Le Grand Jeu

Bac à sable => One Shot => Discussion démarrée par: Princesse Alice Korvander le lundi 26 mai 2014, 22:26:35

Titre: School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 26 mai 2014, 22:26:35
(http://img109.xooimage.com/files/7/0/3/eiki-tagashira-45dbe7b.jpg) (http://fc05.deviantart.net/fs70/f/2010/209/d/b/dbc1915a6a0e939125f24c2101103772.jpg)
Eiki Tagashira

« Je vous remercie pour votre attention, jeunes gens. Pour la prochaine séance, vous préparerez les exercices à la page 44 de votre manuel. »

Les élèves sortirent rapidement de la classe, notant sur leurs agendas les instructions donnés par leur nouveau professeur, et sortirent, certaines élèves lui offrant des sourires suggestifs, mais auxquels Eiki Tagashira, fraîchement nommé au lycée Mishima, resta insensible, ne les voyant pas. À son corps défendant, le cœur d’Eiki était déjà rempli, appartenant à Mashi. Tandis que les élèves sortaient, et qu’il s’était assis sur son fauteuil en cuir, il attrapa son téléphone portable, le regardant brièvement, pour voir qu’il avait justement reçu un SMS de cette dernière. Le cinquième en deux heures... Elle était amoureuse, tout simplement. Et inquiète. On ne pouvait pas totalement le lui reprocher. Eiki n’avait guère été enchanté quand on lui avait dit qu’il commencerait sa carrière, non pas à Tokyo, où il avait grandi et suivi ses études, mais à Seikusu, au lycée Mishima ! Eiki avait demandé à être muté, mais l’académie avait été implacable, malgré tous ses efforts. Il avait été triste, désolé d’être séparé de Mashi, mais également triste pour d’autres raisons.

Eiki était un gentil garçon. Il avait déjà bu, mais il n’avait jamais touché à la drogue, ne fumait pas, et avait un casier judiciaire vierge. Il travaillait bien, de manière régulière, et avait obtenu de très bonnes notes à l’université. C’était là-bas qu’il avait rencontré Mashi. Une Japonaise pure souche, qui venait de la région de Yamagata : la Japon profonde. Elle était une militante écologiste à l’université, militant pour l’abandon du nucléaire. Ils s’étaient rencontrés, et avaient sorti ensemble, Eiki l’invitant à sortir. Peu à peu, ils étaient tombés amoureux. Mashi suivait des études de droit pour devenir avocate, et venait d’une famille très conservatrice. Eiki avait déchanté quand Mashi lui avait dit que, pour elle, le sexe ne pouvait s’envisager qu’entre époux. Par amour, il avait décidé de tenir en laisse sa libido, et ne l’avait jamais trompé. Il avait essayé, à plusieurs reprises, de lui forcer le pas, mais il était trop honnête et trop calme pour y aller franchement, pour donner libre cours à ses fantasmes. À 26 ans, notre homme était donc toujours un puceau, ce qui était assez troublant, dans une classe où des gamines de 17/18 ans pouvaient être enceintes. Ses parents ne voulaient pas que Mashi épouse un minable, et avaient donc insisté pour qu’il ait un travail avant d’envisager des fiançailles. Maintenant qu’il était professeur, il avait espéré pouvoir enfin passer aux choses sérieuses.

S’il était vierge, notre homme avait une longue expérience théorique. Depuis la fac’, il lisait des dōjinshi à connotation hentaï. Il n’avait jamais osé y aller sur le Net, depuis chez lui, car il avait peur que Mashi tombe dessus par hasard, et il se rendait donc une boutique d’Akihabara, ce quartier geek et branché de Tokyo où il traînait depuis ses 13 ans. Quand Mashi était en cours, et qu’il avait fini plus tôt, il sortait ses revues, s’installait dans leur lit conjugal, et les lisait en se masturbant. Ce faisant, autant dire qu’il était plutôt énervé d’être séparé de Mashi. À Tokyo, ses parents lui avaient offerts un superbe loft avec de grandes baies vitrées. D’après Mashi, c’était dans cet appartement qu’ils auraient leur premier enfant. Ils avaient une vue imprenable sur la tour de Tokyo, et Eiki s’était déjà imaginé prendre sa femme en levrette en observant la tour, de nuit... Dans ses rêves, il était un amant infatigable, véritable étalon fougueux qui la faisait hurler toute la nuit. Dans la réalité, il n’osait rien dire, timide et nerveux. Mashi était une battante, une femme de bonne valeur. Il était chanceux de l’avoir avec elle, elle était tellement mieux que toutes ces gyaru et autres. Oui, elle était la femme parfaite pour un bon Japonais.

Mashi, pour autant, s’inquiétait. Elle suivait un stage à Tokyo, où elle voyait un certain nombre de pervers, et elle était au courant de la réputation sulfureuse de Mishima. Le lycée avait été poursuivi plusieurs fois par des associations de parents d’élèves pour corruption de mineurs, en les incitant à la débauche. Les procès avaient tous échoué, mais, comme le disait si bien Mashi, il n’y avait pas de fumée sans feu. Elle craignait que son amoureux ne finisse par succomber sous les charmes des femmes s’y trouvant.

Dans la classe, il ne restait plus qu’une élève. Eiki lui avait demandé en début de cours de rester là. Elle ne venait pas du Japon, mais d’Australie, où elle avait suivi un programme de coopération scolaire entre le Japon et l’Australie, consistant à échanger, pour un semestre ou pour une année scolaire, un enfant avec un autre. Il voulait savoir si elle arrivait à suivre son cours.

« Ah, Jessica ! Tu arrives, à suivre, ça va ? Tu sais, s’il y a un truc qui ne va pas, n’hésite pas à me le dire... Je sais que le japonais n’est pas une langue facile pour les étrangères... Donc, euh, si tu as un quelconque problème de compréhension, il ne faut surtout pas hésiter à m'en parler. Je suis là pour ça. »

Eiki voulait faire le gentil prof’, afin d’avoir un dossier scolaire excellent, et ainsi pouvoir, dès la fin du trimestre, obtenir sa mutation. Il regardait Jessica dans les yeux, et seulement dans les yeux.

Pour le moment.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le lundi 26 mai 2014, 23:22:34
(http://img108.xooimage.com/files/c/3/d/c3d46840c55bfc681...23c49d29-45dc65f.jpg)

Jessica Brown se trouvait ici moins dépaysée que ce à quoi elle se serait attendue. Née en Australie, Jess, comme ses amis l'appelaient, était une excellente élève. Elle possédait depuis toute jeune, ce que l'on appelle une mémoire eidétique, cette capacité que beaucoup considèrent comme un mythe, de pouvoir assimiler et retenir des informations, vues ou entendues, très rapidement et de façon efficace. Naturellement, cela l'avait été durant toute sa scolarité à se hisser dans les salles de classes. Mais loin d'être une petite génie dénigrant les autres, Jess se faisait très rapidement des amis en aidant ces derniers dans leur apprentissage.
Très sociable et gentille, pleine de vie, Jess croquait par ailleurs cette dernière à pleines dents surtout que ses parents étaient assez laxistes de ce point de vue. Âgée tout juste de 17 ans, Jessica avait depuis longtemps perdu le compte des garçons avec qui elle avait vécu des relations plus ou moins longues, plus ou moins sérieuses, allant de l'amourette d'adolescente au plan cul d'un soir. Elle enchaînait les conquêtes en assumant sa réputation de croqueuse d'hommes, même si ses parents s'en inquiétaient néanmoins, et c'était la raison de la présence de Jessica au Japon, du moins en partie.

Du fait de ses très bons résultats dans son lycée de Sidney, Jess s'était vue proposée de participer à ce programme d'échange de lycéens avec Mishima, une grande métropole du Japon, car elle serait l'occasion de rivaliser avec les Japonais dont la réputation de grandes têtes pensantes persistait dans l'imaginaire collectif. Malgré le fait d'être séparée de leur fille pendant une année scolaire complète, les parents de Jess avaient approuvé ce projet d'amener leur fille un peu trop sulfureuse dans un pays mondialement connu par ses traditions strictes.
En y repensant, Jessica se marrait bien, car ce lycée était loin d'être le modèle de pureté que l'on croyait en Australie.
Jess n'était là que depuis deux semaines, et partageait une chambre avec une autre lycéenne qui lui servait de guide, alors elle n'avait pas encore eu le temps elle même de pratiquer la faune locale, vu que son emploi du temps avait été plutôt bien chargé. L'adaptation à un nouveau lycée, à une nouvelle culture, à un nouveau langage dont elle maîtrisait toutefois de bonnes bases, tout cela avait suffisamment occupé son esprit pour qu'elle n'aie pas en tête de "partir en chasse", selon ses propres mots.
Depuis deux à trois jours toutefois, maintenant qu'elle commençait à prendre ses marques, le fait qu'elle n'aie pas baisé depuis un bon moment se rappela à elle. Pas mal de garçons flashaient sur elle, son côté exotique et les formes de son corps avaient de quoi faire bander n'importe qui. Mais comme elle était au Japon, Jess s'était déjà fixée un petit défi à relever, et ce défi, il se trouvait sur un bureau assis à quelques mètres d'elle, alors qu'elle prenait des notes, et ce n'était pas un lycéen.
Monsieur Tagashira, un jeune prof, l'écart entre eux était probablement de moins de dix ans, et Jess avait flashé sur lui malgré le peu de nombre d'heures de cours qu'elle avait eu avec. Mais il était sympa, le type même du jeune prof qui se veut proche de ses élèves pour les faire réussir, et surtout contrairement à pas mal de ses collègues il était canon.
Et puis séduire un prof, c'était une chose qu'elle voulait tenter maintenant qu'elle se trouvait dans un pays étranger. C'était très hasardeux, mais Jess était ainsi, à défaut de trouver du challenge dans ses études, elle devait le trouver ailleurs pour ne pas mourir d'ennui. Son occasion d'approche s'était présentée d'elle même, quand il lui avait demandé de rester à la fin des cours. L'emploi du temps des professeurs n'étant pas un secret, Jessica n'avait eu qu'à jeter un coup d'oeil à son planning pour voir qu'il n'avait pas d'autres classes après la leur, et elle serait donc seule avec lui dans une salle de classe située dans un troisième étage généralement désert à ces horaires là.
C'était juste trop parfait pour passer à côté.

Alors, quand la sonnerie retentit, Jess se rapprocha du bureau alors que la salle se vidait peu à peu, elle esquissa un sourire bienveillant envers cet homme qu'elle avait un peu de mal à considérer comme un vrai prof, vu son allure physique attrayante.

Merci professeur...enfin...Senseï pardon. Je m'en sors très bien je dois dire, j'avais déjà quelques bases de japonais avant de venir dans le coin, et je les ai perfectionnées avant de venir. Je ne saurais pas vous tenir la conversation pendant des heures sur un sujet philosophique mais...well, je me débrouille.
C'est sympa de votre part de vous en soucier d'ailleurs. Mes autres professeurs ont l'air un peu irrités de ma présence. Ils ne le font pas savoir bien sûr mais...well, je suppose que l'étrangère fait tâche dans leur salle de classe je me trompe ?

Prenant ses aises, Jessica s'était alors assise sur une des tables faisant directement face au bureau de Monsieur Tagashira. Le but avoué de Jess, c'était de tirer avantage du peu de longueur que la jupe de son uniforme possédait. Elle se demandait sincèrement comment les Japonais pouvaient être aussi coincés dans leurs rapports au sexe, et dans le même temps donner des uniformes à leurs lycéennes qui étaient célèbres de par le monde entier tant ils étaient l'objet de fantasmes. On ne voyait pas la naissance de sa culotte, pas encore, par contre ses cuisses elles définitivement, en plus du décolleté qu'offrait sa chemise un peu trop serrée pour acceuillir sa poitrine. Le lycée devait encore lui en fournir une à sa taille, mais Jess n'était pas pressée pour ainsi dire...surtout pour offrir une jolie vue à un bel homme comme lui.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 27 mai 2014, 00:15:28
Eiki faisait preuve d’une certaine forme de naïveté vis-à-vis de ses élèves, ce qui était d’autant plus troublant qu’il avait déjà lu des mangas avec des profs couchant avec leurs élèves, les kidnappant pour les enfermer le soir dans leur garage, et leur faire subir moult sévices destinés à en faire des esclaves sexuelles, qui venaient ensuite chez lui en masse pour lui faire l’amour. Pour lui, tout cela relevait du domaine de la fiction, mais, à sa manière, Eiki était un jeune professeur réformateur. Il s’insurgeait contre l’esprit conservateur japonais qui, depuis des siècles, gangrénait toutes les couches de la société japonaise, que ce soit d’un point de vue scolaire... Ou même familial. Il était un pur produit de la nouvelle génération japonaise, celle qui se passionnait pour les jeux vidéos, les mangas, les geeks, adorait surfer sur le Web, voir des images de chats, et lire des mangas à bride abattue. Eiki était la forme contractée d’Eikichi, et il se comparait souvent à Eikichi Onizuka dans sa manière d’enseigner. Certes, il ne comptait pas se mettre à poil avec un éléphant en peluche autour du zob’ pendant ses cours, ni faire des bras-de-fer avec ses élèves, mais il essayait de développer une autre approche. Le jeune homme ne connaissait pas encore suffisamment Mishima pour savoir que ce lycée ne fonctionnait pas du tout comme dans les autres lycées, où la mentalité scolaire était, à peu de choses près, similaire à celle que Pink Floyd critiquait avec férocité dans son Another Brick In The Wall... Oui, Eiki aimait aussi le rock. Il voulait se rapprocher de ses élèves, en tout bien, tout honneur, car il estimait que c’était le mieux pour eux.

Plutôt que de s’asseoir sur une chaise, Jessica s’assit sur une table, près de lui, ce qui offrit à Eiki une vue plongeante sur ses cuisses. Il en fut légèrement surpris, mais préféra l’entendre parler. Elle lui indiqua que tout se passait globalement bien, mais lui confirma ses inquiétudes sur certains de ses collègues :

« C'est sympa de votre part de vous en soucier d'ailleurs. Mes autres professeurs ont l'air un peu irrités de ma présence. Ils ne le font pas savoir bien sûr mais... Well, je suppose que l'étrangère fait tâche dans leur salle de classe je me trompe ? »

Eiki cligna lentement des yeux en la regardant. Elle était au-dessus de lui. Il aurait été un professeur conservateur, il lui aurait sèchement dit de s’asseoir sur une chaise, mais Eiki ne voulait pas de cette image rigide et castratrice. Sur ce point, Mashi était d’accord avec lui. Cependant, vu sa hauteur, même en essayant de la regarder juste dans les yeux, il était impossible de ne pas loucher sur ses seins, sur ce chemisier trop serré qui faisait ressortir encore plus ses seins. Eiki s’humecta la gorge en baissant les yeux sur ses feuilles, et chercha le dossier scolaire de Jessica. Ses mains tremblèrent nerveusement, et, quand il releva la tête, ce fut pour voir à nouveau ses belles cuisses.

*Seigneur !*

Difficile de chasser cette vision de sa tête. Qu’est-ce qui lui arrivait ? Eiki, à son corps défendant, avait également été chamboulé par son déménagement, et n’avait pas eu l’occasion de jouir à nouveau, et ce d’autant plus que, par un terrible coup du sort, à chaque fois qu’il s’était retrouvé seul pour le faire, Mashi l’avait appelé. Alors, voir cette beauté, là, sous son nez...

« Hum... Oui, tu as raison, Jessica, mais... Il ne faut pas que ça te choque, tu comprends ? Malheureusement, notre système éducatif est encore... Je ne devrais pas dire ça devant des élèves, mais il faut parfois dire ce qu’il en est. Tu le verras par toi-même, certains compatriotes n’aiment pas les étrangers. Ce n’est pas la majorité, Jessica, et ce n’est sûrement pas ce que je ressens ! »

Il tenait à le préciser.

« Tu as des notes excellentes, et je dois dire que je suis assez surpris de ta capacité à maîtriser si rapidement notre langue. C’est une chance de t’avoir ici, vraiment... Tu maîtrisais déjà quelques notions de japonais, avant ? Je dois t’admettre que tu es la première étrangère que je vois qui maîtrise aussi rapidement les rudiments de notre langue ! Je te félicite pour ça ! »

Il était sincère dans son approche, mais, en la regardant, son regard loucha sur ses seins pendant quelques secondes. Si étroits... Encore un peu, et il lui demanderait pourquoi elle avait un chemisier aussi court, mais... Ce n’était pas le genre de choses qu’on demandait aux jeunes filles. De plus, Eiki en connaissait la raison. Les uniformes scolaires avaient différentes tailles, mais, généralement, on proposait une version standard. Or, de manière générale, les Japonaises avaient de petits seins... Mishima semblait être une exception, mais les standards des uniformes étaient les standards académiques, généralement fixés sur ceux de Tokyo.

« En tout cas, si jamais un professeur insiste trop là-dessus, Jessica, tu ne dois pas... Hésiter à m’en parler. »

Le pire était en train de lentement se produire, car Eiki commençait à ressentir un fourmillement entre ses cuisses. Il n’avait pas encore une érection, mais... Disons que ça commençait à pousser.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le mardi 27 mai 2014, 11:29:28
Jessica avait toutes ses chances avec ce prof. Le bon vieux coup de se mettre en position suggestive était un indémodable d'efficacité pour permettre de jauger le terrain sans prendre trop de risques, car après tout Monsieur Tagashira demeurait un Japonais, et il n'avait pas l'air d'être le genre à chercher ouvertement à séduire ses élèves. Alors Jess voulait tâter le terrain pour voir si il y avait malgré tout matière à exploiter, et effectivement il y avait, ces regards appuyés sur les parties découvertes de son corps ne trompaient pas, elle était à son goût et Monsieur Tagashira, son Senseï, essayait tant bien que mal de ne pas loucher sur ses formes mais ne pouvait pas faire autrement, pas avec cette beauté qu'elle était.
Jess souriait à ce constat, satisfaite que sa "cible" ne soit pas hors de portée. Coucher avec l'un de ses profs, c'était un fantasme qu'elle n'avait jamais réalisée car l'archétype du prof sexy et sympa, elle n'en avait encore jamais croisée, du moins jusqu'à aujourd'hui. Son Senseï était jeune, mais en même temps suffisamment âgé pour qu'il y aie le charme de l'homme plus vieux, et cette barbe de trois jour qu'il portait à la façon d'un bouc, sa pilosité faciale qui changeait des imberbes de lycéens avec qui elle avait l'habitude de faire ses aventures...oh il y avait tellement de choses qu'elle trouvait sexy chez lui. Jess le dévorait du regard, mais son prof était bien trop occupé à contrôler son propre désir pour s'en rendre compte, et le fait de se sentir désirée ainsi, un désir interdit contre lequel il luttait mais qu'il avait secrètement envie de transgresser tant son corps allait le lui réclamer.
Oui tout cela était vraiment délicieux, c'était un ensemble de circonstances, de petits trucs mis ensembles qui rendaient la situation délectable. La chaleur de cette fin de journée, le fait qu'il soit prof et elle son élèves, le fait qu'elle soit une étrangère bien différente des filles qu'il avait pu croiser, le fait qu'il la désire secrètement tout en essayant de le refouler, tandis qu'elle même était en train de très subtilement l'aguicher. C'était un jeu, un délicieux jeu. Jess était presque certaine qu'elle pourrait y mettre aisément un terme, mettre un terme à cette attente en lui sautant dessus, mais jouer était une part tellement excitante de son approche qu'elle voulait continuer. Voir son prof tenter de lutter contre son envie de la prendre, contre les images qui devaient se dérouler dans sa petite tête, c'était juste trop bon de s'en savoir l'unique responsable. Et puis sentir son regard se poser sur ses merveilleuses courbes...

Oh je n'en suis pas choquée Senseï, je m'y attendais un peu à vrai dire, c'est de notoriété publique que les Gaijin ne sont pas accueillis à bras ouverts. Mais du moment que ça se limite à de l’agressivité passive, je saurais m'en accommoder. Et puis, c'est agréable de voir que tous ne sont pas comme ça, très agréable.
Quand à mon niveau de japonais et mes notes, et bien disons que j'ai une sorte de don. Ils appellent ça la mémoire eidétique, j'ai une capacité à mémoriser et retenir ce que je vois et entends qui est, d'après ce que tout le monde me dit, impressionnante. Alors bon, dans ces conditions là, faire des études est un peu plus facile. Le désavantage est que parfois les cours ne me passionnent pas car je connais déjà sur le bout des doigts l'intégralité du programme, mais avec vous je dois avouer que je n'ai pas ce problème, vous rendez vos cours tellement que c'est un vrai plaisir de venir.
Mais merci pour le compliment, ça me touche beaucoup Senseï.

Le complimenter ainsi sur ses cours lui semblait une excellente façon de se rapprocher un peu plus de lui. Il ne faisait aucun doute que c'était un jeune prof, fraîchement muté pour une de ses premières classes, si ce n'est la première, et qu'il se donnait du mal pour faire des cours intéressants. Jess remua un peu aussi sur la table où elle s'était installée, faisant mine de se mettre un peu plus à l'aise, mais remontant en réalité encore un peu plus les plis de sa jupe diablement courte, afin que Monsieur Tagashira puisse enfin apercevoir la naissance de sa petite culotte blanche.

Je dois avouer que le Japon est fondamentalement différent de ce qu'on peut trouver à Sidney. Le climat y est moins chaud, ça a peut-être à voir avec nos différences de mentalités. En Australie nous sommes, pour la plupart, moins ancrés dans ce traditionalisme qu'ici, plus directs, moins...coincés si j'oserais dire. Mais vous sortez par contre du lot on dirait. Cela fait depuis longtemps que vous êtes dans cette ville ?
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 27 mai 2014, 13:45:03
Il l’écoutait parler silencieusement, en essayant de se concentrer sur ce qu’elle disait, et uniquement sur ce qu’elle disait, mais... Quand le loup est dans la bergerie, il y reste. Le fruit était en train de croître, et Eiki sentait cette tension croître au fur et à mesure que cette femme parlait. Le monde actuel était terrible pour les professeurs, car les élèves étaient maintenant bien plus alertes que dans les années précédentes. Grâce à l’explosion d’Internet, n’importe quel adolescent pouvait, en quelques secondes, obtenir ce qu’il y avait à savoir sur la sexualité. Les adolescentes étaient bien plus mâtures, compliquant les schémas classiques. Si certaines restaient toujours de simples petites filles, et si on aimait se dire qu’elles étaient toutes ainsi, dans les faits, elles étaient maintenant bien plus ouvertes à la sexualité, et c’était vrai au Japon. Eiki le savait, tout comme il savait qu’il ne devait pas succomber aux tentations. Il était un professeur, un homme digne, un homme qui avait pour mission d’éduquer ces jeunes gens, pas les corrompre physiquement. Il se sermonnait intérieurement, écartant et remuant ses jambes pour empêcher cette tension de croître, au fur et à mesure que Jessica parlait, et qu’il lui était impossible de croiser son regard sans loucher sur cette poitrine... Or, plus il louchait dessus, et plus il s’imaginait tirer sur cette chemise, arracher cette dernière, et palper cette généreuse poitrine en soupirant de plaisir, en pinçant ses tétons, et en satisfaisant ses longues pulsions refoulées. Il sentait son sexe tirer son pantalon, remuant dessous, provoquant cette irritante démangeaison que d’habiles hommes d’affaires dissimulaient grâce à leurs manteaux quand il voyait leur secrétaire dans des jupes ultra-courtes, ou leur chef dans un tailleur coupé qui leur donnait envie de la défoncer sur son bureau, entre l’écran d’ordinateur et le téléphone fixe.

Elle lui avoua avoir une mémoire eidétique, et il hocha la tête.

« Ah oui, je vois... » glissa-t-il alors.

On appelait ça plus familièrement la mémoire absolue, et c’était généralement, pour les élèves, un fantasme absolu. Ne pas avoir à passer des heures à réviser toutes les équations mathématiques, toutes les dates en Histoire, l’apport critique de tel ou tel texte... Cette femme continuait à parler, et, sans pouvoir se l’expliquer, Eiki adorait la manière dont elle parlait, la façon dont ses lèvres remuaient, cette voix mielleuse, pleine d’innocence, chargée de cette délicieuse voix féminine. Il avait probablement dix ans de plus qu’elle, mais il avait bien du mal à voir en elle une simple jeune femme à peine issue du collège. Diable, ses seins étaient bien plus gros que ceux de Mashi ! Elle termina en disant que les cours ne la passionnaient généralement pas, mais que les siens faisaient exception.

Un sourire humble traversa les lèvres d’Eiki. Venant de sa bouche, ce compliment avait une toute autre signification... Car elle venait de dire qu’elle le trouvait plaisant et agréable, et qu’elle aimait bien suivre ses cours. Sa tension s’accrut. Eiki le professeur laissait la place à Eiki le jeune puceau qui fantasmait secrètement sur les belles femmes, et qui, comme tout homme ayant du mal avec sa sexualité, peinait à régler ses problèmes de virilité et de frustration, et fantasmait dès qu’une femme lui faisait un compliment... C’était un phénomène encore plus marquant au Japon, où la sobriété était de norme, et où il était mal vu de dire des compliments en public. Eiki était assez déstabilisé par cette femme attachante et proche, qui se rapprocha un peu plus de lui, se trémoussant sur place, comme pour chercher un autre appui. Il prit peur qu’elle ne se mette à glisser, mais elle avait une bonne prise sur sa table... Et il vit alors la petite culotte blanche de la femme... Et se racla la gorge en baissant les yeux. Dans l’inconscient populaire collectif, les Japonais étaient fans des petites culottes... Et Eiki ne pouvait pas nier queça l’attirait. C’était, après tout, le sous-vêtement le plus intime d’une femme. Il avait déjà enfilé, en secret, les culottes de Mashi, mais il le faisait rarement, car, quand il le faisait, son sexe se tendait, et il finissait par jouir. Il avait déjà Sali la belle culotte rose à dentelles de Mashi comme ça, et l’avait foutu au sale. Il rêvait de lui acheter une guêpière, de la lingerie féminine à dentelle, et bandait toujours en l’imaginant dedans... Mais Mashi restait désespérément éloignée du sexe... Et là, devant lui, il y avait une succube qui se rapprochait délicatement de lui, avec cette petite culotte blanche, avec ses longues jambes fuselées, avec cette grosse poitrine sur laquelle n’importe quel Japonais fantasmerait automatiquement, et ce d’autant plus qu’elle était bien à l’étroit dans ce chemisier...

Sa tension continua à le malmener, et il était de plus en plus tentant d’aller se masturber. Malheureusement, Jessica ne semblait pas devoir écourter leur entretien, et poursuivit, de cette petite voix qui le faisait frémir :

« Je dois avouer que le Japon est fondamentalement différent de ce qu'on peut trouver à Sidney. Le climat y est moins chaud, ça a peut-être à voir avec nos différences de mentalités. En Australie nous sommes, pour la plupart, moins ancrés dans ce traditionalisme qu'ici, plus directs, moins... coincés si j'oserais dire. Mais vous sortez par contre du lot on dirait. Cela fait depuis longtemps que vous êtes dans cette ville ? »

Il lui sourit, relevant sa tête, pour planter ses yeux dans son regard. Elle était étrangement familière, mais, curieusement, ce n’était pas pour lui déranger.

« Je... Hum,... Non, je viens de Tokyo, en fait... C’est ma première mutation ici. Seikusu est une grande ville, mais je dois bien t’avouer que, par rapport à la folie que représente Tokyo, c’est... Bien plus reposant ici. »

Minute... Ne l’avait-il pas tutoyé juste à l’instant ? Merde, merde, merde ! Notre homme devait se maîtriser, mieux se calmer. Il fallait qu’il arrive à calmer cette vigueur avant que cette femme ne le voit, mais elle était tellement proche, tellement proche qu’il pouvait presque sentir son odeur, et qu’il était de plus en plus tentant de tendre sa main pour caresser sa jambe, glisser sur cette belle peau, qu’il imaginait incroyablement douce et tendre. Eiki remua légèrement sur place, n’osant pas se relever, car Jessica aurait alors vu son érection, elle aurait vu une bosse qui était en train de tirer sur son pantalon, malmenant sa ceinture.

« Et... Comment est-ce que tu trouves Seikusu ? Mis à part... Ces relents traditionnels, la ville est agréable, non ? La mer à côté, la forêt, les montagnes... C’est un endroit charmant. »

Il essayait de noyer le poisson, en étant paradoxalement attiré par une double envie : celle que cette femme s’en aille, et celle qu’elle reste, afin qu’il puisse se délecter de ce spectacle qu’elle lui offrait.

C’était terrible.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le mardi 27 mai 2014, 17:35:18
C'était vraiment cute, dans un sens, de voir son prof ainsi se démener avec des désirs inavoués et inavouables pour une de ses élèves, alors que cette même élève est en train de le chauffer de façon très décomplexée et naturelle. Monsieur Tagashira avait beau avoir le bas de son corps camouflé par son bureau fermé, Jess n'avait aucun mal, vu la façon dont il remuait sur son fauteuil, à imaginer qu'il devait être en train de sévèrement bander, et que du coup ses vêtements le mettaient dans une position inconfortable.
C'était plutôt rare chez un homme d'arriver à conserver une telle apparence de sang froid au vu des circonstances, si Jess n'avait pas été très attentive à tous ces signes, si elle n'était pas activement en train de les chercher à chaque moment, alors elle ne s'en serait probablement pas rendue compte. Mais son prof la matait c'était indéniable, comment pouvait-il en être autrement ? Jessica lui foutait son entrejambe sous le nez presque, avec l'envie qu'il regarde, se délècte de ce spectacle qu'elle lui offrait gratuitement.
Malgré tout Eiki semblait tout de même en émoi pour pas grand chose. Certes elle prenait des positions assez suggestives, mais elle ne s'était pas foutue à poil pour autant, mais la réaction, qu'il cachait certes bien, de son prof laissait suggérer deux choses: soit il était sacrément en chien, soit il avait peu voire pas de vie sexuelle réelle...soit les deux de ces possibilités en même temps. Vu le rapport très particulier que les Japonais avaient vis à vis de leur sexualité, tout était possible. Était-il vraiment possible que ce beau mec soit un puceau ? Il n'en menait pas large face à elle, et il n'aurait probablement pas réagi comme ça si il avait une expérience avec les femmes.
Était-il vraiment possible que son prof soit vierge ? Si c'était le cas, alors ce serait la cerise sur ce gâteau.

Il lui avoua être originaire de Tokyo, muté ici depuis peu, probablement tout aussi nouveau qu'elle dans ce lycée et dans le domaine de l'éducation. Mais surtout il se mit à la tutoyer. Oh my...un prof japonais se mettant à tutoyer une de ses élèves ? Eux tellement à fond sur le protocole pourtant, Jessica s'en amusa de voir qu'elle l'émoustillait à ce point, mais ne fit nullement de remontrances à ce changement. En Australie pas mal de professeurs aimaient tutoyer leurs élèves et permettaient à ces derniers de faire de même, une façon de briser la glace des deux côtés.
Tout ce petit manège était fort excitant, mais comme tout préliminaire, il fallait savoir quand commencer à passer aux choses sérieuses. Jess sentait bien que son prof devait quand même pas mal approcher du point de rupture, et que si elle continuait trop il trouverait une excuse pour écourter cet entretien, le remettre à un autre jour, pour aller se soulager. Ce n'était pas ce qu'elle avait comme plan, elle voulait "le" soulager, une nuance très importante qu'elle n'avait pas l'intention de laisser filer.

C'est très différent de Sidney, un peu plus froid, je suis d'avantage habituée aux températures très chaudes. Par contre c'est vrai qu'en terme de végétation, c'est beaucoup plus fourni, et c'est sans nul doute la même chose par rapport à Tokyo. pas besoin de porter de masque pour contrer la pollution hein ?

Elle lui souriait, tout en se redressant de la table pour contourner le bureau, et, mine de rien, se poser sur le bureau lui même, juste à côté de son prof. Là ce dernier se demanderait probablement à quoi elle était en train de jouer, surtout avec ce petit sourire en coin qui illuminerait son visage.

Vous savez Senseï, je vous trouve particulièrement posé pour quelqu'un qui se trouve devant une élève en train de l'allumer sans vraiment s'en cacher. Vous devez quand même vous sentir particulièrement à l'étroit dans votre pantalon non ? Vous ne voulez pas que je...m'occupe de ce petit problème, hum ?

Sa vois était douce, mielleuse, mais surtout ses divines cuisses étaient maintenant vraiment à portée de main de son prof. Est-ce qu'il allait franchir le pas ? Oserait-il ?
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 27 mai 2014, 18:23:20
Eiki était tout simplement trop naïf pour s’imaginer qu’une lycéenne viendrait le draguer ouvertement, et il était encore ancré dans ses propres schémas. Dans son éducation, il y avait un véritable fossé entre les élèves et le professeur, et l’idée de draguer ses profs ne l’avait jamais séduite. Il pensait que toutes ces histoires autour de Mishima, cette réputation sulfureuse, ces élèves qui tombaient enceinte, n’étaient que du folklore local, et n’étaient, en rien, fidèles à la réalité. Eiki manquait de sens pratique, et, surtout, d’un véritable esprit seikusien. Il craignait juste que Jessica ne s’horrifie en voyant un prof’ avoir une érection, elle qui cherchait juste à se renseigner sur le Japon. Même là, il refoulait cette voix,e n lui, qui lui disait qu’elle avait envie de se faire sauter, et ce en se disant que cette voix n’était que l’expression du fantasme de l’être primal et barbare qui vivait en lui, ce primate fou furieux qui se croyait irrésistible. Eiki savait que les femmes étaient plus éduquées que ça, et il ne voulait pas que son nom figure dans un tabloïd. C’était son retour à Tokyo qui était en jeu, son mariage avec Mashi, et autant d’autres promesses délicieuses. Le senseï voyait bien que son érection ne diminuait pas, car il avait de plus en plus de mal à regarder autre chose que les cuisses de cette femme, que sa culotte, qui hantait son esprit, et, alors qu’il cherchait une excuse, il vit alors la femme descendre de sa table, et pénétrer dans l’espace vital du professeur, pour s’asseoir sur son bureau.

« Mais qu’est-ce que... ?! » commença-t-il à dire.

Elle lui avait posé une question concernant le fait de porter des masques pour se protéger de la pollution. C’était une mode que certains adolescents japonais avaient, mais, effectivement, le Japon n’était pas la Chine, où l’air était tellement vicié que, comme à Mexico, les gens devaient porter des masques pour se protéger de la toxicité de l’air. Il entendait lui répondre quand elle s’était rapprochée, et avait une vue superbe sur son entrejambes. On voyait une légère bosse, et Eiki referma les jambes, en essayant maladroitement de se rapprocher de son bureau, mais, visiblement, Jessica n’était pas dupe. Elle avait ce sourire sur les lèvres, cette lueur amusée, et Eiki se surprit à rougir.

L’Australienne était maintenant si proche qu’il lui suffisait de tendre la main pour toucher ses seins, pour en apprécier la rondeur, pour les palper... Que faisait-elle ? À quoi jouait-elle ? Comme pour éviter de le laisser poireauter inutilement, Jessica intervint alors, sur un ton plus langoureux :

« Vous savez Senseï, je vous trouve particulièrement posé pour quelqu'un qui se trouve devant une élève en train de l'allumer sans vraiment s'en cacher. Vous devez quand même vous sentir particulièrement à l'étroit dans votre pantalon non ? Vous ne voulez pas que je...m'occupe de ce petit problème, hum ? »

Eiki écarquilla des yeux, et se redressa subitement, repoussant sa chaise, qui heurta le mur, et il la regarda... Les jambes de la femme étaient proches des siennes, et, dans sa tête, une image perverse s’empara : la jambe de cette femme qui remonterait pour caresser son sexe, pour le masturber.  Il se rappelait de cette scène, à la bibliothèque universitaire... Ils devaient faire un exposé sur le shogunat Tokugawa, et il était face à cette fille, une belle femme avec des lunettes carrées et des cheveux bouclés. Elle frottait ses jambes l’une contre l’autre, et il avait bandé en s’imaginant sa jambe remonter entre les siennes, le bout de sa chaussure venant le masturber. Eiki avait battu en arrière en filant aux toilettes, et s’était frénétiquement astiqué le poireau, jusqu’à se décharger contre le mur. Proprement, il avait tout nettoyé avec du papier toilette.

Là, il était pris en faute, et, comme un ado surpris par sa mère en train de jouir contre sa culotte (Eiki avait une obstination certaine pour les culottes), se mit à paniquer.

« Jessica, voyons ! Ce... Ce n’est pas du tout ça, c’est juste que… Euh… Enfin, comment peux-tu imaginer ça ? Je suis professeur, Jessica ! Et... C’est juste que... »

Il ne pouvait tout de même pas lui sortir l’excuse des toilettes ! Fort heureusement, sous la panique, la pulsion sexuelle qui le traversait s’atténuait, s’effondrant sous la peur, réelle, elle, de voir les journalistes briser sa carrière, et son mariage s’envoler. La colère d’Eiki ne faisait que manifester sa peur.

« Sors d’ici, Jessica ! Maintenant ! »

Sa tension s’atténuait, oui, mais il bandait toujours, et, tout en lui disant ça, il ne put s’empêcher de loucher sur sa généreuse poitrine.

Elle était si belle !
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le mardi 27 mai 2014, 19:59:12
La réaction de Monsieur Tagashira fut aussi brusque qu'elle avait été prévisible, aussi Jessica ne s'était-elle nullement laissée démonter ou décourager par cet ordre de quitter la pièce, qu'elle n'avait absolument pas l'intention de prendre en considération à cet instant là. On entrait dans la phase sans nul doute la plus délicate du jeu, celle où Jess pouvait se faire méchamment lourder, et voir toutes ses chances de conclure avec son prof s'évaporer pour de bon.
Avant de se lancer, Jessica avait fait quelques petites recherches sur le web, notamment par le biais du compte Facebook que son prof possédait. Elle savait pourquoi il avait une telle réaction, il avait une petite amie dont il avait semblé plutôt amoureux, mais dont le profil correspondait pas mal à ce type de japonaises assez strictes. Toutes ces analyses dont elle avait été capable le concernant sortaient de ces quelques recherches qu'elle avait faites, un travail préliminaires à son approche dans le but d'en savoir le plus possible. Il y avait fort à parier que son prof était très amoureux de sa petite amie, et qu'il ne voulait pas qu'une histoire avec une de ses élèves soit rendue publique, et foute ses projets en l'air.
Tout ça, Jessica y avait murement réfléchi. Si Monsieur Tagashira ne s'était pas montré aussi intéressé sans qu'il ne veuille l'admettre, alors tout ceci n'aurait été ni plus ni moins qu'une banale conversation, et Jessica n'aurait pas poussé le bouchon plus loin en se résignant. Mais là, alors qu'il était debout et lui ordonnait de sortir, il ne pouvait pas s'empêcher de lorgner sur son opulente poitrine, et Jess quand à elle pouvait maintenant voir, vu la bosse au niveau de son entrejambe, qu'il bandait comme un taureau. Il le voulait, il était juste effrayé que la chose soit rendue publique, que Jess, adolescente qu'elle était, ne l'ouvre un peu trop et soit indiscrète, que leurs éventuels ébats n'arrivent dans des oreilles indiscrètes. Jess le comprenait, si il tenait à sa petite amie ses craintes étaient normales, fondées, lorsqu'elle s'était assise quelques minutes auparavant sur cette table elle s'était préparée psychologiquement à ce que cela ne donne rien. Mais là, ce n'était pas le cas. Monsieur Tagashira avait juste peur, mais une autre partie de lui rêvait de se taper Jess. Et après tout pourquoi pas ? Jessica était une vraie bombe qui en plus mettait en valeur ses atouts physiques, en plus de ne pas être une bimbo complètement décérébrée, mais au contraire une élève particulièrement douée.
Belle et intelligente, qui ne craquerait pas pour elle ?

Elle conserva donc son sang froid quand Monsieur Tagashira se leva brusquement de son siège, en lui demandant sèchement de partir. Il ne la giflerait pas, ce n'était pas son genre, mais elle savait qu'elle avait néanmoins jouer finement ce coup là pour espérer l'emporter.
Son coup le plus redoutable fut d'ôter sa chaussure, maintenant que son prof était debout et lui faisait face, et son pied emitouflé dans une longue chaussette blanche, alla alors se mouler sur le sexe de son prof. Ses doigts de pieds à hauteur de là où se trouvait le bout, le gland, elle les plia pour en épouser approximativement la forme, et très délicatement elle le caressa avec son pied. Dans cette position très suggestive, ce n'était pas un bout de sa culotte que Monsieur Tagashira pouvait voir, car la jeune femme poussa le vice jusqu'à écarter un peu son autre jambe, et lui laisser cette fois une pleine vue sur ce sous-vêtement qu'il semblait tant chérir.

Calmez vous Senseï, s'il vous plait. Je n'ai pas l'intention de foutre votre vie en l'air, ce n'est pas mon genre, je ne suis pas une crazy bitch. Là...détendez vous, respirez, ce qui se passe là personne ne le saura, vous en avez ma parole, je suis aussi silencieuse qu'une tombe quand il s'agit de ce genre de problèmes.

Sa voix était douce, elle était calme, mais un peu de désir se traduisait par les quelques légers tremblements qu'elle émettait alors qu'elle continuait à lui caresser son sexe avec son pied. Son pied, il semblait d'ailleurs le prendre à ce moment là. C'était bien, la flamme de ce plaisir l'aiderait à accepter ses arguments avec plus de facilités.

Vous me mentez et m'insultez en disant que vous ne me désirez pas Senseï vous savez ? Vous bandez comme un taureau, et vous adorez ce que je suis en train de vous faire. Et c'est normal, parce que je suis très douée pour ça.

En effet Jessica remuait son pied avec une délicatesse et une dextérité qui n'étaient possibles que par l'expérience. Masturber un homme en usant de ses pieds était un art bien plus délicat qu'avec les mains, mais la jeune lycéenne était sacrément douée. Là. Elle faisait renaître en elle ce désir pour elle, la peur s'atténuait, mais n'était pas encore effacée, hors elle devait lui porter le coup de grâce, afin que seul reste le désir. Elle retira alors doucement son pied qu'elle glissa à nouveau dans sa chaussure, puis Jessica se redressa et s'approcha de son prof, qui la toisait un peu par sa taille, et pour ne pas lui laisser de répit posa ses deux mains sur la bosse de son pantalon, moulant son sexe dans un délicieux cocon chaud qui remuait doucement.

Je sais ce que vous devez vous dire. Je ne suis qu'une adolescente, je suis très sociable, alors je finirais forcément par l'ouvrir à un moment ou à un autre et là c'en sera fini de votre carrière ? Scandale et tout ce qui va avec, c'est ce que vous craignez ? Cela n'arrivera pas Senseï. Je n'ai pas l'intention de m'imposer dans votre vie. Tout ce que je veut, c'est un plan cul, rien de compliqué ou de dramatique, et vous me plaisez en plus de ne pas me traiter comme un parasite.

Même au travers du pantalon, Jessica sentait son membre, dont elle devinait la taille plus qu'honorable, pulser sous ses doigts. Là il devait vraiment ne pas être en position confortable. Elle se permit un sourire rassurant et...coquin.

Dites, il va falloir qu'on s'occupe de ça quand même, ça doit vous faire mal. Si vous voulez prendre un peu le temps de la réflexion pour ce que je vous propose, à savoir une relation décomplexée et sans fioritures, juste de la baise, ça me va, pas besoin de me donner immédiatement de réponse. Juste...laissez moi vous donner un avant-goût pour que je puisse défendre mon cas okay ? Vous allez de toutes façons devoir vous branler sous peu Senseï...vous êtes certain de ne pas vouloir savoir ce que ça fait avec une autre main que la vôtre ? Promis, que les mains, rien d'autre.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 27 mai 2014, 21:08:39
Dans sa vie de geek convaincu à l’Occident, Eiki était aussi un fin cinéphile, un homme qui appréciait beaucoup les films occidentaux et japonais. D’ailleurs, bien des films occidentaux étaient souvent des remakes de films japonais. Ici, il avait l’impression d’être dans la peau de Keanu Reeves, défiant le Diable, campé sous les traits d’Al Pacino, dans L’Associé du Diable. À la fin du film, Al Pacino tentait de corrompre Reeves en lui offrant une succube, et ce dernier parvenait à tenir. Face à Jessica, Eiki était dans la même situation. Il savait qu’il ne devait pas céder, qu’un prof’ ne devait pas coucher avec ses élèves. Il n’avait pas envie de réformer l’institution pour ça ! C’est vraiment ce qu’il essayait  de se dire, mais, quand Jessica retira sa chaussure, la faisant rapidement glisser, et qu’il vit cette longue chaussette blanche recouvrant à la perfection ses doigts de pied, Eiki déglutit. Quand elle remonta son pied, et le glissa entre ses jambes, Eiki ferma les yeux.

L’Associé du Diable fut délaissé par un mélange torride et intense entre Basic Instinct, L’Empire des Sens, et Lolita. Le professeur n’en menait pas larhge.

« Jessica... Non... » murmura-t-il faiblement.

La femme ne sembla même pas l’entendre, et il soupira, entrouvrant ses lèvres, sentant ce pied remuer le long de sa virilité, accroissant cette dernière, réveillant son érection. L’homme tremblait sur place, nerveux, et se mordilla les lèvres, peinant à se retenir. Il tremblait, et sa main vint caresser instinctivement cette jambe. Dans sa tête, il s’agissait de la retirer, mais, quand il sentit contre ses doigts cette fine chaussette blanche... Tout ce qu’il put faire, ce fut de serrer, et de remuer lentement ses doigts, d’éprouver ça, de ressentir ce pied glisser contre sa virilité, l’excitant tendrement. Ses yeux retournaient fixement sa poitrine, oscillant entre ses seins et sa bouche, cette belle petite bouche qui prononçait des mots si jolis. Elle lui assurait de ses intentions, qu’elle ne cherchait pas à piéger, et il soupira quand elle avoua que ce n’était qu’un plan cul, mais... C’était ça le problème ! Dans l’esprit romantique d’Eiki, il ne s’offrirait qu’à une seule femme. Préserver sa pureté, pour ce jeune geek, était comme une épreuve. Il fallait résister à la tentation, afin de s’offrir à sa princesse, et de perdre ainsi ensemble leur pureté. C’était un rêve tellement bon ! Pouvait-il vraiment y renoncer pour un vulgaire plan du cul ? Il y avait la peur de se faire prendre, bien sûr, mais aussi ça... Ce n’était pas ce qu’il voulait, ce n’était pas ce qu’il était censé faire. Sa conscience lui disait que ce n’était pas bien, qu’il valait mieux que ça, qu’il pouvait résister aux charmes envoûtants de cette belle poupée, qu’il devait la tenir par les épaules, la repousser, et être ferme, en lui disant que, bien qu’elle soit charmante, son devoir passait devant son plaisir personnel.

Il entendait cette voix dans sa tête... Elle lui ordonnait de le faire, sur un ton impérieux, péremptoire, mais, alors qu’il savait qu’il devait le faire, son regard se fixa sur cette culotte blanche. Jessica avait écarté ses jambes, soulevant encore sa petite jupe, et il voyait désormais son intimité, sa vulve sous cette dernière. Un fin tissu blanc, si intime... Eiki déglutit, des fourmis remontaient dans ses doigts, et il ferma les yeux. Le jeune vierge ne pouvait pas lutter. Il n’était pas un Keanu Reeves motivé défiant le Diable, rien de plus qu’un jeune professeur en proie à ses pulsions, et dont les propos mielleux de la femme devant lui agissaient comme de délicieuses bombes, l’excitant chaudement, le confortant dans ses choix. La voix de la conscience laissait place à une autre voix, se voulant plus rassurante.

*Ce n’est que l’amour entre deux êtres consentants...
Mais elle est mineure !
Pas d’un point de vue purement sexuel, Eiki, tu le sais aussi bien que moi. Pourquoi te refuser ? Mashi ne le saura jamais, et... Pense-y. Que dirait Mashi, si, lors de votre première nuit, tu te révélais impuissant ?
*

Les idées fusaient dans sa tête, l’embrouillaient, et, en filigrane, il revoyait la bouche de Jessica s’arquer en cul-de-poule tandis qu’elle lui disait des moits incroyablement pervers, des mots qui, au lieu de l’énerver (ça, c’est ce qu’il essayait de se convaincre), l’excitaient furieusement. « Plan cul », « vous bandez comme un taureau »... Elle l’avait comparé à un taureau ? Vraiment ?! Eiki avait toujours pensé qu’il avait un petit sexe, le genre de petits flingues qui feraient rire les filles... Mais la manière dont ses doigts de pied ondulaient sur sa verge, de bas en haut. Il resserrait les jambes en la laissant venir, et relâcha ses mains sur sa jambe quand elle se redressa, venant alors directement le masturber, l’acculant contre le mur. Eiki se recula prudemment, mais son dos heurta le tableau, et il vit cette femme se rapprocher, entrant dans son cercle de proximité. Elle avait remis son pied dans sa chaussure, et il avait brièvement vu les souliers, avant de loucher, encore, sur la poitrine de cette femme,e t de croiser son regard.

Son sexe commençait à lui faire mal, et elle se remit à lui parler, voulant le convaincre de se laisser faire, lui assurant qu’elle se contenterait juste de le masturber.

« Vous allez de toutes façons devoir vous branler sous peu Senseï...vous êtes certain de ne pas vouloir savoir ce que ça fait avec une autre main que la vôtre ? Promis, que les mains, rien d'autre. »

Que les mains... Déjà les mains ! Eiki se pinça les lèvres en s’imaginant cette femme abaisser son pantalon, et lemasturber... Non, non, le branler, comme elle avait dit ! Dans sa tête, ce mot était bien plus délicieux ! Il imaginait déjà la scène, Jessica à genoux, le masturbant tendrement, lui assurant qu’il avait une queue énoooooooooooorme, et le faisait jouir contre son visage, avant de le lécher, et, et...

*Mais qu’est-ce qui t’arrives ?! EIKI !*

Soupirant, l’homme posa alors chacune de ses mains sur les épaules de Jessica, serrant ce chemisier, soulevant un peu ce dernier, et planta son regard dans ce dernier.

« Jessica... Il... »

Il voulait lui dire qu’il ne fallait pas le faire, mais ses doigts tremblaient, et son sexe lui faisait mal. Mais il ne pouvait pas s’y résoudre, tout simplement ! Eiki n’arrivait pas à le dire ! La voix de sa conscience tonnait comme un murmure dans sa tête, et les images s’emparaient de son esprit. Son regard oscillait sur la délicieuse poitrine de la femme, et il soupirait, ses pouces glissant sur son chemisier. Impossible... Où qu’il regarde, que ce soit sa bouche, son nez, son cou, ses joues, ses cheveux, son torse, et, évidemment, ses seins, Eiki ne voyait qu’un appel au sexe, un appel à la débauche. Comment avait-il fait pour se retrouver dans cette situation ? Il s’humecta à nouveau les lèvres.

« Je... », murmura-t-il.

Il pensait à Mashi, mais aussi à ses seins qui se frôlaient contre lui. Sa bouche voulait dire « Non », mais tout son corps disait « Oui », un « OUI » fort et généreux, alors que son érection était terrible, durcissant à nouveau, lui faisant un mal de chien.

« A... Arrête, ça... Ça me fait mal... » gémit l’homme.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le mardi 27 mai 2014, 22:05:53
Ouais, il devait vraiment être amoureux pour continuer à protester dans de telles circonstances. Jess l'avait suivi alors qu'il avait reculé, et il était maintenant coincé entre un mur et elle, qui s'était forcément un peu plus rapprochée de lui pour faire fonctionner sa chaleur corporelle. Il hésitait, clairement son esprit devait être le lieu d'un combat intense entre ses convictions et son envie de plaisir charnel, ce qui faisait surtout peut à Jessica c'était que sa raison prenne le pas, qu'il la repousse, ce serait le pire des scénarios envisageables car alors là elle était certaine que plus jamais il n'oserait lui adresser la parole. Alors elle faisait jouer ses délicates mains, pressait sa ferme, ronde, et opulente poitrine contre son torse afin qu'elle envahisse aussi son champ de vision. Elle ne pouvait pas rivaliser sur l'affectif, de ce point de vue là la petite amie de Monsieur Tagashira avait un avantage qu'elle ne pouvait contrer, mais sur le physique, et le plaisir qu'elle pouvait prodiguer, là était son point fort, il fallait juste arriver à faire pencher la balance dans son sens.
Mais ce n'était pas chose aisée, il résistait, au lieu de juste docilement se laisser porter. Jessica ne lui voulait pourtant vraiment aucun mal, elle n'allait pas parader dans les rues en hurlant à tout le monde qu'elle couchait avec son prof, elle n'allait pas envoyer de mail à sa petite copine pour la narguer en disant que son chéri la trompait avec une de ses élèves. Non rien de tout ça, elle voulait juste...elle voulait juste baiser avec un mec qui la faisait craquer, sans qu'aucun des partis concernés ne se retrouve impliqué dans des histoires rocambolesques. Roméo et Juliette, ce n'était vraiment pas son trip. Certes le fait de briser un tabou en couchant avec un prof, c'était un peu chercher la merde, elle devait se le concéder ça, mais ça se limitait à ça, beaucoup d'histoires étaient plus compliquées, contenaient plus de bullshit que ce qu'elle avait en tête. Les mecs des fois eux aussi pouvaient se révéler tellement compliqués.

Une soupçon de panique s'empara d'elle quand Monsieur Tagashira, Eiki, posa ses deux mains sur ses épaules. Il avait eu l'intention de la faire s'écarter, mais comme pour la fois où il avait posé sa main sur sa jambe pour essayer de lui faire arrêter de le caresser avec son pied, il se trouvait bloqué au contact de son corps, car tout ceci était juste bon, et qu'il ne pouvait pas nier le plaisir qu'il était en train de ressentir.
Putain cette respiration lourde, ces regards qui n'arrêtaient pas de loucher sur ses formes, et cette verge qui était aussi dure que de l'acier maintenant, il lui fallait combien de signes supplémentaires pour qu'il comprenne qu'il avait juste besoin de baiser là ?

*Me repousse pas...putain me repousse pas...*

Mais il n'avait pas la force de la repousser, pas l'envie et la volonté de le faire. Au fond de lui, Monsieur Tagashira savait qu'il n'avait pas grand chose à perdre et pas mal à gagner, que Jessica n'était pas une infâme pute qui balancerait tout aux médias. Alors, quand il déclara qu'il avait mal, et Jess le croyait sur parole, alors elle décida d'agir. Ses mains remontèrent vers sa ceinture qu'elle défit, puis elle s'attaqua avec dextérité au bouton et à la fermeture éclair de son pantalon, qu'elle empoigna ensuite en même temps que le boxer qu'il portait et abaissa le tout à hauteur de ses cuisses, elle n'eut ensuite qu'à laisser la gravité faire pour que le tout tombe aux chevilles de Monsieur Tagashira.

Là...ça va mieux ?

Le sexe de son prof était maintenant à l'air libre, et surtout il était fourré contre la chemise rouge de Jessica, tapant juste à l'endroit où se situait son nombril. Jess interrompit alors toute tentative de protestation en posant vite un index sur les lèvres d'Eiki, le regardant droit dans les yeux.

Chuuuuuut. Ce n'est plus le moment de parler ou de réfléchir, c'est le moment d'apprécier.

Elle hésita quelques instants, puis elle approcha son visage du sien pour aller déposer un bisou sur sa joue, et en se retirant le gratifia d'un sourire qui se voulait rassurant, du moins elle l'espérait. Alors elle entama ce mouvement que son prof avait du fantasmer depuis tout à l'heure, elle se baissa, se mit à genoux devant lui, son visage se trouvant alors pas très éloigné de ce sexe tendu et qui pulsait, comme un être animé de conscience qui voulait qu'on s'occupe de lui.
Délicatement alors, Jess approcha sa main droite, et entoura ce bâton de chair dure avec ses doigts de fée, et entama ses premiers mouvements. Elle pressait sa verge avec ses doigts, juste que qu'il fallait pour que sa prise soit ferme mais agréable, et entamait ce mouvement que Eiki avait du faire à de nombreuses reprises, sauf que cette fois ce n'était pas lui même qui le faisait, mais bel et bien une jeune fille diablement sexy, et qui savait s'y prendre.

Détends toi. Là. Doux. C'est bon tu ne trouve pas ?
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 28 mai 2014, 00:47:56
Eiki était véritablement partagé, mais, plus le temps passait, et plus ce partage s’écroulait... Il s’effondrait derrière des pensées obscures. Mashi... Même sa petite amie, sa fiancée, n’était plus un moyen capable de repousser les charmes de Jessica. Ses mains sur ses épaules étaient faibles, et il sentait son corps se blottir contre le sien, ses seins, ses délicieux seins lourds et opulents, heurter son torse. Il avait envie de glisser ses mains dans son dos, de caresser cette chute de reins, de descendre le long de son corps pour atteindre son bassin... Oh oui, cette idée dominait en lui, mais il la repoussait, partagé, balancé. Jessica sentit son hésitation, mais elle était tellement belle... La regarder était une torture, mais il ne pouvait pas non plus fixer obstinément le plafond. Son regard s’abaissa pour croiser celui de cette femme. Elle avait de superbes yeux émeraudes, magnifiques, et restait blottie contre lui, tellement belle, tellement, tellement... Il avait envie de l’embrasser, de la pousser, de la prendre contre le bureau, et de... De fourrer sa queue en elle, de la baiser sèchement, de la prendre, de l’entendre hurler, hurler, et hurler !! Elle voulait le corrompre, le perturber, l’envoyer dans les cercles infernaux ! Il n’arrivait plus à la repousser, et, quand il sentit ses mains défaire la boucle de sa ceinture, il soupira, fermant les yeux. Ses mains se crispèrent sur son chemisier.

Elle tira sur la ceinture, la retirant comme un serpent dans des cliquètements métalliques, puis défit les boutons de son pantalon, appuyant sur son sexe, qui continua à se tendre, à enfler, à lui faire mal. Eiki ferma les yeux, et soupira. Il sentit les mains de la femme se crisper sur son pantalon, ses ongles filant sous son boxer, et elle l’abaissa. Il soupira faiblement, l’arrière de sa tête venant heurter le tableau, et son sexe jaillit à l’air libre, heurtant alors une texture différente que l’intérieur cousu de son pantalon : la chemise de la femme. Le bout de sa verge heurta cette surface chaude et tendre, et glissa, se redressant légèrement.

« Là...ça va mieux ? » demanda-t-elle, de cette voix mielleuse et irrésistible.

Le professeur déglutit, peinant à parler, et cligna des yeux. Son sexe à l’air libre, son pantalon qui était descendu à hauteur de ses cuisses... Non, rien n’allait, il ne se contrôlait plus, ne revoyait plus en lui ce professeur calme et sage, ce professeur qui, tout en étant proche de ses élèves, arrivait quand même à s’en écarter. C’était horrible, horrible, horrible tant c’était bon. La réalité, c’était tout simplement qu’il adorait ça ! Il en voulait plus, tellement plus, il ne désirait qu’une seule chose, qu’elle continue ce qu’elle était en train de faire, et ses lèvres remuaient, comme pour essayer de lui répondre... Mais, comme si elle le sentait, elle posa alors un doigt sur ses lèvres.

Il déglutit silencieusement, tandis qu’elle lui disait de ne rien dire, de se taire, et de se laisser aller. Elle retira son doigt, et l’homme, en clignant lentement des yeux, remua lentement la tête. Eiki n’arrivait plus à se concentrer, il n’arrivait plus à réfléchir, il ne pensait qu’à sa verge qui lui faisait mal, et, quand elle se pencha vers lui, il crut qu’elle allait l’embrasser, mais, au lieu de ça, elle déposa juste un chaste baiser sur sa joue... C’était le moment d’apprécier, et il déglutit, se préparant à apprécier. L’homme soupira faiblement, et la vit ensuite tomber à genoux devant lui.

*Oh, oh mon Dieu !!*

Est-ce qu’elle allait bien faire ce qu’il pensait qu’elle allait faire ? Il ne pouvait pas y croire ! Elle était là, là, , à genoux, devant lui ! Le jeune homme sentait sur son sexe le souffle précipité de la jeune femme. Il ferma les yeux en la sentant. Si proche, si proche... Son membre remuait, tapotant près de son visage, et il baissa les yeux, ne voulant rien rater de ce spectacle. Il avait la gorge sèche, comme s’il avait une soif incroyable, et se pinçait lentement les lèvres, avant de les ouvrir de respirer, puis de les refermer. La femme alla alors palper son sexe, et, au contact de cette main froide sur sa virilité, l’homme soupira.

Sa queue n’avait jamais été aussi tendue que maintenant, et il en avait mal, sacrément mal. Un foutu mal de chien ! Aussi, quand elle se mit à serrer ses doigts dessus, et à remuer sa main, l’homme soupira lentement. Il passa une main sur ses cheveux courts, et l’autre vint taper contre le mur, ses doigts se crispant.

« Haaa... »

Son membre turgescent était tendu vers la femme, dur, douloureux.

« Détends toi. Là. Doux. C'est bon tu ne trouves pas ? » lui demanda-t-elle alors.

Il fallait bien noter qu’Eiki était un jeune vierge un vierge qui n’avait quasiment aucune expérience sexuelle, qui connaissait sa petite amie depuis des années, mais sans jamais avoir eu droit à autre chose que quelques baisers volés. Toute une frustration explosait en quelques secondes, fusant comme si une bombe atomique venait d’hurler entre ses jambes.

« Je... Jessica, haaaa... Jessica… »

Il ne parvenait qu’à répéter son nom, comme s’il était aplati par ça. Sa tête oscillait entre le plafond et le visage de cette femme, son corps agenouillé, ce corps délicieux et langoureux, ce corps magnifique et sensuel, ce corps divin et angélique. C’était une succube, oui, sasuccube, son Ange des plaisirs interdits, une Lilith qui était en train de le corrompre ! Impossible de lui résister.

« Jessica, je, je... »

Il n’avait jamais joui aussi vite, même quand il avait enfilé la culotte de sa bien-aimée. Dans un sursaut, Eiki tendit sa main, et empoigna les cheveux de la femme, afin qu’elle ne retire pas son visage, et son sexe se retrouva face à ses lèvres. Il adorait qu’elle masturbe sa queue... Non, qu’elle la branle. Ses doigts remuaient le long de cette masse, s’occupant divinement de son sexe, et c’est en pensant à ça, en pensant à ses doigts qui filaient sur lui... Qu’il jouit contre ses lèvres.

Objectivement, c’était minable. C’était une éjaculation précoce. Elle n’avait même pas pu le masturber plus de vingt secondes avant qu’il ne jouisse. La première fois, c’était toujours un pétard mouillé. On se disait qu’à force de stocker, on tiendrait comme un étalon, mais c’était comme un moteur qui faisait des ratés. À force de rester au garage, il démarrait au quart de tour, et explosait en route. C’est ce qui venait d’arriver à Eiki. Quand il sentit la vague venir, et que sa semence éclata, il soupira, et sa tête heurta plus violemment le tableau, provoquant un choc sonore, tandis que ses doigts, pendant d’infimes secondes, se crispèrent sur les cheveux de la femme.

Sa première fois... La première fois qu’il jouissait face à une femme.

« Désolé..., lâcha-t-il alors, devinant de là sa déception, qu’il ne pouvait qu’imaginer en voyant cet étalon se dégonfler comme un asthmatique tenter le 500-mètres. Pour un plan cul, c’est plutôt minable, hein ? »
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le samedi 31 mai 2014, 14:11:50
Dans ses rêves, dans la façon dont elle avait fantasmée ce moment, Jess aurait aimée que Eiki lui résiste moins en pensant à sa petite amie, et que cette première "rencontre" aille plus loin, beaucoup plus loin qu'une simple branlette terminée en moins d'une minute. Dire que Jessica n'était pas un peu déçue serait mentir, mais ce n'était pas la fin du monde, juste un fantasme qui ne trouverait pas encore sa réalisation cet après-midi. Si elle en avait douté elle en était maintenant certaine, Monsieur Tagashira avait beau être en couple avec une femme, cette dite femme ne lui avait jamais rien fait, et son prof était aussi puceau que certains de ses élèves.
Jessica l'avait senti venir, et heureusement qu'elle avait revu ses attentes grandement à la baisse, car elle s'était alors préparée à ce que Eiki ne tienne pas longtemps entre ses doigts. Il avait posé sa main sur ses cheveux, sur sa tête, Jess appréciait ce contact d'ailleurs, mais surtout quand elle le sentit se raidir elle comprit à temps que le point de rupture arrivait, d'autant qu'il se mettait à répéter frénétiquement son nom. Jess avait alors approchée ses lèvres de l'extrémité de son pénis, juste à temps pour recevoir une première giclée de sperme dessus avant qu'elle ne les ouvre, pour receuillir sa semence bien au chaud dans sa bouche.
Monsieur Tagashira se tendit, se plaquant contre le tableau, en proie à un degré de plaisir qu'il n'avait sans doute jamais ressenti. La différence était  après tout très grande entre le plaisir solitaire, et le plaisir prodigué par une femme, surtout une femme aussi attirante que Jessica. Elle recceuillit tout le sperme que Monsieur Tagashira ne manqua pas d'expulser, directement dans sa bouche, qu'elle gardait ouverte tout en continuant à le branler frénétiquement pour accompagner pleinement sa jouissance. Lorsqu'il eu fini, et qu'il exprima son ressenti quand à sa performance, Jessica le regarda dans les yeux tout en ayant la bouche grande ouverte, la jeune femme n'avait pas encore avalée la semence et elle se mit à jouer avec sa langue, le montrant directement à son prof pendant quelques secondes. Ses lèvres se fermèrent ensuite, et elle déglutit avant d'ouvrir à nouveau sa bouche, montrant à Eiki qu'elle venait de tout avaler.

Première fois qu'une femme vous touche Senseï ? C'est normal alors, c'est différent et autrement plus intense quand c'est fait par quelqu'un d'autre. Oups...il y en a un peu qui m'a échappé.

En effet un fin filet de sperme coulait encore depuis le côté droit de ses lèvres, cela lui revint alors qu'elle sentait ce liquide encore chaud et gluant commencer à couler. Elle en récupéra en passant son index sur sa peau, et en jetant un regard sulfureux à son prof, elle prit le dit index dans sa bouche pour le sucer audiblement, et avaler tout ce qu'il restait.

Vous savez Senseï, je ne m'étais pas attendue à ce que vous soyez vierge. Je veux dire, vous êtes beau, et beaucoup des filles de vos cours craquent sur vous. Enfin...désolée, je serais bien allée plus loin mais je vous ai promis qu'on s'arrêterait à ça le temps que vous me donniez une réponse.

Jessica se releva alors, et commença à s'éloigner en reculant, en faisant toujours face à son prof bien à moitié dénudé. Si il n'avait pas été tant pris par le doute, Jess aurait été certaine qu'il aurait pu la prendre là, dans cette sale de classe. La poser sur une de ces tables en la soulevant, et glisser sa queue en elle tout en la déshabillant. Elle espérait juste que cette brève vision de son esprit ne serait pas qu'un fantasme.

Par contre, avant que je ne parte, j'ai un dernier petit cadeau à vous donner.

La jeune femme glissa alors ses deux mains sous sa jupe, et là, juste devant son prof, elle retira sa culotte, la faisant glisser le long de ses divines jambes pour l'enlever. Le tissu était un peu mouillé par endroits, mouillé par l'excitation qu'avait éprouvé cette jeune femme, et elle déposa ce sous-vêtement, objet de fantasmes, sur le bureau de Monsieur Tagashira.

Si jamais vous ressentez de nouveau le besoin de vous soulager, en pensant à moi.

Elle lui adressa alors un petit clin d'oeil, avant de prendre son sac et de quitter la classe, non sans offrir quelques derniers petits mouvements de déhanché.
Le reste...le reste viendrait à l'issue de cette soirée. Jessica avait de nouveau cours avec Monsieur Tagashira le lendemain, aux mêmes horaires... peut-être saurait-elle alors sa réponse.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 31 mai 2014, 15:22:03
Il aurait du se sentir horrifié. Seigneur, qu’avait-il fait ?! Il avait joui avec cette femme ! Il avait joui dans sa bouche, éjaculé en elle ! Il avait eu un rapport sexuel avec une lycéenne, et, si Eiki voulait se dire qu’il avait été forcé, le sperme dans la bouche de Jessica disait le contraire. Il aurait du se sentir horrifié, oui... Pour autant, s’il y avait quelque chose qu’Eiki ressentait en ce moment, c’était de la honte. Il approchait de la trentaine, et était toujours vierge... Un sale puceau qui avait joui en moins d’une minute dès que Jessica avait posé sa main sur son membre. Un taureau, avait-elle dit en décrivant son érection. Si c’était le cas, alors il était un taure asthmatique et grabataire, un pauvre âne qui s’essoufflait au bout d’un demi-tour de piste. Il s’attendait à la voir rire, mais, au lieu de ça, elle le regardait, la bouche grande ouverte, avec un liquide blanc en elle... Son sperme. Elle allait le recracher ? Ce devait être infect... Pour autant, dans sa tête, Eiki entendait une voix perverse lui demander de l’avaler. Il voulait voir Jessica boire ça, boire ce sperme, boire ce liquide. Comme si elle avait entendu son appel elle referma alors ses belles lèvres, et il l’entendit ingurgiter. Son sexe qui venait de jouir lui fit à nouveau mal, et Eiki n’osait souffler mot. Elle rouvrit ensuite les lèvres, et Eiki déglutit à son tour, excité comme jamais. Il aurait du se sentir horrifié, en effet, mais, bien au contraire, il n’avait qu’une envie : recommencer. Recommencer, et lui montrer qu’il était un taureau, que ça n’avait été qu’un faux-départ. Aurait-il eu plus d’expérience qu’il l’aurait effectivement violemment prise contre le mur. Tout son corps appelait à le faire, et ce qui le retenait n’était pas son sens du devoir, envolé en même temps que sa semence, mais tout simplement sa peur de la décevoir, sa peur de ne pas être à la hauteur. La réputation des Japonais n’était pas fausse quand on voyait Eiki. Ils étaient de piètres amants sexuels, et Eiki venait de le prouver. Une succube venait de le prendre, et il savait qu’elle allait partir, qu’il ne la reverrait plus. Ce moment entre eux serait une parenthèse, rien de plus.

Elle lui prouva encore sa perversion, en attrapant avec son doigt un filament de sperme, le suçotant ensuite de manière exagérée. Le professeur déglutit à nouveau, les mains tremblantes, son pantalon continuant à glisser sur le sol, son sexe pointant misérablement devant lui. Elle continua à lui parler, et il baissa lentement les yeux, avant de les fermer, tentant de reprendre son souffle. Il avait envi de dire quelque chose, mais il ne savait pas quoi lui dire.

*Tu n’aurais jamais du faire ça, Jessica.
Ce que j’ai fait est mal, et je suis désolé, Jessica.
J’aime une autre femme.
Fais-moi l’amour, n’arrête pas, pas maintenant !
*

Les idées se mélangeaient, des pensées contradictoires, mais son sexe, lui, ne mentait pas, et continuait encore à vouloir défier la gravité. Cette femme était-elle venue ici juste pour le tenter ? Il aimait Mashi, sincèrement, et il savait que, si jamais cette dernière apprenait ce qu’il venait de faire, elle lui en voudrait. À chaque fois qu’ils essayaient de faire l’amour, elle le repoussait, faisant preuve d’arguments judicieux. Un homme ne devait-il se résumer qu’à être un sexe ambulant ? L’amour devait dépasser le simple attachement matériel. Mashi ne voulait pas de sexe avant le mariage, car elle se refusait à se protéger, ou à utiliser des moyens de contraception. Et elle se refusait à être enceinte avant le mariage. De plus, avec ses études de droit, elle était souvent très occupée. Que venait-il de faire ? Il venait de la trahir, voilà ! Il venait de succomber à ses bas-instincts ! Mais comment refuser à une telle femme ? Jessica aurait pu le forcer, elle aurait pu insister, et il savait qu’il aurait succombé, qu’il aurait perdu sa virginité avec elle si elle le lui avait demandé. Il était prisonnier entre ses griffes, mais, pour une raison qui lui échappait, elle ne voulait pas profiter de son avantage pour porter le coup de grâce.

Pas totalement, en tout cas. Alors qu’il s’attendait à la voir partir, elle s’arrêta alors, et il la vit glisser ses mains sous sa jupe.

« Jessica, que... »

Il la vit alors tirer sous sa jupe, et vit sa belle culotte blanche filer le long de ses belles jambes fuselées, ses jambes qu’il avait envie d’embrasser, de serrer et de tenir. Il était incapable de parler, et il la vit poser la culotte sur le bureau.

« Si jamais vous ressentez de nouveau le besoin de vous soulager, en pensant à moi. » précisa-t-elle alors, avec un clin d’œil appuyé.

Eiki déglutit, serrant le poing, en voyant cet objet posé sur son bureau. Elle s’en alla ensuite, roulant des hanches, ce qui ne lui échappa pas, et son regard s’attarda sur les plis de sa jupe, essayant de voir ses fesses. Il avait assez peu parlé, la gorge sèche, et resta là, contre le tableau, pendant une petite dizaine de secondes, son regard se fixant sur sa culotte. Sa culotte... Lui se glissant dans les sous-vêtements de Mashi. Elle était blanche, fine, et légèrement trempée. Le senseï déglutit à nouveau, et alla l’attraper, d’une main tremblante, et se surprit à l’humer. C’était l’odeur intime d’une fille,e t son sexe recommença à lui faire mal, à se redresser et à se tendre.

« Haaa... »

Ce fut plus fort que lui, presque automatique. Il savait qu’elle était partie, et il glissa la culotte dans ses doigts. Fine, douce, chaude... Comme avec Mashi. Il frotta son sexe, qui ne tarda pas à retrouver sa raideur, et remua, d’avant en arrière, faisant glisser la culotte le long de son sexe. Son érection revint en force, son sexe lui fit à nouveau mal, et la culotte glissait le long de cette barre de chair. Yeux clos, la tête basculée légèrement en arrière, Eiki s’abandonnait, sans pouvoir se retenir.

« Jessica, Jessica... »

Il la revoyait à genoux, avalant son sperme. Est*-ce que ça avait été un rêve ? Il se sentait coupable de s’être refusé à elle, mais elle lui avait laissé sa signature, un souvenir indélébile. Il lui fallut moins d’une minute pour jouir à nouveau, contre cette culotte. Il s’y frottait tendrement, son sperme éclaboussa cette dernière. Eiki soupira à nouveau, et rouvrit les yeux, la respiration rapide, haletante, son cœur remuant sauvagement dans sa poitrine.

*Merde...*

Il contempla cette culotte. Son sperme avait encore plus sali cette dernière. Il aurait pu la jeter, mais c’était le genre de trucs à le perdre. Si quelqu’un la retrouvait... Et puis, il ne voulait pas la lâcher. Jessica le lui avait offerte. Il la contempla silencieusement, avant de se passer une main sur le front.

*Merde, merde, merde, qu’est-ce que je viens de foutre, là ?! Putain, Eiki !*

Il ne pouvait pas rester ici. Les gens finiraient par se poser des questions, et un élève retardataire pouvait toujours arriver par le couloir... C’était peu probable, certes, mais, quand on venait d’être masturbé par l’une de ses élèves, on avait pas forcément les idées claires. Il s’attendait presque à voir la police débarquer, afin de l’arrêter pour pédophilie. Eiki remit rapidement son pantalon, et considéra à nouveau la culotte... Puis la glissa dans sa serviette, et se dépêcha de sortir, fermant la salle à clef derrière lui.

*
*  *

Nu, étalé sur le lit de son petit studio à la lisière de la Toussaint, Eiki contemplait silencieusement le plafond. Sa main lui faisait mal, et il la déposa sur le lit, reprenant son souffle. Son ordinateur portable était allumé à côté de lui, et il l’attrapa. Ses mails, Facebook, un coup d’œil sur les parutions ciné... On aurait cru une soirée normale pour lui, si ce n’est qu’il était nu, et venait de jouir pour la troisième fois. En cause, cette culotte qu’il serrait entre ses doigts. Il s’était promené sur Facebook, et avait vu que Jessica avait un compte... Ce qui, en soi, n’était pas surprenant. Elle avait pas mal d’amis, probablement des individus d’Australie. C’était assurément comme ça qu’elle avait obtenu ses informations. Le profil Facebook d’Eiki, bien que sobre, mentionnait le fait qu’il était en couple, et pas mal de ses photos le montraient en compagnie de Mashi. On les voyait notamment en train de voyager d’un bout à l’autre du Japon, comme en allant à Yasukuni-jinja.

Mashi était en train de lui parler sur Facebook. Il aurait pu se connecter sur Skype, mais... Honnêtement, il n’avait pas envie que Mashi le voit en étant torse nu, avec de la sueur coulant le long de son visage. Mashi avait eu une journée longue, et désirait savoir si tout s’était bien passé au lycée :

Citer
J’espère que tes élèves ne te font pas trop souffrir !
Je survis en pensant à toi, ma chérie.
Je suis désolée de ne pas être venue te voir ce week end, mais c’est la folie en ce moment à la fac’. J’ai des travaux à faire sans arrêt, je vais finir par croire que mes profs veulent me tuer !
Je te comprends tout à fait, c’est la galère, ce genre de trucs.

Mashi ne semblait avoir rien remarqué, et il la mit à nouveau en pause. Vingt minutes plus tard, il recommençait à se masturber, et le sperme jaillit à nouveau, fusant.

Demain, il avait cours avec la classe de Jessica, en fin de soirée. Ce cours l’angoissait pour ça. Il s’imaginait rentrer dans la salle, et voir, inscrit sur le tableau, des messages terribles. Les gosses pouvaient être terribles, et les filles bavardes. De temps en temps, il suivait le compte Facebook de Jessica, mais, n’étant pas ami avec elle, il ne voyait pas grand-chose. Il craignait qu’elle le poste sur son statut : « S’est tapée un professeur puce, LOL ! ». Elle lui avait dit qu’elle n’était pas comme ça, mais ce n’était pas parce qu’une fille le disait qu’on pouvait se mettre à la croire sur parole, pas vrai ? Il était méfiant.

Et il avait sa culotte, surtout.

*
*  *

Deux heures du matin, et il n’était pas foutu de dormir. Il s’était à nouveau relevé. Eiki fumait peu, car Mashi ne supportait pas le tabac, et lui-même cherchait à arrêter. Même en étant muté à Seikusu, il n’avait pas fumé, mais, là, là... C’était trop fort. Il sortit dehors, ouvrant la porte menant à son balcon, en caleçon, une cigarette nichée sur ses lèvres, et l’inhala en réfléchissant. Son cerveau carburait à la vitesse d’un avion à réaction cherchant à faire le tour du monde. Il était dans la merde, voilà ! Il s’était tapé une élève. Il n’y avait pas eu de rapports, pas de pénétration, mais il y avait son sperme sur sa culotte ! Et probablement la mouille de cette fille. Rien qu’à y penser, Eiki sentait l’excitation lui revenir à l’esprit, remontant le long de son corps, l’attaquant et le titillant.

Cette culotte infernale était comme une idole démoniaque qu’il devrait brûler. Pas de preuve, pas de traces... Mais, à chaque fois qu’il l’attrapait, il ressentait cette douceur, il revoyait cette poitrine ferme, il revoyait les délicats doigts de Jessica faire glisser sa culotte le long de ses magnifiques jambes, il revoyait son sourire, ses mots angéliques, son ton de consolation, il la revoyait se presser contre lui, le piégeant contre le tableau, l’embrasser, et ensuite... Il avait passé sa putain de soirée à jouir en la revoyant masturber sa queue, l’astiquer comme une saloperie de poireau qu’il devrait se découper !

*Qu’est-ce qui déconne avec moi ? Pourquoi est-ce que je bande comme ça ?*

Son sexe était encore tendu, revenant à l’assaut à chaque fois.

*
*  *

Il se réveilla plus tôt que prévu, et passa une partie de sa matinée à nettoyer cette culotte, dans la mesure du possible. Comment un simple objet, un simple morceau de tissu, pouvait à ce point l’exciter ? Les hentaï et les dessins animés se faisaient plaisir à montrer des enchaînements de culottes en rafale. Eiki connaissait le Japon, c’était son pays, et il connaissait la loi. On pouvait tout montrer dans un dessin animé, sauf les parties génitales. Pour contourner ce problème, les dessinateurs faisaient donc des sous-vêtements suggestifs, moulant ainsi l’intimité des femmes, afin de contourner la censure. Quand Eiki voyait cette culotte, il ne voyait pas qu’un simple morceau de vêtement suscitant son côté féministe, il l’imaginait aussi sur le corps de la belle. On désirait toujours ce qu’on ne voyait pas, et c’était vrai pour les Japonais. Eiki n’était rien de plus qu’un Japonais normal, prédestiné à une vie classique. Il aurait un rapport sexuel avec Mashi, et, une fois cette dernière enceinte, ils en resteraient là. Dans la culture japonaise, la femme s’occupait énormément du bébé, et il était fréquent que le couple dorme avec le bébé dans la même pièce. Difficile de s’envoyer en l’air dans ces conditions.

Sa vie avait été toute tracée jusqu’à ce qu’il rencontre cette femme. Jessica... Le simple fait de prononcer son nom dans sa tête, de la voir remuer ses hanches, avec ce corps insupportable, lui donnait des crampes.

Il allait retourner en cours, oui... Mais, avant ça, il s’était essayé au port de cette culotte. Il se tenait dans sa salle de bains quand il l’avait fait. La culotte était étroite, mais il pouvait l’enfiler. Sa verge dépassait, et il avait bandé comme un cochon, balançant sa crème contre le mur. Il avait regardé cette texture, ce liquide en train de dégouliner, et s’était rappelé Jessica en train d’avaler son sperme. Il avait hésité... Mais il avait fini par sortir son papier-toilette, et par nettoyer le mur, puis par jeter l’ensemble dans la canalisation. Il enfila ensuite ses chaussettes, sa chemise, mit sa cravate, et posa ses mains vers la culotte, comme pour la retirer... Mais, sans pouvoir se l’expliquer, il en était incapable. Elle était si tendre entre ses mains.

*Ne fais pas ça, Eiki, ne fais pas ça...*

La voix de sa conscience était aussi forte qu’un discret murmure, et il l’abandonna dans les tréfonds de sa conscience en laissant la culotte ainsi, et en mettant son pantalon par-dessus. Il se rendit ensuite vers le lycée, avec cette culotte trop serrée, et, dès qu’il arriva au lycée, il se masturba à nouveau dans les toilettes, prenant grand soin de vérifier qu’il était bien seul.

La journée serait longue et revoir Jessica l’effrayait autant que ça l’excitait.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le samedi 31 mai 2014, 16:08:40
Jessica avait pour sa part passé une soirée un peu moins mouvementée que celle de son prof, mais elle n'avait pas été exempte de questionnements pour autant. Il lui avait fallu peu de temps pour finir les exercices qu'elle devait rendre pour le lendemain, alors forcément, son esprit se trouva empêtré dans cet after. Jessica n'était pas certaine de son coup à présent, elle aurait probablement du pousser son avantage quand elle en avait eu l'occasion, et ne pas laisser à Eiki le temps de la réflexion. Certes elle lui avait laissée un petit cadeau, qui ferait probablement son effet, mais Jess n'était plus certaine que ce qu'elle avait fait allait porter ses fruits.
Et si il décidait de la repousser ? Et au passage de bien la saquer tout au long de l'année pour le lui faire payer ? c'était un truc auquel elle n'avait pas songée et que pour le coup elle se voulait d'avoir été aussi cruche. L'histoire, la matière enseignée par Monsieur Tagashira, était aussi l'une des options qu'elle avait prise avec un haut coeficient de notes. Pas le plus haut des matières qu'elle avait certes, les Maths passaient au dessus, mais quand bien même ça pouvait en partie foutre en l'air ses bulletins, le dossier qu'elle préparait pour ses futures études.
Pour le coup, Jessica elle aussi était en train de s'inquiéter. Monsieur Tagashira n'avait pas l'air d'être en temps normal ce genre de prof à noter en fonction de la tête de ses élèves, seulement voilà, c'était un homme amoureux, et elle était la responsable d'un gros écart de conduite chez lui. Dans ces circonstances, on pouvait très bien faire une exception pour une élève ayant voulu mettre en péril le bonheur conjugal de son couple. Il n'avait pourtant pas été contre ce qu'elle avait fait, elle était même certaine que jamais il n'avait kiffé quelque chose à ce point, seulement voilà, ce n'était peut-être pas son point de vue à lui, et c'était là tout le problème.

Le lendemain matin, Jessica du prendre une bonne dose de vitamines pour se maintenir en forme, car si elle était parvenue à dormir un peu, elle était loin d'avoir fait une nuit complète, sans compter qu'en plus le cours d'Histoire ne serait pas avant la fin de la journée, de quoi ajouter un peu plus à la torture qui la suivrait tout du long.
Jessica se montra moins sociable qu'à l'accoutumée, ce que les quelques amis qu'elle avait malgré tout réussi à se faire remarquèrent rapidement, elle leur sortit une excuse bidon comme quoi elle était un peu malade, mais rien d'assez grave pour justifier une absence du lycée qui était assez strict sur ce sujet.
Globalement les cours se passèrent, et même un peu trop vite car Jess anticipait un peu le moment de recroiser Monsieur Tagashira, que fort heureusement elle ne croisa pas en dehors de son cours. Vraiment elle s'interrogeait. A ce stade là il n'y avait vraiment plus que deux issues à cette situation, soit son prof acceptait sa proposition, soit il la refusait et à ce compte là Jess pouvait probablement dire adieu à son dossier scolaire irréprochable. A son corps défendant, ce serait bien la première fois que quelqu'un se refuserait à elle. Jessica était aussi belle qu'elle était stable mentalement, aucune de ses ruptures ne s'était faite dans la douleur ou les larmes, car elle avait toujours annoncée à ses partenaires que ce ne serait pas une longue histoire d'amour, et ces derniers avaient donc su à quoi s'attendre. De fait, un certain nombre de ses contacts Facebook étaient des ex à elle avec qui elle conservait de très bons rapports, mais aucun d'eux n'avaient été en couple durant une de leurs relations...

Quand vint l'heure d'aller au cours d'Histoire, Jess tacha d'opter pour une stratégie simple: faire comme si de rien n'était, limiter les contacts visuels avec Monsieur Tagashira, et se placer au fond de la salle pour éviter des situations embarassantes pour tous les deux. Jessica était bien incapable de deviner quelle décision son Senseï avait bien pu prendre, mais dans tous les cas il était mieux de ne pas chercher à le distraire de son cours.
Deux heures, deux longues heures s'écoulèrent cette fois très lentement, chaque minute mettent une éternité à passer, comme pour prolonger encore plus cette sensation de malaise et d'anticipation qui tirraillaient Jessica. Quand enfin la dernière sonnerie retentit, la jeune lycéenne n'eut qu'à traîner un peu à ranger ses affaires pour laisser ses camarades, eux tous impatients de partir enfin du lycée, s'en aller pour qu'elle reste enfin seule avec son prof dans cette salle. Rapidement l'étage entreprit de se vider, elle était debout, et se rapprocha alors de Monsieur Tagashira.

Re-bonjour Senseï. Je...Et bien je me demandais si la nuit vous avait porté conseil, rapport à...hier.
Je tiens juste à vous préciser que je n'ai effectivement rien dit à personne de ce qui s'est passé, et que ça n'arrivera jamais quelle que soit la décision que vous prendriez. Juste, je ne voudrais pas que ça signifie qu'on aie de mauvais rapports vous et moi.
Je sais que vous avez une petite amie depuis longtemps maintenant. C'est juste que...well vous avez été un des rares à bien m'acceuillir ici, et je vous trouvais sexy. Mais si vous ne voulez pas qu'on aille plus loin, je comprendrais.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 31 mai 2014, 17:09:08
Tu me manques. Je t’♥ !

Il contempla le dernier texto envoyé par Mashi, et soupira. Il répondit un message simple, d’une main tremblante, son pouce filant sur les touches du clavier.

Je te promets de faire tout mon possible pour revenir à Tokyo, ma puce.

Il lui fallut un peu de temps pour l’écrire, il fit quelques ratures, et son corps remuait un peu. Quand il appuya sur la touche « Envoyer », il s’autorisa un nouveau soupir. Ce n’était pas la première fois qu’Eiki écrivait des messages en ayant une érection, et en se masturbant. Quand votre copine vous envoyait un message inattendu après que vous ayez vu un hentaï, et que votre sexe vous démangeait vraiment trop fort pour que vous puissiez penser à autre chose que de vous le serrer en vous repassant le film dans votre tête, il fallait savoir manœuvrer son portable. Eiki étant un pur geek, il avait grandi avec un portable en main. Comme tous les gosses, il s’amusait en cours à le glisser dans sa trousse, et à envoyer discrètement des messages pour dire qu’il se faisait chier. Ici, ce n’était pas bien différent. Il continuait à envoyer des messages en espérant que personne ne viendrait le choper.

Il était 13h30, les cours allaient bientôt reprendre, et la matinée avait passé bien plus aisément que ce qu’il avait craint. Aucune visite furibonde du directeur-adjoint pour lui  hurler à la figure qu’il avait sérieusement déconné hier, aucun appel d’une association de parents d’élèves menaçant de saisir la justice, et aucun mot doux dans son casier. Il n’aurait su dire pourquoi, mais ceci l’avait ravi autant que déçu... Il aurait bien imaginé Jessica, cette succube, aller pousser lez vice jusqu’à lui laisser une note coquine. Eiki était un homme paradoxal, oui, mais, honnêtement, qui ne l’était pas ? Qui n’avait jamais ressenti des envies contradictoires ? Prenez l’école, par exemple, ou même le travail. Bosser, ça faisait chier tout le monde, mais on y allait parce qu’on avait besoin de fric, et parce qu’on savait qu’il fallait suivre les règles. L’être humain était par nature ambivalent, paradoxal, et, avec Jessica, Eiki ressentait des envies très paradoxales. D’un côté, il voulait ne plus jamais la revoir, par respect pour Mashi, par respect pour sa carrière, par respect pour sa vision de l’Éducation Nationale... D’un autre côté, il crevait d’envie qu’elle l’initie, il crevait d’envie qu’elle lui montre tout ce qu’elle savait faire. Elle était suffisamment perverse pour avoir branlé son professeur, alors elle le serait sûrement pour accomplir tous ses fantasmes. Eiki avait mal dormi, car son esprit avait été traversé par des envies diverses, et porter la culotte de Mashi ne faisait que continuer à faire balancer l’aiguille vers la case « Fantasmes et perversions en tout genre ».

Tandis qu’il mangeait au réfectoire, il avait discuté avec plusieurs professeurs, tout en sentant la belle culotte de Jessica le titiller. Elle était douce, si douce... Ils parlaient de politique, parfois des élèves, mais, généralement, les conversations étaient variées : la Chine, Abe, l’Ukraine, les élections européennes... Des sujets qui intéressaient Eiki, évidemment, mais, ce jour-là, moins que d’autres. Il ne connaissait pas encore beaucoup ses collègues, mais ces derniers savaient qu’Eiki avait une copine à Tokyo, et voulait certainement revenir la voir. Durant le repas, il avait senti l’érection venir à force de voir toutes ses lycéennes, et surtout parce que ses collègues évoquèrent les étrangers au lycée, comme Jessica, et il était parti se soulager dans les toilettes du réfectoire une fois... Il avait rapidement joui, et avait ensuite proprement remis la culotte. À chaque fois, il revoyait les gestes de Jessica, la manière dont l’Australienne faisait lentement glisser sa culotte pour la lui déposer, avant de rouler les hanches, et il bandait sévère.

Eiki avait déjà passé pas mal de nuits blanches, mais jamais à cause de filles, généralement parce qu’il passait toutes ses nuits, lycéen, à Akihabara, jouant en réseau à StarCraft.

Il était 13h30, et Eiki se soulageait dans les toilettes, encore une fois. Plus le cours de deux heures se rapprochait, et plus il angoissait, s’attendant à tout et à n’importe quoi.

*
*  *

Le cours, en réalité, se déroula plutôt bien. Jessica avait choisi de se mettre au fond, et, quand Eiki fit l’appel,  il n’y avait plus ce ton sensuel. Curieusement, il se sentit énervé par ça... Et en même temps rassuré. Elle se comportait comme une femme courroucée qui, après avoir vu que l’homme restait insensible à ses avances, se renfrognait en jouant la pimbêche insensible. Les choses ne s’étaient pas vraiment passées comme ça entre eux, et qu’Eiki ressente ça signifiait clairement que, pour lui, les choses n’étaient pas aussi simples. Le cours se déroula plutôt bien, mais voir Jessica, et sentir cette culotte se frotter à lui ne l’aidèrent pas à se concentrer. Il déclencha la pause rapidement, et en profita pour, une fois n’est pas coutume, soulager le moineau.

Le cours approcha ensuite de la fin, et, comme il s’y attendait, Jessica resta là. Elle n’avait pas poussé l’affront jusqu’à l’ignorer, et, encore une fois, Eiki se sentit idiot.

*Pourquoi est-ce que je pense ça ? Pourquoi est-ce que je veux qu’elle se rapproche de moi, alors qu’elle m’effraie ? Cette femme pourrait bien foutre le chaos le plus complet dans ma vie, et pourtant... Pourtant, je ne peux m’imaginer loin d’elle. Comment t’expliques-tu ça, Eiki ?*

Il ne se l’expliquait pas, il le subissait. Jessica se rapprocha de lui, toujours aussi belle, et il frissonna en revoyant à nouveau sa grosse poitrine, son corps parfait. On disait que les Australiennes étaient terribles, et on ne se trompait pas quand on voyait Jessica. Son sexe recommença à le démanger sous ses habits.

« Je sais que vous avez une petite amie depuis longtemps maintenant. C'est juste que...well vous avez été un des rares à bien m'accueillir ici, et je vous trouvais sexy. Mais si vous ne voulez pas qu'on aille plus loin, je comprendrais. »

Il tenait sa chance ! Tout ce qu’il avait à faire, c’était de ne rien dire, de laisser aller, et tout irait pour le mieux ! Se taire, ce n’était quand même pas compliqué, non ?! Il sentait bien que l’Australienne était sincère dans sa démarche, dans son approche. Elle n’avait pas envie de se mettre à dos le professeur. Cependant, une autre voix résonnait dans la tête d’Eiki... Une voix lui disant que, s’il n’avait pas joui comme un puceau en manque, elle ne tiendrait pas ce même discours.

« Je... Jessica, je... Écoute... »

Eiki avait du mal à parler. Il avait réfléchi à ce qu’il pourrait lui dire, mais n’avait rien trouvé de vraiment convaincant à lui dire.

« Mashi et moi, on... Je l’aime, okay ? Le truc, c’est que, tu vois... Elle... Elle ne voit pas le... Enfin... Tu saisis l’idée ? Elle n’est pas aussi expressive que toi, mais... Ce qu’on a fait hier ne change rien. Je ne vais pas te sacquer, ou te mettre à te déprécier. C’est juste que... Techniquement, tu es mineure, tu sais, et moi... Ce qu’on a fait hier n’était pas vraiment légal, tu saisis ? Si quelqu’un l’apprend, on pourrait avoir de gros ennuis, toi et moi... Ce n’est pas que je ne veux pas de toi, bien sûr, mais... Enfin... »

Eiki s’embrouillait, et passa une main derrière sa nuque, se massant la peau en réfléchissant à ce qu’il pouvait bien lui dire. Il n’arrivait pas à s’exprimer clairement.

« Tu vois, je me suis toujours dit que Mashi et moi... Enfin, que je ne le ferais qu’avec elle, pour le restant de ma vie, et tout ça, mais... Je pense qu’elle n’aime pas le sexe... Alors que toi... Honnêtement, qu’est-ce que je pourrais t’offrir ? Tout ça, c’est trop risqué, et je ne vois pas pourquoi tu aurais envie de continuer avec moi... Avec tous les risques que ça provoque, et, et... C’est bien trop risqué ! »
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le samedi 31 mai 2014, 20:25:08
Monsieur Tagashira n'avait au final pas pris de décision, pas véritablement en tout cas. Ses paroles laissaient entendre qu'il voulait tout arrêter, mais pas vraiment pour les raisons auxquelles Jessica s'était attendue. L'amour envers sa petite amie était, au final, pas vraiment la première des raisons, mais surtout le risque de se faire prendre, qu'ils soient découverts.
Et puis, il venait quand même de lui avouer qu'il avait envie d'elle, et ça ce n'était pas rien.
Il y avait donc une raison au sourire qui illumina progressivement le visage de Jessica. Certes le fait qu'il se refuse à la saquer était une excellente nouvelle, mais en soit si Monsieur Tagashira ne lui disait pas oui, ce n'était pas pour autant qu'il venait de lui dire non. Il essayait plutôt de se persuader lui même que Jessica. Les risques ? Quels risques ? La quasi totalité des professeurs de ce lycée couchaient avec leurs élèves, et les cas de découvertes de ces liaisons n'étaient dus qu'à des erreurs assez grossières, il leur suffirait d'être prudents, et personne ne le saurait.
Elle en apprit beaucoup par ces quelques mots hésitants. Même si Monsieur Tagashira aimait profondément sa petite amie, il y avait un aspect qui minait profondément leur couple, du moins de son côté à lui, et c'était l'absence de sexe. Plus que ça, la perspective que même après le mariage il n'aie qu'une vie sexuelle très minime. Hors Jess en était persuadée, Eiki Tagashira était un homme qui devait avoir une grosse ribambelle de fantasmes. La virginité et l'abstinence sont un terrain parfait pour la prolifération de ces produits de l'imagination, il y avait vraiment fort à parier que la perspective de ne pas pouvoir les réaliser, et au final d'avoir passé sa vie presque comme un moine, ne l'enchantait pas.

Voilà pourquoi même maintenant, il hésitait. Il lui aurait suffit de dire que ça s'arrêtait là, qu'ils n'auraient qu'à se comporter comme si rien ne s'était passé, et tout se serait terminé là sans plus de péripéties. Mais au lieu de ça, Monsieur Tagashira se confondait en explications qui n'avaient, véritablement, pas de grands intérêts, si ce n'est d'essayer de se convaincre lui même. Voilà qui se voyait désormais, au fond, il crevait d'envie de prendre Jessica comme son plan cul, celle qui l'initierait aux plaisirs de la chair, qui donnerait réalité à tous ces fantasmes qu'il n'aurait pas osé réaliser. Il savait, intérieurement, que Jessica était assez décomplexée vis à vis du sexe pour lui offrir ce que sa petite amie, Mashi, refuserait de faire.
Il savait que c'était une chance. Ses préceptes moraux l'empêchaient encore de se jeter à l'eau, mais là, Jessica était certaine qu'il fallait encore juste un petit coup de pouce pour l'amener à se décider. Et ce coup de pouce, elle allait le donner.
Comme une réminiscence de hier, Jessica finit par contourner le bureau de son professeur, et vint s'asseoir dessus, juste à côté de lui, les jambes croisées, dans l'exacte même position qu'elle avait pris hier pour commencer à le chauffer véritablement.

La chance sourit aux audacieux, du moins c'est ce que l'on dit Senseï, et j'ai toujours été de l'avis de suivre ce précepte. Donc si j'ai bien compris ce que vous me dites, vous aimez votre petite amie profondément, mais vous savez pertinemment que ce n'est pas avec elle que vous pourrez assouvir la totalité des fantasmes qui vous trottent dans la tête.
En somme, si je vous garantis que personne n'en saura jamais rien ? Si je vous disais que tous vos collègues ou presque couchent avec leurs élèves sans pour autant se faire prendre ? Si je vous disais qu'il suffit qu'on se montre prudent pour que finalement...rien de tout ceci ne devienne du domaine public, vous auriez encore ces hésitations ?

Elle était près, si près, d'autant que cette fois elle s'était vraiment assise juste à côté de lui, ses cuisses le collaient presque, et son uniforme était toujours aussi moulant, toujours aussi court. Là ce coup-ci elle était déterminée à donner le coup de grâce, parce que c'était lui même, en son fort intérieur, qui suppliait qu'il en soit ainsi.

Vous savez Senseï, contrairement à ce que vous semblez penser de vous même, vous êtes sexy. Vraiment, il y a beaucoup de filles ici qui vous trouvent craquant, mais qui n'osent pas venir vous voir car elles savent que vous êtes attaché à votre petite amie. C'est à force de ne rien faire durant tout ce temps que vous avez cru que vous étiez inintéressant pour les femmes ?
Si je continue à insister, car je vois bien qu'au fond vous en avez envie, c'est parce que je vous trouve craquant, et que l'idée que...que vous fourriez votre membre en moi m'excite Senseï. Cela fait déjà quelques temps que coucher avec un prof est un de mes fantasmes à moi, mais je ne suis jamais tombée sur un prof assez bien foutu pour ça, jusqu'à aujourd'hui en tout cas.
Allez...s'il vous plait Senseï...posez vos mains sur mes cuisses, touchez moi, embrassez moi, vous en crevez d'envie tout autant que moi.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 31 mai 2014, 21:23:30
Le pauvre n’en pouvait plus. Pas physiquement, mais... Mentalement, il était perdu entre plusieurs options. La repousser, la laisser venir... Jessica sentait tout cela, lisant en lui comme dans un livre ouvert, et, encore une fois, elle retourna s’asseoir sur le bureau, pile face à lui, mais en étant cette fois bien plus proche. Si proche que leurs jambes se serraient, et que, comme hier, Eiki sentit son souffle s’emballer. Sa tête fumait, mais l’envie qui le tentait de plus en plus était de rester avec elle, de la prendre, non seulement comme élève, mais sex friend. Elle pourrait le former pour qu’il soit vraiment digne de Mashi, pour que, quand elle accepte enfin de lui offrir son intimité, il la prenne avec tellement d’ardeur qu’elle ne deviendrait accroc, et ne demanderait qu’à se faire butiner le soir. Cette idée, insolente, perverse, filait dans sa tête. Il la rejetait, puis la reprenait et la rejetait, tandis que Jessica lui parlait. Elle lui expliqua, calmement, avec cette bouche merveilleuse et ce ton doucereux, qu’il n’avait pas à s’en faire d’être piégé, car, à Mishima, la plupart des professeurs se tapaient déjà leurs élèves. Ce faisant, elle confirmait des rumeurs qu’Eiki n’avait pas encore eu le temps de corroborer. Il fallait dire que quantité d’histoires, toutes plus folles les unes que les autres, circulaient autour de certains professeurs de l’établissement, Ichtora-senseï, Hardy-Senseï, ou même Isley-senseï. Certains parlaient même d’une professeur secrète, d’éducation sexuelle, spécialement formée par la directrice, afin de trouver des élèves vierges pour les former au sexe. Elle lui posait des questions en se rapprochant, et il observait ses belles lèvres.

Sa gorge était desséchée, et cette femme avait au moins pour elle de faire sauter toutes ses hésitations, tous ses doutes. Quand son sexe se relevait, quand le serpent hissait sa tête pour mordre, tout le reste devenait accessoire, secondaire. Il ne pensait plus qu’à ça, il ne pensait plus qu’à elle, omniprésente, avec sa poitrine énorme, avec ses longues jambes qui se glissaient près de son corps, avec sa tête d’ange. La culotte serrée de Jessica ne suffisait plus à retenir sa verge, qui durcissait à nouveau, comme si tous ces moments dans les toilettes n’avaient servi à rien. Plus elle se rapprochait, et plus Eiki tremblait. Que lui voulait-elle donc ? Eiki n’arrivait pas à se dire qu’il pouvait être d’un quelconque intérêt sexuel pour des élèves qui avaient déjà eu l’occasion de se taper bien des hommes, et probablement autant de femmes. Quel intérêt pouvait-on donc trouver en un vierge inexpérimenté, en un homme adulte qui, pourtant, serait incapable de les faire prendre leur pied ? Cela le dépassait ! Les cuisses d’Eiki étaient proches de celles de la femme, et elle se remit à parler.

Elle lui avoua qu’il était beau, « sexy ». Ce mot eut un écho agréable dans son cœur. Il cligna légèrement des yeux. Il avait bien entendu, et soupira lentement, entrouvrant les lèvres, tandis qu’elle continuait à parler.

« Allez...s'il vous plait Senseï...posez vos mains sur mes cuisses, touchez moi, embrassez moi, vous en crevez d'envie tout autant que moi. »

Hier, la voix de sa conscience avait été impériale, dictatoriale, de ce qu’il s’en souvenait. Là, elle ressemblait à un pétard mouillé, un murmure silencieux.    Il soupira faiblement, et remua la tête de haut en bas. Sa main gauche se souleva, et attrapa la jambe de la femme, à l’emplacement de son tibia. Il glissa sur cette peau douce, ses doigts descendant vers sa chaussette, avant de remonter à nouveau. Il s’humecta les lèvres, essayant de retrouver un second souffle. Son sexe recommençait à lui faire mal. Il voulait parler, mais il ne le pouvait pas. Son buste se déplaça lentement, et il embrassa alors la jambe de la femme, posant ses lèvres sur son tibia, remontant ensuite un peu, continuant à embrasser sa belle peau.

« Ta peau... Elle est si tendre, si chaude, Jessica... »

Il s’était redressé, envoyant bouler son fauteuil vers l’arrière, et releva ses mains, les posant sur les hanches de la femme, se glissant entre ses jambes. Les seins de cette femme effleuraient son torse, et il s’humecta à nouveau les lèvres, croisant son regard. Il remonta l’une de ses mains. Par rapport à hier, il était un peu plus maître de ses mouvements, mais il fallait bien dire qu’il avait énormément joui entre-temps. Il parvenait donc un peu mieux à se contrôler, et remonta sa main pour caresser la joue de la femme, ses doigts glissant le long de ses cheveux, son pouce se rapprochant de ses lèvres. Il les effleura, et sursauta légèrement à ce contact, tandis que son autre main retourna caresser sa jambe, remontant un peu.

« Moi qui voulais mettre fin à cette barrière entre l’élève et le professeur... On dirait qu’ici, vous avez plutôt bien appris ce critère. Visiblement, toute la classe sait que j’ai une fiancée. Je devrais en être offusqué, mais... Je suppose que c’est dans la nature des choses. »

Un progrès notable : il arrivait à formuler des phrases concrètes. Sa main remontait le long de sa cuisse, pour se glisser sous sa jupe. Son sexe se durcit à nouveau, atteignant de nouvelles et belles proportions, tapant contre le corps de la femme. Ses doigts remontèrent, et il sentit la culotte de la femme, ce qui le fit frissonner... Car il portait probablement sa jumelle. Il aurait voulu le lui dire, mais cette bouche le fixait, le harcelait, l’asséchait.

C’est tout naturellement qu’il alla ensuite agripper les cheveux de Jessica pour enfin l’embrasser, ses doigts remontant pour se crisper sur la ficelle de la culotte. Il y alla un peu rudement, et Jessica partit en arrière, avant qu’il ne retire sa main de sa jupe pour l’appuyer sur son dos, afin de la maintenir contre lui. Ses mains tremblaient, et son corps était en feu. C’était terrible... Mais également affreusement bon !
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le samedi 21 juin 2014, 23:20:18
Maintenant, c'était tout ou rien, il n'y avait pas de demi mesure dans ce qui pouvait se produire. Soit il la rejetait pour de bon, soit il acceptait son offre. Il allait de soit que Jessica voulait impérativement que ce soit la seconde option qui prévale, elle n'aurait pas pu lui en vouloir de chercher à protéger son couple, d'être fidèle à sa petite amie, de la rejeter, mais elle espérait de tout coeur que cela ne l'empêcherait pas de laisser son désir s'exprimer. Monsieur Tagashira le voulait, ça crevait les yeux, seules des considérations morales le faisaient hésiter, ce qui était compréhensible, mais d'un certain côté, ce qu'ils feraient tous les deux ne serait un crime que si d'autres venaient à le savoir...pas vu pas pris comme on dit.
Alors, quand elle le vit hocher la tête de haut en bas, en signe d'approbation, puis quand il posa sa main sur sa jambe pour la caresser, elle du presque se retenir de sauter partout comme une puce, et juste se contenter de sourire...et d'apprécier. Il posa ses lèvres sur sa belle peau, sa belle jambe, dorée comme le reste de son corps par de grandes expositions au Soleil, elle sentit son excitation monter rapidement et assez haut. Voilà, elle allait réaliser son fantasme de coucher avec l'un de ses profs, et surtout avec un prof séduisant. Il était assez intéressant de voir que les rôles s'inversaient même dans ce cas présent, car Jess avait bien plus d'expérience que son Senseï dans ce domaine, il n'y avait que ça pour expliquer ce peu de confiance en soi par rapport aux femmes.
Il se sentait cela dit plus en confiance, plus entreprenant, et c'était loin de déplaire à la jeune femme. Il caressait sa jambe tout en déposant des baisers sur les parties découvertes, directement sur sa peau, et il lui avoua l'apprécier.

Les joies de la jeunesse Senseï, et je suis ravie de pouvoir vous en faire profiter.

Elle était sincère. Il n'était pas question pour elle de coucher avec des profs pour avoir de meilleures notes, elle n'avait de toutes façons pas besoin de le faire au vu de son niveau, et elle ne l'avait jamais fait auparavant car aucun de ses profs n'avait été à son goût, jusqu'à ce qu'elle rencontre Monsieur Tagashira.
Il se leva ensuite, instinctivement elle décroisa ses jambes et les écarta, et tout aussi naturellement son prof s'avança entre tandis qu'elle était assise sur son bureau. Pour l'instant elle se montrait sage, le laissait la découvrir alors que sa main se posait sur son visage, ses joues puis ses lèvres. Mais l'autre, l'autre elle avait continué son ascencion le long de sa jambe, et parcourait maintenant sa cuisse et remontait encore, remonta jusque sou sa jupe, cette limite de son intimité qu'il pénétrait, et qu'elle lui laissait le loisir de pénétrer. Elle le regardait avec un regard de braise, il n'y avait aucun doute possible quand au fait qu'elle était en train de prendre son pied, sa respiration qui était plus lourde, faisant ainsi remuer un peu plus son opulente poitrine qui était collée contre le torse de Monsieur Tagashira. Et puis le fait, aussi, qu'elle lui ôta sa veste noire, et avec ses doigts délicats commençait à déboutonner la chemise bleue qu'il portait, découvrant peu à peu son torse, tandis qu'il lui parlait de nouveau de sa voix...hum...

Désolée Senseï...je voulais juste savoir sur quel terrain je m'aventurais...

Sa main remontait encore, agrippa sa culotte fermement. Allait-il la glisser dedans ? Elle anticipait déjà le fait qu'il la touche plus intimement, et cette perspective était en train de la rendre toute chose. Puis enfin il l'embrassa. Mû par un désir qu'il avait bien trop réfréné, il y était allé un peu brusquement, se rattrapant en la tenant dans la nuque et le dos.
Elle répondit à son baiser, bien évidemment, ses lèvres s'ouvrirent et se frottèrent contre les siennes, tandis que sa langue partit en exploratrice pour entammer un délicieux ballet avec sa congénaire. Jessica entoura la taille de Monsieur Tagashira avec ses jambes, à la fois pour le coller d'avantage contre elle et s'assurer qu'il ne lui ferait pas faux bon, mais aussi comme une preuve supplémentaire qu'elle voulait ce qui était en train de se produire.
Ce baiser dura longtemps, il était comme une preuve que ces deux personnes devenaient bien des amants, une façon de sceller cet accord. Pendant ce temps Jess avait fini de déboutonner et de retirer la chemise de Monsieur Tagashira, qui se retrouva torse nu, et quand le baiser se termina, elle pu alors commencer à lui caresser le torse avec ses délicates mains.

Vous savez Senseï...depuis le premier cours que j'ai eu avec vous j'ai rêvé de ce moment. Où vous m'embrasseriez, et vous me prendriez là, sur votre bureau. Je me suis imaginée avec vous dans plein de situations, et tellement de positions. J'ai envie de vous Senseï...

Une de ses mains s'était alors malicieusement glissée dans le pantalon de Monsieur Tagashira, elle avait juste ôté l'un des boutons pour pouvoir glisser sa main, mais s'arrêta quand elle sentit une texture qui lui était familière en guise de sous-vêtement. Mais loind 'être offusquée, elle adressa à son prof un très large sourire.

Je vois que je vous ai vraiment fait de l'effet Senseï...dites moi, je suis curieuse, elle a servi combien de fois hier soir ? Combien de fois avez vous rêvé d'avoir pour vous la détentrice de cette culotte ? Car je suis à vous Senseï...toute à vous...rien qu'à vous.

Jess avait murmuré ces derniers mots au creux de son oreille, avant de lui mordre délicatement le lobe.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 22 juin 2014, 00:48:35
Fasse le Ciel que Mashi ne le voit jamais ainsi, à embrasser l’une de ses élèves... C’était typiquement le genre de choses qui la rendraient folle. Elle ne voulait pas faire avocate que pour gagner de l’argent. Elle avait aussi des convictions, des valeurs, et croyait fermement à la loi, et au rôle sacré des institutions. Eiki, à sa manière, était le représentant d’une institution sacrée et éternelle, l’Éducation. Or, un prof’ ne couchait pas avec ses élèves, ni ne faisait ce genre de choses, comme les embrasser, les caresser, les regarder de manière perverse... Tout ça n’était pas digne d’un professeur, mais il ne pouvait pas s’en empêcher. Ses lèvres l’ensorcelaient, il les sentait s’entrouvrir, le respirer, remuer. Elle glissait contre lui, et ses seins... Oh, comme il était agréable de sentir contre lui de tels seins. Ils étaient gros, si gros, tellement opulents, tellement agréables, tellement doux ! Il les sentait s’enfoncer contre son torse, il la sentait jouer.

Elle utilisait ses doigts pour le déshabiller. Son torse était glabre, propre, n’étant simplement décoré que par quelques poils à hauteur de ses tétons. Eiki faisait un peu de sport, généralement du vélo en venant ici, et aussi un peu de musculation dans une salle, certains soirs où il s’ennuyait. Pas de quoi ressembler à un boxeur international, mais au moins de quoi présenter un torse correct, sans trop de bourrelets. Elle avait retiré sa veste, et déboutonna, l’un après l’autre, les boutons de sa chemise, pour promener ses mains. Il les sentit, et soupira... Un frisson le traversa, qui se traduisit par un mordillement de ses lèvres sur celles de Jessica. Il prit peur de lui avoir fait mal. Une peur bien ridicule, mais il ne fallait pas oublier qu’Eiki manquait cruellement. Leur baiser se rompit, et elle se remit à parler. Eiki n’osait rien dire, comme si sa langue était avalée dans sa bouche. Elle jouait avec lui, et lui parla donc, indiquant avoir toujours eu envie de lui faire l’amour.

Les joues d’Eiki rougirent légèrement. Ce compliment le flattait, car il ne s’était jamais trouvé comme étant quelqu’un de physiquement attirant. Un simple Japonais plutôt banal, et son relatif manque de succès avec les filles en était d’ailleurs l’exemple le plus frappant. S’il aimait tant Mashi, c’était aussi parce que, inconsciemment, elle représentait pour lui une sorte de bouée de secours. Il n’avait trouvé personne d’autre qu’elle, en quelque sorte. Oh, elle avait aussi bien des qualités, mais le fait est que, s’il l’avait pu, Eiki aurait sans doute choisi une femme moins coincée. Par conséquent, entendre Jessica lui avouer ses fantasmes pervers le faisait frissonner, accroissant son érection, le mettant de plus en plus mal à l’aise.

*Raconte-les moi, voulait-il lui demander, sans que cette phrase ne parvienne à quitter son esprit. Je veux en entendre plus, dis-moi tout... Car j’ai fait mes devoirs, Jessica, j’ai passé toute la nuit à bander sur toi, et à imaginer autant de scénarios que possibles, tous plus improbables les uns que les autres.*

Voilà ce qu’il voulait lui dire, mais, au lieu de ça, il se contenta de soupirer quand la main de cette femme glissa de son sensible torse pour filer sous son pantalon. Elle ôta un bouton, et sentit juste le contact de la culotte... Et constata, sans aucun doute possible, que c’était la sienne. Ceci la fit sourire, de ce sourire angélique qui lui donnait encore plus envie de la baiser. Eiki n’était plus un courageux senseï se disant qu’il serait inébranlable face à ses élèves, il devenait de plus en plus un simple homme en érection, confronté face à la hausse de ses fantasmes, confronté face à sa frustration et à son inexpérience sexuelle, qui l’écrasait comme s’il était un adolescent de seize ans tremblant devant sa petite amie qui se transformerait alors en reine des allumeuses, le chauffant à blanc. Comment pouvait-il résister à ce corps délicieux ? À cette peau sombre ? À cette longue et soyeuse chevelure verte ? À sa poitrine démesurée ? Cette Australienne était l’incarnation des fantasmes de tout un peuple, et, instinctivement, Eiki se sentait flatté qu’elle veuille de lui... Il peinait à y croire, se disant, avec toute la naïveté dont un jeune homme en manque de confiance était capable, qu’elle était trop belle pour lui, et qu’il méritait autre chose... Une femme comme Mashi, par exemple. Penser de telles choses était horrible et injuste, mais c’était une autre personne en lui qui se réveillait, cette personne qui l’aidait à se masturber quand il regardait des hentaï sur Internet ou quand il lisait sa collection de mangas érotiques où de jeunes lycéennes aux gros seins se faisaient prendre par des violeurs ou par des monstres sauvages.

Elle savait que c’était sa culotte, et elle lui posa alors une question extrêmement coquine. C’était comme si elle lisait dans son esprit, toujours si proche de lui. Elle avait posé sa question de manière pudique, en se glissant près de son oreille, et elle mordilla sa peau. Contre la main de Jessica, la bosse formée par sa virilité s’accrut, s’accentuant légèrement, le bout de son manche dépassant d’une culotte trop petite pour contenir un phallus redressé.

« Ah, soupira-t-il. Jessica, haaa... »

Elle le bloquait, elle l’acculait. Ses seins contre lui, sa bouche glissant le long de son oreille... Aucune fuite, aucune échappatoire, il était fait, piégé comme un rat, et il ne lui restait plus qu’à suivre le rythme, et à se laisser faire par cette femme. Néanmoins, il se devait de lui répondre. Il reprit son souffle, son cœur lui donnant l’impression d’hurler dans sa poitrine. Il devait le dire, elle devait comprendre à quel point cette main coquine, placée sur son sexe, lui faisait de l’effet. Mais comment le dire ? Elle se moquerait de lui, elle se désintéresserait de lui s’il le disait. Ses lèvres se serraient, mais la frustration qui croissait en lui avait le don de délier sa langue, de briser ses inhibitions.

Ses mains étaient posées sur les épaules de la femme, glissant dessus. Il ferma les yeux, et laissa les souvenirs déferler.

« Je l’ai porté... Toute la nuit, Jessica... Et... Elle est encore... Encore... Tu... Tu ne comprends pas, Je... Jessica... Je... Je... »

Il déglutit à nouveau, soupira, et baissa la tête, ses mains se crispant sur ses épaules. Il n’avait pas osé lui dire qu’elle était encore sale, qu’il y avait encore, dessus, des traces de sperme, et qu’il s’était branlé avec cette culotte toute la nuit, incapable de se retenir. Elle était petite, étroite, serrée, mais si douce, si tendre... C’était la culotte d’une fille, et il se sentait bien dedans, si bien ! Comment pouvait-il le dire ? Il n’arrivait pas à le formuler, et ce même s’il savait qu’elle ne désirait entendre que ça.

« Je ne l’ai jamais fait, Jessica... »

Il avait osé le dire, l’avouant dans un soupir, et n’osait pas la regarder.

Elle voulait un étalon, ce qu’un prof’ était censé être... Maintenant qu’elle connaissait la vérité, elle allait sûrement partir.

Et, en ce moment, Eiki était sûr d’une chose : il ne le voulait pas.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le dimanche 22 juin 2014, 01:34:31
Jessica sentait que Monsieur Tagashira était vraiment, vraiment consumé par son désir. Comme à la précédente fois qu'il s'était retrouvé dans une situation semblable avec elle, maintenant que les choses devenaient vraiment sérieuses, il avait du mal à faire le tri dans toutes ces envies qui devaient lui passer par la tête. Pour Jessica, le fait que son prof soit vierge était surprenant, car elle le trouvait vraiment sexy. Certes, il ne pouvait peut-être pas prétendre au titre de plus beau mec de la planète, mais qu'un homme comme lui ayant des atouts aussi bien physiques que de personnalité, soit encore vierge, n'aie jamais eu de relation avec une femme voulant coucher avec lui, la dépassait vraiment. Mais c'était la culture japonaise, une autre que celle plus décomplexée d'où Jessica venait, et il ne lui appartenait pas vraiment de juger, tout juste trouvait-elle dommage qu'un bel homme comme lui n'aie pas encore goûté aux plaisirs que pouvaient prodiguer le corps d'une femme.
Mais Jessica allait se faire un plaisir de lui faire découvrir tout ça.
Aussi, quand il lui avoua qu'il était encore vierge, elle ne le repoussa pas, ni même ne se moqua de lui, elle lui adressa juste un sourire sincère avant d'aller déposer un furtif, mais tendre, baiser sur les lèvres.

Je sais...je m'en doutais à la façon dont vous avez réagi hier Senseï, et ce n'est pas ça qui me fera partir, au contraire.

Que leurs rôles s'échangent par ce biais était intéressant, et puis, Jessica était comme convaincue qu'il ne manquait à cet homme que l'expérience pour devenir cet étalon qu'il fantasmait lui même d'être. Une sorte d'intuition, il n'y avait rien de tangible à cette certitude, sauf le fait qu'elle était elle même suffisamment canon pour redonner sa vigueur à n'importe qui en un temps record.
Sa main elle continuait à faire son oeuvre, et avec les deux, elle abaissa le pantalon de son Senseï qui lui tomba aux chevilles. Elle vit alors sa verge, qui sortait en partie de cette culotte qui lui appartenait, mais que lui portait, et ça l'excitait. Il avait du se branler très intensément avec, car même si elle semblait avoir été lavée, il demeurait des traces ça et là de son utilisation récente en tant qu'objet de fantasmes. Mais elle fini elle aussi par l'abaisser un peu, car vraiment cela devait devenir douloureux, car ce sous-vêtement n'était en aucun cas pensé pour être porté par un homme. Voilà, tout juste Monsieur Tagashira avait il à ôter ces deux vêtements tombés à ses cuisses, et il serait nu comme un ver, et Jessica le dévorait littéralement du regard. Avec ses jambes, qu'elle avait enroulées autour des hanches de son prof, elle l'avait collé contre elle, et là, le sexe tendu et dur de son Senseï ne pouvait se trouver qu'à un seul endroit, contre sa belle petite culotte blanche qu'elle portait, et il pourrait même sentir son humidité.

Je me fiche que les premières fois soient courtes Senseï, vraiment. J'ai envie de sentir vos mains sur mon corps, je veux vous sentir me déshabiller, m'embrasser, vous allonger sur moi là, sur votre bureau, et que vous glissiez votre queue en moi. L'endurance, elle viendra à force de pratique, ce qui m'arrange vu que du coup, ça va vous forcer à revenir me voir.

Elle le complimenta d'un nouveau sourire, un peu moqueur, mais surtout complice. Cet homme avait clairement un gros manque de confiance le lui, dû à une petite amie aussi possessive que coincée du cul, mais ça elle ne le lui dirait pas directement, même si elle le pensait. Elle avait eu des raisons, au début, de croire Monsieur Tagashira expérimenté du fait qu'il était en couple, et depuis assez longtemps, si elle en croyait ce qu'elle avait pu glâner sur leurs profils respectifs. Malgré les apparences, Jess ne considérait pas que dans un couple le sexe faisait tout, mais néanmoins l'union physique en demeurait quand même une composante essentielle. L'humain avait des besoins à assouvir, après tout.

Prenez tout le temps qu'il vous faut Senseï, appropriez vous mon corps à votre rythme, mais je veux que ça soit vos mains qui me déshabillent, c'est une sensation tellement grisante quand c'est fait par quelqu'un d'autre vous ne trouvez pas ?
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 22 juin 2014, 10:29:03
Eiki Tagashira n’en menait effectivement pas large, et entendre la femme lui dire que ce n’était rien le rassura... Plus qu’il n’aurait osé le dire. Pour lui, qu’une femme soit toujours vierge présentait un certain intérêt, mais un homme ? Si c’était à l’homme de rythmer les ébats, qu’il soit toujours vierge signifiait forcément, pour lui, qu’il devait être incompétent. C’était une logique tordue, mais il n’y avait pas grand-chose de rationnel quand on laissait parler le pensionnaire du dessous. Eiki ne pouvait plus la repousser, ni ne pouvait le nier : il la désirait. Il voulait lui faire l’amour, se perdre en elle, et elle ne ferait rien pour aller contre ça. Ses mains continuaient à jouer sur son corps, et sentir ses doigts près de sa verge, la sentir le déshabiller, le faisait frémir. Son sexe lui refit mal, une souffrance terrible, alors qu’il se dressait encore plus, atteignant une taille considérable. Elle tira sur sa culotte, puis se redressa, s’enroulant contre lui, comme une espèce de koala possessif et étouffant, ses jambes acérées comme des serpents mielleux, ne lui laissant aucun espoir de sortie.

Le bout de sa verge heurta la culotte de la femme, cette culotte douce, et Eiki soupirait. Sa respiration précipitée rebondissait contre le corps délicieux de cette femme. Que lui arrivait-il ? Ne fallait-il donc que cinq petites minutes, des mots enjôleurs, et des caresses mal placées, pour faire tout voler en éclats ? Ne fallait-il donc vraiment que ça pour que le professeur civilisé et discipliné laisse place à un amant infidèle qui ne pensait qu’à satisfaire son propre plaisir ? Dans cette perdition, Eiki se raccrochait à une bouée : l’envie impérieuse de sa virilité, une envie qui, peu à peu, s’imposait sur tout le reste. Il avait déjà pu noter ô combien cette partie-là de son anatomie pouvait se révéler plus importante que les autres quand elle le voulait, court-circuitant votre libre-arbitre, et annihilant toute volonté de pensée pour en arriver à ses besoins.

Et elle lui parlait, de cette petite voix mielleuse et sensuelle, et elle lui souriait, et elle se frottait contre lui. Elle était lourde, contraignant Eiki à devoir poser ses mains sur le bas de son corps pour la soutenir. Il ne voulait pas qu’elle tombe, qu’elle se fasse mal en heurtant le bureau. Pensez donc... Un traumatisme crânien en couchant avec son prof’ ! Cette fois, sa carrière serait foutue ! Jessica voulait qu’Eiki lui fasse l’amour sur le bureau, peu importe qu’elle y prenne son pied ou pas. En tout cas, c’est comme ça qu’il l’interprétait.

« Jessica... » soupira l’homme.

Ses lèvres étaient proches des siennes, et elle continua à parler, encore, lui disant qu’il pouvait prendre son temps, s’accaparer son corps... À cette invitation, ses mains se crispèrent sur le corps de Jessica. Elles étaient donc vers le bas de son dos, mais, instinctivement, il les déplaça. Il glissa le long de sa chemise violette, et heurta sa minijupe. Ses doigts tressautèrent sur place, il hoqueta, ferma les yeux... Et les avança encore. Ses mains filèrent sur le haut des jambes de Jessica, et se replièrent, filant sous sa minijupe, avant d’atteindre ses fesses. Vu sa position contre lui, les belles fesses de Jessica étaient bien ressorties. Avant ce moment, avant hier soir et ses fantasmes, il n’y avait jamais vraiment fait attention, mais, maintenant qu’il y était, maintenant que ses pervers doigts exploraient cette masse de peau, il se devait bien d’admettre qu’elle avait un cul magnifique. Magnifique !

Dans ses fantasmes, il s’était imaginé la prendre en levrette dans les deux trous, lécher son derrière, le pincer et le malaxer, avec ce talent inné dont semblaient faire preuve les hommes dans les mangas qu’il lisait ou voyait. Assez curieusement, si Eiki était un adepte de hentaï, il n’avait, en revanche, jamais vu de films pornographiques. Difficile d’en trouver une raison, si ce n’est en se disant que, selon la conception japonaise, un hentaï était moins grave qu’un film pornographique, car il ne présentait que des dessins animés. Tout ça pour dire que ce genre de films avaient su remplir son imagination, et que, en tant que parfait novice, il s’imaginait être un homme sans aucune restriction. Malheureusement, il n’arriverait jamais à convaincre Mashi de ce genre de choses. Jamais sa chérie n’accepterait, il la connaissait trop bien pour ça.

*Mais elle ?*

Avec Jessica, les choses pourraient être différentes. On disait les Australiennes chaudes comme la braise, et, si Eiki s’était toujours méfié des clichés et des réputations, il se devait bien d’admettre que Jessica était une femme expérimentée, suffisamment pour l’allécher et le guider, et pour savoir, contrairement à lui, garder son calme.

Ses mains pelotèrent ses fesses pendant un certain temps, et on pouvait l’entendre soupirer, alors qu’il comprimait cette masse de chair entre chacune de ses mains, glissant sous sa minijupe. Cette minijupe était tellement courte que son sexe était déjà dessous, heurtant son intimité. Il lui ferait l’amour, c’était décidé. Il en était sûr, maintenant : il en avait envie ! Mais revenir la voir... Eiki aurait aimé se dire qu’il ne le ferait pas, mais, en ce moment, tout son être lui hurlait d’y revenir. Le sexe, en un sens, le rendait presque schizophrène. Il y avait le Tagashira-senseï d’un côté, cet homme calme et altruiste, et, de l’autre, « Eiki-l’Animal ». Or, l’animal qui était en lui avait sa propre volonté, et, quand elle s’exprimait, Eiki ne pouvait rien faire contre elle. Il était perdu d’avance, sa volonté s’écrasant comme une paire de deux face à un flush royal.

Eiki repoussa alors Jessica, et posa les fesses de cette femme sur le rebord de son bureau, puis se défit alors de son emprise. Il ne dit rien, et fit un pas en arrière, puis, toujours sans rien dire, mais en ayant louché sur la poitrine de la femme, il entreprit de terminer de se déshabiller. Son dos frissonnait, et il se retrouva tout nu, devant elle. Eiki respirait lentement, et se rapprocha d’elle. Il aurait voulu la déshabiller, oui, mais il en était incapable.

« Allonge-toi, Jessica... » demanda-t-il, tout en l’aidant.

Il posa en effet sa main sur son épaule, et la poussa, l’envoyant s’étaler en diagonale sur son bureau, sa tête arrivant près de son pot à stylo. Il posa ses mains sous sa minijupe, et les remonta, sentant les lanières de sa culotte. Il tira sur cette dernière, lentement, la faisant glisser le long des magnifiques jambes fuselées de sa partenaire, puis releva légèrement sa minijupe, la pliant. Il voyait maintenant son intimité, et observa cette fente épilée. Mashi, elle, ne s’épilait pas, évidemment. Il posa sa main sur son sexe, soupira, puis s’approcha d’elle, s’allongeant sur son bureau. Eiki vivait comme dans un film. Cette scène était surréaliste. Il s’était imaginé perdre sa virginité de bien des façons romantiques, tournant généralement autour de sa nuit de noces, mais sûrement pas avec une étudiante, sur son bureau.

Son regard observait celui de Jessica, et il l’embrassa à nouveau tout en sentant le bout de sa verge heurter sa peau. Il remua un peu, jusqu’à sentir une surface plus molle, moins résistante... Et s’y enfonça.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le samedi 26 juillet 2014, 18:29:51
Se sentir portée par son prof était une délicieuse sensation, il était désormais certain qu’il allait lui faire l’amour. Ainsi agrippée à lui, Jessica avait pu sentir ses mains descendre le long de son dos, se glisser sous sa jupe indécente, et empoigner ses fesses, son cul que son prof ne manqua pas de malaxer, de s’approprier comme sa chose. Oh oui, Jess’ soupira d’aise à sentir ces mains lui malaxer le cul, et à l’idée que prochainement elle serait la chose de son prof. Elle n’avait pas voulu encore ammener les choses de cette façon, persuadée qu’il verrait en elle une adolescente perturbée, mais elle pensait qu’en laissant les choses se faire il deviendrait moins hostile à l’idée de l’avoir pas seulement comme sex friend, mais comme sex slave. Le fait qu’Eiki soit le prof de Jessica avait quelque chose à voir avec ce fantasme, ce fantasme où elle s’imaginait Eiki l’utiliser de tellement de manières, et elle bien soumise qui se ferait une joie de réaliser chacun de ses fantasmes, et elle était certaine qu’il devait en avoir vraiment une multitude.

Eiki fini par la poser sur le bureau, après l’avoir bien caressée. Jessica commençait à mouiller, le fait d’avoir senti la verge tendue de son prof contre sa culotte, et la perspective de la sentir prochainement en elle, avait suffi à la rendre toute chose. Il se retira de l’emprise de ses jambes, mais uniquement dans le but d’achever de se déshabiller, ce qui laissa à la jeune femme l’occasion de le mater. Encore une fois, elle se demandait vraiment comment un mec comme lui pouvait être vierge, et surtout être persuadé qu’aucune femme ne voulait de lui. Il était beau, sans doute pas un modèle de magazine, mais Jess’ le trouvait vraiment sexy, auquel cas jamais elle n’aurait volontairement ouvert ses cuisses pour donner encore l’occasion à son prof de mater. Une fois qu’il eu terminé d’ôter ce qu’il lui restait de vêtements, Eiki se rapprocha d’elle, et lui intima alors de s’allonger tout en l’aidant, posant sa main sur une de ses épaules pour l’inviter à effectivement le faire. Jessica se laissa faire sans dire un mot, elle anticipait déjà dans sa tête ce qui allait suivre, et qui se concrétisait en actes. Eiki ne tarda pas ensuite à glisser ses mains sous la jupe de son élève, atteignant sa culotte blanche, ses doigts se crispèrent sur ses coutours pour la saisir, et il la lui enleva. Jessica poussa un grand soupir en sentant son sous-vêtement lui être enlevé, et écarta à nouveau ses jambes quand Eiki revint pour relever sa jupe, et lui offrir ainsi une parfaite vue sur son intimité bien épilée comme le reste de son corps.

Eiki allait toutefois s’en arrêter là, trop pressé de découvrir les joies du sexe pour prendre le temps de la déshabiller intégralement. Elle ne se plaignit pas toutefois, car le sentir s’allonger sur elle était un délice. Oui ça y est, son prof allait lui faire l’amour, elle le sentit tenter de guider un peu maladroitement son sexe, tandis qu’il l’embrassa de nouveau, puis il s’enfonça d’un coup en elle quand il trouva l’entrée de son vagin. Sa fleur était plus que prête à le recevoir, le sexe de son prof allait se faufiler dans un endroit agréable, chaud, humide et doux qui le serrerait agréablement. Etant embrassée Jessica ne poussa qu’un long gémissement étouffé, mais glissa ses mains sur la peau de son prof, et alla les déposer sur son dos, avant que l’une ne se déplace jusqu’aux fesses musclées de l’homme pour y donner une petite claque, l’incitant à remuer. Elle savait qu’il ne lui faudrait pas longtemps pour jouir, excité comme il l’était, et se perdant dans l’antre intime d’une femme pour la première fois. Mais elle le savait, le pardonnerait, s’y était de toutes façons attendue, elle voulait juste avoir la grande satisfaction de le sentir jouir en elle, remuer son sexe en elle.

Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 27 juillet 2014, 13:43:51
Dans les mangas qu’il lisait ou voyait, les individus de son acabit, les professeurs qui défloraient les petites minettes rebelles en les violant lors d’heures de retenues, ne tremblaient pas. Leur démarche était assurée, certaine, et inébranlable. Ils les prenaient sans problème, les faisaient couiner, les faisaient hurler, les frappaient, et se délectaient de leurs hurlements de petites vierges effarouchées, de leurs « Non » entrecoupées de gémissements et de couinements aigus. Tout était plus simple à travers une image, mais, dans la réalité, Eiki ressentait quantité de choses qui n’étaient pas indiqués sur des images : les fourmillements dans son corps, cette tension rigide qui s’insinuait dans tous ses muscles, sa respiration haletante, cette chaleur corporelle qui le faisait suer... Il allait perdre sa virginité là, il allait briser sa vie romantique, briser ses rêves avec Mashi, le tout pour une infernale succube aux cheveux verts, et avec une grosse poitrine. Était-ce là toute sa volonté ? Toute sa force en tant que professeur ? Exploser comme un ballon en plein vol dès qu’une minette lui faisait des avances ? Était-ce vraiment tout ce qu’il pouvait faire ? Eiki savait que c’était mal, il le savait très bien, mais il savait aussi que la laisser là, ce serait encore plus mal.

Le sexe était comme un courant, un courant qui se rapprochait d’une cascade. Lui, il était le malheureux sur la barque qui n’avait pas choisi de s’arrêter, le fou qui avait pensé, par orgueil, pouvoir défier le torrent. Maintenant, il était dans les rapides, sa barque était brisée, et il se laissait porter par le flux, jusqu’à sa chute. Eiki avait envie de se damner pour ça, car, loin de se sentir coupable, s’allonger sur cette femme ne faisait que l’exciter davantage .C’était doux, c’était tendre, c’était chaud. Il aurait volontiers pu dormir contre les généreux seins de cette femme. Elle était belle, oh ça oui, belle à en damner les saints, et lui, pauvre hère, ne pouvait rien faire contre ça. Elle le dominait, et il lui fallait juste l’admettre. Que pouvait-il faire d’autre, de toute manière ? Il était conquis, charmé, et, si Jessica se voyait devenir son esclave sexuel, Eiki, lui, était à mille années-lumière de ça.

Trop de pensées remuaient dans sa tête. Trop de pensées contradictoires. Mashi et Jessica formaient les deux ases de pensées violentes, qui, tantôt le condamnaient pour son acte répréhensible, tantôt l’encourageaient. On lui disait que Jessica n’était qu’une élève influençable, qu’il ne devait pas faire ça ; on lui disait qu’elle était suffisamment mâture, et qu’elle avait probablement déjà eu l’occasion de s’étendre dans bien des lits. Elle venait d’Australie, après tout !

Il l’avait pénétré pour mettre fin à cette souffrance en lui, et l’avait embrassé pour que plus rien ne vienne le perturber. Le sexe devenait un refuge, une échappatoire, et le délicieux corps de cette femme l’accueillait avec plaisir. Comment pourrait-il refuser ? Comment pourrait-il la repousser ? Il s’étala en elle, plaquant ses lèvres. Une main se posa sur ses cheveux, l’autre s’appuya contre le bureau, et il donna des coups de reins, aussi bien par nécessité que par plaisir. Ah ! Il ne pensait pas que ce serait aussi douloureux. Où était le plaisir là-dedans ? Sa verge lui faisait un mal de chien, une souffrance qui le forçait à remuer son corps, afin de l’extirper, afin de se purger. Sa queue tendue était douloureuse, et, s’il ne la bougeait pas, s’il la laissait juste en elle, son membre lui faisait mal. Alors, il la remuait. Bon sang ! Eiki ne se doutait pas que ce serait si douloureux. Naïvement, il pensait que pénétrer une femme le ferait plonger dans un tourbillon de douceur. Au lieu de ça, tout son corps était en éruption, sur la corde raide.

Le pire, c’était de la pénétrer. Ça, c’était particulièrement épuisant. Son trou était serré, et sa verge collait contre ses parois intimes, et ce malgré cette mouille qu’il ressentait en elle. Oui... Oui, elle mouillait, elle mouillait ! Eiki grognait et soupirait, comprenant tout d’un coup pourquoi un violeur ne s’arrêtait pas une fois qu’il avait commencé à pénétrer une femme. Il aimerait se dire que c’était juste parce que c’était bon, mais... En réalité, c’était plutôt une sorte de violence primale, presque instinctive, qui se répandait en lui, et qui le forçait à continuer, à être sauvage. S’il avait un peu plus de confiance en lui, il l’insulterait, cette salope, cette catin qui le forçait à tromper Mashi ! Même Mashi, en ce moment, n’était plus qu’un souvenir, une image qui se diluait au fur et à mesure qu’il s’enfonçait en elle, de haut en bas, répétant le même geste. Il remuait sur elle, le bureau grinçait, et il avait peur de tomber sur le sol.

Elle le gifla, et il soupira, donnant encore des coups de reins.

« Hun !! Je... Jessica !! »

Eiki parlait peu, haletant surtout. Il avait cessé de l’embrasser, n’arrivant plus à le faire. Il ferma les yeux, avant de les rouvrir, voulant voir le visage de Jessica couvert de plaisir, gémissant son nom, se serrant contre lui... Il voulait tenir des heures, la pénétrer sans relâche, avec une ardeur terrifiante, la baisant si fort qu’elle serait incapable de marcher par la suite, il s’imaginait que son sexe était comme une épée qui la déchirerait de l’intérieur, s’enfouissant dans ses entrailles, la désossant lentement... Tout ça se mélangeait dans sa tête, ses fantasmes prenant le pas sur la réalité.

Il fallut en fait à Eiki moins d’une minute pour jouir. L’orgasme éclata en lui sans qu’il ne puisse se retenir, presque comme un intense frisson électrique qui parcourut tout son corps. Ensuite, le professeur se mit à soupirer.

*Ça y est, se dit-il alors. Je ne suis plus vierge...*

Eiki aurait aimé se sentir coupable, par respect pour Mashi... Mais il se sentait surtout coupable pour Jessica.

Sa prestation n’avait pas dû être terrible.

« Dé... Désolé... » réussit-il faiblement à dire, entre plusieurs soupirs, son sexe toujours enfoncé dans son corps.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le samedi 07 mars 2015, 11:51:21
Sentir un homme allongé sur elle, et remuer frénétiquement afin de lui faire l'amour, était une sensation que Jessica adorait particulièrement. Malgré ce que lui même pouvait penser, Eiki était craquant, Jess' ne l'aurait jamais approché dans l'optique de lui faire l'amour si ça n'avait pas été le cas. Et puis, il avait un été un des rares professeurs à vraiment la considérer comme une élève et non pas comme une étrangère avant tout, disons que c'était une manière de le remercier, d'un certain point de vue.
Eiki se collait à elle, et Jessica pouvait ainsi pleinement sentir le corps de cet homme contre elle, remuer contre elle à un rythme frénétique, tandis qu'il l'embrassait un peu maladroitement. Il se contentait de se perdre en elle, de ne plus réfléchir et de suivre ses instincts les plus primaires, qui guidaient son corps. Il jouirait vite, c'était évident, à la façon dont son visage se tordait à la fois de douleur et de plaisir, Jess' voyait bien que ce qu'il éprouvait serait trop intense pour qu'il puisse espérer se retenir. Jessica elle carressait son corps, son dos plus particulièrement, poussait des petits gémissements pour l'encourager, le stress pouvait encore même à ce stade tout foirer, aussi lui envoyait-elle de multiples messages comme quoi elle aimait ça.

Hmmm...Oh Senseï oui...

La jeune femme n'eut malheureusement pas l'occasion, elle même, d'atteindre un assez haut niveau d'extase pour en être au stade de hurler de plaisir. Rapidement, comme elle s'y attendait, Eiki se crispa en se plongeant au plus profond d'elle, et éjacula, pour la première fois, dans le corps d'une femme. Jess' le laissa reprendre son souffle, en lui caressant les cheveux, en remuant doucement son corps sous le sien, elle était satisfaite d'elle même, ôter la virginité d'un puceau était en soit quelque chose de gratifiant de son point de vue. Mais maintenant, il allait falloir négocier avec les doutes qui reviendraient à la charge de son prof, qui était bien conscient que sa prestation avait été insuffisante pour provoquer assez de plaisir chez Jessica.
Avant même qu'il ne puisse continuer, elle posa un de ses index sur les lèvres d'Eiki, pour l'inciter à se taire.

Chuuuuuut...Pas besoin d'être désolé, pour une première fois c'était même plutôt pas mal. Aucun mec n'est un étalon lors de sa première fois, c'est normal.

Jess était sincère, et libéra les lèvres de son Senseï pour se remettre à caresser ses cheveux, puis alla déposer un bref baiser sur ses lèvres en arborant un sourire qui se voulait rassurant. Mais la jeune femme n'avait pas l'intention d'en rester là, ils avaient encore du temps devant eux, et elle ne voulait pas laisser Eiki rentrer sur ça.

D'ailleurs, maintenant qu'on est passés par cette étape cruciale...vous êtes sûr de toujours pas vouloir me déshabiller ? Je me sens un peu serrée dans ces vêtements...
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 07 mars 2015, 12:32:31
Qu’avait-il fait ? Eiki ne saurait dire s’il devait être horrifié... Ou excité. Horrifié, il l’était, mais c’était, non seulement à cause de ce qu’il avait fait, et aussi parce que, loin de se sentir profondément dégoûté par son geste, son corps en redemandait... Et ça, il le sentait. Eiki était amoureux de Mashi, profondément amoureux d’elle. Sa virginité aurait dû lui être offerte, le jour de leur mariage, afin de les unir, corps et âmes, dans un bel ensemble. Qu’avait-il fait ?! Il s’était damné avec une succube, et, alors qu’il commençait à se dire qu’il vaudrait mieux filer, oublier tout ça, et trouver un moyen de se faire pardonner auprès de Mashi, voire même trouver un moyen pour demander à ce que Jessica change de classe, cette dernière posa un doigt sur ses lèvres. Il la regarda sans rien dire, les joues légèrement rouges, et elle se mit à parler. Une voix magnifique, enchanteresse, une voix qui provoquait en lui quantité de frissons. C’était le monde moderne, le monde du 21ème siècle, celui où les adolescents, loin d’être les jeunes êtres timides et maladroits qu’ils avaient été il y a quelques décennies, connaissaient désormais tout du sexe, et pouvaient maintenant inverser les rôles. Le pauvre Eiki ne pouvait rien faire contre elle. Ses mains étaient posées à côté d’elle, et les gros seins de Jessica caressaient son torse. Ils étaient de même ampleur que ceux de Yuna Shiina, une célèbre actrice pornographique japonaise, connue pour la taille de sa poitrine.

Face à elle, Eiki était désemparé. Sa formation ne lui était d’aucune aide, et sa vie personnelle le mettait en désarroi. Il rêvait depuis des années de coucher avec Mashi... Mais avec Mashi, pas avec cette femme ! Jessica avait su canaliser toute la frustration sexuelle de son professeur sur elle... Et Eiki se demandait aussi si cet argument n’était pas une excuse, comme une manière de se convaincre qu’il n’avait pas vraiment trompé sa fiancée... Du moins, mentalement parlant. Cependant, il était suffisamment lucide avec lui-même. C’était bien sur la culotte de Jessica qu’il s’était masturbé hier, c’était bien en pensant à cette insolente et pulpeuse jeune femme. Depuis combien de temps avait-il secrètement envie de la baiser ? Elle, ou même d’autres élèves ? Mishima était un baisodrome ambulant, rempli de lycéennes terriblement belles, comme cette magnifique créature australienne. Se mentait-il à lui-même en disant qu’il n’avait pas envie d’elle ? Bien sûr... Il s’était masturbé en pensant à son visage, à la courbe de ses seins, à ses mots et à ses soupirs... Elle lui avait tiré une flèche en plein cœur, et Tagashira-senseï était redevenu un simple adolescent en manque, celui qui se branlait devant des pornos et en songeant aux filles de la classe dans les toilettes pour femmes, l’esprit enfoncé dans un fantasme l’amenant à croire qu’une fille en train de pisser était quelque chose de monstrueusement érotique. Il était juste suffisamment mâture pour savoir que ce n’était pas le sperme qu’il n’était pas un étalon d’exception, l’homme qui jouirait comme une locomotive, et qui laisserait sur la culotte des toilettes une crème qui rendrait la prochaine femme à s’asseoir enceinte instantanément... Et de jumeaux. Non, il n’était qu’un puceau, et sa prestation avait été celle d’un cycliste en phase terminale s’écroulant dès le premier virage, partant droit dans le décor pour se ramasser la gueule.

Pour autant, et, malgré tous les reproches qu’il se faisait, n’entendre aucun reproche dans la bouche de Jessica provoqua en lui des sentiments contradictoires. D’un côté, il était soulagé de voir qu’elle ne l’avait pas repoussé en se disant que ce type était décidément bien un pauvre demeuré sans saveur, mais, d’un autre côté... Et bien, il était mécontent de ne pas être l’étalon que tout homme, inconsciemment, s’imaginait être.

*Je ne peux pas le nier... J’ai envie de baiser cette salope, j’ai envie de la faire hurler comme une truie, d’entendre ses cordes vocales se casser comme des cordes de violons sur lesquelles on aurait trop tiré... Ouais, je veux la faire hurler...*

Était-ce là l’expression de ce mâle préhistorique qui sommeillait en chacun de nous ? Ce mâle-Alpha dominateur et territorial qui voyait la femme comme son butin, comme son cadeau et sa récompense après une dure journée de labeur ? Ou juste l’expression du professeur se refusant à ce qu’une élève ait sur lui un ascendant psychologique ? Eiki n’aurait su le dire. Ses pensées lui faisaient l’effet d’être un kaléidoscope fragmenté, comme si une bombe venait d’exploser à l’intérieur, vaporisant le tout. Plus aucun fil cohérent, plus aucun fil rationnel, il était partagé entre différentes facettes, comme si un concert transgénérationnel venait de lancer son show dans son crâne.... Alors, à défaut, Eiki se reposait sur ce qui était sûr, sur ce qui était admis et simple : l’attirance chimique, fusionnelle, entre un homme et une femme... Et la voix assurée de la femme. Son tendre baiser sur ses lèvres, ce corps chaud et doux se pressant contre le sien. Eiki n’avait jamais poussé le vice jusqu’à s’acheter une poupée gonflable, mais il se disait qu’être couché sur une femme était une sensation agréable...

Puis elle lui demanda de la déshabiller :

« D'ailleurs, maintenant qu'on est passés par cette étape cruciale... Vous êtes sûr de toujours pas vouloir me déshabiller ? Je me sens un peu serrée dans ces vêtements... »

Aucune raison, mais un léger bruit émanant de sa gorge ; il avait dégluti. Eiki n’arrivait plus à parler, de toute façon. Un mauvais démon avait volé ses cordes vocales, et il remua les lèvres, baissant instinctivement la tête vers les seins de la femme, les regardant sans vergogne, avec la discrétion d’un éléphant faisant un 500 mètres au milieu de l’autoroute. Il observa ses seins, cette chemise rouge vive, la taille trop courte de Jessica... L’uniforme scolaire était fourni par le lycée, mais les filles de Mishima, pour une raison assez obscure, avaient souvent une taille de poitrine plus importante que celles d’autres établissements. Ce faisant, l’établissement devait régulièrement demander des uniformes plus grands. En attendant qu’ils arrivent, les élèves avaient des tenues un peu courtes... Ce qui avait pour effet de mouler davantage leurs seins... Et ça, là, Eiki s’en rendait compte.

Il tendit sa main vers cette chemise, et eut un mal fou à retirer les boutons du haut. Là encore, c’était un mauvais porno. Un bon acteur aurait pris un sourire décontracté, aurait regardé cette nana bien baisable, lui aurait sorti une réplique bien sentie, du style : « Moi aussi, je vais bientôt me sentir serré », et boum, lui aurait défoncé le bassin comme si un marteau-piqueur avait poussé entre ses cuisses. Lui peinait à retirer le bouton du haut, et avança son autre main, afin de tenir la veste. Les aléas du direct... Elle avait quatre boutons à hauteur du ventre, et il réussit lentement à les retirer, faisant passer la veste par-dessus le bouton.

« Dé... Désolé, Jess’, mes mains tremblent... »

L’homme, tant bien que mal, finit par les retirer, et ouvrit les portes du Paradis. C’était comme dans cette chanson de Bob Dylan : il avait frappé aux portes du Paradis, et les voyait maintenant... Un corps magnifique, des formes qui auraient fait rêver n’importe qui... Et des seins merveilleux, qui apparaissaient aisément.

« On... On ne devrait pas faire ç-ça, Je... Jess’...

Comment avait-il réussi à sortir cette phrase ? Il n’en savait rien... Et, pourtant, tout en disant ça, une pensée dominante était en train d’exploser dans sa tête. Dans la guerre mondiale qui avait éclaté dans son esprit, c’était comme si l’un des belligérants avait réussi à attraper un mégaphone, et à rugir dedans :

*BAISE-LÀ, COUILLE MOLLE !*
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le vendredi 27 mars 2015, 22:46:42
Jessica allait progressivement se rendre compte que la partie n'était pas encore gagnée, entre la culpabilité de tromper sa petite amie et celle de coucher avec une élève, son prof avait encore beaucoup de verrous au niveau de son esprit, beaucoup trop pour espérer encore se libérer et apprécier pleinement ce qu'ils faisaient. Jess' commençait même à douter, alors qu'il était en train de, fébrilement, tenter de déboutonner sa chemise bien trop serrée. Il avait l'air presque forcé de le faire, il était stressé, ce n'était pas si étonnant que ça pour une première fois, mais dans le cas d'Eiki ça atteignait quand même des proportions que Jessica avait rarement vu, voire même pour ainsi dire jamais. La possibilité que sa culpabilité le rattrape, et que même ses charmes ne soient pas suffisants, se manifestait dans l'esprit de la jeune femme. C'était après tout probable, cet homme avait supporté des années de couple sans avoir la moindre expérience sexuelle avec sa partenaire, il fallait dans un sens être sacrément amoureux pour se frustrer autant pour quelqu'un, et peut-être qu'il regrettait et qu'il avait peur.
D'ailleurs, les craintes de la lycéenne ne tardèrent pas à se manifester quand Eiki lui dit, une nouvelle fois, qu'ils ne devraient pas le faire. Jessica se mit à soupirer, elle était déçue dans un sens, car l'envie de son côté était sincère, mais pour que ça marche il fallait que ça soit réciproque. Forcément, sur le coup, la jeune femme ressentit un coup porté à son ego. Elle n'était pas habituée à recevoir des refus, d'ailleurs aussi loin qu'elle s'en souvienne c'était la première fois qu'un homme se refusait à elle. Mais le pire, c'est qu'elle comprenait. Eiki était dans une situation délicate, le simple fait qu'il soit son prof le mettait dans une situation délicate si ce qu'ils venaient de faire venait à se savoir, et en plus il était déjà avec quelqu'un dont il semblait être amoureux.
Alors Jess' poussa un soupir, eu une moue un peu déçue.

Okay Senseï...je vais pas vous forcer à faire quelque chose dont vous n'avez pas envie.

Délicatement, elle se dégagea de l'homme, et commença à se rhabiller. C'était...pas vraiment ce qu'elle aurait espérée, et un désagréable goût d'échec la parcourait. C'était risqué depuis le début, mais ce risque avait après tout été une partie de l'attrait de la situation, sauf que ça ne s'était vraiment pas passé comme prévu. Du point de vue de Jess', il semblait évident que Eiki était en train de regretter ce qu'il avait fait, et qu'à ses yeux elle était la cause d'une infidélité. Ce n'était en plus pas vraiment faux, elle aurait juste voulu que ça soit mutuellement accepté, et que ça ne sorte jamais en public, que ça soit leur petit secret. Jess' reboutonna donc sa chemise, puis récupéra sa culotte qu'elle remis en place.

Je suis...désolée, vraiment. Je pensais qu'on pourrait arriver à quelque chose et que ça reste notre secret, mais visiblement vous aimez vraiment votre petite-amie, et franchement je peut pas vous en vouloir Senseï. J'espère juste que...well vous me considérerez pas comme une bitch, en tout cas je parlerais de ce qui s'est passé à personne, vous avez ma parole.
Bon...je vais pas vous déranger plus longtemps...passez un bon week-end.

Et elle s'en alla, la boule au ventre.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le samedi 28 mars 2015, 11:05:45
Un autre homme se serait foutu des baffes à l’idée de laisser passer une aussi belle nana… Un aussi beau lot, une peau sombre, chocolatée, qui vous faisait penser aux Caraïbes, au coucher du soleil, à toutes ces danseuses hawaïennes vous accueillant avec un collier de perles… Et, bien sûr, sa beauté était loin de se résumer simplement à sa couleur de peau. Non, en fait, pour autant qu’Eiki le sache, cette femme était parfaite. Tout, dans son corps, de ses cheveux à ses jambes fuselées, suscitait en lui une armada de fantasmes et de désirs pervers en tout genre. Il les voyait défiler dans sa tête, vrillant son esprit… Il lui léchait les pieds dans les plus doux d’entre eux, il se masturbait sur ses seins ou lui violait sa belle petite bouche dans d’autres… Mais ce n’était que des idées, que des fantasmes. Était-ce par amour qu’Eiki repoussait cette femme ? Était-ce par l’amour sincère et honnête qu’il ressentait pour Mashi ? Était-il comme Harry Angel dans Angel Heart ? Jessica était-elle la succube censée le faire définitivement basculer dans les vices infernaux ? Si c’était le cas, alors, en la voyant tourner les talons, il aurait dû ressentir une profonde satisfaction personnelle… Comme un sentiment d’accomplissement, avec cette certitude infinie d’être un paladin résistant à la Tentation… Pourtant, en voyant Jessica tourner les talons, Eiki n’avait qu’une envie : l’attraper par l’épaule, l’embrasser, et la prendre fougueusement contre le mur, réveiller l’être bestial et sauvage qui était en lui, réveiller la bête, réveiller l’être préhistorique qui sommeillait dans les tréfonds de son âme…

Mais ça, c’est ce qu’un autre homme aurait fait. Eiki se contenta de serrer les poings en voyant Jessica s’écarter. Il voyait l’air de déception sur le visage de son élève, mais il ne fit rien pour la retenir. À cet instant, son esprit était comme un shrapnel qui aurait explosé, les pensées disloquées dans tous les sens. Était-il juste fou de songer à faire ça avec SON élève ? Même sans parler de Mashi, le simple fait d’éprouver du désir pour une élève était profondément choquant… La majorité étant à l’âge de 20 ans, il n’y avait tout simplement aucune chance pour que Jessica soit majeure, et ce même si, physiquement, elle présentait tous les attributs d’une fleur ayant libéré toutes ses pétales.

*Est-ce là tout ce que tu souhaites, Eiki ? Que ta vie se résume à celle d’un pervers pédophile ?
L’amour de Mashi représente-t-il si peu d’importance à tes yeux pour que tu t’empresses de t’envoyer en l’air avec la première salope qui te tombe sous le nez ? Tu n’as qu’à aller aux putes, ça sera encore plus honnête !
Tu es idiot de la laisser partir… Regarde cette silhouette, ces formes ! Et tu sais ce qu’elle va faire, pas vrai ? Une fille comme ça, elle a qu’à taper dans un lampadaire pour que dix queutards lui tombent sous le nez ! Elle était pour TOI, Eiki !*

Un schrapnel de pensées… Mais, parmi ces pensées, deux idées subsistaient : il avait une trique de tous les diables, et la seule idée d’imaginer un autre homme pénétrer Jessica, en ce moment, lui était insupportable. Oui, il aurait dû la rattraper… Au lieu de ça, il s’enferma dans un mutisme coupable et honteux, la tête baissée, les dents serrés. Elle partit, le laissant seul avec son érection, et, presque machinalement, sa main retourna en pilotage manuel. Ses doigts se posèrent sur son sexe, et glissèrent dessus. Sa tête bascula lentement en arrière, et il soupira silencieusement, imaginant, non pas le corps de Mashi, qui était alors bien éloigné, mais celui, infiniment plus jouissif, de Jessica. Il la voyait danser dans ses rêves, telle une nymphe sauvage et exotique, il la voyait entre ses cuisses, là, son corps sous son bureau, prenant son vit entre ses lèvres pour y appliquer sa science légendaire… Elle était là, hantant ses rêves, les fertilisant, et c’est en pensant à elle que la crème jaillit, éclatant sur le rebord du bureau.

*T’as joué et t’as perdu, mon salaud. Regarde-toi, maintenant…*

Il soupira à nouveau, et se redressa. Son pantalon était ouvert, et sa verge n’était plus qu’un pneu crevé, un organe flasque et mou.

*Qu’est-ce que j’ai fait ?!*

Eiki avait repoussé cette femme… Est-ce qu’elle allait se mettre à parler ? Il savait ô combien la vengeance d’une femme pouvait êtrte terrible, mais il rejeta rapidement cette idée. Non, il ne voyait pas cette Australienne venir en parler aux autorités, et ce tout simplement parce qu’elle craindrait qu’il fasse la même chose. Et elle ne voulait sûrement pas d’un scandale sexuel qui aurait pu amener l’administrartion à la renvoyer chez elle… Eiki la pensait sincère quand elle disait vouloir lui faire l’amour, et c’était ça le plus terrible, car il savait qu’il était en train de se chercher des fausses excuses… Il voulait l’imaginer monstrueuse et vicieuse pour se donner l’idée de quelqu’un qui avait réussi à ne pas succomber, mais la réalité était infiniment plus simple.

Il avait envie d’elle, et c’était pour ça que l’idée de la voir avec quelqu’un d’autre lui était, pour l’heure, insupportable…

…Et elle le serait encore dans quelques jours.



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(http://img110.xooimage.com/files/4/c/4/eiki_head-4a8c223.jpg) Non, ça va, les élèves sont plutôt sympas

(http://img110.xooimage.com/files/7/a/b/misha_head-4a8c222.jpg) Ils ne t’ont pas encore volé tes mangas ?

(http://img110.xooimage.com/files/4/c/4/eiki_head-4a8c223.jpg) Je me réserve cette arme de destruction massive si jamais je n’ai aucune autre option…

(http://img110.xooimage.com/files/7/a/b/misha_head-4a8c222.jpg) lol

(http://img110.xooimage.com/files/7/a/b/misha_head-4a8c222.jpg) Je n’ai jamais douté de tes capacités pour éduquer ces fortes têtes ;-)

Eiki ferma les yeux en soupirant, et bascula la tête en arrière. En débardeur blanc et en short dans son appartement, il n’avait pas grand-chose du séduisant professeur. Coldplay (https://www.youtube.com/watch?v=oncmL69ZEJ8) tournait sur YouTube, et, sur Facebook, il parlait avec Mashi… Une soirée normale, normale comme n’importe quelle autre soirée… Et, pourtant, rien n’était normal. Internet était une véritable mine d’or, et, tandis qu’il discutait avec elle, il surfait volontiers. Il avait commencé par quelque chose de classique : il avait googlé le nom de Jessica, mais n’avait rien obtenu, sinon son profil Facebook… Et son cœur avait battu la chamade à l’idée de voir son statut. Il savait qu’il n’aurait pas supporté de voir un « EN COUPLE » s’afficher sur l’écran. Il en aurait ressenti une bouffée de jalousie instantanée.

Maintenant, il était comme Walter Mitty, face à la page Facebook de Jessica, de cette femme qui l’avait fait jouir, et qui lui avait fait des avances sexuelles ne souffrant d’aucune équivoque. Juste un clic, rien qu’un seul clic à faire… Mais il savait pour quelle raison il ferait ce clic. Tout cela défilait dans sa tête à toute allure, et il avait le sentiment que, en appuyant sur le bouton, en cliquant dessus, il scellerait sa destinée. C’était encore plus terrible actuellement, car Mashi lui parlait, lui demandant sa journée. Là, face à la page, il était en pleine hésitation.

*Un simple clic, ce n’est pas la mort…
Il faut être ferme, Eiki ! Ne te laisse pas distancer ! Sois fort et droit !*

Fort et droit… Tout ce qu’il se disait, en vain, comme un leitmotiv abandonné, comme une vieille rengaine usée, comme cette comptine politicienne que les gens n’écoutaient plus, à force d’en être bassiné dans tous les sens. Et, pendant ce temps, Coldplay chantait, et lui écoutait. Il bascula à nouveau la tête en arrière, s’écartant un peu de son bureau. Be my miror, my sword, my shield, my missionnaries in a foreign field… Classiquement, il associait ces paroles à Mashi, mais, au fur et à mesure que la chanson s’élançait, comme une formidable comptine d’amour et de joie envers la vie, ce n’était plus avec Mashi qu’il dansait dans les étoiles et leurs pieds dans la mer… Il voyait Jessica, il imaginait son corps, son fessier, ses seins, sa bouche, sa voix… Elle défaisait sa veste, elle filait dans les champs, et lui la suivait. C’était un amour intense, où son épée jouait avec son bouclier pour forcer le passage de son château. Les violons dansaient et Chris Martin poussait de longs cris lointains, et il se voyait avec Jessica, l’embrassant longuement, tandis que tout chantait autour d’eux, comme un immense feu d’artifice qui éclaterait dans le ciel…

…Puis ses doigts se retrouvèrent à nouveau maculés de sperme, et il bascula la tête en avant, sortant de son absence, hagard, épuisé comme s’il venait de faire un marathon. Mashi venait de matraquer sa page, et, d’une seule main, l’autre n’étant pas vraiment en état de toucher quoi que ce soit, il releva la page :

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(http://img110.xooimage.com/files/7/a/b/misha_head-4a8c222.jpg) Enfin, c’est cool que ça se passe bien avec tes bambins

(http://img110.xooimage.com/files/7/a/b/misha_head-4a8c222.jpg) Ça ne pourra qu’être la même chose quand on aura les nôtres :-P

(http://img110.xooimage.com/files/7/a/b/misha_head-4a8c222.jpg) Non ?

(http://img110.xooimage.com/files/7/a/b/misha_head-4a8c222.jpg) Eiki ??!!!!

(http://img110.xooimage.com/files/7/a/b/misha_head-4a8c222.jpg) Tu t’es endormie ? Allô ?!!!

*Merde, merde…*

Il s’extirpa de son fauteuil, et alla ouvrir le robinet de la cuisine, aspergeant de l’eau sur sa main, en grommelant. Il s’était masturbé sans même trop y penser, toujours en pensant à Jessica… Il fallait vraiment qu’Eiki exorcise ça… S’ils avaient été sur Skype ce soir, au lieu de traîner sur Facebook…

*Merde, merde !*

Il n’avait rien fait de mal, et, pourtant, il se sentait coupable… Il fallait qu’il oublie Jessica, il fallait qu’il l’oublie !

Eiki retourna sur son poste, décidé à demander, dès demain, la possibilité d’avoir une nouvelle classe, ou de trouver un moyen de déplacer Jessica ailleurs. Il risquait d’avoir quelques questions, mais, pour lui, c’était amplement préférable au risque de gaspiller sa vie avec elle. Eiki était remonté comme une pendule, mais, ce qu’il ignorait, c’était que, pendant sa « transe », il avait enfoncé le clic gauche de sa souris… Et, parfois, il suffisait d’un seul clic.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le dimanche 05 juillet 2015, 18:50:40
Jess' était rentrée chez elle après ça, tout simplement, l'échec de sa tentative lui avait coupé l'envie de faire autre chose que de juste s'isoler chez elle, avec son pc portable sur les genoux, à surfer sur internet. Elle ne pouvait pas vraiment s'empêcher d'en vouloir un peu à Eiki de l'avoir jetée, elle en comprenait pourtant les raisons, mais son ego était quand même un peu touché. C'était la première fois qu'on repoussait ses avances, et malgré le caractère risqué de ce qu'elle avait entrepris, elle avait surtout cru qu'elle avait pu y arriver, mais au tout dernier moment tout s'était cassé la figure. Est-ce que Eiki se tairait vraiment de son côté ? Allait-il la saquer à présent ? Ces questions et d'autres tournaient dans sa tête alors qu'elle surfait un peu au hasard sur le web, tout en ayant facebook activé dans un recoin. Ce soir était le début du week-end toutefois, aucun de ses amis n'était connecté car ils étaient en train de profiter de la soirée, Jessica aurait pu s'inviter au dernier moment, mais elle ne se sentait pas dans le mood pour voir des gens.
Après ce qui s'était passé cet après-midi, Jessica fut donc bien surprise de voir une demande d'amis apparaître dans un coin inférieur de son écran, émanant justement de la source de ses problèmes actuels: Eiki. Elle cligna un moment des yeux, persuadée d'avoir mal lu, où qu'il ne s'agissait pas de lui, mais si, c'était bien le bon.

Mais il joue à quoi ?

Vu la façon gênante dont ils s'étaient séparés, Jess' s'était sincèrement attendue à ce qu'il cherche à l'éviter le plus possible, et voilà qu'une demande d'amis l'attendait. C'était aussi étrange que dépourvu de discrètion, et elle aurait du refuser, mais la curiosité l'emporta, et elle entama alors une discussion avec lui à présent qu'il se trouvait dans son large répertoire d'amis.

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(http://img110.xooimage.com/files/9/c/a/jess-head-4a8d273.jpg) Senseï ?
(http://img110.xooimage.com/files/4/c/4/eiki_head-4a8c223.jpg) Bonsoir, Jessica...
              Tu vas bien ?
(http://img110.xooimage.com/files/9/c/a/jess-head-4a8d273.jpg) Ben...on peut dire ça, surtout assez surprise de recevoir une demande d'amis de votre part après ce qui s'est passé vendredi
              Vous êtes sûr que c'est raisonnable ? Votre petite amie va pas avoir des soupçons ?
(http://img110.xooimage.com/files/4/c/4/eiki_head-4a8c223.jpg) Je... Mashi n'en saura rien, et... Non, ce n'est pas raisonnable, tu as raison, mais je pense que la question de la raison ne se pose plus depuis ce que nous avons fait
              Et  puis, je préfère t'en parler plutôt que de laisser ça creuser entre nous
(http://img110.xooimage.com/files/9/c/a/jess-head-4a8d273.jpg) Si vous avez peur que je dises quoi que ce soit, je suis pas stupide. Encore une fois je ne dirais rien car ça serait mauvais pour nous deux, et à dire vrai je vois pas trop ce qu'il y a à ajouter.
              Vous avez pris votre décision, j'en respecte les raisons, mais comprenez que pour le coup en reparler me laisse perplèxe.
              De quoi vous voulez parler, en fait ?
(http://img110.xooimage.com/files/4/c/4/eiki_head-4a8c223.jpg) Je ne voulais pas que tu penses que je pourrais faire pression sur toi ou quoi que ce soit
              J'ai adoré ce que tu m'as fait, vraiment, mais... Je voulais savoir... Pourquoi moi ?
              Tu savais que j'étais déjà en couple, non ?
(http://img110.xooimage.com/files/9/c/a/jess-head-4a8d273.jpg)Si je vous dis la vérité, vous allez au mieux me considérer comme une salope, au pire me pourrir la vie.
 (http://img110.xooimage.com/files/4/c/4/eiki_head-4a8c223.jpg)Tu me crois capable de te faire du mal, Jessica ?
(http://img110.xooimage.com/files/9/c/a/jess-head-4a8d273.jpg) Peut-être, peut-être pas, ce que je sais c'est ce qui s'est passé vendredi, et ça avait pas l'air au final de vous faire "tant" de bien que ça. J'ai pas envie d'avoir d'emmerdes, surtout pas avec un de mes profs.
              Si vous voulez tout savoir, okay. Coucher avec un prof est un de mes tout premiers fantasmes, que j'ai jusque là jamais réalisée. Je vous ai trouvé à mon goût parce que vous étiez l'un des rares à ne pas me discréditer pour mes origines étrangères, et...ben j'ai tenté le coup, tout simplement.
(http://img110.xooimage.com/files/4/c/4/eiki_head-4a8c223.jpg) Ok
              Je vais être honnête avec toi aussi, alors, Jessica
              Tu es une femme très belle, la plus belle femme que j'ai jamais vu
              Quand tu es partie, je n'avais qu'une envie, qu'un seul souhait, t'attraper par la manche de ta veste, afin que tu restes là, et que nous terminions ce que nous avions commencé
              Maintenant, je suis en caleçon chez moi, avec pour seule satisfaction de vieux magazines pourries qui me donnent l'impression d'être un ado' de seize ans
              Et j'ignore pourquoi je t'ai repoussé, Jessica
              Je me dis que ça vient du fait que j'aime Mashi, mais je sais que l'attirance que j'ai pour elle n'est pas sexuelle
              Je me dis aussi que ça vient de mon statut de prof', mais bon...
              Je pense surtout que ça vient du fait que je suis encore puceau, et... Que j'ai eu peur...
              Peur que ça soit un piège, et que tu aies voulu me jouer un tour
(http://img110.xooimage.com/files/9/c/a/jess-head-4a8d273.jpg) Je vois
              Tout ce que je peut vous dire, c'est qu'il n'y avait aucun piège, j'avais juste...envie de vous...c'est toujours le cas d'ailleurs
              Mais à force de vous entendre dire qu'on aurait pas du faire ça, j'ai fini par me dire que vous en aviez pas tant envie que ça.
              Est-ce que je me suis trompée ?
(http://img110.xooimage.com/files/4/c/4/eiki_head-4a8c223.jpg) Tu es un test ambulant pour déterminer si une personne est vraiment homosexuelle ou non, Jessica
              J'ai flippé parce que tout ça avait l'air d'être une mauvaise blague
              Je ne voyais pas pourquoi une fille aussi belle que toi ait pu avoir envie de moi
              Donc, oui, j'ai envie de toi... Et j'en ai aussi toujours envie
(http://img110.xooimage.com/files/9/c/a/jess-head-4a8d273.jpg) Le week-end est à peine entamé.
              Si vous voulez, je pourrais venir chez vous...
              Ce serait moins risqué qu'en plein milieu du lycée, on aurait tout le temps devant nous
              Vous avez à peine pu appercevoir mon corps la dernière fois...
              Cette fois, il serait vraiment tout à vous. <3
(http://img110.xooimage.com/files/4/c/4/eiki_head-4a8c223.jpg) Tu... Tu veux vraiment le refaire avec moi, malgré ce que je t'ai fait ?
(http://img110.xooimage.com/files/9/c/a/jess-head-4a8d273.jpg) Et bien ça dépends, vous avez pris votre décision définitive ?
              Est-ce que vous avez "vraiment" envie de moi ?
(http://img110.xooimage.com/files/4/c/4/eiki_head-4a8c223.jpg) Oui
              Oui, Jessica, j'ai envie de te faire l'amour
              Je veux que tu fasses de moi l'objet de fantasme que tu désires tant
(http://img110.xooimage.com/files/9/c/a/jess-head-4a8d273.jpg) Dans ce cas, je peut être chez vous d'ici une demi-heure. A tout de suite, Senseï. <3

La discussion avait duré quinze bonnes minutes, entre autres du fait de longues pauses entre les réponses, chacun ayant eu visiblement le besoin de bien peser ce qu'ils écrivaient. D'une humeur maussade, Jess' venait de changer du tout au tout, et se trouvait excitée comme une puce. Eiki regrettait de l'avoir laissé, la peur l'avait guidé, et dans un sens c'était parfaitement compréhensible. Il lui avait suffi de réfléchir, de voir ce qu'il loupait, pour avoir des remords. Dans d'autres circonstances, Jess' lui en aurait voulu, mais c'était particulier, la conversation qu'ils venaient d'avoir avait mis en lumière les doutes de son professeur, doutes qu'il avait eu peur d'affronter sur le moment.
Ce qui n'était plus le cas à présent...
Elle enfila ses vêtements, un débardeur et une mini-jupe, puis sa paire de chaussures, puis sortit en trombe de son appartement pour se diriger vers la ligne de bus la plus proche. Jess' trépignait d'impatience, avoir une relation intense avec un prof était un vieux fantasme de sa part, et qui plus est cela se ferait dans son appart'. Il n'y aurait pas le stress que quelqu'un les suprenne, ou de le faire sur un bureau peu confortable, ils auraient tout le temps. Heureusement que la jeune femme était entraînée à pouvoir se contenir en public, car en anticipant le fou week-end qu'elle allait avoir, son sous-vêtement trahissait déjà l'excitation qui était la sienne. Le trajet fût long, très long subjectivement pour elle, mais enfin elle arriva vers l'immeuble où habitait Eiki. Elle monta par le biais de l'ascenceur jusqu'à l'étage, s'approcha de la porte correspondante, et toqua avant qu'on ne lui ouvre.

Bonsoir Senseï...

Laissa-t-elle échapper d'une voix basse, pour ne pas qu'on l'entende, mais extrèmement sensuelle.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le dimanche 05 juillet 2015, 20:14:04
Chaque fois qu’il fermait les yeux, ou presque, il pensait à Jessica. C’était comme un poison, comme si Jessica était un scorpion qui, en l’embrassant, en lui offrant sa culotte, l’avait piqué à chaque fois. Quel idiot ! Comment avait-il pu croire qu’il aurait pu se séparer de cette nymphe juste en lui claquant la porte au nez ? Au contraire, ça avait été encore pire ! Elle avait été là, face à lui, lui offrant du bout des doigts la grâce éternelle, et il l’avait rejeté. Il avait goûté aux saveurs infinies et aux langoureuses voluptés pour les rejeter, en pensant, naïvement, que l’amour qu’il ressentait pour Mashi serait comme la foi du pèlerin, un bouclier le protégeant de tout. Quelle naïveté ! Il se rappelait de tout d’elle. Son odeur, son parfum, la forme de ses lèvres, la rondeur de ses seins, la texture de ses cheveux... Sur le chemin du retour, il s’était même arrêté pour se masturber. Eiki n’avait envie que d’une seule chose : revenir en arrière, dans la salle de cours, poser sa main sur sa veste, la lui arracher, et lui faire l’amour, contre le mur, contre le tableau, sauvagement, tel l’homme qu’il rêvait d’être, et non l’archétype japonais du puceau a la petite bite. Au lieu de ça, il avait fui... Il prétendait que c’était par amour pour Mashi, avec la conviction d’un menteur se répétant tant et tant de fois un mensonge qu’il finissait lui-même par se convaincre qu’il était vrai... Mais Eiki connaissait la réalité. La réalité, toute simple, c’est qu’il avait eu peur de ne pas être à la hauteur. Jessica savait qu’il était vierge, un puceau, et il savait qu’il l’aurait déçu... Et il n’arrivait pas à accepter qu’elle puisse rire de lui dans son dos. Qui sait pourquoi elle voulait coucher avec lui, après tout ? Il se disait que c’était peut-être par sadisme, pour se dire que les profs étaient des puceaux... Et ça, ça lui semblait inacceptable... Mais, plus le temps passait, et plus il arrivait à convaincre que ce n’était pas ça, que Jessica avait juste un fantasme, comme lui. Quel mal y avait-il à l’exaucer ?

*Personne ne le saura, sauf elle et moi... Je tire un coup, j’apprends la beauté d’un corps féminin, elle exauce son petit trip, puis repart en Australie se taper des surfeurs et des touristes à tire-larigot...*

Voilà ce qui le tentait. Une histoire sans lendemain, tout simplement. Après leur conversation sur Facebook, il tourna en rond, avant de vite se changer. Il lava ses mains, passa un coup de déodorisant dans son studio, rangea ses sous-vêtements, puis s’enfila une chemise propre. Elle allait venir... Putain, elle allait venir Il était encore plus excité que si Misha lui annonçait une visite impromptue. Il posa ses mains sur le lavabo en s’observant, tremblant, fiévreux, excité comme un adolescent de quinze ans sur le point d’avoir sa première pipe.

*Respire, Eiki, respire... Zen, relax !*

Facile à dire... Il se mit du déodorant sous les aisselles, et enclencha le ventilateur. Il faisait chaud en ce moment, à Seikusu, comme souvent au Japon, mais sa température corporelle s’emballait. Il réalisa alors que Mashi avait tenté de l’appeler, et se pinça les lèvres.

*Merde !*

Observant sa montre, Eiki se pinça les lèvres. Mashi était un radar sur place, et elle devait s’inquiéter... Il se dépêcha donc de l’appeler en fermant les yeux, entendant le répondeur. L’homme déglutit, songeant encore et toujours à Jessica, à la belle Jess’, qui était en chemin. Elle devait être dans le bus en ce moment... Si toutefois elle venait.

« Salut, Mashi !... Oui, je, excuse-moi, mais... Hum... J’ai tout un tas de copies à corriger, et... Ouais, ça me prend du temps, et j’ai un peu laissé traîner, et... J’ai eu un problème avec Internet, et... Non, non, rien de grave, j’pense que ça doit être la ligne qui est saturée, ça le fait assez souvent, ici. C’est à cause du transformateur, t’vois, y a des travaux, et, parfois, ça sature... »

Il déblatérait une série de mensonges, comme un homme marié qui aurait de l’expérience pour tromper sa femme avec sa secrétaire. Est-ce qu’il devait se sentir coupable ? Assurément... Mais, tandis qu’il parlait, son autre main était enfoncée dans la poche de son pantalon, et il se masturbait délicatement. Eiki avait toujours été un garçon précoce en matière de sexe. Outre les mangas qu’il lisait, ou les animes qu’il observait discrètement sur Internet, il se rappelait encore de ces années au lycée. Il estimait avoir joui dans ses toilettes sur toutes les filles de la classe, même les grosses asociales. Toutes ces pulsions refoulées refaisaient surface avec la puissance d’un taureau en train de charger une biche.

Mashi était inquiète, mais son baratin sembla la convaincre, et il raccrocha... Avant de soupirer. Il avait encore envie de jouir, et était tendu comme une corde à violon. L’homme fit les cent pas, en se demandant pourquoi Jessica prenait autant de temps.

*Ça me paraît évident, abruti. Tu l’as laissé tomber une fois, elle n’a pas confiance en toi !
Pourquoi perdrait-elle son temps avec un mou du slip comme toi ? Tu es avec Mashi depuis des années, et tu n’as jamais eu le courage de lui parler des mangas que tu t’enfiles en douce ! Non, elel est en train de se faire sauter le cul, là, et elle a bien raison, car c’est pas avec toi qu’elle va prendre son pied.
Fermez-là !
Tu crois tromper qui, hein? Tu t’attends à quoi ? Une folle nuit torride, où elle te griffera les dos, et où elle finira écroulée devant le corps du bellâtre et viril amant ? Tu rêves ou quoi, pauvre idiot ? Tu vas jouir en trois secondes, et elle va se foutre de ta gueule. Oh putain, ça va être épique ! J’imagine ça sur Twitter et sur l’Intranet de Mishima... Eiki, éjaculateur précoce.*

Il secoua la tête, ouvrit son frigo, et but un verre de jus d’orange, avant d’ouvrir la porte du balcon. Son érection ne s’arrêtait pas, et il pouvait voir, depuis le balcon, la cour intérieure de la résidence. Personne... Pas même l’un des foutus chats de Tahara-san, la concierge. Eiki soupira encore, retourna dans son studio, s’assit sur le lit... Et entendit alors sonner.

*Oh putain !*

Il s’avança rapidement, et ouvrit la porte, les mains tremblants... Jessica était là, et il vit sa belle tête aux yeux rieurs et aux longs cheveux verts, qui lui parla d’une voix basse, chargée de sensualité, en se contentant de le saluer. Elle parlait à voix basse, comme deux amants infidèles essayant d’échapper à un Huissier de Justice. Le couloir extérieur (c’était un immeuble japonais, donc le couloir était en fait une terrasse) était désert, et il s’écarta.

« Salut, Jess’. Vas-y, entre. »

Eiki referma la porte derrière elle, la verrouilla, puis la regarda, avant de s’humecter les lèvres.

« Tu... Euh... Tu veux boire quelque chose ? »

Sans même le réaliser, il avait oublié de changer sa page Internet. Elle était donc toujours figée sur sa conversation Facebook avec elle, et sur la demande qu’il avait formulé : « Je veux que tu fasses de moi l’objet de fantasme que tu désires tant ». Il savait se faire poétique quand il le fallait ! Et là, en la voyant, il ne pouvait s’empêcher de se dire que Jessica était belle.

Terriblement belle.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le lundi 06 juillet 2015, 20:36:51
Vêtue de sa tenue légère (http://img110.xooimage.com/files/3/9/2/392727f1a3969f0aa...7ca0167c-4beb63f.jpg), Jessica était indéniablement un appel à de longues et passionnées étreintes. Un simple débardeur blanc qui trahissait l'absence de soutien-gorge, un mini-short brun, et un string blanc en dessous, ainsi qu'une paire de petites sandales qu'elle avait rapidement ôté après avoir franchi le pallier de l'appartement. Et c'était tout, Jess' avait choisi la stratégie de la tenue légère non seulement car il faisait chaud, mais aussi car elle avait la sensation que, au moins au début, se ramener dans une autre tenue que celle d'écolière permettrait à Eiki de passer le cap plus aisément. Jessica était nue sans l'être, ses vêtements étaient légers, bien adaptés à la chaleur ambiante même si il faisait nuit, et à la façon dont son prof la dévorait du regard, rien ne pouvait nier en prime l'aspect sexy que lui offrait cette petite tenue.

Oh je veux bien un verre d'eau oui, il fait chaud ce soir, sans compter qu'il va faire encore plus chaud d'ici peu...

Joueuse et espiègle, elle ne jouait même plus la carte de cacher ses intentions, elle était clairement venue ici pour faire l'amour à son prof, ce dont ils avaient discuté sur le chat une demi-heure auparavant ne laissait aucun doute après tout. Mais elle ne lui sauta pas pour autant dessus, elle avait fait ça précédemment, et cela n'avait que moyennement marché. Ici, dans cet appartement, personne ne viendrait les déranger, et ils étaient dans un lieu privé qui leur permettrait donc de prendre bien plus leur temps.
Pendant que son Senseï alla lui chercher un verre, Jessica s'avança un peu plus dans l'appartement, puis prit place dans ce qui semblait être le salon, sur un canapé assez confortable, qui faisait face à une télévision. Sur un bureau à proximité, son regard fût attiré par l'écran d'un ordinateur portable, où elle distingua clairement la fenêtre encore ouverte de leur discussion. Cela la fit sourire, il avait fallu finalement de peu pour que la situation évolue encore, mais elle espérait que cette fois, ils s'en tiendraient à leur plan originel. Jessica regardait aussi son prof, alors qu'ils s'afférait dans sa cuisine. Il était plus vieux qu'elle, tout en conservant une apparence de jeune actif qui s'entretenait, cette mâturité l'attirait, en plus du fait qu'il soit son professeur. Oh tant d'idées lui trottaient dans la tête à présent, mais elle demeurait prudente toutefois, et réfléchissait à la façon d'aborder les choses. Entrer tout de suite dans le vif du sujet pouvait s'avérer délicat, contre-productif. Eiki revint avec un verre d'eau frâiche, qu'elle s'empressa de boire.

Hum merci, le trajet en bus était long et sans vraie climatisation.
So...Senseï...nous y voilà. Vous et moi, dans votre appartement, nous apprêtant à passer la nuit à faire l'amour. C'est peut-être comme ça qu'on aurait du commencer en fait, mais je m'étais dit que...well, que de vous stalker jusque chez vous m'aurait fait passer pour une dingue à vos yeux.
Je veux juste, vraiment, que les choses soient claires. Il n'a jamais été, et ne sera jamais question de vous attirer des emmerdes. Je sais que je radote mais...je sais que vous prenez des risques de votre côté, alors je voulais juste vous faire savoir que ce qui se passera entre nous, restera vraiment entre nous, et vous déciderez si jamais vous voulez y mettre un terme, je respecterais votre décision. Okay ?

Jessica sentait qu'il était nécessaire de rassurer cet homme. Elle pouvait comprendre, le fait de tromper sa petite amie, pour un japonais, devait être encore dur à réaliser, et même pour n'importe quel homme ayant une quelconque intégrité morale. Mais ce qui la guidait était une envie de longue date, un fantasme qu'elle allait enfin pouvoir réaliser, et cela aidait pour sa part à atténuer son sentiment de culpabilité. Et puis, comme disait le proverbe...pas vu, pas pris.

Maintenant que c'est fait...que diriez vous de passer à des distractions plus agréables hum ?
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 06 juillet 2015, 21:48:49
Comment était-il possible d’avoir des seins aussi gros ? Eiki mourrait d’envie de savoir si cette poitrine était naturelle ou non... Même s’il avait une petite idée de la réponse. Sans trop pouvoir se l’expliquer, il était convaincu que cette femme ne plastiquait pas ses seins, qu’elle n’avait pas augmenté leur taille. Pour ce jeune professeur, c’était un solide argument physique. Pour s’en convaincre, il suffisait de regarder n’importe quel hentaï ou dōjin. Les femmes avaient souvent une poitrine très développée, ce qui correspondait à de lointains fantasmes japonais. Même dans les peintures anciennes, datant par exemple du 19ème siècle, les femmes étaient représentées avec des poitrines opulentes. Cette tradition était restée,  et, dans l’imaginaire collectif nippon, les Occidentales étaient connues pour leur forte poitrine. Jessica était une Australienne, et elle était conforme au cliché en vigueur sur l’Australie et sur les femmes au sang chaud qui peuplaient cette grande île.

Elle répondit favorablement à son invitation, et il hocha la tête.

« Oui, mets-toi à ton aise, alors... Je n’ai qu’un ventilateur pour se rafraîchir, alors... Euh... J’ai laissé la porte du balcon ouverte... »

Qu’est-ce qui lui prenait de raconter ça ? Eiki se sermonnait devant la stupidité de ses propos, et fila dans la cuisine. Il ouvrit le réfrigérateur, tandis que Jessica, belle et magnifique, s’installait sur un canapé, dans le salon. Il avait mis des bouteilles d’eau au frais, et en sorti tune, tout en ayant la tête la vision des seins de Jessica. Avec la chaleur et son débardeur blanc, la sueur avait moulé ses seins, et il avait pu discerner ses tétons. La femme avait opté pour une tenue extra courte, contrairement à lui, qui avait enfilé une chemise (à manches courtes) avec un pantalon. Une chemise de soirée, bien entendu, le genre de tenue qu’il enfilait quand il allait en boîte. Mais elle... Avec son minuscule short noir et son débardeur qui laissait tout voir, elle était franchement magnifique. Il l’imaginait danser ainsi dans les boîtes de nuit, et il comprenait tout à fait pourquoi elle n’avait aucune difficulté à trouver des amants potentiels. Il était sûr qu’elle avait fait la tournée des boîtes de nuit, en couchant à droite et à gauche.

*C’est simple, le sexe ne la gêne pas du tout, alors que je dois affronter Parkinson...*

Quand avait-il été encore plus nerveux ? La chaleur, déjà forte, explosa en lui, alors que son érection ne démordait pas. Est-ce qu’elle l’avait vu ? On disait que les femmes avaient, sur ce point, une sorte de sixième sens. Il aurait cru que son érection aurait diminué sous l’action, mais, loin de se calmer, elle avait semblé s’accroître quand Jessica était entrée, qu’elle lui avait parlé, avec sa belle voix, avec sa voix magique, avec son corps bronzé aux formes incroyables et harmonieuses... Elle était une Bella, le genre de femmes qui enflammaient les villages et les caleçons, qui vous faisaient tourner la tête, et vous damnaient encore plus efficacement qu’un million de dollars en petites coupures dans une mallette métallique.

Il remplit deux verres, tout en ayant encore en tête son corps. Elle était là, dans son dos... Il ne rêvait pas, elle était bel et bien là ! Elle ! Et... Et...

*On va faire l’amour... Putain de bordel de merde !*

Eiki aurait dû se sentir gêné, mais, en ce moment, il n’y avait plus aucune excuse pour la repousser. Il était pris au piège par cette femme, et savait qu’il ne pourrait pas faire marche arrière. Eiki était ainsi, partagé entre l’envie furieuse de coucher avec elle, et la peur de tomber dans un piège, non pas parce que Jessica se jouerait ensuite de lui, mais parce qu’il deviendrait accroc à son corps. Elle était belle, trop belle. Elle était comme le fruit défendu, une pomme rouge vive qui dansait au bout de sa branche, le pompon que tout gosse voulait attraper en enfilant les tours de manège.

Il se retourna vers elle, et lui tendit le verre d’eau, en s’installant sur un fauteuil face à elle. Le simple fait de la voir boire son verre était magique... Elle le but rapidement, relevant la tête, dévoilant davantage ses seins. Eiki était comme hypnotisé par eux, et déglutit en relevant la tête. Sa gorge était sèche, son corps en feu, son cœur tambourinant furieusement dans sa poitrine.

Elle se mit à parler, et il l’écouta, sans rien dire. Elle lui répéta qu’elle ne voulait pas lui faire de mal, mais juste avoir un plan cul avec un professeur. Eiki ne dit rien ensuite, ce qui amena une sorte de silence assez déstabilisant, avant qu’elle ne se mette à parler à nouveau, pour proposer de passer aux choses sérieuses.

*C’est maintenant ou jamais, Eiki !
Va-t-en !
Repousse-là !
MAIS EMBRASSE-LÀ, PUTAIN !*

Il se releva alors, et repoussa le verre d’eau, puis sa main alla se saisir de celle de la femme. L’espace les séparant n’étant que de quelques mètres, il avait été facile de la rejoindre. Son corps près du sien, il reniflait son odeur, sa chaleur, sa douceur, sa volupté.

« Oui... Tu... Tu es si belle, Jess’... »

C’était tout ce qu’il avait réussi à dire. Il se pencha vers elle, en déplaçant sa main. Il l’avait déjà embrassé dans la salle de cours, mais, cette fois, il ne pouvait plus fuir... Il se rapprocha d’elle, en avant, et ses lèvres finirent par se plaquer sur les siennes. Il les entrouvrit, le sexe hurlant entre ses cuisses, caressant le corps de son amante, et scella ses lèvres contre les siennes, en sentant une vague de plaisir le traverser comme un missile explosant en atteignant sa cible.

Il l’embrassa, se pressa contre le corps de cette succube, avec la seule volonté de s’y abandonner...
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le lundi 06 juillet 2015, 22:49:19
Jusqu'au dernier instant, Jessica avait eu peur que les choses ne foirent à nouveau, il pouvait suffire d'un rien pour que Eiki soit à nouveau pris et tourmenté par ses doutes, et la jeune femme voyait dans chaque hésitation, chaque silence de sa part, un risque qu'encore une fois il ne la repousse. Certes, il ne l'avait pas vraiment repoussée au lycée, mais son attitude d'alors avait été tout comme. Pris par les doutes, les remords et la peur, il avait été tellement focalisé sur ça et non pas sur elle, que Jessica l'avait pris comme un refus de continuer. Elle craignait, jusqu'au bout, que ce silence suivant ses explications ne soit les prémices d'excuses à venir, comme quoi ce qu'ils faisaient n'était pas moral, et qu'ils feraient mieux d'arrêter avant qu'il ne soit trop tard.
Mais, à son grand soulagement, il fût trop tard. Délaissant son verre d'eau pour s'approcher d'elle, et saisir sa main, Eiki lui avoua alors qu'elle était belle. A la sensation de son corps de rapprochant du sien, et qu'enfin il s'abandonnait à elle, Jess' sentit une lourde bouffée de chaleur l'envahir, qui n'allait nullement s'atténuer puisque enfin il vint l'embrasser. Jessica fût surprise qu'il prenne ce genre d'initiatives, mais elle était agréablement surprise, et rien ne pu l'empêcher de pousser un long soupir de plaisir entre les lèvres de son prof, au cours de ce baiser auquel elle répondit langoureusement. Si il avait scellé ses lèvres contre les siennes, Jess' elle ne comptait pas s'en arrêter là. Gourmande, elle entrouvrit ses lèvres, et envoya sa langue inquisitrice à la recherche de sa partenaire, dans la bouche d'Eiki qu'elle ne maqua pas d'aller explorer. Jess' lui offrait un french kiss langoureux, chaud, prometteur d'une longue nuit de délices et de débauche.

Au moment où son prof s'était approché d'elle pour aller l'embrasser, Jessica avait écarté ses cuisses, dans l'optique qu'il puisse se coller tout contre elle. Malgré les hautes températures de cette nuit d'été, Jess' cherchait volontiers la chaleur corporelle de son amant, et se blotissait contre lui. Au travers de son mini short, le peu de tissus que les deux portaient permit à Jessica de confirmer ce qu'elle soupçonnait déjà, Eiki était en train de bander comme un taureau, probablement depuis la fin de leur conversation, en anticipation de ce qu'ils allaient faire. Il fantasmait donc bel et bien sur elle, il avait envie d'elle, de la prendre, de lui faire l'amour, de la baiser, et c'était réciproque. Leur baiser dura un long moment, et tandis que Jess' utilisait ses mains pour parcourir le dos de son partenaire, elle avait enroulé ses jambes autour de son bassin pour le coller contre elle, et l'empêcher de partir. Joueuse, elle avait alors ondulé son bassin, frottant son entrejambe contre la protubérance, l'érection d'Eiki, afin de stimuler son envie et sa frustration.

Oh Senseï...si vous saviez comme j'ai envie de vous...

Insatiable, la belle succube retourna l'embrasser, autant pour son propre plaisir, que pour ne laisser à Eiki aucun doute possible quand à son état d'excitation, quand au fait qu'elle avait envie de lui. Puis, elle le repoussa momentanément, afin de le faire s'asseoir sur le canapé. La fougue d'Eiki était louable, mais son inexpérience était un handicap, et cette fois Jess' comptait d'avantage prendre les rennes afin de le guider, et ne pas refaire la même erreur. Malgré son âge plus élevé, il restait un novice, alors qu'elle même était une maîtresse, et se devait donc de le "former" pour ainsi dire. Une fois Eiki assis, Jess' vint sensuellement se placer à califourchon sur lui, son entrejambe encore une fois venant se coller à la grosse bosse formée à son pantalon.

Là...hum, vous bandez très fort Senseï, je peut le sentir. Vous aimez mon corps hum ? Ma belle petite peau bronzée, mes gros seins, et mon beau cul...tout ça c'est à vous.

Elle approcha alors son visage du sien, déposant alors une multitude de petits baiser dans son cou, sur ses joues, son front et son nez.

Je suis...toute...à vous...rien...qu'à vous...

Chacun de ses mots étaient entrecoupés de ces baisers, mais ses mains elles ne demeuraient pas inactives, puisqu'elles carressaient le torse du bel homme pour sentir sa musculature. Même si il n'était pas un mister universe, elle l'avait déjà vu nu, et vu que ce corps n'était pas dépourvu d'une musculature suffisament développée pour éveiller chez Jess' l'envie de palper.

Hmmmmm....touchez moi, carressez moi Senseï...je veux vous sentir vous approprier mon corps.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 06 juillet 2015, 23:28:02
Eiki bandait tellement mal qu’il en avait mal, mais sacrément mal. Il était incapable de se dire à quand remontait une telle érection et une telle situation. Grisante, électrique, il avait l’impression qu’un transformateur électrique venait d’exploser le long de ses cuisses. Dans son imagination enfiévrée par le désir et par la bouche magique de Jessica, qui était comme un puits sans fin de plaisir profond, il imaginait son sexe prendre la forme d’un piston, d’une machine industrielle qui allait déboîter le corps de cette Australienne chaude comme le Mont Fuji. Son trouble et son plaisir augmenta encore d’un cran quand, joueuse, elle enfonça sa langue dans sa bouche. Eiki sursauta quand la langue de la femme heurta la sienne, et il redressa les dents, en craignant de la mordre. Ce serait l’accident bête ! Il tremblait, et crispa ses doigts sur le corps de la femme, notamment son épaule, afin de se détendre. Yeux clos, Eiki s’absorbait contre elle, convaincu d’être, ici, l’élève. C’était avec humilité& qu’il acceptait cette situation. Il avait initialement craint que son statut de novice ne soit un obstacle aux yeux de Jessica, car il se disait alors, naïvement, qu’elle recherchait, au sein du corps enseignant, un amant expérimenté, le mâle viril qui la changerait de tous les éjaculateurs précoces qu’elle devait s’enfiler dans sa classe. Pour le coup, c’était lui qui avait raté la marche dans la salle de classe, et notre courageux senseï (qui adorait la manière dont Jessica le disait, avec ce souffle le long de ses lèvres et cette aspiration rose qui ressortait de sa bouche) entendait bien se rattraper en ce moment.

Même si Jessica n’était pas chez elle, c’était elle qui menait la danse, et elle le lui montrait en ce moment, en l’embrassant tendrement, longuement. Elle jouait avec l’homme, lui montrant toute son expertise dans ce domaine, tout son talent, un talent certain et indéniable, qui ne demandait qu’à s’affirmer, et qui croissait à chaque fois. Il goûtait à ses lèvres, et jouait avec sa langue, déplaçant la sienne, en constatant qu’elle n’était pas figée à son palais. C’est ce qu’on appelait un French Kiss, du nom de ce peuple spécialiste en baisers.

« Hum... »

Il soupira contre la bouche de la femme, et sentit cette dernière remuer un peu. Son sexe heurtait ses cuisses, et il soupira quand les jambes de la femme s’enroulèrent autour de sa taille. Eiki se redressa alors, et posa une main sur les cheveux de la femme, glissant l’autre le long de sa nuque, et la souleva. Elle était lourde, mais lui était fort. Sans être baraqué comme Schwarzenegger, Eiki faisait souvent du sport, s’entraînant, et on en voyait les résultats en ce moment. Il souleva Jessica au milieu de ce salon, sans rompre le baiser, la serrant contre lui, serrant si fort qu’il craignait même de l’étouffer. Les seins de la femme formaient comme deux tisons de plaisir qui s’enfonçaient contre son torse, le faisant trembler. Le plaisir affluait dans tout son corps, un plaisir jouissif et bienvenu. Sa main caressait son débardeur, et glissait parfois sur sa peau. Une peau douce, chaude, mais empreinte d’une sorte de fraîcheur innée qui le faisait trembler. Il l’embrassait, encore et encore, sans relâche, les minutes défilant à toute allure.

Elle maîtrisait la danse, et ce fut elle qui rompit le baiser, un baiser qui avait balayé toutes les interrogations et tous les doutes d’Eiki. Au diable Mashi, au diable le regard des autres, au diable tout sauf eux deux ! C’était la seule chose qu’Eiki voulait en ce moment : elle. Leur baiser se termina trop tôt pour Eiki, et, alors qu’il voulait l’embrasser à nouveau, en rapprochant instinctivement son visage du sien, Jessica le repoussa. Ses chevilles heurtèrent le canapé, et, dans un soupir, il s’affala dessus.

Divine et magnifique, elle se dressait là, au milieu de son salon, et EIki déglutit à nouveau. Elle avait joué avec lui pendant ce baiser, joué en se servant de son bassin, joué avec son corps, avec ses lèvres, ses doigts... Une véritable experte qui se rapprocha lentement de lui. Son membre turgescent tapait contre son pantalon, et, alors qu’elle se rapprochait, le souffle vint à lui manquer.

« Je... Jessica... »

Le courageux professeur déglutit quand elle se rapprocha, se mettant à califourchon sur le canapé, l’encerclant totalement. Plus aucune échappatoire. Il releva la tête, voyant son beau visage se découper par-delà les obus de chair. Son petit short noir heurta son pantalon, et elle appuya dessus, comme si elle enfonçait sa main sur un buzzer qui déclencherait des réactions chimiques dans tout le corps d’Eiki.

Elle lui parla alors, de sa voix mielleuse, de sa voix sensuelle et magnifique, en résumant très bien sa situation. Sans pouvoir se l’expliquer, l’entendre dire qu’il bandait « très fort » déclencha en lui une onde masculine de satisfaction, comme une sorte de virilité inconsciente et néanderthalienne. Il n’arrivait plus à parler, et elle l’embrassa sur tout le pourtour du visage, chacun des baisers déclenchant en lui comme des hoquets de stupeur et de plaisir. Elle le manipulait comme une poupée gonflable masculine, car elle savait que l’homme ne manquait pas de volonté et d’envie, mais d’expérience. Il sentait les mains de la femme remuer sur sa chemise, une chemise trempée, et, tout en l’embrassant, en déplaçant sa tête sur tout son visage, elle parlait, lui disant des mots chaleureux, envoûtants, qui le berçaient et le faisaient rêver. À lui... Toute à lui... Rien qu’à lui. Dans les faits, c’était plutôt l’inverse, mais il saisissait volontiers l’idée.

Elle lui dicta alors ses ordres, et il répondit presque instinctivement. Ses mains étaient alors dans le vide, et il les posa sur les hanches de la femme, les caressant, et les remonta vers ses seins. Il tira sur les rebords du débardeur, et fit sortir les seins, en déglutissant lentement.

« Tes... Tes seins... Ils... Ils sont si gros, J-Jess’... »

L’homme déglutit à nouveau, et approcha son visage, puis le glissa entre ses seins, et déposa ensuite ses lèvres sur l’un de ses seins. Il s’y enfonça un peu, et déposa un baiser dessus, puis approcha sa langue de l’un de ses tétons, ce petit bout rose pointu et tendre. Sa langue était nerveuse, et il reprit son souffle, fermant les yeux, avant de le lécher et de le suçoter. Ses mains, elles, retournèrent caresser le corps de la femme, et filèrent dans son dos, afin de plaquer son visage contre le sien. Ses mains étaient dans le bas de son dos, la ceinturant, et il entreprit d’en laisser tomber une, se rapprochant ainsi de ses fesses, son délicieux cul, qui le hantait, et le hantait encore plus depuis qu’il l’avait vu, serré dans ce short noir.

« Hnnn... »

Sa tête était contre l’un de ses seins, s’absorbant dans ce plaisir qu’elle lui offrait... Et qu’il acceptait sans aucun problème.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le mercredi 14 octobre 2015, 12:58:11
Jessica était cette fois vraiment comblée, car enfin son prof se laissait aller. Fini les considérations morales qu'elle trouvait dépassées, fini les remords, Jess' pouvait sentir à quel point Eiki avait envie d'elle à la façon dont il bandait. La jeune femme frottait son entrejambe, protégée encore par son mini short, contre la bosse qui s'était formée dans le pantalon de son partenaire, et elle se mordillait les lèvres rien qu'à  imaginer cette queue toute dure en elle. Oh oui, l'Australienne était volontiers nymphomane, et avait une libido digne des idées préconçues qu'on pouvait se faire sur les filles venant du sud, mais elle assumait pleinement ses pulsions. Là, elle allait se taper l'un de ses profs, et probablement à de multiples reprises. Elle en avait envie, et quelque chose lui disait qu'Eiki serait plus que ravi d'avoir un plan cul régulier, au lieu d'avoir à se branler sur des mangas.
Cette fois, Jess' n'eut pas à se dénuder, car c'est son prof qui prit l'initiative d'abaisser les bretelles de son petit haut, qui s'abaissa en libérant son opulente poitrine. Vu qu'il était évident qu'ils allaient baiser ce soir, la jeune femme n'avait pas vu la nécessité de porter un soutien-gorge, car ce serait ça de moins qu'elle aurait à ôter. Sa tenue de ce soir était minimaliste au possible, d'autant que le fait d'être sortie sans porter de sous-vêtements avait contribué à légèrement l'exciter au préalable. Là, alors que son prof la complimentait sur la taille de ses seins, la jeune femme était chaude comme la braise.

Huhu...j'en conclus qu'ils vous plaiiiiiiiiii....Han Senseï...

Elle avait été surprise qu'Eiki fourre sa tête entre ses seins, mais agréablement surprise, enfin il se lâchait, enfin il allaient baiser comme des bêtes ! Jessica se mit à sourire tout en soupirant, et ses mains vinrent se glisser à l'arrière du crâne de son prof, pour l'encourager dans sa démarche. Il alla ensuite lécher un de ses gros seins, prenant son téton déjà bien durci dans sa bouche, tandis qu'elle se mettait à frotter vraiment son entrejambe contre l'éréction du bel homme. Elle sentit l'une de ses mains se glisser dans son dos, de plus en plus bas, mais il semblait hésiter encore à vraiment franchir le pas d'aller palper son cul. Elle l'encouragea en posant une de ses mains sur la sienne, et la guida effectivement plus bas, jusqu'à ce qu'il puisse mouler avec ses doigts l'une de ses fesses fermes et rebondies.

Mon cul vous plaît Senseï ? Allez-y prenez le dans vos mains, j'adore quand des mains fermes me le malaxent.

Puis, coquine, elle approcha son visage d'une des oreilles du l'homme pour lui murmurer quelques paroles salaces.

Et j'adore sentir de belles queues me le défoncer...huuuuuuuuum...

Elle resta dans sa position encore quelques secondes, puis elle se redressa, debout, toujours en face de son Senseï. Elle entreprit tout d'abord de retirer son débardeur qui la gênait, puis elle fit un petit demi-tour sur elle même pour offrit à Eiki la vue de son cul qu'elle cambra. Elle se recula ensuite, écarta alors ses jambes et revint s'asseoir sur Eiki, cette fois en lui tournant le dos mais en étant tout contre lui. Elle se mit alors à remuer son cul contre le sexe de son prof, qui dans sa position avait un bel accès au corps de sa lycéenne.

Oh Eiki...ça faisait tellement longtemps que j'avais peu eu autant envie de baiser avec quelqu'un...
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 14 octobre 2015, 15:10:25
Qui l’aurait cru ? Il avait beau être fiancé, et être un professeur respectable, il était bel et bien d’embrasser une fille, l’une de ses élèves. Eiki avait résisté, il avait vraiment essayé de s’accrocher à ses devoirs conjugaux, à son obligation de fidélité... Mais la tentation avait été trop forte. C’était un classique. Un classique éternel, la preuve que, si l’esprit humain aimait l’originalité et la créativité, il ne pouvait s’empêcher de ressasser les vieilles besaces, et les anciennes formules. Cette femme, cette nymphe australienne, était venue dans sa vie comme une tornade, et, s’il l’avait repoussé au début, il avait fini par succomber. Pouvait-il vraiment dire que c’était de la faute de Jessica ? C’était lui qui avait pensé à elle, lui qui s’était masturbé, lui qui l’avait retrouvé sur Facebook. Oh, elle n’était pas totalement innocente non plus, mais il savait que c’est lui qui, dans un tribunal, aurait tous les torts. Il était l’homme mâture, l’homme qui représentait l’État, qui incarnait les valeurs morales que le Japon cherchait à enseigner à sa jeunesse et aux étrangers venant profiter du savoir important du pays. Au lieu de ça, il avait invité une élève chez lui, et ils étaient en train de commencer à se faire l’amour. C’était horrible... Mais aussi terriblement excitant. La sensation de transgresser un interdit moral et sociétal. Une sorte de couche supplémentaire au plaisir purement physique et bestial qu’Eiki ressentait en ce moment.

Le cliché japonais sur l’attirance pour les grosses poitrines se vérifiait volontiers avec lui, et expliquait pourquoi le professeur s’était précipité sur les gros seins tendres de Jessica. Ils étaient doux, moelleux, et il s’amusait à les lécher, tout en palpant le cul de Jessica. Il n’avait pas été le palper par gêne, mais plus parce que tout cela pour lui était nouveau, et qu’il était face à une explosion terrible de désir. Eiki ne savait tout simplement plus où donner de la tête. Elle se mit alors à lui parler, après avoir guidé sa main vers ses fesses, et l’homme déglutit, la gorge sèche, excité d’entendre cette femme, pourtant plus jeune que lui, parler de manière vulgaire avec tant de facilité.

« O-Oui... »

C’est tout ce qu’il arriva à répondre, et répondit surtout par les gestes, en posant effectivement chacune de ses mains sur les fesses de la femme, venant les empoigner et les caresser. Leurs corps se retrouvèrent ainsi l’un contre l’autre, les seins de la femme venant heurter son torse, le faisant frissonner, tandis qu’elle approchait sa bouche de son oreille, murmurant quelques mots sensuels. Elle lui avoua qu’elle adorait sentir de belles queues la défoncer, des termes, là encore, très osés, qui le firent rougir. Sa respiration devint haletante, et son érection s’accrut encore, devenant très douloureuse. Ses dents se serrèrent, et il alla lécher son cou, cette délicieuse partie de l’anatomie féminine, ses mains devenant moites, se déplaçant sur ses fesses, mais se contentant surtout de s’appuyer dessus. Eiki était encore tétanisé par ce plaisir inattendu, ce plaisir qui déferlait en lui comme un torrent ardent.

Jessica continua ensuite à prendre les choses en main, et se redressa, puis s’écarta. Eiki, muet de stupeur, les yeux écarquillés et la bouche entrouverte par ce spectacle, vit ainsi la femme, en toute simplicité, ôter son débardeur, avant de pivoter sur place, et de bien se cambrer, en écartant ses jambes. Eiki déglutit en voyant ce joli cul, et ses mains se crispèrent sur les accoudoirs de son fauteuil. Si beau, si beau... Quel spectacle magnifique ! Et son sexe, ah, son sexe ! Il lui faisait un mal de chien !

Elle retourna vers lui, en soufflant, de sa belle bouche, qu’elle n’avait jamais autant eu envie depuis longtemps de coucher avec quelqu’un. Que ce soit vrai ou non, Eiki en frissonna. Dos tourné face à lui, elle faisait preuve de tout son talent, se débrouillant pour qu’il sente bien son cul contre son membre.

*Une masturbation anale, mon Dieu...*

C’était... C’était hallucinant ! Eiki déglutit encore, et ses mains, tremblantes, allèrent se placer sur ses hanches, et il soupira lentement, la respiration haletante.

« Jess’... Hum... Tu... Tu es terrible... »

Il soupira encore, et reprit :

« Mon sexe... Je... Je veux le sentir aussi entre... Entre tes seins, ma... Ma belle... »

Mais que faisait-il donc ? Était-il en train de totalement péter les plombs ?!

Oui, sûrement.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le jeudi 15 octobre 2015, 12:44:21
Du point de vue de Jessica, Eiki n'était absolument pas en train de péter les plombs, mais juste de commencer à se lâcher, peu à  peu. Le corps de nymphe de la jeune femme, ainsi que son attitude provoquante, faisaient de plus en plus effet, le Senseï n'hésitait maintenant plus à poser ses mains sur le corps de Jess', à sentir sa peau douce et chaude contre ses paumes et ses doigts. Il aurait, à ce stade, vraiment fallu qu'Eiki ne soit pas attiré par les femmes pour résister à l'attrait de ce cul que Jessica remuait, et frottait sensuellement contre l'érection de son Senseï.
Elle gloussa légèrement quand elle l'entendit dire qu'elle était terrible, puis juste après, il continua de se lâcher. Il venait d'exprimer un souhait, un désir, une envie qui le traversait et qu'il voulait qu'elle réalise.

Huuuuuum Eiki...

Elle frotta encore un peu son cul contre son sexe, puis elle se remit debout, et se retourna pour faire face à Eiki. Sentir sa verge dure remuer contre son boule l'avait aussi excitée, mais elle tenait là l'opportunité de faire encore descendre d'un cran les appréhensions d'Eiki quand à leur relation. Elle s'était d'ailleurs pour le moment décidée à ne l'appeler que par son prénom, et non plus par sa fonction, ce qui pouvait à tout moment lui rappeler que ce qu'ils faisaient était dangereux, et Jess' ne voulait pas qu'il s'échappe encore, pas alors qu'elle était presque à poil devant lui. Elle se pencha alors, posant ses mains sur les cuisses de l'homme, bras tendus, de façon à avoir son visage juste en face du sien.

Tu adores mes seins n'est-ce pas ? T'en fait pas mon beau...je vais glisser ta grosse queue entre, te masser avec, et te faire juter comme jamais tu l'a fait.

Elle s'approcha encore un peu, et lui glissa au creux de l'oreille:

Et ensuite je boirais ton sperme, car je suis une grosse gourmande...

Elle lui mordit rapidement le lobe de l'oreille, avant de se retirer rapidement pour se mettre à genoux, face à Eiki, entre ses jambes qu'elle écarta avec ses mains. Elle le teasait depuis tout à l'heure, et elle imaginait sans peine que le pauvre devait bander depuis au moins leur discussion online, autant dire qu'il davait avoir un mal de chien dans ce pantalon. Jessica défit sa ceinture, puis son pantalon qu'elle déboutonna, tirant aussi la fermeture éclair vers le bas, et d'un coup rapide mais précis retira le pantalon et le boxer de son prof dans la foulée. Elle vit sa verge se tendre enfin, pointant vers le haut, et ne put s'empêcher d'aller plaquer ses lèvres contre, puis de caresser ce bâton de chair tendue avec le bout de son nez.

Huuuuum...c'est une impression, où tu bandes encore plus fort que la dernière fois ?

Elle lui adressa un petit clin d'oeil, elle pensait sans doute avec raison que dans un environnement plus propice, et non pas dans une salle de classe, Eiki devait se sentir un peu plus en confiance, et ainsi se laisser aller plus aisément. Elle se redressa un peu, tout en prenant chacun de ses seins dans une de ses mains, et elle approcha doucement le creux de sa poitrine du sexe de son Senseï. La jeune femme lui laissait un peu savourer ce moment d'approche, qu'il sente peu à peu la chaleur corporelle de Jessica s'approcher de son sexe, avant de finalement bien câler sa bite entre ses deux seins. Elle les pressa alors, les serra l'un contre l'autre afin de former un étau emprisonnant le sexe tendu d'Eiki, qui disparût presque complètement entre ses seins, seul le gland se trouvant encore à l'air libre.

On s'y sens bien, tout au chaud hum ?

Elle souriait, Jessica s'amusait à voir le visage d'Eiki, et même son corps entier, se crisper sous ses doigts, d'autant qu'elle se mit à remuer, allant de bas en haut tout en serrant bien ses seins contre le sexe d'Eiki. Elle était en train de le branler avec sa poitrine, et tira sa langue pour laisser un peu de sa salive glisser entre ses seins afin de lubrifier un peu, et facilier le glissement de sa verge.

Là...huuuuuum...elle est tellement dure ta grosse queue Eiki...
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le jeudi 15 octobre 2015, 18:53:09
Il peinait à y croire. Cette femme était terrible, une véritable perverse, un fantasme pour n’importe quel homme ! Loin d’être une jeune innocente, elle employait sans aucun problème des mots sales et injurieux, lui balançait dans le creux de l’oreille de multiples images particulièrement salaces, qui le faisaient trembler sur place. Sa queue tendue en devenait douloureuse, et il soupira lentement, peinant à parler, son regard oscillant entre son visage, sa poitrine... De manière générale, tout, chez cette femme, était magnifique, tout était nimbé d’une incroyable beauté sombre qui le faisait fantasmer. Que ce soit ses seins énorme sou le reste de sa silhouette, elle était magnifique. Il adorait ses belles joues, ses longs cheveux verts, sa peau chaude et soyeuse, ses longues jambes fuselées... Elle avait amené Eiki face à une véritable tornade de sexe et d’impatience, une tornade qui avait balayé toutes les résistances que l’homme aurait vainement pu formuler contre elle. Elle avait gagné, elle l’avait écrasé, car il avait été comme un deux se retrouvant face à un flush royal. Annoncé perdant dès le départ.

Elle se pencha alors vers son sexe, et il l’observa, sans rien dire, la respiration courte, puis sentit les mains de cette femme se poser sur son bassin, le faisant soupirer. Comme elle le remarqua, son sexe était effectivement douloureux, et bien tendu. Quand elle abaissa son pantalon et son boxer, elle put en avoir un aperçu, et Eiki se contenta de soupirer quand elle indiqua qu’il bandait bien. Lui, il avait toujours en tête la femme lui disant qu’elle comptait boire son sperme, soit le faire masturber jusqu’à le faire jouir, et il ne pouvait se sortir cette scène de sa tête. Elle frottait son nez contre son membre, ce qui fit qu’il pouvait sentir la respiration de sa femme, et, en hoquetant, son sexe se déplaça un peu, d’avant en arrière, et tapa contre le visage de cette femme.

« O-Oui, tu me rends dingue, Jessica... »

Notre homme n’avait effectivement jamais bandé auparavant dans le passé. C’était un membre bien raide qui se dressait en ce moment face à elle, l’invitant à venir le prendre en bouche, à venir le sucer et à jouer avec. Que pouvait-il faire pour s’y opposer ? Eiki était soumis à cette dernière, et il déglutit faiblement, la respiration courte, et le visage en sueur. Son membre était douloureux, dur, si dur... Une magnifique érection, et, sans attendre plus longtemps, en prenant visiblement conscience de son calvaire, Jessica alla approcher ses seins... Et les posa à gauche et à droite de son sexe, venant alors le masturber, amenant le corps d’Eiki à se tortiller faiblement sur son appui, ses mains se crispant sur l’accoudoir de son fauteuil, sa tête allant se redresser sous l’effet d’une onde de douleur et de plaisir qui lui traversa le corps.

Le brave professeur n’en menait pas large face à cette femme, cette femme qui inversait les rôles auxquels on pouvait légitimement s’attendre. Une terrible succube qui avait fait tomber toutes ses défenses, et qui vint donc frotter ses seins contre son membre, remuant lentement et efficacement dessus. Yeux clos pendant quelques secondes, Eiki se prélassait du son, de ce frottement des chairs, du glissement de ses seins, doux et chauds, contre sa tige de chair. Puis la curiosité l’emporta, et il abaissa la tête, observant son vit. Ce membre érectile se perdait entre les mamelons de cette femme, et, avec sa tête penchée vers son sexe, Eiki ne pouvait pas voir grand-chose, laissant ainsi la part belle aux sensations et aux frémissements. Il sentit alors la salive de la femme tomber sur le bout de sa trompe, et soupira.

« Haaa... Jessica... »

Tout ce qu’il pouvait faire, c’était soupirer son nom, tout en sentant son sexe continuer à se faire prendre. C’était doux, agréable, si bon, si bon... Un tel acte nécessitait une poitrine volumineuse, et c’était une chance que Jessica en ait une. Elle pouvait ainsi faciliter les glissements, et, si Eiki fermait les yeux, c’était pour mieux se visualiser la scène, pour mieux voir son membre se tortiller entre les seins de cette femme. Il ne fallait jamais sous-estimer le pouvoir de l’imagination humaine, et il voyait donc sa queue remuer, formant une tige qui s’aplatissait contre le corps de la femme, avec les seins qui remuaient, s’écrasant contre son sexe, avant de repartir, et de s’écraser à nouveau dessus. C’était une sensation exquise, tout simplement magnifique.

Évidemment, Eiki avait tellement patienté et tellement désiré ce moment qu’il ne put guère tenir longtemps... Et, au bout de quelques minutes de ce massage sexuel, son sexe finit par crocher son jus. Le sperme fusa, éclaboussant les seins de Jessica, mais aussi son visage, le sperme fusant à toute allure, tandis qu’Eiki soupirait, et jutait abondamment. Il pouvait sentir le sperme venir dans sa queue, par à-coups, et cette sensation, ah, cette sensation... Ça, c’était le vrai bonheur, ce moment unique, intense, où, enfin, le corps humain pouvait définitivement se relâcher, se vidant joyeusement.

Une vague de bonheur le traversa en jouissant contre elle... Et il en termina heureux, mais toujours autant excité.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le mercredi 09 novembre 2016, 17:39:19
On étais désormais loin, très loin du fiasco qu'avait été pour ainsi dire leur première fois. Maintenant, Eiki se lâchait, et le fait qu'il se trouve dans son propre appartement, dans un endroit sécurisé et où il avait ses repères, y était sans doute pour quelque chose. Jessica n'avait pas osée pour une première fois s'inviter directement chez lui, et puis, qu'ils baisent en plein dans le lycée, dans la salle de cours, avait fait partie de son fantasme de se taper un prof comme plan cul régulier. Mais avant tout ça, Eiki était surtout un homme avec peu d'expérience, et qui avait une petite amie...alors il était nécessaire au préalable de le mettre suffisament en confiance, ce à quoi Jessica s'attelait avec toute son expertise. La jeune Australienne était ainsi à genoux devant son prof, qui était lui même assis confortablement dans son fauteuil, et masturbait sa trique phénomènale à l'aide de son opulente poitrine, comme il lui avait demandé. Trahissant une certaine expérience dans cette pratique, Jess' était en train de le branler merveilleusement bien, en fourrant sa queue entre ses impressionnants seins, qui bien que massifs, étaient aussi fermes et bien ronds, absolument parfaits en somme.

Eiki se laissa donc bercer pendant un long moment, passif, tandis que Jessica jouissait presque de le voir enfin se laisser aller. Il était nu devant elle, assez bien barraqué, et avait une belle queue ce qui allait à l'encontre de pas mal de préjugés qu'elle avait entendu quand à la taille moyenne des sexes des hommes au Japon, et elle était pour le coup contente d'avoir à sa disposition une telle sucette. En temps normal, Jessica aurait déjà commencé à le sucer, mais elle se disait qu'un surplus d'initiatives de sa part n'allait que l'encourager à rester passif, même si le fait qu'il aie clairement formulé sa demande était un signe encourageant. De fait, la jeune femme se tenait, pour le moment, strictement aux instructions de son prof à la fois pour l'encourager à prendre des initiatives, mais aussi pour lui montrer qu'elle allait le suivre dans ses fantasmes, la sulfureuse Australienne n'ayant pas peur de grand chose...
Elle massa donc amoureusement sa queue entre ses seins, qu'elle avait lubrifiée à l'aide d'un filet de sa propre salive pour faciliter le coulissement, et sourit quand au bout de quelques minutes, Eiki commença doucement à se tortiller, signe d'un orgasme imminent.

Oh oui Senseï, vous allez jouir hein ? Je suis prête, donnez moi votre sperme, votre délicieuse crème chaude, jutez sur moi...ouiiiiiii...

La jeune femme accéléra le mouvement de va et viens qu'elle faisait subir à l'homme, jusqu'à ce que ce dernier finisse par se décharger. Frustré et excité comme jamais, son Senseï le gratifia d'une belle couche de semence qu'il cracha entre ses seins, mais aussi plusieurs filets qui jaillirent jusqu'à son visage tant son orgasme était intense. Jessica avait même ouvert grand la bouche dans l'espoir d'atrapper au vol quelques filets de sperme, et elle en reçu effectivement dans sa bouche, et sur la commisure de ses lèvres, en plus d'avoir son menton et son cou aussi bien couverts de sperme. Ni une ni deux, Jessica avala le sperme qu'elle avait en bouche, tout en continuant d'encore un peu malaxer le sexe d'Eiki entre ses seins, pour traire les dernières gouttes de son sperme. Elle se rendit compte alors qu'il avait les yeux fermés.

Hey ouvre les yeux un peu ! C'est bien beau de laisser l'imagination faire le travail, mais tu va louper le reste du spectacle...

Et quel spectacle ! Jess' se retira un peu tout en restant agenouillée face à lui. Ainsi, on pouvait voir un filet de sperme couler depuis le creux de ses seins, mais l'Australienne amena les doigts d'une de ses mains pour en arrêter la course à hauteur de son nombril, et remonta ses doigts en frottant sa peau de façon à recceuillir le liquide visqueux encore chaud. Puis, tout en lui lançant un regard de braise et un petit sourire en coin, lui donnant un air de nymphomane, elle porta ses doigts à ses lèvres, et les suça audiblement pour avaler directement ce sperme.

Hmmmm...j'aime autant te prévenir tout de suite, j'adore le sperme, je pourrais m'en faire des goûters. Mon petit péché mignon, quand je trouve des mecs chauds pour le faire, c'est d'agrémenter certains de mes plats avec ça.

Tout en lui disant ça, pour l'exciter, parce qu'elle devinait que ça devait être le genre de trucs un peu "kinky" qu'il devait adorer, Jessica continua de se nettoyer, et au final après quelques passages sur son cou et son menton, elle s'était à peu près débarrassée du sperme qu'elle avait sur la peau, préférant l'avaler plutôt que de le laisser se perdre. Elle se mordilla la lèvre inférieure, envisageant durant un instant la suite des événements, puis elle se redressa d'une traite et se retourna, avant de courber légèrement son postérieur, pour le mettre juste en face du visage d'Eiki. La jeune femme portait encore un court short marron ainsi qu'un string noir en dessous, mais il en faudrait bien peu pour les lui retirer.

Et ça, qu'est-ce que t'en penses hum ? Tu as dit beaucoup de bien de mes seins, mais mon cul est aussi avare de compliments...et pas que de ça.

Remuant légèrement ses fesses de gauche à droite, la jeune femme le chauffait pour tenter de progressivement le sortir de sa timidité, et qu'il laisse parler ses pulsions.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 09 novembre 2016, 19:59:38
Il était comme une chenille dans sa chrysalide, tapant contre les bords, afin d’en sortir pour se transformer en un beau papillon. Eiji était d’un naturel assez réservé, ce que Jessica avait rapidement vu. Sexuellement frustré, le professeur peinait à comprendre encore toute la chance qu’il avait. Il se trouvait donc là, avec elle, dans son appartement, et elle masturbait son sexe entre ses opulents seins. Le professeur essayait de la regarder autant que possible, mais en vint à fermer les yeux également. Le spectacle était... Insoutenable. L’homme n’arrivait tout simplement pas à détacher son regard. Il voyait sa queue glisser entre ses seins, filant d’avant en arrière, et fermait les yeux pour se visualiser la scène depuis un autre point de vue. Une branlette espagnole, c’était clairement son fantasme, et, pour ça, ça nécessitait des seins opulents. Fort heureusement, Jessica était très bien équipé, et s’évertuait à le faire plaisir, encore, encore et encore... Elle sentit ainsi l’homme approcher de l’orgasme. Eiji respirait bruyamment, crispant ses mains sur les accoudoirs de son fauteuil, poussant de longs soupirs... Jusqu’à finir par s’abandonner.

Son éjaculation vint très vite, signe de son état d’excitation particulièrement intense... Mais aussi de son inexpérience en la matière. Comment se retenir, face à une telle beauté ? Jessica était aussi belle que sensuelle, aussi perverse qu’excitante. Si Eiji l’avait connu au bout de quelques années, il aurait probablement ressenti du dégoût envers cette femme si impudique, un dégoût qui n’aurait fait que trahir sa jalousie et son envie. Mais là, Eiji n’était pas encore totalement corrompu par sa frustration, par ses fantasmes brisés, et était donc particulièrement heureux de coucher avec elle, et de pouvoir donner libre expression à tous ses désirs.

« Je... Jess’... !! »

Il éjacula donc en fermant les yeux, car Eiji sentit une décharge fulgurante le traverser. Tout son corps se tressauta sur place, tandis que son foutre continuait à fuser de sa queue, éclaboussant les seins de Jessica, débordant rapidement pour éclater sur sa nuque et sur son torse. Eiji se crispa sur les accoudoirs, tout en soupirant à nouveau, de la sueur coulant de ses joues, et se relâcha progressivement. Ah, quel orgasme ! Il avait joui avec force, avec une puissance incroyable, et se relâchait petit à petit, la respiration lourde et haletante...

...Jusqu’à ce que Jessica ne lui ordonne de rouvrir les yeux. Eiji obtempéra donc, et sentit sa gorge s’assécher. Le visage et le corps caramel de la femme était tacheté, ici et là, de traces blanches, et il entendait Jessica parler. Obscène, elle était d’une vulgarité exceptionnelle, et, quand elle lui glissa vouloir des « goûters » au sperme, il s’imagina lui confectionner des gâteaux, et jouir dessus, puis la voyait les manger... Ce qui le conduisit à sentir sa queue se redresser. Sa bouche s’entrouvrit, mais il n’arrivait plus à parler, et finit par déglutir, tout en la voyant avaler son sperme, tranquillement, nettoyant son ventre, ses seins, sa nuque, glissant ses doigts pour avaler goulûment ce foutre... Son sperme.

Il soupira lentement, réussissant à se redresser un peu en la voyant se relever, toute propre.

« Je... Jessica... »

D’intenses émotions remontaient en lui. Sa fiancée avait totalement disparu de son esprit, et il ne pensait qu’à Jessica, ne voyait que Jessica... La lycéenne et son corps parfait, sa magnifique chevelure verte, son corps musclé et élégant, ses seins énormes, ses hanches solides... Elle se retourna alors, et lui présenta ses fesses, en se courbant vers l’avant, les bombant ainsi vers l’arrière. Eiji se sentit rougir, ses joues lui donnant chaud, et se racla la gorge.

« Haaaa... »

Relevant les mains, il caressa alors les hanches de la femme, ses pouces appuyant sur sa minijupe, et il tira alors sur cette dernière, l’abaissant, relevant ses belles fesses sombres, avec un fin morceau de dentelle noir le long de sa croupe. Eiji déglutit encore, et déposa un premier baiser sur la fesse gauche de la femme, puis un autre sur la droite, et ce presque de manière religieuse.

« Tu... Tes fesses sont parfaites, Jessica... Vraiment parfaites. »

Le pauvre en avait de nouveau mal à hauteur de son sexe, qui l’élançait douloureusement, et soupira encore, puis posa chacune de ses mains sur ces deux masses de chair. Eiji adorait les poitrines, mais... Comment dire non à un tel cul ?

« Je... Je t’aime, Jessica... Je viens de jouir si fort en toi, et... J’ai... J’ai encore tellement envie de ton corps, ma chérie... Oh oui, j’adore ton cul ! »

Et il déposa alors plusieurs séries de baisers, avant d’appuyer ses mains dessus. Toujours assis,  il massait ce délicieux cul, remuant ses mains, s’imprégnant de cette chair, glissant petit à petit ses pouces près de sa croupe, ses ongles sentant son string, appuyant dessus...
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le lundi 16 janvier 2017, 19:28:54
Jessica était vraiment contente, on y était, Eiki se lâchait vraiment. Loin de ce coup foireux qu'ils avaient tenté dans la salle de classe plus tôt dans la journée, Jess' était maintenant certaine qu'elle allait enfin se faire bourrer pour son prof, et elle en mouillait d'avance, car c'était un fantasme de longue date qui se réalisait enfin, et surtout avec un prof qui lui plaisait vraiment physiquement. Quand elle se tourna pour lui présenter ses fesses, Eiki les honora pleinement. Jessica perdit son short au passage, qu'Eiki retira pour avoir un plein accès à son cul.
Presque intégralement nue, la jeune femme ne portait plus qu'un très fin string noir, et elle bombait son cul, se courbant légèrement, pour l'offrir à son prof qui ne tarda pas à se perdre dans ses monts de chair ferme et chaude qu'elle lui tendait. Il les palpa, les embrassa, et d'une manière moins maladroite qu'elle ne l'aurait cru, ce qui était le signe qu'il se laissait moins diriger par son stress et d'avantage par son plaisir. A bien y réfléchir, c'était comme ça que Jess' aurait du appréhender la chose. Là, dans son appartement, Eiki se trouvait dans sa zone de confort, où personne ne risquait de les surprendre. C'était certes classique, vu que Jess' avait vraiment pour fantasme de se taper son prof, et que se faire baiser en salle de classe en faisait partie, mais dans son engouement elle avait mal jaugée le stress dont ferait preuve l'homme, pourtant plus âgé qu'elle, mais bien, bien moins expérimenté.
Elle était toutefois confiante dans le fait qu'un de ces jours, elle pourrait le sucer sous son bureau, qu'il la prendrait contre le tableau, et lui donnerait volontairement des heures de colle pour la baiser encore et encore, dans son uniforme de lycéenne. L'imagination de Jess' était clairement en train de s'emballer, maintenant qu'Eiki était en train d'embrasser et de caresser ses belles fesses rebondies, stimulant d'avantage la plaisir de la jeune femme qui commençait sérieusement à mouiller.

Han oui...ouais c'est bien...là HUUUUUUUUM ouiiiiiii...

Jessica ondulait légèrement son bassin sous l'effet d'un plaisir ardent, le fait d'être quasiment nue n'y était pas anodin, mais surtout sentir enfin son prof s'abandonner à elle était jouissif. De plus, elle venait de passer un certain temps à le préparer, à le chauffer, avant de lui accorder une délicate et excellente branlette espagnole. Pour la jeune femme, tout ça avait été aussi un intense teasing, car elle s'était exclusivement concentrée sur le plaisir d'Eiki, mais son propre corps lui aussi commençait à demander bien d'avantage.

*Jvais plus tenir longtemps moi...*

Jess' faisait clairement un sacré effort pour laisser à Eiki le temps de se mettre à ses aises, de s'approprier son corps...mais bordel, qu'est-ce qu'elle avait envie de le sentir en elle maintenant ! Elle pouvait voir, en tournant légèrement la tête, qu'il continuait à bander bien dûr. Et elle, elle sentait sa propre température monter, Dieu qu'elle avait chaud !

E...Eiki...Haaaaaa...

Elle n'en pouvait vraiment plus...

S'il te plait j'ai...j'ai tellement envie de te sentir en moi...pas comme...huuuuum...pas comme dans la salle de classe je...je veux que tu me prennes. Sur la table, contre le mur, au sol, dans la position que tu veux je m'en fous...mais retire moi ce string et prends moi...
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le lundi 16 janvier 2017, 23:08:35
Pensait-il sincèrement pouvoir lutter contre elle ? Dès le début, Eiki avait été donné perdant. Dès le début, il était appelé à succomber face à cette succube. Elle l’avait ensorcelée en jouant avec sa frustration, elle avait frappé là où ça faisait mal, et, maintenant, Eiki lui appartenait. Certes, il était fiancé, mais cet élément n’entrait maintenant plus en ligne de compte. Seule sa frustration l’avait guidé. Pourtant, quand il avait joui, la frustration était partie... Mais pas son désir. Eiki était ce genre d’homme qui, ayant toujours refoulé ses pulsions, avait laissé ces dernières croître en lui, enflant progressivement, jusqu’à exploser... Et là, ce désir l’avait totalement submergé, de telle sorte qu’il se laissait porter par ce dernier, totalement. Et ce désir, en ce moment, ne portait qu’un seul nom : Jessica.

C’était elle qui, face à lui, le narguait. Ne portant plus qu’un mince string noir, elle se dandinait sous son nez, et il embrassait tendrement ses belles fesses, les léchant et les malaxant.

« Hmmmm... Haaaa... »

Elle avait un cul ferme, tendre et doux, agréable et chaud. Il s’absorbait dessus, découvrant une joie cachée dont il n’aurait jamais pu soupçonner l’intensité et la force. Oh, que ça faisait du bien ! Son corps tout entier vibrait de plaisir, et sa queue l’élançait furieusement et douloureusement. Cependant, tout absorbé qu’il était dans la contemplation de ce fessier, il n’en prenait pas vraiment conscience, jusqu’à ce que la jeune femme ne lui ordonne d’agir. Ces quelques mots furent suffisants, provoquant comme un déclic dans le corps d’Eiki, qui sembla alors réaliser à quel point Jessica avait envie de lui.

Le jeune professeur ne sut pas quoi en dire, car il ne s’attendait tout simplement pas à pouvoir l’exciter à ce point. Cette constatation s’imposa en lui, et débloqua quelque chose. La lueur surprise dans ses yeux se mua en une certaine forme d’assurance, et il hocha alors la tête.

« Jessica... » glissa-t-il alors, comme un murmure.

L’homme se redressa alors, et la plaqua contre le mur proche, le ventre de Jessica s’aplatissant dessus, ses lourds seins heurtant la paroi, tandis que de sa main libre, il tirait sur son string. Il voulait juste le retirer, mais l’homme était tellement excité qu’il ne contrôlait plus sa force, ce qu’il fit qu’il déchira le string en tirant dessus d’un coup sec.

« Jessica, Jessica... » répéta-t-il encore, avec la voix d’un dévot devant son idole.

Eiki avait l’impression de fonctionner en pilote automatique, comme un homme nageant dans un rêve éveillé. Il posa sa main sur sa verge, la comprimant, étouffant un soupir en sentant une vague de plaisir le traverser, puis orienta ensuite son membre, et l’enfonça dans la chatte de la femme, la prenant par l’arrière, et étouffa un soupir, avant de poser une main sur l’un de ses seins, l’autre s’appuyant sur sa cuisse. Eiki grogna alors, en sueur, et commença à lui donner des coups de reins, la butinant par l’arrière,  pinçant son téton, tout en allant nicher sa bouche dans le creux de son cou.

Comme Eiki avait joui auparavant, il étai un peu plus maître de lui-même.

« Tu-Tu aimes, Je-Jessica ? Haaaa... Je... Dis-le moi, haaaa... Hurle que tu aimes que... Que je-je te baise, que... Que j’y aille p-plus fort, haaaaa... »

Dieu, Dieu, comme c’était étroit ! Sa queue lui donnait l’impression d’être perpétuellement repoussée par les chairs intimes de la femme, le contraignant à bander les muscles, et à insister. C’était un véritable acte de violence, et, fort heureusement, il sentait toute la mouille de la jeune femme, qui permettait à son membre de glisser plus facilement en elle. Mais, au-delà des doutes, de la douleur, ou de l’effort physique consenti, Eiki ne pouvait reconnaître qu’une chose...

...C’était terriblement bon !
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le mardi 17 janvier 2017, 18:49:31
Jessica se trouvait être elle aussi, en ce moment, en proie à un désir et à une frustration à laquelle elle était peu habituée. Leur première tentative dans la salle de classe avait été un fiasco, et un véritable ascenceur émotionnel pour la jeune lycéenne. Elle était passée en une journée à peine d'un état de grande excitation, à celui d'une frustration intense, pour à nouveau présentement être encore plus excitée. Il était après tout rare que ses parties de jambes en l'air soient un tel flop, mais elle avait mal évalué la situation et le reconnaissait volontiers...ce qui n'enlevait rien au fait que, du coup, Jess' avait maintenant une furieuse envie de se faire baiser.

La jeune Australienne admettait volontiers son côté un peu salope sur les bords, et elle l'assumait même. Elle aimait le sexe, en avait une vision très libérée, mais pour autant ne faisait jamais des coups de pute et demeurait toujours très droite dans ses relations, ou plutôt ses plans cul, avec qui les baises comme les fins de relations s'étaient toujours bien passées. Elle ne savait concrètement pas combien de temps son idylle avec son professeur allait durer, probablement quelques semaines, voire quelques mois si les choses se goupillaient bien. Mais Jess' ne se faisait vraiment pas d'illusions, vis à vis de son prof, certes pas tellement plus âgé qu'elle, mais qui avait une situation et une fiancée. Elle avait donc mis les choses au clair dès le départ: Eiki et elle arrêteraient leur relation dès que le professeur estimerait qu'il le faudrait, leur relation devrait rester secrète également, et Jessica s'était engagée à ne faire aucune vague.
Et la récompense de la jeune femme, pour avoir été aussi patiente et prompte aux compromis, était là, présente, avec Eiki qui se laissait aller en étant en admiration devant son cul. Les suppliques de la jeune femme, qui lui demanda de venir la satisfaire, ne tombèrent toutefois pas dans l'oreille d'un sourd, et Eiki, pour le plus grand plaisir de Jess', se décida "enfin" à passer vraiment à la vitesse supérieure. Il se redressa, restant dans son dos, puis la plaqua doucement contre un mur proche, mais en se collant néanmoins à elle.

Haaaaan...Oh my God...

Voilà...c'était ça qu'elle voulait ! Qu'il se laisse aller, qu'il vienne la prendre. Elle sentait son corps presser contre le sien et son souffle rauque dans son cou, alors qu'il la plaquait délicieusement contre le mur en se collant bien contre elle. Cette fusion des corps, tout en étant parfaitement coincée, c'était un truc que Jessica aimait tout particulièrement sans pour autant se l'expliquer.
Elle était tellement excitée, tellement impatiente de le sentir se fourrer en elle, qu'elle ne lui tint même pas rigueur de la perte de son string, dont il déchira une des lannières élastiques en essayant de le retirer un peu sèchement. La sensation de le sentir aligner sa queue avec sa chatte, c'était en soit suffisant pour qu'il se fasse pardonner. Et quand enfin, il la pénétra, la jeune femme laissa échapper un long gémissement de plaisir.

Haaaaaaaaa...Oh Shit yes...fuck me !

Sous l'effet de l'excitation elle se laissait aller à parler en anglais au lieu du japonais, mais c'était un langage tellement basique qu'elle utilisait, et surtout très populaire dans le porno qu'il avait sans doute déjà du regarder. Son prof commença alors à remuer, donnant des coups de reins qui la maintenaient contre le mur. Jessica avait ses mains posées justement sur ce mur, à hauteur de son visage, pour amortir l'effet de poussée, Eiki lui malaxait l'un de ses seins et caressait l'une de ses cuisses...et pour le dire clairement, Jessica était aux anges.

Oh ouais...Ouais je...Huuuuuuum...j'adoooooore...ta queue...ta...ta grosse queue en moi...Oh Yes...

Jessica était excitée par le moindre détail de cette situation. Le corps de son prof qui la plaquait contre le mur, leur chaleur corporelle qui se mêlait à cette chaude nuit d'été qui les faisait tous les deux transpirer, sa queue qui se faufilait dans sa chatte certes étroite, mais bien humidifiée par sa mouille qui coulait doucement le long de ses cuisses, la façon dont il grognait dans son cou...han bordel, qu'est-ce qu'elle avait pu fantasmer ce moment !

Baise moi...Baise moi...

Elle fini par amener l'une de ses mains pour la poser contre le fessier musclé d'Eiki, afin de lui donner une petite claque.

Je veux qu'on...qu'on baise comme des animaux Eiki...alors...Huuuuuun...p-plaque moi contre ce mur et...et BAISE MOI !!!!!

Frustrée de son expérience précédente, la jeune femme n'entendait pas cette fois laisser son prof s'en tirer aussi facilement...et elle comptait bien faire travailler son endurance, car elle n'avait qu'un souhait pour cette nuit: qu'il baisent comme des sauvages, comme des lapins.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 17 janvier 2017, 21:45:03
Eiki se pinçait les lèvres, furieusement excité. Sa main se pressait sur les seins de la femme, et... Et mon Dieu, que c’était bon ! Ah, ça, Eiki n’aurait jamais cru qu’un tel plaisir puisse exister ! Il avait déjà pénétré cette femme, mais son premier coup avait été un faux départ, tant il était nerveux et excité. Là, le professeur était beaucoup plus maître de ses propres émotions, de ses réactions et de son corps. Il était excité, bien sûr, et même furieusement excité, à vrai dire. Cette femme était belle, tellement belle, chaude, sensuelle, forte, avec un corps doux, généreux, et ample. Yeux clos, Eiki serrait les lèvres, repartant en arrière, puis encore en avant. Ah, sa queue était à l’endroit, mais... Peu à peu, elle se frayait un chemin, se contorsionnait dedans, bien au chaud, coulissant dans son corps.

« Hmmmm... »

Le professeur embrassa le cou de la femme, et sentit soudain cette dernière gifler ses fesses, provoquant une claque qui, sans lui faire mal, provoqua une étrange stimulation à hauteur de sa queue. Il sentit une vibration le traverser, et recommença à la prendre, plus férocement, galvanisé par ce qu’elle lui disait, par les propos salaces qu’elle poussait. L’homme pinça son téton, et continua à la prendre, serrant ses doigts contre sa chair, puisqu’il avait posé sa main sur le haut de sa jambe, contre sa cuisses.

Il lécha son cou, humant son odeur, se délectant de ses soupirs, le corps de la femme filant en avant, avant de repartir en arrière, sa chair claquant contre la sienne.

« O-Oui, hmmm... Encore... In-Insulte toi encore, Jessica... Vas-y... Vas-y, sois... Sois ma SALOPE, haaa... ! »

Plus rien ne le retenait. Le calme et doux professeur libérait cet homme sauvage, ce mâle primitif, qu’il avait enterré sous des tonnes de couches et de murs. Baiser comme des animaux... Baiser sans se retenir, oublier ce qu’on était, s’aliéner totalement dans le sexe... Ah, cette force incroyable, cette énergie renversante ! Eiki embrassa encore son cou, et multiplia les coups de reins. La douleur à hauteur de sa queue le stimulait férocement, et il n’eut besoin que de quelques mots pour effacer les barrières de sa conscience, l’insultant copieusement :

« Pétasse... ! Sa-Salope... ! Hmmm... Pu-Pute !! Haaaa... Sale traî-traînée !! »

Eiki haletait profondément, la queue tendue, endolorie, durcie. Il avait le sentiment d’avoir un vit énorme, totalement disproportionné, qui labourait sans relâche la femme. Une énergie incroyable le traversait, s’emparant de son être, et il continuait à la labourer, joyeusement, lourdement, serrant les lèvres, tout son esprit n’étant plus focalisé que sur une seule chose : la bourrer. Encore et encore !

C’était là tout le sens de cette démarche, et l’orgasme, de son côté, s’approchait rapidement. Grognant et gémissant longuement, Eiki sentit le plaisir croître, et, dans un ultime soupir, jouit une nouvelle fois, venant remplir le corps de la femme, tout en s’aplatissant contre elle et en bandant tous ses muscles, la serrant contre le mur.

« Oh, Jessica, Jessica... »

Dire que ça faisait du bien, en l’état actuel des choses, relevait d’une évidence.

Eiki était en sueur, mais ne s’était jamais senti aussi heureux !
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le mardi 02 octobre 2018, 12:43:48
La demande de Jessica ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd, et pour le plus grand plaisir de cette dernière...Eiki commença enfin à se lâcher sur elle. Le professeur raffermit sa prise sur le corps de sa jeune étudiante, la plaquant plus fermement contre le mur, et entreprit de généreusement lui bourrer la chatte avec sa grosse queue tendue, le tout en se mettant à l'insulter.

HAAAAA !!! Hnnnnnn o-ouiiiiii !!!!! Han putain OUIIIII !!!! HAAAAAAAAN !!!!

Oh oui, enfin ! Plus tôt dans la journée, sa tentative d'approcher son prof' s'était soldée par un échec cuisant, mais là, maintenant, ils étaient "enfin" en train de baiser comme elle avait pu le fantasmer. Eiki lui était directement apparu comme un homme plein de fantasmes, et de frustrations, une longue, très longue liste de frustrations du fait qu'il ne s'était encore jamais plongé dans le corps d'une femme, et qu'il était peu à peu en train de relâcher sur Jess'. Elle de son côté réalisait finalement son fantasme de coucher avec l'un de ses profs, et même plus, qu'il la baise. Le bon vieux concept de 'lécolière se faisant fesser par son prof avant de se faire baiser sur le bureau ? Ce genre de truc lui parlait carrément, et sans nul doute qu'elle finirait par le proposer à Eiki, ça et tant d'autres choses...mais pour l'instant, ils allaient surtout baiser comme des bêtes. Jessica était obligée même de maintenir ses mains contre le mur pour éviter qu'elle ne tape trop fort contre, du fait des mouvements rapides et appuyés du bassin d'Eiki, qui la bourrait sans ménagement.
Oh ! Oh comme elle pouvait adorer ça ! Cette sensation d'être prisonnière ainsi, plaquée bien fermement contre le mur, avec son prof qui la prenait par derrière en la traitant de pute, de salope. Rapidement, Eiki se soulagea en elle, et Jess sentit une vague très subite de plaisir la parcourir alors que son prof relâchait de belles quantités de sperme chaud, qui tapissèrent les parois internes de son vagin. Concrètement, la jeune femme eût un orgasme presque en même temps qu'Eiki, qui se lova dans son dos peu après, terminant de se vider en elle.

Haaaaa...Han Senseï...

Jessica avait très chaud, mais elle n'était nullement rassasiée...oh non, pas après le coup foireux au lycée, où elle avait bien cru que toute chance d'entretenir une relation avec son prof s'était volatilisée. Là, clairement, Jessica avait soif de bite, et ne se contenterait pas de si peu. Elle de décolla alors du mur, tourna sur elle même pour faire face à Eiki, puis se lova contre lui. Glissant une de ses mains derrière la nuque de l'homme, elle l'approcha d'elle pour lui donner un baiser ardent, le tout en glissant son autre main jusqu'à sa queue pour la branler énergiquement. Jess' n'hésitait pas à montrer qu'elle voulait coucher, encore et encore, et au bout de quelques secondes à peine, la sulfureuse australienne se mit à genoux devant son prof.

Je me rends compte d'une chose...avec tout ça, je ne t'ai même pas encore sucé...

Elle l'avait déjà branlé, que ce soit avec ses mains ou ses seins, mais prendre sa queue dans sa petite bouche de salope ? C'en était même étonnant vu à quel point Jessica considérait la fellation comme une sorte d'incontournable, et elle avait bien l'intention de se rattraper, surtout que la bite d'Eiki demandait un petit coup de fouet pour redevenir dure. Toutefois, Eiki allait très vite se rendre compte que Jessica ne faisait pas les choses à moitié quand elle était excitée, trop gourmande, ou trop pressée pour commencer doucement...la jeune femme commença directement par une gorge profonde.

Ghhhhhh....

Jess' y allait sans aucune hésitation, trahissant une grande expérience dans le domaine, elle s'empala en cadence sur cette belle grosse queue.
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mardi 02 octobre 2018, 18:27:17
Il se relâcha copieusement en elle, et se lova ensuite dans son dos, se frottant à elle... Amoureusement. Cet élan de tendresse le surprit au bout de quelques secondes. Eiki aurait bien aimé se dire qu’il ne venait à Jessica que pour le sexe, pour satisfaire une simple frustration sexuelle lancinante, et parce que cette fille était terriblement bonne... Mais réduire leur relation à ça, réduire ce qu’il ressentait, à une simple attraction physique, lui semblait... Injuste. Insuffisant, en tout cas. Il ressentait clairement quelque chose pour elle, une chose qui le surprenait, car il n’arrivait pas à se l’expliquer clairement. Mais sentir son corps contre lui, sa chaleur, et ce qu’il venait de faire... Eiki avait repoussé toutes les limites, et, loin de se sentir coupable, il avait au contraire envie d’une seule chose : y retourner encore. La baiser de nouveau, s’enfoncer en elle, , découvrir avec elle quantité de plaisirs infinis et exquis. Oui, Eiki se sentait très gourmand, mais... Qui ne l’aurait pas été à sa place ? Son sexe avait craché des monceaux de sperme, mais il allait en falloir plus pour mettre fin à son manque, à cette frustration qui croissait continuellement en lui.

Jessica avait fort heureusement une idée derrière la tête, et évoqua le fait de... De le sucer ! Eiki écarquilla les yeux, surpris, et ne put que balbutier, le souffle coupé :

« Oh... Je... Jessica... »

Il avait déjà senti la femme le masturber, que ce soit avec sa volumineuse poitrine, ou ses délicieux doigts, mais... Elle n,’avait encore jamais fait ça. Or, il s’agissait de l’un des fantasmes d’Eiki, qui s’en figea sur place. Jessica le déplaça ensuite, et il se retrouva alors assis sur le fauteuil situé dans son salon. Il déglutit sur place, avant de voir Jessica, magnifique nymphe à la peau basanée, s’agenouiller entre ses jambes écartées. Et, à l’idée de ce qui allait arriver, le sexe d’Eiki se mit à l’élancer de nouveau. Il serra les lèvres, sentant son sang remuer nerveusement dans sa poitrine, sa queue trempée et humide se redressant à l’approche de la bouche de Jessica.

« Jessica... » répéta-t-il encore, déglutissant sur place.

Le jeune professeur sentit le souffle de la femme sur son membre, et frémit encore... Puis elle le prit brusquement en bouche, optant d’emblée pour une gorge profonde. À ce contact, Eiki frémit sur place, fermant les yeux pendant quelques secondes, se mettant à saliver sur place. Il se tortilla doucement sur place, serrant ses doigts sur les accoudoirs du fauteuil. Une vague de plaisir commença à déferler en lui, et, les yeux hagards, il observa la jeune femme, qui entreprit de pomper plus énergiquement son dard.

Un plaisir immense commença ainsi à l’envahir, et il salivait en sachant très bien que ce plaisir-ci n’était que le début !
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Yulia Vesselovski le mercredi 03 octobre 2018, 13:05:10
Jessica était consciente qu'elle allait peut-être un peu vite en besogne...mais très franchement, elle en avait juste trop envie, et puis Eiki n'avait pas l'air plus dérangé que ça d'être initié aux fellations directement par des séries de gorges profondes. Jess' avait eu concrètement une envie aussi soudaine que terrible de le sucer, mais pas de façon lente et langoureuse non, elle voulait s'empaler sur sa bite, s'étouffer dessus au point d'en avoir les yeux imbibés de larmes, et de voir Eiki kiffer ça. Le professeur était confortablement installé sur son canapé tandis que Jessica prenait les choses, non pas en main, mais à pleine bouche. Le vit de l'homme se trouva donc très vite gobé par la jeune femme, qui se l'enfonça sans aucune hésitation bien profondément, au point que son nez n'aille se fourrer dans la toison de poils pubiens d'Eiki.

Glrg...Gluuuuurp...Sllllllllrp...Ghhhhhhh !!!!

D'intenses bruits de succion et de salive s'échappaient de la bouche de Jessica alors que cette dernière, les mains posées sur les cuisses écartées d'Eiki pour prendre appui, faisait aller et venir sa délicieuse bouche le long de cette grosse queue bien tendue. Eiki avait déjà joui à quelques reprises au cours de cette journée, et il venait juste de se vider dans sa belle petite chatte serrée, mais Jessica avait cet art et ce talent de redonner très vite leur vigeur à ses amants, et Eiki ne faisait pas exception. Elle pouvait bien voir qu'il avait une sorte de crush sur elle, ce qui aurait pu l'effrayer un peu, étant donné qu'elle ne voulait pas d'embrouilles...mais comment penser à ce genre de détails en ce moment ? Non, elle était bien trop occupée à donner à son prof une pipe, sa toute première, dont il allait se souvenir toute sa vie. Jessica y allait incroyablement vite par ailleurs, elle allait et venait en cadence, prenant tout juste le temps à chaque fois de prendre une bouffée d'air par le nez une fois qu'elle se retirait, avant de retourner prendre la bite d'Eiki aussi rapidement au plus profond de sa gorge. Forcément, avec une aussi grosse sucette, la jeune femme salivait beaucoup, et si elle parvenait à ne pas trop en mettre partout, des filets de sa salive glissaient forcément sur les poils pubiens d'Eiki, puis le long de ses testicules, avant de perler soit sur le sol, soit sur le canapé. C'était un détail sans doute bien insignifiant pour Eiki, dont la bite baisait la bouche de Jessica à peu près à la même allure que quand il l'avait prise tantôt par derrière, contre le mur.

Eurgl ! Wurgl !!!

Mais malgré les larmes qui perlaient de ses yeux et les bruits de succion, Jessica ne s'arrêtait absolument pas, et n'en était pas forcée, puisque Eiki cramponnait d'avantage les accoudoirs du fauteuil que la tête ou les cheveux de son étudiante. Elle finit toutefois par se retirer au bout de plusieurs minutes de gorges profondes en continu, respirant longuement, elle posa alors immédiatement une de ses mains sur son gros mat de chair pour le branler. Ses doigts glissaient aisément dessus, tant la bite d'Eiki était couverte de sa salive.

Haaaaa...Han Senseï votre bite est si grosse...hum...j'adore la sentir me remplir la bouche, ma belle bouche de salope...

Jessica avait bien noté que son prof adorait qu'elle s'insulte ainsi, et plus généralement, qu'il adorait son attitude qu'elle pouvait se donner de nymphomane parfaitement assumée, au point de draguer l'un de ses professeurs qui pourtant avait une fiancée ! Ni une ni deux, après ce bref interlude qui lui permet de bien reprendre son souffle, Jess retourna le sucer. Cette fois, elle le prit en bouche intégralement, mais ne bougea pas et resta pendant de longues secondes immobile, se retirant uniquement lorsque le manque d'air se faisait cruellement sentir, respirer quelques bouffées d'air, puis y retourner...encore, et encore, et encore...
Titre: Re : School Temptation [PV]
Posté par: Princesse Alice Korvander le mercredi 03 octobre 2018, 19:36:10
Il n’en pouvait plus. C’était aussi simple que ça. Face à elle, face à Jessica, Eiki n’était plus en mesure de réfléchir convenablement, il n’était plus en état de peser le pour et le contre, d’analyser consciemment ce qui se passait. Cette femme était en train de le rendre dingue, de l’obséder, d’envahir son esprit au point qu’il en oubliait tout le reste. Il se savait pourtant amoureux de Mashi. C’était un amour tenace et durable, et il avait accepté la formalité de Mashi à l’égard des rapports sexuels, son refus de s’engager, sexuellement parlant, avant le mariage, et il avait même trouvé ça touchant, la preuve de la sincérité de leur amour. Elle était toujours proche de lui, elle veillait régulièrement sur son amoureux, et ils s’embrassaient régulièrement. Eiki n’était pas venu avec elle juste par appât du gain, mais par sincérité. Il avait adoré leurs séances d’après-midi au parc de Tokyo, à pique-niquer ensemble, leurs longues discussions enflammées, l’intelligence accrue de Mashi… Elle pouvait parler d’arts, et même de politique. Avec elle, il ne s’ennuyait pas, alors… Comment expliquer ce qu’il ressentait envers Jessica ? Elle était une simple élève, une simple lycéenne, et avait pour elle sa beauté surnaturelle, ainsi que son incroyable insolence. Eiki n’y était pas insensible, et comprenait surtout qu’il avait sous-estimé les appels de son corps, sa propre frustration sexuelle. Celle-ci était en pleine explosion, alors que, lentement, Jessica continuait à le sucer.

Plus rien n’importait alors, à ses yeux, que la bouche de Jessica, et les mouvements reptiliens que celle-ci faisait sur sa hampe de chair. Les bruitages grossiers qu’elle faisait, ses longs soupirs… Eiki était conquis, sous le charme. Aurait-il été plus expérimenté en la matière qu’il aurait posé ses mains sur ses cheveux, qu’il les aurait empoignés, qu’il l’aurait motivé… Mais il était totalement désemparé face aux talents de cette femme, face à son expertise buccale. Elle lui faisait découvrir l’un de ses plus grands fantasmes, un véritable rêve éveillé, que l’homme subissait de plein fouet, sans aucune réelle préparation.

« Hmmm… »

Eiki se mettait à pousser de longs soupirs, se tortillant sur place, sentant encore la femme venir sur lui, pompant son dard. Elle aurait pu le faire jouir là, comme ça, mais elle finit par se retirer… Et s’insulta alors devant lui. Eiki déglutit alors, peinant à parler, à retrouver son souffle. Il faisait face à un autre lui, à un Eiki plus pervers, plus sauvage, un Eiki qui ne se refusait rien. Le jeune homme grogna encore, pinçant ses lèvres, et vit alors Jessica retourner sur son vit, enchaînant d’épaisses gorges profondes.

« Hoooo… Je-Jessica… ! »

Le jeune homme ne pouvait pas lutter. Que pouvait-il faire contre elle ? Sa tête partit vers l’arrière, et il grogna encore, la respiration lourde et profonde. Eiki déglutit lentement, soupirant, sur le point de se rompre, et se força à regarder Jessica, à la voir. Elle se déplaçait sur lui, relevant son doux regard sensuel vers le sien, perçant son armure, le faisant saliver. Était-ce de l’amour, ce qu’il ressentait ? Eiki en était alors convaincu. Un amour fou, sincère, irraisonnable, mais brûlant de passion. Il la contempla donc, véritable nymphe de plaisir, et le point culminant fut atteint.

Dans un dernier râle, ses doigts se crispèrent sur les accoudoirs, et Eiki alla se vider en elle, jouissant généreusement dans sa bouche. Il balança d’épais chapelets de foutre en soupirant en elle, crachant des monceaux de sperme dans sa bouche, du bonheur à l’état liquide qui se déversa longuement en elle.

« Jessica !! » hurla-t-il au moment de son orgasme.

Il était indifférent à tout le reste. Seul son plaisir l’envahit, le domina totalement, ainsi que l’évènement qui était à l’origine de ce plaisir totalitaire…

Jessica.