Une séance magique entre trois magiciennes et la fille de l’Empereur Mordret risquait toujours de dégénérer de la sorte. Samara, Alextrasa, et Kaileesha, étaient toutes les trois des démones relativement perverses, ayant chacune ses propres esclaves, et une expérience sexuelle considérable. Elles se connaissaient plutôt bien, car Kaileesha, parmi ses multiples fonctions, servait notamment d’attachée entre l’Académie d’Ashnard et le Palais Impérial. Kaileesha servait directement les intérêts du Conseiller impérial Emhyr Van Emreis, et Emhyr était suffisamment intelligent pour savoir que l’armée impériale ne pouvait pas se séparer des magiciens. Or, les magiciens avaient leur propre indépendance, et Kaileesha se chargeait donc de se rapprocher d’eux… Généralement en finissant dans leurs lits. Ça marchait plutôt bien, et, tandis que Samara et Kaileesha s’embrassaient et se pelotaient, Sakkra était bien destinée à montrer à ses préceptrices qu’elle savait aussi se débrouiller. Remuant sa main, elle envoya des décharges électriques dans l’intimité de la Pyromancienne, faisant soupirer longuement Alextrasa.
« Haaaaaaa… !! »
Sakkra en profita pour marquer le coup :
« Si tu veux jouer à ce jeu... alors on sera deux... ma salope... »
Alextrasa sourit, et répondit en embrassant la femme, caressant sa joue, enfonçant sa langue dans sa bouche. Les éclairs dansaient dans son intimité, heurtant son clitoris, la rendant ivre de plaisir. Alextrasa était une femme pleine de passion, ce que témoignait son attirance naturelle pour le Feu. Samara était autant une Archimage qu’elle. Les deux femmes siégeaient au conseil d’administration de l’Académie impériale, et, pendant quelques instants, Alextrasa se contenta de l’embrasser, avant de rompre le baiser, et de caresser le ventre de la jeune Impératrice.
« Que de jurons dans votre bouche, Princesse… Où êtes-donc passée votre éducation ? »
Elle s’écarta un peu d’elle, et claqua des doigts, amenant Samara et Kaileesha à tourner la tête.
« Et bien, et bien… Comptez-vous donc vous embrasser comme des vierges en manque face à cette jeune femme insolente qui se permet de m’insulter, hum ?! »
Samara esquissa un léger sourire, et Kaileesha se redressa lentement, ses yeux jaunes fixant le corps de la femme. Sakkra était un peu plus petite qu’elle, et ressemblait énormément à une humaine, si ce n’est la présence de deux cornes osseuses sur sa tête. Les deux autres démones se rapprochèrent d’elle, et Sakkra se retrouva finalement entre les trois magiciennes, totalement encerclée. La queue caudale de Samara se déplaça, et son extrémité alla caresser l’estomac de cette dernière, là où trônait un peu de la mouille de la jeune fille. Samara releva ensuite sa queue, et le bout, Sali par cette cyprine, alla caresser les lèvres de la femme.
« Je crois que, effectivement, la petite Princesse mérite un peu plus d’attention de notre part... »
L’Archimage lança cette phrase avec un léger sourire sur le coin des lèvres. Sakkra était une femme assez puissante, ayant bien hérité des pouvoirs de Mordret et de la formation des mages, mais elle restait encore jeune, et relativement faible par rapport à deux Archimages, et à Kaileesha. Samara enfonça sa queue contre ses lèvres, puis retira cette dernière. Alextrasa en profita alors pour attraper la queue caudale de Sakkra, et tira sur cette dernière, renversant ainsi la jeune femme, qui finit à quatre pattes entre les trois femmes. La queue caudale de Samara se déplaça alors, et fouetta les fesses de la jeune femme.
Kaileesha, de son côté, posa ses mains sur les cornes de Sakkara, et se concentra un peu. En tant que bonne démone, elle savait comment agir pour modifier légèrement ses capacités, et une verge violette, de la même couleur que le reste de son corps, jaillit alors, se rapprochant des lèvres de Sakkra.
« Suce, petite pute… Puisque tu aimes les jurons, nous allons te servir… »
C’était le cas de le dire !
« Un jour, vous regretterez tout ça... lorsque j'aurais pris la place de mon père...
- Pas aujourd’hui en tout cas, ma petite pute… »
Ce fut tout ce que Kaileesha dit avant d’enfoncer sa queue dans la bouche de Sakkra. Les trois femmes savaient très bien comment Sakkra les voyait. Samara, honnêtement, avait eu beaucoup de chance de se retrouver à être l’une des femmes chargées de l’éducation de Sakkra. Ce n’était pas l’Empereur qui l’avait directement choisi, mais Emhyr Van Emreis. Mordret se souciait fort peu de sa fille… De fait, l’Empereur se souciait assez peu de ce qui se passait au sein de l’Empire, ce qui amenait de plus en plus de personnes à voir Emhyr comme le véritable Empereur, agissant dans l’ombre du Conseil Impérial, usant de son influence et de son intelligence pour faire ce qu’il voulait. C’était lui qui avait pris en charge la naissance de Sakkra, sa protection, et, même après, son éducation magique. Il avait convoqué Kaileesha, Alextrasa, et Samara avait ensuite été rejointe au projet. Deux magiciennes et une mage-guerrière… Dans la philosophie impériale propre à la noblesse, les mages étaient souvent des instituteurs privés, formant les jeunes nobles à devenir les dirigeants justes et égaux qu’ils prétendraient un jour être. On retrouvait la même logique à Nexus et dans la plupart des royaumes médiévaux se situant hors de la zone d’influence tekhane. Les mages avaient une énorme influence, ce qui, parfois, provoquait de lourdes oppositions entre le pouvoir séculier et le pouvoir spirituel.
Sakkra avait été formée pour devenir une femme puissante et sûre d’elle, mais, faute d’avoir une véritable mère, elle avait jeté son dévolu sur les trois femmes qui l’éduquaient. Un schéma, encore une fois, assez classique chez les nobles éduqués par les magiciens. Quand les magiciens étaient de sexe féminin, ce qui était très souvent le cas, un fort lien affectif tendait à se développer. Sakkra se voyait comme la « fille » de ces trois femmes, et ce même s’il n’y avait aucun lien de parenté entre elles. Ce faisant, ses menaces étaient vaines, uniquement destinées à leur rappeler qu’elle était une fière démone, et à amuser encore plus les trois femmes.
La queue de Kaileesha, grosse et tendue, s’enfonçait dans la bouche de la jeune Princesse, remuant en elle, optant pour de multiples gorges profondes. C’était intense, mais Sakkra avait l’habitude, et Kaileesha aimait bien la prendre ainsi. Pour la Princesse, c’était une leçon d’humilité, et, en même temps, une manière de se faire plaisir. Qui irait s’en plaindre ? Samara se déplaça lentement dans le dos de la jeune femme, et vint caresser ses fesses, les palpant généreusement. L’Archimage avait toujours aimé le joli cul de Sakkra, bien ferme, bien tendre. Elle avait des fesses magnifiques, à l’image de son corps, et il était donc tout à fait naturel de vouloir explorer davantage les promesses que ce corps généreux et bien ferme offrait. Ça n’avait rien de dégoûtant, ce n’était qu’une manière naturelle de s’exprimer du plaisir, de se caresser, et de se faire mutuellement l’amour.
« Utilise ta queue, Sakkra… Enfonce-là dans ton petit cul, montre-moi que tu en es capable… Allez, petite salope, allez… »
Pour la motiver davantage, Samara leva sa main, et l’abattit sèchement sur la croupe de Sakkra, giflant volontiers son beau postérieur. C’était une démone, et, ce faisant, elle était donc favorable à des approches plus intenses de se faire l’amour. Et autant que sa queue caudale se rende utile… Avant que Samara n’utilise sa propre verge pour déflorer le petit cul de la jeune femme.