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Asami avait dans sa classe une jeune fille - Cassidy Green, d'origine américaine il lui semblait - qui l'intriguait : Non pas qu'elle soit franchement étrange, en vérité elle était au contraire plus que dans la moyenne, relativement bonne élève, sans aucun problème à se faire des amis et sous aucun rapport excentrique. Cependant, lorsqu'il s'agissait du sport, et uniquement dans ce domaine, elle se distinguait des autres par une attitude singulière : Elle ne portait absolument jamais la tenue réglementaire, le short, mais plutôt un pantalon plus ample, quant à la piscine, elle n'y allait absolument jamais. Cela n'était cependant pas inexplicable : Elle aurait pu simplement ne pas aimer le sport, ne pas être à l'aise avec son corps, mais, au contraire, Cassidy était énergique, active et avait l'habitude de porter des jupes ou d'autres vêtements aussi "révélants" de façon régulière.
Ce visible contraste intriguait Asami qui, donc, d'une part car elle voulait aider sa camarade - Elle pensait en toute franchise que Cassidy apprécierait, par nature, de faire du sport - mais aussi pour simplement s'en rapprocher, décida d'aller la voir pour lui proposer une activité physique. Sans doute car c'était son sport préféré, mais aussi car peut-être que découvrir celui-ci sous un autre aspect que celui du lycée mettrait fin à l'apparent boycott de Cassidy, Asami choisit de lui proposer la natation, bien qu'elle était évidemment prête à lui proposer d'autres activités sportives praticables à Seikusu.
Elle avait rassemblé des brochures des différents clubs de sport existant au cours de la semaine - Celles-ci étaient d'ailleurs d'une qualité étonnante - au gré de ses déambulations dans la ville. Par ailleurs elle avait quelque peu préparé ce qu'elle pourrait dire, bien que cela serait sans doute assez simple se disait-elle, aussi laissait une large part d'improvisation dans ce que serait son discours. Le jours-J - En réalité, le premier jour où elle alla au lycée en possession de toutes les brochures rassemblées - elle guetta toute la journée le bon moment : Elle ne se voyait pas faire cela dans un simple inter-cours, puisque demandant un minimum de temps, quant au repas, elle dut avouer que, par malchance, ce ne fut pas possible : Elle n'arriva même pas à trouver Cassidy. Finalement, à la fin de la journée et n'ayant toujours pas pu mettre la main sur sa camarade, sa seule chance pour aujourd'hui était d'aller la voir dans les dortoirs du lycée - Où elle serait quasi-obligatoirement. Parce que ce n'était pas si compliqué que ça et que cette action lui tenait tout de même à cœur, elle se résolut à le faire aussitôt ses cours finis - D'autant qu'aujourd'hui, elle devait de toute façon rester seule à la maison jusqu'à tard dans l'après-midi : Elle ne manquait à aucun de ses devoirs par ce détour.
Elle n'allait pas souvent dans cette portion du lycée, qui était relativement isolée du reste de l'établissement, assez logiquement, puisqu'au final les seules personnes y allant étaient à de rares exceptions ses occupantes et occupants. A la fin des cours, elle prit alors sa direction, ce qui la faisait déjà s'éloigner de la masse des élèves sortant de cours : Relativement peu d'élèves, proportionnellement, dormaient au lycée, et encore moins y allaient aussitôt les cours finis, aussi Asami se retrouva sur un chemin quasi-vide durant la presque totalité de son itinéraire. Arrivée là-bas, elle dut avouer trouver l'endroit agréable - Bien qu'elle y était déjà venue, la rareté de ses visites lui faisait presque découvrir l'endroit à chaque fois - et, presque paradoxalement, d'une ambiance proche d'un foyer : Beaucoup de filles - Les dortoirs étant séparés, elle n'eut même pas à passer par ceux des garçons - étaient ça et là en train de discuter dans un calme remarquable, donnant une impression à la fois de vie et de sérénité tout à fait plaisante. Dans cette ambiance très détendue, Asami n'eut aucun mal à demander où elle pouvait trouver la chambre de Cassidy à une inconnue qui lui indiquait poliment. Arrivant proche de la porte indiquée, la jeune lycéenne se mit à guetter les nombres sur chaque porte, jusqu'à trouver celui qu'elle se répétait sans cesse mentalement pour ne pas l'oublier : Quand elle le fit finalement, elle s'en approcha. La porte était fermée, Asami profita donc du temps qu'elle pouvait s'accorder pour d'ores et déjà préparer ses quelques brochures et se projeter légèrement dans le futur pour savoir ce qu'elle pourrait bien dire. Finalement, après quelques secondes d'hésitations et de mouvements muets de lèvre - Un tic dont ne pouvait se débarrasser Asami - alors qu'elle préparait se qu'elle dirait. Finalement, elle mit son côté droit face à la porte, toqua d'un geste énergétique mais pour autant pas sourd, et pencha légèrement sa tête pour mieux entendre la réponse à sa demande. Après un court moment, elle put entendre l'invitation à entrer, et, logiquement, elle empoigna la portée pour ouvrir d'un geste calme la porte avant de repérer Cassidy pour pouvoir la saluer en s'inclinant brièvement. Immédiatement après ce geste de politesse, elle enchaîna rapidement :
" Bonjour, je suis Yamada Asami, et, si tu veux bien, j'aimerais te parler des sports que tu peux pratiquer en dehors des cours. "
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Cela faisait une bonne demi-heure que j’étais dans ma chambre au dortoir, j’avais, pour une fois fait le ménage dans celle-ci hier. Ce qui voulait dire que je n’avais pas grand-chose à faire, mes devoirs attendraient après le dîner. Je soupirais, en regardant le lit d’à côté, qui était vide, c’était bien mais je ne me sentais parfois un peu seule. J’espérais qu’une élève viendrait bientôt combler le vide de la chambre.
J’étais totalement avachie sur mon lit les jambes pendantes hors de mon lit et mes bras en croix. Je soupirais, je n’avais envie de rien faire, pas même mes devoirs, même si après manger, je les ferais comme à mon habitude. J’étais comme ça, quand le plaisir n’était pas de mise, je faisais tout ce que j’avais à faire en temps et en heure. Je n’aimais pas rendre mes devoirs en retard. Et même si je n’étais pas la meilleure de la classe, ma moyenne était tout à fait correcte.
J’étais là, perdu dans mes réflexions quand quelqu’un frappa à la porte. Toujours avachie sur mon lit, je me levais d’un bon.
_ « Entrez ! »
Une des superbes filles de ma classe entra, elle était du genre à s’occuper des clubs et autres activités de l’école. Je me demandais ce qu’elle me voulait, je n’avais pas envie de faire partie d’un club, j’aimais trop les diverses activités lubriques que je pratiquais pour avoir le temps de faire partie d’un club…
_ « Bonjour, je suis Yamada Asami, et, si tu veux bien, j'aimerais te parler des sports que tu peux pratiquer en dehors des cours. »
Je la regardais d’un air incrédule puis lui souris, c’est vrai que peu de personne connaissait mon secret et c’était bien ainsi… je me remis sur mon lit dans la position que j’avais auparavant.
_ « Bonjour, Yamada-san… assieds-toi, si tu veux… du sport ? Mouais… bof, tu as bien vue que je n’aimais vraiment pas ça… bien que j’aime bien ranger les équipements… »
Je ne m'étais pas présenté, car elle ne serait pas venue me voir, si elle ne savait pas qui j'étais. Je soupirais, elle n’était pas au courant et j’avais pas vraiment envie qu’elle sache pourquoi, je n’aimais pas le sport… j’allais lui laisser une chance de me proposer quelque chose qui pourrait me plaire.
_ « Tu as quelque chose à me proposer ? »
Je la regardais à la dérobée, elle était grande avec une assez forte poitrine, ce qui était plutôt rare pour une asiatique surtout qu’elle avait la peau plutôt blanche. Elle avait de très jolis yeux verts… elle travaillait très dur, et était notre déléguée de classe. Elle n’était pas trop aimée par les cancres de la classe, car il y en avait, mais moi, je l’aimais bien. Elle était dans mes goûts en matière de fille, grande, belle et surtout intelligente…
Si je lui révélais mon secret, le garderait-elle ?
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Asami n'avait pas osé s'asseoir sur un des lits et était debout au milieu de la pièce, le quelques brochures serrées contre elle. La pièce semblait bien rangée, mais elle ne s'était pas lancé dans une inspection poussée : Tout ce qu'elle en avait vu venait de sa recherche infructueuse d'un endroit où s'asseoir, n'osant pas espionner ainsi la vie des deux jeunes filles qui devaient dormir ici. Elle garda donc de manière cependant gênée son regard sur le visage de Cassidy qui le lui rendait, cependant, le sien avait l'air un peu surpris et amusé de la présence d'Asami. Après quelques secondes, l'occupante du lit s'affala sur celui-ci, ce qui sembla quelque peu étrange à Asami, bien qu'elle comprit parfaitement cela, après tout, elle était chez elle. Enfin, elle salua la jeune fille qui la démarchait puis exprima brièvement pourquoi elle ne pratiquait pas de sport, ce qu'Asami prit malheureusement comme un non franc et direct. Peut-être parce qu'elle put apercevoir la mine déçue de cet échec éclair de la lycéenne, Cassidy demanda tout de même ce qu'était venu proposer Asami, ce qui illumina pendant un moment son visage. N'osant s'asseoir sur le lit où était allongée sa camarade, la lycéenne s'accroupit finalement, rabattant d'une main sa jupe sous elle, et posant la quasi-totalité de ses brochures sur le sol pour ne garder en main que celle du club de natation : Non pas qu'elle ne parlerait pas des autres, mais elle tenterait d'abord celui-ci.
" Il y a beaucoup de sports qu'on peut faire à Seikusu, j'en ai amené beaucoup. Mais j'avais d'abord pensé à la natation, j'en fais et j'aime beaucoup de sport, et comme tu n'y viens pas, je me suis dit que tu avais peut-être encore à découvrir cette activité."
Sentant cette phrase peu convaincante, Asami ne put s'empêcher d'ajouter :
" Si tu veux on pourrait y aller ensemble pour que tu découvres, en plus, Michael Phelps, un américain, comme toi, y est très fort, c'est un signe non ? "
Cette fois, la lycéenne avait été bien plus amicale et avait usé d'une voix plus douce et espiègle, espérant attirer Cassidy vers le sport peut-être pas seulement parce que c'était sain ou quelque chose du genre mais simplement car l'on pouvait s'y amuser et fréquenter ses amis.
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Elle était toujours debout avec quelques brochures dans ses bras, je la regardais avec une certaine envie, elle était après tout magnifique. Asami était un très beau prénom aussi, qui lui allait à ravir. Je la vis s’accroupir en rabattant sa jupe sous elle, je lui souriais… dommage qu’elle eut rabattu sa jupe, j’aurais bien regardé dessous. Elle posa ses brochures sur le sol tout en gardant une, je me demandais bien de quel sport il s’agissait…
_ « Il y a beaucoup de sports qu'on peut faire à Seikusu, j'en ai amené beaucoup. Mais j'avais d'abord pensé à la natation, j'en fais et j'aime beaucoup de sport, et comme tu n'y viens pas, je me suis dit que tu avais peut-être encore à découvrir cette activité. Si tu veux on pourrait y aller ensemble pour que tu découvres, en plus, Michael Phelps, un américain, comme toi, y est très fort, c'est un signe non ? »
J’évitais de rire, car de tous les sports qu’elle pouvait choisir, la natation était le seul que je ne ferais jamais en public, à cause de ma particularité. Elle me pensait américaine… enfin c’est vrai que j’y ais vécu pendant presque dix ans, mais j’étais anglaise à l’origine. Je soupirais puis me relevais en souriant.
_ « Je ne suis pas américaine, mais anglaise, mais beaucoup confonde les deux, surtout que je dois avoir l’accent américain… pour la natation… »
Mon ton était gentil, et je fis une petite grimace en parlant de natation.
_ « La natation est le sport que je ne peux pas pratiquer du tout… »
Devais-je lui dire ? Pour quelle puisse comprendre ? Allait-elle fuir ma chambre et répéter à tout le monde ma particularité ?
_ « Je vais te dire pourquoi, mais je veux que tu me promettes de ne rien dire aux autres… d’accord ? »
Je la regardais avec gentillesse, espérant ardemment qu’elle me dise oui…
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Asami, alors qu'elle attendait en réalité une réponse, vit finalement Cassidy la corriger quant à sa nationalité. Il n'avait pas semblé à la jeune fille qu'elle était anglaise, en réalité, l'accent n'avait pas grand-chose à voir avec cela - Asami n'avait aucunement la capacité de discerner les origines en fonction de celui-ci - mais elle croyait cela simplement car elle avait entendu dire qu'elle venait d'un lycée américain à son arrivée ici, peut-être parce qu'elle allait déjà à ce lycée en tant qu'étrangère.
Asami rougit légèrement à cette erreur qui aurait peut-être pu s'avérer être vexante, mais le ton qu'avait employé Cassidy faisait tout pour la dissuader de croire cela et celle-ci enchaîna rapidement sur une autre déclaration, ce qui permit vite à sa camarade de "tourner la page", se tournant vivement vers elle. Cette fois, l'élève anglaise expliquait clairement qu'elle ne pratiquait pas la natation non pas parce qu'elle ne voulait pas, mais parce qu'elle ne pouvait, et à sa grimace, on pouvait aisément la croire lorsqu'elle affirmait qu'elle avait un problème avec ce sport. Asami avait déjà commencé à regarder le sol pour se saisir d'autre brochures qui elles parleraient avec un peu de chance de sports qu'elle voudrait et pourrait faire, qu'elle fut interpelée par la voix de Cassidy qui lui proposait d'exposer la raison derrière son refus de la nage.
« Je vais te dire pourquoi, mais je veux que tu me promettes de ne rien dire aux autres… d’accord ? »
Cette phrase mettait mal à l'aise Asami : Non seulement semblait-ce être une confidence, mais cela l'attrista de savoir que la raison derrière tout cela devait être aussi...Difficile à supporter, puisqu'elle n'osait qu'à peine en parler. D'une certaine manière, sans doute eut-ce été plus simple de refuser, mais Asami ne se sentait pas capable de refuser la confiance de sa camarade, ce qui serait déjà en soi la trahir, alors, abandonnant ses quelques brochures et tournant son regard d'émeraude vers elle, elle lui répondit d'une voix qu'elle voulait aussi calme, rassurante et gentille que possible.
«Bien sûr que je te le promets si tu ne veux pas...Qu'est-ce qu'il y a ? »
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Je voyais bien qu’elle ne voulait pas me faire de peine en refusant de me dire qu’elle ne voulait pas savoir. Je m’empêchais d’esquisser un sourire tout en la regardant. J’étais sous le charme de cette jolie jeune fille, toujours première de la classe et dans toutes les matières, elle était parfaite pour un jeune homme ou pour une jeune femme.
_ « Bien sûr que je te le promets si tu ne veux pas...Qu'est-ce qu'il y a ? »
Je lui souris et baissais la tête. Ce n’était pas évident de révéler ce genre de chose, même à une camarade de classe, même à la déléguée la classe… une telle chose pouvait me faire devenir un objet sexuel pour elle si elle décidait de me faire chanter. J’inspirais profondément avant de relever la tête.
_ « Je ne vais pas à la piscine, parce que j’ai… »
Je baissais à nouveau la tête en rougissant.
_ « Le mieux c’est que je te montre… »
Je relevais ma jupe, lui montrant ma petite culotte simple. On voyait parfaitement que je possédais un attribut typiquement masculin d’assez bonne taille, même au repos. Ce qui était le cas. J’étais rouge pivoine puis je rebaissais ma jupe, me demandant ce qu’elle allait faire maintenant qu’elle connaissait mon secret. Celui-là même qui m’avait valu de devenir l’objet sexuel d’une dizaine de fille d’une classe précédente à Miami.
Je relevais la tête et la regardais.
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Après sa phrase, Asami put voir sa camarade sourire, bien qu'elle baissa vite la tête. Cela lui semblait à la fois rassurant et malheureux : Sa bouche brillement soulignée trahissait que sa confiance la touchait, ce qui ne pouvait qu'être une bonne chose, mais elle avait aussi tourné son beau visage vers le sol, ce qui rappelait que ce gâche de confiance n'était qu'un secret dont elle avait honte. La déléguée n'osa briser un silence qui dura quelques secondes, pendant lequel Cassidy rassemblait sans doute son courage pour sa confession. Lorsqu'elle commença finalement une phrase, Asami retint son souffle, mais elle l'interrompit vite pour proposer de plutôt montrer son problème. Pouvant en déduire que son empêchement était d'ordre physique, Asami ne s'étonna évidemment pas de voir sa camarade se lever, mais lorsqu'elle releva sa jupe, elle rougit évidement, ne s'attendant pas à cela. Finalement, ce fut un sexe masculin que Cassidy révéla, faisant rougir de plus belle Asami, qui détourna rapidement le regard une fois qu'elle avait effectivement réalisé. C'était, sans aucun doute un sexe masculin, d'une assez bonne taille de ce qu'avait eu le temps de discerner la lycéenne. Après un court silence gêné des deux jeunes filles, la déléguée réalisé qu'elle avait de multiples interrogations quant à cette particularité, mais aucune n'était bonne à posée à cet instant, et elle comprenait maintenant tout à fait la gêne de sa camarade. Alors que celle-ci la fixait, attendant une réponse, Asami n'eut d'autre réflexe que se lever, s'asseoir aux côtés de Cassidy, puis lui prendre la main.
" Je comprends que tu sois gênée de le montrer...A tout le monde...Mais si tu veux, on pourrait aller à la piscine seules, juste nous deux...Puisque maintenant je le sais, ce serait possible non ? En plus...J'imagine que tu n'as pas du pouvoir nager souvent...Ca ne te tenterait pas ? "
Elle avait dit ça en toute honnêteté, plongeant ses yeux émeraudes dans ceux de Cassidy, ne serrant pas fortement sa main mais y appliquant assez les douces siennes pour lui témoigner tout son support.
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Je la vis rougir comme une pivoine quand je lui montrais ma particularité. Ce qui me plut tandis qu’elle détournait le regard rapidement quand elle eut comprit ce qu’elle voyait. Elle me regardait tandis que je me rasseyais sur mon lit mettant mes mains sur mes jambes… je la regardais un peu rougissante. Je voyais bien qu’elle avait de nombreuses questions à mon sujet et aussi au sujet de ma particularité.
Je la vis se lever et venir s’assoir à mes côtés puis elle me prit la main. Elle avait une main plutôt chaude et amicale. Je rougis encore plus, sentant un début d’excitation. Je fermais les yeux pour ne pas penser à ce qui m’arrivait encore une fois…
_ « Je comprends que tu sois gênée de le montrer... à tout le monde... mais si tu veux, on pourrait aller à la piscine seules, juste nous deux... puisque maintenant je le sais, ce serait possible non ? En plus... j'imagine que tu n'as pas du pouvoir nager souvent... ça ne te tenterait pas ? »
J’ouvris les yeux et la regardait quand elle me dit ça, elle plongea son beau regard émeraudes dans le mien. Elle semblait honnête et ne serrait pas ma main mais elle tentait de me réconforter avec ses mains. Elle ne faisait qu’une chose, m’exciter davantage. Une bosse apparut entre mes jambes et souleva ma jupe. Je devins rouge pivoine puis je lui lâchais les mains pour cacher mon érection. J’avais honte que mon corps réagisse comme cela au simple fait qu’on me témoignait un peu de réconfort.
_ « Excuses-moi… euh… c’était pas prévu… »
Je bredouillais des excuses pour éviter qu’elle ne sorte de ma chambre en courant... et je n'avais toujours pas répondu à sa question.
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Alors qu'Asami tentait d'être la plus sérieuse possible et se consacrait à essayer de conforter Cassidy, celle-ci lui répondit après quelques instants d'hésitation, étrangement rougissante, se confondant en des excuses dont sa camarade ne comprenait pas l'objet et lâchant dans ce qui semblait être de la gêne les mains de la lycéenne. Par réflexe, Asami regarda autours d'elle pour chercher ce qui aurait pu causer ce discours qu'elle ne comprenait pas, avant d'être attirée par l'objet du secret qu'on venait de lui confier, étrangement visible, trahissant une érection évidente. Rougissant presque autant que sa camarade, Asami avait laissé ses mains retomber sur la cuisse de Cassidy, bien évidemment sans le faire exprès, et entre-ouvrit la bouche de surprise avant de balbutier, confuse.
" Je...J'imagine que...Enfin...Ce n'est pas grave, ne sois pas désolée...Je...Je n'aurais pas du te... "
Rougissant - Plus qu'elle ne l'était déjà - au fur et à mesure qu'elle devenait incohérente, Asami finit par arrêter d'essayer de parler pour se re-concentrer. Elle inspira profondément sous le regard de Cassidy, la fixant pour cesser de faire de même avec son entre-jambe qu'elle n'avait cessé de regarder, entre la gêne, la confusion et, bien qu'elle avait honte de l'admettre, la fascination. De même, elle retira ses mains des jambes de sa camarade, les plongeant entre ses deux cuisses où elles ne pourraient pas se ficher à un autre endroit aussi compromettant. Finalement, elle put se mobiliser pour réussir à parler, cependant d'une voix peu assurée bien qu'aussi douce qu'à son habitude.
" Ce n'est rien...J'imagine que c'est ma faute, je n'aurais pas du me rapprocher de toi comme ça...Oublions ça...Mais ma proposition tient toujours...Nous pourrions aller à la piscine toute les deux, je demanderais les clefs à notre professeure et il n'y aurait personne d'autre, tu pourras te montrer autant que tu voudras et personne n'auras rien à redire... "
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Quand Asami reposa ses mains sur ma cuisse, mon érection fut encore plus visible, je baissais les yeux, elle me plaisait beaucoup mais apparemment elle semblait mal à l’aise en voyant mon érection. Elle était aussi confuse que moi, j’aurais aimée lui faire l’amour si elle acceptait bien sûr, je n’avais jamais forcé quelqu’un.
_ « Je...J'imagine que...Enfin...Ce n'est pas grave, ne sois pas désolée...Je...Je n'aurais pas du te... »
Elle rougissait autant que moi et était tout aussi incohérente que moi… elle finit par s’arrêter de parler, tandis que je rougissais toujours et que mon érection devenait plus forte à mesure que le temps passait. Je voyais bien qu’elle semblait fascinée par mon érection. Puis elle retira ses mains de mes jambes pour les mettre entre ses deux cuisses. Je la regardais toujours.
_ « Ce n'est rien...J'imagine que c'est ma faute, je n'aurais pas du me rapprocher de toi comme ça...Oublions ça...Mais ma proposition tient toujours...Nous pourrions aller à la piscine toute les deux, je demanderais les clefs à notre professeure et il n'y aurait personne d'autre, tu pourras te montrer autant que tu voudras et personne n'auras rien à redire... »
Je hochais la tête tout en l’imaginant me faire tout un tas de trucs… ce n’était pas ça qui allait me calmer avant un petit moment. J’essayais d’inspirer profondément.
_ « Non, ce n’est pas vraiment ta faute… mais oui, pourquoi pas aller à la piscine toutes les deux… »
Je rougissais toujours tout en la regardant. Mon cœur battait dans ma poitrine parce que j’étais excitée par la présence de Asami. Je posais une main sur sa propre cuisse et commençait à la lui caresser doucement.
_ « J’ai remarquée que ça t’intriguait et te fascinait… je… euh… si tu veux tu peux… regarder… et toucher… enfin… »
Je rougissais de plus en plus, ne sachant pas quoi dire de plus. Sa présence, son parfum, sa beauté m’excitait… c’était plus fort que moi, elle était très belle et me plaisait beaucoup mais je ne voulais pas la brusquer mais je continuais mes caresses sur sa cuisse.
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Après avoir remis les choses au clair, Asami se sentait plutôt calmée et une partie de sa gêne s'était envolée, ce que sembla justifier la réponse de Cassidy qui la ravit, lui donnant la chance de faire découvrir la natation à l'hermaphrodite : Tout se passait à merveille, du moins, au début. Un léger moment après cette première partie, la jeune fille mit sa main sur la cuisse de la déléguée, la faisant rougir bien plus même qu'auparavant, et lorsqu'après quelques instants elle détourna son regard de ses jambes pour espérer une explication de sa camarade, elle put lentement sentir la main de sa camarade glisser le long de sa cuisse, accentuant encore la gêne d'Asami qui, si c'était encore possible, teinta d'un rouge encore plus vif son visage. Les lèvres de Cassidy apportèrent vite cette explication, bien qu'elle n'aidait en rien la jeune fille à être détendue : Elle lui proposait, en toute simplicité, d'observer et toucher sa "particularité".
Asami en était troublée : La situation transformait cette phrase, qui serait autrement typique d'une certaine espièglerie de la part de Cassidy, en réelles avances. D'un côté, tout cela semblait plus que précipité et il semblait pour le moins difficile d'imaginer cette proposition comme normale, ce que prouvait largement la couleur de ses joues, mais la jeune fille ne pouvait nier avoir en elle le désir de l'accepter : Elle appréciait le toucher des douces mains de sa camarade, et au moins sa curiosité si ce n'est plus lui donnait envie d'effectivement en savoir plus sur ce qui faisait la "particularité" de Cassidy. Finalement, rassemblant tout son courage pour fournir une réponse, elle s'exécuta. Elle ne se sentait cependant pas réellement capable de parler pour le faire : Elle avait déjà horriblement et honteusement balbutié il y a quelques instants pour bien moins que ça, et, maintenant que son cœur brûlait au beau milieu de sa poitrine, qui sait à quel point cela aurait été incompréhensible. Pour autant, sa réponse vint bel et bien de ses lèvres, puisqu'elle se pencha lentement pour les poser sur celles de sa camarade tout en fermant les yeux : Sans doute comprendrait-elle, d'autant qu'alors que du même mouvement elle avait placé sa main droite sur la cuisse de Cassidy et sa gauche sur ses belles joues, elle pouvait de ce simple contact sentir le corps bouillant de sa camarade et toute la tension qui le traversait. Elle regretta presque aussitôt ce geste, qu'est-ce qui avait pu lui traverser l'esprit ? Comment s'était-elle permis cela ? Et si ce n'était pas ce que sa camarade souhaitait..?
Mais il lui semblait être déjà bien trop tard pour ce genre de considérations et elle ne fit qu'en rougir et sentir son cœur bouillant prêt à bondir hors de sa poitrine, aller en arrière étant maintenant sans doute inutile et, ce qu'elle n'osait se dire, regrettable.
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La rougeur d’Asami était à l’unisson avec la mienne tandis que je continuais de lui caresser la cuisse, ce qui m’excitait de plus en plus. Je voyais bien qu’elle était troublée. Elle devait se poser des tas de questions, que je prendrais plaisir à répondre. Je la voyais me regarder en rougissant, ce qui me plaisait encore plus et accentuais mon érection tandis que j’accentuais mes caresses sur sa cuisse.
Je la vis se pencher lentement et déposer ses lèvres sur les miennes en fermant les yeux. Ce n’était qu’un chaste baiser, mais c’était déjà ça. Elle posa dans le même mouvement sa main droite sur ma propre cuisse ce qui fit pulser mon membre sous ma jupe. Celle-ci commençait à avoir une petite tâche humide, signe de ma forte excitation, je mouillais déjà ma petite culotte à l’idée de lui faire l’amour doucement. Sa main gauche vint me caresser mes joues. Elle avait aussi chaud que moi, elle devait être aussi excitée.
Je la vis alors rougir de plus bel, tandis que je lui souriais, passant ma main libre sur son manteau et le lui déboutonnant puis le lui retirant. Je voyais bien qu’elle culpabilisait un peu de m’avoir fait un chaste baiser.
_ « J’en ais envie aussi… »
Je lui retirais son haut tout en la caressant sensuellement, prête à la laisser partir si elle ne voulait pas continuer. Je l’embrassais dans le cou tout en la déshabillant doucement mais surement.
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Alors que l'esprit d'Asami était plus désorienté que jamais, ne sachant réellement que faire, continuer cette folie ou l'arrêter, elle se vit offrir une réponse par Cassidy : Celle-ci continua sur la lancée de la jeune fille, défaisant lentement son manteau, ce qui, d'un côté, la mit plus à l'aise - Elle avait chaud et ce manteau n'était là que pour aggraver cet état - mais augmenta horriblement son stress, car les mains des sa camarade se baladaient ainsi sur elle alors que son corps n'en était que plus dévoilé. Liant les mots aux actes, elle tenta de rassurer Asami en lui avouant son envie pour elle, tout en enlevant sa veste, cette fois en s'attardant bien plus sur son corps que le simple vêtement, ce qui fit rougir de plus belle la jeune fille.
Dans un élan de ce qui lui semblait presque être du courage, Asami se pencha à nouveau en avant jusqu'à faire basculer Cassidy sur son dos, elle-même se plaçant au dessus d'elle, une de ses cuisses venant se placer entre les jambes de sa camarade. Elle embrassa l'hermaphrodite, cela lui semblait l'aider à continuer, peut-être lui fournissant une envie plus forte de le faire, et, usant de ses deux mains, se mit elle aussi à déshabiller sa camarade, commençant par sa veste, ce qui ne fut pas bien dure, puis sa cravate, après quoi elle marqua une légère pose, posant une de ses mains nonchalamant sur la poitrine de Cassidy . Finalement, elle ôta ses lèvres de celle de sa camarade, puis descendit doucement, déposant à chaque instant des baisers sur sa peau, vers son cour qu'elle embrassait longuement en fermant les yeux. Elle commença alors, convaincue que c'était ce qu'elle voulait, à défaire les premiers boutons de la chemise de sa camarade, lentement et en ne manquant à aucun moment de s'attarder au contact de ses formes et de sa douce peau mais, après quelques uns, qui, lorsqu'elle baissait parfois son regard - A sa honte, elle était se sentait bien trop stressée à ce moment pour convenablement enlever tous ces boutons à l'aveuglette - lui laissaient l'agréable vue du décolleté de Cassidy, elle marqua une légère pause, demandant une ultime fois à sa camarade si ce n'était pas mal.
" Tu es sûre que...C'est ce que tu veux ? "
Cette pause où elle ne faisait rien d'autre que plonger son regard émeraude dans celui de Cassidy, d'un angle faible puisqu'elle avait encore ses lèvres entre-ouvertes au niveau de son cou, lui fit brusquemment ressentir tout ce que son corps faisait. Son coeur lui faisait entendre un bruit de tambours régulier et presque assourdissant alors qu'à chaque battement il lui semblait taper sur sa poitrine pour en sortir, quant à sa culotte, encore, par chance se disait-elle, couverte par sa jupe, elle était marquée d'une longue tâche d'excitation accumulée depuis tout à l'heure.
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Asami me fit basculer sur le dos quand elle se pencha en avant tout en se plaçant au-dessus de moi. Sentir sa cuisse entre mes jambes, me les fit s’écarter. Elle m’embrassa tandis que je lui la caressais à travers son chemisier tandis qu’elle faisait de même avec moi, elle commença par ma veste. Je lui rendais toujours son baiser quand elle posa ses mains sur ma poitrine, mes tétons étaient déjà en érection, prouvant que tout mon corps était dans un état d’excitation assez forte. Elle rompit le baiser puis descendit en posant un baiser à chaque instant sur ma peau. Je gémissais et frissonnais sous ces baisers.
Elle commença à défaire mes boutons de ma chemise, très lentement, n’en manquant aucun et en s’attardant au contact de mes formes. Je profitais qu’elle regardait ce qu’elle faisait pour regarder la vue dégagée de la base de ses seins, son décolleté présageait une jolie poitrine. Puis elle s’arrêta. Je la regardais en souriant, passant ma langue sur mes lèvres d’un air qui se voulait aguichant.
_ « Tu es sûre que...C'est ce que tu veux ? »
Elle me regardait dans les yeux tandis que je hochais la tête. Mais que croyait-elle ? Que j’allais la laisser partir maintenant ? Je lui déboutonnais sa chemise puis la lui retirais avant de lui retirer son soutien-gorge. Je lui caressais doucement les seins.
_ « Ça répond à ta question ? »
Je la caressais tout en faisant glisser sa jupe et en l’embrassant dans le cou.
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Toujours en l'attente d'une réponse de sa camarade, qu'elle espérait ardemment être positive, Asami sentait son corps entier brûler, et, comme si Cassidy voulait l'en libérer tout en répondant à sa question, exauçant son désir, elle la déshabilla lentement, la faisant se redresser pour rendre cela plus facile : d'abord sa chemise, ce qui fit rougir sa maintenant ex-porteuse, dévoilant sa poitrine, puis son soutien-gorge - Qui, malheureusement se dit sa propriétaire, était plus qu'ordinaire - qui eux libérèrent complètement ses seins, de même que ses tétons qui trahissaient l'excitation de la jeune fille. Cassidy cependant entreprit de re- cacher un de ses seins de sa proche main, le massant agréablement, et donnant à nouveau à Asami l'envie de ses lèvres, la faisant à nouveau se pencher sur elle alors que l'autre main de sa camarade glissait agréablement le long de sa cuisse, emportant sa jupe avec elle, dévoilant d'autant les longues et fines jambes de la jeune fille. Sentant délicieusement les baisers de l'hermaphrodite joncher son cou, elle entreprit de finir de déboutonner sa chemise, légèrement tremblante et entrecoupant ses actions de gémissements, pour simplement la laisser ainsi entrouverte, l'enlever totalement requérant une gymnastique qui séparerait bien trop son corps de celui de Cassidy dont elle ne pouvait se passer. Quant au soutien-gorge, elle le dégrafa avant de se contenter de le faire tomber de ses seins, toujours pour les mêmes raisons, massant brièvement cette poitrine douce et il faut l'avouer, assez généreuse.
Finalement, elle enleva à regret ses mains de Cassidy, du moins pas pour longtemps, car elle les plaça vite sur ses hanches, les faisant doucement, pour profiter de chaque instant, remonter les jambes de l'hermaphrodite. Ses mains arrivées proches du bassin, Asami se détacha de sa camarade, reculant, pour, la fixant d'un regard aguichant et plein de désir envers celle-ci, la défaire lentement de sa culotte. S'arrêtant un instant, contemplant la particularité désormais évidente de Cassidy, elle ne put s'empêcher de vite s'en occuper : Écartant les jambes de sa camarade et lui relevant sa jupe, elle se pencha pour mieux atteindre son entre-jambe, et, désormais plus basse que le membre de l'hermaphoridite, elle entreprit de le lécher doucement, pleine de sensualité, d'abord seulement de bas en haut, puis de plus diverses manières, pour enfin finir par le mettre partiellement dans sa bouche, le caressant, l'harcelant toujours de la langue. Finalement, ayant tardé à le faire, peut-être par simple oubli, elle entreprit d'également stimuler son sexe féminin, le caressant habilement.
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Asami se mit à finir de déboutonner ma chemise tandis que je lui caressais le dos et les seins, puis tandis qu’elle dégrafait mon soutien-gorge. Mes tétons, tout comme ceux de la jolie déléguée de classe, étaient bien dresser vers elle. Ma main qui lui caressait le dos descendit vers ses fesses pour les caresser doucement à travers le tissus de sa petite culotte, elle avait une paire de fesses agréablement rebondit, ce qui m’excita encore plus, mon membre viril eut un soubresaut qui me fit gémir. Elle me massa un instant ma poitrine avant de retirer ses mains qu’elle replaça rapidement sur mes hanches qu’elle caressa doucement.
Je la regardais faire, elle semblait avoir de l’expérience, je passais ma langue sur mes lèvres. Elle me regarda d’une manière aguichante tandis qu’elle me retirait ma culotte puis elle contempla mon hermaphrodisme. Enfin, elle écarta mes jambes, je la laissais faire, impatiente de voir ce qu’elle allait faire. Elle se pencha vers mon entrejambe bien dressé devant elle, il était d’une taille assez impressionnante. Elle se mit à me le lécher doucement et d’une manière sensuelle, ce qui me fit gémir à nouveau tandis que ma verge pulsait sous sa langue. Elle était douée, n’empêche. Je ne pris le temps que de retirer ma chemise et mon soutien-gorge puis je me mis à lui caresser les joues et les cheveux.
_ « Tu as l’air de t’y connaître… est-ce que tu es vierge ? Je ne pense pas, mais… »
Je ne pus rien dire de plus qu’elle mit partiellement mon membre dans sa bouche tout en le caressant et le léchant. Oui, elle savait y faire. Je poussais un autre gémissement quand elle se mit à stimuler aussi mon intimité. Je la laissais faire, elle pouvait me faire tout ce qu’elle voulait. Je n’allais pas me plaindre mais j’aurais voulu lui en procurer aussi. Je lui relevais la tête doucement puis je m’installais correctement sur le dos et sur le lit avant lui faire signe de monter sur celui-ci, de manière à faire un soixante-neuf.
_ « Viens, j’ai envie de te donner aussi du plaisir… »
Je lui souris en attendait qu’elle me rejoigne sur le lit.
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Asami s'occupait de la partie masculine de Cassidy du mieux qu'elle pouvait, la stressant, car elle se demandait si ce qu'elle faisait était bien, si sa camarade y prenait du plaisir, ce qui, des soubresauts que son membre connaissait, semblait être le cas. L'hermaphrodite caressait ses cheveux et sa joue, ce qui la rassurait et la confortait dans ce qu'elle faisait, y renforçant le plaisir qu'elle y prenait et la faisant légèrement gémir, bruit cependant étouffé par l'occupation de sa langue à ardemment lécher le membre de sa camarade.
Cassidy commença une phrase au moment même où Asami mit dans sa bouche son sexe, l'interrompant, et, dans sa concentration et sa gêne, effaçant complètement la question pour la déléguée qui n'y répondit de ce fait évidement pas. Après quelques instants ainsi où la jeune fille profitait du moment au moins autant que l'hermaphrodite, bien que n'y prenant sans doute pas le même plaisir, elle sentit la main de celle-ci doucement glisser vers son menton et, y appliquant une légère force, lui intimer de cesser ce qu'elle faisait. Levant doucement les yeux, ses lèvres encore séparées et sa langue légèrement tirée, comme marquées par leur action précédente, elle put voir sa camarade se mettre sur le lit, à l'envers, l'invitant vraisemblablement à un 69. Sa culotte encore en place, Asami rougit alors qu'elle l'ôtait, découvrant son sexe d'un doux rose et indéniablement encore vierge. S'exposant ainsi à sa camarade, celle-ci l'ayant regardé tout le long de son déshabillement, elle était d'un coup assez stressée et, à cause de cela, elle alla droit au but et monta sur le lit. Passant à quatre pattes au dessus de Cassidy, elle s'arrêta alors que sa jupe caressait son visage. La levant d'un geste de la main, laissant ainsi le pan avant reposer sur la poitrine de sa camarade alors que l'arrière était derrière sa tête, elle était ainsi prête à recevoir le cadeau de l'hermaphrodite ; en d'autres termes, son sexe, mouillé de tout le désir qu'elle avait développé jusqu'ici, était juste au dessus de sa tête.
N'ayant qu'à se pencher pour cela, elle se concentrer alors à nouveau sur le membre de Cassidy : Elle fit lentement glisser une de ces mains sur celui-ci, entreprenant de, quelques instants, le masturber, avant de le remettre dans sa bouche que la chaleur du sexe de sa camarade envahissait délicieusement alors que sa langue en harcelait le gland, le léchant dans tous les sens, le saturant de délicieuses stimulations. Elle passa ses mains sous les cuisses de la jeune fille, se plaquant contre elle, mêlant la chaleur de leurs deux corps maintenant tous deux presque complètement nus, et d'une d'elle, elle entreprit de toucher le sexe féminin de l'hermaphrodite, effleurant d'abord ses lèvres puis, doucement, celui-ci déjà abondamment lubrifié, y glissant régulièrement ses doigts, n'entrecoupant cependant ces courtes et petites pénétrations que d'autres caresses tout aussi douces et délicieuses. Elle émettait durant tout cela de petits gémissements étouffés par l'occupation de sa bouche, son sexe se contractant avec ses pics de plaisir et entretenant un flux incessant de cyprine, un liquide dont le goût était aussi délicieux que sa source, le plaisir lui-même.
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J’avais encore ma jupe sur moi, mais rien de plus. Sa petite culotte semblait bien trempée. Elle rougit en la retirant, elle avait une jolie petite chatte qui semblait totalement vierge. Je passais ma langue sur mes lèvres, son sexe était bien rose et ne semblait pas avoir servi. Moi qui pensais que la déléguée de la classe était une sainte nitouche, apparemment, je me suis bien plantée sur ce coup. Avoir la primeur de sa fleur m’excita encore plus. Les tétons de mes seins se dressèrent, rien qu’à la vue d’Asami. Puis elle monta sur mon lit, passant au-dessus de moi et présentant son joli petit sexe excitée à ma vision.
Elle releva ma jupe de manière à la déposer sur mes seins, cela aussi m’excita, montrer à la déléguée de la classe ma particularité. Mon pénis avait encore grossi, c’était souvent le cas quand une pucelle me le léchait. Tandis qu’elle glissait une de ses mains sur celui-ci, je ne pus m’empêcher de pousser un petit gémissement de plaisir. Heureusement que j’étais seule dans ma chambre, qu’il n’y avait pas encore de colocataire, donc on n’avait pas à s’attendre que quelqu’un entre dans celle-ci. Elle me masturba pendant quelques secondes, était-elle réellement vierge ? Finalement elle le prit en bouche pour me faire une douce fellation tandis que sa langue harcelait mon gland.
Oui, elle savait y faire, bien plus que certaines filles dépucelées et délurée avec qui j’avais fait l’amour. Non, elle avait un don pour cette activité, j’en savais beaucoup sur ce sujet. Elle me léchait le pénis dans de nombreux sens, elle expérimentait surement mais c’était excessivement plaisant. Elle plaça ses mains sur mes cuisses, se plaquant contre moi. Une de ses mains entreprit d’effleurer mon intimité avant d’y glisser régulièrement ses doigts, alternant caresses et douce pénétration. Je mouillais à chaque fois un peu plus au grand bonheur d’Asami.
Je n’étais bien évidemment pas en reste, me mettant à lui caresser ses fesses d’une main, la passant sur la raie, effleurant doucement sa rondelle tandis que mon autre main lui caressait le ventre doucement. Je soufflais doucement sur ses lèvres intimes avant de les lui lécher doucement, récoltant le liquide qui coulait entre ses cuisses. Mes mains n’arrêtaient pas de la caresser sensuellement. Quand elle se plaqua contre moi, je retirais ma main qui lui caressait le ventre. Avec elle, j’écartais doucement ses lèvres intimes pour apprécier la fine membrane de son hymen. Avec un grand sourire, je posais mes lèvres dessus pour embrasser cette intimité vierge qui m’était offerte en une vision magnifique.
J’entrepris de lui lécher sa grotte d’amour tout en gémissant à ses caresses. Ma main libre lui titillait sa perle d’amour tandis que celle qui lui caressait les fesses les continuait. J’envoyais doucement ma langue explorer son antre de plaisir, à la recherche d’un doux nectar appelé cyprine. Il n’y avait rien de meilleur que de faire l’amour à une petite vierge. Et celle-ci était d’une grande ingéniosité pour donner du plaisir. Je lui pinçais doucement son clitoris tout en enfonçant toujours ma langue en elle.
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Asami s’afférait du mieux qu’elle pouvait à combler sa camarade : Elle prenait en bouche son membre désormais en quasi-permanence et souvent une relativement grande partie, cependant jamais trop pour toujours lui permettre d’utiliser sa langue qu’elle faisait tourner autour du gland. Ses mains, elles, la faisant toujours profiter sur corps de sa partenaire en l’y plaquant, passant sous ses cuisses, s’occupaient de la partie féminine : Bien que cela était un peu dure, la jeune fille tentait d’y faire de son mieux, aillant entre-temps mis à l’usage son autre main pour effleurer du bout des doigts le clitoris dressé.
Elle-même était par ailleurs agréablement servie par Cassidy, car celle-ci s’était vite affairée : Elle l’avait d’abord caressée de toutes parts, de ses fesses à son intimité, avant de la pénétrer de sa langue. C’était extrêmement agréable : Asami pouvait sentir son organe mouillé se tortiller en elle, et les mains de l’hermaphrodite n’avaient aucunement cessé leur activité, en redoublant même, effleurant et titillant son clitoris d’une manière exquise.
Tout cela était jusque là relativement inconnue à la jeune fille, et à chaque fois que la langue et les fins doigts de Cassidy agissaient trop de concert ou simplement trop adroitement, elle laissait échapper un gémissement exprimant son plaisir. De même, l’hermaphrodite devait certainement sentir à ces moments qu’Asami, d’un mouvement incontrôlable, enfonçait le membre plus profond dans sa bouche, et que ses doigts exécutaient des mouvements plus forts et vifs sur sa féminité, la stimulant bien plus que les caresses douces et légères qu’elle ne cessait de faire quasi-automatiquement depuis tout à l’heure, aillant après tout deux organes desquels s’occuper depuis tout à l’heure.
Asami était à cause de toutes ces petites choses dans tous ses états : Un flot ininterrompu de cyprine ruisselait le long de la langue de Cassidy, lui faisant délicieusement goûter ce doux nectar, et malgré que son muscle n’était pas bien profondément en elle, elle pouvait sentir le sexe de la lycéenne de contracter de temps en temps autour de celui-ci, quant à son clitoris, il était complètement dressé et l’hermaphrodite pouvait aisément l’effleurer, le chatouiller ou le pincer pour la plus grande plaisir d’Asami.
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Elle était douée cette petite pucelle, très douée… elle faisait tout pour me combler et j’appréciais tout comme elle semblait aimer ce que je lui faisais. Quand elle semblait aimer ça, elle enfonçait mon pénis plus profondément dans sa bouche, me faisant gémir un peu plus. En même temps, ses doigts allaient plus vite et plus fort dans mon intimité. Elle mouillait abondamment, je goutais allégrement à ce précieux liquide qu’on appelait cyprine. Moi-même, je mouillais aussi. Son gout était vraiment délicieux. Je sentais son clitoris complétement dressé tout comme le mien d’ailleurs.
Je cessais de lécher ses lèvres intimes pour aller suçoter sa perle d’amour. J’avais envie d’elle, elle était belle et semblait aimer ce que je lui faisais. De plus, elle semblait aussi aimer faire ce qu’elle me faisait. Je souris doucement, elle était vierge, mais plus pour longtemps… il y avait longtemps maintenant que je n’avais plus eu de pucelle…
Il était temps, elle était parfaitement prête à recevoir un membre elle, je continuais de m’amuser avec le bouton rose d’Asami tout en lui caressant ses fesses d’une main et le ventre de l’autre. Puis, je fis venir ma main entre ses lèvres intimes, et enfonçait doucement un doigt, pas profondément, juste pour voir sa réaction.
_ « Tu es très douée, pour une pucelle… tu es prête à me recevoir en toi, Asami… »
J’explorais très doucement sa grotte d’amour sans aller profondément pour ne pas perforer son hymen et tout en lui caressant et lui pinçant son clitoris.
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Asami « subissait » - Car cela était tout sauf désagréable - les caresses de la langue de sa camarade depuis de longs et savoureux instants quand elle entreprit d’aussi enfoncer un doigt en elle. Elle eut la même réaction qu’à chaque effleurement que lui donnait gracieusement l’hermaphrodite, gémissant légèrement et son sexe palpitant autour de celui-ci, mais cela permit aussi de constater qu’il glissait agréablement en elle, en tout facilité. Sans doute à cause de cela, Cassidy déclara la jeune fille prête à être pénétrée.
La déléguée enleva sa bouche du membre de sa camarade, presque à regret, et affala sur son ventre quelques instants, savourant les pénétrations de son doigt, gémissant faiblement sur la douce peau de Cassidy. Après quelques instants, elle fit passer sa jambe par dessus la tête de celle-ci, s’arrachant à regret à ses caresses, et s’affala à ses côtés, glissant une main sur son sexe pour continuer de le stimuler dans des va-et-vient peu assurés. Plaquant son corps contre celui de l’hermaphrodite, sa poitrine se pressant contre elle, Asami plaça son visage proche du sien, quelque peu en dessous, caressant de son souffle son cou. Elle balbutia quelque peu, tiraillée entre son désir pour Cassidy et une certaine retenue nécessaire.
« Je...Je ne voudrais pas que tu prennes ma virginité...Mais j’ai envie de toi en moi... »
Décidant de lier ses actes à cela, et ne voulant pas réellement discuter actuellement, elle l’embrassa brièvement dans le cou puis se remit à califourchon sur elle, se hissant au dessus de son membre. Ayant gardé sa main sur le pénis de l’hermaphrodite, Asami put le guider vers ses fesses, l’y appuyant légèrement pour se figer ainsi quelques instants, son sexe bien à la vue de sa partenaire. Elle s’empala ensuite lentement sur son membre, descendant d’abord lentement et gémissant langoureusement, les yeux fermés, puis, lorsqu’il fut plus en elle, se laissant tomber sur le ventre de Cassidy. Elle étouffa un cri de plaisir, étant après tout dans des dortoirs, bien qu’elle lâcha effectivement un souffle empli de désir.
Restant ainsi quelques instants, son anus et son sexe se contractant pour le plaisir des yeux et des sens de sa camarade, Asami saisit une des mains de celle-ci pour la guider vers son cœur brûlant de passion et bien évidemment sa poitrine, ses tétons dressés de désir, et prit simplement l’autre dans la sienne, y cherchant un toucher réconfortant. Elle se mit alors à lentement bouger ses jambes, instaurant des va-et-vient dans le membre de Cassidy dont chaque palpitations lui arrachait des gémissements de plaisir qu’elle tentait de réprimer en vain. Après avoir installé un rythme convenable qu’elle maintenait avidement, palpitant entièrement sous l’action de sa partenaire, elle ne put résister à l’envie d’encore plus la sentir en elle, guidant la main qu’elle tenait au creux de la sienne vers son sexe et la suppliant intérieurement de la toucher.
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La déléguée enleva mon membre de sa bouche, puis affala sur mon ventre durant quelques instants, tandis que je continuais de la pénétrer de mon doigt. Elle gémissait doucement sous mes attouchements. Puis elle fit passer sa au-dessus de ma tête, s’arrachant à mes caresses avant de s’affaler à mes côtés tout en continuant de me branler d’une manière peu assurée. Je la regardais tandis qu’elle plaquait son corps contre le mien, sa poitrine se pressant contre la mienne. Mes tétons se dressèrent encore plus au contact de ceux d’Asami. Elle plaça son visage proche du mien, légèrement en dessous.
_ « Je...Je ne voudrais pas que tu prennes ma virginité...Mais j’ai envie de toi en moi...
_ Si tu ne veux pas, je ne te forcerais pas… mais je peux avoir ton fondement ? »
Elle ne dit rien de plus, elle m’embrassa brièvement dans le cou puis elle se mit à califourchon sur moi, guidant et glissant son fondement sur ma queue. Elle se figea quelques instants car je ne l’avais pas préparée à ce niveau-là. Je voyais parfaitement son sexe rose et vierge qui me tentait bien. Mais, si elle ne voulait pas ce côté-là c’était elle qui voyait. Elle s’empala doucement tout en poussant un gémissant langoureux, qui m’excita d’avantage. Elle avait les yeux quand elle se laissant tomber sur mon ventre. Une fois mon pénis en elle, elle étouffa un cri de plaisir.
Elle resta ainsi quelque instant, son fondement se contractant sur mon membre tandis que sa petite chatte faisait de même. Elle me prit une de mes mains pour la guider sur sa poitrine, ses tétons étaient tout aussi dressés de désir que les miens. Elle me prit simplement l’autre dans la sienne. Je la serrais doucement tout en gémissant de plaisir. Elle exprimait son plaisir d’un petit gémissement. Elle se mit alors à effectuer un lent et doux vas-et-viens dans son petit trou, me faisant gémir un peu plus fort.
_ « Tu veux rester vierge pour être pure lors de ton mariage ? Tu sais, il y a beaucoup de filles qui font l’amour à cette heure-ci, dans les dortoirs… tu peux te laisser aller… »
J’avais ça pour savoir, tandis qu’elle dirigeait ma main qu’elle tenait dans la sienne vers son intimité. Je ne me fis pas prier pour aller lui caresser son bouton rose du pouce tout en en enfonçant doucement mon index en elle, je faisais très attention à ne pas briser son hymen. Je gémissais tout en continuant mes attouchements.
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Asami gémissait doucement alors qu’elle entamait de lents va-et-vient sur le membre de Cassidy, savourant ses caresses qui l’emplissaient de sa chaleur et de désir pour elle. Elle se retenait jusque là de gémir trop fort, péniblement elle devait avouer, et elle accueillit comme une libération la déclaration de sa partenaire, se laissant aller à des cris de plaisir plus forts bien qu’encore légèrement étouffés, n’osant tout de même pas sonner de toute sa voix. Son visage entier exprimait le plaisir qu’elle prenait malgré la dureté de cet acte, d’autant qu’elle l’avait commencé sans beaucoup de préparation, ses yeux émeraude à peine ouvert et tentant d’apercevoir sa camarade, ses lèvres s’écartant doucement au grés de ses gémissements . Son corps n’était pas en reste et s’extasiait sous le regard de Cassidy, sa peau brûlant sous les mains de celle-ci, son cœur battant sous le sein qu’elle massait, et son intimité mouillant sous ses yeux et ses caresses alors que, plus tactilement, l’orifice qu’elle pénétrait se resserrait périodiquement autour de son membre.
Lorsqu’elle fut ancrée dans le rythme qu’elle imposait à sa camarade en même temps qu’à elle-même, n’en ressentant plus beaucoup de douleur, elle se mit à vraiment apprécier ce qu’elles faisaient, se délectant du plaisir qu’elle prenait et sous son effet, posa une main presque par réflexe sur la poitrine de Cassidy, ses doigts se crispant faiblement dessus et la massant, l’autre couvrant celle de l’hermaphrodite sur son propre sein, l’y pressant. Elle gémissait d’autant plus fort que les caresses de l’hermaphrodite semblaient se faire plus insistantes, ses tétons comme son clitoris se dressant sous ses doigts et son intimité exposant, mouillé, ses palpitations à la vue de la jeune fille.
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Entendre Asami gémir comme elle faisait durant ses lents vas-et-viens sur ma verge, accentuait encore mon plaisir. Elle semblait savourer la chaleur de mes caresses. Je continuais d’explorer son antre du plaisir, en faisant attention de ne pas briser son hymen, et de caresser sa perle d’amour. Elle se laissait aller, ses cris de plaisir devenaient de plus en plus forts, à mesure qu’elle se laissait aller. Je la regardais, le plaisir se lisait sur son beau visage, ses beaux yeux verts mi-clos me regardait. Je lui massais aussi un sein tout en continuant mes caresses.
Elle continua ainsi jusqu’à prendre un bon rythme, je gémissais aussi, tout en la caressant… elle ne semblait plus avoir mal, et semblait apprécier mon membre impressionnant de vingt-cinq centimètres. Celui-ci s’enfonçait profondément dans son fondement, tandis qu’elle posait une main sur ma poitrine, ses doigts se crispant sur un de mes seins. Elle se mit à le masser, mes tétons se dressèrent rapidement sous ses massages. Son autre main se posa sur ma main qui lui massait son propre sein, comme si elle voulait m’accompagner, pressant celle-ci contre son sein. Sentir son téton se dresser sur ma paume, m’excita encore plus.
Mes gémissements accompagnaient ceux de la déléguée. Je la basculais sous moi, de manière à reprendre doucement le contrôle de la situation. Je continuais de la prendre doucement tout en allant l’embrasser tendrement, lui caressant un sein tandis que mon autre main me maintenait de manière à ne pas être totalement avachie sur Asami. Je continuais ainsi pendant un moment puis j’accélérais mes vas-et-viens dans son fondement, puisque je ne pouvais pas avoir sa virginité, alors, j’allais jouir dans son fondement.