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Cela fait trop longtemps que ça durait! Depuis son réveil, elle n'a rien pu faire de sexuel! Oh bien sur, elle s'est masturbé avant de venir en cours, devant une des nombreuses vidéos qu'internet avait à proposer car comme on dit, internet est un petit pas pour l'homme et un grand pour la pornographie! Mais elle qui avait pour habitude de s'amuser en solitaire ou non, elle ne faisait rien depuis ce matin! Elle aimait parfois se retenir pour que ce soit meilleur quand elle passe à l'acte mais pour le moment, rien à l'horizon. Mais dans peu de temps, elle va pouvoir se soulager car aujourd’hui, c'est piscine en dernier cours et là, elle va s'adonner à une de ces activités favorites, sa masturber dans les dessous d'une de ses camarades. Depuis le début de l'année, Ai paraissait comme sympa mais niveau sport, elle était « fragile » et bien qu'elle portait un maillot de bain comme tout le monde, ses baignades étaient rares. De plus, pour cacher son sexe et éviter toute érection devant ses corps sublimes et trempées, elle avait pris l'habitude de prendre du gros scotch et le coller à la peau en le levant, ça évitait les accidents mais quand elle avait une érection, c'était un peu douloureux, c'est vrai.
Mais à cause de son activité, faut bien dire que le « pervers » du lycée avait pour habitude de frapper cette classe qu'était la sienne. Il lui arrivait donc de s'infiltrer dans les vestiaires des autres filles pour en faire de même et laisser moins de doute, comme avec le temps de se retenir parfois et faire ça dans un coin pour masquer sa culpabilité. Elle faisait à croire à tout le monde qu'elle allait prendre quelques cachets ou faire une piqure mais elle en profitait surtout pour se faire plaisir, comme en ce moment. Seule dans les vestiaires, elle sentait déjà ce délicieux appel que lui tendaient ses petites culottes et ses soutiens-gorge en tous genres. Abaissant le bas de son maillot de bain scolaire, elle retira en serrant les dents le morceau de scotch de sa peau avant de se tenir devant les casiers... lesquels d'abord? Devant elle, derrière elle? Allez, devant. Pointant son doigt, elle fit plouf-plouf pour se donner une part de mystère et de surprise.
« Plouf-plouf-ça-se-ra-toi-qui-est-choi-si! »
Comme elle possédait la clé pour pénétrer dans cette pièce fermée, les casiers n'avaient pas de code et Ai découvrit à qui appartenait ce casier, C'était celui de Shii! La jolie fille dans sa classe à lunettes, assez réservée avec ses petites nattes, elle était mignonne. Raison de plus pour lui faire cet honneur. Elle tira doucement la petite culotte du casier, une culotte classique pour le tissu mais douce à l'intérieur. Les motifs à rayures, c'est si bon, si sexy! Quand c'était moulant, une culotte à rayures, c'était une arme redoutable! Elle la renifla doucement, sentant ce doux parfum féminin qui lui donnait déjà le barreau dans son maillot de bain. Elle tira aussi le joli soutien-gorge car en plus de ses belles formes, elle avait une jolie poitrine, pas énorme mais bien faite. Reniflant à nouveau son odeur, elle sentait son pénis tressauter d'excitation à l'étroit sous sa tenue. Prenant sa culotte dans sa main droite, elle commença à se masturber avec et comme toujours dans cette discipline, c'est l'intérieur de la culotte qui devait se frotter sur sa peau et non l'extérieur. Respirant à plein poumon dans le bonnet cette délicieuse odeur, elle imaginait sa petite queue se frotter au vagin de sa camarade de classe, la voir en train de gémir, de soupirer, de mouiller. Oh oui, elle avait dû pas mal mouiller dans cette culotte non? Même des plaisirs solitaires comme elle a tous les coups? Ai adorait fantasmer, on ne pouvait pas le lui reprocher.
Prise dans son activité, elle ne se contentait pas de souiller de cette manière cette culotte, elle allait jusqu'à jouir dedans! La semence expulsée inondait cette culotte qui ne pouvait pas tout retenir car elle avait un petit pénis mais Ai avait beaucoup de semence à revendre. Quelques gouttes tombèrent sur le sol, ayant presque atterri dans le casier de Shii. Elle continua de se masturber jusqu'à la dernière goutte et peu importe que cette belle petite culotte soit à présent un véritable torchon à foutre. Elle se sentait plus légère maintenant en observant son méfait accomplit. Une belle culotte remplit de foutre. Elle pourrait bien en faire de même avec son soutien-gorge mais elle devait éviter de s'absenter trop longtemps pour laisser le temps de croire que c'était rapide cette fois-là. Cependant, trop prise dans son fantasme, elle n'avait pas vu le temps passer et d'ordinaire, personne ne venait la chercher pour s'assurer que tout allait bien pour la pauvre petite Ai à la santé fragile, pourquoi ce serait diffèrent cette fois. Elle remit la culotte trempée à sa place, prête à fermer le casier et retourner avec les autres mais... trop tard...
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Le cours d’éducation physique était un cours de natation qui avait lieu au sein du lycée. Le complexe éducatif était si grand et si varié qu’il y avait un propre bassin. Parfois, les élèves du lycée Mishima faisaient ce cours à la piscine municipale, mais, aujourd’hui, la piscine municipale était prise. Shii (http://img72.xooimage.com/files/2/a/7/shii-32114ee.jpg), l’une des élèves les plus douées du lycée, nageait rapidement. Si elle n’était généralement pas très douée en sport, en revanche, en ce qui concernait la natation, on pouvait dire qu’elle était un vrai poisson dans l’eau. Nageant vite, elle sentait la fin du cours approcher, et fut la première à terminer les longueurs. Le senseï la félicita, et l’invita à retourner se changer aux vestiaires. Après tout, c’était la fin de la journée, il était bientôt 17 heures, et Shii avait bien hâte de rentrer chez elle, au manoir de sa Maîtresse, afin de s’y reposer. C’était Vendredi soir, la semaine se terminait, une dure semaine de labeur, et elle était donc on ne peut plus contente d’en avoir fini avec cette journée. Portant un maillot de bain bleu une pièce, elle remonta par l’échelle, le corps trempé, et fila. Le senseï, discrètement, en profita pour observer le joli petit cul de Shii, parfaitement moulé dans son maillot de bain, esquissa un léger sourire, puis reporta son attention sur ses autres élèves.
Shii enfila une serviette qui traînait sur un banc, et s’avança le long du couloir carrelé menant aux vestiaires. Oui, la journée avait été difficile, et la semaine longue. Shii avait réalisé plusieurs contrôles, et avait du longuement refuser. De plus, elle avait encore un peu mal aux fesses, et profita du fait d’être seule pour les gratter un peu. Il y a plusieurs jours, sa Maîtresse avait violemment exploré ses fesses, au milieu d’une orgie avec quatre autres filles qui grouillaient près de sa Maîtresse, tandis que son vit était planté dans ses fesses. Le lendemain, Shii avait eu du mal à s’asseoir, faisant glousser certaines des filles de la classe, qui avaient fait partie des filles ayant couché avec sa Maîtresse, et qui connaissaient donc l’origine de son trouble. Shii adorait coucher avec sa Maîtresse, mais il fallait bien admettre qu’elle n’y allait pas de main morte.
Il fallait juste remonter le couloir pour rejoindre les vestiaires. Elle avait remis ses lunettes pour ne pas seperdre, et avança tranquillement. Les vestiaires n’étaient pas mixtes, et elle se dit que, en se dépêchant, elle serait au manoir pour 17h30. Si elle ne le loupait pas le tramway en sortant, tout devrait bien se passer. Shii étouffa un bâillement, et constata alors une chose bizarre : le vestiaire était allumé ! Or, les lampes finissaient par s’éteindre au bout de quelques minutes.
*Curieux... Je n’ai vu personne sortir de la piscine pendant l’exercice...*
Peut-être le vigile, ou l’agent d’entretien... Elle haussa les épaules en entrant, tourna sa tête vers son casier... Et rougit comme une tomate en voyant une femme avec le maillot de bains relevé devant. Son casier était ouvert, et elle tenait, dans sa main, la culotte de Shii... Son maillot de bain découvrait son sexe, légèrement relevé, et elle avait une belle petite bouille, des cheveux verts... Et un sexe en érection qui pointait entre ses cuisses. Shii en fut tellement surprise qu’elle en lâcha sa serviette, les yeux écarquillés.
« Mais... Mais... »
Elle n’avait jamais vu cette fille dans le manoir, et, en fronçant les sourcils, elle finit par lui mettre un nom.
« Ai-san ?! Mais qu’est-ce que tu... Mais que... Mais... ?! »
Shii n’arrivait plus à trouver ses mots, ne sachant pas où regarder. La porte de son casier ouverte ? Ce sexe tendu et légèrement trempé, ces joues rouges, signe que la petite Ai venait de jouir ? Ai Aihara était une lycéenne assez quelconque au sein du lycée, que Shii connaissait, parce qu’elle consultait souvent les dossiers scolaires, généralement pour repérer des candidats potentiels pour rejoindre le manoir de sa Maîtresse. Elle s’était brièvement penchée sur le cas d’Ai Aihara, mais avait estimé que la petite était encore trop jeune pour finir entre les délicieuses griffes de Maîtresse Mélinda.
Visiblement, Ai n’était pas aussi jeune que ça, et était hermaphrodite !
« Tu... Tu t’es masturbée en pensant à... À moi ?! »
L’esprit choqué de Shii fonctionnait à toute allure, l’amenant progressivement à émettre des conclusions. C’était répugnant ! Et en même temps assez flatteur...
*Non, c’est scandaleux !*
Shii avait les joues légèrement rouges, mais sans savoir si c’était sous le coup de la colère ou de la gêne. Car, surtout, Ai était une Futanari !
Et ça, pour Shii, ce n’était pas rien.
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Que c'était bon! Ai adorait ce moment où elle se sentait soudainement légère, sa main humide par sa semence mais surtout cette culotte qui détient sa semence. Cette belle culotte souillée par ses propres soins, elle imaginait la belle Shii remettre malgré tout cette culotte trempée, sa gêne sur le visage mais l'obligation pour ne pas se balader les fesses à l'air sous son uniforme scolaire. Oh, que c'était bon de penser à ce genre de chose. Elle se demandait si elle n'allait pas garder son trophée? C'était bon d'avoir ça chez soi quand elle s'ennuie, elle pourrait s'amuser avec? Et puis, ça laissera moins de preuve et ainsi le « pervers » de la piscine pourrait aussi être un voleur et pas seulement un branleur. Pourquoi pas? Mais il y avait un problème à cette histoire, c'est qu'elle n'était plus seule et la voix de Shii le lui prouvait bien. Son petit monde rose venait de s'écrouler comme une vitre un peu trop fissuré, le retour à la réalité. Il lui était arrivée de presque se faire surprendre mais quand elle n'allait pas le temps de se cacher, elle s'allongeait par terre en mimant un malaise, espérant que ça passe et c'était le cas. Mais là, faire la technique du malaise ne risque pas de marcher. Ai tourna la tête vers Shii, non seulement elle était découverte mais en plus par la propriétaire de cette culotte. Malheureusement, elle n'avait pas simplement remarqué son casier ouvert ou sa culotte entre les mains de sa camarade, elle avait aussi remarqué son pénis encore en érection.
« Ce n'est pas ce que tu crois! »
Enfin si mais elle espérait que cette simple phrase allait planter la graine du doute dans sa tête mais pour trouver l'excuse qui va avec cette phrase ne va pas être simple. Elle lâcha la preuve pour commencer qui tomba au sol rapidement avec un léger « spouic » qu'Ai avait pu entendre. Elle l'avait bien arrosé cette petite culotte après tout. Elle marcha rapidement vers elle, même si son sexe ne débandait pas, elle était inquiète qu'on découvre que le « pervers » c'était elle mais sous sa ceinture, elle espérait un chantage pour la forcer à ne rien dire.
« C'était... »
Le pervers? Mauvaise idée. Shii n'a pas simplement trouvé Ai avec sa culotte à la main, elle l'avait trouvé avec son sexe à l'air, ce n'est pas rien!
« Enfin tu vois je... »
Peu importe qu'elle retarde cela, elle pensait à la fin, peut-être le renvoie, changer de ville, laisser le futabu derrière, laisser Aya derrière... Non, elle refuse! Ne sachant pas où poser son regard, elle voyait le corps mouiller de Shii devant elle et il faut bien admettre que c'est bandant! Surtout que la petite perverse commençait à s'imaginer des choses, un simple petit trou entre ses fesses pour y glisser son sexe et Shii qui le remue. À la fois prise dans son maillot de bain et sur sa peau, howw... elle aurait presque envie de fermer les yeux et s'imaginer ça en se masturbant tient. Car ça serait étonnant après ça que Shii accepte comme si elle venait d'oublier ce qu'elle venait de voir. Avant que cette dernière n'essaie de fuir ou d'hurler au pervers – à la perverse plutôt – Ai plaqua sa main droite sur sa bouche. Mauvaise main, légèrement humide, des traces de sperme sur la main... Quoi que Shii était trempé, elle ne remarquerait peut-être rien?
« Ne dit rien Shii-chan! Je t'expliquerais tout si tu veux mais garde ça pour toi, c'est important! Je... »
Quelle était cette agréable sensation entre ses jambes? Ha oui, comme elle se plaquait aussi contre elle – une petite différence de taille mais rien de bien géant – son pénis se frottait contre elle et des images défilaient dans son esprit. Des images... intéressantes. Ai ne faisait pas que se masturber, elle couchait avec d'autres élèves mais en général, ses dernières étaient consentantes mais là... la pulsion ira-t-elle plus loin sur les fantasmes?
« Ne dit rien... »
Soudainement un peu plus calme, elle bougeait très lentement, se frottant sur elle et elle avait presque envie que ça dur. Cette nouvelle masturbation – l'air de rien – sans les mains, avec une fille, ça commençait à devenir intéressant. Elle en oubliait presque son problème et là était le problème. Ai pensait un peu trop au sexe ce qui l'enfermait dans sa bulle quand elle commençait à pratique. De plus près, elle était aussi mignonne qu'en cours. Une peau douce en plus... Les voix étaient vite montée puis vite retombé dans une étrange situation? Shii n'avait peut-être pas décolérer mais Ai... elle avait mis ce problème à part pour le moment, savourant cette proximité...
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N’étant pas totalement idiote, Shii avait rapidement compris ce qui se passait. La discrète et enjouée Ai était une Futanari, qui avait profité que les filles soient en train de nager pour s’infiltrer dans les vestiaires, et jouir dans leurs vêtements. Shii se demandait si Ai n’avait pas exploré d’autres casiers avant de tomber sur le sien... Elle enfouissait son membre dans la culotte, et jouissait en se masturbant avec... Si Shii était arrivée un peu plus tard, Ai serait partie, et elle aurait enfilé ce sous-vêtement. Shii se surprit à rougir encore devant cette hypothèse. C’était glauque ! Elle était choquée, et vit alors Ai se rapprocher. Shii cligna des yeux. Son corps était trempé, ses cheveux étaient décoiffés, et elle ne se rendait pas compte du point auquel son maillot de bains moulait ses formes. Elle vit le sexe tendu d’Ai, et tenta de crier... Mais aucun son ne sortit de sa bouche, et la douce main d’Ai, légèrement humide, s’écrasa sur sa bouche. Elle cligna des yeux, sa respiration s’accélérant, des tremblements commençant à parcourir son corps.
*Repousse-là ! Allez, repousse-là, ça n’a rien de bien difficile !!*
Shii était plus grande qu’elle, et elle pouvait donc, en posant ses deux mains sur ses épaules, la repousser, puis hurler au viol, ou offrir à Ai la chance de s’enfuir avant que les autres ne débarquent. L’arrivée du troupeau était imminente, d’ici une minute, voire moins. Alors, pourquoi n’arrivait-elle pas à la repousser ? Ai ne pressait pas fort, et Shii se retrouva contre un casier, ses fesses heurtant la porte métallique, à deux ou trois casiers du sien. Elle sentait le sexe d’Ai frotter contre ses cuisses, glissant sur sa combinaison en néoprène. Shii déglutit lentement.
Ce qui la troublait, c’était la ressemblance entre Ai et sa Maîtresse. Ai était plus petite que sa Maîtresse, mais elle avait la même peau de bébé, douce et tendre, et, surtout, cette même lueur de désir dans le regard quand elle se rapprochait de Shii, et que la lycéenne savait qu’elles allaient faire l’amour. Avec sa Maîtresse, Shii avait du apprendre à être tout le temps consentante, même quand sa Maîtresse venait la déranger en pleine activité. C’était son devoir en tant qu’esclave, être continuellement prête à servir, sans pouvoir opposer quoi que ce soit. Dès que sa Maîtresse avait envie d’elle, Shii se devait de répondre présente. Si, au début, une telle soumission avait pu la choquer, elle s’y complaisait maintenant parfaitement, tant il était bon de se soumettre à une femme comme Mélinda.
« Ne dit rien...
- Hurmmpfff... »
Shii pouvait sentir le sexe d’Ai frotter entre ses cuisses, alors que la femme se frottait contre elle. Elle cligna lentement des yeux, essayant, sans réel succès, de se débattre. Elle ne voulait pas que les choses continuent ainsi... Mais en était-elle si sûre ? Shii était troublée, car elle avait un fantasme profond : celui des femmes membrées. Sa Maîtresse l’avait bien vu, et en profitait pleinement. Shii remuait un peu, lorsque son cœur se mit à bondir en entendant des bruits de pas et des voix.
La séance était finie, et les autres revenaient ! Elle repoussa alors Ai, en se mettant à paniquer.
« Ils vont nous surprendre ! »
Dès qu’elle prononça cette phrase, qui était sortie sans vraiment qu’elle n’y réfléchisse, Shii comprit sa gaffe.
« Nous » ?
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La situation était grave et pourtant, il avait suffi à Ai de se rapprocher de Shii, son sexe heurtant sa peau ou son maillot de bain pour doucement mettre cette panique de côté et savourer ce petit plaisir qu'elle avait à doucement frotter son membre sur elle. C'était doux, bon, délicieux et Ai pourrait facilement se prendre au jeu. Surtout que Shii ne se débattait pas pour ainsi dire, ça rendait la chose encore mieux. Mais elle ne tardait pas à sortir de ses pensées quand Shii la repoussa, entendant les autres arrivées. Elle ne fit pas attention à son lapsus mais pensait plutôt à la solution! Se faire surprendre, ça non, elle venait tout juste de se faire surprendre une fois, ça suffit! Et faut pas croire que comme dans ses fantasmes, les filles vont être en extase devant son pénis et se battre pour jouer avec Ai la première. Tournant sur elle-même, elle ne vit qu'une solution.
« Le casier! »
Elle tira Shii par la main pour la pousser dedans avant de la rejoindre tant pis si elles sont à l'étroit. Ai était face au casier, dans son dos se trouvait Shii, Ai se contentait de tenir la serrure à l'intérieur pour ne pas être enfermé dedans mais il lui sera difficile de rester concentré, déjà le corps de Shii était coller au sien, sa poitrine dans le dos – quoi que vers sa nuque plutôt – et le pire étant la suite! Si son érection était toujours là, elle allait le rester, et pour cause. Déjà les bavardages en tous genres arrivaient dans les vestiaires et chacune des filles retournaient à leur casier pour retirer leur maillot de bain et se changer et dieux que c'était beau! Ai ne perdait pas une miette dans les petits trous du casier, quitte à se mettre sur la pointe des pieds. Si les voire se mettre à nu était excitant, les voir se balader en sous-vêtements, c'était bien mieux! On pouvait le dire clairement et elle aussi n'avait aucune honte, Ai était une fétichiste des sous-vêtements. Une véritable professionnelle qui adorait observer les formes en tous genres moulés dans différents soutiens-gorge, culotte, string, nuisette ou autres. Elle adorait tout ça. Si des gens de son âge ont déjà abandonné les revues de lingeries, Ai, elle, continue d'adorer ça, c'était tout plein de bonne idée et de super canon en petite tenue. Ceci explique pourquoi elle adore tant se masturber dans les dessous de ses camarades.
« Oh non... »
Gémit-elle à voix basse. Elle savait qu'elle ne devait pas se faire remarquer mais devant un tel spectacle, c'était bien trop dur. Sa main se posa naturellement sur son sexe, commençant à se masturber en observant la scène sous les yeux. Tant pis que Shii soit dans son dos, elle ne lui faisait aucune proposition au moins. Observant les vas et viens de certaines, leurs bavardages inutiles qui prolongeaient le spectacle, Ai commençait à se demander si elle n'allait pas se cacher plus souvent dans son casier? Les timides et discrètes abordaient des dessous plutôt classiques et mignons alors que les bimbos montraient des dessous plus adultes et plus sexy, certaines avaient des choses plus originaux, des shortys pour les sportives en général, dommage mais ça avait son charme, surtout quand c'est bien moulé. La masturbation était presque devenue comme une maladie, une drogue pour Ai qui n'avait aucun complexe à le faire plusieurs fois par jour. La nature lui avait donné cette queue, elle devait s'en servir, quitte à le faire dans un casier et que ça coule sur ses pieds après.
Faisant preuve de jugeote, elle retira sa main, la plaçant près de son visage, comme pour l'éloigner du crime, elle ne devait pas se toucher, elle ne devait pas... mais c'était dur face à tant de jolies petites culottes et de jolies poitrines. Elle se mordait la lèvre inférieure, se tenant presque sur un pied, puis l'autre. Non, elle n'avait pas envie d'aller aux toilettes, ou alors, ce n'était pas pour faire la petite commission. C'était difficile mais elle devait se retenir et ne pas se toucher... plus facile à dire qu'à faire cette histoire... Elle sentait la chaleur entre ses jambes, son pénis qui tressautait d'excitation... se retenir aura rarement été aussi dur...
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La panique de Shii explosa dans son esprit, la coupant de toute forme de réflexion. Son esprit s’emballait fiévreusement, nerveusement agité, et elle se retrouva alors dans le casier. Si elle avait réfléchi un tant soit peu, elle aurait assurément trouvé un moyen de s’en sortir, un moyen moins rocambolesque et moins incongrue que de se planquer dans un casier. Au lieu de ça, la dynamique petite Ai la poussa à l’intérieur, et les fesses de Shii heurtèrent le dos du casier, avant qu’Ai n’entre, et ne ferma la porte par l’intérieur, la tenant par l’intérieur.
*Oh Seigneur !*
La situation était tout simplement catastrophique ! Il n’y avait pas d’autres mots pour la résumer : un cauchemar ! Shii était seule, dans un casier étroit, avec une femme d’hermaphrodite qui s’était masturbée dans ses sous-vêtements, et qui avait les yeux rivés sur les petites rais d’ouverture dans la porte, observant les filles s’approcher, se déshabiller, finissant toutes nues, enfilant ensuite leurs sous-vêtements, leurs collants, tout en prenant leur temps Shii se mordillait les lèvres, terrorisée, persuadée que la porte allait rapidement s’ouvrir, et qu’on allait les surprendre dans une position des plus embarrassantes. Elle se voyait bien mal expliquer ce qu’elle faisait là, et il n’y avait qu’un pas à faire pour que son esprit s’emballe, imaginant les pires scénarios possible :s les rires, les moqueries, les chuchotements, les tweets, une rumeur qui gonflerait... Shii, une traînée... Il y avait amplement de quoi lui faire refuser toute entrée à l’université, et briser son avenir ! Oui, Shii paniquait, mais c’était dans sa nature, c’était précisément ce qui en faisait une soumise si docile. La menacer était très facile, surtout quand Mélinda avait sur elle des vidéos compromettantes, le genre de vidéos pouvant facilement circuler sur les réseaux sociaux. Certes, sa Maîtresse s’abaissait assez rarement à la menacer, et, quand elle la faisait, ce n’était jamais sérieux, mais toujours dans le but de la faire paniquer.
Dehors, les filles discutaient entre elles, papotant de ci et de ça.
« Il faut qu’on se fasse cette fête, les filles !
- Vous n’avez pas vu Shii ? Elle a du filer bien vite...
- Sûrement un rendez-vous uuuuuuuuuuuurgent avec sa grande amie Miss Mélinda !
- Oh, m’en parle pas ; cette pute, j’peux pas la sacquer ! Et gna-gna-gna, et gna-na-gna, regardez, c’est moi la plus belle... Foutue salope. »
Les filles gloussèrent, tandis que Shii était toute rouge.
« J’parie qu’elle se farcit Shii. Vous avez vu comment elle la regarde ?
- Non mais genre, on dirait une secte, quoi ! Oh, Grande et Éternelle Mélinda, je vous vénère, et je vous baise humblement les pieds...
- Cette fille est tarée. Vous avez vu le manoir dans lequel elle vit ? Sérieusement, c’est le manoir de Frankenstein, ce truc, genre ! »
Tout en papotant, elles prenaient tout leur temps pour s’habiller, offrant ainsi à Ai la vue de superbes corps trempés et humides enveloppés dans des sous-vêtements. Shii se sentait peu à peu se calmer. Elle était toujours paniquée, mais, en regardant Ai, elle pouvait voir que cette dernière se frottait... Elle se masturbait, faisant légèrement grincer la porte du casier. Si les filles ne gloussaient pas, elles l’entendraient sûrement, et Shii se pinça les lèvres. Cette fille devait vraiment être une grosse perverse pour pouvoir bander ainsi, dans une telle situation ! Et, tout en y songeant, Shii ne pouvait s’empêcher de l’imaginer en érection, de voir ce sexe tendre, et de s’imaginer le prendre entre ses doigts, pour le sucer... Shii ferma les yeux en soupirant, se mordillant un doigt, se forçant à penser à autre chose.
C’était difficile, d’autant plus que, à chaque instant, Ai risquait de les amener à se repérer.
« Hey, c’est sexy ta culotte !
- Ow, tu trouves ? J’envisage de la porter pour la Saint-Valentin, je sais que mon chéri craque sur ce genre de choses...
- Ohlàlà, mais ne me dis pas que tu fêtes ce truc, si ?!
- Nan mais je rêêêve !! C’est un truc purement occidental !
- Mais... C’est que j’aime mon chéri... »
Les conversations se poursuivaient, et Shii voyait Ai se plaquer contre la porte. Elle se rapprocha alors, et posa une main sur son épaule. Elles étaient très proches, si proches que les seins de Shii s’enfoncèrent contre son dos, alors qu’elle la retournait. Usant de son âge supérieur, elle posa un doigt sur les lèvres de la belle, et murmura :
« Arrête ça, tu vas nous faire repérer !! »
Derrière, les filles continuaient à parler, l’une d’elles se rapprochant du casier.
« Hum... C’est dommage que Shii soit si timide, j’aurais tellement aimé lui rouler une pelle...
- Quelque chose me dit que tu as justement envie de lui rouler une pelle parce qu’elle est timide...
- Si seulement cette pimbêche de Mélinda ne lui était pas tombée dessus la première... Je suis convaincue que... Enfin, vous voyez, quoi... Qu’elles l’ont fait... »
Comme quoi, l’intuition féminine pouvait être terrible.
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La situation était dangereuse ainsi dans ce casier, n'importe qui pourrait soudainement l'ouvrir et les découvrir, caché. Ça n'avait rien de grave dit comme ça mais n'oublions pas qu'Ai avait toujours son érection que cette envie de se masturber était toujours bien présente. Comment résister à cette envie? De belles jeunes femmes avec de jolis dessous et de jolies formes, ça semblait un petit paradis que jouer les voyeuses. Oh bien sur, elle aimerait être invisible et observer cela de plus près, caresser le tissu moulant sur leur peau, renifler certaines odeurs, passer une main dans leurs cheveux mais ce serait trop demander. Gardant sa main de libre près de sa tête pour éviter toute tentation, ses doigts se crispaient par le manque, la tentation... Dieu que c'était dur comme épreuve! Les conversations des filles ne l'intéressaient pas vraiment, elle avait bien entendu le nom de Mélinda Warren, c'est vrai qu'elle était mignonne et plus d'une fois Ai s'était masturbé en l'imaginant dans des dessous en dentelle très raffiné, même dans un magnifique porte-jarretelle noir avec de légères dentelles. Faut bien dire ce qui est, Mélinda était belle mais elle avait ce petit quelque chose de salope dans le regard et bien sur, pour une perverse comme Ai, c'est une source inépuisable de fantasmes. Mais le fait de ne pas être dans la même classe plus le fait d'être le plus souvent occupé par autre chose – ou quelqu'un d'autres – ne lui laissait pas vraiment le temps de se rapprocher de cette dernière. Elle ignorait même que Shii était plus ou moins proche de cette dernière.
Voyant que ça parlait de culotte sexy, elle se rapprocha un peu plus de l'aération en se mettant sur la pointe des pieds. Elle tenait toujours la porte pour éviter d'être enfermé mais elle sentait son pénis se frotter au métal froid de la porte. Et bien croyez le ou non, ça renforçait son envie de se masturber comme une folle, comme si elle était simplement devant un porno et que personne ne pourrait la surprendre. Elle était bien d'accord avec les autres, elle avait une culotte sexy et au choix, elle se serait bien masturbé dedans? Ça n'avait pas l'air d'être une grande marque ou un tissu extraordinaire mais c'était sexy, pas n'importe quel dessous. De plus, elle avait toujours cette petite pensée que la victime du « pervers » remette sa culotte souillée sans dire quoi que ce soit aux autres, de peur d'être regardé bizarrement et ça... ça lui donnait encore plus envie de passer à l'action! Mais Shii posa une main sur son épaule en la retournant, lui faisant face comme avant. C'était peut-être la meilleure solution pour ne pas être tentée par elles. Du coup, elle était tentée par Shii. Son corps si proche, si chaud, son pénis de nouveau en contact avec le tissu de son maillot de bain scolaire, oh... Elle avait bien envie d'enfoncer sa tête entre ses seins en prenant Shii dans ce casier. Ou qu'elle vienne poser sa main entre ses jambes pour doucement la masturber, ça, ça serait le pied! Dangereux mais si tentant. Ai avait des envies dangereuses, de faire ça dans des lieux publics, de risquer de se faire surprendre mais aussi d'augmenter son plaisir. Cependant, maintenant face à Shii, elle ne pouvait plus tenir la porte et par un coup du sort, elle y pensait plutôt que fantasmer.
« La porte... »
Lâcha-t-elle doucement alors que les filles imaginaient à leur tour coucher avec Shii. Il y avait de quoi fantasmé avec elle mais l'occasion était si rare, Ai ne pensait pas au sexe mais a éviter d'être surprise. Elle paraissait pour une fille assez calme et discrète en classe mais si son secret venait à être découvert, elles feront vite le lien avec le pervers et ce serait étonnant que toutes se taise si Ai venait à coucher avec elles. Cela ne la dérangerait pas, loin de là mais la petite futanari savait parfois faire la différence entre réalité et fantasme. Le doigt de Shii sur sa bouche était lui aussi une tentation, elle avait envie de le sucer pour attiser l'envie chez elle mais elle se retenait même si Shii devait bien sentir son souffle chaud dessus. Elle ferma les yeux très fort pour éviter de trop sentir de pulsion la guider et ce fut comme une coupure, elle pensait à tout sauf au sexe, à cette situation dans le casier et elle ouvrait les yeux un peu plus tard alors qu'il lui semblait avoir entendu un bruit de porte? Se retournant doucement, la jeune femme aux cheveux verts observa à travers le casier et elles semblaient n'être plus que deux dans les vestiaires? Elle poussa doucement la porte en passant sa tête, elles étaient enfin seules.
« Pfiou! On l'a échappé belle! Tu n'as pas trouvé ça marrant quand même? »
Finie la panique, Ai retrouva le sourire et même si sous la ceinture, ça n'avait rien de tendu et de dur, ça pourrait facilement le redevenir. Shii ne l'avait peut-être pas remarqué mais Ai était une futanari qui était moins « développée » que les autres, son pénis ne faisait qu'une dizaine de centimètres en érection (http://img4.hostingpics.net/pics/616047SaHaFutaClub10.jpg) alors détendue, il était facilement deux fois plus petit, dépassant toujours de son maillot de bain. Penchant sa tête légèrement sur le côté, elle plissa un peu ses yeux en souriant.
« Maintenant qu'elles ne sont plus là, tu n'en aurais pas envie, hein? »
Ai ne perdait pas le nord, elle avait déjà pratiquement oublié que Shii venait de la surprendre en train de jouir dans sa culotte. Enfin, disons que ça, c'était le cadet de ses soucis, Shii était au courant maintenant et Ai n'avait pas ce petit bidule qui fait une lumière rouge et efface la mémoire des gens comme dans ce film.
« Au fait, tu es vraiment amie avec Warren-chan? »
Ai restait un peu trop poli concernant les belles filles mais nul doute que cette question n'était pas posée au hasard et qu'elle avait sa petite idée derrière la tête...
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Shii était bien trop paniquée pour faire attention à la conversation qui se déroulait de l’autre côté de la porte de son casier. Elle entendit son nom, celui de sa Maîtresse, mais elle pensait surtout à cette femme, à Ai. Elle l’avait retourné pour éviter que cette dernière n’en vienne à se masturber contre la porte, et, ainsi, n’attire l’attention. Shii sentit alors le sexe de la femme heurter son maillot de bains, entre ses cuisses, le bout tendu glissant contre son intimité, heurtant son corps, s’enfonçant dedans. Le maillot de bain de Shii était relativement moulant, rendant cette texture très lisse. L’intéressée se pinça les lèvres en rougissant, et entoura Ai de ses mains, enfouissant sa tête contre ses seins, laissant ainsi les secondes passer, en priant pour qu’on ne les entende pas. Elle avait terriblement chaud, sa respiration était précipitée, et elle s’attendait à chaque instant à ce que la prote ne s’ouvre sur un troupeau de femmes qui souriraient et se moqueraient d’elles, et leur imposeraient der faire l’amour en public. Vu comment Ai agissait, cette dernière sauterait probablement sur l’occasion, mais Shii... Elle était une fille, alors elle connaissait les filles. On la filmerait, on la photographierait avec les portables, et la pauvrette se retrouverait avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Elle écrasait Ai contre elle pour éviter que les soupirs de cette dernière ne soient entendus. Cependant, le geste avait quelque chose de sensuel, même si Shii ne faisait rien. Elle restait écrasée contre le fond du casier.
Au bout d’un certain temps, les filles partirent, et Ai sortit. Esseulée, Shii la suivit, lentement, s’attendant à chaque instant à ce que quelqu’un ne débarque. Cependant, Ai ne mentait pas : il n’y avait plus qu’elles. Se sentant soulagée, Shii sortit donc, sentant son rythme revenir à la normale.
« Maintenant qu'elles ne sont plus là, tu n'en aurais pas envie, hein ? » lui demanda alors Ai.
Shii se contenta de la fusiller du regard. Une telle proposition était particulièrement indécente ! Cette femme la prenait-elle pour une prostituée ? Ai ne pouvait pas le savoir, mais Shii était une femme qu’il fallait forcer un peu. Elle était une grande timide, et sa Maîtresse, Mélinda, l’avait très bien compris. En y repensant, Shii réalisa qu’elle avait perdu du temps. Si elle traînait trop à revenir au manoir, Maîtresse risquerait de s’inquiéter ! En réalité, Mélinda savait très bien que ses esclaves avaient le droit à une certaine forme de liberté, mais Shii était ainsi.
Elle contempla sa culotte, une moue circonspecte sur le visage. Qu’était-elle supposée faire, maintenant ? Elle n’allait tout de même pas se l’enfiler, c’était...
*Beurk !*
La lycéenne le renifla, puis déposa la culotte. Elle était bonne pour un lavage intense ! Elle n’avait pas le choix, elle allait devoir se déplacer sans culotte ! C’était horrible, mais elle préférait ça, plutôt que d’enfiler sa culotte, après avoir vu Ai en train de... Shii secoua la tête, se refusant à y repenser, puis alla farfouiller ses affaires dans son casier. En y rentrant avec Ai, elle avait écarté de la main son uniforme, qui était accrochée sur un cintre, avec la chemise, et la jupe, repliée sur le cintre. Elle les récupéra lentement, offrant la vue de sa croupe à Ai. Son maillot de bain moulait particulièrement bien ses formes.
Shii en était à récupérer ses affaires, lorsqu’Ai lui posa une nouvelle question :
« Au fait, tu es vraiment amie avec Warren-chan ? »
Surprise par cette question, Shii se retourna.
« Euh... »
En réalité, Shii était son esclave, mais ce n’était pas vraiment le genre de choses qu’on pouvait dire face à des gens qui ne les connaissaient pas. On se faisait de fausses idées. Se présenter comme esclave, ce n’était pas forcément très valorisant, même si Shii ne regrettait nullement sa position. Elle dormait dans une superbe chambre, était entourée de gens qui l’aimaient si bien, et elle savait que sa Maîtresse, même si elle avait des goûts sexuels très intenses.
« On peut dire ça comme ça, oui... C’est une fille adorable, même si elle est assez particulière. Elle m’héberge dans son grand manoir, et... Elle aussi, elle est... Enfin, euh... »
N’arrivant pas à le dire, Shii posa sa main entre ses jambes, et mima une masturbation. Elle reprit alors, les joues légèrement rouges, sur un ton plus faible :
« Elle en a un, elle aussi... »
Ce n’était certainement pas la phrase la plus intelligente à sortir face à une femme qui venait de jouir dans sa culotte, mais, face à ce genre de choses, tout le génie de Shii semblait s’être mystérieusement envolé.
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Fin de la séance à deux dans un casier, même si ça aurait pu faire un très bon souvenir pour Ai, maintenant, elles étaient toutes les deux seules dans les vestiaires. Elles avaient toute la place du monde pour jouer à deux du coup, évidemment. Malgré un regard de tueuse qui amusa la petite futanari, elle n'en dit pas plus. Dommage, elle aurait cru qu'après avoir respiré entre ses seins, elle se montre plus envieuse à sa proposition mais ça ne fonctionnait pas. Observant la belle se changer, il en fallait peu à Ai pour qu'elle sente l'érection remonter doucement en elle, faisant circuler le sang dans son pénis mais elle ne se touchait pas, laissant simplement cette vue à Shii si jamais elle observait Ai entre-temps. Bah quoi? Une belle queue qui se dresse, montrant le plaisir à voir ce qu'elle a sous les yeux, c'est beau, non? Elle évoqua Mélinda car peu de gens la connaissaient vraiment dans le lycée mais elle ne passait pas inaperçue avec son visage de poupée et ses beaux cheveux. Elle préférait ne rien dire mais elle n'était pas la seule à fantasmer sur elle. Elle avait plus d'une fois imaginé Mélinda dans des dessous très chic et chère, très raffinée qui faisait toute la différence. Les gens ont tendance à s'exciter sur des filles nues mais de beaux dessous peuvent faire toute la différence.
Shii était une de ses rares amies alors elle en profitait pour avoir des informations mais de là à lui dire ça... Trop tard, à moins qu'elle ne sache comment lui effacer la mémoire, elle va savoir ce que c'est d'être harcelé! Mélinda Warren, une futanari! Ça changeait ses fantasmes et imaginer une queue dépasser d'une jolie culotte rose à dentelle changeait la donne, forcément! C'est tout un tas de choses qui s'écroule mais pour mieux rebâtir ensuite sur les ruines fumantes de certains de ses fantasmes. Tenant le banc sur lequel elle était assise, elle se pencha en avant avec un grand sourire.
« C'est vrai? Vrai de vrai?! Haaaannn... »
Mille étoiles brillaient dans les yeux d'Ai en ce moment, imaginant tout un tas de choses, elle va en rêver beaucoup et ses prochaines fois où elle se masturbera seule, elle sait déjà qui et quoi vont en être le sujet. Se redressant, prête à s'habiller pour ne pas être dépassé, quitte à mettre ses affaires sur son maillot de bain – intacte car elle n'a pas nagé – elle ne voulait pas lâcher Shii d'une semelle!
« Bon, je viens avec toi rendre visite à Warren-chan! Et je refuse un non! Quitte à ce que tu l'appelles pour lui demander la permission où que je la convaincs à ma façon, je viens avec toi. Tu sais, entre futas, on va se comprendre alors ça m'étonnerais qu'elle te dise non! »
Bien entendu... ce n'est pas forcément vrai, et alors? Si Warren était une futa et que Shii le savait, elles s'étaient vu nue et surement bien plus, non? Siiii! Retirant son maillot de bain, elle révéla à sa nouvelle amie ses formes peu développées mais il y avait un membre qui ne semblait pas encore prêt à se reposer. Même si elle enfila rapidement sa culotte, la petite bosse se voyait mais sous sa jupe, ce sera pratiquement invisible ou presque. Elle aura tout le temps de se mettre à nu ensuite.
« On va y aller comment jusqu'à chez Warren-chan? À pied? Bus, train? »
Simple renseignement. Puis elle avait bien vu qu'elle irait là-bas sans culotte, elle aura bien le temps de tenter une chose ou deux en cours de route alors, autant imaginer quelques petites choses à essayer, Ai ne serait pas contre. Finissant par mettre sa veste de son uniforme, elle se tourna vers Shii avec une nouvelle question.
« Quand tu disais qu'elle était particulière, tu parlais juste du fait qu'elle est une futa ou c'est encore autre chose? »
Elle a quand même le droit de se renseigner sur autre chose que ses mensurations, ses dessous ou ce qu'elle cache sous sa culotte.
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Shii était peut-être une tête, mais, dans tout ce qui était relations sociales, il fallait bien admettre qu’elle était un peu à la masse. Elle savait que sa Maîtresse ne tenait pas à ce que les autres sachent quelles étaient ses particularités, mais, après avoir été enfermée dans son propre casier par une fille qui venait de se masturber sur sa culotte (quelle horreur !), Shii était toute perturbée. Elle l’avait lâché sans vraiment y réfléchir, et cette information n’était pas tombée sur l’oreille d’une sourde. L’érection d’Ai se durcit à nouveau, redressant son sexe, et Shii devint toute rouge en voyant ce membre, et s’empressa de regarder ailleurs. Il ne fallait surtout pas qu’Ai voit que toute la conviction de Shii était aussi solide que les fondations d’un château de cartes. Autrement, ce serait la fin de tout ! La Berezina, la Nakba, la Grande Catastrophe !! Faire l’amour en public... Rien qu’à en penser, elle en avait des frissons qui remontaient sur tout le corps ! Elle préféra donc laisser Ai rêvasser sur le chibre de sa Maîtresse, tandis qu’elle entreprenait de s’habiller... Sans culotte.
*Ohlàlà, ça va être terrible, dehors… Si quelqu’un m’aperçoit comme ça…*
On ne pourrait que la prendre pour une pute, et on aurait entièrement raison, car c’était exactement ainsi que Shii se ressentait. Une traînée qui s’était enfermée avec une fille dans son casier pour lui faire des choses, alors qu’elle aurait du rester en-dehors de tout ça, et laisser l’administration se charger de cette petite perverse. Cependant, avec sa chance habituelle, et l’administration très particulière de Mishima, il était même possible qu’on daigne se livrer à une reconstitution, et qu’on lui reproche, en douceur, de ne pas avoir succombé aux avances de cette femme. Ce lycée était vraiment terrible ! La prude Shii était en train de se heurter à ses propres sentiments, à sa perversion naissante et croissante, le duel interne étant redoutable pour elle. Elle ne savait plus quoi en penser, et vit Ai se déshabiller. Son sexe pointait fièrement vers le haut. Elle avait retrouvé son érection, et entreprit de s’habiller, enfilant sa culotte et son uniforme d’écolière... Avec un sexe dessous. Shii tourna à nouveau la tête, les joues rouges. Sans pouvoir se l’expliquer, elle trouvait cette image délicieusement sensuelle : un sexe en érection sous des vêtements... Et elle était d’autant plus sensuelle, cette image, que Shii n’avait pas de culotte, ce qu’Ai ne pouvait qu’avoir noté. Elle était vulnérable, et, vu que cette petite peste avait été jusqu’à se frotter contre sa culotte et jouir dessus, il y avait fort à parier qu’elle essaierait de profiter de la situation. Shii se disait qu’elle la repousserait, sans hésitation, mais elle-même doutait de sa propre volonté à le faire. Le pourrait-elle ? Elle en doutait.
Ai était décidée à venir avec elle au manoir de sa Maîtresse, et lui demanda par quel chemin elle allait s’y rendre : bus, métro, à pied...
« À pied ! » trancha Shii.
Le manoir était assez éloigné, il leur faudrait une bonne demi-heure de marche pour y aller, mais ce n’était pas négociable. Elle ne se voyait surtout pas aller dans un bus sans sa culotte. Si jamais quelqu’un le voyait ! Non, elle ne voulait même pas y penser ! Elle passerait par les ruelles, le parc, et les endroits isolés... Ce n’était sans doute pas l’itinéraire le plus intelligent avec une perverse avec elle, qui avait clairement envie de la prendre, mais Shii ne pouvait pas s’empêcher de penser à l’autre alternative : se faire voir par des inconnus sans culotte ! Ce serait terrible, profondément dégradant et humiliant ! Plutôt que de prendre des risques, elle préférait jouer la carte de la prudence.
Alors qu’elles allaient y aller, Ai entreprit de lui poser une autre question :
« Quand tu disais qu'elle était particulière, tu parlais juste du fait qu'elle est une futa ou c'est encore autre chose ? »
Shii se mordilla les lèvres. Oui, elle était une vampire esclavagiste venue d’une autre dimension... Mis à part ça ? Rien à signaler, mon capitaine, vous pouvez circuler ! Elle ne pouvait pas le dire, Maîtresse le lui en voudrait, et elle préféra se tourner vers Ai. Mentir était un exercice très difficile pour Shii, et la lycéenne trouva une alternative :
« Tu parles trop ! s’exclama-t-elle, sans se douter qu’il pouvait être très facile d’interpréter cette phrase. Il y a un long chemin à faire. Tu poseras directement tes questions à Maît... À Mélinda, se rattrapa-t-elle rapidement. Si elle veut bien de toi chez elle ! »
En réalité, il était très probable qu’elle en voudrait bien, et que, si elle apprenait l’histoire du casier, elle trouvait l’idée suffisamment intéressante pour ordonner à Shii, la prochaine fois, de la faire en entier. Oui, ce serait bien le style de sa Maîtresse... La pauvre Shii n’en menait pas large, et récupéra son sac, enfouissant dedans la culotte trempée, puis sortit.
« OIn va couper par le parc, dit-elle en sortant du gymnase, ça ira plus vite ainsi. »
Elle s’accorda un furtif regard vers l’entre-jambes d’Ai, et détourna rapidement les yeux. Elle venait de se demander si la belle avait toujours son érection.
*Shii ! se sermonna-t-elle. Il va falloir que tu te calmes !*
C’était malheureusement bien plus facile à penser qu’à faire.
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Maintenant qu'elle savait ça, elle ne comptait pas laisser Shii s'en tirer si facilement. Elle va rencontrer la fameuse Mélinda Warren et elle va très rapidement se rapprocher d'elle. La belle lycéenne au visage de poupée, elle imaginait déjà la collection de dessous raffinés de ses tiroirs et c'était assez suffisant pour augmenter son flux sanguin entre ses jambes. Elle voulait déjà beaucoup en savoir sur elle mais sa nouvelle copine préférait ne pas trop en entendre parler, apparemment, elle n'aimait pas répondre pour les autres? Elle avait peut-être peur d'en dire trop? Possible mais si c'est le cas, ça rendait le jeu des questions encore plus passionnant! Déjà, elle avait remarqué ce lapsus quand elle avait voulu dire Mélinda, elle a failli dire autre chose qui commence par « Maît... », ce n'était pas bien compliqué de deviner la suite quand on est bien à l'aise sur le sujet comme Ai.
« Moi je suis sûr qu'on va très bien s'entendre toutes les deux, puis avec toi aussi. »
Oui, même si leur véritable rencontre n'avait pas démarré comme elle l'aurait aimé, vu leur situation à présent, c'était un mal pour un bien. Concernant le trajet qui se fera à pied, Shii préféra couper par le parc, elle n'avait pas d'autre choix que de la suivre de toute façon, c'était elle qui connaissait le chemin, pas elle. La jeune futa opina du chef avant de la suivre en ayant une idée derrière la tête en observant sa jupe qui cachait une paire de fesses à l'air. Certes, le bus ou le train aurait pu proposer un peu plus de jeux en passant discrètement une main sous sa jupe ou même tenter de la pénétrer en se cachant assez bien. C'était risquer mais très excitant surtout! En passant par le parc, Ai était rester assez silencieuse sur le trajet, demandant simplement le temps que cela prendrait à pied – trente minutes environ – et un ou deux détails sur elle et Mélinda mais des trucs banaux du genre si Mélinda vivait encore chez ses parents, ce genre de chose? Après tout, la richesse de la belle demoiselle n'était pas un secret et c'est pour cela qu'Ai fantasmait sur des dessous raffiné en pensant à Mélinda, elle n'était pas comme tout le monde. Mais en voyant le peu de présence dans le parc, elle pouvait mettre en œuvre son idée maintenant et souleva la jupe de Shii pour dévoiler ses fesses en faisant bien attention à ce qu'il y ai personne autour.
« Oh y a du vent dit donc!!! »
Amusée par son petit jeu, elle relâcha bien vite sa jupe en gloussant, cachant son sourire avec sa main en l'observant d'une façon inquiétante, pour Shii en tout cas.
« Tu sais, je pourrais te courir après pour soulever ta jupe et profiter de la vue... mais les autres pourraient aussi le voir si tu cours... »
Oh que oui c'était inquiétant pour la jeune femme mais Ai n'était pas comme ça. Certes elle jouait les frêles demoiselles en classe et était du genre dominante dans le club comme avec les autres en général même si elle était plutôt soumise avec les autres futas. Surtout avec Aya mais c'était pas pareille, c'était une très bonne copine.
« Je vais plutôt te rendre service puisque tu es trop gêné et que j'ai un peu aspergé ta culotte. » Elle l'avait surtout inondé mais elle ne s'arrêta pas sur ce détail. « Je te prête la mienne jusqu'à ce qu'on arrive chez Mélinda, comme ça tu n'auras rien à craindre et moins non plus. »
Oui, si Shii tente de faire la même chose avec elle, pas sur qu'Ai soit gêner, au contraire même. Elle la prenait par la main en se dirigeant derrière un arbre avec plusieurs grands buissons ce qui les cachait bien. Bah quoi, elle n'allait pas retirer sa culotte au milieu du chemin après tout. Ai se baissait en retirant sa culotte, tout simple, blanche et pure – enfin, elle avait surement laissé une ou deux gouttes de sperme dedans mais ça ne se voyait pas. Puis Shii qui porte ses dessous, elle serait du genre à vouloir porter sa culotte encore chaude une fois chez Mélinda, ça, c'est excitant. Puis vu la différence de taille, Shii va surement être un peu plus serré dedans? Quoi qu'il en soit, Ai se redressa en cachant sa culotte dans son dos, s'adossant à l'arbre avec un sourire en coin.
« Mais en échange, je voudrais juste une petite pipe, promis, pas plus! Je te laisse gérer ça toute seule mais là, Shii-chan, j'ai trop besoin de ton aide pour me soulager. Sentir tes seins contre mon visage dans le casier et le tissu de ton maillot de bain scolaire encore humide se frotter sur mon gland, oh, c'était trop tentant pour moi. Je garde mes mains dans mon dos, je te demande rien de plus après et je cache même ça à Mélinda si tu veux. »
Malgré sa demande qui était autant un chantage qu'un service, elle avait un petit sourire en coin, un sourire qui lui demandait « s'il te plaît » alors qu'une légère bosse se voyait sur sa jupe, surtout quand elle se cambrait en arrière. Son pénis n'était pas très grand contrairement à de nombreuses futas mais Ai en était fier. Ne dit-on pas « tout ce qui est petit est mignon »?
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Le cœur de Shii battait lourdement dans sa poitrine. Nerveuse, voilà comment elle était ! Comment ne pas la comprendre ? Elle était en compagnie d’une Futanari perverse qui avait joui dans sa culotte, qui l’avait coincé dans un casier, et qui était sûrement en train de la reluquer ! Shii avait l’impression qu’une paire d’yeux voraces se situaient dans son dos, la détaillant, l’observant, la zyeutant, la dévorant sous toutes les coutures... C’était extrêmement gênant, et elle conservait les poings serrés, la démarche raide, en avançant dans le parc. Pour Shii, s’isoler des gens lui avait semblé, sous la panique, être la meilleure idée... Ainsi, si un coup de vent soulevait sa jupe, il n’y aurait personne pour voir en elle une petite catin. Elle n’avait pas réalisé qu’elle ne faisait que se tirer une balle dans le pied en s’isolant avec Ai, mais cette situation, naturellement, n’échappait pas à Ai.
Shii ne pensait qu’à une chose : retourner rapidement au manoir, où elle serait à l’abri... Et trouver une nouvelle culotte ! Il faudrait qu’elle trouve un moyen de s’assurer qu’on ne puisse plus faire ces... Ces trucs avec ses vêtements ! Ce n’était pas la première fois qu’on jouait avec les vêtements de Shii. Certaines filles venant d’Ashnard aimaient bien lui faire l’amour dans son uniforme scolaire, enfonçant en elle leurs fortes virilités, jouissant sur ses vêtements, et autres choses... Mais là, là, c’était dans un lieu public ! Pas dans le harem, pas dans le manoir, mais dans les vestiaires ! C’était indécent, c’était scandaleux, c’était ignoble, c’était...
*Délicieusement excitant ?*
N-Non ! Il n’y avait rien... Rien d’excitant là-dedans ! Absolument rien, rien, rien, rien, RIEN ! Elle essayait de s’en convaincre, mais, pour autant, dans sa tête, l’image de ce sexe tendu revenait, comme une balle de ping pong. Elle avait beau jeter l’idée au loin, elle revenait à la charge, avec la même fixation, la même intensité, la même attirance. Shii avait le cœur qui bondissait dans sa poitrine, et elle ne sentit pas Ai se rapprocher... En revanche, quand cette dernière souleva sa jupe en se moquant d’elle, Shii bondit comme si elle venait de marcher sur une ourse.
« HAAA ! Non-mais-t’es-folle-ou-quoi ?! » balança-t-elle à toute allure en se retournant subitement, une main sur les fesses.
Ai semblait amusée par sa propre pitrerie, et Shii remarqua alors, très clairement, qu’elles étaient seules. Un vent de panique s’empara de son corps, car elle voyait, dans les yeux d’Ai, cette lueur... La même que dans les vestiaires, et la même que celle qu’avait sa Maîtresse quand elle s’approchait de Shii, et désignait son sexe tendu de la main en lui faisant signe de venir, et que, cette fois, ça allait être la bonne. Ai ne lui laissait aucun recul, et lui proposa de porter sa culotte. Shii écarquilla les yeux. Elle aurait bien voulu s’enfuir, mais... Et bien, c’était comme si ses jambes étaient figées. Ai la conduisit alors dans un petit coin, à l’abri derrière de grands buissons, comme un genre de petit square intime. Shii rougit, mal à l’aise. Elle... Elle ne pouvait pas accepter ça, non, c’était...C’était très indécent ! Ai lui montra sa culotte, visiblement sûre de son coup.
Cette dernière était propre, blanche, mais, plutôt que de la lui donner, elle imposa une condition, une condition à laquelle Shii aurait effectivement pu s’attendre :
« Mais en échange, je voudrais juste une petite pipe, promis, pas plus! Je te laisse gérer ça toute seule mais là, Shii-chan, j'ai trop besoin de ton aide pour me soulager. Sentir tes seins contre mon visage dans le casier et le tissu de ton maillot de bain scolaire encore humide se frotter sur mon gland, oh, c'était trop tentant pour moi. Je garde mes mains dans mon dos, je te demande rien de plus après et je cache même ça à Mélinda si tu veux. »
U-Une... Une... Une... Une PIPE ?! Pour Shii, ce fut comme si un coup de massue s’abattait sur sa tête. Elle écarquilla les yeux, ouvrant la bouche, et glissa naturellement du visage d’Ai à son entrejambes, devinant son sexe tendu, assoiffé. Shii rougit, et comprit rapidement que, ce qui la gênait, ce n’était pas tant la fellation elle-même que le fait que... Et bien, que, en réalité, elle avait très envie de le faire ! Oui ! Oui, c’était ça ! Shii était gênée pour deux raisons : pour ce que le geste en lui-même impliquait, à savoir faire des trucs obscènes en public, mais aussi parce qu’elle en avait envie.
Shii hocha lentement la tête, s’humectant les lèvres.
« Je... Très bien... Très bien, Aihara-san... »
Shii soupira lentement, et fléchit les genoux, allant se mettre devant Ai. Elle pouvait voir la belle bosse qui déformait ses vêtements, et, lentement, elle abaissa sa jupe, voyant rapidement ce chibre pointer. Il alla tapoter son nez, et elle soupira lentement, reprenant son souffle. Les joues en feu, Shii attrapa cette verge dans le creux de sa main, et commença à lécher le bout, se rappelant le nombre de fois qu’elle avait fait ça avec sa Maîtresse, puis, lentement, commença à l’avaler.
*Pitié, que personne ne me voit !*
Shii savait qu’elle ne pourrait pas y échapper. Si elle tentait de s’enfuir, Ai la poursuivrait... Ici, elles étaient à l’abri... Mais Shii redoutait aussi une autre personne... Outre Ai, elle redoutait aussi ses propres réactions.
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Ce n'était quand même pas sa faute si elle était trop bandante! Shii s'en rendait-elle compte? De sa beauté, du fait que la situation n'avait pas tourné en la faveur d'Ai pour qu'elle reste calme? Enfermée dans un casier sans pouvoir rien lui faire ni même se masturber de peur que son orgasme attire les filles vers le casier en question? D'autant plus qu'elle avait l'habitude jouir une certaine quantité de sperme qui n'était pas dans la « petite quantité ». Ai voulait juste sentir son antre buccal sur son sexe, sa langue glisser dessus, la force d'aspiration dessus pour la pousser à jouir! C'était vachement tentant! Surtout qu'en plus, elle lui avait proposé sa culotte en guise de bonne foi et imaginer Shii dans son dessous, un peu plus serrer car elle avait une silhouette plus fine quand même qu'elle, ça rendait la chose encore moins gérable pour elle. Mais heureusement, la belle Shii accepta en se mettant à genoux alors qu'elle s'adossait à l'arbre. Quand sa bouche venait à son contact sur son sexe, ce fut presque un gémissement qu'elle aurait pu pousser mais elle se retenait pour ne pas attirer l'attention. Il n'y avait personne mais on ne sait jamais. Ai se mordait la lèvre inférieure en serrant sa culotte dans une de ses mains.
Elle était trop excitante cette Shii pour simplement fermer les yeux et savourer. La voir la sucer en douceur, il n'y avait pas de mot. Dommage qu'elle ait parlé trop vite, elle aimerait bien lui caresser les cheveux mais elle avait dit qu'elle garderait ses mains dans le dos alors elle va tenter de tenir parole au moins pour montrer qu'elle savait la tenir. Ces derniers temps, elle ne vivait que par la masturbation et même si dieu sait qu'elle adore ça, une fellation, ça faisait aussi du bien. Sa main de libre était tenté de venir lui caresser les cheveux, lui montrer sans le moindre mot qu'elle faisait là un bon travail mais... Non, elle devait se retenir, elle crispait sa main dans l'air sans oser l'approcher. Par sécurité, elle la remontait même à sa poitrine, caressait son sein gauche à travers son uniforme plutôt que risquer de fauter. La belle brune à lunettes suçait si bien, pourquoi elle a dit qu'une seule fois, elle aurait dû lui imposer plusieurs fois! Quelle cruche! Elle qui était si pudique, cette culotte, ça pourrait être pour elle la solution à tous ses problèmes! Elle aurait pu la prendre en sodomie ou dans l'herbe qu'elle aurait surement dit oui juste pour avoir ses petites fesses cachées par un bout de tissu. Ai serra les fesses en les remuant très doucement, de façon à faire en sorte qu'elle bougea instinctivement alors qu'elle voulait plutôt en profiter aussi un peu...
« Continue Shii-chan.... Tu suces si bien... »
Si Mélinda voulait la garder, elle pense avoir découvert une des raisons à cela, sa bouche était orgasmique! Elle avait dû s'entrainer aussi avec la belle demoiselle richissime. Ça promet leur rencontre, elle risque d'en avoir des choses en tête maintenant. Elle avait envie de la voir nue maintenant, nue en train de la sucer, de tenir sa tête en lui faisant avaler sa bite. Oui, sous son apparence, Ai avait un langage plutôt cru dans ce genre de situation. De plus, même si son pénis ne fait pas une grande taille, environ deux fois plus petit que la moyenne chez les futanaris – et même chez les hommes en générales – elle n'avait aucune honte et savourait pleinement du cadeau de dame nature. Faire une gorge profonde avec Ai était un jeu d'enfant après tout. Elle continuait d'avoir ce sourire en coin en se caressant la poitrine. La bouche légèrement entrouverte, elle avançait et reculait doucement son bassin vers elle.
« Haaaa.... tu avaleras tout... Heiiin haaaa-aaa... »
Non, elle n'avait pas encore joui mais vu son impatience pour jouir depuis tout à l'heure, c'était pour bientôt. Si Shii pouvait ce dire que ce ne sera pas grand-chose, elle se trompe car malgré la taille de son pénis et sa carrure, Ai pouvait presque éjaculer près d'un demi-litre ce qui était beaucoup même si en règle général, sachant qu'elle a déjà jouit tout à l'heure, cela devrait tourner autour de trois cent centilitres. Oui, elle avait déjà mesuré ce genre de chose dans le club.
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C’était par fatalisme que Shii avait agi... Elle essayait de se convaincre qu’il n’y avait aucune autre raison derrière la fellation qu’elle était en train de prodiguer à Ai-chan, qu’elle agissait ainsi uniquement pour ne pas se faire violer en pleine rue, mais Shii savait qu’il y avait autre chose... Quelque chose que sa Maîtresse avait cerné. Shii était une jeune lycéenne timide, introvertie, qui avait refoulé pendant longtemps ses besoins en matière de sexe, et la naissance de ses hormones. C’était par la lecture, toute innocente, d’un manga, qu’elle avait peu à peu commencé à s’éveiller au sexe, et à ressentir des bourdonnements. Ce manga était en réalité un yuri dans lequel une senseï membrée mettait des élèves récalcitrantes en retenue dans son bureau pour les sodomiser et les torturer. Cuir, latex, hurlements, gémissements, gros nichons... Tout le cocktail des fantasmes nippons avait été réuni à travers une terrifiante beauté occidentale aux longs cheveux, avec des lunettes. Depuis la lecture de ce livre, Shii avait développé une sorte de fantasme pour ces femmes membrées qu’on appelait Futanaris... Un fantasme qui lui avait alors semblé aussi réaliste que celui qu’on éprouvait pour les dragons, ou pour devenir un héros de fantasy allant pourfendre des flopées d’Orcs et de trolls. Quand elle avait fini par tomber sur Warren-sama, les choses avaient changé. Shii avait tendance à perdre ses réserves devant un chibre planté dans le corps d’une femme. Elle trouvait ça grotesque, surnaturel, mais, en même temps, terriblement excitant !
Sa bouche remuait le long de son vit, glissant dessus. Ce sexe était moins gros que celui de sa Maîtresse, mais, en l’état, ça le dérangeait absolument pas. Elle remuait sa bouche d’avant en arrière, se laissant aller, yeux clos, ses lèvres filant le long de cette hampe de chair, l’enfournant dans sa bouche. Elle sentait Ai-chan se dandiner contre l’arbre, soupirant et gémissant. Shii était un peu surprise de ne pas sentir une main caresser ses cheveux. Quand elle suçait sa Maîtresse, cette dernière venait toujours lui caresser les cheveux, agrippant sa tête, maintenant une prise ferme qui l’empêchait de se retirer, la confirmant dans son rôle d’esclave. Ai-chan se retenait, et Shii le sentait. Elle lui avait promis de ne pas la toucher, et elle essayait de s’en tenir. À défaut, Shii la vit se caresser ses seins avec l’une de ses mains, une situation particulièrement grisante et excitante.
« Hummm... » gémissait Shii.
Elle avait posé ses mains sur les hanches de la jeune femme, s’y appuyant, tout en remuant sa bouche d’avant en arrière, enfonçant cette verge le plus loin possible en elle. Sa maîtresse adorait que Shii suce son sexe, en lui disant combien elle était douée. Shii s’était toujours dit qu’elle lui balançait ça pour lui faire plaisir, mais vu que Ai-chan semblait également prendre son pied, il fallait croire que la jeune lycéenne avait effectivement un certain talent. Elle suçait ce sexe, creusant ses joues, tandis que sa langue essayait de s’enrouler autour de ce morceau, de glisser dessus. Elle allait ensuite le japper, remontant sa langue tandis que sa bouche filait en arrière. Concrètement, le bout de sa langue se redressait, formant une sorte de pointe triangulaire. Elle soulevait le chibre de la femme, le heurtant sur ses dents du haut, avant que le bout ne heurte ensuite le sommet de l’intérieur de sa bouche. Shii inversait ensuite les choses, en soulevant sa langue pour la faire passer par-dessus le chibre de la femme. Warren-sama aimait ça, généralement : la capacité de Shii à faire preuve de cette « jovialité enfantine », comme elle l’appelait.
Shii continuait donc à le faire, sentant son sexe s’humidifier. Elle n’avait plus de culotte, ce qui faisait qu’elle remuait ses jambes de gauche à droite, fermant les yeux. Ses lunettes heurtaient la peau nue de Ai-chan quand elle se rapprochait trop, et Shii continuait à la sucer, longuement, tendrement, appréciant cette sucette dans sa bouche.
« Haaaa... soupirait Ai-chan. Tu avaleras tout... Heiiin haaaa-aaa... »
Oh, ça, ça ne se posait même pas ! Shii n’allait pas prendre le risque d’être surprise avec du sperme sur les lèvres ! Elle avalerait la moindre petite goutte, et allait de plus en plus vite, continuant à ponctionner ce sexe, à exciter cette maudite perverse. Elle adorait ça, et ses joues étaient toutes rouges, le signe que la température de son corps était en feu. Fermant les yeux, elle se laissait aller, et continuait à agir, encore et encore, jusqu’à ce que Ai-chan finisse par jouir en elle.
Shii se retrouva assez rapidement avec la bouche pleine, en sentant la verge de sa partenaire bondir en elle, sans jamais s’arrêter, remuant frénétiquement dans son corps au fur et à mesure qu’elle balançait des giclées de son foutre chaud. Shii gémit faiblement, et avait désormais ses mains posées sur les fesses de la femme, avalant tout ce sperme sans rechigner. Lorsque la femme eut fini sa giclée, il y avait énormément de sperme en elle, gonflant ses joues, faisant ressembler son visage à une sorte de petite boule. Shii respirait lentement, reprenant peu à peu son souffle, tout en avalant, le sexe de la femme restant dans sa bouche.
Elle retira ses lèvres quelques minutes plus tard, et, pendant ce temps, on pouvait l’entendre ingurgiter ce sperme, avalant ce foutre gluant et salé. Elle retira ensuite ses lèvres, puis lécha un peu le sexe de la femme, comme une petite chienne, remuant sa langue dessus, glissant sur ce vit pour l’essuyer et le nettoyer. Elle termina son office par un petit bisou sur la surface de son sexe, et releva ensuite la tête.
« Ça... Euh... Tu es calmée, maintenant ? » demanda-t-elle, le cœur s’emballant nerveusement.
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Quelle bonté! Quelle joie! Ai se faisait sucer en plein parc, en plein jour par une très jolie camarade de lycée. Elle aurait tellement envie de faire des choses rien que la voyait aller et venir sur son pénis, poser ses mains sur sa tête et imposer un rythme ou même la caresser seulement. Aller bien plus loin qu'une simple fellation mais Ai tenait parole. Pour l'occasion du moins. Elle aime profiter de la situation mais Shii pourrait ne plus avoir envie de la conduire chez Mélinda et ça, elle ne doit pas en arriver là! Au contraire, elle doit tout faire pour que sa nouvelle copine l'emmène faire de nouvelles rencontre. Ai se mordait la lèvre inférieure en ressentant le talent qu'avait la jeune femme avec sa langue, dire qu'elle aurait pu en arriver là dans les vestiaires tout à l'heure? Quelle idiote de ne pas en avoir profité! C'était même mieux que sa culotte mais il ne faut pas oublier qu'elle était une fétichiste des dessous féminins alors ça prouvait à quel point la barre était haute. Sa main continua de caresser sa poitrine alors qu'elle la voyait en bas, jouer avec sa queue et faire des choses avec sa langue... Oui, tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de répondre, même plus! Shii jouait les prudes mais quelle cochonne! On n'apprend pas ça comme ça, ce n'est pas inné! Ou alors, quel génie celle-là! Si seulement elle n'aurait pas fixé la limite de ne pas user de ses mains... quelle gourde quand elle s'y met!
Mais heureusement, cela ne retirait rien du plaisir de s'amuser avec elle, Shii était si douée qu'elle était impatiente de s'essayer à plus que ça avec elle. Elle avait déjà un torrent d'idée torride à essayer avec elle, pourvu que le tout prenne forme une fois dans la maison de Mélinda. Elle brisa cependant le contrat sur la fin, au moment de jouir, elle posa ses mains sur sa tête pour la lui maintenir sur son membre. Non pas qu'elle en ait une énorme et souhaite en faire une gorge profonde mais à défaut d'avoir un grand pénis, elle avait beaucoup de foutre à revendre. Et si elle faisait cela, ce n'était pas pour que Shii recrache le tout. Elle éjacula dans sa bouche, de nombreuses grosses giclées qui se heurtaient dans sa bouche, dans sa gorge, seule sa queue tapait contre le haut de sa bouche parfois alors que la petite futanari prenait son pied. Elle adorait jouir dans un endroit fermé... Bouche, anus, vagin, culotte, elle trouvait ça génial de ne pas en foutre partout. Pendant son orgasme, elle caressa les cheveux de Shii, doucement, avec toute la douceur possible le temps qu'elle avale tout. Une fois que ce fut fait, bien nettoyé, Shii continua d'être foutrement excitante à sa façon de lui baiser la queue comme une petite chienne en manque, venant même faire un petit baiser lorsqu'elle eut fini. Diable! Elle avait vraiment envie de la prendre contre l'arbre et la faire gueuler de plaisir dans ce parc!
Sa main caressa sa joue, un sourire inquiétant sur les lèvres et ce regard... elle arrivait à la violer rien qu'avec les yeux tellement elle lui donnait envie de continuer.
« Petite coquine, tu te rends compte au moins que... que tu me donnes envies de te prendre, maintenant dans l'herbe en t'écartant les cuisses, hein? Allez, prend ta récompense et ne t'avise pas de tortiller tes petites fesses devant moi ou je risquerais bien de ne plus me retenir! »
Elle lui offrit sa culotte le temps de rejoindre la maison de Mélinda mais le temps de remonter sa jupe, elle ne perdait rien de sa raideur, ni même du spectacle. Elle arriva même par surprise dans son dos, venant remonter avec elle les derniers centimètres de sa culotte sur Shii. Son membre frôlait l'entrejambe de la demoiselle alors qu'elle prenait un malin plaisir à fantasmer toute seule.
« Arrivée chez Warren-chan, tu me rendras ma culotte telle qu'elle. Je meurs d'envie d'y sentir et ressentir sa mouille contre mon entrejambe... Mais dis-moi, tu es à l'aise dedans? Pas trop serrée? »
Bien sûr que oui elle était un peu serrée dedans que dans sa vraie culotte dans son sac mais c'est normal, Ai est plus fine déjà. Voir ses formes se serrer dedans, c'était si mignon, elle avait bien envie d'y glisser son sexe dans sa culotte voire à quelle point elles seront si serrée... Cette Shii était excitante, elle se répète mais c'est la vérité! Pas étonnant que Mélinda la garde près d'elle.
« Allez go! Quittons ce parc fantôme avant que je ne soit trop tentée. »
Elle se leva sur la pointe de ses pieds, venant lui embrasser la joue avec un petit sourire en coin.
« Ça, c'est parce que tu suces super bien. »
Maintenant l'objectif était d'arriver chez Mélinda avant qu'elle ne soit tentée de recommencer.
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Shii avait avalé tout le sperme pour qu’il n’y ait aucune trace sur son chemisier blanc, pas de grosses tâches qui pourraient instantanément la répertorier par les autres dans le rang des salopes. Shii était nerveuse, inquiète, et avait sincèrement envie de filer le plus vite dans le manoir de sa Maîtresse pour être à l’abri... Mais il y avait aussi chose qu’elle ressentait, une autre envie, d’autres désirs plus intenses, plus obscurs... Comme se faire baiser dans ce parc. Ai hésitait visiblement, et Shii ne dit rien, rougissant légèrement, n’osant pas avouer que, en réalité, elle aurait aussi bien aimé être prise, à son tour, par cette femme. Oui, Shii voulait la sentir en elle. La taille de sa verge n’était pas si petite que ça selon elle, et constituait toujours un joli bâton de chair planté en elle. Cette idée horrible était affreusement tentante, et Shii se dégoûtait elle-même d’éprouver de telles pensées... Mais elle n’arrivait pas à calmer sa tête, à faire de la discipline.
Elle observa la culotte qu’Ai la tendit, et l’attrapa, la remerciant. Elle put voir que son membre était toujours en érection, et qu’Ai, pour l’heure, ne faisait rien pour le cacher. Se mordillant les lèvres, Shii se retourna, comme pour conserver une certaine forme de pudeur, et commença à enfiler la culotte d’Ai. C’était dégoûtant, et elle hésita un peu... Juste un peu. Elle sentit alors Ai se glisser dans son dos, et Shii déglutit quand ses fesses se heurtèrent à quelque chose... Le membre d’Ai glissait contre son bassin, et Shii se mordilla les lèvres, craignant (ou pas) qu’Ai ne cherche à la sodomiser contre l’arbre... Cependant, la lycéenne se contenta juste de tirer sur la culotte, et de terminer ensuite par une remarque terriblement perverse qui fit rougir Shii :
« Arrivée chez Warren-chan, tu me rendras ma culotte telle qu'elle. Je meurs d'envie d'y sentir et ressentir sa mouille contre mon entrejambe... »
Shii rougit, se mordillant les lèvres, en sentant le feu bouillonner contre ses jambes. Il y avait malheureusement bien des chances pour que la culotte d’Ai soit effectivement mouillée quand elle la reprendrait. Après cette fellation, après avoir senti Ai se vider en elle, après avoir senti ses mains s’agripper à ses cheveux, Shii ne se sentait pas très bien... Son corps était en ébullition, et, comme pour l’achever, Ai lui posa alors une autre question :
« Mais dis-moi, tu es à l'aise dedans? Pas trop serrée ? »
Shii se retourna lentement, et hocha la tête :
« Ça... Ça va... »
Ai était fine et petite, mais Shii n’était pas bien grande, et peu musclée. La culotte était étroite, oui, et glissait le long de ses fesses, mais elle allait devoir faire avec. Dès qu’elles auraient traversé le parc, elles auraient accompli l’essentiel du chemin. C’est ce que Shii se disait pour aller plus vite. Elles allaient y aller, mais Ai se permit un dernier baiser sur sa joue, en lui expliquant qu’elle suçait « super bien ». Shii rougit confusément en n’osant rien dire, et marcha, sur une démarche un peur aide.
*C’est à croire que cette fille ne pense qu’au cul !*
Chacune de ses phrases tournait autour de ça. Shii s’avança vite, mais, de temps en temps, on pouvait la voir porter une main à ses fesses, tirant sur la culotte. Plus elle marchait, et plus elle pensait à Ai, à ce beau visage, à ce corps blotti contre elle dans le casier de la piscine, au sentiment de sa swimsuit se collant à la peau d’Ai, à cette chaleur intense... Aux filles dehors... Dans ses pensées, elle se laissait aller, s’imaginant prise par cette femme, en voyant les filles glousser devant elle, alors qu’elle se faisait prendre par cette femme. Maîtresse Mélinda avait le mieux saisi sa perversion, et savait très bien comment Shii fonctionnait... Comme la plupart des humains, en somme. Tous avec leurs fantasmes, tous avec leurs désirs se heurtant à la réalité... Il était impossible de les faire en temps normal, et on préférait donc se plonger dans l’imagination, en les accomplissant ailleurs... Mais, avec Mélinda, ce qui était impossible, d’une manière ou d’une autre, trouvait une façon de se réaliser. La vampire était aussi imaginative que perverse, et elle avait les moyens d’accomplir ce qu’elle voulait.
Le duo sortit du parc, et ne tarda pas à rejoindre une station avec un téléphérique.
« On pourrait emprunter les escaliers, mais... Ça ira plus vite dans le téléphérique. »
Shii espérait juste qu’il y aurait quelqu’un dans la cabine, afin de dissuader Ai, et il y avait effectivement du monde... Un peu trop, même. Shii entra dans le téléphérique, en compagnie d’Ai, et les deux filles furent incapables de s’asseoir, tandis que le téléphérique se mettait à monter. L’ascension prendrait seulement une ou deux minutes, mais Shii avait le sentiment que ces deux minutes seraient longues. En effet, alors que le téléphérique montait, et permettait d’avoir une vue fascinante de la ville, elle s’était retrouvée acculée à un coin, s’appuyant contre une barre d’appui... Avec Ai collée contre elle, à cause du nombre.
Et elle sentait contre ses fesses sa verge. Shii se mit à nouveau à rougir, et commença alors à mouiller, se mordant les lèvres pour ne pas gémir... Néanmoins, un petit soupir finit par s’échapper de ses lèvres.
« Hnnn..., gémit-elle donc. Tu… Tu me colles, Ai-chan… » se plaignit-elle.
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Elle pensait ce qu'elle disait et Shii suçait donc super bien! Mais voilà, la moutarde est descendu comme on dit et Ai sera donc plus sage, au moins le temps d'arriver au manoir de Warren si personne ne vient tenter le diable avec elle. Sur le trajet, Ai était toute contente, sifflotant un petit air qui lui passait par la tête, elle se sentait si légère, le poids de cette pression en moins puis en plus, elle va s'amuser chez Mélinda Warren! Une fille très en vogue au lycée, aussi belle que détestable. Oui, des filles l'admiraient, d'autres étaient comme des vipères, prêtes à leur cracher leur venin au visage. Mais Ai pensait juste au cul. Après si elle peut devenir amie avec elle alors pourquoi pas. La jeune futanari imaginait surtout Mélinda avec une immense garde-robe et des dessous aussi chics que cher que sexy! Et dieu sait que son point faible, ce sont les sous-vêtements! Pas forcément hors de prix, ça pouvait être simplement du bas de gamme mais tant que ça reste mignon, sexy ou autres, que ça colle bien avec la personne qui portait cette culotte ou ce soutien-gorge, une fille banale peut devenir une véritable ode à la beauté à ses yeux! Il en faut peu pour être heureux comme disait une chanson de dessin animé, il en est donc de même pour elle et ses partenaires. Il suffit parfois d'un rien. Shii l'avait bien vu, une simple culotte suffit à alimenter cette machine à foutre alors une vraie femme...
La demoiselle proposa de prendre le téléphérique pour arriver plus rapidement en haut, elle était d'accord, après tout c'était bien Shii qui savait comment se rendre chez Mélinda et non Ai. S'il y avait du monde, elle serait moins tentée mais s'il y a personne... ça ferait très film porno amateur ou même hentai et là, l'imagination de la jeune futa va très bien travailler! Mais bon, la cabine était plus bien bondée, aucune chance qu'elle ne soit tentée de faire quoi que ce soit. Surtout que niveau éjaculation, elle n'était pas discrète vue la quantité qu'elle déversait alors niveau phantasme, c'est ceinture! Elle aurait aimé du moins, elle suivait Shii dans un coin en se tenant elle aussi à la barre mais vu le nombre de personnes ici, elle n'avait pas le choix que de coller sa nouvelle amie. Bien entendu, cela lui avait déjà donné des idées derrière la tête et la demoiselle pouvait en sentir la conséquence contre ses fesses. Gardant elle aussi la voix basse, elle répliqua comme elle pouvait.
« C'est pas ma faute, y a trop de monde! »
Cela sonnait plutôt comme une plainte lais sentir son sexe tâter de ses petites fesses... huù, cela n'était pas vraiment désagréable. Elle la sentait la caresser, passant sur sa propre culotte, elle ne trouvait pas cette raie tellement la pauvre devait tendre l'élastique de sa culotte. Cette idée même suffisait à lui donner encore plus d'idée! Mais elle resta silencieuse en se tenant à la barre alors qu'elle subissait les secousses de la cabine, du wagon plutôt et donc, les frotement de sa verge contre Shii. Diable que c'était tentant! Dommage que ce ne soit pas comme dans ses mangas où elle pourrait arrêter le temps autour d'elles ou même faire disparaître tous ses gens en un claquement de doigts. Cette situation gênante l'excitait au plus au point. Si Shii avait surement vécu les deux minutes les plus longues de sa vie, Ai les avait vu défiler à vitesse grand V! Au moment de partir, elle tentait de cacher son érection sous sa jupe avec sa sacoche en faisant simplement mine d'éviter de gêner trop de gens au moment de la sortie. Elle suivait donc Shii sur la route et patienta d'être seules sur la route pour en rajouter une couche.
« Ce serait bien de refaire ce genre de petit exercice. Dans un wagon moins bondé, dans un petit coin... Huuuuum.... La glisser sous ta culotte et laisser les secousses faire le reste... avoue, ça donne envie comme jeu, non? »
Ai posa son index sur le bord de ses lèvres en l'observant avec un grand sourire, laissant entrevoir une petite dent pointue qui dépassait légèrement de son sourire. Un petit côté démoniaque pour Ai? Une Succube alors, ça collerait parfaitement avec elle. Qu'est-ce qu'elle adorait taquiner les timides! Les filles sans complexe, c'était plus simple et marrant mais les timides pucelles sont les plus beaux cadeaux de ce monde. Entendre leurs premiers gémissements, sentir leurs premières caresses, c'était un don du ciel! Alors certes, Shii est peut-être rodé mais ça ne retire rien aux phantasmes de la jeune futa. Continuant leur route, Ai aperçu une belle demeure comme elle n'a pas l'habitude en venant par ici. Faut bien dire qu'elle ne connait personne dans ce coin de la ville...
« Ouah! Sacrée maison! Y a pas un paillasson dans le coin? J'aurais presque honte à pénétrer la demeure sans m'essuyer les pieds! »
Non pas que ses chaussures sont sales mais elle tentait un peu d'humour et sans parler de sexe pour une fois. Quoi que? Pénétrer la maison... Bah, faut avoir l'esprit mal placé pour voir ce double sens, Ai pensait simplement à entrer dans l'enceinte de cette propriété privée. En tout cas avec une telle maison... ça doit être classe les orgies dedans! Elle n'osait pas le demander à Shii pour le moment mais préférait plutôt le dire face à Mélinda une fois qu'elles auront un peu sympathisé. Allez, il est temps de faire les présentations, non?
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Ce moment dans le téléphérique fut effectivement très long pour Shii, les deux minutes semblant s’étendre à l’infini. Elle sentait le sexe en érection d’Ai glisser contre ses fesses, et elle serrait les dents en se crispant. Tant de monde... Il y avait des enfants, qui n’avaient même pas dix ans, des adultes... Il suffisait d’un seul regard déplacé pour voir le vit d’Ai, qui soulevait sa jupe, et se frottait contre le derrière de la femme. Cette situation angoissait énormément Shii. Que se passerait-il si on la voyait ainsi ? Acculée dans un coin du téléphérique, avec une hermaphrodite perverse qui se masturbait contre elle ? C’était totalement indécent ! La lycéenne était choquée, mais... Et bien, elle n’était pas que ça ! Dans les recoins de son esprit, des idées perverses diffusaient, dans lesquelles elle se voyait faire l’amour avec Ai en public, au milieu de gens qui ne verraient pas deux lycéennes en train de se faire l’amour, Shii s’appuyant contre cette barre, et Ai la pénétrant par l’arrière, son sexe glissant sous sa jupe... Oh, cette image était merveilleuse, et Shii se mit à rougir, serrant les dents. Ai la narguait, lui avouant qu’elle ne pouvait rien faire contre son érection. Difficile de dire si la manière dont cette verge se frottait contre elle venait des gens qui les serraient comme des noix de coco, ou si c’était intentionnel. Dans tous les cas, Shii tremblait sur place, regardant avec nervosité la station en hauteur.
Le téléphérique ne lui avait jamais semblé aussi lent, et, quand il arriva à destination, ce fut, pour elle, comme une libération. Ai se pressait encore contre elle, et la lycéenne commençait à en mouiller sa culotte, se crispant en se pinçant fortement les lèvres contre la barre. Ne surtout pas gémir. Surtout pas ! Si elle le faisait, Ai lui ferait l’amour ici, et Shii avait du mal contre cette petite voix perverse qui s’insinuait dans son esprit, et qui lui disait qu’il fallait justement y aller, et ne pas avoir peur. Les gens sortirent rapidement, les laissant rapidement seules. En soupirant, Shii fila rapidement, évitant de regarder le chibre d’Ai, un sexe que cette dernière dissimula avec sa cartable, afin de ne pas troubler les autres passagers, qui se dispersèrent rapidement.
L’esprit en ébullition, Shii avançait rapidement, son cœur bondissant dans sa poitrine. Elle tournait le dos à Ai, les joues rouges, cette dernière continuant à la narguer. Elle voulait y retourner. Shii se pinça les lèvres, et choisit de ne pas lui répondre. Mieux valait ne pas l’inciter à continuer à la provoquer.
« On y est presque. »
Le duo s’avança le long de rues calmes et grandes, avec des palmiers et des arbres japonais le long des rues, comme des sakuras. Elles arrivèrent à longer un long mur entrecoupé de branches d’arbres, jusqu’à atteindre un portail noir, derrière lequel on voyait une route en lacet. Shii sortit sa clef, l’enfonça dans le portail, et l’ouvrit, puis le referma derrière elle. Le chemin en lacet montait, et menait à un grand manoir de type victorien.
Ai s’avoua impressionnée, et Shii ne pouvait que la comprendre. Elle l’avait aussi été, la première fois qu’elle avait vu ça. Les deux femmes s’avancèrent. La propriété de sa Maîtresse comprenait, outre le harem, plusieurs hectares avec une petite forêt, et une écurie. Le long de la pelouse, on pouvait voir plusieurs impressionnants cerisiers japonais. Shii rejoignit la cour d’entrée, décorée par les graviers et les petits cailloux, et entra à l’intérieur de la résidence.
« Ne dis pas de bêtises, Ai, intervint Shii suite à la remarque de cette dernière. Je vais te conduire à Mélinda. »
La porte d’entrée menait sur un vestibule. Un petit couloir se trouvait là, conduisant au hall d’entrée, une belle pièce comprenant un lustre, et deux escaliers intérieurs. Shii s’adressa à une autre fille, demandant où se trouvait leur Maîtresse, et cette dernière lui indiqua une pièce, qui était un petit salon. Shii demanda à Ai de la suivre, et la lycéenne s’enfonça dans un couloir, marchant rapidement. Elle allait un peu mieux. Maintenant qu’elle était dans un environnement connu et rassurant, elle était moins inquiète.
Shii tapa délicatement à la porte du salon, entrouverte, et l’ouvrit ensuite, agissant rapidement, si vite qu’elle n’entendit pas les soupirs et les gémissements s’échappant de l’autre côté.
« Maîtresse, je... Euh... »
De l’autre côté, il y avait sa Maîtresse, nue, qui était en train de prendre en levrette une femme.
« Haaaan... Haaaaannn !! »
Mélinda soupirait et gémissait, délicieusement nue, son sexe masculin disparaissant dans les fesses d’une femme. Une autre se tenait à côté, pinçant les seins de sa Maîtresse, avant de l’embrasser. Shii les reconnaissait : il s’agissait de deux jumelles, Azumi et Ayumi (http://img101.xooimage.com/files/a/d/0/azumi---ayumi-466f324.jpg). Deux coquines incestueuses qui étaient nées dans le harem de Mélinda, et qui, ce faisant, étaient esclaves dès leur naissance.
Sa Maîtresse était en train de se faire plaisir, en sodomisant une sauvagement, et Shii rougit jusqu’aux oreilles, incapable de dire quoi que ce soit.
Tout ça était totalement inattendu !
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Elle y était presque! Chez Mélinda Warren, l'une des élèves les plus en vue du lycée, les plus belles paraît-il même si pour Ai, la beauté différait d'une personne à l'autre, chacun ses préférences après tout. En tout cas, elle était clairement une des plus riches! Et vu la baraque qu'elle là, voilà une chose qu'elle ne pourrait pas nier! Il y avait clairement la place d'invitée tout le lycée à une super boum mais pour Ai et son esprit pervers, elle y voyait une méga partouze!!! Qui sait, cela s'était déjà fait mais elle laissa cette question étrange dans un coin de son cerveau. Elle avançait avec Shii en se contrôlant, évitant les pensées coquines d'une Mélinda futanari qui prenait un malin plaisir à prendre Shii par-derrière avec tant d'autres filles qui seraient ses domestiques comme invitée. Une vision agréable, certes mais ce n'était pas le moment de fantasmer. Une fois dans le manoir, certes c'était très beau, très classe mais un peu silencieux quand même... Bon, ça restait loin de la vision des films d'horreur vu que le manoir était bien propre mais quand même. Shii prit renseignement auprès d'une de ses camarades ou servant, qu'Ai salua d'un signe de la main avant de suivre sa nouvelle amie. Arrivant à la fameuse pièce où se trouvait Maîtresse Mélinda – Ai n'avait rien dit mais ce titre laissait son esprit faire de joli petit film à sa place. Et l'un de ses films prenait vit sous son nez. Mélinda, nue qui prenait en levrette une jolie demoiselle, et une seconde qui jouait avec la poitrine de Mélinda en l'embrassant.
« Oh bah ça alors? »
Elle n'était pas choquée mais elle ne s'attendait pas à un accueil si chaleureux de sa part. Elle observa la scène en caressant sa joue rougit, elle avait presque des étoiles dans les yeux. Comment ne pas bander devant un tel tableau? C'était si beau! Si naturel! Si excitant! Elle ne pouvait s'empêcher de doucement se masturber sous sa robe mais elle cessa rapidement, peu de temps avant que la belle Mélinda ne daigne leur accorder quelques secondes de son temps. Loin de se moquer d'elle, elle fit une légère courbette en tirant les pans de sa jupe sur les côtés, comme on devait le faire en Europe ou en Amérique il y a un siècle ou deux.
« Enchantée Warren-chan, je suis Aihara Ai et j'ai accompagné Shii jusque chez vous, elle a bien voulu que je la suive. »
Elle était assez grande pour rentrer seule après tout mais vu la situation, il serait normal de lui dire le pourquoi du comment? Ce n'est pas comme si la belle et richissime jeune femme va être outrée par un tel comportement et puis elle méritait de savoir pourquoi Shii a bien proposé de la suivre ou du moins, accepter sa requête.
« Disons que durant le cours de piscine, je me suis masturbé dans la belle culotte de Shii et on s'est caché dans un casier avant que les autres n'arrivent et nous surprenne. C'est après que Shii m'a invité à vous rencontrer. »
Ai évitait de regarder ce beau membre entre ses jambes et d'éviter de baver. Inutile de dire qu'elle aussi était très contente de la voir mais cela se voyait à peine sous sa jupe, on y voyait une petite bosse mais contrairement à certaines futanaris, Ai n'était pas aussi membrée que les autres. Ce n'était pas petit non plus mais d'un taille correcte. Tenant le pan de sa jupe comme pour tenter de garder ça sous l'effet de surprise, elle hésitait entre réclamer sa culotte surement chaude et humide à Shii pour la porter et savourer cela ou bien la laisser lui rendre une culotte plus mouillée et plus chaude encore. Ses deux camarades étaient ravissantes aussi mais pour le moment, Warren était plutôt impressionnante mais dans le bon sens, elle se demandait si elles allaient jouer de suite ou bien si elles vont faire un peu connaissance, comme si de rien n'était. Comme si elle n''était pas nue et qu'elle ne venait pas de faire l'amour à une – ou les deux? – de ses demoiselles.
« Eh bien... puis-je rester pour prendre le thé au moins? »
Lâchât-elle avec un sourire innocent mais bien sur, du vrai thé ne l'intéressait pas vraiment mais jouer avec elles... ça c'était plus tentant déjà! Oh bien sur, si possible elle pourra rester plus tard si besoin. Mais une chose à la fois non? Rome ne s'est pas fait en un jour.
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Surprendre Mélinda quand elle était avec ses esclaves, c’était prendre le risque de la surprendre en pleine activité sexuelle... Comme c’était le cas avec Azumi et Ayumi. Les deux jumelles étaient incorrigibles, l’une comme l’autre. Quand leur mère, une esclave, avait donné naissance à ces deux bébés, on avait vu Mélinda sourire joyeusement en la félicitant, embrassant chacun des bébés. Elles étaient des jumelles monozygotes, intimement proches l’une de l’autre, et, dans ces conditions, il était évident qu’elles entretenaient entre elles une forte relation sexuelle. Les deux avaient offert en même temps leur virginité à Mélinda, et on disait que seule leur mère et leur Maîtresse était capable de les discerner. Azumi et Ayumi jouaient constamment avec leur ressemblance criante pour se faire passer l’une pour l’autre. Leur sang était extrêmement similaire, et, pour faire simple, Mélinda les aimait beaucoup... Il fallait fréquemment leur faire l’amour, mais les baiser était un régal constant. Shii avait également fait l’amour aux deux femmes, prise en sandwich entre elles. On avait pour habitude de dire que, chez des jumeaux, il y avait toujours un frère (ou une sœur) plus extraverti que l’autre. Chez ces deux-là, les ressemblances étaient également très comportementales, à tel point qu’on aurait pu les prendre pour des clones.
Mélinda venait de jouir dans les fesses d’Azumi, et se retourna pour dévisager les deux femmes venant la déranger. Elle reconnut également Shii, rouge comme une pivoine, mais l’autre... Mélinda mit quelques secondes avant de la reconnaître, et délaissa le corps d’Azumi, pour se retourner. Ayumi lui servit de coussin, les mains de l’autre jumelle caressant délicieusement ses hanches, sa bouche embrassant son cou.
Il y a quelques temps, Mélinda avait fait la connaissance d’un club de Futanaris au lycée, le Futabu Club. Elle avait rencontré leur présidente, Oohashi Sumika, et les deux femmes avaient même bien fait connaissance. Mélinda avait ensuite obtenu la liste des membres du Futabu Club, et elle sut rapidement mettre un nom sur la petite bouille s’inclinant devant elle : Ai Aihara. La jeune femme avait un chibre entre les cuisses, un sexe masculin. Mélinda le sentait : ce dernier était en train de ponctionner son sang, signe qu’elle avait, sous sa petite jupe d’écolière, une érection. Ai lui expliqua qu’elle avait été invitée par Shii après avoir coincé cette dernière dans un casier des vestiaires pour filles... Après s’être masturbée dans sa culotte.
Surprise, Mélinda regarda Shii, qui était écarlate, en regardant nerveusement ses pieds. Un sourire moqueur se posa alors sur les lèvres de la vampire, qui descendit du lit, s’écartant des confortables bras d’Ayumi, et se rapprocha d’Ai. Sa verge était dressée devant elle, couverte de sperme et de mouille. Il suffisait de regarder les corps en sueur des deux jumelles pour voir qu’elles devaient faire l’amour depuis longtemps. Azumi, celle dans qui Mélinda venait de jouir, était couchée sur le ventre, mais elle s’était retournée sur le lit, dévisageant ainsi les deux arrivées.
« Coucou, Shii ! Ta présence manquait à mon lit ! » s’exclama-t-elle alors, à l’intention de l’intéressée.
Shii rougit, puis Azumi tourna sa tête vers Ai, et lui offrit un sourire ravageur, tout plein de malice et de désir. Ai désirait, de son côté, savoir si elle peut rester. Mélinda lui sourit et se rapproche pour de bon. Sa main se posa sur le menton d’Ai, soulevant son visage. Avec sa petite bouille d’ange, de petite fille modèle, il était impossible de voir qu’une véritable salope se cachait sous ses habits. Mélinda se pencha vers elle, et l’embrassa sur les lèvres, avant de lui sourire.
« Le thé ? Tu nous as pris pour un congrégation de vieilles mégères passant leur soirée à faire du tricot, Ai ? Shii ne t’a donc pas dit qui je suis ?
- Maîtresse... » soupira Shii.
Mélinda s’écarta d’Ai, et sourit à l’intention de Shii.
« Tu peux te retirer, Shii... Ai viendra te voir plus tard. Pour l’instant, je vais accueillir notre invitée comme il se doit. »
Oohashi ne lui avait pas trop parlé des autres membres du Futabu Club, mais, à travers l’intense énergie sexuelle de sa présidente, Mélinda avait compris que ce club comprenait des femmes très endurantes, de véritables nymphomanes. Dans la mesure où le secret de leur verge masculine reposait sur l’usage de potions à base de sang de succube, ce n’était foncièrement pas surprenant. Mélinda se retourna vers le lit, montrant ses fesses à Ai.
« Que fais-tu encore habillée, Ai ? Je sais très bien à quoi tu penses, petite salope... Je connais le Futabu Club, tu sais. Je sais quelles genres de filles se trouvent à l’intérieur. Alors, je te laisse le choix... Quel cul veux-tu butiner ? Celui d’Ayumi ou d’Azumi ? Ou... Le mien ? »
Elle tourna la tête vers elle, un sourire sur le coin des lèvres. Pour Azumi et Ayumi, si on leur laissait le choix, la question ne se posait même pas, tant la réponse était évidente : le magnifique cul de Mélinda méritait mille fois d’être sauvagement assailli.
« Je te laisse choisir, ma belle... »
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Naturellement, il en fallait peu pour qu'Ai fantasme sur une femme, la simple vu d'un décolleté, une pose trop en avant, un apperçut de sa culotte où même une certaine façon de se tenir de façon provocante suffisait à la couper de la réalité pour la faire fantasmer un long moment. Alors voir Mélinda Warren, une beauté du lycée avec une bite en érection entre les jambes ET des jumelles en sueur qui semblaient déjà avoir pris leur pied... Dans sa tête... ça aurait très bien être ça pendant qu'elles faisaient route jusque-là. Ai n'avait jamais eu la chance de coucher avec des jumelles pour commencer mais une femme comme Mélinda, même à poil, elle avait une certaine forme d'autorité très... très excitante! Ce simple baiser avait suffi à faire naître plusieurs dizaines de fantasmes dans son esprit, tous concernaient Mélinda et sa langue, juste sa langue. Et pour le commun des mortels, si la langue sert à embrasser et à lécher une partie du corps, pour Ai... cela a des tas de significations! La belle lycéenne laissait Shii repartir en sous-entendant qu'Ai ira la rejoindre plus tard mais elle ne pouvait s'empêcher une remarque des plus obscènes que n'importe qui aurait gardé pour lui mais pas elle... c'était très important!
« Tu n'oublieras pas de me rendre ma culotte et pas la peine de la laver, je le ferais moi-même. »
Enfin, c'était surtout pour revoir sa culotte imbibé de leurs deux mouilles, déjà que son départ voulait dire, pas de culotte chaude et moite, une odeur surement moins récente. Oui, Ai était une grosse perverse mais est-ce de sa faute si elle trouve le monde du sexe terriblement incroyable et fascinant? Bien sûr elle avait ses interdictions, des choses qu'elle n'osait regarder sur le net ou le faire vraiment mais c'est ainsi. C'est normal de voir un cinéaste regarder des tas de films tout différent, de faire attention à des détails qui aurait été oublié par n'importe qui, c'est sa passion. Là, pareil pour Ai et le sexe. Mélinda dandinait son joli petit cul en avouant connaître son club? Voilà une chose que Sumika lui avait cachée! Rencontrer Mélinda Warren quand même! La belle se permettait même de lui proposer quel cul elle voulait butiner? Elle rêvait, elle fantasmait tout éveillé, ce n'est pas possible autrement! Un large sourire pervers sur ses lèvres montrait à quel point elle était heureuse. Un sourire si large qu'il laissait une petite dent pointue dépasser de ses lèvres, sur le côté gauche.
« Holala... je pourrais vous butiner chacun votre tour quand même? Ce serait vous insulter que pas profiter de vous trois. »
Bien qu'elle ne tentait plus de cacher cette petite bosse sous sa jupe, elle laissa déjà tomber sa veste en retirant son petit nœud autour du cou, déboutonnant sa chemise à grande vitesse alors qu'elle détacha sa jupe qui tomba à ses pieds. Elle était déjà pratiquement nue, sa verge en érection, elle retira ses chaussures en gardant ses longues chaussettes noires. Sa faible poitrine à l'air, Mélinda comme les jumelles avaient de meilleures arguments de ce côté-là. Elle a le droit d'être impatiente quand même. Louchant rapidement sur les trois belles créatures, elle allait quand même choisir Mélinda.
« Si j'aurais su que ça se serait passé comme ça, ça ferait bien longtemps que je serais venue vous rendre une petite visite Warren-chan! »
Elle qui pensait que Mélinda était le genre fille trop gâter et arrogante, elle se serait rapidement rapproché toutes les deux dans ce genre de condition. Sans la pénétrer, elle passa ses mains sur ses fesses, très douces et surement merveilleuses quand on rebondissait dessus. Mine de rien, ce sera sa première fois dans une partie à quatre, en dehors des filles du club bien entendu. Elle avait tant d'idée en tête, tant de choses à lui proposer qu'elle réussirait surement à fatiguer Mélinda et les jumelles avant qu'elle-même ne soit fatiguée. Elle n'est pas increvable sexuellement parlant mais pour aller au bout de ses envies, elle est plutôt endurante. Venant sucer son majeur alors que sa seconde main continuait de lui caresser la fesse. Elle passa ensuite son majeur dans son petit trou où elle y remuait doucement son doigt dedans.
« Vous m'avez l'air bien étroite ma chère... Je sens que je vais m'éclater comme une petite folle! »
Et les jumelles étaient encore plus mignonne vue de près, elle va bien s'amuser ici mais pour la faire partir de cette maison, Mélinda va avoir du mal! Le pénis de la jeune futa caressait sa croute alors qu'elle déposa ses deux mains sur ses hanches, comme pour annoncer l'arrivée de son membre en elle. Elle avait beau avoir de façon général une verge plus fine et plus petite que la moyenne des futas, elle s'en fichait royalement! Elle sait s'éclater et elle a pas besoin d'un truc super gros non plus. De plus, elle avait son bonus car quand il s'agit de jouir, son petit surnom, c'est la fontaine. Et ce n'est pas pour sa mouille. Sa queue passait à peine en elle qu'Ai donna un grand coup de rein pour la pénétrer en gémissant d'une petite voix aiguë.
« Hyyyan! Je savais... que ton petit cul serait étroit... On va s'amuser! »
Toutes les trois! Elle se demandait déjà comment les jumelles vont réagir? Elles vont jouer la carte de l'inceste? Les deux sur Mélinda? Une pour Mélinda, une pour Ai? Que de questions qui trouveront bientôt leur réponse. Deux futas, deux filles normales, ça va en faire des choses pour s'amuser! Gardant ses mains sur ses hanches, Ai n'y allait pas de mainmorte en sodomisant Mélinda, c'était si boooon! C'est comme lui demander l'impossible là. Elle pourrait y aller plus doucement mais pas tout de suite, là... c'est comme lui demander de boire moins vite après avoir passé plusieurs jours dans le désert avec trop peu d'eau à porté de main. Ai se faisait plaisir à butiner le cul de sa nouvelle copine de jeu alors qu'elle se pencha doucement sur son dos, l'une de ses mains se glissait vers son chibre qu'elle masturbait autant que possible dans cette position. Ce n'était pas simple en plus avec ses propres coups de reins mais jouir en elle sera déjà drôle mais la faire jouir en même temps, ce serait le must!
« Haha... haaan.... j'espère... que ton ventre... est bien souple? Je suis hhhhmmm... du genre à donner beaucooooup de sperme en une giclée~... »
La voilà mise en garde car sans même être enceinte, Mélinda va rapidement avoir un ventre rond avec Ai dans son dos.
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Le Futabu était un regroupement de perverses, presque comme si la Déesse Lust avait décidé de faire un club pour l’honorer. Mélinda avait déjà vu, par le biais de sa présidente, une séance du club, et y avait elle-même participé. Malgré son expérience sexuelle vieille de plusieurs siècles, Mélinda avait été éreintée à la fin de cette séance, émergeant dans une salle de cours qui ne ressemblait plus vraiment à une salle. Il y avait du sperme partout, et du sexe, omniprésent. Elle avait enchaîné sodomies sur sodomies, multipliant les fellations, les bukkake, et d’autres choses... Elle en conservait un superbe souvenir, mais elle n’avait pas vu Ai durant cette séance. Et cette dernière allait se rattraper. Elle avait une faible poitrine, un sexe nettement plus petit que celui des autres membres du club, qui semblait étrangement normal... Mélinda en était presque surprise, mais elle ne sous-estimait pas la femme. Elle lisait toute la perversion du monde dans ses yeux, et cette dernière rejoignit Mélinda, palpant ses fesses. Mélinda creusa son dos, le courbant en soupirant, bombant ainsi son adorable petit cul.
Arrogante jusqu’au bout des griffes, la vampire s’était toujours dit qu’elle était un parangon de beauté, et que son cul était magique. Les Ashnardiens déboursaient des fortunes colossales pour avoir la chance de pénétrer la jeune femme, d’enfoncer leurs verges dans son magnifique petit cul, et de la claquer. Ai avait droit à ça gratuitement, et glissa un doigt en elle, comme pour la prépare,r pour la lubrifier. Soupirant légèrement, Mélinda serra les poings, et tourna la tête vers elle, en secouant la tête.
« Han-han ! Pas... Pas besoin de me lubrifier, Ai…Défonce-moi directement, tu as l’air de souffrir tellement… »
Elle était enculée depuis des siècles. Elle pouvait endurer ça. Ai le comprit, et la pénétra alors rapidement, donnant de grands coups de reins, ne tardant pas à faire hurler Mélinda, qui s’appuya sur ses bras, crispant des dents, soupirant et gémissant, sentant cette belle verge la défoncer. Même le petit sexe d’Ai était gros dans son cul, déflorant ses parois internes. Son anus était étroit, oui... Elle adorait les sodomies, mais c’était généralement elle qui sodomisait, rarement l’inverse... Et ce n’était pas faute d’aimer ça. Oh ! C’était tellement intense, tellement jouissif, tellement... DOULOUREUX ! Mélinda soupira, relevant la tête, remuant son corps d’avant en arrière, sa propre verge, tendue, prête à craquer, frottant sur les draps. Si cette Ai était gourmande et infatigable, comme les autres membres du Futabu Club, Mélinda avait aussi, par sa constitution vampirique, une très bonne résistance, une phénoménale endurance.
Ai s’enfonçait en elle sans relâche, profondément, la pénétrant si fort que Mélinda pouvait sentir son bassin taper contre le sien, les mains de la belle lycéenne se crispant contre ses fesses en sueur. Sa chaleur corporelle montait rapidement, trahissant ce mythe sur la froideur perpétuelle des vampires. Sous l’effet du sexe et de l’effort, son corps chauffait, sa peau pâle se recouvrant ici et là de plaques rouges, la sueur venant à plaquer ses cheveux. Mélinda sentit la main d’Ai glisser contre elle, son corps se courbant en avant, venant tendrement la masturber.
« Haaa... Pe... Petite gourmande, hummm... Saaaaaaloope !! »
Ses griffes s’enfonçaient contre la couverture du lit. Azumi et Ayumi, elles, observaient cette scène en riant, et finirent par s’approcher. Intuitivement, elles savaient de qui elles allaient s’occuper. L’une d’elles se glissa dans le dos d’Ai, embrassant ses épaules, et donna une petite gifle sur les fesses, tandis que l’autre se glissa devant, l’embrassant sur ses lèvres, relevant le corps d’Ai pour qu’elle puisse sereinement l’embrasser.
« Quelle gourmande, gloussa l’une des deux jumelles. On ne se connaît pas depuis une minute, et tu encules déjà notre Maîtresse comme si c’était la pire des chiennes...
- C’est très vilain, ça... »
Elle l’embrassa à nouveau sur les lèvres, et la jumelle dans son dos enfonça lentement son majeur dans son anus, son autre main venant s’appuyer sur l’un des seins d’Ai, le serrant, pinçant le téton. Les deux femmes la prenaient délicieusement en otage, mais elles ne cherchaient pas à restreindre ses mouvements. Il était important que leur Maîtresse soit proprement défoncée. En tout état de cause, Azumi et Ayumi pensaient au bonheur de Maîtresse Mélinda avant de penser au leur. C’était comme ça que les choses marchaient, ici.
« Tu peux te déverser en elle, ma petite, Maîtresse peut l’endurer... Tu n’imagines pas tout ce dont elle est capable... »
Tout en parlant, elle avait glissé lentement sa main, écartant ses doigts, afin de les poser autour de la verge de la femme, sentant ainsi ces derniers se faire écraser par les fesses de sa Maîtresse quand Ai donnait des coups de reins. Les hurlements de leur Maîtresse étaient tout simplement délicieux, les faisant baigner dans un océan de sexe et de luxure.
Que demander de plus ?
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The dream! Quel pied, elle venait à peine de se présenter à Mélinda Warren que ça finissait déjà comme ça? À croire que les films pornos ne sont pas si mensongers que ça finalement. Ai ne se privait pas de fourrer son pénis entre les fesses de Warren-chan, elle avait un très beau petit cul et la pénétrer était la moindre des choses si elle était d'accord. Elle aurait aimé fantasmer un peu dessus, s'imaginant des tas de choses dont les genres de sous-vêtements que la belle pouvait porter mais tant pis, elle fantasmera une prochaine fois. Il y avait un petit cul à satisfaire pour le moment! Ne se faisant pas prier pour l'enculer, la jeune futa venait vite palper la verge de Mélinda pour commencer à la masturber. Ha bah quoi? Elle laissait parler ses envies, son imagination. Même si elle l'insultait à cause de tout cela, elle ne s'offusquait pas pour si peu, c'était normal ce genre de langage dans ce genre de situation. AI est encore loin de penser au sexe romantique avec une autre fille qui pourrait devenir sa petite amie... pour le moment, elle voulait du sexe, c'est tout.
« Tut-tut... pas petite... groooosse gourmande! »
Elle allait vite en avoir la preuve mais pour le moment, elle continua de se défouler sur cet adorable petit cul alors que les jumelles se rapprochaient d'elle. Dommage, elle aurait bien aimé voir un petit show de lesbienne sous les yeux. C'est comme baiser et voir un porno en même temps, il y a un côté inutile mais aussi très excitant à la chose. Elle aurait penser les voir s'occuper de Mélinda vu qu'elle était leurs « Mâitresse » mais elle se sentait tout aussi honorer de jouer avec trois filles à la fois. L'une d'elles se bloquait dans son dos, embrassant ses épaules en claquant ses petites fesses alors que sa sœur venait l'embrasser en la redressant, lui faisant lâcher prise. Dommage, elle aimait ça masturber les autres pendant l'acte. Mais soit. Prise en sandwich, l'une d'elle visitait son petit trou arrière en jouant un peu avec son téton, l'autre continua de l'embrasser. Mais quelles salopes! Et Ai, elle adorait ça! Même si elles lui donnèrent l'autorisation de se déverser en elle, les jumelles devaient la sous-estimer... Mélinda a-t-elle déjà eu le ventre bien tendu comme après avoir eu des litres de spermes en elle? Même si c'était oui, c'était en longtemps, Ai, c'était le tout en une fois et à chaque giclé, c'était la même chose. Certes, cela diminue a force mais la différence est si peu...
« Haaann, bande de... coquines! On va toutes... s'amuser ensemble... »
Elle lui fit un clin d'œil, continuant d'enfoncer son membre dans l'arrière-train de Mélinda, trouvant cela étrange mais agréable de voir la main de l'une des deux jumelles – elle ne saurait dire laquelle – entre son pénis et les fesses de Mélinda. Elle voudrait la masturber après, lui nettoyer sa queue? Oh c'est comme elle voulait! La jeune futa passa sa main entre les jambes de la jumelle à ses côtés, caressant ses lèvres intimes plus que mouillée... pour cause, il y avait du sperme aussi. Et elle ne s'en privait pas pour puiser à la source, apportant ses doigts à sa bouche, en continuant ses vas et viens avec ses hanches, gémissant autant pour le goût, que la sensation avant et à l'arrière. Elles étaient douées. Mais plutôt que se montrer trop égoïste, Ai remis ses doigts entre ses jambes sauf que cette fois, elle ramena ses doigts enduits de mouille et de sperme à la bouche qui trainait derrière son épaule.
« Tiens ma belle... Haaan, goûtes-moi ça, c'est trop boooon. Warren-chan... oooouh, Warren-chan! »
Elle n'hésitait pas à chambouler le rythme, allant parfois doucement avec elle pour ensuite y aller comme un lapin avec son cul, comme actuellement. Elle avait un si beau cul, comment ne pas en profiter. Baiser et avoir en plus des jumelles pour s'occuper d'elle, elle se croirait presque dans un harem en plus. Même si Ai est parfois très égoïste, elle sait aussi parfois être très généreuse. Caressant la joue de celle dans son dos, elle tourna son visage dans sa direction.
« Tu veux pas... te mettre en face de ta jolie sœur? … Hum, j'aimerais vous doigter... en même temps... »
Elle pencha la tête en arrière, tentant de partager un court baiser ensemble avant de pouvoir baiser Mélinda et doigter des jumelles en même temps... elle n'est pas belle la vie?
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Il était normal que les deux jumelles viennent toutes deux s’occuper d’Ai : c’était une question d’hospitalité. Il fallait recevoir avec honneur la femme qui venait à elles, surtout quand elle était une grosse cochonne ! Ai avait sodomisé Mélinda en moins d’une minute, et les deux jumelles se contentaient de la motiver, de l’embrasser, de la caresser, de gémir dans ses oreilles, de caresser son corps. Elles la pinçaient, la fessaient, la motivaient en la laissant défoncer le cul de leur Maîtresse. Mélinda adorait tout simplement ça, et ne faisait rien pour repousser Ai, remuant son corps d’avant en arrière en gémissant. Oh, comme il était bon d’être ainsi défoncée par l’arrière ! La sodomie avait toujours été le grand plaisir de Mélinda, dans tous les sens du terme. Elle adorait ça, tout simplement. Il n’y avait aucune autre explication à donner, si ce n’est de se dire qu’elle fantasmait là-dessus. Ai remuait en elle, toujours plus violemment, toujours plus profondément, enfonçant toute la chair de sa verge en elle, faisant soupirer et couiner la belle vampire.
Les griffes de Mélinda jaillissaient de ses mains pour zébrer le lit, et les deux jumelles, elles, continuaient à s’amuser, mouillant contre le corps de la femme. C’était sale, c’était bon, et c’était délicieusement pervers. Elle goûtait à l’intimité des deux jumelles, ou le leur faisait goûter, amenant ces derniers à gémir, fronçant délicieusement leurs sourcils quand leur regard croisait celui d’Ai.
« Hummmm... !!
- C’est délicieux, Aaaaiii… Et toi, tu es tellement booonne… »
Qui que ce soit cette femme, elle était effectivement douée, et visiblement très gourmande. Quand elle demande aux jumelles de se mettre toutes les deux face à elle, elles acquiescèrent. Azumi et Ayumi se retrouvèrent ainsi l’une à côté de l’autre, séparées par le corps de Mélinda, et elles virent les deux mains d’Ai se glisser vers elles, afin de les doigter, ce qui les amena à gémir à et soupirer. Tous ces corps langoureux et en sueur se frottaient entre eux. Quand Ai venait d’arriver, Mélinda et les deux jumelles faisaient déjà l’amour depuis une bonne heure. La pièce était déjà chaude, chargée de sexe et de sueur, et, avec une fille aussi gourmande qu’Ai, les deux jumelles n’entendaient pas se reposer avant longtemps... Ce qui leur convenait tout à fait. Elles étaient deux nymphomanes en puissance.
Ainsi, tandis qu’Ai vint à les doigter, elles-mêmes s’embrassèrent goulument entre elles, savourant ce baiser, mouillant sur les doigts d’Ai.
« Elle... Elle s’en sort bien, hein... Hunnn... !!
- Haaann... O-Ouii… Les humaines de ce monde-ci sont… Surprenantes ! »
Elles gloussèrent entre elles, tout en s’embrassant à nouveau. Azumi et Ayumi pouvaient passer des heures à s’enlacer et à s’embrasser entre elles, ne risquant rien de plus que des aphtes à force de s’embrasser ainsi. Le lien qu’elles partageaient était le lien le plus fort qui soit. Deux jumelles monozygotes, qui partageaient tout, l’une aussi dominatrice que l’autre, soumises et vicieuses entre elles. Mélinda les adorait, et elle sentait sur son corps la mouille des deux femmes. Il fallait rendre à César ce qui lui appartenait : cette Ai était gourmande, mais elle avait les moyens de l’être.
Elle était terriblement douée, et Mélinda sentait que l’orgasme de la jeune femme se rapprochait... Avec une impressionnante concentration sanguine le long de la verge.
*Je sens qu’elle va faire comme Sumika, elle... Elle va exploser en moi.*
Il devait s’agir d’une marque de fabrique du Futabu Club...
Une marque qui était loin de déplaire à l’intéressée.
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Dieu qu'elle était bien dans cette maison! Enfin, dans ce manoir, Mélinda avait les moyens après tout. Mais Ai va bien avoir du mal à quitter cet endroit pour sa chambre si nulle en comparaison avec cet endroit. Même son pc et ses sites pornos vont avoir l'air bien fade après Mélinda et sa bande de coquines. Oh pour ça, c'est sûr. En tout cas à ses prochaines vacances scolaires, elle sait où aller, elle risque de devenir un visage familier dans ce manoir à partir de maintenant, en espérant que Mélinda n'ait rien contre ce genre d'invitée qui s'incruste comme ça. Elle ne va pas forcément faire l'amour avec tout le personnel, pas tout le temps, elle aimait jouer les voyeurs après tout et que serait une belle collection de sous-vêtements si Ai ne venait pas discrètement analysé tout cela de plus près? Mais pour le moment, au diable les petites culottes, elle avait un cul pour jouer avec sa queue et elle adorait ça! Sans parler de ses deux jumelles coquines qui jouaient avec elle. Elle était servie et c'est bien la première fois qu'elle sodomise une futa qu'elle vient tout juste de rencontrer et qu'elle doigte des jumelles à la fois. Une chose à rayer de sa liste mais rassurez-vous, la liste est encore biiiiien longue. Même si Mélinda avait vécu des tas de relations sexuelles, face aux fantasmes aussi divers que varier, elle risquerait d'en passer du temps rien qu'à faire cette liste alors faire tout ce dont elle rêve de faire...
Mais pour en revenir à ce cul... Oh bordel qu'il était bon à prendre et doigter les jumelles qui ne faisaient rien pour la calmer en la caressant, en s'embrassant... Ouais, va falloir qu'elle attende le dernier moment pour partir d'ici ou une super-bonne raison mais ça va être difficile. Au moins Ai est du genre à facilement se faire des amies, c'est une qualité. Elle était tellement prise dans ses mouvements, dans ce plaisir visuel qu'elle ne faisait pas attention à ce qu'elles lui disaient ou même ce qu'elles disaient entre elles. Elle avait noté quand même cela dans un coin de sa mémoire mais pour le moment, leurs « humaines de ce monde » n'étaient que la prolongation d'un de leurs jeux sexuels. Observant les deux sœurs s'embrasser, elle plissait les yeux en sortant sa langue, s'imaginant les embrasser en même temps, plaçant sa langue entre les leurs... C'était trop excitant mais elle ne le faisait pas. Le fantasme restait un bon carburant pour tenir après tout. Elle aura tout le temps de faire cela une prochaine fois. Ai raclait les parois de ses nouvelles amies avec son index et son majeur alors que ses yeux se fermaient doucement alors que tout son plaisir son concentrait entre ses jambes, elle allait jouir, ce n'était qu'une question de secondes, de coups de reins. Les derniers coups de bassin alors qu'elle levait la tête en soupirant de plus en plus fort jusqu'à gémir autant qu'elle éjaculait des litres en Mélinda.
« HHHHHHHHAAAAAANNNNNNNNNNNN!!!!!!!!!!!!!!!! »
Sa queue avait beau ne pas être la plus grande ou la plus grosse du club, elle était sans autant doute la plus crémeuse vue l'inondation que la belle Mélinda subissait dans son petit cul. Il y en avait tellement que ça débordait de son petit cul. Une petite fontaine de lait! Ai se retira en reprenant son souffle, souriante en retirant ses doigts de ses nouvelles copines, les léchant joyeusement.
« Oh Warren-chan... Votre petit cul est exquis! Mais attention à ne pas tout salir... Pourquoi ne pas lécher ce surplus les filles? »
Oh oui, ça devait être super excitant à regarder un truc pareil. Ai s'essuya le front une fois qu'elle en avait fini de jouer avec ses doigts. Son pénis n'avait pas perdu en vigueur, il restait bien droit, prêt encore à jouer mais elle reprenait juste un peu son souffle, se demandant aussi ce qu'elle allait faire ensuite. Jouer avec Mélinda ou bien une des jumelles? Bonne question. Elle continua de poser son regard sur les belles créatures sous ses yeux, imaginant en même temps un tas de choses qu'elle pourrait faire à quatre avants que soudainement, son cerveau lui rappel ce qu'elle avait mémorisé dans sa tête.
« Dites les filles, c'était quoi votre histoire d'humaine de ce monde? Je suis pas branché SF mais pour jouer avec vous deux ou même vous trois, ça doit être quelque chose de jouer à des jeux sexuels! »
Et elle en connaît un rayon là-dessus! Tout ce qui concerne le sexe et ses mystères, Ai était d'une grande connaissance, même les délires les plus étranges ou les plus tordus, elle demandait à voir ou a essayé. Pas de truc comme l'urophilie ou la nécrophilie ou même la pédophilie, il y a des limites. Mais scato ou même zoo... à petites doses, ça devrait pouvoir se faire dans sa tête. Au moins assister à ça et pas forcément y participer. Ai était toujours partante pour ce qui concerne le sexe et malgré son apparence et son attitude en classe qui n'a rien à voir avec celle qu'elle était ici, elle est loin d'être une soumise. Sauf en de rares exceptions mais le plus souvent, c'était avec des personnes qu'elle appréciait vraiment. Si elle apprend que Mélinda est un vampire, elle va à peine être surprise, si elle apprend qu'elle tient un harem, elle va risquer de perdre connaissance mais si elle serait invitée, même une journée, même une simple visite... Elle va vraiment tomber dans les pommes... Vraiment.
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Et la secousse arriva. Une véritable explosion de sperme dans son bas-ventre, filant dans son estomac. Comme elle s’y attendait, Mélinda sentit son estomac onduler, exactement comme avec Oohashi. Ces femmes mettaient à l’épreuve les résistances biologiques du corps humain. Tout son ventre se retrouva en surpoids, et elle hoqueta, ses griffes jaillissant de ses ongles. Le sperme d’Ai fila hors de ses fesses quand son amante se retira. Pour une sodomie, elle avait été hardcore, avec un final... Explosif. Ai, prenant un peu ses aises, ordonna à Azumi et à Ayumi de lécher le sperme qui tombait sur le lit. Mélinda se retourna lentement, se couchant sur le dos, sans que les deux esclaves ne bougent. Elles s’étaient également retournées, et Mélinda se contenta de hocher la tête. Alors, elles obéirent, puis le regard de Mélinda croisa brièvement celui d’Ai, comme pour lui envoyer un message implicite.
*N’oublie pas qui commande ici, Ai...Tu n’es que l’invitée, pas la Maîtresse. Ce rôle m’échoit, à moi et à personne d’autre.*
Azumi et Ayumi se penchèrent donc, et léchèrent entre les jambes et les cuisses de Mélinda, qui tendit chacune de ses mains pour caresser leurs cheveux.
« Mhhmmm-mhhhmmm...
- Tout ce petit lait, c’est si bon, hihi ! »
Deux belles coquines, à n’en pas douter. Mélinda continuait à tendrement caresser leurs cheveux, tout en constatant que, malgré cette déferlante de sperme, la verge d’Ai était toujours tendue, fièrement dressée face à la vampire. Mélinda, qui avait déjà couché avec Oohashi, savait à quoi s’attendre. Ai leur posa une autre question, cherchant à connaître leur histoire. L’une des deux jumelles était en train d’embrasser le minou de sa Maîtresse, en profitant pour faire un cunnilingus, car il fallait bien dire que cette sodomie avait un peu excité Mélinda. L’autre jumelle, n’ayant pas envie de se réduire à tenir la chandelle, regarda la verge d’Ai, souriant légèrement, et prit cette dernière dans le creux de sa main. Elle releva les yeux pour regarder la femme, et, sans lui répondre, entama sa fellation, enfilant cette belle verge dans sa bouche, commençant à la sucer et à la lécher.
Mélinda, en soupirant, et en étant toujours allongée sur le lit, avec la tête relevée par l’oreiller, entreprit de répondre à Ai, satisfaisant sa curiosité, l’une de ses mains caressant tendrement les cheveux d’Azumi... Ou Ayumi. Même elle avait du mal à dissocier les deux, ce sur quoi ces deux coquines jouaient, très naturellement.
« Certaines de mes esclaves traînent parfois au lycée, mais pas celles-ci, Ai... Elles transitent entre le manoir et mon harem, et ont principalement pour mission d’éduquer mes amies de la Terre au plaisir sexuel. De les initier, et c’est un domaine dans lequel elles s’avèrent plutôt douées.
- Mmmhmmm..., gémissait la jumelle occupée à sucer le sexe d’Ai, enchaînant les gorges profondes.
- Je crois qu’elle essaie de dire qu’elle aime bien ta queue, ma petite Ai... Et moi, je t’aime bien. »
Mélinda avait un sourire sur le coin des lèvres. Le Futabu Club débarquait maintenant chez elle, lui rappelant la fin de sa conversation avec Oohashi. Elle n’en avait pas parlé à Ai, car, même si elle avait dit à Oohashi qu’elle acceptait ce rôle, Mélinda avait toujours besoin de se ménager un temps de réflexion quand elle réfléchissait à s’engager. Néanmoins, si toutes les femmes du Futabu étaient aussi intéressantes que cette petite perverse au visage angélique, la vampire n’avait pas trop d’hésitations à se faire.
« Oohashi... Ta Présidente m’a proposé de rejoindre votre petite association de Futanaris... En tant que trésorière de votre... Hummmm... De notre club. Partant de là, toi et moi sommes... Camarades. Aussi... Cette maison est la tienne. Ton appétit sexuel est le bienvenu ici... Qui sait, tu pourrais peut-être même... Haaaannn... Finir dans... Dans mon harem... »
Oohashi savait que Mélinda était une vampire, mais elle ignorait si cette information avait été communiquée aux autres membres du Futabu Club.
Elle allait vite le savoir. Et elle mouillait de plus en plus, les deux jumelles serrées l’une à l’autre, allongées sur le lit, leurs corps se croisant légèrement, séparant les deux femmes. Pour Ai, ce devait être un avant-goût du Paradis... Elle allait vite découvrir combien Mélinda pouvait se montrer généreuse et hospitalière avec celles qu’elle considérait comme ses amies.
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Voilà une journée qu'elle ne risquait pas d'oublier, après sa mésaventure dans les vestiaires durant le cours de piscine, après sa petite fellation dans le parc, maintenant ça! Ai était une perverse, ça, c'était aussi sûr que la terre était ronde. Mais alors que les deux esclaves commençaient à satisfaire les deux futanaris, elle fit l'effort de rester concentré sur Mélinda, bien que l'une des jumelles la suçait si bien. Oh oui, sa bouche était délicieuse et sentir cette langue qui la léchait ici et là, oh ouais, elle pouvait facilement se déconnecter de la réalité et se concentrer exclusivement sur ça, sentir cette langue caresser chaque millimètre de son pénis, elle en était capable. Peu importe ce qui se passe autour d'elle, faire simplement attention à ça mais elle fit l'effort d'écouter Mélinda, elle était pour une fois absorbé par des mots mais elle avait dit le mot magique.... Harem. Quand on connaît un peu Ai, on se doute bien qu'un tel mot a de quoi la faire rêver et c'était le cas. Elle en aurait presque oublié la fellation mais non, elle était douée cette fille. Surtout quand l'une des jumelles lui faisait comprendre que sa queue était délicieuse.
Sauf que Mélinda allait de révélation en révélation, après avoir avoué avoir un harem, ce qui faisait déjà rêver Ai, elle avouait que leur présidente avait embauché Mélinda comme trésorière, faisant d'elles des camarades. Une bonne nouvelle si cela veut dire qu'elle peut coucher avec elle plus souvent! Encore mieux si la porte de son manoir lui est grande ouverte! Cependant même si ça partait d'un bon sentiment, elle n'aurait pas dû aller aussi loin dans les propositions car cette invitation d'Ai à son harem, même si elle a précisé qu'elle sera à son service au harem, ça veut dire côtoyer plus d'autres filles ayant les mêmes envies qu'elle, pleins de filles nues, en petite tenue et quitte à bosser dans ce genre d'endroit, ça veut aussi dire couché quand elle le peut avec les autres!!!! C'était vraiment gentil mais c'était jouer avec le petit cœur d'Ai qui perdit littéralement connaissance avec un grand sourire! Heureusement qu'elle se trouvait sur le lit mais d'un coup, elle était tombé en arrière. Si on pouvait croire qu'elle simulait son bonheur, elles pourraient se rendre compte bien rapidement que peu importe la fellation, peu importe les mots utiliser, les propositions, elle restait allongé, noyer par le bonheur.
Elle ne saurait dire il s'était passé quoi durant ce trou noir, elle était sur un nuage rose, à s'imaginer mille et une choses dans ses rêves érotiques. La seule chose dont elle était sûre, c'est qu'elle n'avait pas rêvé de tout cela à son réveil. Elle était dans un lit moelleux, une chambre inconnue mais bien décorer. Sa tenue de lycéenne était plié sur une chaise à côté du lit, il manquait sa culotte... Shii ne lui avait toujours pas rendu donc. Mais plutôt que s'habiller ou demander si quelqu'un était autour, elle fit sa vie dans la chambre. Ouvrant le tiroir d'une commande qui était la caverne aux merveilles! Des tas de culottes de différentes formes. Classique, coquine, élégante, pour Ai, c'était mieux que trouvé une cachette de film porno ça! Car toutes ses culottes ont forcément été porté un jour? Des ou une fille à forcément mouiller ses culottes d'une façon ou d'une autre et puis bon, Ai était plutôt fétichiste des dessous alors ça... un avant-goût du paradis! En fouillant un peu dans une armoire, elle découvrit une chose magnifique... C'était une ravissante petite tenue (http://img15.hostingpics.net/pics/6082581040876614577960477942881110416025838353362n.jpg). Un petit corset noir tout mignon avec un petit nœud sur la poitrine, une culotte noire très sexy qui allait avec et le mieux dans tout ça... Un porte-jarretelle! Les collants étaient mignons mais ce genre de tenue, c'était l'arme ultime sur une femme! Une fille tout juste banale ou même mignonne avec un porte-jarretelle... elle ferait bander n'importe qui! Si elle n'aurait pas déjà jeté un œil aux culottes, elle aurait été en érection en un instant mais avant de trouver cette merveille, c'était déjà le cas.
Il y avait même une petite bande de tissu à mettre autour du cou, du poignet avec un petit ruban rouge tout mignon. Ai ne se fit pas prier en mettant cette tenue, elle se trouvait très belle dedans, aucune femme ne pourrait lui résister! Il y avait juste son pénis qui dépassait de la culotte mais soit la propriétaire n'était pas une futa, soit elle adorait ce genre de... souci technique. Ai s'admirait dans le miroir avec une telle merveille sur le corps, ne faisait pas attention que la porte allait s'ouvrir dans un instant. Au pire des cas, ça sera une des amies de Mélinda qui succombera à son charme, ou même Mélinda elle-même ou même Shii? Peu importe, elle adorait cette petite tenue affriolante!
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La porte de la chambre provisoire d’Ai s’ouvrit quelques instants après que cette dernière eût enfilée sa guêpière, dévoilant la silhouette attirante et parfumée de la propriétaire des lieux, Mélinda Warren. Elle portait son élégante robe dorée avec des reliures vertes, et son regard se porta sur les fesses d’Ai, superbement moulées par son string, puis ensuite sur sa verge quand elle se retourna. Cette dernière pointait hors de sa tenue, et Mélinda ne put s’empêcher de sourire, avant de relever son regard pour croiser cette petite femme.
« Cette tenue a l’air faite pour toi, Ai... »
La jeune femme semblait à peine réveillée qu’elle avait déjà une érection, comme si le simple fait de porter cette tenue suffisait à l’exciter. Mélinda ne trouvait rien à y redire. C’était une membre du Futabu Club, et, de ce qu’elle avait vu avec Oohashi, ces femmes étaient très endurantes, capables d’avoir une trique de tous les diables pendant un long moment. Ai ne semblait pas faire exception, et, quand elle était tombée dans les pommes, Azumi/Ayumi avait tout de même continué sa fellation, car, si l’esprit d’Ai ne répondait plus, comme submergée par le bonheur, son corps, lui, transmettait encore, et avait balancé un chapelet de foutre dans la bouche de la jumelle. Mélinda avait ensuite porté Ai, et l’avait conduite dans une chambre à proximité. Elle l’avait senti se réveiller en percevant les ondulations sanguines de son propre corps, et était retournée voir son invitée. En un sens, il fallait qu’elle en prenne soin, car elles appartenaient au même club.
Ai avait enfilé toute la tenue, que ce soit les jarretelles, ou encore le collier autour du cou. Techniquement, elle avait l’apparence d’une esclave de Mélinda, ce qu’elle finirait toutefois officieusement par devenir si elle se rendait dans son harem. Si le petit monde de Mélinda était un pays, alors le harem était sa capitale, sa zone d’influence prioritaire. Contrairement au manoir, où la plupart des esclaves venaient de la ville, dans son harem, certains esclaves étaient nés sur place, et vénéraient leur petite Maîtresse.
Mélinda s’était rapprochée d’Ai, et se glissa dans son dos, Ai face au miroir. Ses mains caressèrent ses épaules, puis elle alla l’embrasser sur le creux du cou, et fit descendre ses petites mains, l’une allant se positionner sur l’un de ses seins, et l’autre venant tendrement attraper sa verge, dans le but évident de la masturber.
« Je dois bien admettre que je ne m’attendais vraiment pas à ce qu’un membre du Futabu Club vienne dans mon humble demeure, mais... Ce n’est pas comme si ça me dérangeait particulièrement. En réalité, je suis très honorée d’être avec toi. »
Sa main remuait lentement le long de sa hampe de chair, et Mélinda continua à l’embrasser, mordillant sa belle peau à hauteur de son cou, avant de la lécher, ses doigts remuant sur cette verge, en appréciant la dureté, tirant en même temps sur le string de la femme sous les effets de leurs mouvements. Elle se faisait plaisir, et pinçait aussi, dans le même temps, l’un des tétons de la femme, à travers son corset.
« Alors, dis-moi... Est-ce que je dois m’attendre à ce que d’autres membres du Futabu pénètrent dans mon antre, ou tu resteras la belle exception ? Note bien que revoir d’autres de mes camarades ici ne me dérangent pas... Et, par ailleurs, cette guêpière te va comme un gant. »
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Alors qu'Ai se contemplait dans le miroir, Mélinda était arrivée doucement en l'observant à son tour, appréciant le spectacle qu'elle avait sous les yeux, trouvant même la tenue de son invitée parfaite. En effet, elle était superbe! Le tissu était parfait, la taille aussi alors que si ça se trouve, que ce soit volontairement posé ici ou non, ça aurait pu être un peu serré ou un peu plus large? Elle épousait parfaitement ses formes en plus. Tout était parfait dans cette tenue, elle était sexy sans trop en dévoiler. Le tissu n'avait rien de transparent sauf sur son string mais c'était sur les côtés donc pas important. Ai était tout simplement aux anges! Mélinda devait en connaître des filles aussi perverses qu'elle, futa ou non. La majorité devait avoir une certaine idée du sexe mais peu sont comme elle. Si elle a l'occasion de faire l'amour sans être totalement nue, elle sera tentée par cette méthode. Après tout, en étant nue, c'est comme avoir une poupée nue. Elle est basique... Alors qu'avec une belle robe, divers vêtements, la poupée est de suite plus belle, idem pour les êtres humains! C'est bête après tout quand on voit que la majorité des relations sexuelles ou même des films porno mettent en avant le fait de ne pas porter le moindre morceau de tissu sur le corps alors que certains dessous ou même de véritables tenues changeaient totalement la mise.
« Je sais. Je suis trop parfaite dedans! »
Ai semblait aussi ravi qu'une lycéenne ayant la plus belle des robes pour le bal de fin d'année. Elle en tournait même sur elle-même en s'observant dans le miroir alors que la belle Mélinda se rapprochait, posant ses mains sur ses épaules avant de les baisser plus bas. Et poser sa main sur sa verge, c'était comme la mettre sur off. Elle attendait de voir ce qui allait se passer après qu'elle ai attrapé sa verge doucement... Honoré d'être avec elle? C'est plutôt à Ai de dire ça, elle n'aurait jamais cru rencontrer une femme si belle et jeune avec un harem et encore moins y être invitée! Elle savait que ça existait mais seulement en Inde ou ailleurs, là où de multimillionnaire ont de quoi nourrir tout un pays pendant un siècle mais préfère garder ça pour avoir toute une collection de porche. De plus, un endroit où il y a déjà à coup sûr cinq superbes filles – Shii, Mélinda, les jumelles et la servante avec qui Shii avait échangé quelques mots, elle n'avait rien oublié - c'était déjà beaucoup pour elle. La pile électrique était devenue calme, observant Mélinda dans le miroir, la laissant doucement caresser sous membre viril. Elle avait aussi bien vu à quel point Mélinda était ravissante dans sa belle robe, c'était le genre de détail qu'elle n'oubliait pas.
« C'est moi qui suis honorée Warren-chan... »
Ai était comme hypnotisée face au miroir, sentant Mélinda qui la dévorait doucement avec ses mains comme avec ses lèvres. Ai n'était pas une soumise mais pour avoir sa place même d'invitée pour une journée dans ce harem, elle veut bien faire quelques exceptions. Mais pour le moment, sa camarade du club n'en parlait pas et si elle pouvait juste s'amuser ici ce soir, ça lui allait parfaitement. Pinçant le téton sous son corset, la jeune futa gémissait doucement, commençant à remuer son bassin contre la belle propriétaire de harem.
« Haa... Je ne sais pas... C'est Shii qui m'a parlé de vous... et je lui ai demandé à-à vous rencontrer hmm. Mais voir les autres membres ici me dérangerais pas... tant que je peux jouer avec vous ou HA, ou les autres... »
La présidente avait le pénis le plus long mais sa bonne copine Aya avait la plus grosse en largeur et dieu qu'elle aimait ça quand elle se faisait pénétrer par elle. De toute façon, elles s'amusaient bien au futabu. Mais Ai n'observait pas Mélinda dans le miroir, elle n'avait d'yeux que pour cette main qui jouait avec son pénis. Oui, Ai n'était pas une fille comme les autres qui voulaient simplement baiser le plus possible. Elle avait de multiples facettes. Elle faisait de petit rond avec ses hanches en regardant le miroir comme elle observait l'écran d'un ordinateur sur lequel serait diffusé un porno. Elle avait beaucoup de plaisir sur le sexe, pas seulement la pratique ou le sexe pur et dur. Les dessous, le voyeurisme, le fétichisme, les nouvelles pratiques, elle était très ouverte d'esprit dans ce domaine. Mais vu ce « cadeau » - ou non? – Ai se demandait si avec son argent, Mélinda n'avait pas toute une collection? Que ce soit des ensembles ou juste des strings ou culotte, elle était très friande de tout cela. C'était SON point faible. De beaux dessous font aussi une belle femme.
« Warren-chan, vous.... vous auriez d'autres belles tenues, comme celle-là? Huuuum... Non pas que je veux déjà me changer mais... pour vous ou vos amies? »
La robe de Mélinda était belle mais elle préférait aussi la voir dans des dessous sexy... C'était plus... convivial.
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Ce n’était rien de plus qu’une tendre masturbation. Ai était si subitement tombée dans les pommes qu’on était en bon droit de s’interroger sur l’état de sa santé mentale, et Mélinda n’était pas télépathe. Elle ignorait donc que le coma d’Ai était du à une sorte d’overdose de plaisir, liée à l’idée d’apprendre que la vampire avait un harem, et qu’elle pourrait en bénéficier. En soi, ça n’avait rien de fondamentalement étonnant : Ai avait le profil-type des prostituées de Mélinda, et les deux officiaient dans le même club, un club qui était l’occasion parfaite pour permettre à Mélinda d’entraîner certaines de ses récentes acquisitions. Elle continuait à traquer sur Terre, à pister les femmes les plus intéressantes, et à se débrouiller pour en faire des perverses. Ai représentait une aide non négligeable, et Mélinda la choyait donc, remuant sa main le long de sa belle verge, de bas vers le haut, puis en faisant ensuite le sens inverse. Dans le miroir, les deux femmes pouvaient se regarder, et Mélinda salivait sans problème sur le beau corps d’Ai, un corps parfaitement mis en valeur par cette insolente lingerie.
Les seins d’Ai se tendaient sous l’effet du plaisir qui envahissait son corps, et la jeune fille soupirait et gémissait tout en lui répondant. Son sexe enflait le long de la main de Mélinda, délicieuse sensation. Elle avait été étonnée en voyant la taille gargantuesque du chibre d’Oohashi, mais ce vit-là était nettement plus petit... Plus humain, en quelque sorte. Cependant, l’appétit sexuel d’Ai, lui, semblait largement dépasser la taille de ce membre. Elle lui expliqua que c’était par le biais de Shii qu’Ai avait entendu parler d’elle, mais Mélinda ne pensait pas que c’était Shii qui avait poussé Ai à venir baiser ici... Elle avait probablement du entendre aussi parler de la réputation de Miss Warren, qui laissait de moins en moins de monde indifférents. Shii avait juste été l’ultime coup de pouce ayant amené Ai Aihara à se retrouver ici, son sexe dans la main ferme et douce de Mélinda.
Elle y allait assez lentement, sans vraiment chercher à la faire jouir, simplement à lui faire plaisir, à l’exciter... Sa main remontait lentement, appuyant sur cette verge, la serrant parfois entre ses doigts, avant de relâcher la pression, et de recommencer ce « câlin ». Ai tremblait contre elle, et les lèvres de Mélinda embrassaient sa nuque, sa langue léchant sa peau. Elle appréciait ce sang qui bouillonnait dans le corps de sa femme, et, plus le temps passait, et plus il était tentant de la mordiller un coup...
« Shii est une grande bavarde, alors... »
Elle continua à caresser Ai, sentant le bassin de cette dernière remuer de gauche à droite, ses belles petites fesses glissant contre son corps, s’y frottant. La jeune lycéenne aux cheveux verts posa alors une question, concernant les tenues disponibles ici. Un sourire traversa les lèvres de Mélinda, qui répondit par un suçon, avant de pincer un téton, et d’empoigner la verge de la femme, tirant sur cette dernière.
« Ma belle robe ne te plaît pas ? Elle a été faite sur mesure, elle m’a coûté une fortune... »
On ne s’en rendait pas forcément compte, mais cette robe était un ensemble de paradoxes. Esthétiquement très réussie, le tissu était fin, élégant, et elle cachait son corps autant qu’elle le découvrait, par le biais d’ouvertures efficaces ici et là. De même, la retirer semblait impossible vu sa composition. Or, pour l’enlever, il suffisait juste de tirer sur le lacet noir à hauteur de ses seins. Le haut de la robe s’ouvrait alors comme les pétales d’une fleur, et l’ensemble de la tenue tombait sur le sol. C’était ce qu’elle appelait une robe très érotique, et très bien faite.
Le bout de ses ongles glissait le long de sa verge, appuyant dessus.
« J’ai énormément de tenues, Ai... Je gère un harem de luxe, pas un bordel infâme et insalubre... »
Elle rajouta ensuite, en embrassant l’oreille d’Ai :
« Tu aimes bien les tenues féminines, toi, non ? Tu as joui dans la culotte de Shii, et je suis sûre que, si je t’envoyais te charger de faire la lessive, toutes les culottes ne seraient plus très propres à porter ensuite... »
Le fétichisme était quelque chose que Mélinda comprenait et partageait, elle-même adorant qu’on lui lèche les pieds. De manière plus générale, les vêtements étaient souvent un excellent moyen de jouer avec le plaisir sexuel... Frustrer quelqu’un en refusant d’enlever sa culotte alors qu’il ne voulait que vous pénétrer, par exemple, ou tout simplement pour profiter de l’harmonie qui se dégageait entre la beauté d’un corps et l’emballage de vêtements filant dessus.
Mélinda finit par retirer Ai, et caressa ses épaules en allant l’embrasser, avant de poser ses mains sur ses hanches. Ce fut ensuite un tendre baiser, où sa main se déplaça encore pour agripper sa nuque, empoignant ses cheveux, pour un baiser assez long, et plutôt délicieux. Ai avait une belle petite bouche, et, quand il se rompit, Mélinda lui souriait, son visage restant proche du sien, son nez jouant par exemple avec le sien, le frottant et le caressant.
« J’ai plein de tenues dans lesquelles tu pourras jouir, ma petite catin... » glissa-t-elle à basse voix.
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Ai s'observait dans le miroir face à elle, elle observait plutôt cette main faire de douce caresse de haut en bas sur sa verge, elle avait tant envie de tout visiter, de toutes les rencontrer, de vivre une véritable orgie! Mais pour le moment, Mélinda la tenait entre ses mains et elle était aussi docile qu'un chaton, l'écoutant comme une douce berceuse, se relaxant sous ses caresses. Oui, Shii lui avait parler de la faculté de Mélinda, d'être elle aussi doté d'un membre masculin mais elle avait oublié de préciser deux choses, la première étant que Mélinda Warren possédait un harem, la seconde, que son personnel était aussi sexy et aussi joueuse qu'elle. Que sa robe soit bon marché ou une oeuvre d'art, elle s'en fichait. C'est vrai qu'elle était jolie et sexy, et dans ce rayon, Ai en connaît long mais là n'était pas la question.
« Ce n'est pas ça... Mais quand je vois, hm, ma tenue... j'ose à peine imaginer... les vôtres... »
En effet, ce doit être quelque chose quand même! Vêtir tout un harem avec diverses tenues... Si ça, c'était pour Ai – ou une autre – qu'est ce que ça doit être pour une fille qui a plus de poitrines, plus de fesses? Et le latex, le cuir, les bas résilles, la dentelle et elle en passe! Imaginer déjà le nombre de fille dans son harem risquerait de lui redonner mal à la tête mais imaginer en conséquence le nombre de tenue par fille, ce serait trop d'émotion d'un coup pour notre petite futanari. Mélinda continua de la tenter comme le diable pour obtenir son âme, elle savait y faire, elle l'avait déjà parfaitement comprise et ses mots étaient aussi tentants qu'un verre d'eau rempli de glaçon sous un soleil de plomb. Faire la lessive est une corvée comme une autre, celle d'un harem... C'est un petit rêve. Laver des tenues super-sexy et bandante, se masturber dedans, se rouler dedans en même temps. C'est trop? Non, au contraire, c'est le moins qu'elle puisse faire.
« Haha hmmm... Je suis pas comme ça... je le ferais avant de les laver voyons... »
Oui pour mieux bander en observant les autres dans leur tenue super-ravissante et ensuite mieux les leur retirer une fois qu'elles auront bien mouillé dedans. Ai dans un harem, c'est comme demander à un enfant ce qu'il veut dans un magasin semblable à un royaume du jouet! Elle ne saurait choisir à moins d'avoir un coup de cœur pour une fille en particulier. Sinon, sa seule repose serait l'orgie ou la partouze. Bah au moins comme ça elle serait sûre de gouter un peu à tout. Mélinda vint à lui faire face, l'embrassant avec douceur, une certaine façon apaisante pour Ai de se détendre alors que son érection était toujours plus forte en touchant le bassin de Mélinda. Elle posa sa main sur sa culotte, l'observant avec la main. Un tissu de qualité, plus fin sur le côté, une culotte plutôt érotique? Elle n'allait pas toucher ses fesses mais plutôt devant. Elle ne cherchait pas à la doigter ou à la caresser, juste à voir la culotte avec ses doigts. Touchant le haut comme le bas, elle sentait de petites bosses sur les doigts, surement des petits motifs et Ai allait même passer son index dedans. Toujours pour analyser la culotte intérieure. Pas de couture gênante, cette culotte semblait parfaite... comme sa proposition en fait.
« Oh oui... dans les tenues comme celles qui les portent je suppose? »
Cela dit même les tenues lui convenaient. Elle était vraiment obsédée par le sexe alors l'un comme l'autre ça lui allait. Certes avec les filles, c'était bien mieux mais si c'est non, c'était aussi bien. Cela dit, il y avait un détail que Mélinda n'avait pas révélé à Ai, qui avait pourtant toute son importance. Elle l'avait sous-entendu dans ses propos mais même en y repensant un peu, vu le physique et le nom de Mélinda, elle pensait que son harem n'était pas au Japon, c'était censé être interdit légalement, surement dans un pays riche où cela était autorisé mais lequel? Elle ne voulait pas voir son rêve brisé pour une histoire de passeport ou autres.
« Au fait ton harem se trouve où? Je pense que je pourrais te suivre aux prochaines vacances scolaires mais pour le moment, ça ferait un peu juste, même un week-end. »
Si elle savait ce qui l'attendrait là-bas... Ange, démone, neko, combinaison Tékhanes et autres encore, elle serait au paradis... Des fantasmes qu'elle avait vus sur son pc devenir réalité. Si elle savait qu'elles pourraient y aller en un claquement de doigt, elle serait heureuse de travailler pour les week-ends et les vacances pour elle. Elle était encore mineure et même si ses parents sont cool, stopper le lycée pour un travail, ce serait non. Surtout qu'elle ne pourrait pas dire ouvertement qu'elle va travailler dans un harem... Mélinda devrait cependant y aller avec des pincettes si elle ne veut pas la faire tomber dans les pommes à nouveau. Ai est très émotif si on lui dit clairement que la grande majorité de ses fantasmes vont devenir réalité.
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Ai alla se caresser, éprouvant la douceur de sa culotte après leur baiser. Son sexe avait durci, formant une belle queue, ce qui ne semblait pas toutefois particulièrement la déranger. C’était une chose que Mélinda avait déjà pu observer chez les membres du Futabu Club : elles développaient une espèce de résistance naturelle au sexe, probablement à force de coucher ensemble, et d’avoir des gènes de succube dans le corps. Elle savait qu’Oohashi s’amusait par exemple parfois à conserver pendant plusieurs jours sa verge disproportionnée en elle, en l’amenant à se plier pour s’enfoncer dans son vagin. Une image aussi grotesque qu’excitante. Ai avait un sexe trop petit pour faire ça, mais, sous l’effet de l’érection, elle avait tout de même une belle pièce. Elle se dressait devant Mélinda, après avoir tâté de sa culotte, confirmant son grand penchant pour le fétichisme, et lui posa ensuite une question, revenant sur son harem :
« Au fait ton harem se trouve où ? Je pense que je pourrais te suivre aux prochaines vacances scolaires mais pour le moment, ça ferait un peu juste, même un week-end. »
Mélinda sourit légèrement, un petit sourire sur le coin, et posa un doigt sur les lèvres d’Ai, son autre main retournant la masturber, pressant cette verge, avant de remonter, deux doigts glissant à gauche et à droite de sa verge. Elle empoigna ensuite ce délicieux sexe, devenant tout dur, et le serra, l’abaissant vers le bas en le tirant puis le releva, et l’écarta à gauche, puis à droite, le malmenant magnifiquement. Son doigt sur ses lèvres remua un peu, et son sourire s’accentua, montrant ses rangées de dents blanches et cristallines.
« Mon harem se trouve ailleurs... Crois-moi, Ai, quand tu le verras, tu auras envie d’y passer tous les soirs. »
Elle ignorait si Ai avait connaissance de Terra. Généralement, Mélinda ne parlait pas trop de ses origines extraterranes, afin de ne pas passer pour une cinglée... Et elle savait aussi que les Ashnardiens ne voulaient pas que ça s’ébruite. Vu son commerce terrien-terran, Mélinda avait une sorte d’obligation tacite de ne pas crier sous tous les toits qu’elle venait d’ailleurs... Mais, techniquement, Ai était une amie, et, si elle était appelée à venir dans son harem, il faudrait que Mélinda le lui explique. A priori, Oohashi et sa bande du Futabu ignoraient que Seikusu était bâti sur une rupture spatio-temporelle se matérialisant par de multiples failles permettant de rejoindre une version différente de leur monde
Cependant, vu qu’Ai était tombée dans les pommes quand Mélinda lui avait annoncé posséder un harem, il fallait qu’elle y aille calmement. Sa main continuait toujours à la masturber, tendrement, calmement.
« Tu aimes ta culotte, hein ? Sache que tu seras ici comme chez toi... Et l’heure du dîner approche. Est-ce que ça te dit d’aller voir le reste de mes petites chéries ? Il faut bien que je t’introduise... Tu peux rester dans cette tenue, si tu veux. »
N’était-ce pas un choix magnifique ? Pouvoir se balader en petite tenue, avec son érection, dans un manoir luxueux... Elle était vernie !
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On pouvait dire qu'Ai tombait presque sous le charme de Mélinda. Pas de l'amour mais plutôt de l'admiration. Sa fortune? Pff, ça n'est pas une vraie base. Plutôt admirative de sa vie! Elle avait de superbes domestiques ici qui se pliaient à ses quatre volontés mais surtout un harem. Un HAREM!!! Un endroit avec des dizaines, centaines, milliers de femmes selon la taille! Autant dire qu'avec un endroit pareil, à soi, on en a pour tous les goûts! Si demain elle veut coucher avec une femme à grosse poitrine, elle l'aura, petite poitrine, pareil, de superbes fesses, suffit de demander, des dessous foutrement sexy, la première à droite. Ai tuerait littéralement pour avoir un tel endroit à elle. Certes, cela causera du souci aux fabricants de mouchoirs en papier qui verront leur chiffre baisser si Ai trouve des femmes pour toutes les occasions plutôt que son pc et sa connexion internet. Pour ce qui était de sa localisation, elle n'en savait rien pour le moment, Mélinda entretenait le mystère mais au manoir Warren, il devait déjà y avoir un bel échantillon sous la main, de quoi patienter avant le grand jour. Elle se laissait masturber docilement mais pour une femme qui peut la faire rentrer dans son harem, elle pourrait la suivre à quatre pattes si ça lui fait plaisir. La pauvre, si elle savait vraiment où elle allait mettre les pieds... Elle signerait n'importe quel papier et serait même tentée de faire sa valise. Mais aussi obsédé soit-elle, il ne faut pas oublier qu'il y avait ses parents ici, ses copines, Aya, Sumika, elle pourra les voir rapidement elles mais les autres. Bref, même pour les beaux yeux de Mélinda, elle ne prendrait pas sa décision à la légère.
Mélinda vint lui faire une proposition qu'elle ne pouvait pas refuser, visiter le manoir et se présenter auprès des autres, oh ça oui!!! Elle voulait la suivre et voir quels jolis petits lots se cachaient derrière chaque porte! Un peu comme les calendriers de l'avent ou chaque fenêtre cache un petit chocolat, là, ce serait toutes sortes de femmes et demoiselles tout en beauté.
« Je suis cent pour cent d'accord pour m'introduire en elles!!! »
Lâchait-elle avec entrain en levant le bras droit comme pour annoncer sa réponse légèrement déformer de la proposition de Mélinda mais ça restait à peu près la même chose. Mais parlant de diner, elle se rappela d'une chose à faire et elle fit signe à Mélinda d'attendre et elle récupéra son portable dans ses affaires, prévenant ses parents qu'elle ne mangeait pas chez elle ce soir et qu'elle risquait de passer la nuit chez une amie. Tout reste encore à voir, avec les cours, tout ça mais elle devrait pouvoir joindre les deux bouts. Retournant devant Mélinda, elle était prête mais avant ça...
« Warren-chan, excuse-moi un tout petit instant mais ça me trotte dans la tête depuis tout à l'heure... »
Elle tomba à genoux pour faire face à sa belle robe fendue en deux, juste devant sa culotte (http://img15.hostingpics.net/pics/85481351259.jpg). La voilà enfin! Elle remuait ses doigts, hésitant à poser ses doigts dessus tellement elle était admirative. Mélinda allait pouvoir voir à nouveau jusqu'où son fétichisme allait. Car les dessous n'étaient pas seulement un fantasme mais une façon de faire, une passion chez elle.
« Oh j'en étais sûre, une noire! On utilise trop souvent le noir ou le rouge pour les culottes érotiques. Quoique le pourpre commence à s'y mettre aussi. Le rose est souvent pour des choses plus mignonnes, comme le bleu ciel. Plus mignon qu'érotique mais parfois, on arrive à faire les deux à la fois et là... oh c'est bandant! Joli petits dessins en relief aussi... » elle la touchait avec le bout de ses doigts à la fois « … comme je m'en doutais, les côtés sont plutôt fins. Oh? Ça finit en string finalement? Hum, intéressant. Et ça ne laisse pas vraiment de marque sur la peau. Bonne taille donc. Vous avez du goût pour vos dessous Warren-chan, beaucoup de femmes ont tendance à prendre quelque chose de sexy ou d'agréable mais pas les deux à la fois. Or, celle-ci est très bien. »
Pas parfaite, elle avait déjà vu mieux mais ça restait quand même un sous-vêtement de qualité. Elle avait profité pour analyser ce string pour lui toucher les fesses, autant joindre l'utile à l'agréable après tout. Quoi qu'il en soit, elle se redressa en souriant.
« Allez, je veux pas paraître impolie plus longtemps, il faut que vous alliez me présenter aux autres sans plus tarder! »
Impatiente? À peine. Mais vu son niveau d'excitation, c'est sûr qu'une des prochaines filles rencontrer va devoir jouer avec Ai car son niveau d'excitation est quand même très haut et pour peu qu'elle aperçoive une orgie, elle va devoir sauter dedans. Elle prit la main de Mélinda, la tirant presque en dehors de la chambre.
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Ai manifesta avec enthousiasme son désir de rejoindre les autres, et Mélinda ne s’y trompa pas... Ce lapsus voulait tout dire, et amena sur le visage de la vampire un léger sourire circonspect. L’heure du repas n’allait plus tarder, ce qui permettrait de l’introduire bien plus facilement auprès du reste de la communauté. Cependant, avant d’y aller, Ai avait encore une remarque à faire, et, sans hésiter, après avoir envoyé un SMS, se rua sur la culotte de Mélinda. Surprise, cette dernière écarta instinctivement les jambes et la laissa faire. Ai avait un regard plein de passion et de désir pour sa culotte, remuant ses doigts devant ce sous-vêtement, avant de le caresser, avec l’œil d’une experte, et à commenter cette dernière. Rares étaient les personnes qui arrivaient à surprendre Mélinda, après toutes les expériences et aventures sexuelles qu’elle avait eu... Mais, en ce moment, Ai Aihara, par son expertise des petites culottes, y parvint. Remontant la ficelle de la culotte, elle en profita pour peloter les belles fesses rondelettes de Mélinda, avant de finir par se relever, la complimentant davantage sur sa culotte, laissant la vampire légèrement pantoise. Un tel comportement était totalement inattendu, mais ce n’est pas comme si elle avait été gênée... Juste surprise, étonnée.
Si bien qu’elle ne répondit pas sur le coup. Ai était excitée comme une puce, et, dans les yeux de Mélinda, on put lire la surprise, puis une certaine forme d’amusement. Elle se pencha vers son invitée, et l’embrassa sur les lèvres.
« Les membres du Futabu sont vraiment des personnes surprenantes... Ça te prend souvent, de renifler les culottes des autres ? Mais... Merci pour le compliment. »
Au moins, elle avait une belle culotte, et c’était toujours agréable à entendre.
« Bien, suis-moi... Mes filles doivent se mettre à table, ce sera l’occasion de te présenter à toutes... »
Comme ça, elle ferait d’une pierre... Plusieurs coups. Mélinda s’avança donc devant Ai, qui était toujours dans ses dessous, avec son érection déformant son string... Normal, au sein du manoir de Mélinda. Elle rejoignit assez rapidement la salle à manger, qui se trouvait dans un grand salon au rez-de-chaussée. Il y avait de grandes vitres avec des rideaux rouges, et on avait allumé un grand lustre au plafond, donnant à l’ensemble une ambiance de château européen gothique... Si ce n’est que les gardes en armure étaient remplacés par un troupeau d’adolescentes hystériques. Certaines étaient en petite culotte, d’autres portaient encore leurs uniformes scolaires, mais la plupart portaient des vêtements normaux. Dans un coin, une chaîne HI-FI diffusait de la musique, l’air de Don’t Phunk With My Heart (https://www.youtube.com/watch?v=P4Bda6_usuc&index=12) des Black Eyed Peas déferlant dans la pièce.
Mélinda s’avança lentement, et, peu à peu, le silence s’imposa dans la pièce, comme à chaque fois que Mélinda entrait. Ai pourrait déjà voir des choses anormales, puisqu’il y avait quelques nekos dans la pièce, dont une qui se faisait câliner dans un angle de la pièce par deux lycéennes, au milieu de poufs et de gros coussins, la queue de la neko remuant faiblement, tandis qu’elle semblait comme anesthésiée par les multiples câlins qu’elle recevait.
« Mesdemoiselles !! J’aimerais vous présenter une invitée un peu particulière... »
Dans un coin, Shii rougissait comme une tomate, se tenant, comme toujours, près de Clara.
« Elle s’appelle Ai Aihara, et c’est une experte en culottes... Approche-toi, Ai... »
Mélinda la poussa pour qu’elle soit devant elle. Les différentes filles présentes la regardèrent en clignant des yeux, circonspectes devant sa tenue, ou devant cette bosse qui déformait ostensiblement sa culotte, puis, d’une seule voix, elles s’écrièrent :
« BOOOONSOOOOIIIIRRRR AAAAAAAAAIIIIIIII !! »
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Oui, Ai était experte en la matière car les dessous n'étaient pas simplement un aspect du sexe qu'elle adorait, les dessous féminins, c'est la vie! L'image est un peu tirée par les cheveux mais tout le monde nait de la même façon, en sortant du ventre de la mère, nue. En grandissant, ses dessous évolue aussi, passant des couches aux culottes, classiques à motif mignon ou de dessin animé pour filles. Puis viennent les culottes un peu plus classiques, parfois à rayure, c'est une grande mode au Japon, donnant ce côté petite fille ou collégienne. Puis la poitrine grandit et il faut que ce soit assortie à la culotte, avec des choses plus mignon, plus coquet, plus fille quoi! Puis après ça grandit encore et les goûts changent alors il y a des trucs plus sexy, parfois provocant, parfois on y ajoute aussi des collants, des portes jarretelles et ce n'est même pas encore la fin. Ce n'est à peine que le milieu du chemin de ce monde fascinant! Ai se laissait doucement embrasser par Mélinda qui avait été surprise par sa performance et son expertise. Tiens, maintenant qu'elle y pense, elle n'a aperçu aucune bonne dans le string de Mélinda? Pourtant elle était assez près? Qu'elle ne bande pas, ok, elle sait peut-être se contrôler mais alors? Elle était passée où sa queue? Faut dire que dans le futabu, il n'est pas question de double sexualité, il y a des futanaris – d'où le nom – et quelques volontaires prête à servir de sac à foutre. Mais pas de femme qui peuvent sortir et rentrer leur pénis comme un couteau à cran d'arrêt! Enfin, elle découvrira cela en même temps qu'elle découvrira un nouveau chapitre dans le monde magique du sexe.
Elle suivait Mélinda docilement en lui tenant la main, elle aurait presque l'air d'une amoureuse transi mais c'était surtout un énorme respect! Ce n'est pas tout les jours qu'elle croise une superbe femme hermaphrodite, plein aux as avec un harem où Ai pourra y faire un tour! Arrivant dans une salle qui montrait une fois encore l'immense richesse de la lycéenne, Ai ne débandait pas pour autant. Des filles plus ou moins de son âge, toutes heureuses mais le regard de la jeune futa s'arrêta naturellement sur celles en dessous. Pour peu, elle en aurait baver. Elle écoutait à peine Mélinda qui la présentait aux autres mais en la poussant, elle avait quand même une remarque à faire en levant l'index, brandissant sa science.
« Heum, pas seulement les culottes mais en toutes sortes de dessous féminins en tous genres! »
De la première petite culotte sexy aux nuisettes sexy, elle pourrait surement battre à plate couture la spécialiste dans ce domaine dans ce manoir! Alors que son regard explosa d'étoiles devant cet accueil chaleureux, elle ferma son poing près de sa joue, comme on s'émerveillerait devant un ravissant nourrisson alors que sa seconde main ne résistait pas à l'envie de se caresser doucement. La pointe de la bosse avait une toute petite zone humide, une goutte de pré-sperme avait déjà filé sous l'excitation.
« Rho, vous êtes toutes belles et ravissantes et adorables... »
Elle ne savait pas où commencer. Elle ne remarquait même pas les nekos. Elle avait vu une fille avec des oreilles de chat mais cette espèce de sexe cosplay, c'était marrant mais dans sa tête, c'était juste un petit cosplay coquin. Mais une des filles présente souriait, son sourire avait quelque chose aussi pervers que sadique alors qu'elle se rapprochait d'Ai en posant ses mains sur ses hanches, se donnant un air supérieur face à leur invitée.
« Experte en culotte? Et tu en fais quoi de celles qui se balade sans rien sous leur jupe? »
Ai baissa naturellement les yeux en se demandant si cette fille la provoquait ou bien si elle n'avait effectivement rien sous sa jupe mais avant même qu'elle ne pose la question, elle attrapait le poignet, sa main qui commençait à se toucher se rapprochait dangereusement sous la jupe de cette inconnue. Mais Tone (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=2406919) l'empêchait de percer ce mystère.
« Tu veux jouer? On va jouer. »
La jeune femme attrapait un ruban qui trainait sur un des canapés et se plaçait dans le dos d'Ai en lui interdisant d'approcher l'une de ses mains de son sexe. La tentation était dure mais l'envie de jouer à ce jeu était aussi très fort! Ai ne voyait rien avec ce bandeau sur les yeux alors que des bruits se faisaient entendre, elle bougeait simplement les quelques meubles pour pouvoir jouer.
« Les filles, on se met en cercle autour d'elle, pas un mot sur notre cas, elle va baiser la première fille qui tombera sous ses mains et elle ne retira le ruban qu'une fois qu'elle aura fait sa petite affaire. »
Un jeu aussi excitant que sadique pour Ai. Tone la fit tourner plusieurs fois sur elle-même avant de rejoindre le cercle en laissant Ai être guider par le pur hasard. Sur qui elle va tomber, elle avait aperçu tant de filles différentes, des petites et des grosses poitrines, des filles en dessous et d'autres en uniforme, des filles en apparence timides et de vraies cochonnes! Han, c'était comme quand elle était petite! Qu'elle voulait commencer une collection de petits jouets dans ses machines à boules dans les rues ou les magasins. La première pièce lui donnera forcément la première pièce de sa collection, elle ne pouvait pas perdre et elle n'avait que l'embarras du choix! Laissant le hasard guider ses pas, elle en fit quelques-uns jusqu'à ce que le bout de ses doigts sentent la chaleur d'une peau, elle toucha rapidement le visage de cette personne en venant l'embrasser en collant son corps sur le sien. Tout ça bien entendu dans le but de frotter sa queue sur le corps de sa partenaire. La seule chose qu'elle pouvait savoir pour le moment, c'est qu'elle était un peu plus grande qu'elle, elle sentait bon et elle était habillée. Elle pouvait rayer de sa tête toutes celles en petite tenue alors.
Pour une fois, l'excitation du jeu, du fait qu'elle se retenait, Ai n'y allait pas par quatre chemins pour pénétrer cette femme, passant son sexe sous sa culotte, elle ne prenait même pas la peine de l'analyser avec les doigts, elle se laissait bercer par la situation, savant que les autres filles étaient autour d'elles, autour de ce canapé sur lequel elle a atterri à les observer avec envie, amusement, jalousie mais il régnait ici une bonne ambiance. Ai la pénétrait si joyeusement, son sexe avait beau faire une dizaine de centimètres, elle savait manipuler son bateau mine de rien.
« Haaaann, ta petite... chatte est a moi... rien qu'à moi! »
Elle laissait un semblant de son côté dominante prendre le dessus dans ce jeu nouveau mais combien amusant. Contre ce corps, elle frottait sa tête sur la poitrine de la jeune femme, elle était si excitée qu'elle sentait déjà la moutarde lui monter au nez. Ai était tel un lapin, allongé sur sa partenaire à l'embrasser, à la lécher tellement elle n'arrivait plus à agir dans le bon ordre mais son bassin exécutait toujours les bons mouvements et quand arriva enfin la jouissance, ce fut à nouveau une cascade de foutre qui se déversa entre ses jambes. Ai, aux anges en se libérant de ce poids. Mais vint le moment de vérité, qui avait été celle avec qui elle avait couché? La voix de Tone se fit entendre dans son dos, prouvant que ce n'était donc pas elle qui avait couché avec Ai mais qui alors?
« Allez, retire-lui le ruban qu'elle puisse voir qui a gagné le jeu. »
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La réaction fut évidemment spontanée et chaleureuse, car les filles de Mélinda étaient très bien éduquées. Il n’y avait aucun risque qu’elle repousse Ai ou la bâche, surtout avec une telle tenue, et alors qu’elle était en train de se masturber sans honte... Ou encore parce qu’elle était super-craquante. Mélinda s’assit sur sa confortable chaise rembourrée, en bout de table, et croisa les jambes. Que ce soit Tone qui se déplace n’était pas surprenant. Elle venait bien du Japon, elle, et plaisantait souvent sur son nom, en expliquant que c’était un jeu de mots avec un ancien croiseur japonais datant de la Seconde Guerre Mondiale. C’était une bonne vivante, et, surtout, une femme qui s’était découverte une passion dévorante pour le sexe. Comme bien souvent, Mélinda l’avait rencontré en petite vierge, complètement désintéressée par le sexe, avec une sainte horreur d’une relation sexuelle... Et, avec un peu de motivation et d’entrain, elle avait fini par devenir une perverse avec un goût prononcé pour le fétichisme, les privations sensorielles, et l’exhibitionnisme. Elle ne tarda pas à le prouver en mettant un bandeau autour des yeux d’Ai, et la soumettant à un jeu sexuel, une petite troupe de filles venant se former autour d’Ai. Mélinda les observait, s’humectant un doigt avec ses lèvres, glissant dessus.
Un magnifique spectacle était en train de se dérouler sous ses yeux, et Ai alla pénétrer sans attendre l’élue de son cœur, s’étalant avec elle contre le canapé. Elle avait un petit sexe, c’est vrai, mais on ne le sentait pas vraiment, vu les intenses pénétrations qu’elle faisait, et vu son entrain. Son ardeur se manifesta encore dans la manière dont elle couchait avec la femme, allant d’avant en arrière le long de son corps, enfouissant sa tête contre ses seins, remuant son nez dessus, faisant gémir la femme en face d’elle. Elle la pénétrait, encore et encore, rudement et délicieusement, et l’attroupement autour d’elles gloussait et soupirait, commentant entre elles la performance sexuelle d’Ai. Chez Mélinda, on avait tendance à voir le sexe avec une certaine relativité, et à considérer comme normal ce qui semblait totalement improbable... Faire le sexe avec des observateurs était donc tout à fait naturel, tout comme sentir sur ses fesses des mains venant se promener lors d’un coït. Ici, les filles se retenaient.
« Quel entrain... Elle se débrouille bien...
- Je trouve aussi !
- HAAAAAAAAAAAAAAAAANNNN !!! » gémissait la femme pénétrée.
Qu’Ai ait choisi de prendre cette femme était probablement un appel inconscient de son amour pour les swimsuits, car cette femme en portait fréquemment. Ai la léchait, Ai l’embrassait, Ai la fourrait, s’enfonçant encore et encore en elle, jusqu’à finir par jouir... Généreusement. Elle balança un violent chapelet de foutre en elle, provoquant comme une explosion sanguine dans l’esprit de Mélinda, laissant pantoise la vampire. Ce sang était vraiment délicieux, ouvrant son appétit sanguin.
Tone s’approcha du dos d’Ai, et lui offrit la vue, lui permettant de voir qui elle avait pénétré...
« Tu la connais peut-être, elle est au lycée, mais elle est très timide... Sauf face à une Futa’... »
Cette femme n’était qu’Ayumi Nasegawa (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?action=profile;u=2659), une esclave de Mélinda depuis de longs mois, et qui était connue hors du manoir pour ses performances aquatiques. Ce soir, elle portait, non pas sa belle swimsuit, mais de simples vêtements (http://nsa22.casimages.com/img/2012/04/18/120418024818576623.jpg), et un sourire de bonheur ornait son visage, probablement à l’idée de s’être faite pénétrer par une Futanari. Tone, elle, avait un sourire malicieux sur les lèvres, et sa main vint ébouriffer les cheveux d’Ai.
« J’espère que tu as encore sous la réserve, Ai..., commentait une autre fille. Ayumi pourrait coucher avec toi toute la nuit, tu sais... Mais ce ne serait pas juste de la laisser exclusivement pour toi...
- Pas juste du tout, non... » renchérit une autre fille.
Mélinda choisit ce moment pour intervenir, parlant alors d’une voix forte :
« Ai étant une simple invitée, elle n’aura pas de chambres... Toutefois, si elle veut dormir ici, elle pourra le faire. Elle se couchera dans la chambre de son choix, et les personnes à l’intérieur se devrontde lui offrir la plus chaleureuse des hospitalités... Car elle est notre invitée, et les invités se doivent d’être traités avec honneur et dévotion. »
Autrement dit, elle pouvait coucher avec n’importe qui. Tout le manoir était open, comme un immense fantasme entre quatre murs. Une femme se rapprocha alors du groupe entourant Ai... Elle, elle venait d’Ashnard, et elle s’assit sur un fauteuil, juste en face du canapé. Elle avait un élégant parfum, et une tenue mémorable : c’était une bunny girl répondant au doux nom de Marlène (http://fc01.deviantart.net/fs71/f/2011/183/0/c/white_rabbit_by_tvc_designs-d3ksp3h.jpg).
« Charmante, votre invitée, Maîtresse... Elle a de bons goûts en matière vestimentaire... »
Et oui, le personnel de Mélinda comprenait évidemment quelques bunnies girls raffinées. Que de choix s’offraient à Ai ! Faire le tri risquait d’être difficile !
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Inutile de préciser qu'elle s'était amusé comme une petite folle même si elle ne savait pas avec qui elle avait couché. Une fois le bandeau retiré, elle conservait son sourire, sa partenaire était mignonne et sa tenue... classique par contre mais elle n'allait pas dire que ce serait une faute. Ai écouta ses nouvelles amies autour d'elle, Ayumi, une nageuse? C'est vrai que son visage lui était familier mais elle ne s'était pas rapproché de toutes les filles qui lui plaisaient au lycée sinon elle n'aurait pas fini de faire des propositions à toutes les filles. En fait, chez Mélinda, c'était un peu la bande des filles cool et populaires non? Ayumi avait bonne réputation dans le club de natation après tout. Mais son ventre avait pris soudainement quelques tailles après le tsunami de sperme qu'elle venait de subir par la simple venue d'Ai. Allongée sur Ayumi, elle leva à nouveau la main, ne perdant pas de sa bonne humeur et de son énergie pour si peu.
« Yeah! Je suis encore en forme moi! »
Autant dire qu'avec un tel choix sur la main, le coup de pompe ne risquait pas de pointer le bout de son nez, la jeune futa avait tant d'énergie à revendre et ce n'était pas prêt de s'arrêter de sitôt. Mélinda intervenait pour signaler quelque chose, ôta toute envie de partir à la dernière minute pour rejoindre son lit. Peu importe si elle doit porter le même uniforme demain, l'uniforme d'une autre, ce genre de chose, elle se débrouillera mais vu sa proposition, elle ne quittera ce manoir QUE pour aller en cours demain. Là, elle ne va pas le quitter de sitôt. Profitant de la situation, elle posa le bout de ses doigts sur sa poitrine, comme le ferait une personne de la haute aristocratie qui prenait la parole avec son petit sourire victorieux. On pouvait y voir une petite dent pointue qui dépassait de ses lèvres quand elle souriait.
« Mais je suis sûre et certaines que ses charmantes demoiselles seront prêtes à me réserver le plus chaleureux des accueilles! Cela dit... hum... Warren-chan, vous n'avez pas une grande pièce où l'on pourrait faire une soirée pyjama toutes ensemble? »
Si la demande semblait bon enfant, c'était la façon polie, vu l'annonce de Mélinda de proposer une orgie. Eh oui, Ai était libre de coucher avec qui elle voulait dans la chambre, donc au pire des cas, elle aura une partenaire, sinon deux ou trois? Elle ne savait pas comment étaient les chambres mais ça ne devait rien avoir avec des dortoirs de militaires où il y a vingt lits superposés. Alors que si elles dorment toutes ensemble, elle sera libre de se faufiler sous n'importe quelle couverture et laisser libre cours à ses envies. Mais une autre fille prenait la parole pour la complimenter sur sa tenue. Une... Bunny Girl?! Ai la fixait avec étonnement mais aussi avec envie. On aurait pu y encastrer des étoiles dans ses yeux. Elle avait beau être une connaisseuse en sexe, la pratique, elle n'avait pas une si large connaissance et jamais elle n'avait fait l'amour avec une bunny girl. Elle imaginait la tenue plus classique, du cuir ou du simili cuir noir, des bas résilles aussi mais vu le joli petit lot sous ses yeux. Elle se levait presque machinalement comme une mouche attirée par une lampe mais une main venait lui tourner la tête. Une jolie blonde (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=2267656) en dessous noir sexy venait plonger son regard dans le sien.
« Et alors? Tu vas vers une fille avec des oreilles de lapin alors que je te croyais experte en dessous féminin? »
En effet, c'était très sexy, il y avait même un porte-jarretelle, ça donnait vraiment envie, même si la demoiselle en question avait le même genre de regard que Tone – autoritaire et dominante – mais Ai se laisserait bien tenter par elle. Faut dire qu'elle se laisserait bien tenter par n'importe qui ici. Mais une autre femme se glissa dans son dos (http://gelbooru.com/index.php?page=post&s=view&id=2223812), passant ses bras autour d'elle en venant caresser son visage de façon très douce, comme sa voix.
« Yakumo, laisse notre invitée choisir par elle-même... Soyons lucide, elle ne pourra pas coucher avec nous toutes à la fois. »
Elle se pencha, Ai sentait sa poitrine douce et chaude dans son dos alors qu'elle posa son menton sur son épaule et sa main venait saisir sa verge moite pour la masturber un peu.
« Pourquoi ne pas venir toutes gouter un peu notre petite Ai? Elle est assez grande pour toutes nos langues et nos mains, non? »
Ai en une véritable idole, caresser et lécher par toutes ses filles? Si Ayumi ne l'aurait pas aidé à se sentir plus légère, elle aurait surement joui rien qu'à imaginer ça.
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Ai devait se croire au Paradis. Mélinda continuait à sourire, son beau regard vert croisant le sien. Après quelques hésitations, la jeune femme demanda alors si Mélinda n’avait pas des salles suffisamment grandes pour permettre une « soirée pyjama ». La vampire gloussa légèrement, comprenant très bien ce à quoi Ai faisait allusion avec cette « soirée pyjama ».
« Et bien... Le manoir comprend de grandes pièces prévues pour n’importe quelle activité, Ai... »
Une manière polie et implicite de dire que les orgies étaient possibles. Lors des vacances scolaires, Mélinda se faisait plaisir. Les dortoirs de Mishima étaient encore ouverts, mais ses esclaves préféraient logiquement dormir ici, en compagnie de leurs amis, et aussi en ayant des chambres nettement plus grandes et confortables que celles des dortoirs d’un établissement public. Elle organisait des journées spéciales, des activités sexuelles afin de les occuper et de stimuler leur imagination. L’idée était de faire plaisir au plus de monde possible, et, sur ce point, Mélinda savait y faire. Elle avait une bonne expérience sexuelle, s’appuyant sur plusieurs siècles de coïts et de sodomies intensives, et, partant de là, la belle femme savait tout à fait comment stimuler l’imagination de ses petites puces.
Ai était comme une délicieuse sucrerie, et attirait à elle bien des personnes sexy. Pas étonnant que son érection soit toujours là. Ayumi, elle, restait allongée sur le canapé, caressant tendrement son estomac gonflé. Se retrouver dans un gang bangde Futanaris était le plus grand plaisir d’Ayumi, et Mélinda s’était souvent dit que, si elle se rapprochait davantage du Futabu Club, elle enverrait Ayumi lors des séances de réunion du Club. Sentir son diaphragme être déformée par les éruptions de sperme des Futanaris était son plaisir ultime, et une lueur de bonheur brillait dans ses yeux. D’autres femmes prenaient toutefois la relève. Marlène, pour commencer. La plupart des habitantes du manoir venaient de la Terre, et c’était le cas pour Marlène, qui, avant de rencontrer Mélinda, était une simple caissière dans un supermarché. Elle avait une beauté négligée, et était alors une hétérosexuelle convaincue. Pour lui permettre de s’ouvrir, la vicieuse vampire avait envoyé son grand-frère, Bran. Bran avait trouvé un moyen de séduire cette gaijin incomprise, et lui avait fait l’amour dans la réserve de la boutique... Elle était ensuite devenue sienne, et Mélinda l’avait aidé à se libérer, et à devenir la bunny girl perverse qu’elle était actuellement, acceptant ses penchants pour les belles adolescentes.
Subjuguée par la bunny, qui était assise sur un gros pouf et remuait lascivement ses jambes, Ai ne vit pas Yakumo s’approcher d’elle. La belle blonde venait, non pas de Mishima, mais d’un lycée privé en hauteur de la ville, à proximité du manoir de Mélinda. Un établissement de riches, et Yakumo, elle, avait des parents riches habitant à Seikusu. Elle était une petite princesse pour eux, une jeune adolescente parfaite. Mélinda l’avait violé, puis son frère lui avait ensuite refait tout le corps avec sa verge, et Mélinda avait pris une vidéo, menaçant ensuite de la diffuser sur Internet si Yakumo n’acceptait pas de la rejoindre. Quelques mois plus tard, Yakumo passait l’essentiel de son temps chez Mélinda. Elle avait parlé d’elle à ses parents, et Mélinda savait que, quand elle hériterait de la fortune de ses parents, Yakumo lui en ferait don. Grâce à Mélinda, elle pouvait accomplir ses fantasmes.
Ai eut à peine le temps de tourner sa tête vers elle qu’une autre femme, entreprenante, s’approcha. Elle portait quelques vêtements blancs en dentelle, et se glissa dans son dos, venant la provoquer. Il s’agissait de Kazuho, qui était une lycéenne de Mishima, et qui s’était retrouvée à voir son petit cul être farfouillé lors d’une séance de retenue dans le bureau d’une prof’ travaillant par Mélinda par cette dernière. Elle était aussi soumise que perverse, et elle aimait faire le ménage dans les chambres.
Toutes ces belles femmes s’agglutinaient autour d’Ai, et Mélinda se mit à craindre un autre coma carabiné.
*Elle n’en peut plus, la pauvre...*
Ai semblait être au comble du bonheur, et les femmes l’entourant s’approchèrent. Marlène alla l’embrassa sur les lèvres, tandis que la main de Kazuho continuait à masturber sa verge. Yakumo se rapprocha à son tour, et vint embrasser l’un des seins de la femme. Les trois femmes se blottissaient contre elle, et, assez rapidement, Kazuho relâcha la verge d’Ai pour enfoncer un doigt dans son fondement. Marlène, elle, avait un certain talent pour les baisers, et une attirance tout aussi certaine pour les belles jeunes femmes. Yakumo, de son côté, se pencha peu à peu vers la verge de la femme, et vint la prendre en bouche. Ai était debout, chancelant entre les corps des trois magnifiques créatures s’agglutinant autour d’elle.
« Tu peux toutes nous avoir, Ai...
- Jouir en chacune de nous... N’est-ce pas un rêve, petite catin ? »
Mélinda en profita alors pour se redresser, et marcha un peu vers elles. Ce spectacle attisait son appétit, et, plus le temps passait, et plus l’orgie voulue par Ai se rapprochait. Une orgie mélangée à un repas, quoi de mieux pour avoir une soirée réussie ? Mélinda se rapprochait, et se déshabilla à nouveau, faisant tomber sa robe dorée sur le sol, puis rejoignit le canapé où trônait Ayumi.
« Suce ma queue, ma chérie, pendant que je les regarde faire... »
Le voyeurisme était l’un des plaisirs de la vampire, et elle n’eut aucune difficulté à faire pousser sa verge, qu’Ayumi s’empressa de prendre en bouche. La main de Mélinda agrippa les longs cheveux bruns de la femme, les pressant tendrement.
« Mmmmhmmm... Ooooh ouii !! »
C’était si beau à voir ! Elle avait invité une véritable succube chez elle, et elle allait en payer le prix.
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Il est vrai que la pauvre demoiselle avait les yeux plus gros que le ventre. Elles pouvaient coucher avec tout le monde sur une très longue période, pas de soucis pour ça. Mais le hic était qu'elle subit tant d'émotions fortes dans la même journée. Elle avait déjà eu un petit évanouissement et en sentant l'orgie se rapprocher, inutile de dire que ses forces la quittaient. Une chance qu'elle était bien entourée. Kazuho la masturbait doucement alors que la bunny girl venait l'embrasser pendant que Yakumo abaissa doucement son corset pour lui lécher la poitrine. C'est difficile à croire vu son club et son niveau de perversité mais elle n'avait jamais eu trois femmes pour elle seule. En général, c'est tout sur les filles normales ou alors ça baise en couple, parfois à trois mais dans le meilleur des cas, elle a déjà eu deux partenaires. Ai n'était qu'une poupée de luxure entre leurs mains, elle les observait en embrassant la bunny girl, elle savourait chaque caresse chaque coup de langue mais il y avait un plus dans cette histoire. C'était tous ses yeux qui la dévorait du regard, toutes l'enviait, la jalousait, voulait compléter le tableau, elle adorait ce voyeurisme poussé à l'extrême. Toutes ses filles qui les observaient, ses trois filles qui s'occupent d'elles, Mélinda qui se fait sucer par la belle demoiselle qu'elle vient de baiser... Ayumi, non?
« Oh ouiiii je veux toutes vous baiser et vous arrosez mes beautés! »
Ai était au paradis, elle ne contrôlait plus son corps prit en otages par ses trois beautés, même si Kazuho avait cessé les caresses sur sa verge, Yakumo avait délaissé sa poitrine pour que ses petites lèvres réchauffent sa verge. Si elle serait pleine aux as, elle aurait donné sa fortune à Mélinda, à l'instant même. Pas de chance pour elle, Ai n'a qu'un peu d'argent de poche et autant dire que la somme ne casse pas trois pattes à un canard. Elle baignait dans un véritable bain de luxure où la pauvre se sentait que trop bien dedans. Elle arrivait à peine à caresser les cheveux de Marlène et une des fesses de Kazuho. Pauvre Yakumo, elle n'avait pas assez de main pour s'occuper d'elle alors qu'elle s'occupait si bien de son pénis. Pourtant, on voyait bien qu'Ai était dans son élément mais il y avait trop de choix, trop de possibilités autour d'elle pour qu'elle puisse tout gouter. Au bout d'environ cinq minutes entre ses trois beautés auront suffi à la faire jouir dans la bouche de Yakumo qui reçut pour elle seule un bon litre de foutre, comme Ayumi. Cela pouvait sembler étrange mais c'était toujours pareil avec Ai. Non, avec Ayumi, ce n'était pas le résultat d'une longue privation, c'était simplement normal. Aussi normal qu'Ai était né ainsi, futa avec deux parents normaux. Ils étaient au courant de son pénis mais étant un couple plutôt ouvert, ils lui ont laissé son second sexe.
On était en droit de se demander si ses parents étaient vraiment humains car pour jouir deux litres de sperme en moins de dix minutes, ça reste quand même étrange? De même que ça fait en tout quatre litres si on compte la culotte de Shii et sa bouche près d'un buisson. Ça fait déjà quatre kilos de semence quand même... C'est à se demander si Lust ne lui avait pas jeté un sort ou bien si une Succube n'avait pas veillé sur elle, à moins qu'elle ait fait une surprise à sa mère? Allez savoir, où se trouve la vérité? En tout cas, cela ne semblait pas gêner Ai qui caressa la tête de Yakumo en souriant, pauvre avait du sperme plein le corps. Vous avez déjà essayé d'avaler un litre d'eau qui arrive d'un seul coup? Ce fut pareil pour elle...
« Désolé ma jolie Yakumo-chan... vous êtes si excitante que je n'arrive pas à rester calme... »
Le pire dans tout ça, c'était que malgré tout, son envie n'en perdait pas une miette à en juger par son érection. Certes, là, c'était plus par gourmandise que par envie car après tout, elle doit encore reprendre des forces. C'est bien beau de coucher et d'arroser les autres mais ce « don » de sperme illimité à un prix, un certain appétit qui font d'Ai une gourmande qui ne prend pas un gramme. Mangé, éliminé! Là est son secret. Ramenant ses mains sur ses joues, Ai était toujours partante pour la suite mais Mélinda allait se rendre compte que son invité ne manquait pas d'imagination et d'envie de jouer! Une grande joueuse, ça oui!
« Allez, on recommence le coup du bandeau? Je coucherais avec la première que je trouverais car sinon c'est trop dur de faire un choix... Après on pourra manger à table si vous voulez mais c'est une dernière fois avant la pause... Et après, je recommence avec celles qui veulent bien jouer avec moi mais chaque chose en son temps. On peut faire ça, Warren-chan? »
Ai restait quand même invitée, elle n'était pas la chef ici puis avouons-le... elle aimait la regarder se faire sucer, elle trouvait ça bandant!
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Et hop, nouvelle érection d’Ai ! Un sourire sur les lèvres, Mélinda la voyait se tortiller entre les trois délicieuses femmes qui la narguaient, l’embrassaient, la caressaient, et la pinçaient. Elle finit par jouir dans la bouche de Yakumo, et la belle blonde toussa sous cette déferlante de sperme. Mélinda sentait son sexe durcir un peu, et Ayumia gémit, continuant sa fellation. Il était fréquent qu’elle utilise la bouche d’Ayumi et son corps comme sac à foutre. Ayumi, si timide, libérait toutes ses pulsions perverses face aux Futanari. Un curieux fantasme, mais qui ne déplaisait nullement à la vampire. La bouche d’Ayumi remuait le long de son sexe, filant en avant et en arrière. Elle ne réclamait rien, savourant cette queue, et Mélinda sentait qu’elle mouillait, utilisant l’une de ses mains pour se caresser sous ses vêtements. Ai, de son côté, demanda alors à avoir à nouveau le bandeau autour des yeux, puis suggéra ensuite qu’il était temps d’aller manger, avant de continuer à nouveau à batifoler.
« Je constate que tu as vite pris tes aises, ma petite... »
Kazuho obtempéra rapidement, et, sans même avoir à se parler, elle et Yakumo se comprirent, car Yakumo alla s’emparer de sa culotte, cette belle culotte à dentelle qu’elle portait, et la tendit vers Kazuho, un sourire sur les lèvres. La culotte était légèrement trempée, par la mouille de la femme, et la femme l’utilisa comme bandeau, la plaçant sur les yeux de la femme, tirant sur les lanières pour les serrer à l’arrière de son crâne.
« Voilà... Comme ça, ça tient bien. »
La servante fit un nœud, puis posa ensuite sa main sur l’épaule d’Ai, et la fit tourner elle-même, rapidement rejointe par d’autres femmes. La pauvre Ai dut ainsi avoir le tournis, et tourna pendant une dizaine de secondes avant que les femmes, espiègles, ne s’arrêtent. Mélinda n’en perdait pas une miette, une main s’agrippant aux cheveux d’Ayumi, les caressant tendrement. Sa tête ondulait contre sa verge, et la vampire savait que son esclave pouvait sucer des queues pendant des heures, tant elle aimait ça. Elle avait été au cœur de multiples gang-bang mémorables. Une fellation, en comparaison, c’était presque un tendre traitement.
Ai cessa de tourner comme une toupie, et, comme pour la dernière femme, choisit une femme pour lui faire l’amour. Son choix se porta sur les trois femmes qui l’entouraient, et tomba sur Kazuho. Cette dernière l’embrassa sur les lèvres tout en se reculant suffisamment pour pouvoir s’allonger sur le sol. Ai était plus petite qu’elle, et il fallait donc trouver un moyen de la laisser se faire prendre. Kazuho se retrouva finalement étalée sur le sol, sur unt apis, ses bras serrant Ai contre elle, et la femme put la pénétrer sans problème, sa verge s’enfonçant en elle.
« Haaaannn !! »
Pendant que les deux femmes se pénétraient mutuellement, Mélinda eut droit à son orgasme, et, dans un long soupir, balança sa crème dans la bouche d’Ayumi en gémissant. Elle se redressa, en se disant que, ce soir, il allait y avoir beaucoup de sperme de dépensé.
« Bien... »
Elle remit ses vêtements en place, puis alla voir Ai, et lui caressa les cheveux, avant de l’embrasser sur la nuque, et de pincer ses belles petites fesses.
« Tu es vraiment une femme pleine de vigueur, Ai... Je dois admettre que le Futabu me surprend... Je n’ose imaginer à quoi ressemblerait mon manoir si tes amies venaient à débarquer ici. »
C’était facile à dire : une énorme orgie !
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Oh oui, Ai était comme chez elle à présent et Mélinda était sûr de la voir trainée chez elle chaque week-end et surement quelques soirs en semaine mais pas tous les jours, malheureusement. Ayant envie de renouveler le jeu une dernière fois avant de reprendre un peu de force, Yakumo et Kazuho se rapprochèrent, la belle blonde venant retirer sa culotte avant de la lui donner en se rapprochant d'Ai. Oh, cette belle petite culotte noire à dentelle qui se rapprochait, qui se bandait autour de ses yeux! Han, elle aurait aimer la renifler un peu, la caresser avant! Mais tant pis, le tissu lui masquait la vue avec cette petite touche d'humidité... excitant! Elle tourna à nouveau alors qu'elle entendait les volontaires se rameuter autour d'elle. Une fois qu'elle avait repris son équilibre, elle s'avança en souriant, tendant les bras et la première fille qu'elle toucha était plus grande qu'elle vu qu'elle vu que ses mains étaient posées ses épaules. Cette dernière l'amena à elle en se couchant doucement sur le sol, l'invitant à en faire de même. Mais cette fois-ci, elle avait trouvé qui était sa partenaire. Cette peau douce, cette odeur, cette poitrine et cette petite dentelle sous sa poitrine, c'était Kazuho. Ça ne changeait rien au jeu, elle le savait mais son érection était toujours là.
Embrassant la belle, elle glissa ses mains sur son corps de façon à abaisser sa belle culotte blanche et s'insèrera en elle en caressant cette douce peau, c'était si bon! Elle avait beau sentir les regards sur elle, les murmures, elle adorait tout ça! Elle continua de pilonner Kazuho en s'attaquant à sa poitrine avec sa bouche aussi. Ha oui, une belle poitrine comme ça, faut bien s'en occuper aussi. Elle s'attaquait à ses petits tétons dresser, léchant ce petit bout de chair délicieux et ce sein si moelleux! Le plaisir était à son comble et même si Mélinda s'approchait en s'amusant à lui demander à quoi aurait ressemblé son manoir avec Sumika et Aya en plus? Facile!
« Une grande fête haaan! »
Ai reprit de plus belle ses mouvements en cognant son bassin contre le sien, elle n'y allait pas en douceur mais là, elle se sentait bien mieux. Elle se sentait toujours bien quand sa queue était entre les jambes ou les femmes d'une femme. La jeune futa continua encore quelques minutes avant de déverser sa semence en bloquant sa tête entre les seins de Kazuho, ils étaient fabuleux ses deux-là aussi! Un nouveau raz-de-marée de semence blanche coula entre ses jambes pour gonfler son joli ventre jusqu'à déborder sur le tapis. Ai ne la lâchait pas pour autant, même une fois la dernière gouttee tombé. Elle était si bien.
« Ha ha... je t'adore Kazuho-chan... »
Même avec sa culotte sur ses yeux, elle venait l'embrasser avant de se relever doucement. Elle avait besoin de reprendre des forces. Elle observa toutes les autres filles dans la salle en souriante.
« Mais je sens que je vais toutes vous adorer de toute façon! »
Elle aida Kazuho à se relever avant de se tourner doucement vers Mélinda, toujours souriante et avec son membre dressé sauf que cette fois, elle n'avait pas un besoin urgent de se vider, elle pouvait tenir et reprendre des forces. Mais bien entendu, elle avait une nouvelle idée qu'elle s'empressait de soumettre à la petite troupe!
« Dites! Dites! Et si on tirait à la courte paille et que la perdante se place sous la table, les yeux bandés et fait une petite gâterie à la première personne qu'elle croise en dessous? Et elle change entre chaque orgasme! »
En voilà une bonne idée mais que ce soit accepté ou non, elle ne faisait que proposé, elle adorait être ici et quitté cet endroit va être compliqué. De toute façon, elle avait faim pour le moment alors elle voulait mangé, quitte à faire une petite pause en faisant connaissance avec ses charmantes créatures sans forcément d'abord passer par la case sexe. Elle allait rejoindre Mélinda en se plaçant à côté d'elle en prenant son bras, le plaquant entre ses seins, sa main près de sa verge – un pur hasard... surement?
« Han Warren-chan je vous envie vraiment d'avoir des amies pareil... J'aimerais tant être à votre place maintenant! »
La fortune était un détail mais rien que pour son manoir, c'était un vrai petit morceau de paradis.
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Allongée contre Kazuho, Ai se faisait plaisir. Une main sur ses beaux cheveux verts, Kazuho la laissait faire, gémissant de plaisir, les joues toutes rouges. Les deux femmes étaient regardées par tout un public de cette femme, y compris par sa Maîtresse, et elle semblait être totalement aux anges... Ce que Mélinda voulait bien comprendre. Elle-même s’amusait essentiellement avec le cul d’Ai, tout en sentant que cette jeune femme risquait de devenir assez rapidement une pensionnaire récurrente du manoir... Peut-être même l’une de ses futures esclaves ? Mélinda ne cherchait pas à l’asservir volontairement, car elle savait qu’Ai était au sein du Futabu Club, et elle ne voulait pas se mettre en porte-à-faux avec le club, mais, d’un autre côté... L’idée d’avoir sous ses ordres tout un club de femmes membrées et inépuisables était on ne peut plus tentante, promettant des orgies sévères à Ashnard, ou dans son manoir. Avec sa petite bouille mignonne, son appétit sexuel débordant, et son fétichisme à toute épreuve, Ai Aihara serait en réalité une excellente prostituée, une femme qui aurait tout à fait sa place dans son harem ! Mélinda se plaisait à y rêver tout en pinçant ses fesses, jusqu’à ce qu’elle finisse par s’abandonner en elle, balançant plusieurs giclées de sperme dans le corps de Kazuho, qui en soupira.
Les deux femmes s’embrassèrent ensuite, un baiser auquel Kazuho répondit avec plaisir, câlinant volontiers le corps de la femme. Ai se retira ensuite, et proposa ensuite une autre idée. En un sens, Mélinda était assez impressionnée. Chez la jeune femme, le sexe avait avoir pour effet de stimuler son imagination débridée, et elle venait de leur proposer quelque chose d’autre : un jeu où la perdante se trouverait sous la table. Mélinda se tapota les lèvres, et un sourire naquit sur ses lèvres, une lueur de désir pervers traversant ses yeux.
« J’ai une autre idée, Ai... Tu vas filer sous la table, et, pendant que nous mangerons, toi, tu lècheras les entrejambes de toutes les filles que tu voudras... Et nous te donnerons à manger pendant ce temps. »
Elle trouvait l’idée amusante, et, de plus, elle permettrait à Ai de satisfaire au mieux ses envies fétichistes. Elle serait comme une espèce de petite chienne furetant sous la grande table de banquet, et l’exercice ne la fatiguerait pas trop. Mélinda, tout en lui disant ça, s’était penchée vers elle, tendant sa main pour caresser l’une des belles joues de la magnifique bouille de la femme. Petite, mais énergique. Comme quoi, il ne fallait pas se fier à la taille. Ai semblait inépuisable, et Mélinda la voyait définitivement bien se transformer en une chienne perverse filant sous la table pour lécher tout ce qui passerait à sa portée.
« Ça te plairait ? Il nous faut environ une heure pour manger, imagine le nombre de culottes, de pieds, de jambes, que tu pourras lécher pendant tout ce temps ! »
Ai pourrait se reposer, dans la mesure où on ne demanderait aucune activité physique à son corps. Pour Mélinda, c’était la meilleure chose à faire, et un autre moyen de continuer à se rapprocher de cette petite, afin d’obtenir sur elle des pistes, et de quoi la faire devenir accroc de Mélinda Warren... Et Mélinda aimait ça, qu’on lui envie. C’était bien ce qu’Ai avait dit, auparavant, en exprimant son souhait d’être à sa place, et, pour la vampire, qui avait eu une enfance difficile, c’était pour elle une consécration. Elle embrassa même Ai sur les lèvres, brièvement.
« Bien sûr, on peut te mettre un bandeau sur les yeux, si tu veux... Néanmoins, il y a une règle à suivre dans ce jeu. Si tu te retrouves sous la table, jusqu’à ce que tu en sortes, il faudra que tu aboies ! »
La vampire aimait bien proposer des activités ludiques à ces filles, et le « jeu de la chienne » en faisait partie. Généralement, celle qui s’y collait était Madison (http://hentai.forum-rpg.net/index.php?action=profile;u=4310), parce qu’elle aimait qu’on la traite comme une chienne... Mais, pour ce soir, la vampire voyait bien Ai dans ce rôle...
...Si elle était d’accord, bien entendu !
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Cette journée serait à marquée d'une pierre blanche dans le calendrier, cette Mélinda Warren apparaissait comme la femme qui allait ouvrir toutes les portes pour Ai. Il n'était pas question d'un simple coup de main, d'un fantasme ou deux de réalisable, avec elle, elle pourrait réaliser tous ses fantasmes, du plus classique à l'irréalisable sans le savoir. Pour la jeune futanari, elle ne connaissait pas encore Terra et ses nombreuses beautés en tous genres. Même la neko, elle croyait juste que c'était un cosplay super bien foutu. Tenant le bras de Mélinda, elle la voyait presque comme la déesse de la luxure ou des fantasmes. Eh bien oui, avoir un harem était un rêve fou qu'Ai avait toujours eu depuis qu'elle a plongé dans le monde de la débauche, alors connaître une personne qui en possède un et accepte de l'y faire rentrer, c'était comme réalisé son rêve. Même si elle avait une petite idée détourné de son jeu, cela ne l'en dérangeait pas plus que ça. Elle-même sous la table, à analysé des culottes par dizaines, à se faire plaisir, elle devait bien rendre la pareille après avoir joui par trois fois dans ce manoir. Même si Mélinda proposait le bandeau et comme règle, d'aboyer, elle était plutôt d'accord, un peu grâce à ce doux baiser plutôt bref.
« Hum... c'est pas mon genre de jouer la soumise mais vu que le jeu a l'air bien marrant, je veux y jouer! »
Sa bonne humeur était toujours présent, sa trique aussi, à se demander s'il ne va pas falloir un somnifère pour la faire dormir et faire en sorte que le sang cesse de passer par cet organe? L'heure de dormir n'était pas encore arrivée mais en voyant enfin Shii dans la salle, elle relâchait le bras de Mélinda pour venir vers elle avec ce grand sourire pour lui sauter au cou en venant l'embrasser.
« Ooooh ma Shii-chan tu sais que je te dois tout à toi? Sans toi, je serais pas ici avec Warren-chan et toutes les autres... »
Elle relâchait son câlin pour baisser ses mains sur son corps, venant vite retrouver leur chemin sous sa jupe, tripotant sa culotte et ses formes sans la moindre gêne.
« J'espère que tu portes encore ma culotte? C'est le cas hein? Cette taille un peu serré pour toi, cette marque que je sens sous mes doigts et le fait que tu mouilles ma petite culotte... Rho, je vais adorer la récupérer je crois! »
Pas tout de suite mais une culotte où elle avait mouillé dedans, où elle avait eu la gaule dedans, où Shii mouillait dedans, elle va être superbe cette petite culotte! Elle venait l'embrasser en continuant à passer ses mains sur les fesses de sa copine, dessus comme sous sa culotte. Bah quoi, c'était la sienne et c'était bandant cette situation! Elle termina le baiser en la regardant dans les yeux avec un petit sourire qui en disait long sur ses pensées.
« Ta gagné le droit de me demander un petit service, Shii-chan. Pour m'avoir fait venir ici, tu auras le droit à la gâterie de ton choix, peu importe la tenue, la situation, je le ferais pour tes beaux yeux. Mais tu n'as le droit qu'à une seule fois... pour le moment. Alors réfléchis bien, moi, je vais demander un truc à Warren-chan. »
Elle lui fit un clin d'oeil avant de retourner voir Mélinda en souriant, toujours aussi excitée qu'une puce apparemment en reprenant la main de la belle bourgeoise. Elle venait même déposer un baiser sur son épaule – vu leur différence de taille, même si ce n'était pas énorme, son épaule était plus proche que ses lèvres.
« Warren-chaaaaan? Je peux faire comme les autres et vous appeler Maîtresse? Ou Warren-sama? Warren-hime? Miss Warren? « Madame » Warren, comme les Français? Enfin, sous le surnom qui vous plait quoi. »
Elle ne tenait plus en place mais qu'est-ce qu'elle adorait être ici. Mélinda n'aura besoin de rien pour qu'elle tombe entre ses mains. Ai est accroc au sexe et Mélinda possède un harem, c'est une équation qui se résout les yeux fermés ça. Il ne restait plus qu'à lui installer le bandeau sur les yeux et à commencer le jeu.
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Nul doute que, si Mélinda avait eu la fibre religieuse, Lust lui aurait offert une place de choix dans son culte... Peut-être même aurait-elle béni son harem ou son manoir, en faisant des temples au nom de la Luxure. Ai était ravie, des étoiles pleins les yeux, un fantasme venant se concrétiser... Et même encore plus. Peu à peu, Ai réalisait que le petit monde de Mélinda était dédié à la luxure, et au vice et au sexe, sans aucune réelle restriction. Tout était possible ici, toutes les femmes présentes étaient prêtes à lui faire l’amour, et toutes rivalisaient d’ingéniosité afin d’essayer de stimuler leur imagination sexuelle par le biais de jeux pervers, comme celui du bandeau et de la table. Un rôle dans lequel les filles s’en sortaient plutôt bien, même si Mélinda se demandait si Ai serait à la hauteur de Madison... Qui se complaisait tout à fait dans son rôle de chienne à domicile. Ai Aihara était ravie de porter le bandeau, et, alors que les filles s’apprêtaient enfin à manger, retournant s’asseoir, le regard d’Ai se porta vers Shii... Et elle fila la voir. Mélinda la laissa bien naturellement faire.
Shii fut tractée hors de sa chaise. Elle avait naturellement vu la scène, elle avait vu Ai faire l’amour à plusieurs reprises, et en avait confusément rougi, tout en sentant sa culotte s’humidifier. Sa culotte... Quand elle était rentrée, elle avait envisagé d’en remettre une, et, sans pouvoir se l’expliquer, le fait de porter le sous-vêtement d’une autre personne l’avait doucement, mais sûrement, excité. Peut-être bien que, dans le fond, comme la plupart des Japonais, Shii fantasmait elle aussi sur les culottes. Le fait est qu’elle avait conservé celle d’Ai, et frissonna quand Ai, sans même vouloir attendre une quelconque autorisation, glissa ses mains sous sa jupe pour tirer sur son sous-vêtement, faisant soupirer et gémir la belle lycéenne.
« Haaa... ! »
Clara lui avait gentiment fait remarquer il y a une heure qu’elle avait le feu au cul... Ce qui était typiquement la manière qu’avait Clara pour s’exprimer. L’éternelle amie de Shii était une lycéenne aux cheveux roses qui, assise à côté de Shii, regardait la scène avec un léger sourire. Elle s’attendait presque à ce que Shii se fasse prendre contre le rebord de la table, mais Ai était juste venue lui faire une proposition... Elle ferait tout ce que la lycéenne voudrait, mais seulement une seule fois. Shii en fut toute rouge de confusion, et n’eut pas le temps de répondre quoi que ce soit que l’énergique invitée retourna voir leur Maîtresse.
Surprise, perturbée, la lycéenne se retourna vers Clara, qui lui sourit.
« Toi, on dirait que tu as une touche... »
Elle déglutit poliment, peinant à répondre... Car elle ressentait toujours une certaine chaleur entre ses cuisses.
Ai, de son côté, retourna donc voir Mélinda, et lui fit une proposition qui fit sourire cette dernière : savoir comment l’appeler. Théoriquement, Ai n’avait pas à user d’un quelconque qualificatif, car elle n’était pas son esclave... Cependant, plus le temps passait, et plus Mélinda se disait qu’Ai aurait adoré être son esclave. Le manoir pouvait lui offrir absolument tout ce qu’elle voulait, et c’était une grande perverse. Avec Mélinda, elle connaîtrait un avenir radieux, et conforme à ce qu’elle désirait : du sexe à longueur de journée.
Mélinda tendit sa main, et caressa la joue de la femme.
« Si tu veux m’appeler ‘‘Maîtresse’’, tu le peux, mais il faudra me vouvoyer... Et jouer le jeu jusqu’au bout, tant que tu seras à mon manoir. »
Les règles de Mélinda ne s’appliquaient pas pour les invitées, mais, si Ai voulait un traitement spécial, la vampire était tout à fait disposée à le lui donner. Elle l’embrassa sur les lèvres en attrapant son menton, le serrant entre ses doigts, et partagea avec elle un tendre et vertueux baiser.
« Allez, passons aux choses sérieuses... »
Mélinda ordonna à Ai de fermer les yeux, puis, suivant le rituel, une petite douzaine de filles l’entoura... L’une d’entre elles retira sa culotte, et alla la mettre sur les yeux d’Ai.
« Si tu arrives à trouver à qui appartient cette culotte, Ai, tu auras droit à un vœu... »
Un jeu avec un enjeu était toujours plus intéressant, non ? L’une des esclaves de Mélinda embrassa rapidement Ai, et une main claqua sur les fesses de cette dernière. Les filles se mirent à glousser, tout en la motivant :
« Allez, petite chienne, en piste ! »
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Elle était toute folle ici! Elle allait vraiment regretter l'heure de son départ mais elle préférait éviter de penser à cela et plutôt à se concentrer sur tout le reste ici. Mélinda était d'accord pour avoir son nom de Maîtresse par la bouche d'Ai même si cela devait vouloir dire se soumettre. C'est vrai que ce n'est pas son genre mais avec une femme qui va lui faire visiter un harem, elle veut bien faire un ou deux sacrifices. Partageant volontiers ce baiser, elle restait aussi en forme et souriante que d'habitude alors que le jeu allait débuter, certaines des filles se levaient alors qu'elle devait fermer les yeux. Elle sentait leur présence autour d'elle alors qu'une culotte allait à nouveau lui servir de bandeau et si elle découvre à qui elle appartient, elle a le droit à un vœu? Oh mais c'est Noël avant l'heure alors! Recevant un rapide baiser et une petite fessé, l'heure de s'amuser avait sonné!
« Ouais!!! Je veux dire, Wouf! »
On la guida à table en comprenant pourquoi la plupart des filles s'étaient levé, pour choisir des places différentes et donc faire en sorte que leur nouvelle copine ne fonce pas vers une cible précise. On la guida sous la table et une fois chacune installé, elle ne savait plus ou donné de la tête, elle entendait des voix même si la plupart étaient inconnues pour elle, certaines lui faisait du pied pour l'inciter à être choisi mais que faire, Ai voulait jouer, elle allait jouer. Elle allait dans le sens opposé à Mélinda, elle savait sa Maîtresse en bout de table, comme n'importe quel chef de maison mais elle se la réservait pour une autre fois, quoiqu'elle allait peut-être changer de place pour jouer. Arrivant vers un coin plus calme où moins de pieds venaient se frotter à elle, elle approcha sa main d'une jambe douce au toucher, pas pantalon ici? Pas de collant non plus? Elle toucha le bord de la chaise pour être sûre de ne pas foncer entre deux filles et en caressant ses douces cuisses, elle rapprocha son visage entre les jambes, reniflant ce coin délicieux comme une petite chienne alors qu'elle plongea tête baisser entre ses jambes. Ha? Il y avait là une jupe surement mais pas de culotte? Est-ce Ai qui la portait sur les yeux ou c'était normal pour cette fille? En tout cas, elle ne tardait pas à se faire plaisir, ça fait longtemps qu'elle n'a pas bouffé de la chatte!
Sa bouche ouverte, elle fonçait à l'assaut de ses délicieuses lèvres intimes, Ai semblait très voraces, c'est le moins que l'on puisse dire, venant embrasser et lécher cette partie si délicieuse en prenant appui sur ses cuisses. Elle se cognait presque sur la table mais qu'importe! Sa langue venait de loger entre ses lèvres intimes, venant sucer ce délicieux petit bonbon juste au-dessus. Elle avait une trique d'enfer et heureusement qu'on ne la masturbait pas avec le pied sinon Mélinda allait devoir investir dans de nouveaux tapis à force ou payer un peu mieux celles qui font le ménage ici car Ai va leur donner du travail si ça continue comme ça.
« Mhhhh! Rrhhhhmmmm! »
Au moins, il y en avait une qui était contente de jouer les chiennes à table pour avoir de quoi se remplir un peu l'estomac. Allez savoir si elle ne préfère pas simplement mendier et se faire remarquer plutôt que manger? En fait, elle doit bien manger quand même. Remuant sa tête rapidement entre ses délicieuses jambes, elle semblait s'amuser autant qu'elle semblait douer car bien vite, elle fut arrosée par une délicieuse. Se léchant les babines une fois fini, elle venait lécher ses petites lèvres doucement en réclamant sa petite récompense aussi.
« Wouf! Wouf! »
Ensuite, à qui le tour? Surtout qu'elle aura des surprises, il n'y avait pas que des filles à cette table... il y avait des futas et surement des shemale, sans compter neko et autres créatures déguisées en humaines, ça lui fera de nouvelles saveurs.
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Ai allait donc avoir droit d’être la chienne de service. Une position humiliante, en théorie, mais qui était généralement très excitante pour les filles désignées à le faire. Les petites timides étaient toujours partagées entre la peur de le faire, et le désir de se retrouver ainsi à pouvoir lécher des culottes et des sexes. Ce petit jeu était une véritable réussite, à la fois simple à comprendre et parfait pour rapprocher entre elles les différentes filles de Mélinda. Parfois, le choix tombait sur les hommes du manoir, une bonne manière de stimuler leur soumission sexuelle vis+-à-vis de toutes ces filles entreprenantes et perverses. Mélinda s’assit donc au bout de la table, se demandant où Ai Aihara irait, et les discussions commencèrent à fuser dans tous les sens, les filles faisant comme si de rien n’était. Elles parlaient de leurs cours, de films, de sorties cinéma, de maquillages, de vêtements... Avec le temps, elles apprenaient à manipuler perversion et normalité au sein du manoir de leur Maîtresse. C’était impossible à comprendre pour ceux et celles ne travaillant pas sous son autorité. Mélinda était toujours partie du principe que la soumission était quelque chose d’intuitivement innée à l’espèce humaine, et que les personnes soumises n’étaient que plus heureuses de savoir que quelqu’un d’autre veillerait sur elles, et les commanderait. Shii ou Clara en étaient de bons exemples.
Son invitée se déplaçait sous la table, la nourriture arrivait, et la vampire se demandait ce qu’elle allait bien pouvoir faire d’elle. En faire une esclave ? C’était tentant, et ce d’autant plus qu’elle se disait qu’Ai n’aurait aucune difficulté à devenir l’une de ses pensionnaires, comme bien d’autres des lycéennes venant au manoir, préférant séjourner ici plutôt que dans les petits dortoirs de Mishima. Certaines des prostituées de Mélinda connaissaient plutôt bien les dortoirs de Mishima, leur spécialité étant de s’y rendre la nuit pour coucher avec des femmes.
La vampire se demandait quelle serait la première élue à goûter à la langue d’Ai, quand elle le vit. C’était une jeune timide, Miru (http://img100.xooimage.com/files/1/8/c/servante-8--45489ad.jpg), qui portait rarement de culottes, généralement parce que ses copines lui empêchaient de les prendre si Miru n’acceptait pas certains jeux. Elle portait généralement une tenue de maid sexy, qu’elle avait ici troqué pour des vêtements plus normaux. Miru se mit à rougir comme une tomate quand Ai lécha ses cuisses, et les filles à côté d’elle se mirent à glousser en la désignant.
« Hunnn...
- Hey ! Ça va pas, Miru ?
- Mange un peu plus ! »
Miru, qui savait que ses amies allaient encore jouer avec elle si elle n’arrivait pas à se calmer, soupira, et tenta d’attraper sa fourchette pour découper son steak... Mais elle n’y arrivait pas, et l’une de ses amies le prit dans la main, un sourire malicieux sur les lèvres.
« Allez, gros bébé, ouvre bien la bouche ! »
Miru rougissait follement, et obtempéra, en fermant les yeux. Ses amies la faisaient manger, jusqu’à ce que Miru finisse par avoir un orgasme, balançant sa mouille dans la bouche d’Ai. Bien qu’elle soit éloignée, Mélinda n’en perdait pas une miette... Car il fallait bien admettre que ce spectacle était très excitant à voir.
Et ce n’était que le début...
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Jouant très bien le rôle de chienne, Ai se faufilait entre les jambes de cette petite maid – sans le savoir – pour mieux la lécher et lui bouffer le minou. Sa mouille au visage en guise de récompense, elle continuait de pousser sous la table, tentant de sortir sa tête de sous la table pour avoir un vrai petit quelque chose à manger quand même. Une fois que ce fut chose faire, elle tourna à nouveau sur elle-même, se dirigeant à nouveau vers le bout-de-table où se trouvait Mélinda. Sauf que ça n'allait pas être elle qui sera choisi par sa bouche. Qui est-ce donc? C'est toujours une question qu'elle risque de se poser lors de ce jeu puisqu'elle ne connaissait pas assez bien ses nouvelles camarades pour le deviner en quelques coups de langue. À moins de s'annoncer, elle ne pouvait pas deviner. Parlant de devinette, elle ne savait toujours pas quelle était la culotte sur sa tête? Ce n'était pas celle de Shii, elle avait quand même reconnu le tissu, c'était quelque chose de plus haut de gamme mais après, à qui est-ce, quel est le modèle? C'est une autre histoire. Cherchant la prochaine victime de sa bouche, elle passait à côté d'un morceau de viande tendu sur une fourchette, cela avait frôler sa joue mais elle avait volontiers pris ce petit morceau avant de suivre son instinct pour suivre cette généreuse donatrice.
Ce n'était pas un sexe mais un doigt qu'elle commençait à sucer doucement. Fétichiste de la main? Trop timide pour se laisser lécher à table? Non, surement pas ça mais quoi alors? Oh, ce n'était pas le moment de se poser des questions, Ai se mettait au boulot. Un piège pour l'appâter? C'était en réalité le cas mais était-ce un piège quand la victime était toute contente? Car quand le doigt se retirait doucement, elle faisait tout pour le garder mais rapidement, elle se heurtait à quelque chose de plus grand et gros. Une futa ou une shemale? En tout cas une fille membrée! Ça comptait quand même. La petite chienne se mit en action, venant prendre le barreau de chair dans sa bouche pour commencer une douce fellation mais la même main qui l'avait nourri et aguicher venait se mettre derrière sa tête pour mieux l'enfoncer sur son membre. Être aussi soumise, ça ne lui ressemblait pas vraiment. Apparemment, celle-là tenait à avoir une gorge profonde, AI était bien sur capable de la lui faire et même si cette situation de force ne lui plaisait pas, elle jouait le jeu mais c'était à charge de revanche!
Subissant les vas et viens forcé de cette main, forcé d'avaler cette queue, la laissant gémir comme elle pouvait, la jeune futa ne pouvait quand même pas dire qu'elle détestait cela, il y avait un côté très délicieux à cela mais elle préférait inverser les rôles, c'est sûr. L'orgasme de cette femme approchait quand elle cessait de remuer mais que sa bouche était de plus en plus plaquée contre elle. Le jet de crème blanche tombait directement dans sa gorge, déversant sa semence jusqu'à ce que tout soit écoulé, laissant Ai toussé un peu en reprenant son souffle avant qu'elle ne vienne nettoyer son travail avant de recevoir son petit morceau de viande. Ce jeu était à la fois humiliant mais il y avait vraiment un côté amusant à tout ça. Commençant à chercher une nouvelle proie, elle avait légèrement sursauté en sentant quelque chose la caresser. Pas une main ou un pied mais de plus doux et poilue? Mélinda avait peut-être un chat ou un chien? Bah quoi, elle peut aimer le sexe et les animaux de façon séparer... ou pas? Ce qui l'étonna c'est que cette queue continuait de se frotter contre elle? Un chat qui pensait avoir une nouvelle copine de jeu, une nouvelle adversaire dans le jeu du mendier à table? Elle suivait cette queue pour vouloir lui donner une caresse et reprendre son jeu mais cette queue la conduisait entre deux jambes? Ha? Il avait le droit d'être sur les genoux de quelqu'un? Passant sa main le long de la queue en la frôlant, elle toucha l'entrejambe d'une fille qui portait une culotte? Elle n'était quand même pas assise sur le chat? Pourtant ça avait l'air d'être le cas?
Ha non, il devait se trouver derrière elle... mais du coup, il fait quelle taille ce chat? C'est un tigre, un lion? Ce ne serait pas très étonnant de voir ça. Enfin, maintenant qu'elle avait une nouvelle proie, autant ce mettre au travail même si d'abord, experte oblige, elle découvrait cette culotte avec sa bouche, son nez, ça semblait être quelque chose de relativement banal? Banal ne veut pas forcément dire nul, c'est même parfois le contraire, la culotte la plus simple du monde peut être la plus terrifiante des armes entre les jambes d'une femme. Culotte ou non, si on l'avait attiré à elle, elle allait faire son travail, à travers sa petite culotte tiens, ce ne sera que plus drôle.
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Ai était plutôt bien traitée ici. Les filles pensaient à la nourrir, trouvant ça amusants. Elles plantaient leurs fourchettes dans des bouts de viande ou de pommes de terres à la crème, et les tendaient vers Ai, trop pudiques pour les prendre entre leurs doigts. Certaines se contentaient juste de caresser du bout du pied le corps d’Ai, et d’autres allaient jusqu’à lui donner un verre d’eau, utilisant alors les deux mains pour agir, l’une tenant le verre, l’autre la tête de la chienne. Ai était effectivement vue, en ce moment, comme une vraie chienne, et certaines n’hésitaient pas, en la sentant passer, à taper ses belles fesses avec leurs pieds. Après avoir fait jouir Miru, Ai se rapprocha d’une autre femme, beaucoup plus autoritaire que Miru.
Répondant au doux nom de Notty (http://img110.xooimage.com/files/2/0/5/contraband-comics...issue-5e-486aba8.jpg), la jeune Futanari était une amatrice de cuir et de latex, qui, ce soir, portait une habituelle tenue rouge en cuir recouvrant presque intégralement son corps, s’arrêtant à hauteur de sa poitrine. Notty était une femme dangereuse, une ancienne lycéenne qui, depuis le collège, opprimait une jeune femme, une gaijin se trouvant juste à côté d’elle, Nyce. Elles formaient un magnifique couple, une sorte de variante du couple Clara/Shii. Notty et Nyce étaient toutes les deux très intelligentes, mais Notty avait toujours eu l’ascendant psychologique sur Nyce. Elles avaient rejoint le harem de Mélinda par le biais de Notty, et Nyce était fréquemment battue et humiliée par elle. Ce fut donc Notty qui attrapa la tête d’Ai, et enfonça sa queue dans sa bouche, soupirant de plaisir, tournant parfois la tête pour sourire à Nyce, qui se trouvait juste à côté d’elle, en se tortillant sur place. Tout en mangeant, Mélinda assistait à tout cela, de loin, avec le sourire sur les lèvres. Ai s’intégrait plutôt bien, et Notty remuait légèrement sur place, tout en tenant fermement la tête d’Ai. Ses jambes étaient bien écartées, afin d’accueillir comme il se doit la tête de la chienne, et elle les rabattait parfois, afin d’écraser les joues d’Ai Aihara, continuant jusqu’à balancer sa crème en elle, avant de la relâcher.
*En voilà une qui sait se faire plaisir, au moins...*
Mélinda était sincèrement ravie de voir Ai s’intégrer aussi bien. Elle aurait pu craindre un esprit de communautarisation avec ses petites chéries, mais elles étaient toujours aussi ouvertes que ça pour accueillir de nouvelles têtes. Ai continua à se déplacer, et le repas, lui, se poursuivait. Les filles continuaient à parler et à manger, et Ai, en se déplaçant, finit par tomber sur l’une des nekos de Mélinda, Linda (http://img98.xooimage.com/files/0/0/1/linda-42ef225.jpg). Linda était une petite neko assez mignonne, mais avec un tempérament de feu, excessif et emporté. Elle avait un fort côté lesbien, qui avait tendance à s’exprimer assez fréquemment.
Ai s’attaqua donc à elle, ce que Mélinda remarqua en voyant Linda se mettre à rougir en redressant d’un coup la tête. Ai aventura ses lèvres sur le bassin de Linda, faisant rougir ce dernier. Quelques ronronnements s’échappèrent de son corps, la faisant rougir encore plus. Mélinda, elle, continuait à sourire. Le repas se passait très bien, ponctué par quelques orgasmes discrets, mais non moins présents.
*Parfait...*
Tout ceci amenait Mélinda à se demander si elle ne devait pas inviter le reste du Futabu Club ici, de temps en temps... Ce serait une bonne idée à proposer à Ai, ça... Ce qu’elle ferait très probablement plus tard.
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C'était un jeu vraiment drôle, Ai ne pouvait pas se plaindre, elle s'amusait comme une petite folle! Quoique si, la seule remarque qu'elle pouvait encore faire, c'était de rester inactive, elle aimait ce jeu mais si on aurait pu lui proposer un bon morceau entre chaque fellation ou tous les deux ou trois chaises, ça aurait été parfait. C'est vrai que ça l'excitait tout ça mais elle avait une gaule pas possible et personne pour l'aider à se soulager. C'est comme regarder un porno sans se toucher. À quoi ça sert si on ne fait rien? On peut pas dire que les scénarios soient géniaux, c'est à peine si ça part d'un problème banal pour qu'à la première possibilité ou problème, la réponse soit aussi simple que « bah tu me suces »! Enfin bref, Ai était toute contente sous la table jouant à ce jeu si drôle et fort appétissant. Elle avait été voir un grand nombre de femmes et futa en cours de route même si elle trouvait quand même qu'il y en a beaucoup, adepte en cosplay? Chacun ses fantasmes cela dit, c'était une chose qu'Ai acceptait. Grande fétichiste des dessous, elle respecte le choix et les goûts des autres, tant que cela n'est pas étrange... Comme coucher avec un mort, personnellement, jamais elle n'a eu ce genre d'envie, ni même n'a croisé de personne voulant cela.
Quand elle entendit parler de dessert, elle aussi se décida à terminer en beauté en allant en bout de table, frottant sa tête sur les douces jambes de Mélinda quelques instants, pour lui laisser savourer ce qu'elle allait vivre. Puis en approchant sa bouche entre ses jambes, rapidement elle arrivait à découvrir ce membre qui lui faisait tant envie depuis le début! Bah quoi? Elle peut être dominante et quand même avoir envie de sentir la sienne en elle. La jeune futa se faisait plaisir en la suçant doucement mais quand même avec une certaine envie! Et pour cette femme merveilleuse qui allait réaliser un grand nombre de ses fantasmes, une très grande partie même, elle lui réservait une petite surprise en lui faisant une petite gorge profonde. Elle n'y était pas tellement habituée alors elle y allait doucement mais cela devait être aussi bon pour Mélinda que pour elle? Y aller avec une certaine lenteur, une certaine douceur, ça devait être plutôt bon? Elle ne lâchait pas le morceau avec Mélinda, même si elle la suçait le plus souvent normalement, elle avait encore du chemin a faire avant d'être une pro en gorge profonde.
Quand elle eut droit à son dessert crémeux, elle attendit sa récompense de la part de Mélinda avant de poser sa tête sur ses cuisses, comme une chienne bien docile. Elle avait assez jouer à ce jeu ce soir, puis c'était la fin du repas après tout. Il suffisait de voir son visage couvert de mouille et de sperme, en voilà une qui avait profité de ce petit jeu. Sauf qu'elle ne demandait pas à stopper le jeu, juste se reposer sur les cuisses de Mélinda en attendant officiellement la fin de ce jeu. Elle était une chienne, ce serait difficile de dire « ça y est on a fini? » avec seulement des wouf et des wouaf. Même sans sexe, quelques caresses, ça faisait aussi du bien.
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Ai se fit plaisir durant tout le repas, et Mélinda, vers la fin de ce dernier, estima que la pauvre devait avoir une trique de tous les diables. Fort heureusement, la vampire n’était pas cruelle, et, au fur et à mesure que le repas se prolongeait, elle écrivit un petit mot, et le transmit vers Shii. La jeune femme était poliment en train de manger, triturant son assiette avec ses baguettes, enfournant son bol de rāmen sans rien dire. Elle avait les joues rougies, choquée et excitée parce qu’elle avait vu. Même en étant depuis aussi longtemps au sein du manoir de sa Maîtresse, il lui était toujours difficile de se faire à ce sexe omniprésent et perpétuel. Le mot finit par arriver, elle sursauta, et le déplia. Elle reconnut rapidement l’écriture soignée et appliquée de sa Maîtresse, et rougit encore plus en en lisant le contenu. Sa tête se redressa vers sa Maîtresse, qui se contenta d’un sourire affirmatif et d’une lueur espiègle. Shii rougit encore plus, et baissa la tête, serrant les cuisses. Ai, de son côté, continuait à tourner, faisant sursauter nekos et simples humaines par sa langue et par ses mains, venant se frotter contre elles.
Le repas se termina par le dessert, un ensemble de pâtisseries, tandis que les esclaves affectés aux cuisines débarrassèrent. Même les cuisines étaient un étalage permanent de sexe. Il était fréquent que les cuisinières soient prises par l’arrière, que les servantes doivent sucer des queues, et coucher ensemble. Parfois, certaines sauces arrivaient ainsi avec un goût très particulier. Pour autant, la cuisine restait propre, car elle était entretenue, et nettoyée quotidiennement de fond en comble. Mélinda ne voulait pas non plus que ses protégées tombent malades. Les pâtisseries arrivèrent donc, et on servit à Mélinda un morceau de gâteau. Alors qu’elle allait l’entamer, elle sentit une petite tête venir se frotter à ses jambes, et écarta machinalement ces dernières, tout en mordant dans sa fourchette, avalant un bout de gâteau. Ai se mit alors à lécher activement son intimité, et Mélinda soupira, gémissant. Indéniablement, cette fille était douée avec sa langue, et sa verge se mit à jaillir des tréfonds de son corps, tapant contre le nez d’Ai en sortant, faisant reculer sa petite tête.
La lycéenne alla ensuite la prendre en bouche, et tenta d’offrir une sorte de bouquet final pour ce dîner, en remuant contre le membre de la vampire, sa bouche partant à l’assaut de ce dernier.
« Hummm... !! »
Une gorge profonde. Ai enfonça ce membre aussi loin qu’elle le pouvait, et la vampire remua un peu son basin, de gauche à droite. Il était usuel, chez les chiennes, de finir par le morceau du Roi... Ou de la Reine, en l’occurrence. La vampire se pinça les lèvres, continuant à manger, clignotant des yeux. Sa verge tapait contre la gorge de la petite lycéenne, et elle sentait, contre sa jambe, le corps d’Ai venir se trémousser d’avant en arrière. Sa belle queue pulsait dans la bouche de la femme, et, au bout d’un moment, cette dernière finit par jouir. Il ne lui fallut que quelques minutes pour se lâcher, et un jet crémeux fila dans la bouche d’Ai, aspergeant sa gorge, son foutre glissant sur sa langue. Mélinda bascula ensuite sa tête en arrière, se sentant bien, sereine, comme à chaque fois qu’elle venait de se lâcher.
La tête d’Ai resta posée contre ses cuisses, et Mélinda aventura sa main pour la caresser, ses doigts glissant le long de ses mèches de cheveux. Elle les caressait et les empoignait tendrement, frottant sa tête comme une petite chienne venant réclamer l’attention de sa Maîtresse. Mélinda fut si gentille qu’elle récupéra un morceau de gâteau, le planta au bout de sa fourchette, et le tendit vers la bouche d’Ai, la laissant le manger. Le sexe d’Ai était dur, plein à craquer. Mélinda pouvait le sentir titiller ses doigts de pied, et elle se disait que la pauvre avait envie de se soulager. Un scénario classique : quand les chiennes humaines terminaient le repas, elles espéraient toujours se faire prendre, ce qui, généralement, se faisait en levrette.
Le repas se termina, et la vampire se pencha sous la table.
« Tu peux sortir de la table, Ai... Je crois que tu as bien mérité ton cadeau... Suis-moi, ma puce. »
Mélinda la laissa se relever, et vit que sa queue était toute tendue, bien droite, bien raide. Une belle érection. Elle résista à l’envie de la masturber, et s’avança devant elle, rejoignant une chambre à proximité.
« Vas-y, rentre... »
À l’intérieur, il y avait un beau lit deux places, et une femme se trouvait au centre. Ses joues étaient rougies, et des bougies étaient allumées dans un coin. Shii était là... Elle était allongée sur le lit, et regarda Ai en rougissant, tout en portant une swimsuit bleue une pièce, tenue aussi excitante à voir de face (http://img110.xooimage.com/files/5/4/7/swimsuit_front-4882d19.jpg) ou de dos (http://img110.xooimage.com/files/1/5/8/swimsuit_back-4882d17.jpg), moulant à la perfection son corps. Shii était légèrement trempée, et se mordilla les lèvres, en glissant un doigt le long de sa couette.
« Je... Je suis à toi, Ai... »
N’était-ce pas un beau cadeau ?
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Le jeu de la chienne avait été très plaisant mais aussi très époruvant. Toutes ses femmes à satisfaire avaient été un vrai bonheur mais ne pas pouvoir jouir un supplice! Bien des fois elle aurait eut envie d'un pied charitable pour la masturber, son sexe coincé entre deux orteils même, pas besoin des deux pieds mais rien n'était venue. Heureusement aussi, celles qui s'occupaient du ménage n'avait pas besoin de passer la serpillière comme ça. Car autant de litre de sperme à évacuer, ce n'aurait pas été simple à nettoyer! Mais comme le jeu était terminé, elle se relevait avec ce goût sucré et appétissant en bouche en suivant Mélinda sans même vraiment se tourner vers les autres. Elle était encore une fois passé à côté des nekos et compagnies. Mais en arrivant dans la chambre éclairée à la bougie en installant une ambiance romantique, elle fut bloquée sur place en voyant Shii en maillot de bain sur le lit, le corps apparemment trempé, comme si elle venait de se nettoyer avec une serviette après avoir pris sa douche comme ça. Pour sûr, c'était un beau cadeau mais ça n'empêchait pas Ai de se plaindre et ce, pour une très bonne raison! Se retournant vers Mélinda, la petite futa fronçait ses sourcils, ce qui était étonnant en un sens mais pas tant que ça quand elle donnait son explication.
« Ha non Maîtresse! Ce n'est pas juste, je me retiens depuis une heure sous la table, je suis le point d'exploser et vous m'offrez Shii-chan dans cette tenue? Elle va a peine poser ses mains sur moi que je vais jouir sans pouvoir me retenir! Mais regardez là! Elle est trop bandante comme ça! L'(humidité ne fait d'épouser ses formes, voyez les petites bosses sur sa poitrine, ce petit creux entre les cuisses, ses cheveux... humides... cette pose... »
Mine de rien, elle tombait quand même sous son charme, elle acceptait bien évidemment le cadeau mais il va être difficile de lui demander de se retenir face à tant de charme après s'être retenue. Elle en délaissait Mélinda, sans attendre la moindre réponse, avançant comme un zombi vers Shii, elle était attirée par cette dernière. Grimpant sur le lit, elle s'avançait à quatre pattes vers elle, sa bouche frôlait la sienne, leur nez en faisant de même.
« Ne me caresse pas trop Shii-chan, sinon je risque de trop vite me relâcher... et ce serait dommage de t'arroser déjà. »
Une si belle tenue déjà couverte de sperme alors qu'elles n'auraient même pas commencé à jouer, ce serait comme jeter une œuvre d'art en sucre dans l'eau, ça se dissoudrait bien vite et donc adieux le cadeau! L'exemple était un peu con mais vrai quand même. Il restait quand même plein de façon de s'amuser, de la libérer de ce poids avant de jouer ensemble, Ai pourrait se masturber en regardant Shii la chauffer, elle pourrait se mettre sur ses cuisses et se laisser masturber par cette dernière, elle pourrait simplement la sucer mais ça, elle y avait déjà eu le droit un peu plus tôt en quittant les cours. Ou même autre chose si Shii était imaginatif mais pour le moment, elle savourait son cadeau en l'embrassant doucement, dans cette ambiance romantique. Ai n'était pas amoureuse de Shii, elle la trouvait mignonne et bandante, évidemment mais Ai était encore trop jeune pour penser à avoir une petite amie, elle voulait simplement s'amuser, voilà tout. Mais bon, elle aimait vraiment sa présence pour le moment, elle avait besoin de se soulager et elle présentait qu'elle allait le faire comme une pro!
« Tu es diablement sexy dans cette tenue tu sais? J'aurais tant envie de la frotter entre tes jambes, forcer l'entrée comme si je pourrais la trouer mais... non, pas tout de suite, on à tant a faire. »
Sachant que Shii avait encore sa carte joker en main, elle pouvait demander une chose à la jeune futa qu'elle lui ferait obligatoirement comme elle lui avait dit. Sauf que bon, elle pouvait utiliser ça plus tard.
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Aussi timide et pudique que Shii soit, elle ne pouvait pas aller contre un ordre exprès de Mélinda. La vampire lui avait dit d’aller enfiler cette swimsuit, et de prendre une petite douche, en évitant de trop se nettoyer. La lycéenne, qui était suffisamment intelligente pour savoir ce que cela signifiait, avait néanmoins obtempéré, incapable de s’opposer très longtemps à un ordre venant de sa Maîtresse. Dès qu’elle était rentrée dans la douche, Shii savait qu’elle serait offerte à Ai comme un vulgaire bout de viande... C’était humiliant, particulièrement offensant, mais aussi terriblement excitant. Elle était là, offerte à Shii, dans une tenue qui moulait ses formes, en devant jouer l’allumeuse... Ce qu’elle était totalement incapable de faire. Paradoxalement, les scènes clichés qu’elle faisait ne contribuaient qu’à exciter davantage Mélinda, qui restait en retrait. Elle avait souri en entendant la réplique d’Ai, reprochant à son cadeau d’être trop... Réussi.
« Je ne fais pas les choses à moitié, Ai... Tu es une invitée exceptionnelle, qui mérite donc... »
La vampire se tut en réalisant qu’Ai ne l’écoutait pas, et que, comme une automate, elle venait de se rapprocher de Shii. Soupirant silencieusement, Mélinda croisa les bras, et laissa donc Ai agir, en l’observant. Elle se mit à quatre pattes sur le lit, son regard niché sur celui de Shii, donnant à la jeune Japonaise l’impression d’être face à une prédatrice sexuelle en manque. Elle gémit, couinant silencieusement en sentant la verge de la femme glisser le long de ses cuisses, frottant sa peau nue, avant de caresser sa combinaison. Elle se mordilla les lèvres en voyant la petite tête innocente d’Ai s’approcher de la sienne. Leurs visages se heurtèrent, et la bouche de Shii vint à s’entrouvrir, accueillant celle d’Ai.
L’une de ses mains se détendit, et agrippa la nuque d’Ai, empoignant ses cheveux, et elle ferma les yeux, répondant timidement à son baiser, soupirant en sentant la pointe heurter son corps. Ai était en manque, ce que Shii pouvait comprendre. En effet, elle avait bien saisi que cette femme était une perverse, une coquine, dans tout ce que cette notion impliquait. Une perverse en manque, qui avait passé plus d’une heure à lécher des minous, et qui devait donc être sacrément en manque. La lycéenne ne savait pas ce qui dominait dans son corps : l’excitation, ou la peur. En tout cas, le fait que sa Maîtresse reste ici signifiait clairement qu’elle n’allait pas pouvoir faire n’importe quoi, et qu’elle allait devoir se montrer digne du choix de Mélinda. Autrement dit, une lourde responsabilité pesait sur ses épaules, car elle estimait être totalement nulle en matière de relations sexuelles.
Ai en profita alors pour lui dire ce qu’elle comptait lui faire... Ce qui, naturellement, amena Shii à rougir encore plus. Forcer le passage, et la pénétrer... Elle pouvait tout à fait le faire, la tenue étant prévue pour, et, de fait, c’était aussi ce que Shii envisageait... Mais, visiblement, Ai avait d’autres objectifs, d’autres envies. Shii ne savait pas quoi en penser. Ses joues cramoisies témoignaient de son état de nervosité extrême, de sa gêne, et elle se mordilla les lèvres. « Tant à faire »... Pour être honnête, ça n’avait rien de rassurant !
« Je... Euh... »
Elle sentait la verge de la femme contre son estomac, une longue pointe de chair qui titillait son corps, glissant dessus, heurtant le tissu, remontant lentement. Ses mains serraient son lit, et elle avait le buste légèrement parti en arrière.
« Que... Qu’est-ce que tu... Euh... Qu’est-ce que tu comptes me faire ? »
Elle lâcha cette question d’une toute petite voix, ses lèvres tremblotant sur place.
Pour le coup, elle n’était effectivement pas très rassurée !
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Elle n'en pouvait plus, la moindre occasion serait bonne pour la jeune futa pour se libérer de ce poids, que ce soit à l'aide d'un magazine, de son imagination ou en jouant les voyeurs, elle acceptait n'importe quoi pour se libérer mais le hic avec les personnes riches, c'est qu'elles n'ont pas idée que leur cadeau sont trop cher. Ai demandait le minimum et elle avait Shii... Shii en maillot de bain et prête à se faire croquer sur place! Ce n'est pas juste, un rien et elle ira envoyer la sauce! Ce serait gâcher si elle l'arrose maintenant sans même avoir pu jouer avec. Elle était si proche de son amie, sa verge frottait doucement son amie, croisant les doigts pour que rien n'allume la mèche après tout! Leur baiser était déjà bien assez chaud pour déclencher la petite flamme qui pourrait faire partir la mèche vers son explosion mais... calme... Ai savait un tant soit peu se maîtriser, même si d'habitude elle s'en fiche, là, un cadeau reste un cadeau et autant ne pas l'abimer de suite.
Mais la voir paniquer face à son imagination, c'était mignon. Ai aurait bien aimé voir ce qu'elle avait dans la tête à ce moment, ce qui lui faisait tant peur? Elle l'avait pourtant sucé sans vraiment de problème dans le parc et là, passer à l'acte était trop paniquant pour elle? Eh bien alors? Qu'est-ce qu'il la tourmentait donc? Impossible de savoir mais face à sa question, la jeune futa gloussait en se redressant pour mieux se montrer imposante face à Shii malgré sa taille.
« Ça, c'est une surprise puisque cela a l'air de te rendre toute chose... »
La vérité c'est qu'elle ne saurait dire ce qu'elle avait envie de lui faire. Des tas de choses, oui, de tous genres mais avec le fait qu'elle était sur le point d'exploser, elle ne savait pas par où commencer. Ai fini par se redresser sur ses genoux en tirant Shii par l'une de ses mains pour l'inviter à en faire de même. Elle la faisait s'asseoir sur le rebord du lit avant de prendre une grande respiration pour se calmer car quand on voit son pénis aussi droit et imperturbable, on sent bien qu'un rien pourrait faire sauter cette bombe a foutre. Ai se retournait pour doucement s'asseoir sur les cuisses de Shii, collant son dos contre son corps en posant sa tête sur une de ses épaules, l'observant, la tête cambrer en arrière. Elle leva ses mains pour les passer dans ses cheveux en se dandinant légèrement sur elle.
« Pour qu'on s'amuse pleinement toutes les deux, soit un amour et viens me branler. Shii-chan, je veux sentir tes mains me libérer de cette trop grosse pression, après ça, promis, je savourerais vraiment mon cadeau... »
Mais pour le moment, ça va faire mal! Shii n'aura pas besoin de la masturber longtemps, Ai va vite envoyer la sauce et ensuite, elles vont batifoler comme des petites folles! N'oublions pas que la petite futa à laisser une carte joker à sa copine et que, quand bon lui semble, elle fera ce qu'elle voudra d'Ai. Une seule fois mais c'était déjà bien. Si elle veut réaliser un fantasme en sa compagnie, pourquoi pas. Écartant les jambes sur elle, elle lui offrait même son vagin, si elle préférait la faire jouir sans la masturber, c'est son choix après tout. Ai gardait la même tenue que depuis son arrivée mais qui sait, elle pourrait en retirer certains morceaux le temps de s'amuser? Ou non? Quoi qu'il en soit, elle fixait Shii, attendant qu'elle passe à l'action, ses lèvres étaient maintenant sous ses dents alors qu'elle approchait petit à petit son visage pour un petit baiser en plus.
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Mélinda manquait de rire devant cette cocasse situation. Ai avait une furieuse envie de jouir, mais elle ne voulait pas gaspiller son cadeau en jouissant prématurément. Shii avait toujours été un véritable appel au viol, avec sa timidité, ses formes délicieuses, et cette allure corporelle de parfaite soumise qu’elle se coltinait toujours. Elle était une femme que Mélinda appréciait beaucoup, non seulement parce qu’elle était très intelligente, très douce, mais aussi parce que sa douceur abritait une dose de perversion insoupçonnable, une dose qui ne demandait qu’à se libérer… Et qui de mieux qu’Ai, véritable perverse en puissance, assumant totalement sa perversion et sa lubricité, pour réussir ce tour de force ? La pauvre Shii était déboussolée, et rougit encore plus en voyant Ai se redresser devant elle, sa verge à hauteur de son visage. Sa queue avait l’air… Sur le point d’exploser. Shii rougit encore plus en ayant ce genre de pensées, prenant conscience que, à force de sucer la verge de sa Maîtresse, ou d’autres Futas ou d’hommes, elle finissait par devenir une spécialiste. Ce sexe était tendu, prêt à craquer, prêt à exploser sur son visage. C’était un spectacle magnifique à voir, et Shii avait encore plus honte de ressentir du désir en voyant une chose aussi sale. C’était un spectacle honteux, déshonorant… Mais Ai était magnifique, que ce soit avec ce petit air de poupée sur son visage, ses longs cheveux verts, ou sa tenue en dentelle. Shii craquait devant ce corset, devant cette guêpière, ces jarretelles… Quand on servait Mélinda, on avait tendance à finir par s’approprier les goûts de la vampire, à savoir son fort fétichisme… Et sa passion pour la sodomie. C’était le cas pour Shii, et ce même si la jeune femme se refusait à l’admettre. Maîtresse l’avait corrompu, l’avait fait sombrer dans la lubricité, et, le moins qu’on puisse dire, c’est que Shii adorait ça !
Après quelques hésitations, Ai retourna s’asseoir sur elle, lui offrant la vue de son dos, et lui expliqua ce qu’elle attendait de la jeune femme. Qu’elle… Qu’elle la masturbe ! Shii rougit, tout en sentant ses seins s’enfoncer dans le tendre dos de la femme. Ses mains se déplacèrent lentement, et elle attrapa ce monceau de chair entre ses doigts, soupirant faiblement, se mordillant les lèvres.
« Très… Très bien… » finit-elle par dire.
Sa main gauche remua le long de ce vit, le pressant. Elle avait déjà masturbé plusieurs queues, et savait donc, théoriquement, comment y faire… Mais la jeune femme était tellement gênée qu’elle tremblait un peu. C’était… C’était tellement sale, de branler ce chibre, d’entendre des mots si crus sortir d’une si belle bouche… Ohlàlà, mais où diable avait-elle donc débarqué ? Shii était toute confuse, toute gênée, toute rouge de honte. Sa main continuait donc à glisser sur la queue de la femme, d’avant en arrière, remuant le long de cette peau replète. La peau d’un phallus l’impressionnerait toujours, mélange de dureté et de douceur. Elle serrait cette queue, sentant quelque chose de dur sous une couche molle et pliable. La peau d’Ai glissait le long de la sienne, découvrant l’extrémité de sa verge.
Avec son autre main, Shii caressait la base de cette verge, soupirant faiblement, en sentant ses mains devenir moites au contact de ce sexe tendu et assoiffé. Elle continuait à le branler, calmement, tendrement, allant toutefois de plus en plus vite, et, au bout de quelques minutes, à peine, Ai se mit à jouir généreusement. Sa queue tressauta entre les mains de Shii, qui se mordilla les lèvres en voyant le sperme jaillir droit devant Ai, venant asperger le mur en face du lit, éclaboussant ce dernier. Shii la branla alors plus énergiquement, remuant rapidement sa main, tout en soulevant son autre main pour masser le sein d’Ai, venant pincer son téton à travers le bonnet de son corset.
Sa partenaire éjacula généreusement, et, après plusieurs myriades de secondes, le mur se retrouva décoré d’une belle tâche de sperme blanchâtre et collante.
« Et bien… »
La verge tendue d’Ai, qui avait dû lui faire sacrément mal, venait de légèrement décroître entre les mains de Shii, et elle rougit en voyant cette masse épaisse de sperme. Pour un petit calibre, elle en balançait beaucoup !
« Tu… Euh… Tu te sens mieux, Ai-chan ? »
Shii était toujours aussi gênée… Et également excitée. Ce n’était en effet pas de l’eau qui coulait entre ses cuisses.
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Mélinda pouvait bien garder un œil sur ce qui se passait, ça ne gênait absolument pas Ai qui adorait partager sa passion avec les autres en les faisant participer comme simplement observer. Elle ne se préoccupait que de Shii pour le moment, dès qu'elle se concentre sur le sexe, y a peu de chances qu'elle fasse attention à ce qui se passe autour d'elle avant d'avoir joui. Et vue à quel point elle s'était retenue, Mélinda pourrait rien faire pour la faire sortir de sa bulle à moins de préparer une orgie autour d'elles, elle fait autant attention à Mélinda qu'au nombre bougie dans cette chambre. Assise sur les douces cuisses de sa nouvelle copine, elle passait ses mains derrière sa tête pour caresser ceux de Shii qui la masturbait doucement. Owh, même aussi simplement et aussi doucement, c'était un véritable bonheur que voilà! Elle s'était tellement retenue que cela allait devenir son nouveau record d'endurance. C'était pire que que ne pas se masturber même une seule fois à l'école. Ça lui arrivait parfois de s'abstenir une journée d'école pour mieux s'amuser chez elle ou au club mais là... Rho, elle ne tiendra pas longtemps.
Ai posa sa tête sur l'épaule de Shii, laissant ses doigts se perdent dans ses cheveux, sa respiration réchauffait la joue de son amie, même besoin de hurler et entre deux gémissements, elle en profitait pour lancer à Shii ce langage si cru et pourtant dans les bonnes conditions, si excitant. Drôle de phénomène mais Ai n'était pas là pour ce genre de choses. Elle gémissait et soupirait de plaisir entre ses doigts experts. Elle se dandinait un peu sur ses cuisses, venant parfois lui baiser la joue en fermant les yeux sous ce plaisir immense.
« Oh ouais c'est ça... branle-moi ma Shii-chan.... fais-moi jouir... plus vite han... Plus Vite! »
Quand l'orgasme venait, elle se cambra sur elle en criant son ode au plaisir, laissant Shii lui vider son pénis de tant sperme qui coulait à flots, telle une lance à incendie. Une chance que ce mur soit anodin, s'il y aurait eu une œuvre d'art hors de prix, Ai l'aurait remplacé par autre chose. Oh bon dieu oui, elle se sentait tellement mieux! Elle se retourna de façon à face à Shii, venant l'allonger de force sur elle pour l'embrasser tendrement, une façon de dire « oui » surement? Ce baiser de remerciement dura une bonne minute sans que la petite futa ne frotte son engin sur son amie. Quand elle rompis le baiser, elle se redressait un peu en l'observait avec son léger petit sourire en coin.
« Allez ma gentille Shii-chan, faut me la nettoyer maintenant. Et moi... je vais te renvoyer la pareille. »
Elle lui fit un clin d'oeil avant de changer de position pour se mettre à l'envers, elle faisait face à l'entrejambe de Shii qui elle, faisait face avec une chose qu'elle connaissait bien. Ai laissait ses jambes céder pour mieux enfoncer sa tige dans la bouche de Shii alors qu'elle venait lécher la combinaison de sa copine, léchant cette zone si appétissante et inaccessible. Moui, elle était sexy dans cette combinaison mais vu que son maillot descend au niveau des cuisses, elle aura du mal à la pénétrer sans trouer... Tant pis, pour le moment, elle fait avec! Sentant sous l'effet de sa langue, son petit bonbon rose se dessiner, elle le mordillait doucement avec ses dents avant de le sucer ou le lécher, alternant un peu avec tout ce qu'elle savait faire d'habitude. Bientôt, elle allait vraiment la pénétrer mais pour le moment, autant laisser faire ce genre de petites choses si amusantes. Elle voulait l'entendre gémir, lui dire de continuer? D'arrêter? De faire bien pire? Elle était tellement impatiente de pousser le jeu plus loin!
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Branler Ai… La jeune femme employait des mots tellement crus que Shii ne pouvait s’empêcher de rougir furieusement. Toute gênée, sa main continuait à s’activer sur la queue de la femme. Elle était dure, tendue, et Ai s’était lovée contre elle… Jusqu’à ce que l’orgasme vienne. Puissant, violent, Shii n’y avait pas été de main morte, et elle observait son œuvre… Tout un mur était Sali, traversé par de grosses flaques de sperme qui commençaient à dégouliner. Rouge, Shii regardait timidement sa Maîtresse. Bras croisés, Mélinda souriait, visiblement plus amusée par ce spectacle que réellement choquée. La vampire décroisa lentement les bras, se déplaçant un peu, et Ai se retourna alors, venant plaquer la pauvre Shii contre le lit.
Fermant les yeux, la Japonaise accueillit les lèvres d’Ai, tendant sa propre main pour caresser la chevelure de la jeune femme. Ai avait de beaux cheveux verts, soyeux et délicieux, et Shii s’amusait à les frotter, ses doigts glissant dessus. Ai s’était étalée sur elle, son sexe frottant contre le lit. Jambes bien écartées, Shii, yeux clos, gémissait et soupirait, ses douces lèvres se frottant à celles d’Ai. Aussi perverse soit-elle, la membre du Futabu Club se débrouillait bien avec les baisers, s’évertuant à le lui prouver. Ce baiser était comme un entracte, mais Shii n’ignorait pas pourquoi sa Maîtresse l’avait amené ici. Elle n’était rien de plus qu’un sac de viande destinée à nourrir l’appétit sexuel débridé de son amante. Shii était belle, timide, mais elle n’était pas idiote. Elle savait que sa nervosité naturelle faisait d’elle une femme encore plus appétissante pour des perverses comme sa Maîtresse ou comme Ai. Shii n’était jamais spécialement d’accord pour ce genre de choses, mais son corps, à chaque fois, la trahissait… Et, de fait, malgré toute la peur que lui inspirait le sexe, elle savait aussi que c’était grâce à sa Maîtresse que Shii avait réussi à sortir de sa dépression. Sa Maîtresse l’avait aidé, et le rôle de Shii, maintenant, était de la servir fidèlement, sans jamais se poser de questions, et sans jamais contester son autorité. Sa Maîtresse était une femme ambivalente, cruelle, perverse, mais aussi infiniment douce et généreuse. Oui, Shii pensait que, malgré sa sournoiserie et sa perversion, Mélinda l’aimait. Et ce simple fait suffisait à tolérer et à accepter tout ce qu’on lui faisait subir… Même la mettre en swinsuit mouillée devant une perverse sexuelle qui l’avait coincé dans son casier après s’être masturbée sur sa culotte.
Ai finit par la repousser, et par agir. Elle ne pourrait que se plaire ici, le manoir de Mélinda était un paradis pour pervers. Un immense baisodrome dans lequel, sans qu’on ne comprenne trop comment, un semblant d’ordre et de propreté régnait. Shii comprit ce qu’Ai avait en tête, et déglutit en la voyant se positionner au-dessus d’elle, sa tête filant vers ses cuisses.
« Humm… »
Sa main se souleva pour attraper la verge d’Ai. Elle venait de jouir, mais son vit était toujours aussi tendu, sa bite toujours aussi impatiente de se planter en elle. Entrouvrant les lèvres, Shii accueillit cette verge en elle, et gémit de plaisir. Elle retira sa main du sexe de la femme, et choisit de la poser sur ses fesses, les joues toujours aussi rouges. Cette position était sale, indécente… Dans l’état où Shii était, et après avoir été la chienne de sa Maîtresse pendant des heures, elle s’étonnait encore d’arriver à rougir de tout cela. Comme quoi, on ne pouvait jamais totalement vous changer… Shii ne deviendrait jamais une perverse intégrale. Il y aurait toujours, en elle, ce substrat de douceur et d’innocence.
Elle gémissait en sentant la langue d’Ai glisser sur son intimité, à travers son maillot de bain. Elle gémissait aussi en sentant cette belle queue s’enfoncer dans sa bouche, formant comme un puits de pétrole qui ramonerait le gouffre. Ses mains étaient posées sur les fesses de la femme, glissant dessus, les caressant, les titillant. Elle s’appuyait sur sa culotte, serrant cette surface tendre et chaude. Elle aimait bien les belles fesses bien rondes et bien tendres, ce qui était probablement une conséquence du fait d’être l’esclave de Mélinda Warren. Comme Mélinda aimait à le penser, ses fantasmes rejaillissaient souvent sur ceux de ses esclaves, ce qui n’était nullement pour la déranger.
La vampire s’avança un peu, observant cette scène avec attention. Shii suçait la queue d’Ai, la léchant avec sa langue, yeux clos, son corps aplati sous le sien, et Ai s’activait à justifier son penchant pour le fétichisme. Mélinda s’assit sur le rebord du lit, et sa main vint caresser les cheveux verdâtres d’Ai, glissant dessus, empoignant plusieurs mèches de cheveux, un sourire évasif planté sur ses tendres lèvres.
« Quel spectacle fascinant… Vous êtes vraiment très mignonnes, toutes les deux ! »
Oh que oui !
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Cet endroit était son petit paradis ! Entre toutes ses belles jeunes femmes qui demandaient qu'à baiser et Ai qui était reçu comme une véritable reine, elle avait mieux que gagner au loto ! Elle était sûre que même en plaquant Shii pour X raison maintenant, il y aura au moins trois amies de Mélinda prête à assouvir ses fantasmes. Oh, elle ne voulait pas lâcher Shii de suite, ça, non. Mais l'idée de savoir que tant de personnes veulent coucher avec elle, c'était aussi rassurant qu’existant. De son côté, sous les yeux de Mélinda, Ai se faisait plaisir en léchant ses jolies lèvres mouler par la délicieuse tenue de Shii. Certaines personnes aimaient faire l'amour en tenue d'Eve, Ai préférait de loin avoir quelque chose sur elle qui rendait la chose plus sexy encore et ici, elle sera servie, aucun doute à ce sujet. Elle s'appliquait à son travail mais elle n'était pas la seule, Shii en faisait de même avec sa queue dans sa bouche, diantre, que sa langue était délicieuse ! C’était pousser ça un peu loin, mais elle imaginait bien cette langue faire les mêmes mouvements sur son pénis, dans sa tête. Bah oui quoi, un peu comme dans un porno ou un hentai, voyant bien l'intérieur de sa bouche se mouvoir sur sa queue, c'était le pied, total !
Mélinda venait même à leurs côtés, caresser ses cheveux mais comme toujours, quand Ai faisait l'amour ou même en était simplement spectatrice, elle était dans sa bulle et rien ne comptait autour d'elle. Si elle ne l'avait ni toucher, ni parler, elle n'aurait fait attention à Mélinda autant qu'à une de ces bougies dans la chambre. Elle retirait sa langue de ce tissu un petit instant en levant les yeux sur Mélinda, la petite futa était si docile en compagnie de Mélinda qui lui offrait tant de choses merveilleuses.
« Haa, merci, Maî.... tresse.... Shii-chan suce si bien... »
Prononçant ses derniers mots, elle remuait un peu son bassin en s'enfonçant surtout un peu plus dans sa bouche. Une chance qu'elle ne soit pas de ses futas à la queue aussi grande qu'un bras, même si ce n'était pas rien, elle devait faire partie des plus petites en taille parmi toutes les futas du lycée et même de ce manoir des plaisirs. Elle adorait la façon dont Shii lui caressait les fesses et Ai tentait d'en faire de même, glissant ses mains sous ses fesses, caressant autant qu'elle pressait ses deux beaux fruits. Oh, il faudra penser à l'en remercier en glissant sa queue sous cette combinaison mais autant elle était foutrement sexy dedans, autant elle n'avait pas choisi le meilleur modèle. Vu que cela s'étendait aux cuisses, c'était compliquer de la prendre sans trouer cette délicieuse combinaison de piscine. Autant avec les classiques uniformes scolaires, il est possible d'écarter un peu la tenue pour se frayer un passage mais ici, c'était quand même bien compliqué pour l'une comme pour l'autre.
« Houuuu ouais Shii-chan.... Suce bien et je te, haaa, gâterais pour ta petite récompense... »
Naturellement, elle savait à quoi s'attendre avec Ai, une grosse récompense en liquide, comme toujours. Ouais, mais qui irait dire non à une belle douche de sperme ? Tiens, ce sera un jeu à faire ça, avoir plein de fille sous sa ceinture qui l'excite et après, elle arrose tout le monde. Celle qui est le plus marquée aura gagné ! Gagnée quoi, elle en sait rien mais ça fera un bon jeu ! À voir si ce n'est pas marqué sur sa liste car oui, elle avait vraiment une liste de fantasme. Quand on a deux ou trois idées et envies, pas besoin de liste mais quand chaque jour on trouve plusieurs idées à mettre en place, faut pas hésiter. Tiens, elle donnera sa liste à Maman Noël Mélinda voir si elle pourra lui ramener plusieurs cadeaux. Replongeant la tête entre ses jambes, venant lécher ses lèvres et mordiller ce petit bouton d'amour qu'elle adorait tant. Mordant doucement cette toute petite bosse, la faisant glisser entre ses dents, c'était aussi bon pour elle que pour Ai. La jeune futa était très vorace, venant sucer ses lèvres intimes, les mordiller, elle ne savait jamais sur quel pied danser. Mais une fois était sûr, elle sentait la moutarde lui monter au nez et Shii allait avoir une onctueuse surprise dans trois, deux, un...
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Allongée sur le corps de Shii, Ai semblait aux anges. Mélinda, elle, s’amusait beaucoup, et triturait les cheveux d’Ai, caressant ensuite le haut de son dos, avant de se pencher pour l’embrasser dans le creux de la nuque. La vampire aimait beaucoup cette femme. Sincèrement. Ai Aihara était une petite perverse, une délicieuse Futanari, qui aurait fait merveille dans son harem. Le pire, c’était que Mélinda était convaincue qu’Ai accepterait de travailler à son harem. Dédier sa vie au sexe, voilà qui semblait être le plus doux et le plus intensif des rêves. Elles vivrait dans un environnement entièrement tourné vers le sexe et la luxure, vers le beau sexe... Pas un sexe sauvage et forcé où elle serait entourée de femmes malheureuses forcées de vendre leurs corps, mais entourée de jeunes femmes heureuses, travailleuses, motivées, et amoureuses... On atteignait pas facilement une telle existence, un tel niveau de vie, une telle utopie. Le harem de Mélinda était comme une microsociété où l’objectif final était, outre la sécurité de ses résidents, leur épanouissement personnel. Shii en était un bon exemple. La brave timide, allongée sous le corps d’Ai, savourait cette Futanari. Elle aimait les femmes membrées et les femmes autoritaires.
Se déplaçant un peu, Mélinda continua à jouer avec le corps d’Ai, l’embrassant dans le creux du dos, tirant sur sa fine et élégante tenue, avant de rejoindre, à son tour, ses fesses. Le bassin d’Ai remuait de haut en bas, sa queue pilonnant la bouche de Shii, qui se contentait de gémir, de couiner, et de mouiller. Sa cyprine se répandait sur la bouche d’Ai, sur ses cuisses, et sur le lit. La vampire, quant à elle, atteignit donc le beau petit cul d’Ai, et se glissa derrière, venant lécher sa croupe, ses mains rejoignant celles de Shii. Elle les vit sursauter quand Mélinda les posa dessus, ce qui amena la vampire à se pencher vers elle, et à l’embrasser sur le sommet du crâne.
« Sois une gentille fille, Shii, et écarte les fesses de cette traînée pour moi...
- Hmmm... »
Shii obéit, et ses pouces se rapprochèrent de la croupe d’Ai. C’était une fétichiste, cette femme, et Mélinda ne comptait pas la déshabiller plus. Elle savait qu’il était bien plus fréquent que ce qu’on pensait de voir des personnes aimant faire l’amour à d’autres tout en restant dans leurs vêtements. Mélinda en faisait partie, aimant autant faire l’amour toute nue qu’en étant habillée. Elle ne serait pas la responsable d’un harem de luxe si ses goûts sexuels n’étaient pas aussi vaste et diversifiés. Elle lécha donc la croupe de la femme, filant dans cette raie tendre et chaude, atteignant rapidement sa rondelle, cette petite porte arrière, qu’elle lécha en soupirant, ses mains s’appuyant sur les hanches d’Ai. Elle continuait à lécher ça.
De son côté, Shii était totalement comblée. Elle léchait cette grosse queue, comme une sorte de grosse sucette, ses yeux obstrués par le corps d’Ai et par la tête de sa Maîtresse, dont les cheveux tombaient en cascade sur sa tête. Contrairement à ce qu’Ai pouvait passer, il ne serait pas très difficile d’accéder à son fondement. Il fallait juste remonter un peu son maillot de bain. Mélinda lui avait justement ordonné de mettre une tenue facilement extensible, et il était fréquent que des femmes prennent Shii en levrette après un séjour dans la piscine, ou encore dans la piscine elle-même, contre le mur, en lui défonçant son beau petit cul. Shii avait vécu tellement de choses dans son manoir... Elle aurait pu prétendre en être gênée, mais, quand on se retrouvait allongée sous le corps d’une perverse, avec sa queue qui s’enfonçait dans votre gorge, on ne pouvait pas prétendre à une chasteté qu’on ne méritait pas. Shii était l’un des sacs à foutre du manoir, et elle était en train de le prouver en ce moment.
« Hunnnn... »
Ai avait un sexe dur comme de la brique. Shii soupirait en la léchant, remuant ses lèvres dessus. Les minutes passaient, et elle sentait Ai venir... Elle-même venait, car le plaisir était là, vibrant, de plus en plus fort, de plus en plus intense. Les jambes de Shii remuaient lentement le long du lit, et l’orgasme afflua. Ai se lâcha dans sa bouche, et la petite lycéenne se mit à couiner en sentant sa bouche se remplir de son foutre.
« HMMMMM !! »
Sa mouille jaillit de manière un peu plus intensive, ses jambes remuèrent, ses yeux se fermèrent, ses mains se crispèrent... Et elle goûta elle aussi aux plaisirs immenses et infinis de l’orgasme, tout son corps se relâchant en soupirant, emporté dans une tornade de plaisir.
Mélinda, quant à elle, se retira des fesses d’Ai, qu’elle avait commencé à doigter. Son index remuait dans son fondement, glissant dans sa petite porte arrière, et elle se rapprocha ensuite du visage de la jeune femme, caressant sa joue, un sourire sur le coin des lèvres. La vampire se pencha vers elle, et l’embrassa sur son autre joue, tout en murmurant dans le creux de son oreille :
« Peu importe où tu comptes la prendre, jeune femme, sache que je serais là pour explorer ton petit cul... »
Et même bien là !
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Chacun son petit coin de paradis, pour Ai, c'était le manoir et le harem de Mélinda qu'elle visitera bientôt. Si elle savait que c'était la partie visible de l'iceberg, elle tomberait sûrement dans les pommes, encore une fois. Si elle savait que ce harem avait des nekos, des inus, kitsunes, ushi, démones, anges et autres créatures aussi incroyables que sexy... elle serait capable de tout plaquer pour la suivre aveuglément. Mais bon, elle avait quand même encore la raison en poche, elle ne pouvait pas tout quitter, les cours, ses amies – en dehors du club – et surtout sa famille. L'idée d'inquiéter ses parents pendant qu'elle pars baiser ailleurs, non, un minimum de respect quand même. Mais bon, ce genre de pensé n'était pas dans sa tête actuellement, non pour le moment elle se disait combien la bouche de Shii était superbe. Cette langue le long de sa queue, cette petite bouche assoiffée, oh oui, elle se faisait plaisir avec elle !
De même que plus haut, vers sa tête à elle, ses petites lèvres étaient si délicieuses, bien caché par son maillot de bain, rendant la chose que meilleure et bien frustrant à la fois. Haa, quand les goûts se disputent la première place des envies de la futa. C'est vrai quoi, elle voyait bien grâce à ses coups de langue et sa mouille que ses lèvres et son mignon petit clitoris étaient si bien gonflés par le plaisir, si bien moulé, mieux que la 3D ! Mais si elle pourrait y glisser sa langue... elle n'hésiterait pas à aller aussi loin que possible. En plus Mélinda se joignait à la partie en se concentrant exclusivement sur ses fesses, s'il vous plaît, ça rendait les choses que meilleures ! Elle sentait ce doigt si curieux s'enfoncer dans son fondement et sincèrement, c'était encore mieux ! Logique en effet mais pas pour tout le monde. Si l'on associe cela à cette charmante langue qui passait le long de sa queue avec tant... de passion, pas étonnant qu'elle n'allait pas tarder à jouir. Avec toutes les chattes et les queues qu'elle a léché et sucer, jouir une fois, ce n'était qu'une précaution pour éviter qu'elle n'explose de l'intérieur. Face à cette joie qui venait de plus en plus, Ai était presque immobile face à ce doigt et cette langue, sa bouche était enfoncé contre cette combinaison, aspirant aussi fort qu'un aspirateur cette petite boule moulée sur le maillot de bain.
« MMMMMMHHHHHHHHHH !!!!! »
Elle aurait bien hurlé son bonheur mais elle refusait de retirer sa bouche de cette magnifique petite combinaison. Sa sauce se déversait dans la bouche de Shii qui devrait sûrement avoir du mal à tout avaler ? Mais ne sait-on jamais. Si elle voit que ça va pas, elle va bouger mais pour le moment, elle trouvait corps si confortable. Puis Shii avait joui elle aussi, sa combinaison n'en était que plus délicieuse encore. Mélinda y retirait son doigt pour venir lui murmurer des petites choses à l’oreille, des choses bien intéressantes. Le regard rêveur, elle posa sa tête sur la cuisse de Shii en observant la belle Mélinda.
« Voilà qui promet mais j'espère que ce sera plus qu'un doigt cette fois. Vous savez Maîtresse, je ressemble à une petite chatte mais j'ai des griffes et d'habitude on me fait pas ce genre d'avance si facilement... mais vous, c'est différent. Pareil pour ma Shii-chan mais ça, c'est parce qu'elle m'a amené ici. Ou plutôt sa superbe culotte. »
Y avait qu'elle pour encore fantasmer sur ce bout de tissu alors que des dizaines de filles seraient prêtes à écarter les jambes en la voyant s'approcher. Cependant, elle regrettait de pas pouvoir pénétrer Shii, cette tenue était trop serré et la remonter pour libérer un passage serait désagréable, il suffisait de voir comment son doigt ne passait pas... oh ? Mais si ! D'apparence bien collée à la peau, la matière est très souple ! Voilà une marque de maillot de bain qui n'est pas de la merde ! Ce qui veut dire que...
« Oh oh... je vais enfin pouvoir baiser ma Shii-chan. Ha non, désolé. Toi, je ne te baise pas. Je vais te faire l'amour. Elle le mérite bien ma jolie Shii-chan. »
Elle se retira doucement de sa bouche en se plaçant à genoux, devant elle, le temps de souffler un peu en s'étirant aussi pour la futa. Puis elle s'allongea sur elle, sans la pénétrer pour le moment, embrassant sa nouvelle copine en goûtant aussi sa semence. Bah quoi, quand on se coupe, on lèche sa blessure pour cautériser la plaie ou par un réflexe presque animalier, bah là... c'est pareil, non ? Que la première futa qui n'a jamais fait ça lui jette la première pierre ! Son sexe se frottait déjà aux lèvres intimes encore protéger par cette jolie combinaison sur son corps.
« Petit cadeau pour toi ma Shii-chan... tu veux que je me montre douce comme un chaton... ou tu préfères que je te prenne comme une tigresse ? »
Elle lui souriait tendrement en frottant son nez contre le sien, gloussant comme une folle alors que sa queue tressautait entre leur deux corps chauds. Après ça, promit, elle la pénètre en douceur ou sauvagement donc... surprise, surprise !
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La belle Ai était une femme magnifique, sur tous les points de vues. Mélinda avait joué avec son cul, et elle et Shii venaient mutuellement de jouir. Ai s’était ensuite relevée, tout en parlant à sa Maîtresse, et en lui disant que, si Mélinda comptait promettre de la prendre, elle allait devoir le faire. La vampire se contenta de légèrement sourire. De ce point de vue, la vampire ne se faisait pas de soucis… Elle allait la prendre, lui défoncer son adorable petit cul. Elle ne pouvait tout simplement pas les observer ainsi sans rien dire. Rester calme était très difficile, et elle était maintenant excitée, avec des vibrations traversant son corps.
« Oh, mais ne t’inquiète pas pour ça, Shii, je vais défoncer ton joli cul bien comme il faut… »
Ai lui avait dit qu’elle était une petite chatte, mais qu’elle avait aussi des griffes, et qu’il valait mieux ne pas les négliger. Mélinda s’écarta un peu, sur le rebord du lit, et laissa Ai jouera avec Shii. Cette dernière comptait maintenant la pénétrer, et frotta sa queue recouverte de sperme et de salive contre la combinaison de Shii, qui rougit et gémit quand Ai l’embrassa. La main de Shii se posa sur les cheveux verts de la femme, et elle répondit à son baiser. Sa bouche était encore partiellement pleine de foutre, qu’elle échangea donc volontairement avec la jeune lycéenne en tenue élégante. Mélinda vit que les cuisses de Shii débordaient de foutre et de mouille, et sourit. C’était une combinaison prévue pour, car on pouvait légèrement la relever pour avoir accès à son intimité. Il y avait toutefois une culotte bleue dessous, qu’on utilisait pour se baigner. La retirer ne serait pas difficile, et Ai pourrait ainsi pénétrer Shii avec sa swimsuit. Tout marcherait pour le mieux, et les deux femmes continuaient à s’embrasser, gémissant et soupirant, formant un magnifique spectacle. Le côté fétichiste d’Ai se régalerait de pouvoir coucher avec cette femme dans son maillot de bain.
Rompant le baiser, Ai Aihara demanda alors à Shii comment cette dernière voulait se faire prendre. Les joues rouges, la jeune femme cligna des yeux. Elle se mordilla les lèvres, peinant à parler. Elle était furieusement excitée, mais n’avait pas l’habitude qu’on lui pose une telle question… Ou, plutôt, qu’elle y donne une réponse. Parler était difficile pour elle, et elle soupira lentement, sans rien dire, avant de gémir, sa main caressant les cheveux d’Ai. Leurs seins se frottaient, et Shii soupira à nouveau, son regard plongé dans le sien.
« J-Je… »
Se mordillant à nouveau les lèvres, la lycéenne sentait cette verge caresser ses cuisses, heurtant sa culotte. Elle respira à nouveau, remuant légèrement son corps de gauche à droite. Son autre main s’appuyait contre le lit, et elle la déplaça lentement, caressant les hanches de la femme, appréciant la douceur de sa peau, s’enfonçant un peu dans sa chair. Ai lui laissait le choix entre être tendre ou brutale, et Shii avait envie de dire qu’elle voulait être prise tendrement, avec douceur… Ai frotta alors son nez contre le sien, tendrement, avant de rire légèrement, la prenant comme une espèce de poupée, de… De (i]chienne[/i] !
« Co… Comme… Comme… Hunnn… »
Comment était-elle censée répondre à ça ?! La pauvre était complètement désorientée ! Elle se pinça à nouveau les lèvres, puis hocha la tête.
« Baise-là comme une tigresse, Ai… Shii est trop timide pour le dire, n’est-ce pas, ma belle ?
- Je… O-Oui, Maî… Maîtresse…
- Alors, dis-le, ma belle Shii… Fais parler ta belle voix, fais-nous entendre ce que tu veux… »
Shii se mordilla à nouveau les lèvres, puis hocha lentement la tête, avant de regarder Ai.
« Je… Je veux… Je veux que tu… Je veux que tu… Que tu sois une… Une b-belle tigresse… »
Elle soupira à nouveau, en se pinçant encore les lèvres. Mélinda le lui avait bien dit : Shii était toute à elle.
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Que la partie continue ! Après avoir autant servi sous la table sans pouvoir faire travailler sa queue, elle comptait bien rattraper ce retard, Shii, Mélinda ou une autre, elle comptait bien planter sa verge dans des tas de trous en venant ici. Peut-être pas ce soir, Ai était endurante mais elle n'était pas infatigable, mais tôt ou tard, il y aura un point commun entre ce manoir et les filles qui y vivent, Ai les aura toutes visitées. Pour le moment, seule Shii aura cette chance de profiter pleinement de la jeune futa mais toutes pourront jouer avec elle, elle s'en faisait la promesse ! Restant au-dessus d'elle, assez proche d'elle, elle lui avait demandé la façon dont elle voulait être prise ? Comme un petit chaton qu'on câline, comme deux amoureuses qui feraient l'amour pour la première fois en étant gentille, romantique et timide – même si ce n'était pas trop la façon de faire d'Ai – ou bien comme une tigresse, que ce soit sauvage et brutal ? Dommage, elle n'avait pas le matériel pour agir vraiment de la sorte mais cela ne l'empêchera de prendre vraiment plaisir à jouer avec elle de cette façon.
Mélinda la poussait un peu, répondant même pour elle. Enfin, si c'était vraiment sa réponse, elle n'avait rien à dire ou a rajouté. En guise de réponse, la jeune futa venait l'embrasser avec passion, se collant contre elle, allant même mordiller sa lèvre inférieure avant de rompre ce baiser.
« Ok... tu vas en prendre pour ton grade alors ! Pardon Maîtresse mais dans ces conditions, ça sera difficile de laisser libre cours à vos désirs avec mon petit cul. Mais je vous laisse volontiers réfléchir à la façon dont vous allez vous faire plaisir. »
Si elle devait jouer la tigresse, autant dire que Mélinda aura du mal à rester accroché à ses fesses pour y prendre plaisir. Dans une ambiance romantique et douce, oui, cela aurait pu être possible de faire cela à trois mais là, c'est partie remise. La jeune futa se redressait en ayant un petit sourire sadique sur les lèvres en observant la belle Shii dans sa combinaison de piscine, si ça c'est pas être excitant alors elle ne s'appelle plus Ai Aihara ! Ai venait doucement se masturber en la regardant.
« Bon, je sens qu'on va se marrer ! Oh Maîtresse, si on peut ce soir ou un autre soir, j'aimerais qu'on fasse un cercle d'amour, c'est possible ? »
Mélinda savait-elle ce que c'était ? Il faut bien dire que sans se vanter, cette idée était puisé de son imagination ou bien alors elle l'avait déjà vu quelque part sans se souvenir où ? Possible mais Ai oublier une position pareil, c'est comme demander à quelqu'un d'oublier comment on s'assoit, c'est impossible. Elle éclaira volontiers sa lanterne mais pour le moment, elle avait un délicieux pain sur la planche. Ai lui écarta les jambes doucement pour mieux observer son entrejambe avant d'y glisser un doigt pour miueux écarter cette barrière pas si infranchissable. Elle rapprocha son membre en érection près de ses lèvres intimes déjà bien trempées mais elle se stoppa à quelques millimètres d'elle en relevant son visage vers le sien.
« En plus ça va être vraiment ma première fois avec toi ? Mieux en mieux... »
Elles avaient de l'expérience toutes les deux mais pas en ça. Ai s'était masturbé dans sa culotte, elle s'était faite sucé par Shii, branler aussi et re-sucer mais pas encore la baiser. Alors quand faut y aller, on se lance ! Une de ses mains gardant l'entrée ouverte pour éviter que son maillot de bain ne vienne la protéger puis une autre sur une de ses cuisses, elle s'enfonça sans le moindre problème en elle, soupirant de joie avant de la regarder. La mignonne petite Ai avait son petit sourire sadique sur le visage en la prenant, à moitié allongée sur elle.
« Hum... tu sais que j'aime bien ta petite chatte ? Et j'ai pas fini de l'aimer encore et encore. »
La jeune futa s'allongea sur le corps de Shii, venant l'embrasser avant de la prendre de façon plus rapide et plus sauvage, de plus en plus, aussi sauvage que son baiser alors que ses petites fesses remontaient pour rapidement s'abaisser pour mieux se coller contre Shii, répétant cette même action indéfiniment. Mélinda pouvait loucher sur ses petites fesses, venir les toucher ou les sentir si elle avait envie, mais Ai ne voulait pas stopper la façon dont elle prenait Shii, pas tant qu'elle n'a pas fini ! Certes, sa Maîtresse aura tous les droits sur elle mais pour l'amour du sexe, on n'interrompe pas les gens comme ça, sans raison. Shii n'avait pas fini d'être baisée par Ai, elle savait comment procéder juste après, pourquoi pas le faire de suite après tout ? Faut bien avouer que ça manquait d'originalité. Elle se redressa en gardant ce sourire.
« Tourne-toi vers notre Maîtresse... on va continuer différemment. »
Elle attendit que Shii se tourne avant d'attraper une de ces jambes pour la lever le long de son corps, Ai s'y tenant avant de mieux s'enfoncer en elle. La jambe de Shii lever et poser contre elle, ce n'était pas une position de tout repos mais on pouvait dire qu'elle avait la chatte bien écartée pour la suite. Et ce n'était pas la jeune futa qui allait s'en plaindre, ça allait même être mieux et ce n'était qu'un début !
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Mélinda savait que ce serait intense, et c’était comme ça qu’elle le voulait. Shii était une petite timide, une jeune esclave qui peinait à avouer et à s’admettre la profondeur de ses sentiments et de ses fantasmes. Cependant, Mélinda n’était pas dupe. Elle connaissait suffisamment Shii pour savoir ce que cette dernière aimait. La vampire était souvent brutale et rapide avec elle, ample et violente, car elle savait que c’était précisément ce que Shii aimait... C’était bien pour ça qu’elle était toujours proche de Clara, une femme qui ne se gênait pas pour brutaliser Shii quand l’occasion s’en faisait sentir. Ai ne faisait clairement qu’aborder tous les délices qui étaient possibles dans cet harem. Concrètement, plus le temps passerait, et plus elle réaliserait à quel point ce qui se passait ici était magique et dantesque, dépassant de loin ses rêves les plus fous. Restant en retrait, Mélinda était toujours sur le lit, mais se refusait pour l’heure à embêter la belle Ai, qui se concentra.
Elle commença par se masturber devant Shii, faisant rougir cette dernière. Pour le coup, avec ses belles joues cramoisies et ses lunettes rondes, sans parler de sa longue tresse, elle faisait vraiment fille fragile... Comme une sorte de petite poupée qui aurait pu se briser au moindre contact. C’était exactement cette idée, et, pourtant, dans les faits, Shii était bien moins fragile que ce qu’on pouvait croire. Ai se masturba un petit peu, afin de stimuler le sang, et Shii se mordilla les lèvres, puis soupira quand Ai s’allongea sur elle... Et la pénétra d’un coup.
« Hîîîî !! »
Poussant un long soupir ténu, Shii posa une main sur les cheveux d’Ai, et la laissa remuer en elle, enfonçant sa solide queue en elle. Même si ce n’était pas une verge disproportionnée, elle la sentait quand même passer ! Mélinda, elle, continuait à les observer. Le corps d’Ai remontait d’avant en arrière, ses baisers se mélangeant à de longs soupirs langoureux, les deux femmes tournoyant l’une contre l’autre.
« Haaaaaaaaaaaaaaa... Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaannn... !! »
Le plaisir était bien au rendez-vous pour Shii, qui se laissait prendre, n’opposant pas la moindre objection. La verge d’Ai remuait en elle, encore et encore, donnant de grands coups de reins. Difficile de sodomiser Ai dans cette situation, car Mélinda ralentirait ses mouvements. Ai la violait littéralement, la baisant sauvagement en remuant d’avant en arrière, donnant de grands coups de reins, puis, peu à peu, changea les positions. Sa main souleva l’une des jambes de Shii, qui couinait et gémissait. Avec cette jambe écartée, que Shii rabattit contre celles de la femme, il était encore plus facile pour Ai de la pénétrer. Elle donnait de grands coups de reins, massifs et violents, et Mélinda, lentement, se déplaça vers les deux femmes, un sourire sur le coin des lèvres.
Sa main caressa distraitement les hanches d’Ai, puis ses fesses. La jeune femme avait parlé d’un « cercle d’amour », sans toutefois le lui expliquer. Dans sa tête, Mélinda imaginait une chaîne de Futas en train de se faire régulièrement l’amour. Elle se rapprocha des deux femmes, sans pour autant chercher à interférer, conservant dans l’esprit l’image de corps entremêlés, d’une orgie interminable, de soupirs lascifs et de gémissements onctueux.
« C’est bien, Ai... Baise-là fort, cette salope... Montre-moi de quoi les membres du Futabu sont capables...
- HAAAAA... O-Ouiiiiii, haaaaaaaaaaaaaan... Ooooooouuuuuuiiii !! »
Shii exprimait, elle aussi, tout le bonheur qu’elle ressentait. N’était-ce pas formidable ? Tous ces corps entremêlés, enlacés dans une danse sensuelle et magnifique ? Diable, Mélinda en aurait presque eu les larmes aux yeux ! Elle se mordillait les lèvres, nullement insensible à ce plaisir réciproque. D’une manière ou d’une autre, ce soir, elle allait défoncer des culs !
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Cette date sera à jamais graver au fer rouge dans l'esprit de la jeune futanari. Sa rencontre avec Mélinda, mais quelle journée ! Quel rêve ! Certes, si on prenait que le fait de s'être masturbé dans la culotte de Shii, être surprise par cette caché, caché dans un étroit casier et leur petite balade au parc, c'était une bonne journée. Mais ça ?! Quel jour saura détrôner ce jour ? C'était encore mieux que le week-end qu'elle a passé seule chez elle, une journée entière à mater du porno de plus en plus hard ou très doux et un second jour à baiser avec le futabu ! En une soirée, Mélinda avait su prendre la première place. D'un autre côté, son club n'avait pas vraiment autant de filles à proposes, aussi cochonnes que sexys, toutes avec leur petit caractère. Ai était aux anges ! Et avec Shii, ça atteignait des sommets. Gardant sa jambe contre elle, la jeune futa venait prendre son pied en s'enfonçant toujours plus brutalement et toujours plus rapidement en elle, savourant chaque seconde, chaque sensation.
S'il est de ces personnes qui en savent beaucoup sur le sexe, il y avait bien sûr Ai. Elle ne pouvait pas se vanter d'avoir eu autant de rapprort sexuel que Mélinda, avec autant de partenaires, son tableau de chasse se limitait au futabu et à celles qui connaissait l'existence du club en général. Mais à force de mater bon nombre de vidéo sur le net, de se renseigner ici et là sur le plaisir, elle savait des choses qui tenaient parfois sur des rumeurs mais elle le retenait. Le plaisir sexuel était une chose des plus importante pour la jeune futa et elle fera tout pour offrir ce plaisir à ses partenaires. Parfois avec des choses qu'elles connaissaient plus ou moins, parfois de l'inédit, parfois des choses étranges... mais pas désagréable. Shii étant une des partenaires de Mélinda, elle avait déjà dû essayer ce genre de choses mais tant pis, elle se lançait aussi dedans, même si entre guilletemet, c'était une première pour elel aussi. Approchant son visage de sa jambe, elle léchait son mollet, remontant vers son pied. L'art d'utiliser sa langue. C'était un plaisir qui pouvait se faire sentir autrement qu'en léchant les parties intimes. Eh oui, ce sont des choses à savoir mine de rien.
Ai se mettait à doucement lécher son pied, ne perdant pas le rythme de ses va et viens alors que Mélinda se rapprochait d'elle, caressant les hanches et les fesses de sa nouvelle amie, tout en susurrant des mots doux au petit couple en plein ébats.
« Haaaa, t'aime çaaaaa, hein ! Hoouuuuuu ma... ma Shii-chan... c'est une très belle... salope, hmmmm ! »
Mais le petit lapin qu'était Ai se calmait un peu, relâchant cette position pour laisser Shii reprendre sa position habituelle, venant même stopper de son côté ses mouvements si rapides. Mais vue son sourire, elle ne déclarait pas forfait. Toujours en elle mais immobile, elle se laissait tomber sur elle, ses mains la maintenant au-dessus d'elle, ses cheveux tombant près de son visage.
« Là, je vais tout donner ! »
Se redressant, elle posa ses mains sur ses hanches, bien agrippées dessus avant de se reculer un peu pour mieux la pénétrer d'un coup très rapide, très sec, avant de renouveler l'opération plusieurs fois. Ce n'était plus la rapidité mais la force cette fois. La peau claquait sur la peau, Ai s'y mettait vraiment ! Et même si elle était moins rapide, elle commençait à trouver son rythme néanmoins. Mordant sa lèvre inférieure, elle s'en donnait à cœur joie, venant enfoncer son membre aussi loin que possible que elle, donnant tout ce qu'elle avait, elle n'allait pas tarder à tout donner. Vu combien de temps elle s'était retenue sous la table, il ne faut pas croire qu'en une seule fois, c'était suffisant pour refixer sa limite. Mais après ça, elle devrais pouvoir tenir le coup un peu plus longtemps... Puis pour sa défense, elle baisait Shii... Elle avait bon nombre de points qui faisait d'elle qu'elle était plus que désirable !
« Oh ouaiiiis ! Accepte... Accepte tout, ma belle ! »
D'ici quelques instants, elle connaissait un ventre qui allait grossir sous le raz-de-marée de foutre qui arrivait !
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Ai était une femme surprenante, et, en le disant, Mélinda ne pensait pas à mal. Ce petit bout de femme se révélait particulièrement énergique et endurante, conformément à l’impression que Mélinda avait eu du Futabu Club, ce qui faisait que, maintenant, Mélinda se voyait bien invitée chez elle tout le reste du troupeau... Pourquoi pas lors d’une grosse orgie commune ? En tant que membre du Futab u, et trésorière de ce dernier, elle pouvait certainement organiser des activités, avec le témoignage d’Ai à l’appui... Belle petite Ai. Si jamais elle redoutait le chômage, elle était maintenant assurée de pouvoir trouver un boulot dans le harem de Mélinda. Elle ne l’avait pas encore vu, mais Mélinda savait, par avance, que son harem ne pourrait que lui plaire. Elle lui palpait tendrement les fesses, tandis qu’Ai léchait les pieds d’une Shii rougissante et nerveuse, qui couinait et haletait, léchant également les beaux pieds d’Ai, suivant, en ce sens, les envies fétichistes de la vampire. Ai remuait en elle, et elle finit par se redresser au bout de quelques instants, sa verge dressée, quittant dans des bruits d’éclaboussure l’intimité de Shii. Les joues rouges, cette dernière subissait les assauts fougueux d’Ai Aihara, et la lycéenne se positionna ensuite face à elle, debout, prête pour l’ultime mouvement.
Ne disant toujours rien, Mélinda se coucha sur le flanc, juste à côté de la belle Shii, et caressa tendrement son ventre. Elle voulait sentir l’orgasme d’Ai, sentir le sperme remplir le petit ventre de Shii, sentir ce dernier enfler contre son doigt, comme si ce foutre était une sorte de matière vivante qui ne demanderait qu’à éclore en elle.
« Haaa... Haaannn... »
Brave et belle Shii ! Ai donnait maintenant de solides coups de reins en elle, soulevant pour cela son corps... Et Shii n’avait rien à faire d’autre que de savourer, ses mains caressant aussi bien sa Maîtresse qu’Ai, ses lunettes rebondissant sur son nez, sur sa belle petite tête toute rouge. Il était surtout très important, avec Shii, de ne pas lui ôter ses lunettes. Mine de rien, c’était ce qui faisait sa principale beauté.
« Allez, Shii... Laisse-toi aller, ma petite catin... Vas-y, ma petite pute... »
Shii eut rapidement son orgasme, se tortillant, couinant, hurlant, se tortillant sur le lit, et, suivant cet orgasme, Ai se vida à son tour. Mélinda sentait le sang des deux femmes, comme une sorte de magnifique symphonie, en train de battre joyeusement dans leurs veines, et elle sut ainsi quand, précisément, Ai allait jouir... Son foutre éclata longuement dans le corps de Shii, balançant de longs filaments. Se pinçant les lèvres, la vampire sentit tout ce foutre jaillir contre ses mains. De multiples giclées de foutre, rythmées par de petits cris, des soupirs, des couinements et des gémissements... Puis le ventre de Shii se mit à enfler, grossissant, enflant, enflant, enflant encore, au fur et à mesure qu’elle se retrouvait avec du foutre en elle. C’était comme si Ai venait de se transformer en usine à foutre, conformément à tout ce que Mélinda savait sur le Futabu. Leurs jouissances étaient phénoménales, comme si une bombe de foutre venait d’exploser. En seulement quelques secondes, Shii se retrouva avec un ventre gonflé, comme si elle était devenue enceinte, crachant sa salive, les yeux écarquillés.
« Ooooohhh... Et bien, Ai, voilà ce que j’appelle un orgasme. Tu as bien rempli cette petite salope !! »
Mélinda se redressa, et embrassa la belle Ai sur les lèvres, après lui avoir laissé tout le temps de jouir en elle.
« Haaa... Haaaa... »
Shii gémissait et soupirait, papillonnant des yeux, sans rien dire, la respiration lourde et saccadée. Supporter tout ce foutre en elle, ce n’était pas simple !
« Je t’interdis d’uriner rapidement, Shii... J’aime bien l’idée de te voir comme ça... Ça me donne encore plus envie d ete marier rapidement à un riche homme d’affaires japonais qui pourra t’engrosser... Je te baiserais quand tu seras enceinte de neuf mois, et que lui sera au boulot...
- Hîîîîî... Haaaaa... Maî... Maîtresse... »
Oui, Mélinda avait des fantasmes bien pervers, parfois.
C’était sa marque de fabrique, après tout.
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Ce n'était pas sa première fois aujourd'hui, elle avait joui il n'y a pas si longtemps après tout mais à chaque fois, c'était merveilleux ! Ai ne se lassait jamais de cette sensation, sentir le flot de semence sortir et couvrir ou remplir sa partenaire, n'y avait-il rien de mieux ? Surtout quand les cris de jouissance l'entouraient. Fermant les yeux en se laissant aller, elle savourait chacune des sensations autour d'elle. L'odeur de sexe et de transpiration, la sensation entre ses jambes, cette peau qu'elle caressait, Mélinda qui approcha en la caressant, l'embrassant. Elle reprenait son souffle comme elle pouvait en se retirant d'elle. À chaque fois, c'était pareil, la jeune futa était dans sa bulle rose, complètement droguer par la sensation magique qu'elle venait de ressentir. Avec plaisir, elle observait la fente intime de Shii, observant ce liquide blanchâtre qui était le sien couler doucement en dehors de ses lèvres alors que Mélinda évoquait ses fantasmes bien pervers.
« Meuh non Maîtresse. Faut pas la marier à ce genre de personne... Il ne saura pas quoi en faire, ça serait donner de la confiture aux cochons ! »
Il devait bien y avoir un compromis mais Ai n'y pensait pas vraiment, elle observait simplement ce ventre rond en rejoignant Mélinda sur cette idée. Elle défiait n'importe quelle fille d'avoir un fantasme qui ne figurait pas sur la longue liste de ceux qu'elle rêvait d'avoir au moins une fois dans sa vie.
« Mais lui faire l'amour comme ça, je vous comprends, ça doit être super excitant... Sa poitrine gonflée, ce ventre bien rond et doux, le fait qu'elle soit épuisée et doucement frustrée sexuellement par une absence de sexe... »
Le sourire pervers sur son visage en observant ce ventre voulait tout dire, elle s'imaginait bien dans sa tête la situation. Mais en réalité, la vérité était différente, elle n'oserait pas, de peur d'arroser ou de noyer le bébé vu sa quantité de foutre. Elle exagère en conséquence mais elle n'irait pas essayer de peur que le pire arrive. Faire l'amour à une femme enceinte, oui, risquer quelque chose pour le bébé, ça non. Restant assise sur ses fesses, à reprendre son souffle, elle n'avait aucune gêne à laisser ses jambes écarté face à son pénis qui n'avait qu'une demi-molle face aux propos évoqués. Elle préférait laisser le temps de se reposer un peu pour tout le monde mais pas question de changer de sujet, Ai observait Mélinda et Shii, elles étaient si belles, avant de poser sa question.
« Dites Maîtresse, c'est quoi votre plus grand fantasme ? »
Une bonne question quand on sait qu'elle a un harem rien qu'à elle. Si ça se trouve, c'est un truc sur la liste de la jeune futa ? Ou alors aussi somptueux et grand qu'elle n'a jamais imaginé ce genre de choses ? Elle était assez impatiente de savoir ce qu'elle allait répondre ? Et après, c'est reparti pour un tour ! Même si elle ne serait pas contre un peu d'eau... Elle devrait demander à Mélinda ? Ça ferait venir une soubrette en petite tenue qui risque de tenter Ai ou non ? Car si c'est le cas c'est aussi bien que... mauvais. Bah oui, elle commençait à peine à jouer avec Shii même si elle ne comptait pas quitter cette chambre avant de l'avoir comblé. Peut-être est-ce déjà le cas ? Peut-être passera-t-elle la soirée dans cette chambre ? Peut-être pas. Elle n'avait pas fini de trainer dans ce somptueux manoir, c'est une évidence !
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Son petit ventre était maintenant bien rempli, et Shii, toute rouge, avait du mal à parler, ainsi qu’à respirer. Elle clignait des yeux, haletant et gémissant, frissonnant au contact de Mélinda sur son ventre. Ce n’était pas la première fois qu’elle se retrouvait avec l’estomac plein à craquer de foutre, et le pire venait d’après... Quand sa vessie la démangeait, et qu’elle balançait tout ce surplus, formant d’épaisses flaques sur le sol, lorsque sa Maîtresse lui interdisait de se rendre aux toilettes. Pour l’heure, Shii se retenait, et Mélinda, elle, caressait son ventre, tout en discutant avec Ai.
« Oh, mais, au contraire, Ai... Imagine donc notre belle Shii, mariée, avec un homme qui la besognera une fois tous les deux jours... Elle se fera chier au lit, et nous, nous pourrons la prendre dans toutes les positions... Nous pourrons même droguer son mari et la prendre juste à côté de lui, pendant qu’il ronflera comme un gros porc... »
Un sourire malicieux sur les lèvres, Mélinda était déjà en train de s’y croire. Shii, elle, n’osait rien dire. Si sa Maîtresse comptait la marier, que pourrait-elle faire ? Elle avait depuis longtemps admis être son esclave, et, en conséquence de cause, faire exactement tout ce que sa Maîtresse voudrait. Alors, si la vampire comptait la marier, Shii ne pourrait que s’exécuter. Cependant, elle était encore une lycéenne, et parler de mariage était déjà très avancé pour elle. De plus, son ventre lui faisait mal, et ce d’autant plus que, pour la provoquer, Mélinda s’amusait parfois à appuyer dessus. Elle continuait à le caresser, et embrassa la belle Shii sur les lèvres. Dans sa tête, elle revoyait toujours tout ce qu’elle pourrait faire subir à la Shii mariée, et probablement enceinte. Tous ses bébés seraient à Mélinda, de beaux petits esclaves. Toute rouge, Shii se tortillait de droite à gauche, encaissant les baisers, les caresses, et les provocations de sa Maîtresse. Shii la connaissait suffisamment pour savoir comment sa Maîtresse agissait et pensait en ce genre de circonstances.
Pendant ce temps, Ai, qui se reposait, en vint à demander à Mélinda quelles étaient ses fantasmes... Ou, plutôt, quel était son plus grand fantasme. La requête, curieuse, amen Mélinda à se redresser, soulageant un peu la pauvre Shii, qui gémissait lentement en se tortillant sur le lit.
« Hum... Malheureusement, je n’ai aucune réponse précise à te fournir, Ai. Des fantasmes, j’en ai énormément. Quant à les trier, c’est toute une histoire, tout dépend de mes envies. Parfois, j’ai juste envie de sodomiser de petites salopes comme ma Shii adorée... Parfois, il s’agit de déflorer de belles vierges, de goûter à leur sang... De manière générale, je dirais que mon plus grand fantasme est de coucher avec une Ange... Ou avec ma propre fille... »
Avoir son propre enfant était le plus grand rêve de Mélinda, mais, malheureusement, être une vampire n’était pas sans tares. L’un des problèmes du vampirisme était la grande stérilité que cette nature entraînait. Le seul moyen qu’avait un vampire, pour se reproduire, était de mordre d’autres personnes, afin de leur offrir son sang. Sauf quelques cas exceptionnels dont Mélinda ne faisait pas partie, la procréation leur était refusée. Elle avait tout tenté, et avait à chaque fois échoué.
Ne voulant pas s’attarder sur un sujet sensible, alors qu’elles étaient ensemble, à partager un si bon moment, Mélinda se mit à parler :
« Pour l’heure, le fantasme qui me traverse serait d’inviter tout le club Futabu ici, afin de faire une longue et magnifique orgie... »
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Cette soirée était déjà plus que mémorable, rien qu'avec les mots de Mélinda, elle ne risquait pas d'oublier de sitôt des mots aussi beaux tels que Harem et Invitée. Sans compter les filles qui vivaient ici et qui désiraient toutes Ai, que ce soit juste pour ce soir ou être vu comme de la chair fraîche, tant qu'elle fait l'amour, elle, ça lui va ! Mais elle reprenait son souffle quelques minutes avant la suite en bavardant avec Mélinda, de ses fantasmes ou même son plus grand fantasme. Malheureusement, elle ne savait lequel choisir. C'était bien la preuve qu'elle était gourmande. Il est vrai que chaque position, partenaire, endroit, tout jouait comme facteur pour rendre cela grandiose. Avec Ai qui a le souci du détail, c'est encore plus difficile pour faire le tri mais elle comprenait sa maîtresse, elle serait bien incapable de dire ce qui est le mieux dans sa tête. À moins qu'on lui donne simplement deux situations bien précises en indiquant la ou les partenaires, les sous-vêtements, l'endroit, la situation, bref, en étant très précis ! Mais sans ça, elle serait incapable de choisir.
Cela dit, autant elle comprenait la sodomie, les vierges mais... boire leur sang ? Hum elle n'avait rien quand c'était assez sauvage au point de mordre mais de là à aller jusqu'au sang... Cela ne la tentait pas. Après, elle aime peut-être mais là, ce n'est pas son délire. Après, elle parle peut-être du sang des vierges en déchirant l'hymen mais là aussi, la jeune futa n'est pas très branchée. Surtout que Mélinda s'enfonçait. Une ange ? Ça reste un fantasme après tout, elle n'a jamais demander à ce que ce soit réel mais quand même... sa fille ? L'inceste ? Ai n'était ni pour, ni contre. Après tout, si les membres de la famille sont d'accord et que cela ne va pas jusqu'à procréer ensemble... mais l'idée la dérangeait quand même un peu. Admettons qu'elle ait une fille – Mélinda aurait été enceinte et aurait caché cela – au pire des cas, sa fille aurait un voire deux ans maximum ?! Ça serait... pédophile... Ai aime les femmes, pas les petites filles, adolescente à la limite si elles sont intéressées par cela mais petite fille, ça non ? C'est vrai que la jeune futa n'avait pas tous les détails en tête, une fille qui a environ l'âge d'Ai, Mélinda une Vampire qui a à son service aussi bien des démones que des nekos ou kitsunes ou bien plus encore. Mélinda reparlait bien vite du Futabu, ce qui fit sourire Ai.
« C'est vrai que ce serait génial ! Mais pour le moment je veux jouer mon égoïste et goûter à chacun des jolis fruits qu'il y a ici avant de faire venir nos camarades. Je suis méchante, hein ? »
Une légère provocation pas méchante. Il est vrai que si elle avait l'exclusivité sur elles, elle n'allait pas s'en privée. Mélinda était aussi membre mais c'était ses « jouets » à elle alors elle n'allait pas en faire une histoire. Ai se releva rapidement pour s'allonger à côté de Shii, s'allongeait sur le ventre, elle jouait à remuer ses jambes en observant sa nouvelle copine avec son ventre bien rond, c'était vraiment amusant de la voir se retenir. Elle jouait avec quelques-unes de ses méchés de cheveux avant de réajuster ses lunettes, ça fait partie de sa personnalité après tout. C'est comme Ai sans pénis, il manque un truc. Mais bon, elle tenait quand même à être honnête avec sa maîtresse, espérant ne pas tirer un trait sur le harem mais soyons franc, chacun ses goûts, certes mais même si Ai est aussi grande perverse que fétichiste, elle ne voudrait pas partager ses goûts et aventures sexuelles avec une femme qui a fait de drôles de choses pas très légales... Si seulement elle savait à quel point elle se trompait ! Elle va certainement vite s'en rendre compte mais autant la laisser encore nager dans le flou.
« Dites Maîtresses, ne le prenez pas mal mais vos goûts ne sont pas étranges ? » Une telle phrase venant d'une fille qui se masturbe dans les culottes des autres filles, c'est le comble ! « Je veux dire, que vous aimiez mêler le sexe à des rapports assez violents pour mordre au sang... bon si la partenaire est d'accord, ok, c'est votre délire à vous deux. Mais avec votre fille ? Je suppose que vous en avez pas et même si vous en avez une en secret, elle a quel âge ? Pas plus de deux ans ? Trouvez pas ça un peu bizarre et pas très net ? Tu n'es pas d'accord avec moi Shii ? Je vous adore Maîtresse et tout le monde à ses qualités et défauts et là, bah je pense avoir trouvé un mauvais côté chez vous... Désolé d'être franche mais... enfin, comprenez que dire ça, c'est assez louche quand même ? »
Dire que vu comment elle s'enfonçait le doigt dans l’œil, elle pourrait sûrement se gratter l'anus depuis l'intérieur mais bon, il y a deux sortes de gens sur Terre, ceux qui ignorent tout de Terra et ceux qui en viennent. Ha et ceux qui sont pas de là-bas mais en connaissent un rayon, ce qui était sûrement le cas de ses trois-là. Mélinda venait clairement de là-bas, Ai était clairement d'ici et Shii... elle devait sûrement être terrienne avec beaucoup de connaissances sur ce monde étrange et magnifique mais chut, elle ne le sait pas encore, sa surprise ne sera que plus grande dans son regard.
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La réflexion d’Ai amena sur les lèvres de Mélinda un grand sourire. Ainsi donc, la belle Futa ne savait donc rien... Rien sur Terra, rien sur les êtres surnaturels qui peuplaient cette planète. Elle venait d’avouer dans la totalité son ignorance, et l’avait fait avec une telle naïveté que Mélinda ne put s’empêcher, au bout de quelques secondes, de pouffer. Elle se tenait en face d’Ai, séparée de la belle femme par Shii. Ai avait à nouveau joué avec elle, délicatement, et Shii respirait lourdement, une main sur son ventre, gémissant et haletant, se retenant de ne pas balancer toute sa crème. C’était difficile, et, par conséquent, elle avait du mal à parler, et se contentait de cligner des yeux, en se faisant à tout ce foutre en elle, en essayant de retenir les envies de son organisme de se lâcher d’un coup. La main de Mélinda caressa le ventre de Shii, puis elle sourit alors à Ai.
« Pardon, Ai... Je crois qu’il est temps que je te montre quelque chose. Shii, mon beau petit cœur, tu peux aller aux toilettes... »
Shii ne se le fit pas dire deux fois, et fila dans les toilettes, tenant son ventre, laissant, entre ses jambes, un fin filet de sperme. La porte se referma derrière elle, puis Mélinda sourit gentiment à Ai.
« Suis-moi, ma belle... »
Mélinda sortit de la chambre, et tendit sa main vers Ai, afin qu’elle l’attrape, puis les deux filles se mirent à déambuler dans le couloir. Mélinda marchait calmement, sur un rythme calme et tranquille. Elle savait qu’Ai n’avait pas toutes les cartes en main, et Mélinda craignait que, même en ne lui disant la vérité, la femme se refuse à la comprendre. Certes, Ai était membrée, et, partant de là, on pouvait supposer qu’elle était plus encline à admettre l’impensable, mais, par expérience, Mélinda savait combien l’esprit humain pouvait se montrer réfractaire à ce qu’il ne comprend pas. Elle n’avait pas envie de se perdre dans des explications interminables. En chemin, elles croisèrent plusieurs autres filles, et Mélinda les salua, recevant à chaque fois de délicieux « Maîtresse », un mot qui, peu importe le contexte, faisait toujours plaisir à entendre. Le duo rejoignit un escalier, et Mélinda monta, toujours sans rien dire, laissant Ai à ses questions et à ses doutes.
Elles avancèrent le long d’un couloir, et, par une porte entrouverte, on pouvait entendre des soupirs et des gémissements. Trois femmes se faisaient tendrement l’amour à l’intérieur, l’une des trois étant cantonnée au cruel rôle de simple observatrice, en étant attachée. Celle qui était attachée était en couple avec l’autre, et regardait donc sa petite copine se faire défoncer le cul, entre les mains expertes d’une prostituée de Mélinda, une esclave venue du harem, et qui avait, dans ce domaine, un talent indéniable. Mélinda continua à marcher, jusqu’à s’approcher d’une porte, et toqua à cette dernière.
« C’est la chambre d’Edessa... Tu vas vite comprendre... »
Les portes étaient insonorisées et solides, et cette dernière ne tarda pas à s’ouvrir sur un beau visage rayonnant, puis sur un grand sourire large.
« Maîtresse ! »
Edessa (http://img98.xooimage.com/files/2/b/4/edessa-4265072.jpg) accueillit Mélinda et Ai avec un grand sourire sur les lèvres. Elle portait de beaux collants blancs, des gants noirs découvrant ses mains, et, surtout, cette insolente robe qui, de dos, était un appel au viol.
« Comme je suis heureuse de vous revoir !
- Et moi aussi, ma belle Edessa... »
Les deux femmes s’embrassèrent. Le plus troublant, pour Ai, ce serait sûrement les deux cornes ayant poussé sur les cheveux d’Edessa, ainsi que sa queue caudale, qui remuait tout seule.
« Je me demandais même quand vous comptiez venir voir votre petite Edessa...
- Je tenais à te montrer notre invitée... Ai Aihara, je te présente Edessa. Edessa, voici Ai Aihara, une lycéenne de Mishima que Shii a eu la générosité d’inviter ici. Elle est très gourmande et très curieuse, et je me disais qu’elle serait ravie de te rencontrer. Après tout, elle est ma succube. »
Elle avait avoir l’occasion de voir si l’esprit rationnel et cartésien d’Ai allait s’imposer sur la vision qu’elle avait en ce moment des choses.
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Avait-elle été trop loin ? Sur le coup, elle se demandait si sa remarque serait bien prise ? Jusque-là Mélinda était super sympa mais peut-être est-elle aussi l'image type de la fille trop gâtée qui n'aime pas les remarques ? Elle laissa Shii aller se vider, Ai devait la suivre. Elle ne semblait pas en colère, elle lui tendait même la main, qu'elle prit bien évidemment. Et si c'était un piège ? Qui sait ce qui l'attend là-haut ? Un piège ? On va la faire disparaître ? Les jolies filles croisées en chemin ne semblaient pas avoir de regard de pitié ou autres pour Ai ? Bof, elle se faisait peut-être des films ? Grimpant les escaliers avec elle, les doux murmures qu'elle entendait lui plaisaient ! Si elle devait être torturée avec du sexe, pourquoi pas ! Elle veut bien insulter Mélinda de tous les noms si on lui garantit le sexe ! Mais ce n'était pas vraiment ça. Edessa était un nom qui sonnait étrange à ses oreilles mais ici, elles pouvaient peut-être prendre le surnom qu'elle voulait ? Comme un nom d'artiste ?
Ouvrant la porte, elle remarqua à peine ce qui se passait dans la chambre, elle remarqua surtout cette beauté qui sautait au cou de Mélinda en l’appelant Maîtresse comme beaucoup ici – dont elle aussi à présent. Après quelques mots et un joli baiser, Ai remarquait ce qui n'allait pas avec cette ville ? Cette queue était-elle vibrante et planter dans son anus ? Et ses cornes, un simple serre-tête caché dans ses cheveux ? Quoi, elle avait le droit d'aimer les jeux de rôles sexuel, Ai aimait bien en regarder aussi. Quand Mélinda prononça le mot « Succube », ce eut presque le même effet qu'avec le mot Harem qui l'avait fait tomber dans les pommes. Son regard se bloqua et elle perdait sa force dans ses jambes pour tombé d'un coup mais elle était assise, se tenant sur ses mains ? Elle avait bien entendu ? Elle levait la tête vers Edessa, la vue était agréable de cette façon aussi.
« Une Succube ? »
Se redressant en étant à genoux déjà, elle se colla contre elle, observant le tissu de sa robe, n'hésitant pas à la caresser en remarquant que derrière, ça manquait de tissu. Elle se glissa dans son dos, remarquant cette si joli robe mais surtout cette queue bien fixée à sa peau, remuant toute seule. Ai la prenait en main, elle n'entendait rien de ce qu'on pouvait lui dire, elle était dans son peit monde. Elle pinça doucement la base de cette queue, voire si on se fichait pas d'elle ? Tirant légèrement dessus mais... Non, c'était une vraie !
« C'est incroyable ! »
Face à son joli fessier, elle venait plonger sa tête dedans – autant en profiter un peu – avant de se redresser en caressant cette queue sublime, observant ce dos si joli où sa robe formait un pentacle dans son dos, passant ses mains sur sa poitrine avant de retourner entre elle et Mélinda pour observer ses cornes de plus près. Elle les toucha doucement, pinçant la pointe pour voir si ce n'était pas du cosplay une fois encore mais c'était aussi dur que de la pierre !
« Stupéfiant ! »
Ses mains se baladaient sur son cou mais c'était pour caresser la fourrure de sa tenue, replaçant ses mains sur sa poitrine, caressant autant la robe que sa poitrine et sa peau à découverte. Reprenant conscience de la réalité, elle offrait un grand sourire en continuant de palper ce corps délicieux, des étoiles plein les yeux !
« Ouh je crois qu'on va devenir très copine Edessa-chwan ! Ta robe est particulière mais aussi délicieuse qu'excitante ! Le tissu reste doux, de dos, n'en parlons pas ! Avec tes collants, ça forme un beau contraste. J'ai toujours rêvé de baiser avec une Succube, je me suis même renseigné sur le net pour tenter d'en invoquer une mais certaines choses m'ont fait peur. Il y avait des bêtises bien sur mais il était écrit qu'une Succube baisait jusqu'à la mort de celui qui l'a invoqué, ça reste une belle mort cela dit mais certaines rumeurs indiquaient qu'une Succube vous bouffait la bite avant de partir... »
On comprend donc son hésitation à vouloir en invoquer une. Inutile de dire que depuis sa rencontre avec Edessa, Ai était prête à faire n'importe quoi, son entrejambe parlait pour elle à ce niveau-là. Elle enlaçait Edessa, se collant contre elle, sa tête sur sa délicieuse poitrine même si elle tentait de regarder Mélinda pour la remercier une fois de plus.
« Maîtresse, je crois que vous rencontrer aura été la plus belle chose de ma vie ! Un harem où je serais invité, des copines partout, une Succube rien qu'à vous ? Mais vous devez être la femme la plus heureuse au monde ? »
Réalisant une petite chose, elle observa un instant Edessa et Mélinda d'un air suspicieux...
« Tant que je tiens Edessa, y a-t-il autre chose que je dois savoir ? Plus je passe de temps ici et plus j'ai l'impression que votre but, Maîtresse, n'est pas de me laisser aller en couchant avec n'importe qui mais de tenter de me faire perdre connaissance le plus de fois possible ? »
Reste à savoir ce qu'elle va vouloir faire la petite Futa ? Coucher avec Edessa et chaque créature de rêve qu'elle va rencontrer sur son chemin ou bien juste voir ça de ses propres yeux et continuer à baiser Shii avec toujours plus d'entrain et d'envie en sachant tout ce qu'elle pourrait fourrer chez Mélinda ?
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Ai avait droit à une rencontre qui était tout simplement hors du commun. Une succube… Une véritable succube, honnête et authentique ! Edessa était la succube de Mélinda, comme une sorte de joker que la vampire abattait régulièrement. Elle était l’une de ses esclaves les plus douées, et, en un sens, Mélinda la considérait presque comme sa fille. Elle avait tenu Edessa entre ses bras quand elle était encore un bébé, elle lui avait fait téter son sein, et Edessa avait grandi sans aucune restriction de ses pouvoirs magiques. Au contraire, Mélinda avait veillé à ce qu’elle continue à se former, à manipuler et à exercer sa magie rose. Sur ce point, Edessa était irréprochable, et avait bénéficié de formations privées dispensées par des formateurs de l’Académie Impériale, qui venaient exprès au harem pour la former, étant payés en nature par les multiples femmes du harem.
N’en revenant pas, Ai se plongea dans son monde, en se mettant à fureter autour d’Edessa, qui la regarda en clignant des yeux, un peu étonnée. Elle n’avait jamais vu cette esclave, ce qui l’intriguait un peu. Est-ce que c’était une nouvelle ? Mélinda pensait qu’Edessa avait pensé avec tous les esclaves majeurs et adolescents de son harem, hommes comme femmes. Ce faisant, elle ne reconnaissait pas Ai, mais vit son bâton, qui était en érection, remontant le long d’une culotte féminine en dentelle qui n’était pas conçue pour contenir un tel équipement. Ai se rendit dans le dos d’Edessa, et joua avec sa queue. C’était une zone érogène, et Edessa eut un frisson… Puis couina quand Ai tira dessus.
« Hey ! Ce n’est pas extensible ! »
Ai ne sembla cependant pas tenir compte de sa remarque, continuant à l’observer, pour retourner devant elle, palpant ses cornes. Elle essayait de se convaincre que ce qu’elle voyait était bien réel, et Mélinda avait presque cru qu’elle allait faire une attaque. En effet, quand elle avait vu Edessa, elle en était tombée littéralement sur les fesses, parvenant à s’appuyer avec les bras. Edessa était magnifique, et portait des vêtements spécialement conçus par Mélinda, comme sa robe. Il n’y avait que Mélinda pour concevoir un tel vêtement. C’était un cadeau offert à Edessa, et, depuis lors, elle le portait presque tout le temps. Il cachait tout devant, mais rien derrière, et il suffisait de dénouer rapidement un simple nœud pour pouvoir la sodomiser. Autant dire que son magnifique petit cul chocolaté avait été visité de bien nombreuses fois, non seulement par Mélinda, mais aussi par d’autres personnes.
Edessa observait Ai avec curiosité, et, quand cette dernière finit par palper les gros seins de la succube, un gémissement ténu s’échappa des lèvres de la Succube. Elle n’avait pas fait l’amour depuis environ une heure, ce qui, pour elle, représentait une éternité ! Ai finit enfin par expliquer la raison de sa fascination, et, tandis qu’elle parlait, la queue caudale d’Edessa se déplaça pour palper ses fesses, caressant sa culotte, tandis que ses bras caressaient le dos et les cheveux de la petite Futanari. Ai Aihara était impayable, et Mélinda la voyait bien, le sexe à l’air, chercher sur Internet toutes les manières possibles d’invoquer une succube.
« Oh, mais je ne suis pas comme toutes ces succubes, moi ! se défendit l’intéressée. Seule compte la volonté de ma Maîtresse, et je n’ai encore jamais tué personne au lit… »
Mélinda savait que les succubes étaient normalement des femmes dangereuses, car, si ceux qui les invoquaient ne parvenaient pas à les satisfaire, elles pouvaient dévorer leurs âmes… Or, satisfaire une succube était potentiellement très difficile, car elles étaient très exigeantes. Edessa était différente, car elle n’avait jamais été éduquée en Enfer. Toute sa vie avait été faite pour et par Mélinda. Elle ne vivait que pour servir celle qu’elle voyait comme sa Mère, sa Maîtresse, et sa Déesse.
Ai posa une ultime question, et Edessa en profita pour la soulever, la succube étant plus grande qu’elle. Elle avait une main sur ses cheveux, et l’autre alla s’appuyer sur ses fesses, tandis que sa queue caudale se déplaçait encore, pour venir flatter la virilité tendue d’Ai.
« Si je t’ai présenté Edessa, Ai, reprit alors Mélinda en s’avançant, tu te doutes bien que ce n’est pas sans raison. »
Tout en parlant, Mélinda s’était avancée, et se positionna à côté des deux femmes, sa main venant caresser le magnifique dos d’Edessa, ce dos qu’elle avait léché, sucé, mordillé, et griffé un nombre incalculable de fois, tout en lui prenant le cul. Ses doigts heurtaient les cordages sophistiqués de sa robe, et elle se pencha vers le duo, s’humectant les lèvres. Son autre main, elle, caressait le dos d’Ai, pour finir également par se positionner sur ses fesses, croisant les doigts d’Edessa, qui était en train d’embrasser goulûment Ai.
« Je ne suis pas humaine, Ai… » murmura-t-elle dans le creux de son oreille.
La belle arriverait-elle à se défaire du baiser d’Edessa ? Comme tout le reste, tout ce qui, chez Edessa, était lié au sexe, avait quelque chose de magique. Elle était fondamentalement douée dans ce domaine, instinctivement forte, et entraînée et endurcie pour l’être. Sa langue s’enfonçait joyeusement dans la bouche d’Ai, se plongeant en elle, venant tendrement et sensuellement jouer avec Ai.
« Je suis une vampire… » acheva-t-elle d’un souffle.
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Une succube... c'était tout simplement incroyable et tout cela ne semblait pas être un simple cosplay, sinon c'est qu'il était vraiment bien fichu ! Ai était fasciné, devant toucher avec ses mains chaque partie de son corps pour tenter de voir si ce n'était pas une blague ? Mais non, Edessa était aussi réelle qu'elle ou Mélinda... Et c'était une succube quoi ! Perverse comme elle était, une Succube représentait tant de choses pour elle... Comment ne pas être fascinée ?! Elle baladait ses mains sans le moindre problème sur ce corps délicieux, venant lui faire face, la câlinant en imaginant bien plus que ça évidemment. Son odeur seule suffisait à lui donner envie de faire mille et une choses avec elle. Edessa était rassurante en un sens, elle n'avait jamais tué personne au lit. Mais pour ce corps, Ai voulait bien risquer de mourir de fatigue ! Ce corps bon sang de bon soir !!! Posant donc sa question sur le vrai but de Mélinda, Edessa en profita pour soulever Ai par les fesses en la caressant doucement. Pas folle, la futa se laissait faire en continuant de câliner Edessa, son membre bien dur se collant contre son ventre bien chaud.
Mélinda tournait autour d'elles, comme un fauve envers deux proies cernées, mais Edessa lui retira tout le moindre doute avec un délicieux baiser. Une langue de succube, combien de queues et de chatte elle avait dû lécher ? Quels doux sons elle avait dû dire avec cette langue ? Ai était curieuse, envieuse mais sa soirée était loin de se terminer. Elle avait un peu de remords a avoir laissé Shii toute seule mais elle la reverra bien assez tôt, si ce n'est pas ce soir, ce sera demain ou plus tard. Ce baiser était hypnotisant, très rassurant et si bon, Ai lui sucerait bien la langue autant de fois qu'il faudrait, elle adorait ça, c'était bien excitant. Mélinda, en passant sa main sur ses fesses venait à avouer ses origines au creux de son oreille. Une vampire ? Si elle s'attendait à ça ! Mais alors, ça voulait dire quoi ? Elle réussit à se défaire un peu à regret de ce baiser, il suffisait de la regarder, elle observait Edessa en se demandant pourquoi elle stoppait ce baiser.
« Une vampire ? Mais alors... Oh je sais ! Vous voulez montrer une sorte de groupe de vampires qui baise tout ce qui bouge ! Et vous m'avez sélectionnée pour en faire partie ! Je vais devoir sucer du sang en plus du reste, c'est ça ?! »
Quelle imagination. Mais quand on parle sexe avec elle, il fallait s'attendre à tout de toute façon. D'où certains délires qui pouvaient partir bien loin. Mais bon, dans son délire, elle restait quand même sincère en tournant son visage vers elle.
« Mais si vous me laissez baiser autant de jolies filles de votre harem, je veux bien que vous me suciez un peu de sang, Maîtresse. Ce serait même la moindre des choses. »
Cependant, il ne faudrait pas le lui faire tout de suite, lui privé de sa vitalité... ce serait dommage de passer à côté de si belles choses, elle voulait s'amuser quand même. Mais n'oublions pas le plus important, elle rapporta son regard sur Edessa en lui souriant d'un large sourire. On pouvait même apercevoir sa petite quenotte trop longue qui dépassait de ses lèvres.
« Cela dit, ce sera la première fois donc que je baise avec une Vampire et une Succube. Enfin, le contraire vaut aussi. Ce sera la première fois que je Me fait baiser par une Vampire et une Succube. »
Ha, Ai ne perd pas le nord. Même si elle est plus de nature dominante, face à sa délicieuse Maîtresse et sa si belle Succube, créature de ses fantasmes, elle pouvait bien leur faire ce petit plaisir. Ce n'est pas comme si, fraîchement arrivée, Ai avait un rôle important dans cette maison, elle était invitée, voilà tout. Bien que la Succube la tenait toujours, elle se pencha vers Mélinda, déposant un court baiser sur ses lèvres en la regardant droit dans les yeux.
« J'aimerais ne jamais me réveiller de ce beau rêve, Maîtresse. »
Une vie de luxure, à baiser sans arrêt avec toutes sortes de femmes aussi belles que douées et surprenante... Mais elle ne demandait que ça. Pour sûr, une fois le lycée terminé, elle se fera une joie d'aider Mélinda de toute son âme mais pour le moment, ce sera surtout du plaisir et de l'amusement.
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La belle Edessa était une femme qui mettait tout le monde d’accord. Elle était le joker de Mélinda, une succube parfaite, comme un cadeau du Ciel pour son harem. D’une soumission sans faille, elle avait été éduquée par Mélinda, de ses premiers jours jusqu’à maintenant. En conséquence, elle voyait Mélinda pour ce qu’elle était réellement : sa mère. Mélinda l’avait initié au sexe, elle l’avait initié à la maîtrise de ses pouvoirs magiques, et, si Edessa était partie pendant un temps, ce n’était que dans le but de perfectionner ses pouvoirs magiques. En effet, la succube savait que le harem de Mélinda ne pouvait pas lui offrir de quoi bien former ses pouvoirs magiques. Or, Edessa voulait être la plus parfaite possible pour sa Maîtresse. Voilà pourquoi elle était partie pendant de nombreux mois, avant de finir par revenir. Maintenant, Ai avait la chance d’y goûter, et, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle était conquise. Mélinda lisait dans ses yeux une telle fascination qu’elle en avait presque envie de pouffer. Oui, Edessa semblait véritablement lui plaire, et la pauvre en perdit ses mots pendant quelques instants.
Un sourire sur le coin des lèvres, Edessa, elle, reniflait Ai Aihaira. Étant une succube, elle pouvait sentir la perversion sexuelle d’Ai, et sentit donc qu’elle n’était pas vierge, et, surtout, qu’elle était terriblement perverse. Était-ce une nouvelle esclave de sa Maîtresse ? Une belle petite Terrienne perverse aux cheveux verts ? Si ce n’était pas le cas, ça ne saurait tarder... Comment résister au charme conjugué d’une magnifique succube et d’une délicieuse vampire tournant autour de vous ? Ai n’avait tout simplement pas les moyens de lutter contre ça...
Sa théorie fit sourire Mélinda. Transformer Ai en vampire ? La petite s’emballait, et Mélinda mit ça sur le compte de l’excitation. Elle lui répondit en lui ébouriffant les cheveux, et laissa ensuite Ai l’embrasser. Débordante d’excitation, la lycéenne ne semblait plus savoir où donner de la tête, ce que la vampire pouvait tout à fait comprendre. Entre elle et Edessa, difficile de savoir quoi faire. Ai laissa donc à sa Maîtresse le soin de lui ponctionner son sang, ce qui fit sourire Mélinda. Maintenant, Ai comprenait tout... Elle comprenait pourquoi Mélinda lui avait parlé, tantôt, de boire du sang. Pour une vampire, c’était normale, mais, pour l’heure, il n’était nullement question d’affaiblir Ai en lui ôtant son énergie vitale. Cette énergie, elle allait en avoir besoin, si elle comptait jouer avec Edessa. Restant relativement silencieuse, la succube avait toujours une main sur les fesses d’Ai, et l’autre caressait les beaux cheveux verts de la femme. Edessa sentait qu’Ai prenait soin de son corps, qu’elle veillait à être la plus belle possible, et qu’elle avait déjà une grande expérience sexuelle... Alors même qu’elle était encore très jeune. À son âge, Edessa était loin d’avoir une telle odeur... De cela, la succube était sûre.
Ai leur avoua que c’était la première fois qu’elle allait « baiser » avec une vampire et une succube, ce qui fit sourire Edessa.
« Alors, il faudra s’assurer que cette première fois soit mémorable, ma belle... »
Ai termina en glissant à sa Maîtresse ô combien elle était heureuse, et Mélinda, qui était assise à côté des deux femmes, se pencha un peu vers elle, venant caresser son dos, en le griffant légèrement. Elle ne cherchait pas à la faire saigner, mais à provoquer d’exquises sensations de douleur.
« Un rêve ? Tu ne rêves pas, Ai... Tout cela est bien réel. Quand tu te réveilleras demain matin, si toutefois tu t’endors, ceci sera vrai... Et, comme tu peux le voir, je sais être hospitalière avec mes invitées. Tu pourras toujours revenir ici afin de goûter aux charmes infinis de mon manoir et de mon harem... »
Est-ce qu’elle pouvait lui en dire plus ? Est-ce que Mélinda pouvait lui dire qu’elle avait chez elle une Ange de Luxure ? Si Ai l’apprenait, elle risquait de faire une rupture d’anévrisme. Edessa, quant à elle, se mit à sourire à nouveau, et déplaça sa main de ses fesses le long de son string à dentelle, caressant ensuite ses jarretelles. Elle avait une tenue magnifique, et ses doigts vinrent ensuite caresser son sexe, deux doigts remontant le long de sa verge. Un sourire sur le coin des lèvres, Edessa entreprit ainsi de la masturber, un sourire sur le coin des lèvres. Elle se pencha à nouveau, et l’embrassa encore. Le corps d’Ai se pliait devant le sien, et Edessa savait ce qu’elle allait faire, maintenant. Le plaisir sexuel était très fort chez elle.
« Je te laisse le choix, petite Ai... Entre goûter à mes fesses, ou à ce que j’explore ton fondement... Mais n’oublie pas que la magie permet de faire bien des choses qui défient l’entendement... »
La succube ferma alors les yeux, et utilisa l’un des sorts qu’elle avait appris au cours de son pèlerinage. Une silhouette apparut dans le dos d’Ai, et des mains douces vinrent alors caresser ses collants, tandis qu’une silhouette nue se blottissait dans son dos, avec une verge pointant vers ses fesses. Si Ai tournait la tête, elle aurait l’impression de regarder dans un miroir... Car c’était une autre Ai qui se dressait dans son dos.
« Salut, toi... Tu es très mignonne... »
Le clone sexuel d’Ai, généré par Edessa, alla lécher le cou d’Ai, emprisonnant ainsi la femme entre Edessa et son clone.
La belle n’était clairement pas au bout de ses surprises ici...
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Plus le temps passait et plus la futa était au paradis. Du moins elle s'en approchait, ça, il n'y a pas à en douter. Shii était devenue une très bonne amie alors qu'elle s'était branlé dans sa culotte, puis elle avait rencontré la grande Mélinda qui était elle aussi une futa mais en plus, la cerise sur le gâteau, possédait un harem rempli de fille qui, comme elle voulait sans cesse s'amuser ! Que demander de plus ?! Ai était naturellement sous le charme si bien que la belle vampire voulait se la jouer gourou et demanderait une compensation financière elle offrirait sans hésiter ses économies mais là n'était pas la question, d'autant plus qu'elle n'était pas pleine aux as. Mais la double cerise sur le gâteau, c'était quand même de voir que des créatures mythiques se trouvaient ici. Elle n'avait rien vu pour le moment à part une vampire puisque Mélinda le disait ainsi qu'une succube qu'elle se faisait un plaisir de caresser. Elle n'avait pas fini de revoir toutes les mythologies en tous genres pour mieux demander à sa Maîtresse si elle avait ceci ou cela dans ses contacts pour pouvoir pousser ses fantasmes un peu plus loin.
Déjà que sa liste de fantasme était aussi épaisse qu'un dictionnaire, elle n'avait pas fini de faire grossir sa liste maintenant qu'elle savait ce genre de chose possible sans passer par la case cosplay. Bien que coller à Edessa, elle gardait le sourire en observant Mélinda, la suivant du regard.
« Je saurais jamais vous dire assez merci, Maîtresse. Pouvoir venir ici autant que possible, c'est presque un rêve pour moi. »
Qui sait, une fois l'école fini, elle irait peut-être lui donner un coup de main pour son harem ? Pour Ai, c'était la réponse la plus logique qu'elle avait à offrir après tout. Mais face à une belle succube et une vampire qui s'amusait à ljui caresser le dos du bout de ses doigts aux longues griffes, la petite futa était en transe, ne sachant pas par quoi commencer au final ? Edessa la branlait si bien, puis elle embrassait bien aussi, c'était un choix cornélien devant elle ! D'autant plus qu'elle en rajoutait sur la liste, c’était de plus en plus compliqué ! La proposition était la bienvenue mais franchement... Ai venait même à froncer faussement ses sourcils en se plaignant d'un tel traitement.
« Mais comment tu veux que je fasse un choix après tout ça ? Moi je sais plus quoi choisir à force ! »
Fini de regarder Edessa, elle tourna son visage vers Mélinda pour se plaindre de ce trop-plein de choix mais de nouvelles mains arrivèrent dans son dos avant de se voir ? Elle observa un instant Edessa avant de regarder tour à tour la succube et elle-même... Vraiment ? À ce point-là ? Prisonnière de deux créatures de rêve, même trois si l'on ajoute Mélinda qui bloque une autre sortie possible, ça commence à faire beaucoup !
« Non Maîtresse, là je proteste ! Je veux m'adopter !!!! Avoir une sœur jumelle, c'est juste trop cool ! Elle est mon portrait craché, elle a ma voix et je sens même la même chose que moi entre ses jambes ! Holala, combien j'ai de fantasme qui implique une deuxième moi ? Il va falloir que je me suce, je me suis toujours demandé si j'avais bon goût ? Et mon cul ? Il est comment ? Et mes seins, ils ont bon goûts ? Et ma langue aussi ? Haaaaaaaaaa j'ai trop de trucs à penser !!!!!! »
Faut la comprendre, la pauvre avait le choix entre une vampire, une succube, une sœur jumelle, trois genres de fantasmes différents, un mix de fantasmes qui sera toujours bon a faire pour ne pas grossir sa liste. Rien que là, elle avait déjà tant de choses à rajouter sur sa liste, c'est trop pas juste ! Elle se dégageait de leur bras pour se faire face et ce face à face était trop bizarre ! Elle se regardait, touchait son propre visage, se frottait contre elle-même, c'était aussi bizarre qu'excitant !
« J'hallucine comme c'est trop bien ! Pas contre il manque un truc... Va falloir te trouver de quoi t’habiller Ai-chan ? Mais je veux pas te lâcher d'une semelle alors comment on fait donc ? Tu es vraiment trop craquante, tes petites fesses ont l'air si moelleuse et si tendre entre mes mains... Et nos deux queues se frottent si bien ensemble... Maîtresse, je crois que je m'adore ! »
Ai venait s'embrasser tendrement en savourant chaque seconde contre elle-même, sa langue contre la sienne, de même que sa poitrine qui s'écrasait contre la sienne et de leur queues se frottant mutuellement. Après ce baiser, elle observa Edessia comme Mélinda en affichant un grand sourire fidèle à la petite futa.
« Maintenant qu'il y a deux Ai-chan, vous pouvez toutes les deux jouer avec Ai-chan à la fois ? »
Reste à savoir qui voudra de l'original ou autres ? Puis même si elles voulaient simplement regarder, pas de soucis ! Peu importe sa partenaire, elle avait tellement de choses à réaliser avec chacune d'elles alors si on ajoute une partenaire ne plus ou même deux, elles ne sont pas prêtes de se quitter !
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Les pouvoirs magiques d’Edessa étaient terrifiants d’efficacité. La succube s’était entraînée pendant des années, avait perfectionné tous ses talents, afin de devenir la démone forte et puissante qu’elle était actuellement. La succube avait fait tout ça uniquement pour plaire à sa Maîtresse, et elle avait bien réussi. Elle avait également fait un clone sexuel de Mélinda à plusieurs reprises, et faisait fréquemment un clone sexuel d’elle-même. Edessa jouait beaucoup avec les clones sexuels, et, même maintenant, la vampire n’avait pas trop compris leur fonctionnement. La magie était pour elle une grande inconnue, mais, de ce qu’Edessa lui avait expliqué, elle générait un clone sexuel à l’aide de la magie et de l’hôte d’origine. L’idée était d’avoir un clone aussi réaliste que possible, et la deuxième Ai avait donc une mentalité très semblable au modèle d’origine. Elle lui souriait donc en se mordillant les lèvres, face à une Ai qui ne savait plus où tourner la tête. Il y avait tant de si belles choses au harem, tant de perspectives intéressantes et stimulantes. Ai en voyait beaucoup ce soir, mais il ne fallait pas avoir les yeux plus gros que le ventre. Elle était gourmande, et Mélinda avait atteint son objectif. Ai Aihara resterait avec elle pour longtemps, et la vampire était convaincue que, en la motivant bien, elle deviendrait volontairement son esclave, et que « Maîtresse » ne serait plus un simple mot pervers dans sa bouche, mais la constatation d’une réalité concrète.
Le sexe d’Ai caressait celui de son clone, et chacun de ses commentaires faisait sourire Mélinda. Elle voulait lui faire tant de choses, et ne ressentait aucune gêne à l’idée de se voir… Souvent, quand une personne voyait un clone d’elle-même, elle éprouvait une quelconque gêne… Mais pas Ai. Sa vie était vouée au sexe et à la luxure. C’était la caractéristique des membres du club Futabu, des femmes dont la perversion était si forte qu’elle égalait sans problème celle de Mélinda.
*Je dois bien admettre qu’elle me surprend de plus en plus…*
Ai ne savait pas quoi faire, et finit par se retourner vers sa Maîtresse, la laissant libre de déterminer la suite des festivités. Elles étaient quatre, après tout… Mélinda hésita donc un peu, s’humectant les lèvres. La vampire finit par sourire, et hocha lentement la tête.
« Nous le pouvons, oui… »
La deuxième Ai embrassa alors la première, en se frottant contre elle.
« Et nous ferons l’amour ensuite, hein, Ai-chaaaaaaaaaaann ?! »
Elle lui lécha la joue, mordillant sa peau. Ai avait de belles grosses joues, lui donnant l’impression de ressembler à une pomme d’amour. Mélinda s’approcha alors, et attrapa avec ses mains les bras du clone, la tirant vers elle, et s’assit sur un fauteuil. Edessa, elle, fit de même avec la version d’origine, la tenant par le dos. Elle la souleva, un sourire sur le coin des lèvres, tout comme le fit Mélinda, en couchant le clone, avançant l’une de ses mains sur l’un des seins de la femme. Elle le pinça, ses doigts s’agrippant autour du téton, faisant gémir la belle Ai, qui se tortilla contre sa virilité turgescente.
« Allez, mes chéries… Empale-toi sur ma verge, ma salope…
- Haaaaaannnn Maîtresse, ouuuuuiiii… !! » s’enthousiasmait le clone.
Le fauteuil se trouvait face au rebord du lit, et Mélinda sentit Ai s’enfoncer contre sa verge, avant de se tortiller sur elle. La main de Mélinda se crispa sur son sexe, qu’elle se mit à masturber violemment, tout en laissant Ai se dandiner sur elle. Le corps de la clone remuait d’avant en arrière, cette dernière s’appuyant sur les accoudoirs du fauteuil pour pouvoir mieux sentir cette grosse queue en elle.
Edessa fit de même avec Ai, l’empalant sur sa verge, qui jaillit d’entre ses cuisses, la robe de la succube s’écartant suffisamment pour révéler son sexe. Elle l’enfonça dans le cul d’Ai, en tirant un peu sur sa culotte, et en profita pour la masturber à son tour. Sa bouche l’embrassa sur la tête, et, en la masturbant, elle en profitait pour soulever et abaisser le corps d’Ai, l’empalant donc sur son chibre.
« Aaaah ! Quel joli cul, ma petite Ai… Hum… ! Délicieux, oui… »
Elle lui lécha le creux de la nuque, et continua à la masturber.
« Vas-y, vas-y, jouis sur ton clone… Cette salope jouira aussi sur la petite pute nymphomane que tu es, hummm… C’est ça que tu veux, hein ? Haaaa… ! »
Et la femme continuait à remuer en elle, et à continuer à astiquer sa verge.
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Que dire de plus ? Elle était si heureuse d'être aux côtés de Mélinda et même si ses parents étaient cool, ils savaient qu'elle était une futa, elle était née comme ça et se fichait de la vie qu'elle menait. Mais s'il y a une chose sur laquelle ils ne rigolent pas, c'est l'école. Qu'elle ne soit pas la première de la classe n'est pas un problème mais qu'elle assiste aux cours et fasse de son mieux. C'est pour ça que malgré ce paradis sur Terre, à Seikusu, elle n'allait pas sécher les cours demain et allait y aller. Cela lui permettra de souffler un peu. Mais si ses parents s'en seraient fiché, elle aurait eu du mal à quitter ce manoir aussi rapidement. Mais avant de songer aux cours, elle va bien profiter de son séjour au manoir. Face à son clone, elle n'était que très heureuse ! Encore un fantasme supposé impossible à réaliser – à moins de trouver son sosie dans le monde entier – qu'elle pourra rentier de sa liste.
Se voir venir lui faire un câlin en lui léchant la joue, supposant qu'après elles vont jouer ensemble ? Mais c'est plus un clone, c'est sa jumelle.
« Mais comment pourrais-je te refuser Ai-chan ? »
Toutes les deux étaient deux véritables perverses que rien na va pas arrêter, pas aussi simplement du moins. Mais face à tant de fantasme dansant devant ses yeux, elle observa Mélinda pour demander son conseil et le choix fut simple. Couper Ai en deux, une avec la vampire et l'autre, la succube. Elle observa avec envie son clone qui s'enfonçait sur sa verge alors qu'Edessa allait en faire de même. Elle ressentait déjà une bosse agréable dans son dos avant de la sentir venir s'enfoncer dans sa chair. C'était si bon, si chaud, elle gémissait à l'unisson avec son clone, l'observant avec envie et désir, si heureuse de sentir cette bite en elle, si heureuse qu'on l'aime tant... et elle savait qu'on n'avait pas fini de lui montrer combien elle était aimée ici.
« HHHaaannn ouiiiii, Ede-chhaaaaaaannn !!! »
La belle Succube était si délicieuse, sa queue si chaude en elle, la futanari va aimer Mélinda et son manoir plus que tout. Quoique non ? Elle aimera Mélinda Et son harem plus que tout. La manoir n'était qu'un mince échantillon de ce qui pourra lui être offert par la suite. Et sa masturbation, oh qu'elle branlait si bien ! Vite mais bien. Lente ou rapide, ça reste aussi bon alors elle était ravie de tout ce bonheur ! Face aux quelques mots susurrés à son oreille, elle gloussait entre deux gémissements, observant sa copie. Bien sur qu'elle serait ravie de cette douche de sperme, comme son clone mais... autant profiter de « cette » situation avant de songer à la suite. Elle se pencha en avant, sa copie l'imita. Avait-elle deviné son envie ou bien elle savait qu'elle voulait lui parler ? Face à face, séparé de quelques centimètres, les Ai s'observaient avec amusement et envie.
« Ai-chaaaaan veut... jouir sur moi ? Huuummm ? »
« Ouiiiiiiii ! Je veux t'arroser hhhAAAANNNNnnnn ! Toi... et Ede-chan ! »
« Oh ouiiiiiii ! Et moi aussi... je t’arroserais... avec la Maîtresse... hmmm... »
« Embrassons-nous. »
« Huhu... je voulais commencer... par ça. »
Et les deux petites futas venaient s'embrasser langoureusement. Entre leurs gémissements, des bruits de bouche se faisaient entendre, délicieux et excitant, alors que toutes les deux bougeaient sous les coups de reins de la vampire et de la Succubes. Toutes les deux jouant avec leur petit trou et leur petite queue. En quelques instants de passion, les deux futas cessaient de s'embrasser pour se caler contre leur maîtresses respectives avant de jouir presque en même temps, à quelques secondes, d'abord l’orgasme d'Ai puis de son clone. Toutes les deux s'arrosaient, arrosant par la même occasion leur maîtresse. Ai avait toujours une bonne quantité de foutre à délivrer. Mais avec cette arrosage, sa jolie tenue ne serait plus aussi chic... mais pas grave, me^me couverte de foutre, de sa foutre, elle aime sa tenue, elle aime cette sensation chaude sur sa peau alors que sa poitrine se soulève et s'abaisse doucement, se frottant un peu contre Edessa. Comme une petite chatte.
« Huuummm Ede-chan... c'est si bon... Je peux échanger ma place ? Je veux savoir comment baise la Maîtresse. »
Cela dit, même si Edessa veut un peu profiter encore d'Ai, elle n'allait pas s'en plaindre, tant qu'elle s'amuse après tout. Elle devait jouer avec Edessa, Mélinda et aussi, son clone.
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Ai et son clone étaient toutes les deux ballottées par les mouvements intenses et lourds de Mélinda et d’Edessa. La Succube et la Maîtresse des lieux se faisaient plaisir, dans un exercice assez éprouvant. Mélinda couchait avec le clone sexuel, ce qui, pour elle, n’était pas une grande nouveauté. Baiser avec des clones était, de fait, l’une de ses grandes spécialités, et elle se faisait volontiers plaisir. Oh ça oui ! Clone ou pas, Edessa était très douée, et l’illusion était parfaite, Edessa pensant même au sens sanguin de sa Maîtresse. Ainsi, Mélinda défonçait le cul de cette salope, la faisant hurler et couiner, son sexe durci tressautant entre ses doigts au fur et à mesure qu’elle le masturbait vigoureusement, le pointant vers la Ai d’origine. Edessa, quant à elle, était tout à fait à son aise, et, étant plus corpulente que sa Maîtresse, elle déplaçait Ai, tout en se servant de sa queue caudale pour caresser les jambes de la femme, frottant le long de ses jarretelles.
Edessa était une Succube, et, partant de là, elle pouvait sentir toute l’excitation d’Ai, et, surtout, sa forte expérience sexuelle. Pour une humaine aussi jeune, Ai était à peine croyable… Edessa, qui passait l’essentiel de son temps au harem ou au manoir de sa Maîtresse, s’amusait parfois à se promener en ville. Si elle était l’esclave de sa Maîtresse, elle était aussi une Succube, et, à ce titre, elle avait d’autres obligations à satisfaire. Sa spécialité était de se rendre dans les ruelles, et de faire l’amour avec les locaux. Il pouvait s’agri d’hommes crasseux dans un bar enfumé, d’individus dans des ruelles, ou encore de ménagères… Un peu de tout. Elle avait donc une bonne expérience, et, en conséquence, pouvait donc clairement dire qu’Ai était vraiment une femme expérimentée.
Ai embrassa son clone, puis, ensuite, après de longues minutes, les deux femmes jouirent ensemble… Et Ai éjaculait joyeusement, balançant à chaque fois des foutres de sperme, s’éclaboussant mutuellement, ainsi que les femmes derrière elles. Elles les relâchèrent ensuite, après un câlin tendre entre Ai et Edessa. La petite Ai, après avoir joui, avait toutefois encore envie de se faire défoncer le cul, et demanda à se faire prendre par sa Maîtresse. Edessa sourit, tout comme Mélinda, qui avait embrassé le clone sexuel d’Ai, en profitant pour prendre un peu de sperme sur sa joue. Elle le suça donc, et sourit ensuite, une lueur espiègle sur le regard, tout comme le clone d’Ai. Elle avait un grand sourire, toute heureuse de s’être fait défoncer le cul, et visiblement très bien ancrée à l’idée d’être la jumelle d’Ai. Elle se rapprocha ainsi de la première, se dandinant sur place, avec le sperme sur son corps, formant comme une sorte de seconde couche.
« Hum… Tu as vraiment bon goût, Ai… Maintenant, mets-toi à quatre pattes, ma chérie… »
Le clone d’Ai obtempéra également, et joignit sa main sur celle d’Ai, en lui souriant… Et en lui léchant rapidement la joue, avalant un peu de son foutre.
« Hîhî, oui, Ai-chaaaaan est trèèèès booonnneeeuuuh !! »
Edessa gifla alors les fesses du clone, qui couina en se mordillant les lèvres. Mélinda venait de se rapprocher, et les deux femmes se dressaient ainsi dans le dos d’Ai et de sa sœur jumelle. Mélinda posa ses mains sur ses fesses, et approcha sa verge de son trou bien écarté, frottant ses fesses avec. Edessa faisait de même avec l’autre, et, en souriant, Mélinda nota qu’elles se tenaient la main.
« Hum… Je sens que je vais adorer te défoncer le cul, ma belle Ai… »
Et, joignant le geste à la parole, Mélinda s’enfonça en elle, en poussant un soupir… Et en lui admonestant bien évidemment une grosse claque au passage.
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Que la luxure était douce. Ai ne regrettait nullement d'être venue passer la nuit ici, dans ce somptueux manoir, tant pis si demain elle est fatiguée en cours, elle ne regretterait rien. Avec tout ce qu'elle a pu faire depuis son arrivée ici, elle avait bien des choses à retirer de sa liste mais aussi des nouvelles à placer dedans. Cette Mélinda était la porte de tant de fantasmes, elle tenait un harem, elle avait tant de filles à ses pieds et en plus, elle avait des filles sorties tout droit des univers fantasy et manga. Des nekos, des kitsunes, des succubes, des elfes, qu'est-ce qu'elle n'avait pas sous ses ordres en tant que beauté ? Ça, ce serait sûrement une question difficile. Pour l'heure en tout cas, elle se faisait plaisir entre une vampire, une succube et cerise sur le gâteau, sa jumelle ! Oui, c'était un clone mais au final, ça revenait au même ? Elle lui était identique en tout point, c'était sa jumelle. Ses fesses encore engourdies par les talents de la belle démone, sa peau collait à cause de la foutre de sa sœur, certaines auraient juger ça dégoûttant, elle, elle apercevait le paradis. Mais avide de découverte, elle en demandait plus, voulant voir de quoi Mélinda était capable ? Ai avait eu la chance de baiser Mélinda mais pas le contraire, elle qui avait son petit caractère malgré sa petite taille, avec une personne comme Mélinda, elle était prête à faire la chienne pour goûter à tous les beaux fruits qu'elle possède. Mais les autres devront subir Ai comme elle est même si pour arriver à ses fins, elle était prête à être bien gentille.
Les deux sœurs échangeaient donc leur place aux côtés de leurs maîtresses, Ai venant joyeusement près de Mélinda alors que sa sœur était avec la Succube. Cette fois-ci, elles n'étaient plus assise sur elles mais devaient se mettre à quatre pattes, hum, ça promet ! Sa sœur en profita pour lui lécher la joue en la complimentant alors que la vraie Ai venait lécher ses lèvres et son menton pour y prendre la délicieuse semence.
« Oh mais sa jolie Ai-chan aussi est délllllllllliiiiiiiiicieuse ! »
Leurs mains se touchant, elles prenaient place devant leur maîtresse, elle put voir avec joie sa jumelle se faire pénétrer, voir son joli visage se tordre de plaisir, elle était si craquante ! Mélinda ne tardait pas à en faire de même, songeant déjà au plaisir qu'elle allait prendre lui prenant le cul.
« Allez-y Maîtresse, je suis prête à avoir votre grosse queue dans mon petit cul ! »
Bon Edessa avait un peu élargi les angles mais le plaisir sera bien au rendez-vous, ça, il n'y avait aucun doute à ce sujet. Ai gémissait en sentant son passage forcé puis elle observa sa jumelle qui avait sûrement la même expression sur le visage ? Lui faire face était tellement mieux, certes juste avant c'était tout aussi bien mais là, elles pouvaient se voir si près, se toucher, s'embrasser. Il fallut moins de dix secondes durant lesquelles elles s'admiraient avant de les voir s'embrasser en gémissant et en couinant sous le savoir-faire de deux expertes comme elles. Était-ce de vrai baiser ? À y regarder de plus près, vu le rythme imposé par leurs maîtresses, elles ne pouvaient pas vraiment s'embrasser correctement, c'était donc plutôt de grands coups de langue, parfois l'une contre de l'autre, parfois en se léchant la joue, le menton, toujours près de leurs lèvres. Mais plus elles se collaient l'une contre l'autre et plus les deux Ai avaient besoin de se coller l'une contre l'autre, de se faire joyeusement défoncer le cul en savourant le contacte de leurs jumelles. Ce fiut d'ailleurs la vraie Ai qui rompit le baiser – mais pas sa sœur qui continua de la lécher – alors qu'elle tournait le regard vers Mélinda, quémandant une faveur.
« Maî... trèsse !? Je... veux me rapp-rocher d'Ai-chan ! Je veux huuUUUUUMMMMM !!! Je veux la câliner ! L'embrasser HAAAAAAAAAN !!!! »
« Oh ouiiiiiiiiIIIIIIIIIII !!!! Je t’arroserais comme çaAAAAAAAA !!! »
« Huuuuummmm... on sera toute collante... Avec nos... HHHHHAAAAAAANNNNNNN MOOOUUIIIII !!! Nos jus de cochonne ! »
« Huuuummm et nos... maîtresses nous écraseront... entre elles ! »
Rien qu'en se regardant, en s'imaginant déjà là, prise en sandwich entre leurs maîtresses, elles étaient aussi heureuses que si c'était vraiment le cas. Leur grand sourire était rempli de perversion et d'innocence, c'était à la fois beau et... juste beau. Elles n'avaient pas fini de s'amuser toutes les deux ensemble. Ai s'imaginait déjà dormir avec sa sœur jumelle, faisant de Shii leur proie, elle dormira entre deux Ai, elle se fera baiser avant de dormir ou demain matin avant d'aller en cours ? Peut-être les deux ? Ai était gourmande et voulait passer un moment avec chaque petite chatte ou petit cul qui se promenait dans ce harem mais désormais, elle ne se voyait pas agir ainsi sans son double. Elle était littéralement amoureuse de son double. Non pas qu'elle rêve de se mettre en couple avec elle-même mais son double quoi ! C'était clairement la meilleure camarade de jeux possible alors forcément, comment refuser son invitation ? Elles vont s'amuser toutes les deux.
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La magie rose, maintes fois sous-estimée, maintes fois réduite simplement au fait d’avoir un plus gros zob’, était en réalité une magie très riche, très diversifiée, et très complexe. Les clones sexuels en étaient la plus belle illustration. On parlait bien de clone sexuel, et non juste de clone, c’est-à-dire que le clone sexuel était avant tout créé à des fins sexuelles. En soi, la conception magique d’un clone était très complexe, car elle mélangeait plusieurs types de magies, et nécessitait de hautes compétences magiques. Edessa avait dû énormément s’entraîner pour arriver à produire des clones décents, et, l’effet pervers de ce système, c’était que, plus le clone était performant, et plus on avait tendance à le voir comme une véritable personne. Or, il ne fallait pas oublier qu’un clone sexuel était avant tout une projection magique de fantasmes, et une illusion magique. Le clone sexuel était une sorte de projection fantasmée d’Ai, une projection qu’Ai avait sur elle-même. Chacun avait une sorte de représentation sexuelle de lui-même qui, comme toute représentation, était différente de la réalité. On se représentait comme un tombeur, ou comme un incompétent, et le clone sexuel concrétisait cette image, permettant généralement de la confronter avec la réalité. Ai, elle, avait une représentation sexuelle d’elle-même qui, pour le coup, était très fidèle à la réalité, car son clone était réellement une sœur jumelle, tant physiquement, que du point de vue du comportement. Il y avait ici un risque, car on pouvait confondre le clone, et finir par croire qu’il était une personne réelle... Et, à voir la manière dont Ai était proche de son clone, Mélinda craignait pour la suite... Mais peut-être se faisait-elle trop de soucis. De toute manière, elle savait maintenant, avec certitude, qu’Ai ne la quitterait pas de sitôt.
Ce qu’Ai voyait ici dépassait l’entendement et ses rêves les plus fous, et il n’y avait pas besoin d’être grand clerc pour le voir. Il suffisait de voir les yeux admiratifs d’Ai, et sa soif sexuelle. Elle faisait honneur au Futabu Club, et Mélinda, en conséquence, lui labourait le cul, sans ménagement. Il en allait de même pour Edessa, qui prenait également grand plaisir à se taper sa création, et à voir à quel point celle-ci était réaliste. Edessa avait tellement travaillé sur la production de clones sexuels... Oh, elle en avait passé des centaines d’heures, à méditer, et à générer des clones, en essayant de les maintenir. Ses formatrices lui avaient dit que c’était extrêmement difficile, et Edessa avait été jusqu’à aller voir la Déesse des Sorcières, Sha, afin d’avoir ses conseils. Sha était une spécialiste mondiale en matière de clones, puisqu’elle pouvait en générer des dizaines sans problème, et ainsi organiser des orgies. Ce n’était pas une Déesse pour rien, et ses conseils et ses leçons avaient énormément profité à Edessa. On pouvait en voir le résultat en ce moment, dans la manière dont elle défonçait le clone d’Ai, et dont celui-ci réagissait au traitement qu’on lui infligeait.
« Haaaa... Haaaannnn... !! »
Ah ! Les délicieux et onctueux soupirs d’une succube ! Edessa avait toujours eu une voix magnifique, conforme à ce qu’elle était. Tout, chez elle, suintait la perfection et la magnificence. Mélinda en était folle, de sa « petite » Edessa. Il fallait bien comprendre qu’elle l’avait tenu dans ses bras alors qu’elle était encore un bébé, et que, même si elles appartenaient à des races différentes, elle avait toujours vu Edessa, davantage comme une fille adoptive, que comme une esclave. Et il en était de même pour Edessa, qui, quand elle disait « Maîtresse », pensait surtout à « Maman ». Edessa était une petite perle rare, qui rapportait énormément d’argent à Mélinda, et recevait quantité de lettres d’amour de la part d’admirateurs et de fans.
Autrement dit, Ai avait bien de la chance de se faire prendre par elle et par Mélinda. Bien évidemment qu’elle souhaitait rester ! Comment aurait-il pu en être autrement ?! Elle embrassait son clone, pendant que Mélinda et Edessa les baisaient mutuellement. Les coups de reins se multipliaient, et les corps des deux femmes remuaient d’avant en arrière, alors qu’elles s’embrassaient tendrement, et mielleusement. Mélinda se reconnaissait partiellement en cette petite Ai : sa perversion, et cette espèce d’admiration perverse pour elle-même. Ai était comme elle, s’aimant tellement qu’elle n’hésiterait pas à se faire l’amour. La vampire ne pouvait que la comprendre, et ce spectacle renforçait sa férocité. Edessa avait déjà bien écarté les parois anales d’Ai, et Mélinda y remettait une couche supplémentaire, convaincue que la sodomie ne devait sûrement pas gêner Ai Aihara.
Au bout d’un moment, Ai tourna la tête vers Mélinda, formulant une nouvelle requête... Que la vampire comprit assez rapidement, et qui la fit sourire.
« Tu... Humm... Tu es vraiment insatiable, Ai, mais... Je ne peux rien te refuser, ma choupette... »
Mélinda n’était pas une vampire pour rien, et elle disposait d’une force plus importante que ce que son frêle corps laissait supposer. Elle se pencha vers la femme, et la souleva par les hanches, en grimaçant quand son sexe s’enfonça un peu plus dans son cul. Mélinda la remit en position, plaquée contre son ventre, et Edessa fit de même... Puis les deux femmes s’avancèrent, et les corps des deux Ai se heurtèrent l’un à l’autre. Autrement dit, les quatre femmes étaient toutes debout, avec des chibres plantés dans les culs d’Ai, qui se tenaient l’une contre l’autre.
Edessa reprit tout naturellement ses coups de reins, son sexe profondément enfoncé dans le cul du clone, et Mélinda faisait de même, tout en mordant la nuque d’Ai, sans boire son sang, simplement pour la mordiller un peu... Car un vampire aimait toujours mordre ses partenaires.
« Ça te plaît, hein, ma petite salope ? Hummm... De se taper un clone de toi-même... Tu... Haaaa... Tu es vraiment une traînée, Ai... !! »
Un peu de provocation, ça faisait toujours du bien, non ?
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Tous les mots dans toutes les langues ne seraient pas assez bons pour expliquer ce qu'elle ressentait. Ce plaisir lié au sexe fut une chose merveilleuse qu'elle a découverte à son adolescence comme la plupart des gens après tout. Mais étant une fille à part à cause de ce qu'elle avait entre les jambes, Ai avait vite adopter la façon de se faire plaisir comme un garçon. Elle ne délaissait pas sa part de féminité pour autant, c'est juste que, ej bien elle trouvait cela plus amusant de se branler et de joui tant de foutre ! Certes au début ce fut problématique de tout nettoyer à chaque fois pour éviter que ses parents en découvrent que leur petite futa – car ils savaient ce qu'elle avait entre les jambes mais avaient décidé de laisser Ai décidé une fois adulte – avait vraiment de « l'énergie » à revendre. Mais pour en revenir au principal, ici, dans dans une maison où le sexe parlait librement, elle était très très TRES heureuse ! Alors si on ajoute à cela une vampire foutrement sexy, une succube tellement belle et une sœur jumelle... Clone sexuel, sœur jumelle, ça sonne pareil. Elle était au nirvana, sachant que là, elle n'a pas découvert cinq pourcents de ce manoir et ne parlons même pas des filles au service de Mélinda.
Elle se faisait joyeusement baiser par Mélinda, même si dans sa nature, elle n'est pas soumise, face à une femme aussi belle et avec autant de ressources, elle lui demanderait la lune qu'elle ferait tout pour la lui obtenir. Alors se soumettre ? Bah pourquoi pas. D'autant plus que sa sœur restait là, jouant avec elle. Toutes les deux se faisaient enculer mais toutes les deux étaient les filles les plus heureuses de ce manoir, peut-être même de cette ville ? Ce serait abusé de dire de ce pays ? Peut-être mais qui sait ce qui se passait ailleurs à l'heure actuelle ? Ai formulait sa demande, voulant en plus de cela être plus proche encore de sa sœur jumelle, un plan à quatre qui restera gravé dans les annales ! Et dans son anal a elle aussi. Mélinda accepta évidemment en lui donnant un surnom tout mignon ! Que ce choupette ou pute de bas étage, elle aimait voir sa maîtresse lui donner un surnom, ça la rendait plus unique même si cela voulait dire que Mélinda était d'autant plus sa Maîtresse.
« Haaaaa ! M-Merci Maî... tresse !!! »
Faisant quelques efforts, elle savourait ces petits préparatifs qui faisaient mieux sentir sa queue en elle, jusqu'à se retrouver debout, face à sa jumelle, coller contre elle, elle ne perdait pas une seconde pour l'enlacer et l'embrasser. Elles pourraient se dégager de leur petit cul que ça ne changerait sûrement pas grand-chose ? Plaquée l'une contre l'autre, elles se collaient ensemble, ne lâchant plus leurs lèvres, remuant simplement sous les coups de leur maîtresse, se donnant donc quelques coups de ventre alors que Mélinda tentait une provocation. C'était plus un compliment pour elle mais elle voulait rentrer dans le jeu, quittant les lèvres de sa jumelle qui venait lui lécher le visage, nettoyant sa foutre qu'elle lui avait collé dessus.
« Maaaaaaaiiiiis ! Pas ma f-faute hum.... Maîtresse à de... si belle et... han, talentueuse copines ! Je peux qu'être une putain p-pour kpuer avec vous.... Haaaaannnnnn oooouuuiiiii ! »
« Mmmmmmmhhhhhhh OOOOUIIIIIIII ! Ai-chan aime... se faire défoncer le cul !!! EN plus.... Mon pénis caresse celui d'Ai-chan... »
« Haaaaaannn, eux aussi se font... nnnnnnoooooouuuu ! Des bisous et des câlins ! Trop mignon ! »
« Hihi, après on s'éjaculera dessus puis... ont sera toute collante... »
Il n'y avait qu'elle pour fantasmer en pleine sodomie sur ce qu'elle voyait. Se collant contre sa jumelle, toutes les deux continuant leur ébat en étalant le sperme sur leur corps, en remettant une couche encore après ça. Ce n'était même pas fini qu'elle songeait déjà à la suite de ses aventures de baise ! Déjà que la pauvre Ai portait encore sa tenue pour rien, elle était bonne pour le lavage ! Mais c'était peut-être l'occasion de voir si Edessa avait mieux à lui faire porter ? Qui sait, pour une succube, elle devait avoir des tenues très mignon et sexy ? Elle était impatiente de trouver son tiroir à petite culotte ! Ai savait quand même profiter de la situation, si elle gardait sa sœur conte elle, elle glissa une main dans son dos, caressant ce morceau de fesse qu'elle arrivait à toucher. Mélinda avait un de ces petits culs bien charmant qui lui donnait envie de croquer dedans comme dans une belle pomme !
« Maîtresse... très très fort.... hhhhhhaaaaaannnn ! »
Elle veut en avoir pour son argent et en avoir mal au cul pendant un petit moment. Mais ce n'était pas étonnant de la petite futa puis ce n'était pas une chose qui allait déplaire à Mélinda en plus.
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Edessa était le principal moteur de cet improbable ébat à quatre. Deux sodomies, deux corps sodomisés se collant l’une à l’autre... Mélinda avait du mal à suivre, et, fort heureusement, la Succube faisait parler sa magie autour d’elle. La magie rose vibrait, et Edessa la concentrait sur le corps de la vampire. Cette dernière sentait alors son adrénaline croître, ainsi que sa force et sa résistance naturelle. Elle supportait mieux le poids du corps d’Ai, et sa verge était en train de grossir encore plus fort, s’élançant douloureusement et violemment en elle. Oh ! Que sa verge était dure ! Edessa se faisait plaisir, et elle-même enculait joyeusement le clone, donnant de violentes coups de reins. Si les corps ne s’écroulaient pas, c’était grâce à ce mélange de fluides corporels qui retenaient la chair. Edessa était vraiment en train de se faire plaisir, car, plus Ai jouissait, et plus elle sentait la fantastique expérience sexuelle de cette femme.
Ai et Ai se faisaient plaisir, et ne tardèrent pas à éjaculer joyeusement ensemble, éclaboussant aussi bien leurs corps que ceux d’Edessa et de Mélinda. Les deux corps se frottaient, se pelotaient, et Mélinda put sentir les mains du clone frotter son nez quand elle empoigna les beaux cheveux verts de la femme. La tenue élégante d’Ai risquait vite de ne ressembler à rien. Mains posées sur ses hanches, les pouces heurtant et s’appuyant sur les fesses d’Ai, elle avançait le corps de la femme, avant de le ramener, tout en continuant à faire onduler son corps.
« Haaaaa... Hmmmmmmmm... !! »
Edessa se mordillait les lèvres en soupirant longuement, et elles continuaient à se faire longuement l’amour. En soupirant, Mélinda entendit alors Ai demander d’y aller plus fort, et elle la mordilla dans le cou, sans pour autant prélever son sang.
« Quel appétit, ma chérie... Mais je vis pour te satisfaire... »
Si Ai voulait qu’elle aille plus vite, ça ne risquait clairement pas de déranger Mélinda. La vampire continua donc ses coups de reins, renforçant l’allure, crispant ses doigts contre le corps d’Ai, et, ensemble, la vampire et Edessa les prirent donc... Et, lentement, la magie rose d’Edessa était en train d’agir, faisant se déplacer le sperme qui éclaboussait leurs vêtements ou le décor pour remonter, et s’enrouler autour de leurs corps. Le sperme s’enroula ainsi autour de leurs jambes, avant de se « solidifier » le long de leurs corps, comme si le sperme devenait collant et gluant. On pouvait le retirer, bien entendu, mais pas si facilement.
Et, pendant ce temps, les deux femmes, la vampire et la démone, continuaient à les prendre. Mélinda y allait de plus en plus fort, donnant des coups qui amenaient Ai à se redresser, son corps tapant contre celui de la femme. Parfois, elles jouissaient en hauteur, formant des filaments de foutre qui allaient jusqu’à atteindre le plafond, avant que la magie rose d’Edessa n’agisse, dans le but de recouvrir les deux femmes de sperme... De la tête aux pieds.
Comme quoi, la magie rose était bien pratique, et, pendant ce temps, Mélinda et Edessa ne cessaient de jouir en elles, la magie remplissant l’esprit de Mélinda.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! HAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNN... !!! »
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Ne pas demander à Ai d'être autant perverse, c'est comme demander à ne plus avoir d'oxygène sur Terre, c'est impossible ! Elle avait découvert le sexe, elle aimait ça et dorénavant, elle ne vivait que pour ça. Et c'était le cas de le dire, à les voir, elle et son clone ne plus se lâcher, se coller l'une contre l'autre en gémissant et en couinant comme par possible, il fallait croire que rien n'allait les séparer de sitôt, pas même la fin du monde. Elle continuait d'embrasser avec passion son double, ne la lâchant pas si facilement, pas même pour la superbe sodomie que Mélinda lui offrait. C'était un délice, c'était si bon, avec cette verge qui ne cessait de grossir en plus, Ai était aux anges et pourtant, ses seuls remerciements étaient ses gémissements quand son double ne lui bloquait pas la langue avec ses baisers si délicieux. Elles avaient beau se jouir l'une contre l'autre, parfois faire de beaux arcs-en-ciel en foutre, ça ne changeait rien à leur envie et à leur passion. Même si à force de jouir, la vraie Ai n'avait plus autant de sperme à donner, ça restait quand même une grosse quantité même si moins grande que d'ordinaire.
Leur semence était pratiquement une seconde peau pour elles qui se collaient l'une contre l'autre, cela arrosait parfois leur maîtresse mais les Ai s'en fichait, cela faisait partie des joies du sexe après tout, non ? Bien sûr que oui ! Même si les verges de leur maîtresse étaient délicieuses ainsi logées dans leur petit trou du cul, elles ne pouvaient penser à autre chose que de jouir encore et encore, de se faire plaisir ainsi et de repousser plus loin leur limite, que Mélinda elle-même crie stop tellement Ai se montrait si perverse et unique en son genre. Il est vrai que des humaines qui tiennent aussi bien le coup... ce n'est pas rare mais pas commun non plus. Même si ses fantasmes lui faisaient souvent perdre connaissance un moment, elle semblait infatigable une fois sur pied. Même si ce n'était qu'en apparence. Bien sûr qu'Ai voit ses limites se rapprocher de plus en plus, d'autant plus que demain, elle avait cours. Même si pour le coup, elle va pas avoir de mal à s'endormir.
Car quand sonnait la nouvelle jouissance de Mélinda, suivit en rythme par Edessa, les deux jumelles ne tardaient à jouir aussi, s'arrosant mutuellement avant de retomber, l'une dormait presque sur l'autre tellement la fatigue de cet ébat était royale. La tête sur l'épaule de l'autre, elles reprenaient leur souffle. Fin du match ? Pas si sûr mais une pause, certainement.
« Oh Maîtresse... Ma vie à vos côtés... ne suffirait pas... à vous remercier... »
« On a... tant à faire encore... Ai-chan. »
« Oui... mais là... je veux souffler... »
Si toutes les chambres de ce manoir promettait d'être aussi bon et agréablement riche en surprise, Ai n'aurait pas assez de ses vacances scolaires pour s'amuser pleinement ici ! Mais au moins, la vampire était sûre de toujours voir la petite futanari chez elle, pour ça, c'est sûr. Elle caressait à peine le corps gluant mais toujours aussi bon de sa jumelle, se disant qu'elle allait retirer sa tenue. Couverte ainsi de foutre, l'effet érotique, sublime et excitant en avait pris pour son grade, au moins, c'était la preuve que sa tenue était ravissante !
« Faut pas que je dorme ici... faudrait que je rejoigne... Shii-chan ensuite... la pauvre m'attend... Faut encore... que je lui fasse l'amour. »
« Moi aussi ? »
« Bah oui, elle en aura deux pour le prix d'une... Par contre, faudra d'abord te cacher, on lui fera une surprise !!! »
Quelques mots échangés et les voilà prête à reprendre les rênes après ces deux minutes de paix et de repos, même si elles n'aguichaient pas leur maîtresse pour le moment – pas volontairement du moins – elles n'allaient pas tarder à revenir au galop sur elles ! Ai – la vraie – s'écartait doucement en retirant un à un les éléments qu'elle portait encore, sous les yeux médusés de sa jumelle.
« Mais pourquoi tu retires ça ?! »
« C'est inutile maintenant que c'est couvert de ta semence Ai-chan. Puis comme ça, ce sera l'occasion de mettre un autre genre de pyjama ensuite. »
Son clone gloussait en sachant ce que « pyjama » pouvait vouloir dire dans cette situation avec Ai. Restant nu comme un ver – elle était trop poisseuse pour oser vouloir porter quelque chose maintenant – elle se tourna vers sa Maîtresse avec un large sourire, sans aucune trace de fatigue – même si ce n'était pas le cas.
« On joue à quoi Maîtresse maintenant ? »
« Vous voulez voir les Ai baiser ensemble ? »
« Ou bien on va dire bonsoir à d'autres filles ? »
« Ou même une petite gâterie à Edes-chan ? »
Les voir maintenant à l'identique, il serait difficile de différencier la vraie du clone...
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Magie et le sexe ne faisaient jamais aussi bon ménage qu’en matière de magie rose. Les plaisirs auxquels Ai avait droit étaient clairement surnaturels. On ne verrait pas ça ailleurs, dans des relations classiques. Un clone, une succube joueuse, et ce sperme qui vint à recouvrir leurs corps, comme une sorte de couche de peinture blanche. Une curieuse odeur émanait de cette pièce, le genre de curieuse odeur qui était assez coutumière dans les chambres du manoir et du harem. Une raison pour laquelle il fallait tous les jours passer le ménage, et ce en aspergeant des litres de désodorisants. Autant dire que, avec Mélinda, les fabricants de désodorisants faisaient fortune ! Mélinda, de fait, tenait à ce que le manoir reste propre. Elle était très libre avec tout ce qui relevait du sexe, à condition que ça ne vire pas en un baisodrome sordide de bas-étage. Et, pour cela, il était nécessaire de tout nettoyer. Autrement dit, derrière la cyclone Ai, une équipe de ménage allait passer, éventuellement se faire l’amour sur place, puis renettoyer ensuite. Dans la mesure où l’équipe de nettoyage portait généralement des tenues de maid sexy made-in-Warren, soit parfois fournis avec des accessoires (comme un plug ou un vibromasseur), il était fréquent qu’elles fassent des pauses.
Pour l’heure, une telle pause avait lieu entre Ai et son clone, Ai-2. Les deux Ai soupiraient longuement, reprenant leurs forces. Allongées sur le sol, étalées entre Mélinda et Edessa, elles se câlinaient doucement, le sperme collant à leurs corps, formant des bruits spongieux assez… Inattendus. Finalement, la première Ai se redressa, et ôta ses vêtements, estimant qu’il ne servait plus à rien, maintenant, de les porter. Elle se retrouva donc aussi nue que sa « sœur », et, peu à peu, le sperme qui la recouvrait glissa tout le long de son corps, comme une sorte de symbiote qui chercherait à couvrir tout son corps. Deux espèces de glaces blanches se trouvaient au milieu de la pièce, le sperme retenu à leur corps par les bienfaits de sa fée faite maison : Edessa.
Poliment, Mélinda sourit quand Ai lui avoua qu’elle n’aurait pas de toute sa vie à offrir pour la remercier.
*Si ça, ce n’est pas un serment de fidélité...*
La vampire avait les bras croisés, tout en voyant les deux femmes discuter entre elles. La manière avec laquelle Ai avait adopté son clone était passionnante. Qui sait ce que cela promettait pour la suite ? La petite Ai était effectivement une incroyable perverse, et un tel comportement augurait de magnifiques choses pour la suite. Finalement, elles se retournèrent vers Mélinda, pour demander la suite. Elles avaient envie d’aller voir la belle Shii, qui allait probablement faire une crise cardiaque en voyant deux Ai… Mais Mélinda fit rapidement quelques précisions.
« Votre sperme ne va pas tenir éternellement… Et je n’ai pas envie que vous le laissiez dans tous les couloirs pour rejoindre Shii… Pensez à vos petites camarades du matin qui vont devoir nettoyer tout ça.
- Par conséquent, nous allons encore jouer ensemble, mes deux glaces. »
Difficile de fatiguer quelqu’un comme Edessa, une Succube. Elle était la fierté de Mélinda, le fleuron du harem, et on comprenait rapidement pourquoi. Au harem, tout le monde l’aimait. Elle était amie avec tous les esclaves. Edessa était, en quelque sorte, l’un des rochers du harem, un pilier inébranlable qui permettait au cœur de l’entreprise sexuelle de battre. Son corps avait accueilli des milliers de verges au cours de sa longue existence, et elle avait entraîné, formé, et rassuré des dizaines et des dizaines d’esclaves.
Edessa leur sourit donc, ses mains venant caresser leurs cheveux.
« J’ai toujours eu envie de me faire prendre par une fille couverte de sperme et sa jumelle… »
Elle s’écarta alors, et plia les genoux, se mettant à quatre pattes, avec sa robe, sa queue caudale allant caresser la joue de l’une des Ai, avant de descendre pour s’enrouler gracieusement autour de son sexe, et presser délicatement dessus. Le message était clair : une venant s’occuper de ses fesses, l’autre de sa bouche. Avec sa robe si particulière, il y avait juste à tirer sur le nœud du bas pour pouvoir atteindre sa croupe.
« Venez, mes petites chéries… Venez baiser la belle Edessa… »
Quand on savait ce que les clients devaient payer pour avoir le droit d’enfoncer leur queue dans le corps d’Edessa… Autant dire que les Ai étaient très chanceuses !
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La vie était parfois tellement belle, il faut voir la vie en rose, la vie en magie rose plutôt ! Ai avait bien vidé ses bourses – sûrement dans son corps puisqu'elle n'avait jamais vu ses testicules – presque autant que lors de certaines soirées du Futabu. Ha c'était génial ce genre de soirée mais ça manquait de filles, souvent entre elles ou toujours les mêmes filles. Au moins chez Mélinda... ça va être chouette ! Les deux Ai étaient couverte de sperme mais cela ne semblait pas les déranger, au contraire, ça semblait les amuser ? Enfin bon, les deux Ai étaient fidèle, l'une comme l'autre mais voilà que leur maîtresse ne voulait pas les laisser partir comme ça, pas avant d'être nettoyé entièrement. Logique mais Ai espérait bien que Mélinda ne voulait pas parler simplement de douche ? Ou alors une douche avec des tas de langues, ça serait avec joie !
Heureusement Edessa était là pour les rassurer, voulant faire l'amour avec deux filles couvertes de sperme... Eh bien il suffit de demander, elles ne pourraient jamais rien refuser à une telle beauté ! Et puis le fait qu'elle enroula et pressait doucement la queue de la petite Futa était bien plus que suffisant pour la faire venir à elle. Elle était faible face à la tentation... Il suffisait de la voir à quatre pattes, attendant sa petite récompense pour de suite, retrouver un second souffle et avoir envie de la prendre dans tous les sens du terme ! Cependant, la Succube n'avait pas idée de ce qu'elle venait de faire... Elle n'avait pas désigné qui s’occupait de quoi ? Du coup, les deux Ai ne savaient pas trop, l'une comme l'autre vantant les qualités des deux orifices proposés sans pour autant se décider. Puis, elles laissèrent le hasard faire les choses, récupérant une pièce qui traînait sur une table – d'ailleurs c'était une pièce de cinq cents Yens – elles avaient décidé ça au hasard. Pile, c'est Ai qui s'occupe de sa bouche, Face, c'est Ai. Tirant la pièce qui retomba sur le sol, au final ce fut Ai qui allait d'abord s'occuper de sa petite bouche, la vraie Ai ! S'approchant presque en sautillant de joie, elle venait caresser les beaux cheveux roses de sa nouvelle copine.
« Han ça sera la première fois qu'une Succube me suce. Je peux prendre tes cornes pour mener la danse ? »
« Et moi c'est la première fois que je vais sodomiser une Succube ! Je compte bien te lécher ta belle queue en même temps. »
Elle laissait son clone commencer à enfoncer sa verge entre les belles petites fesses et gémir sous les premiers coups avant qu'elle ne vienne cesser de caresser le beau visage d'Edes-chan et attrapait doucement ses cornes en enfonçant son sexe dans sa belle petite bouche.
« Han, c'est tellement bon. Mhhhh je n'ose pas imaginer comment c'est bon, huuuum, entre tes cuisses ! »
« Je te rassuuuuure, hum... son petit cul est tout aussi déliiiiiiicieux ! »
Les deux se faisaient doucement plaisir en baisant les deux orifices d'Edessa. La vraie Ai était douce en agrippant les cornes, fermant les yeux en savourant cette bouche accompagnée de cette langue alors que la seconde tenait la belle queue à deux mains, venant la sucer comme un chibre entre ses mains, la caressant aussi comme s'il s'agissait de ça. Mélinda pouvait se rincer l’œil et même inviter des gens pour observer, aucune de ses trois-là ne sera gêné d'être ainsi observé, ça les exciterait sûrement bien plus.
« Hhhhaaaaaa.... on sent bien... qu'Edes-chan est... hum une grosse gourmande ! »
« Huuuum mmmoouuiiii ! Ce petit cul à... connu bien des bites avant... la mienne... »
« Mais c'est aussi... haaaa... pour ça qu'on l'aime ! »
« Oh ouiiiiiii ! On a... tellement à lui offrir... Dans sa petite bouche... son petit cul... »
« Ai-chan !!! Prenont ensuite... sa petite chatte à deux ! »
« Oh ouiiiiiiiii ! On va faire... bien gonfler son joli ventre... avec notre belle foutre ! »
Mais avant, fallait-il encore jouir et là, elles en étaient pas prêtes mais des petits cris et gémissements suffisent à faire monter le plaisir et donc, à jouir plus vite. Comme elles disaient, plus vite elles jouissent, plus vite elles vont recommencer après tout ! Déjà que les Ai gémissaient de plus en plus, les deux futas n'ont pas prêt de finir d'offrir beaucoup de travail aux servantes de Mélinda.
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Mélinda observait les deux crèmes glacées tournant lentement autour d’Edessa, en se demandant comment elles allaient la prendre. Elles discutaient entre elles pour savoir qui aurait le privilège de lui butiner le cul, et de prendre sa bouche. Amusée, Mélinda observait ce spectacle. Le foutre collait magnifiquement à leur peau, formant véritablement une sorte de seconde peau, qui ne laissait aucune trace sur le sol. Un spectacle véritablement fascinant, qui faisait sourire Mélinda. Se mordillant les lèvres, la jeune femme s’était assise sur un fauteuil, toute nue, et les vit agir. Ce fut la vraie Ai qui allait s’occuper de la bouche, et le clone de son cul. La Succube, qui avait dû patienter le temps qu’elle se décide, hocha la tête quand Ai demanda si elle pouvait s’appuyer sur ses cornes.
« Bien sûr, ma puce, elles sont faites pour ça ! »
Les mains d’Edessa se crispèrent sur le sol, puis elle sentit les mains du clone dénouer quelques liens, ayant ainsi accès à sa croupe, cette croupe qui avait été usée, usée tant et tant de fois... Impossible pour Mélinda de compter le nombre de fois où elle avait sodomisé la belle Edessa ! Sa verge rentra dans ses fesses, et Edessa poussa un long soupir de joie, son visage tapant contre sa verge... Puis ce membre rentra dans sa bouche, et elle soupira de plaisir. Comme toujours, Edessa ne se sentait vraiment pleine et remplie que quand on lui faisait ainsi l’amour, que quand on la sodomisait, ou qu’on baisait sa belle petite bouche. Soupirant longuement, la Succube sentait donc les deux clones se frotter, et ne résista vite pas à l’envie de poser ses mains sur les fesses d’Ai, sur ce cul enduit de sperme.
C’était... C’était collant et doux. Beaucoup auraient pu trouver ce spectacle répugnant, tant le sperme pouvait puer... Mais Edessa, elle, adorait cette odeur. Elle remuait sa bouche d’avant en arrière, n’ayant toutefois pas grand-chose à faire, car les deux femmes s’occupaient à la perfection d’elle et de son corps, se tortillant en elle. Des queues qui la pénétraient joyeusement, des soupirs s’échappant profondément de ses lèvres, sa queue caudale venant caresser le corps du clone, s’approchant de ses lèvres.
Peu à peu, la mouille d’Edessa vint à maculer le sol, au fur et à mesure des coups de trique de ses deux amantes. Elles se défoulaient, et Edessa en profitait pour remuer ses doigts, en glissant un dans les fesses d’Ai, la sodomisant également... Avant de les sentir jouir au bout de quelques minutes.
« Hummmm-hmmmmm... !! »
Le corps d’Edessa se tortillait entre les deux femmes, et elle goûta à leur sperme, le trouvant... Magnifique.
Ah, que c’était bon ! La Succube avait toutes les raisons du monde d’être heureuse de ce qu’elle ressentait en ce moment.
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Une fois lancée, il fallait vraiment l'épuisée pour qu'Ai cesse de penser au cul et daigne enfin se reposer ou se comporter comme une jeune normale. Mais comment être normale quand il y avait tant de beauté dans cette maison ? C'est comme être invité dans une pâtisserie lors d'un dur et pénible régime... la tentation est forte. On peut y résister un peu mais tôt ou tard, la tentation sait faire les yeux doux. Et maintenant qu'ici, elle avait un clone ou une jumelle comme elle aimait se dire, la pause ne sera pas de sitôt ! Avec une belle succube qui leur était offerte, comment ne pas avoir envie de se vider tant en semence qu'en énergie pour ses beaux yeux... et pour son beau petit cul ? Elle était fière d'avoir la possibilité de la tenir par les cornes pour mieux lui prendre la bouche comme bon lui semblait.
Sa sœur jumelle n'était pas déplaisante non plus, elle avait le droit à ce beau fessier qu'elle baisait avec joie en jouant avec sa queue par la même occasion. Et face à tant de plaisir avec une si belle personne, les deux petites futas ne pouvaient que se sentir si bien, défonçant avec joie ce joli petit cul et cette délicieuse petite bouche. Oh que cette petite langue était tendre et délicieuse ! Une chance que ses cornes étaient solides et elle espérait ne pas lui faire mal en les serrant, plus elle serrait, plus elle approchait de l'orgasme ! Telle deux jumelles à l'unisson elles jouirent ensemble, l'une se vidant dans sa bouche, l'autre dans son cul. La vraie Ai avait quand même moins de foutre à distribuer que son clone, depuis le début de la journée, elle s'était vidé pas mal de fois... plus que d'habitude mais il faut aussi dire aussi que c'était tellement tentant de jouir ici !
Les deux futas se reposèrent un peu, s'observant avant de venir s'embrasser délicatement par-dessus la belle succube, restant en elle en partageant ce baiser digne d'un moment romantique avant de doucement se retirer d'elle.
« Humm Edes-chan, ta bouche est tellement confortable... »
« Et c'est pareil pour ton petit cul. »
« Allonge-toi, jolie succube, on va te faire un petit plaisir pour te reposer... »
« Mais Edes-chan est pas fatigué ? »
« Oui mais on va jouer côte à côte... Regarde... »
Repoussant doucement la belle succube pour qu'elle s'allonge sur le dos et ensuite, elle caressa doucement son ventre, remontant sa main pour venir caresser un de ces seins doucement avant d'écarter doucement sa poitrine, bloquant sa robe entre ses deux seins... Quelle chanceuse cette robe quand même.
« Tu te demandes pas si elle a du bon lait dans sa poitrine ? »
« Maintenant que tu le dis... »
« Voyons ça ensemble ?! »
Se penchant sur elle, elle venait lécher son téton, venant doucement le prendre en bouche pour le sucer, pressant son sein par la même occasion. Pas son son clone, elle était plus patiente en léchant doucement ce petit téton. Toutes les deux remuaient doucement leurs fessiers de gauche à droite. C'était envoûtant, hypnotisant... Mélinda va être être tentée ou bien elle va juste savourer cela avec ses yeux ? En tout cas, cela ne retira en rien du plaisir des deux petites futas.
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La levrette, l’une de ses positions privilégiées, préférées... Mélinda était bien placée pour savoir combien Edessa aimait se faire prendre par là. Cette robe avait été conçue pour ça, conçue pour lui permettre d’être prise sans avoir à se déshabiller. Contrairement à bien des gens, la Succube partait du principe que le sexe pouvait tout à fait s’envisager avec des vêtements, et que, loin d’être rédhibitoire, les vêtements avaient une dimension sexuelle non négligeable. C’était paradoxal, car les vêtements avaient été initialement conçus pour cacher le sexe, et donc comme des manières de calmer les pulsions... Mais l’esprit humain, retors par nature, avait fini par s’accommoder de ces tenues collantes, et par y trouver des sources d’excitation importantes. Et Edessa, elle, aimait ça. Elle avait plusieurs variantes de la même robe, car il arrivait fréquemment que les cordes se déchirent... En même temps, quand on se faisait régulièrement prendre, ça pouvait se comprendre, car le sexe, fondamentalement, était violent. C’était un contact physique douloureux et lourd, quelque chose d’intense et de jouissif... Mais de douloureux malgré tout. Et ça, il ne fallait jamais l’oublier.
Edessa remuait donc contre les deux femmes, en les sentant la pénétrer joyeusement. Ai et son clone se défoulaient en elle, et Mélinda observait le spectacle en souriant... Puis les sentit jouir toutes les deux. Comme la Succube l’avait expliqué à Ai, le clone sexuel dépendait aussi de la bonne volonté du modèle d’origine, et, vu la manière dont Ai fantasmait sur son clone, celui-ci était terriblement réel, se comportant comme une sorte de sœur jumelle perverse. Elle vit ainsi les deux femmes se pencher l’une vers l’autre, les quatre mains prenant appui sur le beau dos d’Edessa pour leur permettre de goulûment s’embrasser.
« Hmmmmmmm... » gémissait longuement la Succube, en se mordillant les lèvres.
Ah, ces contacts délicieux ! Oh, la sensation d’avaler du sperme, de goûter à ce liquide de vie, une sensation qui ruisselait dans tout son corps, en faisant frissonner tous ses membres. Sa queue caudale caressait les fesses du clone, tandis qu’elle retira ses doigts du cul de la vraie Ai, et les sentit ensuite s’écarter d’elle, leurs sexes toujours tendus, et le désir toujours brûlant dans la prunelle de leurs yeux. La Succube ne pouvait que sourire, ravie par un tel spectacle.
Edessa, effectivement, n’était guère fatiguée, mais, en souriant, alla se coucher sur le dos, et les invita à venir :
« Venez jouer avec Edessa, mes chéries, Edessa a été conçue pour ça, pour servir d’amante à qui le veut... »
Mine de rien, Mélinda voyait beaucoup de rapports entre Edessa et Sya, cette turbulente Ange de la Luxure qui était actuellement hébergée chez elle. Les deux étaient de profondes perverses dotées de pouvoirs magiques orientés vers le sexe, et les deux aimaient l’idée d’avoir de nombreux amants. Néanmoins, outre ces rapprochements, il y avait aussi d’importantes différences, comme le fait qu’Edessa aimait aussi bien coucher avec des femmes qu’avec des hommes.
Les mains d’Edessa massaient les fesses des deux glaces de foutre, et la première Ai écarta son décolleté, dévoilant ainsi la généreuse poitrine de la Succube, qui sourit en voyant ce qu’elles avaient envie de faire.
« Oh oui, mes belles... Venez prendre le bon lait de votre Maman... »
Elle leur sourit, et, quand elles se positionnèrent, les mains de la Succube vinrent masser leurs délicates fesses, les laissant néanmoins se dandiner, tandis qu’elles commençaient à suçoter ses seins, faisant gémir la Succube... Qui ne comptait cependant pas offrir son précieux lait aphrodisiaque si facilement. Il fallait bien un peu de challenge ! Elle les laissa donc s’évertuer, et, entre-temps, Mélinda se déplaça lentement, sa verge déployée... Et, comme si Edessa comprenait inconsciemment ce qu’elle voulait, un clone d’elle-même se forma.
« Tu prends laquelle, ma chérie ?
- Hum... À toi l’honneur, ma puce... »
Ai n’était pas la seule à savoir s’accommoder d’un clone, et, quand on avait l’emploi du temps très chargé de Mélinda, avoir une jumelle qui raisonnerait exactement comme elle n’était pas une mauvaise idée. Les deux femmes s’embrassèrent donc, Mélinda, comme toujours, adorant son propre reflet, puis se rapprochèrent des deux Ai, venant claquer les fesses.
« Alors, mes petites salopes...
- ...À voir vos culs se dandiner ainsi, on jurerait que vous n’avez qu’une seule envie : vous faire défoncer comme de grosses chiennes en chaleur...
- Mais nous n’en sommes pas très sûres, alors il faudrait nous le prouver... Hurlez que vous êtes des salopes, mes petites chiennes, et que tout ce que vous avez envie, en ce moment, c’est de sentir vos jolis petits culs de pute se faire remplir par des grosses queues tendues ! »
Les deux Mélinda formaient une paire redoutable...
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Quand on parle de sexe avec AI, on s'engage dans une longue conversation qui pouvait très vite devenir de la pratique. Mélinda n'avait pas attendu longtemps avant de voir Ai sortir son petit chibre pour venir jouer avec elle. Là ou une personne normale aurait été assez gênée de faire l'amour avec des inconnus, la futa n'était absolument pas gênée ! En même temps, Shii l'a vraiment découverte en train de se masturber avec sa culotte alors dans le genre pervers... Maintenant qu'elle avait pris connaissance du fait que Terra existait – du moins les différentes femmes qui pouvaient y avoir tout droit sorti de son imagination – elle ne quitterait pas Mélinda. Oh ça non ! Ha moins d'une autre femme comme Mélinda qui lui confierait les clés de son harem et des centaines, voire des milliers de femmes à baiser, là, oui elle laisserait Mélinda tranquille. Comme ce genre de personne ne cours pas les rues, la vampire avait presque adopté cette petite futa qui va se faire une joie d'inspecter ici minutieusement chacune des femmes qui y habitaient ! En dehors de Shii qui était une femme normale et avec qui elle va souvent jouer ici ou à l'école, son regard s'était porté sur Edessa.
Et quel choix ! Elle avait carrément gagné une jumelle avec qui jouer ! Se jetant sur la belle poitrine de la succube, la petite futa était un peu trop enthousiaste pour déchirer la robe de sa nouvelle amie mais cette poitrine était un vrai appel à l'aide ! Elle entendait ses deux petits bouts de chair qui criait « sucez-nous » et elle ne pouvait supporter ce cri alors elle se jetait dessus, espérant cesser les voix et combler son amie. L'idée même, un seul instant que la Succube joue les mamans, cela ne les dérangeraient nullement tant qu'elles peuvent jouer ensemble avec sa poitrine. Ai avait une sexualité débordante et presque sans taboue. Comme tout le monde, elle ne pensait pas pouvoir faire ça avec des morts, des enfants, des animaux – animaux, pas furry ça ne compte pas – mais en dehors de ça, qu'une Succube lui demande de l'appeller maman... elle pourrait même dire papa, dieu, elle s'en fichait hein !
Il est vrai que sucer cette poitrine était déjà une chose bien excitante mais sentir en plus le lait couler dans sa bouche ?! C'était une grande première pour Ai, encore une chose à barrer de sa liste, grâce à Mélinda ! Dommage pour Mélinda que la petite futa ne soit pas riche, elle lui aurait donné toute sa fortune pour vivre ici pour toujours ! Mais bon, elle n’était qu'une petite Japonaise comme une autre... avec un pénis et une sexualité pleine de vigueur ! Sans faire attention à ce qui se passait derrière, elles n'avaient pas vu les vampires qui venaient leur faire la surprise de claquer leur petit cul sans crier gare ! Les deux Mélinda se plaisaient déjà à faire des Ai leurs petits jouets... Aussi étrange soit-il, tant que la petite futa pouvait dormir un peu avant d'aller en cours, pas de soucis ! C'est bien la seule chose qu'elle craignait ça, de sécher les cours et que ses parents l'apprennent. Ils étaient plutôt cool mais il fallait absolument respecter les quelques règles qu'ils avaient.
« Haaaa ! Maîtresse ça fait mal ! J'ai mal à mon petit cul... je crois que... que la grosse queue de maîtresse pourra que me faire du bien ?! »
« C'est vrai. On a le petit cul qui brûle et on a vraiment envie de sentir vos belles bites venir nous ramoner. »
« Peut-être que les Maîtresses veulent plutôt nous défoncer notre petite chatte ? »
« C'est vrai que j'ai mal aussi là... Alors Maîtresse, vous voulez nous baiser quoi ? »
« Baisez-nous Maîtresses ! Nous sommes deux petites putes en chaleurs et pis le lait de maman nous rend encore plus en chaleur. »
« Venez nous punir avec vos belles bites, ça brûle en nous et seul votre sperme délicieux peut nous aider. »
La tête posée contre le sein de la Succube, la vraie Ai tendait ses mains vers ses fesses pour les écarter et présenter sa croupe, prête à être baiser à Mélinda alors que sa jumelle se contentait de deux doigts pour dégager l'accès à son petit cul, ça promettait de remuer et de hurler de plaisir contre la belle Succube. De quoi lui laisser de beaux rêves en perspective !
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Ai n’était pas la seule à fantasmer sur le fait d’avoir une jumelle, un clone sexuel qui s’apprêtait à coucher avec elle. Il était assez récurrent qu’Edessa invoque un clone sexuel de Mélinda, et, comme pour Ai, ce clone sexuel était tellement fréquent qu’il avait une sorte de personnalité propre, tout en étant aussi rattaché à la personnalité propre de Mélinda. La magie permettait de défier les lois de la logique, et les deux Mélinda étaient l’une à côté de l’autre, toutes deux nues, toutes deux se masturbant en voyant Ai et son clone les inciter à venir... Si Ai lui offrait le choix, la sodomie semblait néanmoins avoir sa préférence, Ai offrant sa croupe avec impatience. Mélinda sourit donc, et se rapprocha un peu.
« Effectivement...
- Ces deux salopes ont besoin d’être punies méchamment... »
Qui était la vraie ? Qui était la fausse ? Chacune avait la même voix, et l’une des deux Mélinda alla claquer les fesses d’une Ai. Toute heureuse, Edessa, elle, avait droit à un spectacle fabuleux, et sa tête était penchée vers la scène qui avait lieu sous ses yeux. Quatre femmes, dont deux étaient des clones, se tortillaient devant elle. La Succube caressait les cheveux des deux Ai, crispant ses doigts dessus, avant de sentir les deux Mélinda se rapprocher... Puis cette improbable et incroyable scène de sexe se poursuivit.
Les deux verges s’enfoncèrent dans les anus des deux Ai, et Mélinda poussa un long soupir de plaisir en s’y perdant, une onde de douleur venant la traverser. Une onde jouissive, comme dans chaque sodomie, quand le sexe heurtait la peau interne, résistante... Mélinda posa ses mains sur les hanches de la femme, avant de les ramener sur ses fesses, et s’appuya dessus, prenant la femme, en remuant d’avant en arrière, son sexe filant en arrière, avant de foncer en avant. La vampire multipliait les mouvements dans le corps de la femme, et ses doigts se crispèrent sur sa peau tendre et trempée.
« Hmmm...
- Ho ouuuiii... »
Les coups de triques se mirent à parler, s’accompagnant de gifles et de claques sur les beaux culs de ces deux femmes. Edessa soupirait de plaisir, toute cette excitation sexuelle la faisant frissonner.
« Oh oui, mes chéries, hum... Venez jouer avec mes seins ! »
Les deux vampires prenaient les culs des deux Ai, et, aux yeux de Mélinda, il ne faisait en ce moment aucun doute qu’Ai ne pourrait que vivre avec elle. La vampire continuait à la prendre joyeusement, crispant ses ongles sur sa peau, son sexe s’engloutissant totalement en elle, avant de revenir en arrière, puis de repartir en avant, Mélinda multipliant de nombreux coups de reins, profonds et lourds.
« Ohhh ouiiii... Haaaannn...
- Haaaaaaaaaaaaaannnn... !! »
La sodomie... Que c’était bon !
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Et comment qu'Ai restera aux côtés de Mélinda, le contraire était impossible. Elle était en sécurité ici, elle s'amusait bien, elle pouvait librement laisser parler ses fantasmes, pourquoi voudrait-elle partir ? Malheureusement pour elle ce n'était pas les vacances et elle ne pourra pas dormir tous les soirs chez son amie mais elle la verra souvent chez elle, ça c'est sûr. Se frottant contre la belle succube, responsable de sa jumelle et de cette mini-partouze qui commençait à se formait ici, elle était au paradis. Ai ne peux que se plaire ici, elle va avoir que des amies à ses côtés, ça, c’est sûr. Sachant qu'elle comptait bien réaliser un ou deux fantasmes avec chacune des filles ici... Ce n'est pas demain la veille que la vampire ne va plus voir Ai courir de chambre en chambre pour faire parler ses besoins.
Face aux menaçantes queues des vampires, les deux futas tentèrent faussement de se réfugier dans les bras d'Edessa mais surtout d'inviter les Mélinda à se faire plaisir, c'était là tout l’enjeu en vérité. Évidemment que les deux vampires vont se faire plaisir et pour preuve, elles ne prenaient pas de pincette pour venir prendre leur petit cul, faisant naître une vague de gémissements et de claquement. Que ce soit avec leur main ou leur bassin, leur petit cul n'avait pas fini de gigoter sous les assauts de Mélinda.
« Haaaaaaaaaannn ! »
« Oooooh ouiiiii Maîtresse !!!! »
Les deux futas auraient de plus en plus de mal à se dire que cela prendra fin, ne serait-ce que quelques heures pour dormir, aller à l'école ou rester un peu chez elle... Mais ce n'était pas grave, cet endroit n'allait pas s'envoler en une nuit, aucun risque. Ai montrait une jolie frimousse heureuse dans le plaisir et la douleur, la queue de la vampire faisait un bon travail en ramonant son anus, leurs mains crispées sur leurs fesses ou leurs hanches, elles en prenaient pour leurs grades les perverses. Et vu l'invitation de la belle Succube, elles ne vont pas se faire prier les petites futas ! Elles se jetèrent dessus, léchant et tétant la belle poitrine de la démone. Une des Ai était plus douce, faisant ça de façon normale dirons-nous alors que l'autre était plus vorace, venant mordiller ce petit morceau de chair si rebelle ! Il pointait sans cesse comme pour la narguer puis... est-ce de sa faute si le lait de succube est si bon ? Sérieusement, on lui proposerait un biberon qu'elle ne dirait pas non ! Mais quitte à jouer le bébé pour avoir du lait, autant aller boire ça la source, comme maintenant.
« Hyaaaannnnnnn !!!! Maîtresse.... vous y allez trop FOOOOOOORTTT !!!! »
« Mhhhh Edes-chan.... Ma queue... elle est trop duuuuur... Viens me traire s'il te p-plait-muuuuuuuhhhhhh ! »
« Non pas moi... Mmmmh je préfère... la laisser... haaan... se frotter... contre ta cuisse.... »
Perverse jusqu'au bout des ongles. La vrai Ai était celle qui se servait de la cuisse de la succube pour s'y frotter, observant la belle Succube avec la passion sexuelle, se laissant bercer dans cette zone de luxure en profitant de son bon lait. Là où son clone avait un regard vers sa Mélinda, un petit regard défiant envers elle mais pourquoi ? Bah pour en avoir toujours plus sur son petit cul.
« Allez-y Maîtresse... DONNEZ-TOUT DANS MON PETIT CUL !!!! »
« MMMMhhhhh... Moi aussi Maîtresse ! »
Existe-il une esclave terrienne aussi perverse et fidèle envers Mélinda ? Fidèle, peut-être, perverse... On parle d'Ai quand même...
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Ai et Mélinda, c’était le début d’une longue histoire d’amour. Au vu de son pedigree exceptionnel, Mélinda aurait tout à fait pu rejoindre le culte de Lust. C’était une fantastique histoire de sexe, de sexe sauvage, trash, sans fin, avec des Futas’, des clones, des succubes, le tout sous la potion saine et divine de la magie rose. Les trois femmes, qui en étaient maintenant cinq, s’amusaient toutes ensemble, et Edessa, comme à chaque fois, était ravie d’avoir une nouvelle partenaire de jeu… Et qui ne le serait pas ? Elle avait devant elle, non seulement sa Maîtresse, mais aussi une magnifique perverse ! Ai continuait à se faire bourrer le cul, et les deux Ai piaillaient joyeusement, dans un concert de joies, tandis que le clone demandait à se faire masturber, et l’autre se contentait de se masturber contre la cuisse de la femme.
« Vous… Vous êtes incorrigibles, mes… Mes petites salopes !!
- Ouuuiiii… Incorrigibles ! »
Les deux Mélinda remuaient joyeusement dans les corps des deux Ai, malmenant férocement leurs culs, amenant leurs petites têtes à rebondir contre les généreux seins d’Edessa, qui peinait à les maintenir contre elle. Pour masturber la queue du clone d’Ai, elle utilisa sa queue caudale, venant la faire remonter entre ses jambes pour qu’elle file sous le corps d’Ai, et vienne ainsi s’entortiller autour de sa queue, la comprimant et la compressant, tirant dessus. Sa queue caudale s’enroula autour de ce sexe, et elle entreprit donc de la masturber, avec un sourire sur le coin des lèvres, pendant que son lait fusait dans la bouche affamée de ces deux femmes.
Elles étaient deux amantes redoutables, aussi talentueuses qu’insatiables, ce qui, en soi, n’avait rien de surprenant, le clone héritant des facultés de l’hôte d’origine. Elles se tortillaient donc, et Edessa savourait ce moment, sentant, contre son corps, la puissance des coups de reins de sa Maîtresse et de son fameux clone, avec lequel elle aimait énormément jouer, même si elle ne l’avouait pas explicitement. Ensemble, elles faisaient des folies, et, quand Edessa était aux premières loges pour y assister, c’était comme être au Paradis !
« Oui, encore, encore… Baisez encore, encore ! »
Une main claqua l’un des fessiers des Ai, et Mélinda, la vraie, enfonça sa queue, hurlant et gémissant, de la sueur coulant le long de son corps en chaleur. Elle remuait violemment, d’avant en arrière, se tortillant sur place, son membre se glissant merveilleusement bien dans ce petit cul bien formé. S’y mouvoir était un plaisir constant et récurrent, une joie continuelle… Ai était faite pour le sexe, et il ne faisait aucun doute qu’elle resterait ici… Ce qui donnait des idées à Mélinda.
Se crispant contre son corps, elle se concentra, sentant l’orgasme approcher rapidement… Les corps étaient en sueur, la peau se frottait, et, dans de longs soupirs, tous les orgasmes affluèrent… Les deux Ai, les deux Mélinda… Une magnifique projection de foutre, dans des soupirs langoureux, longs et puissants !
Le clone de Mélinda avait ensuite disparu, mais Ai avait encore le sien, qui ne disparaîtrait que quand elle le souhaiterait. Ayant retiré sa queue du cul d’Ai, la vampire soupirait longuement, en reprenant son souffle :
« Aaaah, tu sais… Tu es vraiment une grande perverse, Ai… À tel point que je pense qu’il y a quelqu’un dans mon harem qui devrait énormément te plaire… Une autre perverse avec de longs cheveux bleus et une peau douce comme celle d’un bébé. »
Et elle, dans le genre, était une sacrée perverse !
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Faire l'amour une vampire ? Fait. Faire l'amour avec une succube ? Aussi. Faire l'amour avec une succube et une vampire ? Aussi fait. Ça va en faire des choses à retirer de sa liste quand elle va rentrer chez elle ! Prise par la vraie Mélinda, elle laissait sa queue se frotter contre sa cuisse, c'était si excitant alors que ce sein, si doux et moelleux n'avait pas fini de lui donner ce délicieux lait qui coulait de son téton. Comment quitter cet endroit ? C'était comme être au paradis ? Pourquoi n'était-elle pas déjà une adulte, elle n'aurait pas de compte à rendre à ses parents et vivrait toujours aux côtés de Mélinda. Mais voyons le bon côté des choses, ça lui permettra de prendre une pause et ensuite de mieux leur faire l'amour. Pour le moment, elle savourait ce concert de gémissements, de cris, de sueur, de foutre, le tout bien mélangé, c'était sublime !
Laissant la vampire se faire plaisir et jouir dans son cul, elle en fit autant sur la cuisse de la succube. Par chance, elle n'était plus aussi en forme qu'à son arrivée donc les quelques litres de foutres se changeaient une portion généreuse pour une futa sans pour autant provoquer une inondation, idem pour son clone qui avait eu droit à sa queue autour de la sienne. Ne quittant pas la poitrine ni le corps d'Edessa, la petite futa commençait à agiter le drapeau blanc en restant allongée contre elle. Le paradis. Elle n'avait pas d'autres mots. Elle a dû mourir noyer dans la piscine et voilà le résultat, le paradis sans ange mais le paradis quand même. La vampire venait même titiller sa curiosité alors qu'elle restait pendue au sein de la succube, le sourire ne semblait pas vouloir quitter son corps.
« Ha oui ? Oh je suis curieuse de la connaître alors, je suis sûre qu'on va devenir très copine alors ! » Si elle était aussi perverse qu'elle, c'est sûr et certain ! Quittant le sein de sa nouvelle copine, elle s'allongea sur le dos pour regarder Mélinda, sa queue était assez tendue encore mais pas chargé à cent pour cent. « Maîtresse, je pensais pas dire ça si vite mais je pense aller me laver et dormir avec Shii-chan avant d'aller à l'école demain... »
« Tu es déjà fatiguée ? Petite joueuse. »
« Mais ! Moi je jouais déjà avec Shii-chan à l'école et même sur le chemin de l'école alors que toi, tu es là depuis dix minutes à peine ! Facile de critiquer, beuh ! » dit-elle en tirant la langue.
« J'ai le droit d'aller me reposer, Maîtresse ? »
Naturellement, ce manoir n'était pas une prison et demain, la journée allait être aussi longue et aussi bonne que cette soirée. Même si elle va surement devoir passer la soirée chez elle, au moins la nuit surement ? Elle verra bien. Mélinda accepta donc et Ai se redressa avant d'embrasser tendrement Edessa pour lui souhaiter une bonne nuit, la laissant avec ses jambes couvertes de foutre, son clone la suivait sur les talons, non pas pour vraiment se laver mais l'enculer sous la douche. Un fantasme à viré de leur liste encore ! C'est ce qui se passa, à peine sous la douche, son clone la prenait contre le mur, venant se venger sur le petit cul de la vraie futa, partageant ce plaisir sans ménagement avant de se sentir libérée. Elle se fit pardonner en aidant l'original à se laver, retirant cette odeur de foutre et de sueur qui lui collait à la peau. Une fois propre comme à son arrivée, elle se baladait dans le plus simple appareil, venant embrasser à son tour tendrement Mélinda pour lui souhaiter une bonne nuit avant de se glisser en silence dans le lit de Shii. Son clone la suivait elle aussi pour se reposer – et peut-être disparaître dans son sommeil ?
Elle laissa sa nouvelle copine dormir, elle n'allait pas l’embêter et venait simplement se coller contre elle pour s'endormir. C'est demain matin qu'elle va avoir besoin d'elle pour son premier orgasme de la journée. En général elle fait ça seule, à la main en fantasmant sur ses rêves roses mais là... elle n'aura pas besoin d'imaginer quoi que ce soit. Elle n'eut aucun mal à trouver le sommeil et à se reposer tranquillement. La nuit passait, bien des orgasmes ont eut lieu dans son dos pendant qu'elle dormait, dans les autres pièces du manoir. Mais son portable vibrait, le réveil était en marche. Une bonne heure pour se laver, s'habiller, déjeuner, aller en cours... mais une journée commence toujours par retirer cette érection d'entre ses jambes. Le bruit avait dû sûrement réveillé Shii, qui, soit avait le sommeil lourd, soit espérait se réveiller quelques minutes un peu plus tard ? Tout contre elle, elle embrassa son cou, le baisant doucement en commençant à faire passer ses mains sur son corps.
« Shii-chan... lèves-toi s'il te plaît... j'ai besoin de toi pour me vider... »
Question, Shii-chan aimait se faire prendre en dormant ou elle préférait mettre la main à la pâte ? Baisant sa poitrine dénudée – sans pour autant ôter ses vêtements – elle se frottait contre elle, sa queue venant caressant son entrejambe, elle en avait déjà très envie...
« Allez Shii-chaaaaaan, sinon c'est moi qui décide... Dans ton petit minou ? Dans tes petites fesses ? Ta petite bouche me semble aussi parfaite pour bien se réveiller, huuum? »
Puis c'était elle ou Shii-chan sentait si bon le matin ? Ai partage rarement un lit avec une autre femme une nuit alors, ça lui faisait tout drôle mais elle comptait bien profiter de sa présence, dans bien des sens. Elle lui laissait l'occasion de choisir, de plus, elle avait encore son joker à utiliser pour l'avoir mené à Mélinda ? Enfin, ça, c'est elle qui voit quand l'utiliser, elle a le temps. Puis à l'école, elles vont se rapprocher, Ai ne compte pas la lâcher de sitôt !
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« Je ne savais pas que la Terre recelait de créatures si particulières, Maîtresse...
- Tu vois, on peut parfois être surprise, Edessa... J’ignore depuis combien de temps Seikusu et Terra sont reliés par des Portails, mais je suppose que, s’ils sont là depuis longtemps, ça doit expliquer pourquoi certains individus de la population locale sont si... Particuliers. »
Seikusu, de fait, était une ville un peu exceptionnelle, si on la comparait au reste des communes de la Terre. Mishima, par exemple, était clairement un lycée sexuel, fondé par les plus puissantes familles de la ville, et qui disposait de leur protection. Or, ces familles avaient des contacts assez haut placés, que ce soit au sein du rectorat, ou même du gouvernement. Est-ce que cela expliquait pourquoi le lycée n’avait jamais été fermé ? Jusqu’à quel point les Portails dimensionnels avaient façonné l’architecture de la ville ? Ai, en tout cas, était relativement une personne fascinante, un individu rempli de perversion, une Futanari aussi gourmande qu’adorable. Mélinda était convaincue qu’elle formerait, avec Sya, un couple très réussi. Sya était une belle esclave, une Ange aux cheveux bleus qui adorait coucher avec tout le monde. Mélinda n’aurait donc aucune difficulté à les regrouper ensemble.
Pour l’heure, elle était en compagnie d’Edessa, et elle pensait bien qu’elle dormirait avec elle ce soir. Edessa ne portait pas le nom « Warren », mais, pour Mélinda, ça ne changeait rien, car elle avait toujours considéré comme sa fille. Elle avait tenu Edessa quand elle était encore un petit bébé tout replet et tout chaud, en lui donnant le sein. La mère biologique d’Edessa n’avait jamais voulu de la Succube, ce qui fait que Mélinda l’avait toujours éduqué elle-même. Mais Ai n’était pas au bout de ses surprises... Il y avait encore Sya à lui présenter, mais peut-être qu’elle voudrait aussi rencontrer Kriviel (http://img15.hostingpics.net/pics/206586Slime.png), une magnifique Slime bleue, qui était l’une des plus récentes acquisitions de la vampire.
« Nous allons dormir ensemble, ma petite Edessa...
- Oh oui, Maîtresse, j’en serais ravie... »
Elle esquissa alors un léger sourire en redressant la tête, serrant le corps de Mélinda contre le sien :
« Oh... Le clone d’Ai est en train de la baiser dans la douche... »
Ce clone avait été généré par la magie rose d’Edessa, et il était donc normal qu’elle soit encore connectée à cette dernière. Fermant les yeux, elle s’absorba dans cette vision pendant quelques secondes... Avant de sentir Mélinda pincer son téton, la faisant couiner.
« Ah !
- Ne m’oublie pas si vite, Edessa... Moi, j’ai encore de grosses soifs...
- Oh oui ? Vraiment, Maîtresse ? Hum... Il faut que je me dévoue à épancher votre soif, alors... »
Mélinda n’offrit aucune réponse verbale, se contentant de pousser Edessa, la couchant sur le dos... Et elle alla l’embrasser...
Shii, elle, avait passé une soirée nettement plus studieuse. Clara lui avait fait l’amour, mais elle avait refusé d’aller jouer avec la Slime, en arguant qu’elle avait des devoirs à faire. Sur ce point, elle avait, fort heureusement, le soutien de sa Maîtresse. Maîtresse Warren savait que Shii était une fille très intelligente et très studieuse, et elle l’entraînait donc, en lui disant que son destin futur n’était pas que d’être une simple prostituée à son service, mais de viser plus haut. Shii avait donc révisé le soir, avant de se coucher, seule, dans sa chambre, ce qui n’était pas pour la déranger spécialement. Shii s’était donc endormie tranquillement dans son lit, avec, à côté d’elle, une peluche... Qui n’était autre qu’une Mélinda en peluche.
La lycéenne portait un simple short rose et un débardeur pastel, et dormait tendrement... Ce qui fit que, quand Ai arriva et se glissa dans son lit, la jeune femme ne réagit pas, mais constata vite, au matin, qu’on l’avait rejoint dans le lit. C’était quelque chose de fréquent, qu’on la prenne en pleine nuit, et, fort heureusement, elle était matinale. Elle cligna donc des yeux en se réveillant, avant de sentir, contre sa hanche, le sexe érigé d’Ai.
« A-Ai... ?! »
Elle sentit rapidement Ai venir l’embrasser, tout en lui demandant comment elle voulait être prise. La réponse ne tarda pas à se faire entendre, tandis que Shii se mit à rougir furieusement. Maintenant qu’Ai était dans le manoir, Shii était sûre qu’elle la reverrait fréquemment, et ce ne serait-ce que parce que Maîtresse avait lié les deux femmes.
Shii déglutit donc en entendant la proposition de la femme, et répondit en la caressant, le choix étant, à vrai dire, assez rapide à faire :
« Sur... Sur moi, Ai... »
Une sodomie de si bon matin ? Même pour elle, ça serait un peu trop dur. Et, quant à une fellation, elle était encore en train de sommeiller. Partant de là, il n’y avait donc plus qu’une position sexuelle à tenter : la posture classique et usuelle.
« Pé... Pénètre-moi... » soupira-t-elle faiblement.
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Quel agréable fin de soirée, son premier soir chez Mélinda, elle s'en souviendra pour toujours. Mais la suite aussi car elle ne comptait pas finir cet épisode comme ça. Elle avait rejoint le lit de Shii pour s'endormir en étant nue mais sans faire de bêtise, elle avait juste câliné Shii comme elle câlinait sa peluche de Mélinda. Elle a peut-être eu des rêves bien rose dans la nuit mais sans jamais réveiller son amie, ni même profiter de la situation. Mais au petit matin, c'était différent, en un regard, elle se rappelait de la soirée. D'ordinaire chez elle, le matin signifie se vider en repensant à de beaux rêves, à faire travailler son imagination ou bien de voir un de ces sites fétiches dans ses favoris mais pas besoin de ça ce matin, elle avait un service à domicile ! Même si elle n'était pas chez elle. Sans déshabiller Shii, elle bougeait de façon à analysé la tenue de sa copine sans y passer ses yeux sous la couette, juste avec sa queue tendue, laissant le choix à sa copine à lunettes de choisir commencer débuter la journée et ce fut la façon classique ? Ok, ça lui allait.
« T'en a de la chance Shii-chan... tu seras la première fille à qui je fais l'amour en me réveillant. »
De sa vie ! Ai avait fait bien des choses mais jamais ça, jamais. Alors pour le coup, grande première pour sa nouvelle amie. Sans trop bouger, elle gloussait comme une petite folle, venant seulement ouvrir l’entrée pour sa queue, écartant le short de sa copine pour la pénétrer doucement en gémissant. Grosse surprise pour Shii en tout cas, Ai avait la réputation d'avoir beaucoup de semence à expulser mais le matin, c'est pire ! Plus de six heures sans se masturber, ça va en faire de la crème !
« Huuuuum... Je suis sûre... ouh, que tu aimes ça... baiser dès le matin, haaan... »
Sûrement, connaissant un peu Méinda, elle devait commencer la journée comme Shii en étant aussi douce ou bien plus brutale. Elle verra ça quand elle partagera son lit. Pour le moment, la petite futa restait contre Shii, les bras autour d'elle pour mieux l'enlacer pour mieux lui faire l'amour, en douceur bien sur. Ai était bien plus vif mais elle venait de se réveiller alors elle se mettait au rythme des escargots. Sa bouche venait se coller contre la sienne pour l'embrasser tendrement, parfois de simples petits bisous sur ses lèvres en continuant ses mouvements du bassin.
« Houph... HHAAAANN.... Oh c'est si boooon... faire ça au réveil... mmmmhhh oooouh ! »
Était-ce aussi bon quand on était à la place de Shii ? Encore une chose a essayé sous peu. Venant lui baiser le cou, elle augmentait doucement le rythme de ses coups de reins pour mieux la prendre, se faisaient doucement rebondir sur le matelas bien moelleux de Shii et plus ça allait et plus elle y mettait son énergie, retrouvant peu à peu la forme de ce réveil extraordinaire. Des réveils comme ça, elle en veut bien plus souvent !
« Shii-chan ! Attention haaaan... à être aussi belle quand j-je te haaaan... baise, je vais vite jouir ! »
Abstinence pendant plusieurs heures, envie du matin, Shii, mauvais calcul pour tenir très longtemps car elle se sentait dangereusement approcher de la limite sauf qu'elle ne comptait pas se retenir ni se retirer alors Ai en connaissait une qui va avoir le ventre bien rond, tout plein de semence ! Elle va même en déborder et changer les draps. Quoique ça, ça devait être fréquent ici.
« Shii-chan... Shii-chan... SHII-CHAAAAAAN !!!!! »
Et là, elle ne s'était jamais aussi bien senti en se sentant se vider alors que le ventre de son amie grossissait à vue d’œil. Oh quel pied ! Petite la Ai mais costaud ! Elle se retira alors que les lèvres intimes de Shii étaient transformé en fontaine blanche qui continuait de couler lentement. Quel réveil !
« Huhu, on dirait que ma Shii-chan est enceinte comme ça ! Désolé pour ça mais le matin... j'ai eu le temps de bien stocké... tu m'en veux pas de t'avoir rempli comme ça, Shii-chan ? Tu veux que je t'aide à te lever ? »
Ai étant débarrassé de sa petite affaire, elle était bien plus gentille et câline. Elle savait qu'elle devrait aller à l'école alors elle n'allait pas s'amuser à recommencer encore et encore...
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Mélinda adorait l’odeur du sexe au petit matin. Baiser en se réveillant, c’était, effectivement, le plus efficace et le plus tendre des réveils, bien plus agréable que la stridente sonnerie du réveil vous arrachant à vos rêves nocturnes. Il était presque 7h00, les cours commençaient à 9h00, et il fallait, globalement, une demi-heure pour rejoindre le lycée depuis le manoir, dix minutes pour rejoindre le périphérique descendant dans la partie basse, deux minutes de descente, et dix à quinze minutes dans les transports en commun. Généralement, les filles partaient toutes ensemble, formant un vrai groupe qui débarquait au lycée, et donnant une véritable impression de voir une corporation débarquer. Ensuite, le groupe se diluait dans le lycée. La camaraderie, après tout, c’était important.
Ai pénétrait donc Shii, remuant joyeusement en elle, faisant soupirer les deux adolescentes. Shii se tortillait sous elle, appréciant, elle aussi, énormément ce moment. Ses joues étaient toutes rouges, et ses mains caressaient se cramponnaient au dos d’Ai. Encore un peu patraque, la sensation de ce membre érectile enfoncé en elle la réveilla, lui faisant pousser un petit cri, puis sa main descendit pour s’appuyer sur les fesses d’Ai, venant se crisper contre l’une, son autre main s’appuyant sur sa nuque. Shii était dans sa meilleure partie, celle où elle se faisait prendre par quelqu’un d’autre. Les Futanaris, les femmes hermaphrodites, c’était quelque chose de fort à Seikusu, de grands fantasmes, et elles semblaient toutes devoir, un jour ou l’autre, passer par le lycée Mishima. Les deux femmes dansaient ensemble, faisant doucement soupirer le lit, et s’embrassaient aussi, entre deux soupirs.
« Haaa... Ai, haaaa... »
Son amie y allait de plus en plus vite, tandis que leurs corps se réveillaient totalement et pleinement. Le sexe, c’était la méthode ultime contre les réveils qui s’étiraient. Elles remuaient ensemble, le petit corps chaud d’Ai se blottissant contre le sien, à l’image de cette queue qui s’enfonçait en elle, dans sa chatte, pour ne plus en ressortir. Les joues rouges et les pyjamas se frottaient ensemble, et la scène, en réalité, ne fut pas bien longue. C’était du sexe matinal, après une nuit de rêves qui, au manoir, étaient généralement très érotiques. Choisir où dormir allait être difficile pour Ai, car, chez ses parents, elle risquait de beaucoup s’ennuyer la nuit. Pourtant, elle avait bien dit que, le soir suivant, elle retournerait chez ses parents. Tiendrait-elle promesse, ou non ? Dans un petit recoin de sa tête, Shii se disait que ça allait être amusant. Ai avait un tel appétit qu’elle était, pour ainsi dire, prédestinée à être au manoir, et à être l’esclave de sa Maîtresse.
Plus vous étiez pervers, et plus vous aviez de chances d’être accueillis à bras ouverts au sein du manoir.
En l’état, Ai la pénétrait, la bourrant, puis finit par jouir, dans une quantité impressionnante. Shii eut également un orgasme, mais qui fut totalement noyé dans celui d’Ai, sa queue balançant des filaments de foutre, qui firent gémir Shii, tandis que son ventre se mettait à onduler et à grossir, frappé par ce surplus de sperme.
« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... !! »
Shii soupira longuement, avant de s’étaler sur le lit. Ai se redressa un peu ensuite, et, constatant son ouvrage, proposa son aide. Shii, elle, ne répondit pas tout de suite, posant d’abord une main sur son ventre, afin d’en sentir la rondeur et l’épaisseur.
« Pfffiouh... Tu m’as pas loupé, hein, petite cachottière ? Il va falloir que j’aille aux toilettes, je ne peux pas descendre manger comme ça... »
Fort heureusement, chaque chambre avait une petite porte dans un coin, menant à une cabine abritant des toilettes. C’est que Mélinda avait pensé à tout. Elle avait dépensé sans compter pour bâtir ce manoir.
« Tu comptes rester ce soir au manoir, alors ? » ne put s’empêcher de demander Shii en se redressant.
Pour Ai, ça allait probablement être un vrai dilemme !
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Quelle soirée ! Et quel réveil ! Ai était si satisfaite, c'était la première fois qu'elle se réveillait en faisant l'amour. C'est déjà arrivée qu'elle se masturbe inconsciemment dans son sommeil ou bien qu'elle se masturbe à peine les yeux ouverts mais faire l'amour, une grande première ! Et elle aimait ça ! Chose à recommencer donc au cours des prochaines fois. Mais alors que la câline petite futa tournait autour de Shii en restant très douce, venant se blottir contre elle mais la pauvre demoiselle avait une seule envie, se vider. Elle aida comme elle pouvait sa copine, sachant qu'elle venait à peine d'ouvrir les yeux alors elle n'était pas la plus réactive qui soit, sauf quand on parle de sexe, alors là, elle est fidèle au poste ! En revanche, sa question se fit plus sérieuse, se demandant si elle allait rester là encore ce soir. Elle aimerait beaucoup mais elle avait certaines choses à respecter.
« J'aimerais trop mais même si mes parents sont plutôt cool, j'ai quand même quelques règles à respecter, la première étant de ne pas louper les cours, peu importe que mes notes soient sous la moyenne tant que je fais au moins l'effort d'essayer et d'être présente aux cours. Puis pour ce qui est de découcher, disons que je ne peux pas faire ça tous les jours, même si je dis dormir chez une amie, ils trouveront ça louche que je dorme là-bas un soir sur deux. Mais promis et ça, tu peux me croire, je ferais tout pour venir ici le plus longtemps possible ! Et si je dors pas ici, je viendrais au moins m'amuser en étant à l'heure pour rentrer manger chez moi. »
Maintenant qu'elle savait que le paradis était à deux pas de chez elle, elle n'allait pas se faire prier pour revenir rarement. Ce sera souvent mais hélas, elle ne pourra pas dire quand exactement elle reviendra passer une nouvelle nuit ici. Ce week-end sûrement et peut-être demain aussi ? Enfin, c'est à voir mais rien n'est fixé même si AI reviendra ici bientôt aussi sûr que le soleil se couchera et se lèvera sur le Japon. Elle laissa à Shii le temps de se sentir plus légère et retrouver son ventre habituel puis une fois de retour, elle en profita pour lui emprunter une tenue d'école – elle n'allait pas reporter son uniforme de la veille quand même – idem pour les sous-vêtements avant de poser une question plus sérieuse.
« Et toi alors ? Tu habites officiellement ici ou tu habites aussi chez tes parents ? Si c'est le cas, je pense pouvoir revenir plus souvent si je peux dire aller chez toi en sachant ou cela se trouve plus ou moins afin de rendre mon mensonge plus vrai. »
Se préparant, il ne lui restait plus qu'à avaler un petit quelque chose avant de partir mais elle pense prendre un petit quelque chose sur la table ou en cuisine avant de filer car si les autres filles la tente trop, elle risque de rater quelques heures de cours si ce n'est pas la journée. Laissant donc le temps passer en vérifier son sac, elle s'apprêtait à partir en cours avec Shii mais avant, il y avait une chose importante à faire avant d'y aller vraiment.
« Shii-chan, tu peux me guider jusqu'à la chambre de Maîtresse, je voudrais aller la remercier et lui dire à bientôt. »
Si, c'est vrai, elle a bien le droit de se montrer gentille sans arrière-pensée quand même. Allant jusqu'à la chambre qu'elle ouvrait doucement, elle voyait un faible rayon de lumière à travers les rideaux qui éclairaient des corps dans ce lit. Il y avait Mélinda mais aussi des filles qu'elle ne connaissait pas encore. Elle s'approcha sans bruit près d'elle pour se pencher sur elle et lui baiser le front en caressant son visage pour dire à voix basse :
« Merci pour cette soirée Maîtresse, je tâcherais de revenir très vite à vous mais je sais pas quand malheureusement... »
Mais vite, c'était le bon mot. Était-elle réveillée ? Trop fatiguée ? Elle n'insistait pas et retourna sur ses pas pour rejoindre Shii et aller avec elle pour aller en cours, pour se reposer un peu et travailler... Si seulement elle savait quel genre de journée attendait la petite futa perverse...
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Faire l’amour de bon matin, c’était, au sein du manoir, ou du harem, une sorte de tradition locale. Shii avait dû s’y plier, mais elle passa quand même plusieurs minutes dans les toilettes, se vidant, jusqu’à ce que son ventre dispose d’une taille normale. Son ventre en profita ensuite pour gargouiller joyeusement, venant confirmer que cette séance rapide avait creusé sa faim. Shii, de son côté, avait très envie de revenir, mais devrait aussi consacrer du temps à sa famille, ce qui ne put que faire sourire Shii.
« Oui, je comprends. »
Ai lui demanda ensuite comment elle, elle faisait, et Shii haussa les épaules :
« Tu sais, Mishima a une grande sphère d’influence dans la région, et beaucoup des filles, ici, sont à l’internat. Comme moi… Maîtresse a des contacts au sein de l’administration pour pouvoir faire en sorte que nous soyons transférées sans que les parents ne soient informés. En somme, je vis ici toute l’année. »
Shii choisit de ne pas trop en parler. Ses histoires de famille, c’était encore un peu trop intime pour Ai, et elle n’en avait parlé, au sein du manoir, qu’à Clara et qu’à sa Maîtresse. Ai ne sembla pas se formaliser davantage, et, après avoir emprunté les tenues de Shii, commença par se rendre dans la chambre de Mélinda. Le matin au manoir était bien plus chaste qu’au harem, où le sexe était continuel et omniprésent. Mais, même au manoir, ça restait la marque de Mélinda. Ainsi, en se rendant vers la chambre de leur Maîtresse, les deux femmes entendirent, par le biais de portes entrouvertes, parfois des soupirs et des gémissements. Ce qu’il fallait surtout craindre, le matin, c’était les esclaves de Maîtresse originaires du harem, car elles étaient les plus gourmandes. Si les lycéennes étaient épuisées, ce n’était pas le cas de ces femmes très expérimentées, qui vous prenaient joyeusement et sans relâche, surtout le matin.
La jeune lycéenne s’arrêta devant une belle double porte.
« Maîtresse est là… »
Shii laissa Ai rentrer toute seule. La chambre de Mélinda était grande, plongée dans la pénombre, et parfumée d’une odeur de sexe. Quatre femmes se tenaient dans le lit, une sous Mélinda, lui servant d’oreiller, et les deux autres à sa gauche et à sa droite, gloussant et parlant entre elles en la câlinant. Réveillée, Mélinda sourit à Shii.
« Oh, ne sois pas si prompte à l’idée de vouloir nous quitter, Ai… Je suis sûre que nous allons nous revoir bien vite. »
Sur ce point, Mélinda n’avait pas tort.
Aujourd’hui, l’emploi du temps présentait un creux d’une demi-heure. Un premier cours commençait à 09h00 pour finir à 10h30, et le second n’avait lieu qu’à partir de 11h00. Cependant, alors qu’Ai sortait de la salle de cours, ce fut pour constater qu’une femme l’attendait, avec un sourire mielleux sur les lèvres.
Mélinda était là.
« Re-bonjour, Ai… Tu as filé comme une voleuse ce matin. J’espère que les vêtements de Shii sont agréables à porter… »
Ai avait l’air de beaucoup aimer les porter, en tout cas. Mais, au-delà de ça, il était permis de se demander ce que Mélinda faisait là. La femme se mit à marcher, en compagnie d’Ai, tout en se dirigeant vers l’administration.
« Comme tu as dû le comprendre, mes activités nécessitent une couverture officielle pour s’exercer. Je ne peux pas me permettre de me heurter aux parents de mes esclaves, qui verraient sûrement d’un mauvais œil que je sois la Maîtresse de leurs perverses progénitures. »
Tout en marchant, elle reprit :
« Il est temps de te présenter à quelqu’un… Quelqu’un qui se chargera de te couvrir auprès de tes parents si jamais tu devais arriver en retard à tel ou tel cours, ou en louper quelques-uns pour d’obscures raisons… »
La vampire lui fit un nouveau sourire, et se dirigea vers le secrétariat de Mishima. Mishima comprenait plusieurs secrétariats, selon les intervenants : élèves, professeurs, parents d’élèves, etc… Loin d’être un simple lycée, l’établissement était un vaste ensemble scolaire et éducatif.
Mélinda toqua à la porte, et entra ensuite.
C’était un grand bureau, mais il n’y avait qu’une seule personne à l’intérieur, une amante régulière.
Shani Stevens (http://orig01.deviantart.net/324e/f/2012/072/a/b/abdacca28515a8dc847af749d61951d6-d4smg17.jpg).
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Oh, ainsi Mishima avait quelques personnes haut placées qui contrôlaient une grande partie de la ville ? Cette idée d'internat était quand même intéressante mais il va falloir pour elle étudier cette option car Ai n'avait jamais été très étude alors du jour au lendemain en faire une jeune élève assidue qui veut aller dans un internat pour se concentrer sur ses études... ça fait louche ! Mais pour ce qui était de Mélinda, elle ne pensait pas la voir réveillée ? Et vue son intelligence et son argent, elle la pensait du genre à sécher les cours de temps en temps alors face à sa petite remarque, elle ne pouvait que lui sourire en espérant bien la revoir très vite. Elle n'imaginait juste ne pas la voir déjà au lycée. Elle pensait que Mélinda gardait sa sphère d'amie au lycée pour ne rien laisser paraître entre son manoir et les études.
Après avoir commencé les cours, elle quitta la salle pour aller boire un peu d'eau et peut-être se masturber pour évacuer les pensées intimes des cours, imaginant bien faire des choses avec Mélinda et les autres. Même si sa queue n'était pas aussi grande que son bras, elle préférait garder son identité secrète alors elle avait toujours le scotch qui collait sa queue en l'air, évitant le pire même si parfois ce n'était pas très agréable, en érection comme a retirer mais elle n'avait pas le choix. Sauf qu'en sortant, elle croisa Mélinda dans son uniforme scolaire qui l'attendait ? Elle ferma doucement la porte en parlant à voix basse avec elle.
« Maîtresse ? Désolé pour ce matin mais plus je vous aurais vu, vous ou les autres et plus la tentation de sécher les cours aurait été trop forte ! Puis y a bien que sur ça que mes parents ne rigolent pas. Sinon, évidemment que je serais resté. Oh, et évidemment que les vêtements de Shii-chan sont agréables ! Les sous-vêtements un peu larges mais imaginer ce que notre belle Shii-chan a fait dedans suffit à me remonter le moral. »
Non pas qu'elle soit triste mais son moral était spécial, si elle baisait, elle était toujours de bonne humeur ! Mélinda l'invitait à marcher en parlant de choses intéressante, chose que la petite futa comprenait parfaitement, sur tous les points.
« Oui je vois. Moi aussi j'aimerais rester avec vous pour baiser autant de fois que possible Maîtresse mais mes parents, ça ne leur plairait pas. »
Autant rejoindre la majorité des avis évidents. Quel parent serait fier de laisser leur enfant traîner avec une bourgeoise perverse qui fait de leur enfant des poupées de sexe ? La vampire comptait bien lui présenter quelqu'un qui pourrait les aider à avoir moins de cours et plus de plaisir ? Voilà qui était très intéressant en effet ! Mais en entrant dans un bureau avec Mélinda, Ai retint son souffle en voyant la beauté derrière son bureau. Han, combien de fois Ai avait fantasmé sur cette superbe femme ? Si belle, si sexy, si parfaite ! Elle s'était branlé bien des fois en imaginant faire un tas de choses avec elle, plus coquine les unes que les autres. Mais de un, elle fantasmait, de deux, pourquoi elle irait voir cette beauté et de quatre, comment une simple visite tournerait en porno aussi vite ? Ne sachant pas à quel point Shani Stevens était alliée à Mélinda, elle ne préféra pas faire de fausse note et la petite futa se pencha doucement en avant pour la saluer.
« Bonjour mademoiselle Shani, je m'appelle Aihara Ai, enchantée de faire votre connaissance ! »
Pour la suite... doit-elle rester sérieuse ou habillée ? Elle sentait déjà le scotch contre sa queue la faire souffrir. Pourquoi faut-il en que le beau sexe soit aussi... beau ?! Elle ne laissait rien paraître sur son visage, elle avait l'habitude mais bon sang, tant de fantasmes qui défilent sous ses yeux... dur de résister très longtemps !
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Mélinda ignorait alors qu’Ai fantasmait déjà sur Shani, mais, en soi, ce ne serait pas surprenant. Mishima disposait d’un Intranet local, une sorte de réseau privé pour les élèves du lycée, notamment ceux de l’internat. Un réseau inaccessible à l’administration, et Mélinda savait que, parmi le personnel le plus bandant de l’administration, Shani Stevens figurait souvent dans les Top 3. Elle sentit donc l’afflux sanguin à hauteur de la verge d’Ai, tandis que la jeune lycéenne, en entrant dans le bureau de Shani, s’efforça de rester calme. Impossible, néanmoins, de cacher son excitation à Mélinda, qui savait que Ai, pour dissimuler sa queue, l’attachait à son ventre avec du scotch. C’était un système très particulier, mais elle savait que les membres du Futabu Club avaient des phallus disproportionnés, parfois si épais qu’ils filaient entre leurs seins. Mélinda l’avait vu en personne.
Un sourire amusé éclairait donc ses lèvres. Shani n’était pas l’esclave de Mélinda, plus une sorte d’amie, d’amante qu’il fallait entretenir. À Mishima, les secrétaires étaient choyées, car, outre leur beauté, elles avaient un grand pouvoir. Sans elles, Mélinda n’aurait jamais pu avoir un dossier scolaire conforme, et ainsi pouvoir s’inscrire au lycée, et, surtout, pouvoir y rester au cours des années. Les secrétaires de Mishima étaient corrompues, dans un sens positif, et, en ce domaine, Shani était très efficace. Mélinda l’invitait souvent à son manoir.
« Oh, et bien... Je suis également enchantée de te voir, Aihara-san. »
La voix de Shani était douce. Si Mélinda aimait autant cette femme, c’était aussi parce que, outre sa beauté, il y avait, dans son sang, quelque chose d’inouï et d’exceptionnel. Quelque chose de divin, alors que Shani était, pourtant, bel et bien une humaine. Ai était visiblement confuse, et Mélinda s’avança alors, venant caresser les cheveux de la femme, tout en s’asseyant sur le rebord du bureau.
« Allons, Ai, à ton avis... Comment donc crois-tu qu’un club comme le tien peut exister à Mishima sans que personne ne s’y soit intéressée ? Et encore, le Futabu n’est pas une exception... Il existe quantité d’autres clubs encore plus pervers que le tien. »
Shani rougit légèrement, tout en souriant, et se pencha un peu en arrière, rehaussant ainsi ses magnifiques seins, superbement bien serrés dans sa chemise blanche.
« Mélinda m’a demandé de t’inscrire éventuellement comme pensionnaire à l’internat... Une couverture officielle pour te permettre de passer plus de temps chez Mélinda, en sachant que tu pourras toujours continuer à dormir chez tes parents. Mais j’ai cru comprendre que tu passais de très bons moments chez notre amie commune.
- Oh oui, follement ! »
Nouveau sourire moqueur à destination de la pauvre Ai, qui ne savait visiblement plus du tout comment se mettre. Mélinda se déplaça alors, et retourna dans le dos d’Ai, où elle alla alors caresser son sexe. Pour cela, elle passa sa main par-devant Ai, et masturba sa queue, à travers sa tenue d’écolière.
« Hmmm... Vu comment tu bandes, ma pauvre Ai, je comprends que tu aies du mal à réfléchir...
- V-Vraiment ?
- Hmm-hmmm... »
Mélinda mordilla doucement le cou d’Ai, tirant délicatement sur sa peau, et murmura quelques mots dans le creux de l’oreille d’Ai :
« Shani est une jeune femme docile, mais qui dispose d’une incroyable expérience sexuelle, surtout à Mishima. Tu sais, son plus grand fantasme est de coucher avec tous les élèves du lycée. Elle a un carnet où elle met une croix sur chaque élève avec qui elle a couché, et espère le remplir intégralement de croix d’ici à la fin de l’année. »
La vampire sourit à nouveau, continuant à doucement masturber la belle Ai.
« Diable, que ta queue est dure... C’est à croire que tu as envie d’avoir ta croix sur ce carnet ! »
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Ai était surprise de voir Mélinda ici mais surtout de voir qu'elle l'emmenait voir Shani afin d'avoir une excuse pour passer plus de temps avec Mélinda sans rien craindre côté étude. Il ne manquait plus que de grandes ailes blanches et une auréole pour Mélinda et ce sera son ange gardien. Car si elle avait déjà croisé Shani dans les couloirs, la voir en vrai à quelques mètres, les yeux dans les yeux, ça affluait forcément son sang entre ses jambes. Shani avait beau être enchanté, elle ne le sera pas moins qu'Ai qui sans son morceau de scotch entre ses jambes laisserait sûrement voir une petite bosse au niveau de sa jupe. Elle n'était pas la mieux lotie du futabu ni même du lycée mais elle se fichait de la taille. Au contraire, les autres trouvaient cela plus mignon et on se jetait plus facilement sur elle donc c'était tout à son honneur.
Même si Mélinda tapait dans le mille, elle avait du mal à croire qu'il existait pire comme club que le futabu ? Quoi de pire qu'un groupe de futa qui invite les autres à venir pour leur servir de sac à foutre ? Il y avait pire que ça ? Dans le lycée ? Non, elle demande à avoir des preuves sous les yeux pour y croire.
« Héhé, ce serait mentir de dire que je me suis ennuyé chez elle. Au contraire même, je me suis pas ennuyé une seule seconde ! »
Le sourire de la petite futa était bien grand à cette idée, elle était plus impatiente que jamais de voir arrivé les vacances pour passer de longues journée plein de sexe avec toute ses nouvelles copines ! Mélinda revint dans son dos pour mieux l'exciter en caressant son sexe en lui murmurant de belles choses au creux de l'oreille, la pauvre Ai gémissait doucement en se laissant faire, imaginant déjà bien des choses avec Shani, être prise sur son bureau ou au contraire, Shani penché sur son bureau pendant qu'elle se fait plaisir en lui bourrant les fesses ! Halala, elle avait tellement envie de... tout !
« Ha nooon Maîtresse ! Je veux pas avoir une croix... J'en veux plusieurs ! Je veux avoir le re-record de croix dans son carnet ! »
Légèrement poussé par la vampire, elle se rapprocha de Shani à pas de louve pour venir passer à côté du bureau et bercer par ses envies, elle venait s’asseoir sur ses cuisses en tenant ses bras pour se tenir contre elle, lui faisant face avec des tas d'envie, se demandant quelle carte Shani allait pioché dans son jeu.
« Comment veux-tu jouer Shani-chan ? N'ai pas peur de me dire tes envies, je meeeeeurs d'envie de connaître tes goûts ! »
Et ses dessous aussi. Vu l'allure sexy que la jeune femme trimballait, Ai étant fan des dessous sexy, elle va sûrement être servi par Shani ? Elle espérait du moins mais cela ne l'empêchait pas de fantasmer pour le moment. Frétillante comme un poisson dans l'eau, elle se retenait de l'embrasser afin de savourer les quelques mots qu'elle va lui dire pour lui répondre. Halala, si Mélinda était une déesse, elle l'aurait prier chaque instant de sa vie, cette femme était un vrai trésor pour elle... Elle vivra avec elle, c'est sûr, si être son amie la gâte autant, Mélinda n'avait aucun souci à se faire pour Ai, elle la suivra aveuglément où elle ira.
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Avoir Mélinda et Shani ensemble, Ai pouvait se targuer d’être vernie. Mélinda souriait donc, en voyant bien, au-delà du trouble d’Ai, son émotion et son plaisir. Elle allait coucher avec Shani, qui était visiblement un fantasme de longue date. Mélinda était bien placée pour le savoir. Signe de la perversion ambiante qui régnait à Mishima, sur l’Intranet local, Shani figurait parmi les femmes les plus « baisables » de l’administration du lycée. La belle secrétaire était dans un grand bureau, le secrétariat, comprenant un long bureau faisant face aux élèves, et Ai en fit rapidement le tour, tout en avouant avoir très envie de coucher avec Shani. Cette dernière connaissait le Futabu Club. Lorsqu’elle était venue à Mishima, Shani était encore une secrétaire qui essayait de lutter contre ses pulsions sexuelles. Autant dire qu’il n’avait fallu que quelques semaines à Seikusu pour que Shani renonce à tous ses idéaux, et laisse parler sa profonde perversion. De plus, depuis qu’un gang de Futas en latex avec des seins énormes était venu la voir, et lui avait fait l’amour sur son balcon, régulièrement, ses voisins venaient coucher avec elle.Si, en France, Shani avait déjà une expérience sexuelle forte, ici, au Japon, c’était... Incomparable.
Shani vit donc Ai s’asseoir sur ses cuisses, et lui sourit, caressant ses jambes. Ai rougissait légèrement. La perverse Futa’, qui n’hésitait pas à prendre Shii, se montrait étrangement timide en ce moment.
*Diable, elle a flashé sur la belle Shani...*
Mélinda sourit néanmoins quand Ai sembla redevenir elle-même, en demandant à Shani quelles étaient ses « envies ». L’intéressée fit mine de réfléchir, et glissa sa main sous la minijupe de la femme.
« Pour l’instant... Je veux juste sentir... Oh... »
La secrétaire esquissa un sourire en sentant le sexe de la femme, un membre bien tendu, qui semblait très serré, et pour cause, puisqu’un morceau de scotch le retenait. La secrétaire dut gratter un peu, et, espérant ne pas faire trop mal à Ai, tira sur le scotch, le retirant rapidement.
« Quelle idée de te saucissonner avec un truc pareil... »
Ah, les adolescentes pouvaient avoir des idées bizarres, parfois ! Néanmoins, Shani avait maintenant une belle emprise, et elle tenait ce sexe dans le creux de sa main, ce membre chaud, qui palpitait comme un poumon plein d’énergie. Shani la masturba donc, tout doucement, et, avec son autre main, qui tenait sa nuque, elle crispa un peu ses doigts sur elle, puis en profita pour l’embrasser.
Le spectacle était assez mignon à voir, et, pour le moment, Mélinda se contentait d’être une silencieuse spectatrice. N’importe quel élève pouvait rentrer à n’importe quel moment, ce qui ne faisait que rendre ce moment encore plus excitant, en lui rajoutant un frisson d’inconnu.
Et Shani, elle, ne tarda pas à enfoncer sa langue dans la bouche d’Ai, pour lui faire découvrir les joies du « French Kiss »...
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Ce n'est pas vraiment qu'Ai était amoureuse de Shani, c'est vrai qu'elle agissait différemment entre elle et Shii mais il y avait plusieurs facteurs à cela. Déjà l'âge, elle ou Mélinda semblaient avoir environ son âge donc c'était simple d'agir au naturel mais Shani était plus âgée et imposait quand même une certaine forme de respect qui s'en dégageait. Et puis bon, avec Shii, les choses ont fait que c'est aller très vite et que du coup, elles couchent ensemble bien rapidement mais là, tant qu'à faire, elle préférait prendre son temps pour déballer en douceur son beau cadeau plutôt que ne pas perdre une miette et déchirer cela en deux-temps, trois mouvements. Assise sur elle, elle se demandait bien ce qu'elle pouvait bien porter ? C'était son péché mignon, elle allait penser à ça jusqu'à avoir sa réponse sous les yeux. Elle était quasiment sûre que c'était des dessous bien sexy et mignon, quelque chose de raffiner ? Sûrement du noir. Le noir dégage un petit quelque chose de sexy mais aussi d'élégant, là ou le rouge cri au viol et à la perversion.
Shani passa sa main sous sa jupe pour sentir sa queue dresser mais maintenue en otage par un morceau de scotch, elle ne faisait pas cela par envie mais sans ça, elle aurait non-stop la gaule. Même si elle n'avait pas un bras entre les jambes, cela aurait fini par se voir donc prudence est mère de sûreté. Et puis elle n'avait rien de grandiose non plus, une culotte à Shii, très excitant pour elle-même mais elle a connu mieux comme dessous pour une première fois.
« C'est une sécurité, Shani-san, sans ça... je serais trop tentée de me caresser... à longueur de journée. »
Ai était certes une perverse et avec une forte tendance à la masturbation mais ça, c'est parce qu'elle n'avait pas ou peu de chance de partager ses goûts avec les autres. Maintenant que Mélinda est sa copine, elle aura toujours quelqu'un pour l'aider à réaliser ses fantasmes, sa main allait moins souvent être collée entre ses jambes. Au pire, ce sera la main d'une autre qu'elle aura sur son pénis et rien que ça, c'est déjà mieux ! Sa main venait doucement la caresser pour mieux la redresser dans sa paume pendant qu'elle partageait un baiser avec un, un baiser où sa langue pénétra aussi sa bouche. Pour Ai, ce n'était qu'une chose habituelle, certes, c'était une langue française qui entra dans sa bouche et non-japonaise ou... vampirique mais quand même ! Il en fallait un peu plus pour laisser Ai sans voix. Elle restait sage pour le moment, gardant ses mains sur les épaules de Shani, elle partageait ce baiser en imaginant toujours quels dessous elle cachait sous ses jolis vêtements ? Ai n'était pas le genre de femme à vouloir de suite se retrouver nue, au contraire, elle préférait faire ça en étant habillée, voir avec de jolies choses sur le corps. Mais puisque Shani voulait jouer avec la langue, un French kiss comme on dit, elle va lui offrir une chose typiquement japonaise ! Elle ignore si c'est bien japonais mais sur internet, les japonais adorent filmer ça alors... peut-être ?
Mettant fin au baiser, elle venait prendre sa langue entre ses lèvres pour la sucer, faisant bien entendre les bruits de sucions, provoquant ses vas et viens sur cette langue comme s'il s'agissait d'une autre patrie de l'anatomie. Elle la léchait aussi mais en sortant sa langue, sans rien caché. Ça avait un côté excitant et amusant cette pratique ! Mais après lui avoir offert cette mise en bouche, elle changea de vitesse pour passer à autre chose. Puisque sa main quitta son épaule et tira doucement sur son chemisier, tentant de voir ce que la belle secrétaire cachait comme dessous. Elle ne cachait pas son côté fétichiste, si des gens se prenaient la tête pour faire de si belles choses, c'était fait pour être contemplé dans toute leur beauté, pas pour les contempler une fois sur le sol.
« Dis moi Shani-chan, tu sais ce qui rend ma queue si dure depuis tout à l'heure, à part ta main ? C'est d'imaginer ce qui couvre ton corps. Je suis sûr que tu portes du noir, peut-être même un peu de dentelle ? Le genre de choses que l'on dirait avant tout raffiner avant de dire sexy. Et je suis sûre que ça te va trooooop bien ! Alors, j'ai bon ? »
Dit-elle en tirant doucement dessus pour glisser un œil entre ses seins mais... quelque chose de moelleux et tendre lui bloquait la vue, l'empêchant de découvrir la réponse par elle-même. Cette idée de la voir en petite tenue était la chose qu'elle désirait le plus pour le moment car on en apprenait aussi beaucoup sur les dessous d'une personne, qui mieux qu'Ai pour savoir cela. Ai mouillait déjà rien qu'à l'idée de toutes ses choses qui lui traversait l'esprit.
« Haaaa, Shani-chan... j'ai tellement envie de faire tout un tas de choses avec vous... qu'ils nous faudra plus d'une journée pour tout réaliser ! »
Et c'est rien de le dire !
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Si seulement Ai savait que Mélinda avait, en réalité, plusieurs siècles d’existence… Avec les vampires, l’habit faisait rarement le moine. Pour le coup, la vampire aurait été très amusée de connaître la raison de la gêne d’Ai, mais, en ce moment, elle pensait surtout au fait qu’Ai était face à une secrétaire, une femme qui, au sein du petit monde d’un lycée, appartenait à « l’autre camp ». En tout cas, Mélinda les regardait, non sans un certain plaisir, s’embrasser goulûment, Ai allant jouer avec la langue de Shani, qui continuait à maintenir la jeune femme contre son corps. De cette manière, les deux amantes s’embrassaient tendrement, Ai finissant par aller chercher la langue de Shani. La secrétaire, en souriant, sortit donc son appendice lingual, et sentit, avec plaisir, Ai tenter de « sucer » sa langue, se livrant ainsi à un exercice aussi délicieux qu’étonnant… Puis, alors que les deux femmes commençaient à se découvrir mutuellement, Shani sentait les petites mains d’Ai tirer sur sa chemise blanche, tandis qu’elle continuait à caresser sa queue.
La jeune Shani avait découvert les filles membrées au Japon, à Seikusu, et elle adorait ça. Peu de gens savaient à quel point la femme était perverse, et ce qu’elle avait vécu quand un gang de Futas en latex, avec des seins énormes, avait décidé de faire d’elle leur petite chose. Shani en subissait encore les conséquences, car, outre les deux tatouages qu’elle portait sur chacune de ses fesses, de nombreux voisins l’avaient vu se faire prendre sur le balcon, ou avaient tout simplement entendu cette dernière hurler. Dans une autre ville, elle aurait eu la visite de la police pour tapage nocturne. Là, elle avait les voisins qui lui faisaient régulièrement l’amour, l’attendant devant chez elle quand elle rentrait du boulot, ou la prenaient rapidement. Mélinda savait, elle, ce que Shani avait vécu. On se confiait facilement avec Mélinda, et il était fréquent que la vampire, outre lui faire l’amour, ne boive son sang magnifique. Shani avait beau être une simple humaine, chaque fois que Mélinda buvait son sang, elle lui trouvait un goût… Absolument unique.
Elle regardait donc les deux femmes s’amuser, jusqu’à ce qu’Ai n’exprime à Shani ses passions fétichistes, faisant doucement sourire la belle Shani.
« Hum… Plus d’une journée, tu es sûre ? »
Un sourire amusé se dessinait sur les lèvres de Shani, montrant ses dents. Sa main relâcha alors le sexe d’Ai, et elle la remonta, posant ses doigts sur ses lèvres, avec l’odeur un peu moite de ce sexe, qu’elle glissait contre ses lèvres.
« Ne fais jamais une promesse que tu ne pourras pas tenir, Ai… Mais, pour répondre à ta question… »
Shani aurait pu se déshabiller, bien sûr. Pendant ce temps, Mélinda s’était assise sur le rebord du bureau, observant ainsi au mieux les deux femmes. Affichant à nouveau un sourire amusé, Shani pencha ses bras vers l’arrière, bombant ainsi son buste.
« Si tu veux voir, utilise tes mains pour déboutonner ma chemise… »
La secrétaire continuait à jouer avec elle.
« Et, pendant que tu me déshabilleras, tu me diras ce à quoi tu penses, quels sont tes fantasmes avec moi, avec mon corps… »
Sous sa chemise, Shani portait une tenue très proche de ce qu’Ai avait envisagé, puisqu’elle avait un élégant corset noir, qui moulait ses seins à la perfection. Une tenue qu’elle portait presque tout le temps, car ses amants adoraient la prendre avec…
*Mais, de toute manière, je crois que, peu importe ce qu’elle porte, baiser Shani est toujours magnifique.*
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Ai ne mentait pas quand elle disait une journée, pour une seule et unique personne, ses fantasmes étaient si nombreux qu'elle pouvait faire toute l'encyclopédie du sexe, avant de la simple masturbation en voyeuriste jusqu'à l'orgie sauvage. Et pour couronner le tout, de nombreuses et nombreuses tenues plus sexy les une que les autres ! Ai savourait la peau si douce de la jeune femme, caressant cette dernière avec soin, gloussant en voyant que Shani ne la croyait pas. Elle ne dit pas qu'elle pourrait tout faire en une journée et sans la moindre pause mais elle y prendra tout son pied, oh que oui ! Elle lui donna l'autorisation de lui déboutonner sa chemise, pour elle, c'était un grand honneur ! C'est comme ouvrir le cadeau d'une autre personne avec son autorisation ! Elle avala sa salive en se penchant un peu plus dessus en ouvrant doucement un à un les boutons. Ha oui, fallait dire ce qu'elle pensait !
« Holala, j'étais sûr que c'était du noir, rien qu'à en voir les contours, c'est sexy, si joli, si bien travailler ! »
Oui, Ai avait ce genre de fétichisme mais elle l'avouait et c'était vrai. Pas une simple excuse pour mater. Pour preuve, avant même de poursuivre, elle prenait un morceau du soutien-gorge entrer ses deux doigts qu'elle frottait pour mieux sentir le tissu.
« Huuum c'est doux ; c'est beau, haan... même votre poitrine est toute douce, Shani-chan ! »
Sa respiration se faisait un peu plus forte et plus rapide, comme les battements de son cœur, l'afflux sanguin dans son corps était en train de pomper à toute vitesse ! Débouttonant d'autres boutons, elle vit que ce n'était pas un simple soutient gorge mais un corset ! Elle s'en mordait les lèvres, elle prenait son pied rien qu'à regarder. Une chance que Shani a décidé de laisser sa queue en paix sinon elle aurait lâché la sauce, surement.
« Haaaaan mais c'est trop beau ! Le noir vous va si bien ! ET le rouge doit vus rendre bandante aussi ! La mauve donnerait surement un côté plus sensuel... Voir exotic ? »
La voilà en véritable vendeuse de lingerie mais elle s'égarait mais avant de franchir le dernier pas et voir ce qui se cache sous la jupe, elle se laissait tomber, le nez entre ses seins pour prendre une grande respiration en savourant ce parfum, ce toucher. Haaa, le nirvana...
« Oooh Shani-chan... tu m'inspire tant ! Je me verrais bien aussi habillé que toi et à faire l'amour encore et encore. Te baiser sans retirer toutes jolies choses, juste faire débrder tes seins de ceci à la limite mais si le haut est aussi top, le bas doit va surement me faire maudire de ne pas me masturber en te regardant ? Quoi que je risque de souiller tout ça... ce serait dommage. Je verrais bien ma queue engloutie entre tes seins ? Ou bien écraser entre tes jolies fesses d'amour ? Rhhhha je veux te faire l'amour mais pas comme ça... je veux moi aussi bien être habillée... ou alors, si je garde mon uniforme, il faut vraiment jouer notre rôle au sérieux... l'élève perverse et la jolie secrétaire ! »
Elle n'avait pas retiré sa tête de son nirvana, savourant cette sensation autant que possible, se demandant si elle avait faire l'amour en étant chic ou en étant une élève ? Peut-être que Mélinda va jouer avec elles ? Car pour le coup, les cours n'allaient pas tarder à reprendre mais elle s'en fichait. Son corset avait attiré Ai comme un aimant, elle n'allait pas s'en décrocher comme ça.
« C'est bien gentil de parler de moi... mais toi, Shani-chan, qu'est-ce que je t'inspire ? »
Elle se laissait de nouveau bercer par sa poitrine, tellement... ça !
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Shani souriait lentement en voyant Ai déboutonner lentement sa chemise. Visiblement, la jeune femme aimait bien les lingeries fines et sensuelles. Mélinda observait ça, et constata, sans grande surprise, que Shani avait opté pour son corset noir. Cette secrétaire était autant une source de ravissement qu’une énigme aux yeux de la vampire. Elle se pinçait les lèvres en voyant Ai palper ses seins, commentant sur ce que la secrétaire devrait porter. Une énigme, donc, car elle avait une énergie sexuelle incroyable, et un sang... Particulier. C’était celui d’une humaine, mais avec un arrière-goût unique au monde, quelque chose que Mélinda n’avait jamais retrouvé ailleurs, qui lui rappelait un peu le sang de Sya, mais... De manière différente. Shani était une énigme, et Mélinda s’était renseignée sur son passé. La Française n’était pas devenue perverse à Mishima, elle l’était déjà bien avant, et qu’elle ait rejoint Mishima était un autre mystère. Quoi qu’il en soit, sa présence, ici, était un atout indispensable pour Mélinda, car Shani, comme d’autres secrétaires, couvraient les activités sexuelles du lycée, les clubs sexuels, et les esclavagistes. Sans l’administration, Mélinda n’aurait tout simplement jamais pu s’inscrire dans ce lycée, car elle ne venait pas de la Terre. Il était donc important de bien les traiter, et c’était ce à quoi elle s’appliquait en ce moment.
Ai, de son côté, en venait à regretter de ne pas porter une lingerie élégante, ce qui ne manqua pas d’amuser Shani, dont les mains continuaient à caresser le corps de la jeune femme, filant le long de ses hanches, se rapprochant de ses cuisses, de sa minijupe, qu’elle commença à soulever, pour sentir sa culotte. Une belle culotte à dentelles, et elle souleva légèrement Ai, de manière à pouvoir poser ses mains le long de ses fesses, les coinçant entre le bassin de la lycéenne et ses propres genoux.
« Ce que tu m’inspires ? Hum... »
Shani souriait, et déposa un baiser sur le front d’Ai.
« Je te verrais bien dans une petite tenue élégante, très frenchy, à me faire l’amour avec ta queue. En réalité, je me verrais bien au-dessus de toi, m’empalant sur toi. Je ne sais pas pourquoi, je trouve le contraste saisissant... Et je te verrais volontiers explorer mon corps, coucher avec moi pendant que nous sommes encore habillées, tout comme je te verrais bien jouir en cours, grâce à ces petits gadgets que Mélinda affectionne tant... »
On pouvait voir que la secrétaire était très bien renseignée. Elle en savait beaucoup sur Mélinda, et, au-delà d’elle, sur toutes les activités clandestines du lycée. Depuis le jour où le lycée Mishima avait été fondé, le sexe avait été une composition importante de ce dernier. C’était le souhait des puissantes familles ayant participé à son financement, comme les Morimoto, dont les deux héritières étaient encore plus perverses que leurs parents avant eux, et qui étaient, en grande partie, responsables de l’élévation forte et notable des différents clubs sexuels qui pullulaient désormais dans l’établissement scolaire.
La vampire posa alors sur le bureau son sac à dos, et sourit joyeusement à Ai.
« Les cours vont bientôt reprendre... Ce qui signifie que tu as une heure pour t’amuser avec Shani. Et, comme je sais que tu l’aimes beaucoup, la petite tenue que tu as mise hier... Je l’ai emmené avec moi, elle est dans ce sac. »
Un ensemble sexy et élégant (http://img15.hostingpics.net/pics/6082581040876614577960477942881110416025838353362n.jpg) qui lui allait à ravir, et qui, assurément, plairait à Shani. Mélinda souriait sensuellement, sûre qu’Ai ne résisterait pas à l’envie de l’enfiler.
« Et si tu allais la mettre à l’arrière ? Je suis sûre que Shani adorera te voir dans cette tenue... »
Elle en était même totalement convaincue.
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Face à Shani, Ai était si ravie, son érection était tellement dure devant les dessous qu'elle pouvait avoir sur elle. Si sexy, c'était tellement agréable pour l'oeil et même au toucher. Les gens avaient divers fantasmes qu'ils aimaient croquer plus ou moins vite mais Ai aimait savourer et ce, avec tous les sens, la vue, le toucher, l'ouïe, l'odorat, le goût. Si une personne s'est un jour dit que les sous-vêtements peuvent être utiles et agréables à porter qu'à voir, autant faire en sorte que son vœu se réalise et qu'elle en profite bien comme il faut. C'est sûr que lui faire retirer tout cela rapidement serait une insulte, elle était tellement sexy dedans ! Et encore, elle ne voyait pas encore le bas mais ça doit être dans les mêmes tons et rien que ça... oh ça donne envie de lui retirer le bas avec les dents !!!
Les paroles de Shani étaient une véritable mélodie hypnotique qui laissait la petite futa si rêveuse, faire l'amour comme ça, avec de belles choses à porter, Shani qui la prendrait...
« Oh oui, et ce sera ici, sur le bureau ? On y fera de la place, hein ? »
Elle se voyait déjà « violer » ici, allongée sur le bureau pendant que la belle secrétaire se déchaînait en dansant sur son corps. Cela lui inspirait tellement de belles choses. Elle avait beau avoir Shani sous les yeux, elle était déjà dans sa bulle de fantasme, à s'y croire... L'idée des gadgets en cours l'amusait moins, pourquoi ? Car elle préférait de loin se toucher et jouir en pensant à de belles choses grâce à des jouets. C'est vrai, sans de belles choses en tête, c'était moins drôle déjà. Puis faire ça en plein cours ne faisait pas partie de ses fantasmes mais faire des choses avec une autre fille en plein cours, là, ça lui plairait bien ! Mélinda venait sonner le glas, il était l'heure pour – ne pas – aller en cours. En plus elle avait ressorti sa petite tenue d'hier ? Elle aurait aimé changer un peu mais comme Shani ne l'avait jamais vu dedans, c'était tout aussi bon pour elle alors.
« Oh Merci Maîtresse ! Je vais aller me changer mais tu ne regardes pas Shani-chan ! »
Et quand Mélinda lui disait derrière, pour Ai, c'était derrière le fauteuil de Shani, laissant pour ses oreilles le loisir de l'entendre se déshabiller. Ai n'était pas méchante, elle lâchait au-dessus de son fauteuil ses affaires encore chaudes pour que la belle secrétaire puisse toucher, renifler, ou contempler simplement ce qu'elle portait sur elle il y a encore peu. Une fois prête, sans se faire voir, elle passa juste ses bras autour du fauteuil pour empêcher Shani de se retourner trop vite en allant lui baiser une joue.
« Prête ? »
Elle s'avançait doucement en se dandinant légèrement, laissant la belle jeune femme l'observer autant qu'elle voulait. Elle prenait place sur le bureau, ses petites fesses écrasant divers papiers – importants ou non – alors qu'elle croisait les jambes, laissant sa queue sortir de sa culotte. Les mains posées en arrière dans son dos, la laissant un peu courbé en arrière pour que Mélinda puisse, elle aussi en profiter si l'envie lui prend. Mais pour Ai, il y avait quand même une autre question bien plus importe que celles que les deux créatures de rêve pouvaient se poser...
« Eh bien... Maintenant que je suis prête, on peut s'amuser sur ton bureau Shani-chan ? »
Il faudrait peut-être le vider un peu... Autant un pot à crayon par terre ne sera pas embêtant mais un pc... Ce n'est pas pareil. Toute souriante et très attirante, elle attendait que Shani vienne la dévorer à pleines dents pour savourer tout ce qu'elle allait subir... Elle était du genre impatiente la petite Ai, surtout quand une créature de rêve se tient devant elle.
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Des sous-vêtements et de la fine dentelle... L’élégance se mélangeait à l’érotisme. Ai était très excitée, ce que Mélinda sentait très bien, grâce à ses battements sanguins, qui trahissaient son excitation nerveuse. Plutôt que d’aller dans une autre pièce, elle alla juste dans le dos de Shani, se déshabilla, et remit les sous-vêtements sexy qu’elle avait porté hier. Elle s’afficha ensuite devant Shani, dandinant des fesses, dans son élégante tenue, tandis que Shani elle-même avait ôté sa chemise, portant ainsi son corset, sa minijupe, et ses collants. Sa main ne tarda pas à caresser les fesses d’Ai, glissant également sur le bas de son dos, pour revenir néanmoins sur ses fesses, puis elle se redressa, s’extirpant de son fauteuil. La queue d’Ai, bien tendue, déformait sa culotte, pointant vers le haut, faisant sourire la secrétaire, qui se mordillait même les lèvres en observant ce morceau de chair.
Elle glissa alors sa main dans la culotte d’Ai, et entreprit de tendrement la masturber, serrant ses doigts sur sa queue, remuant sous sa culotte. Les délicieux soupirs de la jeune lycéenne venaient emplir l’air, rebondissant dans les oreilles de la belle secrétaire. Shani continua encore à la masturber, et massa ses fesses, ses deux mains glissant ainsi sur son corps, la caressant tendrement. Indéniablement, on sentait toute l’expertise de Shani, toute cette maîtrise qu’elle faisait dans ses caresses, travaillant au corps la belle Ai, remontant sa main le long de sa trompe de chair. Avec son autre main, elle la posa sur son épaule, et la repoussa, envoyant ses fesses heurter le rebord du bureau.
« Allez, grimpe dessus, ma chérie, mais ne compte pas sur moi pour délivrer ta queue. Vu sa taille, elle devait être très impatiente qu’on s’en occupe... »
Mélinda agit rapidement, écartant des fournitures de bureau, ainsi que le clavier, permettant ainsi à Ai de s’asseoir plus confortablement. Restant de bout, Shani venait régulièrement l’embrasser, sans jamais cesser de caresser son sexe. Elle la masturbait donc, et l’embrassait également, s’aplatissant contre elle, fourrant sa langue dans sa bouche, et ferma les yeux, gémissant de plaisir. Pour Ai, c’était visiblement un fantasme qui se réalisait, et, plus le temps passait, et plus elle pouvait réaliser combien Shani était douée, combien elle irait satisfaire tous les fantasmes de la jeune femme.
Shani rompit donc le baiser, et grimpa à son tour sur le bureau, conservant sa main dans la culotte d’Ai.
« Alors, dis-moi... Ça remonte à quand, la dernière fois que des mains ont caressé ton sexe, ma chérie ? Car il a vraiment l’air de se sentir seul... »
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S'amuser avec cette femme qui avait du goût, c'était terriblement excitant ! Il ne faut pas croire qu'une partenaire de jeu, c'est juste physique, ce serait une insulte au sexe que de penser comme ça. Une partenaire, outre le physique, c'est aussi un comportement qui rend déjà le jeu plus amusant, avec ceci, il y a aussi les dessous ! Ai ignorait s'il existait sur ce monde ou ailleurs, une divinité liée aux sous-vêtements ? Il y avait bien des vampires, des nekos et des Succubes alors pourquoi pas des dieux ? Mais si ce serait le cas, déjà ce serait bizarre mais la petite futanari en serait sa plus grande prêtresse alors ! C'était à se demander si elle aimait vraiment les femmes ou leurs dessous ? Question bête car c'est avant tout les femmes son plaisir ! Leur dessous, c'est juste un bonus, comme les friandises, quand on entre dans un magasin de bonbon, on sait qu'on vient pour ça, choisir, c'est autre chose et certains sont plus surprenant que d'autres, tant physique qu'au goût.
« Huuuum, Shani-chan... »
Sa petite bouche était délicieuse, ses doigts de fées aussi, son toucher était délicieux, elle ne savait pas si c'était sa peau, la forme de ses doigts ou même, la force de pression de ses doigts mais une chose était sûr, elle était contente qu'elle la masturbe. Posant ses fesses sur le bureau, elle continuait de l'embrasser, ignorant pour le coup sa maîtresse, maintenant prise dans sa bulle rose, elle caressait son corps, son corset était aussi doux que sexy. Même sans le voir, elle le voyait à travers ses doigts, les détails, la couleur, le tissu, tout éétaientparfait. C'est simple, pas question pour Shani de retirer cette merveille. Oh peut-être un peu pour lécher sa poitrine mais pas plus loin ! Idem sous la ceinture, fallait bien la pénétrer mais retirer cette culotte risquait de retirer bien des atouts à la demoiselle ! Face à sa question alors que la belle grimpait à son tour sur le bureau, elle gloussa même si elle gémissait aussi.
« Huuum, haaaa... ce matin... Shii-chan a joué... hum, avec moi mais... j'ai dû me r-retenir... tout ce temps ! »
Avant de connaître Mélinda, Ai profitait de chaque pause pour aller aux toilettes pour se masturber et même si hier soir, elle a eut une sacrée dose de sexe, ce matin, en dehors de Shii, elle n'a rien fait. Alors évidemment que jouer avec Shani, dieu que c'était bon ! Ai était vraiment un perverse et elle adorait le sexe, peu importe sa forme.
« Retire ta main... Shani-chan... » Ai le fit même toute seule, retirant ses doigts de fées de sa culotte, même si la bosse y était toujours. « Je voudrais pas jouir trop vite et puis... Mon dieu ce que tu es excitante là-dedans ! Je veux en profiter un peu, avant de me détendre en toi. »
Ai se redressait et entourait Shani de ses bras avant de plongée sa tête entre ses seins. Ob ce qu'ils étaient moelleux ! Et douuuux ! Ils sentaient si bon et son corset, ce maudit corset rendait ça doublement meilleur ! Triplement ! Elle remuait sa tête entre ses seins, voulant en perdre sa respiration entre ses seins, ce serait une belle façon de mourir. Même si ce ne serait pas pour tout de suite, elle avait tant de choses à faire et à voir dans un lit – et ailleurs – avant d'en perdre la vie.
« Ohhhh ouiiiii ! Mmmmmhhhh c'est si doux ! Moi qui voulais tenir ma promesse à mes parents et rester concentré sur mes études... Tu es la tentation en os et surtout en chair, Shani-chan ! Mmmmhhh ! »
Si Mélinda était le diable pour avoir l'âme d'Ai, alors Shani... oh peu importe, qu'elles se partagent son âme, elle était prête à tout pour de telles beautés et tant d'heures de jeux ! Outre le fait d'y frotter son visage dedans, elle embrassait ses seins, sur sa peau ou le tissu, venant même le lécher parfois alors qu'elle se calmait, palpant juste cette poitrine généreuse. Elle n'en était pas jalouse mais parfois, elle regrettait de ne pas avoir plus de poitrine pour jouer avec, ou que les autres jouent aussi avec. Même si elle restait séduisante, elle avait encore quelques années pour modeler son corps, le rendre plus sexy !
« Shaniiiii-chaaaaaan.... Hum, je tiens pluuuuus... je veux te faire l'amooooouuuur ! Je sais que là... je vais pas tenir longtemps mais... je déborde d'énergie et puis... quelque chose me dit qu'après, c'est toi qui va déborder... Hihihi ! »
Shani avec un ventre plus rond, débordant de sa crème ? Huuum, voilà qui sera tout autant sexy ! Ai avait ce don d'avoir des innondations de foutre ! Et même en jouissant beaucoup, la quantité diminuait comme n'importe qui mais ça restait quand même beaucoup ! Les premières fois – comme bientôt – ce serait facilement deux à trois litres qui vont sortir ! C'est à se demander où elle allait chercher tout ça car en une journée au club, elle devait parfois éjaculer plus que son poids, ce qui n'est pas rien !!!
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La main de Shani était une main experte. Elle avait beau n’être qu’une secrétaire, en matière de sexe, Shani aurait pu servir Lust en personne. Mélinda, la première fois qu’elle lui avait fait l’amour, avait pensé tomber sur une humaine normale, qui s’épuiserait dès qu’elle l’aurait pénétrée. Pour la rejoindre, elle s’était mise une heure de colle, en s’assurant que ce soit Shani qui la superviserait, et l’avait séduite à la manière de Mishima, en écrivant sur un carnet, pendant dix minutes, ce qu’elle comptait faire à la secrétaire, le programme de la soirée. Dans un autre lycée, la jeune femme aurait probablement été effarée, mais elle avait rougi furieusement en consultant les notes de la vampire. Mélinda, de plus, écrivait extrêmement bien, car elle avait reçu d’importants cours de dactylographie, et, quand Shani avait fini de lire, la vampire s’était ruée sur elle. Elle avait ensuite réalisé que Shani était consentante dès le début, et elles avaient fait l’amour pendant toute l’heure de colle, et avait largement débordé par la suite. Cette femme était tout simplement exceptionnelle, et avait stimulé les sens de la vampire comme jamais, jusqu’à ce qu’elle la morde... Et là, Mélinda avait compris que cette créature n’était pas humaine, car un sang exceptionnel avait fusé en elle, ce qui l’avait amené à appeler d’autres filles, des lycéennes qui étaient également ses esclaves, et elles avaient transformé la pièce en une orgie phénoménale.
Pour Mélinda, c’était un excellent souvenir, et, depuis lors, elle vouait à Shani un certain respect. Elle aurait pu en faire son esclave, mais Shani avait tenu à conserver son libre arbitre, et, même si la secrétaire s’amusait parfois à l’appeler « Maîtresse », Mélinda ne la considérait pas comme sienne. Son statut était un mélange, une situation un peu hybride, dans le même style qu’Ai, car Shani était toujours la bienvenue au manoir. Et Mélinda était toujours ravie de la voir.
Elle assistait donc au spectacle, voyant la main de Shani glisser sur cette queue, qui déformait sa culotte, le bout pointant hors du tissu, ce qui ne manquait pas d’exciter Ai, dont les délicieuses joues rouges étaient un plaisir à voir. Cependant, Ai repoussa alors la main de Shani, désireuse de profiter avant de jouir, et la secrétaire ne put que sourire.
« Comme tu veux, ma chérie... »
Shani avait découvert l’hermaphrodisme ici, à Mishima, et avait été très surprise d’apprendre qu’une telle chose était possible. Cependant, une fois la surprise passée, elle avait découvert qu’elle adorait ça. Très souvent, elle se faisait prendre, mais il arrivait aussi qu’elle prenne une pilule, et prenne les autres. Là, en ce moment, c’était l’inverse qui allait avoir lieu. Shani connaissait bien le Futabu Club, et avait déjà couché avec plusieurs de ses membres. Elle connaissait donc leur vigueur, et laissa Ai venir se frotter contre ses seins, tout en la rassurant, déposant un baiser sur son front.
« Allons, ma puce, je connais ton dossier scolaire, tu as de très bonnes notes... Et tu continueras à en avoir avec ta Maîtresse, car Mélinda fait très attention à ce genre de choses... »
C’était vrai, car avoir de bonnes notes était un excellent moyen de distraire l’attention des parents sur ce que leur progéniture faisait. Sur ce point, Ai n’avait donc pas à s’en faire, car les esclaves de Mélinda parvenaient très bien à conjuguer « sexe » et « vie scolaire ». Ai se frottait donc contre les seins moelleux de la secrétaire, les humant, sa queue caressant ses hanches, avant de dire qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Shani lui sourit, posant une main sur les fesses de la femme, et posa ensuite ses lèvres contre les siennes, scellant son accord.
« Je n’attends que ça, Ai... Mais quelle position souhaites-tu, mon petit cœur ? Que je me couche sur le sol ? Contrle bureau ? À quatre pattes ? »
Autrement dit, elle n’avait que l’embarras du choix, car son choix serait le sien ! Shani lui sourit à nouveau, et l’embrassa brièvement sur le bout du nez., avant d’avouer, à voix basse :
« J’ai très envie de sentir ta queue se planter en moi... »
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Shani avait une odeur délicieuse. Pas le genre d'odeur de sueur et de sexe mais une odeur qui sentait bon, pas le genre parfum super cher qui détruit les narines en reniflant à peine le flacon, non, c'était léger, subtil mais délicieux. Et ça, ça compte pour elle ! Bien des gens voit seulement deux choses dans le sexe, partenaire et comportement, certes, ça restait important mais Ai est certes une fétichiste des dessous mais question sexe, c'est aussi une grande experte pour qui le moindre détail comptait. L'odeur, l'apparence, le lieu, la situation, chaque détail étaient importants. Sinon pourquoi hier elle avait trouvé sa planque avec Shii parfaite dans le vestiaire des filles. Collée l'une à l'autre, le risque de se faire voir, le corps chaud de sa camarade, tout était parfait ! Ici, elle était à la fois un avantage et un défaut, Mélinda. Ai n'irait pas la pousser hors de ce bureau, nooooon, mais si les choses se seraient passé normalement, plutôt comme dans un porno, ça aurait été tout aussi bon. Ai qui se fait convoquer, Shani qui en profite doucement et invite Ai à venir en elle... ça aurait aussi pu être délicieux, non ?
Pour le moment, elle savourait sa poitrine en y plongeant son visage dedans, savourant le moelleux mais aussi la qualité du tissu de son soutien gorge, sa douceur. Han, le paradis était si bon ! Mais après avoir savouré un tel moment, il fallait aussi en profiter vraiment et la belle secrétaire savait y faire ! Elle venait lui glisser quelques mots, banals dans une telle situation mais si bien choisi.
« Et moi donc... Mais même si j'aime vos idées, Shani-chan, on les testera une prochaine fois. Là, contre le bureau... ça me semble être vraiment ce qui me tente le plus. »
Elle venait l'embrasser du bout des lèvres en faisant glisser on index sur sa joue, toute souriante et ravie qu'elle était.
« Je vous prends d'abord mais après, je vous fais l'honneur de venir me baiser sur ce même bureau, ok ? »
Ai avait beau être chétif, elle n'était pas soumise pour autant. Et l'idée de se faire « violer » alors que c'est elle la futa, faut bien dire ce qui est, c'est original mais surtout c'est tentant ! Elle se redressa doucement, sa queue en feu venait se frotter contre elle, sans lui retirer le moindre vêtement, elle écarta juste ce qui se trouvait entre ses jambes avant de faire glisser sa queue sur cette petite fente juteuse en pressant doucement son gland dessus, la pénétrant sa mal mais avec énormément de plaisir. Le sexe, la vraie drogue d'Ai.
« Huuum, c'est déjà tellement bon... »
En douceur, elle venait la pénétrer d'avant en arrière, gardant bien les yeux ouverts pour y voir chaque détail qui rendrait cela meilleur. Cela va de ses expressions faciales, à la position de ses cheveux et à chaque petite goutte de sueur ! Bon, elle ne transpirait pas encore mais ça devrait venir tôt ou tard. Entre les deux femmes, il y avait une certaine différence de taille mais pas énorme même si pour le confort, elle était, elle aussi allongée sur la secrétaire, remontant doucement ses fesses avant de les abattre de plus en plus fort contre elle.
« Huuuum, vous êtes tellement belle, comme ça... Shani-chaaaaan... »
Ai fondait pour cette femme. Pas d'amour mais quand les conditions étaient réunies, Ai craquait facilement pour ses partenaires, cela lui donnait toujours envie de revenir vers elles au plus vite.
« Guhu, j'espère que... vous aimer quand, huuum, on vous remplis ? Car moiiii, hum, je suis une pro ! »
Elle ne faisait pas les choses à moitié pour ça, c'est sûr mais ce n'était pas plus mal. On ne lui en avait jamais fait la remarque en tout cas. Elle aimait faire l'amour, elle aimait remplir ses partenaires, parfois jusqu'à faire fonfler cette dernière comme une femme enceinte, à chacun ses petits plaisirs.
« Shani-chaaaaan... tu voudras quoi, après, hummm ? »
De quoi avait bien envie cette superbe femme ? Bonne question... Un voile de mystère entourait ses préférences avec Ai mais, elle allait bientôt avoir de quoi rêver durant l'acte.
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Coucher avec Shani, ce n’était pas un exploit particulièrement exceptionnel au lycée, où la secrétaire couchait avec beaucoup de personnes. Pour Ai, ce ne serait que la première fois d’une nombreuse série. Esquissant un léger sourire, Shani se retrouva couchée sur le bureau, et écarta les jambes, courbant son corps vers l’arrière, s’étalant sur le bureau. Elle renversa des fournitures, des agrafeuses, des rouleaux de scotch, des stylos, tout en sentant la virilité d’Ai taper contre son sexe. Elle ne l’avait même pas déshabillé, écartant juste la culotte en dentelle de la secrétaire, et se glissa ensuite en elle, sans aucune hésitation.
« Hmmmm... »
Un soupir de plaisir fusa des lèvres de Shani, qui se tortilla sur place, avant de sentir Ai s’enfoncer plus lourdement en elle. La lycéenne était effectivement plus petite que Shani, mais ceci ne l’empêchait nullement de se montrer hardie, et de la prendre bien fort. Sa queue s’enfonça ainsi progressivement en elle, tandis que le bureau se mit à remuer. Shani couina et gémit, mordillant ses lèvres, et Ai se déplaça peu à peu, venant s’allonger à son tour contre elle, l’une des mains de la secrétaire venant la soutenir en se posant sur sa nuque.
Shani émit un soupir supplémentaire, tout en voyant Ai s’enfoncer encore, son visage se fendant dans une expression de plaisir, un magnifique soupir, les joues rouges et les yeux clos. Elle était si belle, comme ça... Ai s’enfonçait donc en elle, dans son intimité luisante, s’étalant de plus en plus sur le bureau, jusqu’à ce que les deux femmes soient couchées dessus. C’était un grand bureau d’angle, abritant deux postes. Shani se retrouva la tête sur le clavier, qu’elle écarta ensuite, et, du pied, heurta une pile de dossiers, les envoyant valdinguer sur le sol, et posa sa main sur les fesses d’Ai, aidant ainsi la jeune femme à pouvoir la pénétrer plus rudement.
« Haaaa... Aaaiii, haaaaa... »
La secrétaire gémissait, couinant encore, tout en sentant l’hermaphrodite la prendre. Ai y allait de plus en plus fort, et la secrétaire soupirait, ayant chaud dans sa tenue, et se pinça encore les lèvres, avant de lui sourire, quand elle lui demanda ce qu’elle comptait faire par la suite.
« Eh bien... Hmmm... Te... Te baiser, n-noon... ? Haaaa... Hmmm... Oui, Ai, vas-y, haaaaa... P-Plus fort, haaaa... !! »
Plus fort, c’était là tout ce que son corps semblait réclamer !
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Coucher avec la belle secrétaire plutôt que d'écouter des cours chiant en imaginant un tas de choses obscènes avec certaines filles de sa classe, quel plaisir ! La petite futa adorait se blottir contre le corps chaud et délicieusement bien habillé de la jeune femme, elle en hésitait même à se blottir contre elle car elle était tellement excitante dedans. Son regard ne cessait de passer de son regard de baiser et son joli minou européen à son corps. C'était comme un magnifique cadeau, on hésitait à en retirer l'emballage tellement il était beau ! Elle se fichait bien des cours maintenant dans le feu de l'action, elle voulait juste jouir en elle, faire gonfler son joli ventre avec sa semence, elle devait être super bandante avec un ventre bien rond, débordant de sa crème ! Avec sa particularité, Ai avait fini par adorer observer ce résultat final. Même si les femmes enceintes faisaient partie de ses listes d'envie, elle avait fait de ça comme sa signature quand elle couchait avec une fille. Bon, ça marchait moins bien quand elle expulsait sa crème dans la bouche ou dans un petit cul mais ce n'était pas grave.
« Shani-chaaaaan, haaaan ! »
Que ce soit le lieu, le regard de Mélinda ou les mais de la secrétaire sur ses fesses, elle adorait la prendre comme ça, puis cette différence de taille, elle ne pouvait s’empêcher de trouver cela... excitant ? Mignon ? Elle ne savait pas trop quel choix prendre mais elle aimait ça, un peu comme David contre Goliath. Se presser contre son corps chaud, sentir sa queue compresser dans son intimité, que c'était bon !!! Hélas pour Shani, cela faisait naître bien des choses chez sa petite partenaire qui voulait maintenant essayer plein de position différente dans cette tenue, plein de situations et surtout plein d'autres tenues à lui faire porter ! Mais une journée ne suffira pas pour ça ? Après tout, quand on a une imagination comme celle d'Ai, limité ses choix et envie, c'est comme vouloir vider la mer avec une passoire, ce n'était pas près d'arriver.
« Haaaan encore ! Encore ! Oui oui ouiouiouiouiouioui haaaaaa !!! »
Dans le sexe, Ai se sentait comme revivre, à chaque fois. C'était tellement bon ! Et face à sa question, Shani avait répondu par l'essentiel mais pas de la bonne façon alors qu'elle se penchait un peu plus sur elle, se frottant contre elle avant de poursuivre en l'embrassant du bout des lèvres, allongé sur elle, ses pieds remuant dans le vide.
« Han, mais... co-comment me b-baiser, hum, c'est ça ma question. »
Évidemment, tant que ça restait sexuel, elle était ok mais ele voulait fantasmer tout éveillé en imaginant Shani la chevaucher sur le bureau ou sur une chaise, lui faire une gorge profonde sous le bureau, la masturber pendant qu'elle était assise sur ses cuisses, Ai avait une imagination débordante et pour mieux sentir le futur plaisir, elle avait besoin de mieux voir ce qui allait arriver même si pour le moment, c'était de jouir en elle qui la tentait le plus. Même si elle avait freiné ses coups de reins, ce n'était que pour mieux sentir les caresses de Shani sur ses douces fesses ou encore de son côté, de mieux caresser ce combo de tous les diables, sa belle et douce poitrine prisonnière de cette tenue si enivrante ! Que c'était beau ! Sa petite langue venait même lécher sa poitrine, sans en retirer sa belle tenue, elle léchait les parties de peau libre pour mieux savourer son goût, quelle femme délicieuse ! Ai était une pers verse, mais quand on le savait, elle ne s'en cachait pas, elle adorait même montrer son véritable visage à ses partenaires, vu sa taille et sa bouille, on ne pouvait que la trouver mignonne et très inventive.
« Huuuum, Shani-chaaaaan ? On ta... hum, déjà remplit... à rabord ? Avec u-un j-joli ventre bien rond ? »
Elle préférait en être sûre car elle allait bientôt jouir. Eh oui, se retenir aussi longtemps, ça n'aide pas à tenir longtemps non plus. Enfin, ce n'est pas comme si ce serait une mauvaise chose.
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Mélinda assistait à un magnifique spectacle. Qu’on se le dise, même si tout le monde le savait : coucher avec Shani était toujours un grand moment. Avec son corps parfait, la jeune secrétaire française était une amante d’exception .Et puis, il y avait ce plus en elle, cette incroyable énergie sexuelle. Shani avait participé à plusieurs soirées très chaudes chez Mélinda, et la vampire pensait qu’elle avait dû coucher avec les trois quarts des individus officiant au lycée… Au moins. Ai était couchée sur elle, et les deux femmes étaient étalées sur le grand bureau, s’envoyant tendrement en l’air. Ai soupirait de plaisir, et il en était de même pour Shani, qui avait une main malaxant le cul de la jeune lycéenne aux cheveux verts, l’autre caressant ses cheveux et ses joues.
« Haaa… Ai, hmmm… Quelle énergie, ma chérie ! »
Ai y allait en effet de plus en plus vite, ses mouvements gagnant progressivement en amplitude. Elle voulait prendre Shani le mieux possible, ne lui laisser aucun répit, et savourer pleinement son corps. Avec son petit corps doux et chaud, la jeune lycéenne était une magnifique amante, du genre de celles que Shani aimait toujours. Les deux femmes se faisaient donc l’amour, sous le regard ravi de Mélinda. Les Déesses de la luxure étaient avec elles, car aucun élève ne venait taper à la porte du secrétariat. Ils étaient bien sûr tous censés être en cours, mais ce n’était pas pour autant que le trio n’était pas à l’abri d’une mauvaise surprise. Là, personne ne vint perturber ce très beau coït.
Maintenant qu’elle était l’esclave de Mélinda, Ai allait pouvoir découvrir toute une vie de délices et de sexe, bien supérieur à ce qu’elle faisait en étant simplement membre du Futabu… Encore que les séances d’orgie au sein du Futabu soient bien intenses, mais Mélinda allait lui proposer des activités beaucoup plus variées, et quantité d’amants potentiels. Shani en était une belle illustration, et c’était un pur régal que de les voir coucher ensemble. Le voyeurisme avait toujours été une chose que Mélinda appréciait beaucoup, et elle était donc ravie de pouvoir les voir à l’œuvre.
La jeune Ai approchait rapidement de l’orgasme, et tint à en avertir la jeune femme, en lui demandant si elle avait déjà été bien remplie. Shani sourit, de la sueur coulant le long de ses joues. Elle mouillait joyeusement, et avait du mal à conserver son calme, ses joues étant parcourues de superbes plaques rouges.
« Ohhhh, ça… Hmmmm… C’est… C’est un secret, haaaa… M-Mais… Tu peux me remplir, ma belle… Je ne demande que ça, hmmm… »
C’était un moment sensuel et intime. Shani continuait à serrer les fesses d’Ai, et cette dernière continuait à remuer… Puis Mélinda sentit le sang d’Ai atteindre le point culminant. Ce fut ensuite une véritable déjection de sperme, et les yeux de Shani s’écarquillèrent, tandis qu’elle se mettait à gémir et à hurler, non seulement parce qu’elle atteignait l’orgasme, mais aussi parce qu’elle sentait la jeune femme venir la remplir.
Ai jouit… Comme à son habitude. Pendant une bonne minute, elle balança ainsi d’épais filaments de foutre, et, quand Shani gémit encore, ce fut parce qu’elle sentit le sperme s’accumuler en elle. La queue d’Ai semblait exploser sur place en libérant une quantité phénoménale de foutre, et Shani se mit à soupirer longuement.
« Ohhhhhhhhh… !! »
Elle écarquilla donc les yeux sous la stupeur, tandis que son ventre ondulait considérablement, jusqu’à lui donner l’impression d’être une femme enceinte. Au milieu du bureau dévasté, Ai venait de jouir, et Mélinda sourit lentement, se pinçant doucement les lèvres.
« Très impressionnant, Ai…
- O-Ouiii, haaaa… Tu… Tue s une amante exceptionnelle, ma chérie… »
Tout en lui souriant, Shani aventura sa main pour caresser son visage, son pouce glissant sur ses mèches de cheveux vertes.
« Mais tu m’as mis dans un de ces états, haaaa… Je… J’ignorais que tu pouvais jouir autant, hmmm…
- Il faut toujours passer la serpillière après le passage d’Ai, Shani, je suppose que tu comprends pourquoi…
- Oui… Plutôt, oui, hmmm… »
Elle soupira encore, un sourire ravi venant néanmoins se dessiner sur ses lèvres.
« Mais… Tu es une amante exceptionnelle, Ai… Merci pour… Merci pour ce moment… »
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Tout le monde avait un petit quelque chose de différent en tant que partenaire sexuelle, que ce soit dans sa façon de faire, d'être, un petit détail anodin pour quelqu'un et important à ce moment-là. Shani avait des tas de qualité pour ce qui était de faire l'amour, une chose était sûre, elle était très douée ! Mais pour une perverse, Ai poussait la chose très loin. Peut-on dire qu'une personne est douée avant d'avoir tout essayé ? Du moins d'avoir fait une grosse partie de jambes en l'air pour déterminer ce qui est bon ou non ? Tout faire, que ce soit avec elle ou Mélinda, en une seule journée, ça serait un peu trop. Déjà Ai avait beau être endurante, face à une vampire ou une succube, elle ne devait pas être si endurante. Car, que cela vienne de là ou non, vu la quantité de foutre qu'elle balançait, elle ne pouvait pas en déverser autant en si peu de temps si bien que par la suite, ses orgasmes sont moins intenses. Elle ne savait pas si c'était normal d'avoir autant de foutre à éjaculer – déjà une fille avec un pénis, ce n'est pas normal – mais cela avait tendance à la fatiguer de plus en plus aux rythmes des orgasmes. Logique dans un sens, c'est ainsi pour tout le monde.
« Haaaaaan ! Haaaaa, encore ! »
Prenant Shani, elle se frottait contre elle en cherchant à savoir certaines choses, comme déjà, le fait de savoir si elle avait déjà eu un ventre bien rond à force de se faire baiser ? Car avec Ai, on était servi dans ce domaine, elle était petite en taille et même entre les jambes, elle était loin d'égaler certaines femmes mais sur ça, y avait-il quelqu'un de plus fort qu'elle, sans user de magie ou stimulant ? La secrétaire se la jouait secret sans dire si oui ou non on l'avait bien remplit mais elle invitait Ai en faire autant... Allait-elle regretter son choix ? Car la petite futa n'allait pas tarder à jouir et elle se faisait plaisir. Plaqué contre elle, elle sentait sa semence filer en elle, encore et encore, à travers plusieurs jets, elle remplissait la jeune femme en se sentait si légère et si bien. Elle aurait pu tomber de sommeil et dormir contre ce corps chaud mais ce serait insulté sa beauté et tout le monde sait qu'une éjaculation était loin de suffire à Ai. C'est comme crever de faim, on ne mange pas une vulgaire crevette quand on crève la dalle, on vide le frigo et on bouffe tout !
« Ouh.... c'était... ouah ! »
Et ce n'était qu'une première ! Telle une poupée, elle se laissait caresser le visage, de nature, elle était plutôt dominante malgré son gabarit mais pour Mélinda, elle voulait bien se la jouer poupée docile. De plus, jouer les gentilles filles avait ses avantages.
« Oh mais... on recommence quand tu veux... Tu es comme un dictionnaire Shani-chan... même toutes les femmes sont comme ça quand il s'agit de sexe. Là... on vient juste de lire le premier mot, on a encore des millions de mots à lire... »
Quitte à comparé la vie sexuelle à un livre, elle aurait pu citer le kamasutra. Mais qu'importe. Elle se redressait un peu pour laisser son ventre tranquille, le caressant en se retirant doucement. Elle avait toujours peu de jouer les bouchons et donc, que son départ la fasse se vider. Si la voir bien ronde était sexy, la voir se vider de sa crème l'était moins. C'était plutôt qu'elle savait que comme Mélinda l'avait dit, après ça, y aura besoin d'un coup de serpierre et pour ça, elle était coupable. En même temps, même sans jouir en elle, ça aurait été pareil.
« Maîtresse, je peux encore jouer avec Shani-chan ? »
Elle demandait car il y avait les cours à côté puis on ne sait jamais si la belle secrétaire à un rendez-vous ? Il ne faudrait pas lui créer des problèmes. Qui sait, Mélinda avait peut-être d'autres membres du personnel à lui présenter ? Ou d'autres de ses amies ? Ai était toujours partante pour s'amuser donc aucun souci à ce sujet. Elle ne demandait qu'à jouer même si... Soyons franc, elle craignait que trop s'amuser à l'école de soit néfaste pour ses notes. Mélinda lui assurait qu'elle aurait au pire un professeur particulier pour qu'elle continue bien sa scolarité mais... elle était entre deux chaises. L'école est faite pour apparendre mais elle avait tout un tas de fantasme qui demandait à ce que cela se passe à l'école alors... difficile à dire... Ai restait entre les jambes de Shani, caressant son ventre en contemplant son corps car c'était une véritable beauté !
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Comme Mélinda s’y attendait, la belle Ai avait joui de manière très impressionnante, répandant d’épais filaments de foutre dans le corps de la secrétaire, gonflant très largement son ventre, donnant l’impression que la secrétaire était enceinte. Son ventre grossit en effet considérablement, prenant une forme très ronde, tandis qu’Ai continuait à se relâcher, avant de se redresser, ses cheveux verts défaits, la respiration haletante, et une lueur de bonheur brûlant dans le firmament de ses yeux. Ai venait de jouir, et Shani, respirant lourdement, caressait son visage d’une main, et son dos de l’autre, n’hésitant pas à s’appuyer sur ses fesses, ou à gratter la fine dentelle de son corset. Pour une Française, Shani avait toujours aimé la haute couture, cette lingerie de luxe qui allait à ravir sur le corps des femmes.
Ai demanda alors à Mélinda si elle pouvait continuer à « jouer » avec Shani, ce qui fit sourire la vampire. Elle se rapprocha des deux femmes, et caressa la tête d’Ai, sa main glissant sur ses cheveux. Certes, Ai avait des cours, mais ce n’était pas vraiment ça qui intéressait le plus Mélinda.
« Eh bien... Ça dépend de ce que Shani souhaite, ma puce. »
L’intéressée était étalée au milieu de son bureau, de la sueur coulant le long de ses joues rouges, et se pencha vers Ai, l’embrassant tendrement. Le fait qu’il y ait des cours ne gênait nullement Mélinda, mais c’était aussi le cas pour Shani. Quand on la plongeait dans le sexe, elle s’y absorbait totalement, de telle sorte qu’elle oubliait tout ce qu’elle avait à faire, y compris son travail. Et puis, vu le nombre de fois qu’elle faisait l’amour dans ce lycée, on pouvait tout à fait considérer que le sexe faisait partie de ses obligations.
« Oh... Je ne vois aucun problème à poursuivre, moi, Ai... »
Elle lui sourit, et l’embrassa encore, caressant d’une main les cheveux de la femme.
« Après tout, c’est mon rôle de veiller à ce que les élèves soient bien insérés au sein du lycée... Et je prends cette obligation très au sérieux ! »
Shani rajouta ensuite, après quelques secondes :
« Alors... Qu’est-ce que tu as en tête, ma beauté, hmmm... ? »
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Continuer de jouer avec Shani, évidemment qu'Ai désirait cela plus que n'importe qui ! Mais voilà, le souci étant qu'elle avait cours et que derrière, Shani avait peut-être des obligations à remplir, sauf que la chance voulait que cela aille dans le sens des trois filles alors cours ou travail, on s'en fiche ! Mélinda expliquait que c'était à la belle secrétaire de décider, cette dernière étant tout à fait d'accord mais elle se demandait ce que la petite futanari voulait faire ? Sérieusement ? Lui demander ce qu'elle voulait ? Il y avait beaucoup trop de possibilités à cela, du plus doux au plus trash, du plus amusant au plus dégoutant, de la fine lingerie à la haute couture, elle voulait mettre Shani dans tant de situations que même avec la meilleure volonté du monde, elles n'auront pas fait le tour, même en restant enfermer ici jusqu'à la fin de la journée.
« Trop de choses, Shani-chan... Je veux sentir ma queue dans ta bouche, compressée et étouffé entre tes seins, se faufilant dans ton anus ou simplement la frotter contre ton corps... je veux te voir nue, je veux te voir dans d'aux types de lingerie, du plus classique au plus cher, passant par toutes les couleurs, je veux te voir aguichante, je veux te voir timide, je veux te voir froide et dominante, je veux te découvrir infirmière, je veux te voir écolière, je veux te voir policière, je veux te connaître en marier... Que ce soit toi, ma jolie Shani ou n'importe quelle partenaire... je ne veux pas juste faire l'amour, je veux absolument TOUT faire ! »
Une relation sexuelle, pour Ai, c'était comme choisir un livre. Si tu le feuilltes, ça a l'air bien mais il faut Tout lire pour le savoir. Chaque femme était livre, elle voulait toutes les lires, de la première à la dernière page, tout essayer avant de se faire son propre avis. Bercer en nourrissait son imagination et ses envies de porno de plus en plus hard sur le net, la petite futa avait tant de chose à faire partager à ses partenaires. Le pire, c'était qu'elle était sérieuse, elle voulait vraiment faire tout un tas de choses avec Shani, et si on prend en compte, les actes, les gestes, les différentes choses qu'Ai pouvait porter, ce n'est pas demain la veille que Shani aura fait le tour de la question avec Ai Aihara. Car faire l'amour, peu importe la position en état nue et dans un ravissant petit costume moulant, ce n'était pas pareil ! Pas du tout ! Mélinda et toutes ses copines n'ont qu'à bien se tenir car Ai et le terme se lasser, c'est comme chocolat et pâté... ça ne colle pas ensemble.
« Vu que Maîtresse souhaite juste regarder, autant la laisser décider du programme, non ? Comment je devrais faire l'amour à Shani-chan, Maîtresse ? Ou qu'elle doive me faire l'amour ? »
Ai n'était pas une amoureuse de la domination – elle préférait dominer qu'être dominé – mais elle devait forcément en passer par-là pour tout essayer alors tôt ou tard, ce sera forcément le cas. Elle était petite mais très résistante et surtout impatiente qu'on lui dise par quoi commencer car là, c'était comme de tirer une carte parmi des centaines ! Elle ne savait pas laquelle choisir... mais obtenir le plaisir via le sexe, ça oui, elle était impatiente d'y arriver !
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Pour l’heure, Mélinda observait, oui. Au-delà de son propre plaisir, il ne fallait pas oublier qu’elle était une Maîtresse, une esclavagiste. Elle voulait voir comment Ai allait s’en sortir seule. Il s’agissait donc autant de se rincer l’œil que de l’admirer en action, de voir ce qu’elle était capable de faire. Et, visiblement, Ai débordait d’idées, ce qu’elle exprima rapidement. Shani sourit, tout comme Mélinda, et la secrétaire lui répondit rapidement :
« Ma foi, on ne pourra pas faire tout ça aujourd’hui, ma chérie... Elle est aussi gourmande que toi, elle, Mélinda...
- Je les choisis bien, ma chérie. »
Mélinda souriait tendrement, amusée par la situation. Ai ne savait tout simplement pas quoi choisir, et finit par laisser le soin à sa Maîtresse de choisir quoi faire. S’il fallait commander, Mélinda savait le faire, et incita Ai à s’asseoir sur le fauteuil de Shani, tout en contournant le bureau de cette dernière, venant ainsi les rejoindre.
« Eh bien... Autant commencer par le plus simple, non ? La bouche ou les seins ? Je te laisse choisir, Shani...
- Oh, mais j’ai déjà choisi... Ce sera les deux ! »
Shani sourit malicieusement, et se mit à genoux, devant la belle Ai, dont les pieds, du fait de sa petite taille, touchaient à peine le sol. Se pinçant les lèvres, elle ouvrit sa bouche, et attrapa ce sexe avec sa main, le masturbant délicatement, avant de le lécher un peu, puis de fourrer sa queue dans sa bouche. Mélinda, elle, s’était glissée dans le dos d’Ai, immobilisant le fauteuil, posant ses mains sur les épaules de son esclave, les massant.
« Tu aimes sentir sa bouche sur ta queue, hein, petite cochonne ? Shani est terriblement douée, tu sais... »
Mélinda parlait en connaissance de cause, car elle avait déjà couché avec Shani à de multiples reprises. Shani, donc, esquissa un léger sourire, et attrapa le sexe de la femme, le prenant en bouche, le pompant généreusement, et ce pendant un certain temps. La bouche de Shani ondulait le long de ce membre, filant d’avant en arrière. Elle soupirait et gémissait, et chercha surtout à bien inonder ce sexe, à le recouvrir de sa salive, avant de se retirer. Un sourire trônait sur ses lèvres, et elle observa cette queue, qui s’était bien dressée, et qui témoignait, à sa manière, de la soif de sa propriétaire.
Shani attrapa ses propres seins, et s’amusa à faire coulisser la verge trempée de la femme à l’intérieur, et commença à les remuer, sa queue glissant dessus.
« Làààà... Comme ça, ma chérie... Mais, fais attention... Si tu éjacules sur moi, tu devras tout nettoyer ! »
Dur dilemme que voilà... À moins que boire son propre foutre ne dérange pas Ai ?
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Oh mais coucher avec Shani, ce n'était pas un rêve ni un fantasme, c'était une réalité à présent ! La belle secrétaire était là et Ai pouvait en faire tout ce qu'elle voulait ! La voir en une petite chienne ou en salope de dominatrice tout en cuir noir, aussi. Mais elle avait trop de choix en tête pour choisir et elle préférait donc laisser ce privilège à Mélinda. Cette dernière ignorait le large panel que la petite futanari avait en tête alors elle pourrait trancher assez équitablement. Oui, assez car si Ai devait la liste de tout ce qu'elle imaginait, elle allait surement louper aussi une seconde heure de cours avant que Mélinda ne fasse son choix. La vampire laissait un choix entre deux choses et Shani avait trancher, façon de parler puisqu'elle voulait les deux, sans pour autant choisir par quoi commencer. Même en limitant ses envies à deux choses, ça restait encore trop dur de choisir pour elle !
Vu que Shani commençait avec sa bouche, Ai ne pouvait que subir cela en étant assise sur le fauteuil et savourer ce plaisir ô combien délicieux. Elle crispait ses doigts sur les accoudoirs en gémissant, fermant les yeux ou en les ouvrants pour voir la belle secrétaire à genoux devant elle, suçant sa queue avec appétit. Mélinda n'avait que raison, elle était douée !
« Haaaaaa ouiiii... je le sens biiiien ! »
Mais la savoir aussi douée avec sa bouche lui donnait des tas d'envie en plus. La voire en tenue de bonne sœur, celle en noir et blanc ou juste le visage est visible, en train de la sucer, ça doit être génial ! En infirmière aussi, en maid ! Bref, en tout ce qui était possible. Même si elle suçait si bien, divinement bien, Ai avait un petit souci imposé par Shani, si elle jouit sur elle, elle doit nettoyer.
« Huuuum ha noooon... »
Ce n'était pas l'envie de la nettoyer qui la dérangeait, même si elle n'a jamais essayé d'avaler sa propre semence, là, ce serait mélangé à la peau de Shani, donc ce n'est pas pareil. Ce qui la gênait, c'est de la nettoyer. La voir couverte de sa crème comme une petite cochonne, ça, c'était tentant ! La nettoyer, mouais, elle préférait la voir couverte et Mélinda qui venait la lécher avant de reprendre la partie. Ça partait un peu comme un fantasme mais c'était Ai, la moindre culotte qu'elle aperçoit à cause d'un vent trop fort deviens un fantasme pour elle.
« Mais... haaaan ! Mais si c-c'est... dans la b-b-bouche... et quuuuEEEEEE ça déborde ? »
Ha oui tiens ? Shani avait bien vu que la petite futanari était généreuse quand il s'agissait de balancer la crème. Après, elle n'avait pas grand-chose contre la nettoyer, ce sera toujours ça de retirer sur sa liste avec Shani. Mais pour le moment, aussi hésitante soit-elle, elle avait sa poitrine dans les yeux, ne quittant pas cette masse de graisse autour de sa queue, l'avalant sans-souci, entre chair et tissu, Ai était hypnotisé par une telle beauté !
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À Mishima, le sexe faisait partie intégrante du planning. Quiconque verrait les tâches des secrétaires, sans avoir cette donnée en compte, s’étonnerait assurément de leur nombre. Il y avait, tout simplement, trop de secrétaires pour le travail demandé. Pour s’assurer que chacun puisse travailler décemment, l’administration du lycée incluait tout le temps où les secrétaires seraient occupés à fournir des prestations sexuelles aux autres. Shani, à cet égard, faisait partie de ces éléments indispensables que tout élève de Mishima finissait, tôt ou tard, par croiser. Ai était donc en compagnie d’une célébrité locale, et, si Mélinda avait pu lire dans son esprit, elle n’aurait guère été surprise de voir combien Ai foisonnait d’idées. Shani était en effet une femme très inspirante.
Pour l’heure, Mélinda observait la scène. Après l’avoir sucé, Shani lui offrait maintenant une belle cravate de notaire, et Ai, fascinée par cette scène, ne parlait même plus. Ses yeux exprimaient tout le désir qu’elle ressentait, et, quand Shani la regardait, la secrétaire ne pouvait s’empêcher de sourire, amusée devant cette situation.
« Si ça déborde, il faudra nettoyer le surplus... Tu n’espères quand même pas que je vais travailler avec ton sperme sur le visage, si ? »
Il fallait quand même que le lycée garde un semblant de normalité ! Mélinda, dans le dos d’Ai, lui massait les épaules, et remonta jusqu’à ses joues, avant d’appuyer sur le menton de la femme, et de renverser sa tête vers l’arrière, pendant quelques secondes.
« Elle est à la hauteur de tes attentes, Ai ? Rassure-toi, Shani vient très souvent au manoir, elle y est très appréciée... »
Autrement dit, Ai aurait largement l’occasion, par la suite, d’accomplir tous ses fantasmes avec la belle secrétaire. Ne voulant pas la priver du spectacle, Mélinda remit la tête d’Ai en position, tout en jouant désormais avec ses cheveux. Se contenter de ce rôle passif, voyeuriste, n’était pas, en réalité, très dérangeant pour Mélinda, qui aimait bien le voyeurisme. Elle laissait donc les deux femmes continuer à jouer ensemble. Shani continuait à la masturber avec ses seins. Elle les tenait par les tétons, et les écartait, puis les ramenait, frottant avec ses mamelles la belle queue d’Ai.
Sa verge pointait le long des seins, qui ne parvenaient pas à la recouvrer totalement, et Shani se pencha, venant lécher et suçoter le bout de son mandrin. Ai se tortillait sur place, le corps en chaleur, et Shani venait parfois le prendre en bouche, alternant ainsi entre les frottements de ses seins et les mouvements buccaux de sa bouche. Talentueuse, elle montrait tout ce dont elle était capable en ce moment.
« Allez, ma chérie... Choisis où tu vas jouir ! Et, si tu ne veux pas me nettoyer tout de suite, c’est ton droit, mais tu devras le faire dans tous les cas... »
Car, après cette séance, Shani allait quand même devoir travailler !
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Qu'est-ce que c'était bon ! Ai n'en pouvait plus de la voir jouer avec ses seins, venant noyer sa queue sous sa belle et si douce poitrine ! Tant de douceur, de chaleur et d'excitation ! Ai serait un animal, elle ne laisserait même pas le temps à la belle Shani de dire quoi que ce soit qu'elle baiserait sans arrêt, jusqu'à en tomber de fatigue. Mais la voilà civilisée et surtout envieuse de voir tous les scénarios possibles se dérouler, tant avec sa queue dans sa bouche qu'en dehors, dans cette belle tenue ou dans une autre, ici ou ailleurs. Que ce soit Shani, Shii, Mélinda ou une autre, elle ne se lassera jamais de ses conquêtes, elle avait trop de choses à faire avec elles.
Devoir la nettoyer n'était pas un souci, elle avait déjà goûté sa semence, sans en raffoler, ce n'était pas mauvais. Mais bon, vu la quantité que la petite futa déverse, elle risque vite de passer écoeuré. En plus, jouer à ça toute seule n'était pas très marrant. En tout cas, Ai s'amusait comme une petite folle, même si Mélinda crevait sa bulle de sexe pour venir lui glisser quelques mots en lui levant la tête, elle était rassuré de savoir que la belle jeune femme viendrait la voir ! Ohlala ! Ce que ça va être bien de vivre chez Mélinda ! Rien que d'y penser... Mais aussi gourmande était Ai, elle avait ses limites et quand elle sentait que cela approchait, elle tendait le bout de ses doigts vers elle, caressant ses joues et quelques mèches par la même occasion.
« Dans la bouche !!! Suce-là biiiien pour, haaa, en extraire au plus ! Huuuummmmmmmm HAAAAAAAAA OUIIIIIIIIII !!!!!! »
Sentant sa petite bouche sucer son gland, tirant dessus, la semence coulait à flot et de même pour elle, peu importe la gourmandise de Shani, sa bouche risquait de déborder de foutre. Le temps de laisser son geyser se calmer, elle était calme et détendue avant de déposer ses yeux sur Shani, si belle, la bouche débordant de foutre.
« Pardon Shani-chan... c'était tellement bon... Hum, tu as aimé ? »
S'il fallait recommencer, elle pouvait ! Mais comme Shani devait travailler un peu et que ce n'était qu'un au revoir, elle pouvait elle aussi passer à autre chose. Ce serait dommage de prendre trop de retard sur ses cours, devoir passer du temps au manoir pour réviser, ce serait bête. Ai se relevait en laissant le fauteuil à sa propriétaire avant de grimper sur ses cuisses en faisant passer sa langue sur son corps. Récoltant sa semence pour la distribuer par le biais de sa salive dans la bouche de la secrétaire.
« Ce serait égoïste de tout garder pour moi, non ? »
Ai pouvait prolonger le plaisir comme ça, savourant le corps de Shani par des caresses et jouer avec elle en lui donnant son foutre, avec l'aide de sa langue. Après ce délicat et long, et goûteux travail buccale, il fallait bien laisser Shani travailler mais... mais elle l'aimait bien sa copine !
« Maîtresse, on est obligé de partir maintenant ? Je veux encore jouer avec Shani-chan ! » Tournant sa tête vers la concerné, elle lui caressa le visage avec sa bouille boudeuse. « Tu viendras bientôt chez Maîtresse hein ? Promis, Shani-chan ? »
Elle ne quittera pas ses cuisses tant que cette promesse ne sera pas faite, sinon, elle va bouder ! Même si Mélinda et ses amies sauront lui faire oublier Shani, elle avait tant d'idée planifié pour elle qu'elle ne voulait pas que ce soit des paroles en l'air ! Le sexe, c'est bien, mais elle devait encore travailler à l'école. Dur dur la vie de lycéenne !
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« Il ne faut pas abuser des bonnes choses, Ai… »
Mélinda, qui s’était cantonnée à un rôle d’observatrice, était d’accord. En soi, c’était déjà un miracle que personne ne soit venu pendant leur séance. De toute manière, même si un élève était entré, il n’y aurait guère eu de problèmes. À Mishima, même si les activités sexuelles étaient dissimulées (dans la mesure du possible), tous les élèves (ou presque) savaient que le sexe avait une présence centrale. Cette réflexion mise à part, Ai avait encore envie de rester, et faisait presque un caprice, ce qui avait donc conduit Shani à lui dire, poliment, que leur séance était terminée.
La secrétaire, pleine de sperme en elle, retourna embrasser Ai. Une humaine normale aurait probablement été assommée par toute cette déjection de foutre que la petite Futanari avait balancée en elle, mais c’était mal connaître Shani, et ses performances sexuelles exceptionnelles. Elle avait toujours surpris Mélinda sur ce point, et c’était cette gêne qui expliquait aussi pourquoi la vampire n’avait pas cherché à en faire une esclave. Shani était presque comme une sorte de bien commun du lycée. Vouloir la privatiser en l’asservissant, c’était un crime abominable, et ce d’autant plus que Mélinda avait besoin d’une alliée dans le secrétariat, afin de faciliter les démarches administratives, ou de dissimuler les absences multiples de ses esclaves. Shani était donc bien pratique, et pas uniquement à titre sexuel.
« Shani vient très souvent au manoir, et il y a longtemps qu’on ne l’a pas vu, d’ailleurs…
- C’est exact, reconnut-elle. Je suis une femme très demandée, Ai, mais j’aime bien passer mes soirées chez Mélinda, alors… Je te promets de passer très vite, dans le courant de la semaine. »
Elle l’embrassa encore, comme pour sceller leur pacte. C’était tout ce qu’Ai voulait avoir, une garantie qu’elle reverrait Shani sous peu. Mélinda se rapprocha à nouveau.
« Allez, Ai. Remets ton uniforme, il est temps de laisser Shani travailler… Plus normalement. »
Ai obtempéra donc (comment faire autrement, face à un ordre aussi direct émanant de sa Maîtresse ?), et, peu de temps après, le duo se retrouva dehors, arpentant à nouveau les couloirs du lycée.
« Alors… Je suppose que j’enfoncerai les portes ouvertes si je disais que tu as aimé ce que Shani t’a fait, n’est-ce pas ? »
Mélinda souriait, amusée devant l’émerveillement d’Ai. Comme quoi, se faire des esclaves, à Mishima, n’était pas si compliqué que ça, il suffisait juste de tomber sur de bonnes perverses, et de les motiver. Et, en la matière, les membres du Futabu Club étaient tout à fait à la hauteur des espérances de la vampire.
« Mais j’ai encore une bonne nouvelle pour toi, Ai… Ma communauté est remplie de personnes comme Shani, tu as encore plein de gens à découvrir ! »
Et oui, tout ça… Ça n’était qu’un début !
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Ce fut tellement bon, il n'y avait pas d'autres mots. Ai avait bien jouer et surtout bien jouit avec Shani mais maintenant, elle devait reprendre son travail, tout comme Ai qui avait manqué le début de son prochain cours mais heureusement, elle avait un mot de Shani puis avec sa « santé fragile », elle pouvait faire passer ça assez facilement. Elle n'avait aucun vrai problème de santé, pas à sa connaissance du moins mais vu sa petite taille et le fait qu'elle semblait gentille et douce, voir même timide en classe, ça passait tout seul. Mieux vaut avoir l'air de faible et fragile plutôt qu'imaginer baiser ses copines de toutes les façons possibles. Quittant son bureau avec un mot et la promesse de la revoir sous peu, elle avait donc remis son uniforme en s'agrippant au bras de sa maîtresse dans les couloirs.
« Oh oui, j'ai adoré ! Mais ne vous inquiéter par Maîtresse, avec vous, c'est tout aussi bien ! »
C'était elle qui lui présentait toute ses charmantes nouvelles copines alors forcément elle était en tête de liste des personnes a remercier. Même si la vampire lui promettait d'avoir encore pleins de nouvelles personnes à lui présenter, elle ne pouvait s'empêcher de se montrer un peu impatiente en imaginant toutes sortes de personnes, de situation, bref, que du plaisir en perspective !
« Ne me dites pas ça Maîtresse !!! Sinon je vais vouloir sécher les cours ! »
Mais pour le moment, il fallait d'abord aller en cours et attendre ce soir pour se faire de nouvelles amies ou creuser de nouveaux liens avec ses copines du moment. À moins que Mélinda ne souhaite calmer Ai durant sa pause ? C'était à voir mais une fois dans sa classe, avant de revenir en cours, la petite futa venait prendre Mélinda dans ses bras. Un câlin, c'est bien aussi un câlin.
« Merci Maîtresse... Si vous avez besoin de moi, vous pouvez venir me chercher sinon, je vous attendrais ce soir à la grille. »
D'ici ce soir, il restait encore la pause du midi et les pauses entre les cours mais les pauses, ce serait trop court justement. Mais la journée était loin d'être fini et quand bien même elles ne se verront que ce soir, Ai aura bien refait le plein, ce qui promettait de quoi remplir les copines de la vampire !
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Mélinda, elle, ne comptait pas passer sa journée au lycée. Après tout, son rôle de lycéenne n’était qu’une couverture destinée à lui permettre d’obtenir davantage d’esclaves en allant les piocher au lycée. Pour le reste, elle avait un harem à gérer, et, maintenant, un clan à diriger. Elle s’était bien amusée avec Ai, et laissa donc la jeune Futanari seule, non sans l’embrasser une dernière fois. Libre à Ai, ensuite, de voir ce qu’elle ferait de la journée, en sachant qu’elle allait naturellement côtoyer des esclaves de Mélinda. Ce serait l’occasion pour Ai de réaliser combien les filles de Mélinda pouvaient se montrer peu studieuses. Avant les cours, elles choisissaient souvent une personne, parmi elles, et lui mettaient un vibromasseur dans le corps, s’amusant ensuite à la torturer pendant les cours.
Aujourd’hui, ce rôle fut dévolu à la brave Shii.
« Tu veux essayer ? demanda l’une des filles à Ai en lui donnant une télécommande. Shii est habituée, elle fait partie de nos souffre-douleurs préférés ! »
C’était d’autant plus amusant, pour elles, que Shii était l’une des filles les plus studieuses du lycée. Même en étant une esclave de Mélinda, elle passait une bonne partie de ses soirées à travailler et à réviser. Elle désapprouvait donc le fait de porter une culotte-gode, tout en sachant qu’elle ne pouvait pas aller contre les prescriptions et injonctions de sa Maîtresse.
« Et puis, même si Shii proteste, en réalité, elle adore ça ! »
Il n’y avait donc aucune raison de la ménager. Ai faisait désormais partie de la « famille », de la communauté de Mélinda, et on lui expliqua qu’il y avait d’autres clubs, et d’autres factions au sein du lycée. Populaire, Mélinda avait aussi ses rivales, notamment les membres du club social de Mishima, le plus gros club du coin, et dirigé par les sœurs Morimoto. Elles habitaient aussi dans un immense manoir, et organisaient également des orgies, et voyaient Mélinda comme une sorte d’adversaire. Autrement dit, le lycée Mishima était une sorte de grand terrain de jeu entre plusieurs groupes, de sorte que l’éducation en elle-même apparaissait parfois comme secondaire.
Ai passa du reste une journée relativement chaste. Mélinda n’était pas là, et elle put donc se reposer. Naturellement, si elle avait envie d’un quickie dans les toilettes, Ai trouverait toujours des femmes intéressées. Vint finalement la fin de la journée, mais, contrairement à précédemment, Mélinda n’était pas là, à la grille, pour raccompagner ses esclaves. Cependant, on informa Ai qu’elle avait un autre chauffeur… Qui se matérialisa sous la forme d’une moto pilotée par une femme à la beauté redoutable : Ashley Kusawashi (http://img110.xooimage.com/files/5/9/5/36762317_p0-520f8a8.jpg).
« Alors, c’est toi, Ai ? Maîtresse m’a demandé de venir te chercher. »
C’était bien exceptionnel. Après ça, Ai devrait rentrer seule au manoir… Ou en compagnie des autres filles. Et, avant même qu’elle ne puisse grimper derrière le seyant corps d’Ashley, cette dernière posa l’une de ses mains gantées sur son visage, et alla, sans aucune pudeur ni gêne, l’embrasser tendrement.
« Il paraît que tu es un petit volcan en ébullition, Ai… J’espère que c’est vrai. »
La bouche d’Ashley avait un délicieux goût fruité. Ancienne lycéenne, elle avait une passion pour les motos, et était, depuis des années, l’une des esclaves de Mélinda, tout en étant, parallèlement, une pilote. Comme quoi, Mélinda savait se doter d’esclaves diversifiés, sans brimer leurs souhaits personnels. Elle n’avait jamais découragé Ashley de ses passions, et c’était d’ailleurs elle qui lui avait offert cette flamboyante moto.
Maintenant, il n’y avait plus qu’à espérer qu’Ai n’ait pas peur en moto !
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Ce fut si bon, Ai avait adoré rencontré sa nouvelle amie et elle était à présent impatiente de la revoir au manoir, ou même au lycée. Mais elle devait faire les choses une à la fois alors maintenant que cela était terminé, elle pouvait se concentrer un peu sur ses cours... en théorie. Car la petite bande de Mélinda ciblait Shii en soufre douleur pour qui, elle aurait droit à un gode en elle toute la journée avec elles qui s'amusent à changer les vitesses. C'était tentant mais Ai refusa poliment. À quoi bon jouer avec si elle ne pouvait ni la regarder, ni se toucher pendant ce temps-là, ce serait comme faire un régime drastique pendant des gens font un délicieux repas où ils ont un orgasme à chaque bouchée, elle va craquer ! Puis sa petite Shii-chan, elle préférait jouer avec elle sans ce genre de jouet. Elle avait encore un service à rendre à son amie d'ailleurs, pour avoir joui – même inonder – dans sa culotte dans les vestiaires. Elle verra donc ce soir ou un autre jour, l'offre était toujours valable. La journée fut tranquille, Ai profitait des pauses pour aller aux toilettes pour se branler – pas à toutes les pauses – mais maintenant qu'elle faisait partie de la famille, elle avait droit à de jolies demoiselles pour jouer avec elle... de quoi la retenir un peu plus longtemps aux toilettes.
Mais une fois cette riche journée finie, elle pensait aller retrouver Mélinda et ses nouvelles amies pour la soirée, sauf qu'elle avait droit à un chauffeur. Pas le genre limousine avec petit vieux à casquette avec une fine moustache mais plutôt belle blonde en combinaison moulante sur une super moto ! Bon, elle s'y connaissait pas en moto mais vu la tronche, ce n'est pas le genre de bécane qui coûte dix mille yens au bazar du coin. Avant même de répondre, la blonde venait l'embrasser, faisant automatiquement lever son mat. C'est dans ce genre de moment qu'elle ne regrettait pas d'avoir une queue plus petite que la moyenne. Avec la petite futanari, un rien suffisait à réveiller sa queue. Un baiser, une caresse, une pose aguichante, le coup de la panne, ça ne risquait pas de lui arriver ! La pauvre petite futa en perdait la voix quelques instants, savourant le goût fruité et ce souvenir précieux pour elle.
« Tu voudras qu'on essaie ? »
La proposition tentait évidemment Ai mais avant ça, une terrible épreuve l'attendait... Belle femme, tenue moulante, moto qui vibre... Elle va devoir supporter le trajet en sentant les vibrations entre ses jambes en sentant le parfum de la belle blonde, plus le fait de passer ses mains autour d'elle ? En théorie, elle ne risquera pas de la peloter mais même sans... ça va être dur ! Elle s'installa avec hésitation, passant ses jambes derrière celles de la motarde, s'accrochant à elle et en avant. Elle ne disait rien mais ça avait commencé. La gaule se frottait contre son chauffeur, même si sa culotte, sa jupe et la tenue de la jeune femme limitait la sensation, ça restait bon ! Ajouter à cela la sensation géniale de vitesse et Ai était en train de se faire plaisir toute seule, se retenant autant que possible, refusant de se mordre la lèvre pour ne pas risquer un accident mais de temps en temps, la pauvre gémissait. Trop de plaisir d'un coup ! Par chance, elles étaient enfin arrivées mais une fois la moto arrêter, elle ne bougeait pas, restant accrocher à la moto.
« S'il vous plaît... ne me toucher pas... ne faites... rien... qui pourrait m'exciter... »
C'est-à-dire beaucoup de choses. Ai fermait les yeux en se calmant, cherchant à réfléchir à des tas de choses pour faire redescendre la pression, les cours, les cours de chimie, de math, de très vieilles dames et messieurs, tout pour la calmer. Une fois assez calmée, elle descendait lentement de la moto et avançait tout aussi lentement. Elle ne voulait pas jouir comme ça, pour rien, elle voulait jouir en plein action, pas en hors-jeu.
« Vous êtes qui au fait ? J'étais tellement concentré sur vous, que j'ai oublié de demander ? »
Elle avait tout un tas de question à vrai dire mais il y avait aussi ici tout un tas de raison qui pourrait éloigner son regard de la belle motarde pour une autre beauté.
-
Ashley rentra rapidement au manoir. Sans utiliser les transports en commun, le trajet était rapide, d’autant plus que la jeune femme n’hésitait pas à virevolter entre les voitures. Difficile de voir en elle une esclave, et pourtant... Cette moto avait été achetée avec l’argent de Mélinda, et ce n’était là que l’un des nombreux cadeaux que la vampire avait offert à Ashley, ainsi qu’à ses autres esclaves. Servir Mélinda, c’était réellement parvenir à s’émanciper, en découvrant une vie pleine de profusion, bien loin de ce à quoi on pouvait s’attendre. Elle gara finalement sa moto dans l’un des garages du manoir, et sourit quand Ai indiqua ne pas vouloir jouir si vite.
«
Je m’appelle Ashley, Ai... Toi et moi, on risque de beaucoup se croiser, j’ai cru comprendre que tu voulais passer beaucoup de temps au manoir. »
La motarde laissa Ai descendre, puis sortit à son tour. Elle coupa le contact pour de bon, et s’avança vers une porte à l’intérieur du garage, permettant ainsi de rejoindre le manoir, faisant craquer et crisser sa délicieuse combinaison. Ai put alors noter, maintenant qu’Ashley était descendue, que la combinaison moulait son cul à la perfection.
«
Tu viens, Ai ? Puisque tu ne veux pas jouir dans ta culotte, je vais te présenter ma chambre... »
Et autant dire que ce qui allait se passer à l’intérieur serait particulièrement intense... Mais fallait-il s’attendre à autre chose ? La porte se referma derrière Ai, l’enfermant dans le manoir...
...L’enfermant dans sa nouvelle et jouissive existence en compagnie de Mélinda et de sa cohorte de femmes et d’hommes !
FIN