Le Grand Jeu

Bac à sable => One Shot => Discussion démarrée par: Princesse Alice Korvander le mercredi 12 novembre 2014, 23:03:31

Titre: Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 12 novembre 2014, 23:03:31
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Chronologie

  • Princesse héritière de Sylvandell décevant perpétuellement son père, Alice Korvander est restée perpétuellement une jeune femme humiliée et frustrée. Le jour où les Sylvandins capturèrent une femme cherchant à tuer un dragon doré, elle fut décapitée lors d’une séance publique, à laquelle Alice assista. Les dragons étaient ses seuls amis, lui parlant, chuchotant dans sa tête, là où les Commandeurs de son père ne cessaient de se moquer d’elle. Lors d’une foire aux esclaves, une humaine terramorphe venant de Terra. La Princesse de Sylvandell choisit cependant de rester agenouillée, priant dans la Grande Cathédrale, et ne connut jamais Sakura Konoe. Elle resta seule dans le Château royal, continuellement brimée par son père, jusqu’à ce qu’Ashnard n’entende parler des troubles provoqués par un royaume éloigné, Herzeleid. Les dragons de Sylvandell étaient mandés pour une guerre probable, et il choisit de venir avec sa fille ;

  • Reine démente et cruelle d’un royaume militarisé, Alice Liddell était dévorée par une ambition croissante, celle de devenir Reine du Monde, Impératrice suprême, gouvernant d’un bout à l’autre du Grand-Continent. Son armée ne cessait de se développer, profitant de l’affaiblissement de Nexus et d’Ashnard pour augmenter ses forces. Ses troupes mécaniques infernales filaient dans les champs environnants, et les rumeurs de sa cruauté se répandaient dans le monde entier, que ce soit ses expériences génétiques ou son cannibalisme cruel et sauvage. L’Empire d’Ashnard finit par déplacer un important contingent. La guerre semblait imminente, mais Liddell proposa alors des négociations, et invita un groupe de délégataires dans son fort, ce groupe incluant des Ashnardiens, mais aussi des Sylvandins, à savoir le Roi et sa fille, ce dernier voulant qu’Alice assistât à la réunion pour pouvoir en tirer des enseignements ;

  • Marquée par la beauté de cette femme, et décidée à remplir ses devoirs d’hôte, la Reine tua l’une de ses servantes, et elle fut servie à ses invités. Alice mangea cette viande avec appétit, et, le soir venu, la Princesse rencontra la Reine. Habile et douée de ses mots, la Reine lui expliqua que la Princesse n’était pas une personne médiocre, qu’elle avait un potentiel insoupçonné, et que Liddell rêvait d’un monde unifié. La Princesse avala ses paroles, car tant de dénigrement, tant d’années à souffrir auprès des Commandeurs et de son père, tant d’absence d’amour, avaient laissé en son cœur une rose noire, qui s’était mise à pousser. Elles firent l’amour, et la Princesse adora ça. Et, si la Reine avait en elle ce brin de folie qui l’empêchait de pouvoir élaborer des plans vicieux, il n’en était rien de la Princesse. Elle haïssait son père, qui avait tué sa mère, et qui n’était rien de plus qu’une brute épaisse. Il avait brisé ses idéaux, alors la Dame Blanche et la Dame Noire s’unirent ;

  • Les pourparlers aboutissant sur la paix, Sylvandins et Ashnardiens retournèrent chez eux, emportant dans leurs bagages ce qui, pensaient-ils, leur apporterait un soutien décisif sur Nexus : les plans techniques des redoutables armes de la Reine. Des plans factices, mais il leur faudrait des mois pour le réaliser, le temps pour la Dame Noire de s’armer, et de renforcer substantiellement son armée. Alice Korvander, de son côté, retourna à Sylvandell avec un autre bagage supplémentaire, un poison redoutablement efficace... Et autre chose. Elle l’utilisa pour tuer son père lors de l’Onction donnée par l’Omniprêtre de Sylvandell, à l’occasion d’une cérémonie religieuse propre à Sylvandell. Quand l’eau atteignit les lèvres du Roi, il mourut. Alice hurla alors que le coupable était l’Omniprêtre. La justice fut rendue rapidement et proprement : la tête de cet infâme serpent fut ôté de ses épaules ;

  • Devenant à son tour Reine, Alice entreprit de se rendre auprès du Patriarche. Le Roi des Dragons d’Or n’avait toujours confié aux Sylvandins qu’une partie de ses dragons, mais il sentit, en Alice, le souffle vibrant et fort d’Erwan Korvander, le Premier. Il s’approcha suffisamment d’elle pour qu’elle utilise le dispositif créé à Herzeleid, et qui avait permis d’obtenir le Jabberwocky : un appareil qui lui permit de contrôler le Patriarche, et ainsi de pouvoir contrôler d’un vénérable dragon. Le Vénérable usa de son influence pour assembler autour de lui une immense armée ;

  • Forte de cette armée, Alice Korvander entreprit alors de s’unir avec le Conseiller Impérial Emhyr Van Emreis, un homme dont l’influence était sensiblement en train de croître au sein de l’Empire. Ils se marièrent et s’unirent, mais jamais Alice ne connut le plaisir venant de cet homme. Trop souvent, les hommes l’avaient dégoûté, et elle ne pouvait le connaître qu’auprès de la Reine d’Herzeleid, dont le contact lui manquait. Une femme libre et indépendante, autonome et forte, était son modèle. Ils s’unirent, et, avec l’aide de l’armée dragonique de Sylvandell, les superforts de Nexus s’effondrèrent. La guerre se termina enfin, et Nexus brûla ;

  • Cette grande victoire en poche, l’influence d’Emhyr atteignit des sommets, si tant est qu’il parvint à se débarrasser de l’Empereur Mordret, Empereur vieillissant et qui avait été incapable de résoudre le cas nexusien. Suivant la tradition ashnardienne, Emhyr le décapita, mais prit légalement le pouvoir, confirmant ainsi son souhait d’institutionnaliser le titre d’Empereur, et de le stabiliser ;

  • La paix ne dura hélas que peu, car Herzeleid en profita pour attaquer, s’abattant sur le flanc de l’Empire. Une armée immense et colossale, qui amena les Ashnardiens à déployer leur principale armée. Une armée qui était cependant coupée en deux, les troupes se trouvant surtout à Nexus, afin d’écraser les dernières poches de résistance, et y instaurer l’autorité impériale. Les dragons de Sylvandell se ruèrent vers le champ de bataille. Ce dernier tournait en la faveur des Ashnardiens, plus nombreux, et utilisant de puissantes magies pour briser l’élan des troupes herzeliennes. Las, les dragons fondirent sur les Ashnardiens, les carbonisant sur place, abattant les flammes de l’Enfer. Alice et Emhyr assistaient alors tous deux aux combats, et Emhyr, en comprenant que sa femme l’avait trahi, ne put rien faire d’autre que sombrer. Il fut déclaré mort, mais un destin plus funeste l’attendait encore ;

  • Devenant l’Impératrice, Alice s’empressa de signer la paix avec Herzeleid, et estima que, pour la pérenniser, il fallait qu’elles se marient. Ce mariage eut lieu. Certains Conseillers Impériaux s’y opposèrent, mais la vérité fut masquée. Personne ne savait que les dragons avaient attaqué les Ashnardiens, car tous les Ashnardiens ayant survécu furent massacrés. De plus, d’un strict intérêt militaire, l’alliance avec Herzeleid renforçait la technologie de l’Empire, et, de manière générale, les citoyens étaient pour l’heure ravis. Comment auraient-ils pu ne pas l’être ? Leur Impératrice avait brisé Nexus, et Ashnard était devenue la première puissance mondiale, tant sur le plan militaire qu’économique ;

  • Voyant tout cela d’un œil éloigné, les Tekhanes choisirent de renforcer leur alliance avec Ashnard. La guerre entre Nexus et Ashnard n’existant plus, les Ashnardiens firent des Formiens le nouvel ennemi. La propagande impériale se mit en marche, et l’Empire se retrouva à fédérer des milliards d’âmes, devenant une machine monstrueuse avec des millions de soldats, et une armée de plus en plus grandissante, à même de pouvoir soutenir l’effort de guerre tekhan contre la Fourmillière.

  • Qui se soucierait des centaines et des centaines d’âmes disparaissant continuellement ?




ACCEPT CHANGE
DARK REIGN
Has Begun
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le dimanche 16 novembre 2014, 14:01:32
(http://zupimages.net/up/14/46/drjq.jpg) (http://zupimages.net/viewer.php?id=14/46/drjq.jpg)



Kann man Herzen brechen
können Herzen sprechen
kann man Herzen quälen
kann man Herzen stehlen

Können Herzen singen
kann ein Herz zerspringen
können Herzen rein sein
kann ein Herz aus Stein sein

Kann man Herzen fragen
ein Kind darunter tragen
kann man es verschenken
mit dem Herzen denken

Sie wollen mein Herz am rechten Fleck
doch seh ich dann nach unten weg
da schlägt es in der linken Brust
der Neider hat es schlecht gewusst*



Dans les rues D'herzeleid, un grand cortège de voiture noires s'avancent. En tête de ce dernier, une voiture(décapotable) (http://fc04.deviantart.net/fs25/i/2008/125/0/0/That_Old_Black_Magic_by_yankeedog.jpg) (l'image montre deux place, mes dans le rp il y en a quatre) ce démarquait des autres de par sa taille et surtout de par les personnes présente à l'intérieur. Là, à l'arrière, L'illustre ObersteFürher Liddell, ce tenait debout, la main droite fièrement posée sur le cœur. Ce signe, tout le monde dans les rues le faisait. Des centaines de soldats étaient repartis dans toutes la ville d'Herzeleid et les gens acclamaient la reine en chantant l'hymne du royaume*. C'était un jour particulié... Ce jour était celui de l'Anniversaire de L'ObersteFürher et pour l'occasion, une grande parade avait était organisée. Au cotés de L'Oberstefürher, il y avait sa femme qui n'était autre que la grande impératrice Ashnardienne Alice Korvander. Les deux femmes se tenaient la main sous les chants et les cris de joie de la populace herzelienne. Après avoir fait le tour d'Herzeleid, le cortège arrivât enfin sur la grande place où trônait une grande statut en Galium représentant L'Oberstefürher avec une main sur le cœur. C'est sur cette même place qu'allait avoir lieu, dans quelque minutes, un grand défilé militaire comprenant l'Armée d'Herzeleid, mais aussi l'Armée Ashnardienne.
La voiture s’arrêta lentement devant un grand pupitre noir sur lequel pendait un immense étendard avec dessus l'insigne de la pique Herzelienne, le ciel était noir et la place était alors illuminée par de puissant projecteurs,projecteurs dont certains pointaient vers le ciel, comme ceux qui bordait l’immense pupitre de Liddell.

Rapidement, Grizellda (http://zupimages.net/up/14/08/6xfp.jpg) allât ouvrir la portière droite de la voiture, tendant ensuite sa mains afin d'en faire descendre sa Reine délicatement. De son coté, Marta (http://zupimages.net/up/14/08/4e0z.jpg) ouvris la portière gauche, faisant alors un délicat baise main à l'impératrice, avant de la aussi faire doucement descendre de la voiture. Liddell attendis quelque secondes l'arrivé de sa compagne juste devant les marche menant au pupitre puis, quand elle la vis enfin arriver prêt d'elle, elle lui tendis la main en esquissant un large sourire.

Fürhe mich, mein Kleine herz*, fufufu !

L'Oberstefürher prit la main de sa dulcinée puis, les deux jeunes femmes gravirent ensemble les escaliers menant au pupitre. Une fois les deux souveraines en haut du dit pupitre, Liddell pose sa mains sur le cœur et cet alors qu'à l'unissons, on put entendre les mots Heil, Kaiserpaar *! retentirent dans sur toutes la place, ouvrant alors la parade et, ce fut l'armée impériale Ashnardiens qui ouvrait ce bal sinistre.

Liddell se tourna vers l'impératrice, avant de délicatement l'embrasser, tendis qu'au même moment, deux jeunes filles, une de herzelienne et une ashnardienne, lâchèrent ensemble une dizaine de corneilles et de colombes en guise de représentation symbolique de l’union entre l'Orbestefurher et l'impératrice Ashnardienne.



[HRP] trad de l'hymne herzelien et de deux autres petits trucs ^^

1* Peut-on briser des coeurs
Les coeurs peuvent-ils parler
Peut-on blesser des coeurs
Peut-on voler des coeurs

Les coeurs peuvent-ils chanter
Un coeur peut-il se briser
Les coeurs peuvent-ils être purs
Un coeur peut-il être de pierre

Peut-on demander à des coeurs
D'emmener un enfant là-bas
Peut-on leur offrir
De penser avec leur coeur

Ils veulent mettre mon coeur sur le droit chemin
Pourtant alors je regarde vers le bas
Là, on martèle du coté gauche de la poitrine
L'envieux ne le sait pas.

2* Suis moi, mon petit coeur (paroles de liddell)
3* couple impériale

Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 18 novembre 2014, 01:51:27
Voir tant de gens scander son nom, voir tant de personnes la vénérer, s’agenouiller devant elle... C’était la plus grande des victoires, la plus belle des réussites. Herzeleid avait bien changé depuis ces quelques années, s’étalant de plus en plus, bénéficiant à loisir des fonds impériaux pour rénover ses infrastructures, et devenir un État extrêmement puissant. L’Impératrice marchait le long du grand boulevard central, avec une vue sur le château de sa bien-aimée, et le cœur d’Alice était gonflé de joie. Portant une robe blanche et une longue cape qui filait dans son dos, l’Impératrice sentait son cœur éclater sur le point des lèvres. Elle était heureuse, très heureuse. Rejetée, l’époque où elle était l’esclave de son père ! Bannie, l’époque où on ne cessait de se moquer d’elle, de la dédaigner, de la traiter comme une moins-que-rien ! Regardez-là, maintenant ! Oui, vous, les mécréants, les sceptiques, les menteurs, les calomnieux et les traîtres ! Elle dominait le monde, elle le tenait dans la coupe de sa main. Le monde entier était à sa merci, et même les Tekhanes lui mangeaient dans les doigts. De Nexus l’arrogante à Ashnard l’impériale, son emprise était totale. Les Nexusiens avaient compris qu’il ne fallait pas se dresser face à elle, et la leçon serait sévèrement marquée dans leur chair. Elle était victorieuse, et pourtant... Dans son cœur, elle les voyait encore se moquer d’elle. Chaque fois qu’elle s’asseyait au sein du Conseil Impérial, elle avait l’impression que ses conseillers ne voyaient en elle qu’une usurpatrice. Chaque fois que quelqu’un contestait ses décisions, elle voyait en lui un ennemi, quelqu’un qui l’accusait de ne pas mériter sa place, de n’être qu’une simple gamine qui ferait mieux de retourner traire ses vaches, plutôt que de tenter de s’occuper de sujets de grandes personnes.

Ils étaient là, à côté d’elle... Tous ses conseillers, célébrant avec elle et Liddell, sa bien-aimée, leur Anniversaire... Un anniversaire qui était aussi l’anniversaire de la paix et de la prospérité. Le monde enfin réuni allait pouvoir désormais enfin se mobiliser contre ces maudits Formiens. Nexus avait longtemps tenté de s’opposer, mais sa révolte avait été vaine. Dès que l’incapable Mordret avait été chassé du pouvoir, les Ashnardiens avaient finalement pu se mobiliser pour écrabouiller sur place les Nexusiens. La lignée des Ivory avait été brisée. L’Empire n’avait jamais été aussi fort, aussi réveillant, et son hégémonie s’annonçait millénaire... Alors, pourquoi diable continuait-on encore à rire dans son dos ? À ourdir des complots ?! À la NARGUER ?! N’en avait-elle pas assez bavé, de ces complots, de ces mensonges, de ces mots bas, de ces trahisons ?! Des traîtres, voilà ce qu’ils étaient tous ! Une bande de cloportes insignifiants qu’elle briserait en mille morceaux ! Elle n’attendait qu’un geste, qu’une erreur, pour montrer aux yeux de la populace idiote et ignare ce qu’ils étaient vraiment. Des menteurs, des rats, des chacals se prenant pour des lions parce qu’ils en avaient l’apparence ! Mais elle, elle n’était pas dupe. Elle, elle voyait très clairement dans leur jeu.

Alice ne faisait confiance en ce monde qu’à deux personnes : sa bien-aimée, et son magicien... Celui qui l’avait aidé à réveiller le véritable pouvoir de Sylvandell, et qui, toujours, veillait sur elle. Marten Largecape (http://www.latoursombre.fr/images/upload/tour_sombre_marten_largecape__1303492289.jpg) était un homme de confiance, quelqu’un qui lui avait montré des pouvoirs dépassant l’entendement, et qu’elle avait utilisé pour soumettre les dragons, et les utiliser afin de souffler sur Nexus. Comme un rappel de leur puissance, ils flottaient dans les airs, hurlant et rugissant, avant de se poser sur les toits. Sa bien-aimée fut ensuite là, et l’hymne d’Herzeleid commença... Normal, puisque la cérémonie avait lieu à Herzeleid.

Une fois l’hymne chanté, ce fut au tour de celui d’Ashnard. Les cors rugirent, les trompettes aboyèrent, et Alice sentit ses soucis passagers disparaître, au profit du moment immédiat, de la main de sa femme. Alice Liddell... L’autre personne en qui elle avait une confiance absolue. Une femme qui lui avait révélé tout son potentiel, et qui lui avait expliqué qu’il était temps pour elle d’agir. Alice lui avait offert sa virginité, et, mis à part ce porc d’Emhyr, Liddell avait été la seule femme avec qui elle avait fait l’amour pour l’heure.

Des colombes s’étaient envolées, et le peuple hurlait de joie, tandis que le défilé se poursuivait, les soldats venant à chaque fois saluer les deux souveraines. Les conseillers impériaux tapaient dans leurs mains, sur une estrade à côté de celle des deux Impératrices, et Alice ne pouvait s’empêcher de les regarder avec mépris.

« Ils veulent vous supprimer, Majesté, vous évincer du pouvoir, lui avait dit Marten.
 -  Mais pourquoi ?
 -  Ils estiment que le Trône ne doit revenir qu’aux premières familles ashnardiennes, celles qui ont fondé l’Empire. Ils n’acceptent pas une parvenue venue d’un royaume isolé et étroit comme Sylvandell... Et, surtout, ils sont jaloux de vous.. De votre beauté, de votre succès, de vos réussites. »

Pouvait-elle vraiment laisser de tels animaux diriger à côté d’elle ? Elle voulait un Empire fort et puissant, un système méritocratique où seuls les plus puissants et les plus intelligents dirigeraient... Et ce n’était pas le cas des nobles ashnardiens, qui, comme les Nexusiens, étaient de fieffées crapules, des opportunistes qui n’hésiteraient pas à changer d’orientation suivant les ondulations du vent.

Les chants terminés, Alice finit par s’approcher du pupitre, et entama son discours :

« Peuple d’Herzeleid, c’est pour moi une immense joie de me présenter face à vous... »

Elle laissa le peuple éclater sa joie en hurlant, patientant quelques secondes. La jeune femme se pinça les lèvres, et reprit :

« Cela fait maintenant un an... Un an que nos peuples sont alliés, et que, ensemble, ils ont achevé la grande guerre. Herzeleid et Ashnard sont les deux mêmes pièces d’un vaste Empire qui s’étend tout le long du Grand Continent. D’un océan à l’autre, d’une forêt à l’autre, il n’est désormais plus une route, plus un fort, plus une ville, plus un hameau, qui ne soient pas marqués par notre Autorité ! »

Les vivats se multiplièrent, enflant, la foule scandant sa joie.

« Nous avons unifié le monde, et mis fin à la guerre ! Nexus sera reconstruite et pacifiée. Toute la corruption qui y régnait, et qui gangrénait cette glorieuse cité-État, disparaîtra. Purifier le monde, le pacifier, l’organiser sous un système juridique cohérent et total, voilà quelles seront mes ambitions. Protéger les citoyens contre l’arbitraire des corrompus, réinstaurer des valeurs fortes comme le patriotisme, la solidarité, l’ordre et la sécurité, voilà quel sera mon credo ! »

Il y avait une ovation, une flopée d’applaudissements. Ils étaient suspendus à ses lèvres.

« Pour autant, nous ne devons pas oublier que la vraie menace continue à peser. De tout notre cœur, l’Empire apportera son aide à Tekhos contre les Formiens. Tant que cette engeance diabolique venue de l’Enfer continuera à exister, nous continuerons nos dépenses militaires, et je tiens à vous rassurer... Notre alliance avec Tekhos ne fait que commencer ! »

Elle continua :

« Je vous le dis : des jours nouveaux et magnifiques sont à prévoir ! La guerre et tous ses cauchemars est terminée ! La paix va prospérer ! L’ordre protègera votre liberté. N’oubliez jamais que seul l’ordre est garant de la liberté, et que ce n’est que dans un système étatique solide et efficace que des citoyens libres et égaux peuvent exister entre eux. L’anarchie, je vous le dis, l’anarchie, oui, est la voie vers le chaos ! Alors, qu’Ashnard prospère, que l’État domine ! Vive Herzeleid ! Vive Ashnard ! VIVE. L’EMPIRE !! »

La foule sembla se déchaîner sur place, tandis qu’Alice levait fièrement le poing. Tous les dragons soufflèrent alors, rugissant furieusement, leurs grondements se faisant entendre dans toute la région.

« IMPERIUM SINE FINE !!! IIIIIIIIIIIIIIMPEEEEEEEEEEERIUUUUUUUUUUUUM SINE FINEEEEEEEEEEEEE !!! IMPEEEEEEEEEEEEEERIUUUUUUUUUUUUUM SINE FIIIIIIIIIIIIIIIIIINEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE !! »

Un empire sans fin… C’était la devise du nouvel Empire.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le vendredi 21 novembre 2014, 17:37:34
Après le défilé des armées, Liddell laissa sa femme s'exprimer. Cette dernière avait un certain don pour attiser les foules, don qu'elle partageait avec Liddell d'ailleurs. Les deux blondes était des dirigeantes sans pareille et il fallait au moins ça pour dominer le monde. Une fois le discourt de l'impératrice terminé, ce fut au tour de l'Orbestefurher de prendre la parole. Le jeune femme s’avançât à son tour, un large sourire sempiternellement pendu au visage. Le peuple était en transe devant sa personne et alors qu'elle n'avait encore rien dit, les gens l'acclamèrent en cœurs, avant qu'un geste de sa main ne vienne à installer le silence dans toute la place.

Mon bien aimer peuple d'Herzeleid... Toi, mon cœur, mon souffle, ma vie ! Je suis heureuse de constater que votre amour à mon égard n'a pas changé. Comme à put le dire mon illustre épouse, cela fait maintenant un an... Oui, un an que ce monde c'est vu être unifié sous un même étendard. Pourtant... Nous savons tous qu'il n'en a pas toujours était ainsi, nest ce pas ? Fut un temps ou Ashnnard et Herzeleid était de bien farouches ennemies... Mais ce temps est révolu ! Nous voilà en ce jour unifié et lié et ce dans une atmosphère de paix et de prospérité qui n'est pas prête de s'éteindre !


Le jeune femme marquât une courte pause dans ses propos puis, elle reprit.

Cependant... Je n'ignore pas qu'il y ais dans ce vaste monde, des personnes insidieuses au idées infectes ! Des rebelles, qui ose remettre en doute notre toute puissance ! Certaines personne pense aussi que la lutte contre les formiens est contre nature et que chaque espèce mérite ça place ici bas... MAIS NON ! lâchât elle en tapant du poing.
La folie se lisait très clairement au fond de ses yeux, une folie qui, avec sa monté en puissance et sa rencontre avec Mania, n'avait fait que croître au sein de son esprit.

Je... Je n'aurais qu'un chose à vous dire, à vous, mon peuple... Toute personnes allânt à l'encontre de notre autorité et de nos préceptes sera... Exécuté !
En disant le mot "éxécuté" Liddell avait fait un petit geste de sa main droite puis, elle vint à poser cette même main contre son cœur, avant d'entendre son peuple se mettre à scander d'une voie forte.

HEIL, ORBESTEFURHER ! HEIL KAISERPAAR !
s’exclamèrent les hommes et les femmes en portant leur droite au niveau du cœur. Liddell était fière... Fière d'avoir enfin ce monde entre ses griffes, fière d'y rependre sa folie à loisir et fière d'avoir à ses coté une femme charmante pour l'épauler. Herzeleid et Ashnnard dominait tout à présent... tout.
Une fois le discourt des deux femmes terminé, elles descendirent de l'estrade ensemble, main dans la main, avant de remonter dans la même voiture que celle qui les avait amenées.

Montait Mein Fürher. Lâchât Grizellda en ouvrant la portière droite de la voiture, tendis que de l'autre coté, Marta en fit de même pour la Sylvandine.

Une fois dans la voiture, Liddell vint à déposer un délicat et tendre baisé sur la joue de sa compagne, tout en lui caressant la cuisse avec douceur.
Je suis tellement heureuse de vous avoir avec moi à mes coté Mein herz ! Fufufu !
Mais c'est alors qu'un immense sourire décharné vint à apparaître au dessus des deux blondinettes. C'était Chess. Ce dernier fini par se matérialiser totalement devant les deux impératrice, avant de délicatement prendre au creux de ses griffes la main de la sylvandine, afin d'y apposer un baise main.
Vous revoir en ses lieux, submerge mon cœur de bonheur, majesté.
Fufufu... How Chess.

Le sinistre Chess était toujours là lui aussi, éternellement dans l'ombre de Liddell. C'était l'une des rare personne en qui Liddell avait confiance et au fond, ce n'était vraiment étonnant, vue qu'il était la matérialisation physique d'une partie de sa folie. D'ailleurs, Liddell était à présent capable à la seule force de cette folie de briser des objet ou de faire sombrer une pièce dans une autre "version" de celle-ci, comme une sorte de version altérée, c'était là encore la manifestation physique, de la folie de Liddell. Mais la plus belle chose que la folie lui avait offert, était sans nul doute son immortalité.  La voiture roulait lentement dans un cortège d'autre voitures blindées, allant ainsi vers le châteaux de L'Orbestfürher Liddell.

à l'intérieurde la voiture, Liddell caressait délicatement la main de sa compagne, éprouvant sa peau douce, avant de lentement se mettre à lui sentir le cou. Alice korvander était une magnifique jeune fille, l'une des rare à de pas avoir fini dans un broyeur. Les deux jeunes femmes formait un petit couple harmonieux... Mais redoutable aussi.

- Mein Herz... ce soir, je vous promet une folle nuit d'amour. Lâchât elle en embrassant délicatement sa fiancé dans le cou.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 23 novembre 2014, 02:11:30
La propagande impériale était une chose merveilleuse. D’un bout à l’autre de l’Empire, il n’y avait pas une école, pas un orateur, pas un crieur public, qui ne vantât les mérites du couple impérial. Alice s’en était assurée, en augmentant sensiblement le budget alloué au Ministère de l’Intérieur. Des agents étaient envoyés dans toutes les provinces impériales, afin de s’assurer que les gouverneurs et les représentants locaux remplissent bien leurs parts du devoir. Ceux qui faillaient à leurs obligations étaient exécutés, et tous les rapports étaient mélodieux. S’il y avait des révoltes, elles étaient rapidement et sévèrement réprimées, par le biais d’immenses bûchers, de scènes de lapidation publique, auxquelles le peuple était invité à venir participer, ou simplement à observer. De fait, ceux qui refusaient d’observer étaient considérés comme de potentiels sympathisants, et étaient surveillés par des agents impériaux. L’Empire avait toujours eu ses services d’espionnage et de contre-espionnage. Sous le règne de Mordret l’Imbécile, le contre-espionnage était stupidement utilisé, dans le but de lutter contre d’éventuels espions nexusiens. Une utilisation ridicule, dans la mesure où les Nexusiens s’étaient retranchés dans leurs superforts. Alice en avait fait une meilleure utilisation, destinée à asseoir son règne. Elle avait personnellement assisté à des éviscérations en public de comédiens et de saltimbanques pensant pouvoir librement se moquer d’elle... Comme s’ils pensaient qu’Alice n’avait pas assez souffert des brimades pendant son enfance. De mémoire, elle se souvenait même qu’une exécution de ce genre était prévue au Palais Impérial dans quelques jours, contre un écrivain qui avait eu la bonne idée d’écrire des contes humoristiques dans lesquels il comparait la Cour Impériale à des animaux. Quand Alice avait lu ce conte, elle était devenue folle de rage. De quel droit osait-on la rabaisser ainsi ? Se moquer d’elle ?! Elle avait ordonné qu’on retrouve ce barde, et qu’on le fasse traiter comme un hôte de marque dans le Palais... Si elle n’avait pas eu son défilé à Herzeleid, elle aurait rapidement choisi de s’occuper de cette affaire, mais, à défaut, il avait été entreposé dans un appartement très luxueux du Palais. Elle le voulait en parfaite santé quand elle le réduirait en bouillie.

Alors qu’elle descendait, sa main gantelée de soie agrippant la main noire, gantelée de latex, de son amour, et que le peuple l’applaudissait, elle sentit ces petites contrariétés disparaître. Le peuple l’aimait, le peuple la respectait. On disait même que, après son départ, certains dévots se jetaient sur le sol, afin de ramasser les traces qu’elle laissait dans la poussière, les entreposant ensuite chez eux comme des reliques. Chaque fois qu’elle voyageait dans la campagne, elle revoyait les mêmes gestes d’adoration. Elle se rendit dans la voiture de son amante, et cette dernière s’avança lentement. Par la fenêtre, les gens continuaient à les applaudir, et à les féliciter. À aucun moment, il ne traversa l’esprit d’Alice que ceux partant avant elle risquaient de recevoir la visite des services secrets, et de passer un sale quart d’heure. Et, quand bien même l’aurait-elle su qu’elle aurait trouvé cela normal. N’était-elle pas leur Impératrice ? Celle qui avait réussi à unifier le monde entier ? À mettre fin à la guerre contre Nexus ? N’était-ce donc pas le minimum, que de demander à ces citoyens gras et irrespectueux, de l’applaudir, de la féliciter ? Grâce à elle, ils pouvaient dormir en paix, sans la crainte d’être un jour recrutés pour rejoindre le contingent, et devoir mourir devant les superforts. Grâce à elle, Ashnard ne connaîtrait plus jamais de crise économique, de disette, ou d’épidémie.

Elle y songeait dans sa voiture lorsqu’une créature cauchemardesque surgit. Alice la regarda. Chess. Le chat de Liddell, le conseiller de sa femme... Et aussi le sien. La première fois qu’elle l’avait vu, elle avait eu peur de lui, mais Liddell lui avait montré que le Chat était l’un de leurs plus grands amis. Il était un peu l’équivalent de Marten Largecape aux yeux d’Alice Liddell, et, si sa femme avait confiance en lui, alors Alice n’avait pas à objecter quoi que ce soit. Elle le salua brièvement, avant d’observer à nouveau le peuple.

*Mes gens... Mon peuple... Croyais-tu que j’irais jamais aussi loin, Père ? j’ai réussi là où tu as toujours été incapable de faire quoi que ce soit...*

Sylvandell n’avait jamais eu un seul membre siégeant au sein du Palais Impérial. Les Ashnardiens avaient toujours exploité ces derniers, les traitant comme des esclaves ou des culs-terreux, et ce alors même qu’ils détenaient avec eux le pouvoir de changer les choses. Et elle... Elle, avait changé tout ça. Elle avait fait de ce monde un meilleur endroit, plus calme, plus sûr, plus stable. Son regard, lentement, s’attardait sur certaines des filles qu’elle voyait de l’autre côté de la vitre, et, alors que son imagination commençait à vagabonder, sa femme s’affala contre elle, reniflant et embrassant tendrement son cou :

« Mein Herz... ce soir, je vous promets une folle nuit d'amour. »

L’Impératrice sourit, tournant son regard vers la femme, et sa propre main vint à son tour caresser la joue. Elle l’embrassa alors sur ses lèvres.

« Je ne demande que ça, ma chérie. »

C’était comme ça qu’elle avait vraiment connu le bonheur, quand Liddell lui avait enlevé sa virginité.

Elle était donc plus qu’impatiente de recommencer. Ce baiser inopportun venait d’ôter à Alice la jeune femme qu’elle avait aperçu dans la foule, la chassant de son esprit, elle, et toutes les choses qu’Alice avait alors eu envie de lui faire. Liddell passait avant tout.

C’était ça, l'amour.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le dimanche 23 novembre 2014, 18:45:22
! Attention !

La séquence qui vas suivre (du moins, le final) est assez dure, c'est pourquoi si vous êtes quelqu'un de sensible, je vous invite à passer votre chemin pour ce post.


La voiture du couple impériale traversat les tues bondées d'Herzeleid. Liddell pouvait entendre les gens hurlait son nom et celui de sa femme. Les yeux de Liddell d'une folie des plus pure et sincère, son regard fixait celui de sa femme avec hardeur et envie. Cette dernière lui avoua vouloir, elle aussi, passer à des choses beaucoup plus torrides. Malheureusement, les deux femmes ne pouvait décemment pas faire l'amour ici, faute de temps et d'espace. Liddell frotta son nez contre celui de son impératrice blanche, avant de l'embrasser à son tour sur la bouche, mordillant délicatement ses lèvres.

Je vous croquerais bien mon amour... hihihi !

Cet alors qu'un homme vint à violemment s'abattre sur la vitre de la voiture, juste au niveau de la portière de Liddell, faisant sursauter cette dernière.

Mein Führer ! Je vous en supplie... Laissait moi vous approcher !

Mais à peine l'homme avait il prononcé ses mots, que deux officiers (http://zupimages.net/viewer.php?id=14/39/jc4w.jpg) vinrent à l'arracher de ça place a grand renfort de coup de matraque et ce sous le regard de Liddell. Le pauvre homme se faisait à présent tabasser au sol, devant des centaines d'autres personnes, ces dernières n'en firent d'ailleurs rien. Il était interdit d'importuner de l'Orbestfürher... Et il en vas de même pour l'impératrice Ashnardienne. à présent, cet homme allait surement se faire enfermer, afin qu'il comprenne bien à quel point son acte était grave.

Pfiu... Quel imbécile ! hmmmm... Où en étions nous mein herz ? Lâchât elle alors, comme ci de rien n'était. Ah !... oui... Je me souviens, ihihi !

Tendrement, Liddell vint à caresser avec hardeur le corps de sa compagne, l'embrassant avec fougue et désire. Marta qui était sur le siège passager commençait à avoir une belle érection, la contraignant à croiser les jambes, afin que cette dernière ne ce voie pas de trop. Cependant, Grizellda, qui conduisait, avait remarquée la bosse bien avant que Marta ne cherche à la cacher. Ce petit détail la fit d'ailleurs légèrement sourire.

Et bien Marta... Tu ne déballe ta chose aujourd'hui ?
Tu vas voir ou je vais la mettre ma chose... Salope...

Grizellda remua légèrement sa tête de gauche a droite en soupirant,regardant au passage deux impératrices entrain de s'embrasser par le biais de son rétroviseur. La General arquât brièvement un sourcil, avant de ce remettre à regarder la route. Intérieurement, Grizellda savait que ce soir, au palais, certaine choses allait être un chouilla plus "festives" qu'à leur habitude. Plus tôt dans la semaine, Les cuisinier avaient, sous les ordres de Grizzelda, préparés trois femmes qu'ils avaient préalablement engraissée pendant 6 mois, afin d'avoir le meilleurs foie gras possible. Mais ci l'horreur de ce banquet s'arrêter là, ça irait, mais c'est mal connaitre l’appétit et les gout culinaires de Liddell, que croire que de simple foie gras lui suffirait. La Führer aime la chair tendre... Celle qui n'a pas vaincue longtemps...

Bientôt, les véhicules arrivèrent devant le palais de Liddell. Ce dernier avait subit quelque modifications, accroissant sa taille de plusieurs étages. Sur le coté du châteaux, une sorte d'énorme bâtiments avait poussé, ce dernier n'était autre que les Abattoirs, une gigantesque usine de mort, où était entreposé un nombre incalculable de kilos de viandes. Les Abattoirs se divisait en plusieurs sinistres compartiments, tous plus glauques les un que les autres. Des salle de traitements, de découpes, de tris... Mais plus sinistre encore, l'atroce centre d'engraissage, la triperie, les bains de sel, les broyeuses ou encore... Les couveuses.

Les Abattoirs n'était toutefois pas les seules endroits monstrueux de ce châteaux infernal. Il y a aussi salle de torture récréative du boucher, où fleurissent  d'innombrables objets rouillés et tranchants, comme des crochets au bouts desquels les corps d'innombrable jeunes filles et femmes pendent, pendant que les cris insoutenables des suppliciés ce font entendre.
Pilori, Poires d'angoisses, araignées, vierge de fer, chaise de judas, mécanisme d’écartèlement, bains d’acide, fausse d'aiguilles et une foule d'outils permettant de trancher, de brûler, d’éviscérer, d'énucléer, de castrer, d'avorter et occasionnellement, de tuer, sont consciencieusement rangés.
Mais... Que serait cet endroit sans les magnifique abat-jour en peau humaine, la chaise royal fait d'ossements humains, les cranes qui orne les mur, les magnifique banderole en mamelons et... Une foule de corps mutilés, tranché puis recousue afin de créer des masses informes et dégueulasse, à moitié en décomposition.

Après cela, on est en droit de ce dire que l'enfer est clos... Mais malheureusement... La folie de Liddell n'a pas de limite et la libido de Marta non plus, du coup, quoi de mieux qu'un harem entièrement consacrée à cette dernière ? hm ? Certes, tout le palais est plus ou moins son Harem, mais là, c'est une total redispositions de ses appartements, afin d'en faire une chambre de la luxure. Une luxure violent et salasse, un bordel de cuir et d'instrument sadomasochiste, ou peut de jeune femme son conviées.

Et enfin, la cerise sur cette effroyable gâteau morbide et puant la folie à plein nez... Les laboratoires de Minerva. Le summum de la torture et de la monstruosité. Si le Boucher peut tenir une victime torturée en vie pendant plusieurs heures
, Minerva, elle, peut le faire pendant des jours, des semaines voir, des mois. Imaginais, un mois avec des bout de fer planter dans le corps, un mois pendant lequel vous serez constamment sous perfusions ou dans un état proche de celui d'un légume, un mois a subir une batterie de teste biologique, psycho-moteur, hormonale, chirurgicale et j'en passe.
Un mois de souffrance pure, un mois ou le peu de nourriture que vous aurez serait les restes à moitiés manger des repas impériaux, reste préalablement transformé en bouillie, bouillie dans laquelle plusieurs sortes de drogues et de virus ont était mis, afin de voir ce que ça fait. Un mois... Un mois à entendre les autre patient crier, a servir de jouer à une bande de psychopathes, un mois a ne plus dormir et... Un mois...
 Le pire dans cet enfer blanc, c'est qu'il n'y a aucune échappatoire et bien entendue, aucuns moyens de vous donnez la mort... du moins, pas par vos propre moyens.

Hélas, le châteaux regorge d'autres petits détails morbides, mais après tout, qui s'en soucis, hm ? Les servantes ? Liddell part du principe qu'elle ne sont que de la "viandes" et des jouets... point barre, fermait les guillemets.

Un énorme nuage/vortex prend sa base au sommet de la tour de Liddell, surplombant ensuite toute la ville, ce nuage sinistre n'est autre que la folie de Liddell, la folie pure qui part de se château monstrueux, un folie qui, avec le temps, à imprégnée le sol et les alentours d'Herzeleid, un folie qui grandie de jour en jour et qui ne fait qu'alimenter la puissance de Liddell.

Le petit couple impérial sorti de la voiture, accompagnée par Marta, Grizellda, Chess et, bientôt, ce cher Morten ne tarda pas à rejoindre le sinistre groupes.  Le dit groupe traversa le pont menant au palais, palais dont les portes ne tardèrent pas à s'ouvrirent, montrant alors une petite escouade de servantes, prêtes à s'occuper du couple impériale, ainsi que de Marten.
Toutefois, quand trois servantes allèrent pour prendre les affaires de Liddell, cette dernière refusa, pointant alors du doigt, une seule servante.

Je veux que ce soit toi qui me déleste... Patricha.

Patricha... L'une des servantes "préférée" de Liddell... La pauvre femme avait un ventre rond car, 9 mois plus tôt, Elle était tombée enceinte d'un des majordomes avec qui elle avait eu une amourette, seulement, il en fallut peu à Liddell pour le découvrir, comme il en fallut peu au pauvre homme pour mourir. Suite à ça, Patricha devint en quelque sorte la servante attitrée de Liddell, du moins, jusqu'à sa mort. La pauvre femme peinait attrocement à cause de sa grossesse et c'est d’ailleurs pour cela que Liddell la faisait toujours plus travailler que les autres, au risque de tuer le bébé, ce qui, soyons honnête, était son bute. La pauvre Patricha était devenue une sorte de souffre douleur et, pour ne rien arranger à la chose, elle était maladroite comme pas deux et ça grossesse n'arrangeait rien, bien entendue. Dernièrement, Marta lui était passé dessus pendant trois bonnes heures et pas par vois conventionnelle, ce qui la faisait à présent boiter de douleur. La pauvre femme n'en pouvait plus, mais le pire, c'est qu'elle savait que sa mort était toute proche.

La servante avançat, peinant à se déplacer, la mains sur son gros ventre. Avec difficulté, elle tachat d'enlever le grans manteau de cuir de Liddell, mais sans le vouloir, elle lui tira une mèche de cheveux, ce qui, bien évidement, crispat notre petite Führer sur place.
AIE !
Oh... Je... Excusez moi... M... Mein...

La femme peinait à Parler et les autres servantes commencèrent à se sentir très mal pour elle... Affreusement mal enfaite, l'une d'elle allant mêm jusqu'à vouloir prendre la relève mais... Rien n'y fit, elle fut séchement remise en place par Grizellda, et ce grace à un magistrale revert de sa main droite

Reste la, chienne !
Y... Ya General Varassian... Lachat elle platement en baissant ses yeux rendue humide par la scène qui se présentai à elle.

Patricha... ? demandât Liddell à sa servante.
Ou... Oui Meine Fûhrer... Kyuuuu...
Je... Je peut voir ton bidoux ?

Là... Patricha fut comme traversée par une onde de peur qui la figea sur place, tendis que les autres servantes se retenaient de ne pas fondre en larmes sur place face à une telle cruauté. Grizellda et Marta ? howf... Elles, elles s'en foutait pas mal à vrai dire, au contraire, ça allait les divertir un peu, les coup de sang de l'impératrice était toujours amusant à voir. D'une main hésitante et tremblante, Patricha leva sa robe de servante, mettant à nue son gros ventre.
Là, délicatement, Liddell se mise à le toucher, éprouvant la chose avec douceur et curiosité.

Fufufu ! Il me donne des coups...

Cette phrase fit pouffer de rire Marta qui s'allumait un cigare, comme ci de rien n'était.

Je... Je trouve ça drôle moi... De mettre des coups... Nan ?

Patrica était entrain de pleurer, de grosses larmes se mirent à ruisselait le long de ses joues boursouflées par les coups qui Liddell lui donnait à longueur de temps.

Mein Fûhrer... Je vous en sup... Je vous en supplie... Il est tous ce que j'ais... Pitié...pitié...
 Le regard emplie de folie de Liddell se levât brièvement vers celui de Patricha, puis, un immense sourire carnassier vint à s'afficher au bout de ses lèvres.

Nan Patricha... Ici... Rien n'ais à toi... Pas même ta propre vie... Tu entend... Rien... Tu n'as rien... Ihih... Ihihih... IhihihIHIHIHAHAHAHAHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHAHAHAHAHAHAHHAAH !

Et VLAM ! Liddell envoyât un grand coup de poing dans le ventre de sa servante qui s’écroulât au sol dans un hurlement, L'impératrice, du haut de sa monstrueuse folie, ruât la pauvre femme de coups de pied, visant son ventre et sa tête avec hargne et démence.

IhihihHAHAHAHAHAH HAHAHAHA CRÈVE ! CRÈVE ! CRÈVE !!!!!!!!  JE VEUX QUE TU CRÈVE ! TOI ET TON PUTAIN DE GOSSE ! AHAHAHAHAAH JE TE HAIS ! JE VOUS HAIS TOUTES ! VOUS ME REPUGNAIIIIIIHAHAHAHAAHAHAH ! CRÈVE !  CREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEVE AHAHAHAAAAAHAHAHAHAAHAHHAAHAIHIHIHIHIH IHI AHAHAHAHAAA !

La poche des eaux de Patricha c'était ouverte, rependant sur le sol un mélange de sang et de liquide amniotique. La pauvre femme avait le visage ensanglantée, les lèvres éclatées le nez brisé et elle allât jusqu'à recracher des morceau de dents sur la sol en damier du châteaux.

Sur ce... Liddell la laissât totalement inconsciente, avant de faire signe à trois garde de l'emmener, non pas vers les abattoirs, mais vers les labos.
L'es s'hommes s'éxécutèrent, demandant tout de même les directive à leur dirigeante.

Dite à minerva de la soigner et de lui retirait l'enfant... Je veux qu'il me soit servie se soir même, avec des champignons et une délicieuse sauce au yeux ! AhahahaaAaAaAA !

Aucune limite... La démence de Liddell n'avait aucune limite... L'une des servantes qui regardait la scène s'était évanouie face à tant d'abjecte cruauté et ses collègue n'en menait pas bien large non plus. Leur cœurs était au bords des yeux, des yeux inondés par un flots de larmes retenue de force, de peur de connaitre le même triste sort.

Bon... Allons y à présent...

Comme ci de rien n'était, Liddell reprit la mains de sa femme, s’avançant ensuite vers la salle à manger. Il y avait d'ailleurs énormément de tableaux représentant les deux femmes seules ou ensembles, accrochés au mur. Bien vite, tout se beau petit monde vint à arriver dans une vaste salla à manger, au mileiux de laquelle, il y avait une grande table noire drapée de rouge et, au bout de cette dernière, on pouvait trouver deux grand siège, dont un, fait avec des ossements humains, encore une fois. Les deux jeunes impératrices prient place en premières, suivit des autres. C'était l'heure du thé les amis !
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 25 novembre 2014, 02:59:12
Alice sursauta quand un malade mental se rangea contre la vitre de la portière. Elle tourna rapidement la tête, en voyant un homme qui avait l’air paniqué. Ses lèvres tentèrent de remuer pour dire quelque chose quand un violent coup de poing s’abattit sur sa joue, l’étalant sur le sol. Clignant des yeux, l’Impératrice regarda derrière, et vit deux officiers se mettre à frapper violemment l’homme à même le sol. Leurs visages étaient méconnaissables derrière le masque à gaz, et le sang ne tarda pas à jaillir, éclatant sur leurs doigts gantés et sur leurs masques. L’infortuné disparut bientôt du champ de vision d’Alice, et brièvement de ses préoccupations. Sa femme alla en effet se coller à elle, et lui offrit un baiser beaucoup plus long, et beaucoup plus délicieux. Fermant les yeux, elle tendit sa main, et caressa les cheveux blonds de Liddell, l’embrassant en retour, soupirant de plaisir, gémissant dans sa bouche. Leur baiser était d’une douceur incroyable, confirmant bien tout l’amour que ces deux femmes éprouvaient l’une pour l’autre. La langue de Liddell fila dans la bouche d’Alice, qui l’accueillit fort volontiers, y répondant en soupirant et en gémissant. C’était la journée de sa triomphe, et sa femme se montrait délicieusement câline. Tout cela n’inaugurait que du bon pour elles, et pour la longue soirée à venir. Longue, c’est bien tout ce qu’espérait Alice. Gémissant de plaisir, elle poursuivit cet échange buccal, indifférente à la population. Malgré le gêneur qui s’était fait passer à tabac, les gens continuaient à l’applaudir et à la féliciter. Brave peuple… Ils n’étaient pas ingrats, eux. Alice pouvait-elle blâmer la majorité pour les actions d’une minorité d’individus mécontents et hargneux ? C’était son rôle d’Impératrice de se montrer calme et réfléchie, altruiste et juste. Le peuple le comprenait, tout comme il comprenait que cet individu n’avait été qu’un fauteur de troubles. Probablement un type qui vénérait encore l’ancien Empereur, et qui voulait le rappeler, continuer à l’humilier, éternellement… Encore et toujours.

*N’y pense pas, Alice, ne songe qu’au moment présent…*

Cette délicieuse voix la recadra dans le droit chemin, et la Princesse tâcha de ne plus penser qu’à son amante. Elle remua un peu, sentant une chaleur fourmiller dans son bas-ventre. À côté d’elle, et en tournant légèrement l’œil, elle pouvait voir que Marta avait une érection. En tentant de la dissimuler, elle ne faisait que la voir de plus en plus. Elle esquissa un léger sourire, dissimulé par les lèvres de Liddell. Leurs seins se heurtaient mutuellement, leurs corps se frottaient l’un contre l’autre, et… Haaa, que ce baiser était délicieux ! Alice le savourait totalement, et son autre main s’appuyait sur l’épaule de la Reine d’Herzeleid. L’Impératrice se laissa faire pendant de longues minutes, et ce jusqu’à ce que la voiture s’arrêta devant le Palais.

Le château d’Herzeleid était, d’un point de vue ashnardien, considéré comme la seconde demeure officielle de la famille impériale. Ce n’était pas le siège administratif et le centre politique de l’Empire, loin de là, mais c’était un lieu très important malgré tout. Concrètement, Herzeleid régissait personnellement toute une vaste surface s’étalant sur des milliers de kilomètres, faisant suite au nouveau redécoupage des frontières après l’écroulement de Nexus. Grizellda sortit pour ouvrir la portière, et, avant que Marta ne sorte, Alice posa une main sur sa cuisse. Elle laissa sa femme sortir la première, et se pencha vers la lieutenante, qui avait toujours sa queue tendue à travers son uniforme. Un sourire sur le coin des lèvres, Alice avança sa main, et flatta l’entrejambes de la femme, caressant sa verge.

« Tu n’as pas à cacher le plaisir que tu ressens en nous voyant, Marta… J’aime savoir que tu bandes à côté de moi. Alors… Ne cache pas ton érection en pensant à moi. »

Elle lui avoua sur un ton doux calme, puis sortit ensuite, laissant Marta à ses réflexions. Ici, il n’y avait plus de public, les rues menant au château ayant été barricadées. La sécurité du palais avait progressivement augmenté, et le château de Liddell constituait une véritable enceinte au sein de la ville, avec d’épais murs de béton, des miradors, des barbelés, et même des champs de mines. Une défense bien différente de celle du Palais Impérial. Elles se trouvaient dans la cour principale, quand Alice revit la femme qui la crispait continuellement.

Patricha... La douce et belle Patricha.

La servante attitrée de Liddell en ce moment, qui arborait fièrement son gros ventre rond et gras, abritant en elle un difforme et monstrueux bébé. À chaque fois qu’Alice voyait ce spectacle, elle ne pouvait s’empêcher de sentir sa gorge s’assécher, de serrer ses poings, en sentant une vague de rage et de haine incontrôlable la saisir. Avoir un enfant avait toujours été le rêve d’Alice… Porter la vie, la sentir pulser dans son ventre, grouiller en elle, remuer dans son corps, et naître… Entendre l’éclosion, tenir entre ses doigts un beau petit bébé, tout neuf, tout mignon, rose, plein de douceur, qui gazouillerait en sentant les mains de sa mère caresser son beau petit corps replet et tendre. Oui, Alice avait toujours voulu avoir un enfant, et c’était probablement la seule raison pour laquelle elle n’avait pas vomi à chaque fois qu’Emhyr l’avait sailli. Malheureusement, le bébé n’était jamais venu, tous les tests de grossesse s’avérant négatifs. Elle avait réalisé auprès de Marten, en toute discrétion, des tests approfondis, et le résultat avait été sans appel : Alice était stérile. Stérile. Le mot maudit s’était abattu sur elle avec la rage d’un cyclone. Ce corps donné par son père la poursuivait jusqu’à la fin, les imperfections de son père rejaillissant dans ses entrailles. Elle était stérile, inféconde, un champ de blé tari et pourri. Marten préparait régulièrement des élixirs et des potions afin d’essayer de lutter contre la stérilité de l’Impératrice, mais ses efforts étaient pour l’heure vains. La tête blonde restait stérile.

Sa souffrance sur elle-même avait fini par s’extérioriser. Chaque fois qu’elle se rendait à la maternité, qu’elle voyait ces mères heureuses, elle ne pouvait s’empêcher de ressentir d’inexplicables bouffées de rage, une profonde colère noirâtre qui bouillonnait en elle. Elle voyait les mères rigoler, caressant le front de leurs bébés avec leur nez, les embrassant, les cajolant, dormant avec eux contre son corps. La frustration se muait en jalousie, une jalousie viscérale qui ne connaissait aucune restriction. Elle haïssait ces gens, ces gens qui lui crachaient son bonheur au visage, et se moquaient d’elle. Oui, elle les entendait rire dans son dos. Elle, elle qui avait tout, elle n’avait rien par rapport à eux, et ces femmes réjouies lui rappelaient à chaque fois la seule chose qu’elle ne pourrait jamais avoir : une descendance. Une progéniture heureuse, l’assurance d’un héritier qui pourrait lui succéder. Était-ce donc TROP demandé ?! Un enfant ! Un enfant !! Revoir Patricha, la voir se pavaner devant elle, la voir caresser son ventre rond, voilà qui était une véritable torture… Une torture que Liddell lui infligeait, Patricha étant toujours convoquée par elle.

Sa grossesse avait déformé cette servante. Elle avait les joues bouffies, des doigts gros, un cul énorme, et Alice savait que sa femme ne faisait pas ça pour la torturer. Liddell la comprenait mieux que quiconque, et elle savait qu’elle n’avait invité Patricha que pour la faire souffrir. Ce qu’Alice vit ensuite en était une parfaite illustration. Liddell se mit à frapper Patricha, à attaquer son ventre, et Alice sentit ses doigts trembler. Elle avait toujours avec elle une dague, et elle avait très envie de planter sa lame dans le ventre de cette femme, d’ouvrir son estomac en deux, d’arracher son fœtus, et de l’écrabouiller avec ses pieds. Elle avait unifié le monde, elle avait mis fin à la guerre… Alors, POURQUOI est-ce que Dieu avait estimé qu’elle ne méritait pas d’avoir une descendance ? Pourquoi lui faire subir ça ?! Pourquoi lui faire subir PERPÉTUELLEMENT cet affront continuel ?! Maudite sois-tu, Patricha ! Alice te vomissait dessus, et elle ne rêvait que de t’égorger sur place… Elle rêvait de te voir tomber enceinte, puis de trancher le cordon ombilical, et de poignarder ton bébé sous tes yeux, de poignarder cette monstruosité hideuse, couverte de ton sang de sale merde de putain, puis de te frapper, de te gifler, et de te violer le cul avec la tête décapitée de ton salopard de bâtard de merde !

Entendre cette salope hurler, puis pleurer, voilà qui fit mouiller Alice. Peu à peu, elle se mordillait les lèvres, restant en retrait, ravalant sa rage, la laissant se diluer dans son plaisir. Liddell ordonna ensuite à ses hommes d’aller porter le corps de Patricha à Minerva, puis de leur servir l’enfant. Alice ne fut sincèrement ravie, et un sourire enfantin éclaira ses lèvres.

« Bon... Allons y à présent... » suggéra Liddell.

Sa main vint se saisir de celle d’Alice, qui secoua la tête.

« Attends… Juste quelques secondes. »

La femme se retourna vers Marten, afin de donner à ce dernier quelques instructions. Après tout, elle restait l’Impératrice :

« L’homme qui nous a importunés tantôt… Je veux découvrir ce qu’il voulait, et qui il était.
 -  Bien, Majesté. Je pense qu’il doit se trouver dans l’une des prisons de la ville, il me sera très facile de trouver laquelle. Je procèderai moi-même à l’interrogatoire, si c’est là ce que vous souhaitez.
 -  Oui, exactement… Je n’ai confiance qu’en vous pour me fournir un rapport complet et objectif. Et… Saviez-vous qui était l’officier en charge de la sécurité ?
 -  Le Colonel Lewan Hermünd, Votre Majesté.
 -  Il a failli à son obligation. Organisez rapidement un procès pour trahison, et assurez-vous qu’il soit exécuté en public. Je ne supporte pas l’incompétence.
 -  Surtout venant d’un officier impérial, Votre Majesté…
 -  Surtout, oui. Cet individu n’aurait jamais dû contourner notre sécurité. Puis-je compter sur vous, Marten ?
 -  Comme toujours, Votre Majesté. Comme vous, je pense que la liberté ne peut éclore que si l’ordre établie st suffisamment fort pour la protéger. »

Satisfaite, Alice hocha la tête. Elle allait s’écarter quand Marten poursuivit :

« Votre Majesté ?
 -  Oui, Marten ?
 -  Permettez-moi de vous souhaiter une excellente soirée, et de vous rappeler que je veillerais toujours sur vous. »

Alice sourit lentement, un beau sourire révélant toutes ses dents, et hocha la tête, de haut en bas :

« C’est dûment noté, Marten. »

Elle rejoignit ensuite sa femme, et le duo se rendit dans la salle de banquet. Liddell s’était faite un fauteuil constitué d’ossements humains. Alice trouvait ça assez peu confortable, et choisit de s’asseoir à côté d’elle, sur un fauteuil en cuir rouge, et bien rembourré. Elle croisa les jambes, et, venant d’avoir une idée en tête, elle se pencha vers Liddell, une lueur amusée dans les yeux :

« Mon amour, je viens d’avoir une idée… Pourquoi ne pas demander à Minerva de soigner Patricha ? Je veux que cette petite garce soit là quand nous mangerons son bébé… Mieux, je veux même qu’elle en mange ! Il suffira de lui dire que ce n’est que de la viande normale, puis de lui révéler ensuite la provenance de la viande… »

Alice trouvait cette blague follement amusante, et une lueur amusée éclairait ses yeux à cette idée.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le dimanche 30 novembre 2014, 23:29:00
« Mon amour, je viens d’avoir une idée… Pourquoi ne pas demander à Minerva de soigner Patricha ? Je veux que cette petite garce soit là quand nous mangerons son bébé… Mieux, je veux même qu’elle en mange ! Il suffira de lui dire que ce n’est que de la viande normale, puis de lui révéler ensuite la provenance de la viande… »

Cet proposition fit vaguement réfléchir Liddell qui, en mettant son index sur le bout de son menton, se mise à prendre une petite mou interrogative. Il y avait de l'idée, oui... mais... Le hic est que la jolie Patricha risquait de ne pas être en état de manger après son opérations... Cependant, Liddell acquiesçât bien vite la chose d'un rapide hochement de tête.

C'est entendue mon coeur ! Elle mangera avec nous ce soir, AHAHAAHAHAHAHAHAAAAAAAAAHAH ! ihihihihihih ! S'exclamat elle en tapotant joyeusement dans ses mains d'un air guilleret, avant de claquer des doigts, faisant signe à l'un des gardes présent dans la pièce d'aller porter le message à Minerva. Ce sur quoi l'homme hocha de la tête, avant de mettre sa main sur le cœur, s'exclamant alors à haute voix :

YA, MEIN FÜHRER !

Suite à cela, L'homme s'en allât porter le message à la sinistrement célèbre Minerva Engel. (http://zupimages.net/up/14/11/7uv3.jpg)
Les deux impératrices étaient fièrement installées à leur places respectives. Miss korvander sur son impérial fauteuil de cuir rouge et Miss Liddell, sur son impériale trône d'ossements qui, à première vus pouvait paraître inconfortable, mais qui en vérité était des plus douillais. Avec son dossier, ses accoudoirs et son assise en cuir humain, rembourrée avec des cheveux de fillettes.

Marta, quand à elle c'était assise à coté de sa petite Führer adorait, tendis que cette chère et tendre Grizellda s'était mis à coté de l'impératrice Ashnardienne. Les deux subordonnées de Liddell se regardèrent brièvement du coin de l’œil et, fois encore, les yeux de Grizellda vinrent à discrètement descendre au niveau de l'entre jambe de Marta. La femme n'avais pas débandée depuis, elle était toujours hantée par l'image des deux impératrices entrain de s'embrasser avec fougues et passions... Combien de fois elle c'était vue violer des servantes en pensant à se tendre Führer... combien de fois...

Haaannn... Bordel... Ce dit elle intérieurement, en lâchant un bref soupir.

Mais l’afflux sanguin de Marta ne passa pas inaperçue bien longtemps aux yeux de Liddell, et cette dernière eu vit fait de taquiner sa seconde.

Fufufu ! Martat'chou ! Tu est toute dure dit moi ! ihihihii ! Lâchât elle en caressant délicatement la cuisse de Marta. Cette dernière se crispât légèrement en rougissant face aux avances de son impériale Führer, face à qui elle perdait un peu ses moyens dans ce genre de situations.

Oooh.... Ya meine Führer... Je...
Chuuuuuut... Inutile de te justifier Marta, fufufu...

En disant cela, Liddell était venue poser son index sur les lèvres de la futa.

Après le thé, nous ferons en sorte à ce que ce petit soucis disparaisse bien vite de tes préoccupations, Mein Teil* <3
Suite à ses mots, Liddell regarda sa charmante compagne, lui adressant un large sourire malicieux. Grizellda de son coté s’allumât une grande cigarette en regardant marta du coin de l’œil, lui faisant un clin d'oeil au passage. Grizellda n'en avait rien dit, mais ce soir, le couple impériale allait avoir droit à une jolie surprise dans leur suite royale, un jolie cadeaux qui, à coup sur, allait ravir le petit cœur de Liddell et celui de sa tendre et délicate petite femme. Après tout, n'était ce pas l'anniversaire de leur union ?

Bientôt, les portes principales de la salle à manger s'ouvrirent en grand, laissant passer plusieurs servantes, dont deux portant avec difficulté la lourdes théière bouillante contenant le thé. Exclusivement du Wiener blut, un mélange de thé noir , de bergamote et de sang. Une boisson que Liddell adorait par dessus tout ! Derrière les deux servantes, il y en avait cinq ou six autres qui apportèrent le service à thé les confiseries et les petit extra tel que la crème, les larmes enfantines, le foutre ou encore les ragnamiam, un atroce mélange de sang frais et de menstruations. En dernier, c'était le gâteau, portait par une jeune servante fraîchement débarquée et encore bien fragile. Le gâteaux... Parlons en ! C'était un énorme amas de gelée rouge translucide faite à partir de sang sucré, dans lequel une cinquantaine de globes oculaire flottaient. bonne appétit !

Liddell tapota dans ses mains comme une démente en voyant l'énorme gâteau débarquer sur la table. La servante se retenue de vomir à plusieurs reprise en voyant ce sinistre goûter. Les confiserie, la coupelle de sperme, le sang, le gâteau... C'était immonde, mais dieu que Liddell aimait ça ! L'une des servantes vint alors à poser la tasse de Liddell en face de cette dernière, avant de consciencieusement la remplir, y mettant le wiener blut, la crème sucrée, la chantilly puis, au dessus de tout cela, un œil enrobés de sucre rouge dans lequel une pique était enfoncée.

Une fois ceci fait, La servante entreprit de retirer son bras de devant son impératrice, cependant, cette dernière vint à essayer de la mordre au même moment, contraignant la servante à rapidement retirer son bras de là. Liddell la regardait avec un grand sourire carnassier pendu à son visage et ses yeux luisait encore de la folie la plus profonde. Lajeune servante était toute tremblante face à cette soudaine attaque évitée de très peu.

Ihihihi... casse toi... Immédiatement !
Y... YA MEINE FUHRER !

Sur ce, toutes les servantes finir de remplir les tasses de respective de chacune des personnes ici présentes, puis, elles retournèrent dans les cuisine, sauf deux jeune servantes, deux nekos, qui était restée là en cas de problème.



[hrp] mein teil veut dire "mon morceaux" mais il a aussi une autre signification, propre à Marta  ;D.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 03 décembre 2014, 01:40:15
MARTEN LARGECAPE

« Mais puisque je vous dis que je dois parler à un responsable ! »

Un autre coup de poing frappa l’homme dans le torse, accompagné ensuite du bruissement de pinces électriques sur ses tétons. Le prisonnier hurla de douleur en se tortillant sur les chaînes en fer. De grosses et lourdes chaînes, passablement rouillées, qui écorchaient ses poignets. Impassibles, les gardes continuaient à le torturer et à le frapper, sans même lui poser de questions. C’était un agitateur public, quelqu’un qui avait fait irruption en plein milieu du défilé, et les soldats de Liddell n’étaient pas connus pour leur loquacité. Ils avaient été formés pour être dociles, pour inhiber toute forme d’émotion, mis à part l’agressivité, la colère, et la rage. Peu importe ce que cet homme voulait, peu importe ce qu’il avait à dire, ils se contentaient de le torturer… Ou, plutôt, de le rouer de coups. Les pinces électriques furent retirées de son corps, et les coups continuèrent à pleuvoir. Il gémissait, haletait, grognait, implorant leur pitié, affirmant qu’il était un fidèle citoyen ashnardien, un colon envoyé à Herzeleid… Comme s’ils en avaient quelque chose à faire.

Les chaînes le retenant s’abaissèrent, et il tomba lourdement sur le sol. Ses jambes se dérobèrent sous son poids, et il se reçut plusieurs coups de pieds dans le ventre. On le souleva pour mieux le frapper. Sa tête heurta violemment le mur, ouvrant son cuir chevelu, et un coup de pied dans la bouche fit sauter l’une de ses dents. Il rampait misérablement sur le sol, tendant sa main vers ses bourreaux.

« Pi… Pitié ! »

Un homme s’avança, leva sa botte militaire, et l’abattit violemment sur sa jambe, brisant son mollet, le faisant hurler de douleur. Il gémissait en tentant d’attraper son mollet, mais un soldat sortit un couteau de combat, et le planta dans son poignet, le plaquant sur le sol. Nouvel hurlement de douleur, suivi d’un coup de pied en pleine tête, qui lui brisa le nez. Une alarme résonna alors, et les gardes se relevèrent. Leurs gants de cuir étaient maculés de sang, et l’alarme rouge se diffusa dans la pièce. La porte s’ouvrit ensuite ne grand, dans un roulement suivi d’un claquement métallique sonore. On lui retira le poignard, et on le traîna par les cheveux. L’ingénieur des ponts et chaussées voyait double, sa vision floue. Il fut traîné dans un couloir où il entendait des hurlements et des chocs sourds venant de lourdes portes hermétiques à gauche et à droite. Un couloir sombre. Par une porte entrouverte sur sa droite, il vit un homme s’agiter nerveusement dans une cellule capitonnée, et se recevoir un violent coup de crosse de la part d’un gardien, tandis qu’une sinistre infirmière avec un masque chirurgical planta dans son cou un liquide verdâtre translucide luisant dans une seringue.

La prison était un asile de fous, et il grimpa un escalier, toujours soutenu par deux hommes, sombrant parfois dans le coma. Une porte métallique s’ouvrit, et il fut installé sur une chaise en métal, ses bras entravés dans des liens métalliques. Les gardes se retirèrent, le laissant dans l’obscurité pendant quelques secondes. L’homme eut à peine le temps de reprendre son souffle qu’une lumière blafarde s’alluma au-dessus de sa tête, formant un halo lumineux au centre de la pièce. Le néon grésillait, et il toussa, crachant un peu de sang. Son torse était brûlant. Les pinces électriques avaient fait griller plusieurs de ses poils, et il avait trop mal pour pleurer. Les électrochocs avaient grillé plusieurs de ses nerfs.

Au bout de plusieurs minutes, une porte s’ouvrit, et un homme en costume ne tarda pas à arriver.

« Navré pour le retard… Il m’a fallu remplir quelques obligations administratives indispensables, mais qui sont toujours d’un ennui mortel. »

L’homme déposa sur la table un dossier. L’ingénieur avait mauvaise mine. Du sang maculait ses cheveux, et l’un de ses yeux avait gonflé. Les gardes avaient manqué lui briser la mâchoire. L’homme fouilla dans la poche intérieure de sa veste, et sortit un élixir abritant un liquide rouge vif, puis le répandit dans une seringue.

« Je vous présente mes excuses pour l’hospitalité passionnelle des geôliers de cet établissement pénitentiaire… Ils ont toujours tendance à en faire un peu trop. Ne bougez pas, je vous prie, ceci vous fera le plus grand bien. »

La seringue s’enfonça dans sa nuque, répandant une substance qui le fit frissonner. L’homme vida le contenu de sa fiole, puis déposa ensuite ladite fiole, avec la seringue qu’il avait fixé à cette dernière, sur la table, et s’assit en face de lui.

« Le temps que le décocté agisse, permettez-moi de me présenter… Je m’appelle Marten Largecape, et je suis Magicien au service de sa Majesté Impériale l’Impératrice Alice Korvander. Elle m’a chargé en personne de me renseigner à votre sujet, et, grâce aux papiers d’identité trouvés dans vos vêtements, j’ai pu retrouver votre dossier… »

Il l’ouvrit, et on put voir une photo en noir et blanc de l’homme, un sourire contenu devant l’objectif.

« Matthew Bronnan… Vous êtes né à Ashnard, et avez suivi une formation en ingénieur… Vous avez demandé il y a quelques mois à faire partie du programme de rénovation urbaine du royaume d’Herzeleid, et c’est à ce titre que vos compétences d’ingénieur ont été requises sur le chantier du Barrage Sézékiel. »

Le programme de rénovation était un vaste programme d’urbanisation qui avait eu pour objectif d’adapter les infrastructures d’Herzeleid au nouveau rôle mondial que le royaume devait jouer. Les Ashnardiens avaient envoyé bon nombre d’ouvriers et d’ingénieurs sur place. Bronnan en avait fait partie, et ce dernier reprenait peu à peu des forces, retrouvant l’usage de la parole.

« Votre dossier est plutôt bon… Alors, je me permets de me demander ce qui peut amener un homme tel que vous, qui dépense une partie de son salaire pour entretenir sa femme et sa fille, à se ruer ainsi devant la voiture officielle de Ses Majestés Impériales en plein défilé…
 -  Je… Je voulais les prévenir… Je vous assure que mes intentions étaient nobles, je… Je ne suis pas un traître !
 -  Les prévenir de quoi ? D’une trahison ? »

L’homme secoua la tête, et réfléchit brièvement.

« Non… Que les fonds publics dédiés à ce barrage sont utilisés ailleurs… »



ALICE KORVANDER

Les rires hystériques de sa femme faisaient toujours bondir le petit cœur d’Alice. Assise à côté d’elle, elle voyait arriver, d’un œil morne, les repas d’Herzeleid. Venant de Sylvandell, Alice avait été habituée à une bonne gastronomie. Elle mangeait du porc, de la viande bien juteuse, de la nourriture bien préparée, des légumes, et buvait du vin délicieux. À Herzeleid, tout était… Infect. Elle tombait malade une fois sur deux à chaque fois qu’elle goûtait aux plats spéciaux de sa femme. Elle voyait les repas défiler, et, sur ce point, partageait le dégoût des servantes. Comment est-ce que sa femme pouvait goûter à tout ça sans tomber malade, voilà qui la sidérait ! Alice n’était pas vraiment cannibale, et, si elle voulait voir le bébé de Patricha souffrir, c’était avant tout parce que cette maudite servante l’avait bien cherché, et qu’elle l’avait nargué. Elle méritait ce qui allait lui arriver, ce n’était même que justice. Alice ne tolérerait pas qu’une autre femme qu’elle puisse tomber enceinte, et se pavaner ainsi sous ses yeux en affichant son ventre rond et son sourire évasif, avec ses yeux remplis d’un bonheur insondable, en sentant la vie pulser dans son corps.

Les plats arrivaient, et on lui servit un peu de thé… La première fois qu’elle avait mangé ici, Alice avait bien cru faire une syncope. Tout était infect, lui donnant un avant-goût des repas servis en Enfer. Comme quoi, tout ne pouvait pas être parfait dans le monde, et l’Impératrice se devait de faire bonne figure. Il lui fallait supporter les hurlements hystériques de sa femme et ses plats abominables. Un bien faible prix à payer en comparaison de tout ce qui l’attendait.

Sa femme joua brièvement avec une servante, essayant de lui mordre le bras. Sans aucun intérêt pour Alice, qui avait été plus amusée en voyant la verge de Marta en état d’érection. La pauvre avait son sexe tendu, bien droit, tandis qu’on remplissait la tasse d’Alice de Winer blut, un truc dégueulasse qui lui donnait à chaque fois envie de vomir. Elle attrapa la tasse, et sourit à sa bien-aimée.

« Et bien… Santé ! »

Alice but quelques gorgées. Le poison fusa en elle, et elle reposa la tasse.

*Je crois que Marten va encore devoir me faire une tisane pour éviter que je ne m’asphyxie cette nuit…*

Un faible prix à payer. C’est toujours ce qu’elle se disait.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le samedi 06 décembre 2014, 12:51:49
Une fois toutes les tasses remplies, Liddell ordonnât au deux servantes de servir à chaque personne ici présente, un bout de l’espèce de "flan aux yeux" qui trônait au centre de la table. Enfaîte, cette immondice rougeâtre et gélatineux portait le doux nom de "Rosenrot" (rose rouge), ce gâteaux, était à la base fait à base d'une crème pâtissière au fruit rouge, sauf que depuis l'arrivée de Liddell au pouvoir, la plupart des plats en vigueur au châteaux était devenus un poil plus "sanguin". Toutefois, il arrivait encore à l'impérial Führer, de vouloir manger des plats normaux... Des pâtisseries enfaîte, car en ce qui concerne le traiteur et tous ce qui englobe le "salé", Liddell ne supporte plus que la viande humaine ou, à défaut, la chair de terranide.
Les deux nekos servirent alors à Marta, à Grizellda et à Liddell, une part de cette énorme gâteaux. Mais alors qu'elles allaient pour servir l'impératrice Ashnardienne, Liddell vint à hurler sur l'une des pauvres servante, qui relâchât bien vite l'assiette de la sylvandine sur la table.

NEIN ! PAS DE CE GÂTEAUX POUR ELLE !
m... m...

Liddell regarda la servante au fond des yeux l’espace de quelque seconde, avant de ce remetre à lui parler, sur un ton plus calme.

Hum... Tu vas aller aux cuisines et leur demander la petite surprise de l'impératrice... d'Accord ?

La pauvre neko hochât fébrilement de la tête avant de ce retourner pour aller chercher cette "surprise"

Et tache d'y faire attention... Si par malheur, il venait à y avoir une seule imperfection, un seul de tes misérables cheveux ou poils sur cette surprise... Je t'arracherais la langue avec les dents sur le champ... Ihihi !

Il n'y avait là aucune blague, Liddell l'avait déjà fait... Enfaîte, Liddell avait déjà défigurée bien des jeunes femme à la seule force de ses petites quenottes, leur dérobant au passage, un œil ou la langue. La servante était à présent partie vers les cuisines et Liddell en profita pour tendrement déposer un petit baiser sur la joue de sa compagne. Liddell savait que ça compagne n'était pas toujours très fan des plats servit au châteaux, c'est pourquoi elle l'avait demandé aux cuisiniers de préparer spécialement pour elle, un délicieux gâteaux fait d'un biscuit moelleux, imbibée d'alcool d'orange et garnie d'une délicieuse crème pâtissière à la vanille, tous ça recouvert par de la pâte d'amande à la fleur d'orangé de couleur blanche, sur laquelle, de magnifiques rose en sucre bleu ont étaient disposées.

Il fallut moins d'une petites dizaine de minutes à la jeune servante pour apporter sur un magnifique chariot en or noir, l'impérial gâteaux de la sylvandine. Gâteaux que la servante s’empressât de découper, afin d'en servir une belle part à l'impératrice Ashnardienne. Liddell regarda ensuite sa compagne avec un grand sourire, toute contente d'avoir offert cette surprise à son épouse.

Bonne Appétit, Mein herz, fufufu !

Liddell déposa un autre baiser sur la joue de l'impératrice, avant de prendre un globe oculaire au creux de sa cuillère et de l’engloutir à la manière d'une grande épicurienne... miam !
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 07 décembre 2014, 02:48:41
MARTEN LARGECAPE

« J’ai toujours été un loyal serviteur de l’Empire. Mon grand-frère est mort à la guerre, et, avant de devenir ingénieur, j’ai combattu à Nexus. J’ai fait partie de ceux qui ont attaqué le Palais d’Ivoire, et ont permis de hisser le drapeau impérial au sommet de cette tour.
 -  J’ai eu vent de vos états de service, oui... Cependant, je m’étonne. Vous me parlez visiblement d’un détournement de fonds publics, et, sans vouloir remettre en question l’importance que Ses Impératrices vouent à l’utilisation appropriée des fonds provenant de l’impôt, je m’étonne que vous n’ayez pas choisi les voies classiques pour nous signaler ce problème. »

L’homme s’agita sur place, nerveux. Le dossier parlait pour lui-même. L’administration impériale était extrêmement lourde, et employait des centaines de milliers d’agents et de fonctionnaires impériaux, surveillant et observant une population regroupant des millions d’âmes, si ce n’est maintenant des milliards, avec l’annexion de Nexus. C’était une énorme entreprise, et les fonds de rénovation public d’Herzeleid représentait une part importante du colossal budget ashnardien. Le dossier de Mathew Bronnan ne comprenait aucune mention, aucune poursuite, aucune « infraction intellectuelle », terme désignant toutes les formes d’atteintes à la légitimité de l’Empire actuelle, par exemple en écrivant des pamphlets ou en faisant des caricatures grossières des Impératrices en place.

Matthew laissa planer quelques secondes, puis reprit ses explications :

« J’ai mené mon enquête... Je voulais savoir où étaient les fonds, et pourquoi nous n’avions pas le matériel requis pour continuer la construction du barrage, alors que nous avions eu les subventions. Je me suis renseigné auprès de mes supérieurs, et j’ai mené mon enquête. J’ai fouillé dans les papiers et sur le terrain.
 -  Vous êtes un ingénieur très motivé... releva Marten.
 -  Tout ce que j’ai fait, je l’ai fait pour ma patrie ! se défendit Matthew. Sans ces fonds, sans ce matériel, nous aurions pris du retard sur la construction du barrage ! Et vous savez comme moi combien les hivers sont rugueux par ici. »

Le magicien impérial acquiesça lentement de la tête. Il en avait entendu parler, en effet. La construction du barrage devait servir à alimenter les centrales électriques d’Herzeleid, notamment pour que le chauffage électrique fonctionne. Avec la guerre, toutes les réserves d’énergie d’Herzeleid avaient été épuisées pour permettre d’entretenir les très coûteuses et très consommatrices machines de guerre de Liddell. Ce faisant, l’Empire s’était dépêché d’entamer la construction d’un nouveau barrage, destiné à permettre à Herzeleid de sortir de son économie de guerre, et à pouvoir goûter aux joies de la paix civile.

« J’ai découvert que notre projet servait à couvrir un autre projet. Pour construire ce barrage, il a fallu creuser dans la montagne, faire des trous profonds pour y placer les piliers du barrage... J’ai découvert que ces trous n’avaient pas été rebouchés, et que d’autres équipes, en secret, travaillaient sur des excavations archéologiques. Nos fonds étaient utilisés dans un projet qui n’est mentionné dans aucun rapport, dans aucun papier, dans aucun document officiel ! Mais il y a bien quelqu’un qui paie la facture, qui paie le matériel, les salaires... »

Matthew s’enflammait, convaincu d’avoir touché quelque chose, tandis que Ronald restait muet, l’observant sans piper mot, ses yeux clairs semblant sonder en profondeur l’âme de l’individu.

« Et donc ?
 -  Ma seule certitude, c’est qu’un haut-fonctionnaire se trouve derrière cette histoire de détournement de fonds, et qu’il recherche quelque chose dans la région entourant le barrage... Je soupçonne un complot. Je... Je ne savais pas à qui m’adresser... Je pensais pouvoir exposer aux Impératrices mes soupçons...
 -  Et, ce faisant, vous avez ridiculisé Ses Impératrices. Notre nouvel Empire repose sur la certitude que nos citoyens peuvent vivre en paix et en sécurité, contrairement à ce qui se faisait sous le règne de l’inefficace Mordret. Comment voulez-vous que nos citoyens puissent faire confiance en l’efficacité de notre système si un seul homme peut attendre la vitre de la voiture impériale ?
 -  Mes intentions n’étaient nullement de...
 -  Je le comprends, répondit Marten, et, dans votre position, j’aurais probablement agi de la même façon. Ce que vous me dites, voyez-vous, est fort préoccupant, et je ne doute pas que vous ayez des preuves susceptibles d’étayer vos soupçons.
 -  Alors, vous... Vous allez intercéder en ma faveur ? Je... Tout ce que je souhaite, c’est...
 -  ...Agir en bon citoyen, et faire votre devoir, acquiesça le mage, lui coupant à nouveau la parole. Malheureusement, il me sera difficile d’intercéder en votre faveur, et d’obtenir votre libération...
 -  Quoi... ?! Mais... !
 -  Si ce que vous me dites est vrai, et, compte tenu de votre profil, je n’ai aucune raison d’en douter, si ces gens apprennent votre libération, ils chercheront à vous supprimer. Vous représentez un témoin trop gênant dans cette histoire.
 -  Mais... Alors...
 -  Ici, vous êtes à l’abri.
 -  Mais... Vous ne pouvez pas me laisser là, enfin ! Je paie mes impôts, je n’ai rien fait qui mérite de...
 -  Vous avez perturbé la bonne humeur de Sa Majesté l’Impératrice Alice Korvander. »

Marten s’était relevé, et Matthew se débattit.

« Vous n’avez pas le droit de me laisser ici !
 -  Pas le droit ?! ironisa le mage. Je ne fais qu’accomplir la volonté de Ses Majestés.
 -  Vous ne pouvez pas me laisser ici, je... Je mourrais ! »

Il était maintenant complètement paniqué. Ronald se retourna vers la porte, et haussa les épaules.

« Si c’est là la seule chose que vous craignez... »

Le magicien sortit ensuite, laissant Matthew seul... Mais pas pour longtemps.



ALICE KORVANDER

Alice fut relativement surprise quand sa femme expliqua que le « Rosenrot », une sorte de flan avec des globes oculaires (ne pas vomir, ne pas vomir !) n’était pas pour elle, et qu’elle avait prévu pour elle quelque chose de bon. Alice fut autant surprise que la jeune neko. Visiblement, Liddell avait dû entendre parler des indigestions que les mets culinaires spéciaux d’Herzeleid provoquaient chez la petite Alice. L’Impératrice en était sincèrement désolée, car elle savait combien les locaux et les autochtones tenaient à leur nourriture, mais cette nourriture cannibale et infecte était vraiment de trop pour elle. Elle s’était pourtant forcée, mais les yeux... Ûrk ! Elle avait envie de vomir en les voyant. Ils étaient... Tout flasques, tout gluants. Infect !

On finit ainsi par lui amener, au bout de quelques instants, un énorme gâteau bien plus appétissant. Ce fut la serveuse neko qui le lui offrit, les mains légèrement tremblantes. Alice, elle, avait un sourire de petite fille rayonnant jusqu’aux oreilles. C’était un magnifique gâteau que la servante amena à côté d’elle, avant de lui en offrir une autre part.

« Ouiiii !! s’exclama une Impératrice rayonnante en tapant dans ses mains. Merci, ma chérie ! »

Finalement, peut-être bien qu’elle ne demanderait pas à Marten de lui préparer une tisane ! La servante neko prépara donc le plat, le posant devant Alice.

« Voi... Voilà votre plat, Ma... Majesté... J’espère... J’espère qu’il vous plaira. »

Alice hocha la tête.

« Oh, je n’en doute pas ! Bravo, ma belle ! »

L’Impératrice caressa alors le dos de la neko, ses doigts gantés glissant le long de sa colonne vertébrale, ce qui fit sursauter la neko.

« Nyuuu... » gémit-elle.

Alice la regarda lentement, et commença à manger.

« Hum... Ce que c’est bon ! Tu en veux un peu, petite ?
 -  M-Moi ? fit la petite neko en sursautant, se désignant du doigt.
 -  Tes narines sont sensibles, comme tout neko, alors j’imagine que ce gâteau doit plus t’attirer que les globes oculaires de ma chérie... »

La neko rougit à nouveau, baissant la tête en fixant ses petits pieds. Ses joues ressemblaient à une tomate, et Alice, se prenant tout à coup d’affection pour elle, tendit sa main, et retourna lui caresser la joue. La neko sursauta légèrement, et émit quelques ronronnements furtifs.

« Allez, prends-toi une part, et mange...  Tu l’as bien mérité pour m’avoir amené un aussi joli gâteau. »

La neko rougit et se pinça les lèvres, puis obéit, consciente qu’il ne valait mieux pas déranger l’Impératrice quand elle était de bonne humeur. Elle s’assit face à Alice, invitée par cette dernière, et lentement, entreprit de manger, délicatement, prenant chaque bouffée de la part de gâteau, tandis qu’Alice lui ébouriffait les cheveux, ses doigts glissant sur ses oreilles. La neko était toujours affreusement gênée, n’osant pas trop regarder Liddell, se recroquevillant sur place à chaque fois que son regard maquait s’approcher d’elle.

« Là, là... Tu es toute tendue, ma belle... Suis-je si laide que ça ?
 -  Oh ! Non, non, Majesté, c’est que... Euh... Yana n’est pas habituée à... À manger en... En compagnie de... Des... Des Maîtresses... »

Alice lui sourit à nouveau, et lui caressa à nouveau les cheveux, puis se pencha vers elle, venant murmurer à son oreille :

« Termine de manger, et j’aurais une petite tâche amusante à te confier, d’accord ? »

La brave Yana rougit à nouveau, et acquiesça lentement, en hochant la tête. Elle recommença ensuite à manger, terrifiée à l’idée que cet acte de générosité ne dissimule une quelconque monstruosité. Venant de la part de Liddell, il fallait s’attendre à tout... Cette femme était monstrueuse ! Elle avait massacré plus de la moitié de la portée du clan de Yana, quand des Ashnardiens les avaient capturés en pleine forêt et les avaient amené ici, pour servir cette femme monstrueuse, dans cet antichambre de l’Enfer. Yana mangeait lentement. De fait, elle n’avait pas mangé un aussi bon plat depuis... Bien trop longtemps. Son estomac se mit à gargouiller bruyamment, et la jeune femme rougit encore plus fort, en se ratatinant sur place. À sa grande surprise, elle vit Alice se mettre à glousser.

« Ma pauvre petite, je vois que la réputation de gloutonne des Terranides n’est pas usurpée...
 -  Dé-Désolée...
 -  Oh, ce n’est rien. Un tel gâteau, ça met en appétit, après tout. »

Yana eut vite fait de le manger, et fixa ensuite son assiette, n’osant pas regarder les gens alentour, ayant peur que Liddell ne propose de la découper en deux, ou de la donner en pâture à ses abominables et cruels gardes, qui s’empresseraient de la torturer... Ou, pire, de l’envoyer rejoindre Minerva... Ça, ça la terrorisait énormément ! C’était encore pire que d’être de garde la nuit et de tomber sur Marta au détour d’un couloir !

« Bien... Tu auras une autre part de gâteau, Yana, si tu réussis bien à mon petit jeu... »

Une lueur espiègle brûlait dans les yeux d’Alice, qui ne tarda pas à lui expliquer la teneur de ce qu’elle proposait :

« Je veux que tu t’assures que le sexe de Marta reste toujours bien en érection pendant toute la soirée. Occupe-toi en très bien, caresse-le, lèche-le, mais assure-toi bien qu’elle ne jouisse pas ! Si tu réussis à faire ça, je t’offrirai une nouvelle part de gâteau ! D’accord ? »

Yana, en pensant au nombre de fois que cette verge ignoble avait violé plusieurs de ses amies et sœurs, déglutit lentement, mais acquiesça. Elle ne pouvait pas refuser un ordre, et s’avança lentement, timidement et nerveusement, vers le sexe de Marta, afin de le masturber tendrement, n’osant pas regarder la femme.

Alice, elle, se régalait, et un innocent sourire décorait ses lèvres.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le lundi 08 décembre 2014, 16:35:52
Liddell fut relativement surprise de voir son épouse inviter à sa table, une insupportable petite neko. Neko qui, comble de l'insubordination, ne regardait même pas sa propre maîtresse, de peur que cette dernière ne la trucide sur le champs.
Intérieurement, Liddell était entrain de bouillir, elle ne supportait pas qu'une simple neko soit ici, à sa table, entrain de manger une part du somptueux gâteau qu'elle avait fait faire à son épouse adorée. Liddell avait les mains légèrement crispée et Grizellda savait que son Altesse Liddell était plus ou moins entrain de ce retenir de ne pas sauter sur cette affreuse petite chose tremblante. Cependant... Liddell revint assez vite à un état proche du "calme", en se disant que, si sa tendre épouse désirait inviter cette "chose" à sa table, c'est qu'il devait y avoir une raison, non ?

« Termine de manger, et j’aurais une petite tâche amusante à te confier, d’accord ? »

Cette simple phrase suffit à perturber Liddell qui se mise à regarder Marta, puis grizellda. Ces dernière étaient elles aussi un peut troublées par cette étrange invitation, émanant de l'impérial épouse de leur Führer adorée. Mais, une fois que La neko eu fini sa part de gâteaux, les choses commencèrent à s'éclaircir un peut plus.

 
« Bien... Tu auras une autre part de gâteau, Yana, si tu réussis bien à mon petit jeu... »
Un petit jeu ? Se demandât elle alors, avant d'entendre la réponse à cette petite interrogation qui la taquinait.

« Je veux que tu t’assures que le sexe de Marta reste toujours bien en érection pendant toute la soirée. Occupe-toi en très bien, caresse-le, lèche-le, mais assure-toi bien qu’elle ne jouisse pas ! Si tu réussis à faire ça, je t’offrirai une nouvelle part de gâteau ! D’accord ? »

Un léger silence s'empara de la scène, avant que Liddell ne vienne le briser en poussant un énième gloussement de démence.

Pffuuufufu... IhhihihihahahaHAAHAHAHAH !

Liddell se mise à claper des mains un large sourire aux lèvres, en voyant cette insupportable potiche, acquiescer misérablement la chose, S'en allant alors, la queue entre les jambe et les oreilles basses, au cotés de Marta. Cette dernière recula quelque peut son siège en voyant la neko s'accroupir fébrilement devant elle, avant qu'elle ne lui libère l’accès à sa verge fièrement dressée devant elle.

Aller... Fait ton taf comme il faut... et je te garantie que tu l'auras ton gâteaux, ahaha... pitoyable ces esclaves félines.

Lécher, sucer et tripoter la verge de Marta durant tout un repas, sans la faire éjaculer... C'était quelque chose d'osé ! Car, quand bien même elle a une certaine retenue quant il s'agit de jouer avec Liddell, là, l'impératrice Ashnardienne n'avait  fait mention d'une règles vis à vis de Marta, par conséquent, La futa se laisserais surement aller en plein milieux du repas, uniquement pour humilier cette petite boule de poil qui n'aura comme seule récompense, le foutre gluant et chaud de cette chère Marta.
La femme, tout en sentant les mains frêles et hésitante de la neko sur son mandrin, s’allumât un cigare, avant de venir frotter son gland contre la jour de la pauvre servante.

Aller aller... Vas y plus franchement, sinon, c'est de la triche. Tu le veux ton putain de bout de gâteaux, oui ou merde !?
Cet phrase amusât Liddell qui, tout en caressant la cuisse de Marta, lui répondis sur un ton taquins.
Voyons Marta'tchou... Laisse lui une petite chance... Hm ?  Ne t'ais je pas déjà dit d'apprécier, avant de tout lâcher ?

Marta regarda son impératrice quelque secondes, avant de finalement soupirer. La neko ce mise alors à timidement lécher le gland de marta, ce qui la fit frissonner légèrement avant qu'elle ne décide de poser sa main entre les oreilles de la servante. Cette dernière n'osait pas regarder la femme, toutefois, elle vint tout de même à lui parler en levant légèrement le regard, les yeux larmoyants peur, la peur de ce faire battre sur le champs.

Je... Vous... Vous aimer ça... m... maîtresse ?

Marta grognât légèrement, avant d’enfoncer d'un coup, la totalité de sa verge dans la bouche de la neko. La pauvre hoqueta à plusieurs reprise en poussant des gémissants de gène et de suffocations tendis de grosse larmes se mirent à couler le long de ses joues rosie par l'effort.

Que je sache, je t'ai pas demander de parler... P'tite pute... dit elle en prenant, de son autre mains, une cueillerait de rosenrot, qu'elle porta ensuit à sa bouche, avant de libérer de son emprise phallique, la gorge de la servante. Cette dernière avala une grande bouffée d'air, avant de cracher sur le sol, un mélange de pré'sperme de salive.

Pendant ce temps, Grizellda, une longue cigarette à la mains, buvait son thé en regardant la scène du coin de l'oeil. Mais cet alors que Liddell, très observatrice, vint à lui faire une remarque.

Et bien Grizie... Toi aussi tu veux une gaterie ? Il y a une autre petite servante là-bas si tu veux, ihihihi !
How... je... Non merci mein Führer... Je n'aime pas trop me faire lécher les escalopes en publique comme ça...

Le femme prit alors sa tasse, puis bue quelque gorgées, avant de tirer un latte sur sa cigarette. Pendant ce temps, Liddell vint à tendrement ce rapprocher de l'oreille de son épouse, afin de lui susurrer, de bien belles paroles en disant long sur son état actuel, tendis que ses mains s'aventurèrent au niveau de son entre-jambes.

HooOoOoOuuu... De telles visions me font chauffer la foufounette, pas toi mon petit coeur, hm ? Ihihiihih...

Avec délicatesse, Liddell fit glisser le bout de sa langue sur les extrémités de l'oreille de sa conjointe, extrémité qu'elle mordillât ensuite tendrement. Les oreilles étant une partie très érogènes, il ne faisait aucuns doute qu'elle allait apprécier ça.
 
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 11 décembre 2014, 02:19:51
Alice savait qu’elle avait surpris les Herzeliennes en invitant Yana à leur table. Liddell n’aimait pas les Terranides, trouvant qu’il s’agissait d’être horribles, laids, grotesques, et inférieurs aux humains. Alice, elle, les trouvait plutôt mignons, comme de mignons petits chats. La pauvre neko était complètement déboussolée. Elle n’osait pas regarder Liddell, ni Grizellda ou Marta, tout simplement parce qu’elle s’était déjà fait punir, ou elle avait déjà vu certaines de ses sœurs et certains de ses frères se faire violemment battre juste parce que leurs regards avaient malencontreusement croisé le leur. Avec Marta, il était possible de s’en sortir en se faisant violer, mais, avec Liddell… Yana ne voulait surtout pas finir dans les cuisines, et, à chaque fois qu’elle s’y rendait pour amener des plats, c’était avec une peur terrifiante au ventre, si lourde qu’elle vomissait une fois sur deux une fois son service terminé, se terrant dans une pièce en espérant qu’on ne viendrait pas l’importuner. Quand les femmes descendaient dans les quartiers, les nekos se dissimulaient toujours. C’était un endroit horrible, tout simplement. Yana se demandait souvent ce qu’elle avait bien pu faire pour se retrouver dans un tel fort, elle qui était si heureuse et si insouciante dans sa forêt natale. Si elle avait peur de Liddell, elle ne savait toutefois pas comment interpréter la douce attention de sa femme. Était-ce un piège ? Une manière de lui redonner espoir en l’inexistante bonté des humains, pour la faire souffrir davantage ? Difficile à dire, et Yana, malheureusement, n’était pas très intelligente…

Elle se mit donc à genoux devant Marta, voyant sa verge ignoble, et entreprit de la caresser, de la masturber, et, lentement, de la lécher. Ce sexe la répugnait. Elle avait entendu tant de ses sœurs hurler de douleur devant ce membre que le sentir contre elle lui donnait envie de vomir… Mais la peur de se faire battre, ou découper en morceaux, était là. Yana ravala ses larmes, et, la seule fois où elle commit l’erreur de s’exprimer devant Marta, cette dernière s’agaça, et enfonça d’un coup sec sa queue dans la bouche de Yana.

« Nyyyyuuuuu… !!! » gémit l’intéressée en sentant cette queue taper dans les profondeurs de sa gorge.

C’était étouffant ! Elle faillit bien vomir, ayant un haut-le-cœur, et se concentra, en fermant les yeux, les joues rouges. Quand Marta la libéra, Yana ne put s’empêcher de cracher sur le sol, vomissant ce que le sexe de Marta avait déjà largué. Elle reprit son souffle, tandis que Liddell arracha à Alice la vue de cette neko, en approchant sa main de ses cuisses.

« HooOoOoOuuu... De telles visions me font chauffer la foufounette, pas toi mon petit coeur, hm ? Ihihiihih... »

Alice lui sourit en retour, et attrapa la nuque de sa femme, puis l’embrassa tendrement, ses lèvres venant doucement se plaquer contre les siennes.

« Il faut bien que tes esclaves servent à autre chose que trembler comme des feuilles en nous voyant manger… »

Ce n’était nullement un reproche, simplement une constatation. Alice aimait qu’on la craigne, qu’on redoute sa puissance, car, trop souvent, on l’avait dédaigné. Trop souvent, on avait vu en elle une erreur, une demi-portion qui n’arriverait à rien de ses dix doigts. Trop souvent, on l’avait méprisé. Qu’on la craigne, c’était le signe qu’elle était puissante, qu’on pouvait la respecter. Elle était suffisamment intelligente pour savoir que Yana estimait son sort injuste, que la pauvre petite neko était innocente, et trop naïve pour penser à mal. Malheureusement pour elle, la Nature n’était pas que naïveté et innocence. La Nature était aussi cruauté et souffrance. Si elle accomplissait sa tâche, peut-être pourrait-elle espérer survivre… Alice avait aimé le regard qu’elle avait lu dans les yeux de cette neko, ce regard empreint de respect et de crainte. Elle voulait cultiver ce regard, le revoir plus souvent dans les yeux des autres.

Un sourire espiègle se dessina sur ses lèvres, et son visage retourna embrasser celui de la jeune femme.

« Et puis… Je veux voir combien de temps Marta peut tenir. Alors, je vais pimenter un peu le défi… »

Avec cette lueur amusée dans les yeux, Alice pencha la tête vers Marta, et parla à voix haute :

« Marta, si tu arrives à te retenir, tu pourras balancer ton jus en moi… Dans le cas contraire, tu resteras dehors pendant que moi et ma femme baiseront comme des folles cette nuit. »
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le dimanche 14 décembre 2014, 12:42:01
« Marta, si tu arrives à te retenir, tu pourras balancer ton jus en moi… Dans le cas contraire, tu resteras dehors pendant que moi et ma femme baiseront comme des folles cette nuit. »
Cet phrase interpella la Futa qui, quelque peut surprise regarda l'impératrice avec les yeux grand ouverts. Avait elle bien entendue ? L'impératrice venait elle vraiment de lui proposer une saillie en bonne et due forme ? Et ce, au modeste prix d'un peut de retenue ? Pour le coup, Marta en était un peut troublée, même ci elle ne laissait rien paraître au premier abords.

Je...
Et comme une surprise en cache bien souvent une autre, voilà que Liddell, un Large sourire au lèvres, attrapa fermement la verge de sa subordonnée, serrant bien fort le membre, avant de lui dire sur un ton teinté d'une certain désir.
Et moi, je double la mise mon amour ! Fufufufu ! Si tu tiens tout le repas ma toute belle, je t'offrirais mon corps en prime, tu pourras me faire toute les vilaines petites choses auxquelles tu pense quand tu te branle et quand tu viole ! AHAHAH !

Liddell clôtura cette petite phrase par un langoureux coup de langue sur le gland dur et chaud de sa subordonnée qui frissonna en crispant ses doigt sous tout ce plaisir, cette honte et cette "frustration". La femme soupira en regardant les deux impératrices qui la fixait en silence. A présent, Marta aller devoir supporter les coup de langue de cette neko, ainsi que les pensés obscènes qui lui traversait l'esprit, à l'idée de gagner ce "jeu" et de pouvoir se farcir les deux impératrices dans la même soirée. Marta avait déjà vue le corps nue des deux Alice et... seigneur s'elle étaient attirantes ! Elles était à un telle point similaires qu'on aurait peut croire qu'elles étaient sœurs... Deux sœurs jouant à des jeux incestueux et pervers ! La femme se devait de tenir ! Afin de pouvoir jouer en toute intimité avec les deux jolies blonde qui la regardant entrain de ce faire sucer par cette ignoble chose toute tremblante est larmoyante.

De son cotés, Grizellda contemplait la scène d'un coin de son regard acéré, un mince sourire vicieux au coin des lèvres... Elle avait une idée en tête et la nouvelle qui venait de tomber ne présageait qu'une chose : Une folle Soirée de sexe !
Car, de son humble coté, Grizellda avait préparé une belle surprise au deux petites dirigeantes. Un jolie cadeaux qu'elle avait mis en place avec l'aide de Minerva, bien que cette surprise soit relativement modeste, elle allait à n'en poins douter ravir les deux cœurs de ce royaumes. Si Marta gagnait à ce jeu, cela ne ferait qu'attiser le désir des deux impératrices avant cette fameuse surprise.

Cet ainsi que se passa la première partie de ce repas déjà bien particulier. Les deux Alice s'embrassèrent durant de longue Minutes, tendis que Marta se faisait tripoter la queue sans interruptions. La seule ici bas à ne pas participer à cette luxure était Grizellda qui, cependant, avait entre les cuisse une véritable chaudière ! Bientôt... Le repas allait être servie et la sinistre farce fomenté par l'impératrice allait pouvoir avoir lieux ! A l'heure qu'il est, Minerva avait surement fini l'opération et ce, depuis longtemps, le bébé devait être fin prêt et cette pauvre Patricha était surement dans un état proche de celui d'un légume, toutefois, Miss Engel savait comment s'y prendre pour réveiller les patient, et ce, même quand ces derniers venait tous juste de subir une lourde opération, comme là.

Le repas fut apportées par d'autre servantes, dont une belle drow à qui Marta avait appris le respect de manière très personnelle. La futa l'avait violée, durant quatre jours de suite, la battant violemment, l'humiliants en lui crachant au visage son foutre, chaud. Oui, Marta l'avait brisée. Elle l'avait détruite, elle et sa foutue fierté ! Et, comble du ridicule pour la pauvre femme, Liddell, qui avait assistée à deux des séances de "dressage" lui avait trouvée un charmant surnom, des plus humiliants.

Ahahahah ! regarde Marta ! voilà ta pissotière elfique, fufufu ! s'exclama Liddell en tapotant des ses mains.

Marta, toujours entrain de ce faire sucer par la pauvre neko, émit un léger sourire en voyant la drows arriver. Quand cette dernière vit la pauvre Yana à genoux, elle ne put s’empêcher de détourner le regard, ce sur quoi Marta, vint à lui répondre.

Qui y'a t'il, poche à foutre ? Tu veux la remplacer ?
L'espace de quelques instant, La drow fut comme tétanisée devant l'image de Marta... Cette femme l'avait violée, elle l'avait torturée durant des heure et des heure, l'humiliant et la battant à sang, avant de se remettre à l'empaler avec violence et cruauté. Difficilement, elle articula quelque mots, sent pour autant réussir à dire quelque chose de concret.

Je... Nan je... je désolé...
ASSEZ ! S'écriat alors Liddell. Débarrasse la table et barre toi, sinon, je t'enfonce mes ongles dans les orbite, jusqu’à t'en crever les yeux !

Cette phrase fit légèrement sursauter la jeune drow qui, les yeux baissés, se dépêchât bien vite d’exécuter cette ordre, laissant ainsi au autres servantes, le loisir de mettre les couverts et tout le reste. Une fois cela fait, ce fut une autre servante qui apporta sur un chariot d'argent, quatre belles assiettes, finement ouvragées, dans lesquelles on pouvait apercevoir, de succulentes tranches de foie gras au cotés d'une sorte de "blanquette" de nouveau née. La pauvre femme n'en menait pas bien large non plus, sachant pertinemment que dans cette assiette, il y avait le foie de l'une de ses ancienne collègue, emmenée de force dans les Abattoirs pour d'y être engraissée et gavée durant plusieurs mois, afin qu'au final, seule son foie soit récupéré, le reste entant rendue immangeable à cause de la graisse et de toutes les anomalie causées par le gavage intensif.

Une fois le service terminée, toutes les servantes partirent de la pièce en faisant un révérence au couple impériale. toute sauf bien entendue, la pauvre petite Yana qui elle, était toujours obligée de tripoter la verge de Marta. D'ailleurs, cette dernière commençait à ressentir une petite douleur au niveau de ses testicules, la faisant faiblement gémir. La verge de la Futa était bien tendue et on pouvait voir au bout de cette dernière, de petites gouttes de pré-sperme se former, signe d'une irrépressible envie de jouir. Mais la femme ce devait de tenir ! Combien de fois elle s'était retenue en présence de son Impératrice Liddell, combien de fois cette dernière l'avait ainsi mis à l'épreuve, la forçant à tenir pendant presque deux heures, sans pouvoir jouir, alors même qu'elle la suçait avec plus d'hardeur encore, que cette neko potiche et inexpérimentée. Oui... Marta pouvait réussir cette épreuve !

Bonne appétit mein Herz ! s'exclamat Liddell en déposant un petit baise rsur la joue de son épouse, avant de prendre une boucher de foie gras, laissant de coté les reste de l'enfant de Patricha.

Succulent... Ihihi !

♠♠♠

Alors que la fête battait son plein dans la salle à manger, dans les couloirs, un bruit des plus sinistre résonnait. Celui de talons aiguilles foulant le carrelages en damiers de cette antichambre de la mort, accompagnées par les grincement strident d'un vieux fauteuil roulant. C'était Minerva, avec dans le fauteuil, cette adorable Patricha, dans un état à mi-chemin entre le coma et l'éveille. La pauvre servante était solidement attachée au fauteuil et, intérieurement, elle repensait à son ancienne vie... Avant ce châteaux... Avant l'effondrement de ce monde, face à l'écrasante puissante des deux impératrice... Elle aurait bien aimée mourir ce soir, afin d'aller rejoindre son cher et tendre, torturé jusqu'a la mort par Liddell... Un larme coulât le long de sa joue, puis... Les immense porte de la salle à manger lui apparurent alors devant les yeux.
Deux gardes, étaient postés devant cette entrée, gardes qui, en voyant Minerva, se raidirent d'un coup, en la saluant fierement.

Hail, Doctor Engel !

La femme ne répondue pas... Elle se contenta d'entrée dans la vaste pièce, avec, entre les mains, le fauteuil roulant sur lequel, la pauvre Patricha était assise. Une fois dans la salle à manger, Minerva s’avançât, en lançant au passage un regard à sa collègue Grizellda, les deux femmes s'adressèrent un petit sourire en coins tendis que Liddell, tout en joua, se mise à tapoter dans ses mains comme une démente.

Ihihihi... HAHA ! Amène la là, Minerva, juste à coté de mon épouse !
Ya Meine Führer.

La femme exécuta l'ordre de son impératrice, lançant un regard à Marta et à la neko qui lui lécher toujours le sexe de manière maladroite et hésitante. Une fois Patricha installée au coté de l'impératrice Ashnardienne, Liddell, qui aimait bien être entourée des êtres qui lui son cher, proposa à une idée à son épouse.

Dit moi mon amour, cela te dit il d'inviter Minerva à notre Table ? la pauvre n'a pas souvent l'occasion de manger avec moi a cause du travail Fufufu !
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 16 décembre 2014, 02:27:44
Yana, en soi, n’avait guère à se plaindre. Elle allait passer la soirée à lécher une queue Marta serait calme, et, tout ce qu’elle aurait à faire, ce serait de lécher un sexe... Une tâche que même une Terranide était normalement capable de faire. Alice regardait donc Marta d’un œil distrait, mais non moins amusé, tandis que sa femme proposa une idée séduisante, offrant à Marta, non seulement l’opportunité de défoncer l’Impératrice ashnardienne, mais aussi de défoncer Liddell. Des enjeux très importants ! Quant à Yana, si elle était toujours terrorisée, elle tentait de s’appliquer, de lécher cette verge grosse, sale, et dégoûtante, visqueuse et puante, retenant son envie de vomir, tout comme ses larmes. Si elle pleurait, ça ne donnerait à ses geôlières que l’envie de la frapper plus fort, de la faire davantage souffrir, et la neko tenait à éviter ça. Entre-temps, les deux Impératrices recommencèrent à s’embrasser à et à se câliner, la main blanchâtre d’Alice venant empoigner ceux de sa femme, sa bouche se plaquant tendrement à la sienne, leurs langues se mélangeant mutuellement et tendrement. L’Impératrice ashnardienne appréciait beaucoup ces moments, et le plaisir se mit à croître en elle, un plaisir sexuel... Depuis qu’elle connaissait Liddell, et que cette femme avait littéralement changé sa vie, depuis que la folie de sa femme l’avait libéré de ses chaînes, Alice comprenait bien plus facilement les besoins de son corps, et les moyens de les traiter. Elle était devenue une femme différente, meilleure, plus ordonnée, plus sereine, plus saine... Du moins, c’est ainsi qu’elle se voyait. Elle ne se terrait plus dans son château de Sylvandell en maudissant son inutilité. Le destin lui avait offert l’occasion de changer de vie, et elle avait su la saisir à temps. Maintenant, elle était au sommet du monde, dominant Terra d’un bout à l’autre, et rares étaient désormais les obstacles capables de ralentir l’inexorable progression de l’Empire d’Ashnard.

La soirée gagna en intérêt lorsqu’on leur amena le Docteur Minerva, accompagnée de Patricha. Dans un fauteuil roulant, la pauvre semblait exsangue. La « pauvre »... Un terme très relatif, car le simple fait de la revoir fut suffisant pour briser la bonne humeur d’Alice, et le plaisir des lèvres tendres et doucereuses de Liddell sur sa bouche. Patricha était là, cette arrogante salope, avec son foutu bébé incapable de crever. Si seulement la jeune femme avait pu faire une fausse couche, Alice aurait peut-être pu se dire qu’il y avait là une sorte de justice élémentaire... Mais non ! Jusqu’à la fin, jusqu’à la fin, cette femme avait continué à la narguer, avec son gros ventre rond et gras, abritant en lui cette chose ignoble et insupportable, ce petit corps replet ressemblant à un hideux gnome avec une tête déformée et des membres minuscules. Comment pouvait-on ressentir la moindre affection pour des êtres aussi difformes ? Aussi grotesques ? Aussi laids et affreux ? Tout cela dépassait totalement Alice, mais, ce dont elle pouvait être sûre, c’était qu’elle était à chaque fois ravie d’avoir l’occasion de faire souffrir Patricha. Sans pouvoir se l’expliquer, Patricha ne provoquait en elle que de profondes bouffées de haine et de rage.

Comme pour continuer à la narguer, Liddell ordonna qu’on mette Patricha à côté d’Alice. Dans son fauteuil roulant, Patricha planait à moitié, et Alice pouvait voir qu’elle était en train de pleurer. Par quel prodige Minerva avait-elle réussi à l’épargner, Alice l’ignorait, mais elle comptait bien lui faire manger son putain de bébé. Liddell lui demanda alors si Minerva pouvait manger à leur table, et Alice tourna la tête, hochant la tête :

« Oui, oui... Patricha a l’air malade, il vaudrait mieux qu’un docteur reste à proximité pour pouvoir la soigner en cas de problème. »

Elle regarda ensuite Patricha. La femme avait des absences, et Alice s’empressa d’aller chercher un morceau de viande, puis le déposa devant elle, une lueur démente et sournoise dans les yeux.

« Tu dois avoir faim après ton opération... Tu veux manger ? Ça te redonnera des forces... Regarde, nous l’avons préparé juste pour toi ! »

L’Impératrice parlait avec un ton doucereux, calme. Patricha n’arrivait pas à parler, et Alice planta sa fourchette dans un bout de viande, l’approchant des lèvres de la femme... Patricha secoua la tête en gémissant faiblement, papillonnant des yeux, en pleurant. Alice fronça les sourcils, ses joues mettant à rougir.

« Je veux que tu manges... Maintenant ! Mange ! »

Elle approcha le bout de viande, mais les lèvres de Patricha restaient closes. Alice serra les dents, ses doigts se mettant à trembler sous l’effet d’une rage qui était en train de pointer en elle, remontant comme si un volcan était en train d’entrer en éruption dans son corps.

« Je. Veux. Que. Tu. Manges ! répéta-t-elle, sur un ton plus sec. Ouvre ta putain de bouche de merde, et MANGE ! »

Patricha continuait à pleurer silencieusement, mais elle ne faisait que lécher ce morceau avec sa bouche. Alice sentit la rage perler à nouveau, et gifla sèchement la femme, provoquant une claque sonore qui résonna dans la grande pièce.

« Tu... Manges ! Putain, SALOPE, mange !! MANGE !! »

Elle voulait que cette salope mange sa saloperie de putain de bébé de merde. Pourquoi ne voulait-elle pas ? Pourquoi refusait-elle ?! Pourquoi continuait-on encore à la narguer ? Pourquoi est-ce qu’on continuait ENCORE à nier son autorité ? Pourquoi diable est-ce qu’il y avait toujours une foutue connasse qui venait lui rappeler qu’elle était la petite Princesse inutile de Sylvandell ?

« MANGE ! MANGE !! »

Rien à faire, les lèvres de la salope restaient closes. Grognant, Alice attrapa le couteau qui traînait à côté, et le planta dans la jambe de Patricha. Ses lèvres s’ouvrirent sous l’effet de la douleur, et Alice en profita pour enfoncer sèchement la fourchette en elle, un sourire victorieux sur les lèvres, le regard figé par une expression de victoire et de démence absolue. Elle retira la fourchette, voyant les joues rouges de la femme, son sang ruisselant de sa plaie... Et, alors qu’elle s’attendait à ce que Patricha mâche, cette foutue pétasse recracha le morceau de viande, qui heurta la joue d’Alice, avant de mollement tomber sur le sol, recouvert de la salive de la femme. Alice, éberluée, la fixa, sans rien dire. Patricha continuait à pleurer, mais, au-delà des larmes, Alice vit quelque chose qui acheva de la rendre folle... Une lueur qui perlait dans les yeux de la femme, une sorte de victoire, comme si elle avait réussi... Comme si elle avait réussi à contrer l’autorité de l’Impératrice. Elle, une foutue salope attachée à un fauteuil roulant et incapable de parler... Elle, une pétasse qui n’avait eu de cesse de la narguer avec sa grossesse et son enfoiré de bébé de merde.

Un léger silence plana, et la poigne d’Alice se raffermit sur son couteau... Puis elle leva son arme, et, en hurlant, elle l’enfonça dans l’épaule de la femme. Patricha réussit alors à hurler, et Alice retira son couteau, puis l’abattit à nouveau, le sang se mettant à jaillir, fusant par gorgées, éclaboussant son visage et le haut de sa robe blanche.

« SALOPE ! SALOPE ! SALOPE ! SALOPE ! hurlait Alice à chaque coup de couteau, donnant des coups sans même regarder où elle les donnait. Retrouve ton putain de bébé en Enfer, salope ! Crève, crève, CRÈVE !! »

Elle trancha l’un des seins de la femme, pleurant tout en l’insultant, puis planta finalement le couteau rougi dans l’un des yeux de la femme, le crevant. Patricha était déjà morte depuis longtemps, et Alice, à califourchon sur son corps, se releva lentement, soupirant longuement, expirant profondément.

Le corps de Patricha n’était plus qu’un lac de sang, et Alice se recula lentement, se remettant sur pied, son sang ruisselant le long de son corps. Sa langue pendait de sa bouche, et le couteau restait planté dans son œil droit. Alice attrapa une serviette, et s’essuya le visage. Tous les servants la regardaient, sans trop savoir quoi faire.

« Qu’est-ce que vous voulez ? Vous avez rien d’autre à foutre que de regarder mon cul ?! »

Les servants s’activèrent alors, en déposant et en ramassant des plats. Alice, elle, s’assit à nouveau à côté de sa femme, et la regarda.

« Je veux qu’on brûle son corps. Je veux qu’il ne reste plus rien de cette foutue salope. »

Alice serrait encore nerveusement l’un de ses poings, le corps toujours partiellement recouvert du sang de Patricha.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le mercredi 17 décembre 2014, 20:40:43
Liddell fut relativement surprise de voir la jolie Patricha résister à son épouse. Mais cette surprise fut d'autant plus grande quand cette salope de servante comateuse vint à cracher au visage de la sylvandine ! Sur le coup, Liddell c'était retenue de bondir sur Patricha afin de littéralement la défigurer à l'aide de ses petites mâchoires voraces. Mais c'est sans crie égard, que l'impératrice Ashnardienne s'empara de son couteaux d'une main ferme avant de ce mettre à poignarder sans répits la pauvre patricha qui ne fit pas long feu sous les coups de la belle blonde.La scène surpris tout le monde dans la pièce, installant l'espace de quelques secondes, un pesant silence dans l'assistance.
Une fois ce jolie massacre terminé, la Sylvandine ordonnât au autres servantes de débarrasser la table. L'épouse de l'Orbesteführer était toute tachée de sang et ce petit détail intensifia l'habituel lueur de folie régnant dans le regard de Liddell.

Ouiiii mein herz ! Elle bruleraaAaAaAHAHAHAHAH ! S'exclamat elle en tapotant dans ses mains, un large sourire au bout des lèvres.

Avec délicatesse, Liddell s'empara alors de la main de son épouse. Main qui était bien entendue couverte de sang et dons Liddell prit un malin plaisir à lécher et à sucer avec gourmandise, récoltant avec amour tous ce délicieux nectar au parfum ferreux et enivrant.

Haaaan... Mein Herz ! Que j'aaaaaaime le sang ! ihihihi ! Je serais capable de vous égorger rien que pour boire le votre ! AHAHAHAHA !...

Liddell cessa ses rires un instant, plongeant alors son regard dans celui de sa tendre épouse.

Mais je ne pourrais jamais faire cela mon petit amour... Je vous aime bien trop ! Ihihihi !

Délicatement, Liddell apposa sur le front de son épouse, un petit baiser. Les deux petites impératrices formaient vraiment un petit couple charmant, deux jolies blondes au yeux bleus comme des saphir, deux bouts de femmes absolument craquantes ! Le peuples aimait s'attendrir devant l'image candide et idyllique de ses deux jolie minois, ensemble, main dans la main, s'embrassant furtivement en publique comme deux jeunes filles en fleurs... Oui... La réalité est bien plus sinistre dans les faits.

Une fois le cadavre débarrassé du plancher et la table débarrassé, l'une des servantes présente dans la salle, vint à demander à Liddell si elle désirait autre chose.

Nan... C'est bon...

L'espace de quelque seconde, le regard de Liddell se fixa sur la jeune servante, servante qui était d'ailleur la Drow que Marta avait violée à plusieur reprises.

Tire toi... Avant que je ne t'éborgne et que je demande à Marta de t'enfoncer son gros chibre dans ton orbite sanguinolent... Tihihihihi !

Le servante hocha la tête nerveusement en abaissant les yeux, puis, elle partie d'un pas pressé vers la sortie. A présent, il n'y avait plus que Les deux impératrices et les secondes de Liddell dans la pièce... Ah ! Et Il y avait toujours Yana aussi ! Et visiblement, cette dernière n'avait toujours pas fait éjaculer Marta, ce qui voulait dire que...

Fufufu... C'est bon sale petite chose... Tu peut arrêter.

Enfin ! La pauvre Yana n'en pouvait plus de sentir cette verge immonde, de sentir se gout poisseux et salé, beurk ! Toutefois, comme un ultime point d'honneur à sa souffrance, Marta la gratifia d'une violente gifle en pleine gueule.

Aller... Tire toi... Avant que j'me branle sur ton visage !

La pauvre neko hocha la tête, avant de partir à son tour, retenant ses larmes de forces. Une fois les cinq blondes seules, Liddell vint a poser son index sur le gland de sa subordonnée, tout en afficahtn un sourire à la fois amusé et pervers.

Aller Marta'tchou... Range donc cette grosse bébête... Tu a gagnée et Comme promis... Dit elle d'abord, avant de tourner son regard vers son épouse. Tu auras le droit à nos deux corps... Fufufu !

Ya m... Mein Führer...

Cet ainsi que Marta entreprit de ranger son énorme verge gonflait de plaisir à sa place. Ce fut d'ailleurs assez laborieux, car caser un tel engin, en pleine érection dans un mini-short en cuir très serré... C'était vraiment pas du gâteaux, toutefois, la Futa réussit tout de même à faire ce petit exploit.

Les deux Impératrices s'embrassèrent alors une dernière fois, avant de se lever et de quitter la pièce, suivie de Grizellda et de minerva. Les cinq belles blondes allèrent ensuite jusqu'au appartements Impériaux où, malheureusement, Grizellda et Minerva, ne purent rester plus longtemps, non pas par interdictions, mais plutôt par obligations. Minerva avait encore quelques petites choses à régler et Il en était de Même pour Grizellda. Cependant, quand les deux femmes se laissèrent devant la porte de la suite impériale, elles se firent un petit clin d’œil mutuelle, attestant qu'elles avaient surement une petite idée. Bref... Une fois Grizellda et Minerva reparties à leurs occupations, il ne restait plus que les deux impératrices et Marta dans la luxueuse chambre de Liddell. Là, assise sur le lit à Baldaquin en ébène, incrusté de rubis et orné de tentures rouge, les deux impératrices s'embrassèrent langoureusement, avant que Liddell ne vienne enfin à parler à Marta sur un ton joueur.

Aller ma petite choupette... Il est grand temps de t'offrir ta récompense, ihihih !

Marta hocha de la tête silencieusement, avant de s’avancer vers le couple impériale. Là, elle commença à défaire sa ceinture, avant de finalement exhiber son énorme verge, toujours aussi dur et gonflée. Elle n'avait même pas dégrossie depuis tout à l'heure ! Liddell se pinçat légèrement les lèvre en voyans cette belle verge et, intérieurement, elle aurait aimée la prendre goulument en bouche, cependant... Le jeu ce devais de continuer !

Dite moi ma bien aimé... Est ce qu'on lui fait une bonne gâterie maintenant ou... Doit elle s'occuper de nos petit petons avant... ? Demanda Liddell à son épouse.
Ohh mein...

Marta se mordit fortement la lèvres inférieur, avant de se redresser sous l'effet de l’insoutenable envie de jouir qu'elle venait d'avoir eu... Elle en mourait d'envie ! Ses testicule lui faisait mal mais... Le sort de sa queue et de ses burnes était à présent entre les main d'Alice Korvander et... Et... C'était tout simplement à elle de choisir.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 19 décembre 2014, 01:37:48
Loin de l’avoir soulagé comme elle l’aurait désiré, la mort de Patricha laissa une boule amère dans la gorge de l’Impératrice. Certes, cette infâme traînée était morte, mais elle n’était pas la seule femme au monde capable de procréer... Et, même sans tenir compte de ça, l’avoir tué ne lui permettait pas de devenir enceinte. Ça avait été une erreur... Un acte de passion, excessif, uniquement motivé par sa colère et sa jalousie. Maintenant, Alice s’en rendait bien compte, et devait en tenir compte pour la suite des évènements. Elle s’essuyait un peu le visage avec d’autres serviettes, et tourna la tête vers Liddell. Elle lui dit qu’elle pourrait volontiers l’égorger pour faire couler son sang. Alice sourit délicatement. L’humour de sa petite femme... Une manière comme une autre de se nettoyer la tête, de se vider l’esprit en pensant à autre chose que les désarrois et les soucis de la vie. Les deux femmes recommencèrent à s’embrasser, et le baiser d’Alice s’avéra assez intense. Elle mordilla les lèvres d’Alice, goûtant à la bouche de sa belle femme, enfonçant sa langue dans sa bouche. L’Impératrice soupirait de plaisir, et le baiser finit par se terminer... De même que le repas.

Yana avait réussi à tenir toute la soirée, et s’écarta rapidement. Alice ne s’intéressait alors plus à elle. On avait retiré Patricha, et son esprit avait eu l’occasion de penser à autre chose... Notamment la verge de Marta. La brave femme avait réussi à tenir, mais elle semblait au bord du point de rupture. Tant bien que mal, elle réussit à ranger sa monstrueuse verge sous son uniforme, et les femmes partirent pour le « dessert »... Le vrai dessert, celui qui aurait lieu dans leur chambre ! Alice savait ce qui allait l’attendre, et une lueur espiègle brûlait dans ses yeux. Elle se mordillait joyeusement les lèvres, en ayant totalement oublié Patricha. Qu’elle brûle dans les profondeurs d’Herzeleid, Alice n’en demandait pas mieux. Sa main dans celle de Liddell, elle arriva dans leur grande chambre, une pièce énorme avec une baie vitrée menant sur une grande terrasse, permettant de voir toute la capitale, s’étalant au loin, avec la vision d’immenses cheminées d’usine crachant continuellement dans le ciel de la vapeur, vomissant les nouvelles légions impériales, celles qui avaient pour but d’améliorer l’armée impériale, et de l’appliquer aux nouvelles proportions de l’Empire de Terra.

Dans le ciel, d’énormes zeppelins flottaient en l’air, leurs projecteurs éclairant la capitale et la région. Partout, des patrouilles marchaient, leurs pas cadencés s’abattant sur le bitume. Ils avaient le droit de contrôler quiconque, et, si une personne n’avait pas ses papiers, elle risquait fort d’être battue sur place, exécutée, ou, pire encore, envoyée dans les geôles, où son sort pouvait, soit lui permettre de sortir rapidement, soit disparaître dans les méandres d’une gargantuesque administration, comme si elle était avalée dans le ventre de Moby Dick. La sécurité était le credo de l’Empire, et les troupes de Liddell, les Spades-Kriegs, étaient réputés autant pour leur incorruptibilité que pour leur sauvagerie et leur brutalité.

Alice aimait bien observer cette ville. Depuis l’unification d’Ashnard et d’Herzeleid en un seul et unique Empire, Herzeleid avait sensiblement gagné en importance. La ville s’était étalée grâce à l’aide des capitaux et des colons ashnardiens. Les usines avaient grossi, les bâtiments avaient poussé comme une nuée de champignons. L’Impératrice aimait bien observer cette ville, mais, pour l’heure, elle avait autre chose à observer... La délicieuse verge de Marta, que cette dernière réussit à sortir. Son sexe pulsait fièrement, impatient, assoiffé. La belle Marta, toujours si perverse, était particulièrement frustrée ce soir. Alice l’observa en se mordillant les lèvres, gloussant à moitié, tandis que sa femme, désireuse de lui faire pardonner ses mésaventures avec Patricha, lui laissa le choix de ce qu’il convenait de faire :

« Dites-moi ma bien aimée... Est-ce qu'on lui fait une bonne gâterie maintenant ou... Doit-elle s'occuper de nos petits petons avant... ? »

La question fit sourire Alice, qui s’approcha de Marta. Sa main gantée alla caresser la joue de la belle blonde, qui semblait avoir du mal à tenir sur place. On pouvait le lire dans ses yeux, dans la manière dont son corps semblait intégralement tendu, et dont elle frissonnait sur place. L’Impératrice esquissa un nouveau sourire, et descendit vers le sexe de la femme, s’agenouillant, le visage devant cette grosse queue.

« Et bien, et bien, ma pauvre... Comme tu dois souffrir... Cette bite a l’air d’avoir envie de défoncer bien des culs... »

Alice avait entendu parler de la brutalité sexuelle de Marta, de son irrépressible appétit, l’amenant à violer de multiples servantes la nuit. Pour les servantes, nettoyer la chambre de Marta était toujours un cauchemar, car elles étaient assurées d’être longuement violées, et de subir des sévices sexuels. Et, ma foi, il suffisait de voir ce mât pour s’en rendre compte. Du doigt, Alice jouait avec, appuyant dessus, le relevant, avant de le relâcher, et de le renifler, son nez venant glisser sur ce membre turgescent. Pauvre petite !

« Tu veux me baiser, hein ? Hein, petite salope ? Je suis sûre que tu m’imagines à quatre pattes en train de me défoncer le cul... Ce fantasme est presque digne d’un crime de lèse-majesté, tu sais... »

Elle gloussa alors, et se releva lentement, puis se retourna, montrant son dos à Marta... Ses mains allèrent jouer sur les attaches de la robe, les retirant tranquillement, dénouant les nœuds... La robe finit par tomber, dévoilant, sous, cette dernière, un élégant corset blanc faisant office de bustier (http://img110.xooimage.com/files/4/e/c/corset-bustier-mariage-4915a7b.jpg).

« Le spectacle te plaît, ma petite Marta ? »

Alice ondula des hanches, et s’approcha du lit.

« Comment tu veux me prendre ? Contre le mur ? En t’étalant sur moi ? Ou comme si j’étais une vulgaire chienne ? Raconte-moi tout, Marta... »
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le vendredi 26 décembre 2014, 11:24:53
Marta était toute crispée face au deux impératrices,elle n'en menait pas large face au deux plus grande dirigeantes de terra. Liddell s'amusait de cette situation, voir sa petite femme taquiner la grande Marta du bout de son nez était quelque chose de particulièrement amusant. La verge de la Futa était particulièrement grosse ce soir, du fait de l'excitation et de l'insoutenable envie de jouir qui l'habitait.

Aaaah... Mein...

La femme frissonna sur place en entendant l'épouse de Liddell l'insulter tout en lui soufflant de bien belles proposions qui n'arrangèrent pas son état et le streap-tease qu'offra la Sylvandine au yeux de Liddell et de Marta, ne fit qu'enfoncer encore plus le clous. Marta avais vraiment envie de baiser ! Des centaines d'images perverses lui traversèrent l'esprit, contractant fortement son sexe rendue douloureux à cause de cette abstinence forcée. Le corps de l'impératrice était magnifiques, ses petites formes étaient harmonieuses et tellement attirantes... Marta en avait rêvée tellement de fois, de les toucher, les palper avec force, avait de finalement s’enfoncer en elle de la manière la plus violente qu'il soit... Enfin son plus grand fantasme allait pouvoir se réaliser, celui d'avoir le corps des deux impératrices pour elle toute seule.

« Comment tu veux me prendre ? Contre le mur ? En t’étalant sur moi ? Ou comme si j’étais une vulgaire chienne ? Raconte-moi tout, Marta... »

Silencieusement, sans dire un mots, Marta s’avançât prêt de l'impératrice. Et une fois prêt d'elle, elle se mise à lui caresser les fesses avec délicatesse, éprouvant avec douceur lsa peau douce, remontant ensuite le long de ses hanche, effleurant ses cotes pour ensuite se mettre à palper les deux petits seins de cette adorable bout de femme.

Haaaannn... J'ai tellement envie de vous défoncez mon Impératrice... Lâchât elle en embrassant la Sylvandine dans le cou.

La queue de Marta frottait contre les fesses de l'impératrice, laissant sur ces dernières des longues  traînées  de pré-sperme. Se simple contacte fit frissonner Marta de plaisir... Elle se retenait comme elle pouvait, Mais dieu sais que c'était dur ! Sa verge était sur le point de de tout lâcher ! Cependant, la femme ferma les yeux et, tout en prenant un grande inspiration, elle réussit une fois de plus à se retenir. La Futa vint ensuite à s'écarter de l'impératrice, afin de s'allonger sur le lit, la verge bien droite, telle une chaise de judas faite de chair et de sang. Délicatement, La femme vint à se saisir de son engin, se masturbant ensuite devant la Sylvandine.

Venez donc vous y empaler... Impératrice...

Entre temps, Liddell s'était éclipsée derrière son para-vent, afin d'y enfilerune jolie tenue de Latex (http://i00.i.aliimg.com/wsphoto/v1/1049220178_1/PVC-Erotic-Crotchless-Latex-Pole-Dance-Clothes-Dress-Lingerie-Sexy-Body-Suits-for-Women-Spandex-Black.jpg), tenue qui avait le dont de mettre Marta dans tout ses état. Ensuite, L'Obersteführer vint à rejoindre sa seconde sur le lit, se mettant alors à quatre pattes en creusant son dos telle un chat, allant par la suite frotter son visage contre celui de Marta.

Hmmmm... Marta... Tu est vraiment une vilaine petite garce qui ne pense qu'à ça... mettre ton gros chibre partout, hihihi ! Lâchât elle alors, apposant ensuite un baiser sur le front de la futa.

Liddell, elle, était une dominante ! Et si Marta voulait lui mettre sa viande, elle allait devoir le mériter ! C'est donc avec  un large sourire au lèvres, que Liddell vint à mettre son intimité baveuse juste au dessus du visage de sa seconde, tout en faisant face à son épouse, cette dernière n'était pas encore empalée sur la belle verge de Marta et Liddell, toujours aussi taquine, attrapa fermement la queue de sa seconde, de sorte à ce que son épouse ne peine pas trop à s'enfoncer cette queue gargantuesque en elle.

Aller mon amour, viens donc te mettre face à moi, Hihihihih ! cette grosse verge n'attend que toi !
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 27 décembre 2014, 02:24:36
La belle Marta était magnifique à voir, avec sa queue gonflée et chargée, prête à craquer. Étalée sur le lit, après avoir frotté les fesses de l’Impératrice, Marta attendait son heure... Alice aurait pu aller s’empaler sur elle tout de suite. De fait, il fallait bien admettre que la vision de ce corps allongé sur le lit était particulièrement excitante, mais l’Impératrice voulait aussi voir sa femme. Elle savait que Liddell voulait voir ça, et, plus que tout, l’Impératrice adorait faire l’amour en compagnie de Liddell, que ce soit avec elle, ou simplement en étant observée. Sa femme s’était écartée dans un coin de la chambre, et Alice alla caresser les jambes de Marta, glissant sur ses bottes en cuir, savourant ce contact, cette texture... Le latex et le cuir, des tenues nobles que l’Impératrice adorait, sans pouvoir se l’expliquer. Elle grimpa sur le lit, se tenant debout face à Marta, jambes écartées, louchant sur sa verge, remontant pour voir ses seins et son visage... Un beau visage plein de souffrance, un beau visage qui ne demandait qu’à ce qu’on s’empale sur elle pour lui faire goûter l’extase, le nirvana et les plaisirs immenses de la vie. Ça, c’était une chose qu’elle adorait, une chose qui balayait tous les petits soucis quotidiens de la vie. Le sexe. Un moment de pur détente, un moment où elle devait juste se détendre, et profiter de l’ère de paix qu’elle avait su instaurer dans le monde entier. Elle en goûtait maintenant aux fruits.

Lesdits fruits se matérialisèrent sous la forme d’une tenue en latex érotico-sanglée que portait sa bien-aimée. Alice saliva en la voyant, et se mit sur ses genoux, s’appuyant sur les jambes de Marta. Liddell la rejoignit sur le lit, belle et magnifique, dans l’une de ces tenues que Marta, aussi bien qu’Alice, adorait. Les deux Alice entourèrent ainsi Marta, Liddell venant par le haut pour embrasser son front, à quatre pattes, Korvander à genoux sur ses cuisses. La verge de la pauvre Marta semblait être sur le point de demander grâce, tant elle avait l’air de souffrir. Alice trouvait ça absolument délicieux à voir, et sourit délicatement.

« Que tu es belle, mon amour... »

Marta, quant à elle, se retrouva avec les deux Impératrices sur son corps, Liddell se rapprochant de sa verge, faisant couler un peu de mouille dessus. Loin de s’empaler dessus, elle saisit au contraire ce vit entre ses mains, afin de bien le maintenir. Une queue bien raide se dressait sous son nez, un véritable pieu de chair. À l’idée de s’empaler là-dessus, Alice en avait de longs frissons, remontant le long de son corps, la faisant trembler sur place. Était-ce de la peur qu’elle ressentait ? Ou de l’excitation ? Existait-il vraiment une différence entre les deux ?

« Allez mon amour, viens donc te mettre face à moi, Hihihihih ! Cette grosse verge n'attend que toi !
 -  Oh oui, mon cœur... »

Alice se déplaça un peu, et se rapprocha ainsi de la verge de Marta, venant frotter son bassin contre elle. La pauvre Mata soupirait et gémissait, et Alice se releva, posant ses mains sur les épaules de Liddell. Leurs seins se caressèrent, et Alice alla l’embrasser, déplaçant une main pour la poser sur le bassin de Marta, afin de soutenir son corps. Elle sentit entre ses cuisses le bout de la verge de Marta, son vit allant caresser ses lèvres intimes. Alice soupirait de plaisir, mordillant les lèvres de sa femme, tirant dessus. De sa fente rose, de la mouille coulait pour caresser le vit de la femme.

« Hummm... Haaaa... »

Alice rompit le baiser, puis remua son bassin de gauche à droite, et s’empala alors sur la verge de Marta... En un coup sec.

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAA !! » hurla-t-elle.

Ses deux mains se posèrent sur les épaules de Liddell, et elle les serra, en se dandinant sur place, de gauche à droite, remuant son corps frénétiquement. Oh, que cette verge était grosse ! Une queue énorme et gargantuesque, qui semblait totalement assoiffée.

« HAAAAAAAAAAAAANNN !! HAAAAAAAAAAAAAA !! HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNNNNN !!! »

Oh oui, elle était vraiment en train de prendre son pied !
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le lundi 05 janvier 2015, 16:09:36
Marta était sur le point d'exploser ! Sa verge turgescente frémissait à chaque instant et sentir le corps des deux impératrice sur elle n'arrangeait vraiment rien à cette situation. D'un cotés, Marta avait droit à l'intimité de sa petite Führer adorée et de l'autre, il y avait cette adorable Sylvandine qui, du bout de sa jolie petite fente rose et chaude, s'amusait à titiller le gland de la pauvre Futanari au bord de la rupture. Les deux impératrices s'embrassèrent langoureusement tendis que Marta s’affairât à lécher l'intimité de Liddell avec dévotion.
Mais alors que la langue de Marta avait à peine commencer son office, la femme vint à pousser un grand râle, mélangeant le plaisir et la douleur. La Sylvandine venait de s'empaler sur le mont de chair de Marta et le moins que l'on puisse dire, c'est que cette dernière y était à l'étroit ! Le con de l'impératrice était vraiment très serré et Marta s'en mordit les lèvres tout en soufflant sur l'intimité juteuse de Liddell.

Aaaaah... Je... ouuuuh...

L'impératrice Ashnardienne prenait un grand plaisir à se dandiner sur l'énorme vit de Marta, enfouissant se dernier bien au fond de son antre chaude. Marta pouvait sentir le col utérin de Miss Korvander  frotter contre son gland, elle était à deux petits doigts de littéralement franchir cette petite porte mais, pire encore ! Elle était plus que jamais au deux doigts de balancer une grosse quantité de foutre directement dans l'épouse de son impératrice adorée ! Et le fait de sentir la cyprine de sa tendre Führer couler sur sa langue, ne faisait qu'attiser la chose ! Liddell, quand à elle, se délecter du cuni prodiguée par Marta, tendis que son épouse remuait frénétiquement sur le mat de la Futa. Les deux petites blondes s'embrassèrent a nouveau langoureusement, prenant un grand plaisir à ce jouer ainsi de la pauvre Marta qui, au fond, nager dans un océan de plaisir ! Au fond, la Futa n'avait pas grand chose à craindre, bien des fois elle c'était laissée aller dans les fesses, le vagin ou encore la bouche de Liddell et, jusqu'à preuve du contraire, elle était encore là. La Futa continua donc ses soins buccaux, tout en donnant des coup de bassins dans l'intimité de l'impératrice Ashnardienne.

Les mains de la Futa vinrent alors se saisir des belles fesses de Liddell, amoureusement moulées dans cette robe de latex sexy. Avec gourmandise, la femme faisait passer sa langue le long des lèvres de sa dirigeante, avant se ce mettre à sucer son petit bourgeons d'amour. Et le moins que l'on puisse dire, c'était que Liddell aimait ça ! Elle se tortillait légèrement sur place en poussant de petit couinement de plaisir, entrecoupés de gloussements... Enfin, quand elle n'éait pas entrain d'embrasser sa compagne, solidement empalée sur le gros chibre de Marta.

D'ailleurs, pour en revenir à cette dernière, elle n'aller pas tarder à craquer ! La moutarde commencer à lui picoter le nez et, malgré tout ses efforts, ce fut dans un violent coup de rein final accompagné d'une râle puissant, que la femme déversât un flot de jouissance directement dans l'utérus de la Sylvandine. L'éjaculation fut d'ailleurs ci copieuse, qu'une légère bosse vint à se former au niveau de ventre de l'impératrice, qui, dans un râle de jouissance, fut magnifiquement engrossée... Dommage qu'elle soit stérile, car pour sur que là, Marta l'aurait mise enceinte.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 06 janvier 2015, 01:25:47
Pauvre Marta ! Cette femme était une telle détraquée sexuelle, une telle perverse, qu’elle devait vraiment souffrir ! À voir sa queue bien juteuse, bien tendue, elle avait vraiment l’air à bout de souffle, sur le point de se décharger. Les deux Alices se faisaient plaisir sur le corps de Marta, qui se dandinait sous elle, et cette queue… Ohlàlà, cette queue, cette queue ! Énorme et bien juteuse, elle défonçait Alice, qui s’empalait littéralement sur elle. L’Impératrice n’avait pas une expérience sexuelle très développée, ne couchant généralement qu’avec sa femme… Elle n’avait pas l’habitude de sentir des verges en elle, et, dans la mesure où Marta était en souffrance, où elle avait dû attendre longuement avant de pouvoir enfin se soulager, son sexe était roide, durci, et bien gros. Sentir cette grosse queue en elle était particulièrement délicieux ! L’Impératrice continuait à gémir, hurlant et soupirant, tandis que Liddell s’était assise sur le visage de la femme, sentant les mains de Marta pétrir ses fesses. Quel délicieux spectacle elles formaient ainsi, toutes les trois !

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN… HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !! »

Alice n’avait clairement pas mauvaise conscience, et le souvenir de cette salope de Patricha n’était plus qu’un fugace et lointain visage… En un sens, c’était presque comme si le fait de l’avoir tué avait excité cette dernière, stimulant ses hormones, l’amenant à proposer à Marta ce jeu pervers, et à se faire défoncer sur sa queue tendue et grosse. Oh oui, une belle bite, magnifique ! Alice sentait le corps de Marta remuer, et, sans surprise, la belle Marta ne tarda pas à jouir… Et même à jouir généreusement. En hurlant, Alice sentit le foutre éclater en elle, la faisant couiner. Dans la foulée, elle eut elle-même un orgasme. Oh, qu’elle avait mal ! En dansant sur elle, des larmes coulaient le long de ses yeux, exprimant autant son bonheur immense que la douleur furieuse qu’elle ressentait dans son corps. Tout ce dernier fulminait, sa peau était recouverte de plaques rouges. Marta jouit et jouit longuement, et, quand elle se termina, Alice avait la vision floue, et se sentait… Absente.

« Guuueeuuwww… »

Ohlàlà ! Ohlàlà ! Ça avait été… Intense semblait être un euphémisme pour décrire ça. Alice se releva lentement, et posa une main à son estomac, qui avait légèrement gonflé, tant Marta avait joui en elle, remplissant son ventre. Son sperme coulait abondamment le long des cuisses d’Alice. Elle voyait la queue de Marta, recouverte de sperme, et Alice regarda ensuite la magnifique robe de Liddell, ressentant une formidable bouffée d’amour pour elle. Oh, qu’elle était belle, sa chérie ! Alice se mordilla les lèvres, puis se rapprocha des deux, posant ses mains sur les épaules de Liddell, et elle lui mordilla le cou, déplaçant ensuite ses mains, en amenant une au milieu des cordes de sa robe, enfonçant son doigt dans son fondement.

« Oh, je comprends pourquoi tu apprécies tant Marta. Elle… Elle m’a déboîté, ohlàlà… J’ai le bassin en feu ! »

Elle continua à lui mordiller le cou, son autre main empoignant son sein.

« Néanmoins, je suis déçue de sa résistance… Je la croyais plus endurante… »

Elle provoquait Marta, tout simplement, car elle se doutait bien que, avec tout le temps qu’il avait fallu attendre, son éjaculation viendrait très vite. Alice la provoquait donc, afin que le plaisir soit au rendez-vous, et que Marta puisse encore les déboîter.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le dimanche 25 janvier 2015, 15:25:16
Marta était complètement sonnée elle aussi ! Elle venais de jouir abondement dans l'épouse de Liddell et... le moins que l'on puisse dire, c'est que ça lui avait vraiment fait du bien ! Après tout ce temps passé à ce retenir, Marta avait enfin lâchée la purée et dieu que cela avait était bon ! Bien que quelque peut essoufflée, elle était toujours entrain de lécher Liddell avec dévotions, arrachant à cette dernière, plusieurs petits soupirs, entrecoupés de gloussement enfantins.

Ouuhhuuhuh ! Fuhuhuhu ! HaaAAaaa ! Marta ! Iihihihi !
« Oh, je comprends pourquoi tu apprécies tant Marta. Elle… Elle m’a déboîté, ohlàlà… J’ai le bassin en feu ! »
Elle continua à lui mordiller le cou, son autre main empoignant son sein.

« Néanmoins, je suis déçue de sa résistance… Je la croyais plus endurante… »

Marta était une insatiable futanari, toujours prête à vider son gros chargeur dans n'importe qu'elle pauvre femme qui venait à avoir le malheur de croiser sa route. Toutefois, face aux deux impératrices, la femme était. Nettement moins sur d'elle. Bien qu'elle soit d'un tempérament dominateur, Marta, face à son impératrice, devenait tout de suite plus "soumise" et cela se vérifier d'autant plus lors de moments "intimes", comme celui là.
La futa était légèrement essoufflée par son précédent orgasme, toutefois, liddell ne lui laissa pas de temps de repos, la Futa ce devait de combler les DEUX impératrices et, jusqu'à preuve du contraire, seule la sylvandine avait jouis.

OuuUuUuUuH ! Hihihihihihih ! HaAaAnnn... ouh ! Marta, que tu est taquine !

Lentement, Liddell se mise en position, de sorte à ce que ses pieds puisse prendre la grosse verge de Marta pendant que cette dernière continuais ses soins buccaux. Les petits petons de la jolie blonde se mirent alors à tripoter cette énorme masse de viande gluante et chaude, le pied droit astiquant le gland de la futa, tendis que le gauche, allait puis venait sur le reste du vis. Marta, tout en continuant ses soins, poussait de maigre petits gémissements, allant ensuite s'éteindre dans l'intimité de son impératrice adorée. Elle aimait se faire dominer par Liddell et, ce genre de fétishisme l'excitait au moins autant que de violer de pauvre servante dans les couloir mais là, Marta avait la chance d'être avec les deux  blondinettes les plus puissantes de Terra et, cela ne faisait que décupler son désir et, Sentir ainsi les pieds de l'impératrice Herzeloise* glisser sur sa verge eu vit fait de remettre la futa d’aplomb !

Aller y mon amouoUuUuUhouuur ! Uhuhu ! Fai-faite lui... HaaaAa ! Faite lui ce que vous voulait ! Ihihih ! Vous verrais que la seconde charge sera plus longue et soutenue, ihihi !

En disant cela, Liddell continuait de masser avec fermeté la verge de marta. L’enserrant entre ses orteils, agrippant son gland en forment un mouvement de rotation qui arrachait à Marta, d’innombrable gémissements de plaisir. Oui... Elle adorait ça ! Ce faire littéralement branler par les pieds de son Impératrice, ça n'avait pas de prix pour Marta, sentir ses petits petons froids sur sa masse de chair chaude et pulsante c'était juste... Hum ! Cependant, la seconde de Liddell était à présent capable de tenir bien plus longtemps et, si l'épouse de l'Orbestfuhrer désirait une seconde baise, elle était libre de venir de le demander. Toutefois, sentant l'orgasme venir, Liddell s'empressa de quitter la bouche de Marta, pour venir à son tour s'empaler sur le vie de la femme. Elle se mis tout d'abord bien au dessus du gland, puis, en maintenant la verge avec ses mains, elle commença sa descente vers cette dernière. Lentement mais surement, le vit de la Futa écarta la vuvlve gonflée et humide de la petite folle qui, tout en gémissant, faisait bouger son bassin de gauche à droite, avant de violemment s’enfoncer la verge dans le Vagin.

AAAAAh ! HaaAaaaOUUHIHIHIHIHIHI ! s'exclamat elle alors, tendis que Marta se mise à attraper le bassin de son impératrice, afin de l'aider à aller et venir sur sa queue.
HmmmmPfffff... Mein Fuhrer... Votre impériale petite chatte est si... HmMmAAA !

Durant quelques minutes, les deux herzeloises firent follement l'amour, Liddell s'empalant amoureusement sur la verge de Marta, enduisant cette dernière de cyprine. Liddell était cambrée sur Marta, de sorte à ce que son épouse puisse bien voir la scène, afin qu'elle soit plus encore excitée pour la suite des événement !

HmMmMmmmmmmm... Hmmmmaaaa ! HAn, han ! Han ouii Marta ! AAAAh ! Bouge ton bassin ! Je.. JE... HAAAAAAA !

Les deux blonde donnèrent à L'unissons un dernier coup de reins, Liddell jouissant alors abondement et ce, dans un grand rale de plaisir qui,  à n'en pas douter, avait due ce faire entendre depuis le couloir. C'était maintenant autour de l'impératrice Herzeloise d'être dans le vape ! Lentement, La jolie blonde tacha de s'extirper de cette emprise phallique, avant de s'allonger sur le lit. La verge de Marta était à présent couverte de cyprine mais, elle était toujours bien droite et prête à l'emploie. Lentement, Liddell vint à s'approcher la verge de Marta, ce mettant ensuite à la branler délicatement.

Mon Amour... Que veux tu faire... Pfiuuu... Que veut tu faire de cette vilaine petite pétasse à présent ?

Derrière ses air de grande enfants, Liddell cachait une véritable petite dominatrice adepte du fétichisme et de la soumission. Toutefois, ne voulant pas imposer ses fantasmes à son épouse, elle préférais voir ce que cette dernière voulait faire de Marta, si oui ou non, la Futa méritait une récompense.

Dans tout les cas, Marta ce verrait être comblée.



[HRP] Je me suis permit de changer Le nom de la populace d'Herzeleid, à partir de maintenant, il faudra utiliser les termes Herzelois/Herzeloises ^^ Je trouve que cela sonne mieux =)
en espérant que cela ne te pose pas de soucis ^^
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 28 janvier 2015, 02:11:00
C’est en voyant Alice Liddell jouer avec ses pieds sur la verge de Marta qu’Alice Korvander comprit pourquoi elle l’aimait tant : Liddell était son guide, son mentor. C’était une femme forte et autoritaire, qui savait comment y faire. Le sexe était quelque chose qu’elle maîtrisait, et la voir jouer avec ses pieds sur la verge de Marta était un spectacle délicieux à voir. Allongée à côté, couchée sur le flanc, Alice se mordillait les lèvres, une lueur palpitante dans les yeux. Elle se mordillait un doigt, s’appuyant sur son bras, et observait le spectacle, le spectacle magique et délicieux de Liddell. Assise sur le corps de Marta, l’Impératrice et la Reine d’Herzeleid remuait les pieds dans le cambouis, ses pieds glissant sur son vit. Elle caressait sa queue, d’avant en arrière, la frottant. Oh, comme Alice aimerait faire ça ! Elle trouvait ça... Tellement excitant ! L’Impératrice d’Ashnard observait cela sans rien dire. C’était comme voir un véritable spectacle. Marta gémissait et soupirait, tandis que sa verge enflait et gonflait sous le traitement fétichiste de Liddell. Sans rien dire, Alice observait. Marta lui avait déboîté la chatte, mais, même malgré ça, un feu continuait encore à bouillonner en elle, refusant de se calmer, refusant de s’apaiser. Se mordillant encore une fois les lèvres, elle continua à la regarder.

Au bout d’un moment, Liddell se redressa, refusant à Marta le droit de jouir. Elle avait masturbé sa verge pendant de longues minutes, produisant des claquements sonores, faisant gémir Korvander, qui se mordillait les lèvres. Elle la regarda ensuite se redresser, puis s’empaler sur le corps de Marta. Alice, continuant à sentir ses yeux papillonner d’envie, se déplaça à nouveau, et se mit à côté des deux femmes, les regardant baiser entre elles, comme deux chiennes en chaleur. Le corps de Liddell remuait de haut en bas, et Alice continuait à observer sa femme. Qu’elle était belle... Sa robe était vraiment magnifique, comme tout le reste de son garde-robe. La manière, surtout, dont elle épousait son postérieur, avait quelque chose de féérique. Alice était sous le charme, et elle laissa les deux femmes continuer à se faire l’amour, jusqu’à ce que Marta finisse par se décharger en elle, jouissant longuement et joyeusement, se déversant dans son corps.

N’ayant rien dit, Alice vit Liddell se relever, laissant entre ses cuisses quantité de mouille et de sperme, tandis que la verge de Marta restait tendue et gonflée.

« Mon Amour... Que veux-tu faire... Pfiuuu... Que veux-tu faire de cette vilaine petite pétasse à présent ? » demanda-t-elle alors.

Alice réfléchit un peu, et hocha la tête, ayant un sourire sur le coin des lèvres. C’était l’heure de la détente, et la jeune femme avait bien envie d’essayer des choses, oui... Puisqu’on lui laissait le choix, elle comptait en profiter. La perversion d’Alice était une chose qui était en train d’éclater, et qui ne demandait qu’à s’affirmer davantage. L’Impératrice alla chercher des objets, à savoir de solides menottes.

« Je pense que le mieux est de la traiter comme une pétasse... Et j’ai, moi aussi, un cadeau pour toi, Alice... »

Mutine et mystérieuse, Alice commença par ordonner à Marta de lever les mains, de les mettre près des barreaux, et elle en profita pour menotter chacun de ses poignets, avant de poser un doigt sur les lèvres de Marta, lui souriant joyeusement.

« Maintenant, plus personne d’autre que nous ne pourra te faire plaisir... Tu es désormais NOTRE pute pour la soirée. Maintenant... Alice, tu fermes les yeux ! C’est une SURPRISE ! Si tu les ouvres pendant que je te l’offre, je serais TRÈS mécontente ! Donc... Tu mets les mains sur tes yeux ! »

Alice parlait sur un ton fort et excité, et elle attendit que Liddell s’exécute pour sourire Elle ouvrit ensuite un placard, et entreprit de se déshabiller rapidement, pour enfiler une autre tenue Marta ne pouvait pas la voir, car elle était dans un angle mort, et, au bout de quelques minutes, Alice fut prête Elle s’observa encore un peu dans le miroir, esquissant un léger sourire

« Aloooooors... Comment tu me trouves, dis... ?! »

L’Impératrice était naturellement un peu nerveuse. Elle qui avait l’habitude du blanc, elle était maintenant dans une tenue en latex profondément indécente (http://img110.xooimage.com/files/2/9/e/screen-shot-01-26...07.33-pm-49a521b.jpg), et tenait à la main une cravache. Elle rougit légèrement, en joignant ses mains dans son dos.

« Tu... Tu es tellement belle dans tes tenues en latex que je... Enfin... Euh... Tu... Tu ne me trouves pas ridicule, hein... ?! Tu es la première à me voir ainsi... »

Les joues rouges, Alice était nerveuse, et se mordilla les lèvres.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le lundi 09 février 2015, 11:44:56
Liddell fut agréablement surprise de voir son épouse dans l'une de ses tenues de latex. Une belle tenue, très érotique, qui avait le don de mettre la Führer dans bien des état et, la voir ainsi sur le corps d'Alice korvander c'était... Fabuleux ! Et, visiblement, Marta était elle aussi très heureuse de voir la belle sylvandine ainsi vêtue, au vue de son énorme verge qui ne débander pas. Cependant, bien qu'ayant enfilée l'une des tenues fétiches de Liddell, la Sylvandine semblait confuse, comme... gênée par cette mise en avant de sa personne. Liddell savait que sa compagne avait l'habitude de portait des choses plus légères et plus "raffinée" comme de la dentelles ou encore de la mousseline. Mais là, la jeune femme avait, en quelque sorte, prit un risque en mettant cette tenue perverse, un risque qui visiblement avait payée, car, Liddell, comme Marta étaient toutes deux très excitées par la vue d'une impératrice ashnardienne en tenue de latex.

C'est donc avec un regard emplie de perversions et de désir, que Liddell vint à rassurer sa petite femme.

Hoooooooow mon coeur.... tu es magnifique ! fuhuhu !

Oui... Pour le coup, l'impératrice était vraiment à croquer ! Elle et Liddell était à présent les dominantes ! et Marta était leur petit joujou pour la soirée, elle qui, habituellement, disposait de toute les servantes comme bon lui semble, là, elle n'était rien de plus qu'une belle futanari en rut, attachée à un lit. Liddell, tout en gardant un petit oeil coquins sur sa femme, ce mise ce frotter à marta, avant de lentement défaire son petit haut, un espèce de corset, prenant le temps d'enlever un à un tout les boutons, finissant par exhiber la belle poitrine de Marta, "finement" décorée par de beau piercings en anneaux. Liddell et Marta entretenaient une relation très particulières car, là ou Minerva ou Grizellda ne faisait qu'avoir des rapport saphiques en somme tous ce qu'il y a de plus "banal", Marta, elle, étant une grande fétichiste, avait le "droit" d'être un jouet beaucoup plus... enfin, Liddell et Marta, entretenaient une relation très perverse et ça, L'impératrice sylvandine aller bientôt le voir.

Marta... Aller... Dit le...
Ich... Ich liebe es mein Führer ! Ich liebe es !*


Liddell, sur cette affirmation, poussât un petit gloussement "joyeux", avant de ce mettre à mordre le tétons de la futa, tirant sur l'un de ses piercings, faisant alors gémir la femme qui ne pouvait pas faire grand chose, à par légèrement bouger les pieds.  Ensuite, la petite führer vint à lentement descendre vers les parties intimes de Marta, glissant longuement sur son corps en sueur, léchant son ventre avant de finalement ce mettre a frotter son nez contre la verge turgescente de la Futa. Liddell mordit ensuite les belles bourses de la femme, lui extirpant encore un autre gémissement, mélangeant douleur et plaisir. La jeune impératrice vont ensuite à ce relever, attrapant à son tour une cravache bien rigide ainsi que son képi militaire noir, qu'elle enfila bien vite, lui donnant alors un air encore plus autoritaire.

Ihihihihihhihihhhhiiiihihihhihi ! hihihihih ! Marta est tellement rigolote ! Ahaha ! Tiens ! prend ça petite garce !

Et clac ! voilà que la petite impératrice vint à donner un bon petit coup de cravache sur les belles bourses de sa seconde qui, bien évidement, sursauta tout en poussant un petit gémissement tout à fait adorable.

Aller mein herz ! rejoins nous ! Ihihihi...
Dit elle alors, avant de regarder Marta dans les yeux. Cette petite garce ne demande que ça...

La jeune femme passa alors le bout de sa cravache sous le menton de Marta qui, bien entendue, était toujours aussi excitée. Son chibre était bien droit et, au bout de ce dernier, une grosse goutte de pré-sperme ce faisait voir. Liddell ce mise alors a branler vigoureusement Marta, avant de venir à nouveau lui sucer le bout du gland, gland qu'elle mordillat légèrement, avant une certain gourmandise.

Aller mon amour, faisons lui plein de vilains choses a cette garce, hihihihi !

Les deux impératrices ce trouvaient à présent sur le lit, devant Marta et, Liddell, avec tendresse et passions, embrassât sa compagne, engouffrant sa langue dans sa bouche, ce délectant un maximum de ce moment passé avec elle.



[hrp] : Traduction - J'aime cela. (Ich liebe es)
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 11 février 2015, 01:22:04
Jouer ce rôle, porter du latex... Alice avait toujours hésité à le faire, car elle avait peur d’empiéter sur les plates-bandes de sa belle Liddell... Cependant, plus elle côtoyait cette dernière, et plus elle avait envie de lui inspirer. C’était un fait : l’esprit fort et déterminé de Liddell était la principale source d’inspiration et de motivation d’Alice. Sa vie avait réellement changé lors de sa première visite diplomatique à Herzeleid, où elle avait vu, en cette femme, un moyen de s’arracher de sa condition. Peu lui importait alors, à cette époque, tous les à-côtés d’une telle relation, comme le cannibalisme patenté de l’Herzeloise. Alice avait fait avec, et avait trouvé en cette tête blonde une variante d’elle-même. Comment pouvoir la juger, quand, ensemble, elles avaient accompli ce que l’Empereur Mordret avait été incapable de faire pendant des années ? Elles avaient mis le monde au pas, et avaient réussi à l’unifier et à le pacifier. De Nexus à Ashnard, il n’y avait plus une seule route, plus un seul village, où ne soient brandis les bannières flamboyantes de l’Empire d’Ashnard, empire qu’il allait maintenant falloir rebaptiser autrement... Mais ça, Alice y songerait plus tard. Pour l’heure, seule l’envie de se faire plaisir avec sa femme et avec Marta, leur jouet du soir, la tentait. Le sexe exerçait encore pour elle un fort attrait, et ce même si elle était inféconde... Là encore, c’était sa femme qui l’avait aidé, qui lui avait permis de voir dans le sexe autre chose qu’un moyen pour devenir enceinte, mais aussi une fin en soi. Comme Marten le lui disait, il connaissait des sorts et des potions qui pourraient donner à l’Impératrice une vigueur éternelle, la jeunesse sans fin... Partant de là, pourquoi avait-elle besoin d’un enfant ? Il essayait de la rassurer en lui disant qu’une progéniture n’était pas nécessaire, qu’elle ne tendrait qu’à dissiper l’attention d’Alice, à la focaliser sur autre chose que la gestion de l’Empire. Même si la guerre était gagnée, Nexus ne se rendrait pas si facilement, et, même si les explications et les arguments de Marten étaient logiques, Alice n’arrivait pas à sentir autre chose qu’une jalousie viscérale en voyant des femmes enceintes. Sa cruauté n’était juste pas aussi expressive que celle de sa femme, mais croire qu’elle n’était pas là, c’était se méprendre sur ce qu’Alice était, et sur le fait qu’elle ne pouvait pas supporter l’idée de voir des gueux disposant de quelque chose auquel elle avait été privée.

Chassant ces pensées d’un battement de cils, elle se plongea sur le spectacle de Liddell en train de jouer avec Marta, ôtant le corset de la femme pour mordre ses tétons, avant de descendre le long de son ventre, rejoignant ses bourses et son mât tendu. Marta avait toujours de belles triques, et la soldate était aussi douce face aux deux Impératrices qu’une petite neko, bien loin de ce cauchemar qu’elle incarnait pour les servantes du Palais de Cœur, en venant les violer toutes les nuits. Alice était heureuse que sa tenue plaise aux deux femmes, et, lentement, elle se rapprochait, se mordillant les lèvres et serrant nerveusement les poings, les joues rouges. Ce spectacle était très beau à voir, et aussi terriblement excitant. Les deux femmes savaient y faire pour stimuler son envie, et elle vit même Liddell mordiller les testicules de la femme, avant d’inciter sa moitié à venir sur le lit, avec elle.

« Allez mon amour, faisons-lui plein de vilains choses a cette garce, hihihihi ! »

Alice se mordilla encore les lèvres en arrivant sur le lit, et acquiesça, une lueur brillante dans les yeux.

« Oh oui, je ne demande que ça... »

Elle n’eut toutefois pas le temps de lui faire grand-chose, car Liddell se précipita vers elle, et Alice l’embrassa, enroulant une main contre elle, la posant sur ses cheveux, gémissant et couinant en sentant la langue de Liddell foncer dans sa bouche... Appendice lingual qu’elle accueillit sans problème, l’enroulant avec sa propre langue, leurs seins se heurtant... De son autre main, elle flattait la verge de Marta, avant de la presser douloureusement, l’écrabouillant entre ses doigts gantés. Pour le coup, elle ne cherchait pas tant à la masturber qu’à lui faire mal... Parfois, quand elle avait des servantes, elle voulait juste les faire souffrir, les humilier, afin de se dire qu’elle était la plus forte, la plus puissante, et que, si elle pouvait faire preuve de clémence, ce n’était pas dans le but qu’on la prenne pour une poire, mais bien qu’on la vénère et qu’on la respecte. Elle avait droit de vie et de mort sur ses ouailles, et ce sentiment était on ne peut plus plaisant, on ne peut plus jouissif et bienvenu... Car il était la preuve qu’elle était forte, la preuve qu’elle pouvait enfin peser sur les autres.

Alice embrassa donc son amante pendant un certain temps, puis finit par rompre le baiser, et se pencha vers Marta, venant, avec son autre main, caresser à nouveau le mât de Marta. La belle Herzeloise était franchement très excitée, et c’était un spectacle très impressionnant. Son chibre tendu semblait plein à craquer.

« Léchons-lui les couilles, mon amour... »

Après tout, Marta avait bien deux testicules... Et Alice se pencha vers l’une d’entre elles, venant la lécher... Et y apposer ses dents, serrant entre ses deux rangées blanches cette masse de chair boursouflée et impatiente.

Hum, que c’était bon !
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le mardi 24 février 2015, 17:15:30
« Léchons-lui les couilles, mon amour... »

cette simple phrase fusât telle une balle en galium, dans l'esprit de Marta et... Bien entendue, le fait de sentir la bouche de l'impératrice sylvandine s'attaquer aussitôt après à l'une de ses bourses, ne fit qu'endurcir cette énorme envie de sexe qui ne faisait que monter de plus en plus. Marta, sentant ensuite l'une de ses couilles ce faire tendrement mordre par Alice était... Haaan ! Marta ne trouvait pas les mots ! Elle ce contenta de gémir en ce mordant les lèvres, levant légèrement son bassin sous cette intense monté de plaisir... Dieu que c'était bon, doux et... Marta ce sentait revivre ! Ce pur instant de sexe avec les deux impératrices, elle en avait tellement rêvée, tellement de fois elle c'était branlée en imaginant cette scène c'était... tout simplement magique. Et... Quand liddell vint à son tour à s'y remettre, ce n'en fut que plus délicieux encore.

Iihhih. Gloussât alors la jeune impératrice en frottant son petit bout de nez contre la hampe de sa seconde. Je la connais par coeur ma petite marta, elle aime quand on lui titille le sexe avec la bouche... C'est son vilain péché mignon... Ne rien avoir à faire d'autre que de ce faire sucer... Ihihi !

Sans en dire plus, Liddell vint à lécher amoureusement le sexe de Marta, faisant ainsi remonter sa langue vers son gland, s'amusant alors à faire passer le bout de son orifice buccal dans le moindre petit interstice de la verge de Marta, gratifiant ensuite  cette dernière de plusieurs baiser, avant de finalement ce remettre à suçoter l'autre bourse le femme, la mordillant parfois avec une certaine taquinerie. Langoureusement, sans arrêter de suçoter et de mordre l'une des couilles de Marta, Liddell ce mise à prendre la mains droite de sa compagne, guidant cette dernière vers le mat de chair qui leur était offert, lui intiment alors gentiment l'ordre de la branler... avec elle... La Verge de Marta étant assez volumineuse, il y avait bien assez de place pour deux impériale petite minimes avide de tripoter de la viande chaude. Cet ainsi qu'avec une délicatesse toute relative, les deux jeunes femmes vinrent à caresser à l'unissons le beau mat de marta qui, de son coté, poussait plusieurs gémissant et soupir, tout en bougeant légèrement son bassin... Oui... Elle aimait vraiment ça !
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 27 février 2015, 01:35:02
Alice se pinça les lèvres devant cette grosse verge appétissante, joufflue et pulsante. Elle ne voyait aucun problème, aucune objection, à astiquer cette verge, à jouer avec ce membre. Marta était la violeuse d’Herzeleid, une femme sauvage et passionnée, qui n’hésitait pas à prendre les esclaves la nuit, à tel point que, dans les entrailles de cette forteresse, elle était un cauchemar nocturne, fondant sur les servantes et les domestiques. Alice le savait, et, en voyant cette belle verge pointue, elle se disait que les servantes tombant sur elle avaient bien de la chance. Pourquoi être choquée par cela ? Les femmes aimaient les gros chibres, et Marta savait comment manipuler ça. De plus, elle était une Herzeloise très influente, très bien placée, et coucher avec elle, loin d’être vu comme une souffrance, devrait davantage être vu comme un honneur, la preuve qu’on était suffisamment belles pour plaire à Marta... Parfois, c’était à croire que ces femmes voulaient juste finir aux cuisines !

Pour l’heure, l’Impératrice y pensait vaguement, et jouait avec ce testicule. Elle le léchait, remuant sa langue dessus, sentant sa femme contre l’autre jambe de Marta. Les deux femmes s’activaient sur elle, provoquant un défilé de têtes blondes, de soupirs, et de gémissements.

« Hummm... !! »

Elle adorait ce membre, elle adorait le sentir, et, tandis que sa langue jouait sur l’une de ses boules, son nez frottait délicatement contre sa peau tendue. C’était vraiment une belle érection, indiquant combien Marta semblait être ravie de voir son sexe être occupé par les deux femmes. Alice se plaisait à le faire, jusqu’à ce que Liddell lui conseille de le masturber, en utilisant sa main. En souriant, Alice leva sa main, et la posa au-dessus de celle de Liddell. Le mandrin de Marta était suffisamment épais et volumineux pour permettre cela, et elle se mit à remuer ses doigts dessus, sans rien dire d’autre que des soupirs et des couinements de plaisir, ses doigts serrant parfois ce membre, cette masse tendue et ferme. Marta avait une sacrée trique, et Alice finit par relever ses lèvres, en déposant un baiser sur son sexe.

« Cette pauvre Marta a une telle trique... C’est à croire qu’elle ne couche avec des esclaves la nuit que pour compenser le fait de ne pas coucher avec nous... Quelle perverse ! »

Alice rigola à nouveau, comme si elle trouvait ces viols en série amusants, et continua à presser cette queue, puis se redressa un peu.

« Viens la lécher avec moi, mon cœur... Comme si c’était notre grosse sucette à nous... »

Et, ce faisant, sa bouche remplaça sa main, et alla jouer sur ce membre tendu, donnant des petits coups de langue, glissant sur sa queue, sur ce vit joyeux et dur... Comme elle les aimait !
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le lundi 16 mars 2015, 22:26:25
Liddell était heureuse, pleine de joie et terriblement en chaleur face à ce membre turgescent et pulsant de vie. Marta était vraiment une futanari bien bâtie et très généreusement pourvue, tant au niveau de sa poitrine et de ses fesses, que de son gros attirail. Les deux petites impératrices étaient donc entrain de joyeusement savourer cette belle verge, la tripatouillant avec gourmandise et dévotion, Palpant fermement ces bourses rondes, éprouvant son contact à la fois dur et mou, tout cela dans un concert de soupir et de gémissement fort suggestifs.

« Viens la lécher avec moi, mon cœur... Comme si c’était notre grosse sucette à nous... » lâchât alors la jeune impératrice Ashnardienne, avant de ce mettre à lécher la verge de Marta avec gourmandise.

« Fuhuhu ! Oh ouiiii mon amour… Partageons ensemble cette belle et grosse sucette,  ! »

Et hop ! Ni une, ni deux, Liddell vint à lentement faire remonter sa langue le long du sexe de Marta, rejoignant alors son épouse sur cette interminable mont de chair, le léchant avec avidité, sa langue allant par moment toucher celle d'Alice korvander. Cette fellation était entrain de devenir particulièrement douce et complice, ce n'était pas là une simple gaterie offerte à marta, mais bel et bien une jeu, une friandise que les deux impératrices ce partageaient amoureusement, comme une délicat petit cadeaux de noces. Marta, de son cotés, ne pouvait évidement qu'apprécier cela, tout ce plaisir, cette chaleur ! Sentir deux petites langues lui titiller la verge c'était tout bonnement délicieux.

HmMmmHaaaa… Mein herz ! Vous êtes si mignonne ! Hihi !

Tout en continuant de lécher cette belle queue, Liddell vint à frotter sa joue contre le visage de son épouse, avant de venir l'embrasser avec hardeur. enfonçant ainsi sa langue pleine de pre-sperme et de salive dans sa bouche tendis que sa mains continuait de malaxer les bourse de marta. Finalement, une fois le baiser rompu, Liddell revint à regarder son épouse droit dans les yeux, tout en faisant descendre sa bouche vers le gland de Marta, gobant alors ce dernier avec gourmandise, offrant ainsi à la jeune futa, une délicieuse fellation qui la fit une fois encore gémir de plaisir.

« HmMmMMm… Mein Führer, HAAAAaaan ! »

Autant être franc… Marta avait là bien du mal à ce contenir tout ce plaisir, ce fantasme qui était entrain de prendre vie… C'était juste énorme pour Marta ! Toutefois, la femme ce devait de tenir ! Elle voulait montrer à ses deux supérieur qu'elle pouvait ce garder de balancer son jus... Juste quelques minutes ! Malheureusement… Liddell était plutôt douée pour les fellations et… Marta, une fois encore, sentait la moutarde méchamment lui monter au nez.

«  HooOoO Mein fuhrer… JE… Je crois que je vais bientôt jouir… HaAaAa ! »

HmmmmMM ? Lachat alors Liddell, avant de lentement retirer la verge de Marta de sa bouche, en prenant soin de bien creuser ses joue au passage afin de la faire « souffrir » encore plus.

« Plait-il Mein gross Teil ? Ihihihi ! »

Liddell, toujours aussi taquine, ce mit alors à faire frotter son visage contre la verge de sa subordonner, invitant bien entendue son épouse à faire de même.
« Tu entend ça mon amour… Elle vas encore jouir cette pauvre petit salope ! Ihihihi !

Et hop ! Avec fermeter, Liddell enssera le sexe de Marta à la base, faisant alors hurler cette dernière.

« Nan Marta… Pas maintenant… Ihihihihi. »
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 23 mars 2015, 01:15:35
Les deux Impératrices goûtaient à cette grosse verge, éloignant énormément Alice des problèmes actuels, liés à la gouvernance d’un immense Empire. Ce soir, et grâce à Liddell, elle se détendait, sans penser à rien d’autre que le sexe, et que l’envie de baiser. C’était aussi simple que ça : une envie de se faire défoncer, de sentir une grosse verge près d’elle, de sentir les lèvres de sa femme sur son corps, de dormir avec elle. Alice aimait bien Marta, mais c’était avant tout Alice Liddell qui était l’objet de son amour. Un amour profond et sincère, un amour pervers et corrompu, mais qui, dans sa noirceur, s’avérait immense et profond. Oui, elle l’aimait. Du plus sincère et du plus profond des amours. Elle léchait cette grosse sucette de chair avec elle, et laissait Liddell s’amuser. La femme jouait avec la verge de leur amante, la pauvre Marta, qui avait de plus en plus de mal à se retenir. Comment ne pas la comprendre ? Deux terribles beautés blondes s’activaient sur sa queue, la caressant, l’empoignant, la léchant, jouant et jouant encore, sans relâche, avec une passion lente et dévorante. Ah, qu’elles étaient terribles, ces deux beautés ! Elles jouaient avec la pauvre Marta, qui continuait à soupirer… Mais, tout comme Liddell, Alice ne voulait pas la voir jouir, et ce tout simplement parce que la vue de son sexe en érection était une chose magnifique. C’était un spectacle visuel et sensoriel, et Alice frottait son nez et sa langue dessus, allant parfois lécher l’appendice lingual de Liddell.

Elles embrassaient cette queue, la couvrait de baisers multiples et variés, et Alice continuait à la lécher, descendant sans hésitation vers les testicules, qu’elle embrassait également. C’était une grosse pièce… La perspective de sentir ce membre la défoncer avait quelque chose d’assez effrayant.. Et d’excitant en même temps. Se pinçant les lèvres, Alice continuait à remuer dessus, la léchant de bas vers le haut, jusqu’à sentir son menton frotter contre le sommet de sa queue, puis elle commençait ensuite à la prendre en bouche, ce qu’elle fit notamment quand sa femme vint coincer la base de ce sexe entre ses doigts, comprimant ce dernier, empêchant ainsi la belle Marta de jouir… Ce qui était mesquin… Et très excitant.

« Nan Marta… Pas maintenant… Ihihihihi »

Alice sourit, et se redressa alors, à quatre pattes, posant une main sur le ventre de Marta, et la lécha sur la joue, avant de soulever sa main, venant empoigner ses seins, pinçant l’un de ses tétons. Le sexe la réveillait, l’excitait, l’emballait, galvanisant sa perversité et son excitation, et elle continua à parler, d’une voix basse, étouffée et gonflée par le plaisir, par l’envie, par le désir, et par tout ce qu’on pouvait associer au sexe débridé entre trois femmes.

« Sois à la hauteur de ta réputation, ma belle Marta… On dit que tu peux violer des esclaves pendant des heures avant de jouir, et que ton orgasme est si puissant qu’on dirait qu’elles sont enceintes… Il paraît même que tu as tué plusieurs esclaves en les baisant ainsi… »

Loin de se sentir effrayée, prononcer ces mots excitait davantage Alice, dont les yeux semblaient briller d’une froide et luisante excitation. Elle pinça un peu plus fort le téton de la femme, souriant un peu plus fort, s’humectant les lèvres.

« J’ai toujours eu envie de te voir agir ainsi… De te voir en train de violer ces petites salopes toute la nuit… Est-ce que ça te plairait, hum, que ton Impératrice t’observe pendant que tu les fais couiner et hurler ? »
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le samedi 18 avril 2015, 19:55:20
En sentant l'impératrice pincer son téton, la futa couina légèrement tout en ce mordillant les lèvres, son regard croisant celui de la Sylvandine. Cette dernière était semble  t-il en pleine ébullition, comme imprégnée de luxure malsaine et alors que Liddell regardait silencieusement la petite scène entre sa subordonnée et son épouse, l'impératrice Ashnardienne vint à proposer à la futa un bien beau fantasme.

« J’ai toujours eu envie de te voir agir ainsi… De te voir en train de violer ces petites salopes toute la nuit… Est-ce que ça te plairait, hum, que ton Impératrice t’observe pendant que tu les fais couiner et hurler ? »

"Ihihihihi !" S'exclamat alors Liddell en tapotant joyeusement dans ses mains. "Oh oui ! Qu'elle riche idée vous avez eu là mon amour ! Ahahahah !"

Marta, elle, ce contenta  simplement de cligner des yeux, un peu surprise par cette demande. Mais bien vite la futa revint à son naturel dominant et joueur etc'est avec un sourire en coin qu'elle ce mise à hocher de la tête en guise de réponse.

« Ja… Mein liebevolle Kaiserin. »

Sur ce, Liddell s'empressa d'attraper une jolie petite clochette en argent, clochette qu'elle fit tinter avec hardeur et empressement et, bien entendue, le tintement produit par le petit objet fit venir dans la minutes, une jeune et jolie petiteservante (http://nsa29.casimages.com/img/2012/06/12/120612044801804213.jpg) Cette dernière eu comme première réactions en entrant dans la pièce une belle monté de sang au niveau des joues, suivie d'un fébrile petit regard en directions des deux impératrice et, en particulier vers liddell.

« Que… Que désirez v-Vous Mein Liebevolle Führer ? »

En réponse à cette question bien hésitante, Liddell ce contenta de libérer la belle Marta de de son entrave avant de finalement ce reculer, un large sourire au bout des lèvres.

« Je… »

La jolie servante fut alors prise de léger tremblements, surtout visible au niveau de ses mains blanches et frêles. Elle ne savait pas concrètement en quoi consistait sa venue dans la chambre impériale, mais au plus profond de son être, elle sentait le danger venir.

« Amuse nous… Marta… Ihihihih… »
« Ja, Mein Führer. »

Lentement, toujours le sexe et les seins à l'air, Marta s'approcha de la servante qui, par réflexe, recula de quelque pas avant de ce retrouver contre un grand miroir.

« Que… Qu'est je fait Mein Kaiserin ? »
« Ta gueule . » Lachat alors Marta sur un ton ferme.
« Mais je ne comprend p… »
 « DER BETRIEB ! »

De leur coté, les deux petites impératrices c'étaient rapprochées l'une de l'autre, regardant le spectacle avec grand intérêt. Marta prit alors sa verge en main, avant de s'approcher très prêt de la jolie petite servante.

«  qu'elle est ton nom poche à foutre ? »
«  Je… Je… Je m'appelle Celeste… Mais s'il vous plait… Je... »
« Celeste, hein ? C'est plutôt jolie… Mais entre nous, je préfère « sale pute » ou « sale chienne » Ahaha. »

Oui, Marta commencer doucement, prenant grand soins de mettre cette pauvre Celeste mal à l'aise, l'humiliant tout en faisant frotter sa verge contre son uniforme. On peut dire que cela était efficace, la jeune servante commencer à avoir les larmes au yeux, ce sentant bien incapable de regarder Marta dans les yeux.

« Quil y a-t-il ? Tu n'aime pas sentir la virilité de ta supérieur frotter contre toi ? »
« Arrêtez s'il vous plait... »
«  Quoi ? Tu peut répéter j'ai pas bien entendue là ? »
«  A… Arrêtez… S'il vous plait... »

Marta lâchât un léger rire, avant de ce retourner vers le petit couple impériale, un sourire vicieux au coin des lèvres.

« Mein Führer, avez vous entendue quelque chose ? »
«  Non non non ! AHAHAH ! Je n'ais rien entendue! »

La petite servante, de plus en plus mal à l'aise, serra ses petites mains avant de prendre un ton plus audible.

«  Je… Je v… Arrêtez s'il vous plaît... »

Cette phrase marqua un petit temps d'arrêt dans la scène, avant que Marta ce met à rigoler, lançant par la suite un regard amusé à ses deux supérieurs.

« Je… Ais je bien entendue mein Liebevolle Führer ?  Elle viens de me demander d'arrêter ?»
«  Fuhuhu... » Répondit alors Liddell en hochant de la tête.

Et Vlam ! Sans cris égard, Marta envoyât une belle gifle, bien audible dans la tronche de Celeste qui ne put alors rien faire d'autre que  s'écrouler sur le sol en sanglotant mielleusement.

« Tu t'es prit pour qui toi !?  « 

La jeune servante, toujours à terre ce mit  alors à sangloter, de grosse larmes venant couler sur son visage.

« aller… Au boulot ! »

La verge bien en mains, Marta ce mit en position, prête à commencer cette séance de viol sous les yeux ébahit des deux plus belles impératrices de Terra.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 19 avril 2015, 14:27:38
Joignant le geste à la parole, Liddell fit venir une belle petite servante, une délicieuse esclave répondant au nom de Céleste. Dès qu’Alice la vit, avec son sourire, ses formes encourageantes, et même sa chevelure courte, elle vit en elle l’archétype de la petite poupée qu’on avait envie de protéger… Une femme qui, comme elle, avait souffert de sa bêtise. Ce monde n’était pas conçu pour les faibles et pour les gentilles personnes. Ce que cette Céleste allait subir serait cruel, Alice n’en doutait pas, mais elle était incapable de ressentir la moindre forme de pitié. Se lovant contre Liddell, elle observait la scène en souriant. Terra était un monde dangereux, un monde de loups et de prédateurs, où les biches et les gazelles n’avaient que deux options : devenir des louves, ou être mangée sur place. Ce que les deux Impératrices allaient faire consistait juste à former Céleste, à lui montrer que la vie n’était pas rose, et que, si elle tenait à avoir une place sûre, il fallait qu’elle s’en montre digne.

Céleste se trouva donc face à Marta, dont le gros sexe semblait pulser entre ses doigts. Alice n’en perdait pas une miette, et se retourna un peu, venant embrasser sa femme sur la joue, avant de s’appuyer sur son épaule, comme si elle observait un bon film. Marta finit par frapper Céleste, qui tremblait sur place, et la pauvre servante tomba à genoux, face au chibre de Marta. Alice savait ce que Marta faisait le soir. Elle savait que la femme, membrée comme un taureau, marchait dans les couloirs du palais, cherchant des servantes, et s’amusait fréquemment à les violer. Alice trouvait ça… Tout simplement exquis.

La servante pleurait chaudement devant le sexe tendu de Marta, dressé devant elle. Le regard de la servante coulissa vers les deux Impératrices, en quête d’un réconfort. Alice soupira, et secoua la tête.

« Marta ! Si cette enfant gâtée continue à chialer pendant encore cinq secondes, donne-lui une bonne raison de nous agresser les oreilles ! »

De quoi se plaignait-elle, à la fin ?! Marta était une belle femme, endurante et sportive Coucher avec elle était un honneur. Cette Céleste… Pour Alice, la servante était juste une enfant qui avait eu une enfance dorée. On avait dû lui exaucer tous ses caprices, à elle. À elle, elle n’avait eu aucun père bourru qui passait son temps à se plaindre de l’inutilité croissante de sa fille. À elle, elle avait eu une mère aimante qui l’avait câliné, qui l’avait tenu dans ses bras, en lui disant combien elle était belle et combien elle était chanceuse. Oui, Alice ne ressentait pas de la pitié pour Céleste, mais une jalousie profonde, noire et viscérale… Car cette petite peste qui pleurait comme une mère précieuse avait eu, elle, une enfance heureuse… Et elle, oui, elle, elle pouvait enfanter ! Elle, elle pouvait avoir des enfants ! Elle, Alice était sûre qu’elle aurait tout un tas d’affreux marmots qui viendraient lui pomper le sein… Et ce alors qu’elle n’avait rien fait pour mériter une telle chance ! Oui, c’était injuste !

Céleste, devant les propos d’Alice, se racla la gorge, et cligna des yeux, puis rougit furieusement, sous une peur moite, en fixant le chibre de Marta. Ce sexe puait atrocement, et une odeur infecte remontait dans les narines de la belle Céleste. Elle n’avait jamais cru toutes les rumeurs circulant sur ce lieu, sur ce qu’on faisait subir aux servantes. Elle avait toujours cru que ce n’était que des racontars et des rumeurs ayant pour but de discréditer les Impératrices, et que ça ne pouvait pas être vrai… Et là, elle était placée face au fait accompli. Tout ce qu’on disait dans la ville sur la cruauté de ces deux femmes… Ce n’était pas des racontars.

C’était la plus stricte vérité.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le jeudi 30 avril 2015, 00:13:17
« Marta ! Si cette enfant gâtée CONTINUE à chialer pendant encore cinq secondes, donne-lui une bonne raison de nous agresser les oreilles ! »

Marta ne quittant pas la jeune Céleste du regard ce mit a faire frotter sa verge contre la bouche pulpeuse de la jeune servante tout en la graciant d'une caresse sur la joue, un caresse hypocrite et sadique, comme une fausse promesse de douceur et de gentillesse. Céleste quand à elle était dans un bien piteuse état, la pauvre était toute tremblante et larmoyante avec en plus le gland turgescent de la terrifiante colonel des armées d'Herzeleid contre sa bouche qu'elle tentait tant bien que mal de garder fermée.

« Tu permet… » Lâcha alors la futa en déplaçant sa main droite à l'arrière de la tête de Céleste. « Il s'avèrent que j'ai une petite envie… Pense à du cidre ou à n'importe quoi d'autre, ça glisse plus facilement. »

Et hop ! S'en en dire plus, Marta enfonça les deux tiers de son vit dans la bouche de Céleste, avant de ce mettre à lui uriner dans la bouche… Oui, C'était sale, malsain et profondément cruel, mais Marta n'avait pas pour réputation d'être une enfant de cœur et ce genre de petit supplice était assez courant avec elle. La Colonel était une femme particulièrement dure et orgueilleuse, pour elle, une bonne proie était une proie brisée et humiliée  jusqu'à l'os et bien entendue, pour Céleste, le fait de ce faire uriner ainsi dans la bouche était quelque chose de monstrueusement sale et humiliant… Mais surtout sale. La jeune femme ferma les yeux, hoquetant à plusieurs reprise, obligée de boire ainsi l'urine d'une femme monstrueuse et perverse, alors qu'elle n'avait rien fait de mal ! Pauvre petite Céleste, pour elle, l'enfer ne faisait que commencer.

« Haaaa… »

Une fois que Marta eu fini son office, elle retira lentement sa verge de la bouche de Céleste, compressant ensuite les joue de la jeune femme tout en maintenant sa tête en arrière.

« Avale… AVALE JE TE DIT ! »

Bien entendue, c'est à contre cœur que Céleste avala la dernière gorgée d'urine que Marta lui avait laissée. C'était dégouttant, ça puait et… Nan, C'était abjecte et immonde, tout simplement. Il n'y avait là aucun mots assez fort pour décrire ce qu'il venait de lui arriver, la pauvre petite Céleste, pourtant si gentille et si serviable était à deux doigt de ce faire violer par cette hermaphrodite cruelle et perverse et ça, sous les yeux ébahis des deux impératrices… La pauvre servante était complètement au fraises, elle ne savait pas quoi faire hors mis pleurer et gémir. Mais même ça elle ne pouvait pas ce le permettre, sous peine de souffrir encore plus… Ce qui, de toute évidence, avec ou sans les pleure, aller lui arriver.

« Aller… à quatre pattes ma biche... »
« Qu… Quoi… ?

Et vlam ! Voilà que le poing ferme de Marta vint à s'abattre sur le visage de Céleste que chuta lourdement sur le sol carrelé et froid de la suite impériale. La pauvre jeune femme avait à présent la lèvres fendue et alors qu'elle essayer vainement de retenir ses pleures, Marta lui envoya deux grand coup de pieds dans le ventre suivie d'un petit crachat sur son jolie visage.

« Ici et maintenant, t'es ma pute, mon vide burne et rien de plus, tu te contente d'obéir gentiment et c'est tout… Allez… Met toi à quatre pattes, j'vais te défoncer la teuch !
« Mais… Mais Je... »
Le problème était que notre pauvre petite Céleste était vierge, une douce et pure petite brebis encore pure, un joyaux inestimable dont Marta n'allait pas tarder à connaître toute la valeur. C'est donc à contre cœur que Céleste ce mise à quatre patte, une mains s'appuyant sur le sol, tendis que l'autre était posée sur ses côtes, Marta lui avait fait mal mais forte heureusement, il semblait qu'elle n'ais rien de casser… Pour l'instant du moins.

Pendant ce temps, sur le lit, les deux petites impératrices regardait la scène avec grande attentions, ne perdant pas une miettes de ce délicieux spectacles fortement érotique. Liddell adorait voir Marta violer des servantes, c'était là l'un de ses petits péchés mignons et partager ce moment avec son épouse, c'était tout bonnement Supercalifragexpedélicieux ! La petite Führer vint ensuite à faire frotter son bout de nez contre le tendre visage de son épouse, lui délivrant dans la foulée un petit baiser passionné et romantique.

Marta, de son coté, était toujours derrière Céleste, flattant elle sa verge, d'un mains, tendis que l'autre passait langoureusement le long du dos de la servante, passant par ses fesses, fesses que la futa mis à nue en soulevant la robe de Céleste, avant de palper fermement les deux belles masses de chaires qui lui était ainsi offertes.

« Hmmm… Jolie petit cul dit moi . »
Clac !
« AH ! »

Toujours égal à elle même, Marta venait d'envoyer une belle fessée sur le cul de Céleste, passant par la suite l'une de ses mains sous le tissus de sa culotte en dentelles, culotte que la futa baissa ensuite sans aucune finesse, mettant ainsi à l'air l'intimité intacte de Céleste. Quand Marta vit la belle petite chatte de Céleste, un grand sourire carnassier vint a éclairer son visage pervers et assoiffé de sexe.

« Oh ! Regardait mein Herz, Cette petite catin est pucelle, fufuuhuh ! S'exclamat alors Liddell.
« HmMmM… Toi, tu vas prendre sacrement cher ce soir, éhéhé... »

Ni une ni deux, Marta attrapa fermement sa verge au niveau de la base, faisant ensuite taper son gland contre la fleur intime de la pauvre Céleste qui, de son coté ne cessait de pleurer, n'osant même plus rien dire.

Aller… J'y vais ! HmMmMPpfff
« AH ! Aaahahah nan ! NAN !

Marta fit doucement rentrer son gland dans le vagin de Céleste, écartant laborieusement les lèvres encore « intacte » de cette dernière. La petite servante était à présent entrain de couiner et de gémir, c 'était tout simplement horrible et cruel et au plus profond d'elle, Célesta savait que cette douleur qu'elle ressentait là à cet instant allez être décupler au moment ou la futa aller déchirer son hymen.

« HmMmmPPPFFfF ! Sale petite pute ! »

Et hop ! Marta attrapa fermement chacune des fesses de céleste puis…
« Allez ! »
« AAAAAAAAAAAAH !!!! »
« HmmMPFFF PUT...AIN ! Aller ! BORDEL DE ME… AAAAAAAH ! »

Ca y est… Marta était à présent entrain de violemment besogner la jeune femme, envoyant son vit contre l'hymen de Céleste, hymen que la Futa ne mis pas longtemps à déchirer, faisant bien évidement hurler la pauvre servante de douleur car, outre le fait de ce faire dépuceler, c'était surtout le fait de ce faire dépuceler par Marta qui était douloureux et pour le coup, Même Marta peinait un peu face à cette intimité vierge et particulièrement étroite.

Et de leurs petite place, les deux impératrices regardaient le spectacle avec une lueur de démence dans les yeux et… Plus particulièrement Liddell, dont la vue du sang était entrain de légèrement entrain de l'exciter de manière… Très spécial.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 01 mai 2015, 01:55:25
Tout ce qu’on disait sur Marta, sa réputation de prédatrice sexuelle, sa sauvagerie et sa brutalité quand elle faisait l’amour... Ça n’avait jamais été plus vrai, et, en ce moment précis, Alice avait l’occasion de l’observer, avec une sorte de fascination profonde dans le regard. Ses yeux bleus fixaient le corps de Marta besognant la petite verge, et elle se régalait des hurlements de cette femme. Céleste, la servante, était encore vierge. Un si beau minois, et toujours vierge... Diable, il était plus que tentant que Marta la prenne ! Et puis... Et bien, Marta n’était pas vraiment laide, loin de là. De plus, elle était bien placée, au sein de l’Empire Unique... Elle était proche des Impératrices. Goûter à sa verge n’était pas une punition, mais un immense récompense, autant que de goûter à l’urine des Impératrices. Alice avait le monde dans la paume de sa main, et cette capricieuse Céleste, qui refusait qu’on la touche, qui se prenait pour une petite sainte, en était le plus bel exemple. Secrètement, Alice était sûre que Céleste faisait partie de toutes ces femmes se moquant d’elle, de toutes ces femmes qui, secrètement, avaient un amoureux, un prince charmant, un paysan sale et puant qui les engrosserait, leur donnerait un beau bébé, et qu’elles pourraient regarder en se félicitant d’avoir quelque chose que l’Impératrice, elle, n’avait pas. Comment aurait-elle pu ressentir de la pitié pour une telle salope ? Céleste était une hypocrite ! Vierge ?! Mon cul ! Elle était trop belle pour ne pas avoir des hommes lui tournant autour, trop belle pour ne pas s’être promise à un beau bûcheron. La voir hurler de douleur était particulièrement jouissive, tout comme sentir Marta la claquer. Céleste pleurait à chaudes larmes en souffrant, et son sang s’échappait de ses cuisses, tombant sur le sol. En regardant Liddell, Alice vit combien sa femme était excitée par ce spectacle, ses lèvres entrouvertes, et ses yeux grands ouverts.

*Oui... Fais-là souffrir, cette salope, qu’elle hurle...*

Qu’elle hurle fort, qu’elle souffre, et qu’elle ait la fleur tellement broyée qu’elle serait incapable d’enfanter... Ah, ce serait bien la moindre des choses pour une telle traînée ! Et, fort heureusement, Marta avait pour habitude de prendre son temps, de ne pas se laisser aller trop vite. Cette pénétration était longue, ce coït délicieux, et les deux spectatrices blondes se régalaient de ce spectacle, de ce show magnifique s’organisant devant les deux femmes.

« Ta seconde est magnifique, mon amour... »

Alice se pencha vers Liddell, et l’embrassa passionnément sur les lèvres, en soupirant longuement. Leurs lèvres claquèrent entre elles pendant quelques secondes, puis Alice rompit le baiser, et se retourna à nouveau. Céleste avait du mal à se tenir sur ses bras, toutes ses forces semblant progressivement l’abandonner. Elle crachait de la salive, ses hurlements se cassant quand ses cordes vocales étaient rompues.

« C’est si beau de la voir ainsi, à l’action... »

En ce moment, Alice était la plus heureuse de toutes les femmes... Et elle avait bien raison d’en profiter.

Car le bonheur pouvait être très éphémère.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le dimanche 03 mai 2015, 00:22:19
« Ta seconde est magnifique, mon amour... »

Oui, pour sur qu'elle l'était ! Marta était une jeune femme athlétique au formes généreuses, c'était d'ailleurs la favorite de Liddell, celle avec laquelle la jeune impératrice passait le plus de temps, la gratifiant de temps a autre d'une petite gâterie pour « bon comportement ». Oui… Liddell était fière de sa petite Marta et entendre son épouse ainsi la féliciter était quelque chose de vraiment positif pour la Colonel !

« oh oui mon petit coeur » Lui soufflât elle a creux de l'oreille avant de lui rendre son baiser, enfonçant sa langue dans la bouche de la Sylvandine d'une manière délicate, le rompant ensuite afin de reprendre le spectacle là où elle l'avait laissée.


Marta quant a elle était à présent affalée sur la pauvre Céleste, écrasant cette dernière sous son poids tout en maltraitant sa pauvre fleur avec acharnement de sévèrité. Les deux impératrices étaient là, sur le lit, entrain de la regardait, de la jaugée, c'était une épreuve, un défi pour Marta, elle ce devait de briser cette petite pute, de la détruire, physique et psychologiquement ! Marta compté la baiser a sang et qu'importe si elle venait à la tuer, Liddell la regardait avec ses grand yeux nimbés de démence, attestant d'une chose, une seule ! Cette servante devait souffrir.

« PUTAIN ! Tu vas encore pouvoir saigner ma belle ! JE VAIS TE LA DECHIRER TA CHATTE !! »

« NAAAA ! »

L'Hermaphrodite redoubla alors d'effort, défonçant avec encore plus de violence la pauvre minette de Céleste, ses couilles claquant contre la peau de la pauvre servante au aboie, dont les pauvre jambes tremblaient d’épuisement et de douleur sous les coups de butoir assassins de Marta. Céleste ne ce tenait même plus, elle était à présent à genoux, le torse contre le sol et la croupe en l'air, entrain de ce faire sauvagement prendre en levrette, une levrette infernal qui faisait peu à peut perdre pied à Céleste.

« Haaaa… HA...Ha… Arr… J'a… Maaaaa… Ha… »

« M'EN FOUT ! » Hurlât alors Marta, abattant d'une main ferme, un bonne gifle sur le cul de Céleste.

La chaleur commençait à s'emparer du corps de la futa et tout en continuant de troncher Céleste, Marta décida d'enlever son grand imper de cuir, exhibant avec fièrté son corp légèrement musclé et tatoué. Tatouage représentant les insignes d'Herzeleid, la Pique impérial et le grand Jabberwocky. Une fois cela fait, la femme reprit sèchement en mains la jolie paire de fesse rougeoyante de Céleste, les malaxant sévèrement, prenant un malin plaisir a les gifler et les griffé, enfonçant profondément ses ongles dans les chairs molles de la jeune femmes. Marta ne la ménageait donc pas, enfonçant chaque fois plus loin sa verge dans l'intimité meurtrie de Céleste, son gland ouvrant littéralement le col utérin de la jeune femme.

« Put-AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIN !!!! Si tu cr-crève PAS ! T-Tu HIIIIIN PUTTTTAIIIIN ! TU AURAS LE DROIT A UN GOSSE SALE PUTE ! »
« Hooooo oui ! Je pourrais le manger comme ça ! Ahahahah ! » Répliqua alors liddell en tapotant dans ses petites mains.

La Pauvre Céleste était entrain de craquer sur le carrelage froid de cette chambre sinistre, de grosse larme venant ainsi ce mêler a sa sueur et à celle de Marta.La Futa soufflait comme un buffle en rûte, tout en jurant comme une chartière, la Chatte de cette pute de Céleste était très étroite et pour un bite comme celle de Marta, c'était autant le pied qu'une torture, cependant, la Colonel sentait bien que cette fleur inexplorée était entrain de s'étendre, prenant bien la forme de son chibre.


« HmmmPUTAIN ! »

Et hop ! La futa lachat une énième claque sur le cul de Céleste, avant de ce retirer quasiment intégralement puis… De ce renfoncer d'un coup, faisant ainsi passer l'entièreté de son gland dans l'utérus de Céleste

Je te HAIS ! JE TE DETESTE !
Ha… HA… Ha…


De leur place, les deux impératrices ne perdait quant à elles pas une miettes de ce spectacles, un spectacle jouissif qui vint à pousser Liddell a faire une petite demande à son épouse.

« Dit moi mon petit coeur… Sa te dirait que je soit comme ça le temps d'une petite heure ? Je veux dire, Comme Marta ? Ihihihi ! C'est quelque chose qui ma toujours profondément titillée hihi ! Avoir cette chose là… Fuhu ! »
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 04 mai 2015, 02:26:45
Les deux Impératrices observaient ce spectacle, aussi violent qu’impressionnant. La passion de Marta était incroyable, pleine d’énergie, de force, et de vigueur. La façon dont elle défonçait cette petite salope… D’aucuns auraient pu trouver cela cruel, mais Alice était au-dessus de ça depuis longtemps… Au-dessus de ça depuis le jour où son père l’avait enfermé dans une tour, et l’avait perpétuellement dénigré… Au-dessus de ça depuis le jour où elle avait rencontré Liddell, et où cette dernière lui avait expliqué les règles essentielles et fondamentales de la vie… Au-dessus de ça depuis que Marten lui avait appris qu’elle était inféconde, et que son ventre fertile était en réalité aussi stérile qu’un champ de blés ravagé. Elle était stérile, et cette stérilité était terrible pour elle, horrible et monstrueuse. Sa haine découlait de là, et c’était cette haine qui l’excitait, cette haine qui était en train de remonter en elle. Cette haine qui était satisfaite de voir cette pauvre jeune femme souffrir à sa place. Céleste aurait pu être Alice… Ou Alice aurait pu être Céleste. Et, en un sens, Céleste était, inconsciemment, la vision qu’Alice aurait voulu être. Elle n’avait, jamais voulu être la Princesse héritière de Sylvandell, elle avait toujours voulu avoir une vie normale, loin des draperies, des broderies… Une vie simple, une vie de fermière, avec un beau fermier, ou un bûcheron solide, qui lui aurait fait une tripotée de marmots… Au lieu de ça, elle avait hérité de Sylvandell, d’un Roi malade mental. Ce destin non voulu, elle avait réussi à le faire évoluer… Et Céleste représentait tout ce qu’elle n’avait pas, comme si une sorte de Dieu moqueur et vengeur continuait, encore et encore, à se moquer d’elle.

Vu la manière dont Marta la prenait et la défonçait, elle ne serait sûrement plus capable d’enfanter, ou de sentir quoi que ce soit dans sa petite chatte de pute pendant longtemps après… C’était tout ce qu’Alice voulait, et elle souriait malicieusement en voyant Marta retirer sa verge, avant de revenir l’enfoncer d’un coup sec, tapant dans le corps de la femme, remuant en elle, longuement, longuement, profondément et violemment. C’était intense et ardent, tellement intense, tant de violences… Et si beau, si excitant… Alice adorait ce spectacle magnifique, la vision de ces corps remuant et s’entrechoquant entre eux… Jusqu’à ce que Liddell ne finisse par tourner la tête vers elle.

« Dis-moi mon petit cœur… Sa te dirait que je soit comme ça le temps d'une petite heure ? Je veux dire, Comme Marta ? Ihihihi ! C'est quelque chose qui ma toujours profondément titillée hihi ! Avoir cette chose-là… Fuhu ! »

Alice lui sourit en la regardant, et sa main vint caresser la joue de Liddell. L’imaginer avec un chibre… Elle l’embrassa sur le coin des lèvres, tendrement, faisant claquer leurs lèvres ensemble, et lui sourit à nouveau :

« Oui… Oui, ma chérie, je t’aime… Et je t’imagine très bien avec ce sexe… »

Elle l’embrassa sur la joue.

« J’ai des potions, à Ashnard… Elles te permettront d’en faire pousser une pendant le temps qu’il faudra pour que tu me fasses hurler… »

Tout se déroulait pour le mieux de ce point de vue. Ne pas avoir d’enfant était terrible, mais, d’un autre côté, avoir le sentiment jouissif de tenir le monde dans la paume de sa main, voilà qui était… Particulièrement glorifiant.

Alice lui sourit donc.

« Tu as envie de me défoncer mon petit cul, hein ? De me prendre comme Marta prend cette traînée, hum ? J’avoue que ce serait… Excitant… Vous sentir toutes les deux en moi, à me défoncer longuement et joyeusement… »

Alice prenait un ton légèrement évasif en y songeant.

Oui, ce serait magnifique !
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le lundi 11 mai 2015, 14:40:47
« Tu as envie de me défoncer mon petit cul, hein ? De me prendre comme Marta prend cette traînée, hum ? J’avoue que ce serait… Excitant… Vous sentir toutes les deux en moi, à me défoncer longuement et joyeusement… »

Liddell, en réponse à la question de sa tendre épouse, hocha de la tête comme une gamine avec en prime un beau sourire sur les lèvres et son éternel regard nimbé d'une folie tellement insondable que tout les psychiatres de ce monde pourraient ce mettre sur son cas qu'il ne la soignerait pas. La jeune blonde fit ensuite un tendre calinoux a son épouse, apposant au passage dans son cou un petit baiser, avant de ce remettre a regarder le spectacle qui s'offrait à elle.

Hmmmpfff ! SALE PUTE !

Marta était toujours entrain de sèchement besogner la pauvre Céleste, cette dernière étant bien incapable de faire quoi que ce soit, subissant les assauts chaque fois plus brutaux de la futa. Là, étalée sur le sol, complètement tremblante et larmoyante, la jeune servante ce sentait petit à petit défaillir, ses yeux ce vidant de toute lumière oui... Marta était littéralement entrain de la briser. Céleste n'avait jamais vraiment était une jeune femme « forte » bien au contraire, toute sa vie elle avait eu l'image d'une jeune femme fragile et facilement manipulable alors, il est clair que face à Marta et à ce viole barbare, l'esprit de la pauvre servante eu vite fait de s'étioler dans un mélange de douleur et de souffrance incommensurable.

« HmmMmrrrrrah !!! » S'exclama la Futa, venant ensuite violemment plaquer la tête de Céleste contre le sol avec l'un de ses mains. « J'vais pas tarder a jouir sale putains ! »
N… Han…

Marta était en sueur, elle soufflait comme une brute et alors qu'elle sentait son plaisir grimper crescendo, elle se lança dans un ultime rodéo avec Céleste, la dernière valse de coup de reins en gros, le summum de sa violence et de sa brutalité aller maintenant éclater.

« HmMpfff… Je vais tellement te bourrer que… Han… Que… Et puis merde ! »

Sur ces mots, Marta enchaîna avec plus de violence encore les vas et viens dans l'intimité de Céleste, brutalisant cette pauvre vulve virginal en poussant des râle de plaisir et de douleur avant de finalement sentir sa jouissance monter, faisant alors gonfler sa verge, verge que La Futa retira quasi-entièrement du vagin de la servante, avant de la ré-expédier avec une brutalité hors-normes et ce cinq fois de suite… La sixième étant la dernière de toutes.

« HMMPFFFFRAAAAAAAAAAAH ! SALE CHIEEEENNE ! DAS GUT !!! »

Et voilà… Marta était à présent entrain d'abondement jouir en Céleste, expulsant directement dans l'utérus de la pauvre femme une quantité gargantuesque de semence. Notre Futa était là, la tête en arrière, la bouche ouverte et les paupière fermées, appréciant ce moment comme un épicuriens pourrait apprécier un bon vin… Oui, cette femme était complètement dingue, mais ça, elle s'en foutait. Elle restat ainsi une petite dizaines de secondes avant de finalement ce retirer de l'antre dégoulinante de sang et de sperme de Céleste, cette dernière étant à présent réduite à l'état de pantins tremblotant et suffoquant. La jeune femme peinait presque à respirer et ses paupières mis-closes ne laissait voir qu'un regard vide et révulsé tendis que petit à petit, son pauvre utérus ce débarrasser de toute ce surplus de semence sur le sol de la chambre impériale.

Ihihihih ! C'était prodigieux Marta ! Ahahahah ! S’exclamât alors Liddell en tapotant une fois de plus dans ses mains.
Han… Danke Mein liebevolle Führer… hum !

Marta ce releva lentement en essuyant son front avec un petit mouchoir, avant de s'approcher de la tête de Céleste et de violemment l'attraper par les cheveux, lui enfonçant sans aucune somation sa verge gluante dans la bouche.

« Tiens, nettoie donc ça… »

Malheureusement la jeune femme ne pouvait pas vraiment nettoyer grand-chose en l'état. Marta fit brièvement quelques aller-retour dans la gorge de Céleste, avant de finalement lui envoyer son poing dans la gueule, la faisant lamentablement ce rétamer sur le sol.

« Pffff… Ça tient pas la route ces pétasses ! Sûrement de la Castelquisianne ou de la chienne de Nexus. » Lâchât elle en s'allumant un cigare, la verge toujours à l'air.

La cruelle Marta avait une fois de plus briser une âme et ce, pour le plus grand plaisir des deux impératrices.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 12 mai 2015, 01:51:20
Plus on s’élève, et plus dure sera la chute.

Tout ce qu’il fallut fut un murmure, un léger souffle de vent sur une brise matinale, un sifflement discret et délicat à l’aube du matin, alors que, éclatant de beauté, le soleil se levait. Il continuait ainsi son petit rythme quotidien depuis aussi longtemps que mémoire d’Homme puisse s’en rappeler. L’éternel ballet du jour et de la nuit se cherchant mutuellement sans jamais faire autre chose que se croiser. Le soleil, en cette belle matinée, se dressait bien haut, éclairant de ses mille feux les tours et les vastes cités de Sylvandell. L’ancien royaume montagnard, jadis royaume reculé, était devenu une province impériale flamboyante. Ses anciens villages étaient devenues des cités minières exploitant les gisements se trouvant dans ses grottes, et, à l’instar d’autres exemples, le clivage social et économique s’était creusé. Les riches et les bourgeois dominaient du haut des montagnes face aux ouvriers croupissant dans les villages en bas. Les machines s’étaient assurées de polluer un air qui était respirable, et les arbres s’étaient taries. Les minerais qui jaillissaient servaient à alimenter les usines militaires, un cadeau venu d’Herzeleid, comme un hommage à la Technologie. Un nouveau monde, fait de Métal, d’Acier, et de Vapeur, et, parmi les montagnes de Sylvandell, les hauts-fourneaux se dressaient, des cheminées laissant s’échapper des volutes de vapeur, produisant les terrifiantes armées de l’Empire Terran.

Tout ce qu’il fallut fut un murmure, et il arriva alors que les mines continuaient, jour et nuit, à tourner à pleines régimes. Les multiples guerres menées par l’Empire Terran avaient permis d’avoir un nombre terriblement élevé d’esclaves, dont on pouvait se débarrasser sans trop de problèmes. Dangereuses et instables, les mines de Sylvandell engloutissaient les mineurs. Les belles forêts de Sylvandell avaient laissé place à des camps où, derrière des clôtures électrifiées, les esclaves s’entassaient comme des misérables, vivant dans des villes de tentes et de détritus insalubres.

Tout ce qu’il fallut fut un murmure, et il arriva avec la force d’un ouragan. Il arriva alors que, se réveillant au sein de la capitale, les gens ouvraient leurs volets, allaient acheter leurs baguettes de pain. Les enfants sortaient gambader dans la rue, traînant derrière eux des cerfs-volants. Une journée normale, banale… Les touristes étaient là, grimpant le long des monte-charges permettant de rejoindre la capitale et les hauts-plateaux, où une immonde usine avait été placée dans les hauts-plateaux, fournissant à Sylvandell un équipement de pointe… Des canons avaient été dressés à flanc de la montagne, ainsi que des mortiers, des miradors noirâtres équipés de mitrailleuses lourdes.

Tout ce qu’il fallut fut un murmure, et tous le virent… Les touristes, les gardes, les esclaves, les jeunes enfants. Tous le virent arriver. Le ciel bleu, le soleil jaune, éclatant, se noircit soudain. Et tous eurent alors le même geste. Pauvres, riches, hommes, femmes, enfants, vieillards… Face au torrent, tous eurent le même geste.

Ils levèrent la tête.

Et le murmure devint rugissement.

Et le rugissement devint un souffle infernal qui s’abattit sur eux.



« Vous êtes fou ! Elles dorment encore, vous ne pouvez pas… »

Dans le Palais d’Herzeleid, une vive agitation régnait. Les nouvelles venaient d’arriver, et Alice, qui dormait avec sa femme, après une nuit bien agitée, la tête posée contre ses seins, grogna en entendant quelqu’un tambouriner furieusement à sa porte, une voix forte résonnant de l’autre côté.

« Mais que… ? »

Alice se réveilla lentement. On continuait encore à tambouriner à la porte, et cette dernière finit par s’ouvrir.

« Par la sainte Barbe, vous voulez donc vous faire fouetter ou quoi ?!
 -  Majesté… Majesté… »

L’homme était épuisé, et tenait entre ses doigts tremblotants une missive. Furieuse, car elle n’aimait pas qu’on la réveille, Alice s’énerva sur place.

« Quoi ? Quoi, et bien quoi ?! »

L’homme reprenait son souffle, et finit par parler :

« Sylvandell… Sylvandell est en feu. Les Dragons… Ils… Ils se sont révoltés. »
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le vendredi 07 août 2015, 16:13:23
« Il est hors de question que je mente à L'impératrice ! »
« Ce n'est pas de l'impératrice dont il est ques... » « ASSEZ ! Je refuse d'attendre plus longtemps ! »

Dans les couloirs, la dispute entre le Sylvandin et Griselda était parfaitement audible et aller de paire avec l'animation qui était entrain de ce mettre en place dans tout le palais.

« Franchissez ces portes et je ne serais plus garante de votre putain de sécurité ici bas ! »
« Cessez votre cirque Générale ! Vous ne trouvez pas que vous en faite de trop là !? »

Grizelda haussa un sourcil, puis… sans en dire plus, la femme laissa l'homme rentrer dans la chambre. Minerva, toujours aussi silencieuse ce glissa dans le dos de grizelda, avant de lui dire sur son habituel ton monocorde et froid.

« Ont fait quoi ? »
« Qu'est ce tu veux qu'ont fasse de plus, franchement ?… Ce mec veut impérativement annoncer la chose maintenant... »

Les deux femmes rentrèrent alors dans la chambre, mains dans le dos.
Visiblement, l'Impératrice Ashnardienne était déjà éveillée mais… Liddell, elle, était encore entrain de dormir, ce qui amena Grizelda a discrètement ravaler sa salive. Minerva elle, resta impassible, mais elle n'en pensait pas moins… Et puis… Il y avait Marta, couchée entre les deux impératrices avec un gaule matinale de tout le diables, une vision incongrue qui d'ordinaire aurait put faire rire mais là…

Le ton monta progressivement entre l'un des deux Sylvandins qui venaient d'entrer dans la chambre, jusqu'à l'annonce final de ce dernier qui laissa alors l'impératrice sans voix sur le lit…

« Sylvandell… Sylvandell est en feu. Les Dragons… Ils… Ils se sont révoltés. »
« Hmmm... »

Dans le lit, les draps virent alors à bouger…

« hmmmrpfff… Qu'est ce qui ce passe… ? »

et là… La pièce ce figea dans un silence pensant… Liddell, la tête embrumée venait tous juste de ce relever…

« Comment… Comment ce fait il qu'il y est temps de monde ici et… »

Là, Liddell vint à légèrement regarder son épouse qui semblait totalement sonnée.

« Mein Herz ? Mein herz ? » Lui demandât alors liddell en claquant des doigts, mais… Rien y fit, la jeune impératrice semblât comme ailleurs, éprise d'une peur inssondable.

« Qu'est ce… Que vous lui avez dit… » Lachat alors Liddell d'un ton sinistre.
« Führerin il faut que... »
« QU'EST CE QUE VOUS AVEZ DIT !!!!! » Hurlât elle alors en ce retournant d'un coup vers l'homme. Là… Il n'était plus question de sourire, ooooooh grand non… Là, Liddell ne souriait plus du tout.
Mais pire encore, dans la pièce, une sinistre lourdeur vint à s’installer. Le sylvandin, commençant quand à lui a avoir du mal à respirer tendis que de grosse goutte de sueur vinrent alors à ruisseler sur son front. L'homme, bien que fortement mal à l'aise restat droit.

« Je… Führerin je... » «  REPONDEZ !!!!! » Hurlât elle une seconde fois, libérant alors une puissante onde qui vint a faire exploser toute la verrerie présente dans le chambre ainsi que tous les miroirs. Silencieuses, Minerva et Grizelda observait la scène… Sans pour autant rire de cette situation qu'elle savait au combien délicate. Entre temps, les hurlement d'hystérie de Liddell eurent pour effet de réveiller Marta en fanfare, la gueule totalement enfarinée.

« Merde… C'est quoi… ce bordel... »

En sentant la pesante et sinistre atmosphère présente dans la chambre… Marta comprit aussitôt que la situation actuelle était tout bonnement désastreuse et, par acquis de conscience, elle vint à elle aussi ce taire.

« F-F-Führerin… l-Les Dragons… Ils ce sont révoltés… »

Et là, BOM. L'atmosphère déjà pesante vint encore à s'alourdir, tendis que dans la pièce, personne ne faisait un bruit… Minerva, Marta et Grizelda savaient, elles, ce qui était entrain de ce passer… Elles savaient qu'une limite était sur le point d'être franchie… Cependant, elles restèrent silencieuses et immobile… Enfin, jusqu'à ce que Grizelda vienne a recevoir sur le front une goutte noire. A ce moment précis, la femme vint à fermer les yeux en ravalant sa salive tendis que derrière son dos, ses mains tremblaient.
Lentement, la femme se pinçât les lèvres et, d'une voix légèrement étouffée, elle vint à souffler ses ordre à Minerva.

« Sort de cette pièce… Et Alerte la garde… »
« Je… Je peu pas… Je… ha.. Je suis tétanisée... »
 Grizelda vint alors à prendre une forte inspiration puis… Lentement… Elle réitéra son ordre, avec cependant un chouilla plus de précisions.

« Tu… Tu sais tout aussi bien que moi ce qui est entrain de ce passer Minerva… Alors bordel de merde… Vas… Cherchez… La garde. »
« Je peut pas put... »

Sur le sol, plusieurs dizaines de goutte noirâtres ce mirent à chuter, tendis que dans l'assistance, composée des trois subordonnées de liddell, d'une servantes et du sylvandin, un fort malaise était entrain de ce former…
Sur le lit… Liddell fixait toujours le Sylvandin dans les yeux, tendis qu'autour d'elle, une légère aura noire/violacée vint à ce mettre en place. Ses yeux, habituellement bleu s’opacifièrent pour devenir blancs/rouge, son teint déjà pale virât au blanc/gris, ses lèvres ce maculèrent d'un rouge sang des plus macabre tout en ce marquant de cicatrices et ses cheveux virèrent au blond platine.

« Je… N'est pas… Très bien… Entendus. » Lâchât elle alors d'une voix sifflante, comme celle de chess, mais au féminin.
« Et toi Mein… Herz… Tu as entendue quelque chose ? »

En disant cela, Liddell vint a tourner la tête vers son épouse, affichant alors de nouveau un large sourire, offrant ainsi à ladite épouse, une vus imprenable sur ses dents à présent devenue pointues. Alice korvander, elle, ne fit rien d'autre qu'écarquiller les yeux, entrouvrant faiblement sa bouche face à cette vision d'horreur.

« Que... »

Liddell n'en dit pas plus et ce remit ensuite à regarder le Sylvandin à l'origine de son réveil, tendis que dans la pièce, l'atmosphère suintante et acre ce renforçait de plus en plus.

« Je… Ne… Tolère pas… celaaAaAAaaAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!! »
« RETENAIT LA ! » s'exlaclamat alors Grizelda en bondissant sur Liddell avec Minerva, les deux femmes plaquant alors cette dernière sur le lit.

« Marta, emmene l'impératrice en lieux sur !!! MAINTENANT !!! ET VOUS LA, TIREZ VOUS !!!!! »

Liddell ne cessait de remuer, de vociférer et hurler sa colère, tendis que, sous les ordre de la Générale, Marta vint a prendre avec elle la jeune impératrice avant de sortir de la pièce à toute allure.

« Putain… Il ne faut surtout pas qu'elle soit en contacte avec le sang ! »

Ce qui était entrain d'arriver à Liddell, même Grizelda ne s'y était pas attendus, certes, elle   savait qu'une telle nouvelle l’aurais mise en rage mais là… Là la situation était bien plus grave qu'une simple « colère », Liddell était carrément entrain de faire une « crise ». Dans cette état, il était primordiale de la stopper et de l'immobiliser afin qu'elle ne puisse pas aller déverser sa colère sur des servantes ou autres car, plus Liddell tue dans cette état, plus elle devient folle et plus elle devient folle, plus le monde autour d'elle ce distord et ce transforme. C'est en ça que Liddell était effrayante… Dans cette état, Liddell devenait une sorte « d'Avatar »  de sa propre démence, une démence la rendant capable de créer des hallucination et des malaises, mais aussi était elle capable de transformer son environnement en une version altérée de ce dernier.  

« LAISSEZ MOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIAAAAAAAAAAAAAAHAAHHHAHAHAHAHAHAHHAHA !!!!!!! » Hurlât elle alors en redoublant d'effort, explosant alors les vitres de sa terrasses, vitre qui laissèrent alors entrer une forte bourrasque de vent.

« LAISSEZ MOuAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!! »

Au son de ce hurlement, un énorme éclair vint alors fendre le ciel jaunit et ténébreux.

« Mi… Minerva !!! Vas chercher la camisole et la muselière en galium ! Je vais le retenir ! »
« J-Ja ! »

Sur ce, La Doktor s'en allât chercher lesdits objets à toute allures, laissant alors la Général en tête a tête avec Liddell.

« Mein Liebevolle Führerine, mein herz, mein… Haaan ! » « Je.. Je vous en conjure, calmer vous ! Je... »
Grizelda peinait face à la force déployée par Liddell, bien que cette dernière ne soit pas encore au-delà de ses limites.

"Laisse moi ! Je veux aller tuer ! Je veux tuer ! Je veux dévorer les entrailles rougeoyantes de ce pourceau ! Je veux sentir son sang et sa bile gicler dans ma bouche, croquer a pleine dents dans ses globes oculaires, lui arracher la langue et me repaître des ses boyaux gluants et chauds ! J'enfoncerais mes ongles dans ses burne en lui arrachant la trachée et les corde vocal avec ma bouche ! Puis je danserait sur son cadavre au son de sa cage thoracique qui ce disloque et qui se brise, et je jouirais en entendant le bruit de son crane exploser sous mes petits petons mignons tout ronds !!! AAAAAAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA !!!!

La voix de Liddell était forte et perçante, comme décuplée par sa folie et Grizelda ne doutait pas une seconde que la jeune épouse impériale de la Führerine avait entendue ce cris de rage tonitruant.

J'AI … SOIF… DE SAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNNG !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!"

ET VLAM ! Cette fois ci, ce fut trois éclairs qui vinrent à lézarder le ciel, éclairant le visage monstrueux de Liddell rendue hideux par la matérialisation de sa folie. Toutefois, cela n'était qu'une « illusion magique », une transformation temporaire que Grizelda espérait voir disparaître… Comme ça c'était déjà produit une fois.

« Je vous en supplie mein Führerin, contrôlez vous...CONTROLEZ VOUS !!!!!»

La situation était certes critique, mais cet état avait fort heureusement tendance a vider la reine de ses ressources, la fatiguant grandement si elle n'était pas « alimenter ». Par conséquent, une fois retenue, Liddell finirait par redevenir « normal ». Le plus important était là de l’empêcher de tuer des gens.


Ce à quoi liddell ressemble
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)
[HRP] Voilà pourquoi énerver Liddell peut être une chose... Heum... Désastreuse :) She's not mad... She is the Madness !
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le vendredi 07 août 2015, 23:29:19
« Ils se sont révoltés ». L’esprit d’Alice avait bloqué à cette phrase, et le reste lui arrivait comme venant de très loin, derrière un lointain brouillard voilé. « Ils se sont révoltés ». Les Dragons de Sylvandell... Le Dragon d’Or, le Patriarche, et les centaines de dragons composant la terrifiante colonie de dragons de Sylvandell. Le Patriarche, celui qui avait béni Alice, avait choisi de se retourner contre les Korvander, de se tourner contre elle, de se tourner contre son héritage. Alice savait que le Patriarche n’avait accepté de se lier avec Erwan Korvander que dans la mesure où ce dernier assurerait la défense de l’Ordre face au Chaos. Dès lors, comment interpréter la trahison du Patriarche ? Alice sentait son cœur fondre, en imaginant les hurlements de son peuple... Et, surtout, en sentant le goût amer de la trahison fondre dans sa bouche, se répandant dans son gorge. Pourquoi ? Pourquoi ?! Pourquoi, alors qu’elle avait enfin réussi à conquérir le monde, est-ce que le Patriarche s’était retourné contre elle ? Il ne devait plus rien rester de Sylvandell à l’heure actuelle... Rien d’autre que des ruines, et les dragons, eux, se déplaçaient vite. Le temps que le messager vienne jusqu’ici, les dragons avaient eu au moins cinq fois l’occasion de faire le tour du monde. Une cohorte de plusieurs centaines de dragons déferlant au même moment pouvaient faire des milliers de kilomètres de ravage... Et ils n’avaient pas dû rester à Sylvandell bien longtemps. « Ils se sont révoltés ». Non, c’était une blague, c’est ça, une mauvaise farce... Ça ne pouvait être qu’une mauvaise farce, une blague sinistre et cruelle.

*Pourquoi se révolteraient-ils, alors que j’ai apporté la paix dans le monde entier ? Ça n’a aucun sens !*

Ça n’en avait aucun, en effet... Et, alors qu’elle continuait à rester dans son monde, sa bien-aimée choisit de faire une crise mystique. Alice sentit la couverture vibrer, puis tourna la tête, hébétée, en voyant le visage de Liddel changer, devenir... Horrible, atroce. Une sorte de sinistre gobelin grimaçant venait de prendre la place du doux visage de sa chérie, et Alice sursauta, puis glissa hors du lit, tombant sur les fesses, tandis que les éléments semblaient se déchaîner dehors.

Liddell se mit alors à hurler, d’une voix qui fit saigner les tympans d’Alice. Elle se boucha les oreilles en se tortillant, serrant les lèvres, ne comprenant rien à ce qui se passait. Sa femme était en train de péter les plombs, et une intense magie noire était en train de se répandre, assombrissant la lumière venue de l’extérieur. Des nuages sombres se dressaient au-dessus d’Herzeleid, tandis que des éclairs sinistres s’abattirent sur le palais.

« A-Alice, mais que... ?! »

L’Impératrice s’était relevée, médusée, et tendit sa main vers son amour... Quand un garde l’attrapa par le poignet, et l’écarta.

« Ne restez pas par là, Majesté, c’est dangereux !
 -  Mais... Lâchez-moi, c’est ma femme !
 -  Majesté, je ne puis... »

Une violente explosion fit soudain trembler tout le palais. Les murs, le sol, le plafond... Pendant quelques secondes, tout se mit à vibrer, et Alice s’appuya contre le mur.

*Bon sang, mais qu’est-ce qui se passe encore ?!*

La réponse à cette silencieuse question vint en regardant la grande fenêtre. Alice s’y précipité, et ouvrit les portes de la fenêtre, débarquant sur le balcon... Et vit.

Elle vit le feu.

Elle le vit au moment où une ombre colossale la recouvrit, accompagnée d’un rugissement tonitruant.

« RRRRRRRRRRRRRRRRRROOOOOOOOOOOOOOAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRRRRRRRRRRRRR !!! »

Ensuite, elle vit la gorge du dragon s’illuminer, puis un rayon doré, incandescent, jaillit de sa gueule, et frappa toute une rangée d’immeubles, comme si un canon solaire venait de s’abattre. Tous les immeubles explosèrent alors, laissant de hautes flammes qui dansaient dans le ciel. Les mains d’Alice se crispèrent contre le balcon, alors que d’autres dragons apparurent dans son champ de vision, soufflant sur la ville. L’explosion qui avait fait trembler tout le palais venait de derrière, quand les dragons avaient soufflé sur les usines pétrochimiques, faisant exploser les immenses réservoirs d’essence. Les murs d’enceinte et les défenses extérieures n’avaient rien pu faire, et plusieurs miradors brûlaient, comme un sinistre témoignage de l’attaque des massifs dragons dorés.

Et, alors qu’Alice voyait la ville en feu, un ultime hurlement retentit, venant du ciel noirci. Elle leva la tête, et écarquilla les yeux en voyant les nuages noirs se fendre. Elles laissèrent passage à d’énormes boules de feu, comme si des astéroïdes étaient en train de tomber. Les météores s’abattirent violemment dans la région, et, au milieu de ces dernières, elle vit un dragon doré immense, magistral, et le reconnut...

Léviathan, le fils du Patriarche. Le dragon que Tywill Korvander avait chevauché.

Il fondait droit vers le palais, et se posa violemment sur son toit, juste au-dessus d’elle. Il se retourna alors, et la regarda. Plusieurs gardes approchèrent alors, et levèrent leurs pistolets vers le dragon... Qui se contenta de souffler. Alice ferma les yeux, et les flammes l’enveloppèrent, vaporisèrent les deux gardes qui poussèrent des hurlements d’agonie. Leur peau se disloqua en quelques secondes, ne laissant plus que des squelettes enflammés.

« POURQUOI ?! clama-t-elle.
 -  Tu... As... Trahi ! Le pacte est rompu ! »

Léviathan s’envola alors en rugissant, et Alice vit une boule de feu fondre droit vers le balcon.

La boule de feu heurta la vitre, et provoqua une violente explosion. Dans de terribles craquements, le balcon se remplit, et, en hurlant, la Princesse sentit la gravité l’appeler à elle. Le souffle de l’explosion se répandit dans la chambre à coucher, envoyant des bris de verre dans tous les coins, renversant le lit, qui se brisa en mille morceaux. Quant à Alice... Et bien, celle qui fut Princesse de Sylvandell tomba en contrebas, au milieu des éboulis.

Et les dragons rugirent.

Et tous virent le feu.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Alice.Liddell le samedi 08 août 2015, 23:38:33
Vite… Tout avait était incommensurablement vite… Maintenant, Grizelda était là, contre le sol de la chambre de Liddell, les oreille abasourdie par l'explosion, tendis que dans le ciel sombre et jaunie par la démence de la Fürherin.

« La Führerin… Merde ! »

Tout en ce tenant au mur, une main sur le front, Grizelda tacha de relever… Et alors qu'elle reprit lentement ses esprit… Ses yeux aperçue Liddell au bord du gouffre… Les cheveux au vent, contemplant la scène effroyable de sa ville entrain d'être mise à sac et de laquelle des Hurlements s'échapper. La scène aurait presque une quelque chose de beaux, si elle n'avait pas était aussi monstrueuse… Le ciel sombre, les nuages, les éclairs, les dragons, les flammes… Et la souffrance… énormément de souffrance.
A quelle moment Grizelda avait prit conscience de ce qui était entrain de ce passait exactement ? Ça, même elle ne serait le dire… Mais une chose est sur… Ce qu'aller lui offrir Liddell, dépasser de loin tout ce que Marten avait dit sur les possibles pouvoirs de Liddell, ce secret que personne n'avait jamais révélé à Alice Korvander… Il allait enfin exploser sous ses yeux.

« Abreuve moi… Mon peuple... » Soufflât alors liddell en s'approchant du vide, les bras ouvert, le sourire au bout de ses lèvres mutilées et les yeux vides… Avec face à elle, les flammes et la discorde et surtout… Le chaos… Le chaos partout ou son regard ce posait.. L'odeur des chair calcinées, de la poudre, du feu, de la mort. A son approche, les éclairs devinrent plus virulent encore, déchirant le ciel avec rage et puissance.

ABREUVE MOI, MON PEUPLE !!!!!

Le Tonnerre gronda fortement… Puis… Ce fut la pluie qui vint à tomber… Une pluie noire. Liddell était entrain d'absorber la souffrance de sa nation, de dévorer le chaos ambiant… Ce n'était pas le sang qui la nourrissait… Mais la souffrance et le chaos.

IhihihhiiiihihihihhahaahahahahahHAHAHAHAHAAHHAHAAAAAAAAAAAAAAAAAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHHAHAHAAHAHAHHAHAHAHAHAHAAAAAAAAAAHAHAAH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

L'air d'Herzeleid était entrain de s’emplir d'une puanteur acre, comme quand on met du vinaigre et du sel dans un pot en cuivre oxydé, odeur qui ce mélangeait à celle du souffre, de la poudre et du sang… L'aura de Liddell s'intensifia et la pluie s'accentua.
La scène était presque surréaliste… Grizelda n'arrivait pas à croire que c'était liddell qui provoquer tout ce changement…

GRIZELDA !!!!!! s'exclamat alors minerva, accompagnée de Marten et de plusieurs gardes.

Et là, tout alla très vite… L'assemblé venait de faire irruption dans la chambre royal et alors que la Générale s’approchât de Minerva, Marten qui était en tête du groupe, vint à parler.

Führerin ! Tonnat il alors afin d’interpeller liddell qui vint alors à lentement ce tourner vers le mage avec toujours le même visage hideux.

HoOoOOow Marten… Ne me prend pas pour une entité de pacotille... Ne fait pas l'erreur de sous estimer ma puissance ! Ou je te briserais les os un à un avant de me repaître sur ton cadavre de vieux fou !!!
« Chess… Laisse là… Immédiatement ou je ferai usage de tout ce qui est en mon pouvoir pour te stopper. »

Un léger silence plana puis…

ihi… ihihhhahahaahhHHAHAHAHAHAHAAHAHAHAAHAHAAAAAA !!!!
suite à ce rire… Liddell ce mit alors a lentement avancer vers le mage, le regard mauvais et les mains crispées. Tendis qu'un liquide noir et poisseux vint a dégouliner le long des murs.

Marten... À qui croit tu parler comme ça !!!? A QUI !? A une animal ? A une gamine !? JE SUIS LA FOLIE INCARNÉE MARTEN !!!! TU ENTEND !!! LA FOLIE !!!!!!! RIEN EN CE MONDE NE M’ÉCHAPPE !!! TU ENTEND, RIEN !!! RIIIEEEEEEEEEEEEN !!!

En hurlant, Liddell libéra alors une puissante onde de choc que le mage parât de justesse avec un puissant bouclier magique.

« Il est encore possible de la stopper ? » demandât alors grizelda au mage.
« Je pense… Mais il faut faire vite, elle est entrain de s'alimenter avec la souffrance causée par l'attaque des dragons. »
« Minerva… Prépare toi a lui administrer des sédatif et vous là, dés qu'elle est immobile et en signe de faiblesse, sauter lui dessus et mettait la camisole et la muselière. »

« Ihihihi… Grizeldaaaa… Tu as toujours était une noble est fière seconde… Pourquoi diable ne me rejoins tu pas ? »
« Tu n'est pas ma reine, Chess… Tu n'est qu'un fragment d..UN FRAGMENT DE SON AME ??!!!! C'EST CA GRIZELDA ??!!! NAN… JE... SUIS... LIDDELL !!!!!!!!!!!!!! SANS MOI ELLE NE SERAIT RIEN DE PLUS QU'UNE AME MORTE AU FOND D'UN GOUFFRE !!! ELLE C'EST ABANDONNÉE A MOI !!! TU ENTEND SALE PUTE ! ELLE EST A MOOIIIIIIIII, CE MONDE EST A MOI !!!!! TU M'APPARTIENT AUTANT QUE TOUT ICI!!!!!!!!!!

la voix était forte et avec elle les murs en tremblait, les lumière vacillaient et petit à petit, certains Garde commençait à avoir à l'esprit de perturbante visions ainsi qu'une irrépressible envie de tuer, cependant, Marten n'était pas un faible mage et il s’estimait encore capable de retenir la puissance que la folie de liddell était entrain de libérer. Dans le ciel, les éclairs ce déchaînaient, certains tuant même des dragons sur le coup par inadvertances.

Autour de liddell, tout était entrain de ce distordre, créant de petite « fracture » dans un petit périmètre autour d'elle tendis que dans la pièces, plusieurs objets ce mirent à léviter. Tout herzeleid était maintenant surcharger d'une énergie maléfique et infâme, une lourdeur monstrueuse qui n'arranger rien mais qui cependant, avait semble t'il l'avantage de déstabiliser les dragons eux aussi.
Ce qu'était entrain de vivre Minerva, Grizelda et les autre dépasser l'entendement, Liddell cachait donc une telle puissance en elle ? Était ce là toute la force que ça folie sans borne lui octroyait ou bien devaient ils tous s'attendre à pire ?
Marten avait les mains devant lui, tentant tant bien que mal de contenir tous ce flux de démence. Un véritable combat était donc entrain de ce produire entre les deux protagonistes, un combat duquel une puissance magique hors normes s'échappait, faisant trembler les murs, le sol, amplifiant l'air ambiant tout en écrasant les autres protagonistes présents dans la pièces.

JE… NE… SERAIS… JAMAIS PLUS BRIDÉE, TU ENTEND !!?? JE VAIS RÉDUIRE CE MONDE EN CENDRE… JE VAIS REJOINDRE LES DEITEE DE LA DÉMENCE… LES RALLIÉES A MOI ET METTRE FEU A CE MONDE AAAAAAAAHAHAHAHAAHAHAHAHAHHAHAHAHAHA !!!!! MAINTENANT… CREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEVE !!!!


Ce hurlement eu pour lui d'envoyer voler contre le mur du couloir Minerva, Grizelda est les gardes, ne laissant alors plus que Liddell est Marten, l'un face à l'autre. Marten n'était peut être pas le plus sage, ni le plus pur des coeur, mais face à Liddell sous « hystérie » n'importe qui ferait office d'enfant de coeur. Il n'était plus la question d'une simple démence mais de la Démence, avec un grand D, une démence noire, sinistre, désintégratrice et malsaine, à mille lieux de celle de Mania et de ses filles, Il s'agissait non pas de la folie « générale » mais d'une psychose propre à Liddell qui avait mutée pour devenir la source d'une puissance incommensurable et mortelle.

Marten ce tenait donc face à Liddell… La femme d'alice korvander et impératrice du monde avec elle… Oui… mais…

*Je n'ais plus le choix… Plus j’attends… Plus elle engrange de puissance »

L'attaque des dragons n'avait pas put plus mal tomber… Alors qu'en temps normal retenir liddell et l'enfermer aurais suffit, voilà que là, dans cette situation abominable, la jeune femme devenait un atome de destruction à l'était pur ! Autour d'elle, on pouvait sentir toute la noirceur exploser, d’énorme bubons  gorgés de sang noire et putride vinrent a pousser ici et là, éclatant en libérant une puanteur acre. Les mirent ce couvrant quand à eux d'énorme fissures desquelles des cafards noirs s’échappèrent en même tend que d'horrible traînée de pue.

Marten, à contre-coeur, prit alors un grande inspiration, avant de faire usage d'un puissance sort de foudre contre Liddell, des arc électriques bleu ce mettant alors a sortir de ses doigt. Mais cette dernière n'était pas sans défense et, en contrepartie, elle vint à invoquer la foudre jaunâtre et noire qui était entrain de s'abattre dehors, créant alors plusieurs énormes arcs électrique jaune et noire qui passèrent par le trou du balcon, contournant liddell avant de s'écraser contre le sort de marten.
« QUE FAIT TU MARTEN !? HEIN !? »
« JE TENTE DE T'ARRETER CHESS !!! »
« M'ARRETER !? AAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAA MAIS POUR QUI TE PREND TU, PETIT CLOPORTE !!! TU N'A PAS LE QUART DE LA PUISSANCE QUE JE DÉPLOIE !!! TOUT CE CHAOS M'ALIMENTE !!! RIEN… NE… M’ARRÊTERA !!!!! »

là, la puissance de liddell vint alors a augmenter d'un coup, réduisant progressivement les arc électriques de Marten. Lentement, Liddell ce mit alors à avancer vers le mage, avec toujours le même sinitre sourire et tout ça, sous le regard médusée de Minerva, Grizelda et des quelque hommes encore conscient, à terre, totalement écrasées par la puissance des deux êtres.

JE… N'AI… PAS DE MAITRE... RIEN NE ME DOMINE… RIEN NE ME CONTRÔLE CAR VOIS TU… JE SUIS LA FOLIE.

Et là...au moment même où liddell aller donner le coup de grace à un Marten en difficulté, deux énormes boule de feus éxplosèrent. L'un contre le mur extérieur de la chambre et l'autre à l'entrée du trou ou ce trouvait avant le balcon. Cela eu alors pour effet de déstabiliser liddell l 'espace d'une seconde… Mais cette infime seconde suffit a Marten pour redoubler d'effort et envoyer dans l'abdomen de l'impératrice un puissante charge éléctrique qui l'envoya contre le plafond avant qu'elle ne chute lourdement au sol.   

« Mi.. DEPECHEZ VOUS ! »

L'homme était éreinté et totalement épuisé. Cet ainsi que sous les ordres de l'homme, Grizelda, minerva et les garde restant accoururent vers Liddell. Cette dernière était légèrement sonnée mais au moment où la troupe de gardes vinrent à elle, la jeune reine recommençait à légèrement bouger. Marten, bien qu'a genoux et en sueur, utilisa cependant le reste de son énergie pour maintenir liddell en place, le temps que Minerva lui administre huit doses du plus puissant sédatif qu'herzeleid pouvait concevoir et que grizelda et ses hommes lui la camisole et la muselière en galium.
Dehors… Alors que petit à petit les événements « météorologiques » vinrent à s'étioler… Les dragons , venu seulement apporter un « message » partirent eux aussi, laissant une ville quasiment en ruine.



Marta, qui avait chutée avec l'impératrice durant l'attaque des dragons, avait protégée cette dernière, l'emmenant ensuite dans le lieux le plus sur de tout Herzeleid : les labos. Même ci, de là-bas, le bruit et les vibrations provenant de la chambre impériale avait était aussi particulièrement bien ressentit.
Titre: Re : Forever Evil [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 10 août 2015, 01:54:41
La première chose qu’Alice ressentit en revenant dans le monde des vivants fut le froid provoqué par les courants d’air. Ensuite, ce fut le sifflement du vent. Elle était visiblement à un endroit très élevé, étalée sur de la pierre. La mémoire lui revenait peu à peu... Sa nuit avec Liddell, puis ce réveil terrible... Est-ce que c’était un cauchemar ? Sylvandell ne pouvait pas réellement être détruite, n’est-ce pas ? Et sa femme qui était entrée dans une transe incroyable ? Non, c’était impossible... Alice se refusait à y croire. Oui, tout ça était un rêve, alors, tout ce qu’elle avait à faire était de dormir, et d’attendre de se réveiller. Et puis, quand elle se réveillerait, un beau soleil régnerait sur Herzeleid, sa femme ne serait pas la malade mentale qu’elle avait vue, et Sylvandell ne serait pas en flammes. L’Empire de Terra serait toujours uni et fort, et les dragons d’Or ne se seraient jamais révoltés. Non, elle n’avait pas vraiment vu le canon solaire jaillir de la gueule de ce dragon, faisant fondre des immeubles en béton et en acier comme s’il s’agissait de simples châteaux de cartes. Un rêve, rien qu’un rêve, un cauchemar horrible...

*Rendors-toi, rendors-toi...*

Et puis, comme si on lisait dans ses pensées, elle entendit des bruits de pas, suivie d’une voix forte et mélodieuse, une voix qui lui rappela de sinistres souvenirs :

« Relevez-vous, vous avez assez dormi ! »

Alice cligna alors des yeux, et entendit alors des dragons rugir au loin.

*Les dragons...*

Elle se releva alors, et vit les jambes d’un homme, puis son torse, et son visage, avec de longues oreilles pointues.

*Non, impossible, il est mort, je l’ai vu mourir !*

L’Omniprêtre ?! Puis elle vit le visage de cet elfe. Il était sévère, mais ce n’était pas l’Omniprêtre. Bras croisés, l’elfe la regardait, tandis que, autour d’eux, des dragons bougeaient et rugissaient.

« Je suis l’un des derniers prêtres de Batrok. Celui que vous avez appelé Omniprêtre fut jadis mon mentor, et j’étais son disciple. C’est ici, à Sylvandell, qu’il m’a formé, avant que les humains n’arrivent.
 -  Syl... Sylvandell ?! »

Alice se releva à nouveau, la bouche entrouverte, et reconnut effectivement les montagnes de Sylvandell... Sa terre natale, son peuple... Mais, quand elle tourna la tête, elle sentit son cœur fondre en voyant, au loin, des flammes rouges. L’emplacement du royaume. Il brûlait vraiment, et, de temps en temps, les dragons, qui s’agglutinaient autour, soufflaient dessus. Cette vision serra le cœur de l’Impératrice, qui ferma les yeux en retenant ses larmes.

« Pour... Pourquoi ? » réussit-elle finalement à demander.

L’elfe haussa les épaules.

« Il n’y a que les humains qui posent des questions dont ils connaissent déjà les réponses. Pendant un temps, les dragons ont toléré vos agissements, car ils ont permis d’instaurer la paix, et de mettre fin au conflit entre Ashnard et Nexus.
 -  Je n’ai toujours agi que pour le bien de Sylvandell ! vociféra Alice.
 -  Vous vous êtes alliée avec les ennemis ancestraux de Batrok. »

Batrok... C’était un Dieu, le Dieu des dragons, et le Patriarche était l’un de ses disciples. Un Dieu de l’Ordre, connu pour avoir repoussé les vagues du Chaos, à des époques ancestrales.

« Je... Je ne comprends pas...
 -  Votre femme est corrompue par le Chaos... De la tête aux pieds. L’Empire que vous avez créé est une immense construction dédiée à l’honneur du Chaos.
 -  Non... Non, c’est impossible !
 -  Partout, le Chaos se répand. Après votre départ, les Sylvandins sont devenus impies. Et, partout, les temples et les sanctuaires dédiés au Chaos se multiplient. Vous l’avez vu vous-même ce matin... »

L’Impératrice secoua la tête, voulant se persuader que tout cela était faux. Alice l’aimait... Oui, elle l’aimait. De cela, Alice était sûre, mais elle ne pouvait pas nier ce qu’elle avait vue...

« Elle m’aime, lâcha-t-elle. Elle m’aime, et... Je peux la guérir. »

Face à cette répartie, le prêtre poussa un soupir de dédain.

« Vous, la guérir ?! Vous ne comprenez pas, Majesté... La Corruption gronde aussi en vous. Et il n’y a pas trente-six solutions d’éradiquer le Chaos. Le Patriarche a à faire à une nouvelle menace, comme ce fut le cas jadis, quand Batrok se dressa contre les hordes infernales du Chaos, et détruisit leurs Portails avec son souffle légendaire. Erwan Korvander s’est allié avec le Patriarche sur la conviction que, les humains étant les plus sensibles à faillir, il fallait des humains pour les protéger contre le Chaos... Mais le Chaos vous a eue, Majesté. Vous avez fait confiance dans les mauvaises personnes, en particulier ce Marten, qui...
 -  Marten est un mage infiniment meilleur que vous et toute votre clique de prêtres hypocrites ! Vous avez tué des innocents là-bas ! fit-elle en pointant son doigt vers les flammes. Des enfants, des bébés !
 -  C’est pour ça que nous avons tant hésité avant d’agir, répliqua-t-il. Mais, pour tout vous dire, à chaque jour qui passe, il y a en moyenne des milliers de personnes qui meurent dans ce monde. Que ce soit là-bas, à Herzeleid, où vous et votre femme vous amusez tant à torturer votre peuple ; que ce soit là-bas, à Nexus, où des milliers de Nexusiens vivent comme des miséreux dans des taudis ; ou encore là-bas, au loin d’Ashnard, où votre mage tant aimé envoie des cohortes d’esclaves dans les Malterres de la Discorde. Le Chaos gouverne tout votre Empire, Majesté. Et, même s’il est sans doute trop tard pour le vaincre cette fois, nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir. »

Alice serra les dents, et se rua alors vers le prêtre, bien décidée à le pousser dans le vide... Mais il y eut alors un cliquetis métallique à hauteur de sa cheville droite, et elle s’affala sur le sol. Une chaîne, plantée dans le sol.

« Vous allez mourir ici, Majesté. Mourir sur ce rocher minuscule...
 -  Allez au Diable ! Je vous retrouverais, et je vous étriperais ! Et je tuerais quiconque s’opposera à moi ! À moi et à mon amour ! Vous entendez ?! Je vous tuerais !! »

Elle lui cracha dessus, furieuse. Un observateur extérieur, quelqu’un qui n’aurait pas la même hargne qu’Alice, aurait pu remarquer passer, dans les yeux du prêtre, un soupçon de tristesse... Puis il se retourna, et sauta dans le vide, où un dragon le réceptionna en rugissant, avant de s’envoler dans le ciel noirci.

« ALLEZ MOURIR !! » hurla Alice dans le ciel, en vain.

Elle refusait d’entendre un autre de ces mensonges ! Marten l’avait sauvé des griffes d’Emhyr, Marten l’avait aidé... Son Empire, dédié au Chaos ?C ‘était faux... Ce n’était qu’une étape intermédiaire. Le Chaos, c’était eux qui l’apportaient. Eux, ces maudits dragons en qui sa famille avait eu tant confiance. La vérité s’imposa en elle avec la force de l’évidence la plus sûre.

*Nous étions des esclaves leur graissant leurs griffes... Et ils ne veulent pas voir leurs jouets leur échapper.*

C’était ça... Ça ne pouvait être que ça !