Tessia ne flattait pas vraiment les seins d’une personne ordinaire. Alice, elle, avait simulé sa jouissance, dans le seul but de pouvoir enfin se caresser. C’était une technique qu’elle expérimentait avec Mélinda, car, comme pour Tessia, Mélinda aimait bien la frustrer, et plusieurs des esclaves de la vampire lui avaient dit de recourir à cette technique. Alice essayait de piéger Mélinda ainsi, sans savoir que, avec son sixième sens vampirique, Mélinda ne pourrait jamais être piégée, et, quand elle sentait Alice vouloir jouer avec elle, elle la narguait alors, et n’hésitait pas à la fouetter.

Tessia ne tarda pas à lui dire qu’elle l’avait grillé, et Alice rougissait, en se pinçant les lèvres.

« Je... Maîtresse, euh... »

Pour toute réponse, la femme l’embrassa voracement, Alice couina, en sentant sa Maîtresse agir plus nerveusement, plus intensivement, sur son corps. Elle soupira donc, en sentant le plaisir exploser en elle, puis, enfin, enfin, elle sentit les doigts de Tessia s’enfoncer dans son vagin. Le plaisir explosa dans ses cuisses, comme si une bombe en feu venait d’exploser.

« HNNNNNNNNNNNNNN !! »

Elle se tortilla sur place, gémissant longuement, et il ne lui fallut pas moins d’une minute pour jouir véritablement. Elle se tortilla sur son fauteuil, son corps parcouru d’intenses émotions de plaisir, des ondes qui traversaient tout son corps. Le plaisir explosa donc sur place, et elle jouit longuement, balançant sa crème avec plaisir, de longs soupirs s’échappant de sa bouche.

« Hmmmmmm... !! »

Ohhhhh, si ça faisait du bien ! Au moment de jouir, au moment d’atteindre l’orgasme tant souhaité, tout son corps sembla se détendre en un coup, avant de se relâcher, et elle expulsa des litres de cyprine, balançant son jet sur les doigts de Tessia, puis entre ses cuisses, haletant et couinant longuement... Sa résistance avait été digne d’un petit ponton en bois face à une tempête. Comment aurait-il pu en être autrement ? Tessia lui avait torturé les seins, la mettant dans un tel état que son corps n’avait eu besoin que d’une petite pousse supplémentaire pour pouvoir s’abandonner totalement...

Ce qui, en l’état, venait précisément d’arriver.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le vendredi 13 mars 2015, 20:05:57
Tessia senti plus qu'elle ne vit la jeune tête blonde entre ses mains trembler, se tendre, s'arquer comme un arc qu'on bande. Celle-ci mis moins d'une minute pour gicler son plaisir sur ses doigts et tremper son canapé de cyprine. Puis, comme une poupée de chiffons, elle se détendit et se relâcha complètement dans son étreinte. La succube interrompit son baiser, laissant sa jeune élève retrouver son souffle.

- Bon, je constate que vous avez finalement obtenu ce que vous vouliez, ricana la succube. Mais j'ose espérer que je n'ai pas déjà épuisé tout vos forces. J'ai des envies moi aussi... Commenta la succube en retirant ses doigts de l'intimité de la petite princesse avec un bruit de succion humide.

Libérant sa poitrine dans le même mouvement, Tessia se dirigea vers une porte fermée qu'elle ouvrit, révélant sa chambre à coucher. Une grand pièce dotée d'un grand lit double disposant de montants de bois verni ornementé de nombreux anneaux donnant autant de prises pour toutes sortes d'attaches. Tessia avait dû faire construire ce lit sur commande mais elle en était particulièrement contente, celui-ci offrant des dizaines d'opportunités en plus en terme de bondage qu'un lit classique ne pouvait offrir.

- Nous serons plus confortable céans pour la suite jeune fille. Lui indiqua la démone d'un air entendu. Tâchez donc de vous y rendre par vous même. Et si vous ne pouvez vous y rendre en marchant, j'aurais plaisir à vous voir à quatre pattes plus vite mademoiselle Alice...

Sur ces paroles, Tessia entra dans la chambre et commença à retirer ses affaires pour sortir sa tenue de latex (http://pictures.hentai-foundry.com//b/bobbydando/280432.jpg). Elle l'enfila ensuite dos à son élève avant de se retourner pour aller l'attendre près du lit.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 17 mars 2015, 00:53:03
Alice venait de jouir, et c’était clairement quelque chose de merveilleux, surtout après une telle attente. Maîtresse Tessia l’avait pour ainsi dire torturé, en lui refusant ce précieux sésame, ce précieux et magnifique orgasme, tant attendu, tant souhaité, et finalement obtenu. La Princesse venait de jouir, elle venait de se libérer, et elle se sentait maintenant clairement plus détendue, nettement plus apaisée. Son corps était au repos, son organisme en fusion, et Tessia n’avait pas envie d’en finir ici… Pas plus qu’Alice. Pour elle, ce n’était qu’une introduction, car elles n’avaient encore rien fait, et, au vu de son expérience, Alice se voyait mal partir maintenant, après en avoir fait si peu. Elle était, sur ce point, relativement insatiable, et toujours très assoiffée. Tessia se rendit ainsi vers une porte, et, le cours d’informatique totalement oublié, elle se rendit dans sa chambre. La tête blonde rougit en voyant son lit, constituée d’attaches et de liens… Un lit spécial, qui la fit déglutir.

Maîtresse Tessia se retourna ensuite vers elle, délivrant quelques ultimes instructions :

« Nous serons plus confortable céans pour la suite jeune fille. Tâchez donc de vous y rendre par vous même. Et si vous ne pouvez vous y rendre en marchant, j'aurais plaisir à vous voir à quatre pattes plus vite mademoiselle Alice...
 -  B-Bien, Maî… Maîtresse… »

Encore une fois, Alice déglutit, reprenant son souffle, puis se pencha vers l’avant. Elle pouvait y aller debout, oui, car elle n’avait, après tout, pas fait grand-chose pour l’heure, si ce n’est souffrir. Son corps était une pile électrique en train d’exploser, mais Maîtresse Tessia préférerait sans doute la voir se déplacer à quatre pattes. C’est en suivant cette idée, ô combien pernicieuse, qu’Alice se mit à ramper lentement, posant ses bras sur le sol, puis avança de cette manière. Ne portant pas de robe, elle n’était pas trop gênée pour rejoindre la chambre, ses joues toujours très rouges… Sans trop savoir si cette rougeur venait de l’excitation ou de la gêne. C’était probablement un subtil mélange des deux.

Quoi qu’il en soit, elle s’approcha de Tessia, et vit que cette dernière était en train de se changer. Elle se retourna face à elle, assise sur le lit, dans une sublime tenue en latex noire, qui était un appel clair sur ce qui allait se dérouler sous peu. Une tenue qui lui rappelait ce qu’elle avait l’habitude de trouver dans les placards de Mélinda, et qui fit rougir Alice… Et la fit encore déglutir. Elle s’avança un peu plus lentement, voyant ces cordes noires, cette tenue qui dévoilait aussi bien les seins de la femme que son intimité parfaitement épilée. Elle était assise sur le rebord du lit, et Alice la rejoignit, pénétrant dans la pièce, son visage près de ses jambes et de ses pieds. Elle en avait suffisamment fait l’expérience avec Mélinda pour savoir comment, à partir de maintenant, les choses allaient fonctionner. La Maîtresse ordonnait, et l’esclave, en l’occurrence ici Alice Korvander, suivait, fidèlement, sans se poser de questions.

Elle se rapprocha donc du lit et des jambes de Tessia, hésitant à venir les lécher, mais se disant que, avant de le faire, il fallait un ordre exprès de cette dernière. Le cœur battant la chamade dans sa poitrine, elle releva donc la tête, son regard se posant vers celui de Tessia, au-dessus de sa généreuse poitrine, et, d’une voix faible, entrecoupée par le désir, elle posa une question :

« Que… Que désirez-vous que je… Que je vous fasse, Maî… Maîtresse ? »

Alice était prête à obéir !
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le mardi 17 mars 2015, 12:18:25
Tessia regarda la jeune fille qui rampait à quatre pattes dans sa direction avec un sourire gourmand.

Soit elle essaie de me faire croire qu'elle ne tient plus debout, soit elle cherche à m'exciter d'avantage...

En regardant plus intensément dans les yeux de la petite blonde, Tessia se fit la réflexion que cela ressemblait plus à une tentative de lui plaire et elle se sentit fière d'avoir mis la main aussi facilement sur une fille aussi docile et soumise.

Il faut absolument que je rencontre son entraîneuse, elle a vraiment fait du très bon travail.

Terminant son approche, la jeune fille s'immobilisa toujours à quatre pattes proche de ses jambes et reprit la parole.

« Que… Que désirez-vous que je… Que je vous fasse, Maî… Maîtresse ? »

Tessia lui sourit et releva son menton à l'aide de son pied pour qu'elle la regarde bien en face.

- Tout d'abords, vous changer pour une tenue plus appropriée... Lui sourit la démone en exhibant le collier de cuir à grelot qu'elle avait apporté avec elle. Vous me laisserez bien qu'une petite chatte dans votre genre sans son collier, ça fait désordre... Et pour le reste...

La démone exhiba de longs gants en latex noir ainsi que de longs bas dans la même matière et de la même couleur.

- Le blanc est bien trop virginal pour une personne comme vous. J'ajouterais même qu'il prête à confusion. Voici donc vos uniques vêtements pour la suite, dit-elle en insistant bien sur le mot "unique".

Tessia se tourna ensuite vers le capteur le plus proche.

- Cortana, je veux l'album MCMXC A.D. d'Enigma (https://www.youtube.com/watch?v=I-6q8_nrTUA) en volume intermédiaire je te prie.

- À vos ordres maitresse, répondit obséquieusement la pseudo intelligence artificielle avant de lancer dans les divers hauts-parleurs de la chambre les airs de chants grégoriens adoucis de musique new age du groupe en question.

Sur un autre ordre de sa maîtresse, l'assistante informatique éteignit l'éclairage principal de la pièce, allumant les divers lampes à abat-jours rouge qui tamisèrent l'ambiance de la pièce, la rendant beaucoup plus intime sans pour autant l’assombrir. Tessia voulait profiter de la vue du corps de son élève après tout.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 23 mars 2015, 01:05:55
À quatre pattes devant Tessia, Alice était aux ordres de sa Maîtresse, comme une bonne petite esclave, comme si la servitude était quelque chose de chimiquement insérée dans son corps, enfoncée bien profondément dans son organisme. Belle et autoritaire, experte dans le domaine du sexe, Tessia avait clairement toutes les qualités requises pour être une bonne Maîtresse. Alice était sous le charme, et elle savait que Tessia n’en avait pas encore fini avec elle. Elle lui présenta ainsi une nouvelle tenue à enfiler, plus appropriée, selon elle, aux circonstances. Une tenue très simple, en trois éléments :

  • Un collier en cuir avec un grelot, , une espèce de petite cloche qui sonnait quand on marchait, et qu’on avait plutôt l’habitude de voir autour d’animaux domestiques ;
  • De longs gants noirs en latex ;
  • Des collants noirs en latex.



Et c’est tout, ce que sa Maîtresse précisa bien. Alice acquiesça lentement, tandis que sa Maîtresse demandait à l’ordinateur de lancer une musique, qui ne tarda pas à défiler. La Princesse se releva alors, et, les joues toujours rouges, en l’absence d’indications lui disant d’aller à un endroit précis, choisit de se déshabiller en direct. Il ne lui fallut qu’une vingtaine de secondes pour finir toute nue, et elle résista à la tentation de cacher son sexe. Tessia pourrait ainsi voir qu’il était parfaitement épilé, une chose que Cirillia lui avait appris et que Mélinda avait confirmé. Avant elles, Alice n’avait jamais songé à prendre soin de sa féminité, ayant toujours peur de tout ce qui, de près ou de loin, pouvait s’approcher de cette petite fente.

Alice aperçut une fiole d’un liquide lubrifiant à côté, et s’en empara. Le latex était une texture très collante, et, avant de s’en enfiler, il était souvent conseillé d’appliquer sur les portions du corps visées une lotion, qui aurait simplement pour but de lisser les poils, et ainsi de faciliter la pose du latex. Ainsi, pendant une minute, sous les yeux de Tessia, toute nue, Alice se frotta, s’appliquant. Être nue devant Tessia ne semblait guère la déranger outre mesure. La jeune Princesse, naïve, et jadis sexuellement innocente, avait maintenant évolué. En un sens, elle était toujours innocente, car elle n’avait toujours pas totalement conscience de tout ce que le sexe impliquait. Elle couchait pour cela très facilement avec les autres, car, dans sa tête, le sexe n’était rien de plus, fondamentalement, qu’une manière de se prouver une affection mutuelle et sincère.

La Princesse finit donc par attraper les gants, et commença par les mes enfiler. Elle tira sur ces derniers, se pinçant les lèvres, en sentant le latex glisser contre sa peau, puis venir l’épouser. Alice s’amusa ensuite à fermer les poings, à faire crisser ce latex, et, une fois les deux gants mis, se caressa les lèvres avec ses doigts noirâtres. Que c’était agréable ! Elle savourait ce goût, mais, alors qu’elle commençait à se mordiller les doigts, Alice préféra songer à quelque chose de plus productif, et s’assit sur le sol, puis entreprit, ensuite, d’enfiler les collants. Ce n’était pas facile, car les collants se tortillaient, et, sans sa lotion, elle se serait probablement faite très mal ! Néanmoins, soucieuse de plaire bien comme il faut à sa Maîtresse, Alice s’appliquait, et réussit ainsi à tirer sur les deux collants, puis les relâcha.

La première fois que Mélinda lui avait fait enfiler du latex, Alice avait eu l’impression d’étouffer, tant cette tenue collait et serrait au corps. Avec le temps, elle avait compris que c’était justement là toute la force du latex… Et c’était très joli à voir. Il ne restait maintenant plus que le collier, qu’elle attrapa, avant de le regarder pendant quelques secondes. Elle papillonnait des yeux, en sentant une sourde et profonde excitation pointer en elle.

*Ce spectacle devrait m’horrifier, mais, en réalité, il ne contribue qu’à m’enchanter…*

Avait-elle un problème ? Excitée comme une puce, elle devait retenir les tremblements nerveux de son corps, et enfila autour de son cou le collier demandé. Ceci ne lui prit que quelques secondes, et elle se tint ensuite devant sa Maîtresse, les joues rouges, habillée comme la femme l’avait demandé, serrant ses mains à plusieurs reprises.

« Co… Comment me… Me trouvez-vous, Maî… Maîtresse ? » s’enquit-elle ensuite.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le lundi 23 mars 2015, 08:22:20
« Co… Comment me… Me trouvez-vous, Maî… Maîtresse ? » Demanda la jeune fille à Tessia qui lui sourit en répondant.

- Je vous trouve délicieusement appétissante, répondit la démone avec un air légèrement affamée. Vous ferez un souper tout à fait présentable. Mais en premier lieu...

La succube se recula dans le lit, s'installant plus confortablement, les jambes légèrement écartées, laissant son intimité parfaitement glabre à la libre appréciation de sa nouvelle conquête.

- ... Il convient que vous soyez la première à déguster. Termina Tessia en faisant signe à la demoiselle d'approcher.

La succube s'amusa du bruit que fit le grelot tandis que la petite princesse blonde pénétrait dans le lit. Elle la laissa venir encore quelque peu avant de dresser souplement l'une de ses jambes sur le chemin de la demoiselle.

- Comme nous savons toutes deux que vous n'êtes pas étrangère à ce genre de jeu, je vous laisse commencer par cette jambe. Prenez votre temps, j'ai le miens.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 25 mars 2015, 01:20:22
Fébrile, Alice était très excitée par ce qu’elle voyait, et par ce qui allait, sous peu, arriver. Elle était habillée comme une traînée, face à une femme habillée comme la plus belle des Maîtresses. Ce spectacle était tout simplement fascinant, et Alice attendait les ordres de sa Maîtresse. Elle choisit de s’enfoncer davantage dans le lit, habile et joueuse, experte et maîtresse d’elle-même et de ses mouvements. Elle vit ainsi son intimité, une légère fente intime, parfaitement bien entretenue, magnifiquement épilée. Elle n’avait aucune trace d’un quelconque poil pubien, et, en la voyant, Alice déglutit lentement. La belle restait toujours à quatre pattes, avec son collier à grelots autour du cou, et se pinça ensuite les lèvres, s’approchant d’elle. Le grelot émit une sonnerie, comme une chienne qui se déplacerait… Ce qui, en l’état, était le cas. Il ne manquait en fait plus qu’une queue de chienne dans les fesses, comme celles que Mélinda avait, et deux oreilles poilues et triangulaires, et Alice aurait alors tout de la parfaite chienne de service. Elle grimpa donc sur le lit, chaudement excitée, se pinçant les lèvres. C’était plus fort qu’elle… Non seulement Maîtresse Tessia était belle, mais, avec cette tenue en latex sur son corps, sa beauté en était fortement magnifiée. Alice adorait voir les cordes en latex filer le long de son ventre, et elle se surprenait à fantasmer à l’idée de les lécher.

Alice se rapprochait d’elle, jusqu’à voir l’une des jambes de Tessia se relever. Le pied de sa Maîtresse, recouvert de son collant, heurta son front, et elle frissonna, se rappelant toutes les fois où Mélinda avait joué avec ses pieds sur d’autres personnes. Alice sentit le contact long et frais de ce pied, et se pinça les lèvres, serrant ses poings sur les couvertures du lit. Ce pied, qui avait agi comme un tendre mur, glissa ensuite sur sa joue, pour que les doigts de pied de sa Maîtresse se posent ensuite sous son menton.

« Comme nous savons toutes deux que vous n'êtes pas étrangère à ce genre de jeu, je vous laisse commencer par cette jambe. Prenez votre temps, j'ai le mien. »

Alice rougit encore. Était-elle si évidente que ça à percer ? Elle n’osait pas trop y croire, mais sa Maîtresse l’avait bien dit… Elle n’était pas étrangère « à ce genre de jeu »… La Princesse rougit, et hocha la tête de gauche à droite, comprenant clairement ce que cette femme voulait. Elle rougit donc, et avança sa tête, venant lécher le flanc de son pied, timidement au début, avec une délicatesse infinie, puis elle se pinça les lèvres, reprenant son souffle… Et, continuant à serrer ses mains sur la couverture, elle lécha avec un peu plus de conviction, son organe lingual remontant le long de son flanc, caressant ce latex, frissonnant sous ce contact frais, tendre, presque électrique. Elle lécha ainsi, jusqu’à atteindre les doigts de pied, qu’elle s’attaqua à lécher, à suçoter, à embrasser, et à mordiller. Haletant, gémissant progressivement, elle léchait ensuite la plante de ce pied, déposant de multiples baisers, ses cheveux caressant parfois ce pied.

La Princesse s’appliquait, tout simplement. Transformée en une simple chienne, elle jouait avec le pied de Maîtresse Tessia, sans relâche, avec une lente et tendre attention, qui trahissait l’excitation qu’elle ressentait. Le fétichisme… C’était Mélinda qui lui avait transmis ce fantasme, et, quand elle remuait sa tête, parfois, le grelot cliquetait, ou se frottait contre le pied de la femme. Alice se concentrait toutefois essentiellement sur les doigts de pied de sa Maîtresse, évitant d’utiliser sa main, sa Maîtresse ne lui ayant, en effet, pas donné l’ordre de le faire.

« Hum-hum… »

Gémissant de plaisir, Alice s’appliquait donc, y prenant de plus en plus goût, sa langue glissant le long de ce pied magnifique. Elle ne comptait pas s’arrêter, uniquement quand sa Maîtresse le lui dirait.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le mercredi 25 mars 2015, 09:23:17
Tessia sourit en regardant la jeune blonde lui lécher le pied avec application. Écoutant le grelot tinter avec amusement. Si elle avait voulu pousser la farce jusqu'au bout, elle aurait pu sortir le plug anal en forme de queue canine qu'elle gardait dans son placard ainsi que les oreilles assorties, mais elle ne savait pas si la demoiselle était familière de cette pratique-là. Souhaitant ne pas trop la brusquer dans un premier temps, elle se laissa cajoler par son élève, la regardant longuement lui lécher le pied et ses orteils en particulier.

Cependant, plus le temps passait, plus la jeune blonde démontrait sa maîtrise de l'acte fétichiste, plus la succube se dit que la jeune fille avait été entrainé par quelqu'un de compétent. Et si l'entraîneuse était moitié aussi expérimentée qu'elle, la demoiselle devait en savoir bien plus long sur le sexe et alors Tessia risquait de passer pour fade à se limiter à ces jeux de débutante. Ho certes, établir clairement la hiérarchie en humiliant la soumise était une pratique de base, mais si la soumise connaissais déjà sa place, il n'était nul besoin d'insister sur ce point plus que nécessaire. Mais pour le savoir, il n'y avait qu'une manière de faire : Elle devait récolter des informations. Hors sa meilleure source à l'heure actuelle usait de sa langue sur ses pieds, ce qui n'était guère pratique pour parler. Tessia attendit donc encore un peu, s'assurant que son pied avait été correctement enduit de salive pour reprendre la parole.

- Hmmm... Je constate une certaine expertise en la matière... Glissa Tessia tout en usant de ses orteils pour les glisser sous le menton de la jeune fille afin de le relever et pouvoir la regarder dans les yeux. Une autre maitresse a déjà réclamé votre corps, je me trompe ? Demanda la démone en faisant glisser son pied le long de la gorge de la jeune fille avant de cueillir son sein du bout de ses orteils. Pourriez-vous me révéler de qui il s'agit ou est-ce-là chose que vous préférez garder pour vous ?

Ce disant, la succube réussit à attraper le téton de la jeune fille entre deux orteils et le fit rouler légèrement tout en attendant sa réponse.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 29 mars 2015, 01:33:02
Alice léchait ce pied avec une envie palpable, et un talent de plus en plus certain. Sa langue filait sur ce morceau de latex sans relâche, d’avant en arrière, de haut en bas, sur les coins. Elle le mordillait, l’embrassait, et, plus elle léchait, plus le latex crissait et couinait, et plus il était facile de glisser dessus, de l’embrasser, de le serrer, de le tenir… Elle jouait avec ce pied, tout simplement, et, plus elle jouait avec, et plus le plaisir était fort, avec le désir et son insatisfaction croissante. Alice tremblait sur place, gémissait, et elle continuait à s’attaquer à ce pied, pendant de nombreuses minutes, sans jamais s’arrêter. Elle s’appliquait consciencieusement, jusqu’à ce que Maîtresse Tessia ne déplace son pied. Ce pied, qui était maintenant très humide, semblait luire, comme si le latex reflétait toute la salive qu’Alice avait déposé dessus pendant ses nombreuses minutes. La passion et le talent avec lequel Alice avait léché ce pied, s’attaquant à ses doigts de pied, à son talon, frottant ses joues dessus, était sans équivoque. Tout cela trahissait la forte passion de la Princesse, et un talent que Tessia allait naturellement chercher à percer à jour.

Le pied de sa Maîtresse se posa sur son menton, soulevant le visage aux joues rouges de la belle tête blonde, et Alice la regarda, clignant des yeux à plusieurs reprises, comme un moyen de se replonger dans la réalité. Sur sa langue et sur ses lèvres, elle avait le goût du latex, une sensation fraîche, collante, agréable. Elle sentit ce pied glisser le long de son torse, et, pour mieux l’accompagner, Alice releva un peu la tête, ses mains serrant les draps, sa vulve laissant, à nouveau, s’échapper sa délicate mouille.

« Hmmm... Je constate une certaine expertise en la matière… Une autre maitresse a déjà réclamé votre corps, je me trompe ? lui demanda-t-elle, de sa voix sensuelle et autoritaire. Pourriez-vous me révéler de qui il s'agit ou est-ce-là chose que vous préférez garder pour vous ? »

Alice n’avait, en soi, aucune clause de confidentialité à respecter, mais elle ne répondit pas tout de suite, car elle commença par gémir et par soupirer. En effet, Tessia venait d’empoigner l’un de ses seins, et caressait son téton. Elle se mordilla les lèvres, et donna un petit baiser sur le collant de la femme, avant d’y frotter son nez et sa joue, comme une espèce de chienne qui réclamerait des câlins de la part de sa Maîtresse.

« N-Non, vous ne vous trompez pas, Maîtresse… »

La Princesse savait qu’il y avait des choses à ne pas dire, comme le fait qu’elle vienne de Terra. Mélinda lui avait dit que les Terriens étaient beaucoup moins enclins à la magie que les Terrans, et que crier sous tous les toits qu’elle venait d’un autre monde ne pourrait qu’engendrer des problèmes. De fait, c’était grâce à Mélinda qu’Alice pouvait se trouver ici en ce moment, car c’était elle, la vampire, qui hébergeait et prenait soin d’Alice.

La femme enchaîna donc assez rapidement, tout en levant une main, afin de caresser la longue jambe fuselée de Tessia, filant de haut en bas, lentement, juste afin de sentir le contact de ce latex sur sa paume.

« C’est… C’est Mélinda Warren qui m’héberge… Et… Elle est comme vous, une Maîtresse… Elle a de nombreux esclaves au lycée Mishima, et… C’est elle qui m’a sexuellement formé… Haaannn… C’est une grande perverse, et elle adore me… Hunnn… Me sodomiser… »

Alice remuait de droite à gauche, admettant sans problème tout ce que Mélinda lui faisait. Il y avait, chez Alice, une sorte d’innocence dans le sexe, non pas parce qu’elle était chaste (loin s’en faut), mais parce qu’elle avait tendance à voir les relations sexuelles comme quelque chose de normal, presque de banal. Un point de vue assez impressionnant, mais qui expliquait bien des choses sur la manière dont elle se comportait habituellement.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le lundi 30 mars 2015, 17:21:39
La démone écouta la demoiselle avec attention. La partie sur la sodomie lui fit cependant lever un sourcil, même si au fond cela ne la surprenait guère. La jeune fille blonde confirma d'un coup tous ses soupçons. quelqu'un l'avait bien formée, et au nom donné, elle doutait qu'il s'agisse d'un homme. Chose confirmée par le pronom féminin que la demoiselle attacha à son titre de "maîtresse".

Par conte, ce qui interloqua et inquiéta quelque peu la succube fut la partie comme quoi cette "Melinda Warren" avait de nombreux esclaves au lycée où elle devait sous peu commencer à enseigner. Et qui disait "esclave" disait par définition "propriété de". Hors si elle avait appris une chose avec les années c'était bien que les maîtresses avaient tendance à vouloir garder leurs esclaves pour elles.

Elle repensa songeusement à la première partie des ébats qu'elle avait eu avec la demoiselle. Théoriquement, il n'y avait pas eu d'autres choses que des caresses et un orgasme de la part de la jeune blonde en face d'elle. Toujours théoriquement, rien de supposer fâcher une propriétaire. Mais la douce Alice semblait bien trop entraînée pour être une chienne sans collier. La logique voudrait que son élève lui ait signalé si elle appartenait déjà à quelqu'un, mais Tessia avait attaqué un peu d'entrée de jeu et n'avais pas laissé beaucoup de marge de manœuvre à la demoiselle pour protester.

Le doute la taraudant, Tessia se redressa, écartant son corps de la demoiselle et la regarda fixement dans les yeux.

- Mademoiselle Alice, avez-vous des devoirs envers madame Warren ? Vous possède-t-elle comme l'une de ses esclaves vous aussi ? Suis-je en train d'empiéter sur sa propriété en m'accaparant votre temps et votre corps ?
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 01 avril 2015, 01:47:31
L’étonnante question de Maîtresse Tessia interpella Alice, qui redressa la tête, en clignant des yeux à plusieurs reprises.

« Mademoiselle Alice, avez-vous des devoirs envers madame Warren ? Vous possède-t-elle comme l'une de ses esclaves vous aussi ? Suis-je en train d'empiéter sur sa propriété en m'accaparant votre temps et votre corps ? »

N’ayant plus le goût du pied de Tessia sur ses lèvres, Alice se redressa à son tour, et alla même jusqu’à, tout simplement, s’asseoir sur les fesses. Elle pencha ensuite la tête sur le côté, en se demandant ce que cette phrase voulait dire. Alice l’avait dit juste pour expliquer à Maîtresse Tessia pourquoi elle était si douée dans le sexe, et elle ne s’attendait vraiment pas, de fait, à ce que cette remarque engendre un blocage chez elle. Elle ne répondit donc pas pendant quelques secondes, ce qui était aussi, pour elle, le temps nécessaire pour reprendre son souffle.

Elle avait senti le doute dans la phrase de Tessia, son hésitation, et elle sourit donc. Les rivalités entre maîtres… Elle savait que l’esclavage était un milieu extrêmement concurrentiel, et elle en avait ici la preuve. Alice se pencha donc en avant, un sourire taquin sur les lèvres, et avança à quatre pattes, pour se rapprocher de Tessia, tout en s’enfonçant davantage dans le lit.

« Mélinda ne me contrôle pas, Tessia… Je suis son amie, pas l’une de ses esclaves… Même si elle aime bien me traiter comme telle, je suis libre… »

Alice lui sourit à nouveau, en se redressant un peu, et déposa un baiser sur la joue de Tessia, ses seins venant, au passage, frotter ceux de la femme. Après ce bref baiser, suivant son inspiration, Alice se rapprocha de l’oreille de Tessia, et murmura tout contre cette dernière :

« Libre de choisir de me soumettre à qui je veux… Maîtresse Tessia. »

Elle avait soufflé l’un de ses mots, de manière sensuelle, et poursuivit ensuite, en se redressant un peu :

« Mais, si tu y tiens, nous pourrons aller voir Mélinda ensuite… Je suis sûre qu’elle sera ravie de te voir, et de savoir tout ce que tu as à fait subir à mon pauvre petit corps… »

Alice, de fait, était convaincue que Mélinda s’était attendue à ce que les choses se passent ainsi entre elle et Tessia. C’était en effet typiquement le genre de plans que Mélinda pouvait faire.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le jeudi 02 avril 2015, 14:06:42
« Mélinda ne me contrôle pas, Tessia… Je suis son amie, pas l’une de ses esclaves… Même si elle aime bien me traiter comme telle, je suis libre… »

la jeune fille sourit à Tessia qui continuait à la regarder d'un air attentif. Se redressant un peu, elle déposa un baiser sur la joue de la succube, frottant brièvement sa poitrine contre celle de son enseignante, faisant frisonner cette dernière.

La demosielle en profita ensuite pour se pencher à l'oreille de la démone et lui glisser la suite de sa phrase.

« Libre de choisir de me soumettre à qui je veux… Maîtresse Tessia. Mais, si tu y tiens, nous pourrons aller voir Mélinda ensuite… Je suis sûre qu’elle sera ravie de te voir, et de savoir tout ce que tu as à fait subir à mon pauvre petit corps… »

- Son amie ? Répéta Tessia en haussant un sourcil surpris. J'ai rarement entendu parler "d'amies" qui traitent leurs copines comme des esclaves et les sodomisent à l'envi, remarqua-t-elle amusée. Votre amie commence a vraiment m'intéresser mademoiselle Alice.

Ce disant, puisque la succube savait désormais que le jeune fille pouvait être considérée plus ou moins comme "prête à l'emploi", Tessia posa une main sur la nuque de la jeune fille et caressa en descendant sa colonne vertébrale jusqu'à atteindre ses belles fesses rondes en lisses qu'elle empoigna fermement. Pour peaufiner sa prise, elle usa de son indexe pour caresser doucement l'anus de la petite princesse blonde.

- Et puisque vous êtes venue si proche de moi, j'ai là deux seins qui apprécieraient quelques excuses pour avoir été usés par votre petite tête blonde comme oreillers. Ils auraient fort besoin d'êtres nettoyés après usage... termina la succube avec un petit rictus coquin sur les lèvres.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 06 avril 2015, 02:12:52
Sans même avoir vu Mélinda, Tessia était déjà surprise par cette dernière… Mais, dans ce cas, que dire d’une femme qui profitait d’un simple cours d’informatique pour transformer son élève en esclave sexuel ? Tessia était-elle mieux que Mélinda sur l’échelle de la moralité ? Alice en doutait, et, fort heureusement, elle n’était pas là pour faire le procès mutuel de ces deux femmes. Et puis, après tout, une relation sexuelle à deux impliquait nécessairement deux partenaires, et donc deux partenaires fautifs sur l’échelle des bonnes mœurs. Mélinda, tout simplement, était une grande perverse, la matrone d’un harem depuis plusieurs siècles. Sa luxure et sa perversion avaient largement eu le temps de monter et de croître, atteignant des sommets. Tessia aussi l’était, et il fallut laisser à la belle femme un peu de temps pour comprendre qu’Alice n’était effectivement pas une esclave, mais que son amie la traitait souvent comme telle. Alice, quant à elle, réalisa que Mélinda n’était visiblement pas une relation de Tessia, et elle se demanda si le fait de tomber sur une femme dominatrice amatrice de latex n’était pas juste, finalement, une coïncidence… C’était à croire qu’Alice avait une sorte de don inné pour s’attirer à elle toutes les belles femmes dominatrices du monde !

Quoi qu’il en soit, quand Tessia comprit qu’elle ne risquait rien, la belle femme recommença à caresser Alice, qui frissonna. Elle était déjà excitée, et l’hésitation de Tessia n’avait fait que la frustrer, ce qui fit que sentir cette main glisser sur son dos, et se rapprocher de ses fesses, déclencha en elle de longs frissons de plaisir.

« Haaa… » gémit Alice, quand elle sentit les doigts de Tessia empoigner ses belles fesses, se rapprochant ensuite de sa rondelle.

Ainsi maintenue, Alice n’en menait pas large. Ses seins étaient tendus sous l’effet du plaisir, elle se mordillait les lèvres, tout contre la tenue horriblement sexy et terriblement provocante de cette femme. Son amour du latex, ou, plus généralement, du BDSM (dans toutes les composantes de ce dernier), était encore un héritage de Mélinda. C’était la vampire qui adorait la ligoter, qui adorait la fouetter, ou encore la sodomiser… Alice songeait à tout cela, tandis que son nez caressait les cordes de la femme, et que sa langue, intuitivement, les léchait.

Maîtresse Tessia, car elle était maintenant clairement redevenue sa Maîtresse, profita de ce moment pour lui donner des instructions supplémentaires, afin de poursuivre leur jeu :

« Et puisque vous êtes venue si proche de moi, j'ai là deux seins qui apprécieraient quelques excuses pour avoir été usés par votre petite tête blonde comme oreillers. Ils auraient fort besoin d'êtres nettoyés après usage... »

Alice rougit, et comprit ce que Maîtresse Tessia voulait dire. En conséquence, elle releva un peu la tête, ses mains caressant les hanches de la femme, et elle prit l’un de ses seins en bouche, après une petite remarque d’acquiescement :

« O-Oui, Maîtresse, il faut qu’ils soient bien propres… »

Non pas qu’ils soient particulièrement sales, en réalité. Alice prit le sein gauche de Tessia en bouche, et le suça, comme elle l’avait fait avec Mélinda et avec les esclaves de cette dernière. La Princesse gémit de plaisir, lentement, longuement, remuant sa bouche d’avant en arrière, puis alla ensuite s’attaquer au sein droit, remuant encore sa tête, d’avant en arrière, et s’amusant surtout à les lécher. Elle savourait ce moment, et, parfois, la Princesse ne suçait même pas, elle se contentait de lécher et d’embrasser, s’appliquant. Les seins de Tessia étaient durcis et tendus, signe du plaisir que sa Maîtresse ressentait. Tout cela était particulièrement délicieux, en vérité, et, parfois, Alice s’amusait même à lécher l’espace de latex entre ses seins.

« Hum-hummm… Maîtresse est… Est si délicieuse… »

Alice mouillait délicatement, sa cyprine tombant sur les cuisses et sur les jambes de Tessia, comme étant l’expression la plus pure et la plus honnête de son plaisir.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le mercredi 08 avril 2015, 20:45:56
Tessia se mordait doucement la lèvre inférieure, gémissant doucement tandis que la jeune fille blonde léchait ses seins, les suçotait, les embrassait parfois. La succube appréciait au plus haut point l'application de son élève en ce domaine et se fit la réflexion qu'elle lui demanderait de rencontrer sa formatrice, ne serais-ce que pour la féliciter de l'excellent travail qu'elle avait fait sur la petite princesse.

« Hum-hummm… Maîtresse est… Est si délicieuse… » La complimenta la jeune fille, faisant glousser la succube.

Pour démontrer son affection à la jeune fille qui lui faisait tant de bien, Tessia perfora doucement l'anus de la demoiselle d'un index agile qu'elle agita ensuite en rythme avec les attentions de sa petite élève sur sa poitrine. Titillant analement la demoiselle au moyen de ce dernier, elle la laissa continuer deux petites minutes à ce rythme, appréciant de sentir les goutes de cyprine tiède qui tombaient sur sa jambe. aggripa ensuite les cheveux de la jeune blonde pour forcer sa tête et ses lèvres contre les siennes.

- Félicitation mademoiselle Alice, lui souhaita la jeune femme avec un sourire coquin. Vous avez mérité une petite récompense, dit-elle en lui désignant le tiroir d'une commode. Vous y trouverez quatre objets, deux qu'il vous faudra revêtir et deux qu'il faudra m'apporter. Je fais confiance à votre jugement pour définir ce qu'il convient avec chacun d'eux.

Ce disant, Tessia activa discrètement ses pouvoirs pour remplir le tiroir car il était en réalité vide. Dedans, elle fit apparaître un set constitué d'un serre-tête en forme d'oreilles de chat ainsi qu'un plug anal rattaché à une fausse queue féline. Toutes deux étaient de l'exact blondeur des cheveux de la petite princesse ce qui donnerait la parfaite illusion qu'ils appartenaient à son corps. Les deux autres objets qu'elle y fit apparaître furent une paire de menottes et un martinet dont Tessia se faisait fort d'user pour restreindre la petite blonde, hésitant encore si elle souhaitait se servir du martinet sur ses belles fesses ou ses seins. Mais en panne d'idée, elle se dit qu'elle essayerait sur les deux, voyant ce qui aurait le plus d'effet.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 10 avril 2015, 01:42:51
Quand le doigt de Maîtresse Tessia s’enfonça dans son fessier, Alice émit un silencieux couinement. Sa tête était enfouie contre les confortables seins de la femme, et elle soupira à l’idée de ce doigt remuant faiblement en elle. Elle redressa lentement la tête, continuant à jouer avec les seins mis à nus de Tessia. Sa bouche filait sur chacun d’entre eux. Heureuse et joueuse, Alice jouait avec cette belle poitrine, jusqu’à ce que sa Maîtresse ne lui ordonne d’arrêter, et de se rendre vers une autre partie de la pièce, afin de poursuivre leurs activités :

« Félicitations mademoiselle Alice. Vous avez mérité une petite récompense. Vous y trouverez quatre objets, deux qu'il vous faudra revêtir et deux qu'il faudra m'apporter. Je fais confiance à votre jugement pour définir ce qu'il convient avec chacun d'eux.
 -  D’accord, Maîtresse... »

Maîtresse Tessia semblait être ravie de ce qu’Alice lui faisait, et la jeune Princesse s’écarta alors, pour rejoindre la commode. Elle l’ouvrit en s’humectant les lèvres, et y vit des instruments... Des instruments qu’elle avait l’habitude d’utiliser avec Mélinda. La vampire aimait bien les jouets, et s’en servait volontiers avec Alice ou les autres esclaves de son harem. Elle vit ainsi un serre-tête avec des oreilles de chatte, un plug anal relié à une queue poilue, ainsi qu’une paire de menottes et un martinet. Alice rougit en les voyant, se pinçant les lèvres. Entre ses cuisses, elle sentait quelque chose se mettre à palper, et elle soupira, comprenant tout à fait ce que la femme voulait faire avec elle. Deux objets à mettre, deux autres à lui apporter. Le choix n’était pas trop difficile. Maîtresse Tessia avait très visiblement envie de perfectionner le rôle de petite chienne qu’elle lui avait attribué. Être ainsi insultée avait quelque chose de profondément excitant, même si Alice ne pouvait pas trop se l’expliquer. Ça l’excitait, voilà tout.

Ayant une petite idée derrière la tête, elle enfila donc le serre-tête, el calant bien sur sa tête, puis attrapa la queue, et la glissa dans son fondement, en soupirant lentement. Elle dut se courber vers l’arrière, en écartant bien les jambes, offrant ainsi à Tessia une belle vue sur sa croupe, avant de le glisser en elle.

« Hnnnn... ! »

Avec cet instrument en elle, elle souffla lentement, puis glissa la paire de menottes autour de son cou, et se mit à genoux, avant de se mettre à quatre pattes... Et, dans sa bouche, elle tenait le martinet, puis leva la tête, son regard croisant celui de Maîtresse Tessia. Elle soupira, puis s’avança vers la femme, et frotta sa tête contre sa jambe, telle une belle petite chienne ravie de revoir sa Maîtresse. Oui, Alice se complaisait plutôt bien dans son rôle de chienne, et elle se redressa lentement, venant poser sa tête près du bassin de Tessia, le visage relevé, lui offrant ainsi la possibilité de saisir le martinet, ses beaux yeux bleus la fixant silencieusement. Alice cligna des yeux à plusieurs reprises, tout en continuant à mouiller, répandant sur le sol sa cyprine.

Oh, si elle pouvait adorer ça !
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le mercredi 15 avril 2015, 12:14:20
Tessia prit gentiment le martinet de la bouche de la petite princesse blonde, la délestant aussi des menottes. Elle lui caressa ensuite la tête comme s'il s'agissait d'une vrai chienne.

- Bien, gentille Alice... Lui dit-elle avec un sourire taquin.

La succube se décala ensuite sur le lit et tapota la place qu'elle occupait précédemment.

- Ici petite salope ! Allez, hop ! Et fais la belle ! Lui ordonna-t-elle avec un sourire encourageant tout en ouvrant les menottes pour les préparer pour son élève, ayant passé le martinet sur son épaule en attendant.

Tessia avait pris sa décision. D'abords elle l'attachait à quatre pattes au lit, ensuite elle attaquerait ses fesses pour les faire rougir comme de belles tomates. Elle n'en revenait toujours pas que la jeune blonde soit aussi docile et surtout aussi joueuse malgré qu'elle doive se douter qu'elle allait souffrir dans les minutes à suivre. Pourtant, qu'elle était belle et désirable dans sa tenue de chienne soumise. La succube sentait son intimité goutter sur ses draps à la regarder ainsi.

Je vais bien jouer avec elle... Songea la démone en frémissant d'avance.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 18 avril 2015, 02:41:08
Alice obtempérait sans rechigner. Quand on connaissait son père, on comprenait tout à fait pourquoi elle agissait ainsi. Tywill Korvander, son père, était le Roi de Sylvandell. C’était un homme massif, faisant plus de deux mètres de haut. Il était extrêmement autoritaire, avec une voix bourrue, et ne pouvait pas prononcer plus de cinq mots sans y dresser une grossièreté. Alice avait toujours eu peur de lui, et, en conséquence, avait toujours vécu docilement, accomplissant les ordres de Tywill sans discuter, même si elle n’était pas très douée. Tywill avait voulu faire d’elle une Princesse guerrière, mais elle avait toujours été incapable de se battre à l’épée, de se battre avec ses poings, d’utiliser la magie, ou les arcs. Chaque échec l’avait amené à perdre davantage confiance en elle, au profit des hurlements furieux et frustrés de son père, incapable de comprendre ce qu’il allait bien pouvoir faire avec cette femme. Seule l’équitation était quelque chose qu’elle appréciait. Mais c’était bien insuffisant pour Tywill. En conséquence, Alice avait toujours grandi dans la docilité, et en manquant de confiance en elle-même, convaincue qu’elle était un déchet, et une honte pour sa famille. Elle avait commencé à retrouver sa confiance quand le Patriarche l’avait confirmé comme héritière d’Erwan Korvander, le Premier Roi de Sylvandell. Le Dragon d’Or avait fait d’Alice la future Reine de Sylvandell.

Sa confiance, elle l’avait ensuite retrouvé avec Cirillia, une chasseuse de monstres qui avait tenté de tuer un dragon de Sylvandell, un crime très important dans le royaume. Capturée, elle avait échappé à la mort en réussissant à se rapprocher d’Alice. Tywill avait chargé la Princesse de fouetter Cirillia, afin de la punir, et afin d’amener Alice à retrouver un peu de poigne. La tête blonde avait lamentablement échoué, et Cirillia avait réussi à vendre sa cause en devenant la formatrice d’Alice… Et en la violant. Mais un viol qui n’en avait pas vraiment été un, car Alice avait été consentante dès le départ. Il avait juste fallu la pousser. Avec Ciri’, Alice avait découvert qu’elle était une femme, et avait commencé à s’intéresser au sexe. Sa rencontre avec Tinuviel Lastrim, dans la foulée, avait confirmé cet attrait.

Et puis, sa route avait croisé celle de sa femme, Sakura, une esclave sexuelle qu’elle avait racheté, et avait décidé de se marier. Un choix politique courageux, et qui avait déclenché, au sein de la capitale impériale, une levée de boucliers hostile. Tywill Korvander avait approuvé ce choix. Lui ne voulait pas d’un sordide mariage politique avec l’une des puissantes familles de l’Empire, un mariage qui n’aurait eu que pour effet de dilapider Sylvandell en la vendant aux Impériaux. Ce mariage avait permis de protéger le royaume, et avait montré qu’Alice, quand il le fallait, n’hésitait pas à prendre des décisions courageuses.

Ensuite, et pour terminer le tableau, Alice avait croisé Mélinda Warren. La vampire était, depuis de nombreuses années, en affaires avec Sylvandell, qui lui vendait une partie de ses prisonniers de guerre. Elle se chargeait de les éduquer, puis en renvoyait ensuite une partie à Sylvandell. Elle était revenue dans le cadre d’une renégociation décennale des termes du contrat, et en avait profité pour se rapprocher d’Alice. Une relation intime et forte avait vu le jour entre les cuisses d’Alice ce soir-là, et, depuis lors, cette relation n’avait fait que se confirmer. Mélinda, en effet, ne voulait pas lâcher son amitié avec une Princesse, et Alice, elle, appréciait Mélinda. Même malgré tout ce que la vampire pensait et faisait, Alice était convaincue que, fondamentalement, elle avait bon fond.

Et voilà donc où elle se trouvait, devant Tessia, devant une femme surprise par la soumission rapide d’Alice. Une soumission qui n’était que la conséquence d’une vie. Alice aimait l’idée d’obéir à de belles femmes, comme avec Mélinda, dont le comportement fort et autoritaire était, pour elle, une source d’inspiration.

Tessia récupéra le martinet et les menottes, puis lui donna de nouveaux ordres. Observant la femme avec ses grands yeux bleus, Alice obtempéra, et bondit sur le lit, en se dépêchant. Faire la belle… Cet ordre l’excitait. Elle se mit donc sur ses jambes arrières, ou, plus exactement, sur ses genoux, et se dressa donc. Faire la belle, ça consistait à se redresser, et c’est ce qu’elle fit, faisant face à la femme. La « petite salope » avait les joues légèrement rouges, et les seins tendus. Autant de signes exprimant son fort plaisir.

« Est-ce que je vous plais comme ça, Maîtresse ? » demanda-t-elle, en écartant légèrement les mains.

Elle ignorait tout des projets de Tessia, mais elle était évidemment prête à les suivre.

Être soumise aux autres, c’était particulièrement agréable, en fait, surtout quand les autres étaient aussi belles.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le lundi 20 avril 2015, 16:33:08
- Vous n'imaginez pas à quel point, répondit la succube à la question de la jeune demoiselle avec un sourire affamé.

Tessia donna un baiser sur le front d'Alice et en profita pour fermer l'une de menottes sur son poignet gauche. Elle fit ensuite se pencher la jeune blonde en avant afin de faire passer la chaîne des menottes dans l'un des anneaux de son lit avant d'en referme l'autre cercle de métal autour du second poignet. Ainsi agenouillée, penchée en avant et retenue au lit par le crochet, sa poitrine pendant dans le vide, elle ne pouvait plus guère se soustraire à la démone.

- Bien jeune fille, maintenant que vous voici en position, il me semble me souvenir que vous avez tenté de me tromper sur la nature de votre jouissance ce tantôt... Cela mérite une punition. Dit Tessia en passant la main le long de la colonne vertébrale de la demoiselle, y faisant naître la chaire de poule.

Puis elle prit position derrière elle, le martinet sur l'épaule, le manche reposant sur son sein.

- Le nombre de treize me semble approprié pour vous, dit la succube en passant sa main sur la peau lisse et blanche des fesses de la jeune princesse. Vous allez compter votre punition pour moi. Si je n'entends pas assez bien ou trop indistinctement le nombre, je reprendrais au chiffre en-dessous.

Tessia fit quelque exercices d'étirement pour se chauffer le bras en parlant. Puis elle saisit le martinet et le leva bien haut avant de l’abattre sur la fesse droite de la petite princesse. Le coup n'était guère puissant, mais les lanières de cuir émirent un claquement des plus satisfaisant en rencontrant la peau lisse et rebondie du derrière de la jeune fille.

La succube sourit en entendant la réaction d'Alice et leva à nouveau son fouet à queues multiples pour abattre sur l'autre fesse de sa jeune soumise.

Tessia continua ainsi, alternant fesse droite et gauche, de chaque côté de la fausse queue occupant  le bouton de rose de la princesse blonde. Et plus celles-ci rougissaient et devenaient sensible, plus la démone donnait de vigueur à ses coups, prenant cependant bien garde de ne pas laisser de marque durable sur le fondement de sa jeune victime. Intérieurement elle compta également les coups, curieuse de voir si elle en donnerait plus que les treize annoncés.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 21 avril 2015, 01:58:10
Maîtresse Tessia entreprit rapidement de la positionner bien comme il fallait, dans une position particulièrement soumise. Elle était penchée vers l’avant, à quatre pattes, le poignet immobilisé par une menotte rattachée au lit. Se mordillant les lèvres, Alice remua son corps de gauche à droite, en sentant Tessia tourner autour d’elle. Se mettant à parler, la femme la menaçait, et Alice se doutait de ce qu’elle avait en tête. Elle ne lui avait pas amené un martinet pour rien, après tout. Alice soupira à nouveau, déglutissant lentement, tandis que Tessia énumérait le nombre de coups qu’elle allait lui donner :

« Le nombre de treize me semble approprié pour vous. Vous allez compter votre punition pour moi. Si je n'entends pas assez bien ou trop indistinctement le nombre, je reprendrais au chiffre en-dessous.
 -  O-Oui, Maîtresse... » réussit à articuler Alice, non sans gémir quand la main de sa Maîtresse caressa ses fesses.

Dans cette position, elle était clairement à elle, maintenant. Son esclave. Son objet. Une belle petite poupée que Tessia pouvait fièrement exhiber, et jouait avec. Impossible qu’Alice se rebelle, elle était soumise, et elle avait bien noté son ordre. Elle aurait pu s’offusquer de ce traitement, mais elle en était maintenant bien incapable. Dans son corps, seule dominait la soif, et un plaisir fort, un désir qui était en train d’exploser dans son corps. Elle soupira longuement, serrant ses mains sur la couverture.

Elle pouvait sentir les déplacements d’air. Le martinet frôlait son corps quand Tessia s’échauffa, puis il se redressa... Et s’abattit sur elle.

« Haa... ! »

La Princesse poussa un hurlement strident, un couinement aigu, ses mains venant se crisper sur la couverture. Soupirant lentement, elle se rappela alors l’ordre de mission donné par Tessia, et s’éclaircit la gorge, avant de parler, d’une voix forte :

« U-Un !! »

Premier coup de fouet ! Elle tremblait sur place, car elle savait qu’elle n’était pas encore au bout de ses peines. Tessia avait choisi de se concentrer sur ses fesses, et chacun de ses coups faisait remuer d’avant en arrière le corps d’Alice. Elle se mordillait les lèvres, et serrait ses poings sur la couverture, en sentant chaque coup. Le cuir était une matière noble et forte. Le second coup de fouet s’abattit sur sa fesse gauche, et son corps bondit en avant, Alice heurtant de la tête le mur contre lequel le lit était appuyé.

« De-Deux, haaaannn... !! »

Ce n’était pas la première fois qu’on fouettait ainsi Alice en lui demandant d’énumérer le compte des coups. Tinuviel lui avait aussi infligé cette souffrance, et Mélinda l’avait également fouetté, l’attachant en croix, pour la molester dans le dos. La Princesse n’avait jamais été contre, ce qui était l’ultime preuve de sa passion pour le sadomasochisme. Les coups de cravache continuaient à s’abattre, alternativement et régulièrement, parfois forts, parfois doux.

« Trois... Haaaaaa... !! Qua-Qua-Quatreeeeuuuuhh !! Ciiiiinnnqqq !! »

Forte et trébuchante, sa voix sautillait sur place, comme pour exprimer toute sa tension nerveuse. Imperturbable, Tessia continuait à la fouetter, encore et encore, continuant ainsi à lui rappeler sa position de soumise, de petite femme obéissante.

« Haaa... Haaaan, Maî-Maîtresse, haaaaaaaaaaaaaaa... Siiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiix !! »

Et, encore et encore, Alice énumérait le nombre de coups. Son cul lui faisait terriblement mal, mais cette douleur avait quelque chose de profondément jouissive.

Ah, c’était tout simplement merveilleux !
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le mardi 21 avril 2015, 13:46:49
« Haaa... Haaaan, Maî-Maîtresse, haaaaaaaaaaaaaaa... Siiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiix !! » Gémit la jeune fille sous les coups de martinet de la succube qui souriait de toutes ses dents. Elle-même sentant son excitation augmenter tandis qu'elle molestait le derrière rougis de la princesse blonde.

Elle était rendue à la moitié des coups promis et sentait son excitation gagner des sommets. La jeune demoiselle était décidément très obéissante et elle adorait ça. Le travail de dressage n'expliquait pas tout, elle devait avoir une inclinaison pour le sadomasochisme de longue date pour réagir aussi bien à ce traitement plutôt violent. La démone ne pouvait qu'imaginer les longues heures d'entraînement qu'il avait fallu pour pousser une fille si jeune et innocente à devenir si lubrique et soumise.

Tessia remis le martinet sur son épaule et pausa ses mains sur les fesses malmenées de la demoiselle, les empoignant à pleines mains et les malaxant sans grande douceur, histoire de tester la réaction de la jeune fille.

Satisfaite du résultat, elle s'éloigna vers une commode dont elle revint avec un objet qu'elle avait acquis à Ashnard. Un bandeau solide et épais fait de cuir matelassé sur lequel un artiste Sylvandien avait représenté un dragon et doublé de soie. Il n'était pas du genre qui se nouait, mais se fermait au moyen d'une boucle d'acier qui, une fois fermement resserrée, était verrouillée par un petit cadenas. Ainsi ajusté, l'ôter par soi-même était particulièrement difficile même avec les mains libre. Il servait pour priver les esclaves de leur vision sur des périodes prolongées et avait appartenu à un dresseur d'esclave spécialisé dans les esclaves de plaisir et intervenait dans la phase du dressage juste après le renoncement afin de faire comprendre aux esclaves qu'elle seraient dépendante des autres ainsi que du bon vouloir de leur maître ce pour une durée dont elles ignoraient tout. Il participait au processus visant à briser les esclaves dans la période juste après le renoncement les menant doucement à la soumission.

Tessia approcha donc la jeune blonde par-derrière et fit glisser le bandeau devant ses yeux sans prévenir, le serrant d'un geste expert derrière sa tête, l'ajustant pour qu'il soit aussi serré que possible sans pour autant qu'il le soit trop. Une fois satisfaite, elle verrouilla le cadenas et murmura aux oreilles de la jeune fille.

- Vous avez très bien supporté jusqu'ici, mais comment savoir où vont arriver les prochains coups ?

Tessia ajoutait ainsi une nouvelle dimension au jeu : l'appréhension. Désormais la petite princesse blonde ne pourrait plus compter que sur ses autres sens pour deviner d'où viendraient les prochains coups. Privée de la vue qui gère la plus importante partie des sens humains, elle en serait réduite à s'appuyer sur ses quatre autres sens. Mais tessia n'en avait pas fini avec elle.

La succube alla chercher aussi un casque audio wireless qu'elle posa sur la tête de la jeune fille, prenant bien garde de dégager ses cheveux afin de faire en sorte que le casque bloque bien les bruits extérieurs. Elle commanda ensuite à Cortana de lancer une playlist spéciale dans les écouteur, inondant ceux-ci de douces musiques lascives et de chants de femmes suaves comme si elles chantaient du fond de leur lits après avoir passé la nuit à faire l'amour.

La jeune blonde, désormais aveugle et guère loin d'être sourde, ne pouvait désormais plus définir autrement que par le toucher éventuellement d'où pourrait provenir les prochains coups si elle était assez sensible pour sentir les déplacements d'air.

Tessia tourna alors autour du lit et de sa proie, telle une charognarde à la beauté sensuelle. Elle avança une main et effleura le ventre de la princesse, la regardant se crisper avec un sourire. Au moment où elle rentrait le ventre, le martinet claqua durement sur son dos pour la septième fois. tessia fit le tour du lit, effleurant du bout des doigts l'épaule droite de la jeune fille qui frisonna. Puis elle passa ses doigts le long de l'intérieur de la cuisse de celle-ci pour la tromper avant de faire cette fois claquer les lanières contre ses seins pendant dans le vide pour son huitième coup.

Enchaînant directement, le neuvième coup porta cette fois contre l'arrière des cuisses de la demoiselle. Puis Tessia remit le martinet sur son épaule et glissa ses doigts le long des flancs de la demoiselles, enchaînant sur de sensuelles caresses sur le ventre, surtout autour de son nombril. Soudain, le neuvième coup remonta d'entre ses jambes pour claquer sur son intimité, mais Tessia y avait mis moins de force, connaissant la sensibilité de cette partie-là.

La démone caressa longuement la pauvre vulve maltraité de la jeune blonde, y déposant même un baiser. Puis le onzième coup tomba sur son dos avec cruauté. jamais le même temps entre les coups, jamais sûre qu'une zone récemment caressée n'était qu'un leurre, aucune logique saisissable hormis le fait qu'elle était impuissante à savoir ce qui allait lui arriver et à quel moment. Elle n'avait pas d'autre choix que de se soumettre et d'accepter tout ce qu'elle lui donnait, en douleur comme en plaisir.

Tessia se coula ensuite sur le dos récemment flagellé de la demoiselle, frottant sa poitrine contre celui-ci avant de glisser ses mains le long de ses flancs pour ensuite saisir ses seins durcis d'excitation et de plaisir et les pétrir, jouant avec comme elle l'avait fait plus tôt. Profitant de sa potion, elle donna de nombreux baisers dans la nuque et le coup de la jeune demoiselle. Puis elle saisit le martinet et en fit claquer les lanières contre le ventre de la princesse pour la douzième fois.

Se dégageant avec un pettit sourire, elle se porta sur le flanc de la jeune fille et ceuilli son menton entre ses doigts, retournant sa figure haletante entre ses doigts avant de l'embrasser passionnément. Elle investi sa bouche et une longue minute durant, elle chassa sa langue dans sa bouche, l'enroula avec la sienne, la goûtant comme on goûte un fruit dont vous êtes la propriétaire. Elle sépara ensuite sa bouche de la jeune fille et avec un sourire, lui souffla entre ses lèvres ouvertes :

- Treize...

Le martinet claqua depuis le côté de la fesse gauche de la jeune demoiselle, fouettant l'ensemble du derrière de celle-ci. Et Tessia écouta pour savoir si son élève avait perdu son compte ou non.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 21 avril 2015, 20:12:47
Tessia allait encore jouer avec elle. Alice le savait, et s’en doutait très bien. Sa Maîtresse lui avait déjà prouvé, à plusieurs reprises, combien elle était joueuse et pugnace. Attachée par un poignet contre le lit, la Princesse soupira lentement. Tous ses nerfs étaient aiguisés, tout son corps tremblait, et Tessia n’avait pas encore fini de la maltraiter. Arrêtant de la fouetter, elle entreprit d’alterner entre souffrance et douceur, mélangeant les sentiments et les sensations à la perfection... Pour Alice, c’était ainsi qu’il fallait être pour correspondre le mieux à ses fantasmes : un gant de dureté dans une main de velours. Tessia alternait les caresses et les coups de cravaches, et prépara un peu mieux Alice. La tête blonde gémit quand un fin bandeau noir se posa sur ses yeux, mettant du noir dans son regard. Elle secoua lentement la tête, remuant son corps, puis laissa ensuite Tessia déplacer ses cheveux, afin de mettre sur sa tête un casque sans fil,  diffusant dans ses oreilles des musiques sensuelles et lascives, mais qui eurent aussi pour effet de la couper davantage du monde extérieur. Priver plusieurs sens renforçait la sensibilité des autres, et, en l’espèce, le toucher... Alice devenait plus sensible à chaque caresse, et à chaque coup de cravache.

La femme jouait avec son corps, et Alice continuait à soupirer, serrant ses mains sur les couvertures. Quand Tessia finit par la retourner, et par l’embrasser goulûment.

« Hnnn... !! »

Alice répondit à son baiser. Une main immobilisée, l’autre alla s’appuyer sur l’un des seins de la femme. Loin d’être insensible à ce changement der ton, ou à ses coups de fouet, Alice mouillait de plus en plus. Quand Tessia avait caressé son sexe, elle avait probablement pu sentir toute la mouille qui s’échappait des cuisses de la femme pour venir décorer le lit. Avec la sueur ruisselant le long de son dos, les draps étaient bons pour être nettoyés longuement après leur séance. Pour autant, Alice était incapable de ressentir autre chose qu’une soif dévorante, mélange de douleur et de plaisir.

Et, bien sûr, à chaque coup, elle égrenait les coups, jusqu’au dernier, qui s’abattit après ce long baiser, sur ses fesses.

« Trei... Treize, Maîtresse... Haaaa... »

Pas un cri, non, mais un long soupir. Alice clignait des yeux sous le bandeau, ne s’entendant même plus parler. Seule dominait une musique sensuelle, et, avec sa main libre, elle s’appuyait à l’épaule de cette dernière, jambes écartées, son corps s’affaissant sur le lit. Ses fesses étaient bien rouges, et elle avait aussi des marques sur le ventre, ou au milieu du dos. Fort heureusement, rien ne saignait, mais elle sentait quand même des picotements là où Tessia l’avait fouetté. Serrant les lèvres, Alice était encore rendue à elle, incapable de lui résister.

Après ces coups de fouet, elle s’offrait à elle, hoquetant et soupirant, les lèvres entrouvertes, ses seins tendus. Tout son corps était comme une corde de piano tendue au maximum. Tout ne faisait qu’exprimer un plaisir insolent et une soif mortelle.

« Maîtresse... C’est... C’est... Haaa... J’ai mal au cul... » finit-elle par lâcher, sans trop savoir quoi dire.

Elle avait juste eu envie de dire quelque chose, mais n’avait pas réfléchi à la fin de sa phrase, et avait donc sorti la première chose qui lui venait à l’esprit.

Tessia ne l’avait pas loupé !
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le mercredi 22 avril 2015, 00:16:57
« Maîtresse... C’est... C’est... Haaa... J’ai mal au cul... » déclara Alice au vide à côté de l'épaule de Tessia.

La succube contempla la jeune fille d'un air attendri, profitant qu'elle ne pouvait le voir. Elle avait merveilleusement obéi, comptant jusqu'au dernier coup. Elle était désormais offerte à nouveau, l'intimité ruisselante de désir, se raccrochant à elle comme une naufragée à une bouée, en sueur comme si elle avait couru des heures durant. Mais Tessia était sure que la jeune blonde avait encore de la réserve. Cependant, elle avait enduré correctement son mauvais traitement, elle méritait une récompense.

La démone se dégagea de l'étreinte de la demoiselle et alla chercher une autre paire de menottes dont elle se servit à son retour pour entraver le second poignet de la jeune fille. Celle-ci était désormais les deux poings liés à son lit, chacun d'un côté de celui-ci en position légèrement écartelée. À moins de se reposer sur le métal froid des menottes, ce qui n'était pas agréable et avait tendance à gêner la circulation sanguine, elle n'avait plus d'autre choix dans sa position à genoux, d'user de ses muscles abdominaux pour maintenir sa position relativement contraignante et inconfortable. Et Tessia avait une excellente idée pour la forcer à les solliciter encore plus.

La succube vint se mettre à genoux sur le côté de la jeune fille avant de glisser délicatement sa main sur son dos, caressant les marques encore récentes laissées par le martinet sur la peau de la jeune fille. Dans son autre mains, elle tenait un baillon-anneau dont le cercle rigide recouvert de latex était relié à deux chaînettes portant à leurs embouts des pinces à tétons. Elle caressa le dos de la jeune blonde pour la pousser à gémir avant de délicatement lui prendre le menton et enfoncer ses doigts dans ses joues pour l'empêcher de fermer la bouche pendant qu'elle lui enfilait cet humiliant ornement et le serrait derrière sa tête. La succube fit ensuite baisser la tête à sa soumise avant de régler les chaînettes de façon à ce qu'elles soient juste assez grandes pour être tendues une fois les petites mâchoires des pinces à tétons refermés sur les seins de sa victime.

La jeune fille devait sans doute sentir que quelque chose pendait à sa bouche, mais elle frémit et émit un son tout à fait satisfaisant quand les cruelles petites dents de carbone se refrènement sur ses tétons dressés. Pour bien lui faire comprendre de quoi il s'agissait, Tessia lui fit relever un peu la tête, la faisant sentir que quand celle-ci bougeait, la traction sur ses seins allait augmentant en conséquences. Et avec l'anneau forçant sa bouche ouverte, la jeune fille allait maintenant baver sans pouvoir se retenir et avaler la bouche ouverte lui serait difficile. La démone compléta son oeuvre en posant une pince à nez sur celui de la demoiselle, la coupant alors de tout signal olfactif. Il ne restait plus à cette dernière que son toucher et potentiellement, son sens du goût, si tant est qu'elle puisse goûter autre chose que le latex recouvrant le tube de son bâillon.

Satisfaite, Tessia retourna derrière sa captive et posa ses mains sur son derrière malmené qu'elle caressa avec la tendresse d'une amante se mourant d'amour pour elle. Dessinant du bout des doigts les contours des marques laissées par le cruel martinet, l'institutrice embrassa ensuite ce délicieux fondement. De bisous en bisous, elle redessina chaque marques sur le cul de la princesse enchaînée, s'attardant pour lécher délicatement les bords de son bouton de rose déjà occupé par le plug à fausse queue féline.

Puis la succube se pencha pour le plat de résistance. Utilisant ses pouvoirs, elle grandit magiquement sa langue pour que celle-ci, une fois déployée hors de sa bouche, fasse une bonne quinzaine de centimètres.

- Bon appétit ! Se souhaita-t-elle à elle-même.

Avec ce nouvel appendice, l'institutrice commença le long et lent nettoyage buccal de l'intérieur des cuisses de la demoiselle, lapant les longues traînées de cyprine qui s'y trouvaient, laissant la princesse gémir et se torturer elle-même chaque fois qu'elle bougeait la tête de sa position contraignante pour le cou, faisant tirer les pinces refermées sur ses tétons.

Quand elle eut léché suffisament de liquide vaginal sur les cuisses de son élève, Tessia apposa alors ses lèvres contre l'intimité de cette dernière et l'embrassa comme s'il s'était agit des lèvres de sa bouche. Elle senti la belle crisper les muscles de son ventre, déjà durement sollicités par sa position, mais la démone n'en avait cure. Les crampes faisaient partie de son panel de douleur qu'elle pouvait appliquer à ses meilleures soumises.

Tessia déroula ensuite son interminable organe et commença un cunnilingus en règle sur la petite princesse. Elle était de toute façon déjà si tendue et excitée que la démone ne s'attendait pas à ce qu'elle résiste bien longtemps. De toute façon, ça faisait partie du bagage de toues les bonnes soumises : entre les mains de sa maîtresse on ne réfléchit pas, on obéit et on ressent. La réflexion n'avait pas grand-chose à voir là-dedans quand vous étiez déjà demandeuse de ce genre de traitement.

Tout y passa, clitoris, grandes et petites lèvres et en guise de cerise sur le gâteau, la succube fit entrer son immense langue dans l'intimité de la jeune fille et la fit tortiller en elle comme une sorte de tentacule chaud et humide. Elle n'attendait plus que la jouissance de sa victime pour passer à la suite du programme.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 23 avril 2015, 02:04:29
Alice n’était pas au bout de ses peines, ce qu’elle savait pertinemment. Après les coups de martinet, Tessia n’allait pas s’arrêter là. Elle avait laissé le corps de la jeune Princesse en feu, et entreprit de continuer à l’abîmer. N’ayant pas de yeux, Alice devait se laisser aller, et posa sa main dans la menotte. Elle se retrouva ainsi, assise sur ses genoux, ses bras à gauche et à droite, tendus à l’extrême contre le lit. Une position de plus en plus précaire, et Tesia n’en avait pas encore fini. Alice couina et gémit quand elle sentit Tessia s’attaquer à sa bouche. Bien entendu, elle se laissa faire. De toute manière, même si elle avait voulu la repousser, elle en aurait été incapable. Son corps continuait encore à doucement frémir des multiples coups qu’elle avait reçu. Elle sentit un bâillon sur ses lèvres, et crut initialement à un gag ball... Mais c’était, en réalité, une machinerie plus complexe. La Princesse sentit une sorte d’anneau de latex autour de ses lèvres, un instrument qu’elle avait déjà vu chez Mélinda, et qui permettait d’enchaîner sans arrêt les fellations. Était-ce ça que Maîtresse Tessia comptait lui faire, maintenant ? Violer sa belle petite bouche, enchaîner les gorges profondes ? La Princesse soupirait longuement, et cligna des yeux sous son masque. Non... Non, ce n’était pas aussi simple, car elle sentait des chaînettes pointer le long de cet anneau, et les mains de Tessia tirèrent dessus.

Elle les rapprocha de ses seins, et, en sentant le contact froid des chaînes sur sa peau chaude, Alice gémit à nouveau :

« Hnnnn... !! »

Que pouvait-elle faire d’autre ? Vaincue, elle était soumise à cette dernière, et elle sentit des pinces se refermer sur ses tétons. Alice redressa la tête en couinant... Et gémit en réalisant que chaque mouvement de sa tête influait sur ses seins, car, à chaque fois qu’elle remuait, les chaînes bougeaient en harmonie. La Princesse soupirait, encore et encore, serrant ses mains, retenant son souffle, et essayant de se calmer. Ne pas bouger la tête, c’était pour elle une sacrée épreuve, et elle admirait l’ingéniosité de la Maîtresse, les talents de la belle femme. Elle la torturait joyeusement, et elle sentit Tessia se déplacer à nouveau dans son dos, après l’ »avoir bien attaché, terminant le travail par une pince sur son nez.

Alice visualisait sa position. Ce genre d’instruments destinés à bloquer les sens étaient fréquents chez Mélinda, qui se fournissait auprès des boutiques tekhanes. Sur la question du sexe comme sur celle des nouvelles technologies, Tekhos était une civilisation très avancée. Est-ce que Tessia se fournissait aussi là-bas ? C’était peu probable, dans la mesure où peu de Terriens connaissaient l’existence de Terra... Mais, si Alice s’en fiait à sa théorie, celle selon laquelle Mélinda ne l’avait pas envoyé ici sans raison... De fait, vu le traitement que Tessia lui infligeait, et où elles en étaient rendues, Alice se persuadait que cette femme était une associée de Mélinda, peut-être même l’une de ses prostituées, et que tout cela était un jeu orchestré par son amie vampirique. Alice se trompait, bien sûr, mais elle n’avait jamais prétendu avoir la science infuse.

Saucissonnée comme ça, chacun des attouchements de Tessia était amplifié, et, quand la femme s’attaqua à ses fesses, on put l’entendre gémir et soupirer à loisir. Elle se tortillait d’avant en arrière, chose d’autant plus horrible que chaque déplacement trop subit de sa tête faisait souffrir ses seins. La femme continuait à soupirer, longuement, puis gémit à nouveau quand elle sentit un long appendice s’enfoncer dans son sexe.

« Hnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn... !! »

Qu’est-ce que c’était que ce truc? La tête de Tessia était contre son corps... Mais ce truc en elle était trop long pour être sa langue. En fait, cette membrane visqueuse ressemblait à un tentacule... Ce qui, définitivement, entérina l’idée que Tessia n’était pas une simple humaine... La Princesse soupira longuement, en se tortillant. La femme qui s’attaquait à elle était terriblement douée, et, vu son état, Alice n’allait pas pouvoir lui résister longtemps. En soupirant, encore et encore, et en continuant à se tortiller, elle sentit l’orgasme pointer.

Lorsque ce dernier arriva, sa tête partit en arrière, et elle gémit plus longuement, yeux clos, en sentant le plaisir remonter. Sa tête ainsi redressée, ses seins se relevèrent également, lui faisant mal, renforçant son plaisir... Et sa mouille, elle, explosa dans la bouche de Tessia.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! » se contentait de soupirer Alice, à défaut de pouvoir véritablement faire autre chose.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le jeudi 23 avril 2015, 13:42:17
Tessia accueillit la jouissance de sa petite esclave avec plaisir et la bu à même la source, se délectant du parfum de celle-ci. Elle en lécha jusqu'à la dernière goutte, prolongeant ainsi d'autant le supplice de la jeune fille qui se tortillait dans ses attaches. Quand elle eut fini, elle se retira de l'humide intimité de la princesse blonde et fit reprendre à sa langue une taille normale. Elle profita que son élève était un peu essoufflée pour faire le point. La petite en était désormais à deux orgasmes pour ce qu'elle en avait compté. Tessia en avait toujours zéro. Il était temps de contrebalancer un peu l'écart.

Mais au moment où la succube posait la main sur la tête de la jeune fille, un bruit l'arrêta. Une sonnerie, musicale et mignonne, accompagnée des bruits caractéristiques d'un appareil vibrant. Un téléphone portable.

Tessia tourna la tête pour voir que le bruit venait du sac de la princesse. Intriguée, elle saisit le smartphone et regarda ce qui s'affichait sur l'écran. Elle haussa un sourcil très haut. La photo d'une jeune fille très belle, aux longs cheveux bruns tirant sur l'or, bouclés, au profond regard vert et au sourire cruel la regardait avec au-dessous un nom : Mélinda Warren.

La succube reconnut le patronyme immédiatement. Elle était donc la formatrice d'Alice. Son amie disait-elle. Mais juste au-dessus de l'appel figurait un petit texte d'une application servant à l'échange de messages instantanés. Le message était laconique : "Qu'est-ce qui te prend si long ?"

Tessia tourna le regard vers l'horloge et eut envie de pousser un juron. Le cours était supposé durer une heure. La jeune fille s'était présentée à dix-neuf heures tapantes. Il était désormais vingt heures cinquante. Si elle ne répondait pas, la dresseuse d'Alice risquait bien d'envoyer la police tout droit chez elle. Elle usa de son pouce pour appuyer sur l'écran sur la touche prise d'appel.

- Tessia Alexanders à l'appareil, que puis-je pour vous ? Demanda-t-elle en se dirigeant vers Alice dont elle retira les écouteurs d'une main avant de commencer à s'attaquer à lui retirer son bâillon.

Elle espérait juste que la petite princesse comprendrait la situation, même si elle était aussi assez curieuse de savoir ce qu'elle dirait à sa dresseuse.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 24 avril 2015, 01:48:54
Après cet orgasme, Alice se sentait toute chose... Mais elle était toujours attachée, toujours ficelée, toujours ligotée, toujours soumise aux désirs de sa Maîtresse. Tessia continuerait encore très certainement à jouer avec elle. La jeune Princesse respirait et gémissait, surtout quand elle sentit une main se poser sur sa tête. La mystérieuse femme avec un tentacule sortant de sa bouche allait continuer... Quand sa main se retira. Avec son bandeau sur les yeux, et le casque sur les oreilles, la Princesse n’entendait rien, et ne voyait rien. Tout ce qu’elle se disait, c’est qu’elle était sans doute inconsciente d’être aussi excitée dans sa position. Tessia n’était pas une humaine, et elle était ligotée comme une saucisse... Si cette femme voulait la tuer, inviter ses voisins, il n’y aurait personne pour l’en empêcher, ou même pour filmer, et la menacer par la suite. Alice avait toutefois, pour se rassurer, la conviction que cette femme travaillait pour Mélinda, ce qui faisait que, loin de l’effrayer, la perspective d’avoir un public autour d’elle, en train de se masturber, l’excitait encore plus. Elle s’imaginait un cercle d’hommes, pantalons baissés, en train de se masturber, soupirant sur le spectacle de ces deux femmes se faisaient l’amour de manière si ardente et violente. Elle aurait presque pu imaginer sentir leur sperme l’éclabousser... Au lieu de ça, Tessia resta distante pendant quelques secondes, et finit par ôter le casque d’Alice.

« Hunnn... »

La musique sensuelle disparut rapidement, et elle sentit un objet froid et métallique contre son oreille. Mais que se passait-il donc ?! Elle sentit alors une main tirer sur son bâillon, et le retira. Un peu de salive s’échappa, et Alice entendit alors une voix reconnaissable jaillir du combiné :

« Tessia Alexanders ? Mais... Où est Alice ?!
 -  Mé... Mélinda... ?
 -  Alice ? Mais que... Je t’ai dit de ne pas prêter ton téléphone portable, Alice !
 -  Mais... Je ne l’ai pas prêté ! »

Il y eut un léger silence. La voix de Mélinda avait l’air surprise, et pas du tout sensuelle, ou moqueuse, comme Mélinda aimait si bien le faire quand elle venait de piéger quelqu’un, et contemplait ce qu’elle avait fait. Mais là, rien... Seule la surprise dominait dans le timbre de sa voix.

« Bref... Est-ce que le cours se prolonge ? Il était censé finir à 18h00, et tu devais m’appeler AU PLUS TARD avant 18h15... Et il est 18h30 ! »

Le temps avait donc filé si vite ? Alice rougit un peu en se pinçant les lèvres. Est-ce que Mélinda était sincère ?

« Mais... Euh...
 -  Ne me dis pas que tu as crashé un ordinateur !
 -  Non, mais... Euh...
 -  Bon sang, Alice, pour une future Reine, tu manques de verve...
 -  Hey ! Tu... Euh... C’est pas ce que tu crois ! »

Il y eut un nouveau silence, tandis qu’Alice gesticulait un peu. Elle se pinça les lèvres en sentant une douleur forte remonter le long de ses seins.

« Oh... Et qu’est-ce que je suis censée croire, mon cœur ?
 -  Euh... Ben... Euh... »

Elle rougit encore, incroyablement gênée. Mélinda l’ignorait donc VRAIMENT ? Mais alors... Qui était donc Tessia ?! Alice papillonna des yeux.

« Je suppose que ce n’est pas la peine de préparer le dîner pour ce soir, hum ?
 -  Ben... Euh... Je te rappellerai quand... Quand je serais prête... »

Elle gémit faiblement. Les  pinces continuaient à la faire souffrir, à tendre ses seins au maximum, les rendant très douloureux. Mélinda soupira, puis raccrocha alors, et Alice se mordilla les lèvres.

Mélinda ne semblait donc pas savoir les petits secrets de Tessia...

...Et, en réalisant cela, Alice se mit à frissonner à nouveau.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le vendredi 24 avril 2015, 13:26:45
La succube avait tout entendu. L'avantage d'avoir de bonnes oreilles. La petite demoiselle venait de se faire remonter les bretelles par son amie. Mais celle-ci n'avait pas vraiment l'air de parler comme une amie. La démone avait noté le ton autoritaire ainsi que l'inquiétude et la surprise.

Tessia soupira. Autant pour elle, elle avait trop tardé à prendre son propre plaisir et le carrosse de cendrillon n'allait pas encore attendre très longtemps visiblement.

L'institutrice commença à défaire l'un après l'autre les liens de la demoiselle.

- Il semble que l'heure de rentrer soit passée, commenta-t-elle en commençant par ouvrir les menottes retenant les poignets de la princesse blonde contre le lit. Mais vous ne pouvez pas partir comme ça. Cortana, fait couler un bain pour nous laver.

- certainement madame. Ébouillanté, chaud, tiède, froid ou glacé ? Demanda l'IA de sa voix synthétique.

- Chaud, répondit Tessia en retirant les pinces à seins de la princesse blonde avec douceur.

Elle regarda le corps de son élève d'un œil critique. Mais avec un peu de pommade, le lendemain elle n'aurait même plus de traces rouge. Elle retira ensuite la pince à nez et usa de la clef pour ouvrir le bandeau de la princesse. Celle-ci sentait la sueur et le sexe, deux odeurs qui n'eurent pas l'air de la déranger quand elle récupéra son odorat. Mais quand la démone retire le bandeau des beaux yeux bleu de la princesse, l'expression de celle-ci avait changé. Elle semblait d'un coup beaucoup plus méfiante, comme si quelque chose l'avait soudain troublée et la succube haussa un sourcil surpris en voyant ça. Cependant, elle choisit de ne pas le relever.

- Il faut vous laver, vous sentez aussi fort que mille diables, l’informa-t-elle d'un ton neutre. Je vous raccompagnerais en voiture pour compenser le temps perdu au bain. Maintenant détendez-vous...
Dit la succube en se penchant sur les fesses d'Alice pour en empoigner le plug-queue.

Elle tira tout doucement sur lui, l'extrayant avec autant de douceur que possible des fesses de la petite princesse avant de le jeter dans un panier qu'elle usait pour entasser ses jouets sales. Elle reprit ensuite le serre-tête à la jeune fille et celui-ci suivit le même chemin que le plug.

Puis la succube aida la demoiselle à s'asseoir sur le bord du lit. Elle se pencha ensuite à genoux et commença à retirer les bas de latex de la jeune fille. Tessia travaillait en silence, vite et bien, ses gestes nés de la longue pratique qu'elle avait de son art. Elle aida la demoiselle à se dévêtir des carcans de latex avec une rapidité et une aisance presque surnaturelle qui auraient probablement fait rougir d'envie la plus douées des suivantes d'une reine. Ses talents auraient fait d'elle l'une des caméristes les plus compétente de la terre, battant sans doute bien des créatures de vitesse dans l'art de préparer une autre personne, à part peut-être à la mesurer à des créatures plus anciennes qu'elle, et elles étaient légions.

Quand elle se pencha finalement pour écarter les cheveux d'Alice et lui retirer le collier de cuir à grelot du cou, elle eut un soupir. Elle trouvait qu'il lui allait bien.

- Si vous le voulez, je vous l'offre, proposa La succube en détachant l'accessoire avant de le poser sur le lit.

Tessia fronça les sourcils. La petite princesse regardait le bandeau qui avait servit à l'aveugler. Le sceau de la guilde des esclavagistes d'Ashnard visible dans le coin ainsi que le dragon Sylvandien dessus bien en évidence. La succube haussa les épaules. Pour une simple terrienne ça ne voudrait probablement rien dire. Peut-être appréciait-elle juste le style des symboles.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 25 avril 2015, 02:06:45
L’appel de Mélinda avait eu l’effet d’une crevaison, comme si le ballon de baudruche avait explosé en plein vol. Tessia choisit de mettre fin au jeu, et Alice la laissa faire. Les douces et autoritaires mains de Tessia la déshabillèrent intégralement, retirant, les uns après les autres, chacun des multiples accessoires sur le corps, laissant Alice dans une situation troublée. Elle frémissait sur place, en ayant mal ici et là. Ses seins étaient toujours douloureux, tout comme ses fesses. Oh, Alice n’avait pas envie d’arrêter, non, mais elle était surtout étonnée de constater que Tessia n’avait rien à voir avec Mélinda, et qu’elle n’avait pas été piégée par la vampire. Il y avait tellement de leçons à tirer de sa méprise... Elle s’était fourvoyée, que ce soit sur l’influence de Mélinda, ou sur le fait que Seikusu comprenait effectivement de grandes perverses, et qu’elle avait tendance à amplifier l’importance de son amie, et ses relations. Tessia aurait pu la tuer qu’Alice aurait eu un grand sourire sur les lèvres, en croyant jusqu’à la fin à un jeu pervers intenté par Mélinda. D’une manière ou d’une autre, il allait clairement falloir que la jeune femme apprenne à se calmer, et à être plus méfiante. Fort heureusement, Tessia n’était pas méchante... Mais ce n’était pas impossible de tomber par inadvertance sur une personne véritablement malveillante.

Tous les instruments se retiraient, et Alice était bien incapable de dire ce qui traversait l’esprit de Tessia en ce moment. Mélinda lui avait pourtant donné carte blanche pour la soirée... La vampire s’inquiétait, ce qui était normal. Mélinda tenait à Alice, autant pour des raisons personnelles que des raisons intéressées. Elle était la Princesse héritière de Sylvandell, après tout. Ce n’était pas rien, et nullement anodin. Pendant de longues minutes, les deux femmes ne dirent rien, jusqu’à ce que Tessia lui montre le collier qu’elle avait utilisé autour de son cou.

« Si vous le voulez, je vous l'offre. »

Alice lui sourit, et haussa les épaules.

« Non, je ne veux pas abuser davantage de votre hospitalité, Maîtresse... Et je serais ravie de prendre un bain pour détendre mon corps. »

La Princesse était encore excitée. Cette partie de jambes-en-l’air s’était interrompue de manière tellement abrupte, tellement impromptue... Le charme avait-il été rompu par ce coup de téléphone ? Est-ce que Tessia craignait de voir un amant jaloux débarquer en furie chez elle ? Alice devait la rassurer sur ce point ! Elle s’extirpa du lit, et étira ses jambes en soupirant, toujours nue. Elle se retourna ensuite vers Tessia, et lui sourit, puis alla délicatement l’embrasser, sur le bout des lèvres.

« Si vous n’avez rien de prévu ce soir, Maîtresse Tessia, vous n’avez qu’à rester chez Mélinda. Elle sera ravie de vous avoir en sa compagnie ! »

Sur ce point, Alice ne se faisait absolument aucun doute.

Et puis... Et bien, il y avait la question de ce mystérieux tentacule à régler, car Alice était intimement convaincue d’en avoir senti un remuer en elle.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le dimanche 26 avril 2015, 23:58:14
La succube regarda la petite princesse se tourner vers elle et accepta volontiers son baiser, goûtant ses lèvres avec délectation.

« Si vous n’avez rien de prévu ce soir, Maîtresse Tessia, vous n’avez qu’à rester chez Mélinda. Elle sera ravie de vous avoir en sa compagnie ! » Lui suggéra alors la jeune fille, ce qui fit hausser un sourcil surpris à la succube.

- Pourquoi ? Vous ne rentrez pas chez vos parents ? S'étonna la succube en prenant la jeune fille dans ses bras pour la soulever délicatement en mariée, démontrant encore une fois qu'elle avait une bonne force pour son physique.

Tessia écouta l'explication de la princesse d'une oreille attentive tout en se concentrant sur le chemin pour la salle de bain.

La succube ouvrit la porte et entra dans une pièce plus grande que sa chambre à coucher, et pour cause, Tessia était du genre a bien aimer séparer les rôles. C'est pourquoi elle n'avait pas une baignoire avec douche intégrée, mais une baignoire et une cabine de douche séparée, dans un style très européen. La baignoire de forme trapézoïdale occupait les deux tiers du mur gauche en entrant, juste sous la principale fenêtre de la pièce permettant au baigneur de profiter de la vue sur la ville et était suffisamment grande pour y tenir à trois et comportait les nombreuses buses inclues dans la paroi indiquant la possibilité de la transformer en bain à remous si l'envie s'en prenait. La douche, quant à elle, occupait le mur du fond et  était un modèle disposant aussi de nombreuses buses sur les côté pouvant assurer ainsi une douche relaxante et la cabine aurait aussi permit d'y tenir à deux sans se toucher ou à trois en se serrant un peu. Dans une alcôve prévue à cet effet, à côté de la douche, une machine à laver le linge supportait sur son toit une sécheuse à air pulsé, toutes deux en attente de travail. En face de la baignoire, sur le mur opposé, un grand lavabo doté de deux robinets surmonté par une glace qui aurait eue sa place derrière un bar à cause de ses dimensions, permettant de voir l'entier de la salle de bain se refléter dedans. Derrière cette installation, un peu caché, se trouvaient les toilettes. De grandes armoires incluses dans le mur de droite contenaient pléthore de serviettes sur les étagères du haut et d'autres réserves de produits de nettoyage aussi bien pour le corps que pour l'appartement, tous soigneusement classés sur les étagères du bas. Une discrète armoire à pharmacie venait compléter le tout.

Tessia se dirigea vers la baignoire où l'eau était encore en train de couler et entra sans hésitation dans l'eau chaude, la princesse encore dans les bras. Elle s'agenouilla ensuite tout doucement pour que le corps de la jeune fille puisse s'habituer petit à petit à la température de l'eau, guettant ses réaction sur son visage tout en affichant un sourire réconfortant pour la mettre en confiance.

- Allongez-vous et laissez-moi faire. Je vais vous masser un peu histoire de vous détendre et de faire passer les potentielles crampes avant qu'elles ne puissent survenir. Dit Tessia en terminant de déposer la princesse dans l'eau chaude qui lui montait désormais jusqu'au menton, la recouvrant complètement.

Prévenante, la succube posa aussi un linge sous la tête de la jeune fille, histoire qu'elle puisse se détendre complètement tandis que Tessia plongeait ses mains sous l'eau pour saisir avec délicatesse l'une des jambes de la princesse et commencer à en masser la plante du pied.

Le geste n'était pas complètement innocent non plus. En la traitant bien, Tessia poussait aussi la jeune fille à renforcer son lien de confiance et, pourquoi pas, à se confier. La succube était désormais curieuse d'en savoir le plus possible sur la jeune blonde.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 28 avril 2015, 01:45:43
La belle Princesse se retrouva dans les bras de sa Maîtresse, portée comme une jeune mariée. Elle frissonna à ce contact, et pencha sa tête vers la belle femme, en lui souriant gentiment. Aller chez ses parents… Impossible de lui dire qu’elle venait de Terra, Mélinda tenait à ce que ce secret soit conservé. Il fallait éviter de trop parler de Terra, et encore plus éviter de dire qu’elle était une Princesse, surtout face à une étrangère… Ce que Tessia était, indéniablement. Et cela, Alice l’avait bien compris.

« Mon père vit loin d’ici… En attendant de retourner chez moi, je loge chez Mélinda. »

C’était aussi simple que ça. Tessia la guida ainsi vers la salle de bains, et Alice, en clignant des yeux, se laissa volontiers porter. Cette femme était forte, elle avait les épaules solides. Elle la conduisit dans une grande salle de bains, avec une grande douche, séparée de la baignoire. Très clairement, cette femme avait de l’argent. Aurait-elle été davantage tournée vers les réalités socioéconomiques de la Terre qu’Alice aurait pu comprendre qu’elle était trop riche pour une simple professeur à domicile, mais, ayant l’habitude de vivre dans le luxe, elle n’avait pas l’habitude de ce genre de choses. Le Château royal de Sylvandell était petit, mais il restait très riche et très beau… Et, quand on vivait dans le manoir de Mélinda, on baignait dans le luxe.

Se montrant douce et attentionnée, Tessia la porta dans le bain :

« Allongez-vous et laissez-moi faire. Je vais vous masser un peu histoire de vous détendre et de faire passer les potentielles crampes avant qu'elles ne puissent survenir. »

Alice acquiesça  et s’allongea, étirant ses jambes en soupirant. Voilà qu’on la traitait comme une Reine ! Plutôt amusant, quand on y pensait… La jeune femme pencha la tête, et la posa ensuite sur le linge que Tessia avait tenté. L’eau, chaude et agréable, montait dans la baignoire, recouvrant la majorité de son corps. Elle avait les jambes étirées et sentit les mains de Tessia remuer le long de ces dernières, la faisant soupirer. Oh, que c’était bon ! Alice soupira en se mordillant les lèvres, basculant la tête en arrière. Elle sentit la main de Tessia caresser la plante de son pied, et les doigts de pied de la Princesse se crispèrent légèrement.

« Ohhh… Vous êtes douée, Maîtresse… Sentir vos douces et tendres mains sur mon corps, c’est… Haaaa… »

Elle papillonna des yeux à plusieurs reprises, en frissonnant de plaisir. Oui, c’était très agréable, ce petit massage, ainsi que le contact de cette eau chaude sur son corps. On massait fort peu le pauvre corps d’Alice son château. Certes, elle avait des servantes qui l’habillaient et la coiffaient, mais elles venaient rarement dans son bain… Peut-être devrait-elle faire évoluer les choses de ce point de vue ? Oh, comme ce serait bien, de se faire masser dans son bain, au milieu de l’eau chaude…

Yeux clos, Alice se laissait peu à peu aller :

« Mélinda me fait souvent l’amour dans l’eau… J’adore ça, c’est si bon… »

Parler de sexe ne dérangeait nullement Alice, comme on pouvait s’en rendre compte…
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le mardi 28 avril 2015, 11:30:32
Tessia massait de façon experte le pied de la petit princesse. Elle avait appris l'art de masser auprès d'une étudiante en médecine originaire de pékin qui était dans la même université qu'elle en Angleterre. En échange, elle avait appris des centaines d'autres choses à l'étudiante en question. Elle se rappelait encore de ses soupirs dans leur chambre d'étudiantes. Maintenant la demoiselle en question était docteur en neurologie dans une clinique privée de Londre. Elle faisait partie des généreuses donatrices qui aidaient financièrement Tessia et venait lui rendre visite deux à trois fois par an. En règle général elle restait une semaine. Une semaine où elle ne voyait presque rien du Japon car elle était la plupart du temps attachée au lit et bâillonnée.

« Ohhh… Vous êtes douée, Maîtresse… Sentir vos douces et tendres mains sur mon corps, c’est… Haaaa… » Dit la princesse blonde, la tirant de ses réflexions.

La succube la regarda avec un petit sourire. Elle était si belle. Et si peu farouche.

La démone posa le pied de la jeune fille contre son sein afin de pouvoir masser le mollet de celle-ci et pratiquer des étirement plus facilement. Bon la position sur le sein n'était pas nécessaire, mais on ne disait pas à une démone du sexe de ne pas se servir de ses attributs érotique dès qu'elle le pouvait, ça ne se faisait pas.

« Mélinda me fait souvent l’amour dans l’eau… J’adore ça, c’est si bon… » Lui apprit la jeune fille, les yeux clos.

- Si le volume d'eau est suffisant, oui c'est très agréable, convint la succube d'une voix douce tout en détendant le mollet d'Alice. Mais dans une baignoire aussi basse, c'est plus une gêne qu'un avantage, à moins de s'y prendre doucement. Ou alors d'être prêt à répandre de l'eau partout. Continua Tessia d'un ton badin.

Elle passa ensuite à la cuisse de la princesse, la tâtant afin d'en détecter les muscles crispé et pouvoir les étirer ensuite. Elle passa ses pouces fermement sous les cuisses de la princesse pour s'attaquer à son biceps fémoral car celui-ci était parmi les plus sollicité dans les positions à genoux et à quatre pattes. Ce ne fut pas une très grosse surprise pour la succube de voir la princesse bouger inconfortablement en sentant ce muscle en particulier. Le siens était même un peu trop contracté de son avis. Elle devait passer vraiment beaucoup de temps dans ces positions.Elle ne pourrait pas le ré-allonger en une séance, il lui en faudrait trois ou quatre de massage pas forcément très agréable, mais en poussant sur lui maintenant, elle était sure que demain la princesse aurait l'impression de pouvoir sauter vingt centimètres plus haut que d'ordinaires. ce ne serait pas vraiment le cas, mais détendre ce muscle-ci donnait souvent l'impression aux gens d'être montés sur ressorts après.

- Vous savez, je vais vous rembourser la leçon, Dit Tessia d'un ton distrait. Je ne vous ai vraiment pas enseigné grand chose aujourd'hui et je doute que vous en ayez retenu beaucoup. De la partie informatique tout du moins. Mais je vais vous donner deux programmes sur CD avec les clés de license pour pouvoir vous entraîner un peu. J'ai pu voir que votre position sur le clavier n'était pas très juste, vous pourrez commencer par ça. Ensuite... Et bien... Si vous voulez revenir... Je dirais que vous aurez tout intérêt à m'indiquer quels "genre" de cours vous venez prendre. Que je sache si je dois facturer ou pas... Termina-t-elle avec un petit sourire taquin tout en profitant pour frôler sous l'eau l'intimité de la petite princesse.

Elle continua ensuite sur la deuxième jambe de la princesse.

- Vous savez, c'est assez rare de croiser une demoiselle aussi... sensible que vous. Et aussi ouverte à ce genre d'expérience avec des inconnues. Vous n'avez jamais peur que ça vous joue des tours ? Demanda la succube, curieuse. Ou bien cela vous semble normal de vous coller aux gens ? Ça se fait fréquemment chez vous ? D'ailleurs, d'où venez-vous ? Vous avez un léger accent qui m'est familier maintenant que j'y songe...
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 29 avril 2015, 01:11:39
Alice sentit Tessia soulever son pied, et le poser sur son sein. La petite Princesse rougit poliment à ce contact. Elle avait eu longuement l’occasion de jouir, mais elle sentait encore le désir perler en elle. Le désir féminin était durable, et s’inscrivait sur le long terme. Contrairement à un homme, qui avait tout donné une fois qu’il avait atteint l’orgasme, une femme pouvait encore continuer à jouir après le premier tir. C’était ce qui se passait en ce moment pour Alice, qui se laissait aller, en sentant les doigts de la belle professeur remonter le long de ses jambes pour s’attaquer à sa cuisse. Quand elle sentit les doigts de Tessia heurter un muscle, Alice ressentit une pointe de douleur, et se crispa en gémissant.

« Maî... Maîtresse, haaa... »

Même si le jeu était fini, Alice l’appelait encore par ce qualificatif, car, pour elle, Tessia restait ici la Maîtresse. Après tout, elle portait encore sa si belle tenue, et, dans cet uniforme, il était impossible de voir en elle autre chose que sa belle Maîtresse, celle qui l’avait attachée, et joyeusement torturée. Alice avait adoré ça. Tessia était à la fois une Maîtresse cruelle et douce, autoritaire et perverse, qui la faisait souffrir, mais qui avait indéniablement bon fond. Alice le sentait. Cette femme aimait le sexe pour le sexe, et aussi pour faire l’amour avec les autres. Une véritable formatrice sexuelle. Voilà ce que cette femme était, et elle avait clairement de l’expérience. Oui, la Princesse était sûre que cette femme avait fait l’amour dans l’eau.

Elle continuait à la masser, tout en se remettant à parler. Tessia lui expliqua qu’elle ne comptait pas faire facturer la séance, mais envisageait de lui fournir des disques... Et elle continua ensuite, en faisant sourire Alice, à lui dire que, la prochaine fois, il faudra déterminer à l’avance quel type de « leçon » choisir. La Princesse hocha la tête, et répondit rapidement, tout en serrant ses doigts de pied sur son sein, et en remuant délicatement ce dernier :

« Comme vous voulez, Maîtresse... Ce n’est pas moi qui paie, de toute façon... »

Mélinda gérait le chéquier, et Alice savait que la vampire était encore plus riche qu’elle-même. Sa trésorerie comprenait plus d’actif que celui de la Couronne de Sylvandell, signe que les activités sexuelles marchaient extrêmement bien. Mélinda était terriblement riche, et payer des leçons privées ne la dérangerait nullement. Alice sentit les mains de Tessia continuer à jouer sur son corps, et Alice soupira encore, en sentant le plaisir affluer de nouveau dans son corps. Il se caractérisait par une série de multiples frissons et de vibrations remontant le long de son corps.

Tessia avait encore d’autres questions à lui poser, et elle avait sans doute déjà pu réaliser, en voyant le plaisir d’Alice, que cette dernière avait un amour profond pour le fétichisme. Un fantasme hérité de ses liens avec Mélinda, qui adorait également qu’on lui lèche ou qu’on lui masse les pieds.

« Vous savez, c'est assez rare de croiser une demoiselle aussi... sensible que vous. Et aussi ouverte à ce genre d'expérience avec des inconnues. Vous n'avez jamais peur que ça vous joue des tours ? Ou bien cela vous semble normal de vous coller aux gens ? Ça se fait fréquemment chez vous ? D'ailleurs, d'où venez-vous ? Vous avez un léger accent qui m'est familier maintenant que j'y songe... »

Alice sourit. Curieuse, sa Maîtresse ! Mais Alice se rappelait des ordres de Mélinda... Et elle doutait sincèrement que cette Terrienne ait pu entendre l’accent sylvandin un jour, à moins qu’elle ne connaisse Terra... Ce qui, encore une fois, était tout à fait possible, vu ce truc tentaculaire qu’Alice avait senti en elle. Toutefois, avec le recul, elle se demandait si elle n’avait pas imaginé ce morceau, si elle ne l’avait pas fantasmé... Car, de ce qu’elle voyait, Tessia avait absolument tout d’une humaine.

« Hum... Et bien, je viens d’un pays lointain... Pour le reste... Pour être honnête, comme vous en avez tout à fait le profil, je pensais que vous étiez une collaboratrice de Mélinda, et que tout cela faisait partie de l’un de ses nombreux petits jeux. Je ne pouvais pas deviner que vous étiez véritablement une grande perverse, Maîtresse, mais je ne regrette pas ce quiproquo... Car vous êtes une merveilleuse Maîtresse... »

Merveilleuse, c’était bel et bien le mot !
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le mercredi 29 avril 2015, 11:41:55
Tessia sourit. Que la jeune fille continue à l'appeler maîtresse alors que le jeu était, pour ainsi dire, fini la remplissait de fierté. Pour elle, c'était le signe qu'elle avait bien travaillé. D'ailleurs le jeune fille continuait à gémir entre ses mains et elle trouvait ce bruit toujours aussi agréable à ses oreilles.

Elle haussa un peu les sourcils en entendant la jeune fille déclarer que ce l'argent ne sortait pas de sa poche... et qu'elle avait l'air de s'en ficher un peu.

Les enfants... Si insouciants avec l'argent de leurs parents...

Tessia continua son massage tout en écoutant les réponses à ses question, et elle aida la princesse à se soulever pour que Tessia puisse se glisser sous elle, une jambe passant entre celles de la jeune fille et ainsi avoir accès à son dos qu'elle commença aussi à masser, poussant avec ses pouces depuis la colonne vertébrale vers l'extérieur pour détendre les muscles qui avait été crispés pendant l'acte. Elle sourit.

- Un pays lointain ? Vous n'en seriez pas la fille du dirigeant pour ainsi vouloir en cacher le nom par le plus grand des hasards ? Une fille qui se cache loin de son père pour assouvir ses petites envies là où son peuple ne peut pas la voir ? gloussa Tessia en songeant que ça ressemblait tellement à une intro de Walt Disney.

Elle écarta les cheveux d'Alice pour accéder à sa nuque et ses épaules afin de continuer son massage.

- Alors comme ça j'ai le profil des collaboratrices de votre formatrice ? S'amusa Tessia. Intéressant. Il va décidément falloir que je prenne le temps de les rencontrer.

Puis quand Alice termina de lui dire qu'elle était une merveilleuse maîtresse, la succube se pencha et tourna vers elle le visage de la jeune blonde.

- Et vous une excellente soumise, Alice..., lui mumura-t-elle à l'oreille avant de l'embrasser.

Le baiser ne fut guère long, ce genre de bisous n'était pas échangé pour faire naître la passion, juste pour remercier la personne qui le reçoit.

- Bon, maintenant dégagez vos petites fesses sexy de mon corps parfait et lavez-vous, plaisanta Tessia en pinçant légèrement lesdites fesses. Le savon liquide est là, lui indiqua-t-elle. Si vous préférez les savons solides, le savon de Marseille est là. Le shampoing est ici. Je vous conseille la douche pour vous laver, mais si vous préférez le bain, il y'a un baquet juste ici pour pouvoir le remplir d'eau afin de vous rincer.

Ce disant, la succube profita d'être libérée de la jeune blonde pour se redresser dans le bain et commencer à s'extirper de sa tenue de latex. L'eau avait la détestable manie de faire ventouse sur le corps une fois additionné au latex, mais Tessia avait l'avantage d'années de pratiques et elle se débarrassa sans trop de problèmes de la tenue qu'elle lança dans une corbeille afin de s'en occuper plus tard. Désormais nue, elle se rendit à la douche pour pouvoir se laver plus vite. Il faudrait aussi qu'elle trouve des habits pour Alice, les siens étant un peu usagés.

Avant de rentrer dans la cabine, elle ceuillit une bouteille de savon liquide et une autre de shampoing. Puis ouvrit une armoire dont elle sortit deux sets de linges d'un blanc immaculé et d'une douceur à donner envie de se rouler dedans pour y dormir. Le grand était pour sécher le corps, le plus petit prévu pour les cheveux. Elle les posa sur une petite étagère située entra la douche et la baignoire à cet effet. Elle ne savait pas ce qu'allais faire Alice, elle n'allait pas tarder à le découvrir.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 01 mai 2015, 01:52:15
En avaient-elles fini ensemble, l’une et l’autre ? C’est ce que sa Maîtresse laissait entendre, mais Alice était bien placée pour savoir que les pulsions sexuelles avaient leurs propres maîtres, et n’obéissaient à personne d’autre qu’à elles-mêmes. Tessia s’était glissée dans son dos, et, quand Alice sentit ses pouces appuyer sur son dos, elle soupira en frissonnant. Tant de si bonnes attentions, de talents si subtils... Maîtresse Tessia était une femme talentueuse, Alice lui accordait volontiers ceci. Ce qu’elle lui faisait s’avérait être particulièrement agréable, et elle rougit quand cette femme lui demanda si elle n’était peut-être pas une fille de dirigeant... Elle rougit, car c’était exactement ça. Oh, elle savait que son père envoyait des agents pour la suivre et la protéger, mais elle n’avait pas spécialement envie de parler de sa sexualité avec Tywill... Même si elle se doutait bien que Tywilll savait qu’elle ne faisait pas que parler couture avec Mélinda Warren. Néanmoins, parler de sexualité avec ses parents... Et bien, Alice ne pensait pas être la seule femme à trouver cela gênant... Et déstabilisant.

Elle laissa Tessia l’embrasser, puis sa Maîtresse se décida à passer à la suite, en lui disant qu’il était temps de se rincer. Alice acquiesça en se relevant. Son corps frémit légèrement, ressentant agréablement les attouchements de Tessia. Elle l’avait massé, dans le but de décrisper ses muscles, et Alice le ressentit en devant se déplacer. La fatigue était bien là, mais elle s’accompagnait d’agréables sensations de bonheur. Tout son corps semblait s’être relâché, et cette sensation s’avérait être particulièrement agréable. Tessia lui offrit le choix entre le savon liquide ou solide, et entre la douche ou la baignoire.

« Hum... »

La Princesse se mordilla les lèvres, hésitant un peu... Puis Tessia lui apporta une réponse en se relevant, et en se déshabillant. Le latex collait à sa peau, et se détacha lentement le long de son corps. Elle la jeta dans une corbeille, et Alice suivit le mouvement, avant de regarder Tessia. Nue, la femme était magnifique, et elle sortit de la baignoire, pour rejoindre la douche. Alice l’observa, comme statufiée. Que ce soit ses hanches, ses longues jambes fuselées, ses seins, ou même ses magnifiques fesses, cette femme restait tout simplement superbe. Alice adorait la voir ainsi, et elle déglutit lentement. La Princesse la vit rentrer dans la cabine de la douche, hésita un peu... Puis s’empressa de la suivre.

La douche était suffisamment grande pour deux personnes, et, même si ce n’était pas le cas, se coller à cette belle femme ne dérangerait nullement Alice. Elle la rejoignit donc, et, sur le palier de la douche, elle glissa ses mains dans ses cheveux, rabattant quelques mèches de cheveux derrière ses oreilles. La Princesse glissa ensuite dans la douche, et se mit face à Tessia.

« Je vais opter pour la douche, alors... »

Délicatement, elle attrapa le flacon de savon liquide, et sourit légèrement.

« Et si nous nous rincions mutuellement, Maîtresse ? Votre corps est si beau que, à la simple idée de le voir, je ressens comme une irrépressible envie de le caresser de part en part... »

Irrépressible, c’était bel et bien le mot... Oui, Alice était maintenant intimement convaincue que Mélinda adorerait voir cette femme.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le vendredi 01 mai 2015, 19:31:52
Tessia regarda la jeune blonde se glisser dans la douche à sa suite sans trop de surprise. Elle lui sourit donc au moment où elle pénétra dans la douche et la succube ferma la porte derrière elles.

« Je vais opter pour la douche, alors... » Lui dit la jeune fille.

- Je constate cela, commenta la démone en appréciant la proximité entre leurs deux corps.

La jeune fille saisit ensuite la bouteille de savon liquide sur le présentoirs et lui sourit à son tour.

« Et si nous nous rincions mutuellement, Maîtresse ? Votre corps est si beau que, à la simple idée de le voir, je ressens comme une irrépressible envie de le caresser de part en part... »

- C'est un beau compliment, admit Tessia en hochant la tête, amusée. Donc tu voudrais me caresser jeune Alice ? Demanda Tessia en allumant les jets d'eau afin d'en régler la température.

L'eau se déversa du pommeau de douche, froide au début, puis rapidement plus chaude. Tessia laissa le liquide lui couler sur la tête et ruisseler le long de son corps, retirant ses lunettes pour les déposer à proximité. Elle se tourna ensuite, plongeant son regard océan dans les abysses de ceux de la jeune blonde.

Elle laissa le silence se prolonger un peu, se contentant de fixer la jeune fille qui elle aussi avait l'eau de la douche qui lui tombait sur le corps. Elle la laissait réfléchir, la laissait douter. Elle la laissait penser que peut-être elle considérais le jeu comme fini. Ou qu'elle n'avait pas correctement demandé la permission pour cela, ce qui était le cas d'ailleurs si Tessia se souvenait bien des thermes du contrat passé dans le salon à peine plus d'une heure auparavant.

- Et alors ce savonnage ? Finit par couper la démone au moment où la jeune fille ouvrait la bouche. Il va se faire tout seul ?

Ce disant elle s'approcha, dominant de toute sa taille la jeune blonde. Tessia n'était pas juste belle, elle était aussi grande. Elle dépassait d'ailleurs souvent très allègrement les hommes japonais ainsi que leurs femmes. Même pour des standard européens, elle était grande. Et Alice, qui n'avait de toute façon pas terminé sa croissance, avait pile la grandeur pour que ses yeux soient tout juste au niveau des tétons de la succube.

- Alors ? La taquina Tessia d'une chaude voix suave. J'attends...
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 03 mai 2015, 01:48:46
Elles se retrouvèrent dans la douche, dans un espace étroit et chaud. La douche… Quelque chose qu’Alice avait découvert grâce à Mélinda. À Sylvandell, il n’y avait pas de douche, mais un bassin que les servantes d’Alice remplissaient chaque matin à l’aide de seaux remplis d’eau, et d’un petit feu qu’on allumait sous la baignoire. La chaleur qui montait permettait de réchauffer l’eau, et le feu était suffisamment doux pour ne pas faire monter la chaleur trop haut. La surface de la baignoire était ignifuge, il s’écoulait de nombreuses utilisations avant qu’il ne faille la changer. La douche, Alice l’avait découvert sur Terre. Au début, elle n’avait pas du tout su comment l’utiliser, contemplant benoîtement la cabine d’une douche, sans savoir comment s’en servir… Elle était ensuite passée du froid glacial au chaud, avant de progressivement réussir à se familiariser avec une douche. C’était bien plus rapide que de prendre un bain, mais, dans le manoir de Mélinda, il était fréquent qu’on vienne faire irruption dans sa cabine. Alice avait donc appris à faire l’amour dans une cabine, à sentir une verge s’enfoncer en elle, tandis que son corps heurtait le mur, et rebondissait contre ce dernier. C’était l’une des spécialités de Mélinda avec elle, ou d’autres de ses servantes. Depuis lors, Alice ressentait beaucoup de plaisir en prenant sa douche… Et elle savait que les choses allaient déraper avec Tessia.

L’eau ne tarda pas à venir, et, face à elle, dans cet espace aussi clos, Alice voyait à quel point Tessia était grande, belle et imposante. L’espace étroit de la cabine faisait que sa stature lui revenait en pleine figure. Si la Princesse ne commença pas tout de suite à la rincer, c’était bien parce qu’elle était perturbée. Tessia était grande et forte, élégante et belle. Il se dégageait d’elle une profonde sensualité, forte et magnifique, qui la rendait extrêmement belle et pleine de désirs. Alice continuait à l’observer, en clignant des yeux, frissonnant au contact de l’eau, jusqu’à ce que Tessia lui rappelle ses obligations.

La Princesse sursauta. Sous le nez, elle avait le spectacle magnifique de la poitrine généreuse de Tessia, et elle esquissa un léger sourire.

« O-Oui, bien… Bien sûr… Pardonnez-moi, Maîtresse, je… J’étais absorbée dans la contemplation de votre corps, vous êtes si belle… »

Belle et grande, belle et forte, elle était tout ce qu’il convenait. Très clairement, si Mélinda n’avait pas mis la main sur elle, ça ne saurait tarder ! Les joues rouges, Alice récupéra le flacon de savon liquide, le tenant dans une main, puis s’éclaircit la gorge, en regardant à nouveau Tessia :

« Est-ce que… Pourriez-vous vous… Vous retourner, Maîtresse ? »

Elle la laissa s’exécuter, et déglutit encore en voyant son magnifique dos, sa chute de reins, sa longue chevelure… Et ses belles fesses, bien entendu. Cette femme était magnifique, et Alice refaisait toujours ce constat. Comment aurait-elle pu ne pas succomber face à une telle femme ? Elle était tellement belle que la Princesse saliva un peu sur elle, avant de s’approcher. Délicatement, sa main commença à parcourir son dos, glissant sur sa peau. Elle dessinait des cercles, remontant tout autour de ses omoplates, et descendit un peu, avant de remonter le long de ses épaules. Comme Tessia était grande, Alice dut se hisser sur la pointe des pieds, et ses seins caressèrent son corps, s’appuyant dessus. Elle fila ensuite le long de ses côtes, descendant le long du corps magnifique de Tessia. Un corps tout en volupté, tout en charmes, un corps délicieux et magnifique, de pleine beauté.

Alice continuait à glisser le long de sa peau, se rapprochant ainsi de ses fesses… Ce qui la fit hésiter un peu. Ce beau cul… Comment pouvait-on expliquer l’attirance pour les fesses ? Il ne s’agissait que de deux bosses séparées par une fine ligne noire. Or, pourtant, à les voir, la Princesse en ressentait un profond désir, et une forte attirance. Elle se pinça les lèvres pendant quelques instants, clignant encore des yeux, puis releva la tête.

« Je… Hum… Maîtresse, est-ce que… Euh… Puis-je embrasser votre divin fessier ? »
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le lundi 04 mai 2015, 13:12:50
« O-Oui, bien… Bien sûr… Pardonnez-moi, Maîtresse, je… J’étais absorbée dans la contemplation de votre corps, vous êtes si belle… » Balbutia la jeune fille. « Est-ce que… Pourriez-vous vous… Vous retourner, Maîtresse ? »

Tessia laissa la jeune blonde parler, un sourire amusé au coin des lèvres. Qu'elle la trouble à ce point ne lassait pas de l'étonner. Pour une femme, elle était extrêmement sensible aux charmes de son propre genre. Elle se tourna pour offrir son dos à sa portéger tout en y réfléchissant.

J'espère qu'elle n'a pas prévu d'avoir d'enfants, car vu ses attirances, ça risque d'être problématique... Quoique... Peut-être est-elle bisexuelle ?

La démone se surpris à se demander comme la jeune blonde réagirait si elle l'engrossait, mais elle chassa cette pensée aussitôt. Elle était bien trop jeune et cela poserai bien trop de problèmes. Sans compter que la faire tomber enceinte, étant donné la nature du "père", ne pourrait donner naissance qu'à une autre succube qui aurait finalement autant à voir avec sa "mère" qu'un canidé a de points communs avec un félidé.

Mais l'idée d'essayer la tentait bien quand même.

Peut-être qu'en extrayant magiquement l'embryon peu après sa conception et en le déposant dans un œuf assez gros... Un œuf de dragon par exemple... Et avec quelques sorts pour empêcher les rejets... Ça pourrait fonctionner...

La démone était à ses pensées, savourant malgré tout les mouvements de la jeune fille dans son dos qui la savonnait, appuyant fréquemment sa belle poitrine contre elle pour pouvoir se hisser assez haut pour atteindre ses épaules. Elle senti les petites mains parcourir son dos, suivre sa colonne, cercler sur ses omoplates avant de redescendre sur ses côtés.

La succube frissonna en sentant la chair de poule la gagner. Qu'il était bon de laisser à d'autre le soin de vous laver. Elle sentait les fines mains d'Alice glisser et se rapprocher de plus en plus de sa chute de reins... Et de ses fesses. Et elle senti à nouveau la demoiselle marquer un temps d'arrêt.

Parce qu'en plus on aime les jolis culs aussi, jeune fille ? Songea la démone en se retenant de glousser.

« Je… Hum… Maîtresse, est-ce que… Euh… Puis-je embrasser votre divin fessier ? »

Tessia tourna la tête dans la direction d'Alice, haussant un sourcil, faisant semblant d'être surprise.

- "Embrasser mon divin fessier" ? Rien que ça ? Demanda la démone. Alors qu'il est dégoulinant de mousse savonneuse ? Je crains que cela n'ait guère bon goût et ce serait dangereux pour votre santé... Mais si vous y tenez...

Tessia écarta un peu les jambes et se cambra pour offrir à la jeune princesse une vue imprenable sur son cul et son intimité glabre et ruisselante sous la douche.

- Attention quand même, je tiens à le récupérer entier et propre...  Gloussa la succube avec un regard terriblement pervers à la jeune fille.

Tessia exposait sans vergogne son petit bouton de rose ainsi que sa vulve  tentatrice à la princesse, se doutant bien que celle-ci devait avoir maintes idées derrière la tête en lui demandant de pouvoir poser ses lèvres sur ses fesses.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 05 mai 2015, 13:56:06
Dangereux pour sa santé… Embrasser de si belles fesses… Tessia devait sûrement plaisanter ! Alice sourit devant le spectacle de ce corps, offert au sien. Cette femme était d’une grande beauté, terrifiante. Alice se mordillait les lèvres en l’observant, et elle la vit écarter ses jambes, tout en la regardant. Tessia semblait… Amusée. Son ton choqué ne piégea pas Alice. Après tout ce que les deux femmes avaient fait, il en faudrait assurément plus pour la troubler. Elle pouvait voir la délicieuse croupe de Tessia, ses fesses parfaites, ses jambes fuselées, toute sa beauté… Alice se mordilla les lèvres en continuant à la regarder, sans oser la toucher, presque comme si elle avait affaire à une intouchable idole. La petite Princesse déglutit donc, observant cette silhouette fine et solide.

« Attention quand même, je tiens à le récupérer entier et propre... »

Alice hocha la tête en se rapprochant un peu, et posa chacune de ses mains sur ses fesses.

« Je… Ma langue n’est pas sale, Maîtresse, et je n’ai nulle envie de manger vos fesses… Simplement de les lécher. »

Rien de plus, et rien de moins. Se mordillant les lèvres, Alice entreprit donc de s’attaquer aux fesses de la femme. Elle avait bien écarté ses jambes, suffisamment pour lui permettre de voir sa vulve, et de comprendre ce que Maîtresse Tessia voulait. L’idée n’était pas juste d’embrasser ses fesses, mais aussi son sexe. Après tout, pour autant qu’elle s’en rappelle, Maîtresse n’avait pas encore eu l’occasion de jouir… C’était une erreur qu’Alice comptait bien rattraper, un oubli intolérable pour une aussi belle femme. Alice se devait de la faire jouir ! Oui, qu’elle atteigne un orgasme, c’était presque une nécessité impérative ! Observant donc ses fesses, elle les malaxait, les écartant l’une de l’autre, les serrant entre ses doigts, se crispant dessus. Se mordillant les lèvres, elle déplaçait ces fesses, et se penchait vers elle, venant les embrasser, doucement et tendrement.

La femme se mordilla à nouveau les lèvres, puis approcha ses pouces des plis intérieurs de ce corps. Elle écarta ainsi ses belles fesses dodues, trempées et tendres, pour voir sa croupe, sa raie luisante, et ce petit trou rose. En souriant, Alice s’avança à nouveau, et sa langue vint titiller ce morceau rose. C’était une fente extrêmement étroite, Alice était bien placée pour le savoir, mais elle ne comptait pas s’arrêter en si bon chemin. Sa langue s’enfonçait en elle, remuant dans ce fondement. Elle soupira, revint en arrière, puis retourna enfoncer sa langue.

« Humm-hnnn !! »

C’était si agréable… Sentir l’eau sur son corps, sentir sa tête nichée contre cette croupe… Alice retirait sa langue, et, peu à peu, déplaça l’une de ses mains, l’utilisant pour caresser la fleur intime de sa Maîtresse, fourrant deux doigts en elle. Elle les remuait rapidement, les enfonçant en elle, avant de les reculer, tout en continuant à remuer sa langue dans son trou. C’était une tâche difficile, mais à laquelle Alice s’exerçait pour le mieux.

Tout ce qu’elle espérait, c’était que sa Maîtresse apprécierait son traitement… Car elle s’appliquait beaucoup à lui faire plaisir !
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le mardi 05 mai 2015, 22:52:23
« Je… Ma langue n’est pas sale, Maîtresse, et je n’ai nulle envie de manger vos fesses… Simplement de les lécher. »

Ha tiens ? Ce n'est plus "embrasser", c'est devenu "lécher" ?

Tessia gloussa doucement en sentant Alice poser ses mains sur son postérieur. Comme ça la jeune fille entendait le lui nettoyer avec la langue ? Après tout, pourquoi pas ?

La succube senti ensuite la petite bouche de la jeune fille rencontrer sa peau. Elle soupira tout doucement en savourant ensuite le ballet de ses jeunes lèvres sur son fessier. Elle n'avait vraiment rien à dire, la jeune Alice était douée ! Et même très douée ! Elle lui arracha plusieurs soupirs satisfait en moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire. La succube sentait la chaleur monter à nouveau dans son corps et s'en délecta avec bonheur tandis que sa vulve se mettait à ajouter son jus intime à l'eau de la douche qui coulait sur elle.

Les caresses de la jeune fille se transformèrent et bientôt, Tessia senti une intrépide petit langue venir inspecter l'entrée de son bouton de rose et elle sourit. De là, il ne fallut guère de temps pour que ladite langue force son entrée et commence à lui faire du bien.

- Hnnnn.... Intrépide petite Alice... Soupira la Succube.

Le souffle de la démone allait s'accélérant et elle ferma les yeux pour mieux sentir la langue de son élève aller et venir dans ses entrailles. Elle finit même par laisser échapper un petit couinement en sentant ses doigts s’emparer de sa vulve et commencer à l'investir à son tour.

- Haaannnnnn...

Que c'était bon ! Pour une petite gâterie rapide, la jeune fille savait incontestablement y faire. Mais Tessia avait la légère impression que l'on était en train de bâcler le travail en voulant aller trop vite. Certes, qu'elle ait un orgasme était une idée qui lui plaisait, mais pas à n'importe quel prix. Cependant, la petite était tellement douée qu'elle lui laissa le bénéfice du doute avant de la rabrouer. Elle se laissa faire et attendit de voir ce qui allait se passer ensuite.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 10 mai 2015, 02:24:08
Pourquoi cette attirance pour le sexe ? Pourquoi Alice revenait-elle à la charge ? Et pourquoi, de manière plus générale, acceptait-elle si facilement l’idée de coucher avec d’autres personnes ? On aurait pu se dire que ce n’était que parce qu’elle était une chaudasse et qu’elle avait les ovaires feu... Mais, en regardant l’historique des Sylvandines, de ses ancêtres, en lisant les chroniques et les recueils, elle avait réalisé que bien des Reines avaient été connues pour leurs frasques sexuelles. L’explication avancée régulièrement venait du fait que les héritiers d’Erwan Korvander devaient, pour légitimer leur position, renouveler un pacte ancestral avec le Dragon d’Or, pacte qui impliquait de voir son sang être modifié par celui du Patriarche lors d’une cérémonie mystique et magique dans les hauteurs de Sylvandell. Alice y avait eu droit, et, d’après ces explications, ce sang dragonique modifiait les hormones des femmes, ainsi que leur appétit sexuel. C’était une théorie possible... Une autre théorie était de se dire que tout cela était une fumisterie, et, si Alice se posait la question, elle avait aussi ses propres arguments. Le fait est que Tessia était belle, très belle, et que la Princesse se voyait mal passer à côté de l’occasion d’embrasser son corps. En la voyant nue, avec l’eau qui dégoulinait le long de son corps, ondulant sur ses formes, Alice l’avait trouvé d’une telle beauté qu’elle n’avait pas pu s’empêcher de la mater, et d’en vouloir plus. C’était tout... Une pulsion irrépressible, une vague qui l’avait saisi, et qui lui avait ordonné d’y aller. Elle n’avait tout simplement pas pu lutter contre ça... Et elle n’en avait aucune envie.

Sa langue remuait dans les fesses de Maîtresse Tessia, optant pour un anulingus. Encore une pratique sexuelle qu’elle avait apprise chez Mélinda... Un autre argument à faire valoir dans la perversion naturelle de la tête blonde, ça aussi. Quand on avait comme amie une vampire qui dirigeait un harem depuis plusieurs siècles, et qui ne pouvait pas passer une journée sans faire l’amour, il fallait bien s’attendre à ce que ça fasse des étincelles. Dès le début, Mélinda avait voulu se rapprocher d’elle... Car avoir une Princesse dans son carnet d’adresses, ce n’était pas négligeable. Mélinda et ses esclaves avaient appris bien des choses à Alice, et cette dernière n’avait jamais eu à s’en plaindre... Du moins, jamais à s’en plaindre vraiment. Tout son talent agissait ici, car elle savait que Tessia n’avait pas encore joui... Ce qui était impardonnable. La pauvre !

« Hunn... ! »

Plus la langue d’Alice attaquait la rose, et plus elle sentait la rondelle de Tessia s’écarter, comme si elle s’affaiblissait sous les coups buccaux de la femme. La Princesse déglutit lentement, et cherchait à enfoncer son appendice lingual le plus loin possible, à le remuer dans les profondeurs de sa grotte. La Princesse soupirait, respirant par le nez, tout en remuant un peu la tête, notamment ses joues. Elle les frottait contre les fesses de la femme, et ses doigts continuaient à jouer. Tessia n’ayant pas encore eu l’occasion de jouir, elle sentait la forte et autoritaire femme s’effondrer sur place, comme un deux face à un flush royal. Et tout ceci amusait Alice. Oh, elle aurait pu ralentir le rythme, oui... Mais elle ne le voulait pas. Elle était trop espiègle pour ça, et, surtout, manquait trop de confiance en elle-même pour pouvoir faire autre chose. Elle voulait la faire jouir, elle voulait entendre Tessia hurler et soupirer, afin de se convaincre qu’elle était douée et talentueuse dans ce domaine.

C’est donc en suivant cette idée qu’Alice continuait à remuer ses doigts, deux par deux, d’avant en arrière, expulsant à chaque fois de la mouille, qui filait le long des belles cuisses de cette femme. Elle gémissait contre ses fesses, ramenant sa langue dans sa bouche, avant de l’enfoncer à nouveau, en soupirant longuement, se sentant elle-même de plus en plus chaude.

*Je vaux la sentir jouir...*

Elle le voulait tellement qu’elle finit par retirer ses doigts, puis posa ses mains sur les hanches de Tessia, et la retourna. Elle délaissa donc les belles fesses de la femme, et posa sa bouche contre son sexe, enfonçant sa langue dans son intimité, tout en serrant ses doigts sur ses fesses, s’en servant comme appui. À genoux devant elle, en train de sucer son sexe, de jouer avec, elle était dans une position rêvée et idéale.

Que demander de mieux ?
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le lundi 11 mai 2015, 14:51:17
Tessia gémissait et soupirait. La petit blonde était assurément pleine d'enthousiasme à la tâche. Ses jambes faiblissaient un peu au fur et à mesure que le plaisir montait en elle depuis son entrejambe, le long de sa colonne vertébrale, jusqu’à sa tête.

Qu'elle est douée cette petite...

Tessia fit mentalement le tour des soumises qui étaient passées entre ses mains depuis son incarnation, mais en-dehors de ses sœurs succubes de l'enfer, aucune n'arrivait à la cheville de la jeune fille en train de lui faire un anulingus en ce moment. Elle avait la grâce d'une fille bien élevée, comme issue du beau monde. Mais elle était aussi vicieuse qu'une prostituée de Harem de luxe. Elle lui fit d'ailleurs penser à certaines filles qu'elle avait croisé une fois quand, par curiosité, elle s'était mise en tête de visiter le Harem le plus coté d'Ashnard. Toutes étaient jeunes, toutes étaient belles, et toutes connaissaient le sexe jusque dans des facettes obscures qu'elle n'aurait pas soupçonné trouver dans un endroit aussi distingué.

Comme quoi, il ne faut jamais se fier à la couverture pour juger un ouvrage... Songea la succube en cripant les poings sur le mur de la douche.

- Hooouuuuuu... Gémit-elle en tremblant, sentant Alice faire des aller-et-retour dans son cul avec sa petite langue dégourdie.

Ce sans compter les doigts dans son intimité. Tessia était aux portes de la jouissance. Elle la sentait monter en elle, cogner contre sa résistance.

Pourquoi résistait-elle ? Simplement parce que c'était bon. Pourquoi s'abandonner en moins de dix minutes à la jouissance alors que l'on pouvait prolonger cette si agréable sensation en se retenant un peu ? Elle aimait être désirée. Elle aimait que ses amantes suent et se battent pour lui obtenir un orgasme. Elle était la maîtresse, c'était leur devoir de la faire jouir, qu'importe l'effort à consentir ou les humiliations à subir !

Soudain, la petite princesse se retira d'elle, ce qui surprit Tessia. Elle n'avait pourtant pas encore joui.

Quand les mains reveinrent et la poussèrent à se retourner, elle suivit le mouvement, intriguée, se disant qu'elle pourrait toujours faire payer cette initiative plus tard à la petite tête blonde.

Elle se retrouva dos au mur, les jambes largement écartées, et Alice agenouillée entre elles qui plongea à nouveau sa langue, mais dans sons sexe cette fois, passant de l'anulingus au cunnilingus.

- HNNNN !!! Gémit plus fortement la démone en posant ses mains sur la tête de la jeune fille pour la plaquer plus durement contre sa vulve dégoulinante.

Tessia commença à remuer ses hanches, comme si elle baisait la bouche de sa jeune élève, mais à défaut de verge, frottait son clitoris contre ses lèvres ouvertes. Poussant plus fort encore son mont de vénus dans la bouche de la petite.

Elle la sentait tout proche. Cette jouissance qu'elle n'avait pas encore eue de toute la soirée.

La démone se mit à trembler tandis que son vagin commençait à être agité de spasmes et il lui sembla qu'en le sentant, Alice redoubla d'efforts.

Tessia ne put soudain plus tenir et sentit son sexe se contracter brusquement, expulsant un court jet de liquide clair tandis qu'elle était parcourue de terribles tremblements de plaisir. Ses muscles se tendirent brusquement comme une corde d’arbalète tandis que son dos s'arquait, prêt à rompre.

- HAAAAANNNNNNNNN !!!! Gémit-elle à la limite avec le cri de jouissance, son plaisir se répandant dans la bouche et sur le menton de la petite princesse.

Elle se détendit ensuite presque aussi soudainement qu'elle s'était tendue. La succube reprit doucement son souffle, regardant Alice. Puis quand elle se sentit suffisamment sur sur ses jambes pour se redresser sans s'appuyer au mur, elle se pencha vers elle.

- Soyez sûre que s'il n'en tenait qu'à moi, je vous ramènerais au lit à l'instant, vous y attacherait et vous abuserait jusqu'à ce que j'en perde conscience... Lui souffla-t-elle un sourire lubrique sur les lèvres, insistant sur le fait qu'elle n'aurait cessé que quand ses forces à elle auraient déclinées.

Elle remit une mèche rebelle derrière l'oreille de la petite princesse.

- Terminez de vous nettoyer. Sinon je vais mettre cette menace à exécution, et je ne veux pas avoir a expliquer votre état après ça.

Tessia releva la petite et saisit le shampoing avant d'en verser une généreuse quantité dans sa main. Elle coupa ensuite la douche et entreprit de laver les cheveux de la princesse.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 12 mai 2015, 01:53:21
Alice l’avait fait jouir. Oh oui ! Elle l’avait fait jouir. De cela, elle était en ce moment totalement sûre. Alice se sentait empreinte de fierté, et léchait volontiers les cuisses de Tessia, les léchant comme une petite chienne, goûtant à cette mouille, mélangée à l’eau. Le plaisir de cette belle femme, de sa Maîtresse, procurait en elle une grande joie, une profonde satisfaction. Oui, elle avait fait jouir sa belle Maîtresse, elle l’avait senti s’abandonner progressivement en elle. Elle, qui l’avait gentiment torturé, qui l’avait torturé avec amour, avait été vaincue par elle, par sa langue, par son expérience sexuelle… La jeune Alice vierge, et incapable de se dépatouiller avec ses doigts, provoquant l’irritation de Cirillia quand elle tentait de caresser ses lèvres intimes, avait bien changé… Elle devait essentiellement cela grâce à Mélinda, grâce à Mélinda et à ses esclaves, qui avaient fait office, pour elle, de magnifiques formatrices sexuelles. Elle avait fait jouir Tessia, et cette dernière avait visiblement retrouvé l’envie de coucher avec elle… Mais Mélinda attendait. Ou pas… Elle lui avait dit de venir quand elles en avaient fini, mais… Alice avait très envie que Tessia voit Mélinda, car elle se disait que les deux femmes risquaient de vite se plaire. Elle laissa donc Tessia remettre ses cheveux en place, Alice n’étant, après tout, rien d’autre que sa petite poupée, et elle se redressa alors.

« Terminez de vous nettoyer. Sinon je vais mettre cette menace à exécution, et je ne veux pas avoir a expliquer votre état après ça.
 -  Oui, Maîtresse… » dit-elle, avec un accent de désir malicieux dans la voix.

Elle se laissa shampooiner, et ne tenta plus rien, cette fois. Pourquoi aurait-elle insisté ? Elle avait obtenu ce qu’elle voulait. Tessia avait joui, et ceci faisait plaisir à Alice. Elle avait très envie d’aller voir Mélinda, et de lui dire que sa petite élève était suffisamment douée pour lécher des fesses et des vagins bien comme il fallait… Mélinda lui avait donné le goût du sexe, cette passion forte et vibrante, qu’elle retrouvait à chaque fois quand elle faisait l’amour, de plus en plus fort. La Princesse se laissa donc faire, puis les deux femmes se retrouvèrent ensuite hors de la cabine, toutes propres.

Alice s’était essuyée, et se rhabille, enfilant les vêtements qu’elle avait mis en arrivant ici, et en profita pour appeler Mélinda, afin de lui demander un chauffeur.

« Mélinda arrivera dans un quart d’heure, Maîtresse… Enfin, son chauffeur. Si j’étais vous, je me mettrais de jolis sous-vêtements… Comme cette tenue que vous aviez enfilé tantôt. Mélinda adorera vous voir dedans. »

Alice le disait avec certitude, car, après tout, elle connaissait plutôt bien la belle vampire.

Restait maintenant à se demander si ce quart d’heure serait une fin de soirée… Ou une mi-temps.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Tessia le mardi 12 mai 2015, 11:09:35
Tessia termina de shampooiner la petite blonde avant de finalement s'attaquer à son corps qu'elle savonna de bas en haut et de fond en comble. Quand elle sorti de la douche, elle saisi une serviette et se sécha, observant la jeune fille en faire de même. Cette pause savonnage lui avait permit de faire un peu le point et surtout de calmer ses envies de viol envers la jeune demoiselle. Pourtant, elle avait un de ces corps ! Si la succube avait un classement à faire, elle aurait ouvert sans hésiter une nouvelle catégorie "à violer sans faim" rien que pour Alice.

Elle était jolie, douce, délicate et à côté de cela terriblement perverse et ouverte d'esprit. Tout ce que Tessia pouvait souhaiter de mieux chez une de ses étudiantes.

Par contre, elle fronça les sourcils en la voyant renfiler les affaires qu'elle avait en venant.

À quoi ça sert de se doucher si c'est pour remettre des vêtements qui ont... disons "souffert".

Elle-même se dirigea dans sa chambre pour ouvrir la deuxième armoire, celle qui contenait sa garde-robe à vocation non-sexuelle. La démone était nue devant son choix de vêtement et se demandait quoi enfiler pendant qu'Alice discutait par téléphone avec son amie et logeuse.

« Mélinda arrivera dans un quart d’heure, Maîtresse… Enfin, son chauffeur. Si j’étais vous, je me mettrais de jolis sous-vêtements… Comme cette tenue que vous aviez enfilé tantôt. Mélinda adorera vous voir dedans. »

Tessia tourna la tête vers son élève et haussa un sourcil surpris. Remettre sa tenue de latex ?

Celle-ci était dans le panier à linge sale de la salle de bain, mais après tout, c'était du latex. De l'eau, un tout petit peu de savon spécial latex et en quelque minutes ce serait propre. Mais le problème du latex était que la simple sueur et la chaleur corporel suffisait à le dégrader. Alors reporter un vêtement de latex sans l'avoir laissé sécher au préalable, passé au talc puis lustré avec le produit prévu pour, c'était prendre le risque qu'il perde son éclat et fasse des plis permanents.

Bon d'un autre côté, une tenue de latex ça se rachète... Ce n'est pas très bon marché, mais ce n'est pas inabordable non plus...

- Pourquoi pas ? Admit la succube après un instant de réflexion.

Après tout, si la jeune fille affirmait que sa formatrice apprécierait la tenue, autant mettre toutes les chances de son côté.

Tessia se rendit donc dans la salle de bain, toujours nue, reprit sa tenue et se servit du grand lavabo pour faire tremper le tout avec son savon spécial. Elle retourna ensuite à son armoire pendant que le savon agissait. Elle reparti avec une robe chinoise bleu aquarelle à col montant (http://www.asianmarket.fr/1458-thickbox/robe-chinoise-qipao-bleu-peinture-aquarelle-.jpg), prévoyant de ranger les gants de la tenue de latex dans son sac. Sa lessive lui prit une dizaine de minutes et comme la tenue ne permettait pas le porte confortable de sous-vêtements, elle décida qu'elle n'en prendrait que pour pouvoir se rhabiller, eux aussi dans son sac à main.

Elle remit le latex après avoir appliqué la lotion lubrifiante sur son corps pour aider à l'enfilage. Elle passa ensuite par-dessus sa robe avant de se lancer dans la confection d'un chignon qu'elle maintint en place à l'aide de deux baguettes. L'avantage serait de pouvoir lâcher ses cheveux facilement tout en ayant une présentation soignée. Et puis, une européenne en tenue chinoise, ça avait souvent l'air un peu exotique. Elle donna rapidement un coup de crayon sur ses sourcils, un petit coup de gloss transparent sur ses lèvres et laissa le reste tel quel. Elle s'estimait bien assez belle sans ajouter deux tonnes de maquillage sur son visage.

Quand le chauffeur arriva, Tessia sorti de la salle de bains, son sac au bras, sa tablette informatique avec une version light de Cortana reliée en VPN à celle présente dans le serveur de sa maison dans le sac. Elle enfila enfin une paire de chaussures à talon haut assortis à sa robe et sourit à Alice.

- Nous y allons ? Demanda-t-elle avec un clin d’œil évocateur.
Titre: Re : Un cours... Particulier... D'informatique [Alice Korvander]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 13 mai 2015, 13:41:39
En attendant l’arrivée du chauffeur, et en laissant à sa Maîtresse le soin de se rhabiller, Alice traîna sur son téléphone portable. Un autre appareil avec lequel elle avait mis un temps fou à s’habituer. De fait, elle avait encore du mal à écrire rapidement des SMS, et était toujours sidérée de voir la vitesse à laquelle les Terriens filaient sur ses appareils. Mélinda ne le disait pas, mais elle avait son propre ghost writer quand elle envoyait des SMS. Elle dictait à l’une de ses « esclaves », et celle-ci l’envoyait. Pour une esclavagiste, Mélinda offrait beaucoup de libertés à ses petites protégées, et c’était pour ça qu’Alice l’aimait beaucoup. De base, la Princesse était opposée à l’esclavage, opposée à l’idée qu’une personne puisse en dominer une autre et la faire souffrir sans avoir rien à craindre… Mais Mélinda était différente. Sa conception de l’esclavage était plus moralement acceptable, car elle voyait plus l’esclavage comme une sorte de contrat, où une personne offrait sa liberté en échange du bonheur. On pouvait évidemment trouver ça choquant, mais, après tout, l’Homme lui-même avait choisi, depuis qu’il s’était constitué en société, de remettre en cause sa propre liberté au profit de son bonheur. Mélinda ne faisait que perpétuer le vieux cycle. La voir amenait Alice à se dire qu’elle n’était donc pas, en soi, opposée à l’esclavage, mais plutôt opposée à une mauvaise conception de la servitude, qui permettrait à une personne de commettre des abus sur d’autres sans rien avoir à en craindre. Sur le principe, Mélinda était aussi condamnable que d’autres esclavagistes, car Alice savait très bien que, si jamais l’envie lui prenait, elle pourrait tuer ses esclaves… Mais Alice la connaissait suffisamment pour savoir que, sous ses airs, sous sa cruauté, Mélinda avait un cœur, et avait autant besoin de ses esclaves qu’elles avaient besoin d’elle. Bref, Alice lui faisait confiance, et, à l’idée de voir Tessia la rencontrer, elle en avait des frissons.

Mélinda allait-elle apprécier de la voir ? Assurément… Sur son téléphone, Alice essayait péniblement de lui dire que Tessia était une femme adorable, et qu’elle comptait venir avec elle. Elle envoya son message, et Mélinda ne tarda pas à lui répondre, en lui soufflant qu’il n’y aurait aucun problème, et qu’elle était même « impatiente » à l’idée de rencontrer une « aussi charmante personne ». Alice sourit lentement, puis reçut un autre texto’… Et rougit en lisant le contenu :

Citer
« Est-ce qu’elle t’a bien défoncé le cul ? »

Alice s’empourpra.

*Il n’y a qu’elle pour me sortir ça !*

Sur le sexe, Mélinda avait une approche totalement décomplexée. Même en classe, face à une prof’ qui lui plaisait bien, il lui arrivait de lui faire des avances à voix haute. On aurait pu croire que coucher depuis des siècles aurait pu la rassasier, mais elle se comportait toujours comme une véritable nymphomane en puissance. C’était très troublant… Et aussi très excitant, mais ça, Alice ne l’aurait jamais admis sans qu’on ne la force.

Tessia s’était préparée, enfilant une superbe robe chinoise, qui fit déglutir Alice. Oui… Elles avaient beau avoir couché ensemble pendant un long moment, Alice, en la voyant ainsi, avait encore envie d’elle. Elle se mordilla lentement les lèvres… Quand on sonna à l’interphone. Leur chauffeur venait d’arriver.

Gia (http://fc04.deviantart.net/fs38/f/2008/358/2/c/Gia_by_WarrenLouw.jpg) était l’une des esclaves de Mélinda, qui était à l’université, et avait donc son permis de conduire. Elle était venue avec une voiture qui n’était pas très discrète, et qui témoignait de la fortune de Mélinda… Une belle limousine noire (http://img110.xooimage.com/files/5/b/e/limousinenoire3-4b33e4e.jpg) était stationnée en plein milieu du parking. Elle leur sourit, et fit un clin d’œil malicieux à Alice, avant de leur dire que la voiture était prête.

« Nous pouvons y aller, Tessia… Ne t’inquiète pas, la soirée chez Mélinda va être formidable. »

Alice en était intimement convaincue.




FIN DE LA PREMIÈRE PARTIE

Suite... Ici (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=16041.0).