Le Grand Jeu
Plan de Terra => Les contrées du Chaos => Discussion démarrée par: Princesse Alice Korvander le samedi 18 mai 2013, 15:32:56
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« Approchez, approchez ! Regardez ces muscles saillants, cette ossature ! Tipus est un gladiateur de l’Arène de Sylvandell ! C’est une offre rare ! Vous avez besoin d’un garde du corps ? Tipus saura protéger vos personnes et vos biens ! »
En compagnie de plusieurs gardes, ainsi que d’un Commandeur, reconnaissable à son armure noire, la Princesse de Sylvandell avançait le long des stands de la foire mensuelle de Sylvandell. Chaque mois, une foire ordinaire avait lieu, réunissant divers commerçants, chacun proposant des biens différents : des armes, de la nourriture, des vêtements, des bijoux... Et des esclaves, naturellement. Si ce sujet faisait grincer des dents, Alice se devait de rester fidèle à la tradition sylvandine. Sylvandell avait toujours été un royaume guerrier, qui attaquait les royaumes les plus faibles, soit pour les rançonner, soit pour les piller. Le royaume faisait donc des prisonniers de guerre, qui devenaient des esclaves. C’était dans la logique des choses, et l’esclavage était un revenu économique important pour le royaume. Ainsi, même si la femme d’Alice était une ancienne esclave, et donc fortement opposée à l’esclavage, la Princesse se devait d’appliquer la loi... Et, même outre cela, Alice n’était pas aussi farouchement opposée à l’esclavage que sa femme, se disant qu’il valait bien mieux que des individus ayant tout perdu soient hébergés et nourris par quelqu’un, plutôt que de finir dans les forêts. C’était, en quelque sorte, un moindre mal.
La Princesse avançait parmi les stands, portant une robe blanche fine, de longs gants blancs, un collier avec un pendentif en forme de dragon, et des bottes blanches, ainsi que des collants. La blancheur était la couleur qui lui allait le mieux. Elle vit, sur sa droite, un commerçant qui vendait essentiellement des produits maritimes : poissons, solutions aphrodisiaques à base d’algues, sauces, et différents fruits de mer, comme des crevettes, des huîtres, des moules... Ainsi que des crabes. Alice s’arrêta un peu. Elle n’avait pas souvent l’occasion, dans son royaume montagnard, de manger de la nourriture maritime, et commanda donc un peu de saumon, ainsi que des crevettes.
« Avec plaisir, Votre Grâce ! » s’enthousiasma le marchand.
Alice lui sourit, et se retourna un peu, croisant les mains dans son dos. Il faisait très beau, dehors. Un grand ciel bleu, avec quelques nuages gris parsemés ici et là. Les foires avaient lieu sur les hauts-plateaux de la ville haute de Sylvandell, là où il y avait de la place pour organiser de tels évènements. Généralement, il y faisait plutôt froid, à cause du vent, et de la hauteur, mais les nombreuses tentes et autres échoppes assuraient des protections. Il y avait beaucoup de monde venant aux foires, que ce soit des sujets sylvandins, ou des habitants proches. Cependant, cette activité ne valait pas celle de la grande foire annuelle, où il y avait aussi des troubadours, tandis que cette grande foire s’étalait, non pas sur quelques jours, mais sur toute une semaine.
La Princesse récupéra ses biens, et s’avança un peu... Jusqu’à ce que son regard soit capté par une série de personnes dans des cages, et par un petit attroupement devant eux. Ils étaient sur une estrade en bois, et son regard fut attiré par une très belle neko, qui avait visiblement été solidement nettoyé, et portait pour seuls vêtements un soutien-gorge et une culotte verts sombres, ainsi que plusieurs nœuds papillons dans ses longs cheveux brossés. L’esclavagiste, qu’Alice connaissait, était un Ashnardien. Il était le représentant d’un des grands esclavagistes d’Ashnard. Croisant les bras, Alice observait l’homme. Il avait une laisse autour de la main, qui était reliée au cou de la neko, et la présentait.
« Cette belle petite perle braconnait dans la ferme d’un honorable citoyen ashnardien, avant que la garde ne l’arrête. Je l’ai racheté aux soldats, mais je pense que vous lui trouverez plus d’utilité que dans les champs de coton ou de maïs ! »
Il ne faisait pas dans l’esclavage sexuel.
« Comme vous êtes beaucoup, le mieux me semble de faire une petite vente aux enchères, avec une base de... 3 500 pièces d’or ! »
Alice eut un léger sourire.
*Qu’est-ce qu’elle est mignonne !*
Père n’aimait pas les nekos qu’Alice ramenait de temps en temps, mais cette dernière avait clairement le sentiment qu’elle allait encore faire un caprice !
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Alors là, c'est le pompon...Comment ont-ils pu m'enfermer dans une cage, comme un vulgaire animal. Ils ne savent pas qui je suis...Si seulement je ne portais pas ce collier, j'aurais déjà pu me débarrasser de ses barreaux.
Alors que la belle nekomata est enfermée bien solidement dans une cage en acier, elle tient fermement les barreaux et se débat pour qu'on la laisse sortir. Pour le moment, elle ne dit rien mais, les affreux mots qu'elle à l'habitude de prononcer ne vont pas tarder à sortir de sa vilaine petite bouche. De plus, le fait qu'elle ne soit vêtue que de sous-vêtements n'arrange pas la situation, elle tremble de froid, la pauvre nekomata. Qui plus est, la belle animale fait facilement l'objet de regards indiscrets et malsains...Des regards d'homme, surtout, ce qu'elle ne semble pas apprécier, mais vraiment pas du tout.
C'est alors qu'elle fixe méchamment l'esclavagiste et commence à sortir des mot pas très plaisants tout en secouant la cage.
Hé, toi là !! Fais-moi sortir de là...Ou j'te colle mon poing dans la tronche...Allez !!
L'homme semble lui répondre calmement, mais Rin ne veut pas l'écouter et recommence à parler, mais avec des gros mots, cette fois.
Petite perle ? Non mais t'as cru que j'avais une tronche de collier ou quoi ? C'est moi qui vais te bousiller les deux perles dans ton pantalon si tu me laisses pas sortir, connard !!
Elle reprend son calme quand elle remarque une magnifique demoiselle en train de la fixer en souriant. Rin soupire d'ennui et se recroqueville dans sa cage. Quand elle est dans cette position, c'est soit qu'elle s'ennui, soit qu'elle est en manque de sexe, et là, c'était pour les deux raisons.
Avec ça, j'ai même pas pu faire l'amour avec quelqu'un pendant toute une journée...Fait chier...
Alors qu'elle entend le mot "enchères", l'animale voit rouge et s'énerve à nouveau.
Une vente aux enchères ?!! Va te faire voir, jamais de la vie je ne ferrais acheter, j'suis pas un vulgaire morceau de viande, vous savez pas qui je suis vraiment !!
Tss...T'façon ça sert à rien...Ils m'écoutent même pas...Quand j'sortirais d'ici, je les tuerais tous...
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« Une vente aux enchères ?!! Va te faire voir, jamais de la vie je ne ferrais acheter, j'suis pas un vulgaire morceau de viande, vous savez pas qui je suis vraiment !! »
L’esclavagiste se mit à rire, et donna un coup de collier, tirant sur la laisse.
« Elle est encore assez sauvage, nous n’avons pas eu le temps de la dresser », plaida-t-il.
Sa beauté suffisait toutefois à justifier le prix. Alice l’observait silencieusement, mains jointes dans le dos. Elle était vraiment belle ! Mais elle avait peur de tomber sur une neko sauvage, sur une neko qui chercherait à l’attaquer. Les nekos avaient beau être serviles, ils n’en restaient pas moins des félins, soit des individus avec des griffes particulièrement tranchantes. Alice pouvait donc logiquement s’en méfier... Et ce d’autant plus qu’elle ne tenait pas particulièrement à « dresser » cette femme. Elle en était tout simplement incapable. La Princesse s’humecta les lèvres, devant se résoudre à abandonner cette petite poupée.
« 3 600 pièces d’ors ! » s’exclama un homme.
Les enchères commençaient. Alice regarda ses gardes. Plusieurs gens les observaient également, sans rien dire, avant de regarder à nouveau la neko. De ce point de vue, Alice n’avait pas remarqué le détail anatomique de la femme, à savoir qu’elle avait deux queues, et voyait simplement une neko en colère, visiblement furieuse à l’idée d’être vendue comme morceau de bétail. Les enchérisseurs étaient essentiellement des nobles sylvandins ou ashnardiens, des individus qui représentaient des maisons puissantes, des marchands ou des propriétaires terriens. Alice était en pleine réflexion. Il ne serait clairement pas raisonnable de dépenser l’argent de la Couronne pour acheter une neko, surtout si elle était une petite sauvage, mais, d’un autre côté... Extérieurement, elle essayait de ne rien laisser paraître de son trouble, ce qui faisait que seuls ses yeux indiquaient qu’elle réfléchissait.
Les enchères continuaient à monter, quand elle sentit une paire de mains se poser sur ses hanches, avec de longs ongles. Alice sursauta légèrement, et se retourna, pour voir devant elle le visage rayonnant et angélique de l’une de ses amies...
« Mélinda ! »
Mélinda Warren l’embrassa sur les lèvres, sa manière à elle de la saluer. C’était une esclavagiste, une Ashnardienne, qui était proche de Sylvandell. En effet, Sylvandell était un royaume guerrier, qui faisait souvent des prisonniers. Ces prisonniers devaient bien servir à quelque chose, et Sylvandell, soit en revendait une partie lors de foires ou de vente aux enchères publique, soit les fournissait à des esclavagistes, afin qu’ils les forment, renvoyant ensuite une partie du stock, gardant le reste comme financement. C’était Mélinda qui était chargée de cette éducation, disposant à cet effet d’un contrat d’exploitation avec une clause d’exclusivité. Elle revenait de temps en temps à Sylvandell pour discuter de cet accord, quand il fallait le réviser, ou pour discuter des esclaves à éduquer. En ce moment, Mélinda était dans le Château royal, et elle avait naturellement passé pas mal de nuits dans la chambre d’Alice, qui ne s’en plaignait nullement... Ses nuits étaient écourtées, mais elle passait du bon temps... Vraiment du bon temps.
« Je te sens troublée... Et ce n’est pas à cause de ma plastique.
- 5 000 pièces d’ors ! »
Alice se retourna, regardant à nouveau la neko.
« C’est elle... J’hésite à l’acheter, mais elle n’est pas dressée...
- Et tu as peur que ton père t’engueule ? »
La réputation de Tywill ne lui faisait pas défaut. Le Roi de Sylvandell n’était pas un grand diplomate. Avec sa voix caverneuse, sa taille de géant, et les insultes qu’il balançait à la vitesse d’un charretier constatant que l’essieu d’une des roues de son chariot était bloquée, on pouvait comprendre qu’on préfère faire appel à sa douce fille, plutôt qu’à lui, pour régler les questions diplomatiques impliquant Sylvandell.
« Tu veux que je la prenne ? demanda alors Mélinda.
- Tu... Tu le ferais ?
- Ma foi, elle est plutôt jolie, non ? Et dresser les gens, c’est ma spécialité. »
Sur ce point, la Princesse était d’accord. Mélinda s’avança un peu, dans sa robe dorée avec des reliefs verts.
« 10 000 pièces d’ors ! » martela-t-elle.
Les enchérisseurs la regardèrent en clignant des yeux. C’était le double de la dernière enchère, et c’était suffisant. Mélinda n’aimait pas les enchères, et avait de l’argent, suffisamment pour rapidement dissocier les petits joueurs des joueurs sérieux.
« Dix mille, c’est une somme, concéda le marchand. Dix mille une fois, dix mille deux fois, dix mille... Trois fois ! Et bien, ce superbe petit lot revient à... ?
- Warren... Mélinda Warren. »
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Encore dans cette cage à écouter différentes personnes proposer leur prix pour l'acheter, Rin commence à perdre patience et secoue la cage de plus belle jusqu'à ce qu'elle remarque une autre demoiselle arriver. Elle fixe son regard sur un petit détail en particulier, ses longs ongles. Était-ce une sorcière, ou une démone ? Puis elle reprend son attention sur l'esclavagiste qui la tient avec une laisse comme on le fait avec un chien, elle le regarde très méchamment et lui crache dessus, au visage.
Jamais de la vie on m'achètera, tu m'entends, sale con ?!!
Elle regarde alors avec surprise la nouvelle arrivante quand elle propose un prix très élevé égal au double de celui proposé précédemment.
Nan mais j'hallucine, là. J'vais quand même pas me faire acheter par cette sorcière, elle saura même pas compenser mon manque. Mais par contre, qu'elle m'embrasse comme elle l'a fait avec la douce demoiselle, juste pour la saluer, moi, j'dis pas non...
Elle se cale au fond de sa cage quand la demoiselle aux longs ongles arrive devant elle, histoire de montrer que la féline n'en a rien à faire d'elle.
Et toi tu m'touches pas avec tes ongles de sorcière, pigé ?
Superbe petit lot ? Mais j'ten foutrai, moi, du petit lot...Un petit lot de coup de poing dans sa gueule ça le calmera...
Hé connard !! Approche un peu que j'te foute une raclée !!
L'esclavagiste s'approche alors de la féline et lui colle une gifle, insupporté par la façon de parler de la féline, ce qui la calme sur place avec un petit air triste au visage.
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Cette neko était vraiment une forte tête... Alice avait de plus en plus peur de se faire griffer par elle, et resta donc prudemment derrière Mélinda, qui se dirigeait sans crainte vers l’estrade. Les badauds, qui n’avaient clairement pas les moyens de lutter contre elle, financièrement parlant, s’écartèrent. Le marchand était enthousiasmé, et on pouvait le comprendre. 10 000 pièces d’ors, c’était en effet une belle somme. Il y avait de quoi s’acheter une très belle maison avec tout ça, et Alice était persuadée que le prix de vente de cette neko était surévalué... Mais elle ignorait encore que cette neko n’était pas vraiment une neko. Mélinda allait la rejoindre, quand le marchand se mit à la gifler.
« Ferme-là, insolente, je ne tolèrerai pas que...
- De quel droit frappez-vous l’une de mes filles ?! » siffla alors la voix de Mélinda, nerveuse.
Ses yeux semblaient lancer des éclairs, fusillant du regard le marchand, qui se mit à pâlir. Le droit ashnardien sur l’esclavage était clair. En cas de vente aux enchères, ou, tout simplement, en cas de vente, le transfert de propriété s’opérait dès que les consentements étaient transmis. En l’espèce, dès que le marchand avait annoncé la dernière criée, et tapé dans ses mains, il avait consenti à l’achat, et le transfert avait eu lieu, même sans que Mélinda n’ait encore fourni sa contrepartie, à savoir l’or requis. En somme, cette neko était déjà son esclave, sauf à ce qu’elle n’ait pas de quoi payer le marchand. Dans ce cas, le contrat conclu serait annulé, entraînant toutes les conséquences juridiques qu’une nullité entraînait. Et, dans la mesure où le contrat était valablement conclu, toutes les lois en vigueur s’appliquaient. Or, ceux qui prétendaient que l’esclave n’avait aucun droit, et aucune protection, se fourvoyaient. Juridiquement parlant, un esclave était un incapable, une personne qui était placée sous l’autorité exclusive et totale de son maître. Il y avait fusion du patrimoine de l’esclave dans celui du maître, et tous les actes liés au patrimoine de l’esclave ne pouvaient être faits que par son maître, qu’il s’agisse d’actes de disposition, conservatoire, ou d’administration. En gros, et pour faire simple, Mélinda seule avait le droit de frapper son esclave.
Et ça, le marchand le savait bien. Il avait juste été excédé par le comportement de la neko, et se mit à blêmir. Mélinda était en droit de le poursuivre, d’autant plus qu’il y avait une flopée de témoins, dont une Princesse royale.
« Je... Je ne voulais pas, c’est juste que... bredouillait le marchand.
- C’est juste que votre main est partie toute seule, c’est ça ?
- Non, mais...
- Vous avez frappé ma fille ! C’est comme me frapper, moi !
- Écoutez, je... tenta de dire l’esclavagiste.
- Elle est à moi ! Ce que vous avez fait sur elle est une agression ! Une infraction, même !
- Je voulais juste la forcer à se taire, elle...
- Alors, vous prétendez agir à ma place, c’est ça ? Vous croyez que je ne sais pas comment calmer une neko effrayée, qui est traitée comme un sac de patates ? »
Alice n’osait rien dire. Une chose était sûre : elle n’aurait pas envie de se retrouver à la place du marchand, qui n’arrivait pas à en placer une, et regardait autour de lui, nerveux. Il y avait de quoi l’être, en effet. Mélinda pouvait être une teigne, parfois. Alice comprenait mieux pourquoi elle était l’une des rares personnes en ce monde à tenir tête à son père... Et elle ne partait pas favorite, avec son petit gabarit.
« Je suppose que vous travaillez pour quelqu’un, n’est-ce pas ? Vous êtes ce qu’on pourrait appeler... Un préposé, non ?
- Je... Oui, mais...
- Et, quand un préposé commet un dommage de nature à engager sa responsabilité, il engage celle de son commettant... Dites-moi, si je vous poursuis devant les tribunaux sylvandins pour avoir violenté l’une de mes esclaves, combien de temps pensez-vous garder votre emploi ? Peut-être même finirez-vous à la place de cette neko, hum ? Dans une cage ? »
L’argument sembla faire mouche. Le marchand connaissait suffisamment la loi, notamment la responsabilité du commettant pour les faits de son préposé, pour savoir comment ça fonctionnait. Si Mélinda portait plainte, le commettant serait condamné, car le préposé agissait en son nom, mais, ensuite, quand Mélinda recevrait une indemnisation, le commettant se retournerait contre son préposé, et, outre le licencier, pourrait éventuellement exercer à son encontre un recours récursoire.
« Et... Si je vous proposais une remise ? »
Mélinda se mit à sourire.
« Tu as fait tout ce cinéma pour dépenser moins d’argent ? demanda Alice dans le creux de l’oreille de Mélinda.
- C’est ce qu’on appelle le commerce, trésor » rétorqua Mélinda.
Elle versa bien les dix mille pièces d’ors, à l’aide d’un chèque, mais reçut en retour un chèque de 2 000 pièces d’ors. Tout le monde était content, et on ouvrit la cage de la neko. Mélinda se pencha vers elle, en fléchissant les genoux, et lui fit un petit sourire.
« Alors, ma belle, comment t’appelles-tu ? »
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Rin reste recroquevillée au fond de sa cage après avoir reçu sa petite correction dont elle se rappellera, oh que oui. D'ailleurs, c'est bien connu, les chats ont une excellente mémoire et sont souvent rancuniers. Rin, elle est extrêmement rancunière et agit souvent avec colère, sans se soucier de ce que peut ressentir toute personne autour d'elle car, après tout, cette nekomata est maudite et, attirer les gens dans la mort est un vrai jeu d'enfant pour elle. Néanmoins, vu qu'un collier semble bloquer ses pouvoirs, elle ne peut pas se venger comme elle le souhaiterait, mais en revanche, vu que Rin a réussi à modifier son corps pour en faire celui d'un fantôme sans que cela soit visible aux yeux d'autrui, elle pourrait peut être rendre la gifle à cet homme avec une certaine force de frappe supérieur à la sienne.
Ecoutant alors la demoiselle aux doigts de sorcière faire un discours à cause de la gifle, elle soupire.
Tout ça pour une gifle...J'le crois pas...J'me demande ce qu'elle aurait dit si c'était un coup de poing...M'enfin...
Elle continue d'écouter même si ça commence à lui casser les oreilles et puis. De plus, elle commence à se dandiner légèrement parce qu'une envie de sexe la démange étrangement, elle irait presque jusqu'à se masturber devant tout ce monde pour se satisfaire un moment, mais elle n'en ai pas encore à ça.
mais alors qu'elle voit sa cage s'ouvrir, la nekomata ouvre grands les yeux de surprise. Elle regarde d'abord autour d'elle et voit plein d'hommes la reluquer, car elle est actuellement en sous-vêtement et, dieu sait à quel point Rin est très excitante en sous vêtement, surtout quand on remarque ses formes très généreuses pour un corps de la taille d'un adolescent de 16 ans.
Elle regarde ensuite la "sorcière" et, malgré le fait qu'elle l'est plus ou moins défendue, la belle nekomata ne semble pas vouloir coopérer et ne fait que lui donner son surnom.
Rinka. J'mappelle Rinka.
Sortant alors ses jambes de la cage, elle finit par sortir entièrement et fixe alors l'esclavagiste d'un regard assassin. Elle s'approche de lui sans la moindre et lui colle une simple gifle dans laquelle est associé le peu de force surnaturelle qui lui restait avant que le collier l'annule totalement. La gifle est donc sufisamment puissante pour faire reculer l'homme de quelques pas. Rin espère cependant que personne n'a remarqué la petite lueur sombre qui est apparue quand le coup a touché le visage de l'homme.
Mange ça, pauvre con.
Ne semblant pas d'accord avec cet esprit d'égalité, l'esclavagiste outrepasse ses droits et prend méchamment la nekomata par le cou pour l'étrangler, sans pour autant vouloir la tuer, mausj uste la calmer. Cependant, Rin n'ayant qu'un corps fantomatique, ne pesant donc qu'un seul gramme, elle est très vulnérable lorsqu'elle se prend un coup ou une autre forme de violence. De ce fait, la nekomata tombe au sol, inconsciente en seulement quelques secondes L'homme semble grimacer en ne s'attendant pas du tout à ce résultat.
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Rinka... Un beau prénom, qui faisait neko. La fameuse Rinka sortit lentement de la cage, et Alice put alors noter le détail anatomique qui lui avait échappé : la présence de deux queues ! Voilà qui était inhabituel pour une neko ! Elle n’eut néanmoins pas le temps de questionner Mélinda à ce sujet, car Rinka, aussi belle que sauvage, se mit à frapper l’esclavagiste. Agacé par les propos de Mélinda, il perdit patience, et l’attrapa par le cou, cherchant à l’étrangler. Alice sursauta, tandis que Mélinda intervint rapidement.
« Gardes ! » appela-t-elle.
Tandis que Rinka tombait sur le sol, deux gardes surgirent dans le dos du marchand, et le forcèrent à se reculer.
« Je... Elle m’a provoqué, c’est de sa faute ! » lâcha le marchand, craignant probablement une nouvelle saillie de Mélinda.
Cependant, la vampire semblait plus intéressée par l’état de santé de Rinka, plutôt que par une question de vengeance. Elle posa ses deux doigts sur son cou, puis se pencha légèrement.
« Elle est aussi fragile qu’une poupée, cette petite... Encore plus que toi, Alice... »
Un trait d’humour ? Dans une telle circonstance ? Alice fronça légèrement les sourcils en croisant les bras, et Mélinda se redressa.
« Elle se réveillera assez rapidement. Commençons par foutre le camp d’ici. »
Une idée qu’Alice approuvait. Mélinda prit la neko entre ses bras, et s’avança au milieu des badauds, qui les observaient, certains avec des regards lubriques. La Princesse pouvait les comprendre, mais restait un peu inquiète pour le sort de la neko. Certes, elle n’était pas sa neko, mais Alice savait qu’elle allait devoir l’héberger un certain temps... Et sa beauté semblait lui conférer une certaine innocence, qui l’amenait à éprouver de la sympathie pour elle... Et ce même si elle avait de longues griffes pointues, et n’avait pas sa langue dans sa poche. Le duo grimpa dans une calèche, qui fila rapidement vers le Château royal. Mélinda la tenait toujours dans ses bras, et utilisa l’une de ses mains pour tendrement caresser, avec le revers d’un doigt, les belles joues de la femme.
« Tu as vu ? demanda alors Alice. Elle a deux queues...
- C’est un détail que j’ai noté, oui.
- Mais... Comment ça se fait ?
- C’est... Je n’en suis pas encore sûre pour le moment, il faudra que je me renseigne. »
Alice ne dit rien, et hocha la tête. Le chariot rejoignit assez rapidement le château, et Mélinda déposa Rinka dans une chambre, l’allongeant sur un lit. Elle regarda ensuite Alice, et lui expliqua qu’elle avait encore affaire avec Tywill, et qu’elle ne pouvait pas perdre trop de temps. La Princesse ne voyait aucune objection à surveiller cette curieuse pensionnaire, une neko avec deux queues. Ainsi, tandis que la neko se reposait au milieu du lit, Alice s’assit sur un fauteuil, et attendit patiemment. La patience était une vertu rare en ce monde, mais, bien qu’elle soit une Princesse, Alice en était dotée.
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Toujours inconsciente, la belle nekomata en sous-vêtement a fait l'objet de pas mal de regards malsains, car, en plus d'avoir une joli visage et une jolie voix, elle a aussi un joli postérieur et une poitrine vraiment très généreuse dont elle se sert pour entrainer les gens dans la mort, à sa manière.
Mais dans le cas présent, Rin ne peut rien faire, non seulement elle est inconsciente, mais en plus le collier semble lui avoir totalement bloqué ses puissants pouvoirs surnaturels. Cependant, la nekomata peut toujours reprendre sa forme initiale, si elle le souhaite, sa forme de chat à deux queues d'une rareté sans égal.
Après une bonne quarantaine de minutes, soigneusement allongée sur un lit, la belle nekomata se réveille et regarde autour d'elle.
Mais qu'est-ce que je fous là, moi ?! Et cette fille, c'est celle que j'ai vu quand j'étais dans la cage...On est chez elle ? J'en déduit qu'elle m'a acheter, tsss...
Se posant pas mal de questions à la fois, elle est sur d'une chose. Si elle questionne la princesse, ça risque de finir avec des mots grossiers et donc, la nekomata préfère se transformer en sa forme initiale, un magnifique chat de couleur pourpre avec un pelage incroyablement doux.
Une fois sous forme animale, Rin va se placer sans prévenir sur les jambes de la demoiselle avant de miauler et de s'allonger sur le dos pour faire la belle avec ses quatre pattes en l'air.
(Un petit aperçu de Rin sous sa forme animale : ) (http://nsa34.casimages.com/img/2013/05/21/130521072108887716.jpg) (http://www.casimages.com/img.php?i=130521072108887716.jpg)
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Alice se sentait bien dans son château. Oh, elle aimait Sylvandell, mais, le jour des foires, c’était toujours une forte agitation, qui lui rappelait la métropole ashnardienne. Tant d’agitation, ce n’était pas pour elle, une simple provinciale. Là, dans son petit château, où elle appelait les trois quarts des serviteurs et des gardes par leur nom, elle était tout simplement chez elle... Et quel meilleur endroit existait-il au monde que chez soi ? La Princesse lisait donc, quand elle entendit du bruit émanant du lit. Elle reposa alors le livre sur une table, à côté de son fauteuil, et vit que la curieuse neko à deux queues se réveillait. Dans son sommeil, il se dégageait d’elle une beauté irréelle, qui vous donnait envie de la serrer dans ses bras. Alice aurait probablement adoré avoir une neko comme ça quand elle était jeune, une amie et une confidente à qui elle ferait plein de câlins. La Princesse allait lui parler quand quelque chose... D’inattendu... Se passa devant elle.
Le mystère tournant autour de Rinka s’épaissit quand cette dernière se transforma en une magnifique chatte au pelage rouge foncé, avec deux queues. Elle avança le long du lit, et vint se poser sur les genoux d’une Alice interloquée, qui cligna stupidement des yeux, seule manière qu’elle venait de trouver pour exprimer son incrédulité.
« Et ben ça alors... ! » souffla-t-elle.
Rinka se retourna, en la regardant avec un air terriblement choupi. Sous son ventre, elle avait un pelage plus rouge, et de beaux yeux de rubis, ainsi qu’un air qui semblait dire qu’elle avait besoin de câlins. Alice se mit à sourire, et lui caressa tendrement le ventre, utilisant ses ongles pour frotter sa peau, et sentit le plaisir irradier dans le corps de la chatte.
« Une femme qui se transforme en chatte... Toi, tu dois être une neko très spéciale... »
Et pas que parce qu’elle était belle à s’en damner les saints. Alice se mit à la caresser avec un peu plus de vigueur, remontant vers son visage, où elle glissa un doigt le long du cou de la chatte, caressant cette zone très sensible chez les chats. Elle retourna ensuite Rinka, afin de lui frotter le dos, filant de la tête à la base de ses queues, sentant ces dernières se redresser. Elle revenait ensuite à hauteur de la tête, attardant surtout ses doigts à hauteur du cou. Elle était toujours surprise. Cependant, Terra était un monde magique, et il n’était donc pas impensable de tomber sur des individus pouvant se transformer.
« Je m’appelle Alice, petite chatte. Je suis la Princesse de Sylvandell, et tu es dans le Château royal de ce pays. Celle qui t’a... Libérée de cette cage... Est une amie à moi, qui s’appelle Mélinda. »
Elle préférait employer cette expression plutôt que de dire « achetée », car le mot avait, pour elle, quelque chose de négatif, s’il s’adressait à des êtres vivants.
« Tu avais besoin d’un gros câlin, hum ? Je te sens toute tendue... Cependant... »
Alice, probablement à la surprise de Rinka, cessa alors de la caresser, et l’attrapa par le ventre, la soulevant pour la tenir entre ses bras, et s’assit sur le rebord du lit. Des chats, elle en avait déjà eu, naturellement, mais elle préférait les caresser en s’allongeant sur le lit, de préférence sous la couverture. C’était une astuce qu’elle avait trouvé pour éviter de sentir leurs griffes s’enfoncer dans son corps. Elle déposa donc Rinka sur le lit, puis fila à l’intérieur, sa tête et le haut de son torse sortant de son couverture, et lui fit signe de venir.
« Viens, que je te fasse un gros câlin ! »
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Sous sa forme d'origine, Rin est particulièrement sensible aux caresses, elle adore en recevoir tout plein et là, elle est servie. Elle ronronne fortement et fait la belle en se mettant sur le dos. Lorsqu'elle entend Alice lui dire qu'elle est spécial, la chatte lui fait un clin d'œil, pour lui montrer qu'elle ne fait pas que miauler, mais aussi faire des clins d'oeil.
Miaaaaw ~
Il est vrai que, dans son état actuel, Rin a bien besoin d'affection et de tendresse, après avoir été enfermée pendant trois jours dans cette cage sans manger et surtout, sans avoir de relation sexuelle, ce qui pour elle, est bien plus important que de manger, car après tout, pour elle, se nourrir signifie souvent dévorer sensuellement ses partenaires sexuels. Mais sous cette forme, Rin est totalemenet inoffensive, mais elle n'en reste pas moins quelque peu vicieuse, parfois, et compte bien le montrer à la Princesse.
Alors qu'elle voit la belle Princesse sous la couverture, sa seule envie et d'aller lui montrer qu'elle aime aussi profiter des gens, même sous cette forme. Ainsi, elle se faufile sous la couverture et va se placer sur le ventre d'Alice pour aller lui lécher ses tétons à travers ses vêtements.
Miaaw ~
Elle prend tout de même un air innocent pour éviter de se prendre un savon trop sévère, au cs ou la Princesse la rejetterai.
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Visiblement, la couverture n’était pas du goût de Rinka. Sous cette forme, elle ressemblait tellement à une chatte normale qu’Alice raisonnait un peu comme elle l’avait fait avec les nombreux chats qu’on avait pu lui offrir, essentiellement des prétendants, à l’époque où elle était encore libre. Il fallait croire que les chats attiraient les belles femmes blondes, mais ils n’avaient tous pas duré longtemps. Ils avaient la sale manie de sortir dehors, et de croiser des dragons... Depuis des années, Alice n’avait donc plus aucun félin pur chez elle, afin d’éviter que ce genre de désagrément fâcheux ne se renouvelle... Rinka était une sorte d’exception, mais ce n’était pas vraiment une chatte, après tout. Elle cessa rapidement de se faire câliner, afin de se glisser sous les couvertures. Un peu surprise, Alice la laissa faire, et la vit... Ou la sentit, plutôt, se poser sur son ventre, puis posa sa petite tête... Contre l’un de ses seins !
*Par tous les Dragons !*
Aucun de ses chats ne lui avait fait ça ! Et, pourtant, elle sentait bien la petite bouche de Rinka-la-chatte s’attaquer à l’un de ses tétons, le pressant à toujours la robe. Ceci dit, Rinka avait une petite bouche, et Alice une robe épaisse. Elle ne ressentait donc pas grand-chose. Elle attrapa le rebord de la couverture, et l’écarta. Connaissant Mélinda et son père, ces derniers en avaient encore pour un certain temps, d’autant plus que Mélinda allait probablement se renseigner sur les deux queues de cette neko. En somme, elles allaient passer un certain temps ensemble... La Princesse se mordilla les lèvres, et entreprit de se redresser.
« Attends un peu, ma belle... »
Elle écarta Rinka, et la posa sur le lit, juste à côté d’elle, et posa ses mains dans son dos, dégrafant sa robe. Cette dernière glissa le long de son corps, et elle la retira, la déposant par terre. Elle portait, sous sa robe, un beau corset blanc (http://images.bidorbuy.co.za/user_images/139/467139_white-wedding-with-straps.jpg) fin et doux. Elle se retourna ensuite vers Rinka, et lui caressa la tête, avant de l’embrasser entre les oreilles.
« Voilà qui devrait être mieux, ma jolie... Je croyais que tu étais affamée, mais, en réalité, je crois surtout que ton appétit ne concernait pas ton ventre... »
La Princesse attrapa à nouveau la chatte, et retourna s’allonger, tout en la posant sur le ventre. Elle retourna lui caresser le ventre.
« Voilà qui est mieux... Même si je ne suis pas ta Maîtresse, tu es chez moi, alors... Je dirais que je dois faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que tu te détendes, Rinka. »
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Voyant la réaction de la Princesse, Rin est très surprise, elle regarde la magnifique demoiselle retirer sa robe sous ses yeux et lui offrir à nouveau sa poitrine, d'une manière bien à elle. Regardant ensuite ce corset, elel se dit que cette femme est vraiment une Princesse, porter de tels vêtements est typique des grandes personnes. Mais Rin s'en fiche pas mal de ça, elle n'a jamais respecté la haute société plus que quiconque. Pour elle, à partir du moment ou une femme est appétissante, qu'elle soit de la famille royale ou non, elle lui fera comprendre en allant abuser d'elle, se fichant totalement des représailles.
C'est d'ailleurs le cas ici, la belle Rin, sous sa forme originelle se remet à lécher un téton de la belle Princesse, et cette fois, elle sent bien ce petit bout de chair remuer sous ses sensuels coups de langue féline. Se concentrant pendant qu'elle lui lèche un téton, la chatte parvient à communiquer avec la Princesse par télépathie, c'est son seul moyen de parler lorsqu'elle est sous cette forme.
Que dirais-tu de passer un délicieux moment sous la couverture avec moi, ma jolie ?
Si Rin est très souvent vulgaire sous sa forme hybride, sa forme d'origine lui permet d'exploiter tout son potentiel afin de s'exprimer avec de beaux mots et parfois même, avec un langage moyenâgeux, car après tout, Rin est très agée, bien plus que cette Princesse aux visage angélique et aux tétons délicieux.
Reprennant son petit jeu coquin avec les tétons de la Princesse, Rin accentue ses coups de langue pour la forcer à accepter.
Si ça peut te rassurer, je serais douce avec toi. Ca ne m'empêchera pas de prendre un malin plaisir à te procurer de bien délicieuses sensations, Princesse. Et puis, entre nous, il serait dommage de ne point profiter de l'absence de cette damoiselle aux doigts de sorcière.
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Et la chatte, sans réelle surprise, revint à l’assaut. Alice se souvenait que beaucoup de traités et essais portant sur les nekos, ou, plus généralement sur les Terranides, affirmaient que ces derniers avaient des besoins sexuels bien plus importants que d’autres espèces. Elle avait toujours pris avec des pincettes ce genre d’exposés, car ils étaient souvent réalisés par des esclavagistes, et tendaient donc à trouver un moyen de légitimer l’esclavage, plutôt qu’à être véritablement objectifs. Cependant, avec Rinka, la question ne se posait pas. Elle retourna rapidement sur le ventre d’Alice, et suça à nouveau l’un de ses seins. C’était très curieux. Elle était plus ou moins en train de faire l’amour à une chatte... Oh, certes, ce n’était pas vraiment une chatte, mais elle en avait l’apparence. En théorie, un tel spectacle aurait du la choquer, mais, bien au contraire, cette scène contribuait à l’exciter encore plus, à réchauffer ce qu’elle avait entre les jambes. Elle se frottait contre le lit, remuant lentement ces dernières, tandis que Rinka insistait sur son téton, ses vibrations et ses ronronnements remplissant la pièce.
Pour lui répondre, Alice soupira, glissant ses doigts sur le dos de Rinka, frottant son pelage, partant de sa tête vers les deux longues queues de la femme, les caressant légèrement. A chaque fois qu’elle faisait ça, à chaque fois qu’elle s’approchait de la queue d’un chat, cette dernière se redressait subitement. Un phénomène naturel qui l’avait toujours amené, et qu’elle retrouvait naturellement ici. La petite langue avide de Rinka glissait sur l’un de ses tétons, quand une « voix » se mit à lui emplir l’esprit.
*Que dirais-tu de passer un délicieux moment sous la couverture avec moi, ma jolie ?*
Hum ? Elle regarda instinctivement autour d’elle, mais ne vit personne... Personne, à part Rinka et elle. Elle repencha alors sa tête vers la chatte, et comprit que le message devait venir d’elle. Alice savait que la télépathie existait, et elle fit très rapidement l’association. Rinka avait deux queues, et pouvait se transformer en chatte... Était-il si surprenant que ça qu’elle soit aussi télépathe ? La Princesse mit un peu de temps avant de comprendre qu’elle s’était adressée à elle, en lui demandant de faire l’amour, et ne répondit donc pas, ce qui amena Rinka à lui envoyer un autre message. C’était comme si elle se mettait à penser à quelque chose, sauf que cette pensée ne venait pas d’elle. Elle glissait parmi les siennes en s’imposant. Elle lui expliqua qu’elle serait « douce », et aussi, ce qui fit sourire Alice, qu’il n’y aurait pas la « damoiselle aux doigts de sorcière ».
*Ça, ça désigne à coup sûr Mélinda...*
Ce devait bien être la première fois que l’une de ses esclaves la traitait de sorcière ! Elle sourit bien malgré elle, manquant même de pouffer, et se reprit. Elle avait toujours une main posée sur le corps de Rinka, et déglutit, reprenant ses forces. Ses tétons avaient durci, signes du plaisir qu’elle ressentait. Le moteur s’emballait, la chaudière se mettait en route, et elle devait donc naturellement se concentrer pour réussir à parler.
« Il... Il me semble que nous passons déjà un délicieux moment, Rinka, mais... Ça ne me dérange pas de continuer, je... Au stade où on en est, je pense que je peux te le dire, mais... Haaa... J’ai eu envie de toi dès que je t’ai vu... »
A ce stade, ça n’avait effectivement plus grande importance. Elle enchaîna alors, rapidement :
« Mais... Mélinda n’est... C’est pas une sorcière, c’est... Haaaaaa, ouiiii, comme ça, huuuuummmm... C’est... C’est une vam... Vampire, et-et... Elle est encore plus perverse que moi... »
C’était une chose incontestable. Alice continuait à soupirer, et reposa sa tête contre l’oreiller. Elle savait à l’avance qu’elle allait passer un moment particulièrement jouissif, et, pour le coup, elle espérait bien qu’on ne viendrait pas les déranger avant un certain temps. Elle voulait voir, sentir, de quoi Rinka était capable, et quelque chose lui disait qu'elle serait bientôt très clairement fixée sur ce point.
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Toujours sous sa forme animale, Rin continue de lécher les tétons d'Alice avec une certaine envie. Entendre les gémissements de la Princesse la force à passer sous sa forme hybride et ainsi se retrouver comme elle était précédemment, en sous-vêtements, recroquevillée sur la Princesse en train de lui lécher les tétons.
Tiens donc. Alors comme ça, t'as envie de moi, hein ?
Elle glisse une main entre les jambes de la Princesse et la frotte contre son intimité encore recouverte de tissu, léchant toujours ses tétons tout durs et pointés. Son autre main semble prendre celle de la Princesse pour la placer sur son dos à elle.
Montre-moi à quel point tu me désires, Princesse. Et, fais-moi plaisir, retire donc ce corset, pour que je puisse te lécher seins de manière un peu plus...Intime.
Elle aime montrer comment elle est perverse, emprisonnant la Princesse avec ses jambes et ses bras, elle continue de lui lécher ses tétons de manière plutôt coquine mais toujours avec douceur. La belle nekomata émet même des petits sons qui semblent exprimer son excitation au travers de ses coups de langue sensuels.
On s'en fout de Mélinda, pour le moment, c'est toi que je veux.
Elle lui dit cela comme-ci la Princesse l'appartenait, alors que ce n'est pas du tout le cas. Mais pour une fois, elle qui aime dominer ses partenaires laissera Alice profiter de son magnifique corps incroyablement bien formé. D'ailleurs, pour lui en donner envie le plus possible, elle se frotte sensuellement contre sa belle partenaire.
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Cette petite scène de zoophilie se termina assez rapidement. Alice le sentit, que ce soit sous ses doigts, ou même sur son corps. Rinka se mit à grossir démesurément, et, en quelques secondes, elle avait repris sa forme humanoïde. Une belle neko toute nue se tenait sur son corps, se blottissant contre elle, et continuait à s’attaquer à un de ses seins. Elle était vorace, cette petite, il fallait bien le lui reconnaître. Elle sentit les mains douces et chaudes de Rinka, désormais dépourvues de poils, attraper les siennes. Elle posa ainsi l’une des mains de la Princesse sur son dos, qui caressa avec ses ongles cette partie de son corps, tout en entendant, avec un léger sourire, les propos de Rinka. Visiblement, elle avait du mal à comprendre qu’elle était une esclave, car elle parlait de manière autoritaire, sans vraiment laisser le soin à Alice d’exprimer son consentement.
*Mélinda risque de se faire plaisir avec elle...* songea Alice.
Pour l’heure, Alice n’était pas vraiment en état de s’opposer à Rinka, et ce d’autant plus que, après tout, la neko n’était pas à elle. Ce n’était rien de plus qu’une invitée, et, dans l’absolu, la Princesse n’était pas contre l’idée d’avoir une partenaire dominante. Elle avait un fort penchant de soumise, surtout avec de belles femmes. Rinka continuait inlassablement à lécher son sein, et Alice commençait à mouiller, glissant sa propre main vers le bas du dos de Rinka, qui lui demandait de se délester de son corset. La Princesse avait cependant une autre idée en tête. Ce fut quand elle posa sa main sur les belles fesses rondes de Rinka que cette dernière se mit à frotter son corps de haut en bas, le faisant glisser contre le sien.
« Haaa... » soupira la Princesse, sensible et excitée.
Très excitée, même. Rinka savait y faire, et elle agissait avec l’énergie d’une désespérée. Il fallait croire que le sexe lui manquait... C’était sûrement ça. Heureusement qu’Alice était là ! La Princesse caressait les fesses de Rinka, glissant ses doigts dessus, les frottant avec un certain attrait. Elle aimait bien cette petite.
« Je... Tu n’as qu’à l’enlever toi-même, ce corset... Je suis sûre que tu sauras comment faire... Humm... »
Pour le coup, Alice se moquait aussi de Mélinda, ayant surtout à l’esprit Rinka, et sa volonté que personne ne vienne les déranger.
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Et oui, Rin est une vraie experte dans le domaine du sexe, qu'il s'agisse de moment très chauds ou de simples caresses sensuelles, elle sait toujours comment faire flancher sa partenaire pour la forcer à être soumise. Sentant alors des doigts caresser ses grosses fesses, Rin soupire de plaisir et continue de lécher les tétons.
Hmm. J'savais pas qu'une Princessse pouvait aimer ce genre de choses. En tout cas, j'espère que tu as déjà prévu une culotte de rechange, ma jolie.
Se frottant avec envie contre le corps de la Princesse, Rin en profite pour faire dandiner ses fesses. Puis elle lâche un moment les tétons de la Princesse pour aller lui lécher les lèvres tout en lui retirant son corset, le faisant tomber au sol comme une vulgaire chaussette.
Evidemment que j'sais comment faire, j'suis une pro, kess tu crois. Et toi, tu sais explorer les quartiers chauds, hmm ? ~
Evidemment, par "quartiers chauds" elle entend des zones intimes et érogènes par excellence. Maintenant que la poitrine de la Princesse est mise totalement à nu, Rin retourne s'en occuper à sa manière. Elle donne des coups de langue sur les tétons d'Alice en s'amusant à les contourner parfois du bout de la langue. Elle semble incroyablement excitée et ne se gêne pas de le montrer, continuant sans cesse de frapper les tétons avec sa langue vicieuse.
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Rinka était décidément une neko aussi belle qu’excitante. Toute nue, elle ne se privait pas pour continuer à narguer la Princesse, continuant à frotter son corps contre le sien, qui, de son côté, pelotait le beau petit cul de la neko. Rinka vint alors lui ôter son corset, conformément à ce qu’Alice avait demandé, et, en sentant ce sous-vêtement s’écarter de son corps, la Princesse se sentit bien mieux, bien plus détendue et soulagée. Elle gémit de plaisir, tandis que Rinka allait lui offrir un curieux baiser. Elle lui lécha les lèvres, la faisant frissonner. Elle aurait presque pouffé, à vrai dire, car ce frottement, aussi sensuel soit-il, était avant tout amusant, titillant son corps. Ses mains s’écartèrent des fesses de Rinka pour caresser ses hanches, tandis que, terminant son curieux baiser, la neko retourna jouer avec l’un de ses tétons. Elle continuait à utiliser sa langue, tout en narguant encore la Princesse, faisant preuve d’un toupet assez rare. Quand bien même Alice était une jeune femme soumise et timide, elle restait une Princesse, celle d’un royaume guerrier, et ceux qui ne la connaissaient pas ne se permettaient pas d’être aussi familiers.
*Elle n’a aucune conscience des convenances sociales... En un sens, elle a de la chance d’être tombée sur moi et sur Mélinda...*
Il existait bien des Ashnardiens et des esclavagistes plus formalistes, et plus enclins à utiliser les châtiments physiques. Alice se sentait surtout excitée. Rinka était une neko, une neko belle, ce qui lui procurait deux avantages certains pour justifier son arrogance. Elle la narguait donc, et Alice lui répondit en posant une main sur les cheveux de Rinka. Elle avait une chevelure assez douce et soyeuse, même s’il lui faudrait encore prendre un bon bain pour être définitivement propre. Son autre main revint se poser sur le postérieur de la neko, et elle les caressa, avant d’enfoncer alors un doigt dans ses fesses, le glissant le long de sa croupe.
Elle glissa son majeur, et sentit le petit trou de Rinka. Il y eut une certaine résistance, et elle remua son doigt de haut en bas, afin de forcer. La Princesse continuait à gémir, et frottait ses jambes contre celles de la neko. Elle lui caressait tendrement les cheveux, et consentit enfin à lui répondre :
« Évidemment que je le sais, petite insolente... répliqua Alice. Une princesse se doit d’avoir du doigté... »
Alice fit précisément ça, et glissa son doigt, l’enfonçant lentement dans la chair de Rinka, retirant à nouveau son doigt, pour le glisser à nouveau, toujours plus profondément. Quand on pensait aux princesses, on avait toujours en tête l’image des contes, celle de la Princesse naïve vivant dans sa tour d’ivoire, et qui restait une éternelle gamine. La Princesse avait été conforme à cette image pendant un certain temps, mais la réalité s’était rattrapée à elle, et, si cette image était encore forte aux yeux du public, en privé, Alice était comme beaucoup de nobles : une petite perverse. Et ce n’était pas son entourage qui arrangerait les choses.
« Mmmh... Tu as un joli petit cul, ma belle, haaann... »
Elle mouillait, salissant sa culotte, tout en continuant à se tortiller sur le lit.
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Il faut dire que là, Rin est bien surprise, si elle s'attendait à voir une Princesse aussi coquine, elle irait souvent se faufiler chez elles pour passer une nuit torride avec leur grande personne. Mais là, elle s'occupe de donner du plaisir à Alice qui, par ailleurs, semble satisfaite du traitement que la belle nekomata lui offre. Après tout, quelle personne coquine n'aimerait pas les délicieux traitement de cette féline ? Jamais personne n'a été déçu d'avoir cette fille dans son lit, et c'est très compréhensible, elle est tellement douée dans son domaine.
Pour le moment, elle continue de suçoter les tétons de la Princesse, donnant des coups de langue dessus alors que sa double queue se montre particulièrement vicieuse en allant se faufiler directement sous la culotte de la Princesse pour se délecter de son intimité qu'elle caresse sans la moindre retenue. En échange, la féline lui offre avec grand plaisir ses grosses fesses avec lesquelles la Princesse ne tarde pas à jouer. Gémissant de sa voix coquine lorsqu'elle sent le doigt explorer sa petite grotte, elle dandine des fesses de manière à ce que le doigt se promène bien entre ces dernières.
Il te plait, hein, mon petit cul, spèce de sal....Hein ? C'est quoi ce bruit ? Quelqu'un arrive ?
Elle entend un bruit de déplacement, une personne qui semble s'approche de plus en plus de la chambre de la Princesse, sans nul doute Mélinda. Sur le coup, elle se demande si elle doit continuer de jouer avec Alice ou faire comme-ci rien n'était en restant allongée sur le lit, simulant un profond sommeil. Mais, alors qu'elle sourit de manière assez sadique, elle décide de continuer pleinement ses traitements dans l'espoir de rendre quelque peu jalouse Mélinda ou au moins la faire languir en la voyant toute excitée à califourchon sur la Princesse.
Ne t'arrête pas, poupée, fais comme-ci elle n'était pas là ♥
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Rinka était décidément une personne qui respectait fort peu les convenances sociales. Tout en frottant son beau petit cul, Alice se disait que, effectivement, Mélinda risquait d’avoir un peu de mal avec elle... Mais ça ne la regardait pas vraiment, après tout. Initialement, elle avait voulu cette neko, car elle était très belle, mais la remettre à Mélinda paraissait être un meilleur choix tactique. Elle faisait confiance à la vampire pour savoir s’occuper de Rinka. Pour l’heure, la Princesse prenait son pied, et c’était tout ce dont elle avait besoin. Il fallait bien admettre qu’elle avait bien changé, de ce point de vue, en quelques années. Elle était passée du stade où le sexe n’évoquait rien d’autre pour elle que de légères contractions nécessaires à enfanter la vie au stade où on réalise que le sexe est quelque chose de délicieux, s’il est consenti, et fait avec de bonnes personnes. Sa virginité avait été perdue de manière forcée par une femme, et elle avait plutôt bien apprécié ça... Elle n’était pour autant pas devenue une perverse, dans la mesure où le Château n’était pas devenu un baisodrome malsain, et où sa réputation de femme généreuse et altruiste était toujours bonne. En revanche, elle faisait l’amour de manière assez fréquente, surtout avec des femmes. Elle n’avait rien contre le contact masculin, mais elle connaissait surtout des femmes, et, puisque l’influence tekhane se répandait partout, et leur permettait, à certaines, d’être membrée, elle aurait eu tort de se priver.
Elle glissa sans difficulté un doigt dans le fessier de Rinka, dans son fondement, sentant cette dernière remuer délicatement son superbe cul pour accompagner son doigt, pour qu’il s’enfonce plus profondément. Oui, elle devait bien l’admettre, la Princesse adorait ce qui avait trait à la sodomie. Comment l’expliquer ? Elle ne le pouvait pas, car ce n’était pas quelque chose logique, mais un plaisir instinctif, répondant à des désirs ancestraux. Elle aimait voir de belles fesses, les caresser, les embrasser, et les doigter. L’inverse, naturellement, était vrai. Quand elle avait un rapport impliquant un phallus, Alice se faisait presque toujours sodomiser. La douleur était jouissive, lui rappelant qu’elle avait de belles tendances masochistes, et qu’elle adorait se faire prendre comme une chienne. Il fallait sans doute y voir l’expression d’un désir inconscient de ne pas être traitée comme une femme parfaite, une créature magique se trouvant sur un piédestal, une Princesse éclatante de beauté et de pureté, mais comme une femme, une simple femme, avec ses défauts, ses qualités, et ses plaisirs.
Rinka s’acharnait encore sur les seins de la Princesse, les recouvrant de salive, la faisant gémir, tandis que l’une de ses queues, pour la soulager, s’était faufilée sous sa culotte pour la pénétrer. C’était une sensation divine, jouissive au possible, plaçant Alice dans une situation d’extase. Elle s’étalait sur le lit, serrant avec une main les longs et beaux cheveux de Rinka, enfonçant de plus en plus son majeur. Oui, c’était bon, c’était bon ! Elle serait bien restée ainsi des heures, à sentir la petite neko sucer son sein et la pénétrer, à l’entendre l’insulter, quand, soudain, Rinka se redressa subitement.
« Hein ? C'est quoi ce bruit ? Quelqu'un arrive ? » s’exclama-t-elle, interrompant la douce rêverie de la Princesse de Sylvandell.
Ce bruit ? Quel bruit ? Alice n’avait rien entendu ! Elle se redressa légèrement, les joues rouges. Les nekos avaient de grandes oreilles, et entendaient mieux que les humains. Et puis, quand on gémissait, il était difficile d’entendre quoi que ce soit... Mais elle entendait distinctement des bruits de pas se rapprocher. Un garde ? Mélinda ? Une servante ? Elle l’ignorait. Ce ne serait pas la première fois qu’une servante la verrait dans une position gênante, certes, mais, pour autant, ce n’était pas une position que la Princesse préférait le plus.
Alice n’arrivait pas à se relever, Rinka étant assise sur elle, et elle posa ses mains sur les hanches de la neko, tandis que les bruits de pas se rapprochaient. Alice entreprit alors de se redresser, et amena la bouche de Rinka contre ses seins, tout en la tenant contre elle. La porte s’ouvrit alors, et, sans surprise, Mélinda entra, en leur souriant.
« Ne vous dérangez pas pour moi, mes chéries... » lâcha-t-elle, en refermant la porte.
Alice rougit légèrement, et embrassa Rinka sur les cheveux, tout en continuant à frotter l’une de ses fesses, la pressant tendrement.
« Je dois admettre que tu es assez douée, ma petite pute... » glissa alors Alice, avec un léger sourire.
Rinka n’était pas la seule à savoir insulter les autres.
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Voyant que Mélinda est tout de suite repartie, Rin retourne s'occuper tranquillement de la Princesse qui se montre de plus en plus perverse. Elle décide alors de laisser la Princesse la dominer, ce qui est très rare de sa part. Dès qu'elle a entendu le mot "pute" elle a prit ça comme une sorte d'ordre qui l'oblige à prendre un position très soumise, comme une vraie pute. Elle s'allonge alors sur le lit, son joli petit cul face à la belle Princesse, le dandinant sensuellement.
Tu aimes ça, hein, les petites putes dans mon genre ? Et encore, t'as pas tout vu, ma mignonne, quand on m'insulte de la sorte, je deviens une vraie tigresse en chaleur, donc, surveille bien tes mots, poupée ♥
Sa queue se ballade toujours sous la culotte de la Princesse et semble s'enfoncer de plus belle dans son intimité, remuant comme un doigt ou un membre en faisant des va et vient.
Viens, ma belle, joue avec mon petit cul ♥
Elle lui offre son corps avec grand plaisir, et surtout, son petit cul si excitant prêt à se faire pénétrer par les doigts de fée de la Princesse.
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La maladie sexuelle des insultes (Alice l’appelait comme ça, à défaut d’avoir trouvé un nom clinique approprié) sembla également opérer chez Rinka, qui, à la légère surprise de la Princesse, se mit... À la chauffer ! Elle s’écarta un peu, se dandinant sur le lit, s’y allongeant à moitié, tout en lui mettant en avant son beau petit fessier. La Princesse rougit légèrement, regardant brièvement leur invitée. Mélinda était assise sur un fauteuil à côté, un sourire amusé sur les lèvres, croisant les jambes, comme elle aimait si bien le faire. Alice sentit alors quelque chose frotter contre sa cuisse, et l’une des queues de Rinka retourna dans sa culotte. Alice gémit un peu, et soupira encore, quand la neko enfonça le bout de sa queue à l’intérieur. Un frisson la traversa. Ce que c’était bon ! Elle rouvrit alors les yeux, pour voir le beau petit cul de Rinka, qui remuait devant elle.
Dieu, que cette femme pouvait la tenter ! Alice se rapprocha alors, se penchant vers elle. Elle aurait pu continuer à la sodomiser, mais elle voulait aussi prendre son temps. Sentir cette queue en elle était curieux... C’était gros, mais très différent d’un sexe masculin classique... C’était terriblement doux, provoquant des frottements qui, en d’autres circonstances, auraient sans doute pu la faire rire... Mais, en ce moment, elle se sentait surtout excitée. La Princesse posa ses mains sur les fesses de Rinka, les frottant, les écartant l’une de l’autre, et approcha sa bouche, venant lécher sa croupe. Sa langue se faufila entre ses fesses, glissant sur cette peau sombre et chaude. Elle sentit le cul de Rinka remonter, et elle alla ensuite embrasser chacune de ses fesses, à l’extrémité, les léchant, sentant ce bout de chair arrondi s’enfoncer. Elle le mordilla même, tendrement, sans chercher à lui faire mal, puis retourna lécher sa croupe, son nez frottant contre son fondement.
« Haaaan... Qu’est-ce que je peux l’aimer, ton cul, ma belle... »
Maintenant qu’elle avait commencé, Alice ne comptait pas s’arrêter dans le rayon des insultes et des jurons. Elle glissa finalement ses pouces près de l’anus de Rinka, de son petit trou rose, qui était déjà légèrement dilaté, suite au passage du doigt de la Princesse. La sodomie, c’était répugnant. Jadis, elle aurait trouvé ça abject... Enfoncer une partie de son corps dans un orifice qui servait à l’extraction des déjections du corps... Beurk ! Et pourtant... Ce conduit était extrêmement étroit, ce qui faisait que le dilater était douloureux, très douloureux, mais en même temps... En même temps, c’était aussi énormément excitant. Elle n’aurait pas su l’expliquer, tout simplement. La Princesse se releva lentement, se redressant, finissant au-dessus de Rinka, puis glissa à nouveau un doigt dans son fondement, son majeur.
« Hum... C’est si bon... Je pourrais te faire ça pendant des heures, Rinka... »
Il fallait croire que Mélinda et sa passion de la sodomie avait fini par la contaminer. La vampire souriait légèrement en les regardant, et Alice remua son doigt, l’enfonçant, puis vint glisser un second doigt, sentant le fondement de Rinka s’écarter de plus en plus.
« Ça te plaît, hein ? Tu aimes sentir mes doigts s’enfoncer dans ton cul, comme si tu n’étais rien de plus qu’une salope, hum ?! »
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Si ça lui plait ? Oh que oui. Rin adore ça et n'hésite pas à le faire savoir à la Princesse.
Han ouais, j'adore ça. Vas-y, ma belle, continue pendant des heures, si tu veux, mais entre nous...
Elle enfonce sa queue de manière plus violente entre les jambes de la Princesse, commençant à remuer continuellement comme un sexe d'homme.
Je doute que tu tienne assez longtemps sous l'emprise de ma queue pour pouvoir continuer à me sodomiser. Et surtout, fais gaffe, ma queue et très vicieuse, mais je suis sure que tu dois déjà avoir envie qu'elle s'occupe de toi sans arrêt.
La féline lui offre toujours ses fesses, les écartant un peu plus d'elle-même pour que les doigts puissent se balader plus librement et ainsi sodomiser la nekomata comme il se doit, comme elle aime si bien.
Dis-moi, ma mignonne aux doigté divin...Qu'est-ce que je risque si je t'appelle "salope" ou un autre mot de ce genre, hmm ? Tu vas me punir ?
La provoquant, comme toujours, Rin s'occupe d'aller lécher le cou de la Princesse, le mordillant parfois, puis elle s'occupe de son oreille droite, la mordillant légèrement.
Ma petite salope...Tu crois que la sorcière qui nous regarde est excitée ?
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Alice poussa un petit cri quand elle sentit la queue de Rinka s’enfoncer un peu plus fort en elle. Mine de rien, la Princesse était sûre que ce n’était pas la première fois que Rinka utilisait ses queues ainsi. Rinka la narguait, lui affirmait qu’Alice ne tiendrait pas. La petite blonde ne répondit pas. Il ne fallait pas la sous-estimer : elle était bien plus résistante qu’elle en avait l’air. Ceci dit, on l’avait toujours sous-estimé. Son père, ses instructeurs... Quand elle n’était qu’un bébé, on disait que chaque hiver qu’elle vivrait serait le dernier. Elle n’avait jamais réussi à être une bonne guerrière, ni une bonne archère, et encore moins une magicienne. On l’avait toujours pris pour quelqu’un de faible, de fragile, et, à force de le dire, elle avait fini par le croire... Mais, dans le sexe, c’était son véritable moi qui se réveillait, ce qu’elle était vraiment... Une femme endurante et forte, qui ne se fatiguait pas aussi facilement. Son doigt remuait dans le fondement de Rinka, s’enfonçant aussi loin que possible. Ses parois internes s’écartaient, ce qui facilitait beaucoup les mouvements de ses doigts.
Les joues rouges, la Princesse gémissait et mouillait. Rinka s’était retournée, et se blottissait contre le corps d’Alice, lui mordillant le cou, la léchant, tout en lui demandant si elle serait punie en l’insultant. Alice se mit à sourire. Vu le ton employé, la punition ne serait sans doute pas refusée par Rinka, mais la Princesse connaissait le droit... Et, au sein des esclavagistes, il existait une règle fondamentale : seul l’esclavagiste avait sur sa chose le monopole de la violence.
« Oh non, ma belle, je ne suis pas ta Maîtresse... Tu n’as rien à craindre de moi... »
En revanche, s’agissant de Mélinda... Là, Alice ne pouvait établir aucune garantie. Rinka l’appela alors « salope », faisant rougir Alice, qui se mordilla les lèvres. L’une de ses mains caressait les cheveux de Rinka, et l’autre continuait à explorer ses fesses. En entendant parler d’elle, la « sorcière » se redressa lentement, faisant craquer ses doigts, et s’avança vers les deux femmes. Alice la connaissait suffisamment pour savoir que Mélinda avait du mal à se contenter d’un rôle passif. Ce n’était pas son genre, tout simplement, et elle comptait bien le prouver. Alice poussa alors un petit cri de plaisir, en sentant les dents de Rinka lui titiller l’oreille.
« Aaaah... Petite goinfre ! »
Alice frémissait, et Mélinda les rejoignit alors, posant ses mains sur les épaules de RInka, avant de les glisser, pour aller lui donner une fessée.
« Mais moi, petite insolente, je peux te punir... Alors, je suis une sorcière, hum ? Parce que j’ai des griffes ? Mais, dans ce cas, ma petite dévergondée, toi aussi, tu en es une... Car les félines comme toi sont connues pour avoir de belles griffes rétractiles... »
Mélinda rejoignait la fête, et écarta ses mains, afin de se déshabiller. D’un coup, elle ôta le lacet noir autour de ses seins, ce qui eut pour effet de faire tomber toute sa robe, la mettant toute nue, à l’exception d’une culotte verte qui recouvrait encore son intimité. Tandis qu’Alice doigtait le fondement de Rinka, Mélinda, elle, posa ses deux mains sur les fesses de la neko, et se mit à les presser, tout en lui mordillant la peau.
« Ceci dit, ma perversion est digne de celle des sorcières... »
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En voilà une surprise, Mélinda qui se joint aux deux amantes, que demander de plus ? Surtout qu'elle a l'air drôlement experte, même si elle ne fait que malaxer les fesses de Rin tout en les mordillant. Ah ça, pour mordre, c'est une experte, forcément, c'est une vampire, et Rin ne déteste pas ça. Au contraire, elle adore qu'on la morde, que ce soit aux fesses ou a la nuque, cette petite nekomata adore vraiment beaucoup les morsures, mais ça, Mélinda le saura en temps voulu. Pour le moment, la belle féline se contente de garder les doigts bien profonds dans ses fesses, les sentant remuer, elle gémit de plus belle, de manière plus coquine alors que sa langue va parcourir le cou de la Princesse, touchant à chaque fois les zones les plus érogènes de son cou, tapotant dessus avec sa langue.
Sentant alors une autre présence se joindre à elles, celle de Mélinda, Rin ne semble pas si contente que ça, jusqu'à ce que cette dernière lui donne une fessée, ce qui la fait gémir d'envie. Et ce n'est qu'un début jusqu'a ce qu'elle sente un très délicieux massage de fesses, elle adore qu'on s'occupe de ses fesses et là, elle est servie.
Han ~ Tu te trompes, Sorcière, les nekos ont des griffes, pas moi. Moi, je suis une nekomata, et sous cette délicieuse forme que tu vois, je n'ai que les queues et les oreilles félines, tout le reste c'est purement humain...Ou presque, je n'ai donc aucune griffe sous cette forme, pigé ?
En effet, la nekomata n'est pas totalement humaine sous cette forme, même si elel ressemble à un être humain, son corps n'en reste pas moins rempli d'entités plus ou moins malfaisantes, ce que les gens appellent plus communément "fantômes" ou "esprit fantomatique". Rin en est remplie et ne peux pas vivre sens, d'ailleurs, ses pouvoirs sont basés sur ça, ces fameux esprits qui lui obéissent fidèlement. Alors qu'elle continue de se faire plaisir avec les deux femmes, Rin ne semble pas remarquer que le collier continue de saper ses pouvoirs, et ses pouvoirs sont basés des esprits et des âmes défuntes, sans ses esprits, Rin ne vit pas, et le collier et en train de les lui voler, petit à petit, comme une sangsue qui se délecte du sang de sa victime, sauf que là, la victime ne sent rien, bien trop concentrée par le moment présent. Mais on peut voir une étrange lueur mauve autour du collier alors que celui-ci "aspire" la vie de la nekomata.
Ta perversion, hein ? J'adore les femmes perverses. Montre-moi ce que tu vaux, toi qui ose prétendre au titre de ma maîtresse...
Même si le collier est relativement petit, on peut entendre un petit bruit de succion, ce qui le trahi davatage.
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Alice et Mélinda autour d’elle, voilà une petite neko qui avait toutes les raisons du monde d’être comblée ! Alice, en un sens, l’envierait presque. Hey, c’est qu’elle était quand même bien lotie, la petite ! Deux belles créatures l’entouraient, et la Princesse avait clairement senti le soupir de plaisir s’échapper du corps de Rinka quand Mélinda l’avait giflé. C’était une petite perverse, cette neko... Qui expliqua alors à Mélinda ne pas être une neko, mais une nekomata. Une nuance subtile, selon Alice... Elle ignorait ce qu’était une nekomata... Peut-être une neko qui pouvait se transformer en chat, ou l’inverse. Après tout, elle avait bel et bien vu Rinka se transformer en chaton, et, pourtant, Alice savait que les nekos n’avaient pas instinctivement la capacité de se transformer ainsi. Elle expliquait n’avoir aucune griffe, et Mélinda sourit.
« Je te considérerais comme une neko tant que tu me considéreras comme une sorcière, petite insolente », annonça Mélinda.
Son ton ne souffrait pas vraiment de contestation, mais elle était disposée à jouer avec elle. Rinka était belle, très attirante, et il fallait être aveugle pour ne pas le voir. Mélinda pencha la tête sur le côté, faisant virevolter ses beaux cheveux. Alice, elle, n’entendit pas le bruit de succion du collier, mais Mélinda, avec son ouïe fine, le perçut, mais, sur le coup, n’y accorda pas une grande importance. Elle n’était pas une magicienne, loin de là, et ne savait donc pas que ce collier était enchanté. Comment aurait-elle pu le deviner, après tout ? Pour l’heure, Mélinda était surtout occupée par cette belle petite femme, cette neko sauvage et indomptable. Elle rapprocha ses lèvres du cou de la belle, embrassant sa peau, puis ses omoplates, léchant cette peau lisse et douce.
Alice, bien sûr, continuait à doigter Rinka, enfonçant ses deux doigts le plus loin possible. C’était presque un boulevard qu’il y avait sous ses doigts, à force d’y aventurer sa main. Rinka était vraiment une excellente partenaire. Lui faire l’amour était un régal constant.
« Et, du reste, je ne prétends à aucun titre... Je suis ta Maîtresse, garde-toi de ne pas l’oublier, insolente créature... »
Une main ferme claqua sur le fessier de la femme, comme pour la rappeler à l’ordre. Mélinda la gifla un peu plus fort, puis aventura l’une de ses mains entre Alice et Rinka, pressant le sein de la nekomata, tirant sur son téton, et approcha sa bouche de son cou. Elle souffla sur sa peau, tendrement, et entreprit alors de la mordre, enfonçant ses crocs dans son cou, et commença à aspirer le sang de cette dernière, lentement, avec tendresse... Mélinda n’avait pas soif, elle agissait purement par gourmandise, et en profitait aussi un peu pour griffer l’un de ses seins, ainsi que ses fesses, laissant des marques rouges.
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Comblée, la nekomata, se dandine de plaisir en sentant les doigts d'Alice, l'explorer continuellement, alors que la vampire semble prendre un malin plaisir à griffer sa peau, la claquer aussi, ce qui fait gémir la féline, d'ailleurs. Très excitée, elle va embrasser sauvagement la Princesse pendant que cette dernière lui pénètre l'anus en y prenant beaucoup de plaisir. Visiblement, la vampire n'aime pas qu'on lui tienne tête, mais avec Rin, elle sera servie. Cette nekomata est une terranide incroyablement belle et sexy, mais elle n'en reste pas moins une espèce animale très rare et se doit d'être à la hauteur en ne montrant aucun signe de soumission envers toute personne qui souhaite faire d'elle son esclave. D'ailleurs, ça, elle compte bien le faire comprendre à la vampire.
Le jour où tu arriveras à me faire obéir juste avec les mots, tu pourras te considérer comme telle, en attendant, tu n'es rien de plus qu'une jolie gonzesse aux doigts de sorcière, à mes yeux. Quant à toi, petite Princesse coquine, ce moment qu'on passe ensemble ne sera pas le dernier. Un de ces jours, je reviendrais te voir et on passera une nuit très chaude, rien que toi et moi, ma jolie.
Elle a l'air bien sure d'elle et semble oublier que seule la vampire décidera des faits et gestes de la nekomata, mais ça, la féline ne s'en soucie guerre pour le moment. Lorsqu'elle sent le souffle de la vampire parcourir sa nuque, elle frissonne, offrant instinctivement son petit cou magnifique aux crocs de la demoiselle vampirique. Mais alors que la la vampire commence à la mordre, le collier semble réagir et commence à étouffer la nekomata qui est en train de tousser continuellement, perdant peu à peu sa respiration. Le collier devient comme une sorte d'aimant, il se colle à la gorge de la nekomata, comme une main qui cherche à l'étrangler.
Saloperie de collier !! *koff koff koff*
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Rinka était une nekomata particulièrement rebelle. Alice put encore le noter dans la manière dont elle répliquait à Mélinda. La vampire n’avait pas spécialement l’habitude qu’on lui parle ainsi, mais, pour l’heure, le sang l’appelait trop pour qu’elle la punisse. Il y aurait toutefois fort à parier que, malgré son beau minois, Rinka allait avoir du mal avec Mélinda, qui ne supportait pas qu’on conteste son autorité, surtout quand on faisait partie de « ses » filles. Rinka était une rebelle, probablement prétentieuse, vu le refus qu’elle faisait de l’assimiler à une simple « neko ». Elle était dotée de pouvoirs magiques, en ce sens qu’elle pouvait se transformer en chat... À moins qu’elle ne soit, à l’origine, une chatte, qui avait la faculté de se transformer en humain... Alice en doutait toutefois, car, pour utiliser la magie, il fallait une intelligence développée. Cependant, il existait des animaux polymorphes, mais Rinka faisait bien plus humaine qu’animale.
Mélinda ne répondit pas à la provocation de Rinka, et enfonça ses dents, en aspirant son sang. Alice, de son côté, restait en retrait. Mélinda adorait boire le sang des autres, et elle avait déjà goûté à plusieurs reprises à celui de la Princesse. Le sang agissait de manière curieuse sur ses hormones, les stimulant, accroissant le rythme cardiaque et les désirs sexuels de la vampire. Mélinda n’allait pas s’arrêter, et on pouvait entendre ses soupirs, et le bruit de ses mastications. Cependant, Alice remarqua de curieuses sensations. Le collier de Rinka semblait s’animer, comme si la morsure ne lui plaisait pas, et il se resserra sur la gorge de la nekomata, qui ne tarda pas à gémir en se tortillant, le collier serrant fort, trop fort pour elle.
La vampire, occupée à boire, ne le remarquait pas, et la Princesse se mordilla les lèvres, inquiète. Elle se rapprocha rapidement, en voyant que Rinka toussait, sa langue sortant de sa bouche, sans qu’elle n’arrive à trouver de l’air.
« Mélinda... Mélinda ! »
Elle posa l’une de ses mains sur l’épaule de la vampire qui poussa un grognement. Alice connaissait suffisamment les vampires pour savoir que déranger l’un d’entre eux pendant qu’il était en train de manger, de boire du sang, était dangereux. Le sang les rendait dingues, c’était la caractéristique centrale du vampire. Sous l’effet du sang, il ne se contrôlait pas. Alice raffermit sa main sur l’épaule de Mélinda, et tira dessus. Elle grogna. Arracher d’un coup la succion présentait le risque d’endommager Rinka, mais la pauvre petite semblait avoir bien du mal à respirer.
« Mélinda, Rinka s’étouffe ! »
Elle tira à nouveau, et Mélinda se redressa. Des gerbes de sang s’échappèrent de ses lèvres écarlates et de ses canines rouges, alors qu’elle poussa un grognement. Elle regarda ensuite Alice avec une lueur assassine, toutes ses griffes déployées, ses pupilles virant à un rouge sang, sous l’effet de cette hémoglobine qui remontait dans son corps, de la hausse d’adrénaline... Alice blêmit en rougissant, ayant tout d’un coup peur que Mélinda ne lui saute dessus... Mais les beaux yeux d’émeraude de la vampire revinrent, et ses canines se rétractèrent.
Soutenue par ses mains tendues, au-dessus de Rinka, Mélinda pencha la tête vers cette dernière, observant ce collier.
« Je crois qu’il va falloir te changer de collier, ma jolie... »
Alice ne disait rien. Nerveusement, son cœur battait la chamade. Elle avait eu très peur, autant pour Rinka que pour elle. Sous le sang, un vampire pouvait facilement devenir une bête sauvage, en perdant toutes ses inhibitions. C’était un spectacle auquel elle ne tenait pas à assister en personne.
Pas du tout.
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Sans attendre, Rin retire ce collier et le jette non loin de la vampire avant de le voir réduit en cendres. La belle nekomata recule jusqu'à être collée à un mur, pensant que les deux femmes voulaient la tuer en l'étouffant avec ce collier, et il faut dire que ça aurait pu fonctionner.
J'veux pas de collier !! Vous voulez ma mort ?! J'suis sure que c'est un coup monté de ta part, la sorcière !!
Elle récupère ses vêtements puis se rhabille en vitesse, se dirigeant vers la porte d'entrée de la chambre de la Princesse, tapant sur cette dernière pour qu'on lui ouvre.
J'veux sortir...Ya quelqu'un derrière cette porte ?!! Faites-moi sortir !!
Elle soupire puis reprend sa forme animale pour aller bouder sur le lit de la Princesse, affalée dessus.
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Même en ayant perdu du sang, Rinka semblait encore nerveuse, et la perspective d’avoir un collier autour du cou sembla la paniquer. Elle retira celui qu’elle portait, s’écartant des deux femmes, avant de le jeter au sol, et d’essayer de sortir. La porte était cependant fermée, et elle s’égosilla sans raison, tandis que la Princesse l’observait en clignant des yeux. Rinka était vraiment aussi belle qu’obstinée... Mélinda risquait d’avoir bien du mal avec elle, car elle n’en faisait qu’à sa tête, et avait continué à la traiter de « sorcière ». Rinka finit par soupirer, puis se transforma à nouveau en chatte noire, et alla à l’opposé du lit d’Alice, qui était médusée, se roulant en boule en leur montrant son dos.
*Je n’y comprends plus rien...*
Elle n’avait pas envie de voir Mélinda s’énerver, mais, à sa surprise, la belle vampire était en train de sourire. Pourquoi diable souriait-elle ? La nekomata refusait de lui obéir, il n’y avait rien de drôle là-dedans ! Que préparait-elle ? Alice était intriguée, et elle n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit que Mélinda s’avança alors, à quatre pattes, rejoignant l’autre partie du lit, et embrassa le cou de Rinka, se rapprochant d’elle, avant de lui parler :
« Allons, allons, Rinka... Tu crois donc toujours que je suis une sorcière, hum ? Pourtant, ce n’est pas moi qui me transforme en chatte... Mais, si tu es tant obsédée par les sorcières, peut-être pourrais-je t’en présenter de vraies... Tu sais qu’elles adorent les beaux petits chatons comme toi ? »
Elle s’était allongée langoureusement sur le lit, et continuait à la caresser, tout en remuant un peu son corps Ses jambes se rapprochaient d’Alice, qui pouvaient voir le fessier de Mélinda. Elle savait que le fondement de Mélinda était un endroit très exploré de son corps, et que sodomiser la vampire était un fantasme que beaucoup des clients de son harem partageaient. Et Alice, en le voyant, devait bien admettre que les fesses de Mélinda étaient vraiment très belles. Ni trop grosses, ni trop plates, elles étaient magnifiquement ondulées, et elle avait très envie de les presser, de fourrer son nez dans sa croupe, de se frotter contre cette partie douce, chaude, et légèrement arrondie, de son corps.
Mélinda continuait à câliner Rinka, et à parler, d’une voix douce, légèrement suave :
« Tu crois que je veux te mettre un collier pour t’humilier, pour te rabaisser ? Tu es très belle, Rinka, et je ne le dis pas pour te flatter, ton corps est magnifique. Tu es au moins aussi belle que moi, mais tu n’es pas une vampire... Dans ce monde de loups, tu es une proie facile pour beaucoup de gens. Tu as de la chance d’être tombée sur moi et Alice, mais aurais-tu aimé finir avec un maître obèse et laid ? Avec un seigneur de guerre qui t’aurait offert en pâture à ses hommes ? Avec moi, tu bénéficies de la chance unique de pouvoir vivre dans un très beau palais, entouré de belles femmes, qui se plieront en quatre devant ta beauté. Tu seras la coqueluche, prisée et adorée, on se battra pour pouvoir te faire des câlins... »
C’était un discours séduisant, et réaliste. Alice savait que Mélinda était vraiment loin d’être la pire esclavagiste qui soit. Certes, elle était cruelle, mais elle était également très aimante avec ses protégées. Alice voyait où elle voulait en venir. Elle embrassa la jambe de Mélinda, la caressant, avant de progressivement remonter, se mettant à côté de Rinka, pour aller, à son tour, la câliner, enfermant la nekomata dans la plus redoutable des prisons : un cocon de douceur et de volupté, leurs doigts glissant sur sa fourrure, grattant ses poils, frottant les zones sensibles, le long de la colonne vertébrale.
« Un collier a pour unique fonction de te protéger, Rinka. En le portant, tu portes mes couleurs... Et tu bénéficies de ma protection. Ceux qui veulent te faire du mal doivent ainsi en répondre de moi. Tu comprends ? Tu deviens ma protégée, tu bénéficies de mon hospitalité, de mon amour, de ma réputation, de ma protection... Tu n’auras pas à chasser dans des forêts sauvages, à abîmer ton joli corps... Tu dormiras dans de grands lits soyeux, et on te fera des câlins tout le temps. Crois-moi, mes petites protégées t’adoreront, Rinka ! »
Ça, Alice voulait bien le croire, car la nekomata était vraiment très belle...
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Rin écoute le long discours de la vampire qu'elle considère toujours comme une sorcière. Sa seule réaction en tant qu'animale est de remuer sa double queue de gauche à droite, d'un air de dire "cause toujours tu m'intéresses". Néanmoins, cela ne la rend pas si indifférente, elle reprend même sa forme hybride pour rester dans les bras d'Alice et aux cotés de Mélinda, sans rien dire. Après tout, que dire quand on est si bien entouré, avec une si jolie vue sur les deux corps qui s'offrent à elle. Sa première réaction, en tant qu'hybride, est d'aller embrasser Alice se tortillant contre elle.
J'espère que notre petit jeu t'a plu, Princesse, et j'espère aussi qu'on remettra, ça...P'tite coquine.
Elle lui donne une petite fessée avec sa queue puis se place de manière à laisser venir Mélinda près d'elle, lui répondant enfin.
Que de belles paroles...Venant d'une sorcière, ça m'étonne. je suis sure que ce que tu m'as dit est vrai, que tu n'es pas du genre à maltraiter tes esclaves. Mais sache que je ne me laisserais pas faire. Je ne suis pas ta chose, fous-toi ça dans le crâne, ma belle. Si tu veux faire de moi ton esclave, va falloir être patiente et surtout très endurante.
Je suis très perverse, comme t'as pu le voir. J'exige certaines choses, en tant que future membre de ton harem.
En priorité, étant une vraie folle de sexe, tu devras assouvir toutes mes envies, sachant que je ne peux pas m'empêcher de ressentir un besoin de faire l'amour au moins une fois par jour, mais vu ta taille de guêpe, je doute que tu puisses supporter toutes mes envies, va donc falloir que tu bosses là-dessus.
Ensuite, je refuse de porter un collier tant que je ne l'aurais pas décidé, j'suis pas ta chose, pigé ?
Et enfin, je veux avoir la même chambre que toi. Ainsi, j'pourrais dormir avec toi, car je n 'aime pas dormir seule.
Si mes trois conditions ne te plaisent pas, tant pis pour toi, va falloir que tu les respectes si tu veux que je te respecte au moins un minimum.
Elle se lève du lit et attend devant la porte d'entrée.
Allez. On y va. J'veux rentrer dans mon nouveau chez moi.
Elle espère pouvoir donner des ordres à Mélinda comme ça, tout le temps, mais ça ne se passera pas toujours ainsi, c'est certain, mais Rin est très têtue.
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Allongée sur le lit, Alice était un peu perdue. La belle petite Rinka, la « neko » à deux queues, avait repris sa forme humanoïde, se tortillant entre les bras confortables de la Princesse, semblant totalement se moquer du monologue de Mélinda. Ce n’était pas très respectueux, et Alice en rougissait légèrement, comprenant que Rinka était visiblement aussi belle que rebelle. Elle finit par répondre à Mélinda, l’appelant encore « sorcière », et Alice comprit que la patience de son amie était mise à rude épreuve. Alice était, en réalité, assez amusée par la situation. Il était rare qu’elle voit les esclaves de Mélinda lui tenir tête, et Rinka se releva, s’approchant de la porte, en décidant qu’il était temps d’y aller. Mélinda avait les bras croisés, debout à côté du lit, et pencha la tête sur le côté. Mélinda décroisa lentement les bras, regarda à droite et à gauche, puis finit par parler :
« Tu n’es pas ma chose, tu dis ? Pourtant, si je décide de t’écorcher vive, personne ne viendra t’aider. S’il me prend l’envie de te donner en pâture à plusieurs soldats ashnardiens rentrant de campagne, personne ne viendrait te soutenir quand ils t’auront tellement labouré ta petite chatte que tu ne seras plus jamais capable d’uriner sans avoir mal. Tu es à moi, petite peste arrogante, je fais de toi ce que je veux. Ne crois pas que c’est parce que je suis petite, belle et agréable, que je ne suis pas ta Maîtresse. »
Mélinda s’avança alors à une vitesse surhumaine vers Rinka, et la saisit à la gorge, enfonçant ses griffes dans sa gorge, avant de la plaquer contre la porte. Alice cligna des yeux. Elle n’avait rien vu venir, et elle déglutit en voyant les canines de Mélinda pointer hors de ses lèvres. Sa copine était en pétard, et Alice hésitait à intervenir. D’un côté, elle n’avait théoriquement le droit de rien faire, car Rinka était l’esclave de Mélinda. Cette dernière avait donc le droit de la punir. D’un autre côté, la Princesse n’était pas une défenseuse de la violence, et estimait que l’esclavage ne devait pas se résumer qu’à un rapport de force. Mélinda aurait tout à fait pu sévèrement battre Rinka pour son insolence. Au lieu de ça, elle était en train de l’étrangler.
« Du sexe, tu en auras, rassure-toi pour ça... Tant que tu sauras où est ta place, je te baiserais fortement, et, si ce n’est pas moi, ce sera mes autres esclaves, qui adoreront t’avoir dans leurs lits. Être dans mon lit n’est pas un droit, c’est une récompense dévolue aux esclaves les plus obéissantes. »
Elle continuait à serrer, et relâcha alors Rinka, qui tomba sur le sol. Mélinda leva alors sa main, et l’abattit sur les fesses de Rinka, la giflant violemment, faisant sursauter le corps de Rinka. Les mains de Mélinda se posèrent alors sur la croupe de Rinka, et elle n’eut qu’à se concentrer pour faire venir son sexe masculin. La vampire était hermaphrodite, un héritage de la période où son père l’avait vendu comme esclave sexuel auprès d’autres Ashnardiens influents.
« Pour l’heure, petite insolente, je crois que c’est plutôt à toi de voir si tu peux endurer ma virilité ! »
Mélinda avait entre les bras une force herculéenne, et maintenait la croupe de Rinka. Elle posa alors l’une de ses mains sur son membre, et le glissa dans le fondement de Rinka, perforant sa porte arrière, giflant à nouveau son postérieur.
« Je t’apprendrais le respect, insolente ! »
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Rin est en effet incroyablement têtue, c'est d'ailleurs le cas de tous les nekomata, qui sont avant tout des animaux, avant de pouvoir devenir des hybrides, ayant en plus des pouvoirs surnaturels qui leur sont propres.
Dans le cas présent, Rin se retrouve dans une situation bien problématique. D'un coté, elle doit tenir tête à sa prétendue "maîtresse" et d'un autre coté, elle doit faire face à la force monstrueuse de cette même personne. Sentant les griffes dans son cou, elle réagit par pur réflexe se débattant, comme tout le monde ferait. Mais elle ne se contentera pas que de ça. N'ayant plus son collier, elle peut profiter d'une partie de ses pouvoirs, avec une certaine restriction, cela ne va sans dire.
Lâche-moi !! Sale sorcière !!
N'ayant qu'une très faible constitution physique en raison de son poids plume, il serait inutile de tenter une attaque physique sur la vampire. Elle décide donc d'employer la méthode la plus simple la plus efficace, sur le moment. C'est alors qu'elle gémit de surprise en sentant quelque chose qu'elle n'avait pas senti depuis qu'elle connaissait son tout premier maître, son ancien maître qui aujourd'hui est décédé, tué de ses propres mains, en quelque sorte. Elle avait toujours adoré se faire prendre par le membre de son maître. Pour elle, c'était sa propriété, sa sucrerie, sa récompense, son passe-temps quotidien, personne d'autre n'avait le droit d'y toucher.
Lâche-moi, j'tai dit !!
C'est alors qu'elle se fait pénétrer le cul d'un coup sec, le membre rentrant tout seul, comme dans du beurre, après tout, Rin avait l'habitude de se faire sodomiser avec beaucoup de force lors de ses ébats avec son maître, du coup, elle avait l'habitude. Mais là, ce fut l'effet de surprise total, depuis que son maître est mort, elle a été dégouté des sexes d'homme et les trouve presque répugnant.
Haaan !! Sale pute !! Retire ça tout de suite !!
Elle bouge ses fesses pour tenter de faire retirer le membre. Puis, elle tente d'utiliser ses esprits fantomatique pour repousser Mélinda avec beaucoup de force, assez de force pour la faire propulser jusqu'au lit où se trouve Alice. C'est le seul pouvoir dont elle peut profiter à l'heure actuelle, vu que l'anneau a considérablement vidé son énergie. Le point fort de son pouvoir, c'est qu'il ne consomme pas d'énergie. Tant que Rin est en vie, ses esprits follets le seront aussi, en plus d'être invisible à l'oeil nu.
Ne me touche jamais avec ton sexe d'homme, espèce de putain !! Tu peux me faire tout ce que tu veux pour me donner du plaisir, mais pas ça !! Et je te répète que je ne suis pas ta chose !!
Elle envoie ses esprits se fusionner pour former des mains qui étrangle avec beaucoup de force, la vampire à la force herculéenne.
Ne m'oblige pas à faire ça. Tu es très belle, très attirante et plutôt bien roulée. Tu as tout ce qu'il faut pour me plaire. Je te demande juste une chose...N'utilise pas ce gros sexe sur moi...En dehors de ça, tu peux me faire l'amour à l'infini, si ça te chante, jamais je ne refuserais, sois-en sure. Ce n'est pas un ordre que j'te donne, mais plutôt un conseil d'amie...Qui sait, si tu parviens à ne pas être violente avec moi, je pourrais peut-être consentir à te respecter en tant qu'esclave...
Elle lâche l'emprise sur le cou de Mélinda et baisse la tête, sachant bien qu'elle va se prendre un très gros savon.
Maintenant, fais ce que t'as à faire...
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Dire que la situation était tendue relèverait presque, en l’état actuel des choses, d’un doux euphémisme. La Princesse assistait à un viol, mais Rinka ne se laissait pas faire, et la Princesse craignait de devoir agir. Mélinda avait beau être une esclavagiste intransigeante, elle restait tout de même l’une de ses amies, une femme qui l’hébergeait volontiers sur Terre quand Alice s’y rendait en touriste, mais aussi la partenaire commerciale privilégiée de Sylvandell. Beaucoup des prisonniers de guerre sylvandins étaient fournis à Mélinda, qui se chargeait ainsi de les éduquer, de les dresser. En contrepartie, elle en renvoyait une partie, se faisant ainsi de beaux bénéfices, tandis que Sylvandell disposait par la suite de majordomes, d’ouvriers, et de fermiers. Rinka n’avait pas envie de se faire prendre par un phallus, ce qui laissait sous-entendre qu’elle avait probablement une quelconque aversion envers les hommes. La situation tendit toutefois à se compliquer quand la nekomata utilisa ses pouvoirs magiques pour agresser Mélinda. Alice fut tentée d’intervenir, mais, alors qu’elle se relevait, les joues légèrement rouges, la nekomata se calma, libérant sa Maîtresse, qui se mit à ventiler rapidement, récupérant de l’air.
Mélinda reprenait lentement son souffle, les griffes sorties, et Alice savait qu’elle était en colère. La Princesse se rapprocha d’elle, la tenant par les épaules.
« Mélinda, je t’en prie, calme-toi... »
La vampire grogna et siffla, et écarta Alice, qui se mit à rougir. Il ne lui appartenait pas d’intervenir dans cette histoire, elle le savait, mais Rinka avait commis un acte qui, pour être honnête, justifiait sa mise à mort. Il était rigoureusement interdit à un esclave de porter la main à son propriétaire, et ce de quelque manière que ce soit. Un tel acte justifiait pleinement qu’on tue son esclave. Or, Alice savait très bien que, sous l’effet de la colère, son amie avait du mal à se retenir, et pouvait tout à fait se ruer sur Rinka. Même son statut de Princesse ne pouvait l’en empêcher, car, Sylvandell appartenant à Ashnard, elle était assujettie aux lois ashnardiennes. Elle ne pouvait pas intervenir, mais Alice ne supportait pas la violence, surtout envers une créature qui avait l’air aussi adorable que Rinka (la beauté physique et les oreilles pointues influençaient fortement la Princesse).
Mélinda reprenait son souffle, griffes pointées, son sexe masculin toujours dressé, et regarda Rinka.
« Tu es vraiment une petite insolente, Rinka... Pleine de surprises, et avec ta petite fierté... »
Mélinda se déplaça vers ses vêtements, et ne tarda pas à sortir un coffret. C’était un petit écrin qu’elle ouvrit. Il y avait, à l’intérieur, un cristal en obsidienne, cet instrument prisé par les esclavagistes, car ils permettaient d’annuler les pouvoirs magiques environnants. Elle le sortit donc, et se rapprocha de Rinka.
« Comprends-le bien, Rinka, je ne suis pas une esclavagiste méchante. Je fais attention à mes petites choses. Tu verras par toi-même que je ne fais jamais usage excessif de violence... Mais, si jamais tu utilises encore ta magie sur moi, je te tuerai. »
La vampire avait dit ça sans aucune exagération, sans aucun geste théâtral. Elle énonçait tout simplement une vérité à Rinka, qui ressemblait à une règle. Mélinda se rapprocha, et attrapa Rinka par la gorge, la soulevant à nouveau.
« Ta liberté n’existe plus. Tu es à moi. Crois-moi, tu aurais pu avoir pire... Et, soit dit en passant, de nous deux, je crois bien que c’est toi la sorcière. »
La vampire relâcha Rinka, tandis que son chibre avait disparu. Elle l’avait rétracté, et récupéra son collier, le mettant autour du cou de Rinka, avant de l’attraper par là, faisant usage de sa force herculéenne. Alice comprit ce que Mélinda avait en tête quand elle alla s’asseoir dans le fauteuil, avec Rinka sur les genoux. Elle se mit alors, tout simplement, à la fesser, comme une mère fesserait sa fille. La main de Mélinda claqua sur le postérieur de Rinka, remontant et s’abaissant.
« Vilaine nekomate ! Vilaine, vilaine ! » la sermonnait Mélinda en la fessant.
Elle donnait de belles claques, n’y allant pas de main morte. Alice se surprit à rougir, enviant presque Rinka.
*J’ai vraiment des problèmes avec les belles femmes, moi...*
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Rin semble se gausser de ce que lui dit Mélinda, haussant les épaules telle la je m'enfoutiste qu'elle est. La priver de ses pouvoirs ne la fera pas changer de caractère pour autant. Au contraire, ça ne fera qu'empirer et Rin fera tout pour que Mélinda la supplie à genoux d'arrêter ses bêtises. Elle s'en va chercher ses vêtements pour se rhabiller, sans la moindre gêne d'exposer son corps nu devant les deux jolies femmes. Au passage, elle fait un très joli clin d'oeil à la Princesse qui semble un peu perdue. Rin s'approche de cette dernière et lui offre un doux baiser sur les lèvres, le genre de baiser qu'on ne peut pas oublier, surtout venant de Rin.
T'inquiètes, Princesse, on a pas fini ce qu'on commencé, mais, pour me rattraper, j'te promets de revenir te voir pour qu'on termine ça. D'ailleurs, t'es plutôt méga bonne, pour une fille de bonne famille.
Elle lui fait un clin d'oeil et lui fait une petite léchouille sur le visage. Pourtant, pendant ce temps, Mélinda est en train de lui parler, c'est dire à quel point elle s'en fiche.
C'est ça, cause toujours...Mais sache que, même si tu m'bloques mes pouvoirs, tu pourras jamais m'empêcher de faire ce pourquoi je suis encore de ce monde. Alors fais de moi ta chose, ou plutôt essaye, mais tu ne pourras pas m'empêcher certaines libertés. D'ailleurs, j'te préviens, si t'as envie que je devienne ta chose assez rapidement, t'as intêret à me faire des choses cochonnes tous les soirs, sinon tu peux faire une croix sur mon obéissance.
Mais quand elle se fait prendre par le cou, elle grimace sans pouvoir faire quoi que ce soit, se faisant déposer au lit, sur les jambes de Mélinda. Puis sa réaction change rapidement lorsqu'elle se fait fesser, elle en gémit de plaisir selon la force des fessées.
Han ouais, j'suis une très vilaine fille.
D'ailleurs, pour montrer qu'elle aime ça, elle se penche en avant pour montrer son derrière à Mélinda, afin qu'elle continue de lui donner des fessées. Puis elle regarde Mélinda comme une petite enfant, jouant le jeu de la petite esclave, ne serait-ce qu'un moment.
Quand est-ce qu'on rentre ?
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L’adaptation, c’était une qualité essentielle, selon Mélinda, quand on était un esclavagiste. Il n’y avait pas de schémas-types de dressage, tout dépendait des personnalités sur qui on peut tomber. Comme tous les esclavagistes, Mélinda avait cette croyance que toute personne pouvait être soumise à une autre, car elle partait du point de vue que l’être humain était naturellement enclin à la soumission, indépendamment du sexe, du race, du genre, ou de l’âge. Toute l’évolution moderne en témoignait, puisque l’Homme, au sens large du terme, était incapable de se projeter autrement que dans une société régulée, dirigée, fonctionnant par un principe de règles qu’il fallait respecter ou violer. Autrement dit, l’Homme ne pouvait se projeter comme un individu libre, mais uniquement comme quelqu’un qui, pour jouir de la liberté, devait restreindre cette dernière. C’était sur la base de ce raisonnement que Mélinda, à juste titre selon elle, en déduisait que l’esclavage ne pouvait pas disparaître, et que, même dans les sociétés prétendant l’avoir bannies, l’esclavage subsistait encore, sous des formes plus discrètes.
Rin Kaenbyou était une neko rare, précieuse, et très orgueilleuse. Mélinda ne la soumettrait pas en faisant preuve à son égard de cette douceur et de cette complice camaraderie dont elle faisait preuve avec d’autres esclaves. Rinka se moquait bien de ce que Mélinda lui disait, n’en faisant qu’à sa tête, et avait visiblement envie de coucher avec la Princesse... Une envie qui était d’ailleurs assez réciproque. En effet, Mélinda, qui pouvait sentir les ondulations sanguines des personnes l’entourant, sentit le pouls d’Alice battre sporadiquement quand Rin l’embrassa, un geste qui témoignait du plaisir qu’elle était en train de ressentir. Mélinda l’avait attrapé par le cou, et avait donc décidé de passer à la phase 2 de sa formation : montrer à cette petite insolente qu’elle n’était pas un branquignole. Sa main s’abattit donc fermement sur les fesses de Rin, et, avec un sourire sur les lèvres, Mélinda vit la ligne de faille de la femme, ce point de non-retour à partir duquel un esclavagiste savait qu’il avait trouvé le défaut dans la cuirasse de son futur esclave, le point faible à exploiter pour le soumettre.
Visiblement, Rinka aimait se faire battre, et il fallait dire que son délicieux cul était très tentant pour ça. Mélinda vit Rin remuer un peu son postérieur, afin de recevoir d’autres fessées, tout en tendant sa tête vers elle, avec un petit regard mielleux de soumise. La vampire sourit... Et gifla à nouveau Rin, plus fort, quand cette dernière lui posa une question.
« Silence, vilaine neko ! On ne pose des questions que quand je t’y autorise… Vilaine ! »
Et une nouvelle fessée. Les doigts de Mélinda résonnèrent dans la chambre, alors que sa main heurtait cette chair douce et arrondie. La vampire la gifla une troisième fois, puis donna de nouvelles fessées, faisant trembler ses doigts, alors que sa main continuait à s’abattre, ses mots rythmant les fessées que Rinka recevait :
« Vilaine, vilaine neko ! Vilaine fille mal éduquée ! Vilaine ! »
Après une petite dizaine de fessées, Mélinda s’arrêta, faisant craquer ses doigts. Les belles fesses de Rinka étaient bien rouges, et elle se tourna vers Alice. La Princesse était à côté, les joues cramoisies, indécise devant cette situation. De la main, Mélinda lui fit signe d’approcher. Alice déglutit faiblement, et entreprit de s’avancer, s’asseyant sur le lit, tandis que Mélinda conservait une main sur les fesses de Rinka, la tapotant tendrement.
« Nous partirons dès que tu nous auras faites jouir toutes les deux, Rinka... Moi et la Princesse. Ce me semble être une bonne manière de racheter ton insolence. »
Entre ses doigts, Mélinda pétrissait fermement et lentement l’une de ses fesses.
« Et, qui sait, peut-être bien que je consentirais à te faire plaisir, si tu montres que ta langue ne te sert pas à autre chose qu’à parler... »
Était-elle en train de remettre en doute les capacités sexuelles de Rinka ? Pleinement ! Mélinda voulait la provoquer, continuant encore à essayer de délimiter la personnalité de Rin, à savoir comment pouvoir avoir sur elle un ascendant psychologique.
« Gifle-là, Alice.
- Pa… Pardon ?!
- Gifle-là. Comme ça, regarde. »
Mélinda abattit à nouveau sa main. Alice déglutit, et approcha la sienne, et essaya de la gifler... Sa claque avait plus l’air d’une tapette qu’autre chose, et la vampire sourit. Pauvre Princesse... Alice rougit encore, et caressa les fesses de Rinka, ses doigts doux venant glisser sur ses queues, remontant dessus. Elle pencha ensuite sa tête pour l’embrasser timidement à cet endroit.
« Tu voudrais vraiment partir sans avoir à profiter d’Alice, Rinka ? Elle n’est pas que belle, c’est une vraie princesse, tu sais... Comme dans les contes. »
Et, dans les contes, les princesses étaient rarement aussi innocentes qu’on pouvait le penser à première lecture...
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Toutes ces valeurs élémentaires, comme le respect et l'obéissance, Rin s'en fout royalement, c'est une rebelle et elle compte bien le rester aussi longtemps que possible. Mais, mine de rien, Rin a quand même son petit coté "esclave soumise" quand on s'occupe de ses fesses. Elle sait que ces dernières sont délicieuses pour tout le monde et n'hésite pas à les mettre en valeur pour se les faire toucher. D'ailleurs, Rin semble bien apprécier le traitement qu'offre Mélinda à ses grosses fesses toutes douces et bien rebondies.
Han ! Ouais, j'suis vilaine, t'as vu ça ? J'mérite plein de fessées.
Elle continue de manquer de respect à Mélinda afin de recevoir sa "récompense", sentant ses fesses se faire claquer continuellement, gémissant à chaque claquement, se mordillant parfois la lèvre, aussi.
Hmm ~ Au fond, t'aimes ça, les rebelles dans mon genre, avoue !
Et lorsqu'elle entend cette phrase provocante, Rin ricane et croise les bras sous sa généreuse poitrine.
Tu m'prends pour qui ? J'suis largement capable de m'occuper de votre cas à toutes les deux. D'ailleurs, même si t'es une sorcière, t'es plutôt bien foutue, toi aussi, et crois-moi, j'ai largement de quoi te satisfaire à ce niveau là.
Elle se laisse toucher les fesses par les deux belles femmes, gémissant d'une voix plus sensuelle tout en dandinant ses jolies fesses. Puis, Rin se retourne et pousse les deux femmes sur le lit, s'asseyant à califourchon sur leur jambe, tout en faisant exprès de frotter ses fesses contre leur cuisses. Elle retire à nouveau le haut de sa robe afin de pouvoir être plus libre dans ses futures actions.
Ca je sais, qu'elle est bonne, la Princesse, c'est pas pour rien que j'ai baisé avec elle. Et toi, sorcière, tu vas y passer aussi, parce que même si tu t'y crois un peu trop avec tes airs de dominatrice, j'ai une putain d'envie d'te faire du bien. Et je n'utilise pas que ma langue pour ça, chaque partie de mon corps est utilisée pour procurer du plaisir.
Elle dandine ses fesses contre les cuisses des belles femmes puis se penche vers Alice pour aller l'embrasser, pendant que ses mains se dirigent chacune sur l'un des seins de ses partenaires pour aller les malaxer.
Déshabille-toi, sorcière, j'ai une p'tite surprise, pour toi.
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Décidément, l’insolence de cette neko ne cessait de la surprendre, mais Mélinda avait trouvé un autre angle d’attaque : elle ne supportait pas qu’on remette ses compétences en doute, en particulier dans le domaine sexuel. Rinka savait qu’elle était belle, et il n’était pas difficile d’imaginer cette petite neko agissant comme une petite princesse, se félicitant d’avoir des centaines de prétendants prêts à lui baiser les papattes pour avoir un regard. Oui, Mélinda imaginait très bien cette neko avec un regard hautain. En faire une petite esclave soumise sans détruire sa personnalité serait difficile, et Mélinda sut donc qu’elle allait devoir affiner sa tactique à l’égard de cette petite peste. Si elle voulait la soumettre, elle allait devoir faire preuve de subtilité... Un art dans lequel, fort heureusement, Mélinda n’était pas totalement dénuée de talents.
La jeune neko venait d’ordonner à la « sorcière » de se déshabiller lorsque Mélinda agit. Elle s’avança vers elle, et plaqua Rinka en l’attrapant par les mains, la couchant sur le dos, arrivant au-dessus d’elle, ses cheveux tombant merveilleusement en cascade le long de sa tête. Sa belle robe verte moulante était très belle, et Mélinda lui sourit.
« Tu recommences à me donner des ordres, petite traînée, hum ? »
Elle se pencha vers elle, et l’embrassa sur les lèvres, coupant court à toute forme de protestation, tout en glissant sa main sous sa robe verte, la remontant le long de sa jambe pour attraper sa culotte, tirant légèrement dessus, mais sans, pour autant, la retirer. Sa langue s’enfonçait dans la bouche de la femme, la caressant, la titillant, et Mélinda se permit bien de rester dans cette position pendant une bonne minute, à embrasser sa partenaire, sans relâche, avec un indéniable talent. Le baiser fut relativement long, jusqu’à ce que Mélinda retire ses lèvres, en esquissant un petit sourire. Elle retira sa main de la robe de la femme, et le posa sur ses lèvres, posant un doigt dessus, avant de lentement s’écarter. De son autre main, elle attrapa le lacet de sa robe, à hauteur de ses seins, et tira dessus, défaisant les boucles. Sa robe glissa le long de ses hanches, et tomba ainsi sur le lit. Mélinda n’avait dès lors plus qu’une culotte verte recouvrant son intimité, et elle soupira un peu, avant de retirer ses doigts des lèvres de Rinka, à califourchon sur elle.
« Je te propose un jeu, petite traînée... Un défi... »
Mélinda esquissa un sourire, sachant que c’était le genre de choses à proposer avec une femme comme ça.
« On va faire l’amour, tous les deux... Et, si je t’épuise, alors, tu m’appelleras ‘‘Maîtresse’’. Autrement... »
Une petite moue vint éclairer le joli visage de Mélinda, comme si elle réfléchissait. Autrement quoi ? Il fallait un jeu qui en vaille la chandelle, un enjeu suffisamment fort pour montrer que Mélinda n’était pas en train de lui proposer un marché de dupes. La petite vampire réfléchit donc brièvement, se tapotant les lèvres du doigt.
« Tu pourras me fouetter ? »
Elle espérait surtout que la perspective d’un défi stimulerait suffisamment l’orgueil de Rinka, et c’est bien pour ça que Mélinda, avec un léger sourire condescendant, rajouta :
« Je t’avouerais que je n’ai pas trop d’idées, car il est impossible que je n’épuise pas une petite neko fragile et mistinguette comme toi... »
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Rin ne peut supporter qu'on la soumette de la sorte. Le simple fait qu'on ose lui résister lui déplait énormément, et Mélinda sait jouer de cette "faiblesse". En temps normal, Rin lui aurait bien fait comprendre ça en abusant de sa pyromancie, mais elle n'en a guerre la possibilité. D'un autre coté, le coté pervers de Mélinda semble titiller la curiosité de la nekomata, et pas qu'un petit peu. Elle se dit que, peut-être, Mélinda pourrait lui assouvir toutes ses envies et combler ses manques. D'ailleurs, ce surnom que lui donne Mélinda, suffit à Rin pour lui laisser l'autorisation de lui faire des choses qu'elle attend avec impatience, dans l'espoir d'avoir un ou deux autres orgasmes.
Je donnes des ordres à qui je veux, sorc...
Ne pouvant pas terminer sa phrase, elle se fait embrasser par Mélinda, de manière très experte, et ça, Rin le remarque tout de suite. Sentant la langue entrer dans sa bouche, la nekomata ouvre un peu plus sa bouche pour l'accueillir très généreusement. Sa langue à elle caresse continuellement celle de Mélinda, rendant leur baiser torride, quelque chose de magique, pourrait-on dire. De plus, sentir cette main sur sa culotte suffit à se tortiller un peu histoire de sentir les doigts toucher son intimité.
Hmm ~
Elle ne peut retenir un doux bruit de plaisir, puis regarde ensuite la vampire dans les yeux, écoutant son discours. Elle sourit avec intérêt lorsqu'elle entend les mots "défi" et "faire l'amour". L'écoutant attentivement, elle se lèche les lèvres, tout en profitant pour reluquer le corps presque totalement nu de la vampire, fixant ses sa généreuse poitrine. Après ce petit discours, Rin ne se gêne pas de répondre.
Faire l'amour ? Quand tu veux, belle sorcière, tous les jours, si ça te dit. Je relève le défi. Mais sache que tu pourrais bien le regretter. S'il y a autre chose qu'une femme adore chez moi, c'est ma très grande endurance. C'est pas une petite sorcière sacrément bien foutue qui va me faire peur.
Elle réfléchit aussi. L'idée ne lui déplait pas du tout.
Si c'est moi qui t'épuise, c'est toi qui m'appellera Maîtresse, qui m'obéira bien sagement et qui me lèchera les pieds tous les jours.
Aimant prendre le dessus dès le début, Rin pousse Mélinda pour la faire s'allonger sur le lit et se coller contre elle. La nekomata la fixe intensément dans les yeux avant de lui voler un baiser tout en caressant sa jolie paire de seins de ses mains expertes. Comme d'habitude, elle ne prends pas de temps pour exciter sa partenaire et joue directement la carte de de l'approche rapide.
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Mélinda pensait avoir réussi à cerner cette femme. C’était une Terranide rebelle, mais, quand la vampire lui avait sauté dessus, et avait fait preuve d’autorité, elle avait senti des espèces de pulsations sanguines émanant du corps de Rin. En soi, ceci ne voulait rien dire, mais Mélinda interprétait volontiers ça comme le désir inconscient, chez cette fille, d’être dominée brutalement... Ce qui expliquait sans doute ses provocations. C’était une sorte de jeu. La vampire avait vu ça chez certaines de ses esclaves, mais, en toute honnêteté, elle était surprise que Rin s’y risque d’entrée de jeu. Elle ignorait en effet de quoi Mélinda était capable, et, si cette dernière était moins conciliante que ce qu’elle était actuellement, la neko aurait pu sérieusement le regretter. Elle voulait jouer ? Mélinda allait lui comprendre qu’il n’était pas bon de provoquer une vampire, surtout quand on était une Terranide, soit un être relevant d’une espèce inférieure. La vampire sentit Rin la repousser, et elle se retrouva sur le lit, plaquant ses mains contre le dos de Rin, une main sur ses cheveux. Leurs regards se croisèrent, et Rin l’embrassa à nouveau. Les mains de la neko se déplacèrent alors pour appuyer sur les seins de la vampire. Ses tétons étaient durcis, et la vampire poussa alors un grognement, et déplaça ses mains, les posant sur les épaules de Rin, et usa alors de sa force pour la repousser. Elle avait beau avoir un corps svelte et fin, c’était un vampire qui habitait là-dedans.
La neko se retrouva sur le sol, et Mélinda se remit sur place.
« Ne te sens pas pousser des ailes, petite catin, siffla Mélinda en se mettant devant elle. Je vais te rappeler que tu n’es rien de plus qu’une pute bonne à être baisée par tous les trous ! »
Mélinda était nue, à l’exception de sa culotte, et elle la retira également. Elle ferma ensuite les yeux, et serra les dents, avant de se concentrer. Elle n’eut qu’à exercer mentalement une petite pression, et une verge sortit de son intimité, venant fièrement se dresser devant elle. Elle était tendue, luttant contre la gravité, et avait brièvement déformé le vagin de Mélinda en sortant, ce qui faisait toujours un peu mal, et ce même si la vampire avait largement eu le temps, à force de s’y habituer. Elle masturba lentement son sexe en restant devant Rin, un sourire vicieux sur les lèvres.
La vampire agit alors, et tomba sur le corps de Rin, posant une main sur sa tête, pour l’immobiliser, puis utilisa l’autre pour tirer sur la culotte de la Terranide rebelle, écartant suffisamment cette dernière pour pouvoir enfoncer son sexe dans son vagin.
« Prête pour un tour, ma chérie ?! siffla Mélinda. Je te promets de jouir comme si tu étais la reine de toutes les salopes de ce putain de monde ! »
Quand la vampire s’y mettait, elle pouvait balancer un chapelet de jurons à la seconde. D’un coup sec, elle enfonça sa queue dans le corps de Rin, et commença à remuer, avant de relâcher son front, et de s’appuyer sur ses épaules. Elle remua son bassin d’avant en arrière, enfonçant son chibre en elle, commençant à la prendre avec toute la passion dont elle était capable. Ce défi ne l’effrayait pas. De toute façon, même si Rin devait, par extraordinaire, lui tenir tête, Mélinda n’aurait qu’à mordre un peu. Dans le feu de la passion, la neko ne se rendrait compte de rien, mais la vampire estimait ne pas avoir à s’abaisser à ça pour gagner. Elle était une vampire, c’était suffisant.
« Hum... Ce que tu es bonne, ma belle, haaa !! Je vais adorer te défoncer de partout, crois-moi ! »
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Il semble que Rin ait réussi à faire sortir la vampire de ses gonds afin qu'elle se montre le plus perverse possible. Elle sourit lorsqu'elle entend tous ces mots dégradants qu'on lui donne.
Oh oui, une petite pute super bien baisable.
Elle est persuadée que Mélinda cache un petit truc qui pourra lui faire découvrir de nouvelles sensations.
Viens me baiser par tous les trous, j'attends que ça, ma belle.
Puis elle regarde le sexe d'homme apparaître avec un air surpris. Elle essaye de se reculer pour éviter d'être la proie de ce machin déjà bien tendu, mais se fait rapidement plaquer contre le lit afin de ne plus pouvoir bouger. Elle grimace de douleur quand le sexe entre dans son intimité. Elle a été dégouté par les hommes après ce qu'il s'est passé avec son premier maître. Si jamais elle devait reprendre l'habitude de se faire prendre par ça, elle deviendrait encore plus cochonne qu'elle ne l'est déjà. Même si Rin ne veut pas subir les assauts de ce membre tendu en elle, d'un autre coté, son vagin semble l'accueillir très généreusement.
Putain ! Mais qu'est-ce que tu fous, je t'ai déjà dit que je voulais pas que tu me prenne avec ta bite !
Se doutant bien que Mélinda s'en fiche totalement, Rin est obligée de se laisser prendre, gémissant de douleur, mais aussi un peu de plaisir.
Haaa ! Ca fait mal, salope !! Haaan !
Mêlant douleur et plaisir dans ses gémissements, Rin est quand même très excitée et mouille déjà d'envie. A ce rythme là, ce n'est qu'une question de minutes pour que Rin reprenne l'habitude de se faire remplir de foutre comme autrefois. D'ailleurs, elle se tortille de plaisir et commence déjà a ressentir les effets autrefois procurés par ces engins.
Je suis toujours bonne. Nyaaah, putain c'est bon ~ Défonce-moi !!
Ne pouvant retenir quelques puissants gémissements, elle va embrasser la vampire de manière torride afin d'étouffer ces derniers.
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C’était la première leçon que cette neko, aussi belle qu’insolente, allait apprendre : on n’allait pas contre l’avis de sa Maîtresse. Mélinda avait été suffisamment gentille comme ça avec elle. Que Rin soit contre l’idée de se faire prendre ne signifiait, en l’état, rien pour Mélinda, qui, elle, en avait envie. Elle n’aimait pas les caprices, encore moins quand ils émanaient d’esclaves. Rin essaya vainement, au début, de se débattre, de repousser ce chibre planté en elle. Peine perdue : Mélinda avait une force surdéveloppée, plus importante que la sienne, et elle plaquait Rin contre le sol. Pouvait-on parler de viol ? Pas vraiment, selon la vampire, car elle sentait que cette femme appréciait ça. Elle le sentait grâce à ses ondulations sanguines, à la manière dont son sang battait dans ses veines. Un sourire vorace traversa les lèvres de Mélinda, qui laissa Rin l’embrasser fiévreusement, en profitant pour poser une main ferme sur ses cheveux, les agrippant, son autre main venant s’appuyer contre le sol, ses griffes s’y enfonçant. Le baiser fut passionnel, la langue de Mélinda allant jouer avec celle de Rin, leurs soupirs mutuels étouffés dans leurs salives, tandis que la vampire remuait son corps de haut en bas, son sexe s’enfonçant dans l’intimité trempée de la femme.
Elle lui mordilla les lèvres, tirant dessus, sans jamais avoir à rompre le baiser. Elle respirait par le nez, mais, plus Mélinda prenait cette femme, et plus son visage remuait. Elle finit par libérer les cheveux de Rinka, et planta son autre main contre le sol, y enfonçant ses griffes, et descella leurs lèvres, un fin filet de salive les reliant encore provisoirement, avant de se rompre. La verge de Mélinda baignait dans la mouille de la petite traînée se dandinant sous elle.
« Sale... Hummm... Oh, ne t’en fais pas pour ça, ma chérie…Je vais… Hurrrmpfff… Te défoncer co-comme… La pire des putes… »
Et elle le ferait d’autant plus facilement que ce serait, pour elle, comme une sorte de revanche sur l’insubordination perpétuelle de cette neko. Elle n’avait eu de cesse de contester son autorité, sa nature, de faire preuve de caprices. Mélinda en avait totalement oublié Alice, qui, silencieuse, les observait, en se mordillant les lèvres. La Princesse ressentait une certaine chaleur entre les cuisses, mais elle savait qu’elle ne devait pas intervenir. Ses joues étaient en feu, car, comme Rinka, elle adorait se faire insulter par Mélinda durant ce genre de choses. C’était bête à dire, mais Mélinda avait un corps de poupée, un visage d’ange... Même si on savait qu’elle était une esclavagiste, on ne pouvait s’empêcher d’éprouver de la sympathie pour elle, encore plus quand on connaissait son passé. Alors, forcément, quand elle vous traitait de grosse pute bonne à fourrer des pines, ça produisait son petit effet.
Mélinda prenait ainsi Rinka, et finit par poser à nouveau ses mains sur ses épaules. Elle avait besoin d’un appui, et remuait violemment en elle, donnant de gros coups de reins. La vampire avait une résistance sexuelle impressionnante, d’autant plus que, en tant que vampire entraînée, elle pouvait, dans une moindre mesure, contrôler sa circulation sanguine. Ainsi, elle s’assurait de ne pas perdre le contrôle... Plus ou moins.
« Haaa ! Palpe-moi le cul, salope ! Allez, sale neko !! Tu le comprends, maintenant, HEIN ?! QUI est ta MAÎTRESSE, SALOPE ? QUI ? DIS-LE !! »
Mélinda ne pensait pas que Rin allait craquer tout de suite, mais elle voulait l’échauffer, la provoquer, la forcer à aller dans ses derniers retranchements. C’était sa tactique, et elle était confiante.
Cette neko insolente serait à elle, et Mélinda s’amuserait à lui déboîter le cul pendant des heures dans son harem. Sur ce point, le doute n’était même pas permis !
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La belle nekomata est toujours en train de se faire prendre par Mélinda, embrassant follement cette dernière tout en jouant avec sa délicieuse langue. Elle en profite même pour malaxer les jolis seins de Mélinda, pinçant les tétons fortement, le tout en gémissant de manière étouffée par le baiser. Elle est déjà toute mouillée au niveau de son vagin et ça, Mélinda peut facilement s'en rendre compte, vu que son sexe n'a que plus de facilité à se mouvoir dans cet orifice toujours aussi accueillant et agréable à fourrer. Rin se tortille continuellement de plaisir, gémissant toujours au rythme de la pénétration qui se fait de plus en plus violente.
Ouais !! C'est ça, hmmm !! Défonce-moi ~ Putain !! C'est trop bon, bordel !
Rompant le baiser par la suite, Rin se voit obligée de gémir fortement, se fichant de savoir si la pièce est insonorisée ou non. Elle pose ses mains sur les épaules de Mélinda, puis les fait descendre progressivement, jusqu'à ce que la belle vampire lui demande vulgairement d'aller s'occuper de ses fesses. Ne se faisant pas prier, Rin lui prend bien fermement ses fesses dans ses mains puis les malaxes, ajoutant sa double queue lui titiller l'entrée de l'anus par la même occasion.
Je crois que je comprends...Haaan putain !! Ma maîtresse....Sera celle qui me remplira tous les orifices de son foutre chaud.
Invitant Mélinda à continuer pleinement ce qu'elle fait, Rin se dit qu'elle acceptera peut-être se défi avant que la nekomata la considère finalement comme sa maîtresse.
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Sentir les belles mains de Rin sur ses seins, les pressant, renforça l’excitation de la vampire, qui grognait et haletait, donnant des coups de reins de plus en plus prononcés. Elle devait bien admettre que la neko se débrouillait bien, et résistait plutôt bien à ses assauts. Elle n’était pas vierge, et pouvait au moins, à ce titre, prétendre mériter sa vantardise... Même si, évidemment, ça ne signifiait pas que Mélinda allait la ménager. Oh ça non ! Au contraire, elle avait même encore plus envie de la baiser, maintenant qu’elle savait que ce n’était pas de la fanfaronnade ! De plus, Rinka allait dans ce sens, lui pétrissant généreusement les fesses, en allant jusqu’à approcher sa double queue de neko de sa croupe. Mélinda en frémit se mordillant les lèvres. Elle adorait qu’on lui pelote le cul, qu’on titille sa croupe, et qu’on menace de s’y enfoncer. Les sodomies, c’était intense, mais elle devait remettre ce désir à plus tard. Pour l’heure, il fallait qu’elle maîtrise Rinka, qu’elle la dompte, et elle ne pourrait certainement pas le faire si cette dernière la sodomisait. Néanmoins, Mélinda se promit de goûter plus tard à ses queues félines en elle. Elle savait que c’était, avec le Terranide, un grand fantasme : sentir la queue de ce dernier en vous, farfouiller dans votre corps... Le fantasme par excellence des sœurs Karistal. S’il était tentant pour Mélinda de le faire, elle se devait cependant de se retenir, de ne pas se laisser aller, afin de se concentrer sur la domination qu’elle souhaitait exercer sur cette insolente neko.
Cette dernière, tout en lui caressant les fesses, lui indiqua alors dans quelle mesure elle était prête à reconnaître en Mélinda sa Maîtresse légitime : si cette dernière la défonçait proprement, et remplissait ses orifices de « foutre chaud ». Un sourire éclaira alors le beau visage de Mélinda, qui glissa rapidement une main sur son visage, afin de rabattre en arrière quelques mèches de cheveux. Elle embrassa brièvement la neko, un baiser sonore, qui claqua dans les pièces, et ne tarda pas à la rassurer sur ce point :
« Alors, ma chérie, tu ferais mieux de commencer à t’y habituer... Je serais ta Maîtresse, et tu seras ma petite pute, une salope à qui je défoncerais le cul tous les jours ! »
Rinka était tellement belle qu’elle avait le potentiel d’exciter perpétuellement Mélinda, qui était connue pour sa grande perversion. L’arrogance de cette neko ne faisait qu’accroître encore plus le désir qu’avait Mélinda de la soumettre, de lui défoncer le cul... Mais, pour commencer, elle voulait en terminer avec ce coït. La femme accrut le rythme, remuant son corps, s’enfonçant de plus en plus profondément, de plus en plus rapidement, s’enfonçant à chaque retour dans le corps de la femme, écrabouillant contre sa grosse verge son clitoris, écrabouillant son bouton de plaisir pour la faire hurler de plaisir. Mélinda grognait et soupirait, s’affaissant lourdement contre le corps de Rinka, avant de se relever, et d’enfoncer à nouveau son membre. À aucun moment, son sexe ne venait à quitter le con de cette femme. Elle la pénétrait longuement, avec une magnifique passion, et, au bout de longues minutes, elle finit enfin par s’abandonner en elle.
Dans un long soupir, Mélinda sentit tout son corps se tendre, se concentrant en un point central, avant de progressivement se relâcher. Elle libéra tout un filament de foutre dans le corps de Rinka, en soupirant longuement, chaque mouvement de ses reins crachant un peu plus de sperme en elle. Elle jouit ainsi pendant des dizaines de secondes, se sentant se vider à chaque coup. C’était là une sensation des plus merveilleuses : elle s’abandonnait en elle, sentant ses entrailles libérer ce liquide blanchâtre, tandis qu’elle-même se sentait transportée au loin. Ah, si c’était bon ! Ah, si ça la soulageait ! Rien de mieux que le sexe pour se sentir bien. Ça vous vidait l’esprit, et, après, son orgasme, Mélinda se sentait détendue.
Elle sourit alors, et déposa un baiser sur le bout du nez de Rinka, un bref moment de douceur qui disparut aussi vite qu’il était venu. Elle se redressa alors, et posa ses mains sur ses épaules, puis retourna sèchement Rinka, la plaquant sur le ventre, et se releva.
« Mets-toi à quatre pattes, maintenant, insolente traînée. Je vais te traiter comme on traite les belles petites putes dans ton genre : en te défonçant ton insolent petit cul ! »